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Méthodologie et savoir-faire académique 2012 F. Rapanovici, N. Mainardi, L. Verheij, G. Fleury
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Les TIC, compétences à acquérir lors de son parcours scolaire.
Table des matières Introduction ........................................................................................................................... 2
Etat de la question ................................................................................................................. 4
Qu’est-ce que les TIC ? ..................................................................................................... 4
Quelle motivation à l’apparition des TIC dans le domaine du scolaire ? ............................. 4
Deux manières d’envisager les TIC au niveau scolaire : .................................................... 5
Etat de l’utilisation des TIC chez les jeunes ....................................................................... 5
Problématique ....................................................................................................................... 6
Question de départ ............................................................................................................ 6
Questions de recherche ..................................................................................................... 6
Hypothèses ........................................................................................................................ 7
Méthodologie ......................................................................................................................... 7
1) Questionnaire ............................................................................................................. 7
2) Test de compétences .................................................................................................. 7
Quel niveau d’intervention pour notre étude ? .................................................................... 8
Apport de la recherche .......................................................................................................... 8
Références bibliographiques ................................................................................................. 9
Annexe .................................................................................................................................10
Le test PCIE .....................................................................................................................10
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Introduction
Pour commencer et nous situer dans le domaine des TIC, nous allons dans un premier
temps nous référer à quelques chiffres. L’OCDE et ses études nous montrent qu’en Suisse :
Dans un premier temps, on peut aisément constater que la plupart des ménages ont accès à
un matériel de base en matière de TIC. Plus de 90% des ménages possèdent un téléviseur
et plus de 80% des ménages possèdent un ordinateur. Il faut remarquer aussi qu’avec
6,64% du PIB consacré aux dépenses TIC, la Suisse se classe au troisième rang des pays
de l’OCDE derrière le Japon et la Suède. On peut donc tirer la conclusion que les TIC
représentent un domaine d’activité important pour la Suisse.
Nous avons d’ores et déjà quelques certitudes sur l’utilisation des TIC et dans quels
domaines ces utilisations sont faites. La plupart de l’utilisation de matériel des écoliers est
faite dans un premier temps à domicile (90% des élèves utilisent plusieurs fois l’ordinateur
en une semaine) et dans un second temps à l’école (contre 40% à l’école).
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Il est aussi remarquable que de nombreuses études s’intéressent actuellement au sujet des
TIC. Je cite S. Heer et A. Akkari (2006, p.39) :
« Nous vivons actuellement une époque de rapide changements technologiques. Les
TIC font désormais partie intégrante de notre société, dans un contexte tant
professionnel que privé. Le développement rapide des TIC nous oblige donc à former
aussi bien les enseignants que les élèves à ces nouvelles compétences. Or, il
apparaît que l’adaptation aux usages des TIC en classe est trop lente. »
On cherche de plus en plus à quantifier ces compétences sous formes de grands tests
internationaux comme ceux de la PCIE (=ECDL). Cela nous permet d’affirmer l’importance
croissante de l’utilisation des TIC autant dans notre monde économique que dans le
domaine de la formation.
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Etat de la question
Qu’est-ce que les TIC ?
L’encyclopédie de la francophonie définit les TIC de la façon suivante :
« Ce qu’on désigne sous le nom de technologies d’information et de communication
va de l’écriture au téléphone analogique en passant par l’imprimerie et la télévision.
L’avènement des technologies numériques, qui permettent de transmettre ou de
reproduire un document sans perte d’information, a transformé le monde de la
communication. C’est à ces technologies, parfois nommées NTIC (nouvelles
technologies de l’information et de la communication) et surtout au monde ouvert par
le réseau Internet, que l'expression « fracture numérique » fait référence. Le
panorama suivant des TIC dans le monde (section enjeux) est destiné à illustrer le
contexte de la fracture numérique Nord-Sud. »
On peut donc dire que dans notre travail, c’est bien l’apport nouveau que représente les TIC
dans le domaine du scolaire qui nous intéresse. Nous relevons cet aspect grâce à E.
Vandeput (2003) :
« L’augmentation générale de l’usage des technologies de l’information et
communication pousse les enseignants à exploiter leurs savoir-faire propres et celui
des étudiants dans des scénarios pédagogiques qui les incluent. ».
Quelle motivation à l’apparition des TIC dans le domaine du scolaire ?
a) Démystifier la technologie
Comprendre et utiliser les nouvelles technologies.
b) Compétences importantes sur le marché du travail
Demandes des entreprises de compétences minimums, et cela en corrélation avec
l’apparition de grand tests de compétences internationaux (PCIE).
c) Contribution pédagogique
Les TIC apparaissent comme outils pédagogiques, compétences à acquérir pour réussir sa
scolarité (compétence transversale).
d) Accès libre à l’information et interaction globale
Avec l’apparition d’internet, apparition d’un lien interculturel constamment disponible.
Attention, actuellement certaines organisations gouvernementales essaient de limiter la
plateforme d’échange sur internet par des lois. La loi « Acta » est proposé et engendrerait
une limitation des partages culturels sur internet.
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Selon O. Debande E. Kazamaki Ottersten (2004, p. 40), l’introduction des TIC dans le
domaine de l’éducation correspond à quatre motivations. La première étant de démystifier la
technologie aux yeux des élèves autant dans un but de reconnaissance que dans un but de
compétences. La deuxième étant économique, les TIC représente une compétence à
acquérir en vue des futures places de travail exigeant certaines connaissances dans ce
domaine. La troisième étant que la technologie apporte une contribution au niveau
pédagogique (en termes de processus d’apprentissage). Et la quatrième permet une
redéfinition des rapports de pouvoir entre enseignants et apprenants.
Deux manières d’envisager les TIC au niveau scolaire :
1) Comme une branche à part entière.
2) Comme des capacités transversales à acquérir.
Selon S. Heer et A. Akkari (2006, p. 39-40) :
« […] cette intégration en classe se situe entre deux approches institutionnelles. La
première consiste à dire que les TIC peuvent être vus comme une discipline scolaire
à part entière avec des compétences spécifique en TIC qu’il faut maîtriser à la sortie
de l’école. La seconde conception affirme que les TIC sont des outils transversaux
qui devraient être intégrés dans toutes les disciplines scolaires et font partie
intégrante de tout enseignement. ».
On peut s’imaginer que les compétences TIC sont situationnelles et que la vie de tous les
jours en incite un apprentissage transversal, de plus en plus les factures se paient sur
internet, de plus en plus on fait des virements bancaires par iban sur internet. E. Vandeput
dit, (2003) :
« Un professeur de français par exemple, qui imagine une séquence de cours
supposant l’usage d’un logiciel de traitement de texte et la collecte d’information sur
internet doit pouvoir s’assurer que les pratiques à mettre en œuvre ne constituent pas
des obstacles imprévus au déroulement de cette séquence. Le problème se pose
ailleurs qu’à l’école, dans les entreprises ou pour le citoyen de la vie de tous les
jours. »
Etat de l’utilisation des TIC chez les jeunes
E. Vandeput, (2003) :
« En septembre 2003, pour une nouvelle génération d’étudiants, nous décidons de réaliser
un questionnaire traitant des compétences TICE que nous intitulons diplomatiquement :
« Quel genre d’utilisateur(trice) êtes-vous ? ». ».
On remarque que de tels questionnaire remettent souvent en cause l’utilisation que les
jeunes font d’internet et que cela nécessiterait parfois une formation complémentaire afin de
faire reculer les limites auxquels les jeunes sont confrontés. On peut alors penser que les
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compétences des jeunes restent limité, et qu’il est du rôle de l’école d’offrir des formations
rapides supplémentaires afin de développer de nouvelles compétences.
Problématique
Question de départ
A l'école, les TIC sont également envisagées comme de compétences transversales à
acquérir. C'est- à-dire qu'elles sont requises à d'autres fins et qu'elles sont donc sollicitées
par exemple pour la réalisation d'un exposé (présentation), pour la réalisation d'un travail
(traitement de texte) ou autres. Ces compétences non-évaluées ne sont donc pas
enseignées directement, mais sont mobilisées et par conséquent améliorées lors de travaux.
Elles seront par la suite potentiellement requises lors de la recherche et probablement pour
l'obtention d'un poste de travail. Nous donnons donc pour objectif aux écoles de faire en
sorte que le degré d'habileté en matière de TIC ne puisse plus être un facteur de
discrimination lors de l'entrée dans le monde du travail en faisant en sorte de mettre dans la
mesure du possible à niveau les élèves en ce qui concerne leurs capacités dans ce domaine
(à capacités égales, chances égales).
Questions de recherche
La question qui est posée est : le matériel fourni dans les écoles est-il suffisant pour que les
progrès soient égaux chez ceux qui ont beaucoup, peu ou pas de matériel au domicile ?
Donc est-ce que l'input financier mis en jeu par les écoles au niveau informatique ainsi que la
fréquence et la durée d'accès sont suffisants pour que les élèves disposant de beaucoup,
peu ou pas de matériel au domicile aient les mêmes chances de pouvoir exploiter ces
possibilités ? Tout en rappelant que « les comportements individuels ne peuvent s'inscrire
dans des comportements et une culture de classe, donc dans un habitus homogène et
unique. » (Peraya, 2010 : 644) ou, autrement dit : « la diffusion massive d'objets techniques
n'implique nullement une appropriation identique dans les différents milieux sociaux »
(Peraya, 2010 : 654)
Tout cela finalement dans la perspective d'avoir le moins d'écarts de compétences possible
entre les anciens élèves lors de la fin de la scolarité de niveau secondaire II afin de d'obtenir
une égalité des chances lors de la recherche amenant à un poste de travail.
Est-ce que le matériel TIC mis à disposition dans les établissements contribue efficacement
au développement de compétences TIC ?
Est-ce que le matériel TIC mis à disposition dans les établissements scolaires permet de
combler l’absence ou le manque de matériel TIC personnel et donc atteint un objectif d’égalité
de capacités ?
Est-ce que les élèves ayant peu de matériel TIC à la maison sont défavorisés en terme
d’amélioration des compétences TIC durant l’école secondaire II.
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Hypothèses La mise à disposition de matériel TIC dans les écoles du secondaire II permet une égalité
globale d'amélioration des compétences TIC entre les élèves disposant de beaucoup, peu ou
pas de matériel au domicile.
Méthodologie Nous allons procéder de deux manières :
1) Questionnaire : Le questionnaire vise à savoir quel est le matériel personnel dont
dispose l’élève et quel usage en fait-il (ex. combien de fois utilise-t-il son ordinateur
par semaine, quels programmes il utilise sur son ordinateur,…).
2) Test de compétences : Il vise à établir les compétences de chaque individu
participant à la recherche.
Comment fixer les compétences à évaluer ? Selon la recherche de M.
Dahmani et L. Ragni, (2009). Et aussi sur les compétences requises par le
test du PCIE (Le standard international de mesure et de validation des
compétences de base en informatique), nous allons fixer les compétences à
évaluer.
Selon la recherche de M. Dahmani et L. Ragni, (2009) :
« Afin d’estimer le niveau de compétence en TIC des étudiants, nous avons utilisé et
construit une échelle d’évaluation allant de 0 à 5 et caractérisant leur degrés d’habilité
pour les outils suivants : 1) un logiciel de traitement de texte, 2) un logiciel de
présentation, 3) un tableur, 4) un logiciel de création de page web, 5) un logiciel de
courrier électronique, 6) une navigation Internet, 7) un moteur de recherche, 8) des
chats et/ou des forums, 9) un environnement WebCT et 10) leur capacité à installer
des périphériques informatiques. », (p. 96).
Et nous avons redéfini ces dix compétences en nous basant sur le PCIE (Le standard
international de mesure et de validation des compétences de base en informatique) comme
suit : Les compétences suivantes seront évaluées comme entités indépendantes : 1) Logiciel
de traitement de texte, 2) logiciel de présentation, 3) tableur, 4) logiciel de courrier
électronique, 5) une navigation internet, 6) un moteur de recherche, 7) gestion des
documents, 8) capacité à installer des périphériques informatiques.
Il est important de spécifier que nous prenons en compte les limites des tests et les mises en
garde selon E. Vandeput. Notre test de compétence doit être accessible à tous, et ne pas
discriminer certains participants.
Les relations entre ces deux méthodes s’expliquent : mise en relation entre l’accès à un
matériel TIC (de l’individu) et l’évolution des compétences TIC.
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Quel niveau d’intervention pour notre étude ?
Nous allons agir dans un cycle gymnasial jurassien (lycée cantonal jurassien). Cette école a
actuellement fait de nombreux investissements en matériel TIC. Nous allons donc désigner
une année scolaire (par exemple 2012/13) et la suivre durant son cursus de 3 ans. A la
rentrée, nous allons distribuer les questionnaires (afin de faire le point sur le matériel qu’ils
ont à disposition à domicile et l’utilisation qu’ils en font), et ils passeront aussi le test de
compétence définit ci-dessus. Nous répèteront l’expérience en fin de parcours (fin de la
scolarité du lycée), après les 3 ans d’école. Cela va alors nous permettre de mettre en
évidence l’évolution des compétences TIC de ces élèves.
Si les résultats sont concluants, nous espérons pouvoir réaliser notre projet sur d’autres sites
dans les différents cantons.
Apport de la recherche Notre recherche aidera les institutions à connaître l'importance de la mise à disposition de
matériel TIC dans les écoles afin de mieux équilibrer les élèves disposant de beaucoup, peu
ou pas de matériel de ce genre au domicile. En connaissant mieux la situation avec ses
effets bénéfiques ou non, cela permettra à l'établissement de mieux gérer ses
investissements afin d'avoir un bon équilibre entre égalité des compétences et argent mis en
jeu.
Et comme il a déjà été dit : « le parcours biographique constitue un élément central dans
l'exclusion ou la non exclusion des individus, contribuant donc à rendre définitivement
caduque toute velléité de réduction des inégalités numériques par la seule généralisation de
l'accès aux technologies. » (Peraya, 2010 : 654) Nous cherchons donc à démontrer la
véracité de cette affirmation afin d'éviter les dépenses excessives qui font évidemment partie
du processus d'équipement massif en matériel TIC.
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Références bibliographiques Albero, B. « Technologies et formation : travaux, interrogations, pistes de réflexion dans un champ de recherche éclaté », Savoirs, 2004/2 n° 5, p. 9-69. DOI : 10.3917/savo.005.0009
Ben Youssef, A. et Rallet, A. « Présentation », Réseaux, 2009/3 n° 155, p. 9-20. DOI : 10.3917/res.155.0009
Castillo-Merino D. al., « Usage des technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement supérieur » Une analyse des performances des étudiants en e-learning dans la région catalane, Réseaux, 2009/3 n° 155, p. 55-80. DOI : 10.3917/res.155.0055
Dahmani, M. & Ragni, L. « L’impact des technologies de l’information et de la communication sur les performances des étudiants », Réseaux, 2009/3 n° 155, p. 81-110. DOI : 10.3917/res.155.0081
Debande, O. et Kazamaki Ottersten, E. « Technologies de l'information et de la communication : un outil performant qui ouvre des perspectives à l'apprentissage », Politiques et gestion de l'enseignement supérieur, 2004/2 no 16, p. 37-69.
Granjon Fabien, Lelong Benoit et Jean-Luc Metzger (ed.), « Inégalités numériques. Clivages sociaux et modes d'appropriation des TIC », Hermès Lavoisier, Paris, 2009
Heer, S. et Akkari, A. « Intégration des TIC par les enseignants : premiers résultats d’une enquête suisse », Revue internationale des technologies en pédagogie universitaire, 2006/3(3).
Marquet, P. « Lorsque le développement des TIC et l'évolution des théories de l'apprentissage se croisent », Savoirs, 2005/3 n° 9, p. 105-121. DOI : 10.3917/savo.009.0105
OFS. (2012). Société de l’information – indicateur. Repéré à http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/16/04/key/approche_globale.html
Peraya Daniel, « De la diversification des usages sociaux des TIC considérée comme effet et cause d'inégalités sociales », Distances et savoirs, 2010/4 Vol.8, p. 643-654
Raulin, D. et al., « Impact d'Internet et des TIC sur la mise en oeuvre des politiques éducatives » Programmes, gouvernances, innovation, réseaux...regards croisés, Distances et savoirs, 2005/3 Vol. 3, p. 403-416.
Vandeput, E. (2003). Evaluation des compétences en TIC [pdf]. Repéré à http://www.det.fundp.ac.be/cefis/publications/etienne/didapro.pdf
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Annexe
Le Test PCIE
Finalement, qu’est-ce que le test PCIE ? Le projet de l'ECDL a des intentions claires de certification.
Ce certificat devrait constituer la preuve que les objectifs sont atteints. Quant aux objectifs généraux,
ils ne sont pas très clairement annoncés: "Le Passeport de Compétences Informatique Européen
(PCIE) … s'adresse à toute personne qui souhaite ou doit valider ses aptitudes à créer, organiser, et
communiquer des documents et des informations. Avec un PCIE :
Dans l'enseignement ou la formation, le futur utilisateur des technologies de l'information
apporte la preuve de ses compétences de base.
Dans l'entreprise, le collaborateur possède un niveau de maîtrise suffisant de son poste de
travail pour être autonome et productif."
Le PCIE évalue les connaissances de base nécessaires à toute personne travaillant sur PC. Il teste
les bonnes pratiques et les bons réflexes. L'efficacité et la satisfaction personnelle augmentent, et
avec elles celles de l'entreprise
Chacun des tests d'évaluation proposés conditionne la matière sur laquelle porte cette évaluation en
plusieurs modules. Cette répartition en modules mérite quelques comparaisons.
En général, les premiers modules s'intéressent à des généralités et les suivants se focalisent sur des
catégories de logiciels.
ECDL – PCIE
Sept modules sont proposés:
1. Bases de l'informatique
2. Utilisation de l'ordinateur et gestion des fichiers
3. Traitement de texte
4. Tableur
5. Base de données
6. Présentation
7. Information et communication
Pour un centre de formation, le PCIE Start constitue un objectif facile à promouvoir auprèsdes
stagiaires y compris si ceux-ci ne viennent que pour une formation ciblée… Pour l'entreprise, le PCIE
Start est un objectif raisonnable, voire le meilleur objectif, dans un plan Compétences ou Formation. Il
va motiver les collaborateurs d'une façon extraordinaire (des milliers d'expériences en Europe en font
foi) et leur donner un objectif concret de compétences en bureautique à atteindre.