Post on 11-Jul-2015
Dominique Lapierre
Écrivain français, il est né
à Châtelaillon, La Rochelle
(France), le 30 juillet 1931.
Fils d´un diplomate, journaliste et aventurier.
Il a vécu son enfance dans la France occupée et à la fin de la guerre il est parti aux États-Unis.
Là, grâce à une bourse, pendant un été il a parcouru plus de 30.000 kilomètres sur les routes de ce pays.
Après ce voyage et à seulement dix sept ans, il a publié “Un dolar chaque mille kilomètres” (1948), son premier livre et un des plus éclatants de
l’après-guerre française.
Il obtient la bourse Fullbright dans l´université américaine de Lafayette (Pennsylvania), où il passe sa licence en Économie politique en 1952. Trente ans après il sera nommé docteur honoris causa en littérature par cette même université.
Il se marie avec une rédactrice américaine et
ils célébrent le mariage en faisant le tour du monde. Pendant ce temps, ils font tout type d’activités. Un an après, ils retournent en France et Lapierre publie son deuxième livre: “Lune de miel autour de la Terre”.
En 1954, il a connu à Larry Collins pendant qu’il faisait son service militaire. Chacun a fait ses études de journaliste de forme individuelle, mais en 1960 ils ont décidé de former un duo pour écrire ensemble des livres de journalisme d’investigation.
Ainsi, ils écrivent “Paris brûle-t-il?” (1968),
un best seller que traite sur l´occupation
des nazi dans la France.
Aussi avec Larry Collins, il écrit “Ou tu porteras mon deuil”, qui traite de la guerre civile espagnole.
En 1971, ils publient “Oh, Jerusalén”, sur la création d’un état d’Israel.
En 1975, ils écrivent
“Cette nuit, la liberté”,
laquelle est l´oeuvre la
plus importante écrite sur
le procès de l
´indépendance de l´Inde
dans les 50 dernières
années.
En 1980, après quatre ans d´investigation, le tandem Lapierre-Collins publie
“Le cinquième cavalier”,
une oeuvre de pure fiction
avec un argument
d´intrigue internationale
basé en un chantage
nucléaire.
Pendant ses diverses visites à Calcuta,
Lapierre a découvert que dans la ville
il y avait de nombreux héros
anonymes, comme la Mère
Teresa de Calcuta, lesquels
consacraient sa vie à
aider les plus pauvres.
Le livre “La cité de la joie”
(1985) traite de cette lutte
contre la misère.
près trois ans de travail, Lapierre publie une oeuvre que parle sur le Sida:
Plus grands que l´amour”
1990). Elle contient les
remières contagions
ntre les homosexuels, le
évouement des soeurs
e Mère Teresa, les
fforts pour trouver un
emède efficace,…et
ien sûr, le témoignage des victimes.
Le succès de son dernier livre lui permetcontinuer en Inde.
De ses rencontres avec la Mère Teresa est né, en 1997, le thème d´un film joué par Geraldine Chaplin sur “la sainte de Calcuta”..
La même année, Lapierre publie le roman “Mille soleils”, oeuvre lauréate avec le prix des Nations Unies pour la Paix. Le livre recueille les biographies des personnages de l´histoire qui ont marqué Dominique Lapierre spécialement.
Déjà en mars de 2001, Lapierre, en collaboration avec l´écrivain espagnol Javier Moro, présente un
nouveau livre:
“Il était minuit cinq à Bhopal”.
Pendant la nuit du 2 au 3 décembre
1984, plus de 30.000 personnes
sont mortes et 200.000 sont
restées affectées à cause d´une
fuite de plus de 40 tonnes de gaz
toxique d´une usine de
pesticides. Les auteurs ont
voulu restituer cet événement à la mémoire
collective.
• “Il était minuit cinq à Bhopal” est à la tête
du catalogue des livres les plus vendus en
France et les auteurs de l´oeuvre ont déjà
commencé les conversations avec le
directeur de film Oliver Stone pour faire la
version de ce qui a été la plus grande
catastrophe industrielle de tous les temps.
Les autres livres de D. Lapierre sont:
• Chessman m´a dit. 1960
• India mon amour. 2000
• Lune de miel autour du monde. 2002
• New York brûle-t-il ? 2005
• Il était une fois l'URSS. 2006
• Un arc-en-ciel dans la nuit. 2008
Une phrase que reflète la philosophie de cet écrivain populaire :
“La force de l´homme consiste à continuer, dans les moments d’épreuve,
en croyant en ses rêves
et en luttant pour
les faire réalité”.
Dominique Lapierre
Dominique et Teresa de Calcuta:
“Ce que tu ne donnes pas, tu le perds.”