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8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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~dit ion f r a n <;ais e~_
W38 - M A I-J UIN 2 00 5
ED1TE P A R~ CHAN TEGRE L - 24580_F leurac - France
T el - f ax : Q5'53-03-45·09
emai l : magaz1ne@nexus . f rs -rt ew eb : http: J lwww.nexus.fr
D lR E C TE U R D E PU BL IC AT IO N :
David Dennery
I N FOGRAPH1E :
Marie Dulon
T RA D UC TIO N S :Rondro tlenintsODChristele Guinot
CORREC TI ONS :Christian Bruyot
ILLU STR AT ION S D fSS IN S :
e SommerviHe
S E C R E T A R I A T :Marie Duton
IMPR IMEUR
lrnprimerie R 1C OB ON O --:
• '5, C he min d es Valettes - 83-49:0_ 'L~"MUY_'
C O MM I SS IO N P A RI TA iR E
N " Q10m8880
depo t legal Avril 1999
I SSN : 1296 -633 ), ;_
D IS T R IB U T ION F R A N c E !
N,M,P'P,
,BU R E~U _J :fN TR AL __-- ,
PO Box 3 0, M ap leton ; Q ld 4560 , Australle-at-: « (7 ) 5 44 2 9 2 8a '; F ax -: (Ol) 5442 9381
e-mail-:editof@~exusm-agaiine.comstte-: W'I'/W,nexusmag;,aine .c~
BU REA& li lf NO U\lE .L f£ ".~ E JJ \N Df -
PO Bo x 226 , Ru~seU, Ba y o f Islands,TeG : +64 (O ) 9 -4 03 8 19 6
e -mai t- : n exusnz@x tra ,c o ,n z -
D EC LA RA TlO N ,D E R AiS ON D !IT RECon:sdent qu e [!humanite - tr av er se u n e imeor tantepffiode de transformation,NEXUSs'efforce defOllllir des informations inectit6 ann d' a id er t ou t uncharun 11t ra ve rs er c es t em p s.- NEXUS n'est rattachea a uc un e id eo lo gie r e[i gie us e, p hit os op hiq ue O!J
poI.itique, ni 1 1 aucune organlsation, '
A UTOR I S A T I ON D E R EP RODUC T iO N '.La repruduct10n er ta dissernination de l 'informationc.ont:enue dans N E X U S soot a c ti v er r ie n t e l 1Coura~·;nei ! l ITlOin5, toute personne prise it en tirer u n a va n-tage I1nander sa ns n otre a cco rd e ~ aura it
enr en d re c omp te . NEXUS n'estaucunernent responsa-bl e de ta teneur de s artictes et annoncesqu i sontsous la seule respcnsabthte de leurs auteurs, Pourtout prcb lerne de sante, l es ! e ct eu r s sont invites aprendre! 'avis d'un rnedecin,
" " ' "edito
A la fin de ce mois de mai, les [rancars se determineronr sur le traite de Constitution
de I'Europe. Le s grands medias se sont surpasses pour epaulet Ie parti pris en faveur du
«oui», et les operations de «communication» (curieusemem, le terme de «pro pagan de»
semble avoir disparu du dictionnaire) se sont multipliees pour precher un discours
digne de l'alternative exposee par Bush en 2001 au sujet de sa Guerre centre Ie
terrorisme (<<ceuxqui ne nous s ou ti en n en t pas sont dueote des terroristes»}, Ainsi,
si vous n'approuvez pas 1a Constitution, vous eteS forcemenrann-europeen, Ce type
de chantage it peine voile ne semble pa s e co r che r la bouche de n om bre ux m ern br es de
notre intelligentsia. Le debar francais dans les medias audiovisuels 5'abaisse a un niveau
digne des dialogues de Ia teU realhe, Pourtant, malgre Ie consensus des prlncipaux
parris des deux ailes politiques, les sondages continuent de semer la panique dans les
etats majors.
V ous Iirez avec interet, dans cette perspective, l'article de David Guyatt qui met 11jourune etonnante conrinuite des coulisses du pouvoir,
Nous avons choisi dans ce numero de porrer a votre connaissance deux technologies
relativement simples perrnettant de reduire efficacement de moitie la consommarion
des moteurs therrniques, principale source de. pollution sur la planere. Combinees
entre dies ou avec les nornbreuses autres ameliorations possibles du rendement de nos
vehcules, comme celle de Paul Pantone (Nexus n032), n est edifiant de realiser que nous
devrions rouler propre et it moindre cout depuis longtemps.
Larticle denoncanr Ie caractere infonde du diagnostic de «trouble de deficit de I'attention»
chez les jeunes aide it comprendre comment s'inventent les maladies pour des profits
autres que celui de l a s an re , Idem avec le dossier consacre a l 'analyse des techniques
employees pour la fabrication des vaccins et leur danger, et 1 1 l 'e x ar nen s ci em l fi que desfondements bien minces qui om permis l 'etablissement du dogme vaccinal,
Dans "Horizons Nouveaux", vous trouverez divers comptes rendus dont les sources
etablissent serieusernent la realite d'une base ovni 11la frontiere indo-chinoise, Apres
l'Espagne, le Mexique I'an dernier, I'lnde devoile it son tour un aspect passionnant de
notre rnonde. Sujet egalement traite par un nouveau remoignage decrivant certains
e ch an g es d u t ro is ie rn e type avec l 'a rme e amer ic ai ne ,
Enfin, un article p ertin an t su r les resonnances de Schumann permet de mieux mesurer
la relation subtile existant entre les etres vivants et notre planere,
Je tiens aussi 1 1 vousexprirner Ie contenternent qui anime l'equipe du magazine a la
perspective de vous croiser lors du Colloque Nexus a Amsterdam les 13 -14 et 15 mal,
qui s'annonce part icnlierement riche.
Bonne lecture era la prochaine.i .
David Dennery
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LE MONDE--~----j, Mf;NACES NANOTECHNOLOGIQUESSUR L'AGRICULTURE, L'ALIMENTAIRE ET LEVIVANT
'';;NOMBRE CROISSANTD'ORDONNANCES DE MrSE AU S.ECRETSUR LES DEPOTS DE BREVETS
• HUlT societas DETIENNENT PLUS DE 70% DES MEDIAS DU MONDE
.• CONTAMINATION RADIOACTIVE DES ALIMENTS
-_UNE ANOMALIE CAUSE UN NOUVEL ECHEC LORS DUN ESSAI DE MISSILE ANTIBALISTIQUE AMERICAIN
• LE SENATEUR BILL FIRST DEFINIT LA "PARANOIA POLITIQue COMME UNE PATHOLOGIE MENTALE
u s
• LEMYSTERE DU "LAVAGE DE VOITURE" MARTIEN
• VIVES INQUIETUDES SUR UN PROJETDE LOI SUR UN DEPISTAGE OBLIGATOIRE
DE5ANTE MENTALEAUX USA
• DES CORPS D'ARMEE SECRETS DE L'OTAN LIES AU TERRORISME
.LITIQUE -
TDA 8 r . . TH AD A. EPlDEM IE .D 'U NE M A LA DIE FAN TO M E _Rien ne prouve que le «Trouble de Defid tde l'Ahe.trtitlni;dbserv~s chez les enfanrs ..._.__.;......~,., 'C.
de ce qui existe egalement chez !'adulte; cela n'empeche pourtant pas les med~in~ce trouble chez de plus en plus de [euneset de leur pi:eseri.t:_ede dangereuxnorrnaliser leur comportement. _ . .
LE CH A NT DE SI,RENE DE LAPLA NETE :- H AA RP-FREQ U EN CES .D E:·SG H U M AN NInstalle en Arizona, l'ingenieur-electridenBenjamin Lonetree utilise
sensibles pour ecouter, enregistrer etaJ1_a~$<trles signaux
it observe que nos ancetres etaientoien p 1 0 : 5 a l'unisson avec
nous .., " .
: : - . : .T EL EP HO NIE M O BIL E: Arguments sclenilflques justifianr l'apDnc~aIlLo.
precaution.. ...,.':'~J
P RO C ES US G LO BA L D 'E X.T IN CT IO N·: Us nouvelles tre(:,[.uenct:$.;d:¢'llJacelle de l'eau, indentiques a celles des fourli a micro-ondes (si
,,''''E4-LES DE LA SCIENCE ~~~------------:-fRN EBO UG IE R EV OL UT IO NN AIR E. FIRESTORM:Dne variance simple permet un allumage plus efficace multipliant par deuxle rende-
luent d'un moteur.IECH NO LOG IE UTO PIA:. Dne electrolyse a oscillation d'ondes qui dope a l'hydrogene les moteurs et entraine 20
a 60 % de gains de consommation.
Les puissantes familles et entreprises cornmerciales d' ori .
arnericaine concernees faisait des affaires avec l' , 1 . 1 , h · : ~ m . _ S l g ! , !J I : l ;_ ·~ . ~~ ~ ~ ~ t Y ; ~ l ~ ~ f ? l J ~ ~
se bousculerent egalement pour tirer profit de. labutin Nazi de tomber entre les mains des go ' . .
nuite des reseaux du pouvoir qui perdure depuisi~.~ri~'.~~.~i~·~~~Z~l~~j~tI~les loges fondamentalistes et implique les tetes couronnees ""...._~-v:I-)',l...'~lU'-.....,.
NEXUS n038
rnal-juln 2005
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De nombreux expertsDetalink: lors d'une conrerence
ges neurologiques causes par
autres adjuvants toxiques ..
VACCINS ANTITETANIQUES
Vne absurdite btologique..les..' -rendent incompatibles l e p '! .nn~~-lpe
HISTOIRE - BecHAMP OU
Historique edifiant de la sup .d'un livre devenu introuvable -
JiXOPLANETAIR_ES
LES EXTRATERRESTRES
Tandis qu'iloccupait un .
de I'DS Air Force, au _n~.lf~·.eU:-~,~;~;~~~iun groupe d'errestuaient des transferts de - ~ _ , - - , _ , . y~ , , : , - ,~ ! ' {
ENIGME DE L'EXPLOSION .......,,-;,...,.,-.
SeIon des temoins oculaires.iconfins de la.Siberie, seraita 1'.~.:rJ;~.lJl~
a detruire les meteorites. U"'~·~~en 1908.
NEXUS n"'38
rnai-juin 2005
L'HIMALAYA
'O'UNE BASE OVNI DU COTE INDIEN DE LA FRONTIERE CHINOISE
s sUPPLEMENTAIRES DE CONTACTS EXTRATERRETRES AVEC LE GOUVERNE-
INDIENNE ET CHINOISE DE L'ESPACE RESTENT DISCRETES AU SUJETRENCONTRESAVEC LES OVNIS
RRAIT-ErRE LA PREMIERE NATION A PARLER DES CONTACTS. S AU MONDE
ES JETTENT UNE LUMIERE NOUVELLE SUR LES CIVILISATIONSEN AMERIQUE
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SUR LE MONDE
~ U 5
N ,O ' U V , ELL,E S " 'M , ,E ,N , A C " ES SUR L'AGRICUL TURE,0:\l 'ALIMENTAIREET LE , VIVANT 11--------------i
W
Vue macroscopique de composant
nanotechnologlque
Dem ierem ent, le group e E TC , organisa-
cion internationale de r eche rch; er d e ~ re v~n-tion basee a O ttaw a, a annonce la publicarion
de " D ow n o n th e fo rm " , p remie re ana lyse com-
plete de la fa co n d on e Ies nano technologiesaffecten t la no urri tu re et I 'agricul ture,
Le domain e de s nanotechnolog ies regarde
la man ipulation de la m aciere, 1 1 ! 'ech~I ,e desatom es et des molecules mes ure e e ll rnilliernes
d e m ic ro nse t, p ,.,a u , ~ laqu~,I,lela p,h.ysiqu,e quan-tique p erm et d e d ete rm in er I e comp ortemen t
des partic~es, .,S elo n Hop e S han d, directeur de recherche
du groupe ETC: "Au cours d es ~ eux prochai-
n e s decenni es , les nanotechnologies auront un
p lu s g ra nd impac t s ur 1 ', ag r~ cu 1t uree~ l'agroa-limentaire que la mecan is ar ion ou «revolution
n I . _ , 1 " 1
verte n en a eu.Une ce rta in s n ombre de produ ir s a limen-
t ai re s cont enant de s a dd ir if s n an o te ch no lo gi-
ques i nv is ib le s e t non signaies par I 'e tiq~etage
s on t d ej a d an s le s ra yo ns d es su pe r~ ~ch es. E noutre, un certain nom bre d e pestlC ldes. ren-
fe rman t d es c ompo sa nts n ann te ch no lo giq ue som dejlt ete dissemines dans l 'environnement
et so nt d lsp on ib ies s ur le m arch e,
Ces substances possedent de s proprieees
d iffereme s d e ce lles e la bo re es a n ne e ch elle
su pe rie ure , e t les s cie nr ifiq ue s a nt d ec ouve rtde puis peu qu'dles scnr generalement Rlusr ea ct iv es e t mobiles si eUes penetrent dans I'O!"g an is rn e . S eu le s quelques e tudes toxicologiques
o nt e te m en ee s,
L a plupart d es mul ri na tio na le s d u secteur
agroalim enraire , cornrne Un i l e v e r , . N~s t l i et
K r a f t , conduisenr de s recherches e t develop -
pent (R& D) des nan? te0n?logjes interessant
le s p ro ces su s d e m ec an lsa tJo ~.' :I e t.ra nsfo r-m arion, d'em ballage et de disrribution d e s
compos'allrs et des addi tiEs.Les prmcipal es socieres d 'agrobusiness tel -
le s qu e S yngenta , B A SP , B ayer et Monsanto
reformulent l eur pest ic ides a un e nano echellepour les rendreb iolo giquem ent plus, actifs,
obtenir de nouveaux brevets et asseoir leursmonopoles,
L e rappon de l'ETC examine. un largee ve nr ail d esR&Dencours .a ll an t d es s er ne nc es
atom iquem ent m odifiees et de nan o senseurs
de precision, 1 1l 'e la b o r a t i o n d e p l a n te s c a p a b l e sde produire des nann p~tticules, ~e m etal, denano vaccins P O l i I les P O l S S O n s d e le va g e o u denano c od es -b an es p ou r l'acherninernent et la
g estio n d es flu x d es p ro du its , etc.En octobre, selon les observation s de
I'ETe le bureau US de s brevetet marques
depos~ a etabli une nouvelle c lassi fica tion
pour [e s b reve ts de nanot echnol ?g ie . " I I ~t
lronique qu'une comp ag nie pUlsse o bte n.:run brev et d e m onopole SU I un nano produit
r e c o n n u original a l O [ S qu e les organism.e .d~regulation sanfraire n om p a s encore O~Cla llS:;l a r econna is sance de produirs de cette ecl:;elle,
rema rq ue K at hy )o We tte r, chercheur de I ETCen C arolin e du N o rd .
En 2002 ,. rETC a dernande un repon de
la c ommerc ia li sa tio n d e nouve lle s s ub st an ce s
jusqu'a ce que des protocoles de product ion et
des normes scient mis en place po ur prendre
en c ompte le s c ara cc erisd qu es specifiques dece s su bstan ce s e t ju sq u'a c e q ue le ur s alu briteso ir d e rnonr ree .
Par consequen t, I 'ETC preconise qu e rous
le s produits alirnenraires e t les . b01SSo~s,con-tenant des nano particules soient renres de s
r ayons " . q~e . l, es .n?uvea,~ s ci en t i nr er di ts de
commercialisation Ju sq u a ce qu e les com pa-gnies e t o rgan ismes d .e ~eg~at ion demon~e ;Hqu'ils Ont p ri s en conside ra ti on l eu rs car ac tens -
tiques d'evolurion dans Ie temps, ,
De m em e, les form ules de nano produits
agricales cornm e Ies p~tiddes et les ~~S~tSdevraient etre empechees de rou te d is semina-tio n d an s I 'en viro nn emen t j usq u'a c e q u'u n 0 [-
ganisme de normalisation soir des igne pou r lestester e t q u'e lle s a le nt ere dererrninees sures.
Le rapport de I'E TC m et egaiem ent sous
Ie feu des projecreurs I e d omain e ernergeant
d e la b io lo gie synthetique qu i concerne l'ela-
horarion en labora to i re de nouveaux sysrernes
vivants programmahles pour des per fo rmancesim po ssib le s a ux o rg an ism es n atu re ls,
, Ces "machines vivantes" im pliq ue nt fre-
q ue rn rn en t l'in re gra rio n d e p artie s v iv an te s er
inerres egalemem connue SOllS le nom d e n an obrorechnologie. " Que faire si ces nouveaux
o rgan ismes v ivan ts , e ,n particulier,c, eux concn s
p ou r fo nc tio nn er, d ~ falfO n. a~ t0 ll; 0m e d ~n sI' en vir onn em en t s a ver ent d tf fic de a maitriser
ou Ii . contenir ? " inte.rroge le G ro up e ETC .
Erant donne les risques extrem es (que
m ern e Ie s sc le nriflq ues reconnaissent g ene-
ralem ent), le rappor~ " I?own~ n the fa rm ,"dernande un moratoire imrnediar sur I expe-rim en ta tio n e n l abor ar oir e e t [a dissemination
des rna ri er es syn rher ique s b io logiques j U S ; r ' ac e que la s oc ie re p~is se p ro ?e de r a une an YS,ecom plete de leurs im plication s p our Ia sante,l 'e nv ironnernent e t l a soc ie te .
(S ource: E TC G roup n ews r e le a se .23 nooembre
NEXUS n038
rnar-juln 200S
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UIT SOCIETES DETIENNENT PLUS DE70 % DES MEDIAS DU MONDE
_:.. iourd'hui, Ie fait Ie plus alarmant concernanr le pay-
__ medlarique mondial est la concentration de la propriete
direction des moyens entre les mains de quelques
~._s son livre «R ich M edia , P oor D emocracy> [Riches
---- Pauvre Dernocratie], Robert Me Chesney, de l'Uni---:;_de l'Illinois, presenre statistiques et analyses sur la
_'=!ZDtradon des medias aux USA et dans le monde dont
.... !!:::Lplications pour Ie fonctionnement de [a democratic
-: inquietantes. .
_:.l_:::ri, en 1999, selon McChesney, seules huit grands groupes
.: _ - ent plus de 70% des medias de la planete - non seule-
- -: la TV, rnais aussi journaux, magasines, radio, systernes
-- -res, cable, edition de livres, production et distribution- arographique et theatrale, operateurs Internet, affi-- " ' = - publicitaire ec pares a theme. Ces huit enrreprises sont. ; = _ et deja capable de s'adresser it des centaines de millions
: : . = §IDS sur ehaque continent, et it chaque instant.
~ huit geants sont: A O L T im e W ilrner, D isney , Fox/N ew s;: ;.;. - , W acom , S eag ram , G enera l E lec tr ic , S ony et Berte ls-
cznn.= . . e . trois premiers de la liste possedent a eux seuls plus de
S _"'0 de la toralire. Er, it I 'exception de Ber t e l smenn , ces 50-
: : . = : : e s dominenr aussi Ie m arche m ediatique U S_~ -=r ei degre de concentration ne saute pas aux yeux des non-
~es, c ar l es f il ia le s locales et me rn e i nr er na ri on al es o pe re nrdes noms divers, C N N , par exemple, appartient en fait
LO L T ime W ilrner, comme HB O , C ourt T V; W ilm er B ra -
;:as et C i n em a x f il m s, les magazines T im e and Fortune, pour-';;';1 citer que quelques uns parmi des centaines d'autres.
CONTAMINATION RADOIACTIVE DESAUMENTS
Disney possede les chaines de televisions et de radio ABC,
et les chaines satellite E SP N , L ifetim e, A d-E , History et E !Enterta inment parmi les centaines d' autres chaines et stations
et d'autres entreprises de medias dans lemonde,
Fox N ews L td possede 22 chaines TV US, plus de 130 quo-tidiens dans Ie rnonde, 23 magazines, la britannique S ky T V;Ie satellite A sian S ta t et Ie L a ti n S ky B r oa dc asti ng , panni descentaines d'autres.
Dans le monde inoderne, les medias sont devenus la princi-
pale source de connaissance. Et comme Ie dlt l'adage : «Quidirige les medias dirige Ie monde»,
(S ou rc e : P a r J erry M a nder, m ag azin e C om mon G rou p G ro und,D e cem bre 2004. A vec J ohn C a va na gh, fen ] M a nder est c o-ed i-
teur de l 'e di ti on f ra i ch em e nt s or ti e et d eve l op p e e d e A l t ema ti ve st o E c o n om i c G l o ba l iz ati on : , < . 4 b et te r Wo rl d i s P o ss ib le », p u bl ie
c h ez B e r re tt - K o eh /c r) -
. . : : : : k u x projets, etsblis auplus haut niveau, sont en passe d'etre adoptes :l 'un emanc d e la Commission du Codex ali-
::2~carius, I'autre d e la Commission ' In txrruu ionelc de Protection Rsdiologique (CIPR) et dcvront pcrmcttre, d'ici
=ou deux ans maximum, Is commercialisation d'sllments contsmines par des pollusnts radioactifs. L a aotme ne
=plus I'sbscnce de pollution mais une conteminetioa decretee acceptable par les eutorites. Le premier de ces
~es) examine par la Commission du Codex, Jegaliseral'importssion et l'expottstion des-denrees elimcrusises contsminees. I'auto-
zisaion seradeily-reesans limitation de temps et sans «voir a invoqucr la survenue d'un accident, sous la seale reserve que le tzux depoUuants soit inRrieur.i certains seuils : de) Bqlkg (bccquerelpar kg) pour les produits lesplus rsdiotasiques comme leplutonium
Qjusqu'a 10 000 Bqlkg pour lesptoduits supposesIes mains dangereux comme le technetium 99 ou le tritium. Le second piojet
emane de la Commission Internationelc de Protection Radiologique done les recommendations servant de base a I'eleboistion des
~ qu i regissenc notre protection contte les t zyonacmcnts ionlsents. Son projet 2005 sccommsnde (entre autres) I'insteuruion
C 1 . e . , seuils d'cxclusion » en dessous desquels 111.contamination d e notre environnement ne scrsi t plus prise en compte. Le terme
d'eavironnemcnt doh cUe compris aLIsens leplus largepossible : if design« tout ce qui nOLlScntoure : les sols, les mstetisux, l'eau,
leS objets et[usqu'e ux slimcnts que nous consommons. En dessous de ccs seuils d'esclusion, les aliments contsmines seront decretes
non radioactifs » et consoaunsbles sans restriction. Tomes les mesures de protection seront supprimecs. Du lair a .90 becquerelsd'iode 13 1 par litre pourra etre Iibrcment commercislise et utilise sans restriction pour I'slimencuion des eniiuus, y comptis des
nouaissons l Pour vous iaiormer ecagir contre ces projets, contectez la Commission de Recherche et d'Information Independaates
sur 111.Rsdiosctivite : CRIIRAD 471 avenue V Hugo 26000 Valellce- France «Te l . 04 75 41 8250. E-mail :contact@criirad.org
site: hctp:llwww:criirad.coml
NEXUS n038
mai-juin 2005~_I~'-. - . .
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REGARD' SUR LE
~:KMONDE
U 5
Une anomalie cause Ie nouvel echec d'un essai de missile- antibaUstique amerlcatn
Aujourd 'hui, 15 decernbre 2004, le vol d 'essai d 'un m issile de defense US d'une valeur de plusieurs m illions de Dollar a
echoue a lo es q ue I e m is sile d'Inrerceprion refusalt de decoller, so n sysreme s'etant deconnecte, declaraient les representants du
M i ssi le D e f en se Agency (M DA) du Pentagone aux joumalistes.
Ce vo l d'essal etait cense se d ero uler au dessus d e l'O ce an P ac ifiq ue . Son lancement depuis l 'Alaska fur un succes mais iln'a
pas ete intercepte au-dessus du P ac ifiq ue . U ne «anomalie» d'origine inconnue a verrouille automariquernent I e m is sil e i nt er -
cepteur dans son silo de la base d ' essai de Kwajalein, a ux l ie s Ma rs ha ll, selon Richard L ehner, un porte parole du M DA.
L e test avait deja e te repone 4 fois pour ditTerentes raisons, dont Ie rnauvais temps. L echec a coute 85 m illions de dollars
et entraine un important centre temps pour Ie bouclier d e d ef en se anti miss il es d es ti ne a detruire l es m i ss il es balistiques de
longue portee,
G eorge W . Bush s'est engage a ce qu'une partie du projet sole operationnelle pour la fin de l'annee 2004 et on s'attend aee qu'il declare cet objectlf atteint malgre ce loupe. D'apres de s fonctionnaires du Pentagone, la M i s si le De f en se A g e nc y pear
porter a son actif 5 tests d 'lnrerception couronnes de succes sur 8
effectues.M ais e ' eta it ily a 2 ans er depuis, des experts ont m is en doute les
cap acites du sy stern e face au x rec enrs e chec s et aux freq uen ts repo rts
de s essais prevus,
"Ne pa s avoir reussi une seule interception de vol pendant 2 an s
represente un serieux contretem ps dans Ie program me" a annonce
Philip Coyle, chef du controle de l'arrnernent au Pentagone sous
!e mandac de Reagan, ~ !'a ge nc e d e p re ss e Reute rs . Ce s ys te rn e d e
defense cocnstirue une version plus m odeste du projer de bouclier
anti m issile "Scar W ars» enonce par Reagan en 1 983 .
(S ou rc e: I ntern ation al R ela tio ns a nd S ec urity N etw ork, I SN S ecu rity W 'lztc h, 1 5
Decembre 2004 . hrrp:llwww.isn.ethz.chlnews/sw/details.cfmlid •.]0312)
B ase U S de l 'f fe de Kwsreiein
.d'instituer enno"iapolitique»
NEXUS n038
rnal-juln 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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NEXUS n038
mal-juin 2005
Le mvstere du «lavage de voiture»
MARTIEN
Vives inquietudes sur un projet de loi de depistage---obligatoire de sante mentale aux USA
);?urtunt(j', lc robot de la. NASA sur Mars semble etrt: passi dans quelque
.:;:;ose resscmblent a u n l ev om e ti c qui a laisse sc s pa.nneaux so la ires beuicaup
?=propres que ceux de ~/nt, son jumesu. Ce l s expliouersit une serie de
~ inattendues de sa production de courant electrique.
~ sondes-robots ant stterris sur Mars en janvier 2004, a'Vec des cel lu lcs
~es cspebles de foumir plus de 900wattslheure par jour. Le rendement
~ Spirit a dsute a environ 400 wstts/heure, en partie J cause de 1apoussiere
zzenlenae ayant reconvert ses panneaux solsires . Au debut le rendement de
~ t?portuni&a egalement diminue a environ 500 watts/heme, msis a.u long
~ 6 demiers mois il a ptogressivement regagne en puissance .
..'licemment, ses piles soleires ont produit plus de 900 wsus/heur«
_h Erickson, direaeur de l'6quipe des «jeeps» au scin du.fet FmputSian Mba-
a;tOry de 1aNASA a Pasadena (Califomie), a indique au «NfUlJ'Scimtirt» qu'un
?,_'Vcessus [usque fa non-compris svsic a plusieurs reprises enleve Is pousslcrc
. : e s panneallx solsires.Quel que soit ce pmcesslls , il a lieu pendant que I'Opportuni& est gMe durant
_d auit msrtienne. Au moins a 4 occasions au cours des 6mois, lc rendemenc
~ puissance de 1a «jeep» a eugmente jllsqll'i! 5 % gr!1c" a ce llettoyage fortuit.
/S ou rc e : New Scientist, issues 2479/80,25 Decembr« 2004_ 1Janvier 2005)
- Opportunity-
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LE MONDE
U S
Des corps d'armee secrets de ,I'OTAN
lies au terrorisme ~--. ---. ------------_-
Au moment ou Jes experts s'interrogent
pour s av oir s i I'OTAN offre un cadre ap-
proprie It la conduite de la "guerre contre
l a t er ro ri sme " dans le monde, un e nou-
velle etude suggere que I'hlstolre secrete
de I'alliance a des liens avec le terrorisme.
En Italie, le .3 AOilt 1990, le PremierMinistre Giulio Andreotti a confirme
l'exlstence d'une arrnee secrete d'Etat,
donr le nom de code est «Glad io» (en
latin : epee). Son ternoignage, divulgue
avant la conduite d'une enquete sur le
rerrorisme par une suus-commission du
Senat italien, a cause une onde de choc
au sein du Parlement et de l'opinion pu-
blique, ampliflee par la speculation d'1.me
manipulation de la politi que italienne au
moyen d'acres de rerrorisme perpetres par
ce corps secret. Andreotti revele que I'exis-
tence de la Glad io a ete cachee au sein du
Ministere de la Defense sous la couverture
de sons-section du SISMl, les services
secrets militaires. Selon un document
de 1959 du SISMI, les armees secretes
avaient un double objectif strategique enEurope : tout d'abord, operer comme un
pseudo groupe "arriere" dans le cas d'une
invasion sovietique et conduire la guerilla
sur les territoires occupes, et rnener It bien
certaines operations nationales pour re-
pondre aux "situation d'urgence",
Felice Casson, le premier juge italien
ayant decouvert l'existence de La Glad io
au cours de ses enquetes sur le terrorisme
d'exrreme-droire, a constate que l'arrnee
secrete s'etait alliee avec les terroristes
d'extrerne droire dans ces "situations d'ur-
gence". Ces terroristes, arrnes par l'arrnee
secrete, realiserent sur des sites pub Iics des
attentats ala bombe dont la respcnsabilire
fut rejeree sur la gauche italienne et furent
ensuite proteges des poursuites judiciaires
par les services secrets de l'armee,
«Le but en etait tres simple: pousser l'opi-
nion italiennea se tourner vers l'Etat pour
demander une securite accrue. Cetee 1 0 -
gique politlque est a la source de tous les
attentats a la bombe testes impunis ainsi
qu'expliqua Vincezo Vinciguerra, ancien
terroriste de droire au sujer de Ia "suategie
de la tension" au juge Casson.
Le Senat Italien choisit d'etre plus expll-
cite et condut dans son enquere en 2000 :
"Ces massacres et ces attentats sont des
actions milltaires organisees, favorisees
ou soutenues par des hornrnes oeuvrant
au sein rnerne des institutions de l'Erat
italien et, cornme ill' a ete decouvert plus
recernment, par ·des hommes lies aux
structures des services de renseignemenrs
americains. "
A la decouverte de l'existence de cc type
de corps secrets d'armee, le Parlement
europeen a ernis une severe cridque, les
suspectant d' a voir ete irnpliquees dans
Ies manipulation liees aux operations de
terrorisrne en Europe.
Le Dr Daniele Ganser, eminent chercheur
au C e ntre f or S e cu ri ty S tu di es de I 'ETH aZurich et auteur de " N AT O 's S ec ret Ar-
m i e s " confirme pour la premiere fois que
des reseaux de renseignements it travers
l'Europe de l'Ouest, y compris en Alle-
magne, en France, en Es p agn e, au Por-
tugal, en Hollande, au Luxembourg, enBelgique, au Danernark, en Norvege, en
Italie, en Grece et en Turquie, om neces-.
sitl~ une planiflcadon srrategique issue de
Grande Bretagneet des USA. Les armees
de "l'arriere" etaient coordonnees a un
niveau international par le prerendu Co-
mite Clandestin AlIi6>(ACC)et le Comae
d'Organisation Clandestine (CPC)affilie
au QG supreme des forces de I'OTAN en
Europe (SHAPE).
Elles utilisaient des noms de cou-
verture tels que ,<Absa lom>au Dane-
mark, " P 2 G > en Suisse, " R O C » en
N orvege et , S D R A B » en Belgique. IIest interessant de rioter que, de gran-
des differences existaient d'un pays aun autre. Dans certains, les armees
secretes se sont changees en creu-
set du terrorisme, tandis que dans
d'autres, elles garderent un simple
role de prevention. En Thrquie, la
"Contre -Gu ir i /Ja" est irnpllquee dans
Ie rerrorisme local er les operations
de torture rnenees contre les Kurdes,
et en Grece, le «LO]( ' , a panicipe au
NEXUS ,,°38
rnal-juln 2005
"coup d'etat des «colonels" de 1967 pourempecher l'arrivee au pouvoir d'un gou-
vernement socialiste, En Espagne, l'armee
secrete etait utilisee pour soutenir la die-
tature fasciste de Franco, et en Allemagne,
les terroristes de droite ont utilise les
explosifs de l'arrnee secrete pour l 'attentat
terroriste de Munich en 1980.
Dans d'autres pays, ,vomme le Dane-
mark, la Norvege et Ie Luxembourg, les
soldats secrets furent entraines pour une
eventuelle occupation de leur pays natal
et n'ont jarnais pris parr aaucun acte de
terrorisme ou de manipulation. Dans Ie
conrexte actuel de la pretendue guerre
contre Ie rerrcrisme, les donnees sur la
Glad io souclennent l'idee que Ies gouver-
nements Occidentaux ont sacrifle les vies
d'innocenrs c.itoyens et couvert des acres
de rerrorisme pour manipulet Ie peuple,
Les allegacions s el on l esqu el le s rOTAN,
le Pemagone, Ie NIG , la CIA et les servi-ces de renseignernents Europeennes ont
entretenus des liens avec le rerrorisme,
les coups d'etats et la torture en Europesam evidemrnenc de nature extrernernent
delicate et leur verification necessitera de
furures enquetes.
(S ou rc e: In terna tiona l R ela tions and S e-
curity Network , ISN Security watch, ETH
Z u ri ch , S u is se , 15D e c em br e 2 00 4,
http://www.im.ethz.chlnewslswl d e t ai I s.
c iI md D " ,} 0 37 3)
- Les lois securitaires se renforcent vraime,.
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GEOPO ...ITIQUE
u 5
T D A & , T H A D A
E P I DI:.:I E ,o .~ • ~ ~ \
1 ' 1 : \ 1 , 1 M A L A I I E , , : F~(;":Ji.~I),
Rien ne prouve la realit:e organique ou physiologique du "Trouble de Deficit de l'At-tention" que Iron attribue a des en£ants de plus en plus nOlllbreux; ce1an'elllpechepourtant pas les llledecins de dlagnostiquer ce trouble et de prescrire de dangereuxneurostilllulants pour no,clllaliser leur cOlllportelllent. '
Implications economiques, sociales,
politiques et juridiques
it1
I1I~tI
~Ii!
Ii
I!!
Le Trouble du Deficit de l'Attention (TDA) est un dia-
gnostic infonde et hauternent contestable. II motive
pourtant la prescription de dangereux stimulants aupres
de dizaines de milliers de jeunes occidentaux. Le TDA et
sa variante : Troublod'Hyperactivite avec Dtficit de L'At-
tens ion (THADA) n'ont jamais ete mis en evidence e c le s
efforts visant It populariser ces diagnostics se basent sur
des raisons pollriques et economiques n' ayant que peu
de rapport avec la medecine,
Au 21"n, siecle, quand un enfant a pour habitude de
"ne pas eue sage", on en deduir qu'il s'agit de la ma-
nifestation d'une "maladie". Or, on rema,rque surtout
l'absence de la moindre trace de cause organique ou
physiologique etayant l'existence d'une quelconque
affection. Voici quelques-uris des symptomes cites :
rester debour quand on recoit I' ordre de s' asseoir, ecre
tres remuant et faire les taches menageres ou ses devoirs
It con treco eur. Depuis quand ce comportement d'enfant,
a ll an t ti e n orm a l a dtsobeissant , est-if symptomatique d'une
pathologie organique?
Quiconque ayant une once de bon sens peut deceler
l'absurdice et Ie caractere fictif des criteres perrnettant
d' e tablir ces diagnostics. Lorsque la communaute me-
dicale et les compagnies pharmaceutiques, principaux
defenseurs de ce modele pathologique, adrnettent ne pas
savoir ce qui "provoque" cette etrange rnaladie, confes-
sant ainsi qu'i!s ne peuvent merne pas en prouver l'exis-
renee, l'amusement declenche d'abord par l'enonce des
criteres d'evaluarron se rnue en incredulite, Et lorsque
nous apprenons que des dizaines de milliers d'enfants
et adolescents se voienr en consequence administrer de
puissances et dangereuses drogues, on cede aisernent it la
tentation de crier carrernent au scandale,
Qualifier Ies enfants de "rnalades", en se fondant sur un
comportement considere indesirable, puis les bourrer demedicaments pour les faire obeir compone de serieuses
implications. Voulons-nous que nos enfants grandissent
en croyant que la reponse it leurs problemes reside dans
la prise de drogues? Voulnns-nous qu'lls se considerent
irresponsables de leur comportement et puissenr plurot
en rejeter les causes sur une rnysterieuse "maladie" ?
Voulons-nous laisser une psychiatrie instirutionnalisee
qui assimilait, il y a 25 ans encore, l'homosexualire it
une "maladie", qualifier leur mauvais comportement
des enfants de "rnaladie" en l'absence de route demons-
tration scienrifique ? Voulons-nous une societe qui
identifie la desobeissance It une pathologique et prefere
Ie conformisme it l'individuallte, it la creativite et it la
libre expression ?
Untegrite physique et le bien-etre affectif des jeunes
sont menaces par Ie diagnostic du THADA/IDA et la
proliferariondes prescriptions de neurostirnulants (am-
phetamines) qui en resulte, Ne vaudrait-il pas rnieux
depasser Ie jargon auto protecteur de la communaute
medicale I pharmaceurique et au moins faire en sorte
que parents et enfants soient informes de toutes les fa-
cettes de cette concroverse afin qu'ils puissent donner
un consememem eclaire aux ordonnances decoulant de .
ce diagnostic?
Points ch€!s
• Le nombre d' enfants occidentaux chez qui I'on dia-
gnostique Ie "THADA" (ou Ie "TDA") continue it
monter it Ileche,
• Un pourcentage important de ces enfanrs est mis
sous stimulants, medicaments extremernenr dangereux
presentant d'lmporrants effets secondaires a court terrneet It long terme,
• Le diagnostic du "THADA" manque visiblement de
fiabilite.
• La validite du diagnostic du "THADA" est douteuse.
• Ni les parents ni les enfants ne disposent de suffisam-
ment d'informarions p\>ur donner un, consentement
eclaire au traitement par neurostimulanrs,
• Le "THADA" s'avere eue un concept populaire et
seduisant et, en l'absence de contradiction, I'usage de ce
diagnostic et des stimulants va probablement continuer
It s'inrensifier.
NEXUS n038
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GEO'POLITIQUE
;( u
La popularlte du "THADA"
Le nomhre d' enfants diagnostiques victimes du THADA
ou du TDA est renversant et continue d'augrnenter. Le
succes de ce diagnostic aboutir it un nombre croissant de
jeunes rnis sous neurostimulants.
Depuis des annees, les cliniciens observent que ces pro-
duirs stimulants onr un effet paradoxalement calmant
sur les enfants, On a avarice une myriade de theories
tentant d' expliquer Ies raisons physiologiques d'un
tel phenomene, rnais aucune n'a ere universellement
acceptee. Au cours des decennies passees, l'indusrrie
pharmaceutiq ue a stipule que [e THADA contin uait it
rage adulte, preconisant I'usage de stimulants et medi-caments assirniles aux adulres aussi, Cela suggere que,
bien que l'effet semble "calmant", il aide plus Ii . une
concentration intense sur une .seule activite (ou sur rien
du tout) plutor qu'a l'apprentissage de la gestion de la
diversite de l'environnernent du patient.
I
II
II
I
Selon Ie S ydn ey S u n- He ra ld du 30 juin 2002 : "On
estirne qu'au moins 50000 petits Ausrrallens ptennent
desormais ces medicaments sur ordonnance. "\ I. : aug-
mentation a etl~ pour Ie moins fulguranre.
"Entre 1991 et 1998, le nornbre d'ordonnances de sui -
f ite d e de xa mp he za mi ne y a augmente de 2400 %, tan disque celles de Risa l ine ont augmente de 620 %."2
"La consornrnation australienne de dexamphetamine s'est
accrue de 592 % entre 1991 et 1995, randis que celle de
methylphenidate a augmenee de 490 %."3
La Commission de la jeunesse de Nouvelle-Calles du
Sud a dernande I'avis de la cornmunaute et a entendu
de nombreuses voix inquleres s'elever : "Beaucoup de
personnes ont fait part de leur inquietude face a l'usagecroissant de psycho tropes chez des enfants arteints du
TDNTHADA, et plus parriculieremenr de leurs eITets
it long terme. ".
Le C ou rier M a il de Brisbane du 1O J" juiller 2002 a ob-
serve que, proportionnellernent au nornbre d'hahitants
s
"plus d '~nfants prenaient des psychotropes en Auseralie
qu'aux Etats-Unis".' Si l'on estime qu'aux Elars-Unis le
THADA ne touche pas mains de 15 it 18 % des enfants
en ag e scolaire, cette tendance est alarmante et constitue
une urgence de sante publique en Australie.
les dangers des neurostimulants
Le s stimulants les plus courants utilises conrre le 'THA-
DA", la R i t al in e (m et hy lp h en i da t e) et la dexampbetamine ,
sam pharmacologiquement similaires it la cocaine. Tout
comme elie, ces medicament presentent d'Importants
effets. Ils rendent ies enfants plus dociles er plus obeis-
sants. Cela est vrai pour tous les enfants, dans Lamesure
a u ce qui rescale du mythe de la seule reaction positive
des enfants atteints du 'THADA" a depuis longternps
vole en eclats :
" A vrai dire, les stimulants se sent reveles avolr Ies merne
effets chez les enfanrsaneincs du THADA et chez ceux
consideres normaux (P eloqu in a nd K lo rm an, 1986; R a -
p oport, B uschba um a nd Monte, 1980; R a p op or t, B u se hs -
baum and Zabn, 1978). Ces resultars soulignent que le
diagnostic du THADA ne peat pas s' appuyer sur une
reaction positive aux medicaments. "6
Les enfants saus trairernent deviennent plus dociles er
obeissanrs et poseor "rnoins de problemes", contentant '
ainsi it Ia fois Ies parents et les enseignanrs, Mals ilarrive
que le jeune patient en paie le prix fort :
"Stephanie Hall, de Canton, dans l'Ohio, croyait que le
THADA etait une maladie. Elle prenait sa Rirallne, reli-
gieusemenc. Ses parents, Mike et Janet Hall, Ie croyaient
aussi. Stephanie Hall est morte dans son somrneil, 6[ours avant son 12emc anniversaire, non pas du THADA
(parce que cela n' existe pas) mais de la Ritaline, parce
que la Ritaline est une amphetamine et que Ies amphe-
, ramines sont depuis longtemps connues pour provoquer
des accidents cardiaques soudains, rneme chez les jeu-
nes","
Le certificat de deces date du 21/03/01 du petit Mat-
thew Smith
NEXUS n"'38
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dexamphetamine , aussi bien que le methylphenidate, sont
des medicaments conrrcles et soumis 11des conditions
specifiees avec une restriction supplernentaire en matiere
de delivrance et d'usage."?
Les stimulants peuvent mener It une depression et con-
duire au suicide. "La Commission parlementaire d'Aus-
rralie-Meridionale a ete troublee d'enrendre ou de lire
I'exemple d'un certain nombre d'enfants ayant exprimc
des pensees suicidaires."10 "L e suicide est une complica-
tion majeure du repli sur soi provoque par ces stimulants
et autres medicaments sembi abies aux amphetamines."!'
Les medicaments en general, et les stimulants en par-
ticulier, presentent un risque irnporatnt a long terrne
chez les enfanrs en raison de leurs effets potentiels sur la
croissance. Tout porte a croire que le s medicaments puis-
sants pourraient affecter le proce.~sus de croissance et de
developpemenr d'un enfant, cornme cela a ete largement
reconnu dans la presse de grande diffusion, y compris par
l 'A m e ri ca n P s yc hi atr ic A s so ci ati on e lle -rn ern e :
"L e terme de t ox ic i te d tv el op p emen ta l e renseigne des
effets secondaires uniques ou particulierement graves
causes par l'action d'un medicament sur Ie processus
de croissance et de developpement. Les enfants et les
adolescents grandissenr et se developpent non seulement
physiquement mais aussi cognitivernent ec affectivement.
II est important que les -medicaments n'interferent pas
avec !'apprentissage scolaire ou avec le developpemenr
de relations sociales au sein de la famille au avec les
camarades. "12
Inevitablernent, nous devons adrnettre quesi Iesstimu-
[ants affectent la croissance et le developpernent, il ya de
fanes chances qu'ils affectent celul du cerveau :
"II existe desorrnais une montagne de preuves demon-
trant que ces produits perturbent la production quo-
tidienne des hormones de croissance et peuvenc aussi
reduire la croissance generale de I'enfant, se traduisant
par une moindre augmentation du poids et de la taille ...
Diffidle d'Imaginer un signal d'avertissemenc plus grave
que l'inhibition de la croissance, puisque qu'elle affecte
tous les organes, y cornpris le cerveau." 13
- "Le medicament comrnunement utilise, surtout aux
USA et en Australie, pour soigner les jeunes arteintsdu trouble d'hyperactivite avec deficit de l'attention
peut provoqller des modifications II long terme dans le
cerveau, Des scientifiques de l'Universire de Buffalo ont
decouvert que la Ritaline produisait des modifications
similaires II celles observees avec les amphetamines et
la cocaine dans le cerveau des rats. I'aureur de l'erude,le Professeur John Balzer, a declare que ces decouvertes
dernentaient l'idee que la Rirallne, connue SOllS Ie nom
gene rique de merhylphenidate, avait un effet rap ide et
une action courte." 14
"En delivranr des psychocropes aux enfanrs, nous creons
en verite une interaction entre Ie produit chimique er
I' organisme en developpemenr, en particulier avec Ie
cerveau, qui est I'organe cible.")5
"Les neurostimulanrs eels que la Ritaline et les am-
phetamines ont des impacts extremernent nocifs sur
]'encephale, reduisant le flux sanguin, perturbant le me-
tabolisrne du glucose et provoquant peut-etre merne un
retrecissement ou une atrophic definitive." 16
Le spectre de ces effets negarifs sur la croissance et Ie
developpement parait encore plus inquietant quand les
enfants de moins de six ans se voient parfois prescrire des
stimulants, malgre les rnises en garde specifiques signa-
lant que leur usage n'est pas inoffensif chez des enfants
aussi jeunes. Certains enfants australiens ages d'a peine
15 II 18 mois se SOnt deja vus prescrire des psychostimu-
lanrs, et lors de la Conference sur la jeunesse de l'Etat du
Queensland qui s'est tenue a Mackay en 2003, une merea rapporre que son medecin lui avail suggere que son
bebe de neuf mois etait atteint du "THADA" et devait
etre mis sous medicaments (D i eu m erc i, e l le a re fu sE ).
Presque plus inquietant que les effets potentiels 1 1long
rerme des neurostimulants : l'etat de "zombie" rela-
tivement courant qu'ils provoquent chez les enfants.
Fait choquant, deux des plus grands defenseurs de la
biopsychiatrie aux Erars-Unis, 1. Eugene Arnold et Peter
S. Jensen, ont reconnu cette caracreristique dans [e cha-
pitre du C om p re he nsi ve T e xtb oo k o f P s yc hi at ry consacre au
THADA:
"La mine sombre et defaite occasionnee par Ies ampheta-
mines est inoffensif en elle-merne rnais inquiere certains
parents ... Son equivalent comportemental, allant de la
reduction de I'affect et de la spontanelte a 'un etat de
'zombie', pcut engager II une diminution de la dose, etnecessite parfois de changer de medicament." 17
Letar de "zombie" a ete decrit par Ie Dr. Peter Breggin
en ces termes : "Ce comportement docile induit par les
medicamenrs est provo que en emoussant ou en assujet-
tissant l'activire cerebrale superieure de I'enfant par des
substances chimiques. Cette partie du cerveau de l'enfant
requeranr creativite, liberre, jeu, activire energique, dis-
cipline coherence -et activires pedagogiques stimulantes,
risque Ie sous-developpement." 18
Compte tenu des taux de prevalence de ce "trouble" qui
montent en fleche, il est tres possible que notre societe
soit rapidement confronree a une generation d'enfants
dont la creativite, le raisonnement et I'esprit serontamoindris par des medicaments sans justification medi-
calc veritable.
NEXUS n038
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Geopo ITIQUE
u
Un problt~me de sante publique
en Australie
E n cla ssa n! le s p sych os tim ula nts p arm i le s me dica me nts del 'Annexe 8, Ie g ou ve rn eme nt a ustra fie n a va il de to ute e vide n-ce !'in te n tio n d 'e n re s tr eln dr e l's cce s . P o urta n t, f a p ro fifJ ra tio nd es o rdo n na n ce s de s tin e e s Ii tra ite r te "T HA DA · a re ndu ce sp sy ch os tim ufa nts fa cile me nt dis po nib le s p ou r u ne u tilis atio no cce sio nn etle da ns le s co urs d'e co le de to ute l'A us tra lie .
L 'u sa ge illicite de s m Mica me nts co ntre Ie T HA DA e st a eve nuu n p ro ble me m aje ur a u Q ue en sia nq , co mm e Ie fa it re ma rq ue rla C rim e a l7d M isco l7du ct C om missio n ." "L 'sb as de m edics-me nts ve ndus su r ordo nn an ce o on tre Ie T HA DA con stitu e u np ro bte m« o ote n tie /p ou r la so cie te , Ie sys te me de sa nte p ub li-qu e e t le s orga nisme s ch arge s de fake re spe cte r fa 1 0 1 . "1 9
E n N ou ve lle -G aN es du S ud, "O n.8 e xp rim e de s in qu ie tu de s,a p lu sie urs re prise s, q ua nt a u fa it q ue de s e co fie rs p uisse ntv en dr e, e ch a ng e r a u p a rta g erle u rs medicements"."
L 'O rg an e in te rn atio na l de co ntr6 1e de s s lu pe fia nts (O IG S )de s N atio ns u nie s a mis e n g arde con tre I 'usag e ludiqu e e !occssio nn el a bu sif cro issan t du me th ylp he ntdate dan s tem o n de e n t ie r .2 1 L ' u ti li sa t io n t u d t q u e de s p sych ostim ula n!s ae ga fe me nt e te e ss ocie e a d'e utre s fo rm es de to xico ma nie e tfa it sou ve n t o ffice de "p re mie r pa s" fa clle dan s Ie mo nde de
I 'aufomedicat ion.
"E liz ab eth W u rtz el,. dim s Ie N e w Y om - Tim es du W avd12000,eait q ue fa R ita lin e a va it fa it o ffice de dro gu e d'jn tro du ctio n
p ou r de n ombre use s pe rso nn es ave c q ui e lle ava it dia log ueda ns de s re un io ns de s IV arcp /iq ll8 sA no l7y me s, a u de s·m ere son t admis a vo!r e sce mote de fa R itarine p re scrife a le urs e n-ra nts e t e n a vo ir broye le s cach e ts p ou r t e e ' sni f fe rpresques a n s d is c on t in u e r '. "2 2 . \
La D rug E nfo rce me nt A dmln/s lra lio n (D EA ) de s E ta rs-U nisa dfr~ cte me nt a bo rde ce pro ble me , e x p o s e o t g U '" u n c e rt ainno mbre d'e tu de s re ce n te s de ca s de to x ico ma nie e t de te n-da nce s co in po rte me nta le s o bse rv ee s p arm i le s sdo le sce ms-e ! prove na nt de dive rse s sou rce s indiqu a ie nt q ue !'u sag ede me thy lp he nida te po uva it s tre u n fae fe ur de risqu e d'sbu sd'a lco olo u d'a utre s dro gu es " .23 F ait (e ve la le ur, v otci ce q u;areppon« la p re ss e em eti osi ne : "O ne re ce nte e tu de me miep ar de s ch erch eu rs de !'U n/ve rsile de C alifo rn ie a Be rke le y ,e tu de a ya nt s uiv i 5 00 e nfa .n ts p en da nt 26 e nn ee s, a n jv i!J 1tJqu e /a R ita line eta it a u fon d u ne 'drog ue d'in trodu ctio n ' ad'a utre s dro gu es , e n p artlcu lie r a la coca ine . Le e he rche urN adin e La mb ert, co mm e I'a r e p p o n « Ie W a ll S /re f!! J ou rn al, e na co ne lu q ue fa R ita lin e 're nda it /e ce rv ea u p lu s v uln era ble a up ou vo fr to xico ma no ge ne de ts co ca in e e t m ult/p lia !! p ar de ux/e ris qu e d 's bu s'. "2 4
1 / e st re co nn u, me me pa rmi le s fe rve nts de fe nse urs du mo-de le me dica l du "T H AD A ~ q u 'if e x iste d'au tre s fo rme s de"tra ite me nt" dis po nib le s, te lle s q ue te c on s ul ta tio n p s yo h % -g lq ue fa milia /e , le s s oin s a lte rn atifs e t l'e du cs tio n p are nta le .A ucun e de C B S mo da flte s n e risq ue de m ettre e n p erH Ie b ie n-e tre p hysiq ue de s e nfa nfs. A u V U , e n p a rtic ulie r d 'u n e r ece n teme ta -a na lyse ayan t de mo ntre . q ue te s e nfan fs ne re tira ie nfsu ca a a va nta ge e n ma tie re d'e du ca tio nla pp re ntlssa ge d'u n
fraf temenf a b a s e d e p s yc ho s tim u /a n ts ,2 5 if e s t c om p le t em e a ttnseas« de risq ue r de comprome ttre no n se u /e me nt ie b ie n- .
e tre de s e nfa nts tra ite s mais la s e n t « de I'e nse mb le de fe ursca ma ra de s e n co ntin ua nt de p erm et!re fa distrib utio n a to rt eta tra ve rs de ce s da ng ere ux m edica me nts .
s
Manque de fiabilite du diagnostic
La "nabilite" d'un diagnostic etablir dans queUe mesure
il est digne de confiance, independamment decelui qui
I' enonce er du lieu O U il est ernis, Par exernple, un bras
casse se diagnostique par une radio et il existe de forteschances qu'en se rendant chez 100 rnedecins orthcpedis-
res avec la merne radio, le merne diagnostic soil rerrouve,
s'averanr iei rres Sable.
Par contrasre, le diagnostic du "THADA" J'est tres peu.
" II n'existe pas de crirere objecrif pour l'erablir, pas de
symptcrne physique, pas de signe neurologiques et pas
d'anomalie sanguine ... Aucun exarnen physique ne peut
pe.rmettre de verifier qu'un enfant en est bien atteint."26
Lhypothese selon laquelle 100 diniciens ne seraient pro-
bablemenr pas tOUS d' accord pour confirrner le diagnos-
tic de "THADA" chez un enfant est eray&: par les ecarts
flagranrs entre les raux de prevalence intematio naux.
"La prevalence du THADA en Europe est generalementestimee entre 3 % et 6 % ou moins, tandis qu'elle est
au moins 2 a 3 fois superieure en Australie et aux Etats-
Unis. "27 Aussi choquant que cela puisse paraitre, cette
constatation signifle qu'en emrnenant pour examen
12 enfanrs atteints du "THADA" de Sydney a Paris, unseal verrait son diagnostic "confirme". En s'en tenant
alors ces chiffres, ce "trouble" est soit fortement surdia-
gnosrique aux Erats-Unis, en Auscralie et au Canada,
soit forrernent sousdiagnostique en Europe (et dans la
pluparr des autres pays du monde}. Dans un cas comme
dans l'aurre, ce n'esr pas un diagnostic sur lequel on peut
compter; i. I manque de flabilite.
Meme a l'inrerieur d'un pays, les larges ecarts entre le s
raux de prevalence exduent to ute flahilite. Par exernple,
une analyse de I'usage des stimulants centre leTHADA
aux Etats-Unis a revele que les "les jeunes du Sud avaient
environ 71 % (et ceux du Midwest 51 %} de chances de
plus de prendre ces medicaments que ceux du Nord-Est
ou de l'Ouest" ,28
Les profanes s'imaginent generalernenr que l'identifica-
cion d'un rrouble decoule d'un precede scientifique ou
objectif C'esr habrruellemenr vrai en rnedecine, rnais
rarernent en psychiatric. L ' Am e ri ca n P s y ch ia . tr ic A s so c ia -
tirm {APA} publie la "bible rnondiale" des diagnostics
psychiatriques : le ManueL diagnostique et statistique des
troubles men taux , qui en est actuellernent it sa quarrierne
edition (DSM~lV) it laquelle se referrent egalement Ies
psychiatres francais. En examinant d'un peu plus pres
les criteres de diagnostic et en comprenant comment
NEXUS 0°38
mai·juln 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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precede le D S M , ce manque de fiabllire s'explique en
partie.
Un observateur des debars de 1987 au sein de I'APA ausujet du D SM fit Ia remarque suivante : "L e faible de-
gre d'effort intellectuel etait choquant. Les diagnostics
etaient erablis par vote rnajoritaire avec le degre de re-
flexion dont on ferait preuve pour choisir un restaurant.
Tu as envie de manger italien, j'ai envie de manger chi-
nois, alors allons a la cafeteria. Ensuite, ilsuffit d'entrer
l'information dans l'ordinateur,"
Un psychiatre americain de premier plan, ancien chef
du Centre d'erude de la schizophrenic du Natioiuzi
Institute of Mental Health, formule les choses ainsi :
"L e D SM - J V est ce sur quoi s'appuie la psychiatrie pour
se faire accepter par la rnedecine en general. Les inities
savent que c'est un document bien plus politique quescientifique, "
Le s propos du Dr. Lawrence Diller au sujet du proces-
sus de selection des criteres du D SM - ! V , illustrent le
caracrere politique flagrant de ce dernier : "Le principal
groupe d'etude avaic determine que seuls cinq des neufs
sympt6mes seraient requis pour etablir un diagnostic du
sous- type hyperact if /inat ren ti f du THADA [c'est-a-dire,
une version 'cornbinee' du trouble). Mais, Ie cornite de
supervision du D SM - J V rejeta, contre route attente,
cette decision et fit passer Ie nombre de sympt6mes re -
quis a six! Us pensaient probablemem que cinq criteres
ne suffisaient pas et risquaient d'entrainer un diagnostic
de type TDA chez un nombre trop important d'enfants,
mais Ie caractere arbitraire de leur choix n'a que peu de
rapport avec la science."31
Dans la societe occidentale, qui de if ie s ouven t les mede-
cins, les gens risquent d'etre extremement cheques de
decouvrir que ce diagnostic a ete cree de route piece par
un groupe simplement reuni autour d'une table, et non
par une equipe scientifique se basant sur des resultats
obtenus en lab0rato ire,
Le resultat du processus fondant l'elaboration du D SM
determine un diagnostic pour le moins categorique :
celui du TDNTHADA, totalernent arbitraire et base
exclusivement sur le comportement. Les criteres de dia-gnostic soulevenr des questions evidentes quant it la
validite (examinees dans la partie suivante), mais la seule
description des "sympt8mes" est deja. completement
subjective et done par essence non fiable. ABn de dia-
gnostiquer leTHADA chez un enfant, il faut que celui-
ci presence fait six des neufs sympt6mes d" inatren tion",
soit six des neufs sympt6mes d'''hyperacdvite-impulsivi-
te", Ces sympt6mes "doivent persister depuis au moins
6 rnois a un degre qui est inadapte et incompatible avecun stade normal de diveioppement"; Cependant, il n'y a
pas de recommandacion objective pour evaluer le degre
d'inadaptation requis ; il est laisse a.l'appreciarion de
chaque dinicien. Encore plus scandaleux, chacun des 18"sympternes" du THADA est qualifie par Ia conjonction
de temps: "souvent", Que signifie "souvent remuant"
ou "souvent en proie a des difficultes pour organiser des
taches et des activites" ? It n'existe pas de recornrnanda-
dons objectives. Pour un evaluareur donne, un enfant
qui est remnant tous les jours pourrait paraitre normal ;mais pour un autre evaluateur (peur-etre sans enfant !) ,
un enfant remuant beaucoup a une ou deux occasionspourrair ecre considere comme "souvent" remnant. Les
problernes de Habilite ne s'arrerent pas la.
"Le mot 'souvent' mis it part, Ie reste de la definition
regorge de cerrnes ambigus et vagues. Quel le s f au re speuvent etre qualifiees de 'fautes d'inattention' ? Que
veut dire a.qui I'on parle 'directement' ? Que signifie de
la 'difficlilte'a s'organiser ? Qui decide quelles sont les
activites qui necessitenr 'un effort mental soutenu' ? Que
veut dire 'facilement' distrait? Quand un petit mouve-
ment esc-il qualifie de 'bougeotte' ou de 'contorsion' ?
Qui determine les ca s O U I'on est 'cense rester assis' ?
A partir de quand courir, grimper ou parler devient-il'excessif" ? " 3 3
Certains des defenseurs americains du modele medical
du THADA les plus traditionnels, pensant qu'i1 s'agit
d'un trouble medical valide, om meme reconnu le man-
que de fiabilite du diagnostic. En 1998 , les National
Institutes of Health arnericains Ont organise un Colloque
de Consensus. sur le Diagnostic et le Traitement du
THADA et Ont entendu le remolgnage d'un certain
nombre d'' 'experts'', lesquels om presque rous soutenu
le modele medical. A la fin du Colloque, le president du _
cornire, Ie Dr. David Kupfer, a reconnu qu'i1 n'existait
" ac tu elleme nr a uc un ' test de diagnostic valide" ,34 et un
autre mernbre du cornite a succinctement observe que
"ce diagnostic etait un veritable foutoir".35
Manque de validite du diagnostic
La "validite" d'un diagnostic designe la mesure dans
laquelle il decrit quelque chose qui est bien reeletsus-
ceptible d'etre preuve. "Malgre les millions de dollars
consacres a. 1a recherche au cours des vingt dernieres
annees, -dont une bonne partie subvenrionnee par des
compagnies pharmaceuciques nourrisant de nombreuses
attentes, personne n'a encore ete capable d'Identlfier
c erte 'm ala die ' a pp ele e THADA. "36
Chose incroyable, beaucoup de professionnels haute-
ment respecces dans divers domaines reconnaissent pu-
bliquemenr que rien ne prouve l'existence du THADA.
Voyez p lu to c . ..
• Le Docteur en psychologie Diane McGuinness: "Des
recherches methodologiquement rigoureuses indiquent
que le THADA et l'hyperactivite en rant que 'syndro-
mes' n'existent tout simplernent pas."37
• Le neurologue Fred A. Baughman, MD ; "II n'existe
pas de surdiagnostic, de sousdiagnostic, de traiternent
inadapte ou de traitement excessif du THADA. Tout
cela n'est qu'une vaste fumisterie qui dure depuis 35annees .."38 .
• L e Professeur agrege Robert Reid, Docteur es science
de Universire du Nebraska: "Les causes du THADA
sont tout sirnplemenr inconnues. "39
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mal-juin 200S
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u
• L:AUJtralian National Association of Practising P s y -
chiatrists (N APP) ; "Le THADA n'est ni un troublegenetique hereditaire ni une maladie organique" et "les
preuves scientlfiques susceptibles de soutenir l'existence
du THADA en tant que trouble ne sont pas etayees",10
• Le psychiatre Denis Donovan, MD : "Le TDA esc un
diagnostic bidon, Les parents et les enseignants courent
cornme des derates pour identifier une pathologie .., No-
tre pathologisarion actuelle du comportement abourir
a gonfler considerablemeat les rangs des malades, despenuches, des desequillbres et des handlcapes."!'
• Le medecin William B, Carey, MD, du Ch i l d ren~
Hospital of Philadelphia: "Ce que I'on decrir Ie plus
souvent aujourd'hul comme IeTHADA aux EcatS- Unis
semble ene un ensemble de variations comportementa-les norrnales. Cette divergence met en dome la validite
du concept. "42
• Le Docteur et psychologue John Breeding: "Le dia-
gnostic du THADA est, en lui-meme, frauduleux. "43
• Tunku Varadarajan, redacteur adjoint du Wr, ll l S t ree t
Journal: "On raconte autantde ballvernes surIe THA-
DA que sur le TDA. "44
• Lauteur Beverly Eakman : "Ces medicaments rendent
les enfanrs plus dociles, pas necessairement rneilleurs,
Le THADA est un phenornene social, pas une 'maladie
menrale', Puisque le diagnostic du THADA est fraudu-
[eux, peu importe qu'un medicament 'marche' ou pas,
On force des enfants it . prendre un produit plus fort que
la cocaine pour une rnaladie dam l'existence nest pas
prouvee, "45
• Le Docteur et psychoiogue Richard DeGrandpre,
citant une etude pame dans la revue rnedicale arne-
ricaine Pediatrics, montrant que 80 % des enfants
catalogues cornrnc hyperacrifs a ia matson ou a I'ecoleaffichaient un comportement exemplaire et aucun signe
d'hyperacnvire dans Ie cabinet du rnedecin : "Cetre
decouverte concorde avec les nombreuses etudes et les
dizaines d'arricles de journaux fuisant erat d'une forte
difference d'evaluation entre parents, enseignants er
cliniciens quant aux enfunts inclus dans la caregorie deshype ract ifs, Cela ne peut que soulever des questions
sur l'exisrence du THADA en rant que concept medical
reel, puisque Ie diagnostic se base exclusivernenr sur ces
syrnprornes. "46
• L e psychiatre Peter R Breggin, MD : "II est important
que le Comite de I'education comprenne que Iediagnos-
tic du TDNTHADA a ete elabore dans le but specifiquede justifier I'usage de medicaments pour maitriser Ie
comportement des enfanrs en dasse."47
• I'americalne Hillary Rodham Clinton, senateur: "Cer-
tains de ces jeunes presenrent des problernes n'etant den
d'autre que des sympt6mes de l'enfance ou de l'adoles-
cence."4B• Le psychiatre Sidney Walker III, MD : "La cornmu-
name medicale a eleve Ie Trouble du deficit de I'atten-
tion et le Trouble d'hyperacnvire avec deficit de l'arren-
tion au rang de diagnostics et la plupart des gens croient
5
q u'r l s 'a gr r de veritables maladies, Ce n'est pas le cas et
les medecins qui caealoguent des enfants cornme atreintsdeTDA ou deTHADA n'am pas Iemoindre indice per- '
mettanr de definir ce dont ils souffrenc vraiment, "49
• L:educateuf er chercheur Brenton Prosser, Docteures ,
sciences: "La definition dorninanre de cet etat '!'assi-
mile a un problerne physiologique devanr etre traite ~ve~des amphetamines, bien qu'aucun -element biologique
n'etaye ces affirmations, "SO
• Le Colloque de Consensus organisee en 1998 par
les US National Institutes of Health a conclu : "Nous
ne disposons d'aucun test independant valide pour le
THADA et den ne prouve que le THADA est du a undysfoncrionnernenc du cerveau.""!
Resre a savoir pourquoi les prariclens aussi bien que Iepublic designem le "THADA" comme un trouble de-
mon rrable, alors qu'll est largement preuve que' ce n'est
pas [e cas, Ce phenornene a ete explique par le Dr, John
[ureidini, chef du Departement de medecine psycholo-
gique au Women ! a n d Ch i ld re n 'sH o sp i ta l d'Adelarde, en
Ausrralle-Meridionale, en reponse a une question d'unecommission parlemencaire :
" I I existe une documentanon monumenrale qui con-
sldere comme acquis Ie fait que le THADA est une
pathologie neurobiologique et, parrant de la, erudie
Ies differences formes de rraicemenr, Une fois que l'on
a des milliers d'arncles publies sur un sujet, comment
quelqu'un pourran-il songer a se lever et a proclamer'ca n'existe pas' ? Je dens a souligner que je sais perti-nemrnent qu'il y a des enfants tres arnoindris it cause de
problemes d'Impulsivire, d'atrention et d'acrivite, Je ne
dis pas que ces enfants ne souffrent pas ou ne rnerirent
pas notre attention, Je dis simplernenr que, en tant que
trouble, IeTHADA n'existe paS,">2
En faisanr la distinction entre maladies [itterales et
maladies meraphoriques, Ie psychiarre arnericain Tho-
mas Szasz observe: ''Lidee que,. disons, ie SIDA et [e
THADA". SOntdes genresde maladies radicalement dif-
ferents - ou, plus preclsement, que la derniere n'esr pas
du tout une maladie - est si politiquement incorrecte
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rnal-juln 2005
I
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qu'elle est balayee d'un geste de la main."';
Le s partisans du modele biomedical du THADA se
plaisent a affirmer que nous semmes sur Ie point dedecouvrir une eticlogie ; autrernent drr, sur le point
de decouvrir que le "THADA" existe bien. Mais il y
a plus de 20 ans qu'ils disent cela! Le fait est que, en
termes scientiflques, le concept d'une " rn ala di e" a pp ele e
THADA n'est pas valide,
Absence de consentement eclaire
II n'existe pas de. Droit de I'Homme plus . fondamen-
tal que le Droit it I'integrite physique. La plupart des
appareils j ud ic ia ire s p os se de nt la velleite commune de
proteger les personnes innocentes contre tout ce qui
peut arriver a leur corps sans leur consenternent, Selonun article paru dans Ie DePmt l [ournal of Health Care
L aw : "Le veritable consenternent consiste it faire un
choix eclaire, er cela suppose la p os sib ill te d 'e va lu er en
toure connaissance de cause lesoptions disponibles er les
risques attenant it chacune d'entre elles."54
La question du consentement des [eunes en matiere de
soins de sante fait I'objet d'un important rapport publie
en 1996 par la Commission de Reforme du Droit du
Queensland.v Des representants de diverses organisa-
tions ont egalement reconnu qu'il s'agissait d'une ques-
tion majeure dans toute l'A us tra lie :
"L e President de la Commission de I'enfance et de I'ado-
lescence a inforrne cette Commission que les questionsde confidenrialite et de consentement en matiere de
soins de sante chez les jeunes faisaient partie des preoc-
cupations majeures soulevees par des representants de
plus de rrente organisations en lien avec la jeunesse et
la same lors d u S omme r National sur la Sante
des Jeunes organise par I 'AustraLian Med ica l
Assoc ia t ion it Canberra en juillet 2001."56
Un consentement sans informations nest pas
un consenrernent, et les parents auxquels ilest
edicte que leur enfant souffre de "THADA"
ne sont pratiquernent jamais Informes du ca-
ractere non valide ou peu fiable du diagnostic
d'un point de vue scientifique. En general, onne les informe pas de l'absence de detection
de cause organique ou physiologique, ni que personne
n'a pour l'instant reussi it demontrer I'existence du
"THADA". Par ailleurs, les parents ignorent souvent
les dangers des neurostimulants, Le Droit International
(en particulier la Convention des Nations Unies sur les
Droits de l'enfant), les Droits de I'Homme er les Droirs
nationaux, qu'ils alent pour source la coururne ou la
docrrine, exigent que l'individu puissent exercer un
droit au consenrernent eclaire sur route atteinte it son
inregrite physique.
Les enfanrs n'Ont presque jamais l'occasion de donner
leur accord pour un traitement a base de neurostirnu-lams, pas plus qu'lls ne sent intorrnes du debar qui fait
rage au sein de la cornmunaute medicale au sujet de
ce diagnostic. Cette violation patente d'un Droit de
l'Homme fondamenral ne serait pas toleree si elle etait
commise ouverternent, mais sous l'apparence de "soinsmedicaux utiles", die devient plus insaisissable et diffi-
cile it cornbattre,
Pourquoi Ie diagnostic du THADA
est-il si courant dans certains pays?
Laugmenration du nombre d'enfants australiens dia-
gnosciques atteints du THADA au cours des 25 dernie-
res annees est tout simplement astronornique. Au vu du
manque avere d'une etiologic ou d'un marqueur organi-
que/biologique connu, la question demeure; Pourquoi
ce diagnostic est-il si courant? Pour quatre principaux
"groupes", le diagnostic du THADA a ete une aubaine
econornique, pratique ou affective.
1 - Les compagn.ies pharmaceutiques,
Le marche des stimulants specifiquement COll~US pour
traiter IeTHADA depasse chaque annee 600 millions
de dollars pour Ie s seuls Etats-Unis !Avec de rels pro-
fits it la cle, iln'est pas surprenam que les grandes com-
pagnies pharmaceutiques se scient declarees favorables
aux diagnostics psychiatriques en general et a celui duTHADA en particulier,
Novartis Pharmaceuticals, qui detenait le brevet originaldu methylphenidate (Riraline), le medicament centre Ie
THADA le plus populaire aux Etars-Unis, a fait enor-
mement de publicite aussi bien dans des revues profes-
sionnelles qu' aupres des medias populaires, publiant
dans ces derniers des messages publicitaires
destines it convaincre les parents que leur
enfant aurait tout interet it prendre des sti-
mulants. Novar t is fait egalement partie des
genereux donateurs du Children and Adults
with A t te nti on D e f ic it D i so rd er (CHADD), Ie
groupe national de soutien des parents con-
frontes au THADA.
Plus troublanre encore est peut-etre l'inquie-tude exprirnee par un neurologue et profes-
seur ernerite de psychologie de l'Universite du Michigan
; "Je suis convaincu que l'industrie pharrnaceurique
depense d'enormes sommes d'argent pour augmenter
ses ventes et ses benefices en influencant les rnedecins
et le public, par des moyens deformant parfois fa verite
et n'etant souvent dans l'interet ni de la science ni du
public."5?
2 - Les scienti6ques.
Si I'Idee du THADA comme trouble biomedical seduirles medecins, c'est d'abord parce qu'ils desirenc cue uti-
les it leurs patients. L'ensemble de leur formation et leur
fa~on de voir les choses sont irnpregnees du "modele
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GEOPOLITIQUE
u
medical" : un patient vient les voir avec un symptome,
lis le diagnostiquent et Ie trairent. 5i IeTHADA n'existepas, et si ces comportements font partie de la gamme
d'experience normale de l'enfance au sont Ie reflet d'un
milieu perturbe, Ie medecin est, desarme, En outre,
commenous le verrons dans un moment, ies stimulants
qu'ils peuvent prescrire produisent bel et bien I'effet
souhaite par les parents et res enseignants, les medecins
paraissent done d'autant plus utiies a leurs patients (audu mains au x parents de leurs patients).
En rnerne temps, il serait naif d'ignorer la recherche
du profit dans -cette partie de I'equation. Le psychia-
tre americain Peter Breggin a note que "Les groupes
d'interet du domaine de labiologie
insistent depuis desannees pour s'ernparer du marche des medicaments pour
enfants et pour offrir leurs services professiormels'l.P
Tunku Varadarajan du Wal l S t ree t Journa l a ecrit ; "Pour
etre rernbourses par les caisses d' assurance maladie, les
psychiatres doivent trouver un moyen d'affubler ie pa-
tient d'une pathologie reconnue, ce qui explique qu'ils
reconnaissent de plus en plus de pathologies. Attendez
Ia sortie du prochain DSM, et vous decouvrirez qu'au
rnoins 50 nouvelles pathologies auront ete ajoutees it la
liste existan te, "59
3 - L es parents.
La force de soutien la plus vive au developpement du
diagnostic du THADA (et de l'usage de stimulants) est
representee par les parents. Sans "rnarche", Ie pheno-
rnene du THADA se serait eteint rout seul, Les groupes
d'entraide de parents, rels que Ie CHADD, demenrent
avec vehemence l'idee que le THADA est autre chose
qu'un trouble "reel", et beaucoup de parents affirment
que le diagnostic et les stimulants presents se sent averes
mlraculeux pour leur enfant et leur famille. Le caractere
seduisant de ce diagnostic aux yeux des parents est facile
a comprendre pour n'importe quel clinicien ayant deji't
travaille avec des families confrontees it des problemes decomportement d'un enfant.
Dans la societe occidentale, iI est suggere que si votre
enfant se comporte mal, c'est parce que vous etes un
mauvais patent (ne dit-on pas "mal eleve" ?) . 5i votre
enfant rnani fe st e con st arnmen t des problemes dans se s
relations avec autrui ou "s'attire des ennuis" it l'ecole, on
sous-entend que vous etes inapte au peu dispose it Ie dis-
cipliner correctement, tid€e qu'une maladie afflige ces
enfants et soit responsable de leur rnauvaise conduite est
parfaite pour dedouaner le s parents sur un plan affectif,
car i t s passent ausslcor du statut de rnauvais parents acelui de parents martyrs se demenant pour s'occuperd'un enfant malade, Au lien de se lancer dans une the-
rapie familiale et de cherhchera decouvrir pourquoi leur
enfant se compotte mal ou c e quils pourraient y £aire,
iI s peuvem aller dans des groupes de somien e t r ec ev oi r
des marques d'affection et de compassion pour avoir ere
rr ah es a ussl cruellement,
5
Linrroducnon des stimulants Hnit de les con vain cre, L es
etudes montreat de facon concluante que les stimulantsrendent tous les enfants plus obeissants et dociles, qu'ils
aient ou non des "problemes comporcerneneaux" ou
autres, De route evidence, les parents ernberes par la
"rnauvaise conduite" de leurs enfantsseront contents de
le s voir devenir plus obeissants. Plus d ' embarras vis avis des autres, plus de coups de telephone provenam de
l'ecole, Pas etonnant qu'autant de parents ne jurent que
par le diagnostic du THADA.
4 - L es eccles,
Force est dereconnaiere
que danslasociete
moderne,
beaucoup d'eccles publlques sont surchargees et ne
disposenr pas de ressources suffisantes. Les enseignanrs
ant souvent 30 ou 35 eleves, voire plus, dans leur classe
alms qu'ils essaienr courageusement de leur offrir une
instruction decente, Lorsqu'un eleve distrait ou derange
la classe, it est comprehensible que I'enseignant veuille
que cela cesse. Lorsque d'autres parents se plaignent de
I'€leve perturbateur it I'administration de l 'e co le , c el le -d
souhaite rnaitriser le comportement de I'enfant en ques-
tion. Si cette rnauvaise conduite peut faire l'objet d'un
"diagnostic" er erre traitee par des medicaments, la classe
et l'ecole ne s'en porteront que mieux, Cetre dynamique
a e re si puissante que plusieurs Ecars arnericains ont ere
obliges d'adopter une 10i interdisanr au personnel 5CO-
Iaire non medical de prononcer des diagnostics sur les
elev es et de leur recommander des medicaments.
Toutes ce s forces p uissantes se sont alliees pour former
une equipe pas si drale que cela et on comprend bien
rnieux pourquoi le THADA est devenu une "epide-
mie" dans certains pays comme l'A usrralie, L orsque le
diagnostic esr erabli et que l'enfant est mis SOllS me-
dicaments, tour le monde est content ; ainsi la boucle
est bouciee. La compagnie pharmaceutique realise une
nouvelle vente, Ie medecin a W1 nouveau client, les
parents sont mis hors de cause et I'ecole a lin probleme
de comportement de moins. Tout le monde esc content
sauf l'enfant qui lui, n' a pas voix au chapitre,
Recommandations
(Rernarque : Elles sont adaptees du livre: Quetmland
Children A t R isk: The Overdiagnosisof " A DHD " and the
Overuseof Stimulant Medication. 6 0 )
Les diniciens, ies educateurs et les chercheurs ont par-
fois tendance it user d'equivoques et it "edulcorer" dans
l'espoir de paraltre vralment "professionnels". LorsqueLasante physique et Ie bien-etre affectif de nos enfants
sont en jeu, ilest i:emps de se montrer tres directs. IIest
temps d'''aller a l'essentiel'', d'examiner les faits et de
dire la verite.
• 50m presents des medicaments puissants et dangereux
aux enfants pour lutter centre un "trouble" dont I'exis-
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tence n'a jamais ete prouvee,
• Des enfants sont exposes aces dangereux medicaments
rnalgre les preuves montrant qu'ils n' ont aucun efFet
positif et ne "rnarchent" qu'en creant des enfants plus
dociles et obeissants,
• Ni les parents, ni les enfants ne disposent pas des in-
formations dont ils ont besoin pour pouvoir donner leur
consentement eclaire, en violation de I'ethique medicale,
des Droits de I'Homme et du Droit International.
Les gens s' accordent sur peu de choses dans Ie dornaine
controverse du THADA, mais Ia plupart s'accorderaient
a dire qu'il faut effectuer de p lu s a rnple s recherches.
Actuellement, iI y a beaucoup trop d'inconnues, et
quiconque affirme qu'il existe des "preuves" ne di t pasla verite,
IIne faut pas tenter de traiter quelque chose avant desavoir ce que c' est. Au vu des dangers reconnus des sti-
mulants pour les enfants, les familles et la societe, c'est
une question de simple bon sens que d'arreter d'uuliser
ces medicaments jusqu'a ce que nous ayonsidenrlfie ce
qu'est vraiment Ie THADA, s'il y a lieu. Nous devons:
1) Declarer un moratoire sur l'usage des stimulants
jusqu'a ce que les chercheurs soient capables d'identifier
une etiologie organique specifique pour Ie THADA, de
rnontrer que les stimulants sont efficaces pour rernedier
a Ia pathologie decouverte et de montrer que l'usage
prolonge de stimulants ne presence aucun risque pour
les enfants en pleine croissance.
2) Nous assurer que les parents et les enfants sont par-faitement informes des deux focettes de la controverse
sur le THADA, et exiger que les uns comme les autres
donnent leur consentement eclaire avant d'accepter des
stimulants.
3) Exiger un examen par un specialiste en psychologie
infantile avant de commencer a mente un enfant sous
medicaments et exiger d'autres essais de rrairements
avant de commencer a utiliser des stimulants.
Mettre des batons dans les roues de la charrette folle
du THADA ne sera pas bien accueilli pat les parents
qui sont nombreux a compter sur Ie s stimulants pour
rnaitriser leurs enfants et s'absolvent du rneme coup de
tome culpabilire ou responsabilire, La nouvelle ne sera
pas mieux accueillie par les enseignants qui soutiennent
leur usage-pour apaiser les enfants diffici les en classe, Pas
plus ql'l:e-par les pediarres qui ne connaissent surement
pas d'aurre Moyen que de proposer des stimulants pour
cO'nufF&l~t-lecemportemenr. Sans parler des compagnies
pha'la1'{Qteooques, qui considereronr route discussion
(!)UVeFCe- elf lronnete comme une menace potentielie
pont" cemf poule aux ceufs d' or de plusieurs milliards
de d0'fra1l!$.,
Cerse p;rtllpositibn imploretous les individus concernes
d'exarrrmer de facon approfondie et honnete une ques-
tion concroversee, C'est une exhortation a proteger nos
enfants, qui ne peuvent pas se proreger tout seuls de ces
etiquettes et medicaments nefastes et inutiles. Enfin,
c'est un appel a celebrer la creativite, la sponraneite et
l'energie de l'enfance et a soutenir la beaure unique de
chaque enfant.
A propos de l'auteur:
L e Dr. Bob Jacobs defend l' enfance depuis plus de
30 ans, au titre d' e nseignant, conseiller, psychologue
et avocat. IIpossede un doctorat en psychologie de 1a
United States International University et un doctorat en
Droit de l'Universire de Floride. Parmi ses nornbreuses
autres activites, Ie Dr. Jacobs milire actuellernent pour la
justice egalitaire et siege au cornice directeur national du
reseau des droits de I'enafnts d'Amnesty International,
aux Etats-Unis.
Son article se base sur les vastes recherches qu'il a reali-
sees en 2002 en association avec le You th A f f ai rs N e two rkof Queensland (YANQ), la principale organisation de
la jeunesse du Queensland (Australie), ainsi que sur sa
longue experience. Le Dr. Jacobs pem etre conracte par
e-mail aDrBobQA.@aol.com.
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rnal-juln 2005
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GEOPOLITIQUE
x u
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Hyperactivity Disorder, Hansard, 21 juin 2001, p. 9.
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Parliamentary Committee Inquiry into Attention Deficit
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45. Eakrnan, Beverly, cite dans "ADHD" Facts 11http://www.fightforkids.comladhd_facts.htm (derniere visite
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49. Walker III, Stanley, cite dans "Death from Ritalin: The
Truth Behind ADHD", disponible a hrrp:llwww.ritalin-
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rative research with marginalised youth", Flinders Institute
for the Study of Teaching, aout 1998, disponible a http://www.users.senet.com.au/-tollslranrcS/hearingsilenced.htm
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51. Nanonal Instieures of Health Consensus Development
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Deficit Hyperacdvity Disorder, Hansard, 21 septembre
2001, p. 119.
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Young People, "Inquiry Into The Use of Prescription Drugs
and Over-the-Counter Medications in Children and Young'
People", Issue Paper No.1: Background Issues, 2002, P :
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57. Elliot Vanetin citee dans "Death from Ritalin: The
Truth Behind ADHD", dispontble a htrp:/!wWw.ritalin-death. com IPage /Comro6 . html (derniere visite 5 juillet
2002).58. Breggin, supra note 13, r - 176.59. Varadarjin, supra note 44.
60. Jacobs, "Queensland Children At Risk", supra
note27.
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II
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s
( c c e ~ , § SGijt\~~~qSll~N.. .gl:~LA, .n6RR~; iPar Benjamin L onetree " . ! i f i i ,~ , 0 : ; ' .'$..'\ ";ii",·$'· :';;.'"{
s ite w e b, m a i 2 0 04 : http://siderea17.orgin troduc tion co-s ignee par lona Mi l le r http://www.geocities.com/iona_m
EOPHYSIQUE
,U
spectre des frequences de Schumann
-.
"I , &0 H z
(Pollution)
e. I e 18 29 JI! ~ 50 ~ 78 61 III 1M
Hz
En quelques mots, j'utillse la Terre comme une antenne pour ceo-ter et enregistrer les signaux a ultra basses frequences qui passenta travers la ptenete. On sait que les signaux electromagnetiquesdont la trequence est inft§rieure a environ 3Hz passent a travers laTerre comme 51/ n'y avait aucun obstacle. Autrement dit, la Terre
est un bon conducteur pour ces Irequences. L 'equipement que jeviens de mettre au point me permet nonseutement d'observerces signaux, mais aussi les perturbations du champ magnetiqueterrestre, I'act/vite solaire et ses effets sur la plenete, les signauxennoncleteurs de seismes, les pluies de meteorites, etc.
Benjamin Lonetree.
Installe en .Arixona, Finjfen'oieur-electricienBenjamin Lonetree utillse des instrrunent:ssensibles pour ecouter; enregistrer et ana-lyser les signaux eJectrOluagneuques de laTerre iif observe que nos anc(§tres etaientbien plus a FlU1.issonavec ces vibrationssubtiles que aous.
Etude de la theorie des vortex et dessignaux electromagnetiques
Depuis des annees, j'observe les energies EM (electro-
magnetlques) naturelles de la Terre et de l'ionosphere
dans les gammes de frequences ULF (ultra basses), Elf
(extremement basses) et VLF (tres basses). je mets it jour
un site internet (http://sidereaI7.org) afin de partager
Ie fond de ma recherche sur la resonance de Schumann !
!
!!~!II
IIIj!i
!!
r
(RS).
je me concentre sur les effets naturels. Par exemple :
comprendre I'action du geomagnerisme sur la RS dans
une zone geographique particuliere, En ecoutant Ie radarde Roswell, je me suis apen;:u que je pouvais entendre er
enregistrer le son d'une meteorite tandis qu'elle traversait
l'atmosphere. Mon appareillage enregistra les ultra basses
frequences de sa combustion mais seulement dans la
route derniere partie de SOil parcours.
Mes equipemenrs se sont egalernent moncre efficaces
pour l'observation et l'enregistrement des effets des EMC
(ejections de masse coronale), ou eruptions solaires, sur
la RS. La science a postule l'apparition d'une, coupure
de la partie basse de la premiere RS, it une frequence
approximative de 7,83 Hz, lorsque ces emissions attei-
gnent la magnetosphere terrestre. Cette frequence varie
Ugerement en fonction des differences saisonnieres de la
hauteur de l'ionosphere au-dessus de la surface terrestre,
La foudre et rnoi enrretenons une relation de longue
date. E1lem 'a frappe une fois et me manqua de peu it
d'autres occasions. Lorsque j'etais enfant, la maison de
rnes parents etait flanquee d'un tour voisine d'un puirs.
T avais rernarque que ma rour appreciair les orages aupoint d'artirer souvent la foudre. Pensant qu'observer
I'accumulation de I'electricite statique etait une bonne
idee, je construisis une grille d'un metre carre que je
posai horizontalement et connectee it la paroi du puits.Quelques centimetres au-dessus de la grille, r en rnontaiune deuxieme, parallele it la premiere et conneccee it
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la tour. Lorsque des orages approchaient, particuliere-
ment la nuit, je sortais pour observer les etincelles qui
dansaient entre les deux grilles. Survint alors, une nuit
fatale, un orage particulierernent violent et la tour prit
un coup au bur, Les grilles furenr pratiquement vapo-
risees, mars la pompe irnmergee au fond du puits fut
carbonisee en merne temps. Bien entendu, mon pete.
rn'interdir dorenavant de faire encore des experiences 1 1 .
la Benjamin Franklin. ]e pense que le vieux Ben eut ere
fier de moi.;
GEOPHYSIQU:E
~~w::a;;~ ,..,=~.,_' ...~ .. u
Chacune des sept RSoccupe une bande de 1Hz ; autre-
rnent dit, chaque resonance a une largeur de 1Hz. rai
observe et enregistre la coupure dont d' autres avaient
subodore l'existence. En utilisant un autre equipernent
sensible aux tres basses frequences, j'ai enregistre les
premiers essais reels de HAARPen 1999. Je ne l'avais
pas cherche, rnais les traces etaient 1 1 1 . parmi rnes autres
rel eves. Sur mon site internet on trouvera les resultats
de cet essai, ainsi que l'experience en VLF de HAARP
de mars 2002.
Outre res donnees sur HAARP, vous y denicherez aussi
mon livre relechargeable S e u en S u b tl e V ib ra ti on s. Je vou-
drais encore ajouter beaucoup de chases a ce livre, parexemple demontrer que, contrairernenr a ce que certainsont affirme sans references facruelles serieuses, la RS n'esr
pa s en train de changer ni de glisser vers Ies frequences
beta des andes cerebrales, Les faits parlent tout seuis. A
I'origine, ce livre s'adressait a . un certain tourisme dans
la region de Sedona et j'y indique comment la premiere
bande de la RS peut etre ampliflee en des licux particu-
liers par l'activire de l'energie geomagnecique locale.
Si vous dernonrez un simple haur-parleur, vous trouvez
un cone en papier, un diaphragme, derriere celui-ci une
bobine de fil et enfin un gros aimant. Le signal audio
passe par Ill. bobineenrre le diaphragrne et l'aimant.
La bobine fait vibrer le diaphragme et cette vibration
est ampliflee par le champ magnetique de l'aimant.
La vibration est a son
tour arnplifiee par Ie co-
ne en papier. Certaines
conditions geophysiques
agissemcomme un sys-
rerne d'amplification er
de haur-parleurs, reridant
plus puissamment audible
La«voix» narurelle electro-
magnetique de la planere,
Je pourrais expliquer cela
avec plus de details, rnais
je dens a rester simple. IIfaut surtout se souvenir
que l'aimant permanentLes eatennes du
progrtuiune HAARP
5
[oue un rate important dans !'amplification du son d'un
haut-parleur.
Recherche surI'enerqle desvortex a Sedona.
Une bonne partie .de rna recherche" a pour onglne
Sedona, en Arizona, repuree pour se s energies dices «de
vortex». J ' a i choisi ce lieu parce qu'il est riehe en oxydede fer, en silice et en magnetite, l'airnant nature! de la
nature. Sedona est aussi un des sites les plus spectacu-
laires d'Amerique, repute pour sa beaute, ses montagnes
rougeset sa terre ocre.
Les Iegendes anciennes et la concentration d'oxyde de
fer alimenrem la renommee de l'energie vorticielle dont
la population locale chame les verrus, ]e crus d' a bord
que ce n'erait qu'UII srraragerne destine 1 1 . attirer le tou-
risme, mais je dus reviser mon jugemenr.
Avant de v is i ter Sedona, je rencentrai UII personnage de
la nation Navajo. n me demaada si j'avais e re la-bas car :«c 'esc 1 1 1 . que Ia Terre pad.,.]e momrai plus tard que son
affirmation craie exacte, mais de la legende a la demons-tration sciendfique, Ie chemin est long.
Peu apres certe renconrre, je decidai de parcourir a piedles kilometres de plsres, les serpentine de ravlns et les
. etroits canyom de Sedona. Comme dans la plupart de
mes avenrures, je m'erais muni de mon recepteur VLF et
d'une bOU5SoLe.]e marchais lard la nuit, car c'est apres Ie
coucher du scleilet avant l'aube que les frequences VLF
de l'armosphere sont les plus audibles ..Les phenomenes
VLF sonr expliques plus en detail sur man site internet.
Ce fut lors de cerre premiere randonnee, tandis que
j'ecoueais les signaux acmospheriques une heure ou deux
apres Ie crepuscule que j'entendis et enregistrai le test de
HAARP que je mentionne plus haul.
Parmi les anomalies que j'observai 1 1 . cette occasion, il y
em Ie fait que les signaux arrnospheriques etaient net-
rement plus puissants en certains points de la piste ; rnais
ce n'erair pas toujours Ie cas. ]e me dernandai si cette
variation de puissance avair un rappore avec la fame use
energie des VOrtex. Mon esprit scientifique me fi t dourer
; rnais au cours de randonnees suivantes, iI arriva que rna
boussole perdit Ie nord. Cependant aux endroits au Ia
puissance d'ernission atmospheriqueavart augmeme, ee
lorsque ensuite elle diminuait, rna boussole fonctionnait
a nouveau normalement.
je pensai d'abord m'etre arrete au-dessus d'un vaste
gisement de magnetite et que je me trouvais dans une
position comparable a celie du bobinage d'un haut-·
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parleur, Le recepteur \1LF interprerait l'augrnentation
de puissance a une amplification des signaux atrnosphe-
riques, Cependant cette theorie ne tenait pas, car si celaavait ete le cas, l'intensite atmospherique a cet endroitparticulier aurait ere amplifiee tout Ie temps ; or tel
n'etait pas le cas.
[e cherchai done d'aucres causes possibles a ce que j'ob-servais. Bien que toujours peu convaincu de la realite de
l'energie de vortex, -[e decidai de pousser l'investigation
[usqu'a prouver que, soit cette energie existait, soir elle
n'existait pas. Une piste possible sembla resider dans une
recherche sur Ie geomagnetisme (le magnerisme engen-
dre par le magma interieur de la Terre).
Des etudes rnenees par IeUSGS [Bureau des RecherchesGeologiques des Etacs Unis] revelent la presence sur Ter-
re de lieux ou existent des flux d'enrree et des flux de-sor-
tie d'energie rnagnetique non polarisee agissant comme
des VOrtex."Non polarisee» signifie que, contrairemenr
a un aimant, ces phenomenes n'ont pas de poles nordet sud. Ce flux entrant ou sonant n'est que de l'energie
magnetique pure en mouv.ement dynamique.
Pour etayer rna theorie ilme fallait un materiel supple-
mentaire appele detecteur de flux magne t ique . Cet ins-
trument est utilise pour observer Ie champ magnerique
terrestre ou route autre source de magnetisrne. Tandis
que j'attendais qu'on m'expedie les cornposants dont
r avais besoin pour assembler cet instrument, je con-sacrai du temps a discuter de l'energie des vortex avecquelques residents de Sidona. 11sdecrivirent comment,
etant en presence d'un vortex, leur mental changeait ;
ils etaient envahis par un sentiment de calme et de paix.
Aujourd'hui, je suis d'accord avec eux, car j'ai eprouve
plus d'une fois exactement les memes sensations. II ne
s'agit pas seulement de man experience personnelle
subjective, rnais c'est aussi ce que mes appareils enregis-
trerent par la suite.
Comme je l'ai indique plus haut, la premiere bande deRS se produit it une frequence de 7,83Hz. II se trouve
que cette valeur se situe dans l'intervalle entre les deux
frequences cerebrales alpha et theta. II en exisre en tout
quarre : alpha, beta, delta et theta. Lorsque notre cerveau
fonctionne calmernent, essentiellernent dans la zone al-
pha-theta, nous sommes derendus et en paix. Le cerveau
humain fonctionne comme un circuit electrique appele
«boucle de verrouillage de phase». Un signal elecrroma-
gnetique externelocal plus puissant que nos ondes cere-
brales induit un effet de resonance par lequelle cerveau
se met en phase et se verrouille sur cette frequence.
Je pensais que si la premiere RS etait en quelque sorte
ampliflee par un puissant flux geornagnetique, cette
RS pourrait .influer sur I'acrivite cerebrale, Le premier
signal se situe done entre alpha et meta. Me placant
dans un vortex de Sedona, muni du detecteur de flux
magnerique, je pus observer et enregistrer sirnulrane-rnent la premiere resonance er Ie champ local d'activite
geomagnetique, er cette double observation confirma
rna theorie. Ce qui ne fur longternps que conjecture
s'avera demontre. Les resultars graphiques peuvent etce
consultes dans mon livre en Iigne.
!
1
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Tal aussi enregistre ce qui, je pense, influence I'energie
rnagnetique. Apres avoir observe la concomitance entre
l'inrensite de la premiere RS et l'activite geomagnetique,
u me restait it approfondirl'observation concernant tant
les flux de sortie que les fluxd' entree geornagnetiques,
mais rna recherche fut provi-
soirernent interrompue.
J' ai finalement analyse les
donnees recueillies sur deux
sites, soit deux spectres, l'un
a Kachina Man, l'autre a Ka-china Woman. Je crois que ce
que j'ai capte n'est autre que
l'interaction entre ces deux'
lieux. Cela commence par une serie de petit flux de
sortie et evolue vers un flux puissant. j'ignore encore ce
qui est proprement produit par l'une ou l'autre des deux
formations rocheuses. II me faudra deux detecreurs de
flux magnetiques installes simultanement en ces deux
endroits. ]e subcdore cependant que c'est Kachina Man
qui est a I'origine du flux de sortie et Kachina Womandu flux d'enrree. Lorsque 1'0n s'installe entre les deux,
on eprouve un indescriptible equilibre yangly in , male/fe-
melle, appelez cela cornrne VOllS voudrez, Je suis monte
a environ un tiers de la hauteur de Kachina Man et mesuis couche sur un bane de roche en surplomb. Les pho-
tos de Kachina Man prises au crepusculefont apparaltre
une forme de tete. Je In'etais place juste sous cette tete.Man corps devint tres lourd et ilme fallut faire un effort
pour me relever et m'asseoir, reus momentanement une
extreme sensation de vertige ; c'est un lieu exception-
nellement puissant! On se rend bien compte qu'il y a
interaction entre Kachina Man et Kachina Woman, qui
se siruent sur un axe nord-sud, Kachina Woman etant
au nord.
Sirene-Kachina Woman
On peut se demander comment une onde eleccrornagne-
rique de type Schumann, qui se peopage bien au-dessous
du seuil auditif peut etre percue par Ies humains. Le s
avis divergent sur cette question. On peut trouver debonnes sources d'informations concernant les effets de
l'energie electromagnetique sur Ie cerveau et le corps
sur le site web du Dr. Michael Persinger a la Laurentian
NEXUS n"38
mal-juln 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 23/70
u
University, au Canada (cf. laurenrian.ca/jpeople/Persin-
ger.hrm), et aussi sur le site de James Beal, un chercheursur la sensibilite humaine aux ondes EM (cf. herp:IJ
www.emfinterface.com).
[eroslav Novak, alias «[arda», un electricien et biothe-
rapeute (cheque, pretend avolr pu observer (decernbre
2004) une relation entre la RS et un cerrain paramerre
biologique . Bien que la recherchesoit encore en cours,
«[arda» est certain que l'influence de la RS et des champs
EM ELF sur les organismes vivants peut etre demon-
tree. La RS varie en fonction des rythmes circadiens et
d'autres cycles temporels. II reste provisoirernent discret
quant au parametre biologique retenu,tandis qu'Il met
au point un dispositif peu couteux d'observation a .
domicile. Novak affirme que le parametre biologique
constitue un £aible signal qui necessite d'erre arnpltfie
100.000 fols, mais temoigne avoir verifie que les chan-
gements biologiques sont en relation avec les variations
de la RS.
Des recherches menee par une de rnes relations, doc-
teur en medecine, Indiquent que les sujets souEfrant
de troubles du sommeilet de fibromyalgie om un
raux superieurala normale de magnetite dans le fluide
de l'oreille interne. Chez 80% des sujets observes, ce
sont les femmes qui ont [es raux les pluseleves, Ayez.
du respect, Messieurs, pour la gent feminine, car u estplus probable que ses membres scient sensrbles aux
influences d'energies aussi reelles que subtiles et que les
hornmes ne peuvent percevoir ..
Erant donne que I'audition humaine norma!e se situe
entre les frequences de 60 a 20.000 Hz, iI est clairque des signaux inferieurs a 60Hz De sont per<;:usquepar d'autres rnoyens, ou pas du toUt. Cette perception
pourrait se faire.via la magnetite contenue dans l'oreilleinterne au, comme l' indique d'autres recherches telles
que celles du Dr. Persinger, le signal serait recu directe-
ment par Ie cerveau,
Vous disposez maintenant d'une comprehension basi-
que de rna rechercheer de I'extrerne sensibilite de l'ap-
pareillage qu'elle necessite.
Effets des champs EM sur
les humains.
Des donnees sur la vraissemblance de I'effe; de cer-rains champs elecrromagnerlques sur I'humain sont
accessibles sur http://www.thebackpacker.com!trailtalkJ
threadl24225.php. Ce site web oEfrel'extraie du brevet
US n"6.506.148 suivant, qui constlrue une reference.
en la matiere. II est intitule «Manipulation du systeme
nerveux par des champs electromagnedques diriges» et a
5
Rocher de Sedona
e te attribue le 14 janvier 2003 a Hendricus G. 100s, deLaguna Beach, Californie.
Extrait: "Des elfers physiologiques om ete observes SUI
un sujer humain sournis a des stimulations de la peaupar de faibles champselecrromagnetiques pulses it cer-
taines frequences voisines de 0,5 a 2,4Hz., au point deprovoquer une resonance se nso rie lle , U n grand nombre
de moniteurs d'ordinareurs et d'ecrans de television
ernettent, lorsqu'ils affichem des images pulsees, des
champs eleccromagnedques pulses d'amplitude suffi-
sante pour provoquer ces sensations. n est done possiblede rnanipuler Ie sysrerne nerveux d'un sujet en pulsant
des images sur un ordinateur au une television proche.
Concernant cette derniere, I'unage pulsee peut ecre in-
cluse dans le programme au superposes par modulation
d'un champ video, soir en rant que signal RF (radio
frequence), soir signal video. Limage affichee sur un
moniteur d'ordinateur pent facilement ~tre pulsee par
un programme informatique simple. Sur certains mo-
niteurs, les champs elecrromagnedques pulses capables
de provoquer des resonances sensorielles sur des sujets
proches peuvent etre generes meme lorsque les images
s on t p uls ee s a des intensites sublirnlnales."
La voix dela Terre.
Exemple de subtilite, la RS est 20.000 fois moins puis-
sante que [e champ magnetique terresrre. La «voix» de
la planece est bien discrete aujourd'hui, Nous savons
que, u y a des milliers d'annees, le champ magnetlqueterrestre etait beaucoup plus intense, er je pense que la
voix de la planete devait etre egalemem plus forte, plus
incisive, moins diluee par la pollution EM.
Je crois que nos ancetres pouvalent i'entendre. Un etu-
diant du Dr. Schumann, (inventeur de la resonance quiporte son nom}, croyait que Ie systerne nerveux hurnain
s'etait developpe au fil de l'evolution par l'action de la
RS. C'esr ce que semblent indiquer nos quatre ondes
cerebrales car, sauf I'onde delta (sommerl profond), elles
tombent dans les memes bandes de frequences. Londe
delta occupe la bande de 1 It 3Hz.
N.EXUS n<>38
rnal-juln 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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N ote : les signaux de frequences inferieure a 3Hz passent
a travers Ia Terre, plus fadlement qu'a travers l'atmos-phere,
Dans "Resonance de Schumann: un mecanisme biophy-
sique plausible des effers sur la sante humaine de I' acti-
v i te so la ire /geomagnerique» on signale que Konig, un
eleve du Dr. Schumann, avait pris des releves des signaux
RS. II observa I' etroite ressemblance du signal diurne de
la RS avec le rythme alpha et de l'onde RS ultra longue
de 3Hz nocturne avec Ie rythrne delta, celui du sornmeil,
tous enregisrres a I'EEG [elecrroencephalogramme],
Cette sirnilarite et de nombreuses experiences de la-
boratoire conduisirent Konig a postuler que les ondescerebrales ELF avaient evolue de maniere a uriliser lessignaux naturels (Konig, 1974a, p 5). Konig rnontra
aussi que les signaux de 3Hz provenant d'orages locaux
enregisrres au merne moment que ceux de I'EEG avaient
sur ces derniers un effet marque de ralentissement. Cela
fut confirme par des. essais, en laboratoire avec des vo -
lontaires hurnaias. Konig decouvrit que, dans une four-
chette de puissances de champs de IIt 5 vIm, Ie signalde 3Hz ralentissait regulierement les reactions des sujets,
tandis qu'un signal de 10Hz les a cc el er ai t, L e s reactions
furent aussi verifiees par un test plus fiable de reponse
galvanique de l'epiderme (GSR), utilisant un signal de 5
vim et 3Hz (Konig, 1974b, p 17).
Je pus, avec man appareillage, enregistrer deux autres
signaux anormaux qui se situent dans Ia gamme delta.
LUll se produit a 0,9Hz (9/10 de Hertz), I'aurre it
1,82Hz. Ces signaux, ou ondes d'energie, sont peur-erre
ce qu' on appelle les ondes A L f o e n , des micro pulsations
dans Ie plasma magnetospherique. Ceiui de 0,9Hz ap-
'parait assez souvent, Lautre, de 1,82Hz, se manifeste
un bref moment imrnediatement apres au vers la fin
d'un orage magnetique. II y a tant It apprendre de cette
merveilleuse planete !
J'ai aussi Ia conviction que I'armosphere est un milieu
favorable au melange des signaux. Quand deux se me-
langem, on obtient la somme, Ie difference et la fonda-
memale.]'ai deja demontre que des signaux, narurels ou
artificiels, se produisant a des frequences ultra basses,
repondenr a certaines lois acoustiques.
J' ai enregiscre la RS dans des canyons mats J ai aussi
detecte des echos de la RS fondamentale qui, je pense,
sont des reverberations sur les parois des canyons, etc.
Tel est peut-erre le cas du «Taos Hum» [bourdonnement
de Taos]. Le melange et un puissant signal fant6me sontles produits du puissant reseau electrique operant sur
la frequence de 60Hz (aux USA). Sur le site internet
«Eskimo» du Taos Hum (http://www.eskimo.com) iI y
a quelques dossiers sur I' onde du bourdonnement, J' a i
analyse ces ondes avec mon logiciel et je constate qu'il
s'agit d'une derivee de 60Hz.
J'ai instinctivement le sentiment que ce s deux signaux
ne sam pas de I'energie rnagnetique, mais une legere
oscillation de la magnetosphere terrestre. Supposes que
la magnetosphere r ecei ve l 'impact d 'une eruption solaire; de
rnerne que la pierre jetee dans I'eau provoque des vague-
lettes, ainsi notre magnetosphere se mer-elle peut-etre a .
osciller SOllS l'action du soleil.
II est aussi possible que, au lieu de la magnetosphere,
ce soit une au toutes Ies couches de l'armosphere qui
oscillent. Aussi etonnant que cela paraisse, la RS exerceune legere pression sur la surface de la planete, U. aussi,
je pense que nos ancetres devaient etre sensibles a ces
vibrations sub tiles. Depuis l'avenement de I'electricite
au service de l'humanite, la pollution elecrrornagnetique
d' origine humaine a augmente des centaines de milliers
de fois, aneantissant notre perception ou notre aptitude
a nous relier Iitoutes ces energies subtiles que jadis nousrecevions naturellement.
On I'a souvent dit : « nous sommes veritablement con-
necres » a notre planete, mais pas seulement a son corpsphysique. Dans sa respiration, qui est I'atmosphere,
nous pouvons entendre sa voix, si seulement nous sa-
vions nous rememorer comment ecouter,
A propos de l'auteur.Benjamin Lonetree est titulaire de plusieurs dipl6mes dans Ie sdomaines de l'ingenierie electrique, des telecommunications etde l'acquisition de donnees. Accredire par I a Federal Commu-nications Commision en 1978, il a travaille dans lindustrie dela communication pendant plus de vingt ans. S'etant deplacevers Ie sud-ouest des EU, iI s'est consacre it l 'etude des ener-gies electromagnetiques naturelles et leur interaction avec lemecanisme biophysique hurnain, II est membre du ELFRAD(Extremely Low Frequency Research And Development) ,destine it la recherche sur les signaux EL F qui se pwpagentit l'interieur de !a Terre (cf http://www.dfrad.com). II est
I'auteur de S e ve n S u btl e V ib ra ti on s : une etude scienriflque de laresonance de Schumann, et de Geomagne ti c s a nd VOr te xEn e rg yi n S e do na , que I'on pem consulter sur hrrp:flwww.sidereaI7.org/E« Book%20Web/this_book.hrm.
A propos de la collaboratrice,De formation transdlsciplinalre, lana Miller est ecrivain, hypnorhe-
rapeute et artiste multimedia. Elle &it un travail de pionnier dans Iesrelat ions entre la theorie du chaos et le nouveau paradigme philoso-
phique, la cosmologie, la biophysique, la medecine, la psychotherapie
experimentale, la creanviee, l 'art ee la societe. Eire est coaureur (avec
Richard A. Miller) de plusieurs articles dans Nexus, y compri s «La Re -
sonance de Schumann et la Psychologie Hurnaines (Nexus France n"
27) et .HAARP menace la Voix de la Plan'he.(Nexus France n·28).
Visitez ses sites web ihnp:f!www.gepcities.comfiona_m et http://
www.subcuranecus.crg/lona.hnnl.
NEXUS nQ38
mal-juln 200S
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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TELEPHQNIE_ M O BILE _:AA~UMENJS1~
~1.ENnF-JQUES "lUSTlFIANT L'APPLJ~Tl~~
I~M~DIATEDUPRINCIPE DE P_RECAVJ lO t j ". . ~ ..-":~\. ':j ..~:<~~.
t J
• Differeut5 facteurs sont susceptibles de modifier Ie niveau
,d' exposition aux micro-andes pulsees, des populations
riveraines de-stations relais et en partlculier : -Ia distance
de la source ernettrice, - Ie fait d'etre au non place dans
Ie lobe principal d'hyperfrequences situe en avant des
, antennes emettrices, -Ia presence de " reemetteurs passifs »
_consdtues de structures metalliques (volets de feneqes,
,portes de garages, rampes d'escaliers), qui «peuvent
renforcer» l'inrensite du champ electrique micro-andes
au point de rnesure (Rapport INERIS de decembre 2003,
p;tge 22) -le5 fluctuations dans les puissances ernises parIes
stations relais en fonction du nombze de communications
telephoniques rrairees par celles-ci, - la presence d'autres
sources elecrromagneriques dans j'environnement, - les
modifications par Ies operateurs du nornbre et (ou) des
caracteristiques des antennes presences sur un.site,
• De -meme le niveau d'exposinon des utilisareurs de
t,.Hephones portables es t susceptible de varier, avec:'
- l'urihsation du portable en mauvaises conditions de
transmission (SOllS-SOI, temps de pluie,brouillard, .,,)
-1a duree de s communications - I'emploi ou non d'un
ki t «mains fibres" qui elolgne le telephone, de (a tete
- 'I'ig e de l'usager (plus grande sensibllite des enfants
chez. lesquels la penetration des micro-endes pulsees est
plus imporeante que chez l'adulte) - les caracterlstiques
techniques de I'appareil utilise, .".
• Plusieurs arguments sdentifiquespeuvent e t r eavances pour justifier une application immediate du
princfpe de precaution ~ l'encontee des stationS-'relais
de telephonie mobile et du telephone cellulaire :
1. Vexposition ehronique aux: miero-ondes est res-
ponsable d 'effets biologiques, comrne Ie "~drome
des micro-ondes » ou rnaladie des' r ad io f requence s,
decrit des les annees 1960. Vne publication recente (!)
p re cise q ue c erte parhologie est [jee it l'exposition chro-
5
ParRoger SANTINI - Docreur
d'Etat es-sciences[ Membcede la
Bicelectromagnetlcs Society
americaine ("HEMS) et
de I'Union Radio-ScientifiqueInrernationale (URSI) 1
nique it des hyperfreqnences pulsees, semblables) celles
generees par la reChnologie de la telephone~i:il :!iJe cellu~_'
laire. Cerre pathologie se caracterise par : - u n s y n d ' t o f r ; e _ :
asthenique (fatigabilite, irrirabilire, nausees; cepQ.alees,;, ,
anorexic, depression), u n . s yn dr om e d ys to ni qu e cardiouas-
culaire (bradycardie, rachycardie, hyper ou hypotensioil)
et u n sy nd ro me d ie nd ph al lq ue (somnolence, insomnre,
difficultes de concenrrarion). On lui associe eg.uement-,
du dermographisme (allergies cutanees, eczema, pso-
riasis), des modifications de la formule sanguine,d:es
- perturbations de l'elecrroencephalogramrne et de Ia
reproduction, une arreinre d'organes de~ sens. et,..des
tumeurs. Ces sympt6mes sont mis e n evidence (voir ci-pres) chez des riverains d'antennes et (ou) des u u li s a t : e u t s -
de telephones cellulaires.
2. Vexposition it un telephone mobile ~U~~'g;;'
nere des effets biologiques. One enquete epidemiolof
gique suedc-norvegienne m e t -en evidence une relation
_entre le nombre et la duree des appels teJephonique§~t~
l'augrnentarion de plaintes tel les que cephalees, fatigue,
sensation de chaleur sur l 'oreille v '. Une enquere fraii-'-
caise rappOHe egalemem nne augmentation signl.fica~ye"
de la frequence des plalnres exprim€es lors de l a o comrnu- ,.
nication (picotements it l'oreille, sentiment d'inconfort, _
chaleur sur I'oreille), en relation avec la duree (> 2 min) ~'
et Ie nornbre d'appcls par jour (> 2). Cette etude sou-
ligne en outre, une p l l f S grande sensibilite des femmes-
pour les perrurbationsdu sommeil (3). D'autres effet!s~
'des telephones cellulaires ont e t l : observes chez l'ho-m~'
me: - perturbations de l'acrivire electrique mehrale",
~ modifications du sommeil et de la pression arterjdJd,-
- augmentation des cephalees, - arteintes de !~bru:tiere <
hemaro encephalique, ... ,~
_ 3. D es e£fets biologiques sont rapport6s 'p a r d e sriveralns de stations relais et d'emetteurs de'-~diote:
tevision.
NEXUS n038
rnal-juin 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 26/70
a/ Pour'lei_sta#onS relais, Laprt:mieret~u~,e_pa'rue:"_ ( ~ ~ q u e ' p . c e l ' : d e9'00 et 1800MH:t feSpecdvement:.' Le
est &anytis('Publieeen 2001 elle p o r t e sUL530 .rive-,' _ , G r a n d - a ~ c h e d e l u X : e : .. n h o - u r g aadopte en decembre
rains d'antennes' ( 4 1 . Eile met en eviden~epaI f ap i)Q rt', 'h bOO 'u :n :~ e: ui Id~exposi dO l~de3 :V /m .En - Auui che, ia
au groupe' i€ f~{ehr (per~onnes s iruees it >0300 1 _ ~ 0u, :,_ ':, ~:R e; olp tio ,n d e S alz bo ui:g re co rrtma nd e O ,6V lm . .non e x J : l O s e e s ) ; u D e augmerltation significativeAe la .-,,'
frequencedenirtairies pJaintes,jusqii'-aune ,:o;ilstiilce,' .. '.... .'., .
pouvan!',att,eindre: l_OOmpoutrirdtabilintla ten- .. :,:S;;Usensibilite il.1ix hypetfreque,ilces n'estpas Ia
dance d e p r e s s i v e ,Ia p erre de memoite, le sd iffi~ ulte~ " . .nt~e-pollr t9 us.Ep:01 995 1' l'Insritut N ario n al de .
de c o n 1 ; d l t f a t i o n , i e sv e,r tig es ,2 0 0n ip olli< )e sma ll_ lf : ...." R ec he rc he etd e S ec ur lre ( INRS ) c on elu t su ite it une .'
d e t ei :e ,', iy ,s pe rtWba ,ti on s du s omme il , l e, s e it cimen t. . . e -t ~de~ep id l, hn i~ log iq~e; a u '.s einde I'arrnee de Y air
d'inc6D£Qh, lespr(}blelUes eutan~;:JOO';m:pouc la ' ·~··Jtati~al:se,:<~n~te indiscutabfern enrun e sensib Ulte .
fatigt}e.<'~tt'eetudembiitre eghlemoent u n e p h i s ····JnQlvidueHe a : l'acd .ondes ; :adiof t~quences . Sournises
grande '~,ei1sibilite des. temmesetd es.su jet~ ,,§ ._ geJd e a .tin i-m ~m -e ex po sitio n c erta in es personnes peuvent
plus de':~9'anset . so tl li gneQne .p l u s ' gb~de'n\) ti vi t~ . pr~;n~etdes . tfo.~bles'c[jnj~'ues:·. d;a ur re s n on» ( n}..·
de fa.po~~~jOiJ_face auximtenries(5)_ Deuxautres ~tu-" :Se1diJ.Tlnt,ernitioiiaJ Radiation Protection Association
des , l ll i-eespagr101e(6Jet Lineautrichienne, (?lvrennettr' o < I R P A ) , eetie s'ei1#bi!iteJndividuelleaux-radrofrequen-d'ettepU.bliees. Elles alerrent aussi s u r iesproblemes " - , ~ e s ( electrosepsibilite) .serair.d' o f c l n , gelledque (l
41et
de s a . h ' t ~ deriverains de stations r e i a iL " . . egaierilerit d e p e h d i t n . t e de {agee t dtisexe des-person-" , . ' '~ e s . e : . o : ; p 6 s & s (5); ,
U~~· ~.~iud~··o'mcitdlc du,· G:6uv.~r:n.e~·eQ~·~,h ,~ l l a ~ d a t s . , , . :pa~~I*en:,se,pternbre7Q03 ( R a ; p p q r t ~_ -TNO-FEL- RC~p6H~,p31'48) a e te re~ is eee~ labor~ to ire; s~ [ ,: desvo-
lon&.lfres,·.~n·«doubleaveugle». ·Ellemet I tn~v: idence . '
f q ~ I ~ ~ ~ 1 4 ~ s e ! ~ ; : ~ e : U : : : S d e d : ~ ~ ~ : I e ~ : , .(G$M,900 ;[vIHi-~UMTS nop MHz), des'e - f f e t S . S I H.p. a~~ . . ~. > ,. ~ - ~ . - • • _ . '. .. . ., - :" " - . - .
b,}rh~modsad6n,,-I 'aftentionvisuelie;', leseii.tiinen~ de
b l . 5 h ' , ; : ~ t ' ~ e ; ' ; ' .f ' C e t ; e , ~ t ' u , d e l a i t ~ f i ~ r e n : t e 9 ( a ~ i ? p ~ [ ~ i t r ~ ' ,.\J~,tUfF~e.p.~e'ssigrii£i~itiyese , Q , 1 ; r ( d M . s u j e ( s ;(eiecri:p-"
: j ~ ~ g ; ~ ' ~ : 4 : i ; ~ : ! i ~ ~ ! ~ 2 \ ~ j p "., 'i4$tt~s:;eXf.?'o,se::;,(ra.y;Qn',de1: k i i l y a ' - u . n ,~iOeHe\it,de'
J I ~ r r ~ ~ 8 i I ; ; f t ~ 1 { t f ~ ~ : ~ ~ : : 'caunon.: • .
;1 .;' . m j , e s ' ,dap,s' un ' r a y D i t ' n e 12,kiil,(9).-,- t)'es;erif:furs.,· '- . , .
••~~~:::~~~:~~~;'~$tl~1~1:~~~~· ;~ :~ I i i~ ~ Q ~ ! !~ '~ ) ~ r u ?Y~I:'.i:.,Desfef lUties(!XPQ$ees"J :tpC ontj .es d.'(tn em~ t t ~ l l i ; - , > <; iss~ de I'anrenne O n e seraoriente versdes habitations. "
. -at)t'adi(i~e1evis_ionpr~seni:en.~~i.l.riebaisse : sjgruf1c~tiye·. , '· . .'::;DaJ1~J 'environnernent des : in ttnnes; t es fiv~ rajns ne
:g~~~defirisesimmunitaires Oil>"", I1estopserve dlq.... d'~rorit p as e cre exposes a une den*e de puis sance _
~~s;:rfv~rainSd'un erneneurde r;J,dio~R6'nte,ime;- ritkro~ond~ superieure it 0,1 pW/cm z (O ,61 V I m ) (17.
~Ugfuentition significative d e la mOl" talite>p\if'leuce!J8),;.. - . .. , .
'ni}e::aansun rayon de 6 hh (J~)., ' ",~ <:': '
b/P(ju~'ksutilisa.t~rsde telephol1esceUtilaires : ~
...••'~La cOn;1rrtU4_iOltioh telephonique ne devra pas depasser
4':Ce~ pays ont de ja adopte 'po ti r leur populi!.' . ".u 'n<ld ll reeae 21J .3 .rninutes. =.Les jeunesde.moinsde
~ t . · · . ~ . ~ : , , : r ; ~ . ! : ~ g I p . ~ . · - . :. .~ .~ : L . ' ~ . n . : i . : i , ; : i t J . ~ . ~ i t , . " ' , · . . .= : : : ; " 1 . , , , o n ' Q " " " c ad'utgen" {"'"l, .....
, Ji .1.}PllN.SONl.LU(0t1BlS G. Radlof requeney (RF)sickness i n thev;lm}::aulieu de450 et 900 ~iWIem - H i edSY/in) ..'·Ulljehfeldstiidy. Ah¢ffeoofmodi dated microwaves rArch.Envhonm.
, , " . ' " i t 1 desoarI "', '. '.'-.;: . -. I ." '. j ;{ealth.1998.5:3, 236"238: ,. .·2.SANbS1ROM M. et coIl. Mobiler~~?~V )l,eSpar es Illst.ancqeurQpeennes,poUf- es,> , - . . ..', " , . . .' . . '.
NEXUS n038
mai-juln 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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u
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5
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123. - 15. SANTINI R. Notre sante face aux champ. 6lecu;iql,les ermagnetiques, Des fairs sclentifiques aux ccnseils f ' rariques, EditionsSully. 1995. 156 pages. - 16. L iNDE T. et col. Measurement oflow frequency magnetic fields from digital cellular telephones.'
Bioelectrcmagnedcs. 1997. 18: 184-186. - 17. GAUIlER R. , LERUZ P. , OBERHAUSEN D., SANTINI R. Votre,GSM votre santeon vow rnent !Livre Blanc des incidences.du telephone mobile et desantennes relais SUI Ia sante, Editions Marco Pietteur.l003. 141 pages.
- 18. SANTINI R. Telephones cellulaires Danger 1Edir,iol1SMarcoPietreur, 1998. 208 pages. (?uvr,as;e reference au P~je;r;en r- eurof~nde Bruxelles : Rapport du Depute TAMINO G. - Mis a JOur et r tMm'en 2001).HB. Teste accept .. en communication a u 26" " · Meeting Interna-t iOQal
de la Bioelectromagnetic:s Society. Juin 2004. Washington, USA.
PROCESSUS GLOBAL D'EXTINSTION
L~tat actuel de Is bio-diversite et de la biocynese plane-
raire semble devenir pour certains d'entre vous un sujer
de discussion et de recherche, il est done lmporrant, de
faire I'etat des Iieux sans complaisance. Lensernble des
especes presenres sur terre semble subir des agressions
centre lesquelles leur patrimoine genetique, fruit d'une
longue evolution, ne parvient pas a lutter, L'incapa.citede muter, de s' adapter a certaines modifications du mi-lieu menea l'extinction pl+re et simple. Se10n Michel
Tranier, professeur au Museum d'Histoire Narurelle
(Sciences er Vie N°198 de roars 1997), nous somrnes
confronres a uneextinction massive des especes, Pen-
dant ce siecle, cela va s e traduire par Jadisparition quasi
torale de to ute sle s e sp ec es de moyenne ta ille :.mammi-
feres, oiseaux, et reptiles... Lhomme ne peut, iterme,
etre exclu dans ce processus d'extinction globale.
La pollution des eaux et de I'atmosphere ne peut, a elle
seule, expliquer certe hecatombe,
L'eau support universel de la Vie
Tout ce qui vir sur terre est constirue d'eau et possede
laipossibilite d'adaptation, d'apprenrissage, moins de
16% d'eau er c'esr la mort biologique, jusqu'a 99,5%
c'est toujours la vie. Chez l'hornme, I'eau represente en
moyenne 63% du poids du corps. On admet qu'a 100
molecujes proteiques d'un poids moleculaire moyen
sont associees quatre millions er demi de molecules
d'eau, L'eau consume leveritable SUppOHuniverse! de la
vie, die en est son expression et sa substance.
Une techaologie anti-Vie
Nos technologies, en ce moment clef de notre evolu-
tion, utilisent des ondeselectromagneelques ayant une
action sur les molecules d'eau. Or, si nous o'y prenons
garde, la generation - d e . mlcro-ondes pout diffhents
usages sonriera le glas de routes formes de vie basee sur
la molecule d' eau, Lurilisation
de la gamme de &equences de
resonance de la molecule d'eau
enrraine dans tous les systemes
vivants lars de la rnelose ou de
la rnitose, des difficulres ou des
erreurs de replications des struc-
tures d'ADN, d'ARN qui sont les
bases de notre alphabet blologiq ue
et merabollque ..Toute proteine a
obligatoiremem comme support
de construction et de transpon,
des molecules d'eau, Or, la mo-
lecule d'eau, sournise a un rayon-
nement, absorbs I'energie des ondes electromagneriques
si ces dernieres ont une frequence avoisinant celle des
micro-andes, a savoir 2,450 Giga hertz, cette absorptionse traduit par une vibration de la molecule d'eau, Une
onde est associee a un champ magnetique changeant de
sens periodiquement. Une frequence de Ihertz signifr.e,
que Ie champ s'inverse une fois par seconde. Des micro-
andes a 2,450 Giga Hertz conduisent par polarisationde la molecule d'eau 'a une inversion du champ 2,45
milliards de foispar seconde. En clair, la molecule d'eau
vibre 2,45 milliards de fois par seconde, c'est ce qui
d 'ordinaire permet la cuisson des aliments ...
Or, 5i nous utilisons ces types de frequence pour com- ,
muniquer a distance comme,cJest Ie cas depuis janvier '2005, nous perrurbons tous les mecanismes meraboli-
ques du vivant, Une eau vibrant a une telle frequenc~ ou .meme a des frequences.Inferieures ne peur plus assembler
harmonieusemenr le programme des differentes bases
au proreines, It s'ensuit de graves erreurs de replications
des structures d'ADN et d'ARN soumetcantl'ensemble
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..:£.sres_ Combien de chas
nique sur .des rats.
N£:XUS n"38
mal-juln 2005
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DE LA
U
SCIENCE
5
FIRESTDR~
UNE BOUGIE.. REVOLUTI'ONNAIRE
Aussi simple que cela puisse paraitte, une simple modi-
fication du dessin des electrodes des bougies d'alluma-
ge permet des gains impressionnants de consommation
e r de pollution. Le s inrerets en jeu freinent malheureu-
sement l'arrivee de ce progres dans nos moteurs
Au ccurs des neuf dernieres annees, tandis que je faisais
de la prospection commerciale_ pour une grande marque
[aponalse de voirure, je pris conscience que le prix dupetrole allair continuer a grimper partour dans le monde,l'offre ne pouvant suivre la demande. Les rappOrts que je
consultai laissaient presager d'un serieux probleme pour
tous les fabriquants de voiture du rnonde. Tout le monde
au sein de cette industrie etait d'accord pour estirner que
la solution ne pouvait venir que d 'une avancee rechnologique,
Pendant des annees je me suis demande quand, et d' au ,viendrait le nouvel Edison inspire qui inventerait une
«machine a rouler sobre er propre». [e l'ai finalementtrouve, IIhabite a Farmington Hills, dans [e Michigan, et
ils'appelle Robert Krupa.
Nons avons tous entendus le dicton : « nop beau pour
G r os p l an d e f a b ou gi e F ire sto rm
erre vrai». Lincroyable nouvelle bougie contrue par M.
Krupa et qu'i1 a appele «Firesrorrn» est une exception II
certe regie.
[e sais que toures les bougies qu'on trouve sur le marche
se ressemblenr, sauf par leurs prix. Alors pourquoi faire un
fromage a propos d'une nouvelle bougie?
Caracteristiques et performances de la bougieFlrestorm
Voyons d'abord ce que les bougies Firestorm de Krupa
apportem a un moteur IIcombustion interne:
* Plus de puissance;
* 44 a 50 % d'autonomie supplernentaire ;
* Diminution spectaculaire des rejets.
Voyons ensuite ce que les bougies Firestorm e1iminent :
* La pompe a fumee ;* Le pot catalytique ;
" Les interferences de radiofrequences CRF!) et l'utilisa-
Par Robert Stanley© octobre 2004
tion de resistances dans l'e1ectrode centrale ;
"Le deregiement de l'ecarrement (des pointes) ;
" L e s systemes de recyclage des gaz d'echappem ent (E GR ) ;
" Le5 rates d' allurnage, [es irregularites, les rerours de
flarnme, les cognemenrs, les calages.
Origine de I'idee
En un mot, plasma. Par sa conception revolutionnaire,
cette bougie cree ~ plasma electrique qui rernplit to utefa charnbre de combustion, comme une ternpete de feu
[NDT '"f ir e s to rm ]. Cela rarnene la consornmation d'un
rnoreur du taux air!carburant de 14,7/1 : ' i _ un raux incroya-
blernent sobre de 24/1. Avec un tel rappon, l'entierere
du melange aiFI carburant est brllle avec -beaucoup plus
d' efficacite sans augmentation de temperature, ce qui est
econornique, produit pins de puissance et moins de pol-
lution. Cela, c'esr la bonne nouvelle.
La rnauvaise nouvelle, c'est que dans I'imrnediat il est
impossible de se procurer des bougies Firestorm, aucun fa-
briquant de bougies ne veut enueprendre la production.
Robert Krupa connalt parfairemenr les rouages de l'indus-
trie automobile et de celle des bougies ; iI a travaille com-
me rechnicien, puis comme ing6nieur, chez GM et Ford.
IIexplique : «Avant d'emrer au college er d'obtenir rna BS
[licence es sciences] en ingenierie, je rnontais des conden-
sateurs elecrrolytiques sur la borne positive d'un disrribu-
teur d'allumage ;. cela egalisait leg impulsions elecrriques
vers le distribureur er les bougies, Rien qu'avec ce petit
perfecrionnemenr, les moteurs tournaient de facon plus
regu!iere. C'e fut le debut du parcours d'ingenierie dans
lequel je suis encore engage aujourd'hui,
«['ai une pratique en electricite qui est surtout orienree
vers la motorisation, J ' a i une oreille particulieremenr
sensible aux bruits mecaniques. Je puis -ecoutet tournerun moreur et en deceler exactemenr res defauts. Mo~ ollie
est a ce point enrratnee que,. lorsque je travaillais pour
General Motors (GM), on m'envoyair au Mexique, en
Allemagne ou a New York pour optimiser des chaines demontage de rnoteurs. A New York, ils avaiem des preble-
mes avec des moteurs dans un circuit de reparation. Apres
a:voir observe ce qu'i!s faisaienr, avoir un peu re£lechi,
puis effectue des modifications a 22 machines, 'Ie chainede fabrication foncrionna plus vice que ce qui avait ere
prevu IIsa conception. Le chef de production m'offrit sur
le champ un ernploi.»
Krupa connait les bougies, il a enormernenr travaille pour
ameliorer les designs dans le marche automobile. Bienque Ie concept ne fur pas de lui, c'est It lui que l'on doh
l'apparition sur Ie marche de la bougie "Spitfire» ily a
une dizaine d'annees. Ce n'ecait qu'une variante de bougie
ordinaire dont une des electrodes etait fendue, comme
la langue d'un serpent, ce qui en augmentait la surface
d'euncelle. Cela cofttait plus cher qu'une autre bougie et
genera 60 millions de US$ de vente en 1993.
Le destin voulur que Robert Krupa se lia d'amitie avec Ie
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~lldaire Henry «Smokey» Yunick, de D a yto na B e ac h,
~ Floride. Smokey etait I'extraordinaire inventeur et
constructeur des stock-cars Nasca! de H alt o f Fa me. Ils
: i renE connaissance it l'occasion d'un projet pour GM.
_-\. l'epoque, Smokey souffrait de problemes d'audition.Krupa rnonta, a I'intention de Smokey, un detecteur de
.;::ognements accouple it un oscilloscope. Le len demain,
Smokey invita Krupa a . venir rravailler avec lui. Celui-ci:clUsa courtoisernent, rnais lls devinrent bans amis.
Suire a cela, Krupa declda de montrer a Smokey son
promtype de bougie Firestorm. Tandis qu'i1 observait le
:onctionnement de la bougie sur un banc d'essai, Smokey
diclara : «Apres avoir ete conseille pendant 30 ans pOUl'
Champion [NDT: une marque de bougles], je n'ai jamais
vu une bougie fonctionner comme la rienne. Tu vas exas-
perer I'industrie automobile b)
Avec pared encouragement, Krupa comprit qu'il tenait
un tresor, La merne apres-rnidi, Krupa engageait Smokeycomme expert dans sa route nouvelle firme : Century De-
velopment International Limited.
Genese dela Firestor.m
Ce fut l'lndefecrible determination de Krupa a rnettreau point une rneilleure bougie qui mena it I'innovation
technique que fut le prototype de la Firestorm, en 1996.
Questionne sur cet evenernent qui bouleversa sa vie,
Krupa repond :
6J'ai grandi parmi les participants de la «course» au NOS
(systeme nitro-oxide) en Californie. Leur theorie enoncalt
qu'une bougie marchait ou ne marchait pas, sans nuances.
Apres une longue recherche, j' ai finalement decouvert unecaracteristique partlculiere des bougies d'allumage.
«Entre temps, je m' etais plonge dans I' examen du con tenu
d'un rut de 250 lines rernpli de vieil les bougies poisseuses.
Je les examinai routes tres soigneusement et decouvris que
plus elles etaient anciennes, plus l'electrode centrale etait
corrodee sur son pourwur ;.e1leprenait la forme d'une pe-
tite sphere, une demi sphere, plus exa.ctement un petit dome.
«C'est alms que me vint l'idee que, si c'etair vets cette for-
me que tendait l'electrode, pourquoi ne pas la lui donner
au depart et voir ce qui.se passe? Je pris donc une bougie
tou te neuve, limai l'elecrrode positive jusqu'a ce quelle
soit ronde et la mis SOllS allurnage ; je decouvris qu'elle
fonctionnait un petit peu mieux. MaisiIy avait encore
un probleme avec I'electrode cbte masse. [e supprimal
alors cornpletement celle-d et la rernplacai par des poles
de configurations diverses, fixes avec des cure-dents pour
pouvoir en changer facilement.
«Lorsque je donnai a la masse la forme d'un derni arc cela
foncrionnair encore un petit peu rnieux. Je pris ensuiee
une tete de vis"que je battis au marteau jusqu'a ce qu'elle
prenne la forme d'un dome; la retoumanr, je rnarrelai au
burin en creux l'autre cote pour obrenir l'envers du dome.
Apres avoir prepare it la lime la pointe de I'electrode posi-
tive d'une bougie neuve, j'y flxai le petit dome. ' Pardessus
Ie tout, je placal l'elecnode masse en forme d'arc, fixant
toujours tout cela avec des bouts de cure-dents, Et lorsque
j'allumai cette bougie, la quantite d'energie qui en sortit
etait epousrouflanre er je me dis que cetre fois j'avais vrai-
merit trouve quelque chose!
«C'etait mon intuition qui m'avait dit qu'll devair y avoir
un moyen de mieux faire les choses et m' avait pousse it
ces essais. C' est pour cela que les fabriquants de bougies
me detestenr, Us investissent des millions et des millions
de dollars dans leurs laboratoires de recherche et moi je
bricole le prototype de la Firestorm en moins de deuxheures dans rna cave.»
!Performanc'es et essals
Lorsque je demandai it Krupa si la Firestorm presentait
d'autres avantages, iI me dit : «5i dans un vehicule dont
Ie moteur ex.ige de l'essence super on installe des bougies
Firestcrm et qu' on frut les reglages que je recomrnande,
on pourra y mettre de l'essence ordinaire et iln'y aura ni
detonations, ni cognements, ni rates. La seule chose qui
exige un carburant a haut octane, c'est le taux de compres-sion eleve, Et si la charge de travail est lourde, le rnoreur a
tendance it detonner avec des bougies ordinaires.»
Cela semblait trop beau PoU( etre vrai, cependant il y
avait d'autres bonnes nouvelles.Krupa poursuivit ; «[e sais que cela peut sembler chime-
rique, rnais tout a ete dernontre. Au debut de mes essais,
j'avais branche un analyseur d'ernissions sur la voiture
et j'avais embarque un equipernent pouvant modifier Ie
rapport airlcarburant et Ie niveau de ralenti pendant que
Ie moteur tournait. Cela se passaiten marge d'une foire de
fournitures pour voitures de competition. Des rypes s' ap-
procherent pour voir ce que je faisais. [e faisais rourner Ie
moteur it 250 rrn ! us moteurs n'a iment pas tourner it un
ralenti aussi bas ; impossible de faire cela avec une bougie
ordinaire, mais avec la Firesrorm, oui !»
«Je n'ai jamais oUI dire que quelqu'un d'auue air pu Ie
faire et je m' etais demande comment le rnoteur reagirait
!
II
I
I
I!~,
I
I!!II!
I
I
Sur un bane d'essai, la Firestorm est allumee a c8M
d'une bougie ordinaire.
a ce tres grand ralenti ; encore un facteur d'economie de
carburant,»
Krupa precisa encore : «Cela tournait tout doux, bien
regulierement, sans hesitations ni rates. Et a l'epoqueou je faisais ces essais sur un modele Ford Thunderbird
et obtenais une economic de carburanr de 44% alors
que la climatisation restai t encleachee ! Or personne ne
fait forictionner la climatisation pendant qu' on effeetue
des rncsures de consornmation, Mais je faisals des essais
realisres. En fait I'EPA [Ministere americain de I'Envi-
ronnernent] envisage de revoir ses normes de mesures du
rapport air/carburant, afin de se rapprocher de conditions
reelles de conduite. Et en plus de I'augmentation de
l'autonornie, j'obtins un accroissernent de puissance de
33% avec une Chevy [Chevrolet] de grosse cylindree, sim-
plement en I' equipant de bougies Firestorm et en reglant
Ie rnoteur en consequence.
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SCIENCE
u
«]e fis une autre incroyable decouverte en essayant les
bougies Firestorm: on pouvair pousser le nornbre de
tours/minute beaucoup plus haut, Normalement, a detres hautes vitesses de rotation, 1a courbe de puissance se
met a tomber. En utilisant les bougies Firesrorm, je pusdepasser la ligne rouge de 600 a 800 tm avec une courbe
de puissance qui montait toujours.
«En resume, je ·puis tirer davantage de tours er de puis-
sance du moteur, tout en realisant une economie de carbu-
rant, parce que meme . a de tres hautes vitesses de rotation,la bougie Firestorm continue a engendrer un plasma
qui bro.le cornpletement le carburanr dans la chambre,
One bougie classique, avec sa maigre petite etincelle, ne
s'allurne jamais convenablement dans une chambre de
combustion qui fonctionne itres grande vitesse. Ces bou-gies-Ia ne peuvent pas etaler la viresse de flux du melange
airl carburant.»
Krupa me fit voir une remarquable video de [a bougie Fl -
restorm fonctionnant en temps red sur un bane d'essals, Je
vis que le puissant champ de plasma rernplissalr lacham-
bre de combustion mais qu'il n'y avait den d 'a ut re , I I s er n-
blait que le plasma tournoyait comme une petite tomade.
Cornme je le lui faisais remarquer, Krupa expliqua : "J'ai
forge Ie terme ionisation rbiduelle pour decrlre l'action de
cette bougie. Dans votre voiture equipee de bougies classi-
ques,. pour ehaque serie de six it huit aUumages ily aura un
rate. Ce rate est dt a une ionisation residuelle qui stagne
auteur de la bougie. Quand Ia charge arrive par l'elecrrode
centrale, elle rencontre une haute impedance et ne peut
franchlr l'ecarr, d'ou Ie rate.
«Avec la bougie Firestorm iI ya aussi une ionisation resi-
duelle. Cependant grkea la tres garnde surface du dome
de l'elecrrode centrale er au systerne triaxial de prise de
masse, lorsque qu'apparait I'ionisation residuelle, la charge
qui arrive par l'e1ectrode positive cherche a echapper ace barrage en parrant vers une zone voisine de la masse
rriaxiale non encornbree d'ionisation residuelle, C'est pour
cela que le plasma semble tourner autour du dome comme
une petite tempete.»
Potentialites
La bougie Firestorm de Krupa appartient it un monde It
part. Un important fabriquant de bougies lui a consacre
une critique dithyrambique. Krupa s ' explique ; "Chez
Bosch, iIs om soumis mes bougies et les meilleures des
leurs a un test comparatif d'endurance de huit sernaines et
ils one reconnu que la Firestorrn n'avait subi aucune aug-
mentation d'ecart ; Usant predit qu'eIIe ne s'userair jamais.»
C'est peut-etre bien une des raisons pour Iesquelles les
fabriquanrs ne sont pas enclins a produire la Firestorm.
En outre, Ie modele standard de bougies serait rapidement
depasse, Cependant la raison principale de ce refus, c'est
qu'Il n'y a,pas moyen de concevoir une imitation qui per-
metre de contourner les brevets mondiaux qui protegent
Ie concept de Krupa.
Ainsi qu'il l'explique : «Nous avons examine queUe seralt
la meilleure configuration. NOllS l'avons gardee en reserve
et pendant les sept mois sulvants nous avons concus des
imitations et les avons toures incluses dans les brevets.»
EnRn u faut conslderer J'imporrant faeteur flnancier .. La
plupart des usines de fabrication de bougies O m . environ
cent ans. I1sleur faudrait faire d'enormes investissements
en machines avant de pouvoir produire 1aFirestorm parce
que, dans les bougies classiques, l'electrode centrale est
constituee de trois parties. Celie de la Flrestorm est d'une
seule piece. A cause de cela, CD! Limi t ed; la compagniede Krupa, a decide: de fabriquer elle-meme la bougie Fires-
torm. C'est une grosse entreprise que Krupa et ses associes
n' avaient pas envisagee au depart ; par conrre elle ofFre
une occasion unique a des investisseurs er specialistes ducapital-risques d'ernbarquer rres tot dans l'afFaire.
Conslderez cecl : chaque annee, environ six mllliards de
bougies sonr fahriquees et vendues dans Ie monde. Les
membres de l'equipe de Krupa estiment que la bougie
Firestorrn coutera, dans un premier temps, environ
U5$1,50 Lapiece It fabrlquer ..lls estiment aussi qu'une fois
qu'elle sera comrnerciallsable elle captera environ 80% du
marche, meme si elles sonr veridues U5$10 la piece ou
plus; cela fait beaucoup d'argenr.
D'autre part, les utilisateurs realiseront d'enormes econo-
mies en faisant Ie pleln de leurs reservoirs, merne si Ie prix
du carburant continue a grimper. Cela aura un impactposirif sur l'economie mondiale et ne pourrah pas mieux
romb er , B ill Powers, l'edlteur du bulletin d'investissernents
C a n ad ia n E n er gy V ie wp oi nt, predir dans un rapport recent
que Ie prix du brut va monter a US$80 le b ar il dans le s
deux prochaines annees ! ( c E . page web http://www.finan-
cialsense.oomleditorialslpower.f2004/ II04.html).
Questionne sur les conditions requises pour
etre parrenaire dans l'affaire de Krupa, celui-
ci repondit : «II faudrair que nous discutions
des details, voir ce qu'ils veulenr er trouver un
accord qui satisfasse tout Ie monde. Et quelles )'
que scient les personnesengagees, je dens It r~l'
erre responsable du conrrole de qualite en fin I. ,
de chaine de production. Parceque si on ne
fabrique pas la Firestorm correctement, c'est I 'comme si on se tirait un coup de fusil dans le . 1 ' ·
pied avant la course.» .
A l'insrar d'Edison, qui refusait tout reposl
tant qu'il n'eut pas trouve une meilleure am-
poule electrique, Robert Krupa fu r inspire et
invenra une meilleure bougie d'allumage. Ce
faiSaDt, il a ofFert au rnoteur a combustioninterne et a notre environnemenr unavenir
plus lumineux.
Quand on lui parle du legs que represente
I'oeuvre de sa vie, ildit fierem enr : ~j'ai fait
passer la modeste bc:;.gif': A I ' " fiige de la pierre
a I'age de l'espace»,
5
"
A propos de I'in.venteur
Linvenreur Robert Krupa est un ingenieur et
scient ifique experirnente qui se specialise dans Ies applications
elect! iques er rnecaniq ues. II a fait quatre fois lerour < 1 U mo ndeet est apparu Ii la television, a la radio er dans des revues. U a ecritde nombreux articles pour le monde des «hot-rods» [voi tures gon-
flees]. Son e-mail est: flamefromwater@}'ahoo.com.voyez Ia pageweb de F lr es to rm : h np '/ /www.robertstanley.bizlfire<;to.cm.htm.
A propos de I'auteur
Rob er t M . S ta nle y esr. ec.rivain et chercheur specialise en rendancesrechnologlques, Son dernier article pour Nexus fur une interview
de David Adair, expert en technologie de l'espace, Son article surRobert Krupa est un copyright © 2 9 ocrobre 2 004, U N IC US ,1147 Manhattan Avenue #43, Manhattan B ea ch , C A9 02 66 , U SA .Son e-mail est:rsranley@socal.rr.com. '
NEXUS n038
mai-juin 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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SCiENCE
Technologie UtopiaLe dopage facile de votre
moteur diesel ou essence it l'hydrogEme
20 it 60 % de gains de consommation
Lindividu s' avere decidernent le
plus efficace a trouver et a mettre en oeuvre
des solutions aux problematiques auxquelles
l'humanite et la planete sont aujourd'hui
confrontees. Defiant les difficultes de cofit
et de recyclage des solutions imaginees par
les grands constructeurs et Ies institutions,
comme la pile a hydrogene ou les vehicu-
les mixtes, Ies bricoleurs et chercheurs op-
portunistes sur des systemes alternatifs de
production d' energie, d' economie et de de-
pollution, se bousculent sur internet dont
une des meilleures vitrines s'avere etre bien
&anc;aise avec le tres complet site web de
Quanthomme. (http://perso.wanadoo.fr/
quanthommesuite/)
r
Nexus a choisi, avec l' accord de ses devoues
anirnateurs, d'en tirer quelques pages edifian-
tes consacrees aux moteurs thermiques avec
le systerne Utopia Technologie. Cette techno-
logie, appliquee a I'ensemble du parc routier,
agricole ou de chan tiers, perrnettraient de
resoudre l'essenriel des difficulres ecologiques
et econorniques inherentes a l'emploi gene-ralise des hydrocarbures dans nos societes et
de reduire drastiquement l'emission de gaz aeffets de serre.
Avantages de I'apport
d'hydrogene par electrolyse
Jean-Marc Moreau, ingenieur de formation,
a mis au point un systerne d' electrolyse par
oscillation. L'etape de la commercialisation
est maintenant a l'ordre du jour et le prix
dusysterne devrait avoisinner 1000 €, plus
ou moins rapidement amortissabIes selon lenombre de kilometres avales,
Ce precede, aisement adaptable sur tout type
de vehicule diesel , rnais aussi essence * ou
GPL *, sans aucune modification moteur et
sans le moindre reglage " permet d' augmenter
l'autonomic entre chaque plein , dans un
rapport de 130 a plus de 200 % , suivant les
trajets , le type de vehicule et le mode de
conduite .
Ce qui equivaud, en d'autres termes a une di-minution de 30 a 60 % dela consommation
habiruelle, a celle des rejets d'hydrocarburesimb ru le s , des emissions de gaz a effet de serre(C02) et du monoxyde de carbone .
LHydrogene est produir par un reacteur adissociation atomique , provoquant 1a frag-
mentation de la molecule d' eau par resonance
frequentielle, grace a un condensateur haute
frequence .Air I Eau , a dielectrique optimise
(protege par un copyright).
La frequence de celle-ci s'adapre par un equi-
pement electronique aux variations de tem-
perature et de carburation pour decomposer
l'eau et fournir au moteur un melange oxy-
gene / hydrogene decuplanr la combustion et
les performances du moteur,
La production de ce gaz etant constante,
selon la vitesse et le regime moteur, les gains
de consommation, garantis P9ur un mini-
mum de 20 % (annonce garantk satisfait ou
rernbourse par l'inventeur) atteignent 50 a60%.
La voiture dediee aux essais, agee de 12 ans et
comptabilisant 250 000 Km, ne consommeplus aujourd'hui que 2litres de gasoil aux 100
Kilometres , et 30 millilitres d' eau par 100
Kilometres pour fabriquer son gaz hydrogene
en roulant a une vitesse stabilisee de 95 Km al'heure. Amusant non?
Ll-Iydrogene basse pression etant auto-pro-
duit a la demande et auto-consomme en
NEXUS n038
rnai-juln 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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f .nol iOnnant . ., 1 1 4 0 0 0
Fr~entiel , atJr t. blls.
d'U"ccndemat.ur Air t ElUt
ee Rkct«1f ne dolt itre
rornp'1 que par "". .au~imi" ;;nI ll . .. pLn t99.9 %
nen oartoslvt "..... I..."""""'" _UnV_t ..contr61e Indlquo la qu_lonlqu. d. l'eau • ." O I v a "
"",sma.
roulant , it ne necessite ainsi aucun stockage
dangereux: . Ce precede tres securitaire reste
de ce fait beaucoup plus sur mais surtout plus
econornique que l'urilisation du gaz GPL. Al'arret, plus aucun gaz n' est produit, Il. suffit
juste d'inserer la sortie du tuyau de gaz dans Iefiltre a air. Un simple interrupteur permet de
mettre le dispositif sur arret pour retrouver Iefonctionnement originel du moteur avec son
lor de pollutions habiruelles,En moyenne, le precede H20 U top ia ·T ech-
nologie consomme autour de 1 litre a 1, 5litres pour 3000 Kilometres. L'udlisarion de
cerre eau comme matiere premiere servant ala realisation d'un gaz riche en Hydrogene
a ete optimisee pour que clf gaz soit produit
et directement utilise sous sa forme orthohy-
drogene , c'est a dire le carburant des Fusees
, beaucoup plus energetique que son autre
forme para-hydrogene.
Role du synergiseur Plasmatronic
dans Ie processus d'optimisation
de la combustion:
!~
I1
!I
I~i
I,!
!
I
Lorsqu'un gaz est soumis a un champ electri-que intense sous tres haute tension, un phe-
nornene de ionisation electrique se produit,
Les electrons arraches par Ies forces electros-tariques sent alors acceleres et acquierent une
grande energie cinetique qui leur permet, par
collision avec d' autres atomes, de propager
l'ionisation, creant ainsi un phenomene pre-
curseur d'un etat plasmatique de la matiere,
amplifie dans notre application par l a de fr ag -mentation de l'air aspire par le moteur au
travers d'une grille CORONA haute tension.
Un flux d'air hybride hautement energisant
contenant un gaz hydroxygene arrive alors al'admission moteur dans un erat semi plasma-
rique pour se fondre dans un reformage in-time avec Ie carburant initial en phase vapeur,
dont Ie spin a ete precedemrnent reoriente
pour une union parfaire avec son comburant.
NEXUS n038
rnel-juin 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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NOUVELLES DE
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La consommation moyenne
en courant electrique prelevee
sur la batterie est approxima-
tivernenr de 10 a 15 Amperes.Certe quantite de courant preie-
vee teste faible et n'affecte pas le
rendernent global du vehicule,C'est d'ailleurs tout le contraire -
qui se produit apres transfor-
mation en energies mecaniques
grace au re-formage energetique
de fa forrnule chimique du car-
burant initial. Certe quantite
d'energie elecrrique est compa-rable a celle consommee par les
phares du vehicule,
LA SCIENCE
U S
Unite et processeur "Utopia"
Le reacteur a aussi ete developpe sous une
deuxierne version indusrrielle, adaptee aux
Groupes Elecrrogenes, Enrierement rnodulai-
re, cette version permet la mise en parallele de
plusieurs unites de production de ga z auto-
produit et auto-consomme a la demande (ceci
,de faoron tres securitaire), alimentees SOllS 220
volts directement par le groupe electrogene,
~ but recherche etant de pouvoir rendre qua-SI autonome de petits groupes de 3 a 5 KVA ,
et de realiser des economies de carburant
pouvant atteindre 50 % sur des groupes de
plus forte puissance. Cene version pouvant
aussi offrlr de precieuses economies par I'enri-
chissement en hydrogene de fair des bruleurs,
sur chaudieres de chauffage central ...
II est a norer que vouloir faire tourner un
moteur de. conception classique uniquernent
a l'hydrogene teste deconseille, Parce que
l 'hydrogene pur melange a I'oxygene genere
de la vapeur d'eau qui engendre rapidement
un phenomene de corrosion des cubulures
d' echappernent, si celles-ci ne soar pas en
inox . . . Alors qu' au contraire, mixer I 'hydro-. gene a un pourcentage de carburant (essence,
GPL, ou diesel) optimise la combustion et
entraine cette vapeur a l'exterieur (on ne
r~trouve pas d'~au dans [e moteur), ce qui
resout ce probleme et evite les phenomenes
de corrosion.
Les resultats de depollution
Longevite accrue
Diflerents essais en terme de reduction des
pollutions, om ete effectues sur de nornbreux
moteurs diesels convertis a I'assistance hy -
drogene. Ces essais en temps reel ont rnontre
a travers Ies enregistrements une reduction
significative des emissions polluantes, y com-
pris une reduction visible de 99% des fumees
(particules de carbone emises, en ppm ou
parties pat million), 50% en rnoins oxydes
de l'azote (NOx) , et une reduction de 25%
de dioxyde de carbone (C02) . Les particules
d'hydrocarbure irnbrulees , que ron chercheaujourd'hui a bruler en pure perte en sortie
du moteur a travers un pot catalytique , soot
ici brulees idealernent dans le moteur pour
produire une energie utile et faire des Kilo-
metres en plus
L'amelioration de la combustion a pour
r~su!tat direct rnoins d'accumulation de par-
ticules de carbone a l'interieur du moteur.
Ce rnoteur plus propre, brulant mieux et
plus completement ses hydrocarbures, of-
fre la possibilire d'un rneilleur vieillissement
des huiles moteur entre deux vidanges, avec
comme consequences une amelioration de
la longevite mecanique. [augmentation de
l'efflcacire du cycle thermodynamique en-
gendre en realite, comme consequence di-
recte, une temperature inferieure du moteur.
H20 Utopia Technolagie a ete etudie de ma-niere a privilegier la securite moteur, Une
securite de separation Hydro-Gaz a ere intro-
duite dans le systerne, coupant le fonction-
nernent du reacreur a la moindre anornalie,
~t des securites de stabilisation thermique et
electro-hydrauliques integrees garantissent la
fiabilite du reacteur,
NEXUS n"38
rnat-jujn 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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Un moteur a assistance h yd rog en e po ssed eune souplesse de fonctionnement incompa-
rable, grace au phenomene de redondance
specifique a ce precede. Si I'offre en gaz hy -
drogene est inrerrompu pour n'importe quelle
raison (Niveau d'eau trop bas), la regulation
moteur d' origine compensera automatique
I' arret de production de gaz hydrogene pour
a nouveau retrouver un fonctionnement de
100% en carburant diesel, ced sans la moin-
dre interruption moteur, Ceci se passera de
maniere identique sur un moteur a . essence
ou au GPL.
Bassestemperatures ambiantes etcaracteristiques dielectriques de
I'eau
Le reacteu"r H 20 U top ia T ec hno log ie a ete
concu pour fonctionner a des temperaturespouvant descendre jusqu'a 45 degres Celsius.
Cependant son fonctionnement hivernal im-
posera d'additionner l'eau d'un pourcentage
d'alcool propylique ou methylique durant
la periode froide pour eviter le gel de l'eau
et garantir le coeur du reacteur durant l'etat
de stationnement prolonge du vehicule en
exterieur, A noter qu'erant concu sur la base
du phenornene d'electrolyse frequentielle, par
resonance harmonique, Ie reacteur se com-
porte comme un condensateur dote d' arma-
tures entre lesquelles un liquide nebulise a irI eau forme l'electrolyte. L'equilibre de cette
harmonie frequentielle etant intimement lite
a la concentration ionique de l'electrolyte,
l'evolution de cette concentration ionique
est analysee en temps reel par le Micro-
processeur, lequel corrige en permanence lefonctionnement du reacteur dans sa marge de
frequences, suivant la variabilite de plusieurs
parametres physico-chimiques et electro-phy-
siques (comrne l'elevation en temperature du
compartiment moteur ... ). En cas de baisse
eventuelle de la qualire ionlque de l'eau, un
voyant situe sur Ie bottler elecrronique indi-
que que le reacteur est en perre d'efficacite,
Une recharge ionique d' entretien, sous la for-
me d'une dosette de 20 rnillilhres livree avec
I'appareil, dolt alors etre versee dans Ia cuve
du reacteur, Ceci permet de maintenir dans le
temps une concentration ionique equilibree
a 1 pour 1000 millilitres d'eau (d'ou l'inno-
cuire et la non agressivite de l'eau utilisee). nest a noter que dans ce principe de reacteur
frequentiel, Ie phenomene quasi negligeablede polarisation eventuelle des armatures du
condensateur beneficie lui aussi d'une analyse
permanente et d'un trairement auromatise de
depolarisation assurant une stabilite exemplai-
re du reacteur dans le temps. Actuellement
ce produit est le seul sur Ie rnarche mondial
a beneficier d'un tel algorithme securitaire,
L'ensemble de ce processus reste enfoui dans
un composant specifique programme pour
cette application. -
Quelques pays l'ont deja compris l'interet
de ce type de precede d'electrolyse embar-
quee, et plusieurs concurrents etrangers sont
aujourd'hui presents dans ce domaine de
l'hydrogene autoproduir en roulant : "Dy-
namic Fuel" au Canada, applique depuis plus
de 2 ans ce precede d' assistance hydrogene
sur Poids Lourds pour l'Amerique du Nord
, avec des gains moyens annuels de 15 % aplus de 20 % sur de tres gros moteurs, et
"Auto Gas India" deja specialisee dans les KitsGPL, l'applique avec succes sur Ies voitures
et camionnettes en IN DE, avec des gains en
consommation de l'ordre de 25 a 60 %. Lesresultats de l' assistance hydrogene, en terrne
d'economie de nos ressources energetiques
ainsi qu' en terme de lutte anti-pollution, sont
certains.
Le ministere de I' environnement francais
n' a, quant a lui, pas encore reagi a la presen-tation que lui en a fait Jean-Marc Moreau;
Les coupures de lignes telephoniques et le pi-
ratage de I'ordinateur d'Utopia Technologie,n' ont par contre pas epargne son equipe. Pure
coincidence probablement ...
Sources:
- LRME BIO-CYBER I Jean-Marc Moreau - LeBourg - 49160 ST PHILBERT DU PEUPLE. Tel
: 02 41 51 81 03 - Site web : http://pageperso.aol.
frl morojml utopiatechnology.d
- page sur le site Quanthomme : http://perso.wana-
doo.frfquanthommesuite/moreaumothydrog.htm
NEXUS n038mal-juln-200S
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L ES PR IN CE S.DUnI~bA{.1E
Par David G. Guyatt © 2004cia Nexus Office55 Queens. Road
East Grinstead. W. Sussex RH19 1 BGRoyaume Uni
Site Web:http://www.deepblackies.co.uk
ET GEOPOLITIQUE
U S
Skulls and Bones
I!!
II
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lIIi
Si le President Geerge W Bush arrive a ses fins, le sys-teme dernocratique americain continuera it se propager
dans Ie monde, Cependant, certains soutiennenr que la
forme arnericaine de la «democratier n'en est qu'un paIe
reflet et rappelle plurot une dictature fasciste dent les
revirernents servent les inrerets d'une riche elite et du
monde des affaires.'
Cette forme de gouvernement prend cornme modele le
mouvement synarchiste europeen, fende en 1870 par
Joseph Alexandre Saint-Yves d'Aiveydre qui considerait
les chevaliers Templiers comme les ultimes synarchistes
de leur epoque et utilisait done leurs ideaux peur fer-
rnuler les siens, .Ce mouvement commens:a it etre connu au debut des
annees 20, apres 1 a fin de la Premiere Guerre Mondiale
et la signature du Traite de Versailles.f La synarchie pro-
nait essenriellernenr la gerance du geuvemement par une
societe secrete - » elite de persennes avisees qui prennent
les decisions en coulisses» 3. Ainsi que le decrivent les
auteurs Lynn Picknett et Clive Prince, « .•. Peu importe
Ie parti politique au pouvoir, ou merne le systerne poli-
rique adopce par l'Erat, Les synarchistes interviendraient
er controleraient la cle des Institutions de l'Etat.t
Les puissantes F.uni1leset entreprises c:orrunerciales d'origi_ne europeenne, britan-
nique et a.zn.eric:ainec:oncernees Eaisait des aLIairesavec l'Alleznagne Hitl&ienne de
Favant guerre, se bouscu1erent CgaleInent pour eirerprofit de Ie. c:b.utede Berlin et
pour ezn.pec:b.erIe butin Nazi de toznber entre Ie« lDains des gouverneznents Allies.
Une troublante c:ontinu.ite des reseaux du pouvoir qui perdure depuis Ie lDouvelDent
de Ie.syna.rc:b.ie~ travers les loges £ondanJ.entalistes et iInplique les tAtes couronnees
europeennes.
Aux Etats-Unis, une telle societe secrete digne d'etre
menrionnee est I'ordre de S ku ll a nd B ones [Crane et Os
- figure par le «drapeaux de pirates] de I'Universite de
Yale. Y etre admis implique de passer un riruel elabore
accompagne d'un changernenr de nom. N'est plus con-
sidere comme un debutanr, celui
que I'on reconnait par sen nom
de famille et qui assume l'identite
d'un «chevalier», Parmi les «be-
nesmen», en disringue George
W Bush, sen pere Georges Bush
Senior et Ie senateur john Kerry.
Presc-Ott Bush, Ie pere de Geor-
ge Bush Senior, etait aussi un
«bonesman», ainsi que Herbert
Walker (<<Herbie}}), son oncle
prefere. En fait, presque routes
les families de la core Est sent
membres de 1a S ku !! and B ones.
Dans sa revolutionnaire saga «T he S ecret C uL t of the O r-
der» [Le cuIte secret de l'Ordre], Ie professeur Anthony
C. Sutton mentionne que 1'0rdre arnericain est lie a laGrande Bretagne par le R hodes-M ilner O xford G roup ,
mais a des origines allemandes. I1 est egalement affilie
aux familles Guggenheim, Schiff et Warburg, malgre
une nette tendance anti-sernitique affichee jusqu' aux
temps recents, Les recherches de Sutton relient l'ordre
a «la fondation et au developpement du Nazisme»? et
considere I' ordre des Illuminati comme les fondateurs
de la societe originelle allemande.
La dynastie politique des Bush, et probablement leur
richesse, proviennent des relations Nazi forgees par
Prescott Bush qui travailla pour le magnat Nazi Fritz
Thyssen 6Herbie, I'oncle de Bush, futegalemenr employe par ce demier. Un
episode encore plus sombre est relate
par un agent des renseignernents hol-
landais qui mentionne que ·Prescett
Bush a par ailleurs dirige une partie
des travaux forces a l'usine de produirs
chimiques de l'important cartel IG
Farben implanre dans l'lnfame camp
de 1 a mort Nazid'Auschwirz". Allen
Dulles travailla aussi pour Prescott Bush. IIdeviendra
plus tard le directeur de la CIA apres une tres douteuse
carriere a 1a tete du bureau suisse du service de rensei-gnernent arnericain, I'OSS (O f fic e of S tra teg ic S ervices)
pendant la Deuxieme Guerre Mondiale. Avant la guerre,
Dulles etalt Ie conseiller juridique d'IG Farben aux Etats
Unis, Fritz Thyssen comptait aussi parmi ses clients. Ces
connexions etaient pour le rnoins tres familieres, Mais
certains les considerenr plus deloyales que cela,
La periode cle du developpement du rnouvement sy -
narchisre suit de pres la Revolution Russe et aboutit it
l'ernergence du PEM ( Pan European Movement ) en
1922. Le PEM fut alors ernbrasse par les acteurs de
la puissante econornie Allemande, comme le banquier
Max Warburg qui le finance. C~ demier etait r u n des
dirigeams dIG Fa rben , cartel qui faverisa l'accession
d'Hitler au pouvoir, Or, curieusement, il s'attachaaussi
a aider Lenine a regagner la Russie en 1917, precurantainsi sen soutien 11la Revolution Bolchevique tant hon-
nie plus tard par Hitler", Doir-on sirnplemenr envisager
cela comme Ie cas de la main droire ignorant ce que fait
Embleme du"Skull&Bones"
NEXUS n038
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 37/70
.. ..gauche ou plurot comme un exemple de dialectique
-=.igffienne de stimulation du contlit destine Ii . modeler
:nDDe et direction futures de l'hisroire humaine ?Quoi qu'Il en soit, Ii . l'instar de Max Warburg et de
son soutien Ii . la PEM,. un autre banquier allemand,
Hjalrnar Schacht, s'lrnpliqua
en prenam Ia parole lors du
premier meeting de masse du
P.EM: Ii . berlin. II continuera
d'ceuvrer cornme Ministre de
I'Economie d'Hitler et Presi-
dent de la Reichsbank . Si quel-
qu'un croit aux coincidences,
en voici une: Max Warburg,
ainsi qu'Hider, om signe Ie
document qui mettait Hjal-mar Schacht Ii . la presidence de
la Reichsbank . Vous realisez ?
Paul Warburg, le frere de Max,
etalc I'un des dirigeams d'J G Fa rben aux USA ainsi que
Ie premier directeur de Ia F edera l R eser ve B a nk de New
York. 9
Connu snus le simple sigle ,<AO», (d'apres les lettres
grecques angllcisees Alpha et Omega) l 'Au s landsOrgan i -
sation consciruair Ie service de renseignement Ii . l'erranger
du pard Nazi. II, couvrant les activires d'espionnage, de
propagande er de developpemenr economique servant [a
promotion des ideaux Nazis.
Les membres de l'AO operaient essentiellernent par I'in-
termedlaire des societes possedees ou dirigees par des Al-
lemands, De nombreux rnembres etaient des employes
d'IG Farben , en Allemagne ou Ii . l'etranger, En fait,
Farben ne dirigeait pas seulemenr I'AO, rnais Iennan!?it
aussi'", Lun des hommes influents de Fd/·ben impli-
que dans toutes les activites de l'AO etait Max Iigner,
neveu d'Hermann Sch-
mitt, .un des directeurs
de Farben , dont l'am-
bition erait de "former
un Etat mondial fascisre
sans guerre»!', I1gner,mernbre en uniforme
de la Gestapo, connects
l'unite de renseignement
de Farben connu sous
Ie sigle de «NW7 , ) avec
I'AO puis recruta une
armada de 5000 person~
nes operant a travers laflliale arnericaine de Far-
be n l2, Un autre mernbre
de la NW7 de Far-ben
etait Gunther Frank-Fa-
ble, ne a Bradford An-gleterre, Merne si Ernst
Wilhelm Bohle etait
officiellement a la tete
de I'AO, l'organisation se trouvait SOllS le controle
permanent de Waiter Schellenberg, directeur de Ia SO,
service de concre-espionnage de la Gestapo. IIdecrit laFarben comme «un Etar dans l'Etat» aux enquereurs de
l 'a p re s- gu e rr e, Tour ef oi s, Ie chef tout puissant de l'AO
etait en fait Rudolf Hess, bras droit
du Fuhrer. Les industriels et les
banquiers qui ont finance I'acces-
sion d'Hieler au pouvoir ont verse
leurs contributions sur Ie compte
de Hjalmar Schacht a la banqueprivee D elbruck S chickler bank aBerlin. Ces fonds etaient gefl.~spar
Rudolf Hess.
La banque D e lb rU c k S ch ic kl er est
une filiale de la A G M e ta tlg ese/~
l st ha J t ( <<M e ta l "' ), de loin la plus
importante societe. productrice
d'acier non-ferreux d'Allemagne et
proprlete commune d'IG F arben et de la B ri tish M e ta l
Corporat ion 13.
Oliver Lyttelton etait l'un des deux direcreurs britanni-
ques de ,<M eta l i» , De 1939 a 1940, iI etait controleur 11 .
N o n- Fe rro us M e ta l, puis devine Ministre brirannique de
la Production de 1942 a 1945, et membre du cabinetde guerre de Churchill. Par une heureuse coincidence,
sa mere etait une rnembre du R h odes~ M i ln er O x fo rd
«Group» tandis que Ie cinquleme fils du Baron Lyttelton
fut le Secretaire particulier de Lord Selborne durant les
annees qu'il passa en Afrique du Sud. Lord Selborne a
assure la reieve de Ia direction du «Group» apres la mort
d'Alfred Milner en 1925. Ainsi que je l'ai fait rernarque
ailleurs, il emit aussi Ii . la tere du SOE ( S pe cia l O p era -
t io n s E x e c ut iv e) de la Grande Bretagne durant la guerre,
pendant de ross americain.lt
Siege de Jaloge "Skull & : Bones"IiYale
NEXUS n038rnai-juln 2005
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HISTOIRE ET GEOPOLITIQUE
~~ ... US
Peut-on alors en deduire que le «Group" etait la branche
britannlque de la loge arnericalne S ku il a nd B ones ?15D'une maniere ou d'une autre, S ku ll a nd B ones consti-
tuait «la filiale d'une societe secrete allemande". Selon le
professeur Anthony Sutton, Ie «Group" connaissair son
origins chez les Illuminati (ou Illumines de Baviere) 1 . 6 •
Reunion i l l la «Maison Rouge»II est evident que les pouvoirs financiers et industriels
qui ont finance en coulisses aussi bien I'accession
d'Hider au pouvoir que son developpernent militaire
par la suite prendraiene les precautions necessaires pour
proreger leurs investissernents une fois survenue la chuted'Hider et de l'Allemagne nazie, La lumiere se fit avec
la defaite devastatrice du 6b m < groupe d'arrnee du Ma-
rechal von Paulus a Stalingrad en Janvier 1943. Tous Iesdomes persistants jus-
que la s'envolerent des
le debarquernent du 6
jilin 1944. en Norman-
die. Face a l'incapaciteallemande a repousserles forces Alliees vers la
mer, il devint clair pour
tout le monde que lesjours d'Hicler etaienr
Bormann et Hess comptes. Deux mois
apres le D-Day, une reunion secrete se tint dans un ele-
gant hotel de Strasbourg, avecpour ordre du jour Ia se-
curite et la protection des richesses de l'Allernagne Nazi
ainsi que de ses loyaux banquiers et industriels, Le matin
du 10 Aout1944, le Dr -Obergmppenfiihrer Scheid,
un lieutenant general de la Waffen SS et direcreur de
l'industrie Hermansdor f f et Schenburg , arriva a l'Horelde la "Maison Rouge» situe dans la Rue des France-
Bourgeois. Le Dr Scheid etait depeche par Reichsleiter
Martin Bormann, Ie 2 " m e homme Ieplus puissant d'Alle-
magne apres Hider, pour presider la reunion.
Lascenslon de Bormann au pouvoir succede au vo l fatal
de Rudolf Hess qui avait saute en parachute en 1941
pour atterrir en Ecosse afin de rencontrer en secret le
Due d'Hamilton. Apres la perre de son precieux colla-
borateur et la mine de ses plans d'alliance secrete avec la
Grande-Bretagne pour cornbartre la Russie, Hitler posa
tou s le s pouvoirs et responsabilites de Hess, a l'exceptionde son cabinet qu'il supprima, sur I es I ar ge s e pa ule s de
Bormann qui prit egalement le controje de ['AO.
Avant d'envoyer le Dr Scheid a Strasbourg, Bormann
lui confla que: «les decisions prises a l'Issue de cectereunion deterrnineronr les perspectives d'apres-guerre
de l'Allernagne» et ajoute que Ie plan est d'assurer
l 'evencuelle «resurgence econornlque de I'Allemagne» 17.
Autour du Dr Scheid, les representanrs des cornpagnles
K ru pp , M e ssersc hm itt, R h ein meta l4 B u ssin g, V olksw a-
genwerk ainsi que des ingenieurs representant differemes
usines a Posen en Pologne comme B r own B o u eri partici-
paient a la reunion. Une part importante de l'industrie
electrique allemande appartenait Ii deux compagniesarnericaines : Genera l Electric' et I n te rn a ti on a l T e l ep hone
a n d T e le gra p h.Aujourd'hui, Brown Bouer i (devenueAsea
B r own B o ve n') est une multinarionale geante employant
200.000 personnes dans le monde et qui entretient des
liens etroits avec les USA. Avant sa nomination au paste
de Secretaire General a la Defense par George W . B ush,
Donald Rumsfeld faisait d'ailleurs partie de son consell
d'administration. 18
Selorr les instructions de Bormann, [es indusrriels
devaient etabhr de nouveaux contacts et de nouvelles
alliances avec des flrmes errangeres pour renforcer ceux
deja en place, sans pour autant suscirer l'attention. Leprogramme de fiiite du capital de l'E tat er des actifs des
societes pour s'assurer des refuges dans le monde entier
qu'il ordonna est tout aussi important. C'esr ainsi que
I'operatlon Eag le ' s Flight debuta. D'une facon critique,
Bormann pensait qu'il aurait besoin de 9 mois pour
mener ce programme a term e'" , C ela signifle que le s
forces allemandes devaienr resister a l'avancee des forcesAlliees pendant tom I'hiver de 1944 et jusqu'au debut
de la mi-Mai 1945. Par un curieux tour du destin, la
guerre en Europe prend fin le 8 Mai 1945, a seulernent
2 jours des estimations de _Bormann.
Operation Market Garden
Or, moins de 2 sernaines apres la reunion de la «Maison
Rouge», Ie Ma re ch al Bnr an niq ue Bernard L. Montgo-
mery. concur une audacieuse straregie qui, si elle avalt
aboutie, aurait compleremene mine le plan sur neuf
mois de Bormann. Le 23 Aout 1944, quand le Gene-
ral Dwight D. Eisenhower, commandant supreme des
forces A llie es, s e rend au QG de Montgomery pour un
dejeuner et une discussion privee, ce dernier argumenta
que les forces allemandes etanr en pleine confusion et
qu'une entree decisive dans la Ruhr entrainerait la finde la guerre avant Ie Noel de 1944. A son insistance, le
direcreur de cabinet d'Eisenhower, le general Walter Be-
d.ellSmith, fur exclu de cette reunion, a cause de vieillesrancceurs-". Eisenhower quina Ie QG de Montgomery
sceptique et hesitant.
Apres la ferrnerure du Falais« gap , Montgomery etait de-
termine il . ne pas laisser Eisenhower perdre une occasion
de mettre fin a la guerre en 1944. Le 4 Septembre, illui envoie un message code disant ; «personnel, unique-
ment pour le general Eisenhower» detaillanr une auda-
cieuse srraregie pour s'emparer des ponts strategiques
en Hollandeset penerrer en Allemag_nepar la RullI. La
Ruhr est le cceur de I'industrie allemande et par COinci-
dence, la ville narale de la plupart des industriels ayant
assiste a la reunion decidant des modalites de la fuire descapiraux du III""" Riech presidee par le Dr Scheid moins
d'un an auparavant,
La strategic, connue sous Ie nom d '"Op i ra t ion Conut»
est rejetee par Eisenhower. Face a la protestation ener-gique de Montgomery, une autre strategie derivee de
NEXUS n"38
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la premiere, baptisee «O p em tion M a rket G arden » et
::tecessitant plus de moyens militaires, est enterinee par
Eisenhower le 10 Septembre 1944. Le dernier pont pris
pa r les tIoupes aeroportees britanniques et garde jusqu'a
I arrivee des troupes blindees est celui d'Arnhem .
Par coincidence aussi, Ie 4 Septembre,Ie Marechal
Model emmene Ie lieutenant general Bitrrich, ancien
combattant au II SS Panzer et affreusement b le ss e, b i-
vouaquer dans le' secteur d'Arnhem pour se reposer et
reprend.re des forces. Bitrrich declare plus tard que: «
il n'y a aucune raison particuliere pour son choix des
alentours d'Arnhem, hormis Ie fait que c'est un endroit
paisible a u i1 ne passe jarnais rien» (21)
Retrospectivement, en connaissance du besoin vital de
Bormann de 9 mois pour la realisation de son plan, on
peut se demander si d' autres facreurs plus secrets ont
influence la decision de Model. La manipulation enfa i t-elle parti e ?
Bernhart de Hollande
Le chainon manquant
Rappelons que le Prince Bernhard de Hollande avait ere
nomme Commandant en chef des forces hollandaises
par la reine Wilhelmina. Les sernaines suivant Ie 0-
Day, Je prince Bernhard est reste en contact permanent
avec ses ministres et I'ensemble des ambassadeurs US:
William Bullirt, Anthony Biddle et Ie General Bedell
Smith.21
Les relations erroites avec ces hommes n' avaient den defortuit; car ainsi que allons Ie decouvrir, den n'avait ete
laisse au hasard par la «Frarernite. de Bormann. (23)
Thomas Bradish Biddle compte parmi les tous premiers
membres de I'ord.re du S ku ll a nd B o nes, l'ayant integre
en 1839, seulement 6 ans apres sa creation en 1833.
Son descendant direct, Anthony Biddle, dont Ie nom
cornplec est Anthony Joseph Drexel Biddle Jr, n'etait
pas lui-meme membre de l'ordre. Neanmoins, ilest loin
d'etre innocent de tome implication.
Pendant les premiers mois de la Deuxierne Guerre
Mondiale, Biddle occupait la fonction d'adjoint de l'am-
bassadeur des USA a Paris, France. C'esr a ce moment
qu'il devient un ami proche des Due et Duchesse deWindsor, pro-Nazis. Ces derniers passenr un temps con-
siderable it sejoumer dans la demeure du Baron Eugene
de Rothschild. Cependant, Ie meilleur ami de Biddle aParis reste l'ambassadeur William Bullitt, qui est aussi
un Pro-Hitlerien, C'est lui qui arrangea la rencontre
entre le millionnaire a rn er ic ain C h ar le s Bedeaux et le s
~ Windsor.
Bedeaux est un bon ami d'Hermann Schmitz d'IG Far-
ben. nest nomme a la tere des operations commercialesde la societe. Son investissernent dans une relation avec
'Ies Windsor n' est pas accidentel car Ie chef SS Heinrich
Himmler le charge de les convaincre d'aider en secret les
projets de negociarion d'une paix avec l'Angleterre.
Lors d'une reunion secrete a l'Hotel Meurice a Paris,
entre Bedeaux, Rudolf Hess, Martin Bormann et Errol
Flynn, I'acteur hoLlywoodien, le Due de Windsor pro-
met d'aider Hess Ii entrer en contact avec le Duc d'Ha-
milton. Cela e : conduit it I'atterrissage fatal d'Hess sur Ie
domaine d'Hamilton en 1941» C~4)
Le prince Bernhard de Hollande a egalement un incon-
testable passe pro-Nazi. Ne de nationalite allemande
SOliS le nom de Prince Bernhard zur Lippe-Blesce r fe ld ,
ilintegre Ie pard Nazi dans les debuts des annees 1930
et revet l'uniforme SS. En 1935, ilest avantageusement
employe au departement du service de renseignement
d1G P a rb en . IIsemble que son idylle avec la princesse
Juliana, HUede la reine hollandaise Wilhelmina, ait ere
arrangee par Gerhard Fritze, un direcceur de Farbe« et
parent de Max Ilgner, chef de la NW7 . ( 25 ) Lors de leur
cerernonie de mariage en 1937, les amis proches du
prince chan tent l'hymne des Nazis de Horst Wessel.
Peu de temps apres, le noble prince se rend a Berlinpour un entretien prive avec Hitler. Ce dernier declare
publiquement que ce mariage scelle l'alliance entre les 2
pays, idee que la reine Wilhelmina refute.
Encore plus revelateur est le fait que qu'a son arrivee en
Angleterre ap res le debut de la guerre lorsqu'il offre ses
services aupres de I'unirede renseignement britannique,
son offre est refusee par les membres de l'Amiraute qui
ne lui font pas conflance, alnsi que par Ie General Ei-
senhower, Commandant supreme des forces Alliees, qui
lui refuse l'acces aux renseignements americains, Malgre
tout, griee a l'intervenrion du roi George VI, Ie prince
est flnalement auto rise 1 1. travailler au conseil d' organisa-
cion de la guerre. Oups ! ! ! !
Mais changeons de sujee. Pour comprendre la relation
tres speciale entre le prince Bernhard et le General
Wa,lter Bedell Smith, qui a bien sur un acces cornpler
au service de renseignement du General d'Eisenhower,
nous devons avancer de plusieurs annees, Apres la
Deuxieme Guerre Mondiale, le prince Bernhard est
soupconne d ' avoir verse dans le commerce d'ceuvres
d'art volees durant la guerre. Gerben Sonderman, que le
prince qualifie de «rneilleur ami que j'ai jarnais eu- (a-
r -i l oub lie Adolf? ) est son p il or e p riv e pour Ie transport
des oeuvres en question , d'apres Ton Biesernaat, qui a
ecrit sur Ie cercle de l'art dans son etude « T h e Co r re g gi oM ystery» (U)
En 1941, Sonderman, un pilore hollandais sur fokker,
entre en contact avec des Allemands irnpliques dans
Ie pillage de chefs d'oeuvres flamants. Alois Miedl, Ull
«banquier, espion et marchand d'art» qui porte I'unifor-
me SS (27) est son proche contact. Apres la guerte, Miedl
travaille pour l'ODESSA, l e r es eau d 'e va si on SS qui met
des criminels de guerre Nazis en securire en Amerique
du Sud, parricullerement en Argentine ou I'on pense
que Bormann s' est refugie. C'est aussi la destination du
prince Bernhard apres la guerre et il est comme d'habi- ,
'tude accompagne par Gerben Sonderman, son «meilleur
ami».Le prince Alfred zur Lippe-Weissenfeld, un Noble hon-
grois et parent du prince Bernhard, est aussi implique
dans ce traflc d'an. Par un autre de ces heureux hasards,
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ET GEOPOLITIQUE
U S
la Hlle du prince Alfred est la femme du Baron Hans
Heinrich Thyssen-Bornemisza de Kaszou, neveu de
Fritz Thyssen et heririer de la fortune familiale.Ainsi que nous lavons vu auparavant, Walter Bedell
Smith entretenait des relations etroites avec le prince au
moment ou Montgomery elaborait sa strategic initiale
pour prendre res poms hollandais et ainsi penetrer it
Berlin par la Ruhr. Comment peut-ou qualifier cette
relation si l'on considere Ie fait qu'apres la guerre, Be-
dell Smith et Ie prince Bernhard faisaient des affaires
ensemble sinon cornrne servant des interets «d'import-
exporb> parce qu'elle comprenait une societe de com-
merce d'ceuvres d'art appelee B ernha rd L td qui utilise
des avions rnilitaires pour aller de Soterberg -a une
courte distance du palais de Soesdjik, palals. du prince
- aux USA.
Cependanr, en Aout 1945, Bedell Smith preta son jet
prive it Reinhard Gehlen, Ie maitre de l'espionnage
Nazi et ses 5 subordonnes pour aller it Washington DC
pour des negociations secretes. Ce deplacernent etait
en contradiction avec la politique americaine et, selon
l'ecrrvain Charles Higham, a abouti it des poursuites en
Cour Martiale centre Bedell Smith.(2S)
Les rapports entre la famille du prince Bernhard et
les Thyssen peuvent d'une certaine maniere expliquer
pourquoi Ie prince , ainsi que les services de renseigne-rnents hollandais parcouraient la Russie en 1945, afln
de recuperer des «papiers cornpromettants» caches et ap-
partenant a Fritz Thyssen portant la mention «propriete
secrete de Thyssen». Cetre petite faveur fur accordee
sous Ie pretexte fallacieux que le prince s' occupait de
recuperer les bijoux de la Couronne hollandaise derobes
par les Nazis. Les papiers sont ramenes en Hollande et
deposes ala banque Voor Handel a Scheepvaart, Rotter-
dam, appartenant en sous-main a Thyssen. Connue sous
Ie nom d '» O p ira ti on J u li an a» , cette astucieuse combine
est un coup porte aux efforts des enqueteurs des forces
Alliees chechant it retrouver les pieces rnanquantes de lafortune de Thyssen. (2~) Allen Dulles, qui etait I'avocat
americain de la R otterda m B ank. Apres la guerre, il
quitte le bureau de l'OSS a Bern pour devenir le chef duservice de renseignernent US en Allemagne.
Le Cercle de la Rose
La famille Lippe semble avoir entretenu de nombreux
liens avec des organisations dotees de services de
renseignernent, Prenons comme exem ple 'i 'O rdre de L a
Rose de L i ppe , un ordre chevaleresque relie a la Maison
Allemande de Lippe. La N oble C om pa gn ie de fa R oseest une ramification de cet ordre. Elle fut fondee par
messieurs Ernst August Prlnze zur Lippe, Ie premier
cousin du prince Bernhard, et Rodney Hartwell.
Aujourd'hui, l'acces au N oble O rdre de L a R ose est
exclusivement attribue a l'Invitarion des rnembres d'un
curieux institut de recherche, l 'A u g u sta n S o ci ety , cree en
1957 sur des criteres bases sur la genealogie, la royaute,
la noblesse, la chevalerie, la science heraldiqueet dont le
j
IIII!
QG est un chateau situe dans le desert de Mojave pres de
Dagert, en Californie. '
Le plus curieux ici, c'est que plusieurs des premiersrnembres de l 'A u gu sta n S oc iety et certains de ses fon-
dateurs dont Crolian Eden, Robert Formhals, Robert
Gayre, John Driscoll, George Balling et Forest Baber
travaillaiem autrefois, pendant la guerre, avec les servi-
ces de renseignernent, principalernent ross. Tous sonten outre des anciens S hi ck sh in ny K ni gh ts, un .soi-disant
«faux» ordre qui pretend descendre du G ra nd P riore
R u sse de l 'O rdre de S ain t J ea n de Jerusalem. Les Sh icksh in -
n y K nig hts se vantent de compter parmi eux de vrais
militaires pro-Nazis poidslourds anglais et americains
ainsi que des offlciers de services de renseignemenr'"
On pretend que la premiere activite de l 'A u g u sta n S o ci et y
est la collecre de renseignernents. Plusieurs de ses mem-
bres ont travaille ensemble pendant 3 ou 4 ans avant
d'y adherer officiellement it ce qui devint une entire
legal aux. environs de 1954. D'autres affirment que ce
n'est qu'un service de renseignement de facade pour Ie
SMOM ( T he S overeig n M i li ta ry O rder o f M a lta ) l'Ordre
offieiel des Cheval i e rs de M a lte du va tican . I . :A ugu stan
Soc ie ty etait a I'origine base a Torrance, en Californie,
d'ou l'adage populaire aux USA: «si vous entendez un
eternuernent it Torrance, on repondra 'que Dieu vous
benisse' sur la Via Condoui». La Via Condotti a Romeaccueille le Palais de Malee, QG du SMOM. Son lien
avec cette histoire n'est pas sam; inrerer. Les mernbres de
cct ordre cornptent parmi ew:: des Nazis notables tels Ie
Dr Herman Abs, directeur d'I G F arbe n et de la Deutsche
Ban k , egalernent connu par son sobriquet de «payeur
des salaires d'Hitler». Robert Gayre, un des fondareurs
de l 'A u g u sta n S oc ie ty esc decore de la presrigieuse Grande
Croix du «Merito Melicense» du SMOM, tout comme
Reinhard Gelhen, Ie maitre de l'espionnage Nazi, qui
la re'ru en 1948, et James Jesus Angleton, auquel nous
reviendrons plus tard, Aucun des freres Dulles n'est ho-
nore par cerre recompense, tour simplement parce qu'ilssont protestants et non catholiques.
Par un fait curieux, en 1946, Adolf Martin, Ie fils de
Martin Bormann choisit d'entrer dans les ordres et suit
un cours preliminaire au Monastere Federaun, pres de
Villach en Autriche. Ce rnonastere est sous la tutelle de
l'eveque Hudall, rnembre influent du Vatican et respon-
sable de la mise en place des voles ferrees souterraines
d' evasion Nazles plus connues cornme les «Ratlines».
Plus alarmant est Ie fait qu'Hudall est le «tuteun d'Adolf
Martin Bormann ainsi que d'un autre moine, le frere
Avery Dulles, fils de John Foster Dulles Ie Frere alne
d'Allen Dulles. Le monde est petit, n' est ce pas?
En outre, les Chevaliers de l'Orde de Malte sont cou-
pables d'avoir aider des milliers de membres des SS
et les pires Nazis it fuir vers la liberte par Ie moyen de
ces «Ratlines», et de leur avoir ainsi perrnis d'echapper
it la justice de Nuremberg et it la pendaison. Concue
it I' origine cornrne une voie ferree pour les criminels
de guerre recherches, elle est rapidement utilisee, je le
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comprend rnaintenanr, pour faire passer en contrebande
l'or, l'argent et autres butins Nazis destines a renflouerI es e no rme s sommes perdues par 1a famille Rockefeller
avec ses investissements en Allemagne avant la guerre.Allen Dulles, Herbert Walker et James Jesus Angleton,
ont assiste les Rockefeller dans cecte ignoble entreprise,
En tant qu'ancien chef du bureau italien de ross et plustard chef du bureau de la CIA a Rome, James Jesus An-gleton est charge du «compte» du Vatican et it mon avis,
il etait au courant des penchants hornosexuels du Pape
Pi XII (autrefois Pape Nucio de Baviere dans les annees
20) et erait en position d'utiliser ces informations pout
faire du chantage.
Allen Dulles, Herbert Walker et James Jesus Angle-
ton sernblent proficer largement de leurs commissions
pour avoir aider atrallsporter Ie magot au benefice
des Rockefeller. Angleton en a d'autanr plus profite vu
qu'il pouvait cooperer avec le SMOM, l'unite de rensei-
gllement du Vatican, et travaiiler pour les interets des
renseignements us.Ernst August Prinz zur Lippe, Ie Dr Otto von Habsburg
de I'ancienne Maison Imperiale Austro-Hongroise et le
prince Victor Emmanuel de Savoie, fils du roi Umberto
II , sont les dirigeants de l 'A u g u sta n S o ci ety . Le roi Urn-
berto fut le dernier roi italien et il fut force d'abdiquer
apres la guetre pour avoir ete Pro-Mussolini. 31 Le
prince Victor Emmanuel est Ie Grand Maitre de ' t 'Ordre
C heua leresqu« de S aint M aurice et S ain t L aza rus, agree
par Ie Vatican.Autre charrnante coincidence, le fait que Robert Gayre
(dont on a pa rl e c i- de s su s) est it la tete de la branche US
de la tres raciste IAAEE ( I nte rn atio na l A sso cia ti on fo r th e
Advancemen t 0 / E u g en ic s a nd E t hn ol og y) basee en Ecosse.
Leugenisme est un puissant courant sous-jacent da:ns
l 'ideologie et la rnaniere de penser Nazi. ,
>LIAAEE fu t fondee par Lord Malcolm Douglas-Hamil-
ton, capitaine de fregare de la RAP pendant la Deuxieme
Guerre Mondiale er, en' outre, parem de la Reine Mere
via Pamela Bowes-Lyon sa mere. nest egalement un
mernbre du « C li oe do n S et» , autre appelation du «Grou-
pe» Rhodes-Milner qui adherait aux objectifs de guerre
d'Hitler, II avait en plus la fierre d'ecre Ie frere du Dued'Hamilron, qui comme nous Ie savons, etait I'hote de
Rudolf Hess a l'issue de son vol en Ecosse en 1941.Le colonel Robert Gayre est Ie fondateur de l 'O rdre de
S ai nt L a za ru s de jerusalem it Edinburgh. La branche US
de eet ordre fur cree par Lord Malcolm Douglas Ha-'
milton. Robert Gayre etait egalement vice-president de
I'ICOC ( In te nu lti on al C o mm issi on a /O r de rs o /C h i/va ry ).
Le Sixieme Congres International de l'ICOC se tint a
Edinburgh en 1962 sous la presidence honorifique du
Due d'Edinburgh et fut preside par le Due d'Harnilton,
Un pont trop eloigne
Apres cette diversion assez exhaustive" revenons
maintenant it nos moutons, c'est it dire it I'audacieuse
strategie deMontgomery conuue sousIetitre d'Operation
«M a r ke t G a rde n» destinees it permettre la prise de 5 ponts
hollandais et it faciliter ainsi urie entree massive des forces
Alliees en Allemagne.
Ceux qui Ont vu I'adaptation cinematographique dulivre de Cornelius Ryan < IA B ridg e T oo Fa n> se souvien-
dront certainernent de I'opiniatrete de ees soldats du }1""
bataillon de 1 a 821me troupe aeroportee des USA, sous
le cornmandernent du major Julian Cook, qui ont fait
traverse la Riviere Waal en pagayant sur d'encombrants
bateaux, sous Ie feu incessant des allemands, pour pren-
dre d'assaur et assurer la defense de 1aroute menant au
pont de Nijmegen, a quelques miles au sud d'Arnhem.
C'erait l'ulrime tentative pour venir en aide aux para-
chutistes britanniques menes par le Colonel John Frost
et vaincus a Arnhem. L e 3 em c baraillon reussit au prix
Pont d'Arnhem. Hollande
fort it prendre le pont de Nijmegen. Mais au lieu de
prendre d'assaut la route d'Arnhem pour prerer main
forte au colonel Frost er garantir Ie succes de I'aud.acieuse
strategic de Montgomery, un chef de division des gardes-
grenadiers britannique parvenant au pont de Nijmegen,
declara it son homologue US : « Nous ne bougerons pas
nos tanks cecte nuit» 32 Furieux, Ie colonel Tucker com-
mandant Ie 504eme regiment US qui assurait la prise du
pont protesta avec vehemence qu'i1 ne fallait pas perdre
de temps avant l'arrivee des renforrs allemands et que les
britanniques devaienr saisir cette chance de venir en aide
au colonel Frost it Arnhem. Indiftereht a ces arguments,
I'officier anglais repeta : "Bon, mais nous ne pouvonspas bouger nos tanks la nuit» en ajoutant : «1l0US Ies
bougerons au marin» 33
Le rnatin suivant, de facon previsible, Iesecteur est repris
par Ies troupes blindees allemandes venues en renfort,
Oubli inhabituel, Cornelius Ryan ne mentionne pas le
n011!du chef de division britannique dans son livre. On
note aussi quelques inexactitudes dans I'enchainement
des evenements,
Une recente serie de documentaire sur BBC intirule
«Battlefields» presentee par un historien , le professeur
Richard Holmes produisit une emission it «La Bataille
d'Arnhem». Le realisateur a fait une interview de Mof-
fatt Buriss, commandant de la compagnie «I» du 5 0 4 i : m < ,present lorsque Ie General anglais Horrocks a demande
au Colonel Tucker, [e commandant de la S04 cm c de
prendre d'assaur le pont en traversant la riviere Waal.
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ET GEOP·OLITIQ.UE
U 5
Selon Buriss, le General Horrocks declara : «C'est une
tache impressionnante. Esr ce que vas soldats peuventl'accornplir ? » A quai le colonel Tucker repondir : «Eh
bien General, si nous prenons Ie pam d'assaut, vas tanks
seront-ils prers a intervenir ? » Horrocks assura : «Mes
tanks seront diablement prers pour Arnhem et rien ne
les arretera» 34
Une fois Ie pam pris, Ie capitaine Buriss accueillit Ies
premiers tanks et quelle ne fut sa surprise de le s voir
s'arreter, n en dernanda la raison au sergent qui corn-
rnandait les 3 premiers tanks bient6t rejoint par un 4'm.
sous le commandemenr du chef de division. Celui-ci
retorqua qu'un paste anti-tank l'avait dans sa Iigne de
mire et que: «si j'avance par la , cette arme detruira man
rank», Buriss lui proposa : "Bien, nous irons neutraliser
cette arme avec VOUS). Mais le sergent refusa son offre
ee lui dit: "Non, impossible, je n'ai aucun ordre a cesujet» 35 Cette situation est en totale contradiction avec
les propos du general Horrocks ainsi que sa promesse au
colonel Tucker.
Dans son journal de bard o fftcie l, I e chef de division
a seulement consigne que la position du pOnt de Nij-
megen avait ete «consolidee»,
Ce dernier apparait aussi dans le documentaire. n ydeclare : « Il aurait ete plutoe diffidle d' avancer». MaisBuriss n'est pas du merne avis et avoue qu'il «s'etaic
senti trahi». Ses hommes ant paye la prise du POnt au
prix fort avec les rnirrailleuses, Ies canons de 20mm et
d' autres nornbreuses autres armes qui les arrosaient, Par-
centre, les britanniques «se sont arretes sous la menace
d'une seule arme alors qu'ils avaient une division entiere
de tanks» a leur disposition. D'un point de vue pratique,
aucun paste arme ne separate les gardes~grenadiers d'Ar-
nhem, a 12 kilometres. A I'extrernite nord du pont d'Ar-
nhem, les parachurisres briranniques tenaient encore
bon. Avec Ie colonel Frost blesse, son commandant en
second, l e major Tony Hibbert de l a 1 0 J < Brigade de pa-
rachute rnenair le combat. IIpouvalt entendre les tanks
du chef de division de loin. Mais ils ne sont jamais venus
jusqu'a lui. Inrerviewe pour I e documenca lr e, Hibbert
exprirne cyniquement, un brin arner que l'operarion
«M e rke: G a rde n» «aurait pu et aurait du marcher», et
ajoute avec un air desabuse que les tanks du chef de
division etaient pourtant «[usre de l'autre cOte du pont
lorsque nous avons ete surpasses»
Les amities nazies de la cour Royale
d'AngleterreEn vertu du fait que le monarque britannique sur Ie
rrone est generalement nomme Colonel en chef du
regiment, onpeuc en conclure un patronage royal du
corps des gardes-grenadiers. Seull'un des dnq regiments
britanniques a l'honneur de porter Ies couleurs du roi, le
drapeau royal, devanr lui a I' occasion de son annlversaire
officiel. Cette tradition remonte a leur mission de pro~
tection rapprochee de Ia famille royale, des palals royaux
et de leur starut de «troupe dornestique»
Les gardes-grenadiers forment aussi run des regiments
ayani l'honneur de protegee la personne du roi, Ensern-ble, Us font serrnent d' allegeance a celui qui est considerecomme le Chef des Forces Arrnees du Royaume-Uni, Le
fait que ce serment soit adresse au roi et non au Par-
lement a une signification pardcullere. Curieusement,
la l e r e sortie en public de l'acruelle monarque, la reine
Elizabeth II, eut [ieu en 1942 a I'occasion de l'inspectiondu corps des gardes-grenadiers, en tant que princesse
Elisabeth lors de son 160m • annlversaire,
Le chef de division des gardes-grenadiers auquel Hibbert
fait reference se nomme Peter Alexander Rupert Smith.
C'est un membre de la tres puissanre et influenre famille
Smith, une des dynasties de banquiers peu connue du
public et qui remonte a 350ans. C'est dans les annees
1650 que Thomas Smith cree la banque S am u el Sm i th dr
C o a Nottingham. C' est l a 1 < 1 < banque anglaise dont le
siege se trouve hors de L ondres, L es generations succes-
sives de Smith s'assurent de la bonne marche des affaires
et en 1902, 10 succursales sont en activite.
Non seulem ent un dirigeant de la famille Smith pris
Lord Rothschild en amide, mais les deux dynasties fu -
rein plus rard liees par un rnariage, Une autre alliance
dynastique fur aussi scellee avec la celebre fatnille de
banquiers, les Baring.r : : influence de Ia famil le Smith prit de plus en plus d ' am-
pleur, Frances Dora Smith epousa Sir Claude Lyon-
Bowes. Ce sont les grand~parentS maternels de lady
Elisabeth Bowes-Lyon, qui se maria avec le prince Albert
(<<Bertie»), Duc d'York en 1923. En 1936, le prince
Albert devient le Roi George VI et Elisabeth devient
la Reine Elisabeth, la Reine Consort, connue plusrard
comme la Reine Mere. Ces dernieres annees, un article
sur sa sympathie envers le «mouvernent pour la paix»
evoqua son «desir d'evicer les conflits avec l'Allemagne
et d'etablir des liens plus etroirs entre les 2 pays». 36
Un journal alia jusqu'a publierqu'elle aurait volontiers
accepte une occupation allemande a condition que son
statut et celui de la monarchiedemeurent inracr." Son
frere, David Bowes-Lyon, dont elle est exceptlonnelle-
mem proche, fur avant la guerre, un des direcreur de la
ban que L a za rd B r oth er s et tint aussi un role important
bien que vaguement defint au seln du SOE _(3S)
I
La «connexion L a za rd B r oth ers « est irnportante erane .
donne les liens de cette banque avec le pro-Nazi Sir
Henri Deterding de la R o ya l D u tc h S hel l ( longtemps
consideree comme detenue en majeure partie par les
families royales hollandaise er britannique) ainsi qu' avec
Ie Vicomre Beamed d'Hill Samuel, tous deux relies au
baron Kurt von Schroder, pur et dur Nazi, financler
du chef SS Heinrich Himmler et membre dirigeant
du «Cerde d'Amis d u R eic hsfiih re r» . E r comme par
hasard, Allen Dulles etait l'avocat americain de von
Schroder. 39 Celul-ci bait en outre un des directeurs de
L a za rd B r oth er s er menibre de l'Association Anglo-A].
lemande (AAA) fondee en 1935 par Ernest Tenant. Ce
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banquier allemand erait le proche ami de Joachim von
Ribbenrrop, ministre des affaires etrangeres d'Hitler,
De nombreux rnembres de cette association etaient des
adrnirateurs d'Hirler dont certains ne se contenrerentpas de I'admirer.
Prenons l'exemple de Sir Oswald Mosley, l 'un des mem-
bres fondareurs du B ritish U nion o f Fascists, plus connu
comme les Blackshir t : et finance par Berlin. Un autre
rnembre de l'AAA etait I'Amiral Sir Barry Domville,
admirateur enthousiaste du nazisme, qui deviendra
plus card un S hi cksh in ny K ni gh ts. 40 Charles Edward,
Due de Saxe-Coburg et Gotha est envoye en Angleterre
par Hitler pour presider l'AAA, avec pour instructions
d'ameliorer les relations anglo-germaniques, de faire
pression pour une alliance entre les deux pays. Membre
est Ie Duc d'Harnilton qui, comme nous I'avons vu
precedernrnent, est Ie conran britannique recherche parRudolf Hess pour son vol en Ecosse. Saxe-Coburg-Go-
tha est bien sur Ievrai nom de famille de la farnille royale
britannique , il est rernplace par Windsor pendant la
1cr<Guerre Mondiale pour effacer routes les expressions
d'animosite du peuple britannique.
La mise a jour des etonnantes connexions entre la fa-mille royale brirannique et les Nazis continue. Le 25
Aotit 1942, le prince George, Due de Kent et frere du
Roi George VI meurt a bord du Sunder land , appareil de
l'escadron 228 du commandement eerier de la RAF, qui
s'est ecrase sur Ia colline d'Eagle's Rock pres de Berrie-dale, en Ecosse. Les auteurs du livres «Doub l e Standerds»
41 emettent la possibilite d'un sabotage de l'avion sur Ies
ordres de Churchill afin d'eviter la conclusion d'une al-
liance secrete entre l'Allemagne et l'Anglererre qui devait
etre officialisee en Suede par Ie Duc de Kenr, probable-
menr au nom de son frere, le Roi . Les auteurs pensent
que l'adjoint du FUhrer, Rudolf Hess voyageait avec lui
it bord de cet avion. 42 Etanr reste it Balmoral la nuit
precedent Iecrash, le Due s'est regale d'un dernier diner
en compagnie du prince Bernhard de Hollande. La
princesse Sophie est par l'age la soeur la plus proche du
prince Philip (qui a change son nom de famille Mount-
barren et est devenu le Due d'Edinburgh en 1947 lorsde son mariage avec la princesse Elizabeth). La princesse
Sophie epouse done le prince Christopher de Hesse, un
membre du staff d'Himmler ayanr ece recrute en rant
qu' «agent" 43. Le prince Christopher rneurt dans un ac-
cident d'avion en 1944, deux ans apres la mort suspecte
du Due de Kent.
Les "Bildeberger"
C'est sans grande surprise que l'on apprend que le chef
de division des gardes-grenadiers, Peter Smith est en
fait Ie 600,. Baron Carrington, plus connu comme Lord
Carrington. En Avril 1985, la reine Iesacre chevalier clutres noble O rder of the G arter, Ie plus ancien et le plus
prestigieux ordre de chevalerie britannique qui remonte
it plus de 700 ans, Lord Carrington, mernbre de la fa-
mille royale par le sang a connu une illustre carriere. II
est notamrnent un ancien president du groupe secret et
d'elite des Bide/berger . Initiees en Mai 1954, les confe-
rences des Bide lberger rassemblent l'elite du monde afinde rechercher un consensus sur Ie s tournures prises dans
Jes affaires rnondiales. Elles sont vues avec beaucoup de
suspiscion par pensent qu'elies outrepassent les prin-
cipes democrarique et exercent sur nous unedictature
mondiale au profit des sews interets de quelques privile-
gies. Parmi ceux qui ont fonde le B i de /b erg er G ro up , on
distingue Ie Gem!raI Walter Bedell Smith, Allen Dulles,
le Premier Ministre francais d'extreme droite Antoine
Pinay (44) et Otto Wolf de la flrme Ot to Wol f A G basee it
Cologne. Le pere de ce dernier fut un important sponsor
d'Hirler, Autre mernbre : Sir Colin Gubbins, Ie directeur
du SOE pendant la guerre qui mit en place ec entraina
les «Unites Auxilialres» prets it former une resistanceclandestine a line eventuelle invasion Nazi. Celles-ci
,
I
!!I!!II;
I!
ILes participants aux conferences sont nombreux et tres j
influents. Comprerenr parmi eux, a I'occasion, David !Rockefeller, Walter Boveri J r -HIsdu fondateur de B rown )
Bouer i - Sir Eric Roll de la banque d'affaires Wflrbu lg de ILondres et enRn Ie Dr Herman Abs de L 1G F ar be n, juste ~
pour nommer quelques uns d'entre eux dans cette etude. I" ,
Le l< r president des Bide lberger est le prince Bernhard de .Hollande, II presida les reunions jusqu'en 1976 quand Iildemissionne suite it sa disgrace pour avoir accepte des J
pots-de yin dans l'affaire Lockheed." i
Autre fait important, la Ie " reunion des Bide lberger !s'est tenue 10 ans apres l'echec de l'Operarion ,<Marke t !
Gardem, dans un hotel ( «Bidelberger», d'ou Ie nom du '!'
Groupe) situe it Osterbeek en Hollandes , it quelques ki-
lometres d'Arnhem et de Nijmegen, au coeur du theatre I,:
de l'attaque de la prise du pont d'Arnhem. ,
Est-il possible qu'Osterbeek ait ere choisi pour la 1''' jreunion des Bide lberger afin de celebrer dans Ie secret !le succes du plan de Bormann? Peut-etre. Pendant ses I2 premieres annees d' existence, quatre reunions se sont ,tenues a raison d'une par semesrre.F En 1954, elles !d "se eroulerent au Mois de Mai et de Septembre. En !
1955, au Mois de Mars er de Septembre. Par la suite, !dies devinrent annuelles, ayant lieu au mois de Mai. Le )
mois de Septembre 1954 est bien evidernment le mois ide l'echec ou de la rrahison constituee par I'Operarion j
«M a rke t G a rde n» " ,I
Lannee 1954 est importante pour d'autres raisons. En
effet, cette annee-la, les Allies donnerent leur accord I , ' ,
pour le retablissemenr de I'AIlemagne de l'Ouest au rang
de nation souveraine. En Mars 1955, [es en treprises 1
allemandes sonr enfin affranchies du controle des Allies
ILe s capitaux de T hy sse n, K ru pp et autres qui ont e r e ;caches it I'etranger peuvent alors etre tries et reintegres !pour la reconstruction de l'Allemagne ainsi que l'avait i
!
sont it leur tour reliees aux unites armees "Oxen Unit»
expertes en sabotage. Une d'entre elles etait presente it
Berriedale au moment du crash de I'avion du duc de
Kent.45
NEXUS n038
mal-juin 2005
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19-20-
21-
22--
23-
GSG&Associares. California, 1981, page 307Voir "The Secret Cult of The Order" d'Amhony C. Sutton pages
34-35Voir «Martin Bormann: Nazi in Exile" de Paul Manning, LyleSmart, 1981,page 232 personnes de plus, routes 2 representant le gouvememem alle-mand eraient presences Ii la reunion de la «Malson Roug""Voir «Martin Bormann» de Manning, meme livre, page 32Voir ,A Bridge Too Far" de Cornelius Ryan, Wordsworth Edi-[ions, 1999, page 48 (egalement Simon & S chusrer, 1974)Idem page 70Idem, page 43"La Fraterj~ite" est le ~om choisi par l 'aureur Charles Highamdans son livre «Arnerican Swastika" (Dou bleday 1985) pour
d6CI.iI.e . l . '. i m . p. . ortanr reseau de personnes et de societe! des nationsA ll ie es e [ n eu tr es qui ont c olla bo re es av ec le s Nazis,
Voir "Trading with the Enemy" d'Higham, pages 179-181
Ce compte-rend. u renfe:me u..n m~uscrit non-,edite sur d,esqucs;uons relatives aux mterets des Na7.lSet des affaires US qUi ont e r eecrites par le P r Peter Dale SCOttqui m'en a gent:iment donne unecopie .
Voir ie sire hrbp'llwlYw,micheluotijn corn/atp1fw4cmreggio,
htrn
I d e mVoir "American Swastika. de Charles Higham page 260
Voir l'article de John Loftus «The Dutch Connection" disponiblesur son site hrrp;llwww,j911ll-ioftus,comftbyssen,a"p pour des de-tails Sur i'Operation Juliana, Cependanr, dans sa correspondance
avec l'ecnvain , le jounalisre hollandais Ton Bicscmaat met endome l'exacrirude des allegations de Loftus, en affirmant que leprince ne s' esr pas due,eremer" Impllque mills qu'il a au lieu de(cia ordo nne 11des « ar nis e r des agents influenrs de &ire le travail11S " ' - place». B iesernaat declare aussl qu'aucun bljou n'a ete recu-p e r e a Berlin rnaisque par con rre quelques «actions" de Ia famll lel'ont e r e bien que le principal object if etair de mew" la fortunede la ,famille Thyssen-Bornemiszas en securite.
Pour plus d'inforrnadons sur les Shickshinny Knights, voir rnonarticle «The Spoils ofW"", sur Im:p;llwww,deeel'bhekies c!!.llkJe coml;rendqu'en fai" le roi Umberto II deresralt Mussollnlmais qu il a accepre d'abdiquer pour evirer un bain de sang,Voir «A Bridge Too F a r > de Cormelius Ryan dans lequel ilnegligeen vain de nommer [e major anglais en question. IIn'est cepen-dan! pas le seul dans ce cas, Je n"a; pI.! rrouver aucune source enligne qui menrionne le nom du major,cela revele I'lmpression-nant pouvoir d'une &mille vrairnenr puissanre.
Rappor'.! par Thomas Pin, un ,e[gem de la 504- et de la 82"'"[foupes aeroporrees, prism! 10[5 de ces discussions.Notes tirees du E'rogramme «The Bart le For Arnhem» du docu-
ment ai re «Ba rdef ie ld s- Sill BBC TV
IdemVoir «Double Standards: The Rudolf Hess Cover-Up. de LynnPicknert, dive Prince et Stephen Prior, Time-Warner Books;
Roysume Un i 2001, page 265
Idem; voir egalement «The Independanr On Sunday" 5 Mars2000Voir «Double Standards» de Ptcknerr, Prince et Prior, le rnemeouvrage, page 264Voir .SS-I ;The Unl ike ly Dea th of Heinrich Hir nm le r" d e HughThomas, Fourth Estate, 2001, page 92, En outre, dans ce livre,Thomas dernonrre rnagistralement qu'Himmler s'est probable-mentechappe er que la personne qui s'est suicidee «air en fajr
undouble,A propos des Shickshinny Knight" voir mon article «The Spoilsof War' sur bnp;/fww\'{,deepbrackies,.CQ,ukVoir "Double Standards" de Plcknett, Prince et Prior, p ag e 4 33Le livre de Thomas Hugh «The Murder of Rudolf Hess" (Man-d.ala Boob, 1977) conrient i'histolre bien connue que ce n'ctaitpas Hess mais son double qui a c u , incarcere a Spandau, Une £oissu ql.!eles Ru55e5etaient disposes a Ie dkher, apres des decen-nies de refus, son double emprisonne est assassin .. pour que le
secret so i t sa uf. -
Voir «SS- l» de Hugh Thomas, le meme livreVoir men article «Circle of Power» qui erudle le Pinay Circle,
egalemem connu comme le «Cercle», disponible sur http:/ /www;~p_h~ VOIlS pouvez y voir de nombreuseserudes
.imeressan,es qui s'emrecroisenrVoir ,Double Standards" de Picimett, Prince et PriOt, page 421I.e prince Bernhard meuIt Ie 1 Decembre 2004, jusre au momenta u ·eel article est mil; SOllS presse.Triia.u§risme" de Holly Sklar (South End Press 1980 ) men-
t ionne ce curieu.x fait ida page 171Voit .Marcin Borma._nl1"de fuul Manning, page 281idem, page 258 .
HISTOIRE ET GEOPOLITIQUE
~~'%~v.' U 5~~~: .
prevu Bormann, 48 En Octobre 1954, Ie traite qui mit
fin al'occuparion de l'Allemagne de l'Ouest est signe aParis, 49
Le futur ressemble au passe. Malheureusement,
traduction: Rondro Henintsoa
A propos de l'auteur :
David Guyatt a travaille 28 ans en tant qu'agent de pla-cement dans la City de Londres, Le dernier peste qu'il aoccupe est celui de Tresorier divisionnaire d'une grandebanque lnternationale. 'II poursuit rnaintenant une car-riere de journaliste, ecrivant pour toutes sortes de me-.dias, produisant et meannt des recherches bastes sur desfaits materiels et sur un large eventail de sujets lies entreeux, Ceci est son 1110 1< article pour NEXUS, Le plusrecent s'inticule «Project Hammen) publie dans ie n" 29,
En plus de sa d..isposit.ion pour I'ecriture, David a preparedes dossiers s.ur.les Armes Electromagn.eti.ques Anti-per-sonnel du JCRC ( International Committee of the RedCross ), II etait un rnembre collaborareur du projetSI_RUS de I'ICRC qui cherchalc a definir les criteresde jugement des «arrnes epouvantables» II a egalemeruecrit pour le WiJ rl d D ev e lo pment Movement au sujer de sa«connaissance approfondie du financemenc internatio-nal des armes. En outre, iI a ere consultant pour des do-cumentaires des televisions en Suisse et au Royaurne Uni,ayanr pour sujet la menace des armes non-mortelles er la
piste des arrnes bnranniques en Indonesle, II a egalementassiste Ie cabinet juriclique Easton& Levy, base am: USAdans son proces centre IeVatican pour la restitution de laTresore rie Naz i -Croa re transferee illl cireme nc a u Vaticaner ailleurs a la fin de la 2me Guerre Mondiale. David aaussi dernierement mene une etude approfondie sur letrafic de l'or et ['a publiee en forme de livre eleccroniqueintirule «The Secret Gold Treaty» disponlble sur son sire
web: hnp:/lwww, deepblackies.co.uk
N O TES D E I:A UTE UR1- Par «tourner autour» je veux suggerer que peu imporre celui
qui gagne une election presidentielle aux USA, leur poliriqueetrangere reste fondarnentalement ia meme,
2- Ici, cela a une importance particuliere <jue e ' est a la suite de lasignature du Traite de Versai lles que de nombreux indusrrie ls
allemands, dcnr Ies familles Thyssen et Dormer, on e developpeleurs rechniq lies financieres po ur ma.-;quec{la prep riete de la leurs
capiraux,3- Voir la conference de Lynn Picknett et de Clive Prince «The Rise
of the Rough Beast» colloque de Sauniere Society, 19 Seprembre1999. Voir egalemem les nombreux articles de I'Agenda de lasynarchie ou du synarchiste, publie par Execucrve IntelligenceReview,
4- Picknett er Prince, meme livre,5- Voir «The Secret Cult of Th e Orden d'Anthony C. Sutton,
Veriras, Auckland, 1986, page 326· Voir l'article "How The Bush Family made its fortune from the
Nazi," ecrit pal John Loftus en Septembre 2000. bttp.f/""""",il)hn. loU tlS,.CO mlThysscn, i 1 W -
7- Voir"'Timeline of Treason :The Bush Family Connection to the
Na.zis~au http://ID''W,s~rr~qtlgdy5;?.1 ~plt!t'!l~lin&hIDll8· Voir Wall Street and t e Bolshevik Revolurion d Anthony C.
Sutton, 19819- Voir "Wall Street and the Rise of Hirler" d'Anthony C. Sutton,
Arlin~on Books, 1974, page 9310- Voir 'Trading with the Enemy" de Charles Higham, Ddacorte
Pr~sS,1983, page 18911- Idem page 2 i112" Idem page 13313- Idem·
14· Voir mon ankle "The Spoils ofWarR disponible sur b[tp:l/www,~blacki;;o_~ .
15- Voir. The Anglo-American Establishment" de Carro!! QUigley
30-
.31-
32-
3.3-
34-
35-36-
4.3·44 -
45-46 -
47-
48-
49·
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facteur declencheur majeur de farnaladie d'Alzheimer etpeut-etre aussi de la maladie de Parkinson et de la SLA
(maiadie de Lou Gehrig). Cela pem egalemem expli-quer la multiplication par dix des cas d'Alzheimer chez
les perSonnes ayant recu le vaccin centre la grippe cinq
ans d'affJee (Dr. Hugh Fudenberg, sous presse, JournaLof Clinical Investigation). IIest en outre interessant de
noter qu'une recente etude a mis en evidence que lephosphate d' aluminium entralnait uri taux d'aluminiumtrois fois superieur au taux d'aluminium dans le sang,
tout comme l'hydroxyde d'aluminium (Flarend R.E.,
Hem S.L et al., " In vivo absorption 0/ aluminum-con-taining vaccine adjuvants using 26 Ai », Vaccine 1997;15:1314-1318).Bien entendu, dans certe conference, nos chers expertS"d' "1 ' - . donnenous isent qu I n existe « aucune onnee rnontranr
un effet curnulatif ou synergique entre Ie mercure erl'alummium »,
Le Dr. Isabelle Rapin exprime son inquietude au sujet
de Ia reaction de l'opinion publique lorsque ces infor-
mations finiront par filrrer, Elle explique (page 197)que Ie public va s'en emparer et qu'on ferait mieux des'assurer de {((a) recornmander la prudence [sic] et (b)
continuer en ce sens en raison des repercussions tres
irnportantes de ces donnees sur la population et la sante
publique ». Le Dr. Johnson ajoute que "-lesenjeux sont~norm_es», A partir de Ii, comment ne pas au moins enconclure au constat d'une reaction extremement preoc-cupee des scienriflques aux resultats de I'etude: Vaccine
Safety Datalinle ? I1setaient de toute evidence terrifies al'idee que le public ait vent de ces informations. Tam-
ponnes en caracteres gras en ham dechacune des pagesde l'erude, on pouvait lire les mots « NE PAS COPIER
OU DIFFUSER» et « CONFlDENTIEL ».
C'esc le genre de formule que I'on s'artendrair a trouversur des dossiers top secrets de la NSA ou de la CIA plu-tot que sur uneetude c1inique de l'innocuite des vaccins,
Pourquoi ces informations etaient-elles gardees secretes
? La reponse est evideate : elles pourraient rnettre endanger Ie programme de vaccination et condarnner
les organismes de reglementation federaux pour avoirignore ce risque pendant tam d'annees, Norre societe
regorge de millions d'erifants ayanr ere affectes plus oumoins gravement par cette politique de vaccination.N'oublions pas non plus les millions de parents ayant
ere obliges d'assister, irnpuissants, aux graves atteinrcs it
leurs enfants par ce programme devastateur,
Le Dr. Roger Bernier avertit (page 198) que « Ies resul-
tats negatifs doivene etre affiches et publies » (par resul-tats negatifs, il fait allusion aux conclusions lndiquaml'absence de toxicite du mercure sur le systeme nerveux),Pourquoi dent-if tant it ce que les « resultars negarifs »scient publies ? Parce que, dit-il;« d'autres parties molns
responsables considereront la retention de ces resultatscomme un signe defavorable". U veut dire le signe qu'ilexiste un problerne avec les vaccins contenant du thi-
merosal. A partir de la , je suppose qu'il veut un articledisant seulement que l'etude n'a rien decouvert. Commenous Ie verrons, son souhait s'est realise.Par ailleurs, Ie Dr. Rapin note (page 198) qu'une etude
reaiisee en Californie a decouvert une multiplication par300 des cas d'amisme suite it I'inuoduction de certains
vaccins. Elle s'empresse d'atttibuer cela a un meilleur
diagnostic des mededns. IIy a deux choses essentielJes a
s
noter . a ce srade, Premieremenr, son idee d'un rneilleur
diagnostic des medecins ne s ' appuie sur aucune donnee,
mais juste sur ce qu'elle a envie de croire (si quelqu'unsoulignant les dangers de s vaccins faisait de rneme, eUe
crierait a la supercherie) . Deuxiemernent, le Dr. Bill
Wei! attaque ce raisonnernent quand il dit (page 207) .:
« ....le nombre de reactions liees it la dose est linearre et
seaustiquement significatif. On peut jouer sur les motsa volonte : lineaire .... statistiquement signiflcati£ " End' autres terrnes, comment peut-on contester des resul-
tats qui montrent un fort lien dose/reaction entre la
dose de mercure et les problemes neurodeveloppemen-
taux 1 Pius les enfants ont des raux de rnercure eleves,
plus ils onr de problemes neurologiques.Le Dr. Wei! continue en disant que l'augmenration desproblernes neurocomporternenraux est probablementreelle. II explique aux aurres qu'i! rravaille dans un
systernc scolalre offrant des programmes pedagogiquesspeciaux, 11declare (page 207) : «Je dois dire que Ienombre d'enfants ayam besoin d'une education spe-
cialisee augmente a une vitesse sans precedent, rant al'echelle du pays qu'a celle de chaqueetar, II ya done
bien une augmentation. Nous pouvons nous demandera quoi elle est due. »
Le Dr. Dick Johnson semble egalement impressionnepar les resultats de I'etude. II declare (page 199): « Celien me conduit it deconseiller d'Immuniser [es enlants
de moins de deux ans avec des vaccins contenant duthimerosal s'i1exisre d'aurres preparations », Chose
incroyable, il s'empresse d'ajourer : {(Je ne pense pasque Ie diagnostic jusdfie une indemnisation dans lecadre du Vaccine Compensation Program (programmea'indemnisation des vicdmes de vaccins) a ce srade ».
II est interessant de norer que I'un des experts presemsn'est autre que Ie Dr. Vito Caserta, direcreur du Vaccine
Injury Compensation Program.
ttvpocrisieet fausses declarationsA ce stade, le Dr. Johnson fait part au groupe de sesinquietudes concernant son propre petit-fils. II declare(page 200) : «Pardonnez-moi cette observation person-
nel]e, rnais j'ai recu un appel urgent a huit heures er rna
belle-Idle a mis au monde un fils par cesarienne, II s'agitdu premier gar<;on de Ja generation suivante et je neveux pas que mon petit-fils receive un vaccin a base dethimerosal rant que I'on n'a pas d'idee plus precise sur
Ia question. Cela prendra probablemenr longremps. Enattendant, et je sais que cela aura surement des implica-
tions a l'echelle internationale, je prefere que mon petit-
flls receive uniquernent des vaccins sans thimerosal ».Ainsi, nous avons la un scientifique siegeanr It ce co-
mite charge d'elaborer la polirique concernant tous lesenfanrs de ce pays, et merne CtUX d' autres pays, qui
est terrifi€ a l'idee que son propre petit-fils receive unvaccin conterianr du thimerosal, mais iI ne se preoccupe
pas suffisarrunent de votre enfant a VOllS pour prendrela parole er essayer de mettre fin a cette folie. Il laisse semertre en place une vaste operation de camouflage une
fois cette reunion terminee et garde Ie silence.
II est egalement imeressant de noter que Ie Dr. Johnsonsent que les reponses menront du temps a arriver, mais
en at(endant son petits-fils sera protege. L'American
Academy of Ped ia t r ics , 1 ' A m er ic a n A c a dem y o f F am ily P h y-
NEXUS n"38
mSi-jUil1 2005
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sicians, !'AMA, IeCDC et toute autre organisation ,50U-
tlendront ces vaccine er clarneront leur innocuite, mais le
Dr. Johnson et quelques autres garderom Ie silence.Ce n'est que lors de la dernrere journee de la confe-rence que nous apprenons que la plupart des objections
concernant le lien positif entre les vaccins a . base dethimerosal et Ie TDA 011 le THADA sont bidon. Parexernple, le Dr. Rapin remarqlle (page 200) que tous
les enfants de I'erude avaient moins de six ans et qlle le
TDA et leTHADA etaienr tees difficiles it diagnosciquerchez les enfants d'age prescolaire, Elle note egalementque certains enfanrs n'ont e r e suivis que sur une courreperlode,
Le Dr. Marty Stein ajoute que, en realire, I'age moyen dediagnostic du THADA est de qllatreans et un rnois (dia-gnostic t e e s difficile a . etablir) et que 1e5recommandations
suite page 40...
'VACCIN rAN1?lTtTANIS,UE :~f;,4ff.~~IIi"J,r.f~~Qf,4 , , ' ( ,t { l M E. :~TifedU,L lvr :e dU,Dr Jean M eric '
« \ l_? ! cc iQ? l t iQ .Qs , )e ne serat plus.complice > > ' E ditio ns M a rc 9 Pietteur
p aY I e m ic ro be , ~ a d ev oir q uitte r \a -p la iee trejo in dre Ie systerne nerveux ce ntra l. E lleva donc sortir de la ptaie et se retro uvera to rs d an s. un milie\l aerobte. Elle peut daneetre atta qtle e p ar I e s yste me imm un it:aire :
Est-ce que ' a toxin« peut-~tre attaquee
Les partisans des vaccinations, par: exem - . par les an~i-corps lorsq.u'el/e quitte .Ie Nou s c omp re no n s p ou rq uo i it ex iste d es te-pie, de pu is ,· pl us de 70 : ans, nous affii:nie-nt·, milieu anaeioli'lie'l . . > • tanos su r les g ra nd s b rQL esalors que.ceux-cicp! La vac ci na ti on a n ti te ta n iquee st ef- . H elas, pas de chance. La toxine chem ine visiblement n'ont pas eu de contacts avecficac:e a 100% . Pour eux, les tetanos ant de L a p la te a na er ob re au systernenerveux d es s po re s tetantques au moment de L a I;>rl)-lieu u niq uem en t ch ezles (lq n-v acd nes.,: C e ,cei;i\-.raj;(la t# te) c;lan sles n erfsa.\'in terieu r lu re. D es sp ores. p resen tes ch ez I 'in diyfd ud isco urs end octrii1 eur' et m oralisateu r: n 'est des neffs: ('est, L a < i u S S ! ; un" milieu avant-leur brU lure, resistantes a lachaleur,pas digne de L a science meditate. Cette inaccessib le aux anticorps, Tout ce qui trouvent des ttssus p re se ntan t a pre s L a br u-~ science, c ett e n ou v el le r et ig io ~ nous ch em in e d an s les nerfs« (toxine, virus etc.) lure, des conditions locates d'anaerobtoses,est lmpos e~ . de P lu s~I 1P_ lu~ ,, ~u~on~a jr e- . " - e s t , al~abti dusystenie-lm munitaire. C 'est C esparties ne sentplus vascularisees, lement avecar rcgance e t in tim l: :J a tIOJ :1 '1' ",' ,te,t,ano,S eel,a,te. . " . .: _ _'
, -- . ----. __.0. --.' . pour ceta qtl'apres un letanos guen' it n'y aEtudions donc L a vaccination antlteta1 )i- jatT lalS d'ariticorps antitox ine. N ous comprenons aussi pourquoi Ie te-
1JIe· , .IIfal,Jd(i!lt:q u e : les v4cdn.;Jlist~sse /JQsent tanosneonatal est toujours m artel. Le s
Ce tt e v~cc \f 1 at foh ne se rt st ii ct emen t , a . etifin les bonnifs questions.': Adine_tt'pns' ttssu sso utlles p ar la co up ure d u co rd on neI t t' I d t' 'A ' . I p euv ent retrouver une vascutensattonsat-:
lien. E e este resuttat d 'une rnonumsn- que a toxin« pUissef:t'tre neutra iseepar vatrice: L a ligature em pechant tout retourtale erreu r, eL le n e n ou s p ro teg e p as, les anticorps,. bien que cela soit imposs.i-
. bl .. . I ,possible de lavascularisa;tion ..I. e bacill.e:\'i~ , te t ai lo5appeh§\: ( :10~Wdi~m '. '- ' : ~~.q'tfsepa~f~:a,t-i., >';. . . .. '.. " , ".
tetani est .une bacterie anaer6 bie sm .·d. Le sys ,te me irnm., u rirta ke es t im pu iss an t' '~n re~unie:';r. lC:iusavons _ un'm icrobe et sa" ;. tex ine "ui sent a l'abn des anticorp sdans la·. .Ced veut d fre que ce b acille n e peut vivre vi s a vis dll bacille puisqu'ilest dans' sa ..,IJIe d an s u n'l: ni lj~ u po ve d 'a i~ ,J jo nC ld 'o lW ' .- pl i! ie ah aemb ie ,. seuteIa toxine .dans .ce,plaie tetanigEme et Une toxine a I 'abrt des• D ,,' ...' •. , y.. t l" F ' I'". . •. '- a n, tic :o tp s d an s I es n er fs , ; L es a nt i_C -O rp san ~gene.. ar1s ,i ; lO. tJ ~s u s j:in ,lrn gQ ej o xy g~ rr e', C a~ se r_ alt:" neU , l ) , q !~~,~s M t lC O r .p s . V o nt tito xin e v a" cin allX ,' n e 5 6n t d bn c, d 'iiu cu nE f:_Ie badLLe dutetanos meurt. '-' rencontrer la to xlile 'et fo rm -erd es cam-: ,__ I"'
. . t ," '. t' b LL util.ite.Cette vaccination doit etr~ aban-Fleut-on a-,roirune sction des anti-corps p,exe~antigenes.anti-corps! m ais ~ ac~ e. d en ne e, p uts ou 'e tte n e s auve pe rs onne .Mlti-toxine --dansun tissu en anait:05io",,,, te~amq~e va enClJreproqu~re de la toxme . . .• ? ' .. '. ,." __.. ~•. ' -.' ' .' '~"'&ipl1i~I:IU~tI n !est':e-~ s\attaq ~e, .g e n ow e" au x·. ji(elu ded ~'cette v accin atio n, neuron des.
cOl)1ptexesantlgenes-ant]corps vont etre latnedecine, \a 'p lu s u tile et Ia p lu s i hd is .·prodaits. Une surcha rge en complexes anti- pensable des vaccinations, se revele com-ge ne s- a1 : lt ic o rp .s va s e, p rqdui ri ;! . D e s degats p tetem en tin utile. M alh eu reu sem en t, il enirfkversibtes voritse'pi-'odt;fire stau-bout, t a o x . 'est d e m em 's p ou r d'autres vaccinations et,mort du malade: H eu reu sem en t q ue cette peut-etre bien, toutes tes vaccinat ions.
vaccination nesert a, rien, qu 'il n 'y a pas de Je pense qu'il n 'y a pas de vaccinationscontact· entre toxineet anticorps. . possibles contre une ba!3 terie, quelle .que .
NOl l svoyons -dO~C q~~ ce' vacci~est tota- " soit la. bacterie, lor.sque les conditio ns loca-'L em entinutiL e qu'iI n 'a aucune action. Que les sont reunies.vous soyez vaccine au non vous avez les'. meme s, ris qu es d ' attr ap er I .e t eta no s, q ua ndles co nd itio ns lo Cales d 'an aero bio ses so ntpresentes.
La . baisse du nombre du tetanos est dures~ eh tiellem en ta ta ch iru rg ie et a \ 'emploide s antib io t ique s.
La chirurgie est la pour parer la pL aie,en lev er les. p artie n ecro sees, les ~ hard esett. , E lle supprim e les p arties anaerob iese t a in si rev as cu ta rise r la p laie .
,L ~s ij" ,n tib io tlq Ues o n_ t p ou r fo nctlo n d esupprimer tes s Lirin fe ttio ns p ar d es b acill.es .p yo gEmes g ro s co nso mm ateu r d 'o xyg en e.C es b ad l ie s f a.v or is en t ta c hu te . d u p o te nt ie l
I .es vaccinations ~~ttoujours e teemj ; : tf r iqueset non s cie ntifiq ue s. C ec l n ou s a c on du it adiser d es p ro du its d an ge re ux e t l nc er ta ln s.Pa r tan t, l es y .a ccinat ioQs , _progre s siv!' !! ll ent ,sont d ev en ues rn tracu leu ses, au reg ard d estn d tv id us e t des medec ins.
Absolument pas puisque Ie systeme
m munitaire est, dans le, sang, un m iL ieu 'm:ygene." ti' tr an sp ort d e's an tic br:p s,': I e'ia ng ag e imm -u nitaire , tes lympnocytesproducteurs d'anttcorps, se trouve dansla circulation sanguine. L a ou iI y a desCW1tk:orps ,' n: \i li al 'a emb ie , ( {ne"pe ut '''I avoirdes b ad lle s d u te tan o:; , m ilieu a nae to bie .
N ous avons a faire a deux mondes tota-(ement heFmetiques l'un par rapport a('autre. . ..
La meilleure preuve de ce que feeris,c 'est que, apres un ~etanos gueri it n '~y_a . .jam ais d'atiticorps antibacterierisou art-tito xin es d an s L e san g d es co nv alescen ts.Cec i prouve que les Q 'acltles, L a t oxine neren tren t jam aisen co ntact av ec lesy stem eIm munitalrc ': . N ous aV ons'dohc bien uneva cc ina ti on p la ce bo.
Les p artisan s d es v accin atio ns v on t m 'o b-jecter que ta va c; ;t ln ii tj on o 'e st p as ' d ir ig~cootre Ie bacille, niais con tre sa tQ xine. L atoxine fab riq uee d an s la p laie an aik ob ie.,
NEXUS n038
mal-juln 2005
d'oxydoreduction qui aid e a 1'installation.du tetanos. La toxine tetanique es t secre-tee dans le but d 'a ugm en te r l'ischemleloc.ale,c'est a d ir e r en fo rc er l'anaeroblose.Hetas p ou r les m alad es c'est tous le s mus-cles d u co rp s quisont tetantses.
- P our les virus c'est un peu plu s G om pljque.que pour les bacteries,' m aJs I ' action desv accin s an tl-v irau x n 'est p as p lu s .satisfai-sante et tres dangereuse pour L asante desiridividus. 1 1 est temps de retlechir avantd'a.gir e t 'd 'etudier, enfin, toute laface:cach ee d es v accin atio ns. L es v accin atio nsn e so nt p as d es p ro du its 'an od in s. E lles co n-tjennent des tas d'im pu retes (v irus etran"g ers, serum .de veau , p roduits chim iq ues,m etau x lo urd s). L es v accin atio ns a virusv iV a nts n e p eu ven tetre steri\isees p uisq uecela detruirait t'actlo n du viru s vaccinal.N ous ne savons 'donc pas ce que nous in--jectons.... .
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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u
publiees par l 'A m er iC t ln A c ad em y o f P e di atr ic s limirent Iediagnostic aux enfants ages de 6 a 12 ans, Bien entendu,il sous-entend que Ie THADA a ete diagnostique chez
un trOp grand nombre d'enfants. Pourtant, une recenteetude a revele que la farneuse etude danoise" qui avait
conduit l ln stitu te o f M e di ci ne aannoncer qu'il n'existairaucun lien entre l'autisrne et Ie vaccin ROR avait utilise
la rnerne tactique : ils arretent le suivi de I'enfant a l'agede six ans (* Madsen K.M., Hviid A.,Vestergaard M. etal., « A popu la tion-based stu dy of m easles, m um ps and ru -
b el la v ac ci na ti on s a nd a uti sm », New Eng. J . Med. 2002;347:1477-1482). On sait que, surtout avec le TDA et
Ie THADA, beaucoup de cas apparalssent apres cettetranche d'age. En fait, la pluparr des problsmes d'ap-
prentissage apparaissent au fur et a . mesure que i'enfantest amene a gerer davantage de substance intellectuelle.
Par consequent, i1 y a des chances que Ie s auteurs deJ't~tude n'aient pas diagnostique un certain nornbre de
cas en arretant I'etude nop tot.
Developpement cen!bral et effetsneurologiques
Plusieurs des participants tentent d'insinuer que l'autis-me est un trouble genetique et n'a done rien a . voiravecles vaccins, Le Or. Wei! fait taire cette rumeur avec cecornmentaire ; « une relle evolution genetique en 30ans est impossible », Autremem dit, comment pouvons-
nous soudainement voir une augmentation de 300 %d'un trouble generique sur une si courte periode ? On
sait aussi qu'il existe deux formes d'autisme : une qui estapparente a . la naissance et l'autre qui se developpe pluscard dans I'enfance. Le nombre de ca s de la premiere for-me d'autisrne n'a pas bouge depuis que I'on a commencea en erudier les statistiques ; l'autre est epldemique.
Notons unechange interessant, dont i1 s finissent par seservir pour affirmer que le mercure ne presence aucun
danger pour les enfants irnrnunises avec des vaccins itbase de thimerosal. II concerne deux etudes realiseeschez des enfants nes de meres consornmant de grossesquantites de poisson contamlne au mercure. Lune de
ces etudes, rapportee dans la revue Neurotoxicology, s' est
p en ch ee su r [e s e nfan cs vivant aux Seychelles. Dans cette
etude, les auteurs om examine l'effet d'une expositionprenatale au rnercure via la consommation par la merede poisson riche en methylmercure. Uneserie de testssur des etapes d e s du developpernenr om ete effectUeset aucun effet nefasre n'aete rapporte dans cette etude
menee par le Dr. Tom Clarkson [et ses collegues), celui-
l a meme qui etait present a cetre conference. 1 1 ne men-tionne nulle part qu'une etude de suivi de ces memes en-
fants a bel et bien decouvert un lien entre une expositionau methylmercure er des resultats mediocres it un test
de memo ire. Dans uneetude ulterieure portant
sur les enfants des lles
Feroe exposes au methyl-mercure, les chercheursont aussi decouvert des
troubles du developpe-ment neuronal. Cette
experience a ere dalisee
par des scientlflques ja-ponais.
5
Pendant tout Ie reste de la discussion, Ie Dr. Clarkson etl es autr es se referent a ce s deux etudes. Quand on leurrappelle que l 'erude des lles Feroe a bel er bien revele des
lesions neurologiqu es chez Ies enfants, i ls repliquent endisanr qu'il s'agissait d'une exposition prenataie au mer-
cure (e r non d'une exposition postnarale, comme dans
Ie cas des vaccins), I'idee etant qu'avam [a naissance,
le cerveau est plus vulnerable car en phase d'intensedeveloppernent et de formacion des neurones. Comme
je 1'ai mentionne, cette croissance et ce developpernenrrapides du cerveau se poursuivent pendant deux ans
apres la naissance ; merne a . I'age de six ans, le cerveaun'est forme qu'a 80 %.
Le Dr. Clarkson ne cesse de faire allusion a . I'etude desSeychelles, qui a dernontre que les enfants atteignaienr
les stades neurodeveloppementales norrnaux au vu d'un
certain nornbre de tests. Le Dr. Wei! souligne (page216) que cela nous en dit peu sur l'activite cerebrale avenir de ce s enfants. n declare : " J' ai entendu dire quebeaucoup d'enfams avaient des difficultes scolaires, Le
fait est qu'ils avaient atteint un stade de developpement
normal ou avance, mais qu'Ils ne savaient pas lire a ragede huit ans, ne savaient pas ecrire a rage de neuf ans, nesavaient pas cornpter a J'age de dix an.s et, aurant que je
puisse en juger, ces la cu ne s s on t sans rappon avec ce queI'on apprend des differemes etapes du developpement
de ces enfants, Je pense done qu'i! s'agit d'une fa~on tres
rudimentaire d'evaluer Ie neurodeveloppernenr. »
Autrement dit, les etudes des Seychelles er des iles Feroenenous disent
riendu veritable
developpemenrdela -
fonction cerebrale de ces enfants, sice n'esr qu'ils arrei-gnent les etapes les plus basiques, En d'aucres terrnes,
votre enfant peut etre capable d ' empiler des cubes, de
reconnaitre des formes et d'avoir des cornpetences Ian-
gagieres de base, mais plus rarddans la vie iI pourra eneconsiderablement deficient des lors qu'll s'agira de rna-
rhematiques avancees, de oornperences langagieres plus
poussees (comprehension) et de l'aptitude it affromer laconcurrence dans un milieu intellectuel tres cornperitiftel que le college ou les etudes superieures, Lavenir deI'enfant se reduira aux metiers les plus terre-a-terre et Ies
plus Iimites sur Ie plan intellectuel.Le developpement cerebral postnatal (c'esr-a-dire, de-
puis la naissanee jusqu'a l'age de six ou sept ans) englobeI'affinemem des connexions synaptiques, Ie developpe-ment dendritique et le raffinement des voles neurales,
etapes preparant roures Ie cerveau a un raisonnementplus cornplexe. Ces elements du cerveau sam tres
sensiblesaux toxines et it une stimulation immunitaireexcessivedurant certe periode, Cela n' est pas rnentionneune seule fois Iors de cette conference.
N'oublions pas non plus que les enfants de ces deux etu-des n'ontete exposes qu'au merhylmercure et non a . ref-fet neurotoxique combine du mercure, de I'aluminiurnet d'une activation excessive et chronique du systeme
irnmunitaire cerebral (microglies). C'est done d'autantplus incroyable que plusieurs de ces «vaccinologues »
et soi-disant experts expriment des doutes qumt a la« plausibilire biologique» que [e thimerosal ou toutautre ingredient entrant dans la composition des vaccinsentraine des troubles neurodeveloppemenraux. La.do-cumentation rnedicale regorge d'etudes de ce genre. Laplauslbilite biologique est tres forte.
NEXUS n038
rnal-juln 2005
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Le mercure, par exemple, rnerne a de faibles concentra-tions, est connu pour perturber la production d' energie
par les enzymes mitochondriales, Le cerveau a run des
raux meraboliques les plus eleves de tous Ies organes,
et une penurbarion de son apport en energie, surtout
durant la croissance, peut avoir des consequences devas-
tarrices. En outre, rnerne a des concentrations plus fai-
bles, le mercure est connu pour endommager l'AON er
nuire aux enzyme.s reparatrices de l'ADN qui, B. encore,
jouent un role vital dans le developpernent cerebraL
Enfin, merne a des taux extremement faibles, on sait
que le rnercure perturbe Ia stabilite des neurotubules.
Les neurotubules sont absolument essenriels au fonc-
tionnernent normal des cellules cerebrales, Le mercure
active les rnicroglies, ce qui augmente l'excitotoxicite et
1ap roduction de radicaux libres par Ie cerveau ainsi que
la peroxydanon des lipides, mecanisrnes centraux des
lesions cerebrales, 0'autre part, merne a des doses infe-rieures a celles pouvant causer des dommages cerebraux
evidenrs, le mercure perturbe le systeme de transpon du
glutamate, ce qui declenche a son tour une excirotoxi-cite, mecanisme central de l'autisrne er autres troubles
neurologiques. Ironie du son, l'aluminium paralyse
~galement ce systeme.
A la page 228, i! apparait encore une fois que Ie gouver-nement americain n'a pas cherche a demontrer l'inno-
cuite des vaccins a base de thimerosal, malgre I'existence
de plus de 2 000 articles revelanr.les effets nefasres du
mercure.On nous dit que la FDA « possede un formi-
dable site d'experimenraeion dans l'Arkansas avec des
centaines de milliers d' animaux» it sa disposition pour
eff"ecmer route etude necessaire ann d'apporter ces re-
ponses sur l'innccuite. La question suivante s'impose :
pourquoi, alors, le gouvernement a-t-il ignore le besoln
de recherches pour repondre it ces questions concernant
l'innoculre du thimerosal? Rappelez-vous qu'au debut
de la conference, Ies participants s' etaienr plaints qu'll
n'existair que quelques etudes, voire pas c l' etudes du
tout, concernant ce « problerne ».
Une fois encore, Ie Dr. R ob er t Brent se repand en injures
centre les proces (page 229). II r u t aux autres qu'il a etelmplique dans trois proces lies it des cas d'anornalies con-
gertitales provoquees par les vaccins et conciur : « Si vous
voulez voir de la science de pacotille, regardez plutot ces
affaires ... » II se plaint ensuire du type de scientlfiques
ayant remoigne dans ces proces. Ii ajoute : « Mais le
fait est queces sclentiflques sont lei, aux erats-Unis, »
En substance, il qualifle route personne opposee It la« polltique officielle » de vaccination de « sclenrifique de
pacotille », Nous avons vu dans la discussion qui SOnt lesveritables scientifiques de pacotille,
Conscient que leurs decouvertes peuvent leur causer
beaucoup d'ennuis, Ie Dr. Brent ajoure (page 229) :
« Les conclusions medlcales/juridiques de cette etude,
causales ou non, sont horribles ... Si I'on venait it suppo-
serque les troubles neurocomportementaux d'un enfant
etaient provoques par des vaccins a base de thimerosal,on n'aurait pas de mal a trouver un scienclflque de pa-
cotille qui soutiendrait cette hypothese avec un degre
de conviction suft1sant. ,) II admet ensuite qu'ils sont
en mauvaise posture parce qu'rls n'ont aucune don nee
pour leur defense. A1ors, qui sont les scientifiques de
pacotille ?
Les {(vrais scienrifiques » sont-ils ceux qui ne disposem
d'aucune donnee, se contentent de prendre leur desir
pour la r€alite et om Ie « sentirnent » que tout ira bien
? Les vrais scientifiques sont-ils ceux qui ornettent d'In-
viter des specialistes reconnus du problerne en question
durant une conference parce que cela risque de rnettre
en cause le « programme»? Ou encore ceux qui decla-
rent ne pas vouloir que leur petit-fils receive dis vaccinsIt base de thimerosal jusqu'a ce que [e problerne soit
regle, maisaffirment pourtant a des millions de parentsque ces vaccins ne presentenr pas le moindre danger
pour leurs enf an ts e r p et ir s- en fanr s ?
Le Dr. Martin Myers formule les choses ainsi (page 231)
: « Ce qui me preoccupe, et quelques-uris d'entre vous
en ont parle, c'esr qu'il existe un lien entre les vaccins
et des problemes qui inquierenc aurant les parents que
lespediatres », II cite d'autresexplications possibles aux
problernes neurocomportementaux et neurodevelop-
pementaux lies aux vaccins, dont Ie nombre de vaccins
adrninistres, les types d'anrigenes utilises et d'autres
additifs employes.
Le Dr. Caserta declare qu'il a assisre It la conference sur
I'aluminium l'annee precedente et qu'il a appris que les
meraux pouvaient souvent agir differemment dans les
systemes biologiques que sous forme d'ions. Cela est
inreressant quand on sait qu'associe Ii l'aluminium, Ie
fluor forme un compose capable de detruire de nom-
breux neurones hlppocampiques It une concentration
de 0,5 ppm dans l'eau po-table. Plus de 60 pour cent
des agglome.rations ayant de l'eau potable fiuoree, cela
devient une preoccupation majeure.
On a egalement appris que les composes de Iluorure
d'alurninium imitaienr Ies composes de phosphate et
pouvaiem activer les proreines G. Les proteines G jouent
un role majeur dans de n or nb re ux s ys teme s biologiques,
tels que le sysrerne endocrinien, et dans fa foncrron
neurotransmettrice en rant que messagers secondaires
intracellulaires. Certains recepteurs du glutamate sont
regis par Ull mecanisme de protelnes G.
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rnat-juln 200S
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a ete fait et en 'e~~~~~~~~~~~~:=~marion, ces informations
et nous n'aurons aucun controle sur l'usage
feront. Et cela me p re oc cu pe b ea uc ou p, ear je
qu'i! ne soit deja trOp card pour falre quai queindependammenc de tout organisme professio '
ce qu'i!s disent. »
En d'autres rermes, i! veut que ces .
tenues it I'ecart non seulement du public
autres sciennflques et pediatres jusqu'a ce
erce correcrement conseilles, Dans la
vante, iI rrahit la raison pour laquelle il estit ce qu' aucune personne exterieure ne s'
informations devasratrices. II declare: « Ma
rant que rnembre de ce groupe est de
de la joumee que 100 millions d'
rnunises contre la diphterie, Ie tetanos el'heparire B et si possible l'Hepatite B,
nee pro chaine et pendant encore de
et cela devra se faire avec des vacc.inssal, it mains qu'un miracle survienne:
rapidemenr une autre, solution, qu' 0
qu'e lle s 'ave re inoffensive. »
C'est 1'une des declarations le s plus
jamais lue ou entendue, En substance; '.'
dire qu'il se fiche eperdurnent queces va
nefastes et detruisent Ie deveioppemenenfants ; ce s v acci ns seront admi
jusqu'a la fin des temps. Son seul
merne, est de proreger Ie
merne s'il est dangereux. Le
£05 de « declaration eloquence
A la page 253 , nous voyonsscientifiques changent de
leurs enf an rs e t p e ri rs -enf an ts .
question de la perte d'un point'
position au thimerosal. Elle '
mesurer Ie QI avec auranttout petit point puisse faire
r epond e ll e-merne a sa qrnes peri rs -en fan rs , je vais
. Q I . » P o u rt a n r , i l s dament a I E '1# " fiTs,S~ll
rique, " A lle z v ou s fa ire
IIest e g a l em en t "1 C"";;"~<I,'H~:"I
plomb cam me toxineWei! note que les
de reglementation ont
a 5 ! J g . En fait, certains
inferieurs sont neurotoxiques
Ioppernenr, Avant que Ies 'V~.l,,!,J.l""''''U''~
considerer Ie plomb comme l.1¥"~,"Jl"h.lU"
les enfanrs, la plupart des «
qu'il n' etair pas toxique,
Une fois encore, cela rnontre « experts» peuvent
s
se tromperet c .' est le public qui en paie le prix.
Le Dr. Bob Chen exprime son inquietude it {'idee que
ces informations parviennent au public. II observe
(page 256 ) : '« J u'a present, nous avons ete privilegiescar, malgre la de ces informations, n ou s a vo ns
faire en qu'elles ne rornbent pas, disons,
responsables ... » L e Dr. Bernier
; « On a reussi a tenir ces infor-» Plus loin, il l es qual if ie. . .d' ({informa-
tion du Dr.
globalement, on sentaitn etait engage dans
chose d'une importance sans precedent. je crois
que cet dement a lui aussi confere uncaraccerepeu special a certe reunion. »
VOllS souvenez sans douce que le Dr. Wei! a souli-
que I'analyse des donnees ne laissait aucun douce sur
forr Hen existant entre les problernes neurodeveloppe-
rnentaux et une exposition a des vaccins contenant du
thimerosal. Alo rs , s 'i ls ant compris l'importance de cetre
decouverte et si c'etait la question la plus imporrante
qu'ils aienr jamais trahee, pourquoi n'avoir rien die au
public? En fait, cela va m em e plus loin.juste pour que vous ne doutiez pas un instant de rna pa-
rolequand je vous dis que ce panel d'experts n'etair pas
objectif je vous livre les propos du Dr. Walter Orens-
tein, Directeur du National Immunization Program ausein des C e n te rs f or D i se ase C o n tr ol (CDC) figurant page
259 . I I declare: « Je l'ai vu [Verstraeten] audience apres
audience aux prises avec des individus excessivernent
sceptiques ... » « Des individus excessivement scepti-
ques» : cela deslgne-t-il des scientifiques objectifs qui
souhairaient examiner les donnees avec un esprit neuf
ou bien des sciennfiques qui etaient convaincus avant
la tenue de la reunion que le thimerosal ni aucun autre
ingredient entrant dans la composition des vaccins ne
presenralr un danger pour les enfants ?
Dans I'une des remarques de conclusion, le D r. Bernier
declare (page 257) : « Lautre dement qui m 'a frappe,
c'est la science », faisant par la allusion a la science etaleepar le s participants de l a r encont re , Puis, Ie Dr. Orens-
tein ajoute : "J' aimerais aussi remercier Roger Bernier
qui a organise cette rencontre au pied Ieve . .. »
Voici une rencontre supposee eue d'une importance
sans precedent, et on apprend qu'elle a ete organisee
au pied leve. En outre, on nous dit que les resultats de
certe reunion aboutiront finalement a une politi que devaccination.
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Le Dr. Orenstein a ensuite Ie cran d'ajouter : "Dansun sens, cette reunion aborde quelques-unes des in-quietudes que nous avons eues I'ete dernier quand nous
essayions d'elaborer une policique en l'absence d'unexarnen sciemlfique rninutieux. [e pense que cerre fois·-dtout e st p arfa lrem en r c la ir. »
Eh bien, je n'aime pas jouer les rabat-joie, mais iI n'a rieneclairci du tout. La reunion n'a cornporte que peu, voireaucun, element scientifique ; au lieu de cela, [es partici-pants ont chicane et trouve a redire sur la merhodologieepidemiologique et les menus details statistiques dansI'espoir de discrediter ies donnees, en vain. En fait, les
soi-disant experts du rnercure ont admis qu'ils avaientbesoin de quelques bons cours pour se rafraichir la me-moire et apprendre quelque chose sur le sujet.
Conclusions
Cette reunion top secrete a ete organisee pour discurerd'une etude realisee par le Dr. Thomas Verstraetenet sescollegues a partir des donnees du V tz cc in e S a fe ty D a t a-
l ink dans le cadre d'une collaboration entre le Nat i onaLI mm un iza tion P ro gra m (NIP) du CDC et quatre aSSI(organismes de soins de same integres). Cette etude s'est
penchee sur Ie dossier de 1 10 000 enfan rs, Dans les li-mites des donnees, ils ont fait une etude tres rninutieuseet ont decouvert les choses suivantes :
I. Une exposition It des vaccins contenant du thimerosala I'age d'un mois etait fortement associee au « trouble
avec rristesse et detresse morale» qui etait lie a la dose; autrernent dit, plus l'enfant avait ete expose au thi-merosal, plus Ie trouble etait important. Ce trouble se
caracterise par un bebe qui pleure de tUron incontrolableet se montre plus grognon que les bebes no rr naux , sans
presenter de lesion neurologique connue.2 . Un risque accru quasi signiflcadf de TDA avec uneexposition It 1 2 , 5 )lg 1 1 l'age d'un mois,
3. Pour une exposition cornmencant a I'age de troismois, un risque granrussant de trouble neurodeveioppe-mental avec une exposition croissante au thimerosal. Cetrouble emit statistiquernenr signiflcatif et incluait destroubles du Iangage.
N'oublions pas que le groupe rernoin ne se cornposaitpas d'enfants jamais exposes au thimerosal mats d'en-fants exposes a 12,5 p . g . Cela signifie que I'on aurair tresprobablernent observe un nornbre accru de problemes
neurodeveloppementaux s'ils avaient pris un grouperernoin digne de ce nom. Personne n'a conteste le faitque ces decouvertes eraient importances et troublances.Pourtant, I or sque I 'e tude fmale a eee publiee dans Iejournal Pediatr ics , Ie Dr. Verstraeten et ses collegues am
tappan€ n'avoir trouve aucun lien concordant entreune exposition It des vaccins conrenant du thimerosalet des problernes neurodeveloppemenraux, Par ailleurs,il s' y presence comme un employe du CDC, sans direqu'a I'epoque O U l'article a ete accepte, iI travaillait pourGlPxoSmi thKl i ne , un Fabricant de vaccins,
Alors comment ont-ils reussi ce tour de prestidigitation? U s ant simplemenr ajoute les donnees d'une OSSI sup-
plernentaire, celles du Ie Harvard Pilgrimage. Le depute
Dave Weldon a note dans sa [errre adressee 11la directricedu CDC que cette aSS! avait ete mise sous sequestrepar l'Erar du Massachusetts pour ses fames de gestion.Pourtant, cette etude a reussi it faire disparaltre Ies don-
nees ernbarrassantes de Laprecederite. Les tentarives du
depute Weldon pour obliger Ie CDC it divu lg uer ces
donnees a un chercheur independant, leDr. Mark Geier
(chercheur aux references impeccables et largernentpublie dans des revues professionnelles) se sont routessoldees par un echec,
IIest evident qu'une vaste operation de camouflage est enCOllIS,. comme cela a ete Ie cas avec tant d'aucres scanda-les (le fluor, les excitotoxlnes alimentaires, les pesticides,
I'aluminium et maintenant les vaccins). Je conseilleralsaux derracteurs de la politi que de vaccination actuelle dene pas mente to us leu rs e eu fs dans le rn ern e p an ie r, c 'e st-
a-dire de ne p a s accuser le seul thimerosal, Nul doutequ'il joue un role majeur, mais il y a d'autres facceursqui som e ga le rn en r e ss en ti els , te ls que l' aluminium, le s
complexes de flucnne d'aluminium et I'activation irn-rnunitaire chronique des microglies du cerveau,
En fait, l'activation chronique excessive des microgliespeut expliquer bon nombre des effetsnefastes d'une
exposition excessive aux vaccins, comrne je I'ai soulignedans deux articles recernmenr publies, Lune des proprie-tes communes a l'a1uminium et au mercure n'est autre
que I'activation des microglies. Une activation chroniquedes microglies entraine la liberation de fortes concentra-tions d'excitotoxines et de cytokines neurotoxiques, Ces -
dernieres se sont averees detruire les connections synap-tiques et les dendrites, et provoquer un developpernentanormal des voies neurales dans [e cerveau en developpe-mem de rneme que dans le cerveau adulte,En substance, on administre trOp de vaccins aux enfantsdurant la phase de d ev elo pp ern en t c er eb ra l la plus ra -
pide. Dans les vaccins, on utilise des meraux toxiquesconnus pour interferer sur Iemetabolisrne cerebral et lesenzymes antioxydantes, pour endomrnager I'ADN et les
enzymes de reparation de I'ADN et pour declencher uneexcitotoxicite,
Supprimer le mercure sera une bonne chose, mais celane res ou dra p as le p ro ble rn e parce que l 'hyperaccivariondu sysrerne irnmunitaire causera des domrnages neuro-!ogiques plus ou moins graves a des cerveaux vulnerables
en phase de developpemenr actif
A propos de I'auteur : .Le Dr..Russell Blaylock, neurochirurgien reconnu, prati-que la neurochirurgie depuis 26 ans et dirige un cabinet
nutritionnel prive florissant. IIfait partie des journalistesdu J ou rn al o f th e A m er ic an N u sr ac eu sic al A sso cia tio n et duconseil de redaction de la revue de I'Am e ri ca n P h ysi ci an s
a nd S u rg e on s, organe de presse officiel de ! 'A sso cia tio n o f .
A m eric an P h ysi cia ns a nd S u rg eo ns.
Son premier livre, E xci to toxins: T he T aste T ha t K il l s, a
dernontre Ie lien entre les additifs alimentaires et les
maladies degeneratives. Le Dr. Blaylock a egalementparticipe 1 1 la redaction de trois manuels medicaux et aeerie et illustre des brochures sur la sclerose multiple etIe bioterrorisrne. C'est ega!ement l'aureur de deux livresrecents, Hea l th and N utri tion S ecrets T ha t C an S ave You r
Li fe et N a tu ra l S tr ateg ie s f or C a n cer P a ti en ts. Son article,« L es e xc it ot ox in es: d e d an g er eu x a dd iti fi a li m en ta ir es » a
ete reirnprime dans NEXVS n"10. Le Dr..Blaylock peut6tre contacts via son site Internet: http://www.russel-lblayiockmd.cnln
NEXUS n038
mal-juln 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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u
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NEXUS n038
mai-juin 2005
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A huit heures du sou, le 6 juillet, Pasteur faisaic inoculera l'enfant, au moyen d 'u ne s er in gu e de Pravaz, quelques
gouttes de sa culture de r no el le s p ri se s a des lapins quietaienr morts de I l l . paralysie resultant d'injections faites
au cerveau de ce s pauvres animaux. ( . ... ) Pendant le s d ix
[ours suivants, Joseph Meister fut inocule regulierernent,recevant en tout environ douze injections de Ill. dose de
moelle.
commence avant que l'hydrophobie ne s'erabllsse, rneme
apres une annee ou plus ...
L es contradictions ne semblent etre d'aucune impor-
tance quand on a besoin de se disculper, si bien qu'un
medecin americain, Ie docteur Dulles de Philadelph ie,
a pu dire qu' en placanr les declarations de Pasteur cotea core, I'acceptanon de presque chacune d'elles appelait
I 'obliteration des autres!
Mainrenant, en considerant ce cas, nous devons deman-
der quelle preuve avait Pasteur, d'une part que ce chien
fut enrage, et d'autre part de Ill.probabllite d'hydropho-bie qui pouvait s'ensuivre chez Ill.victirne?
De Ill. sauvagerie de l'animal, et du fait d'un exam en
postmon.em. qui a v a i t f .e v . '. · .el€ Ia p.re.sen.c.ede" fOi.n.,p.ai.!l.e Le cas du facteur francais, Pierre R a s c o l , ( .. . ) qui futet morceaux de bois» dans son estornac, on ayah infere contraint par les autorites poscales it entreprendre Ie trai-
a son erat rabique, ( ... ) Quant a l 'entant, lenombre et tement, c e qu'i 1 fit du 9 au 14 mars. Le 1 2 avril suivant,[a severite des morsures recues firenr dire, aux docteurs de graves symptcrnes se revelent, avec une douleur aux
Vulpian et Grancher, appelesa donner leur avis, qu'iJ points d'inocularion - non a celui de Ill.rnorsure, pour Ill.
etait, en consequence, presque inevitablement expose bonne raison qu'il n'avait jamais ete mordu. Le 14 avril,a contracter l'hydrophobie, Pourquoi ? Cornrne nous il meurt de l'hydrophobie paralytique, la nouve!le mala-
I'avons vu il n'y avait pas de preuves .reelles de la -rage di e mise au monde par Pasteur. II ne hut pas s'etonner
chez le chien qui l'avait attaque. Mais, dans !'interet de que Ie professeur Michel Peter accuse: « M. Pasteur neIll.discussion, adrnettons que lanimal ajt ete enrage, on guerit pas Ia rage, ilia donne. " ( ... ) La revendication du
doit se souvenir que les blessures avaient succes rernporte par Pasteur est basee sur rat-ete cauterisees (... ) Pasteur lui-merne firmation qu'il reduisit Ie raux de la mortalite
ecrivait comme suit a un docteur exer- par la rage de 16 % a I %. Mais feu le colonel9am aux environs de Paris: ({Monsieur, Tillard a montre dans une brochure intitu-
1 e 5 cauterisations que vous avez prati- lee Pasteur et fa R age que Ill. theorie d'une
quees doivent VOLIS rassurer pleinemenr mortalite de 16 %, avant que Pasteur n'aitsur les consequences de Ill. morsure, Ne introduit SOI1 traiternent suppose preventlf
faires plus aucun rrairement; c'est inutile. doit etre ridiculement fausse (... ) Pasteur,
- L. Pasteur ». En dehors de Ill.cauterisa- compte 1.7782 malades durant l'annee 1887,
tion, on a vu que Ill.possibilite du deve- ce qui slgnifle, suivant son calcul, que 250
loppernenr de l'hydrophobie chez 'une personnes seraient morres si elles n'etaient
personne mordue, merne par un chien pas venues vers lui, Ceci ne peut que parairreauthentiquernent enrage, est rres reduite ~bsurde en regard des f a i t : " ; Ie chiffre Ie plus; de plus, com me Ia duree de l'incuba- eleve de cas mortels, enregisrre au cours dune
tion peut s'etendre sur dou:ze mois, sou- annee, n' ayant jamais depasse 66 !En outre,
vent sur deux ans ou plus, Ie danger que quittant Ill.France, si nous nous tournons vers
ccuralt joseph Meister n'etait pas fini, de Louis PASTEUR d'autres pays, nous trouvons qu'a Zurich, par
route evidence, apres un laps de temps qui ne depassait exemple, sur 233 personnes mordues par des animaux
guere trois mois, alors que Pasteur osait Ie saluer comrne enrages au cours de 42 annees, " 4 seulement sont rnor-
un rison arrache a l'incendle, pour ainsi dire, grsce a res, dont 2 furent mordues a des endroirs O U les rnesures
ses doses de moelle, Finalement, d'aurres personnes, y preventives ne pouvaient etre prises. })Encore line fois «
cornpris le proprietaire du chien, Max Vone, mordus par Wendt de Breslau, a traite 106 personnes rnordues parIe rneme chien que Meister et Ie merne jour, bien qu'ils des animaux enrages, entre les annees 1810 et 1823.
n' e ussent ete nicauterises, ni traites par Pasteur, resterent Deux sont mortes sur ce nombre 4 ». Avec le traiternent
en bonne sante. Apres un examen artennf de ce premier de Pasteur , la moyenne de cas d'hydrophobie passa decas, si vante, de reussite pasteurienne, on ne peut que 30 it 45. Feu Ie professeur Carlo Ruata se plaint du pas-slice, en ce qui concerne Joseph Meister, et autant que sage de 65 decks a 85 apres l'installation de huit insriturs
son histoire est connue, qu'il ne semble pas s'en €tre sorti anti-rabiques ( ... ) Nous pouvons rajouter quela Societe
mieux ou plus mal, avec Ie rrairement de Pasteur, que Narioualed'Annvivisecrion a reuni une liste de 1220plusieurs autres qui s'en pssserenr. morts apres traiternent pasteurien entre les annees 1885
et 1901, et que I'Union Britannique pour I'abolition
de 1av ivisection prepare nne autre liste qui totalise deja
presque 2000 cas, et que chacune de ces morts apres
traitemen~, a ere prise sur les etats officiels des instituts
Pasteur ...
Fen le docreur Charles Belle Taylor, dans Ill.Na t iona lRev iew de juillet, 1890, donne une lisre de cas O U les
malades de Pasteur sont morts, tandis que les chiens qui
les avaient mordus sont restes en bonne sante.
Mais tout le monde n'eut pas Ill. chance du petit Al-sacien, Un autre enfant, Mathieu Vidau, inocule par
Pasteur et considere comme « gueri », mourut sept
mois apres Ie traitement. Pour se disculper de la mort
d'un autre enfant, ill. petite Louise Pelletier, I'echec fur
atrribue aux rnorsures profondes a la tete, au temps troplong ecoule entre la rnorsure et l'inocularion ; cependant
Pasteur pretendaie a Ill.reussite de 50Il rrairements'Il etaitUAcademie pow fa Defense des Etres Humains propose
centre 20 € ce livre iuedit qui n'avait pas efe reeditedepuis 1948, sous formede CD-ROM pOllC PC et pOllC
Mac.
Academic pour la Defense des Etres Humains- 37, rue de
la Pepiniere - 17000 - LA ROCHELLE
~'. NEXUS n038
mal-juin 2005
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imprudent de photographier, cela aurait
pu les facher j. et de toute fayon ils etaient
capables de detruire ces preuves, car iis
avalent acces a routes ses affaires person-nelles.
Sait-it si d'autres militaires ont pris des
photos des G.B. ?
Non, mais iI se souvient avoir aperyu desphotos de G.B. qu'i1 pense authentiques
dans un livre de poche publie au debut
des annees 1990 ; elie avaient ete prisespar une mere au foyer qui se rendait a Albuquerque
au Nouveau Mexique ; landis qu'elle attendait au bord
d'une grand rome elle vir passer un vehicuie de recon-
naissance et prit ,six photos de G.B. qui rnesuraient
deux metres de haut. On suppose que, sous couvert de
cette histoire, it s'agissait de J'experience d'un militaire
qui aurait pris les photos et les aurait envoyees a cettefemme. Malheureusemenr, it ne se souvient pas du nom
de I'auteur.
des annees 6 0
,!!1Ij,
IIIj
!-
III11
j!j~siI!Ii
!I,~,i;
!
A-t-U r~u des pressions ou des recommandations de
ne pa s divulguer les evenements de Nellis?
Non. II dit que !'information meteorologique n'a jamais
fair partie des domaines classifies. Comme observareur
meteo iI n'a jamais fait partie d'une operation secrete
ou ilfallait preter serment de silence. Les ordres donnes
a Charlie etaient _classifies, mais pas ses acdvites. Certe
decision avait ere prise par un cornite qui incluait lesG.B. et certaines personnes du Pentagone. En principe,
Charlie etait Iibre de communiquer avec les G.B. sans
avoir a Ie rapponer systematiquement.
II raconte que Ies generaux arnericains etaient prets atout pour obtenir des transferts de technologie. Us auto-
risaient les G.B. a tuer les militaires qui les insulteraient,
les menaceraient ou leur feraient du tort. Dans son livre,
il.decrit un incident au cours duquel un militaire, ayant
bruyamment invective un enfant de G.B., dut plaider
pour sa vie. La seule raison pour laquelle les G.B. ne
le mirent pas a mort fut, selon Charlie, l 'intervintion
d'un G.B. masculinaupres de la femme G.B. qui argua
que, puisque Ie militaire n'avair pas touche a l'enfant, lesgeneraux americains ne comprendraiem pas pourquoi
elle aurait tue I'Inculpe, Charlie affirme cependant que
les generaux etaient prets a sacrifler des subalrernes ala
vindicte des G.B. plutot que de voir entrave I' echange
de technologies.
D'auttis'mllitaires ont-lls ete mis a mort pour avoiragresse ou irrite des G.B. i'
I .1 raconta un incident survenu en septembre 1965 pres
de la montagne a Indian Springs ou les G.B. avaienr leur
hangar principal. Seion une histoire qui fit Ia Une parmi
les recits relatant les rencontres avec les G.B. , ceux-ci
avaient ete pris pour des moutons bighorn dans Ie de-serr.. Un chasseur et son copain louerenr des chevaux
avec l'Inrention de ramener un trophee, IIs se separerent
et l'un d'eux s'approcha du hangar des G.B. et tira sur
un de leurs enfants. Les G .B. le saisirent et Ie remirent
aUK gardes militaires humains, Ceux-ci
I'executerentet firent croire a un deces
accidentel. Les gardes trouverent Ie
deuxierne chasseur, lepasserenr a tabacet le mirent au trou pendant environ six
semaines.
Charlie assure qu'habiruellernent si on
ne blessait personne, qu' on 11' €tait pas
arme etqu'on se comportait en simple
randonneur, les G.B . n 'i nr er ve na ie nt
pas. Us ne tuaient que s'ils etaient mena-
ces ; leur doctrine etait : «oeil pour oeil,
dent pour dent». Sl on ne faisait den pour les effrayer
ou les agresser, au pire ils effarouchaiem pacifiquernent
les intrus pour les eloigner.
Qu'est-ce qul lui fait dire que le s generaux etaient siavides de recevoir de Ia technologie des G.B. ?
Ils auraient fait n'irnporre quoi pour entretenir de
bonnes relations avec les G.B., afln d'obtenir leur tech-
nologie. Ceci fur corrobore par une conversation que
Ie G.B. «instructeur» eut avec Charles. u s generauxamericains ne s'opposaient pas a ce que les G.B. tuentdes rnilitaires qui auraient cause du tort a un de leurs
enfams. Le s G.B . e ch ange ai en t des technologies telles
que des systemes radios et communications, rnais den
de ce qui touchait aux vitesses supra luminiques, Ces
echanges de technologie se Iirnitaient a ce qui pouvait
leur erre utile, re i que l 'accesa nos sysrernes de telecom-
munication. Ils aidaient au developpernent de vehiculesa p ro pu lsio n n ucleaire, m ais pas a celui de systernes depropulsion pour Ie voyage spatial. Ils ne partageaient pas
avec les generaux leurs technologies antigravite destinees
a l 'espace,Le s generaux americains les accompagnaient parfois
dans leurs vehicules de patrouille dont la technologie
erait done parragee, puisque ces vehicules eraient CODS~
rruits sur Terre avec nos materiaux et l'aide des militaires
US. Les G.B. assistaienr parfois a des reunions secretes
et participaienr a des recherches de technologie. Charles
decrlvit comment s'operaient cesechanges. Les G.B.
participaient a ces reunions et contribuaient au travail
en posant les bonnes questions.
Dans Ie premier tome, ilraconte un incident all cours
duquel it re~:utdes images mentales de I'epoque dela colonisation de l'Ouest emises par les G.B. Penc-Il
expliquer ,
Charles decrivic comment, alors qu'iIlisait l'hisroire de
la colonisation de l'Ouest, clans la , Death Valley [Vallee
de la Mort] et I nd ia n S p r in g s, iI recut des images men-tales de G.B. depeigriant l'epoque de cette region. Ces
images lui venaient lorsque les G.B. etaienr dans Ie voi-
sinage ec d ispa ra is sa ien r l or squ 'i ls s 'e lo ignai en t.
Dans son livre, it slrue en 19541es premiers rapportsde Iapresence de G.B. dans la region de Nellis. Y a-t-
ildes indices qui, a son avis, reveleraient la presencedes G.B. a nne date anterieure ]Ildit que la legende ! ? dn ge Four Harry (un recit atrribuee
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u
aux G.B. pat les miliraires de la base de Nellis) remonte
au mains a 1954.
Estime-t-il que Ie s images mentales eaptees corres-
pondent it des evenements passes reels, ou sont-elles
des illusions ~
IIsentait que ces images mentales refletaient des evene-
ments hiscoriques reels. IIobserva que lo rsq ue les G.B.
partalent, les visions cessaienr. Cela laissait supposer que
les G.B. souhaitaient lui transmettre une information
hlsrorique.
Pense-t-il que les G_B. sont presents dans la region de
Indian Springs depuis 200 ans ?
Oui. On I'a informe que Pamela (une femme G.B.) etaitnee dans c ett e v all ee a l 'epoque de James Madison (4 i"I'
President des USA (1809,..1817). Us apprecienr ce lieu
pour 1a chaleur de son climar, element d'importance
pour eux,
A son avis, pour quels motifs les G,B, sejoument-ils
sorTerre?
Us l'utilisent comme base pour leurs longs voyages
spatiaux ; exactement comme I'US Navy le fait dans Ie
Pacifique. IIs se servent de cette base .pour reapprovi-
sionner et reparer leurs vaisseaux, II evoqua les longues
distances qu'ils parcourent dans l'espace et de la necessitede disposer d'une base telle que la Terre O U ils trouvent
tout ce dont ils ont besoin.
Etant donne que des vaisseaux arrivaient et repartaient
avec regularite, il en dedu is ic qu 'i l s'agissait de transportS
commerciaux.
Pense-t-ilque les visiteurs n'ont d'antre objectifque
d'utiliser la Terre comme base de l'espace et qu'ils
n'ont aucune intention de nons colonlser ni de con-
trOler nos gonvemements ?
Oui, c'est ce qu'il croir. Le s G.B. sont tres satisfaits de
ce qu'ils Onto lis Ont une longevite dix fois superieurea la notre, rnais ce lentvieillissernenr implique qu'ils
mettent aussi dix fois plus de temps a guerir, Ils om ete
abasourdis de voir a quelle vitesse Hall pouvait guerlret ils l'observerent attentivement lorsqu'en un jour il se
remit d'une Ieghe lesion en une joumee,
Charles confirma que les G.B. prefh'ent rester entre
eux et ne cherchent pas du toUt a coloniser la Terre oua do miner nos gouvernements. Ils ne s'inquietenr que
d'entretenir de bonnes relations avec le gouvernemem
des E.U. afin de conserver leur base.
Dans Ierroisieme tome ildecrit nn incident au COllIS
duquel ilfut brU le par nne arme a micro-ondes, Peut-ilen reparlee ?
11 expliqua que les G.B. possedent une arme en forme
de srylo qui provoque une vive douleur, la mort ou sirn-
plement Ie sommei!. II raconta qu'un garde de la CIA,
qui aidait une femme G.B .. a manter les marches du bi-
tirnent du Congres, la heurta par inadvertance et qu'elle
le rnenaca a te l point qu'il dut plaider pour sa vie.n expliqua que l'arme-srylo pouvait etre utilisee pour
5
stimuler les frequences des atomes de calcium, ce qui
provoquait de vives sensations de bnilure, tout en ne
brulanr pas vraiment. Lorsque cette arme est reglee pour
agir sur I'iode, eile peut causer des hernorragies mortel-
les. II compara cela a la grande peste noire, lorsque les
gens saignaienr a mort parce que leurs arteres affaibliesdevenaient poreuses. .
Charles donna, dans un e-mail, des details sur le f011c-
tionnement de I 'a rrn e- sry lo , «C et re a rrn e peut e tr e r eg le e
pour stimuler les frequences des atomes de sodium, de
calcium ou de l'iode. Sur Ie sodium, elle provoque une
decharge nerveuse extremernent douloureuse ; regiee
a forte puissance, elle entraine la mort. La stimulation
des atomes de calcium donne le resultat inverse (calme,
relaxation, sommeil, etc.) parce que cela detend les nerfs.Quant a l'action sur les atornes d 'iode, ainsi qu 'd est de-
crit dans [e tome trois, cela provoque la mort pat hernor-
'' V ue d 'a rti st e d es « Gr an ds b la nc s» r cn eo nt re sp ar Ch ar le s J. Halldans les annees 60. ( T h e r e s a Barbatelli,
http://www.exopolitics.orgkharJeshall.htm ), .
ragies internes par suite de modifications chimiques qui
rendenr poreuses les parois des arteres ; Ie sang se repand
dans les tissus environnants puis dans I' organisme ainsi
que dans la glande rhyrorde.»
Il dit que Ie s G.B.etaient d 'h umeurs in sta ble s, passant I
sans transition de I'amide a l'hostillte.Suire a un ma!entendu decrit dans son livre, Charles
fu r a tt ei nt par l'arrne-srylo regLee sur I 'iode, II eut une
hernorragie interne. II s e s ou vie nt qu'une femme G.B.
amicale $'ap pro cha alors de. lui et se mit 11executer une
sorte de danse gracieuse autour de lui.
Dans un e-mail, il decrit ainsi cette femme G.B. : « . ..
une jeune femme, probablement comparable a uneflUe hurnaine de 19ans, haute de lm78 a Im80. Elleavair un compagnon rnasculin qui, je pense, devait etre
son frere, car ils se comportaienr comme des jumeaux,
Entre elle et moi iI n'y avait aucune crainte, So uvent,
Ie soir, lorsque je preparais les ballons sondes pour Ie
leridemain, elle vena.it se placer pres de moi, a C6fe oulegerement en arriere, Elle s'approchair souvenr a porreede mon bras sans manner la moindre frayeur ; et cette
confiance etait reciproque, Par contre, son Frere etait
visiblemenr craintif et gardait toujours ses distances (15
a 20 m). Manifes[emenr je ne lui deplaisalr pas, rnais it
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restair mefiant. Par exemple, il ne me tournait jarnals le
dos lorsqu'il se trouvait it maim de 30m.
Si cet incident se produisit malgre la confiance eta~bUe avec les G.B, qu' est-ce que cela implique pour les
autres membres d e I'humanite :
C'est un fa.it que,. malg re les bonnes relations et les servi-
ces rendus, les G.B. sont toujours susceptibles de diriger
leurs arrnes centre nous. lis ant des temperaments et des
personnalices t e e s differentes des notres.II raconta une anecdote illustranr le caractere d'un gene~
ra l G.B. qui ne supportait pas Ia rnoindre contradiction
et pouvait devenir cruel des qu'il ne se sentait pas obeiau doigtet it l'oeil. Par centre, le rnedecin G.B. ecait rres
amica! et acceptait les contacts rapproches, Le capiraine
G.B. decrit dans Ie livre de Charles erait un type assez
sympathique, mais il ne s'approchalr des humains que
lorsque c'erait absolument necessaire, II ne s' interessait
aux humains que dans la mesure ou cela peuvait l'aider
dans ses activites. IIy avait un ecart culrurel evident,
comparable it celui qui existe entre et .la culture japo-
naise et nous, ce qui n'empeche pas un americain d'etre
en arnitie avec un japonais. Il souligna les rres imp or-
tantes differences de persormalites constatees d'un G.B.
it I'autre.
Quand a-t-il communique directement avec les G.B.
pOW" la demitte fois ?
Apres qu'il ffitaffecte au Vietnam en 1967, il n'eut plus
de contact avec les G.B.
Quelques autres commentaires de Charles J. Hall.De nombreuses anecdotes ne sonr pas relatees dam son
livre. Pat exemple, en 1965, des generaux americains
faisaient visiter aux G.B. le s quarriers en il logeait. La
premiere fois, il crut rever. II se souvient que les geue-
raux proposaieru aux G.B. de les faire accompagner par
des officiers it bord de leurs vaisseaux de reconnaissance.
Charles expliquacela clans un e-mail: «Les gene raux
americainsenvisageaient que deux jeunes officiers ac-
compagnent I e s G.B. dans leur v6hkule spatial long
courrier nair (c'est it dire vers une emile proche). ]'ai
vu de rnes yew: des generaux americains embarquer et
debarquer, avec leurs homelogues G.B., de leurs vehicu-
les de parrouille blancs.» II estimait risque d'inclure cela .
(dans Ie livre), car il soupconnait qu'il s'agissait d'infor-
mations sensibles, probablement secretes.
II souligna que les G.B. observaient it la lerrre les accords
conclus, II cita comme exernple un accord qu'il passa
lui-meme aveceux .. II fut convenu que jamais ils ne
s'approcheraienr de lui sub rep ticement, afin de ne pas
I'effrayer, et il promit la reciproque, Cet accord fut srrlc-
tement observe dans routes les relations que Charles eut
avec les G.B. et cela l'aida II . survivre, 11comprit que, une
fois un accord conclu, on pouvait fondamenralemem
leur faire confiance,
II
ItI!!
I!IIi
!i Evaluation et analyse elC.opolitiquede Charles Hall.
]'ai crouve Charles Hall cres credible et convaincant
dans ses reponses aux questions. n fait preuve d'Incegrire
et se rnontre tres sincere, se contentant de ne decrire
que des elements de sa propre experience. II re la te ses
experiences de maniere tres objective, sans en omertre la
dimension emotionnelle vivace, permettam de prendre
en compte son etat d'esprlr, ce qui encline it ne pas
dourer du serieux de ses declarations. Le s emotions que
Charles depeinr avec objecrivire donnenr la posslbilite
de mesurer it quel point ce qu'il vivait bouleversait sa
vision de monde er celle de ceux qui I'entouraient.
Ce qu'il [apporte des relations des genersux americains
avec les G.B. iUustre bien le stricte respect des accords
rnumels. Les G.B. sont tres forrnalistes, une caracreristi- 1
que qui semblait bien convenir aux rnilitaires US. Ceif1.
est parriculieremenr signiflcarif dans les echanges de
technologies dont Hall dit qu'ils etaient d'rmportance
vitale pour les arnericains. Les G.B. firent dairement
entendre que seules certaines categories de technologies
seraient echangees et que celles qui concernalent les
voyages dans l'espace en seraient exclues, Selon Charlie,
ces echanges concernaient la construction des vehicules
parrouilleurs utilises par les G.B. II est possible que le
fait de livrer aux G.B. Ies mareriaux necessaires a cetteconstruccion offrait aux scientifiques americains certai-
nes indications sur la conception de vaisseaux spatiaux,
Etant donne que Charles a observe cela au milieu des
annees 1960, il est probable que des constructions
plus importantes ont ete tentees plus recemrnenc, uti-
lisant des moyens de propulsion plus avances que Ie
nucleaire.
Sur le plan de l'exopolirique, la question se pose :
«quels avantages les G.B. auraient-iis recus en echange
de la permission accordee aux arnericains d' assister it la
construction de leurs grands vaisseaux spatiaux ? Si la
technologie necessaire a la construction de petits vehi-
ewes a ete [ivree, quelles ressources terrestres ont pu erre
proposees en echange ?" ..
Charles Hall s'avere etre un personnage intelligent
et rdIechi. II possede une licence en physique er une
maitrise en physique appliquee (nucleaire) et il pense
avoir compris les principes fondamentaux du syscerne
de propulsion utilise par les G.B. dans leurs vaisseaux
spatiaux.
11 n'y a pas ete par quarre chemins pour decrire Ie corn-
portement intimidant des G.B.et leur promptitude
it utiliser des moyens porentiellernenr rnortels pour se
proreger, et surtout pour proteger leurs enfants centre
les eventuelles menaces, que c ell es -c i s oi en c volo nt ai re s
ou accidentelles, Alnsi qu'i! Ie decrit dam ses livres, Ie
simple fait de surprendre ou d'effrayer leurs enfants
suffisait it ce qu'ils menacent les humains avec ·Ieurs
armes perfecrionnees. (cf. htp:/ /exopolicics.org/Exo-
Commenr-Zz.htm).
Au cours de l'interview il se limita a . relever que les G.B.ne reagissaleae que lorsque, pour l'une au l'autre raison,
ils se sentaient menaces. II insista sur Ie principe «oeil
pour oeil, dent pour dent», qu'ils observaient parce
qu'il est rraditionnel dans la societe humaine ; c' est la
fameuse loi du calion a laquelle se refece la bible. Charlesse montra rnoins severe it l'egard des G.B. au cours de
l 'interview que dans ses livres,
NEX.US n038rnal-iutn 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 60/70
u
Alors que, de route evidence, ils'efforcait d' etre aussi
objectif que possible, s'agissant des circonstances O U des
G.B. exercaient des menaces sur les hurnains, il en fai-sait un portrait plus tolerant au cours de l'intervlew que
dans ses livres. respece pouvoir eclaircir un jour cette
contradiction, car e1le devrait aider a en savoir plus surles raisons de leur presence des G.B. sur Terre.
Charles soutint que les G.B. n'avaient pas d'iatentions .
colonisarrices ou de controle des gouvernements ter-
restres, II fit Ill. comparaison avec les bases militaires
americaines dans le Pacifique ou en Iralie, ou Ie principe
consiste a faciliter les operations, tout en respectant le s
souverainetes et les moeurs locales. Ainsi par exemple,
de merne que Ie gouvernement et les militaires US sonr
reputes ne pas avoir l'inrention d'exercer un controle sur
l'Italie, les G.B. n'auraient pas l'intenrion de contr61er
Ia Terre. Voila cependant un argument discutable, car
au cours de l'histoire, les bases a l 'etranger om generale-
ment consrirue un sujet de conrentieux et ont fait partie
d'une dynamique colonialisre plus insidieuse. En verite,
Ia presence de bases rnilitaires en .Arabie Saoudite fut un
element majeur de l'appreciarion locale des motivations
des E.U . au Moyen Orient et a influence les evenements
en Afghanistan et en Irak,
Si les G.B. ont besoin de Ia Terre en tant que base pour
leurs activites commerciales trans-espace, iI serait naIf de
noire qu'ils n' o nt pas Ill.moindre intention de se meierdes affaires humaines er d'influencer les institutions
politiques. Lhisroire humalne 1 1 . rnontre que, lorsqu'une
puissance. installe une base sur un terri to ire etranger, il
est ensuite plus difficile de I'en faire partir et de l'ern-
pecher d'inrervenlr dans les affaires politiques locales.
Cene etape est peuc-erre deja franchie, suite a des ac-
cords passes entre les G.B et des comites humains secrets
charges des affaires extraterrestres,
En se basant sur certains echanges et sur les visions
historiques recues, Charles pense que les G.B. sont chez
nous au moins depuls le debut des annees 1950, voire
depuis deux siecles ou dava.ntage. C'est une questioncruclale qu'il faudra approfondir, car iI est evident que
Ia connaissance de l'epoque de Ill.premiere presence des
G.B. sur Terre influencera notre evaluation de leurs ul-
times motivations.
Sl , cornme Hallie suggere et comme le s G .B . Ie lui ont
fait noire, ceux-ci sont sur Terre depuis plus d'un siecle,
ilserair logique de penser qu'ils n'ont pas d'autres inten-
tions 1 1 . notre egard, Us auraient t e e s bien pu prendre le
conerole de n otr e p la ne te des le debut du I geme siecle.
Si, par conrre, Ies G.B. ne se soot installes que suite aux
accords passes en 1954 avec Ie president Eisenhower (cf
http://WVIW.exopolitics.org/Study-Paper-8.htm) , aloes il
est fort possible qu'ils aient des intentions depassanr
largement [e simple besoin d'une base relais logistique
pour leurs deplacements interplanetaires. Une tech-
nologie de maltrise du voyage dans le temps pourrait
parfaitement leur servir a donner I'impression qu'ils sont
chez nous depuis des siecles, mais ce pourrait aussi etre
une illusion. Personnellement, je pense que les G.B. ne
dorvenr etre associes qu' aux seules rencontres de 1954
avec Eisenhower et que I' etablissement de leur base dans
la region d'Indian Springs n'est pas anterleure.
5
Les G.B. pourraient avoir induit Charles I I . croire qu'ils
ont ete presents a d'autres epoques de l'hisroire, Leur
capacite 1 1 . faire reference it des periodes historiques
anrerieures est peut-etre un effet de leur maitrise du
remps, gr:ke I I . l aquel le 11sser ai enr en rnesure de modifier
nos perceptions. Ceci estevidemrnenr discutable, mais
d'importance virale tandis que notre connaissance des
G.B. s'elargit et que nous abordons les consequences
exopolltiques de leur presence.
En resume, j'estirne que Ie remoignage de Charles Hall
est d'importance primordiale et susceptible d' eveiller
!'attention d'un large public. Certains medias com men-
cent deja a aborder I'histoire de Charles Hall comme·
une revelation majeure et son auteur force l'adhesion Ii
ses theses grace Iison evidence integrite, sa clarte et sa
coherence.
La revelation des experiences de Hall a la base aeriennede Nellis it Indian Springs de 1957 Ii 1967 sera sans
do ute determinanre dans Ill. prise de conscience de l'opi-
nion pubJique de la realite de l'Intelligence extraterrestre
et des implications de sa presence pour notre planete.
A propos de l'Ineerviewe,Charles James Hall est titulaire d'une licence en phy-
sique (1972) et d'une rnaitrise en physique appliquee
(1973) de I'universite d'Erar de Californie a San Diego,
ainsi qu'une maitrise de gestion de crise decisionnelle
(1983) de la Nova University I I . Fort Lauderdale, en
Floride. 11 a plus de 18 annees d'experience en con-
ception de logiciels, dont IS comme chef d'equipedans ce domaine. IIa plus de 9 annees d' experience en
conception/creation de sites Internet, y compris ceux
destines it usage rnilitaire et gouvernemenral. II a aussi
18 annees d'experience en analyses scientifiques dans ledomaine nucleaire .. I I dispose d'une autorisarion d'acces
a un niveau secret du Departement de la Defense -. Pour
consulte son large resume et savoie comment obtenir
des copies de son ouvrage en trois tomes, M i l l enn ia lHospitality , visitez son site web : http://members.lycos.
co. uk/CharlesHall,
A propos de l'inte.rvieweur.
L e Dr. Michael Salla a occupe des pOStes academiquesI I . la S c ho ol o f I nte m ati on ai S e rv ic e, Am e ri ca n U n i ve rsi ty ,a Washington DC (1996-2001), et au D e pa rtm ent ofP o li ti ca l S c ie nc e, A u stra li an N a ti on al U n i ve rsi ty it Can-berra, Australie (1994-96). Il enseigna cornrne membre
de facult.e adjoint a l 'unive.rs. ire. George .Washington, itWashington DC, en 2002. II est titulaire d'un docco-
rat en philosophie de gouvernement de l'universite de
Queensland et une maitrise en philosophic de l'univer-
site de Melbourne, Australie.
Son article de fevrier 2003 <<AnExopo l i ti ca l Perspec ti veon
t he P r e - emp t iv e U S - l ed Wd . ra . : ga im . tl raq»,fut publle dansNexus vof.lO n"3 let resume dans Nexus France n027,
julllet-aour 2003, sous le titre: Perspective Exopolitique
sur la Guerre en leak]. Son livre E x opo li ti cs : P o l it ic a ll mp li ca ti om o f th e E x tra te rr- ertr ia l P r ese nc e (DandelionBooks, 2004), figure en revue dans Nexus vol.Ll , nOS.
Le texte integral de I'interview se trouve a http://WVIW.
exopoli rics.org et a http://WW.N.galacticdiplomacy.com.
Traduction: Andre Dufour
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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5
: i ; ,N I G M E , .
DE CExr~·QSlQ~':1DE LUNGUSKA. . . . . . ;- ' . ' ; : ! ; r . - . . . . . . .#.. _.:;\
Les Mysteres de
la «Vallee de la Mort» en Siberie.
(3eme partie)Par Valery Uvarov © 2004.
D ep arrem en r N 1 3 de l'A cad ern le N arion ale d e S ecurite, S t. P etersb ourg , R uss ie.
Tel. +7 (812) 237 1841. E-mail. nsa@homeuser. ru e t depar t emem13@maiLru .
Iii!
!
!
I
II!!,
IIIII
iIilI!
IIII
Les preuves et temoignages s'accumulent pour
indiquer qu' en 1908 au Tunguska, une meteorite futdetruite par des spheres. de plasma dirigees, dites
«exterminatrices», utilisant une technologie capa-
ble de compenser sa chute pour en tirer une force
explosive, alors que l'humanite ne disposait pas de
ce savoir faire.
Revenons au 30 juin 1908 et aux evenernents rappor-
re s par les temoins oculaires. Lensemble du pheno-
mene se deroula a peu pres selon le scenario suivant.
Vers 07h15 du matin, la meteorite surgit sur une
rrajectoire sud-est it nord-ouest.
A Preobrazhenka, I.M.Volozrun vir «une bande defu-mee d 'o u s'e ch ap pa ie nt des langues de feu» se depla-
cer a travers Ie cieL C'etait la meteorite se precipitantvers la Terre.
Les habitants de Ia region de Kirensk rapporterenr :
. .. u ne c ol on ne i nc a nd esc en te d 'e nv ir on 6 m d e d iam i tr e
et en form e de la nce a pp aru t a u nord-ou est. L orsqu 'e l le
dispa ru t, on entendi t c inq detona tions breves et pu is-
sa nie s, com me des cou ps de ca non, se su cceda nt ra pide-
men t . . . .
Depuis le comptoir commercial de Teteria, dans la d i-
rection du nord et depuis d' autres l oc al it es (K ez hma ,
Nizhne-Ilirnsk, Vitim) qui ne se trouvenc pas sur unememe ligne, on observa ces «plliers de few,...
Une lueur rouge lors de I'apparition
des spheres, avant I'explosion,
Lernergence des «excermina'trices» a lasurface de la
crouce terrestre constitue la phase la plus energecique
de ['evenernent, les «piliers d'energie» et Ies «extermina-
trices» ernertant une lumiere blanche intense, similaire
it celie d'un arc de soudure, Lincensite lumineuse etair
relle que les temoins eurent l'irnpression que tout l'en-
vironnernent avait disparu ou s'etait obscurci. Apres
cette phase, Ie niveau d'energie diminuant, les piliers
ec les «exrerminarrices» virerent au rouge, illuminant
la region _prealablement it I'explosion. Inrerviewe it
Vanavara, Maxim Kainachenok, un Evenk (peuple de
Siberie) d'une cinquantaine d'annees, raconta :
. . . M e s p arents seta ient a rretes SUI' fa Segochamba. L aterre se m it a trembler et on entendit du tonnerre. I t y
eu t d'a bord u n ro ug eoiem en t, p uis le tonnerre. L a l ueur
roug e ne vena i t pa s de Vtm ava nz. A u m om ent de fa chute
de l a m ete ori te , m on o nc le A xen ov so rtit p ou ]' s'o cc up er de s
rennes et ra conta qu e, p ou r com menc er, a u dessu « du lieu
de l 'exp lo sio n to ut de vin t n oir , p ui s ro ug e, e t q u'e nsu ite it
entendit le tonnerre . . .
Cera fur confirrne par AnnaYelkina, une'Evenk de 75
ans qui habirair Vanavara :
lO t Ie matin . . . un peu p lu s hau t que le S olei l; i l y eu t u n
coup de fludre . T res h au t. L e c ie l entia devint rouge , e t
p as seu lem ent le c iel : tou t devint rou ge a ux a len tou rs, laterre et le del U n g rondem en t p uissa nt sefi t en tendre . U n
b ru it de c lo ch e, c omm e si d e s gen s J r appa i e n t S u I ' du jel: L e
tonn erre du ra en viron u ne dem i- beu re .. .
Le vol des «exterminatrices»,
Im rn ed ia rem en e ap res I'apparition des colonnes de
lurniere, les brillanres spheres «extcrminatrices» enta-
merent leur periple vers le lieu de l'explosion, N. Pono-
marev, du village de Nizhne-llimsk,.fir un rernoignage
similaire a ceux de milliers d'autres :A 07h20, on entendit, p res de N izhne- I l im sk, un gra nd
bru i t qu i se m ua en rou lem ents de tonnerre .: C erta inesm aiso ns en f orm t sec ou ees. D e nom breu x ha bita nts u irent
qu ava nt c es so ns «u n c orp s in ca nde sc en t de fa fo rm e d'u ne
ba che» se dip la ra it ra pidernen t a u-dessu s du sol du su d
u er s l e n ord- ou est. I mm fdi ate rn en t a p re s, u n fra ca s r eten -
ti t et, a l 'endroit O U l 'o bje t in ca nd esc en t a va it disp a ru , o n
vi t du feu, pu is de ta fom ie . ..
K.A. Kokorin, un habitant de Kezhma, repondit, en
1930, aux questions de Ye.L Krinov :
T rois ou qu aere jou rs a va nt fa f i te de S t. P ierre , va s hu tt
heu res du m atin a u p lu s ta rd, j 'entendis c e q u i r es sembl a it
a une canonnade. J e m e pric ip i ta i dans fa cour qu i est
or ienteeal 'ou est e t su d-o uest. L es bru its con tinu aient et
je vis, a u su d- ou est, e nviro n It m i -h a ute ur e ntr e l 'h or izo n
et le zin i th , une bou le l " ouge qu i se dip la ra i t ; des ra ies
mu l t ic a l or e s appar a i ss a ie n t a s es c o ti s e t d er ri er e.
NEXUS n038
mai-juin 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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u
Au merne moment, a Klrensk, des temoins observaient,
vers Ie nord-ouest, une boule incandescence rougequi, seIon certains se deplacair horizontalement, selon
d'autres plongeait vers Ie soL
Non loin des chutes de Ill. Mursky (pres du village de
Boguchany) jaillit un eclat de Iumiere bleuatre et un
objet incandescent, netternent plus gros que Ie Soleil,
se precipita depuis le sud en laissanr une large trainee
Iumineuse ...
Interception dela meteorite.
La meteorite fut interceptee par une «exterminatrice»
qui la percuta par Ie haul, reduisant brutalement sa vi-tesse et liberanr une telle quanrue d'energie, cornbinee
avec celle de l'exterminatrice, que cela fit litteralement
fondre la matiere de la meteorite.
Dans Ie numero du 2 juillet [calendrier julien] 1908 du
journal d'Irkursk, Ie Sibir, le correspondant S. Kulesh
ecrit ;
[NOT ; en 1908, Ill.Russie utilisait encore le calendrier
julien, Ie calendrier gregorien ne Iuradopre qu'en 1917,
apres la revolution. Depuis 1582,. Ie decalage avait at-
teint 13 jours]
Le matin du 11 [30J juin, dan, le village de Nizbne-Kerelinskoye (d : quelques 215 km au nord de Kirensk), les
paysans observerent, dans Ie nord-ouest, bien au-dessus de
f'horizon, un objet digageant une fumiere bleue-b!anche
d'exceptionnelle intemiti (impossible a regarder) J( de-
plaram uers le bas pendant dix minutes ... En approchant
du sol (forestier), t'objet incandescent sembia fondre. Un
immense nuage de fomee noire appamt a saplace, accom-
pagni d'un bruit enorme (qui n'itait pas lafoudre), comme
une chute de pierre; ou une canonnade.To;us les b!i.timents
forent secoues. Au meme instant, des f lammes de touses les
formes commencerent a jaillir du nUdge...
Void le recit de S.8. Semionov, qui se trouvait it Vana-
vara, it 100 km du lieu du desastre ;
. ..Brusquement, loin au-dessus des arbres, unelarge .langue
de f e u dechira le ciel VeTS Ie nord et l'embrasa: Ie ressentis
une telle chaleur que j'eus l ' impress ion que ma chemise
avait pris f eu . Ie voulus crier, arracher le vetement, mais
a cet instant le cis] se reforma bmtalement dans un bruit
enorme. [e J u s pro jete au sol d : srois sagem [4,5 m]. Au
moment a u le del s'itait ouuert, un 'vent cheud ftait passe
sur les maisons, comme un coup de canon, laissant au sol
des trainees et abimant lesgror oignons. On dicouvrit alan
que de nambreases oitres ava-ient eclate et que le moraillon
en fir de fa porte de la grange hail brisi ...
P . P . Kosolapov, qui s' erait renu pres de Semionov, senti
une brulure aux oreilles rnais ne remarqua aucun pheno-
rnene lurnineux. A cinquanre kilometres de l'explosion,
les v~temems des gens se mirenr it roussir par la chaleur
insupportable qui leur parvint du fond de Ia taiga. A
soixante kilometres, personne ne pouvait supponer le
contact brUlanr du sol. A six cents kilomerres, l'eclar
5
obscurcit Ie Solei],
Des forces explosives compensees,
Questlonnes par les sciennfiques, les habitants racon-
terent qu'en certains [ieux, juste avant la terrible ex-
plosion, des arbres, des yourtes et des pans de collines
furent aspires vers Ie del, tandis que dans les rivieres, des
rnascarets se propagerent it centre-courant. Ces observa-
tions indiquent sans aucun doute qu'une implosion eur
lieu, provoquant une aspiration centripete, tan dis que
sirnultanernent une composante agiss-ait dans Ie sens
inverse, car les arb res auteur de I' epicentre du souffie
furent couches radialement vers I'exn!.rieur. Cetre oppo-sition des effets revele une technologie cornpensacrice
des forces explosives. L es rapports de nornbreux temoins
permettent d'elaborer Ie scenario d'une onde de choc
dont les pressions furent distribuees de rnaniere bien
ordonnee,
Les rapports de recherches er les interviews compren-
nent un nombre important de donnees qui n'onr pas,
1 1 . l'epoque, retenu l'attention des specialistes, Par exern-
pie, des indications selon lesquelles les chocs, les bruits
et leseclairs qui accompagnaient l'explosion ont e r e
decrirs differemment par des temoins qui se trouvaientit peu de distance les uns des autres, certains le s ayants
qualifies de terrifiants et d'aurres d'lnsigniflants, voire,
imperceptibles.
Certains temoins qui furent assez pres- du lieu de l'ex-
plosion affirmerent ne pas avoir perc;:u de souffle, ni
de mouvements du sol, alors que dans d' a utres corn-
munautes, situees a 600 km de I'epicencre, les maisons
rrernblerenr, les vines volerent en eclars et les parois des
foyers fermes se fendirenr.
Autrernenr dir, l'onde de choc principale de l'explosion
semble avoir ere compensee de rnaniere a ce que Ie rnoinsde monde possible en souffrit, bien qu'il s'avera impossi-
ble d'eviter des victirnes surtout parmi les animaux (des
milliers de rennes et quelques humains, qui n'avaient
pas accorde credit aux avertissernents des chamans et
etalent reste dans la zone dangereuse, perirent).
Ce n'est pas la premiere fois que le s chercheurs rencon-
trent un cas de recours it une techno!ogie de compen-
sation de forces explosives. L e processus et res eifers de
l'explosion du Tunguska ressemblent a ceux de l'evene-
ment du 12 avril 1991 a Sasovo, it 500 km au sud de
Moscou, Un examen detallle indique que,. dans les deux
cas, la force principale de I'onde de choc et les effets
d'explosions gigantesques furent, en quelque sorte, eva-
cues vers un espace (une dimension) different !
Un des signes specifiques revelateur d'une technologie
explosive compensatoire est [e bruit caracteristique
precedent et concluant Ie souffle principal. Tant 1 1 . la
Tunguska qu'a Sasovo, (ou se forma un cratere de 28 m
de diarnetre sur 3,5 m de profondeur au plein milieu de
la ville), Ie fracas de I'explosion proprement dire fur pre-
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
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cede et puis suivi d'un son que les temoins du Tunguska
decrivirent com me «semblable a du vent qui souffiait dunord au sud», D'autres evoquerent ce bruit cornme celui
du passage d'un obus de trois pouces. Rernarquez que cebruit precedair l'explosion et se fit aussi entendre apres,
comrne si un objet s' eioignait du lieu du desastre, Dans
Ie cas de Sasovo, les temoins cornparerent le bruit a celuid'un avion a . reaction qui rombait ou qui s'eloignait.
Void le remoignage de Nikitina, une femme qui tra-
vaillait a la gare de Sasovo :IIy eut soudain un vrombissement c ro issa nt ; le s m u rs de
fa tou r de con tra le ou je me trouvais s e m i re nt a trembler .
Yint alors une explosion monstrueuse. Les vitrages s ' t c r a s e -
rent au sal . :
Ensuite les temoins decrivenr un bruit qui semblait
s'eloigner,Globalement, tout cela produit la sequence suivame .:
1. un vrombissernent croissant ;
2. une puissanceexplosion ;
3. un «bang», type supersonique,et un vrombissemenr
decroissant, (cornme celui d'un jet qui s'elolgne de l'ob-
servateur) .
Le recours a une technoiogie de compensation fait
immanquablement penser que des forces intelligences
conrrolaienc toute l'operarion. Si ce n'avait pas ere le cas,
les effets des explosions auraient ete Inflniment plus de-
vas ta reurs , courant probablement la vie a des centainesde rnilliers de personnes.
Sur la meteorite du Tunguska, Ie premier impact fur
donne par une rerminarrice qui fcappa de haur en bas
et etait au rendez-vous a environ 10.000 m d' altitude.
L'explosion fut accompagnee d'uneclair aveugiant dont
les radiations caicinerent la vegetation et allurnerent des
incendres dans un rayon de 25 krn,
Distorsion espace-ternps,La prodigieuse decharge electromagnerique qui se pro-
duisit au moment de l'impact de la terminatrice gener.a
une remagnerlsation des sols et des effers exrrernernent
puissants sur I' environnement et sur la structure spa-
tio-tempcrelle du site de l'explosion. II en resulta un
changemem de l'ecoulement du temps physique qui
fur observe, des decennies plus rard, par des expeditions
scientiflques. La distorsion de I'espace-temps suite a unepuissante decharge electromagnedque est une compo-
same de la technologie de compensation. .
Si nous pensons que les OVNI utilisent ce rnerne
champ electromagrierique pour passer d'une dimension
a l'autre, alors certains traits caracteristiques des recits
donnes par les temoins du Tunguska [lOUS permettent
de considerer les evenernents sous un jour nouveau,et
de rnettre en lumiere des details remarquables qui ont,
jusqu'ici, echappe it l 'auention des chercheurs,Voici Ie recit de Ivan Kurkagyr, le fils d'un ternoin du
Tunguska. U contienr [a curieuse description de la rna-
niere.dont, au moment de l'explosion - qui est une puis-
sante decharge elecrromagnerique entrainant une distor-
sion des formes - des personnes et des anirnaux furent
instanranernenr deplaces vers d'aurres lieux. Autremenrdi r, ils sub iren t un transfert spatial.
...It Y aua i t u n grand rassem blem ent de tenses. L e m atin ,
on entendi t du tonnerre. Un orage i n c royab l emens bruyant
ec la ta . Ii demolit les tentes, tra mp orta lef gem dam fa ir.
Des personnes se retrouuerent lo in dans les marecages . li s ne
comprenaienspas. .. comment il s a va ie nt p u etre transportes
ls-ba: L ' orage qui m it le feu a til ta ig a b ru la a ussi les l - e n -
n es. L e fe u se propagea. If y avait fa fa re nte d'un bomme .
Ce gar s voulait renzrer chez lui. If avait de fargen! dans
son tursuk [sac en feutre]. Voyant le f eu , if se p recip i ta p o u r
prendre L a rg en t. I l c ou ru t u ers l a r iu ie re et les te nse s. L eJeu itait en train de consumer les tenses [d e ses voisins). Les
gens se [e te ren t dans fa r iv ie re . L e f eu paSJa sur frau. Ceux
qui etaient dedans s'enflammJrent. I ts piongerent, mais le
feu a ll em a c eu .x- Il J. a u ss i, bra lan t leurs tetes. E t a insi il s
perirent tous.
Un autre indice revele J'effet puissant du souffle sur la
structure de l'espace-temps. Au moment de l'exploslon,
Ie del s ' ouvrit et Ies gens purent voir l'espace exterieur,
le ciel etoile, au-dela de l 'arrnosphere.
Questionnee en 1930 par Krinov, A.S. Kosolapova, fllle
de S.B. Semionov, declara :
}avais 19am et au moment de la chute de ta meteorite je
me t rouua i s au compto i r commercial de Vanavara. Marfa
B riu khanova et moi i tions a l l e e s chercher de l'ea« a fa
source. Pendant que Marfa puisait l'eau, letais debout pres
d'elle, foee au nord A cet instant, le ciel s'ouvrit devant
moi, ptsqu'au so l et je vis un jet defeu. Now eames peur
et je parvins a dire: «Pourquo i le del s'ouure-s-il en plein
jour? [e sass qu e le del louvre fa nuit, ma i s jamllis en p l e in
j ou r» . [ u ste a p re s, l or sq ue l e c ie l se r ef er ma , n O lI S entendimes
de s coups, comme if canon ...
Au moment du premier impact, plusieurs spheres «ex-
Diegremme extreit du per iodiquo
Teknik» i Molodezh (1984 nrL),
montrsnt l'emplscement des te -maills et les trsjectoires ptisespar les spheres «exterminstrices»
vets la meteorite, sinsi que rap-. po rte s su x ch ercb eurs S us lo v (1),
Astepovicb (2), Knnov (3). Ko-
aenkin (4) et Fast (6). Le numero
5 indique ls trsjectoire i tablie par
l 'expedition qui utteignit Ie s ile de
l'explosion ell suivsnt ls direction
de s a r br es s bs tt us .
terrninatrices» etaient en atterite stationnaire, et leur
energie a haute frequence grillait Ies somrnets des arbres,
Durant les dernieres minutes avant I' evenement final,
NEXUS n<>38
mat-juin 2005
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u
plusieurs autres «exterrninatrices» se precipirereru vers la
zone (qui re~ut plus tard le nom de Kulik).
Parmi ceux qui virent les spheres incandescentes traver-
ser Ie del, de nombreux temoins declarerent que leurs
mouvements s'accornpagnaient d'une lumiere eblouis-
sante et d'une forte emission de.chaleur. Voici comment
eet evenement apparut au chantre admiratif du poeme
O lonko ..
lnsa is i ssable en vol ,
S a ns o mb re ,
L e ra p ide hba u t - m essag er du Dy e se g ei c el es te ,
A Ia cotte de m a ilk l tin ce la nu ,P lu s ra pide qu e ! 'ec la ir ,
K iu n E rb iie, le champ ion .
I I vo la ,
Une e to il e en c hu te ,
Seul siff/ai.t I'air derriere lui...
l ( f i la comme u n e j le c he
Au-dela des l im i tes
Du del jaune de l'ouest,
Vers la pente abrupte infirieure
Du ciel au-dessus de l'ab£me.
I I vo la en hau teu r -Seul retentit le tonnerre ...
U n feu b leu brUlait d er ri er e l ui ,
U n f e u blanc s e d e cha l :n a i t dans sa n si l lage,
Des ltincelles rouges dansaient en- essaim,
Une lueur jaillit dans le i nunges. ,.
KiunErb i i e
Ce qui est rernarquable, c'est que (des limites du del
jaune de l'ouesr» signifie exacternenc la region du Tun-
guska Podkamennaya!
Fragments de meteorites.
Pour comprendre la suite des evenements, il faUt appre-
hender de facon precise le rappon entre ['altitude du
premier impact (10.000 m), la surface de destruction
des arbres (beaucoup plus large que certe hauteur), et
la distance de dispersion des fragments de meteorite
(des centaines de km) . Lintervalle entre le s explosions
correspond au temps de vol des fragments d'un impact
a l'autre,
Au dessus de la zone d'Irnpacr de Shishkov la meteo-
rite avait ete reduite en plusieurs fragments. Ceux-cis'eparpillerent, mais les spheres sexterminatrices» les
lnrercepterent de plusieurs directions et les detruisirent.
C'est pour cela que, d'une part, dans la zone des arbres
deracines les chercheurs rrouverent plusieurs epicenrres
marques par des troncs couches dans tous les sens, tan-
dis que, d'autre part, les temoins declarerent tous avoir
entendu d'abord une explosion formidable (la fragmen-
tation) et ensuite, en I'espace de dnq ou six minutes,
une serie de detonations ressernblanr a une canonnade(destruction des fragments).
s
Apres la fragmentation au-dessus de Shishkov, de grands
morceaux restants continuerenr sur leur [ancee en direc-
tion de la zone de Kulik. Cependant, ayant perdu une
grande partie de leur energie et de leur vitesse, ces.frag-
rnents mirenr une quinzaine de minutes pour couvrir la
distance de 120 a 150 Ian (la vitesse d'un avian a reac-tion), apres quoi it y eut une autre tres forte explosion
lorsque les «excerminarriees» les incercepterenr,
Dans la region d'Irkutsk, district de Nizhne-Ilimsk,
un habitant du village de Berezovo, Yegor Ankudinov
etait en compagnie de son pere et de son onele en
train d'abattre des pins pour construire une maison. 1 1
raconte :
Chait u ne b el le jotlmie. N o us u en ions de p rendre le p eti t
dijeuner et commencions n couper du bois. Soudain un
c ou p se f i t entendrea proxim iti . L e sol se m it a tr em b le r e t
des b ra nc he , m ortes tombirent: d e s arbres. E nsu i te un peu
p lm tard, it y eut un a utre cou p de tonnerre ; comme le
precedent , man tr is tre , l oi n dam fa d ire ctio n du n ortL
Le quotidien Krasnoyaret: du I3 juillet 1908 publia :
Village de Kezhemskoye. Le 17 [30 juinla 07hOO , un
bru i t d e v en t v io le nt se f it en te nd r- e- lmmediatement apres
i ty eut u n e te rr ib le . di Jl og ra ri on , a c com pa g ni e d 'u ne v ib ra -tion du so l qu i f i t tremb ler I e batimmt, com me si celui-ci
ava i t itt heurti par Ul1£ i:norme grume ou un rocher. La
diflagration fut suivie d'une aurre, tout aussi puissante ,
puis d'une troisierne. Dans l 'in te ro al le e ntre la p rem iere
et fa seconde un gromlement sauterrain se fit entendre ,
comme si une dizain« de tra ins p assa iens ensem ble su r fa
meme vote. E n su itc , q ue iq uc chose q u i r es sem bl a it a un tir
d'art i l lerie resonna pendan t 54. 6 m inu tes ; 50 a 60 cou ps
se y uc ctd an t r ap id emm t a c ad en c e pms iq u emen« rigulibe,
l es d em ie rs c ou p s f oi bi issa nt p ro gr essi ve me nt: . U n e m in ute
et dem i a deux minutesap-m I. a fin du «tin>,on entendi« sixcoups success if i , comme de s coups de canon , lointain: mai s
c la i rem en t a u di bl es et accompagnis d e vi bra tio ns d u sal . .>'
Le s gigantesques spheres de plasma s'etaient abauues
sur les fragments de mereorire, liberanr une quantile
colossale d'energie pour detruire route Ia matiere de
l'envahisseur cosmique. Considerant la probabilite que,
la rupture de fa meteorite air dti la fragmenter en de
nombreux petits morceaux, nous fUmes amenes a con-clute que Ia charge elecrromagnerique des «exterrninatri-
ces» possedait une propriete particuliere, Le vecteur du
champ magnerique d'une terminatrice aurait agglutinespar attraction [QUS les &agments er res aurait ensuire
detruirs dans l'explosion suivanre.
II est possible qu'a hauteur de la zone de Shishkov (1 ) ou
de Kulik (2), deux gros fragments, detaches de la meteo-
rite par le premier impact, aient ete projetes a 100 km11droite de Ia trajectoire (4 et 5) O U lis auraient ete rat-
trapes par des «exrerminatrices» et Iitteraiement reduirs
en poussiere, Lenergie des «exterminatrices» etait telle
que, outre les radiations electromagnetiques vers Ia terre
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C ra tere de Voronov Retombees de Kulik
elles emettaient aussi de puissantes decharges electriques
(comme la foudre),
Voyons les remoignages. Le marin du 30 juin, les freres
Chuchancha et Chekaren, du dan des Shan i a g i r , dor-
maient sous leur tente qui avait ete plantee au bord de
la riviere Avark i t ty . Us furem reveilles pat de puissantes
secousses et Ie bruyant siffiemem du vent:
C heka ren e t m oi sortim es de n os sa cs de c ou cha ge e t f U mes
su r I e p oin t de ram per ho rs de la te nse io rsq u'i l y c ut so u-
da in un vio len t cou p de tonnerre . C e fu t le p rem ier. L e so l
commenca a su rsau ter e t a trem bler e t u ne ra fo le de ven t
b al ay a n otr e te nte . .. j 'a ssi sta i a lo rs a u n s pe c ta c le t er ri bl e:
l es tr on cs d 'a rb re s to m ba ie nt, l es a i g ui ll es d e p i ns b rttl ai mt,
l es b ro us sa il le s fl am b ai en t a in si q ue Ia mousse a r en ne . I t y
a va it d e Ia f umee partout, no us a uio ns m al a ux y tu x. I l f oi -
sa it te rr ib le me nt c ha ud , a sse zPOUI' en m ou rir . S ou da in , a u-
d e ss u s d e I a co l l i ne O U I a f or te i ta it d e j a tombee , la l um i tre
s
Directions des arbres abattus i1 Fipicentrede J'exp/osion.
devin t in tense et .. . c om me si u n a utre S ole i l i ta it a pp aru . . .
c ela fo lsa it m al a u x ye!lX , je lesferm ai . U n enorm e cou p de
tonn erre su iu it im med ia tem ent. C e fu t le se co nd . C ' ha it
u ne m atin ee e rn o/e ilL ee , s an s n ua ge . N o tr e S ole d b ri l /a it,
c om m e d'h ab itu de , e t vo ic i qu 'i] y en a va it u n deu xi tm e !
A lors nom u im es, a ppa remmen t en a l ti tu de et dan s une
d ir ec ti on d ijf er en te , u n a u tr e e cl ai r e t u ne f or te d eto na ti on .
L e ven t nou s sa isi t, nom . jeta au 50 e t; se co ua le s tro nc saba t tus .
N o us o bse rva me s le s a rb re s q ui to mb aie nt, u im es leu rs th es
se b ri se r e t pr en dr e f eu . C h ek ar en m e c ri a : « re ga rd e ! a- ha ul »
et p oin ta du do ig t. [e vis u n ec la ir , i l j a il l i t en core da ns u n
g rand coup de tonnerre . M a is ce coup f u t u n p eu m oins fort
qu'auant. C ' t! ta it l e q u asr ie me , c ette f oi s c om m e u n to nn er re
Retomhhs de Shishkov
norm al . . .
I I m e revien t a u jou l 'd 'hu i qu 'i l y en eta u n c in qu ie me,
b ea uc ou p p lu s fo ib le , a mo rti e t l oin ta in .
Plus tard, les chercheurs decouvrirenr un nombre crois-
sant d'arbres foudroyes a mesure qu'lls approchaient de
l'epicentre ou c'etair le cas pour 80% d'entre eux. Ceci
se trouve confirme par les scientiflques de Novosibirsk
quidemontrerent que Ies arb res avaient e r e deracines parun souffle radial (en etoile). Ils conclurent que I'objer
qui avait eclate ne devait avoir que quelques dizaines de
metres de diarnerre et que des explosions subsequentes
avaient brouille la trace du souffie radial initial.
Des specialistes ont affirme que les decharges electriques
avaient dechire l'air pendant 2 a 15 minutes, donnant
l'impresslon auditive d'un tir d' arrillerie, aIors que
pendant tout ce temps leur source demeurair au-dessus
de I'epicentre et ne se deplacait pas a grande vitesse. End'autres termes, l'objet arriva, s'arreta et matqua l'en-
vironnernent sous-jacent de multiples fa<;ons: par des
radiations, des distorsion remporelles, des mutations ...
La plus grosse partie de Ia meteorite du Tunguska fut
detruite au-dessus du site de Kulik, rnais un marceau
echappa er fi:anchit encore 120 km avant d'arriver au
sol. La destruction methodique de tour ce que contenait
la meteorite laisse a penser qu' elle charriait une sortede bacterie ou de virus dangereux pour la vie sur Terre.
C'est pourquoi une des «exterminatrices» plongea au sol
et acheva les testes de la meteorite, ce qui provoqua un
important seisme, Le resultat fut un cratere de 200 rn de
diarnetre par 20 m de profondeur, que I'on appela plus
tard «le cratere de Voronov».
Dans une lertre du 28 juillet 1908, Vakulin, Ie chef du
departernenr postal de Nizhne-Illmsk, rapporta :
L e m ard i 17ju in .w ers 0 8h O O (h or/fJ ge s no n viri fM e s), u n
n om b re i mp or ta nt d'habitaru: lo ca ux disen t a uo ir re ma r-
q ui , u er s l e n or d- ou est, u ne b ou le i nc an de sc en te d esc en da nt
d 'est en ou est u ers l 'h orizon et qu i, en sa pp rocha nt du so l ,
se tran sform a en une co lonne de feu p u is di sp a ru t. P eu
a pres, u n nua ge de fum ee a pp al 'U t m on tan t de l 'endro i : de
fa chu te .
A pds qu elqu es m inu tes, . it s en tend iren t u n g rand bru i t
e t des ic ho r lo in ta in s, c om me le tonn erre . l is fu ren t su ivis
de hu i t for tes de tona tions, c omm e des coup s de canon .
L e de rn ier c ou P ,. p a rtic ul ie re me nt p uissa nt, s'a cc om p ag na
NEXUS n"38
rnal-juln 2005
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u
dun s i f f l ement etprovoqua un tremblement du sol et des
ba tim en ts . . .
Certains temoins affirment que le bruit fit tornber des
gens et que plusieurs perdirent connaissance pour ne
revenir a eux que plusieurs jours plus tard, Le choc fircomber des chevaux a genoux, mais ils ne prirent pasla fuite, ce qui indique qu'lls etaient figes de terreur, A
certains endroits, le sol se fissura.
Lhyporhese s elon laquelle la meteorite transportait des
micro-organismes dangereux est"renforcee par l'observa-
don qu'apres sa destruction, I'Installation parcourut la
surface de la Terre a la recherche de restants de matiere
meteoritique. Les temoins abasourdis rapporterent avoir
vu des «exterminatrices» survoler la region de l'evene-
ment jusqu'au soir du 30 juin !Ces spheres «exterrnina-
trices», au «meteorites secondaires- ainsi qu'elles furem
interpretees par certains chercheurs, furent observees par
environ la moitle des temoins.
s
A suivre ...
A propos de I'auteur.
Valery Mikhailovich Uvarov est directeur du departement de
la recherche sur les OVJ\TIs,les paleosciences et la paleotech-
nologie de l'Academie Narionale de Ia Securite de Russie. Il a
consacre plus de 14 annees it I'ufologie ainsi qu'a l'erude des
legs des civilisations anciennes.
II est l'auteur de nombreux essais sur la paleotechnologie er
les paleosciences ainsi que sur l'ufologie et l'esoterisme publics
dans la presse russe er errangere. II est I'iniriateur de plusieurs
expeditions en Inde et en Egypre, auxqueiles ila participe, ala
recherche de preuves rnarerielles de connaissances anciennes. II
parricipe regulieremem a des .renccnrres internationales d'ufo-logie et donne des conferences et des serninaires en Russie,
all Royaume Uni, aux USA, en Allemagne et en Scandinavie.
n a pris la parole aux conferences Nexus d'Arnsterdam et de
Brisbane en 2004; er il est prevu qu'il prendra la parole lors deIa conference exus en mai 2005 itAmsterdam.
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traduction: Rondro Henintsoa
Rumeursd'un base oVNIS"Uu co te indien deia'frontiere chinoise
Certains pilores d'helicopreres se plaignent au sujet
d'un sysrerne de brouillage perfectionne, Un jeune
Nepalais a produit un dessin decrivant ce qui semble
bien etre un vaisseaux extraterresrre en vol aper~u aloes
qu'il jouait avec plusieurs amis. Les gar~ons rapporteur
que ces vehicules ne faisaient aucun bruit, pouvaient
decoller verticalement, flatter sans subir les etIets de Ia
pesanteur et merne disparaitre soudainement.
Certains pilotes de l'Arrnee de l'Air Indienne on e
discreternent revele avoir observe d'etranges objets en
vol pres de l'Himalaya, aux alentours de la fronriere
chinoise,
Un moine tiberain en lnde a recemrnent declare que
~ ces phenomenes ont commence apres I'essai nucleaire
j'4 indien en 1998, et que depuis, le nomhre d'apparitions
s'est encore accru..
Selon quelques scientifiques de la G e ol og ic a l S u rve y o f
..~ . India , des ovnis et des creatures etranges ont reguliere-
; . ' . I ; . ' . ~.. e rnent visite une zone specifique de 100 km2
pendant: ces 18 derniers mois.-:
Le secteur nord de I'Himaiaya appele Prades s'avere
~ etre le terrain d'apparitions t res specif lques. Une ru-
~ mileuI cdircbuleparmi ladPopullation locale d a n ' sel0ln laqueUe
: ; ' 1 , « . s» e arqueront ans es environs . S es 7 pro-
~ chaines annees,
I '
I Or, de nombreux ufologues indiquent qu' en 2012,
I~~:;~:==::;~~~~~~~~~~
II
~...,
I~
Earmee indienne et la population locale installees
dans la region Tarai de l'Himalaya (du cote indien)
signalent une activites tres inhabiruelle, ainsi q\le de
nombreuses apparitions diurnes d' ovnis,
sur la Terre et se feront alors connaitre. Est-ce done la
derniere phase du debarquernenc predit par les Mayas,
des milliers d'annees auparavant ?
Une chose est sure, on a ordonne au gouvernement
er a l'arrnee indiennes de rester discrets. Les militaires
echangent SUI Ie sujet a huis dos et persistent a exposer
qu'ils ne peuvent rien dire de plus, invoquant la s ec u-
rite nationale. Mais au moins ·1 'un d' entre eux est sorti
de la reserve et a annonce qu'il s' agissait cerrainement
d'ovnis.
Tout indlque qu'une base d'atterrissage est en cons-
truction SOlIS la roche dure de l'Himalaya. L e site
choisi est un terrain difficile sirue dans la « zone neu-
tre » entre l 'Inde et la Chine.
Ii se passe un autre fait interessant : dans ce secteur
: une augmentation des activites rnilitaires indiennes
et chinoises assez considerable pour qu' en d'autres
circonstances, on en deduise que les 2 pays y sont enguerre.
Les gens dans cette region signalent percevoir
regulierement de grands e r petits ovnis. Les arrnees
indiennes et chinoises pretendent qu'i1 s'agit de vehi-
cules espions. A I'ISRO, ( I nd ia n S p a ce R e se ar ch O r g a -
n isa ti on ) on dit tout bas que ces ovnis sont en train
de concevoir et de construire un site d' atterrissage avec
I' aide des gouvernemenrs indien et chinois.
(S ou rc e: I nd ia D a il y, 9 Octobre , http:/ /www.indiadai ly.
I :Omled it or ia ll l 0 -09 -04. a sp )
NEXUS n038
rnal-jutn 2005
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Preuves 5upplementaires de contacts extraterrestres avec t'ermee
et Ie gouvernement indiens.
9~{!()~
I~ " I J-.. · 1
Non, je ne suis pas une extraterrestre, j 'ai trouve unepromo pour Ies fiftings sur internet ...
NEXUS n038
rnal-juln 2005
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Les agences indienneet chinoisedel'espace restent discretes ausujetde recentes rencontres avec des ovnis. . ,
I
:.,.Dernierement, l'espace aerien indien a du fait que quelques scientlfiques sont endroits de l'Himalaya et operent pres
ete Ie t heatre de nombreuses apparitions en train d'etudier cette technologie de de la frontiere Indo-Chinoise, cela 'ne
d'ovnis, pointe SOllS une forme globale . Sollicite signifie pas qu'lls y ont arnenage un~ D'apres quelques fonctionnaires de sur ce qu'il entendait reellement par chantier de lancement de vaisseau spa-
..
..I ~ . , : : , l'ISRO qui restent publiquement re- forme « globale », sa reponse se rMera tial, Dans ce cas, qu'y installenr-Ils ?
:;, serves, I'excitation a ce propos n'est a des technologies deja operarionnelles Curieusement, selon certaines sources,
pas justifiee . -Mais nombre d'entre developpees plus par l'integrarion et la la CNSA (C hina N ationa l S pa ce A dm i-
I:'·:eux insinuent qu'en 2012, ily aura des mise en oeuvre que par un processus de nis trat ion) a aussi entrepris des activites
~ atterrissages ofRciels dans 6 pays autour recherche et de creativite, semblahles sur l'autre versant de I'Hi-
. " du monde et que !'lnde en fait partie. Par ailleurs, le personnel de l'Armee malaya.. Or, la Chine fait aussi partie de
II apparatt que les ovnis execurent es- de l'Air Indienne a egalement fait etat la liste de 6 pays O U de tels atterrissages
.~ sentiellement des missions de recon- de programmes interessanrs en cours sont annonces pour 2012.
~.:.~ naissance dans Ie but d' etablir Ie contact a l'H in du sta n A e ro na uti cs L i mi te d, pre- Pour certaines raisons, a l' instar des~ avec Ie gouvernement et l'arrnee indien- miere organisation indienne pow Ia USA'ou de la Russie, Ja Chine fait ega-
. 1 nes, Il serait ainsi enseigne a l'Inde la recherche, le developpernent et Ia pro- lement machine arriere dans ses projers.~ facon de mieux apprehender les tech- duction avionique. Trois de ces pro- d' exploration lunaire. A Beijing, au sein
f t i nologies nucleaire, de I'espace, ainsi grammes impliquent la propulsion anti- de quelques cercles intimes du gou-
l~que dans d'autres domaines de pointe. gravite pour la fabrication de vaisseaux, vernernent, une rumeur circule selon
: m Apparemment, l'Inde va pouvoir tirer Un autre tout aussi interessant est celui laquelIe «on a ordonne» a la Chine' I ~ profit de ces recentes rencontres, Lun sur le mecanisme de la technologic d'abandonner tout voyage dans l'espace
des ingenieurs de l'I5RO s'est recem- furtive pour rendre des objets de vol au dela de 100 milles de Ia Terre d'ici
ment exprime sur Ie projet secret le plus invisibles merne pour l'oeil. 2012.
, abouti de !'Inde portant sur les sysrernes S'il est vrai qu'ingenieurs et techniciens (S ou rc e: In dia D a il y, 1 N o u em b re 2 00 4)
l!.~::;;;~~~:~:;;';:;~~~~q~L'lnde pourrait etre la 1ere nation a reveler au monde ses contactsextra-terrestres
New Delhi est au coeur d'un important debar interne gar-
de secret. D'un c6te, son statut de plus grande democratie
au monde exige de reveler a ses citoyens et au monde ses
contacts entretenus avec les ovnis et Ies extraterrestres, De
l'aurre, la bienseance implicire en vigueur dans Ies relations
internationales interdit quoi que ce soit susceptible de pro-
voquer la peur et la panique dans Ie monde entier.
I I est bien connu des ufologues que chacune des 5 puissan-
ces nucleaires a ete contactee avec des etres venus des etoi-
les depuis un certain temps. IIn'y a pas Iongtemps, l'Inde
a vu un grand nombre de nouveaux reportages sur ie s ovnis
et leurs bases secretes dans I'HImalaya, pres des installs-
; J tions militaires chinoises. A Ladakh par exemple, les gens
•..~.~ du coin slgnalent precisement le phenomene joumalier de
~ grands vaisseaux triangulaires surgissant de sous Ia terre et
I des forces indiennes qui assurent leur securite,
~ Militaires et pcliriciens Ont admis .que I'Inde a ete contac-
Itee et mise au fait des lois et regles de l'Univers. Le choix
I
qui se pose est soit de garder Ie secret comme les autres
pays , soit de sortir du rang et de dire la verite selon Ia
tradition d'une societe totalement transparence. LInde est
5 1 ouverte et democrarique que cela lui est rres difRcile de
I garder longtemps un secret - et a la difference des autres~ pays, c'est aujourd'hui devenu le plus grand souci du gou-
~ vernement .
~~~~';~~W~;mK~~~~#%tF~~~~~
Si !'information passe en premier par des voles non ofR-
cielles, et qu'ensuite les aurorites scient obliges de se con-
fesser, deux consequence importantes sont a craindre, Toutd'abord, ce1a pourrait probablement causer [a panique
aussi bien dans le pays que dans Ie reste du rnonde. En-
suite, vu la fac;:ondont la politique indienne est organisee,
Ie parti au pouvoir pourrait etre rejette en un clin d'eeil si
jamais on decouvre que le gouvernement cachait de relles
informations au public.
II semble que les puissances mondiales aient conseillee al'Inde de respecter les consignes tacites en la matiere et lui
air propose une reconnaissance comme superpuissance
ernergeante en echange .
Le pays est confronte a un dilemme interieur : soit se sou-
rnettre au regles internationales, aux lois de l'Univers, et
etre reconnu comme une superpuissance, soit eccehonnete
envers sescitoyens et envers les habitants du Monde. Selon
des sources proches du gouvernement, les contacts des
ovnis sont connus de quelques membres de l'opposition et
bien sur de ceux du parri au pouvoir.
Larmee a aussi toutes Ies raisons Iegitimes de ne pas de-
voiler Ie secret.
S ou rc e: Ind ia D a ily , 6J a nv ie r 2 00 5,
( http://www.indiadaily.com/editoriaIlO 1-06a-05 .asp )
NEXUS n038
rnal-juln 2005
8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)
http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 70/70
Des archeologues jettent une lumiere nouvelle sur les civilisations
les plusconnues en Amerique.
De recenres fouilles archeologlques cntralnent ia mise a jour d'une civilisation apparue u y a plus de 5000 ans, dans3.Retites vaII6esa 100 rnilles au nord de Lima, au l't~rou et ayant dure plus d'un millenaire, Ces foullles d6momrent,
l'amenagement de plus de 20 lmportants espaces residenriels separes, caracterises par une architecture majest~eu~e, d~grands edifices cerernonielles spheriques ainsi que des logements et une agriculture lrriguee.
Les chercheurs, qui ont publie leur decouverte dans I'edi[jon du 23 decembre 2004 du journal sclentffique «Nature »,
r , o r y ~ utilise la daration all carbone pour determiner l'apogee et la chute de cerce premiere societe cornplexe d,esAn)ed-
., q~es datant approximadvemenr de 3000 a 1800 ans avant Jesus Christ. lis onr etudie I'etendue de cet empire qui cou'vrenne surface d'environ 700 milles2 (i800 kmZ
) clans la region de None Chico, au Perou, Larchireceure rnajestueuse
etair fIagrantea chaque emplacement, marquee par la presence de gtandes elevations de plate-forme, egalement decrites
comme des pyramides en terrasse rectangulaires qui arteignaient une hauteur de 26 m. .' .
" II ne s'agit pas d'un site unique d'activites peucommunes, mais d'une region entiere , de route une culture O U qui-
conque ecalr destine a edifier de grandes pyramides et des places encaissees , structures jamais vuesen Ameriqueaupa-
ravant i selon Ie professeur Winnifred Creamer, anrhropologue de la Northern Illinois University (NTU).
«:Ceux qui ont cree le premier de ces barimenrs n'avaienr aucun exempIe a suivre, aucun precedenr dans la construction
de rnorruments. C'est {.n peu cornme decider de construire un ~seau spatiaien etar de marche dans votre arfier~:Cour'
Les 13 centres internes etudies .coUYrent des surfaces allant
de 10 ft 10 ha. Chactin posse~it entre une a sept pyxa-mides rectangulai~ en terrasse-s. Les:plus grandes. d' entre
ellesayaientun volume de 80.000 a plus deJ50.000m3.listezrasses Ies
plus eleveesde ces constructions accueillaient despieces. Un, autre signe dlsrinctif de ces'sites est la presence-de
places drculaires ehcaissee;sd'un clianierre variantde 20 Ii . 40
metres et profondes d'un a dellxmet~.En beef, Ies sites de Norte Chico indiquent une civilisation
avancee qui a surgi sans le developpernenr des cesamiques,
marque manifesre -des autressocietes complexes dans le
monde enrier,
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