Post on 02-Jan-2016
LYCÉE
Dossier du projet
LYCÉE GUY DE MAUPASSANT
FECAMP (FRANCE)
LYCÉE « HOREA, CLO ŞCA ŞI
CRIŞAN » - ALBA IULIA
(ROUMANIE)
LYCÉE TECHNIQUE IOAN C.
ȘTEFĂNESCU IAȘI (ROUMANIE)
« La fascination du surnaturel» : projet eTwinning Janvier 2012 - Juin 2013
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LABEL E-TWINNING re çu au moment de l’ouverture du projet
LABEL E-TWINNING re çu au moment de la fermeture du projet
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S O M M A I R E
1. ARGUMENT...............................................................................................4
2. NOTRE PROJET........................................................................................5
OBJECTIFS DU PROJET........................................................................................5
FONDATEURS DU PROJET ET PARTENAIRES..........................................................5
AUTRES PROFESSEURS MEMBRES DE L’ EQUIPE DE PROJET.....................................7
LE CDI, LIEU PRIVILEGIE DE TRAVAIL DES ELEVES..............................................8
PROCEDURE ET ETAPES......................................................................................9
DOCUMENTS ADMINISTRATIFS.......................................................................... 11
3. ACTIVIT ÉS DU PROJET......................................................................... 15
PRESENTATION D’A LBA IULIA (ROUMANIE) ...................................................... 15
PRESENTATION DE FECAMP (FRANCE) .............................................................. 17
PRESENTATION DE IASI (ROUMANIE) ................................................................ 24
PORTRAITS ET PAROLES DE LECTEURS ADOLESCENTS......................................... 28
Portraits de lecteurs ................................................................................... 30
Paroles de lecteurs ..................................................................................... 48
Lecture offerte ............................................................................................ 56
MYTHES ET LEGENDES DE NOS REGIONS............................................................ 72
LE COIN DU CINEPHILE................................................................................... 126
ÊTRES FABULEUX (REELS ET IMAGINAIRES)..................................................... 133
HEROS DE FICTION......................................................................................... 151
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1. ARGUMENT
Action transversale du programme intégré de la Commission européenne
« Education et formation tout au long de la vie », E-Twinning est une opération de
jumelage électronique entre établissements scolaires européens des premier et
second degrés. L’action E-Twinning encourage la coopération pédagogique en
Europe via l’utilisation des technologies de l’information et de la communication
(TIC). Pour cela, elle propose assistance, outils et ressources pour faciliter la mise
en oeuvre de partenariats, quel que soit le thème du projetet sa durée (des outils de
coopération : partage de documents (Word, pdf, ppt, son, image, vidéo) ; des outils
de publication : création de blogs et audioblogs, wiki, magazines en ligne,
podcasting ; des outils de communication : courriel, chats, visioconférence,
forum).
Le projet « LA FASCINATION DU SURNATUREL » a mis nos élèves
dans une situation de communication réelle, mais aussi dans la situation de lire,
rechercher et valider des informations en comparant les sources, d’exprimer un
point de vue personnel sur leurs lectures et leurs voyages favoris, de raconter de
façon personnelle leurs rencontres avec des gens ayant un destin surprenant ou
ayant vécu des expériences inhabituelles.
Nos élèves ont publié des articles pouvant contenir du texte (enrichi
d’hyperliens au besoin) et des éléments multimédia (photos, vidéos, animations,
fichiers sons…), afin de présenter des personnages et des faits insolites rencontrés
dans la littérature, le film, le folklore de leur propre pays, mais aussi dans la vie
réelle, qui mettent en lumière l’existence possible des forces surnaturelles.
Au niveau linguistique, l’échange avec des jeunes du même âge donnera
plus de sens et de motivation à l’apprentissage et à l’usage de la langue française.
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2. NOTRE PROJET
Objectifs du projet Ce projet se propose de : - mettre les élèves en situation de communication réelle pour développer leurs capacités de lecture, expression et compréhension orale et écrite en langue maternelle et en français ; - développer le goût des élèves pour la lecture et l’information culturelle ; susciter une motivation par le biais de l’interactivité autour de la lecture; - stimuler la curiosité pour la découverte du trésor de mythes et de légendes des pays partenaires; - développer la compétence de créer et diffuser des contenus multimédia ; - améliorer la lecture expressive en français, la diction, le rythme, l'intonation.
Fondateurs du projet et partenaires
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FRANCE
Nom et prénom du responsable de projet: PAQUET Evelyne, professeur de français
E-mail : evelyne.paquet@ac-rouen.fr
Nom et adresse de l’établissement: Lycée Guy de MAUPASSANT
1575, Boulevard Nelson Mandela
76401 FECAMP Cedex
FRANCE
Tél : (0033)235102424
Fax : (0033)235102429
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Site web: http://lycees.ac-rouen.fr/maupassant/site2
Age des élèves : 15-17 ans
Niveau des élèves impliqués dans le projet : Classe de seconde. Le français est la
langue maternelle des élèves.
ROUMANIE :
Nom et prénom du responsable de projet: Georgeta Bădău, professeur de français
E-mail :geta_badau@yahoo.com
Nom et adresse de l’établissement: Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » Alba Iulia
11, Bd. 1 Decembrie 1918
510214 Alba Iulia
Tél. (0040) 258 835 164
Fax : (0040) 258 835 165
Site web : www.hcc.ro
Age des élèves : 15-17 ans
Classe(s) : IXe F/Xe F
Niveau des élèves impliqués dans le projet : A2, B1 du Cadre européen commun de
référence pour les langues (CECRL)
Autres professeurs membres de l’équipe de projet
Lucreția Bîrz, bibliothécaire-documentaliste, Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan »
Alba Iulia (Roumanie)
Alina Crișan, professeur de français, Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » Alba Iulia
(Roumanie)
Florence Cheval, professeur documentaliste, Lycée Guy de Maupassant Fcamp
(France)
Ecaterina Leitoiu, professeur, Lycée Technique « Ioan C. Ștefanescu» Iași
(Roumanie)
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Le CDI, lieu privilégié de travail des élèves
Le Centre de Documentation et d’Information du Lycée « Guy de Maupassant » de
Fécamp est un espace de ressources documentaires accessible aux élèves
individuellement ou en groupe accompagné de leur professeur.
Ils viennent pendant leurs heures de permanences pour travailler, exploiter les
ressources documentaires, utiliser le matériel informatique ou/et lire la presse, des
romans. Le professeur documentaliste sélectionne les documents adaptés aux
élèves et aux programmes et propose une offre de lecture variée.
Pendant les heures de cours, les professeurs organisent des activités documentaires
autour de différentes thématiques (les impressionnistes en Normandie par exemple
avec Mme Paquet, professeur de Lettres). Les élèves sont formés à la recherche
documentaire par le professeur documentaliste. Ils apprennent à concevoir un
produit documentaire (diaporama, dossier documentaire), à utiliser des outils de
veille documentaire.
De même, le CDI du Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » d'Alba Iulia, surtout sa
salle multimédia, est le lieu privilégié de travail. Ci-dessous, quelques photos
prises lors des séances de recherche documentaire et de la présentation orale des
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textes touristique et/ou littéraires. Pour savoir plus sur ce CDI, lisez l’interview
d’Anne Francou avec Georgeta Bădău et Lucreţia Bîrz :
http://www.cndp.fr/savoirscdi/societe-de-linformation/international/regard-sur-leurope/le-cdi-du-
colegiul-national-horea-closca-si-crisa n-dalba-iulia-roumanie.html
Procédure et étapes
Novembre - décembre 2011 : choix du partenaire et correspondance
préliminaire entre les professeurs pour mettre au point les lignes directrices du
projet et sa mise en œuvre ;
Janvier 2012: validation du projet par les deux établissements et inscription sur la plate-forme E-Twinning ; inscription des élèves ; obtention de l’accord des parents et signature du Règlement du projet dans chaque établissement ; Janvier 2012 – Mai 2012 Formation des élèves à l’utilisation de la plate-forme E-Twinning et du blog ; Publication des premiers messages de présentation des élèves; communication informelle et portraits de lecteurs au travers d'une écriture créative ; Février- Mi-Avril Les mythes et légendes de nos régions d’Europe, à travers la littérature : réalisations de plusieurs activités et des productions destinées à susciter l'envie de faire découvrir à leurs partenaires les mythes et les légendes de leur région/de leurs pays : présentation de textes/ contes régionaux, et écriture
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d’articles de presse ou autres productions (texte touristique...) pour donner envie de découvrir ces mythes. Avril-Mai : Exercice d’écriture : comptes-rendus des voyages/des excursions dans des lieux reconnus pour leur côté magique. Juin 2012 : bilan et évaluation intermédiaire du projet Septembre 2012 : Autorisation auprès des familles pour les nouveaux élèves, découverte de la plateforme Etwinning, observation des travaux réalisés jusque-là. Synthèse des mythes et légendes des pays partenaires faite en classe. Elaboration d’un questionnaire sur leur propre pays à l’attention des camarades européens. Octobre 2012 : prise de contact entre les élèves partenaires. Envoi des questionnaires dans chaque pays. Réponses. Novembre 2012-Mai 2013 : - partage de références culturelles à travers des modes de restitution les plus variés possibles : Novembre-Décembre : Critiques et commentaires de livres (contes, nouvelles...), résumés. Mise en ligne des travaux. Echange d’idées avec les camarades. Janvier - Mars : Découverte et/ou écriture de contes ou nouvelles fantastiques ou surnaturels. Mise en ligne sur Etwinning/sur le blog du projet. Lecture dramatisée de textes créés par les élèves partenaires, transpositions en BD et/ou roman-photo… Avril-Mai: Analyse filmique. Echange d’idées entre élèves. Mise en ligne de critiques filmiques à la manière d’articles de presse, analyse de séquences filmiques. - rencontres avec des spécialistes du domaine du paranormal ou avec des gens communs ayant vécu des expériences de vie inhabituelles. Interviews publiées dans le TwinSpace/TwinBlog du projet.. Juin 2013 : Bilan et évaluation du projet
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Évaluation du projet
Disciplinaire: réalisée périodiquement par les professeurs de français (correction morphosyntaxique, orthographe, vocabulaire, originalité)
Documentaire: s’orienter dans le CDI et travailler avec les différents types de documents, maîtrise de l’outil informatique (savoir créer et diffuser du contenu multimédia sur le blog), nombre de prêts, messages et commentaires. En fonction l'évolution du projet, il y a la possibilité de pérennisation sur les années scolaires suivantes et la possibilité de voyage scolaire. L’accès aux livres, à l’Internet, la multiplication des documents, les enregistrements audiovisuels seront assurés en partie par l’établissement scolaire.
Documents administratifs Liste des correspondants: année scolaire 2012-2013
Lycée «Guy de Maupassant» Fécamp (France)/ Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan » Alba Iulia (Roumanie) /
Colegiul Tehnic «Ioan C. Stefanescu» Iași
Avădănei Anca/Allain-Dulondel Louis/Andron Elena Larisa/ Bădoiu Iulia
Asaftei Maria Ioana/Benard Antoine et Beuzeboc Mathilde/ Banea Răzvan
Baciu Larisa/Bigot Mélanie/ Barbu Denisa Georgia/ Barbu Mirela
Bilan Anca/Blondel Paul/ Gligor Delia
Bîrlescu Bogdan Gabriel/Boulhan Camille/ Bișboacă Alexandru Adrian
Bârlădeanu Raluca Paula/Bréant Romain/Boboia Lidia/Luca Roxana
Bolog Mădălina Roxana /Clouet Manon et Lavier-Aydat Aliénor/ Bodea Sonia
Maria
Bucşa Mariana/Crochemore Morgane/Bogdan Carmen Felicia/Popa Corina
Chicoroş Aliona/Cuvilliez Camille/ Buzgure Darius/Danci Ioana
Ciută Sergiu Ionel /Danger Elodie/ Cioară Irina Maria/Dobre Daniela
Enea Vasilica/Gille Amandine/ Dobra Denisa Larisa
Florişteanu Andreea/Gognet Nicolas/ Dragomir Cristina Paula
Gorovei Roxana/Gréard Steven/ Dragoș Georgiana Iulia/Dobra Laura
Horea Florin Alexandru/Grimoin Quentin/Florea Mădălina Elena/Luca Irina
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Iovi ţă Elena Mihaela /Guyot Antoine/ Florea Paul/Haneș Cristina
Lefter Ana-Maria/Henri Elodie/ Haneș Loredana Laura
Olaru Beatrice Elena /Jonquiere Valentine/ Ilieș Andra
Pamfil Mihai/Kervella Laurie/ Manciulea Roxana Alexandra/Hălălae Anca
Pavel Raluca Georgiana/Kwasniewski-Perot Isaline/ Marian Larisa Maria
Sava Ana-Maria /Lachèvre Clémence et Quiquempoix Grégory/Medruț Georgiana-
Maria
Pascu Geanina/Lefevre Mathilde/ Oprean Ana-Maria/Crainic Cosmina
Ţilic ă Ştefan /Leroy Alicia et Sautreuil Clémence/ Ordean Monica Denisa
Bogos Gabriel/Monville Léna/ Pașcău Alexandra Ioana
Griguţă Ramona/Mouquet Eméric/ Pleșa Andrei
Maxim Alina Cătălina/Piednoel Aglaé/Bianca Vlad
Zelincă Ana/Preterre Manon/Rahovean Amalia
Dobândă Daniela/Robert Océane/ Schiau Andrei Ștefan
Margină Ionuţ /Tauvel Tifany/ Trif Lorena Francesca
Simiciuc Stefan/Vauchel Valentine et Barbaray Chloé/
Liste des correspondants: année scolaire 2011-2012
Lycée Guy de Maupassant Fecamp (France)/ Lycée « Horea, Cloşca şi Crişan »
Alba Iulia (Roumanie)
Anghel Andreea -Zoé Abraham
Barb Lorena -Alice Auber- Laura-Valentina Dubuc
Barbu Sebastian-George -Charline Bauer- Rose-Anne clotaire
Blaga Corina-Cristina -Claire Duchateau-Victoria Bienvenu
Boitoş Alexandra-Valentina -Dimitri Lefebvre-
Cîmpean Darius-Petru -Salomé Garcia-Crainic Cosmina -Deborah Groult
Crişan Bianca-Maria -Léna Delahaye
Dobra laura -Garance Renaut- Flore Lesueur
Gânfălean Alexandru-Paul -Benjamin Troccaz
Jina Alexandru-Eugen -Aymeric Hachard
Jurj Ioana Ramona -Pauline Christophe
Luca Irina -Laurenn Gohier
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Manciulea Răzvan-Andrei -Antoine Mihelic-Jordan Mahieu
Radu Bogdan-Lucian -Laura Coquin
Rusan Delia -Margaux Lagrange-Armella Lecoq
Salcie Oana-Claudia -Clémence Lachevre
Samoilă Cristina-Elena -Yohann Lepont
Serra Alexandra -Océane Robert-Léa Lecanu
Stanciu Alexandru-Ştefan -Simon Mary-Brasse
Tamaş Iulia-Alexandra -Morgane Gervais-Audrey Pitte
Tamaş Lucian Rareş -Manon Legros-Loïse Thilloy
Varro Horaţiu-Cătălin -Amandine Martin
Accord du parent :
Je, soussigné (e), (nom-prénom)…………………………………………………….., parent de l’élève……………………………………………………..accepte que ses textes/photos et enregistrements audio/vidéo, réalisés pendant cette année scolaire dans le cadre du projet eTwinning « La fascination du surnaturel » (2012-2013) soient publiés sur la plate-forme E-Twinning, le blog/le site du lycée/du projet, sur ceux des professeurs coordonnateurs du projet ou dans une publication d’intérêt pédagogique. Date : Signature,
Règles à respecter :
La langue de la correspondance sera le français.
1. Pour éviter tout malentendu, utiliser un langage simple.
2. À savoir que les blagues ne sont pas toujours interprétées de la même
façon dans un autre pays.
3. Être toujours poli(e).
4. Répondre toujours dans un délai raisonnable (7 jours maximum, sauf
accord contraire).
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5. Ne pas rédiger de texte à caractère diffamatoire, injurieux, raciste,
violent.
6. Ne pas publier d’image ou de texte à caractère obscène ou
pornographique.
7. Respecter les droits d’auteur : ne pas diffuser de documents sans
l’accord de son auteur et indiquer ses sources.
8. Demander l’autorisation aux personnes dont vous souhaitez publier la
photo.
9. Ne pas poster un article ou un commentaire sans qu’il soit validé par votre professeur.
10. La personne fautive verra son article / commentaire supprimé. En cas de récidive, elle se verra interdire l’accès au blog/à la plate-forme.
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3. ACTIVITÉS DU PROJET
Présentation d’Alba Iulia (Roumanie)
Alba Iulia est une ville de Transylvanie, dans le département
d'Alba (județ d'Alba), dont elle est le chef-lieu.
Le site officiel de la ville: www.apulum.ro/index.php
Cornel Goia , ancien professeur du Lycée « Horea, Cloșca și
Crișan », vous invite à découvrir la partie historique de la
ville à travers une superbe vidéo réalisée par lui-
même: http://www.youtube.com/watch?v=7lHN8a_dxrU
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Valentina et ses collègues vous proposent ci-desous quelques images prises dans
les endroits de la ville qui leur plaisent particulièrement.
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Présentation de Fécamp (France)
Fécamp, une cité maritime avec un passé fascinant: www.fecamptourisme.com.
C'est un ancien port morutier sur le littoral du pays de Caux, sur la côte
d'Albâtre.Elle a obtenu le label de "Villes et pays d'art et d'histoire". On trouve des
vestiges d'un oppidum, c'est-à-dire une agglomération fortifiée gauloise datant du
Ier siècle avant Jésus-Christ. La cité a connu l'occupation romaine. Au IX, une
invasion viking dévasta la ville.Le traité de Saint-Clair-sur-Epte est conclu à
l'automne de l'année 911 entre Charles III le Simple et Rollon, un chef viking. Il
permet l’établissement des Normands en Neustrie à condition qu’ils protègent le
royaume de Charles III de toute nouvelle invasion des « hommes du Nord ».Cet
acte fonda le duché de Normandie.
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Il s'agit d'un plateau crayeux en Haute-Normandie, qui s'étend sur la côté du Havre à Dieppe. Les falaises
sont faites de silex et de craie. On trouve des valleuses qui descendent vers la mer, elles sont parfois
suspendues, et reliées à la plage par un escalier. Les plages sont tapissées de galets. La côte d'Albâtre est
une longue muraille calcaire. Il s'agit des falaises les plus longues de France. La hauteur varie de 30 à 110
mètres. La végétation littorale comprend la violette des sables, la bruyère cendrée, le chou maritime, la
primevère acaule, la jacinthe des bois, la jonquille, l'ajonc. Les goélands marins et mouettes parcourent le
littoral.
Les perdrix grises et les verdiers se nichent dans les espaces protégés des haies.
Les vaches normandes arborent des robes blanches tachetées de brun. Ce sont des vaches de taille
moyenne dont le lait est adapté à la transformation fromagère.
Le nom "Caux" provient d'une tribu celte, les Calètes.
Les habitants sont appelés les Cauchois.
L'habitat est particulier:on remarque les clos-masures entourés d'une hêtraie qui crée un micro-climat en
protégeant du vent, les colombiers symboles de la puissance seigneuriale en briques et silex, les manoirs et
châteaux.La brique a progressivement remplacé le colombage et le torchis.La maison cauchoise ancienne
est construite avec les matériaux du terroir: limon pour le torchis, grès, silex, chaume, bois, moellons de
craie.
Le nom "Caux" provient d'une tribu celte, les Calètes.
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Les habitants sont appelés les Cauchois.
L'habitat est particulier:on remarque les clos-masures entourés d'une hêtraie qui crée un micro-climat en
protégeant du vent, les colombiers symboles de la puissance seigneuriale en briques et silex, les manoirs et
châteaux.La brique a progressivement remplacé le colombage et le torchis.La maison cauchoise ancienne
est construite avec les matériaux du terroir: limon pour le torchis, grès, silex, chaume, bois, moellons de
craie.
A Allouville-Bellefosse se trouve un chêne millénaire, le plus vieux de France.
Les champs sont cultivés sur les hauteurs des falaises, souvent en openfield.Plus particulièrement, les
champs de lin nous éblouissent en juin d'un bleu magnifique qui contraste avec celui de la mer et du ciel.
Source des images : :http://www.festivaldulin.org/
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Regardez aussi le film Valmont Petite Suisse Cauchoise (1996): vimeo.com/2593371
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Présentation de Iasi (Roumanie)
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Portraits et paroles de lecteurs adolescents
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Portraits de lecteurs
Les messages des élèves, envoyés dans la Boîte de réception du TwinSpace ou
par email, ont été validés par les professeurs avant d’être publiés sur cette
page.
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J'aime beaucoup les livres d'amour et les comédies. Mon livre préféré est
«Dernière nuit d’amour, première nuit de guerre» de l’écrivain roumain Camil
Petrescu, une histoire d’amour pleine de vérité humaine. (Larisa Andron, 2013)
J’aime lire beaucoup de livres intéressants. Mes préférés sont les livres pleins
d'action et les livres d'horreur. Dans mon temps libre, j'aime lire des romans. J'ai
une passion pour les histoires des vampires. (Răzvan Banea, 2013)
Je suis une personne qui aime la littérature. J'adore les livres d'aventure et d'amour.
Le dernier livre que j'ai lu était « Trésors cachés », écrit par Nora Roberts.
L’auteure captive le public avec une histoire pleine de secrets, d'action et de
passion déchaînée. Le livre m'a beaucoup impressionné et je considère que c’est
l'un des plus beaux qui ont été écrits jusqu'à présent. (Denisa Barbu, 2013)
J'aime lire des livres sur la guerre. J'aime lire ce genre de parce que je suis attiré
par l'art de la guerre. Mes auteurs préférés sont : Jules Verne, Erich Maria
Remarque, Henri Barbusse, Liviu Rebreanu, Karl May, James Fenimore Cooper,
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etc. Le dernier livre lu a été « Le dernier des mohicans ». C’est un roman que je
l'ai lu avec plaisir. (Alexandru Bișboacă, 2013)
J’aime lire beaucoup de livres intéressants. Je préfère les documentaires aux
fictions. Je lis avec plaisir les recettes de cuisine et les livres phytothérapie. Je sais
beaucoup de choses sur les plantes qui guérissent diverses maladies. Je lis de
temps en temps des textes sur les cosmétiques et les soins du corps. (Lidia Boboia,
2013)
Il est très important qu'on lise parce que de cette manière on développe notre
imagination et aussi le vocabulaire. Je lis des livres pour l'école, mais aussi
d'autres livres qui me passionnent. Mes livres préférés sont « Perfect Chemistry» et
« Gone». A ce moment-ci, je lis un livre sur le groupe One Direction. (Sonia
Bodea, 2013)
J'aime lire, parce que la lecture développe le vocabulaire et donne à l’esprit une
grande ouverture. J'aime beaucoup les livres d'amour et les comédies. Je n’aime
pas la poésie et parfois je lis des revues de mode. Mon roman préféré est
« Dernière nuit d’amour, première nuit de guerre » de Camil Petrescu et ma revue
favorite est Bravo Girl. (Carmen Bogdan, 2013)
Bonjour ! Je m'appelle Darius et j'ai 15 ans. Je suis roumain et j'adore la lecture. Je
me considère comme une sorte d’adolescent passionné de la lecture. J'aime lire
parce que je me détends en lisant. Je suis un peu exigeant quand je parle de la
lecture. Je suis attiré par les romans historiques et la science fiction. Mais toute
lecture étant intéressante, sur le plan culturel et nous aide à améliorer notre
vocabulaire. (Darius Buzgure, 2013)
J'aime lire. J'aime beaucoup les romans d'amour. J’adore lire des romans
romantiques et d’aventure. Je n'aime pas lire les romans fantastiques et de science-
fiction. Mes livres préférés sont: « Autant en emporte le vent » de l’écrivaine
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américaine Margaret Mitchell, « Maitreyi » de Mircea Eliade et « Lorelei » de
Ionel Teodoreanu. J'aime lire aussi des magazines. (Melisa Călin, 2013)
La lecture est pour moi une façon utile et agréable de passer mon temps libre. Il y
a des jours dans ma vie qui sont monotones et quand je lis pendant des heures.
J'aime lire des livres qui racontent de belles histoires d'amour. J’ai lu récemment
le roman « Le parfum » de l’écrivain Patrick Süskind et l’histoire m’a plu même si
elle est assez affreuse.(Irina Cioară, 2013)
J’aime beaucoup lire parce que je pense que c’est une façon relaxante de passer
notre temps libre. J’aime les romans captivants et qui offrent aux lecteurs des
leçons de vie. La lecture est une de mes passion parce qu’elle enrichit mon
vocabulaire et mes connaissances. Le dernier livre que j’ai lu a été « Crime et
Châtiment » de Fédor Dostoïevski.(Denisa Dobra, 2013)
Je crois que la lecture est très bonne pour tous les hommes, en spécial pour les
enfants. Je ne peux pas dire que j’aime que lire quelque chose en particulier. Je
suis consciente que je ne lis pas assez, mais quand je le fait c’est avec un grand
plaisir. S’il fallait choisir, je choisirais un roman d’amour ou un roman policier,
jamais une tragédie, parce que je suis très sensible. En bref, je voudrais lire plus
dans l’avenir! Non seulement pour l’école, mais aussi pour moi-même! (Denisa
Barbu)
J’aime lire des comédies ou du théâtre. Mon écrivain préféré est Ion Luca
Caragiale. Le dernier livre que j’ai lu est « Le livre des noces », écrit par George
Calinescu qui est un écrivain et un critique littéraire roumain. Le livre que j’ai
aimé le plus a été « Fierté et préjuge », écrit par Jane Austen. J’adore ce livre et je
le relirais mille fois. Je pense que nous devrons lire beaucoup pour enrichir nos
connaissances et pour comprendre mieux le monde. (Georgiana Dragoș, 2013)
La lecture est probablement la meilleure chose qui peut nous aider dans la vie . Ma
favorite est la littérature de science-fiction. J'aime les livres comme Harry Potter
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ou Twilight. Quand je lis, j'oublie tous les ennuis et j’entre dans un monde
magique. J’aime aussi lire des romans de guerre ou historiques. J'aimerais avoir
plus de temps pour lire pendant la semaine mais, malheureusement, je n’en ai
presque pas. (Paul Florea, 2013)
J'aime lire. D'habitude Je lis des livres dramatiques. Mon dernier livre lu est « Les
Mémoires d'une gheisa » . J’ai beaucoup aimé ce livre et je vous le recommande.
Je lis aussi des romans d’amour comme « Dernière nuit d’amour, première nuit de
guerre » de l’écrivain roumain Camil Petrescu. Je ne lis pas trop parce que je n'ai
pas du temps. (Madalina Florea, 2013)
J'ai beaucoup de livres à la maison et j'aime les feuilleter, mais ceux qui m’attirent
vraiment sont les romans d'amour et de mystère. Je sais qu’il est bon de lire pour
enrichir mon vocabulaire. Mon livre préféré est «Dernière nuit d’amour, première
nuit de guerre » de Camil Petrescu. C’est un très beau livre. Comme beaucoup de
jeune de mon âge, je lis souvent des livres en ligne parce que je suis passionnée
par les nouvelles technologies. (Loredana Haneș, 2013)
J'aime lire des livres romantiques, fantastiques et surtout ceux qui ont une fin
tragique. En revanche, je n’aime pas les livres qui abondent en descriptions. Par
manque de temps je n'ai trop lu dernièrement ce que j’aime parce que je suis
obligée de lire ce que nos enseignants nous demandent… Mon livre préféré est
« L’invitation à la valse » de Mihail Drumes. J'ai lu aussi beaucoup de livres en
anglais : Harry Potter, Narnia, The Vampire Diaries. (Andra Ilieș, 2013)
J’aime lire beaucoup dans mon temps libre. J’aime les livres de science-fiction.
Mon livre préféré est Twilight. Mais j’aime aussi les romans policiers et les
comédies. Mes comédies préférées sont celles des Molière. Parfois, j’aime lire des
poèmes d’Eminescu, mais mon favori est le poète Tudor Arghezi. Mon auteur
roumain préféré est Ion Luca Caragiale avec ses livres «M. Goe », «La visite »,
« Bubico ». Le dernier livre que j’ai lu a été « La vie comme une proie » de Marin
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Preda. Je voudrais lire plus mais je n’ai pas assez du temps.(Roxana Manciulea,
2013)
J’aime bien lire quand j’ai un peu de temps libre . Ce dernier temps, j’ai lu surtout
les livres qui nous sont demandés à l’école (« Donna Alba » de Gib Mihăescu,
« La vie comme une proie » de Marin Preda et, ma préféré, «Dernière nuit
d’amour, première nuit de guerre » de Camil Petrescu). J’aime aussi lire les
poésies de notre poète national, Mihai Eminescu (« Le lac », « Hypérion »).
J’aimerais lire plusieurs livres, mais, malheureusement, je n’ai pas de temps libre.
(Larisa Marian, 2013)
J’aime bien lire, mais je n’ai pas assez de temps pour le faire. Lorsqu’un livre me
plait, je le finis très rapidement. Moi, j’aime lire des romans policiers et
d’aventure. Lorsque je lis, j'arrive très facilement à m'imaginer dans le livre. Mon
auteur préféré est Edgar Wallce. J’ai lu plusieurs de ses livres, mais mon préféré,
c’est « La doublure ». J’aime aussi les romans d'amour et de chevalerie. Dans ce
domaine, mon auteur préféré est Alexandre Dumas. J’aime particulièrement « Les
Trois Mousquetaires », « Vingt ans après» et « Le vicomte de Bragelonne ». Cette
année, j’ai commencé à lire Honoré de Balzac. Je viens de finir « Le Juif ».
(Georgiana Medruț, 2013)
Je n'aime pas vraiment lire. Peut-être, parce que je n'ai pas encore trouvé un livre
qui m’attireet parce que j’ai lu uniquement ce qui était obligatoire pour l’école. Si
l’on n’est pas intéressé du sujet du livre, la lecture se transforme en ennui. Quand
je lis pour mon plaisir (je l'avoue, je le fais très rarement) je lis des romans
d'amour et des magazines sur la mode. (Ana-Maria Oprean, 2013)
J'aime lire, mais je n'ai pas assez de temps pour le faire. Je lis surtout dans la sema
ine et mes livres préférés sont les romans d'amour est les drames. De tout ce que
j’ai lu, mes préférés sont la nouvelle de Ioan Slavici, « Le Moulin de la chance»,
«La dernière nuit d’amour, la première nuit de guerre » de Camil Petrescu,
«Sans famille» d’Hector Malot et beaucoup d'autres. Le dernier livre que j’ai lu
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(mais que je n’ai pas aimé) a été «La vie comme une proie» de Marin Preda, un
roman qui nous a été conseillé par notre professeur de roumain. (Monica Ordean,
2013)
J'aime lire, parce que la lecture développe le vocabulaire et donne à l’esprit une
grande ouverture. J'aime beaucoup les livres d'amour et les comédies. J'aime les
livres dont l’histoire est si captivante qu’on ne peut pas la quitter avant d’arriver à
sa fin. J’ai lu récemment le roman « Baltagul » (« La Hachette ») de l’écrivain
roumain MIhail Sadoveanu. (Alexandra Pașcău, 2013)
Ma mère m’a dit toujours que « savoir, c’est pouvoir ». Sans contester cette
affirmation, je n’ai jamais été un grand fan de la lecture. Avant de découvrir Léon
Tolstoï et son roman « La guerre et la paix » je pensais que lire un roman fleuve
serait une vraie torture. J’ai déjà lu les trois premiers volumes du roman de
l’écrivain russe et je suis fasciné par l’atmosphère qu’il a réussi à créer. Le conflit
sanglant, la figure de Napoléon, le courage des soldats, tout cela me semble très
intéressant. J’attends impatiemment la fin de l’histoire…(Andrei Pleșa, 2013)
À mon avis la lecture est très importante dans l’évolution humaine et le livre est un
trésor sans prix. Quand le temps est mon ami, je prends un livre et je commence à
lire. Mon livre préféré est « 20000 mille lieues sous les mers » par l’auteur français
célèbre, Jules Verne. Dans ce roman s’entremêlent l’aventures, l’imaginaire et de
la confrontation avec l’inconnu. Combien j’aime les merveilleux livres écrits par
Jules Verne! Je ne m’ai jamais séparé d’eux et je regrette que je ne puisse pas je
vivre les aventure de ses livres, dans le rêve ou en réalité. J’aime aussi la poésie du
poète roumain Mihai Eminescu parce qu’en lisant ses beaux poèmes inspirés par la
nature j’ai appris de belles expressions qui ont enrichi mon vocabulaire. Je
considère que Mihai Eminescu est mon meilleur ami et je le garde en place
d’honneur dans ma bibliothèque. (Andrei Scheau, 2013)
Je n'ai pas vraiment l'habitude de lire. J'aime bien lire, mais je n'ai pas assez de
temps pour le faire. J'aime les romans d'amour et comiques. Tous les livres que j'ai
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lus étaient très intéressants. Le dernier roman que j’ai lu ne fait pas exception. Il
s’appelle « Dona Alba » et il est écrit par Gib Mihăescu, un écrivain roumain de la
période de l'entre deux guerres (Lorena Trif, 2013)
J’aime bien lire, mais je n’ai pas assez de temps pour le faire. À mon avis, la
lecture est très importante pour les adolescents et un livre peut devenir leur
meilleur ami. Quant à moi, la lecture me rend tranquille. Mes livres préférés sont :
« Shining » de Stephen King et « Les trois Mousquetaires » d’Alexandre Dumas.
J'aime aussi la poésie. (Bianca Vlad, 2013)
J'aime beaucoup les romans d'amours qui me transportent vers une nouvelle
illusion de l'amour. J'aime aussi la poésie, qui est pour moi quelque chose de très
important, c'est très beau ! Les romans fantastiques sortent du contexte des romans
simples et sans vie; je m’imprègne de ces histoires pour ma vie réelle. (Léna)
Je ne lis pas de livres, excepté les romans étudiés en cours. En revanche, il
m'arrive parfois de lire quelques magazines. Si je ne lis pas de livres autre que
ceux en cours, c'est parce que je n'en ai pas beaucoup chez moi. Les romans que
notre professeur de français nous donne, je les lis assez rapidement même si
l'histoire ne me plaît pas. Pendant les vacances, je ne lis jamais car j'ai d'autres
loisirs et je profite du temps où je n'ai rien à faire pour m'avancer dans mes
devoirs. (Victoria)
Même si je lis beaucoup et que j'aime cette activité, je ne suis pas passionné par
n'importe quel ouvrage. Effectivement, je lis essentiellement des thrillers, des
romans fantastiques et du policier. J'aime quand le livre me transmet les émotions
d'un héros (l'angoisse, la folie...) et quand il me fournit un suspense fort qui
m'empêche de retrouver ma vie réelle jusqu'à la fin de l'histoire. J'aime aussi quand
l'œuvre me fait réfléchir, me fait poser des questions à moi-même et m'apporte des
connaissances. Il y a un livre qui regroupe toutes ces « qualités », « Les Fourmis »
de Bernard Werber. Ce sont les livres comme celui-là que je préfère. (Antoine)
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Je m'appelle Simon et je ne lis pas de manière permanente, bien au contraire. Je lis
plutôt les livres que nous analysons au lycée qui sont très souvent des romans ou
des recueils poétiques (« Capitale de la douleur », Paul Éluard). Je lis aussi des
magazines sportifs comme « L'Équipe » ou bien des magazines d’actualité.
Je suis quelqu'un qui lit beaucoup, mais souvent le soir avant de me coucher. Je
suis plutôt difficile : si je n'accroche pas à l'histoire d'un livre, je n'aime pas me
forcer à le lire. Cependant, lorsqu’un livre me plait, je le finis très rapidement.
Mais je lis un peu tous les genres; je lis beaucoup de livres policiers comme les
thrillers d'Harlan Coben et ceux de Jean Christophe Grangé. Le livre que j'ai
préféré de cet auteur est « Miserere ». J'aime beaucoup aussi, les romans de
Guillaume Musso, j'ai découvert cet auteur il n'y a pas longtemps, mais j'adore ces
histoires qui sortent de l'ordinaire même s’il y a souvent beaucoup de points
communs entre elles alors qu'elles n'ont rien à voir. J'apprécie aussi beaucoup les
romans fantastiques même si j'en lis moins souvent. J'ai adoré les deux sagas les
plus célèbres du genre: Harry Potter et le Seigneur des anneaux. Je suis moins fan
de la poésie (ou qu'à petite dose) et des grands classiques même si j'ai beaucoup
aimé les Misérables, de Victor Hugo. (Audrey, 2D)
Chère Audrey,
Malheureusement, je dois te dire que je me lis autre chose que les romans que je
reçois à l’école. Quelquefois, dans le temps libre, je lis de courtes nouvelles et
histoires. L’un de romans que j’ai lu et j’ai aimé est « L’énigme d’Otilia » écrit par
George Calinescu. Dans ce roman, le narrateur parle d’une jeune fille orpheline,
personnage fascinant par son charme romantique, énigmatique, troublant et
indécis. Je vais essayer de lire les livres que tu sembles apprécier. (Oana-Claudia)
Depuis que je suis petite, j'adore lire des livres. Le premier livre que j'ai lu est
« Harry Potter à l'école des sorciers », j'avais 6 ans. Ensuite, en grandissant, j'ai
arrêté de lire de la science-fiction pour passer aux romans policiers et thrillers. En
ce moment, je lis les livres d'Harlan Coben, bien que je ne lise plus autant
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qu'avant. J'adore aussi les romans de Mary Higgins Clark, notamment « Quand
reviendras-tu? » qui m'a vraiment plu. (Claire, 2D)
Salut, Claire!
Je m’appelle Darius je suis élève en 10e F.
En général je ne lis trop parce que je trouve très ennuyeux. J'ai lu quelques
romans que j'ai été contraint par les enseignants de l'école. J'aimerais lire des
romans ou des revues historiques. policiers. Et je m'intéresse et j'aime lire des
magazines tels que : Sport.ro ou ProSport. Je ne suis pas le genre de garçon qui
lisent. Je regarde trop les films c'est kinda la même chose que la lecture. En
général, je préfère les films de comédie et d'action.
J'aime beucoup lire, en fait je lis souvent. Je lis beaucoup de livres fantastiques.
J'aime beaucoup les livres qui parlent d'aventures. Ces livres nous permettent de
voyager......Ils nous transportent dans un autres monde, un autre univers.....
Lorsque je lis, j'arrive très facilement à m'imaginer dans le livre. Je lis souvent, en
fait dès que je peux lire, je lis. Mais je lis souvent pendant les vacances, ou le soir,
il m'arrive de lire très tard, tellement l'histoire est passionnante! Je lis aussi des
mangas (livres qui se lisent à l'envers et qui sont sous formes de BD). Mes livres
préférés sont: Harry Potter, Les Chevaliers d' Emeraude, Tara Duncan, les
Harlequin nocturne....Mes mangas préférés sont: Vampire Knight, Naruto, l'
Académie Alice, Magister Negima.......(Morgane)
Salut, Morgane, je m’appelle Lorena. J’aime beaucoup la lecture. Le livre « Harry
Potter » est l’un de mes livres préférés. Les livres parlant du fantastique, les
histoires romantiques et celles qui racontes des aventures audacieuses me
passionnent. J’aime les textes qui laissent mon imagination libre et infinie. Mes
livres préférés sont : Harry Potter, Les Journaux des Vampires, Papillon. Pendant
les vacances, je préfère les lectures faciles, comme les magazines.
Lorsque j'étais au collège, j'avais l'habitude de lire, à titre personnel, et en plus
quelques nouvelles que nous avions à lire, « des romans adolescents ». Maintenant
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que je suis au lycée, je n'ai plus trop l'habitude de lire puisque je me concentre sur
les livres donnés par le professeur de français, tels que Maupassant, Flaubert...
Cependant, pendant les vacances scolaires, il m'arrive parfois de lire, et je dois
avouer que ça aide pour les rédactions et pour le vocabulaire.(Armella)
Salut, Armella,
Je m’apelle Alexandru. Quand j’étais au collège, je n’aimais pas lire parce que la
lecture me semblait ennuyeuse. Maintenant que je suis au lycée, j’ai commencé à
lire des livres sur la Seconde Guerre Mondiale parce qu’ils intéressants et me
tiennent en suspense. Pour ce qui est la littérature, je ne lis que les livres que mon
professeur de roumain nous recommande comme lecture pour son cours je n’aime
pas les fictions
Je m'appelle Rose-Anne. J'écris ce commentaire pour parler de mes goûts
littéraires. J'aime lire des petits magazines people de temps en temps, ainsi qu'un
bon livre sur la jeunesse ou sur une belle histoire d'amour, mais cela reste
occasionnel. J'aime lire, mais l'envie m'en passe quelques fois. Avec les cours, je
lis des livres couramment, ce qui m'encourage à m'intéresser à la lecture et
m'ouvrir à d'autres types de lecture.
Salut, Rose-Anne,
Je m’appelle Paul Alexandru. Je vais te parler un peu, à mon tour, de mes goûts
littéraires. Quand je suis en voiture, j’aime lire des revues et des magazines parlant
des personnages mondains, mais aussi des infos sur l’actualité du pays ou
internationale. Quant à la littérature, j’aime la prose, les poèmes et les poésies.
Pourtant la lecture n’est pas mon passe-temps favori, car j’aime plus passer
beaucoup de temps devant l’ordinateur.
Je suis plutôt du genre à lire des histoires d'amour romantique, avec de l'action,
sans trop de descriptions. J'aime lire quand il n'y a aucun bruit juste un fond de
musique. Je lis le plus souvent pendant l'été, allongée au soleil, dans mon jardin ou
sur la plage, seule ou accompagnée. Une série de livres que j'aime beaucoup, c'est
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« Danse » de Anne-Marie Pol : c'est l'histoire d'une jeune fille qui est passionnée
de danse classique. Un livre génial, c'est « J'aime pas la nature » de Gérard
Bialestowski, une histoire d'amitié entre une jeune fille qui est passionnée de
nature et un garçon qui déteste ça. (Amandine)
Salut, Amandine!
Ton message m’a beaucoup plu. Je m’appelle Sebastian et je suis élève en Xe F au
Lycée National « Horea, Closca si Crisan ». Malheureusement, je n’aime pas lire,
je ne lis que ce que nos professeurs nous demandent en classe. La lecture me
semble une perte de temps. Je préfère passer 2 heures pour voir inspiré d’un livre
au lieu d’attendre 2/3 semaines our arriver à la dernière page du bouquin. Si
j’étais obligé à choisir un genre de lecture, jechoisirais les romans d’action et les
comédies. En fait, je n’ai pas de temps pour lire, car l’emploi de temps est très
chargé au lycée et je fais aussi du football.
Je suis Océane Robert, élève de seconde D.
De nature très calme, j'aime lire les histoires de tout genre. En passant par les
histoires romantiques ou même les thrillers, je me dessine alors dans un monde
imaginaire. Débutant les premières mots, j'absorbe alors les lignes en leur
permettant de m'absorber moi -même pour pouvoir me libérer de la vie quotidienne
et laisser mon imagination voguer. Mais ce que je préfère avant tout, ce sont les
mangas, ces livres se lisant à l'envers, venus de contrées lointaines, traduits dans
des milliers de langues. J'aime la courbe des personnages reluisant sur le papier
blanc permettant de visualiser alors son personnage préféré, il ne nous suffit plus
cas faire défiler nos yeux sur les bulles, les paroles nous projetant alors dans un
monde magique et imaginaire.On constate alors que la lecture permet de
développer l'imaginaire, de se libérer l'esprit.
Salut Océane Robert,
Je m̓appelle Cristina, je suis élève en XeF. Jʼaime la lecture, je suis une lectrice
fascinée par les livres d’aventure, romantiques et fantastiques. Je lis aussi des
magazines, mais je crois que les livres sont plus intéressants que ceux-ci. J’ai fait
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de nombreuses lectures et mon livre préféré a été “Domnișoara Christina“
(Mademoiselle Christina), une histoire de vampires dans un monde en proie au
blasphème. Mademoiselle Christina vient tout droit du folklore roumain et tient de
toute évidence une place à part dans l’oeuvre du célèbre historien des religions et
grand spécialiste du fantastique, Mircea Eliade.
Je trouve que je suis un lecteur moyen. J'aime lire des romans fantastiques et de
science-fiction. J'aime beaucoup lire le matin dans le car et le soir dans le car
aussi. J'aime bien lire les livre de Pierre Bottero ; actuellement j'ai lu la trilogie du
« Pacte des March'ombre et « Les mondes d'Ewilan ». (Jordan)
Salut, Jordan!
Je suis Valentina-Alexandra, élève de la Xe F. La lecture est l'un de mes passe-
temps favoris. J'aime bien lire, je suis une lectrice très passionnée. J'aime lire des
romans, des histoires romantiques, et des livres d'horreur. J'aime beaucoup lire le
soir et surtout en week-end. Cette année, j’ai commencé à lire des livres en
français. La lecture la plus récente a été un texte de France Loisirs, « Macabres »
qui m’a beaucoup plus.
Je m'appelle Léna. J'aime beaucoup les romans d'amour qui me transportent vers
une nouvelle illusion de l'amour. J'aime aussi la poésie, qui est pour moi quelque
chose de très important, c'est très beau ! Les romans fantastiques sortent du
contexte des romans simples et sans vie : je m'imprègne de ces histoires pour ma
vie réelle. Mon roman préféré est L’amant de Lady Chatterley.
Salut Léna, je m’appelle Corina, je suis élève en Xe F. Moi, j’aime beaucoup lire,
je crois que la lecture est une voie intéressante vers un monde fascinant. J’aime les
romans d’amour parce qu’ils ont une histoire pleine de sentiments, très sensibles.
J’apprécie beaucoup les romans d’action parce qu’ ils sont pleins d’aventures et les
personnages sont très dynamique. Je n’aime pas la poésie et parfois je lis des
revues de mode. Mon roman préféré est Vampire Diaries et mes revues favorites
sont Bravo Girl, Cool Girl et Elle.
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La lecture est l'un de mes passe-temps. Je lis toutes sortes de choses, des romans,
comme des bandes dessinées, des magazines ou encore des livres
documentaires...Mes romans préférés sont les classiques (Victor Hugo, Zola).
Celui que j'ai préfère c'est « Les misérables » de Victor Hugo. Je bouquine de
moins en moins, mais c'est pour la simple raison que j'ai beaucoup d'activités à
faire avec le lycée ... Je profite des vacances ou encore des moments libres pour
lire. Le plus souvent, ce sont des livres en série, qui se suivent, où il y a les même
personnages, comme ça j'ai une envie de lire, pour connaitre la suite de l'histoire,
oui, je suis très curieuse. C'est depuis l'âge de 6/7 ans que je dévore des livres, des
fois il m'arrive de commencer un livre et de ne pas le finir car il m'ennuie et il ne
m'intéresse pas. J'aime beaucoup les livres, même si je ne veux pas en lire certains,
il est très fréquent que je les prenne et que je les regarde. (Alice)
Chère Alice,
Je suis d’accord avec toi en ce qui concerne la lecture, car j’aime beaucoup passer
mon temps dans le monde des personnages littéraire divers et découvrir leurs
secrets fabuleux. J’aime les romans d’amour, d’aventures et les policiers. Connais-
tu les romans de la série « Les journaux des vampires » de L.J.Smith. Sinon, je te
les recommande chaleureusement. (Bianca)
Je n'aime pas beaucoup lire, sauf quand ce sont des magazines de sport et aussi
des livres qui m'intéressent, comme les livres d'action et comiques. Je les lis
souvent le soir avant de dormir. Les livres que je dois lire en cours, je ne les aime
pas beaucoup comme ce sont des livres très compliqués à lire, à l'exception de
« Graine de violence» d’Evan Hunter, en « Littérature et Société », qui m'a bien
plu (Dimitri).
Salut Dimitri,
Je m’appelle Andreea et je suis en Xe F (c’est la deuxième classe de lycée, chez
nous). J’adore lire des romans d’amour, d’aventures, d’action, comiques, mais je
feuillette aussi les magazines; je ne peux pas dire que j’ai une préférence
particulière pour un certain genre de lecture. Tous les livres que j’ai lus étaient très
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intéressants parce qu’ils cachaient beaucoup de secrets. Si je pouvais et si j’avais
du temps libre je lirais tout le temps sans m’arrêter. Je pense qu’il ne faut pas
juger un livre selon sa couverture, il faut le lire d’abord !
J'aime beaucoup la lecture, j'aime lire le soir dans mon lit ou près de ma cheminée.
J'aime lire les romans policiers, les thrillers, mais aussi les classiques comme « Les
liaisons dangereuses ». J'aime quand je peux me plonger dans un livre et
m'identifier aux personnages et vivre pleinement le livre. Récemment j'ai lu une
trilogie. Le premier livre de cette série est « Le livre sans nom » ; c'était un thriller
palpitant avec toujours des rebondissements, avec un humour noir et certaines
scènes de violence bien maitrisées ; j'ai beaucoup aimé l'originalité du sujet. J'ai lu
une bonne partie des livres d'Harlan Coben je trouve que c'est un maître dans l'art
du suspense, surtout le roman « Ne le dis à personne », on retrouve les mêmes
personnages au fur et à mesure des livre est on "s'attache" à eux. Je ne lis pas
vraiment d'autres sortes de livres comme les livres de fiction ou futuristes car j'ai
du mal à entrer dans le livre. (Pauline)
Salut Pauline!
Je dois t’avouer que je n’aime pas trop lire. Les seuls livres que je lis sont ceux qui
nous sont demandés au lycée, car mon emploi de temps est très chargé.
Probablement je n’ai pas assez de patience, car je m’ennuie rapidement. Pourtant,
ce dernier temps, j’ai fait une lecture intéressante, celle du roman psychologique
« L’autre visage du temps » de Stephan Rechtschaffen. Le connais-tu? (Iulia
Alexandra)
Je n'ai pas vraiment l'habitude de lire, cela dépend du moment. Mais à part les
livres que l'on doit lire en français, ce que je lis sont des romans. Pour moi-même,
je ne lis jamais de recueils poétiques ou de biographies contemporaines. Les livres
que je lis sont quelques romans de guerre ou historiques (Fatherland, Léviathan),
mais, en général, je lis plutôt rarement. (Benjamin)
Salut, Benjamin!
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Je suis Delia. Moi aussi, je ne fais pas partie de ceux qui aiment lire tout le temps.
En général, je lis des livres qui me sont utiles à l’école. J’adore lire des romans
romantiques et d’aventure. J’ai été très émue en lisant « La dernière nuit d’amour,
la première nuit de guerre” de l’écrivain roumain Camil Petrescu, et « Romeo et
Juliette » de Shakespeare. Je pourrais dire que je lis rarement, mais ce que je lis, je
lis avec plaisir.
Je m'appelle Salomé. J'aime la lecture en général, mais plus particulièrement les
romans historiques. Le fantastique et le surnaturel ne sont pas des ouvrages que
j'aime d'habitude, mais je suis assez ouverte d'esprit. Mon livre préféré est Le
Comte de Monte Cristo d'Alexandre Dumas, j'aime beaucoup aussi l'écrivain Ken
Follet. Avant je lisais plus, mais compte tenu de notre emploi du temps quelque
peu chargé, c'est un peu plus difficile, bien que j'essaie toujours de me cultiver en
lisant le plus de livres possible, et les plus connus.
Salut, Salomé, je m’appelle Horatiu. Je suis un lecteur très passionné de romans
romantiques. J’aime la lecture, en général, et mon livre préféré est « La maison
aux quatre étoiles » d’Hélène Montardre. J’aime beaucoup aussi l’écrivain Mircea
Eliade. J’aimerais avoir un peu plus de temps libre pour approfondir et diversifier
mes lectures.
Je n'ai pas vraiment l'habitude de lire. Ce n'est pas que je n'aime pas ce loisir,
mais plutôt que je manque de temps. En effet, nous avons déjà des livres à lire
pour le cours de français. En général, je lis durant les vacances scolaires, des
romans « d'adolescents », plutôt distrayants qu'informatifs. J'aime également lire
des romans policiers, romantiques... Cependant, je déteste aller voir un cinéma un
film adapté d'un livre que j'ai lu auparavant. Je trouve qu'il n'y a plus de suspense
et que la vision des personnages et du décor imaginé est détruite. Je pense que je
serais capable de lire plus si je m'y efforçais réellement. Pour moi, la lecture est
avant tout un moyen de se distraire de manière intelligente. Je suis assez ouverte à
tout genre de lecture mais bien entendu, toutes les lectures ne m'intéressent pas
pour autant. Bien que je trouve les nouvelles de Maupassant, les romans de
Flaubert,... importantes, je n'y trouve pas un réel intérêt.(Margaux)
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Salut, Margaux !
Franchement, je ne lis pas très souvent... En fait, je ne lis que ce qui est requis par
l’école. La lecture n’est pas une de mes passions, mais j’aime les magazines avec
leurs articles écrits par les paparazzis. Selon moi, regarder un film est beaucoup
plus relaxant que la lecture, les personnages sont compris plus facilement et
l’action est plus facile à suivre. À présent je m’obstine à finir la lecture d’un
roman écrit par George Calinescu, « Enigme d’Otilia » qui m’ennuie. Sache que,
même si nous n’avons pas les mêmes goûts, je suis très content de lire tes billets et
de t’écrire. (Lucian)
La nouvelle équipe 2012-2013 du Lycée National « Ho rea, Clo şca et Cri şan » se présente
(diaporama en ligne): www.slideshare.net/gbadau/i-xe
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Paroles de lecteurs
Gustave Flaubert. La légende de Saint-Julien l'Hospitalier : billets et commentaires des élèves français, publiés sur le blog de notre Twinspace (Source de l'image: Vitrail de Saint-Julien l’Hospitalier. Cathedrale de Rouen. www.cathedrale-
rouen.net/patrimoine/expositions/vitraux/st_julien/st_julien20.htm)
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(par Déborah)
Le début de cette histoire commence par une description d'un château médiéval
paisible. L'histoire commence à basculer, entre dans le surnaturel. Julien a reçu
une des meilleures éducations qui puissent exister avec du raffinement, de
l'affection, du luxe, de la culture et de la générosité, puis petit à petit, l’histoire
devient de plus en plus sombre. En effet, Julien révèle son côté obscur, il se révèle
sadique et se délecte du meurtre des animaux: tout commence par une souris, puis
un rat. Mais un jour, son père décide que le moment est venu pour Julien de
connaître le monde de la chasse mais cette scène va permettre à Julien d’assouvir
ses envies de meurtre. Tuer provoque tellement de plaisir à Julien qu'il en vient
même à penser qu'il puisse un jour tuer ses parents. Cette idée lui fit tellement peur
qu'il prit la fuite et, pour se faire pardonner, il se mit à aider les gens dans le
besoin. Il aida un empereur et pour le remercier, celui -ci lui offrit la main de sa
fille. Ils vécurent des jours heureux et paisibles jusqu'à ce que Julien ait envie de
tuer à nouveau .Pendant ce temps, ses parents décidèrent de reprendre contact et
vinrent chez lui. En arrivant, Julien trouva un homme et une femme dans son lit.
Énervé et vexé de n'avoir tué aucun animal, il tua les personnes dans son lit sans
chercher à comprendre .En allumant la lumière, il se rendit compte que c'étaient
ses parents. Honteux de ce qu'il avait commis, il s'enfuit et devint prêtre. Il ouvrit
un hospice, il aida les gens malades et pauvres. Un lépreux le prit dans ses bras et
Julien s'en alla paisiblement avec Dieu. Publié sur 26/03/12 17:04.
(par Flore)
Légende de « Saint-Julien l'Hospitalier »
Cette histoire se déroule dans un château paisible et prospère. Les deux parents de
Julien sont présentés comme bons, sérieux et Dieu les protège. Tout a l'air d'un
conte de fées jusqu'au moment où les parents de Julien ont des visions.
L'éducation de Julien se caractérise par l'amour de ses parents, le luxe... .Son
éducation est très complète et Julien doit devenir un homme bon.
A partir du moment où Julien grandit, on peut observer qu'il évolue vers un côté
plus obscur. L'enfant aime torturer et tuer des petits animaux. De ce fait, il aime la
chasse et les préparatifs semblent incroyables. En effet, le bestiaire est énorme par
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le nombre de chiens, d'oiseaux mais aussi par le nombre d'animaux qui ont une
provenance lointaine (comme des lions ...). Le caractère de cet enfant est barbare.
Les prédictions du père semblent se réaliser mais dans la cruauté. Julien devient
sauvage... « buvait l'eau des sources dans sa main, mangeait en trottant des
pommes sauvages, s'il était fatigué se reposait sous un chêne; et il rentrait au
milieu de la nuit couvert de sang et de boue, avec des épines dans les cheveux et
sentant l'odeur des bêtes farouches » . Il tue des bêtes de sang- froid sans avoir de
remords. Un soir, il croit voir une cigogne dans le jardin, or, en réalité, il s'agit de
sa mère. Il lui lance son javelot mais " un cri déchirant partie. C'était sa mère." et
de ce fait, il décide de s'enfuir du château. Plus tard, il s'engagea dans une troupe
d'aventuriers et il sauva l'empereur. Pour remercier Julien, il lui propose plusieurs
récompenses mais il les refuse toutes sauf une, sa fille. Il s'installa dans un palais
avec son épouse, et décide de ne plus chasser mais l'envie est présente. Il résiste à
cette envie, jusqu'au soir où il entend une bête à sa fenêtre. Avec l'accord de sa
femme, il partit à la chasse. Il tue énormément, mais, il a une hallucination d'un
cerf juste avant qu'il ne meure.
De retour à son palais, il aperçoit un homme dans le lit de sa femme. Pris de
colère, il le tue ainsi que la femme à côté de cet homme. Quelques minutes après,
il crut voir le fantôme de sa femme et s'aperçoit que ce sont ses parents. La vision
du cerf se réalise. Après les funérailles, il décide de s'enfuir à nouveau. Il s'installe
près d'une rivière où il fait traverser des voyageurs sur une barque. Un soir de
tempête, un homme l'appelle de l'autre côté de la rivière. Il l'amène chez lui. Cet
homme est Dieu et Julien meurt. Publié sur 02/05/12 10:30.
(par Simon)
Julien est le fils d'un petit seigneur local. À sa naissance, deux messagers
surnaturels rendent visite indépendamment à ses géniteurs pour leur annoncer que
leur fils est promis à un destin extraordinaire de conquérant et de saint. L'un et
l'autre, enthousiasmés par la divination, se taisent cependant et se dévouent
entièrement à l'éducation et la liberté de leur fils. Julien grandit au milieu de la
nature et se découvre un goût enivrant pour la chasse. Ne pouvant plus contrôler
son appétit de prédateur, il réalise de véritables tueries dans les forêts
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environnantes, décimant tout animal qui passe à sa portée sans le moindre
discernement ou la moindre pitié. Alors qu'il massacre un cerf, sa biche, et leur
faon, il se trouve soudainement défait de ses armes, le cerf blessé et se tourne face
à lui pour l'encorner mais s'arrête mystérieusement et lui lance une malédiction :s'il
mourrait , il promit que Julien tuera ses parents . Julien prit les menaces au sérieux
et partit rejoindre les grands princes du monde pour se battre. Le prince
d'Occitanie le remarqua et suite à une victoire, lui donna sa fille comme épouse. Ils
s'installaient alors dans un palais. Mais un jour, il se mit à chasser, promettant à sa
femme qu'il reviendrait assez vite. Pendant ce temps, la femme accueillit les
parents de Julien qui dormaient alors dans sa couche. Julien revient et distingua
deux personnes dans son lit: pris de panique il les égorgea et remarqua juste après
que c'était ses parents. Il abandonna alors sa vie et partit dans la forêt pour faire
passeur. Un jour, il fut réveillé par un lépreux qui lui demanda de l’aider, ce qu'il
accepta. Le lépreux était en réalité Jésus qui l'emmena au paradis. Publié sur
01/07/13 23:05.
(par Léa)
Deux mystérieuses prédictions accompagnent la naissance de Julien : il sera saint
et empereur. Pendant sa jeunesse, Julien devient un seigneur cruel. Lors d'une
chasse, un cerf lui prédit qu'il tuera ses parents et peu après, la prédiction manque
de se réaliser : involontairement, Julien tire sur sa mère. Pour échapper à la
prédiction, il quitte le château familial. Il combat dans plusieurs armées et obtient
en mariage la fille d' un empereur grâce à ses exploits. Une nuit pendant que Julien
est à la chasse, ses parents, depuis longtemps à sa recherche, se présentent à sa
femme, qui leur offre sa couche pour qu'ils se reposent. A son retour, Julien
croyant apercevoir dans l'obscurité un homme couché dans son lit auprès de sa
femme, égorge ses parents. Lorsqu'il découvre l'horrible vérité, il renonce à tous
ses biens et se met au service des autres en se faisant passeur. Une nuit, il fait
traverser un lépreux qu'il héberge, nourrit et réchauffe de son propre corps. Alors,
l'agonisant, qui n'est autre que "Notre Seigneur Jésus" l'emporte jusqu'au ciel.
Publié sur 01/07/13 23:07.
52
(par Yohann)
Saint Julien l'Hospitalier.
Malgré l'éducation qu'a reçue Julien, il est devenu un adepte du crime; il prend
plaisir à abattre des animaux de toutes sortes: cerfs, chevreuils, blaireaux et bien
d'autres encore. Mais un jour, un cerf le mit en garde et lui dit qu'à force de
prendre plaisir à tuer des bêtes, un jour, il tuerait ses parents. Cette révélation lui
fit froid dans le dos. Julien décida de prendre la fuite. Il partit et aide toute
personne nécessitant de l'aide. Un jour, il aida un empereur détrôné à reprendre son
trône en coupant la tête de l'empereur qui avait pris sa place. Celà prouvait bien
que tuer ne l'effrayait pas. Pour le remercier de cet acte, l'empereur lui offrit la
main de sa fille. Ils étaient très heureux et vivaient paisiblement. Puis Un jour,
Julien partit à la chasse, mais ce dernier n'avait tué aucune bête, ce qui l'avait
rendu colérique. En rentrant, il pénétra dans la chambre ou dormait sa femme, mais
elle n'était pas là. Cependant, deux personnes étaient ici, devant lui. Julien les
abattit. C'est en allumant la lumière après avoir tué ces deux personnes qu'il se
rendit compte que ces deux étrangers étaient en réalité ses parents... Le cerf ne
s'était pas trompé... Publié sur 01/07/13 23:08.
(par Laura C)
Julien est pris très jeune par la passion de la chasse. Un jour, comme dans un rêve,
ne se fatiguant pas de tuer, il commet un immense et cruel carnage. Un grand cerf
lui prédit qu'il assassinera son père et sa mère. Pour fuir cette prédiction, il se jette
dans des aventures guerrières, loin de chez lui. Un empereur, qu'il a sauvé, lui
donne sa fille en mariage, et un château. Une nuit, il sort, repris par le démon de la
chasse. Mais il se révèle incapable de tuer un seul de tous les animaux qu'il
rencontre, et qui semblent se moquer de lui. Pendant ce temps, ses parents, qui le
cherchaient depuis longtemps, se présentent à son château, et sa femme les couche
dans son lit. À son retour, Julien croit trouver un homme couché avec sa femme et
les tue, avant de s'apercevoir qu'il vient de réaliser la prédiction du grand cerf.
Il fuit à nouveau, se fait mendiant, et s'installe finalement comme passeur au bord
d'un fleuve inhospitalier. Une nuit, Jésus, sous la forme d'un lépreux, l'appelle pour
qu'il lui donne le passage, lui réclame à manger, à boire, à se chauffer, et se couche
53
dans son lit. Julien le réchauffe de son corps et est enlevé au ciel. Publié sur
01/07/13 23:10.
(par Garance.R)
Deux mystérieuses prédictions accompagnent la naissance de Julien : il sera saint
et empereur. Pendant sa jeunesse, Julien devient un seigneur cruel. Lors d'une
chasse, un cerf lui prédit qu'il tuera ses parents et peu après, la prédiction manque
de se réaliser : involontairement, Julien tire sur sa mère. Pour échapper à la
prédiction, il quitte le château familial. Il combat dans plusieurs armées et obtient
en mariage la fille d’un empereur grâce à ses exploits. Une nuit pendant que Julien
est à la chasse, ses parents, depuis longtemps à sa recherche, se présentent à sa
femme, qui leur offre sa couche pour qu'ils se reposent. À son retour, Julien
croyant apercevoir dans l'obscurité un homme couché dans son lit auprès de sa
femme, égorge ses parents. Lorsqu'il découvre l'horrible vérité, il renonce à tous
ses biens et se met au service des autres en se faisant passeur. Une nuit, il fait
traverser un lépreux qu'il héberge, nourrit et réchauffe de son propre corps. Alors,
l'agonisant, qui n'est autre que « Notre Seigneur Jésus » l'emporte jusqu'au ciel.
Publié sur 01/07/13 23:12.
(par Charline)
Né de parents nobles, dans un château, Julien devient un jeune homme vigoureux,
ardent, et très cruel, passionné de chasse. Un jour, après avoir massacré une harde
de cerfs, il voit s’avancer vers lui le grand mâle qui la commandait, et celui-ci lui
parle : « Maudit, maudit, maudit ! Un jour cœur féroce tu assassineras ton père et
ta mère ». Effrayé de cette prophétie, Julien délaisse la chasse ; mais peu de temps
après, il manque de tuer accidentellement son père et sa mère. Il fuit alors le
château et mène une vie d’aventurier. Devenu un mercenaire célèbre, il loue ses
services aux principaux souverains d’Europe et traite avec eux d’égal à égal. Ne
sachant comment le récompenser, l’empereur lui offre sa fille en mariage, et les
deux jeunes gens vivent heureux, jusqu’au jour où Julien se laisser attirer par des
animaux sauvages dans la forêt. Entre-temps, ses vieux parents sont arrivés au
château : leur belle-fille a le plus grand mal à les reconnaître en ces mendiants
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décharnés. Quand Julien rentre, ces parents sont étendus sur son lit. Dans
l’obscurité, Julien croit trouver sa femme en compagnie d’un amant et il les
massacre. Le voilà de nouveau errant sur les routes, menant la vie d’un pèlerin. Il
finit par se fixer au bord d’un fleuve et fait le métier de passeur. Un jour, en plein
orage, il est appelé de l’autre rive par un affreux lépreux. Il va le chercher, et
l’homme lui demande l’hospitalité. Il mange toutes les provisions de son hôte,
s’installe dans son lit et, ne pouvant se réchauffer, demander à Julien de venir à
côté de lui, puis de s’allonger sur lui. Julien s’exécute, et tout à coup le lépreux
devient Jésus qui entraîne Julien à sa suite, au Ciel. Publié sur 01/07/13 23:13.
(par Laura-Valentina)
Saint Julien l'Hospitalier
Cette histoire débute dans un château où d'après la description , l'argent coule à
flots . Un seigneur et sa femme y habitent . Toujours d'après sa description , nous
pouvons voir que le fléau de la guerre n'a pas frappé depuis longtemps . La
châtelaine , à force de prier Dieu, mit un jour au monde un fils prénommé Julien .
Par deux fois , les parents comblés par cette naissance reçurent la visite d'un
messager . Pour la femme , la prédiction disait que l'enfant deviendrait Saint.Pour
le mari , il connaîtrait la gloire au prix de beaucoup de vies . Malgré de telles
prédictions , ils l'élevèrent avec beaucoup d'amour et de tendresse .Son éducation
fut complète à la hauteur de son rang . Elevé dans la foi chrétienne , son entourage
lui apprit à accueillir l'étranger . Malgré son éducation dans l'amour,ça ne
l'empêcha pas de vouer une haine envers les animaux . Il en tortura des dizaines et
les fit mourir sans aucune pitié . Un jour , le seigneur , son père ,décida de lui
constituer une meute . Cet apprentissage de la vénérie amplifia en lui ce tel besoin
de violence . Au fur et à mesure que le temps passait , Julien ne se lassait pas de
tuer . Au cours d'une chasse , il tua toute une famille de cerfs . Le mâle lui parla
avant de mourir et Julien comme ses parents , quelques années plus tôt , reçu un
message . Il eut peur de cette prédiction . Par la suite , il faillit tuer à plusieurs
reprises ses deux parents . De peur de leur faire du mal , il prit la décision de
quitter la demeure familiale . Il s'engagea dans l'armée et grâce à son désir de tuer
et ce sentiment de vengeance qui résidait en lui , il gravit vite les échelons . Suite à
55
unebataille gagnée , il reçut de la part de l'empereur d'Occitanie la main de sa fille
. Quelques fois dans des songes , il voyait des animaux partout et ne pensait qu'à
les tuer . Un soir n'en pouvant plus , il décida avec l'accord de sa femme de partir à
la chasse . Frustré de ne pas avoir assez tué , il revint avec une colère immense .
Espérant se calmer au coté de sa femme , il alla pour l'embrasser mais à la place il
sentit une barbe . Pensant avoir été dupé , il tua sous l'effet de la colère l'homme et
la femme dormant dans le lit qui, en réalité ,étaient son père et sa mère . La
prophétie s'accomplissait alors . Il s'en voulu tellement qu'il décida de repartir .
Depuis ce jour , il prit l'habit de pauvre laissant derrière lui tout ce qu'il possédait .
Il s'en alla mendiant sa vie sur les routes . Malgré le temps , rien n'apaisait ses
remords . Il décida de mettre fin à ses jours . Avant de commettre l'irrémédiable , il
vit dans l'eau d'une fontaine le visage de son père beau et serein . Il renonça alors à
ce geste et continua son chemin . Il vit un pont infranchissable et décida de se
rendre au service en faisant passer les gens d'une rive à l'autre . Une nuit par une
grosse tempête , un homme l'appela pour solliciter son aide . Julien alla le chercher
et s'aperçu que cet homme était un lépreux . Cet homme lui demanda à manger et à
boire . Julien lui donna tout ce qu'il possédait . L'homme eut froid et demanda à
Julien de le réchauffer ; ce dernier surmonta le dégoût que les gens portaient
habituellement aux lépreux et réchauffa l'homme avec toute sa personne . Puis,
doucement, il se laissa guider vers la mort avec une certaine joie et sérénité .
Explication de texte :
D'après un vitrail , Gustave Flaubert en 1875 reprend la légende normande de St
Julien l'Hospitalier .En lisant cette légende ,nous faisons inévitablement un lien
avec le mythe d'Oedipe . Ce qui est normal et qui nous conforte dans l'idée que
nous n'échappons pas au destin ,quoi que que nous fassions pour s'y dérober . Au
cours de notre lecture , nous nous posons des questions sur le fait que ce texte soit
réaliste ou dérive vers le surnaturel. L'histoire se passe dans un cadre riche et
paisible. Au milieu de la page 2, on trouve "s'était procuré des tiercelets du
Caucase , des sacres de Babylone , des gerfauts d'Allemagne, et des faucons
pèlerins" . Si nous nous remettons dans le contexte historique posséder tout cela
était impossible .Alors, que penser ? Nous allons explorer une autre piste qui va
56
nous faire passer dans le côté surnaturel de l'histoire. Au cours de cette oeuvre 3
apparitions vont se faire , chacune pour prévenir de quelque chose . Ce qui les unit
est le côté irréel de la chose . Désormais , nous sommes sûrs de notre hypothèse .
Si cette histoire est appelée "légende", c'est qu'elle est un peu imaginaire . Le
monologue final nous fait penser à un passage de l'Evangile de St Matthieu 25,35-
40 .
Publié sur 01/07/13 23:16.
Guy de Maupassant. Le Horla: articles de presse publiés sur le blog du Twinspace par les élèves français (Source de l'image: www.clpav.fr/maupassant/lecture-maupassant.htm)
Lecture offerte
«Fascination» de Stephenie Meyer (25/09/2012)
57
Lecture bilingue de quelques fragments du premier tome de la saga «Fascination »
de Stephenie Meyer, offerte par un groupe d’élèves de la XI F. Les traductions
(illustrées) en français ont été réalisées par les élèves mêmes. Un petit coin-
exposition sera organisé au CDI pour permettre aux participants de mieux
comprendre les textes lus. (Source de l’image:
http://amandalewisab.wordpress.com/2012/03/22/fascination/)
Description de l’activité
« Fascination » au CDI....
A l’occasion de la Journée Européenne des Langues, le projet « La Fascination du
surnaturel » a été présenté aux élèves d’une nouvelle classe entrée dans le projet
(la IXe F). Bianca, Andreea, Corina et Alina ont parlé à leurs collègues de leurs
contributions au projet et elles leur ont offert quelques fragments de lecture
bilingue.
Les fragments traduits et lus par les élèves :
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Teama
La peur
Îsi lăsă capul să îi cadă, aşa cum o făcuse în noaptea aceea în Port Angeles. Se
vedea clar cât de chinuit era; tânjeam să îl consolez, dar nu ştiam cum. Mâna mea
a pornit-o spre el fără să vreau; totuşi, am pus-o repede pe masă, temându-mă că
atingerea mea n-ar face decât să înrăutăţească lucrurile. Încet, mi-am dat seama că
vorbele lui ar fi trebuit să mă înfricoşeze. [MEYER, Stephenie. Amurg. Bucureşti:
RAO, 2008, p.196]
Il laissa tomber sa tête sur ses paumes, comme il l’avait fait cette nuit-là, à Port
Angeles. C’était évident combien il était torturé; je souhaitais le consoler, mais je
ne savais pas comment. Ma main se dirigea vers lui sans que je le veuille;
cependant je l’ai vite reposée sur la table parce que j’avais peur que mon contact
empire les choses. Peu à peu, j’avais compris que ses paroles auraient dû
m’effrayer. [Texte traduit par Andreea Anghel , XIe F]
59
Era un mod frumos de a muri
C’était une belle façon de mourir
Nu m-am gândit niciodată prea mult la felul în care voi muri - deși am avut
destule motive în ultimele câteva luni - dar, chiar dacă m-aș fi gândit, nu mi-aș fi
imaginat că voi muri în felul acesta. M-am holbat fără suflare în celălalt capăt al
camerei, în ochii negri ai vânătorului, iar el mi-a întors o privire plăcută. Cu
siguranță era un mod frumos de a muri, în locul altcuiva, în locul unei persoane
iubite. Chiar nobil. Asta ar trebui să conteze. [Meyer, Stephenie, Amurg.
Bucureşti: RAO, 2008, p. ]
Je n’avais jamais trop pensé à ma mort – même si j’avais eu assez de raisons les
derniers mois – mais, même si j’y avais pensé, je ne l’aurais jamais imaginé
comme ça. J’ai regardé sans souffle les yeux noirs du chasseur et il m’a rendu de
l’autre côté de la chambre un regard agréable. C’était, certainement, une belle
façon de mourir à la place d’un être cher. C’était voire noble. C’est tout ce qui
compte. [Texte traduit par Corina Blaga, XIe F]
60
Visul unei adolescente
Le rêve d’une adolescente
În visul meu era foarte întuneric, iar lumina vagă ce se vedea părea să radieze din
pielea lui Edward. Nu îi puteam vedea fața, doar spatele în timp ce se îndepărta de
mine, lăsându-mă în întuneric. [MEYER Stephanie. Amurg. Bucuresti: RAO,
2009, p.63]
Il était très sombre dans mon rêve et la lumière diffuse semblait rayonner sur la
peau d’Edward. Je ne pouvais pas voir son visage, juste son dos lorsqu’il
s’écartait de moi, en m’abandonnant dans l’obscurité. [ Texte traduit par Crisan
Bianca, XIeF]
61
Descoperire neaşteptată
Découverte inattendue
Nu ştiu la ce m-am aşteptat, dar sigur nu la asta. Casa arăta ca şi cum timpul n-ar
fi trecut peste ea, perfectă, dar probabil că avea vreo sută de ani. Era vopsită într-
un alb delicat, îngălbenit cu două etaje, dreptunghiulară şi foarte bine
proporţionată. Ferestrele şi uşile făceau parte din structura originală sau erau
restaurate la perfecţie. Camioneta mea era singura maşină la vedere. [MEYER,
Stephenie. Amurg. Bucureşti : RAO, 2008, p.253 - 254]
Je ne sais pas à quoi je m’attendais, mais sûrement pas à cela. La maison était
comme si elle ne connaissait pas le temps, même si elle devait être centenaire.
Elle était peinte d’une délicate couleur blanc jaunâtre, à deux niveaux,
rectangulaire et bien proportionnée. Les portes et les fenêtres étaient soit
d’origine, soit très bien restaurées. Il n’y avait aucune voiture en vue, sauf la
mienne. [Texte traduit par Marina Drăgan, XI e F]
62
Description de l’activité
Maurice Leblanc
- Marie Émile Maurice Leblanc est né le 11 décembre 1864 à Rouen. Son père était
armateur. Sa soeur, Georgette, fut l’interprète de Maurice Maeterlinck et sa
compagne.
- Il monta à Paris pour devenir journaliste puis écrivain. Il fréquenta Alphonse
Daudet, Stéphane Mallarmé et Jules Renard.
63
- En 1905, Pierre Lafitte, directeur du mensuel Je sais tout, lui commande une
nouvelle sur le modèle du Raffles d'Ernest William Hornung : L'Arrestation
d’Arsène Lupin. Deux ans plus tard, Arsène Lupin est publié en livre :Arsène
Lupin contre Herlock Sholmès . Conan Doyle n’apprécia pas cette parodie des
noms de ses personnages romanesques.
- 1907 : il entre à l’Académie française.
- 1908 : il obtient la Légion d’honneur.
- Il est mort le 6 novembre 1941 à Perpignan.
Il aimait les lieux mystérieux en Normandie : Étretat et le trésor des rois de
France, Tancarville, le passage souterrain de Jumièges devant mener au trésor
médiéval des abbayes… La piste des sept abbayes du pays de Caux reliées entre
elles dessinerait la Grande Ourse et permet de retrouver l’étoile d’Alcor.
Quelques oeuvres
� 1907 : Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur
� 1908 : Arsène Lupin contre Herlock Sholmès
� 1909 : Arsène Lupin (pièce de théâtre)
� 1909 : L'Aiguille creuse
source : http://www.arsene-lupin.com/monde/auteur.php
64
Source de l'image: simplement.arsene.free.fr/maurice_leblanc/biographie.php
Maurice Leblanc est un écrivain normand qui s'inspira de la Normandie pour créer des intrigues mystérieuses, la plus célèbre étant celle de «L'Aiguille creuse».
Les élèves de seconde C commentent un extrait de cette histoire adapté en bande dessinée: Evocation d'un lieu mystérieux en Normandie (09 september 2012 19:01)
Evocation d'un lieu mystérieux en Normandie (09/09/2012)
Les élèves français commentent un extrait de L'aiguille creuse de Maurice Leblanc adapté en bande dessinée. (Source de l’image: www.pleindimages.com)
65
Isidore, un jeune détective français, cherche la cachette d'Arsène Lupin
qui a volé les trésors des rois de France. Herlock Sholmes, un célèbre détective
anglais, l'aide. Après avoir trouvé plusieurs indices, ils pensent que l'Aiguille
Creuse d'Étretat est le repère du voleur. Je pense que les falaises d'Étretat ont été
choisies car il y a des sentiers, des formes étranges, des grottes, qui font d'elles un
lieu mystérieux.
« L'aiguille creuse » raconte l'histoire d'un détective nommé Isidore, qui
est à la recherche du trésor des rois de France . Mais Herlock Sholmes un autre
66
détective, est aussi à la recherche de ce trésor. Les détectives vont alors s'aider
pour trouver l'endroit où a été caché le trésor...
C'est une intrigue mystérieuse, et c'est pour ça, je pense, que l'auteur a choisi
Étretat comme lieu d'inspiration. Car auparavant des disparitions inquiétantes ont
eu lieu près des falaises. Des dizaines de personnes ont été portées disparues suite
à une promenade sur les célèbres falaises normandes, des personnes jamais
retrouvées. Simple rumeur, ou alors les falaises d'Étretat cachent-elle réellement
un secret..?
Arsène Lupin, voleur des trésors des rois de France, l'homme aux
plusieurs visages, est recherché en vain par les détectives Isidore Bautrelet et
Herlock Sholmes, qui sont respectivement jeune et anglais. Tous deux sont à la
recherche de la même et unique personne alors ils décident d'unir leurs forces et
leurs connaissances pour trouver où est le trésor et par la même occasion trouver le
voleur. Arsène est mystérieux :c'est pourquoi, selon moi, que les falaises d'Étretat
ont été choisies par Maurice Leblanc pour son histoire. C'est un endroit intrigant
où il y a beaucoup de cachettes, non seulement pour le trésor volé mais aussi pour
le voleur. L'endroit reflète l'image d'Arsène : mystérieux.
Isidore Beautelet détective français et Herlock Sholmes, détective
anglais, ont un même but : trouver le repère du célèbre gentleman cambrioleur
Arsène Lupin, où celui-ci renferme les trésors des rois de France. Après avoir suivi
de nombreux indices, Isodore finit par trouver l'antre du voleur et celui-ci. Pour ma
part, je pense que l'auteur a choisi ce lieu car ces falaises sont-elles- mêmes
étranges avec ces formes sculptées par le vent, la pluie et la force des vagues;
67
ainsi, en raison de ces formes mystérieuses, cette aiguille d'Étretat fut la muse de
l'auteur pour ce récit fantastique.
L'histoire parle d'un jeune détective nommé Isidore, qui part en
mission pour retrouver le trésor des rois de France qui a été volé par Arsène Lupin.
Il se rend compte que Herlock Sholmes (Un autre détective) est aussi à la
recherche du voleur et du trésor, ils se rendent donc à l'Aiguille creuse (Étretat),
pensant que c'est la cachette du voleur après avoir trouvé une piste grâce aux
indices. D'après moi, les falaises d'Étretat ont un côté mystérieux car il y a un
grand trou qui se forme sur l'aiguille, et on ne sait pas comment cela s'est produit.
Pourquoi le reste ne s'est-il pas écroulé avec ?
Herlock, détective, est à la recherche de l'aiguille creuse pour un
cambriolage. Pendant cette aventure, il va découvrir certaines choses comme la
mystérieuse grotte "les demoiselles". Puis il cherchera aussi le voleur, Arsène
Lupin.
Les falaises d'Étretat sont mystérieuses du fait que leur forme est unique, cela peut
devenir un point de repère pour beaucoup de gens. Certainement des trésors ont été
cachés à cet endroit, tout un tas d'autres choses. On ne sait pas tous les secrets de
ces falaises, c'est pourquoi cela que cet endroit intrigue les populations. Les
falaises d'Étretat nous cachent encore tant de secrets tout autant mystérieux et
surprenants.
68
Isidore, un jeune détective français, et Herlock Sholmes, le célèbre
détective anglais, sont à la poursuite d'Arsène Lupin, un voleur gentleman de
renommée. Tous deux décident de former un binôme et de mettre en commun leurs
recherches. Après nombre d'indices, de recherches et de découvertes, ils se
retrouvent sur la piste de « l'Aiguille Creuse », où notre voleur aurait caché le
trésor des Rois de France.Selon moi, les falaises d'Étretat ont été choisies comme
un lieu mystérieux, car les disparitions inquiétantes des personnes qui s'y sont
aventurées, cette « Aiguille Creuse » détachée du reste de la falaise, et ses
nombreuses grottes et autres cachettes, tous ces mystères dont personne n'a jamais
pu lever le voile, ne font qu'attirer et accentuer la curiosité de tous.
Dans cette histoire, on trouve des choses intrigantes comme deux
lettres dans le granit du sol (DF), les habitants d'Étretat appelant la grotte : « Des
demoiselles ».
Arsène Lupin écrit sur un mur son testament, il lègue les trésors de l'aiguille à la
France pour qu'il soit installé au Musée du Louvre portant le nom
« Salle Arsène Lupin ». Herlock Sholmes est sur la trace d'Arsène lupin, Arsène
doit donc fuir avec Raymonde et Isidore mais en haut de la falaise se trouve sa
nourrice prisonnière et menacée par une arme par trois personnes.
Les falaises d'Étretat sont un lieu mystérieux, les rois de France y cachaient des
trésors. Il y a des escaliers dérobés, creusés dans la paroi de l'aiguille.
Il débouche sur une vaste grotte située au niveau de la mer, puis en dessous de la
pointe extrême de l'aiguille creuse voltigent des mouettes, un peu de fumée sort
d'une crevasse comme sortant d'une cheminée invisible.
Les Falaises d'Étretat restent un endroit très vaste et mystérieux qui ont toujours
69
attiré beaucoup de personnes :idéal pour se cacher ou pour y cacher toutes sortes
de richesses.
« L'aiguille Creuse » est un roman de Maurice Leblanc, où nous
pouvons trouver les aventures d'Arsène Lupin. On peut distinguer les personnages
principaux dans ce bout de roman. On déduit qu'il y a plusieurs détectives comme
Herlock Sholmes le plus âgé et Isidore Beautrelet, le plus jeune. Mademoiselle
Raymonde est la compagne de Monsieur Arsène Lupin, lui-même le voleur des
trésors des Rois de France. Enfin, il y a Ganimard l'inspecteur de la police
française. Une partie du secret se dévoile au plus jeune détective avec les lettres D
et F du cryptogramme. Comme nous avons plus le voir, « L'aiguille Creuse »
renferme des trésors des Rois de France depuis très très longtemps, qui se trouve à
Étretat et qui est la ville de Lupin. Lupin, Raymonde et Isidore sont ensemble
quand ils apprennent que le détective Herlock Sholmes est sur leurs traces.
Pourquoi ce lieu normand « L'aiguille Creuse « est-il l'objet de mystère? Je pense
qu'il faut beaucoup d'imagination de la part de chacun pour répondre à cette
question. Il y a vraiment un grand mystère sur la place de cette falaise: pourquoi a-
t-elle été appelée comme ça? Cette falaise a une histoire derrière elle, mais
laquelle? Elle a aussi un passé et sûrement une légende.
Isidore Beautrelet et Herlock Sholmes sont deux détectives à la
recherche d’Arsène Lupin célèbre voleur au mille visages et de sa fameuse
cachette. Mais où Arsène Lupin a-t-il caché le Trésor des Rois de France ? C'est ce
qu'ils décident de découvrir en unissant leurs forces. Selon moi, ce qui est
mystérieux dans les falaises d'Étretat est qu'il y a un phénomène bizarre qui s'y
produit, les roches se forment et changent en fonction du temps, de la température
et de la pluie. Les grottes ont sûrement été creusées par les pluies et non par
70
l'homme. Il y a une dizaine de cas de même type dans le monde dont 3 répertoriés
en France.
Dans l'aiguille creuse, il y a un trésor, c'est Arsène Lupin qui l'a volé
et Herlock Sholmes, un célèbre détective, le recherche. Ils cherchent l'aiguille
creuse mais ne savent pas ce que c'est mais il trouve un sentier qui l’emmène à la
grotte et trouve comme indice "D et F", donc il en déduit que c'est l'aiguille
d'Étretat. Je pense que les falaises d'Étretat ont été choisies comme lieu mystérieux
car il y a des sentiers et l'aiguille creuse !
« L'aiguille creuse », du roman de Maurice Leblanc raconte l'histoire
d'un mystérieux trésor qui serait caché, mais où ? Voici la question que se posent
deux détectives Herlock Sholmes et Isidore Beautrelet. Isidore explore le pays,
interroge des paysans, mais personne n'a entendu parler de l’aiguille. Et soudain le
hasard l'amène à un vieux Fort, le Fort de Fréfossé, peu de temps après il se trouva
à la grotte, creusée, la Porte d'Aval ! Il y trouva à ses pieds les initiales « D et F ».
Alors il essaya de se renseigner auprès d'un berger, il lui répondit que la grotte se
prénommait « Demoiselles », il fit alors le lien avec les initiales. Il trouva ensuite
la fameuse aiguille, et la cachette des trésors des rois de France et aussi le repère
d'Arsène Lupin .Puis plus tard Isidore, Harcèle Lupin et Raymonde sa compagne,
ont failli être prisonniers par Ganimard l'inspecteur de police mais juste avant,
Lupin a eu le temps d'écrire son testament sur un mur et ensuite de s'enfuir par un
escalier de l'aiguille. Ils arrivèrent au sous-marin et partirent à Port-Lupin. Mais
arrivés en haut de la falaise ...Les Falaises d'Étretat ont été choisies comme un lieu
mystérieux car on ne sait comment se sont formées les falaises, de par son pic «
l'Aiguille » qui est seule sur la mer comme si elle était posée sur la surface de l'eau
et d'autre part le trou béant de la « Porte d'Aval ». Cette « Porte d'Aval » ressemble
à une trompe d'éléphant ou à une racine qui s'enfonce dans l'eau. Il y a une légende
71
qui disait qu'un bateau assez conséquent pouvait passer par ce trou, et qu'il y avait
aussi un passage souterrain de la « Porte d'Aval » à « l'Aiguille », mais ce n'est
qu'une légende.
Isidore Beautrelet jeune détective à la recherche du trésor des Rois de
France volé par Arsène Lupin, va explorer la France pour retrouver ce dernier avec
la fabuleuse cassette. Avec l'aide du célèbre détective anglais Herlock Sholmes, il
va finalement découvrir deux lettres taillées dans le granit, un cryptogramme déjà
vu auparavant. Il va alors découvrir la mythique et pourtant peu connue Aiguille.
Là, se cachent le gentleman cambrioleur, sa belle et son butin. Mais Isidore après
avoir rencontré l'homme et mille visages retourna sa veste et s'enfuit en sa
compagnie. Nul ne saura jamais, nul ne saurait savoir et nul ne pourra dire
pourquoi l'oiseau, lui être sans peur, dominant l'homme de toute sa hauteur et sa
majesté ne peut régner sur se pique, sur ce roc, ce cap, sur cette péninsule.
Quiconque, homme ou animal, vivant ou mort, céleste ou terrestre ne pourra
pénétrer le cœur de la roche à l'âme ou l'ombre peu rassurante. Le soupir du vent,
glissant et glaçant la pierre fouettée par les lames et la houle depuis plus de temps
que le ciel ne peut le compter, ont donné cette allure d'épine caressant le ciel et
dominant les eaux tumultueuses...
Aliénor Lavier-Aydat
Arsène Lupin et la falaise d’Étretat. L’intrigue débute au moment où Isidore trouve
par hasard les initiales D F déjà vues à la 4eme ligne d’un cryptogramme et c’est à
ce moment précis que le lecteur s’interroge quant au sens de ces mêmes lettres
gravées sur le sol. Le mystérieux choix de la falaise d’Étretat laisse perplexe : cet
escarpement rocheux si raide, battu par le vent et la tempête, isolé de la côte, sans
aucun accès par un pont ou un escalier taillé dans la roche, sans prendre le risque
d’embarquer sur un bateau avec la houle et les vagues... et pourtant il doit bien
exister un moyen d’arriver à cette aiguille que l’on dit creuse…
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Grimoin Quentin
C'est l'histoire de Isadore Beautrelet et Herlock Sholmes, tous deux
détectives,cherchant à découvrir la cachette secrète du célèbre cambrioleur Arsène
Lupin ,voleur du trésor des rois de France. Les falaises ont été choisies car c'est un
lieu rempli de mystères et qui intrigue les lecteurs à cause de toutes ses formes !
Publié sur 22/09/12 10:37
Mythes et légendes de nos régions
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La partie sud des Monts
d’Apuseni (les Carpates Occidentales) est connue pour la foire du Mont Gaïna
(Găina signifie « poule » en roumain). La Foire de Gaïna a lieu le dimanche le
plus proche du 20 juillet, la Fête de Saint Elie chex les Orthodoxes.
On dit que, jadis, le Mont Gaïna était sous la protection d’une belle fée, bonne et
sage. La Fée avait une poule en or qui pondait des œufs d’or. Si jamais un homme
avait besoin d’argent, la fée lui faisait don un œuf d'or. Le jour le plus long de
l'année, au lever du soleil, des couples jeunes qui voulaient se marier, venus des
vallées environnantes, montaient au somment de la montagne et recevaient un œuf
d'or comme cadeau de mariage de la part de la bonne Fée. Un jour, trois villageois
méchants ont réussi à entrer dans le palais de la Fée avec l’intention de voler la
poule magique et le panier aux œufs d'or. Alertés par les cris de la poule, les
gardiens sont partis sur la trace des voleurs. Mais ceux-ci ont réussi à se sauver et
ils se sont cachés dans une grotte. Pendant leur fuite, ils ont renversé le panier et
les œufs d’or se sont répandus sur les versants de la montagne et dans la rivière
d’Arieș.Triste et furieuse, la Fée a détruit son palais et elle est partie ailleurs. La
légende prend tout son sens dans cette région d'exploitations aurifères millénaires.
Cette légende est à l’origine d’une tradition populaire attestée historiquement
depuis 1816, « La foire aux jeunes filles». Cette fête des habitants du pays de
l'Arieș offrait traditionnellement l'occasion aux jeunes filles, superbement parées,
d'être choisies comme épouses par les jeunes hommes célibataires. Les jeunes
mariés se voyaient offrir des œufs peints en or, en souvenir de la légende. La
74
tradition est respectée même de nos jours. Le 20 juillet, sur le plateau du Mont
Gaïna, à 1484 m d'altitude, a lieu le plus grand rassemblement folklorique de
Roumanie. Aujourd'hui, la foire aux jeunes filles est symbolique et elle est suivie
d'un spectacle folklorique, connu sous le nom de « Sus pe muntele Găina » (Au
sommet du Mont Gaïna). On peut voir des bergers sonner le buccin, image
symbolique des Monts Apuseni, des danseurs vêtus de beaux costumes populaires
et des artisans présentant leurs produits, notamment objets en bois sculpté.
Pour voir une vidéo de l’édition 2008 de cette fête folklorique roumaine, cliquez
ici : http://www.youtube.com/watch?v=OjQRGCreHPU
(Texte rédigé par Corina, Lorena et Ramona)
Il était une fois une famille de géants qui vivait dans une grotte de cette région. Le
roi Décébale les avait chargés a protéger une partie du trésor des Daces, représenté
par un charu et deux bœufs en or. Le désir d’enrichissement rapide a déterminé
quelques jeunes villageois de monter vers la grotte des géants pour voler leur
trésor. Le jour où ils sont arrivés aux alentours de la grotte, ils ont surpris le cadet
de la famille des géants seul et comme ils se sont rendu compte que celui-ci était
affamé, ils ont profité de son naïveté et lui ont donné un bœuf empoisonné à
75
manger. Le jeune géant meurt et les villageois détruisent les murs de la grotte à la
recherche de l’or. Mais le plafond de la grotte s’écroule et les assassins trouvent
leur mort sous les rochers. Peu après, la mère des géants arriva à l’endroit ou son
fils aimé et ses tueurs gisaient sans vie. Ravagée par la douleur d’avoir perdu son
enfant, la géante comment à fouiller la terre avec ses ongles. Et c’est comme ça
que les collines de calcaire de la région ont fait leur apparition, dit la
légende. (Texte rédigé par Iulia, Delia et Sebastian)
la première fois dans les cartes des alentours d’Alba Iulia vers la première moitié
du XVIIIe siècle sous le nom d’origine trace Magura ou Magurile. Un siècle plus
tard, pendant la Révolution de 1848-1849, on trouve le nom actuel Dealul Mamut
(Colline du Mammouth). La dénomination doit avoir son origine dans la
communauté des naturalistes hongrois qui ont fait des recherches dans cette zone
au début du XIXe siècle. Les chercheurs ont été inspirés soit par la forme de la
colline qui ressemble à un dos de mammouth, soit par les découvertes
archéologiques de l’époque.
Le nom de la colline a suscité encore plus d’intérêt après la découverte
accidentelle d’une dent de mammouth pendant les travaux de systématisation de la
citadelle Vauban d’Alba Iulia, en 2009. Les spécialistes estiment que ce fossile
date depuis le Pléistocène (2258-10.000 av. J-C.).
76
La municipalité d’Alba Iulia a mis en œuvre un projet d’aménagement d’un parc
d’aventure sur la colline avec une surface de 3 ha. (Texte rédigé par Paul, Eugen,
Răzvan, Horatiu et Alexandru)
notre ville, appelé Piatra Craivii - Pierre de Craiva (source de
l'image: stiri.turismalba.ro/2008/06/daca-tot-mergi-la-cricau/). La légende dit que
les rochers de Piatra Craivii cachent dans leurs profondeurs une citadelle dont les
portes s’ouvrent aux initiés tous les sept ans. En tout cas, les sources historiques
confirment que, après sa défaite à Sarmisegetusa (aujourd’hui dans le comté
d’Hunedoara, en Roumanie), Décebale, le roi des Daces, nos ancêtres, avait fait
construire ici une forteresse puissante pour empêcher les Romains d’arriver à
Rosia Montana et de s’emparer des réserves d’or de cette région. Mais les
conquéreurs, guerriers expérimentés, avait assiégé Piatra Craivei, avaient mis du
feu et avaient coupé toutes les sources d’eau de la forteresse pour obliger les
Daces de se soumettre. Les Daces sont vaincus et Décébale se suicide plutôt que de
se constituer prisonnier. Vérité historique ou légende, on ne sait pas. Ce qui est
sur c’est que Piatra Craivii attire les visiteurs et continue enflammer leur
imagination…(Texte rédigé par Andreea, Valentina, Bianca, Cristina)
77
grand glacier souterrain de Roumanie, datant depuis 3500 ans, considéré comme le
deuxième plus grand glacier souterrain de l’ Europe en termes de volume, après la
grotte de glace Eisriesenwelt en Autriche. La Grotte de Scărișoara se trouve à une
altitude de 1 165 m, au bord du plateau karstique de Scărişoara. La longueur totale
de la grotte est de 720 m et sa profondeur de 105 m. L’accès est fait par un aven de
48 mètres de profondeur et 60 mètres de diamètre. Tout comme beaucoup d’autres
objectifs du pays, la Grotte de Scărişoara est entourée de diverses légendes. Une de
ces légendes dit que cette grotte était autrefois la demeure d’un dragon appelé
Solomat. Celui-ci avait l’habitude d’enlever une jeune belle fille, soit à l’occasion
du Nouvel An, soit en juillet, avant la fête de Saint Ilie (le 20 juillet). Le dragon
menait la jeune fille dans son palais de glace, caché dans les profondeurs de la
grotte, et personne ne la revoyait jamais car dans cet endroit mystérieux le temps et
l’espace n’existaient plus. Une autre légende dit que l’eau des bassins qui se
trouvent derrière la formation de calcaires appelée « La Brazi » (Aux sapins) peut
accomplir n’importe quel vœu. Si on se met à genoux, on boit l'eau avec les lèvres
directement du bassin, la tête découverte en faisant un vœu, celui-ci sera sans
doute accompli. Nous vous invitons à faire la visite virtuelle de la Grotte de
Scarisoara... en écoutant de la musique traditionnelle
roumaine : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=sbnzQ4I
AA50#!
78
Légendes normandes et bretonnes
Les élèves français de la seconde D ont fait une recherche documentaire et vous proposent de
découvrir quelques légendes normandes et bretonnes :
La Légende de la Hougue Bie : http://normandie-jeunesse.hautetfort.com/archive/2011/12/15/culture-
de-normandie-la-legende-de-la-hougue-bie.html
L'âme qui chante : http://legendesbretonnes.centerblog.net/
La Légende des Oies de Béate : http://www.normandie-heritage.com/spip.php?article630
http://mortain.free.fr/Legendes/legende6.htm
Merlin : http://la.piterne.free.fr
La fontaine de Barenton : http://www.bretagne-celtic.com/accueil_legende.htm
Au Moyen-Age, tous pensaient que dans la Seine vivait un monstre de l'enfer,
d'une laideur repoussante, d'une allure gigantesque, des écailles visqueuses,
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recouvertes de vase, avec une gueule émincée crachant de l'eau. Ceux qui osaient
s'aventurer au bord de la Seine subissaient les flots infernaux de la bête jaillissante
de ces profondeurs. Un jour, les hommes se révoltèrent, et voulurent en finir avec
la créature. Les paroles étaient là, mais aucun n'osait affronter la bête. Il fallait,
pourtant, se décider. C'est alors qu'un évêque se proposa. Mais, il avait peur d'y
aller seul. L'homme demanda alors si quelqu'un voulait bien l'accompagner dans sa
quête. Personne ne répondit sauf un prisonnier condamné à mort. L'évêque se
munit d'une crosse, accompagné du prisonnier. Ils descendirent jusqu'à la Seine, Le
monstre sortit du fleuve, l'évêque tendit sa crosse vers celui-ci, et soudain il se
coucha au pied des deux hommes. L'évêque passa son étole autour du cou de la
bête obéissante. L'homme religieux la ramena au pied de la cathédrale située à
Rouen. La foule cria : "A mort ! ". Le peuple brûla donc la créature des enfers.
Les cendres furent jetées dans la Seine, Et tous les ans, un prisonnier condamné à
mort est libéré. (Océane Robert, Aliénor Lavier et Laurie Kervella)
Autrefois un monstre vivait dans la Seine, il crachait de l'eau sur les passants, et
noyait les habitants qui étaient autour. Les gens n'osant pas l'affronter par peur.
L’évêque de Rouen demanda si quelqu'un voulait l'accompagner. Soudain une voix
venue de nulle part l'interpella. C’était un prisonnier, qui, se sachant condamné
décida de se sacrifier pour aider l’évêque et les habitants. Il descendit sans
précipitation à la Seine quand soudain le monstre surgit de l'eau. L’évêque sortit sa
crosse et sa croix et les dirigea vers le monstre. La bête sortit de l'eau, l’évêque
tendait sa crosse et le pouvoir de Dieu fut tel que le monstre se coucha devant le
maître. Ensuite l’évêque prit son étole et avec l'aide du prisonnier, le mit autour du
cou du monstre puis le tira jusqu'à la place de Rouen où l’attendaient les habitants
avec impatience. Puis on le surnomma "gargouille". Les gens crièrent " à mort la
gargouille, à mort le monstre ". Ils brûlèrent la gargouille et des flammes rouges,
jaunes sortirent. Ensuite ils récupérèrent les cendres puis les jetèrent dans la Seine.
Pour récompenser le prisonnier, ils le libérèrent. Depuis ce moment- là, tous les
ans un prisonnier est libéré. Et le monstre n'est jamais revenu. (Préterre Manon ,
Crochemore Morgane et Boulhan Camille).
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La Gargouille
Autrefois, dans la Seine, vivait un monstre surnommé
« La Gargouille ». Ce monstre crachait de l'eau, noyant les berges avec une gueule
émincée et sa peau était reptilienne. Quand ce monstre apparaît, on peut distinguer
des vagues, des remous et des bulles à la surface de l'eau. Tous les habitants le
craignaient, ils voulaient que la « gargouille » disparaisse mais personne n'osait
s'en approcher par peur de mourir. L'évêque, voyant les gens malheureux et
apeurés, alors il prit la décision de l'affronter lui- même, mais ne se sentant pas
d'attaque, il demanda à quelqu'un de l'accompagner. Personne ne lui répondit,
jusqu'à ce qu'un prisonnier de Rouen condamné à mort, eût le grand courage de
l'accompagner jusqu'à la Seine.
Peu après, les deux hommes descendirent doucement et avec peur, vers le fleuve.
Une fois arrivés là- bas, l'eau se mit à s'agiter et des vagues apparaissaient. Puis, le
monstre sortit, montrant sa grande gueule. L'évêque dirigea sa crosse en direction
du monstre qui se coucha aux pieds de l'évêque Saint Romain, ensuite il mit son
étole autour du cou de la gargouille, le traînant jusqu'à la place de Rouen, où les
gens criaient « A mort le monstre ! ». Puis, ils mirent le feu à la gargouille. Celle-
ci finit en cendres, qui seront jetées dans la Seine. Ensuite, le prisonnier fut mis en
liberté pour le récompenser de sa bravoure envers l'évêque et les habitants. Pour
fêter cet événement, chaque année, un prisonnier fut libéré. (Manon Clouet,
Mathilde Beuzeboc et Steven Gréard)
La légende de la Gargouille
Texte de Valentine, Emeric et Mathilde Lefebvre. Publié sur 20/10/12 12:32.
Au début du Moyen-âge, une étrange et monstrueuse créature vivait dans la Seine.
Ce monstre était gigantesque, sa gueule émincée, son corps recouvert d'écailles et
avait une silhouette reptilienne.Les habitants de Rouen étaient terrifiés. On le
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surnommait « la gargouille ». Lorsque le Hommes s’approchaient, on voyait des
bulles remonter à la surface et le monstre sortait de la Seine en crachant des litres
et des litres d'eau. Il fallait à tout prix vaincre et tuer ce monstre. Un jour, un
évêque se porta volontaire mais refusait d'y aller seul. Il demanda si quelqu'un
voulait bien l'accompagner et une petite voix sortit de la prison. C'était un
condamné à mort. Ils s'en allèrent tous les deux pour vaincre ce terrible monstre.
L'évêque était muni d'une croix et de son étole. Ils s'approchèrent de la Seine, le
monstre surgit de l'eau et peu avant que le monstre ne crache son eau, l'évêque
montra sa croix et le monstre se coucha à ses pieds. Il mit l'étole autour de son cou
et le monstre le suivit jusqu'à la place centrale. On brûla le monstre et jeta ses
cendres dans la Seine. On n’entendit plus jamais parler de la gargouille.
Texte d'élèves Clémence S., Mélanie B., Alicia L., Elodie H. Publié sur 20/10/12
12:35
A Rouen vivait un monstre dans la Seine. Quand quelqu'un s'approchait des rives
de la Seine , ce monstre gigantesque sortait de l'eau , crachait de l'eau, et noyait les
maisons et les habitants. Tous les habitants avaient peur de ce monstre et voulaient
le tuer, mais tout le monde en avait peur, sauf l'évêque Saint-Romain qui était
volontaire pour aller le tuer et qui dit : « j'irais » mais il ne voulut pas partir seul.
C'est alors qu'un condamné à mort fut volontaire pour l'accompagner dans cette
aventure. Ce prisonnier n'avait rien à perdre. Ils partirent, l'évêque avec sa crosse,
et le prisonnier mains nues, arriva aux bords de la Seine. Le monstre montra le
bout de sa gueule, mais l'évêque brandit sa crosse devant la tête du monstre et celui
ci vint se coucher à ses pieds comme un petit chien qui eût été dressé. Il prit son
étole et le mit autour du cou du monstre pour le tirer jusqu'à la place de l'église.
Là-bas, les gens l'acclamèrent, et criaient « A mort le monstre ». Le monstre fut
brûlé et ses cendres jetées dans la Seine. Le prisonnier fut libéré pour bonne
action.
Texte de Léna Monville et Chloé Barbaray. Publié sur 20/10/12 12:39
C'est l'histoire d'un monstre qui s'appelait Gargouille et quelquefois sortait sa
gueule et tout son corps de la Seine. Quand les gens se promenaient sur les bords
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de Seine, ce monstre surgissait de cette eau, ils ne pouvaient même plus se
promener tellement ils avaient peur. Si l'eau se mettait à faire des vagues, si des
bulles apparaissaient de l'eau; le monstre allait surgir, quand il sortait, il leur
crachait de l'eau jusqu'à les tuer. Mais un jour, un évêque en eu assez, il s'appelait
Romain, il voulait aller vaincre le Gargouille pour que les gens puissent sortir
tranquillement, il demandait aux personnes de venir l'aider mais personne ne
voulut.. Sauf un jeune condamné à mort de la prison de Rouen, qui n'avait plus rien
à perdre puisque que dans tous les cas, il allait mourir:il accepta donc de
l'accompagner, il descendit à vive allure sur les bords de Seine en attendant que le
monstre apparaisse. D'un seul coup, des bulles surgissent, des vagues se forment,
et là, il se mit à sortir de l'eau, puis l'évêque dirigea sa croix vers lui, le monstre se
coucha à ses pieds. Saint-Romain mit son étole autour du cou du monstre en le
traînant jusqu'à la grande place, là où il y avait toutes les personnes qui criaient "A
mort le monstre! A mort le monstre, A mort le monstre!". Depuis ce jour, tous les
ans, à la même date, a lieu une fête célébrant la disparition du Gargouille,et grâce à
cela, un prisonnier est relâché chaque année en honneur du monstre. Et le
prisonnier fut libéré d'avoir eu autant de courage! Plus personne n'a jamais revu ce
monstre depuis.
Texte de Camille Cuvillez et Elodie Danger. Publié sur 20/10/12 15:23
Autrefois, au Moyen-Age, à Rouen, vivait, dans la Seine, un monstre qui, lorsque
des personnes se promenaient près de ce fleuve, inondait les berges pour les
dévorer. Un jour, les habitants se réunissent pour désigner quelqu'un qui irait tuer
le monstre. Un évêque, Saint-Romain, se porta volontaire, mais ne voulait pas y
aller tout seul. Alors, du fond de sa cellule, un condamné à mort qui n'avait donc
plus rien à perdre, se proposa de l'accompagner. Un fois arrivé à destination, le
monstre, qui sentit leur présence, sortit de l'eau, prêt à se jeter sur eux. Mais
l'évêque leva sa croix dans sa direction, et, devant la puissance de Dieu, il se
coucha devant eux. L'évêque l'entoura de son écharpe, et la traîna jusqu'à la place
de la cathédrale. Les habitants prirent la décision de le brûler vif, et de jeter ses
cendres dans la Seine.
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Texte de Quentin Grimoin. Publié sur 20/10/12 15:26
Au début du Moyen-Age à Rouen dans la Seine vivait un monstre qui faisait
trembler le fleuve quand arrivait le moment de manger ! Il se leva et ouvrit sa
gueule pour cracher de l'eau sur les paysans, en inondant les maisons!
Les gens en panique appelaient au secours; quand un évêque acclama sa bravoure !
Mais une personne devait l'accompagner personne ne répondit à l'appel quand une
petite voix venant d'une prison de Rouen répondit:" Moi je me dévoue, je ne suis
bon qu'à mourir." L'évêque et le prisonnier partirent en bord de Seine et le monstre
se réveilla. Il le tua ! Tout le monde acclama le nom de St Romain.
Texte de Tifany Tauvel, Isaline Kwasniewski et Paul Blondel. Publié sur
20/10/12 15:28
Tout se passe à Rouen, dans le fleuve de la Seine. Un monstre vomissait de l'eau.
Quand des hommes s'approchaient de lui ,il créait des vagues et les noyait, puis
quand ils étaient à sa portée, il les mangeait. Personne ne voulait le combattre, tout
le monde en avait peur. C'est l'évêque, St Romain de Rouen, qui s'est proposé pour
y aller. Mais au dernier moment, il décide de ne plus y aller seul. Un prisonnier qui
était condamné à mort, s'est désigné pour accompagner l'évêque. L'évêque muni
d'une cross,de sa croix et accompagné allèrent a la Seine. Le monstre sort de l'eau,
l'évêque montre sa croix et la gargouille se couche devant les deux hommes.
L'évêque enlève son étole et la met autour du cou de la bête. Les deux hommes
ramènent alors le monstre qui terrorisait le peuple sur la place de Rouen. Les
habitants lui mirent le feu, ils entendaient la bête hurlait de douleur. L'évêque
reprit les cendres et les jeta dans le fleuve. Le prisonnier fut acquitté de sa peine et
libéré. Tous les ans à cette occasion une fête était célébrée et un prisonnier était
relâché.
Légendes et peuples des vals du pays de Caux. Publié sur 18/11/12 15:52 par
Evelyne Paquet
Les valleuses sont des vallons suspendus au-dessus de la mer, avec un sentier qui y
descend. A Fécamp se trouve le val Saint-Nicolas, dont la légende dit qu'il s'agirait
84
de l'empreinte du géant Gargantua qui allait en Angleterre et passa la Manche
d'une enjambée.
De l'autre côté du val au Hareng, dénommé ainsi car autrefois les barques se
livraient à la pêche au hareng sur la côte, apparaît le village de Senneville sur
Fécamp, peuplé autrefois de pêcheurs et de paysans, bien distincts. En effet, les
paysans ne naviguaient pas et l'on retrouve là la trace de la terreur ancestrale des
Calètes (peuple celte arrivé dans le pays de Caux au IVe siècle avant Jésus-Christ)
face à l'invasion des pirates normands.
Réactions des élèves français autour de deux textes consultables en fichiers
joints : « Horla » de Guy de Maupassant et la Légende de Saint Julien
l’Hospitalier (commentaires sur le fil du blog)
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Texte rédigé par Flore
Un homme prénommé Jean a été victime d'une épidémie de folie, cet homme a eu
une fièvre atroce ou plutôt une énervement fiévreux qui a rendu son âme aussi
souffrante que son corps . Il a eu un sentiment de malheur qui approchait, peut-être
la mort. Son état n'a fait que s’empirer. Une nuit, il a disposé une carafe d'eau
pleine sur une table, mais, peu de temps après, il se releva et la carafe a été
complètement vidée. Les nuits suivantes, il a disposé plusieurs aliments mais
uniquement l'eau et le lait disparaissaient. Il se sentait suivi ou espionné par
quelque chose d'invisible. L'homme a compris ce qui lui arrivait au bout de trois
mois. Il décida donc de tuer cet être invisible. Il l'a enfermé dans sa demeure
blanche et en s'échappant, il reversa l'huile de ses lampes sur le tapis et mit le feu.
Il est allé se cacher au fond de son jardin, mais un cri horrible se fit entendre. De
ce fait, il courut vers le village en criant « au feu ». Ces cris sont ceux de ses deux
servantes. La cause serait due à un bateau brésilien, un beau trois -mâts qui est
passé sur la Seine,
le 8 mai dernier. L'homme a salué le bateau, il ne sait pourquoi mais, ce geste lui a
fait plaisir, une sensation de joie. Sur ce bateau, un être invisible aurait sauté du
navire et se serait emparé du corps de cette victime. Cette épidémie de folie touche
en
ce moment la province de San Paulo.
Texte rédigé par Aymeric
Il y a quelques jours, un homme a été retrouvé mort dans une grange, pendu. Tout
laisse à croire qu'il se serait suicidé.La raison de son suicide semble étre du fait
qu'il se sentait possédé par une chose qui était en lui. C'est en tout cas ce qu'il
86
disait dans son journal. Il parlait en effet d'une chose invisible qui, la nuit,
s'introduisait dans sa chambre. Cela le terrifiait si bien qu'il ne dormait plus. Il
raconte ensuite qu'il voulait s'enfuir de chez lui mais que cette chose le rattrapait et
qu'elle le ramendait comme si elle le contrôlait.Il voulait faire quelque chose mais
il ne pouvait pas car elle l'en empêchait. D'après cet homme, cet être invisible
s'appelle un Horla et ils seraient venus (car d'après cet homme il y en aurait
d'autres) pour faire des hommes leurs esclaves. Dans son journal, les enquêteurs
ont pu découvrir que la maison qui avait brûlé quelques heures plus tôt avec deux
domestiques à l'intérieur était en fait la sienne et qu'il avait mis le feu lui- méme à
sa maison pour tuer le Horla. Il dit enssuite dans son journal que le Horla n'est peut
étre pas mort et que le seul moyen d'en être sûr ,c'est de se tuer lui -méme. Simple
folie de la part de cet homme ? Certains qui le connaissaient en doutent car c'était
un homme intelligent et équilibré, d'aures pensent tout simplement qu'il était fou.
Quoi qu'il en soit de nombreuses choses restent à éclaircir dans cette affaire afin de
savoir si ce que cet homme dit est vrai ou alors s'il était tout simplement fou, ce
qui semble tout de même être le cas.
Texte rédigé par Benjamin
Il y a quelques jours , un homme vivant aux alentours de Rouen s'est suicidé , peu
de temps après l'incendie de sa demeure . Mais avant de mettre fin à ses jours , il a
écrit une lettre dans laquelle il a écrit des choses plus que troublantes ...Il parle
tout d'abord d'une maladie qui le tenait sans relâche , ensuite d'un être invisible qui
aurait vécu avec lui sous son toit . Cet étrange personnage est cité à plusieurs
reprises dans la lettre comme étant "l'être nouveau" , "le nouveau maître" , "l'être
venu d'ailleurs" ... Mais l'auteur nous dit que cette créture se nomme le Horla . Et
surtout , cette dernière contrôlait son âme ,semble-il ,et le malheureux n'avait plus
de choix personnel . On apprend aussi que "l'être venu d'ailleur" se nourrissait
exclusivement d'eau et de lait . Tout cela , semble , au premier abord , être l'oeuvre
d'un esprit un peu trop fatigué , mais en y regardant de plus près , on peut se rendre
compte les "symptômes" que présentait cet homme étaient en tout point similaires
avec ceux que l'on peut trouver en ce moment à Rio de Janeiro , au Brésil . On
pourrait donc supposer que cette épidémie de folie se serait propagée du Brésil
87
jusqu'en Normandie . C'est quelque chose que l'on ne peut pas exclure , et cela
expliquerait les propos quelque peu étranges de cet homme ...Ce dernier avoue
d'ailleurs avoir essayé de tuer le "Horla" , mais d'après , cette créature serait
insensible aux choses qui peuvent tuer les humains , cela expliquerait peut-être
l'incendie de la maison qui serait en réalité volontaire . Mais malheureusement ,
nous sommes dans l'incapacité d'interroger les domestiques qui se trouvaient sur
les lieux de l'incendie , la plupart ayant péri ou sont grièvement bléssés .
Mais nous ne sommes sûrs de rien et cette histoire de Horla reste de rester un
mystère , à moins que cette "créature" ne se manifeste à nouveau ...
Texte rédigé par Deborah
C'est un homme qui vit à Rouen;un jour il fut pris de sensations bizarres (fièvre,
malaise) et il n'arrivait plus à dormir. Il décida alors de faire un petit voyage;
pendant ce voyage tout se passa bien puis quand il revint tout recommença. Il
pense qu'il y a des forces qui le menacent; suite à ça il se rend au mont Saint-
Michel à la rencontre d'un moine;celui ci lui raconte de vieilles légendes. Pendant
la nuit il fait plusieurs expériences avec sa carafe d'eau. Il arrive à la conclusion
suivante: quelqu'un vient dans sa chambre tous les soirs, et cette personne mange
ses aliments et boit son eau. Il vécut plusieurs autres événements comme celui-ci
avec son livre comme si quelqu'un était en train de le lire. Il baptisa cette personne
" Le horla"; suite à tout cela, il fit brûler sa maison afin de le tuer.
Texte rédigé par Jordan
Le monstre des temps modernes. Un homme serait tourmenté par un être venu
d'ailleurs, mais personne ne l'a jamais vu. Cette créature s'appelle le horla. En effet
,cet homme a cru devenir fou, durant quelques mois cette bête l'aurait étudié, car
elle vivait avec lui jusqu'à ce que cet homme décide de mettre le feu à sa propre
maison tuant du même coup ses deux domestiques qui étaient restés à l'intérieur.
Le Horla boirait du lait et seulement du lait. Elle aurait pris le contrôle du corps de
cet homme à plusieurs reprises pour le forcer à commettre des actions allant contre
sa volonté. Cet homme dont il est question se serait rendu à divers endroits afin
d'apaiser ses craintes, et à chaque fois qu'il rentrait chez lui ,la situation empirait.
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Mis à part cet homme, d'autres personnes quant à elles auraient aperçu ce Horla.
Mais nous ne saurons jamais ce qui s'est réellement passé, car si certaines
personnes affirment qu'elles l'ont vu, nous ne détenons aucune preuve.
Texte rédigé par Rose-Anne
Un homme est venu à nous pour nous faire part de ce qu'il vivait , il pense que cela
nous sera utile pour notre rubrique sur le surnaturel.Voici son histoire. Son histoire
s'étale en tout sur 4 mois et elle commence en Mai.Tout d'abord, l'individu
concerné (dont ne nous pouvons citer le nom ) était fortement toumenté, il se
sentait malade , oppressé et se posait tout de même des questions sur l'invisible .
Pendant ce premier mois, l'homme se sentait fievreux , il était véritablement
anxieux par ce qui l'entourait , il consulta son médecin qui fit le nécéssaire pour
comprendre sa situation . Il décida de partir en voyage , au Mont-Saint-Michel , où
il respira la nature et prit du recul avec sa vie , il fit une visite avec un moine et ce
moine lui dit une chose qui le fit refléchir il lui dit : "Es que nous voyons la cent
millième partie de ce qui existe ? Tenez , voici le vent , qui est la plus grande force
de la nature, qui renverse les hommes, abat les édifices , déracine les arbres ,
soulève la mer en montagne d'eau , détruit les falaises , et jette aux brisants , les
grands navires , le vent qui tue , qui siffle , qui gémit , qui mugit , - l'avez -vous vu
, et pouvez vous le voir ? " . Ces mots l'ont fait longuement réfléchir . De retour de
son voyage ces tourments reviennent quelques semaines après ;il est pris par des
cauchemars , puis des phenomène étrange se sont produits tout comme : après
avoir remplit sa carrafe d'eau et s'être coucher il s'aperçois que celle ci est vide en
se levant en pleine nuit , il fit des expériences les nuits suivantes: il mit du lait ,
une carafe d'eau pleine et du pain .. il s'apercut très vite que l'eau et le lait
diminuaient , il s'interrogea , il se demandait s' il était devenu complétement fou ou
somnambule peu-être . Il décida alors de prendre encore une fois du recul et à Paris
, il y passa quelque jours , il alla voir du théâtre passa du bon temps . Il passa le 14
juillet aussi là -bas et passa voir sa chère cousine ensuite où il assista justement a
un phénomène surnaturel . Un docteur etait présent , et justement étudié le
surnaturel, il fit donc une démonstration d'hypnose sur sa cousine , elle devina tout
en étant hypnotisée donc en l'occurrence endormie que son cousin se tenait derrière
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elle ce qu'il faisait ... le docteur dit alors a sa cousine de venir voir son cousin ( le
loccuteur de cette histoire ) et de lui demander cinq mille franc spour son mari .
Notre individu repartit tout bouleversé, toujours partagé entre le rationnel et le
surnaturel il essaie de se convaincre que c'était un coup monté ou une chose dans
ce genre mais cela restait toujours un mystère . Le lendemain , sa cousine venu lui
rendre visite et lui demanda bien cinq mille francs, il essaya de la questionner ou
de la raisonner mais elle- même resta perplexe et très pertubée par cette demande
soudaine et mentit même un peu pour réussir à comprendre , il alla donc chez le
docteur et lui expliqua le docteur , il revient voir sa cousine l'endormit et lui dit
que son mari n'avait plus besoin de cinq mille francs et elle se réveilla ,elle avait
tout oublié . Cet homme s'interrogea fortement cru devenir fou puis crut au
surnaturel.Il était prisonnier sous son propre toit par cette chose qui le hantait.Il vit
des objets bouger sans courant d'air .. Un jour il réussit à sortir, ce fameux jour où
nous l'avons interviewé . Mais nous avons voulu aller plus loin dans les
recherches, nous avons trouvé un phénomène complétement identique dans une
rubrique appelée " le monde "; cela se passe au Brésil et bizarrement tout est relatif
à l'histoire de ce pauvre homme . Puis nous avons appris la mort de cet homme le
11 septembre à Rouen dans l'hôtel continental après avoir mis le feu à sa propre
demeure ,ses domestiques ont témoigné qu'il était devenu fou. Mais nous avons
trouvés son corp accompagné d'un mot , ce mot disait qu'il sera hanté toute sa vie
par le Horla ;
Texte rédigé par Simon
Un mystérieux suicide. Un homme de quarante-deux ans a été retrouvé pendu dans
une grange près de Rouen . Ses proches ont avoué que l'homme n'allait pas bien
depuis déjà quelques mois. Il aurait été possédé par un être supérieur et maléfique
qui le rongeait jour et nuit . Pour être sûr de cette hypothèse, l'homme aurait laissé
dans sa chambre une carafe d'eau mais , en se réveillant, l'eau aurait disparu sans
raison . Ce fut la première chose inquiétante . Deuxièmement , il serait parti à Paris
pendant trois semaines dans le but de se faire hypnotiser pour chasser la créature .
Il n'en fut rien , bien au contraire . Il se pensa fou . Un beau jour de printemps,
lorsque l'homme se promène dans le jardin de sa demeure ,il voit devant lui une
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rose se casser s'élever en l'air.Alors rentré chez lui, angoissé par ce qu'il vient de
voir, il s'assoit dans un fauteuil pour réfléchir. C'est alors qu'il voit une page de
son livre qu'il avait auparavant posé, se tourner comme si une personne était là en
train de lire sans pour autant pouvoir la distinguer. Il appela cet être Le Horla .
D'après nos sources , l'homme était sûr de ce qu'il avait vu et voulait voir le horla
de plus près. Un soir , il l'aperçut dans son miroir ; c'est à partir de cet instant qu'Il
aurait brûlé sa maison ainsi que ses servantes pour ensuite se donner la mort dans
le but de détruire la créature . Simple folie de l'homme ou fait surnaturel , nous
savons juste que des cas ont été aussi retrouvés au Brésil . L'homme a-t-il eu des
contacts avec le Brésil?
Texte rédigé par Léa
L'horrible drame du "Horla". Ce drame s'est déroulé en bord de Seine le 10
Septembre dernier.
Un homme frappé par la démence contagieuse de Rio de Janeiro au Brésil (dévoilé
par nos confrères du Monde Scientifique dans leur édition du 19 août dernier) a
commis un acte de folie causant la mort de deux femmes qui ont péri sous les
flammes de la maison de celui-ci. L'homme a déclaré vouloir causer un incendie
pour tuer "ce corps d'esprit, cette être invisible, ce dictateur" et pour mettre fin au
calvaire qui disait subire depuis quelques mois qui se composait d'hallucinations
répétés et des troubles que M. le professeur Don Perdro Henriquez interrogé
qualifie de mentaux. Selon des sources proches de l'assassin, il aurait été touché
par cette folie lorsqu'un voyage en bateau sur la seine ou il aurait apercu un voillier
venant du Brésil et donc à forte chance porteur de la Bactérie hallucinogène. Les
différents médecins se concertent encore aujourd'hui pour trouver un remède à
cette maladie pour éviter un pendémie rapide. L'homme encore malade et délirant a
été hospistalisé. L'affaire fait donc débat au près des magistrats et des différents
docteurs réfractaires à un procès en exposant l'argument que l'homme était et est
encore malade et qu'il n'a pas agi sous l'impulsion mais sous la bactérie
hallucinogène ainsi il n'était pas en possession de ses moyens. La justice ou la
science ? Une réunion se déroulant au palais de Justice à Paris le 17 Septembre
prochain nous donnera la réponse à cette question.
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Si vous subissez des hallucinations, si vous vous sentez possédés, gouvernés,
poursuivie ou si l'un de vos proches en est victime, faites- en part à votre médecin
généraliste dans les plus brefs délais.
Texte rédigé par Laura C
Un jour de mai, le narrateur éprouve le besoin de relater son existence par le biais
d'un journal. Etendu dans l'herbe, il contemple la nature printanière et la maison
dans laquelle il a grandi. Il admire le cours ondoyant de la Seine et le passage d'un
superbe trois-mâts brésilien. Quelques jours plus tard, il se réveille souffrant et
médite sur les influences mystérieuses qui peuvent altérer l'état physique et moral
de l'homme. Il passe d'une humeur enjouée à un sentiment de nervosité et de
désolation, accompagné de forte fièvre. Au fil des semaines, ce malaise
apparemment anodin semble s'empirer. La fièvre monte, mais le médecin ne décèle
aucun symptôme alarmant. Pourtant, le narrateur en vient à éprouver le besoin de
s'enfermer dans sa chambre, sans pour autant en ressentir une quelconque sécurité :
une fois les verrous poussés naît une crainte diffuse de se coucher. Les
hallucinations d'un homme obsédé par la mystérieuse présence d'un être surnaturel
auquel il donne le nom de "Horla". Ce Horla serait une sorte d'"incube", qui
posséderait toutefois un corps, fait d'une matière invisible et impalpable lui
permettant d'échapper à toute investigation des sens. Cet être surnaturel est capable
de raisonnement, tout comme les hommes : c'est en fait une manière de surhomme
qui s'empare du premier venu, lui impose sa propre volonté, jusqu'à en faire son
esclave et absorbe, à son bénéfice, toute l'énergie vitale de sa victime...
Texte rédigé par Dubuc Laura - Valentina 2nd D
Le Horla Guy de Maupassant. Journal Le Monde Scientifique. La Raison du Fou
Hier , 10 Septembre 1887 un homme , un Rouennais a mis le feu à sa demeure en y
laissant périr les domestiques et les animaux . Ce même homme était venu me voir
quelques jours plus tôt pour me parler de faits étranges . Il était confus dans ses
propos et avait mentionné plusieurs noms de praticiens comme le docteur Parent
spécialiste des maladies nerveuses et le professeur Don Pédro Henriquez (dont
nous avons déjà parlé dans un article portant sur l'épidémie de folie se produisant à
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Rio de Janeiro ) . La Folie , voilà de quoi souffre cet homme . Durant notre
entrevue , je l'ai écouté d'une oreille distraite . Il me parlait de cet être , cette chose
qui le hantait et à qui il avait même donné un nom : " Le Horla" . " Le Horla disait-
il , ne se manifestait plus mais il le sentait près de lui l'épiant , le regardant , le
pénètrant , le dominant et plus redoutable en se cachant ainsi qu'il signalait par des
phénomènes surnaturels sa présence invisible et constante " . Chers lecteurs , il y a
quelques jours je ne me serais jamais vu prendre au sérieux les propos d'un fou .
Mais , désormais tous les grands médecins se posent des questions . Alors , malgré
un drame qui a fait de nombreuses victimes , le cas de cet homme nous fera faire
des progrès dans l'univers psychique de l'être humain .
Texte rédigé par Pauline.
Un fou met le feu à sa maison ! Hier au soir un homme âgé de 42 ans a
volontairement mis le feu à sa maison. Celui-ci expliqua son acte par la présence
d'un être maléfique habitant sa demeure et le suivant partout. Il expliqua son
histoire, quelque peu farfelue, au commissariat ; il expliqua qu'un jour il fut pris de
malaises et de sensations étranges qui lui fit penser qu'il n'était pas seul, comme un
soir où il s'endormi en laissant une carafe pleine à côté de lui, le matin, celle ci
était vide. Il était persuadé que personne ne pouvait pénétrer dans sa chambre et
pensa donc qu'il était fou. Il tenta d'aller se guérir auprès d'un moine au Mont-
Saint- Michel, mais en rentrant chez lui la « réalité » le rattrape, les mêmes choses
lui arrivent, comme un soir où il dispose des aliments autour de son lit et à son
réveil ils n'y sont plus. Mais il retourne à Paris où il participe à des séances
d'hypnose en se demandant si l'invisible existe. Lorsqu'un jour dans son jardin, il
lit un livre et la page se tourne d'elle- même, il se dit alors que « l'être invisible »
est tout près de lui;c'est à ce moment qu'il le baptise « le Horla ». Il raconte ensuite
qu'un jour, il se regardait dans un miroir mais ne vit pas son reflet. Il se renseigna
et apprit que le Brésil était touché par une vague de folie, se rappelant avoir vu un
bateau brésilien accoster près de la Seine il crut que sa folie était contagieuse et
qu'il l'avait attrapée, la transmettant à ses domestiques par la même occasion. Il
compte alors son acte, voulant en finir avec sa folie il enferme le Horla dans sa
chambre et y met feu, il sort et ferme les portes pour qu'il ne s'en échappe pas. Les
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domestiques prisonniers périront dans l'incendie, pensant que le Horla ne pouvait
périr dans cet incendie ,il se dit habité par lui.
Texte rédigé par d'Océane
Son corps et son âme disparaîtront-il?
A ce jour Mesdames et Messieurs un effet surnaturel s'est produit. Un homme a
mis fin à ses jours, nous laissant une trace de son acte. Une lettre est posée sur son
lit, son lieu de torture. Sur ces faits racontés, vous pouvez aujourd'hui, vous
pouvez vous faire votre propre idée, et vous laissez voguer sur votre propre avis
qui peut être lavé de tout soupçon. Chaque jour, cet homme nous raconta qu'il
appréhendait le moment du coucher. Cet homme vit un bateau au loin, c'était un
jour de beau temps, il fut ravi de sa beauté. Après ce jour il eu quelquesproblèmes,
comme des insomnies, mais ce ne fut pas le cas. Il avait des sensations étranges,
comme si on l'épiait, une sorte d'étouffement. Il fit quelques voyages comme au
Mont- St -Michel, croyant pouvoir se purifier, mais les faits réapparurent après
quelques jours, il rentra alors chez lui, ne sachant que faire. Les nuits de sommeil
furent courtes, ce démon ou Horla come il l'appelait réapparaissait chaque fois à
son désespoir. Il fit quelques expériences pour savoir s'il n'était pas fou, peut-être
somnambule, il ne pouvait y croire. Il savait que ce n'était pas ça, c'était un
monstre, il se résolut à devoir le tuer,pensant que c'était le meilleur moyen. Il mit
alors à mettre feu à sa maison, sachant que finalement que tout ça ne servait à rien
et qu'il devait alorsdisparaitre de la planète terre. Y croyez-vous? C'est à tout
hasard une histoire hors du commun, tous ces faits peuvent vous faire peur, mais
ne s'agissait-il pas du bon Dieu ou d'un cauchemar bienveillant à votre malheur?
Texte rédigé par d'Amandine
Le tueur invisible. Nous avons appris ce matin la mort d'une personne et chez lui
nous avons trouvé un carnet qui nous parle de la cause de sa mort. Apparemment,
cet homme souffrait d'une fièvre étrange puisqu'il dit dans son carnet qu'il lui a
suffi de partir un peu à l'étranger pour que cette fièvre parte. Il entendit un jour à la
radio que certaines personnes habitant dans le sud de l'Amérique se plaignaient de
fièvre et avaient l'impression qu'une personne les suivait et étrangement, nous
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apprenons qu'il était dans le même cas. Il essayera par plusieurs moyens de se
débarrasser de ce "fantôme" qui le suivait partout et qui surtout l'empêchait de
dormir. Un jour, il essaya de le tuer en l'enfermant dans sa chambre et en mettant
feu à sa maison sauf qu'il expliqua qu'il avait oublié ses domestiques dans sa
maison et fut donc obligé d'appeler du secours pour les sauver. N'ayant trouvé
aucune autre solution, il décida de mettre fin à ses jours pour se débarrasser de
cette personne qui lui gâchait la vie.
Texte rédigé par Claire
Folie meurtrière à Rouen
Dans la soirée d'hier ,un homme accourt au village, paniqué, suppliant que
quelqu'un vienne l'aider: sa maison est en feu, et trois personnes sont bloquées à
l'intérieur. Arrivés trop tard, les pompiers n'auront pas réussi à les sauver. Mais
d'où venait donc cet incendie meurtrier ? Était-il accidentel ? Il se trouve que non.
Après avoir était interrogé longuement ,le maître des lieux, un vieil homme
tourmenté, a fini par avouer : Voilà plusieurs mois qu'il se sentait épié par une
force invisible; le Horla l'appela t-il. Cet être imaginaire se serait emparé de la
maison avant de hanter l'âme du vieillard, l'empêchant d'abord de dormir avant de
l'empêcher de vivre sereinement sa vie.C'est donc pour s'en débarrasser que
l'homme a délibérément mis feu à sa demeure en oubliant ses domestiques bloqués
à l'intérieur.
Texte rédigé par Zoé
La folie emporte un homme à Rouen
C'est le 10 septembre 1887 que se déroulèrent les faits. Un homme d'apparence
banale, sans doute pris d'une crise de folie passagère aiguë, transforma sa demeure
en bûcher, en ayant prit soin de laisser ses domestiques enfermés à l'intérieur. Pris
de remords, il appela à l'aide, cependant il était trop tard. Les enquêteurs n'ont
trouvé aucun survivant.
Après quelques recherches sur le coupable, les soupçons sur son instabilité mentale
se précisent : il prétend en effet être la victime d'un être surnaturel nommé "Le
Horla", d'où le massacre qu'il a commis. Pour se libérer de son emprise, il a préféré
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brûler sa maison afin de faire disparaître toute trace de son passage. Ses idées sont
encore très confuses, ce qui explique sa tentative de suicide quelques heures après
ses actes meutriers. Seulement des questions restent encore à élucider : était-ce le
fruit de sa folie, ou dit-il l'entière vérité à ce sujet ? Le mystère persiste !
Texte rédigé par Salomé
Un fou criminel ou un homme victime d'événements surnaturels ? La nouvelle se
répand dans tout le comté: un homme habitant à proximité de la ville de Rouen a
tué ses domestiques résidant dans sa demeure, en provoquant l'incendie de celle-ci.
L'explication viendrait d'un évènement étrange survenu dans la vie de cet homme;
un corps étranger qui l'aurait habité, poursuivi, et contrôlé son âme .Ne pouvant le
voir ni le toucher ,il voulut le détruire. Il tenta de l'enfermer dans sa chambre, et
mit le feu à son habitation. Mais, il oublia les domestiques; éperdu d'horreur il
essaya d'empêcher cette fin terrible qui les attendait, et provoquée, de plus, par sa
propre main. Mais il n'y parvint pas. Son suicide reste un mystère. S'est-il tué à
cause du remords qui le torturait ? Ou pour en finir avec cet esprit qui le
tourmentait nuit et jour ? Pourtant, d'autres cas ont été signalés au Brésil, maladies
psychologiques récurrentes ou phénomènes inexplicables ? Les scientifiques
donneront leur opinion sur cette affaire, qui reste une énigme pour tous.
Texte rédigé par d'Armella
Du fantastique à la campagne
C'est une étrange histoire, digne des plus surnaturelles, qui est arrivée à un de nos
habitants.
Tout commence il y a quelques mois. Alors qu'il profitait de ses vacances, il se
sent malade. Malgré la prescription de médicaments par son médecin, son état
s'aggrave. Il ne dort même plus à cause d'un cauchemar récurrent. Il décide de
partir, afin de changer d'air. Jusqu'ici, rien d'anormal. Ce n'est que lorsqu'il revient
chez lui que l'étrange se produit. Effectivement, il se rend compte que sa carafe
d'eau est bue, alors qu'il dormait, et est sûr que ce n'est pas lui qui l'a bue. Il
cherche une explication, et arrive à la conclusion (assez irrationelle) qu'une
présence cohabite. Il s'enfuit à Paris puis revient 15 jours plus tard, et la présence
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se manifeste de nouveau, mais ouvertement cette fois car, selon les dires de
Monsieur, un rosier se serait cassé sous ses yeux. Après des recherches, il apprend
qu'il existe des créatures ayant déclaré la guerre à l'humanité ,du nom des "Horlas".
Ne pouvant plus supporter cet Horla qui s'est introduit et installé chez lui, il met le
feu à sa maison. Nous avons appris, il y a quelques jours, que Monsieur s'est
suicidé. Aujourd'hui encore, nous n'avons aucune certitude de la mort du Horla.
Texte rédigé par Léna
Un immense incendie ravage une belle demeure près de Rouen , un mystère
quelque peu étonnant. En effet ce matin , on découvre le château ravagé et son
propriétaire mort d'une balle dans le crâne , L'enquête n'est pas totalement élucidée
mais nous savons actuellement que c'est un suicide grâce aux traces sur l'arme .
Les domestiques sont morts brûlés vifs car toutes les portes étaient fermées à clef .
L'incident a sûrement été provoqué car la police a retrouvé des bidons d'huile à
côté du chateau . Après avoir interrogé les villageois qui nous ont répondu que
l'homme était bizarre ces derniers temps , qu'il confiait des choses étranges à son
chauffeur . Une source anonyme nous a confié qu'il était revenu de chez sa soeur
changé ! L'enquête avance mais l'énigme reste dure à élucider .. Suite de l'article
samedi prochain .
Texte rédigé par Dimitri
Cette folie le conduira à de nombreuses actions toutes plus insensées les unes que
les autres. Il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses
domestiques. Maupassant souffrait de troubles, notamment l'impression de se voir
à l'extérieur de lui, ou l'impression qu'il était étranger à la personne qu'il voyait
dans le miroir. En fait le Horla est l'aboutissement d'une série de contes qui partent
d'un sentiment de double puis à un être surnaturel.
Le héros habite dans un château au bord de Seine mais il va de temps en temps à
Paris ou Rouen pour se distraire.L'intrigue dure environ quatre mois.
Continuellement le héros essaye de se délivrer de l'emprise du Horla.
Il est lucide et persévérant mais il ne peut échapper à sa folie .
Dans sa quête seules les fêtes et les excursions l'aideront en lui faisant oublier ses
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soucis.
Au bout du compte il brûle sa maison afin de se débarrasser de son double. Il
laissera même brûler ses domestiques.
Texte rédigé par Manon
Rouen: trois personnes périssent dans l'incendie d'une maison. C'est un dramatique
incendie qui a coûté, hier soir dans la banlieue rouennaise, à trois personnes, trois
domestiques qui logeaient dans la maison qui a complètement été ravagée par les
flammes. Il était un peu plus de vingt-deux heures lorsque, pour des raisons qui ne
semblent pas encore vraiment déterminées, le feu a pris au rez-de-chaussée de
l'immeuble se propageant très rapidement aux étages supérieurs ainsi qu'aux
mansardes où demeuraient les trois malheureux. Acte invonlontaire, délibéré,
criminel? C'est à ces questions qu'aura à répondre le propriétaire des lieux dans le
cadre de l'enquête menée par la brigade de Gendarmerie de Rouen vite dépéchée
sur place. D'après les premiers éléments de l'enquête, il semblerait que le maître
des lieux souffrait depuis quelques mois de troubles d'angoisses, voire même de
terreur. Il se sentait menacé, sous l'emprise d'un être invisible qu'il nommait le
"Horla" que l'on définit comme un individu "hors du réel". Il aurait trouvé comme
délivrance, comme libération que le fait d'anéantir, de tuer cet être surhumain qui
lui gâchait sa vie, et hantait sa maison.
Texte rédigé par Margaux
Un homme, durant le mois de mai, s'était plaint de fortes fièvres, sans doute
causées par une singulière maladie. Mais contre toute attente, son mal-être a
persisté. Terrifié par l'idée de mourir et épuisé par une telle souffrance, il partit au
Mont- Saint -Michel pour tenter de se soigner, début juillet. Une fois sur place, uen
légère amélioration apparut. Cependant, cette torture le reprit dès son retour. Ses
nuits cauchemardesques furent de plus en plus catastrophiques, il demeura hanté et
appréhendait chaque nuit. Peu après son retour, il s'aperçut que sa carafe se vidait
sans raison. Quelqu'un avait pu rentrer dans sa maison . Ou alors il était devenu
fou à cause de son angoisse . Quelle que soit la vérité, la cause, elle, avait été
trouvée. Terrorisé, il fuit sa maison quelques jours en direction de Paris. Il y
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célébra la fête de la république. Ce faisant, ses hallucinations ne cessèrent pas. De
nombreux fait étranges se produisirent : Il accusa sa cousine de s'être fait
manipuler lors de son sommeil par le médecin et il vit une fleur s'élever puis se
casser instantanément. Il se sentit alors possédé et recouvert par la folie. Il resta
tout de même fidèle à ses croyances et guetta alors cet étrange visiteur séjournant
dans sa demeure. Ses investigations n'aboutirent pas. Jusqu'au jour où il sentit cet
inconnu au dessus de ses épaules durant sa lecture. Il tomba alors brusquement,
compte tenu de sa nervosité. Ereinté, il mit feu à sa maison dans un élan de
stupeur, oubliant même ses domestiques. Le "Horla" n'est donc pas un être humain
à part entière, mais plutôt le fruit de la mort. L'homme a été retrouvé mort ce
matin, au pied de sa maison,sans doute à cause de ce mystère qu'il n'avait pas pû
résoudre..
Texte rédigé par Victoria
Il y a quelques jours aux alentours de Rouen, un homme nommé Jean s'est suicidé.
Il a apparement été victime d'une maladie. Il a eu une très grande fièvre. Cet
homme n'était pas heureux et son état faisait qu'empirer. Jean se sentait suivi par
quelqu'un ou bien possédé. Il disait tout cela dans son journal intime que l'on a
retrouvé dans sa chambre. C'est ici qu'il disait qu'il se passait des choses étranges.
A cause de cet être invisible, il lui était impossible de dormir. D'aprés lui, ce serait
le Horla qui hanterait sa maison. Pour se débarrasser de cet être invisible qui l'
empéchait de continuer de vivre normalement, il décida de le tuer. Il l'a donc
enfermé et brûlé. Il partit de chez lui en criant dans le village qu'il y avait le feu
dans sa demeure. On a découvert qu'il y avait deux autres personnes dans sa
maison lors de l'incendie provoquer par lui-même. Ces deux personnes étaient ses
deux servantes. Ensuite, dans son journal, il est écrit qu'il devrait se tuer lui-même
pour tuer le Horla car l'incendie ne l'a peut être pas entierement tué. Nous ne
savons pas si cet homme disait vrai dans son journal ou bien s'il avait des
problèmes psychologiques qui le rendraient complètement fou. L'enquête ne
s'arrêtera pas, il reste encore pas mal de choses à comprendre dans cette affaire car
nous n'avons pas la moindre preuve que le Horla ait réellement existé.
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Texte rédigé par Yohann
Un homme rongé donne la mort...Le 10 septembre 1887, un homme se servit de
l'huile de ses lampes pour mettre la feu à son domicile. Réalisant la gravité de son
acte, il chercha de l'aide, mais le feu s'était déjà propagé... Celui-ci réalisa cet acte
pensant qu'il était hanté, rongé par un esprit, nommé "le Horla". Selon lui, c’était
un corps transparent avec lequel il ne pouvait guère avoir de contact, qu'il
parvenait à voir à travers le reflet d'un miroir. L'homme avait oublié une chose
importante:ses domestiques étaient enfermés dans sa demeure, tous y ont péri...
L'homme pensant ne s'être toujours pas séparé de cet esprit se donna la mort de
façon à s'en libérer à jamais..."
Texte rédigé par Morgane
Fou et possédé ou maladie? Un homme a été retrouvé mort près de la Seine.Suite à
une enquête on a découvert qu'il aurait été victime d'une maladie, venue du
Brésil.Ce serait une épidémie de folie. Cet homme aurait contracté cette maladie
suite au passage d'un bateau brésilien sur la Seine, près de sa maison. L'homme
était connu pour sa bonne humeur, mais les premiers symptomes de la maladie se
serait annoncés lorsque l'homme se serait senti triste. Il avait alors programmé un
voyage au Mont -St- Michel où il se serait d'abord senti mieux, pour être pris par
la suite d'une profonde mélancolie. Durant son voyage au Mont, pendant la nuit un
inconnu aurait bu sa carafe d'eau. L'homme que nous appelleront George aurait
alors disposé différent aliments, mais seul l'eau et le lait disparaissés. Il avait alors
compris qu'il y avait une présence près de lui, cette même présence qui avait
"formé" l'épidémie au Brésil. L'homme aurati eu confirmation de ses soupçons
consernant cette présence lorsqu 'il a eu cette impression d'être suivi et observé. Ne
pouvant supporté d'être ainsi épié, il aurait décidé de tué cette Etre Invisible,
appelé le Horla. Un soir, il aurait appâté cete présence dans sa chambre avant de
l'enfermer. Il serait ensuite descendu au salon où il aurait allumé un incendie(
involontaire ou volontaire?). Il serait ensuite aller se cacher au fond de son jardin.
Oubliant dans sa précipitation ses deux servants, il s'en serait rappellé en entendant
leur cri. Descendant très vite au village ,il aurait crié "au feu" afin d'avertir les
100
personnes. Suite à cette incendit ses deux servants auraient été tués et l'homme se
serait suicidé croyant que d'autres Etres Invisibles arrivaient.
Texte rédigé par Déborah
Le début de cette histoire commence par une description d'un château médiéval
paisible. L'histoire commence à basculer, entre dans le surnaturel. Julien a reçu
une des meilleures éducations qui puissent exister avec du raffinement, de
l'affection, du luxe, de la culture et de la générosité, puis petit à petit, l’histoire
devient de plus en plus sombre. En effet, Julien révèle son côté obscur, il se révèle
sadique et se délecte du meurtre des animaux:tout commence par une souris, puis
un rat. Mais un jour ,son père décide que le moment est venu pour Julien de
connaître le monde de la chasse mais cette scène va permettre à Julien d' assouvir
ses envies de meurtre . Tuer provoque tellement de plaisir à Julien qu'il en vient
101
même à penser qu'il puisse un jour tuer ses parents. Cette idée lui fit tellement peur
qu'il prit la fuite et , pour se faire pardonner ,il se mit à aider les gens dans le
besoin. Il aida un empereur et pour le remercier, celui -ci lui offrit la main de sa
fille. Ils vécurent des jours heureux et paisibles jusqu'à ce que Julien ait envie de
tuer à nouveau .Pendant ce temps, ses parents décidèrent de reprendre contact et
vinrent chez lui. En arrivant, Julien trouva un homme et une femme dans son lit.
Enervé et vexé de n'avoir tué aucun animal,il tua les personnes dans son lit sans
chercher à comprendre .En allumant la lumière ,il se rendit compte que c'étaient
ses parents. Honteux de ce qu'il avait commis, il s'enfuit et devint prêtre. Il ouvrit
un hospice, il aida les gens malades et pauvres. Un lépreux le prit dans ses bras et
Julien s'en alla paisiblement avec Dieu.
Texte rédigé par Laurenn
Julien est pris très jeune par la passion de la chasse. Un jour, comme dans un rêve,
ne se fatiguant pas de tuer, il commet un immense et cruel carnage. Un grand cerf
lui prédit qu'il assassinera ses parents. Pour fuir cette prédiction, il se jette dans
des aventures guerrières, loin de chez lui. Un empereur, qu'il a sauvé, lui donne sa
fille en mariage, ainsi qu'un château. Une nuit, il sort, repris par le démon de la
chasse. Mais il se révèle incapable de tuer un seul de tous les animaux qu'il
rencontre. Pendant ce temps, ses parents qui le cherchaient depuis longtemps, se
présentent à son château, et sa femme les couche dans son lit. A son retour, Julien
croit trouver un homme couché avec sa femme et les tue, avant de découvrir qu'il
vient de réaliser la prédiction du grand cerf. Il fuit à nouveau, se fait mendiant, et
s'installe finalement comme passeur au bord d'un fleuve inhospitalier. Une nuit,
Jésus, sous la forme d'un lépreux, l'appelle pour qu'il lui donne le passage, lui
réclame à manger, à boire, à se chauffer, et se couche dans son lit. Julien le
réchauffe de son corps et est enlevé au ciel.
Texte rédigé par Flore
Cette histoire se déroule dans un château paisible et prospère. Les deux parents de
Julien sont présentés comme bons, sérieux et Dieu les protège. Tout a l'air d'un
conte de fées jusqu'au moment où les parents de Julien ont des visions. L'éducation
102
de Julien se caractérise par l'amour de ses parents, le luxe... .Son éducation est très
complète et Julien doit devenir un homme bon. A partir du moment où Julien
grandit, on peut observer qu'il évolue vers un côté plus obscur . L'enfant aime
torturer et tuer des petits animaux. De ce fait, il aime la chasse et les préparatifs
semblent incroyables. En effet, le bestiaire est énorme par le nombre de chiens,
d'oiseaux mais aussi par le nombre d'animaux qui ont une provenance lointaine
(comme des lions ...). Le caractère de cet enfant est barbare. Les prédictions du
père semblent se réaliser mais dans la cruauté. Julien devient sauvage "(...) buvait
l'eau des sources dans sa main, mangeait en trottant des pommes sauvages, s'il était
fatigué se reposait sous un chêne; et il rentrait au milieu de la nuit couvert de sang
et de boue, avec des épines dans les cheveux et sentant l'odeur des bêtes farouches"
. Il tue des bêtes de sang- froid sans avoir de remords. Un soir, il croit voir une
cigogne dans le jardin, or, en réalité, il s'agit de sa mère. Il lui lance son javelot
mais " un cri déchirant partie. C'était sa mère." et de ce fait, il décide de s'enfuir du
château. Plus tard, il s'engagea dans une troupe d'aventuriers et il sauva l'empereur.
Pour remercier Julien, il lui propose plusieurs récompenses mais il les refuse toutes
sauf une, sa fille. Il s'installa dans un palais avec son épouse, et décide de ne plus
chasser mais l'envie est présente. Il résiste à cette envie, jusqu'au soir où il entend
une bête à sa fenêtre. Avec l'accord de sa femme, il partit à la chasse. Il tue
énormément, mais, il a une hallucination d'un cerf juste avant qu'il ne meure. De
retour à son palais, il aperçoit un homme dans le lit de sa femme. Pris de colère, il
le tue ainsi que la femme à côté de cet homme. Quelques minutes après, il crut voir
le fantôme de sa femme et s'aperçoit que ce sont ses parents. La vision du cerf se
réalise. Après les funérailles, il décide de s'enfuir à nouveau. Il s'installe près d'une
rivière où il fait traverser des voyageurs sur une barque. Un soir de tempête, un
homme l'appelle de l'autre côté de la rivière. Il l'amène chez lui. Cet homme est
Dieu et Julien meurt.
Texte rédigé par Simon
Julien est le fils d'un petit seigneur local. À sa naissance, deux messagers
surnaturels rendent visite indépendamment à ses géniteurs pour leur annoncer que
leur fils est promis à un destin extraordinaire de conquérant et de saint. L'un et
103
l'autre, enthousiasmés par la divination, se taisent cependant et se dévouent
entièrement à l'éducation et la liberté de leur fils. Julien grandit au milieu de la
nature et se découvre un goût enivrant pour la chasse. Ne pouvant plus contrôler
son appétit de prédateur, il réalise de véritables tueries dans les forêts
environnantes, décimant tout animal qui passe à sa portée sans le moindre
discernement ou la moindre pitié. Alors qu'il massacre un cerf, sa biche, et leur
faon, il se trouve soudainement défait de ses armes, le cerf blessé et se tourne face
à lui pour l'encorner mais s'arrête mystérieusement et lui lance une malédiction :s'il
mourrait, il promit que Julien tuera ses parents . Julien prit les menaces au sérieux
et partit rejoindre les grands princes du monde pour se battre. Le prince
d'Occitanie le remarqua et suite à une victoire, lui donna sa fille comme épouse. Ils
s'installaient alors dans un palais. Mais un jour, il se mit à chasser, promettant à sa
femme qu'il reviendrait assez vite. Pendant ce temps, la femme accueillit les
parents de Julien qui dormaient alors dans sa couche. Julien revient et distingua
deux personnes dans son lit: pris de panique il les égorgea et remarqua juste après
que c'était ses parents . Il abandonna alors sa vie et partit dans la forêt pour faire
passeur. Un jour, il fut réveillé par un lépreux qui lui demanda de l’aider, ce qu'il
accepta . Le lépreux était en réalité Jésus qui l'emmena au paradis
Texte rédigé par Léa
Deux mystérieuses prédictions accompagnent la naissance de Julien : il sera saint
et empereur. Pendant sa jeunesse, Julien devient un seigneur cruel. Lors d'une
chasse, un cerf lui prédit qu'il tuera ses parents et peu après, la prédiction manque
de se réaliser : involontairement, Julien tire sur sa mère. Pour échapper à la
prédiction, il quitte le château familial. Il combat dans plusieurs armées et obtient
en mariage la fille d' un empereur grâce à ses exploits. Une nuit pendant que Julien
est à la chasse, ses parents, depuis longtemps à sa recherche, se présentent à sa
femme, qui leur offre sa couche pour qu'ils se reposent. A son retour, Julien
croyant apercevoir dans l'obscurité un homme couché dans son lit auprès de sa
femme, égorge ses parents. Lorsqu'il découvre l'horrible vérité, il renonce à tous
ses biens et se met au service des autres en se faisant passeur. Une nuit, il fait
104
traverser un lépreux qu'il héberge, nourrit et réchauffe de son propre corps. Alors,
l'agonisant, qui n'est autre que "Notre Seigneur Jésus" l'emporte jusqu'au ciel.
Texte rédigé par Yohann
Malgré l'éducation qu'a reçue Julien, il est devenu un adepte du crime; il prend
plaisir à abattre des animaux de toutes sortes: cerfs, chevreuils, blaireaux et bien
d'autres encore. Mais un jour, un cerf le mit en garde et lui dit qu'à force de
prendre plaisir à tuer des bêtes, un jour, il tuerait ses parents. Cette révélation lui
fit froid dans le dos. Julien décida de prendre la fuite. Il partit et aide toute
personne nécessitant de l'aide. Un jour, il aida un empereur détrôné à reprendre son
trône en coupant la tête de l'empereur qui avait pris sa place. Cela prouvait bien
que tuer ne l'effrayait pas. Pour le remercier de cet acte, l'empereur lui offrit la
main de sa fille. Ils étaient très heureux et vivaient paisiblement. Puis Un jour,
Julien partit à la chasse, mais ce dernier n'avait tué aucune bête, ce qui l'avait
rendu colérique. En rentrant, il pénétra dans la chambre ou dormait sa femme, mais
elle n'était pas là. Cependant, deux personnes étaient ici, devant lui. Julien les
abattit. C'est en allumant la lumière après avoir tué ces deux personnes qu'il se
rendit compte que ces deux étrangers étaient en réalité ses parents... Le cerf ne
s'était pas trompé...
Texte rédigé par Laura C
Julien est pris très jeune par la passion de la chasse. Un jour, comme dans un rêve,
ne se fatiguant pas de tuer, il commet un immense et cruel carnage. Un grand cerf
lui prédit qu'il assassinera son père et sa mère. Pour fuir cette prédiction, il se jette
dans des aventures guerrières, loin de chez lui. Un empereur, qu'il a sauvé, lui
donne sa fille en mariage, et un château. Une nuit, il sort, repris par le démon de la
chasse. Mais il se révèle incapable de tuer un seul de tous les animaux qu'il
rencontre, et qui semblent se moquer de lui. Pendant ce temps, ses parents, qui le
cherchaient depuis longtemps, se présentent à son château, et sa femme les couche
dans son lit. A son retour, Julien croit trouver un homme couché avec sa femme et
les tue, avant de s'apercevoir qu'il vient de réaliser la prédiction du grand cerf. Il
fuit à nouveau, se fait mendiant, et s'installe finalement comme passeur au bord
105
d'un fleuve inhospitalier. Une nuit, Jésus, sous la forme d'un lépreux, l'appelle pour
qu'il lui donne le passage, lui réclame à manger, à boire, à se chauffer, et se couche
dans son lit. Julien le réchauffe de son corps et est enlevé au ciel.
Texte rédigé par Garance R
Deux mystérieuses prédictions accompagnent la naissance de Julien : il sera saint
et empereur. Pendant sa jeunesse, Julien devient un seigneur cruel. Lors d'une
chasse, un cerf lui prédit qu'il tuera ses parents et peu après, la prédiction manque
de se réaliser : involontairement, Julien tire sur sa mère. Pour échapper à la
prédiction, il quitte le château familial. Il combat dans plusieurs armées et obtient
en mariage la fille d' un empereur grâce à ses exploits. Une nuit pendant que Julien
est à la chasse, ses parents, depuis longtemps à sa recherche, se présentent à sa
femme, qui leur offre sa couche pour qu'ils se reposent. A son retour, Julien
croyant apercevoir dans l'obscurité un homme couché dans son lit auprès de sa
femme, égorge ses parents. Lorsqu'il découvre l'horrible vérité, il renonce à tous
ses biens et se met au service des autres en se faisant passeur. Une nuit, il fait
traverser un lépreux qu'il héberge, nourrit et réchauffe de son propre corps. Alors,
l'agonisant, qui n'est autre que "Notre Seigneur Jésus" l'emporte jusqu'au ciel.
Texte rédigé par Charline
Né de parents nobles, dans un château, Julien devient un jeune homme vigoureux,
ardent, et très cruel, passionné de chasse. Un jour, après avoir massacré une harde
de cerfs, il voit s’avancer vers lui le grand mâle qui la commandait, et celui-ci lui
parle : "Maudit, maudit, maudit ! Un jour coeur féroce tu assassineras ton père et ta
mère.". Effrayé de cette prophétie, Julien délaisse la chasse ; mais peu de temps
après, il manque de tuer accidentellement son père et sa mère. Il fuit alors le
château et mène une vie d’aventurier. Devenu un mercenaire célèbre, il loue ses
services aux principaux souverains d’Europe et traite avec eux d’égal à égal. Ne
sachant comment le récompenser, l’empereur lui offre sa fille en mariage, et les
deux jeunes gens vivent heureux, jusqu’au jour où Julien se laisser attirer par des
animaux sauvages dans la forêt. Entre-temps, ses vieux parents sont arrivés au
château : leur belle-fille a le plus grand mal à les reconnaître en ces mendiants
106
décharnés. Quand Julien rentre, ces parents sont étendus sur son lit. Dans
l’obscurité, Julien croit trouver sa femme en compagnie d’un amant et il les
massacre. Le voilà de nouveau errant sur les routes, menant la vie d’un pèlerin. Il
finit par se fixer au bord d’un fleuve et fait le métier de passeur. Un jour, en plein
orage, il est appelé de l’autre rive par un affreux lépreux. Il va le chercher, et
l’homme lui demande l’hospitalité. Il mange toutes les provisions de son hôte,
s’installe dans son lit et, ne pouvant se réchauffer, demander à Julien de venir à
côté de lui, puis de s’allonger sur lui. Julien s’exécute, et tout à coup le lépreux
devient Jésus qui entraîne Julien à sa suite, au Ciel.
Texte rédigé par Laura-Valentina
Cette histoire débute dans un château où d'après la description, l'argent coule à
flots. Un seigneur et sa femme y habitent. Toujours d'après sa description, nous
pouvons voir que le fléau de la guerre n'a pas frappé depuis longtemps. La
châtelaine, à force de prier Dieu, mit un jour au monde un fils prénommé Julien.
Par deux fois, les parents comblés par cette naissance reçurent la visite d'un
messager . Pour la femme, la prédiction disait que l'enfant deviendrait Saint. Pour
le mari, il connaîtrait la gloire au prix de beaucoup de vies. Malgré de telles
prédictions, ils l'élevèrent avec beaucoup d'amour et de tendresse .Son éducation
fut complète à la hauteur de son rang. Elevé dans la foi chrétienne, son entourage
lui apprit à accueillir l’étranger. Malgré son éducation dans l'amour,ça ne
l'empêcha pas de vouer une haine envers les animaux . Il en tortura des dizaines et
les fit mourir sans aucune pitié. Un jour, le seigneur, son père, décida de lui
constituer une meute. Cet apprentissage de la vénérie amplifia en lui ce tel besoin
de violence. Au fur et à mesure que le temps passait, Julien ne se lassait pas de
tuer. Au cours d'une chasse, il tua toute une famille de cerfs. Le mâle lui parla
avant de mourir et Julien comme ses parents, quelques années plus tôt, reçu un
message. Il eut peur de cette prédiction. Par la suite, il faillit tuer à plusieurs
reprises ses deux parents. De peur de leur faire du mal, il prit la décision de quitter
la demeure familiale. Il s'engagea dans l'armée et grâce à son désir de tuer et ce
sentiment de vengeance qui résidait en lui, il gravit vite les échelons. Suite à une
bataille gagnée, il reçut de la part de l'empereur d'Occitanie la main de sa fille.
107
Quelques fois dans des songes, il voyait des animaux partout et ne pensait qu'à les
tuer. Un soir n'en pouvant plus, il décida avec l'accord de sa femme de partir à la
chasse. Frustré de ne pas avoir assez tué, il revint avec une colère immense.
Espérant se calmer au coté de sa femme, il alla pour l'embrasser mais à la place il
sentit une barbe. Pensant avoir été dupé, il tua sous l'effet de la colère l'homme et
la femme dormant dans le lit qui, en réalité, était son père et sa mère. La prophétie
s'accomplissait alors. Il s'en voulu tellement qu'il décida de repartir. Depuis ce
jour, il prit l'habit de pauvre laissant derrière lui tout ce qu'il possédait. Il s'en alla
mendiant sa vie sur les routes. Malgré le temps, rien n'apaisait ses remords. Il
décida de mettre fin à ses jours. Avant de commettre l’irrémédiable, il vit dans
l'eau d'une fontaine le visage de son père beau et serein. Il renonça alors à ce geste
et continua son chemin. Il vit un pont infranchissable et décida de se rendre au
service en faisant passer les gens d'une rive à l’autre. Une nuit par une grosse
tempête, un homme l'appela pour solliciter son aide . Julien alla le chercher et
s'aperçu que cet homme était un lépreux. Cet homme lui demanda à manger et à
boire . Julien lui donna tout ce qu'il possédait. L'homme eut froid et demanda à
Julien de le réchauffer ; ce dernier surmonta le dégoût que les gens portaient
habituellement aux lépreux et réchauffa l'homme avec toute sa personne. Puis,
doucement, il se laissa guider vers la mort avec une certaine joie et sérénité.
Explication de texte :
D'après un vitrail, Gustave Flaubert en 1875 reprend la légende normande de St
Julien l'Hospitalier. En lisant cette légende, nous faisons inévitablement un lien
avec le mythe d’Oedipe. Ce qui est normal et qui nous conforte dans l'idée que
nous n'échappons pas au destin, quoi que que nous fassions pour s'y dérober. Au
cours de notre lecture, nous nous posons des questions sur le fait que ce texte soit
réaliste ou dérive vers le surnaturel. L'histoire se passe dans un cadre riche et
paisible. Au milieu de la page 2, on trouve "s'était procuré des tiercelets du
Caucase, des sacres de Babylone, des gerfauts d'Allemagne, et des faucons
pèlerins”. Si nous nous remettons dans le contexte historique posséder tout cela
était impossible .Alors, que penser ? Nous allons explorer une autre piste qui va
nous faire passer dans le côté surnaturel de l'histoire. Au cours de cette oeuvre 3
apparitions vont se faire, chacune pour prévenir de quelque chose . Ce qui les unit
108
est le côté irréel de la chose. Désormais, nous sommes sûrs de notre hypothèse. Si
cette histoire est appelée "légende", c'est qu'elle est un peu imaginaire. Le
monologue final nous fait penser à un passage de l'Evangile de St Matthieu 25,35-
40.
Texte rédigé par Audrey
Julien est le fils de nobles qui vivent dans un château où la paix règne depuis
longtemps. Lorsqu'il est encore petit ,ses parents reçoivent deux prédictions
n'annonçant rien de bon. Les parents de Julien lui offrent donc une éducation
complète afin qu'il ne devienne pas l'homme mauvais du fait des prédictions. Mais
malgré sa parfaite éducation, le coté sombre de sa personnalité fait surface pour
nous faire découvrir un enfant cruel ayant le goût de la mort. Son paire l'initie à la
chasse, et un jour après avoir massacré une harde de cerf, le grand mâle lui
annonce qu'il tuera son père et sa mère. Effrayé, l'enfant délaisse la chasse et
semble se radoucir. Mais un jour il manque de tuer ses parents par accident et
décide de quitter le château et vit une vie d'aventurier. Un empereur qu'il a sauvé
lui offre sa fille en mariage. Un jour qu'il est repris par le démon de la chasse,
alors qu'il n'arrive pas à tuer un seul animal comme si la foret se vengeait de lui,
ses parents se rendent à sa nouvelle demeure et sont couchés par sa femme dans
son lit. Croyant que sa femme le trompe et pousse par une folie meurtrière, il tue
les occupants de son lits, ses propres parents avant de réaliser qu'il vient
d'accomplir la prédiction du grand cerf. Il fuit à nouveau, et devient mendiant. Un
jour il rencontre un lépreux. L'agonisant lui demande à boire et à manger, ce que
Julien lui offre, le réchauffant de son propre corps. Ce lépreux qui n'est autre que «
Notre Seigneur Jésus », emmène Julien au ciel. On retrouve très nettement dans ce
texte des allusions à la Bible. Lorsqu'il est « chasseur » ,il a une valeur divine, il
est Adam ou Noé, qui a un pouvoir de vie et de mort sur les animaux. Tuer est un
peu pour lui comme croquer dans le fruit interdit, il est toujours tenté et ne peut
s'en empêcher. La nouvelle peut aussi avoir la connotation du péché originel.
Julien aime tuer des animaux ce qui se transforme en fantasme de tuer des
humains. Il dans une sorte de castration lorsqu'il cherche à tuer des animaux alors
qu'il ne sont plus en abondance, On retrouve les connotations sexuelles dans le
109
brame du cerf lorsqu'il tue ses parents. Et cela se confirme dans son étreinte avec
le lépreux.
Texte rédigé par Amandine
C'est l'histoire d'un père et d'une mère qui habitaient un château calme et en paix
depuis longtemps. A force de prier Dieu, la mère tomba enceinte d'un garçon qui
s'appela Julien. Sa mère lui apprit à chanter, son père à monter à cheval et à
chasser. Il apprit à lire et écrire dans une tourelle avec un moine. Un jour, il
aperçut une souris dans une église et il voulut la revoir, donc il y retourna quelque
temps après avec un morceau de pain qu'il déposa sur le sol. Quand il vit la souris,
il l'assomma. Quand il eut l'âge d'aller à la chasse, il pris du plaisir à tuer des
animaux et de les voir souffrir. Un jour en tuant un cerf, avant de se laisser tomber,
celui- ci lui dit que s' il recommençait à tuer des animaux ,ses parents mourraient.
Après avoir failli tuer son père et sa mère, il s'enfuit du château. Il fut engagé dans
une armée et très rapidement commandant d'une compagnie. Pour le récompenser
le roi voulut lui offrir beaucoup d'argent ou même les trois quarts de sa richesse
mais Julien refusa. Alors le roi lui offrit le mariage avec sa fille et un château. Un
jour, il partit à a chasse et ne revenant que dans la nui, au moment d'aller se
coucher il voulut embrasser sa femme mais il sentit une barbe et pensant que sa
femme le trompait il poignarda cet homme qui en fait était son père.
Texte rédigé par Océane
Dans un petit village se trouve un couple essayant de trouver un moyen de faire un
enfant.
Pour leur plus grande joie, ce fut le cas, ayant chacun quelques apparitions divines,
ils ne purent faire partager ça à tout le monde de peur de passer pour un fou,
orgueilleux. Malgré ça leur fils Julien se portait bien. Mais au fur et à mesure de sa
vie, il devint un monstre, il prit le goût de la mort dès sa plus petite enfance.
Tuant, dépouillant, aimant le sang il se réjouissait de ces morts sordides dont il en
était l'auteur. Tout y passait, ours, lièvre, sa froideur était sans relâche sa meilleure
arme. Mais un jour, une famille de cerfs eu la fâcheuse idée d'apparaître sous ses
yeux: le plus petit, la mère furent les premières victimes, quand le père se mit à
110
courir à vive allure sur Julien se prenant alors une flèche dans le crâne. Malgré
cela, le cerf eut le temps de rester en vie quelques minutes encore pour pouvoir
effrayer l'enfant,et lui disant que s'il continuait, il finirait par tuer ces parents avant
de s'effondrer. Julien fut alors traumatisé par cette expérience, quand un jour on lui
présenta une arme blanche. Celle-ci faillit tuer le Père, l'enfant alors tomba de peur
et ne s'en remit pas. Pour se rattraper il partit un jour à la guerre sauver des
manants, des familles. Ce fut un grand guerrier, n'ayant pas peur de la mort pour
sauver sa nation. Le Roi pour son courage lui offrit la main de sa famille, il eut un
beau mariage, une jolie vie. Un jour il ne put résister car sa femme n'eut pas le bon
mot pour le retenir. Parti à la chasse, les parents de Julien apparurent au château et
sa femme les accueillit avec prestige, elle les nourrit et les coucha. Quand Julien
rentra, il les assassina en plein coeur, ils étaient à l'agonie. Il partit honteux,
abandonnant sa femme; il alla raconter son histoire dans les rues. Un jour il fit une
barque où il pouvait alors s'évader sur les océans et laisser son esprit se reposer, il
fit alors la connaissance d'un homme qui apparut sans qu'il ne s'en rende compte; il
lui demanda de le couvrir, de le nourrir, et partit alors dans les cieux car ce fut
notre seigneur le Christ, il était alors venu le jour de sa mort.
Texte rédigé par Zoé
La légende de St Julien l'Hospitalier raconte l'histoire de deux châtelains, vivant
dans un royaume prospère et chaleureux. Leur seul ennui est de ne pas avoir
d'héritier, mais cela ne dure pas longtemps puisque ils attendent un garçon. Leur
bonheur est complet jusqu'à ce qu'un jour, chacun d'entre eux a une vision : la
femme est prévenue par un vieil homme que son fils deviendra un saint, tandis que
son mari lui, reçoit une vision d'un bohème lui apprenant que son fils versera
"beaucoup de sang". L'enfant naît, et ses parents font tout pour le protéger de ses
visions, qui les troublèrent quelque peu. Il est élevé dans l'amour, la connaissance
et les bonnes manières. A présent tout semble parfait jusqu'à ce que Julien
développe un désir de faire du mal aux animaux. Un jour, alors qu'il chasse, il est
pris d'une vision : un cerf lui apprend qu'il tuera ses parents. Il met fin à ses
massacres, mais quelques temps plus tard, il tire involontairement sur sa mère, la
prenant pour une cigogne. Pris par la peur et la honte, il s'enfuit et part se ranger
111
pour la guerre. Il combat dans plusieurs armées et finit par épouser la fille d'un
empereur, s'étant fait remarquer par ses exploits militaires. Mais ses parents le
cherchent, et un jour, alors qu'il chasse, ils se présentent à sa femme qui leur
propose l'hospitalité. Mais en rentrant, Julien, persuadé qu'un autre homme est
couché avec sa femme, il les égorge. Découvrant son erreur, il comprend que la
prédiction s'est réalisée, il s'enfuit une seconde fois, renonçant à son titre et à ses
biens. Il devient passeur, et une nuit, un lépreux se présente à lui, à l'agonie. Julien
le réchauffe donc et le nourrit. C'est alors que le vieil homme, qui n'est autre que
Jésus, l'emporte au paradis.
Texte de Pauline. Les parents de Julien sont de riches nobles qui, chacun son tour,
reçoivent une prédiction sur leur fils. La mère de Julien apprend d'un mendiant que
son fils sera un saint, et son père plus tard apprend que son fils versera le sang.
Pris de peur par cette prophétie, les parents lui donnèrent la meilleure éducation
possible tout en le préservant de tout risques. Mais cela n'empêcha pas Julien de
devenir violent et cruel envers les animaux, qu'il torturait jusqu'à la mort ou pour
le plaisir de les voir souffrir. Lors d'une chasse après avoir massacré des cerfs, l'un
lui dit qu'il tuera ses parents, peu après il tire involontairement sur sa mère. Ne
voulant aggraver la situation au risque de tuer ses parents, il quitte le château et
part combattre dans l'armée. Il épouse d'ailleurs la fille d'un empereur dont il a
sauvé la vie. Les parents de Julien ayant retrouvé leur fils trouvèrent sa femme qui
leur proposa de dormir dans leur lit. A son retour de la chasse, Julien trouva deux
silhouettes dans son lit;croyant que sa femme le trompait il les égorgea tous les
deux. Après s'être rendu compte de son erreur, il devint passeur. Un soir alors
qu'un lépreux vint chez lui, il le réchauffa de son propre corp et le nourrit, cet
homme n'était autre que le Seigneur en personne qui le fit monter au ciel.
Texte de Salomé
Un couple de seigneurs, vivant dans la richesse et l'opulence ,eurent un jour un
enfant nommé Julien. Celui-ci fut victime d'une prophétie. Il eut pourtant une
éducation exemplaire et des plus raffinées, mais son destin finit par le rattraper. Sa
cruauté se développa d'année en année. Sa passion pour la chasse et la chasse ne
cessait de s'accroître, et devint un redoutable tueur. Un jour où il exterminait tout
112
un troupeau de cerfs, l'un deux, le plus grand, lui fit une annonce. Il lui dit, que la
mort de ses parents, serait causée par les mains de Julien. Horrifié de ce présage, il
quitta sa terre natale, créa une armée et devient le héros de nombreux pays. Un
empereur, en guise de remerciement lui offrit sa fille en mariage. Ils s'installèrent
ensemble et vécurent une vie paisible, loin des guerres et du monde. Mais un jour,
les parents de Julien, arrivèrent au château. Celui-ci, parti à la chasse, revient
bredouille et fou de rage voulut se coucher. C'est alors qu'il vit un homme dans le
lit conjugal, il le tua et tua aussi la femme qu'il pensait être la sienne à son côté. Il
s'aperçut par la suite que ce couple n'était autre que ses parents. Horrifié, il partit
une seconde fois pour mener une vie de misérable afin de se repentir de son
effroyable acte. Il finit par devenir passeur, et vécut de ce que les gens lui
donnèrent. Un lépreux pendant la nuit, l'appela et lui somma de venir le chercher.
Il lui demanda ensuite le gîte et le couvert, puis aussi la chaleur de son corps.
Julien fit ce qu'on lui dit, et monta au paradis avec ce vieillard qui n'était autre que
le Christ lui même.
Texte rédigé par Armella
L'histoire se passe dans une famille de riches châtelains croyants. Les châtelains ne
cessent de prier Dieu afin qu'il leur donne un fils. Elle met finalement son enfant
au monde. Les parents, heureux de cette naissance, ont des visions surnaturelles.
Les auteurs de ces visions sont un bohème et un ermite; l'un apprend au père qu'il
sera guerrier; l'autre apprend à la mère qu'il sera un homme d'église, mais ils n'en
parlent à personne. Bien que Julien soit élevé avec amour, il commet un jour un
véritable carnage. Julien est passionné de chasse, et un jour, dans la forêt, un cerf
lui prédit qu'il assassinera son père et sa mère. Julien fuit loin de chez lui, devient
guerrier (référence à la prophétie de l'ermite). Il sauve ensuite un empereur dont il
épousera la fille. Une nuit, il repart à la chasse mais le voilà encerclé par tout les
animaux de la forêt. Pendant ce temps, dans son château, sa femme accueille ses
parents qui le cherchaient depuis longtemps, et elle les couche dans son lit. Lors de
son retour, Julien pense qu'un homme couche avec sa femme et les tue. La
prédiction que le cerf lui avait faite se réalise. Il fuit de nouveau, devient
mendiant, s'installe au bord d'un fleuve. Jésus, sous la forme d'un lépreux, l'appelle
113
afin qu'il lui donne le passage, il lui réclame à manger, à se chauffer... Julien le
réchauffe alors de son corps et est enlevé au ciel.
Texte rédigé par Léna
Julien est né dans une famille noble , une prédiction est annoncée pour l'enfant dès
sa naissance :'il écoulera beaucoup de sang et empereur , une autre dit qu'il sera
saint .En effet l'enfant prend plaisir à voir souffrir de petites bêtes inoffensives ,
puis son père lui donne l'opportunité de chasser , il l'accepte , il chasse seul , et tue
de nombreux animaux juste pour le plaisir de tuer .Un jour en tuant un cerf il
s'avance et lui annonce une prophétie , en effet celle ci dit qu'il va tuer père et
mère . de retour chez lui il manque de les assasiner deux fois de suite par
étourderie .Il s'en va s'engager dans l'armée et devient un redoutable chef de
guerre, il obtient le mariage de la fille de l'empereur qu'il a lui- même sauvé . Un
jour, il va à la chasse et sa femme propose a ses parents qui le recherche depuis
longues années de rester a l'attendre , Julien rentre chez lui et aperçoit de gens
inconnus dans son lit , il tue ces personnes ne sachant pas que ce sont ses parents .
Terrifié par cette idée il décide de partir. Malgré cette fuite l'homme veut mourir
car son histoire sème la terreur au sein des villages, Un jour un lépreux le prend
sous son aile et l'emmène au paradis ce lépreux serait en fait Jésus -Christ.
Texte rédigé par Dimitri
D'après Gustave Flaubert, cette histoire débute dans un univers calme et paisible
où vivent deux châtelains. D'après la description de château, ce sont des gens
possédant de l'argent et où le fléau de la guerre n'a pas frappé depuis longtemps.
La femme, à force de prier Dieu, met au monde un enfant, ce fut un fils qui
s'appela Julien. Les parents toujours enchantés et réjouis par cette naissance ont
chacun leur tour une vision étrange. Ils y ont appris que leur fils serait un saint et
qu'il y avait du sang. Ces faits leur parurent tellement étranges qu'ils n'en dirent
pas un mot. L'enfant développa une certaine violence, effectivement il tua une
dizaine d'animaux sans pitié. Julien a faillit tué ses parents accidentellement. Pris
de panique, il quitta le domicile familial, après avoir monté uen armée, s'être battu
114
pour la bonne cause, ces parents ont réussi à le retrouver. Un soir son désir de tuer
s'amplifia, mais en tuant des animaux, il tua ses parents...
Texte rédigé par Rose-Anne
Les parents de Julien sont des nobles aisés, ils ont eu tous deux la prédiction. La
mère de Julien apprend par cette prédiction faites par un mendiant que son fils sera
un Saint, ainsi que son père lui apprend plus tard que son fils versera beaucoup de
sang. Alors ils décidèrent de lui donner la meilleure éducation qu'il soit et le
préservaient de tous risques. Mais malheureusement, cela n'empêcha pas Julien de
devenir cruel et violent; il torturait ou tuait les animaux juste pour le plaisir de les
voir souffrir il connaissait les méthodes de chasse que son père lui avait
enseignées. Lors d'une chasse après avoir massacré des cerfs, l'un s'avance vers lui
et lui dit qu'il finira par tuer ses propres parents. Peu après, il tira involontairement
sur sa mère il prit peur d'aggraver la situation et prit la fuite. Il se mit à combattre
dans l'armée de Saint -Sauveur, il épousa la fille de l'empereur dont il avait sauvé
la vie. Un soir où Julien était parti a la chasse ses parents qui étaient toujours a sa
recherche depuis sa fuite, retrouvèrent son logis et sa bien-aimée. Il se faisait tard
,la femme de Julien leurs proposa donc de s'assoupir dans leurs lit conjugales en
attendant l'arrivée de leur fils . Julien rentra après et ne voyant les personnes dans
son lit, crut que sa femme était avec un autre homme il les égorgea tous les deux ,
et la prophétie se réalisa: il tua ses parents. Il quitta tout pour devenir passeur, un
jour un lépreux vint et l'emporta avec lui et Julien mourut. Il ya beaucoup de
signification dans ce texte: tout d'abord les prédictions nous font pensés à l'Ange
Gabriel qui annonce la venue de Jésus. Puis à la fin, le lépreux signifie Jésus tout
comme il signifie la mort.
Texte rédigé par Margaux
D'après Gustave Flaubert, cette histoire débute dans un univers calme et paisible
où vivent 2 châtelains. Selon la description de ce château, on apprend leur richesse
et que le fléau de la guerre n'a pas frappé depuis longtemps. Cependant, la légende
de St Julien l'Hospitalier appartient à la production des dix dernières années de
l'écrivain. Ces années étant les plus terribles de sa vie, on s'attend donc à un récit
115
tragique. Dès la première partie, l'envie meurtrière de Julien est mise en avant,
nous savons alors que le meurtre aura lieu mais ses modalités restent mystérieuses.
Dans ce conte on reconnaît légèrement Flaubert par le style provocateur (comme
l'étant madame Bovary,...) Il est vrai que le fait de tuer ses parents et faire preuve
d'autant de cruauté est une chose impensable, surtout à l'époque. Cette histoire est
purement sadique et le champ lexical de la violence est dominant. Dès le début,
l'histoire est présentée comme religieuse. Comme par exemple l'ermite, servant de
messager. De plus ces châtelains sont très pieux. Dans ce conte on perçoit bien à
quel point la religion était importante au Moyen-Age. Julien, ayant commis les
pires erreurs se condamna lui même à créer un hospice et à devenir saint. Cela
reflète parfaitement l'état d'esprit de l'époque.
Texte rédigé par Morgane
Julien est un enfant choyé et aimé par ses parents. Ils le croient bon, mais il est en
réalité très cruel. En effet, Julien est très jeune, pris de passion pour la chasse. Un
jour, alors qu'il chasse, tuant tout les animaux qu'il croise, il trouve au fond d'un
vallon un troupeau de cerfs. Il les tua tous, créant un grand carnage. C'est alors
qu'un grand cerf lui prédit qu'il tuera son père et sa mère. Pour fuir cette
prédiction, il part loin de chez lui et va au devant d'aventures guerrières. Un jour il
sauve un empereur qui lui donnera sa fille en mariage ainsi qu'un château. Une
nuit, il ressent une nouvelle fois l'appelle de la chasse, il part donc mais est
incapable de tuer le moindre animal, ceux-ci semblent d'ailleurs se moquer de lui.
Pendant ce temps, ces parents qui étaient à sa recherche arrivent chez lui. Sa
femme après avoir obtenue la preuve qu'ils étaient bien ses parents, les nourrit et
les couches dans son lit. Lorsque Julien rentre, il voit ses parents couchés dans son
lit, mais pensant que c'est sa femme qui est en compagnie d'un autre homme, il les
tua. C'est alors qu'il s'aperçoit qu'il vient de réaliser la prophétie du grand cerf. Il
fuit à nouveau. Il devient alors mendiant et devient passeur près d'une rivière. Une
nuit un lépreux lui demande le passage. Julien le fait passer, le lépreux lui
demande alors à manger, à boire et de la chaleur. Julien le nourrit et le couche dans
son propre lit avant de le réchauffer de son propre corps. C'est ainsi qu'il meurt.
Cette légende, plus particulièrement la partie de la prédiction me fait penser à la
116
légende d'Oedipe. Cette légende d'origine grecque raconte l'histoire d'un homme
qui est abandonné par ses parents suite à une prédiction. Un jour il reçoit lui aussi
une prophétie disant qu'il tuera son père et épouserait sa mère. La prédiction est
certes différente mais y ressemble. Oedipe de peur que cette prédiction se réalise
partira comme le fera Julien, les deux se croyant débarrassé de la prédiction
finiront par la réaliser et pour finir les deux finiront par mourir.
Texte rédigé par Manon
L'histoire se passa au milieu d'un bois où un seigneur logeait un grand château
situé sur une colline. Ce dernier aimait les aventures mais un jour il se lassa de sa
solitude et décida alors d'épouser une demoiselle de haut lignage. C'était une dame
de teint blanc très croyante. Quelque temps après leur union, ils eurent un fils
qu'ils appelèrent Julien. Chacun de leur côté, les deux conjoints apprirent deux
destinées différentes de leur enfant. La mère apprit que ce dernier, sera, plus tard
un saint, elle en fut heureuse mais n'en dit pas mot. Le père apprit que sa
progéniture serait un chevalier, un guerrier aimant le sang, il en fut réjoui mais
n'en dévoila pas un mot. Tous deux, en se cachant leur secret chérissaient l'enfant;
il fut traité comme un prince. Pourtant Julien prit un chemin bien différent de celui
qu'imaginaient les parents. Il devint un adepte du sang et du crime particulièrement
des animaux: blaireaux, chevreuils, cerfs, faons et une multitude d'autre bêtes
furent achevés de sang froid. C'était un garçon violent; cette idée le terrifiait. Il
partit. Il aida mille personnes: pauvres, malades, personnes âgées, veuves... Il aida
un empereur qui s'était fait détrôner. Pour remercier Julien, celui-ci lui donna la
main de sa fille. Ils vivaient heureux jusqu'au jour où les parents de Julien refirent
surface. Julien était parti chasser mais il ne parvint pas à tuer une seule bête. Il en
revint vexé et énervé. Il entra dans la chambre où dormait sa femme mais au lieu
d'y trouver sa bien- aimée, il y trouve deux personnes âgées. Pris d'une colère
noire, Julien les tua de sang froid. Quand la lumière s'alluma, dans la chambre, il
découvrit ses parents dans deux flaques de sans. Pris de honte et malheureux, il
s'enfuit et vagabonda de ville en ville, de campagne en campagne. Il alla se cacher
dans la forêt où il rencontra un vieil homme et l'accueillit chaleureusement. Il le
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nourrit, le réchauffa et lui laissa généreusement son lit. L'homme le prit dans ses
bras et ils partirent dans les cieux avec le Seigneur Jésus Christ.
Texte rédigé par Victoria
Julien est issu d'une riche famille. Son éducation a tout pour être parfaite; elle est
raffinée et comprend toute sortes de qualités comme l'affection, le luxe, la
générosité. Elle comprend également des occupations dignes d'une bonne
éducation telles que la calligraphie, le chant et la peinture. Très jeune, il s'est pris
de passion pour la chasse. Un jour, son père lui a offert l'opportunité de chasser: il
lui créa une meute. Julien s'en prend à des animaux sans défense, il devient un
monstre. Son père ne se rend pas compte de la cruauté de son fils. Il ignore son
véritable caractère. Un jour, Julien eut une prédiction qui disait qu'il assassinerait
son père et sa mère. En chassant, il a failli tuer sa mère. Suite à cet accident, il
décida de s'enfuir loin de chez lui. Un empereur, qu'il avait sauvé auparavant, lui
donna sa fille en mariage ainsi que son château. Une nuit, Julien eut envie de
rechasser mais ses parents décidèrent de le rejoindre chez lui. La femme de Julien
était donc seule là-bas à leur arrivée. Elle décida de les faire dormir dans son lit. A
son retour, Julien crut que sa femme l'avait trompé. II tua alors ses parents avant
de s'apercevoir qu'il venait de réaliser la prédiction qu'il avait eue. Suite à cela il
s'enfuit une nouvelle fois. Il se fit passer pour un mendiant. Une nuit, un lépreux
qui était en fait Jésus, lui réclama à manger, à boire et de quoi se chauffer. Il se
coucha alors auprès de Julien qui le réchauffa. Julien est enlevé au ciel car il a
offert à une personne que tout le monde aurait rejetée, l'hospitalité.
Texte rédigé par Claire
Dès les premières lignes, on aperçoit de nombreuses comparaisons dans la
description du château: "Les pavés de la cours (...) comme le dallage d'une église."
(L.3) L'auteur utilise alors une emphase, nous permettant graçe à ça de renforcer
notre image du château fort, le rendant presque invincible. Cependant les lignes
d'après nous montrent qu'il règne une certaine sérénité dans le pays, on observe
donc un contraste qui nous fait comprendre que malgré ce calme dans lequel vivent
les habitants le château, ainsi que la famille, sont capables de se défendre, en ont
118
les moyens. On remarque, à plusieurs moments, des hyperboles notamment lors de
la description des richesses des parents de Julien : "Les armoires regorgeaient de
linges" (L.19) ; "Les coffres (...) des sacs d'argents." (L.20). Ainsi qu'une
exagération sur la possession des animaux : "Vingt-quatre lévriers barbaresque,
dix-sept couples de chiens, quarante griffons.." Et la description faites est
spectaculaire, presque incroyable : " Des mâtins de Tartarie (...) couleurs de feu
(...)" ; "La robe noire (...) luisait comme du satin." ; "Huit dogues alains (...) n'ont
pas peur des lions." etc. Pour les parents de Julien, leur fils fait l'objet d'une valeur
vouée à un étrange destin : On observe un double destin désigné par la mère puis
par le père. Pour la mère, une destinée religieuse, pour le père une vie impériale.
Les époux se cachent alors leurs secrets étant donné qu'ils n'ont pas la même vision
des valeurs. Cependant, c'est le père qui entraîne son fils sur la voie de la violence
en l'initiant très jeune à la chasse et à la guerre.
Texte rédigé par Alice
Cette histoire débute dans un univers calme et paisible où vive un seigneur et sa
femme. D'après la description du château ce sont des gens de milieu très aisée, et
où la guerre est quasi inexistante. La femme a force de prier Dieu, attendit un
enfant qui s'appellera Julien. Les deux parents très heureux de cette futur
naissance, ont décidé de faire un banquet avec tout leurs amis et leurs familles, en
l'honneur de leur enfant et pour partager cette nouvelle qui l'ai rend heureux. Le
même soir de ce banquet très tard, La femme vu apparaître devant son chevet un
homme habillé tel un hermite qui lui dit que son enfant serais un saint, par contre
son mari, lui vu apparaître un bohème, qui lui apprit que son fils serais maudit, et
connaîtrait la gloire mais en faisant couler beaucoup de sang. De peur que l'un
prenne l'autre pour un fou, ils décidèrent de ne rien ce dire. Dès son plus jeune âge
Julien eut une éducation très riche, il apprenait à lire et à écrire avec un moine.
Malgré ça, il commençait à aimer la vue du sang. Un jour il vit un rat dans le
château de ses parents et le tua, c'est à ce moment que ses tendances meurtrières
apparurent. Plus tard, son père l'instruit de la chasse; heureux de ses prouesses, le
père de Julien était très fier de celui-ci. Un soir il décida d'aller à la chasse seul, ce
fut une nuit meurtrie dans cette forêt si calme. Tout d'un coup il vit un cerf,
119
toujours avec une envie sanguinaire, il le tue seulement cette fois-ci le cerf lui
parle et lui dit qu'il est maudit et qu'un jour il tuera ses parents. En rentrant au
château encore étonné de la malédiction du cerf, il décida de ne plus tuer
d'animaux et fuit son château et ses parents. Aprés cela il vit dans un château, très
loin des siens, et parti en guerre, il fut le plus courageux de tous les guerriers et le
roi décida de le marier à sa fille. Il était heureux là où il était, pensant qu'il ne
tuerait jamais ses parents,jusqu'au soir où il rentra au château, il alla dans sa
chambre, embrassa sa femme et il se rendit compte que ce n'était pas elle mais un
homme, croyant que sa femme le trompait, il tua les deux personnes coucher dans
son lit et ce rend compte qu'en réaliter c'était ses parents. Il partit loin,il avait
honte, et à la fin de sa vie il aida les gens qui étaient souffrants et pauvres, souvent
des lépreux, c'est pourquoi on l'appela st Julien l'Hospitalier.
Texte rédigé par Benjamin
L'histoire commence dans une région dans laquelle tout va pour le mieux, jusqu'à
ce que la femme du seigneur local donne naissance à un fils, Julien. Bien qu'au
début, il semble innocent et bien élevé, il devient vite un enfant extrêmement cruel
qui se plait à tuer et à faire souffrir les animaux, et plus généralement les êtres
vivants. Mais un jour qu'il massacre des cerfs, l'un d'entre eux (un grand mâle noir)
lui dit dans son dernier souffle que Julien est maudit et qu'il tuera son père et sa
mère. Peu de temps après, Julien décide de partir, pensant ainsi échapper à son
destin. Durant une de ses nombreuses aventures, il sauve la vie et rend le pouvoir à
l'empereur d’Occitanie, et en récompense, celui-ci lui offrit la main de sa fille.
Plusieurs années après, alors que Julien était parti à la chasse, sa femme accueilli
un couple de personnes âgées qui se présentèrent comme étant les parents de
Julien. Mais le lendemain matin, à cause d'une affreuse méprise (il croyait que sa
femme dormait avec un autre homme), il tua ses parents, et, désemparé, se mit à
fuir les Hommes et à mendier le long des routes. Un jour, il vit un fleuve, qui était,
pour les voyageurs, impossible de traverser à pied. Julien décida donc de mettre sa
vie au service des autres, et, grâce à une barque, il faisait traverser toute personne
souhaitant atteindre l'autre rive. Une nuit, il fut réveillé par un lépreux qui
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l'appelait et qui demandait à passer. Ce dernier, une fois le fleuve traversé,
s'introduisit dans la cabane de Julien et réclama à boire, à manger, et qu'il le
réchauffe avec son corps. Une fois que cela fut fait, le lépreux se révéla être en
réalité Jésus, qui, à la fin de l’histoire, amena Julien au ciel.
Sens de la légende : Cette légende raconte l'histoire d'un personnage très mauvais
au départ, mais qui à la fin ne vit que pour aider les autres , cela veut dire qu'en
"dédiant" sa vie aux autres , on peut se faire pardonner de ses fautes (rappelons
tout de même qu'il s'agit d'une "légende" chrétienne ) .
Texte rédigé par Jordan
Julien n'est qu'un enfant lorsque ses parents voient respectivement un vieil homme
au bord d'une route et un ange. Le premier des deux à se manifester est un ange qui
dira à la mère de Julien que celui-ci sera un saint, tandis que le père recevra une
prédiction tout autre qui dit que son fils fera couler beaucoup de sang, qu'il sera
heureux, qu'il sera glorieux et qu'il sera de la famille d'un empereur. Quelques
années plus tard, alors que Julien sera à la messe, une petite souris viendra le
déranger, plusieurs fois. Cela ne plaisait pas à Julien qui décida donc de la tuer, ce
qu'il mit à exécution. Malheureusement en tuant la souris il se rendit compte qu'il
aimait cela et c'est alors que celui-ci tua tout les animaux qui était sur sa route. Il
prenait plaisir à tuer. Quelques années après ce drame, son père décida de lui
apprendre à chasser,ce qui réjouit julien au plus haut point. Après quelques leçons,
il partait chasser tout seul. C'est lors d'une chasse que Julien découvrit une famille
de cerfs qui était dans la forêt. Tout d'abord il tua le faon, puis la mère et le père
qui avait eu le temps de charger s'approcha de lui et lui jeta une malédiction qui
disait que 'i il continuait à tuer des bêtes, il tuerait ses parents. Cette malédiction
l'obsédait, surtout que celui avait failli tuer son père et sa mère. En effet, alors que
son père voulais lui remettre une épée il la fit tomber manquant de tuer son père il
s'entraîna alors à la javeline mais en le lançant près d'un cygne faillit tuer sa mère.
Il s'exila alors et connut de glorieuses batailles et aida tous ceux qui étaient dans le
besoin. Un jour, il aida l'empereur d'Occitanie qui lui remit la main de sa fille. Il
vécut des moments heureux. Mais un jour il laissa son envie de tuer sortir et alla de
nouveau chasser. Le jour même, ses parents arrivèrent à son château pour avoir de
121
ses nouvelles, sa femme les reçut comme des rois. Le soir elle proposa au deux
personne d'aller se coucher, puis quelques heures plus tard, Julien rentra en colère
car celui-ci n'avait pas réussi à attraper un seul animal. Malheureusement quand il
arriva dans son lit et qu'il sentit une barbe, il ne réfléchit pas et tua les deux
personnes qui se trouvaient dans son lit et ce n'est que quand la lumière fut
allumée qu'il vit qu'il avait tué ses parents. C'est alors qu'il décida de s'enfuir qt
qu'il aida toute personne dans le besoin et qu'il raconta son histoire. Un jour, saint
Julien découvrit un chemin menant à une rivière et décida de s'installer à cet
endroit. Puis une nuit d'orage un homme lépreux lui demanda de l'aider à passer le
fleuve. Saint Julien l'aida, puis celui-ci demanda à manger, à boire et son lit. Bien
évidemment, Julien accepta de lui donner tout cela puis le lépreux lui demanda de
se coller contre lui ce que Julien fit. Et c'est ainsi que mourut Julien.
Photos de la Normandie mystérieuse
Les élèves de Fécamp ont pris des photographies évoquant pour eux la Normandie
mystérieuse, ce qui leur a servi de support pour écrire des récits.
122
La nature normande mystérieuse. L'eau, la campagne, la forêt, les falaises:
autant de lieux où surgit le mystère...
Cathédrale Notre-Dame de Rouen : Vitrail de Saint Julien l'Hospitalier
123
Source : http://www.cathedrale-
rouen.net/patrimoine/expositions/vitraux/st_julien/saint_julien.htm
Il se lit de gauche à droite, de bas en haut.
Aux 22 23 24 25 26 27 Julien est appelé, la nuit, de l’autre côté du fleuve d’abord
par le Christ, puis, 28 29 30 par le démon qui veut tenter les époux ayant fait vœu
de chasteté. Ceux-ci résistent aux assauts du diable et 32 meurent saintement
tandis que deux anges 31 33 emportent leurs âmes vers le Christ 34.
19 Pour faire pénitence, il quitte sa demeure accompagné de son épouse 20 et
fonde un hôpital au bord d’un fleuve. 21 Julien se fait passeur.
16 Julien revient de nuit (médaillon 7),
17 croit à un adultère et tue ses parents.
18 Sa femme lui apprend la vérité.
13 Il dort sous une tente. 14 Ses parents qui le recherchent arrivent à sa demeure.
15 La femme de Julien les accueille et leur offre son propre lit.
10 Il l’assiste au moment de sa mort, 11 épouse sa veuve et 12 part pour la guerre.
7 Pour échapper à son destin, Julien quitte sa famille et se met au service d’un
Seigneur (ce médaillon interverti au montage se trouve au 16), 8 le sert à table, 9 le
soigne dans sa maladie.
4 5 6 Trois scènes évoquant l’enfance de Julien à qui l’on a prédit qu’il tuera son
père et sa mère.
124
1 2 3 Les poissonniers, donateurs du vitrail, exerçant leur commerce.
Sortie scolaire à Rouen, quelques illustrations de la cathédrale
Rouen au Moyen-Age et à la Renaissance. Atelier d’écriture, seconde C
125
126
Le coin du cinéphile
Classe :
IXe ( F, D)
Equipe pédagogique : Georgeta B ădău, professeur de français, Lucre ţia Bîrz, bibliothécaire, Viorica
Genţiana Oni şoru, bibliothécaire de la CCD d'Alba
Modalité de travail : projet de groupe (3 membres/groupe)
Durée du projet : du 27 février 2012 au 28 mars 2012
Produit envisagé : exposition de marque-pages au CDI
Etapes et consignes :
Après le visionnement collectif du film « Cœur d’en cre »/après la lecture du livre homonyme,
répondez aux questions suivantes :
1. Qu’est-ce que vous avez aimé dans ce film/dans ce livre?
2. Qu’est-ce que vous n’avez pas aimé dans ce film/dans ce livre ?
3. Quelle est votre scène favorite et pourquoi/ ?
Restituez sous la forme d’un marque-page illustré u ne de vos 3 réponses.
N.B. ! Vous enverrez vos textes par e-mail à votre professeur de français avant le 20 mars 2012.
Critères d’évaluation ( /10 p):
Correction morphosyntaxique et lexicale : 2,5 p
Vocabulaire: 2,5 p
Originalité et mise en page du produit final : 1p
127
Présentation orale de vos opinions : 2 p
Respect du délai : 1p
Titre original : Inkheart
Réalisation : Iain Softley
Durée : 01h47min
Principaux interprètes : Brendan Fraser, Paul Bettany, Helen Mirren Synopsis : Depuis la disparition de sa mère il y a neuf ans, Meggie voyage sans
cesse avec son père Mo. Celui-ci ne tient pas en place et trouve toujours un
prétexte pour changer d’endroit. Mo a en effet un secret qu’il n’a jamais révélé à
sa fille : il possède un extraordinaire pouvoir, celui de donner vie aux personnages
des livres qu’il lit à haute voix. Il y a neuf ans, il a eu le malheur de lire Coeur
d’encre, et une bande de personnages mortellement dangereux, dont le redoutable
bandit Capricorne et un jongleur cracheur de feu nommé Doigt de poussière, a
surgi… Plus terrifiant encore, tandis que la troupe de malfrats prenait vie, la
femme de Mo a disparu dans le livre ! Mo s’est juré de ne plus jamais lire à haute
voix. Et depuis, il fuit les personnages auxquels il a donné vie malgré lui, essayant
de protéger le livre qui est son dernier espoir de retrouver la mère de Meggie.
(Source: http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=118342.html).
128
Tout d'abord, Vlad et sa femme se font leurs adieux avant le départ à la guerre.
Ensuite, la bataille contre les Turcs a lieu. De retour au palais, il découvre que sa
femme s'est suicidée et devient fou.
Mélanie: nous voyons beaucoup de plans rapprochés, ce qui nous fait entrer dans
l'intimité des personnages.
Emeric: nous avons un très gros plan sur la lettre de suicide de la femme de Vlad.
Clémence: la mort de cette femme nous choque, sa tête est montrée en gros plan.
A l'inverse, l'évocation des batailles est perçue à travers un plan d'ensemble qui
connote la violence et la puissance avec un gros contraste des couleurs et beaucoup
d'ombre. Nous observons à un moment une scène en ombres chinoises.
129
Aglaé: cette scène s'oppose au plan rapproché du début quand le couple s'embrasse
pour faire ses adieux.Le suicide est filmé en plongée, ce qui donne le vertige.Le
moment est dramatique.
Grégory: le cri de Vlad est bestial et fait peur. On a un très gros plan sur le sang
qui coule.
Antoine B: la séquence est sombre, l'ambiance est tendue.Les scènes de guerre
sont sans pitié.A son retour, il est fou de rage devant la mort de sa femme. La
séquence est tragique.
Paul: elle est aussi pathétique car le couple était très soudé.
Océane: en effet, les plans rapprochés du début exprimaient l'amour au sein du
couple, leur désarroi, leur peur.
Valentine J: c'est un film dramatique et fantastique.A son retour de la bataille, on a
un plan de demi-ensemble montrant le corps de sa femme allongé autour de prêtres
et de crucifix.
Aliénor: le très gros plan sur les bougies ensanglantées crée de l'horreur.
Mathilde L: un plan rapproché nous permet de comprendre que Vlad devient
fou.Nous éprouvons à la fois de la pitié et de la peur, éléments du registre tragique.
Elodie D: un plan moyen présentait sa femme en train de penser qu'il était mort. Ce
moment est intense et pathétique.
Clémence S: cette scène est romantique car elle choisit de mourir pour le
rejoindre.Elle ne peut vivre sans lui.
Steven: comme le film commence par une mort tragique, nous sommes impliqués
dans l'action et le suspense.
Camille: cette alternance de plans dans la première séquence nous indique un film
mystérieux et terrifiant.
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En ligne sur : http://en.calameo.com/read/00227994399127093ebfb
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Êtres fabuleux (réels et imaginaires)
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Ecrit par Evelyne Paquet
Les élèves ont créé des romans-photos. Il s'agissait, à partir de la nouvelle
fantastique de Guy de Maupassant intitulée « Le Horla », d'imaginer une
promenade dans Rouen du narrateur, dans le centre-ville médiéval, avec la
rencontre inopinée de l'étrange créature... Ci-dessous une vue mystérieuse du
Mont-Saint-Michel, lieu légendaire de Normandie. On dit par exemple que
Gargantua prit ce rocher pour un caillou, et qu'il correspond à l'emplacement du
tombeau de son père Grandgousier...
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Héros de fiction
Antoine Guyot
Brasidias
Les Spartiates sont passés, la ville n’est plus que ruine.
Le vent rapporte le vacarme des combats et des morts.
Un héros se dresse et lève sa haute mine.
Brasidias le champion, cet homme si grand et fort.
Le regard profond, il lève les yeux vers le ciel
Pour entendre encore une fois les cris de victoire.
Il a triomphé de ce combat démentiel.
De son corps imposant il réclame sa gloire.
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Le goût du triomphe l’a rassasié de sa soif.
Il serre fort son arme et il hume l’écume.
Il avance la face au vent, Zéphyr le décoiffe.
Mais cette victoire ne sera pas sans rancune.
Fier comme un paon et fort comme un demi-dieu
Il sent dans le corps un sentiment de malheur
Brasidias tourne la tête et regarde le feu
Il lance alors un énorme cri de fureur.
J'ai choisis comme héros Brasidias car c'était un général spartiate très puissant qui
a participé férocement à la guerre du Péloponnèse contre les Romains.
Ce personnage m'inspire car en tant que grand combattant, il y a beaucoup de
choses à dire sur ce personnage.
Mélanie Bigot
Ulysse
Il errait sous cette lune fantastique,
Avec son équipage naviguant sur l'eau,
Ils avançaient sûrement, c'était fantastique,
Pense à Télémaque, mon dieu qu'il est beau,
Tes yeux dansaient à la recherche d'une d'entre elles,
Les sirènes chantaient, tes yeux s'étaient fermés,
Pense à ta femme, les sirènes t'ensorcèlent!
Oui, mais ta ruse te sauvera, pas ton épée,
Ta ruse, ton amie, ton alliée sûre,
Pour renter à Ithaque elle eût été utile,
Pour la ruse tu regardas au-delà des murs,
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Grâce à elle, tu pus enfin rentrer en ton île,
Tu vis ta femme au milieu de ces prétendants,
De tes ennemis tu vainquis les épreuves,
Par différents procédés tu sortis vivant,
Ce jour, devant ta famille, tu fis tes preuves.
J'ai choisi ce héros car, ayant fait du grec ancien en troisième, ce fut plus
accessible pour moi d'en faire un poème à son nom. Je l'ai choisi aussi pour sa ruse
et ai pris l'épisode des sirènes et des prétendants pour l'illustrer.
Elodie Danger
Superman
Lui, Superman, grand et musclé de sa personne,
Lui, doté d'un charme à en faire tomber plus d'une,
Lui, connu pour la générosité qu'il donne,
Lui le seul qui puisse voler jusqu'à la lune.
Ses yeux sont d'un bleu aussi clair qu'un océan,
Sa peau est aussi dure qu'un morceau de pierre,
Et est aussi douce qu'un tissu de soie blanc,
De sa démarche assurée, imposante et fière.
Sa cape, symbole de toute sa puissance,
Ondulante comme une vague dans les airs,
Lui permettant de voler avec aisance,
Et obéissante envers son propriétaire.
Dès qu'on le voit c'est un frisson qui nous parcourt,
Bouche bée par tant d'assurance et de beauté.
154
Quand il part on attend, impatient, son retour,
Mais personne ne cessera de l'adorer.
Pour mon poème, j'ai choisi Superman, car ce héros possède des pouvoirs
exceptionnels dont il se sert pour aider les personnes qui en ont le besoin. Il se
démène au quotidien pour combattre le mal.
Romain Bréant
Monkey D.Luffy
Tel que l’on te voit tu as un air sympathique,
Ton visage est enfantin et arrondi,
Tu as des cheveux courts, noirs, épais en désordre,
Et ta bouche est large, rieuse, expressive.
Test geste sont vifs, nerveux et précipités,
Ta voix est forte, puissante et éclatante,
Tu as un corps très élancé et mince,
Ton caractère est doux, tu es aimable.
Il ne faut jamais s’en prendre à ton équipe,
Ni à ton étendard qui te représente,
Autrement ton caractère va changer,
Et tu vas t’énerver et devenir hostile.
Dans un combat même si c’est perdu d’avance,
Tu iras jusqu’au bout te défendre mais,
Tu es souvent comparé à un petit singe,
Mais tu deviens vite un lion féroce.
Mon poème parle du personnage principal de mon manga préféré « One Piece »
et j'aime particulièrement ce personnage car dans son attitude j'ai l'impression de
155
me regarder dans un miroir car il est gourmand, sympathique et un peu naïf comme
moi.
Léna Monville
Ulysse
Ulysse, héros de mythologie grecque.
Roi mythique d'Ithaque, fils de Laërte.
Ulysse est le père de Télémaque.
Ce foyer est la source de nombreux textes.
Pénélope ancrée dans sa solitude.
Brisée de ce véritable amour perdu.
Il lui rappelait tant la béatitude.
Pour Télémaque, le retrouver est son dû.
Pendant son absence, elle fut tant courtisée.
Mais Télémaque soutient sa belle-mère.
Mais de nombreux refus, elle leur a rétorqués.
Il est la plus belle fierté de son père.
Une fois cette très belle famille réunie.
Ulysse heureux de retrouver sa belle.
Une fois fini, il n'y a plus aucun souci.
Pour sa famille, dont le départ fut cruel.
J'ai choisi Ulysse car il fallait choisir un personnage soit un personnage de cinéma,
littéraire ou de la mythologie. Sa vie est très bien décrite sur Internet donc ce
n'était pas compliqué de trouver des vers.
156
Nicolas Gognet
L’Univers De l’Espion
Ô toi, toujours au service de sa majesté
Ô toi, grand et athlétique espion séducteur
Tes ennemis doutent tous de tes qualités
Mais tu caches en toi un héros ravageur
Ton visage ne laisse rien paraître de ton émoi
Ta silhouette très élégante et raffinée
Ta dégaine et ton aplomb toujours si droit
Et tes chaussures noires toujours si bien cirées
Au lever du jour, lorsque tu te réveilles
Une jolie femme est là, endormie dans tes bras
Même si c’est ton ennemie, c’est une merveille
Même si tu l’aimes, tu ne te marieras pas
Bondissante, intelligente avec ses fonctions
Elle est capable de se mouvoir telle une onde
Ta voiture t’est indispensable pour tes missions
Et indissociable de ton nom : Bond, James Bond
J'ai choisi James Bond car c'est un personnage que j'aime beaucoup parce qu’il est
fort, courageux, se sort toujours des situations les plus périlleuses et il a de
l'humour qui peut être soit dans la gestuelle, soit dans des phrases. Il y a un
schéma typique qui revient souvent entre les différents épisodes. C'est tous les
détails de ce schéma que j'ai replacés dans le poème.
157
Camille Boulhan
Hulk
Si par erreur Bruce Banner est en colère,
Il quitte son beau costume de médecin,
Et il se transforme en un géant tous vert.
Il est maintenant loin d'être un lilliputien.
Sur son front des lignes de colère se dessinent,
Sa bouche ouverte montrant ses dents serrées,
Lui donne l'air d'un super hostile.
Sans compter ses yeux étirés et renfoncés.
Complètement sûr de lui-même et de sa force,
Il est donc qualifié de quelqu'un d'arrogant,
Et même lorsqu'il pousse un cri plus que féroce.
On ne peut pas dire que ce soit un méchant.
Son torse dévêtu montre tous ses muscles.
Un simple short lui fait office de vêtements.
Mais croiser son chemin serait un miracle,
Surtout qu'il doit sauver le monde actuellement...
J'ai choisi le héros « Hulk » car je le regardais souvent quand j'étais plus petite.
Morgane Crochemore
Achile
J'ai vécu des aventures toute mon enfance !
J'ai vu le monde en long, en large et en travers
Avec Homère, il y eut beaucoup de souffrance !
J'ai vécu le bon, le meilleur et puis l'enfer
158
J'ai gardé un souvenir de chaque voyage
J'ai gardé un morceau de chaque pays en moi
Comme dans un livre où l'on marque les pages
Et à chaque arrivée, un grand moment de joie
Le soleil chauffait et la mer était si belle
La peau bronzée, les yeux bridés, une autre vie
Soudain ! Sur le navire apparut une hirondelle
Qui fit disparaître ma tristesse et mes soucis
Je revois ma douce et tendre femme
Je la vois se déchaîner, je l'admire de loin
Cinq ans sans elle, se fut carrément un drame.
Vers elle je m'avance, je la revois enfin.
J'ai choisi de prendre Achille comme héros. C'est un héros de la mythologie
grecque. Je l'ai choisi car j'ai regardé le film « Troie » et j'ai beaucoup aimé. Ce
film est captivant et raconte l'histoire d'Achille et de son gros point faible, son
talon.
Chloé Barbaray
Le changement
Lui, homme qui était si calme, timide
Celui ci n'étant jamais sûr de lui-même
Il ne parlait jamais mais était lucide
Jeune homme dans les problèmes s'en sortant indemne
S'en allant étudier comme chaque jour et ne
Sachant pas que sa vie allait basculer
Peter devenu Spider Man, souffrant et ne
159
Comprenant pas ce qu'il vient de lui arriver
Ayant le sentiment que tout allait changer
Il éprouvait l'envie de devenir fort puis
Puissant l'animal velu l'avait transformé
Le sentiment de haine l'avait envahi
L'amour l'avait frappé après une rencontre
Plus personne ne l'impressionnait et il savait
Qu'il pouvait lutter contre tous ces montres
Il vivait dans l'amour et la joie à présent.
J'ai choisi ce héros, Spiderman, car cela me semblait simple d'expliquer son
histoire. J'ai regardé le film.
Steven Greard
Le grand magicien
Gandalf est le nom de ce grand et puissant mage
Son large chapeau cache ses longs cheveux gris
Il est extrêmement actif malgré son âge
Sans doute a-t-il déjà soufflé ses cent bougies.
Les jours de fête il s'occupe des feux d'artifices
Grâce à lui les enfants du village sont contents.
Jamais ce vieil homme n'enverra de maléfice
Certes il a des défauts mais il n'est pas méchant.
Ses amis sont sauvés par son unique magie
Il manie son épée autant que son bâton.
Les guerriers ne s'inquiètent pas, ils comptent sur lui
Il peut gagner une guerre même en restant au fond.
160
Ses pouvoirs en pleine action sont des tornades
Aucun des ennemis de ne peut y résister.
Il préfère fumer sa pipe en balade,
Vêtu de gris, facile il est à discerner.
Gandalf est le personnage principal de ce poème car c'est un héros d'un de mes
films favoris. Ce personnage est un peu mystérieux, discret mais il détient des
pouvoirs extraordinaires. J'admire beaucoup ce magicien car il se bat contre le
mal.
Il est toujours là pour donner des conseils, pour aider ses amis, pour les défendre et
il ne les laisse pas tomber. C'est vraiment un personnage admirable.
Mathilde Beuzeboc
Jeanne
Oh! Jeanne, jeune fille âgée de dix- sept ans,
Fille unique, aimée de son père et de sa mère.
Très heureuse, elle rêve de son prince charmant!
Demain, elle connaîtra un amour éphémère!
Julien, toi qui es devenu mon seul amant!
Julien, l'unique grand amour de ma jeunesse!
Julien, toi qui as volé mon grand cœur aimant!
Julien, enfin que je hais d'une grande ivresse!
Ma vie est semblable à un si gros cauchemar,
Un gros nuage noir au-dessus de ma tête
Noircit mes pensées le jour, la nuit et plus tard
Encore, encore, tout est enfui dans ma tête.
Grande peine ressentie au fond de mon cœur,
161
D'une atteinte explosive aussi bien que mortelle,
Âme abattue, je suis seule avec mes malheurs
Qui me tuent à grand pas, la douleur est réelle.
J'ai pris la figure de Jeanne du livre de Guy de Maupassant « Une vie » car nous
avons étudié ce livre récemment en cours et que cette héroïne m'a plu. Jeanne est
très forte car elle subit beaucoup de malheurs dans sa vie et elle résiste à chaque
fois. J'aime aussi sa personnalité. Dans ce poème est expliqué comment Jeanne vit
dans la vie de tous les jours, et avec son Amant Julien.
Manon Clouet
Abbé Pierre
Hiver cinquante quatre
Il cria: « Au secours ! »
Il décida de combattre
La misère pour toujours
Fondateur d’Emmaüs
Avec ces chiffonniers
D'un tas de détritus
Il en fit un métier
Célèbre silhouette
Portant sa canne et son béret
Le premier dans la tête
Et le cœur des Français.
Pour mon poème j'ai choisi l'Abbé Pierre, pour moi ce n'est peut-être pas un héros
mais c'est une personne qui se distingue des autres car l'Abbé Pierre pense aux
autres avant de penser à lui -même. C'est une personne aimée de par sa popularité.
162
Clémence Lachèvre
Homme au grand cœur
Clown génial, chanteur, diseur
Acteur, comédien aux césars
Tu en as aidé plus d'un
Avec tes cheveux ébouriffés
Ton gros nez rouge
Tu portes une salopette décontractée
C'est l'histoire d'un homme
Qui derrière ses paroles
Tenait son combat
Fondateur des « Restos Du Cœur »
Pour apporter de l'aide, de la chaleur
Toujours dans la bonne humeur
Coeur généreux et tendre
Avec ta folie
Tu en as nourri plus d'un
Tu demandas de l'aide
Décidé à combattre
La misère pour toujours.
J'ai choisi cet homme car il a l'audace pour faire toutes ces choses que beaucoup
de personnages n'osaient pas. En plus, la période que nous passons représente bien
son association. Après sa mort, des Français continuent à se battre pour obtenir ce
qu'il aurait désiré. Je trouve qu'en France, on le voit comme un Héros.
163
Camille Cuvilliey
Spiderman
C'est un garçon sans rien d'extraordinaire.
Une seule piqûre et il sera transformé.
Sa vie n'aura plus rien d'ordinaire.
Une araignée, une piqûre pour un nouveau-né.
Tourné vers l'avenir, il doit découvrir.
Son passé pour mieux protéger le monde entier.
De sa main où tout peut jaillir et tout recouvrir.
Devant lui une nouvelle vie va commencer.
De sa carrure élevée, il peut tout regarder.
La physionomie de son visage impénétrable.
De ses gestes rapides, il peut se faufiler.
Grâce à son air vif, il peut se déplacer comme un boa.
Grâce à l'amour, il vit sa vie.
Grâce à l'amour, il est un héros.
Grâce à l'amour, il vit sans soucis.
Grâce à l'amour, on ne le prend plus de haut.
J'ai choisi comme héros Spiderman, car j'ai toujours aimé ce personnage, il sauve
des gens, il a deux identités, ce qui le rend mystérieux et j'aime beaucoup cette part
de mystère.
Mathilde Lefevre
Aphrodite
Aphrodite, née de l'écume de la mer
Près de Chypre, dans une perle de nacre.
Déesse de la beauté, des plaisirs, mère
164
Des amours, des grâces, des jeux et des rires.
Belle, de par sa grâce et de ses attraits
Belle, grâce à son soupir persuasif,
Belle, grâce à son sourire engagé,
Belle, de par son silence si expressif.
Aphrodite, pour celui qu'elle aime est,
Prête à tout. Elle est tellement heureuse.
Si grande galanterie, d'infidélité,
Elle tombe facilement amoureuse.
Déesse de la beauté, de l'amour, des jeux,
Mais aussi guerrière de par sa bravoure.
Amie, mais aussi ennemie d'autres Dieux.
Aphrodite eut un véritable amour.
Manon Preterre
Superman
Superman au cœur affectueux et sensible.
Ce héros si vulnérable a la magie.
Doté de multiples pouvoirs redoutables.
Superman prêt à combattre ses ennemis.
Lui qui ressemble moralement à Spider man.
Lui qui a fait parler de lui dans le monde.
Lui qui a un beau corps musclé mon Superman.
Lui qui combat les personnes les plus immondes.
Un homme musclé, fort et d'un air sympathique.
Ses gestes vifs, sa vitesse incontrôlable.
165
Le Superman souriant et authentique.
Muni d'une superbe vision laser impénétrable.
Toujours prêt à nous défendre comme un forcené.
Poursuivant et attaquant tous ces délinquants.
Combattant avec haine tel qu'un homme acharné.
Mais sous son costume se cache un homme brillant.
J'ai choisi Superman car je trouve que ce héros a des pouvoirs exceptionnels et du
talent.
Clément Sautreuil
Hercule Savinien Cyrano de Bergerac
C'est un homme qui joue bien la comédie.
Il parle aux femmes avec éloquence et amour.
Il est un personnage plein de poésie.
Cyrano chante parfois comme un troubadour.
Il part dans de longues tirades enflammées,
Pour mieux, les jeunes femmes, attirer et séduire.
Son talent est aussi grand que son nez.
Il crée la polémique pour faire réagir.
C'est un personnage original et comique.
Tout ceci fait de lui un homme pas banal.
Cyrano a un talent de type lyrique.
Aussi fort au combat physique que verbal.
C'est un auteur qui incarne la pensée libre.
Il n'est pas du tout un homme qui se laisse faire.
166
Grâce à son talent tout le monde vibre.
Cyrano ne manque pas de vocabulaire.
J'ai choisi Hercule Savinien Cyrano de Bergerac car l'année dernière, en 3èm, j'ai
fait un cours sur lui, ma professeur de français nous a montré un film à son sujet et
j'ai donc trouvé intéressant d'utiliser mes connaissances sur cet auteur/comédien.
Laurie Kervella
Rose Écarlate
Jeune fille, brune aux regard vert clair,
D'une beauté comparable à une rose
D'une voix ni trop aiguë ni trop austère
Douce fille répondant au nom de Maude
Belle dame au grand coeur et généreuse
Vivant avec son père loin de tous malheurs
souhaitant une vie parfaite et heureuse
Maude connaît la richesse et le labeur
Maude prenant le parti du peuple démuni
Leva les bras haut vers le ciel muni d'épées
Et cria : « Père ! je serai leur ennemie ! »
Son corps est si vaillant quand il est costumé
« Rose écarlate », elle se fit nommer
Héroïne au coeur d'or volant les bourgeois,
Pour que les pauvres soient assez alimentés
Les miséreux l'acclamaient et étaient en joie.
J'ai choisi la Rose Écarlate comme héroïne car c'est une femme courageuse,
généreuse qui est soucieuse des autres, elle est donc très solidaire. De plus elle
167
vient du peuple, alors elle arrive mieux que quiconque à comprendre ce que sont la
misère et le dur labeur. Ce personnage m'inspire car elle me ressemble beaucoup)
et je l'admire énormément.
Aglaé Piednoel
Cosette
Jeune abandonnée par une mère non comblée
Passera son enfance en pénitence
Chez ces Thénardier, délicieux meurtriers.
Elle sera exploitée, pauvre innocente
Mais la douce enfant n’est pas seule à plaindre
Pour sa fille, la génitrice donnera
Corps, n’ayant autre choix que de se vendre
Quand Valjean débarquera pour la sauver
Il osera la sortir de sa prison
De l’argent il offrira pour la libérer
Il deviendra pour elle Apollon
Un beau jour de promenade de Juin l’amour
Apparut comme un devin dans un secret
Le beau jeune homme la suivit sans un bonjour
Se mariant dans un sacrifice complet.
Dans mon poème j'ai choisi Cosette, du roman les Misérables de Victor Hugo, car
son histoire me touche énormément. Malgré son enfance difficile, elle arrive tout
de même à vivre et à ne jamais se laisser abattre.
168
Valentine Jonquière
Passager du désastre
Passager du désastre en ce siècle endeuillé
D'un rêve de Chopin tout droit sorti de l'ombre
Qui chante le néant d'une voix empêchée
La musique est debout, les touches blanches sombrent...
Dans le bouleversement du jour et de la nuit
L'ennemi te surprend aux ruines de la ville
Le pianiste est si maigre, il se bat pour sa vie
Ses doigts fins et gelés autrefois si agiles
Le Juif au ventre creux est affamé sans haine
Le Juif gardant espoir jusqu'au bout de l'infâme
Le tombeau est baigné dans l'angoisse et la peine
Varsovie brûle encore son ghetto et son âme
Passager du désastre en ce siècle d'histoire
D'un rêve de Chopin droit sorti de l'abîme
Laisse en mon coeur le trouble, l'effroi en nos mémoires
Quelques notes d'amour qui restent en mon estime.
Tifany Tauvel
Superman
Superman, aussi surnommé l'homme araignée,
De rouge, de bleu, de noir il est costumé
Par une bête à huit pattes a été piqué,
Ce jeune homme orphelin, discret et réservé.
Un jeune héros peu musclé mais avantagé
169
Un visage éveillé, un teint peu coloré,
Des cheveux hérissés mais parfois bien peignés.
Sûr de lui au moment où il est transformé.
Peter Parker, l'étudiant aux gestes précis,
Un être gentil, calme mais surtout rusé,
Ayant peu d'amis, avançant seul dans la vie,
On le voit rarement marcher dans les quartiers.
Volant dans les airs pour ne pas être attrapé,
Il est souvent en danger lorsqu'il sauve des vies.
Les enfants devant lui en restent bouche bée,
Star malgré lui, suivi par les paparazzis.
J'ai choisi comme héros Spiderman car ce jeune homme est très courageux. Il n'a
pas une vie très facile et malgré tout ça il se bat pour ce qu'il veut, il aide les gens
en difficulté, il est persévérant, il ne laisse jamais tomber.
Isaline Kwasniewskiperot
Buffy
Buffy est l'héroïne d'une série que j'aime
Elle se bat la nuit contre d'effrayants vampires
Forte et belle, elle fait face à toutes sortes de dilemmes
Et malgré tous ces malheurs, elle garde le sourire.
Petite blonde, aimante et surtout protectrice
Est un vrai bouclier contre tous les dangers
De cette fille je suis la plus grande admiratrice
Car jusqu'ici elle n'a jamais abandonné.
Son pieu est le seul qui ne la trahira pas
170
Planté en plein cœur, et c'est la fin de l'ennemi
Réduit en poussière sur le sol il finira
Sous les yeux de l'invincible tueuse ravie.
Même les mains moites, le coeur qui saigne, la chair de poule
Même l'odeur du sang et la perte de ses proches
Même si au combat, dans son ventre se forme une boule
Elle ne rentrera jamais les mains dans les poches.
L'héroïne de mon poème est Buffy. C'est un personnage d'une série américaine qui
s'appelle « Buffy contre les vampires ». C'est l'histoire d'une adolescente qui doit
combattre des vampires mais aussi d'autres monstres, c'est sa mission, on la
nomme donc « la tueuse ». Je l'ai choisie car, quand j'étais petite c'était mon idole,
non pas pour ses qualités au combat, mais car elle a de l'ambition, elle n'a jamais
abandonné malgré les difficultés.
Gregory Quiquempoix
Gavroche
Des barricades tu fus le plus important
Révolutionnaire dans l'âme, tu répondais présent
Contre le pouvoir tu étais un résistant
Grand homme dans un corps d'enfant
Contre les balles tu as dansé
Et cette chanson tu as entonnée
Celle qui énervait les assaillants farouches
Tu narguais ceux qui sur toi,vidaient leurs cartouches
Tu as prouvé ton courage en mille sept cent quatre-vingt-onze
Seul contre les soldats et leurs canons de bronze
Petit homme tu ne manquais pas de courage
171
Quand tu dansais avec les balles tirées en rafales
Tu as lutté pour la liberté au sein de Paris
Cette ville qui t'as accueilli et dans ses rues tu as grandi
Des barricades il y en a un que je me rappellerai par-dessus tout
Gavroche, petit mioche, qui dans les poches n'avait pas de sous.
J'ai choisi Gavroche car il incarne la révolte face a des oppresseur (qui sont ici les
soldats du roi) et l'abolition de la noblesse et des classes sociales. Il lutte pour des
valeurs qu'il comprend. Cela incarne tout ce qu'y m'anime, la révolution justifiée et
pour défendre des valeurs contre l’oppression et le droit que certains s'accordent en
fonction de leurs richesses et de leurs « pouvoir».
Alicia Leroy
Spiderman
Cet homme est un artiste de cinéma
Il a une fine moustache noir foncé
Il a des cheveux bruns comme le chocolat
Son sourire exprime la joie et la gaieté.
Il ne joue pas dans une série américaine
Il sortait avec une artiste française
Dont sa religion maternelle était chrétienne
Dans tous ses films il est vraiment à l'aise.
Ces films les plus connus sont fantastiques
Dans ces films il a un look original
Il a souvent des personnes qui le critiquent
Car il trouve que cet acteur est un peu banal.
Certains de ces films sont en plusieurs parties
172
Son projet est de faire un film comique
Comme il est célèbre il n'a pas les mêmes soucis
Il voudrait que son film comique soit artistique.
173
Au début de cette année, à la demande des élèves, j’ai décidé d’élargir un peu
l’équipe du projet. Inspirée par le site du concours « Des mots pour voir, histoires
de l’histoire de l’art », j’ai proposé aux nouveaux arrivants un atelier de rédaction
créative. Juste après les vacances d’hiver (qui finissent en Roumanie le 13 janvier),
je leur ai présenté le sitewww.imageimaginaire.com et la façon de participer au
concours international d’écriture en français. Le fait qu’il y a eu des participants
de notre établissement aux éditions précédentes les a encouragés et motivés. Pour
ne pas oublier le programme scolaire de français, je leur ai rappelé que la lecture
de l’image et la rédaction de textes narratifs et descriptifs sont des activités
recommandées dans nos textes officiels. Notre CDI dispose d’une salle multimédia
ayant 15 ordinateurs avec connexion Internet ce qui a permis à chaque membre de
l’atelier de découvrir à son rythme les textes des participants à l’édition 2012 du
concours « Des mots pour voir » et les images proposées pour l’édition 2013.
Dans une première étape (mi-janvier- mi-février) les élèves ont choisi une image
de la galerie proposée sur le site www.imageimaginaire.com. Ensuite, ils ont
cherché dans les livres du CDI ou sur Internet des informations sur le créateur de
l’œuvre choisie et sur son époque. L’étape suivante a été la plus difficile car les
élèves ont dû écrire l'histoire d'une image en associant la rigueur scientifique
(contexte de l'œuvre, biographie de l'artiste ou du commanditaire etc…) et leur
propre créativité. Je leur ai expliqué, à partir d’un texte extrait du site du concours,
que dans leur texte ils devront parler au nom du peintre, du commanditaire, du
spectateur contemporain du tableau, de l’œuvre elle-même ou d'un des personnages
ou éléments représentés. Je les ai laissé s’exprimer en langue maternelle à l’oral,
comme à l’écrit pour que leur imagination ne bloque pas à cause de la barrière
linguistique. Une fois les textes finis, ils les ont traduits en français, avec mon aide
et celui des dictionnaires.
174
avant la mort tragique de son frère. Toute la ville de Greifswald parlait de ce jour
néfaste. Les gens disaient que David s’était disputé avec son frère, Cristoffer, et
qu’ils avaient commencé à se battre à cause d’un jeu. Et dans ce désordre, la glace
avait cédé sous leurs pieds et Cristoffer s’était noyé après avoir réussi à sauver la
vie de Caspar David qui était tombé dans les eaux froides et impitoyables de la
Mer Baltique. Mais, je sais quelle est la vérité parce ce j’ai été là. Nous, les
enfants, habituions de jouer souvent sur la mer gelée. C’était un après-midi comme
tous les autres. Je jouais avec plusieurs amis parmi lesquels les frères Friedrich.
Nous avions un ballon en tissu que nous frappions à l’aide des bâtons de bois. Le
ballon lancé, nous courions frénétiquement pour le rattraper. Vue du ciel notre jeu
ressemblait, probablement, à une course chaotique de petites locomotives à vapeur.
David était le plus rapide, je le haïssais pour cela. Il réussissait toujours à garder
pour quelques minutes le ballon avant de le frapper fortement. J’étais le plus
proche de lui et, pour une fraction de seconde, j’ai vu que la glace commençais à
craquer comme si elle se vengeait pour l’humiliation du coup de bâton. J’ai crié
pour l’avertir, mais David ne comprenait pas, il continuer à agiter ses bras en l’air
saisi d’un fou rire. Puis son rire est devenu de glace, comme les eaux de la mère
qui l’ont avalé peu après. Je me suis évanoui. Cela fut la dernière fois que j’ai vu
Cristoffer vivant. Longtemps David a refusé de parler. Tout le monde pensait qu’il
était devenu muet à cause du choc. Mais, après quelque temps, il a recommencé,
très peu, avec avarice et seulement quand il était strictement nécessaire.
Sa vie n’a pas été des plus heureuses, selon moi. Même quand il est devenu célèbre
175
et très apprécié à l’Académie de Dresde il était assez solitaire, comme s’il avait
oublié de se réjouir de la présence des autres. Son existence a été sûrement
traversée de quelques fulgurations de bonheurs. Je me souviens que l’année 1818
lui avait apportait une jeune épouse de dix-neuf ans et l’inspiration divine de
peindre pas moins de vingt-neuf tableaux. Celui qui me plaît le plus est « Le
Voyageur au-dessus de la mer des nuages ». J’ai une copie chez moi je me pers
souvent dans son histoire muette. Il m’aide à retrouver David, mon ami d’enfance.
Je sais que c’est lui celui cherche vainement, au-delà des nuages, des réponses. Ou
le pardon. (Mirela Barbu, Xe E)
monde sont différentes. Un écrivain sent les angoisses de son âme, un musicien
peut lui entendre l'harmonie, un photographe lui surprend l'ombre et un peintre lui
voit la couleur. Il est merveilleux comment les artistes puissent mélanger talent et
vision pour transformer en œuvre d’art un simple objet rencontré par hasard et
resté pour des raisons inconnu dans un coin de leur mémoire.
Mes rues ont été jadis pleines de musiciens qui les mettaient en harmonie avec la
nature, de peintres qui essayaient d’immortaliser leur existence mouvementée et
d’écrivains qui cherchaient le souffle de ma vie secrète. La vie secrète de Paris
(c’est mon nom). Un des peintres qui m’ont charmé (ou qui sont tombés sous mon
charme) a été Gustave Caillebotte que j’ai connu vers 1880. Il avait adoré son père
et voulait continuer son œuvre. Il avait pris sa licence en Droit, c’était « «
quelqu’un de sérieux ». Il ne connaissait pas la haine et d’autant moins la jalousie
176
qui domine le monde des artistes. Il n’avait pas hésité pas de donner un coup de
main à des artistes comme Edgar Degas, Claude Monet ou Pierre-Auguste Renoir
de mettre en places des expositions qui leur ont apporté de l’argent et de la gloire.
Dans un de ses tableaux, il m’a surpris pendant que je me reposais au soleil, sur un
banc du boulevard Hausmann. J’étais indifférent aux passants, mais lui, Gustave,
ils les a vus. Il a su si bien surprendre leurs pas avançant vers nulle part.
J’ai entendu qu’un anglais riche a acheté ce « Boulevard vu d’en haut » et l’a mis
dans une galerie personnelle à Londres. Parfois il me manque, parfois je ressens le
besoin désespéré de revivre ce jour calme de printemps, si lointain, si beau. (Irina
Luca, Xe F)
Marie Antoinette, mais je sais que j’avais été impressionné dès le premier moment
de sa beauté. Le jour où nous nous sommes rencontrées, elle était vêtue d’une robe
bleue d’une simplicité probablement inappropriée pour une reine. Mais la robe
s’harmonisait parfaitement avec ses yeux et elle portait autour du cou des perles
qui donnaient un plus d’élégance et de gentillesse à celle qui les portait.
En apprenant que j’étais une célèbre professeur de science, elle m’a dit qu’elle
aimerait que sa fille, Marie-Thérèse Charlotte, reçoive une éducation spéciale,
177
pour devenir une intellectuelle de l’époque. Quelque temps après, elle a pris
contact avec moi et m’a dit qu’elle voulait que je rencontre sa fille. J’ai accepté
cette invitation sans hésitation, étant fasciné de tout ce que j‘avais entendu parler
de la personnalité de cette femme extraordinaire. Je voulais la connaître mieux.
C’était dans l’année 1785, peu de temps après un accident qui aurait pu changer
l’opinion des Français sur leur reine. Arrivée dans sa belle maison, j’ai vu une
femme en pleurs, vidée de puissance, une image que je ne pensais pas que mes
yeux voient jamais. Elle m’a dit que sa fille n’est pas encore à la maison et que
nous avons du temps pour parler. Je me souviens exactement ses mots : « C’est un
mensonge, c’est un coup monté ». Je ne savais pas ce qu’elle voulait dire, je
n’étais pas intéressée des événements de la vie politique quotidienne, mais j’ai
compris tout quelques minutes plus. Un scénario accusateur avait été préparé pour
Marie Antoinette et même si elle n’avait aucune faute, dans les yeux de la foule
elle était coupable. Jeanne de La Motte, qui prétendait être princesse, a embauché
une femme pour se déguiser en reine. Cette femme a rencontré le Cardinal de
Rouen tard dans la nuit. Elle lui a offert une rose. Le lendemain, Madame de La
Motte a dit au Cardinal que Sa Majesté voulait pour cadeau un collier cher de
diamants. Il a immédiatement apporté le bijou, puis il a voulu recevoir l’argent
pour le donner au bijoutier. n Mais le collier a été vendu en Angleterre par « La
Princesse de La Motte », le bijoutier n’a pas reçu l’argent et l’histoire a été rendue
publique. La foule populaire ne croyait pas dans son innocence et de mauvaises
pensées ont pris des racines de plus en plus fortes dans l’esprit des gens. Elle m’a
dit qu’elle avait peur d’une révolution, d’un soulèvement de la population, mais
quand je lui ai demandé si elle voulait céder à une telle pression populaire, elle
m’a dit : « Je sais que ça viendra contre moi, mais ma mère m’a enseigné de pas
craindre la mort ». Ce furent les mots que j’allais pouvoir lire quelques années plus
tard dans les journaux qui parlaient sur la Révolution française. Le début de la
révolution a été bouleversant et m’a changé, Je suis devenue une personne qui
croyait aux commérages, parce que beaucoup de gens, y compris sa reine, l’avaient
déçue. Je fus parmi ceux qui étaient présents dans la salle d’audience le jour du
procès, ce jour terrible qui allait mettre fin à la vie de Marie Antoinette. Je savais
que toutes les allégations n’étaient pas vraies. Je savais qu’elle n’avait pas abusé
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sexuellement son fils. Je savais qu’elle aimait ses enfants plus que tout dans le
monde. Je savais que toutes les preuves de sa trahison n’étaient pas réelles. Je
savais qu’elle ne méritait pas qu’on lui coupe les cheveux et qu’elle soit obligée de
marcher à travers Paris, le 16 octobre 1793 pour arriver à ‘échafaud. Je savais que
personne ne peut prendre la vie de quelqu’un, je le savais, mais je ne le sentais pas.
Le jour même, Marie Antoinette a été guillotinée. Maintenant quand je vous parle,
moi, Elisabeth Louise Vigee-Lebrun, je n’ai plus que ce tableau que j’avais peint
pendant cette année malchanceuse. Il est aujourd’hui accroché aux murs de ma
maison, pour me souvenir toujours d’elle, mon amie, et de la rose qui l’avait
conduit en quelque sorte à la mort. (Cristina Haneș, Xe F)
Une blancheur de lait frais. Il fixait jusqu'à l'hypnose le rien immaculé qui se
développait devant ses yeux de connaisseur de beauté et de raffinement. Le
raffinement, le renouveau social et le rajeunissement culturel de la Renaissance de
l'art, quelle perfection! Son bras allongé, une succession d'instants superficiels... et
la Méduse prend vie de quelques touches de pinceau d'un rouge vif. Pierre Paul
Rubens en restait fasciné. Prisonnier de la poussière mystique d'une légende bien
enracinée, il était ensorcelé sans voie d'issue, perdu dans la splendeur de l'instant.
Lui, le peintre flamand le plus connu au monde, dont l'énergie inépuisable a donné
vie à plus de 1400 tableaux, se laisse attirer, telle une proie, par la mythologie de
Dionysos. Et il choisit la Méduse! Elle- même et la fascinante bipolarité de son
existence... elle, elle, elle… Beauté pure. Beauté candide. Beauté ombragée, rien
que de la caresse délicate d’un nimbe. Elle courrait parmi les étoiles dans un
labyrinthe luisant, insidieux, qui perdait son éclat devant elle qui éclipsait le
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céleste même. Elle se perdait et se retrouvait dans une danse continue et uniforme
par son indomptable beauté vaniteuse. Elle était vraiment belle. Ou c’est ainsi que
la légende le murmurait. Une seule erreur si négligeable! Une brève dérive vers un
néant des passions … Quelques instants fous qui ont entrainé l’impulsion de ses
sens… et c’était tout: C’était tout et elle a payé du prix de sa beauté. …Car ses
cheveux d’ébénier qui rayonnaient naguère en éclats bleuâtres de plomb s’écoulent
maintenant sur les épaules de la jeune fille sous la forme de certaines hybridités
caricaturales. Serpents. Vifs. Venimeux Horribles. Tout cela pour une erreur si
naturelle, tout cela pour la simple permission de sa propre âme de se délivrer de
l’étreinte d’une vie conventionnelle. Elle était belle et elle languissait de l’amour :
Amour et encore plus. Elle était affamée et désireuse de sensations nouvelles,
fébriles, passions ardentes, rêves et espoirs entrelacés en merveilles et charme. Elle
désirait sentir qu’elle vivait, elle désirait des souffrances douces, des sourires
noyés en larmes, des heures vaporisées en jours, des jours vaporisés en années,
promesses qui ne seraient pas respectées. Elle désirait, quoi que ce fût, de sentir sa
vie circuler folle dans ses veines, son cœur attendait et dépassait l’état oscillant du
tachycarde, son cerveau s’ouvrait plus largement que jamais, et les synapses
s’éternisaient en étreintes chaudes. Ses yeux troublés de trop de couleur dans une
interminable mosaïque chromatique, l’ouïe caressée par la symphonie la plus
céleste, une symphonie vitale. Elle désirait une brise suffisamment fraîche qui lui
revitalisât les sens. Elle désirait tout. Elle qui croyait que pour une chose
passionnante il était impossible de payer d’un prix si grand. Elle qui croyait que le
mal ne connaissait pas de victoires sur le bien, à part de petits avantages qui
pouvaient être facilement réduits en poussière. … Elle se mentait seule, peut-être
d’une manière consciente ou, peut-être non? Maintenant, son ouïe est étouffée par
les chuchotements irritants et cruels des fauves qui s’installent sur ses épaules de
cristal blanc. Son regard est troublé de scénarios blancs-noirs, morbides, de
comédie noire. Son esprit s’agite à l’intérieur d’une prison en marbre froid.
. Je ne peux plus nager dans cet océan illimité, je ne peux plus bruler dans cet
éternel incendie ». C’est ainsi qu’elle se disait aujourd’hui, se disait le lendemain,
à jamais. Elle sentait constamment une certaine peur maladive et une appréhension
incontrôlable. C’est du dégoût qu’elle sentait. Elle écrase entre les paupières deux
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larmes d’amertume et elle espère encore l’amour, son seul salut, son unique espoir,
le plus précieux, l’amour incontestable, l’amour sans conteste, l’amour sans
prétexte, sans promesses illusoires, l’amour pur, jeune fort et beau, tel qu’elle était
elle-même, avant la malédiction qui l’avait crucifiée sur une toile obscure, brodée
en rosée de tristesse fraîche. Oui, elle avait trouvé un tel amour, et oui, elle savait
qu’elle avait des chances. Un tel amour, une telle chance. Quel sort ! Que c’est
merveilleux!. Et pourtant. Il s’est perdu, cet amour-là, il s’est vaporisé dans un
instant, il est mort brusquement, brutalement. Il est mort de la main de l’ennemi,
qui ne s’était pas contenté d’un anathème. Il est mort. Non pas l’amour, non pas
l’amoureux non pas la chance … mais elle. (Delia Gligor, Xe E)
Je contemple longtemps et illusoirement ma propre image et je ne désire plus
que libérer mes pensées, mes principes. J’ai l’impression d’être une
adolescente aux yeux grands ouverts et pleins d’espoir et comme elle j’ai du mal
à maîtriser toutes les émotions qui m’envahissent. Où aller, quoi faire ? Je ne suis
qu’une peinture, la projection au-delà du temps d’une beauté autrefois surprenante,
isolée dans la mémoire de mon créateur. Je n’ai pas trop aimé le corset de bois que
Georges m’avait obligée de porter pour me protéger ou, plutôt, pour conserver ma
sérénité. Aujourd’hui, je sais que son intuition avait été exacte, sans ce cadre
rigide je me serais perdue. Aussi perdue comme je me suis sentie quand mon cher
181
Georges était mort, trois ans après m’avoir peinte…Il avait l’habitude de me dire
qu’il était heureux de m’avoir surpris à l’apogée de ma beauté. « Tu seras la plus
fidèle et la plus belle image de Port-en-Bessin, ce vrai conquérant des âmes
sensibles », me disait-il. Il a su si bien refléter dans les nuances fines de ses
couleurs mon regard, mes yeux naïfs et pleins d’amour, qui aspiraient à des vastes
horizons. Toi, le passant qui ne connaît pas mon histoire, tu ne sais pas voir mes
yeux dans le bleu de la mer. Ni mon innocence cachée dans le vert des herbes, ni
mes rêves portés au large par les bateaux solitaires, ni mon âme prisonnière
éternelle d’un tissu. Mais, lui, Georges Seurat, il l’a su, il m’a sauvée, avec le
pressentiment d’une rupture entre le présent et l’avenir, car il me connaissait
mieux que moi-même.
Mon corps remplit l’espace limité de la toile tout comme le corps
de Madeleine Knoblock remplissait le vide de l’atelier que Georges avait quitté
pour toujours quand il avait à peine 31 ans…Moi et Madeleine avons quelque
chose en commun, peu de monde nous a connues avant la mort de Georges. Mais
avec le temps, je suis devenue de plus en plus célèbre, tandis qu’elle s’est perdue
dans l’oubli.
Les gens aiment encore me regarder, mais leur curiosité me fait mal. Surtout en
mars, le mois de la disparition de celui que personne n’appelle plus Georges, mais
Seurat. Chaque année, je cherche vainement dans les yeux des visiteurs du Musée
d’Orsay l’amour de mon peintre et la patience avec laquelle il mettait les points de
couleurs sur la toile pour refléter la beauté vibrante de son monde. Cette beauté
de plus en plus rare…. (Roxana Luca, Xe E)
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chemins insignifiants, il y a une chapelle dite « La Chapelle Sixtine ». C’est
l’endroit où le maître Michel-Ange a décidé de refléter pour toujours sa perception
sur l'origine de l'humanité et surtout sur mon origine, le premier homme.
Aujourd’hui, après des millénaires de la Genèse, je me contemple dans cette
peinture et je laisse mes larmes couler tout comme, avec le temps et les péchés, la
lumière divine s’est écoulée en me laissant tomber dans une sorte d’abîme blanc et
noir. Les uns disent que c’était à cause du serpent, mais je sais que c’était à cause
de ma faiblesse.
Le Créateur aurait dû suivre les conseils des anges qui avaient essayé de le
convaincre qu'un être humain comme moi ne pouvait pas rester longtemps loin du
péché. Mais Lui, plein de bonté et de compassion, comme un parent, n’a pas voulu
tenir compte de ce qu »on lui disait. Il m'a créé à son image, il m'a donné la vie, la
lumière, la liberté, des conseils et, le plus important, l'amour. Mais je ne lui 'ai pas
obéi. Je n’ai pas su apprécier tout ce qu'il m'avait donné, même si j'avais reçu tout.
Je n'avais pas son pouvoir et je ne l’aurais jamais envié si la rusée du serpent ne
me l’avait pas suggéré. L’origine du mal, incarné dans cette créature à sang-froid
m'avait poussé à goûter la pomme interdite. Plus tard, j’ai compris que j’étais
prédestiné à être chassé de mon Paradis tant aimé qui me manque aujourd’hui.
De tous les endroits du monde où la mémoire et la foi des terriens ont fait
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apparaître des œuvres qui rappellent la Genèse, je préfère cette chapelle que le
pape Sixte IV a fait construire vers 1475 et qui abrite depuis le XVIe siècle,
l’immense fresque du maître Michel-Ange. En revoyant la scène de ma création, je
ne ressens que nostalgie. J’étais encore innocent et en communion parfaite avec
Dieu. « Adam c’est une figure dont la beauté, la pose et les contours sont tels
qu’ils semblent être issu de cet instant même où Dieu créa Adam et de la main du
Créateur suprême lui-même plutôt que du dessin et de la brosse d’un mortel.» Les
mots de Giorgio Vasari, un des contemporains de Michel-Ange ranime encore en
moi la vanité. Celle qui allait me perdre plus tard…
Certains se demandent encore pourquoi le peintre a choisi de laisser tout cet espace
vide entre moi et Dieu et quelle est la signification de l’étincelle qui se voit encore
clairement entre le doit de Dieu et le mien. Je pense que Michel-Ange a été inspiré
par notre Créateur. Il a voulu, probablement, laisser à chaque mortel la liberté de
découvrir ce qui pourrait réduire cette distance. Parfois une vie humaine est trop
courte pour trouver une réponse. (Corina Popa, Xe E)
suis parti vers le mastroquet de notre village. J’y rencontrais souvent Jean et mes
camarades qui me proposaient invariablement de jouer aux cartes ensemble. Cette
fois-ci, je ressentais une sorte de malaise plutôt psychique que physique, mais je ne
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pouvais pas m’esquiver car je savais que mes pots allaient se fâcher. Finalement,
j’ai décidé d’afficher un sourire charmeur sur mes lèvres et d’y aller.
Quand Jean me vit entrer, il jeta précipitamment son cigare parce qu’il savait que
je n’aimais pas le tabac. Il commanda vite pour nous une bouteille de notre vin
favori. C’était du vin fait maison, dit-on, le meilleur de la Provence. En le buvant,
je me suis souvenu avec amertume de mon père. Au moins, il existait pour moi une
façon sur cette terre qui me rappelait de lui : ma mère avait brûlé toutes ses photos,
elles sentaient l’alcool... J’étais trop jeune pour me rappeler de quoi il avait l’air,
mais le goût de ce vin me faisait me sentir plus proche de lui. Est-ce que cela
signifie que je suis aussi proche de la mort, comme lui? Ou comme ce peintre,
Jean-Paul, qui viens chaque soir chercher son inspiration au milieu des ivrognes et
des ratés. Je n’ai jamais compris pourquoi il venait ici. On dit qu’il a une propriété,
pas loin de chez nous, à Jas de Bouffan .
Ce soir-là, j’avais peur et tout ce que je voulais était de rentrer chez moi.
Cependant, je ne voulais pas laisser seul mon ami Jean, je savais que pour lui tout
cela comptait énormément. Je vais rester, me dis-je, et à la fin de cette partie, je
vais prendre un autre verre. Jean me dira, probablement, quelque chose qui puisse
m’aider à oublier tout ce raffut de la taverne.
Chaque verre embrumait ma pensée, je me sentais comme dans un ballon plein de
fumée. J’espérais que la tempête attarderait, mon état d’esprit était déjà pitoyable
et assez confuse. Je n’ai rien raconté à Jean : je ne voulais pas l’embêter avec mes
problèmes. Le mieux c’était pour moi de rentrer à la maison. Encore un verre et
j’allais rentrer… (Iulia Bădoiu, Xe E)
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saisi il y a un an, le rhumatisme. Les douleures très grandes ne me laissent pas
travailler. Pourtant, cette année, j’ai reçu l’Ordre de la Légion d’Honneur et malgré
les douleurs parfois insupportables, j’ai commencé à réaliser un tableau de grande
taille, haut de 93 cm et large de 130 cm, que je nommerai « Le bar des Folies-
Bergères». Pour moi la lumière est si unitaire qu’il suffit une seule nuance pour la
représenter sur la toile. J’ai décidé de peindre les lampes électriques de mon bar
avec du blanc vivant parce que j’aime bien passer des couleurs vives aux couleurs
foncées. La scène, contrairement aux apparences, je ne la peindrai pas aux Folies-
Bergères, mais dans mon atelier. En revanche, vous devez savoir que la jeune
femme qui m’a servi de modèle travaille vraiment dans ce fameux cabaret. Elle n’a
pas été très contente de voir que son corsage sort en évidence parmi toutes ces
bouteilles de boissons alcoolisées, fleurs et fruits que j’avais disposés en pyramide
autour d’elle. Je lui ai dit plusieurs fois que j’avais voulu donner l’impression
qu’elle se regardait dans un miroir. Une belle femme qui cherche sa beauté dans un
miroir. Suzon est une femme charmante, n’est-ce pas ? Ses cheveux blonds, ses
yeux bruns, ses seins sensuels et son corps incroyablement fin, sculptural peuvent
faire rêver un artiste. Je l’ai assurée que son regard mystérieux dans le vague la
protègera d'un rapport dangereux auquel invite la féminité de robe noire. Elle m’a
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fait confiance et moi, Edouard Manet, je l’ai rendue immortelle…. (Ioana Danci,
Xe F)
l’odeur de joie, bonheur et perfection qui te fait penser au monde d’autrefois.
J’étais donc en vacances à Paris avec mes parents. C’étaient mes vacances rêvées
depuis longtemps. Le premier objectif touristique qu’on allait visiter c’était le
célèbre musée d’art, le Louvre. J’y suis entrée rapidement, accablée d’émotions, je
me sentais comme dans un autre monde. Chaque peinture que je regardais, émue,
me faisait penser à un autre temps, à celui des personnages de ces tableaux
précieux, à la beauté de l’image et à la perfection incontestablement visible des
figures et des paysages. Mais un seul chef d’œuvre m’a fait vraiment vivre fort le
passé. Ce fut la peinture de Pierre Paul Rubens « Paysage avec les ruines du mont
Palatin à Rome », réalisée entre 1608-1610, en style baroque. Ce tableau a ranimer
dans mon esprit le souvenir des histories de mon grand-père sur la fondation de
Rome et la légende du mont Palatin. Je me rappelle encore comme celui-ci me
disait que la ville de Rome a ses origines ici, sur le mont Palatin, à cet endroit où
Romulus et Remus ont été trouvés sous un figuier sauvage, au sommet de la
colline, par la louve qui a fini par les nourrir comme s’ils avaient été ses petits.
Plus tard, Romulus avait décidé de bâtir une citadelle, Rome, sur cette colline.
C’est ici qu’on a construit des temples qui ont été souvent incendiés et chaque fois
restaurés. C’est toujours sur cette colline que les riches avaient construit leurs
maisons en transformant l’endroit dans un espace où tout le monde n’avait plus
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accès. Au fur et à mesure que mon grand-père continuait à me donner plus de
détails sur tout cela, je me sentais encore plus proche de cette époque-là, de ce
temps-là. C’est comme si je faisais partie d’une de ces famille de jadis et je vivais
les événements les plus importants de cette époque-là. Vers la fin de l’histoire de
mon grand-père, je devais accepter la réalité. Et de toute cette grande histoire
humaine parlant de Romulus et Remus, de la louve, du mont Palatin et des
résidences nobiliaires, il n’y avait plus que les photos de ces vestiges qui pour les
uns ne signifient plus grande chose. Charmée par le tableau de Rubens, j’ai dû
renoncer à mon rêve et revenir à présent où j’avais, car mes parents m’appelaient
pour me proposer de visiter une autre section du musée. Je peux dire que la vue de
ce tableau m’a remplie de bonheur. Et ce n’est pas seulement grâce à la splendeur
de la peinture, c’est aussi parce que le souvenir de mon grand – père est-il encore
fort dans mon âme et il le sera toujours. Car c’est grâce à ses histoires incroyables
et son talent de conteur que j’ai commencé à aimer l’histoire de Rome. Je pense
étudier encore le passé de la ville éternelle et aller un jour les visiter. (Anca
Hălălae, Xe F)
Ayant l'un de ces jours de mélancolie, que tous avons dans notre vie, j'étais en manque d'inspiration,
d'idées, des plaisirs et je me suis réveillé tout à coup flâner dans les rues, en ignorant les passants,
chacun avec ses problèmes, dans les lieux qui me semblaient familiers, mais aussi étrangers et sans
vie. Et cela non pas parce qu'ils n'étaient pas peuplés de gens, mais je ne voyais pas mes amis qui
animaient la belle café « Guerbois » où nous avions notre lieu de rencontre, d'inspiration, de création,
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de ragots et de coquetterie particulière que nous exposions ensuite dans nos
peintures.
Je me suis rappelé les moments importants de ma vie, quand je peignais des
éventails, des persiennes, des porcelaines pour gagner de l’argent pour parfaire ma
culture artistique. Ce jour-là, je pensais à mes amis Claude Monet, Fréderik Bazille
et Alfred Sisley, à leurs nombreuses expositions dans le pays et à l'étranger, au
moment du constituer « Société d'artistes ». Le décès de mon ami Bazille m’avait
apporté une ombre de tristesse qui me faisait parfois réfléchir à la vie et à la mort.
Bien sûr, cette idée de la mort m’a réveillé à la réalité et tout à coup j'ai réalisé que
chaque personne, chaque chose signifie quelque chose pour quelqu’un, que l'amour
existe même lorsque vous perdez un être cher. Je regarde autour de moi et j’ai la
vision d'une peinture magnifique, pleine de vie, d'amour, d'espoir, de gens qui se
promènent à pied, des enfants qui courent autour des arbres imposants.
Les fiacres passaient lentement, les hommes et les dames de la haute société se
promenaient avec l’unique souci d’exposer leurs tenues élégantes et certaines
personnes faisaient un brin de causette au coin de la rue.
L'inspiration est celle qui m'a fait me hâter pour transposer cette belle image dans
une peinture. La toile m’attendait dans mon atelier où je vis et où je donne vie à
mes idées et à ma vision sur la beauté de ce monde. (Anamaria Daniela Dobre, Xe
F)
189
le rivage avec leur touche fine et délicate. L’eau fait ses propres compétitions de
vagues. Le silence qui règne dans cette ville, résonne au bord de la mer. Une ville
et une vue extraordinaire, inconnue à tout mortel. Aucun regard n’a pu toucher ce
territoire vaste. Mais le silence et l’atmosphère fantastique de cette ville, de cette
merveilleuse mer est un simple masque, une voile de soie noire qui cache une
chose importante et si pur que les anges déchus seraient surpris de la découvrir. Au
lever du soleil, Vénus se prépare à accomplir une prophétie. Chaque fois quand le
soleil a une lueur particulière et quand ses rayons portent sur leur lit d’or les
étoiles endormies, on sait que Vénus accomplit un devoir ancien, elle va se révéler
à un mortel. Cette fois-ci, la chance arrivera chez l’un des étudiants de l’atelier de
Jean Auguste Dominique Ingres. Quoique cette chance deviendra, peut-être plus
tard, un inoubliable malédiction. La déesse Vénus rend visible sa présence
exactement quand l’horloge sonne les 6 heures du matin. Elle atteint avec ses pieds
blancs et doux, le sable soyeux, embrassé par la mousse de la mer. Ses longs
cheveux blonds, dorés comme les rayons du soleil, touchent ses chevilles
minuscules. Ses cheveux sont son seul vêtement, une robe naturelle de la couleur
de l’épi de blé. Elle retient son souffle et fait un pas dans la chambre qui
commence à ressembler à une plage au sable fin. A ce moment-là, elle reconnait
celui qui doit l’aider à accomplir la prophétie. Il est grand, brun et la profondeur de
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ses regards verts fait clignoter la déesse. Le jeune homme est connu sous le nom
d’Amaury Duval. La déesse de la beauté et de l’amour s’approche de lui et lui
caresse le visage avec sa main divine. Une mèche de ses cheveux blonds glisse
doucement sur sa figure. Amaury la regarde pétrifié, sans avoir le courage de dire
un mot. La beauté de Vénus l’a aveuglé et lui fait tourner la tête. Ils s’assoient sur
le sable et la brise de la mer les enveloppent avec son parfum. Ils se regardent sans
cesse. Amaury oublie de respirer plusieurs fois. Les battements de son cœur
sonnent comme un écho dans le murmure des voix de la mer. Il sait qu’il ne pourra
pas garder cette femme pour toute une vie. Mais il veut garder ce moment-ci, le
moment où il peut la peindre comme s’il l’aimait.
Avant de quitter l’atelier-plage et de disparaitre dans les vagues de la mer, la
déesse Vénus que certains appellent Aphrodite, embrasse son admirateur charmé et
irrémédiablement amoureux. Reviendra-t-elle un jour pour une autre prophétie ?
(Mihaela Laura Dobra, Xe F)
ait commencé à Vienne, depuis quelques bonnes minutes. Mes sœurs sont arrivées
avant moi, comme toujours. Je suis entrée dans la grande salle polie en or, et j’ai
regardé directement à la table qui était au milieu de la chambre, aux chaises où se
tenaient fières mes deux sœurs, Euryale et Sthéno - les gorgones, à côté d’autres
êtres féminins de la périphérie mythologique: les harpies, le sphinx, les fées et des
191
divinités vivant dans le Royaume des ténèbres. J'ai cligné des yeux et je suis
entrée, je me suis assise sur une chaise, entre mes deux sœurs. A cause de mon
retard, toutes les têtes se sont se sont dirigées vers moi. Je leur ai jeté un regard
meurtrier et les discussions ont continué comme si personne et rien ne les avaient
jamais interrompues. La réunion fini, je suis restée encore dans la salle, j’avais
honte de partir en même temps que les autres étant donné que j’étais arrivée la
dernière. Je me suis levée et les plis de ma robe noire traînant sur le marbre
immaculé m’ont fait renverser violemment la chaise. J’étais sur le point de sortir
quand une voix suave et angélique m`a arrêtée. Cette voix-là a raccourci le silence
de la chambre en arrivant jusqu’à mes oreilles, a fait cesser le sifflement de mes
cher serpents. J’ai reconnu la voix de la harpie et je me suis retournée doucement.
La blancheur éblouissante de ses ailes m’a obligée de regarder tout de suite dans
une autre direction. Sur la table qui nous séparait il y avait un parchemin et un
sceau. J’étais sûre de l’avoir vu quelque part, mais je ne pouvais pas me rappeler
où exactement . J`étais très attentive au visage de la harpie. Elle s’est penchée en
avant, elle a pris le parchemin et elle l’a jeté vers moi. Je l’ai attrapé, je l’ai ouvert
et c’est à ce moment-là que mon pouvoir de transformer en pierre tout être
humaine qui me regardait a disparu. Comme si j’avais regardé un miroir et ma
force. J’ai jeté le parchemin et j’ai voulu sortir, mais les gardiens y sont arrivés
avant moi et m’ont empêchée de continuer mon chemin.
Une personne habillée d’une pèlerine noire et portant un capuchon a fait son
apparition d’une des portes latérales. On ne pouvait voir que ses yeux bleus,
étincelants. J’ai eu un mauvais pressentiment et pourtant, au lieu de réagir j’ai
attendu jusqu’à ce que l’étrange visiteur est arrivé devant moi et m’a poussée
violemment contre le mur. J’ai réussi à lui enlever le capuchon. C’était Persée, le
fils du Zeus. J’ai tout de suite deviné qu’il était venu pour se battre avec moi, pour
me tuer. Il savait que de toutes les Gorgone, j’étais la seule qui pût mourir. Je n’ai
plus eu que le temps de voir le sabre et de sentir la douleur foudroyante quand ma
tête a été coupée. Peter Paul Rubens, ce peintre talentueux a connu avant vous
cette triste histoire et il m’a rendu hommage dans ce tableau célèbre abrité
aujourd’hui entre les murs de Kunsthistorisches Museum de Vienne. (Cosmina
Crainic, Xe F)
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Le texte de Roxana Luca, « Moi et Georges Seurat», a reçu le 2e prix dans la
catégorie « Français Langue Etrangère » du concours « Des mots pour voir,
histoires de l’histoire de l’art ». Bravo, Roxana, nous sommes très fièrs de toi!
www.imageimaginaire.com/imageimaginaire/php_ii/html_texte.php
Profil du projet :
http://www.etwinning.net/en/pub/profile.cfm?f=2&l=en&n=68997
Twinspace du projet : http://new-twinspace.etwinning.net/web/p68997/
Dossier réalisé par Georgeta Bădău et Evelyne Paquet
(professeurs fondateurs du projet)