JOURNAL OFFICIEL DE LA PAROISSE ASSOMPTION. Vol ......verses et des arbres dracins. Nons n'avons...

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  • JOURNAL OFFICIEL DE LA PAROISSE ASSOMPTION.Vol. XX. NAPOLEONVILLE, Lne., SAMEDI, 22 SEPTEMBRE 1877. No. 15.

    PARAIT TOUS LES 8AMiD8.

    ,CHARLES DUPATY, Editeur.CONDITIONS Dg D'ABONNEMEIT:

    .Un .4..........................$3 00jixw. ............................. 150

    u.a .uimro....................... 10PAYAsLE D'ADvAn4C.

    PRIX DES ANNONCES:ag arr le dix ligues, lre isertio..$1 .50

    aqne insertion uivante..... 75 cents.JCartes de Profession, par an....... .12 504nnonce de Caudidatnre...... ... 12 50

    i••Tout avis j•diciaire devra tre payje dernier jour de la publication ou le jourde la vente.

    Pour lettres, journaux, changes, &0.dsaaz au "I'IOuNIE," Napoleonrille,

    Lue.

    * WS Les abonns du Pioneier, qui negjeevraient paSguirement leurs nnm-pos, nous rendront un grand service en nousalgjaiut sons dlai vute irrgularit.

    Sparade4les pompiers a lieudgEain, dimauche. La comnpa-goai partira 11 heures prcisesSde la case pompe et parcouralisesrues du village. La plusgrande ponctualit est requise4dia part des membres.

    Le bal du "Social Club ofNapoleonville," aura lieu mercre-4di prochain, 26 courant. Ce sera,dit-ou. iie affaire grandiose etcomme on n'eu a peu vu dansuntre paroisse.. Orquestre splen-dide, eutr4 It ruf•rachisieo-meuntgratuits.

    ' *i. r,. .ai , * --- --

    5ous avoua eu -lhoaneur depopder, jiudi dernier, notretable, le vtrae des commis

    voyageuaro de la Louisiane, Mi.d'Albarade, qui reprsente la mai

    aon J. VYtguole, de la Nronvelle-

    Orlans.M. d'Albarade est sur le point

    Jde toucher ini hritge de plu-

    sieurs millions de piastres. Cro

    ye-vorm qr'il suit devenu plus

    fer pour a 1 pas du tout. .

    Jes millions qu'il va possderbientt lui viennent d'un parentde sa femme, qui est une des b-ritires de Jacques Duboi, mort

    4 Java, directenr de la Compa-gnie dea Indes, ei 1704.

    Jacqteg Dubois avait, par tes-

    tameat, lMgu dles institutionsc•haritables la jouissance de sai

    fortune, qai tait de dix millions

    de francs, pendant le terme de

    90 ans, & lexpiration de cetemps os espital devait revenir

    Sse a Mftiers directs. Ce temps

    expira, ~ilbenreusement, pen-dant la premire rvolution-frauaiu ia na moment o tout

    t~altoed8kri. Personue doncpe _••f spt de leg, que toutdernireinea .

    Ao a 4ovarn que Mme d'Al-bade eq it d'un frre deJacques DBaois Ce millionuairetant miort u* e&rthant, sa for-tn.e revenai aux descendantsde s fiat es, a teippa fx4 pareon testaatil.

    1:)e dmares es sont fatit parretre ami d'Albarade poun en-tirer a posseesion de ces millions

    t Il oiogpts qn'ils arriveront

    bienttoa deeps dire, 4 s8 louange,

    4a eat saroBeifiee t subit defiora ne ne lP a utlement tour-

    - t4I t*. et qu'il fait mieua que

    mais a l affaies 4e la maison

    J tlMas Bort0l !

    L'OURAGAN.

    L'quinoxe d'automne, tant re-dout, a laiss cette anne destraces fatales de son passage.Depuis dimanche on pouvaitpresque prvoir le coup de temps

    Ique nons avons essuy: le tempstait couvert et de gros nuagess'amoncelaient an-dessus de nosttes. Lundi le vent commena souffler et la pluie tomba enabondance; dans la nuit les raf-fales soufflrent par intervallesrapprochs. Mardi, enfin, l'oura-gan se dchainait et vers minuitte vent atteignait sa plus grandeviolence et soufflait en tempte.D'abord le vent vint de l'est sud-est; pois, mardi soir, il sauta su-bitement au nord en redoublantde violence.

    Ce coup de temps a certaine-ment d occasionner de bien gra-ves malheurs. Dans notre rayounous n'avons dplorer que lesdgats qu'il a occasionns nos'rcoltes. ha canne est couche plat et le riz qui restait encoresur pied a t parpill sur le sol;des bariires ont aussi t ren-verses et des arbres dracins.Nons n'avons jusqu' prsent enregistrer aucun autre accident.

    Les dgats out malheuseuse-ment t plus cousidrables ail-leurs. A Mforgan City, par exem-ple, il y a en des btisses deien verse et un steamer jet la c6te prs de l'embouchure del'Atchafalaya.

    On rapporte aussi de gravesaccidents dans la paroisse Terre-boune.

    Les faubourgs de la Nouvelle-Orlans ont t partiellementsub

    mergs et les jardins entre la villeet le Lac Poutchartrain ont tdtruits par l'eau.

    Le petit village de Milneburga t trs endommag et ses ha-bitants out couru de trs grandsdangers.

    On avait des craintes pour laville de Galveston, mais des d-peches reues de cette ville an-noncent que les dbgnts sont peude chose et ne s'lveront pas plus de 8100,000.

    Pendant la bourrasque, qui adar an moins 36 heures, la pluien'a pas cess de tomber tor-rents et les champs et les cheMniMs taient littralement cou-verts par l'eau.

    Le Bayou Lafourche, qui taitexcessivement bas avant le coupde temps, et qui tait peine na-vigable pour les chalands, a su-bitement mont de plusieurs

    pieds et aurait pu tre navigupar les steamboats.

    Aujourd'hui tout est rentrdans son tat normal. Seul levent de nord se maintient etchange sensiblement la tempra-tumre

    M. Edwin L. Jewel, an des r-dacteurs du Cit Ity , est candi-dat Washington pour la placed'huisier de la Chambre des Be-

    prsentants. Notre confrre a

    rendu 'de longs et importantsservices au parti dmocrate, iln'est que juste que celuici lui t-

    mnoigne sa reconnaissance en l'li-sant ax modestes forctions qu'ilbrigue,

    Anniversaire du 14 Sep-tembre.

    L'anniversaire du 14 septembre1874 a t clbr avec beau-coup d'clat la Nouvelle-Or-lans. La ville, rveille par lesdtonations du canon, avait prisds le matin un air de fte: lesmagasins et les maisons particu-lires taient pavoiss de dra-peaux et les rues taient sillon-nes par des citoyens en unilor-mes qui allaient rejoindre leurscompagnies.

    La premire partie de la jour-ne a t consacre, par les coni~paguies militaires et par,la popu-lation presqu'eitire, la visitedes tombes des braves qui ontt tus dans cette mmorablejourne. Ces tombes avaient tdcores avec soin par les damrnesde l'Association du Crescent City.

    Dans l'aprs-midi une foule im-mense tait rnuie rue du Canal,o devait avoir lien la parademilitaire, et dans les rues quedevaient parcourir le cortge.

    Vers trois heures le cortges'est mis en marche ayant en ttele gnral Frdric- N. Ogden, lecommandant en chef des foi-cesqui se sont si bien distingues le14 septembre 1874. Trois divi-sions, composant un effectif d'eu-viron 3,000 homm es, composaientce cortge.

    Le gouverneur Nichtolhl assts-tait an dfil du haut du balconde la maison d'Etat. Eu passant,les troupes lui rendaient les honneurs militaires.

    La crmonie la plus imposantea eu lieu le soir 7 heures authtre de l'Opra, et laquelleassistaient les autorit dle l'Etatet de la ville, et les citoyens lesplus minents. Des discours outt prononcs rendant hommagea cefix qui avaient pris part aucombat du 14 septembre, et desrsolutions ont t adoptes re-commandant l'rection, rue duCanal, d'un monument comin-moratif la mmoire de ceux quisont tombs en combattant pourla libert de notre Etat.

    Ensuite une. pe d'honneur at offerte au gnral F. N. Og-den par les soldats-citoyens dela Nouvelle Orlans. C'est le gou-verneur Nicholls qui tait chargde la prsenter. 11 a prononc ce propos les paroles suivantes:

    Gnral.A la demande d'un comit de

    messieurs interprtes des soldatscitoyens de la. Nlile-Orlans, jevous 'prsente cette belle peC'est le tmoignage d'hommesqui vous ont mis l'preuve etque voua avez mis l'preuve;c'est l'expression de leur estime,de leur confiance et de leur amourpour vous.

    Vons remarquerez qu'elle portel'emblme de la paix-de la paixqui rgne dans le pays entier;que sur son fourreau l'artistes'est plu faire figurer tous lesproduits de notre sol frrtile, pro.duits qui indiquent la prospritet le bonheur, rsultants de lapaix; que sur la garde, les armesdes Etats Unis et ceux de laLouisiane sont si rapprochesque la main qui couvre les unescouvre les autres, ce qui signifieque la justice une ftis accorde,la conjgace renat, que l'Unionune fois rtablie, les intrts dugouvernement et ceux de I'Etatsont identiques, que l'honneurde l'un est l'honnenr de Pautre.

    yQ~s 4veie gnral, puisiam-

    ment contribu au rsultat dontnous jouissons aujourd'hui; c'estpourquoi, outrepassa lt la missiondont j'ai t honor, je dsirecomme citoyen reprsentant lesvritables intrts de tous leshabitants de la Louisiane, rendrehommage votre zle, votredvouement, au zle et au d-vouement de vos compagnousd'armes qui, aux jours les plussombres de notre histoire, outrevendiqu les droits que nousgarantit la Constitution, ont suprotger la loi contre ceux qui lafoulaient aux pieds, et ont sufaire respecter les liuerts dontlous avions hrit.

    La Louisiane est maintenantlibre-libre de suivre la voie que'Dieu, dans son infinie bont lnia trace. La sagesse et le pa-triotisme ont reconnu qu'il estmninemment juste qu'elle soitlibie.

    Le veu le plus ardent de toutvrai Lonisianais est et sera tou-jours que vous et vos camaradesjouissiez abondaimeltdu bonheuret de la prosprit dont l'Etatest redevable votre valeur et vos sacrifices.

    Ceux qui, il y a aujourd'huitrois ans, sont morts en nous dfendant, ne sont pas onblis. Ilsne sont pas morts en vain : unpeuple reconnaissant transmettra leurs noms ses eeendantset les patriotes suivront jamaisleur exemple.

    Ces paroles, applandies avecun enthousiasme indescriptible,ont t suivies d'un discours dugural Ogden, marqu au cachet(lu patriotisme le plus pur.

    La clbtatiou de l'anniver-saire de cette mmorablejourne,il faut l'esplrer, se renouvelleratous les any, jusqlu';nux temps lesplus. reculs. car c'est une leonde patriotisme qu'il est bon defaire connatre aux gnrationsfutures.

    Faits Divers Americains.

    Les Mormons tant embar-rasss pour donner uu successeurBringham Young, vu le nom

    bre de postulants la dignit dechef suprlme de leur glise, leNTew York Sun leur conseille defaire un compromis et de prendreBeecher.

    -Une femme ge de 90 ans at traduite devant la cour mu-nicipale de Boston pour ivrognerie. La Loi du Maine est pour-tant en pleine vigueur dans laNouvelle-Athne.

    -Le Journal, d'Indianapolis.organe du snateur Morton, ditque l'absence des snateurs Mor-ton et Patterson, et la neutrlitarme de plusieurs membres r-publicains du Snat donnent degrandes chances aux dmocratesd'organiser cette assemble d'a-prs l'intrt de leur parti.

    -La fivre jaune s'est dclareFernandina, Floride.

    -Le rapport officiel montrequ'il n'y a eu que quatre mili-ciens de la Pennsylvanie tosl'meute de Pittsburg.

    -Les dmocrates du Massa-chusetts ont choisi le ticket sui-vant: Pour gouverneur, Win.Gaston; pour lieutenant-gouver-neur, William R.Plunkett ; Pausecrtaire d'Eta5, Weatonu ol-

    land.

    -Le New Jersey compte actu.eHemeut cinq partis politiquetssavoir: Dmocrate, Rublicatin,Greenbackiste, Travailleurs etProhibitioniste.

    IW Albnnez-vou aupour *3par ap,

    Osmaan Pasha.

    On a prtendu qu'Osman Pa-sha, le hros de Plevna, n'taitautre que le marchal Bazaine,les journaux amricains disentque c'est R. Clay Crawford qui apris ce nom, et la lgation turqueWashington a dclar que ce

    personnage est n dans lAsieiMineure de parents Musulmans.

    Une, feuille isralite, publie Pesth, donne plus de dtails surl'origine d'Osman Pacha. D'aprsce journal, l'illustre dfenseur dePlevna est n en Hougrie de pa-rents juifs nomms Wolf. Lors-qu'il atteint l'ge de majorit ilchangea sou nom en celui deFarkas. Il participa la rvolu-tion de 1848, et aprs la subjuga.tion de la Hongrie il passa enTurquie o il adopta la religionde Mahomet. Linguiste distinguil fut bientt remarqu par lesofficiers de la maison du Sultanqui le nommrent professeur l'cole militaire de Constantino-

    pie, puis il fut charg de surveil-ler l'ducation des enfants doSultan.

    Pendant la guerre de Crime ildirigeait toute la correspondanceentre les armes de !a Turquie,de la France et de l'Angleterreet la conclusion de la paix il fatlev, par le Sultan, la dignitde Pacha et prit alors le nom(d'(oasna.

    Au commencement de la lutteprcipite par les Montngrinscontre la Turquie, il fat capturune fois par un corps d'irrgu-tiers dans les montagues du Mon-tngro.

    Ce rapport est. confirm entous points par son fire Bern-hard Wolf, qui est actnellementun membre minent de la synagogue juive de Pesth et qui ditrecevoir constamment des lettresd'Osman, dans lesquelles ii narre

    ses diverses expriences et il d-fend les Mahomtans avec l* foiet le zle d'un turc orthodoxe.

    Le gouverueur Nicholls a tvictime de l'ouragan de mardi.La barrire de sa rsideine, ruePrytinia, a t renverse par levent.

    Nous avons reu les deux pre-miers numro d'un jourunl con-servateur que M. T. J; Edwardsvient de fonder Marksville,paroisse des Avoyelles. Nous luisouhlaitons la bienvenue et toutesorte de prosprit. The Villagerest le nom de ce nouveau journal.

    La convention dmocratiquedu New Jersey a choisi le gn-ral Geo. B. McUtelanu candidatau sige gubernatorial de cetEtat.

    Le directeur de l'Obs1rvatoirede Paris a reu hier la lettre sui-vante:

    Monsieur le directeur,Je viens a'avoir une ide que je

    crois excellente, et que je m'emn-presse de vous conmnuniper. Voussavez, comme moi, q a SaintMdard amne souvent la pi: e,pendant six semaines. Or, je viensde trouver le moyen de perer cetincouvnient : c'est, tout sinple-ment, de supprimer Saint-Mdarddu caiendrier. De cette taon, plusde pluie possible, cette poque del'abne.

    Agrez, monsieur le directeur,et c.Mgarquia pEi CUMaaUx,

    LOUISIANE.

    -D'aprs le recensement de'assessenr, la paroisse Ascensioncompte 4120 personnes entre

    'age de 6 ans 21 ans.

    -Un homme de couleur dunom de Clestin Landry est mortla gele de Donaldsonville, oi

    il tait dtenu sur Paccusationd'avoir viol sa fille, enfant gede.9 ans.

    -Le constables de Donaldson-ville, Sam St. Martin, ayant usd'un pen trop de rigueur dans Par-restation d'un homme de couleur,employ en qualit de peintre parM. R. J. Green, a t accus d'as-saut et batterie et mis sous canution pour comparaltre plus tarddevant la cour de paroisse.Cette affaire, qui aurait d s'ar-reter l, a eu une suite qui afailli tourner au tragique. M. R.J. Green, d'aprs ce qu'on rap.porte, aurait cherch noise aucoustable, "ropos de Parresta-tion de son mpi >y, et, aprs unchange de paroles dures, ils eosont venus aux coupe. Dansl'aciion, le bton de M. Sam St.Martin passa dans les mains deson adversaire qui lui en admi.nistra un coup sur la t6tqui luioccasionna une blessure assesgrave. M. St. Martin tiraalorsun revolver et fit feu sur M.Green qui se rfugia chez M.Boudreaux afin d'viter la balleLes personne• prsentesiaterrin-rent, enfin, et arrtrent le com-bat. *

    -Le major r. T. Griaamoreest parti pour Baltimore, o ildoit reprsenter les I. O. O. P.de l'Etat la Grand Lodge desEtats Uuis qui doit tenir sa se-.sion dans cette ville. *

    -L'ouragan de mardi a faitdle grands ravages dans Terre-bonne, nu voyageur iqi Mait Houma pendant la tourmente,nous rapporte que plusiears mai.

    Sons t renverses par le ventsur divers points de la paroisse etqtu'iYu'est pas rest une seulebar-rire debout. Toas les arbresautour de la maison de copr, quitaient cependant d'une grosseurrespectable, ont t dracins etjets A terre.

    - Dimanche soir, dit a Senti-nelle de Thibodata, une cbaf-foure a eu lieu pendant; uuefoire donne par les gens deSo.leur au bnfice de dame UranieDave, sur lhabitation Ben. FolIepiBs de Raceland. Les armes teu et les armes blanches y outjou un rle malheureusementtrop srieusement daugerex.Paul Cule, de cette ville, membrede 'la Durral Bra Bi md, a toblig de ee servir de son pistoletet a dangereusement bless acertainu Lum Smitth, ta1~d qu'ilrecevait de Henry Grstiham aeballe dans le bras. Pal Coe deretour Tlibodaox s'e eOWitu prisonnier, mais apr4s i'iruetigation prliminaire de eetteaffaire devant la cour de paroisseet sur les preuves identesqlavait agi en cas de lgitime d-fense, l'accus • a t aqSittq .Quant Graham et an autrequi se trouvait mil dans Cetteaff;ire, its attendent dans la pri-son l'instruction de leur sbiredevant lacour deBI rise* ---- i ii i-- - i - W --

    Ta~ sousrigu offn .6k*as quo pain, jtwquffl%

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