Les Lombalgies chroniques Peut-on les éviter?

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Les Lombalgies chroniques Peut-on les éviter?. Fédarformec 9 2 2006 MLLM. Définition des lombalgies. Lombalgie aiguë < 6 sem Lombalgie subaiguë de 6 sem à 3 mois Lombalgie chronique > 3 mois Déconditionnement à partir de 4 mois. Chaque année. - PowerPoint PPT Presentation

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Les Lombalgies Les Lombalgies chroniqueschroniques

Peut-on les éviter?Peut-on les éviter?

FédarformecFédarformec

9 2 20069 2 2006

MLLMMLLM

MLLM

Définition des lombalgies Définition des lombalgies

• Lombalgie aiguë < 6 semLombalgie aiguë < 6 sem• Lombalgie subaiguë de 6 sem à 3 Lombalgie subaiguë de 6 sem à 3

moismois• Lombalgie chronique > 3 moisLombalgie chronique > 3 mois• Déconditionnement à partir de 4 moisDéconditionnement à partir de 4 mois

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Chaque année Chaque année

• 111 000 arrêts de travail de 111 000 arrêts de travail de durée moyenne de 33 joursdurée moyenne de 33 jours

• 10% sont des lombalgies 10% sont des lombalgies chroniques qui représentent 80% chroniques qui représentent 80% des dépensesdes dépenses

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Un cas cliniqueUn cas clinique

• Mr L, né en 66, grenailleur, fait Mr L, né en 66, grenailleur, fait un AT en Juillet 2002. un AT en Juillet 2002. Lombosciatique aiguë, hernie Lombosciatique aiguë, hernie discale, chirurgie.discale, chirurgie.

• En arrêt de travail au bout de 3 En arrêt de travail au bout de 3 ans.ans.

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conséquencesconséquences

• ConséquencesConséquences– FamilialesFamiliales– SocialesSociales– ProfessionnellesProfessionnelles– MédicalesMédicales

• Le déconditionnement des Le déconditionnement des lombalgiques chroniqueslombalgiques chroniques

• La faute à qui ?La faute à qui ?• Aurait-on pû éviter ?Aurait-on pû éviter ?

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Le syndrome de Le syndrome de déconditionnementdéconditionnement

• Une perte de mobilité rachidienneUne perte de mobilité rachidienne• Une diminution des performances Une diminution des performances

musculairesmusculaires• Un retentissement psycho-socialUn retentissement psycho-social

– Une augmentation des scores d’anxiétéUne augmentation des scores d’anxiété– Une augmentation des scores de Une augmentation des scores de

dépressiondépression

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rôle du médecin traitant rôle du médecin traitant

• Sentir que le patient va passer à la Sentir que le patient va passer à la chronicitéchronicité– Questionnaire d’appréhension au Questionnaire d’appréhension au

travail et à l’activité physiquetravail et à l’activité physique– Rassurer le patientRassurer le patient– Dissocier le symptôme douleur du Dissocier le symptôme douleur du

patient de l’activité physiquepatient de l’activité physique

• Si échec passer vite au Si échec passer vite au reconditionnement à l’effort reconditionnement à l’effort variable en fonction du délaivariable en fonction du délai

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Lutte contre le Lutte contre le déconditionnement = déconditionnement = reconditionnement : reconditionnement : pluridisciplinaritépluridisciplinarité • 3 points3 points

– Reprise des activités musculairesReprise des activités musculaires– Reprise de la mobilité rachidienneReprise de la mobilité rachidienne– Prise en charge psycho socio Prise en charge psycho socio

professionnelleprofessionnelle

• Reconditionnement « léger », en Reconditionnement « léger », en externeexterne

• Reconditionnement « fort », en interneReconditionnement « fort », en interne• Le bon pourcentage de réussite est lié Le bon pourcentage de réussite est lié

au délaiau délai

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Testez vos connaissances Testez vos connaissances

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Les programmes de Les programmes de reconditionnement à reconditionnement à

l’effortl’effort• A - Découlent de constatations A - Découlent de constatations

biomécaniquesbiomécaniques • B- Privilégient l'apprentissage du B- Privilégient l'apprentissage du

verrouillage lombaireverrouillage lombaire• C - Privilégient les techniques sédativesC - Privilégient les techniques sédatives• D - Constituent une approche globale de D - Constituent une approche globale de

la lombalgiela lombalgie• E - Privilégient l'éducation théorique E - Privilégient l'éducation théorique

des patientsdes patientsD

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Le déconditionnement à Le déconditionnement à l'effort l'effort

• A - Est un syndrome physiqueA - Est un syndrome physique• B - Est un syndrome purement B - Est un syndrome purement

psychiquepsychique• C - Est la traduction sociale de la C - Est la traduction sociale de la

lombalgie chroniquelombalgie chronique• D - Associe une composante physique, D - Associe une composante physique,

psychique et socialepsychique et sociale• E - Ne s'observe que chez les E - Ne s'observe que chez les

travailleurs de forcetravailleurs de forceD

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Les programmes de Les programmes de reconditionnement à reconditionnement à

l'effort l'effort • AA - - Peuvent être réalisés au cabinet du Peuvent être réalisés au cabinet du

masseur kinésithérapeutemasseur kinésithérapeute• B - Nécessitent des structures « B - Nécessitent des structures «

lourdes »lourdes »• C - Sont systématiquement réalisés en C - Sont systématiquement réalisés en

hospitalisation traditionnellehospitalisation traditionnelle• D - Nécessitent systématiquement D - Nécessitent systématiquement

l'utilisation de l'isocinétismel'utilisation de l'isocinétisme• E -Ne peuvent être proposés qu'après E -Ne peuvent être proposés qu'après

un test d'effortun test d'effort B

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Les programmes de Les programmes de reconditionnement à l'effort reconditionnement à l'effort

peuvent être prescritspeuvent être prescrits • AA - - Chez n'importe quel lombalgiqueChez n'importe quel lombalgique• B - Même après plusieurs interventions B - Même après plusieurs interventions

sur le rachissur le rachis• C- Au décours d'un épisode de lumbago C- Au décours d'un épisode de lumbago

aiguaigu• D - Au cours des lombalgies chroniques D - Au cours des lombalgies chroniques

lourdement invalidanteslourdement invalidantes• E - Lorsque les autres traitements ont E - Lorsque les autres traitements ont

échouééchoué B, D

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Les programmes de Les programmes de reconditionnement à reconditionnement à

l'effort l'effort • AA - - Ne sont constitués que d'exercices Ne sont constitués que d'exercices

de renforcement musculairede renforcement musculaire• B - Associent aux exercices une prise en B - Associent aux exercices une prise en

charge psychologique charge psychologique • C - Privilégient l'économie lombaireC - Privilégient l'économie lombaire• D - Sont une méthode de prévention D - Sont une méthode de prévention

tertiairetertiaire• E - Sont réalisés sur des périodes allant E - Sont réalisés sur des périodes allant

de trois à six semainesde trois à six semainesB, D, E

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Évaluation des programmes Évaluation des programmes de reconditionnement à de reconditionnement à

l'effortl'effort• AA - - La douleur est le critère principal d'efficacitéLa douleur est le critère principal d'efficacité• B - Le principal facteur prédictif de bon résultat B - Le principal facteur prédictif de bon résultat

est l'augmentation de la force musculaireest l'augmentation de la force musculaire• C - L'amélioration des capacités aérobies est C - L'amélioration des capacités aérobies est

constante et est un facteur prédictif de bon constante et est un facteur prédictif de bon résultat résultat

• D - La reprise des activités professionnelles est le D - La reprise des activités professionnelles est le critère principal d'efficacité critère principal d'efficacité

• E - Des indices fonctionnels d'anxiété et de E - Des indices fonctionnels d'anxiété et de dépression sont habituellement utilisésdépression sont habituellement utilisés

D, E

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L'efficacité des L'efficacité des programmes de programmes de

réentraînement à l'effort réentraînement à l'effort • AA - - Doit d'abord être mise en évidence chez Doit d'abord être mise en évidence chez

les lombalgiques chroniques lourdement les lombalgiques chroniques lourdement handicapéshandicapés

• B - A souvent été évaluée par rapport à des B - A souvent été évaluée par rapport à des groupes témoinsgroupes témoins

• C - N'est dépendante que de l'amélioration C - N'est dépendante que de l'amélioration des paramètres psychologiques des paramètres psychologiques

• D - Est observée chez 600 à 80 % des patients D - Est observée chez 600 à 80 % des patients • E - N'est pas,à ce jour, formellement E - N'est pas,à ce jour, formellement

démontréedémontrée

A, D

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MerciMerci