Post on 22-Oct-2015
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Dernière Soirée
Assis sagement, tous les deux devant la télé, ma petite Anissa, la tête reposant sur ma poitrine, ses
petits bras, l’un replié sous le côté de son visage et l’autre sur mon ventre. Nous étions enlacés
comme deux amoureux. Ce que nous étions en réalité. Elle était en petite chemise de nuit décorée
par des petits nounours et moi en caleçon, comme simple vêtement.
J’aimais ma fille Anissa plus que tout au monde et elle me rendait la pareille en adorant son papa
comme son Dieu. Elle avait déjà huit ans (Mon Dieu que le temps passe vite), et je savourais ce
premier dimanche de novembre, seul avec ma petite puce d’amour.
C’était aussi le dernier jour de ma garde, demain elle retournerait pour deux longs mois chez sa mère,
et je n’aurais plus que le téléphone et Internet pour voir ou entendre ma fille chérie pendant tout ce
temps.
Bien sûr, après ses deux mois, elle me reviendrait, pour une semaine complète, encore plus
amoureuse de moi, tout comme moi, toujours plus amoureux d’elle. C’était ma fille, ma femme, ma
maitresse, mon amour infini ! Oui ma petite princesse Anissa était tous cela.
Le film se termina, et la respiration régulière d’Anissa me fendait le cœur de devoir la réveiller pour
aller dormir.
Ma main tenant sa fesse, et glissant de sa cuisse à son mollet par effleurements délicats, avait pour
conséquence d’engendrer un calme apaisant à ma puce. Je lui caressais ses longs cheveux, et elle
remua imperceptiblement. Sa main sur mon ventre glissa sur la bosse de mon sexe, à demi-raide
encore dans mon slip. La petite main se crispa sur la bosse ce qui entraîna une érection irréversible.
Je me redressai et, toujours en caressant ses longs cheveux, lui dit :
– Ma petite poupée d’amour !.... Ma puce adoré !... Il est temps d’aller au lit, ma princesse !
– Déjà ? Dit-elle en resserrant encore la pression sur mon pénis.
– Oui, mon amour demain, il y a école !
– Dis, Papounet d’amour, je peux dormir dans ton lit ?
– Hum ! Princesse, tu sais que je ne peux rien te refuser ! Mais... Tu crois que c’est raisonnable ?
– Papouneeeeet ! C’est le dernier soir ! S’écria-t-elle comme offusquée de ma réticence !
– Oui ! Ma puce tu as raison ! Suis-je bête ! Dis-je en souriant et renforçant mon érection toujours
tenue par cette petite main douce et fragile.
Je pris Anissa dans les bras pour la porter vers la chambre. En passant devant la porte des toilettes, je
regardai ma puce d’un air interrogateur. Par un sourire malicieux me fit comprendre que cela n’était
pas encore utile d’y aller.
Je compris le message cinq sur cinq. Je déposai ma puce sur le lit, et elle regarda mon slip faire une
tente de camping due à mon érection infernale.
– Hihihi ! On dirait qu’il veut sortir... Ton zizi, Papounet ! Je parie qu’il veut me dire bonjour !
– Surement ma chérie, surement.
Anissa s’allongea sur le dos, les jambes légèrement écartées, et mis ses deux mains au-dessus de sa
tête, comme si elle m’offrait son corps.
Je me baissai et lui donna des milliers de bisous sur son visage, en commençant par, son front, ses
yeux, son mignon petit nez, ses lèvres déjà entre-ouvertes, et recommençai une dizaine de fois.
Anissa sorti sa petite langue qui dépassa de ses lèvres, au moment où j’arrivais pour la dixième fois y
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déposer un doux baiser. Je profitai de ce bout de langue humide pour non seulement y déposer mes
lèvres, mais aussi un peu l’aspirer, le sucer et même la mordiller. Cela me fit saliver abondamment, et
ma petite puce d’amour s’employa à avaler cette salive paternelle.
Je compris que cette nuit sera une nuit inoubliable. Ma petite fleur étant visiblement très excitée, et
ses phéromones me pénétraient jusque dans la moelle des os.
– Tu es belle ! Mon amour ! Ta peau est délicieusement douce et ta langue me rend
complètement fou de toi !
– Je t’aime, mon Papounet ! Fais-moi d’énormes câlins ce soir ! S’il te plait !
– Oh ! Mon amour....
Je pris le bas de sa chemise de nuit, et en reprenant notre baiser, cette fois lèvres contre lèvres, ma
langue dans sa bouche, je remontai lentement sa chemise de nuit. Sans arrêter une seconde notre
baiser, Anissa souleva son petit derrière pour laisser passer sa chemise de nuit.
Lorsque j’arrivai à hauteur de sa poitrine, nos bouches se séparèrent, et je pu passer les épaules avec
le tissu. Il me vint alors une idée farfelue, lorsque mon Anissa leva ses bras vers la tête du lit et que le
tissu recouvrit son visage et une partie de ses bras, je décidai de ne pas retirer la chemise de nuit et
de la laisser ainsi recouvrir son visage et emprisonner ses bras. Je lâchai le tissu et attaqua de mes
lèvres sa poitrine dénudée et offerte.
Anissa joua parfaitement le jeu en restant les bras et le visage prisonniers de sa chemise de nuit.
Lorsque, ma bouche suça et mordilla un de ses tout petits tétons, un soupir très profond et long sorti
de la chemise de nuit retournée.
Je m’attaquai aussitôt à l’autre téton, tout aussi petit et dur, cela fut suivit par un faible :
– Oh ! Ouiiii ! Papa !
Alors, pris de frénésie sexuelle, je portai un doigt vers sa bouche recouverte par le tissu et chercha à
m’y enfoncer. Anissa sentit parfaitement mes intentions et ouvrit la bouche, me laissant la pénétrer
tant avec le tissu que par mon doigt. Anissa referma sa bouche autour de mon doigt, recouvert du
tissu de sa chemise de nuit et mit sa bouche en forme de rond, me permettant de faire un léger va-
et-vient sans que le tissu de sa chemise de nuit ne ressorte avec mon doigt.
Ma bouche sur ses tétons continuait son œuvre de destruction du restant de lucidité de ma princesse,
et lorsqu’un doigt de mon autre main toucha sa vulve, elle me mordit le doigt dans sa bouche. Pour
la punir de cette morsure, je pinçai et titillai son petit bouton d’amour.
La punition du lui semblai agréable, car elle me mordit encore plus fort et soupira en même temps. Je
décidai de la punir encore plus fort, et descendis ma bouche jusqu’à sa vulve toute gonflée de désir.
Le contacte de ma langue avec son petit bouton bien dur eu un effet immédiat. Elle relâcha la
pression de ses dents sur mon doigt, le recracha avec le tissu et s’écria :
– Ho ! Ouiiii ! Papa ! Plus fort ! Plus....S’écria-t-elle en soulevant sa tête.
Un flot de cyprine et d’urine m’éclaboussa le bas du visage, et ma bouche se scella à la source de ces
liquides jaillissant. J’eu énormément de mal à tout avaler, car son bassin s’agitait comme une anguille
sur une planche à découper.
Anissa se calma un instant et relevant la tête, je vis qu’elle s’était recouchée et tenait de ses deux
mains les barreaux à la tête de mon lit. Je pouvais voir le tissu de sa chemise de nuit se soulever de
plusieurs centimètres à hauteur de sa bouche lorsqu’elle expirait bruyamment sous l’orgasme qu’elle
venait d’avoir.
Tout en maintenant une caresse, ou plutôt un effleurement, de son bouton d’amour, je voulu retirer
la chemise de nuit de son visage et de ses bras.
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Au moment où d’une main, je caressais le clitoris de mon adorable petite puce, et que l’autre main
s’infiltrait sous le col de la chemise de nuit et tirait pour dégager la tête, qu’un cri me retint figé.
– NOOOOON ! Laisse Papounet d’amour, Laisse-moi comme ça !
– Mais... Ma puce....
– S’il te plait !....
Mon Anissa d’amour voulait sans doute me prouver la soumission de son corps à mes turpitudes. Je
l’admirai encore plus, si c’était encore possible tant j’aimais ce corps, et l’esprit qui l’y habitait.
– Mon amour, ma chérie....
C’était tout ce qui me vint à l’idée, tellement ému par cette soumission. Alors, je redescendis vers
son entre-jambe, me plaçai dans le prolongement de son corps et lui soulevai les jambes vers sa tête,
toujours sous sa chemise de nuit.
Dans cette position, elle m’offrait tout son entre-jambe suintant encore de son dernier orgasme. Je
voyais sa petite pastille toute fripée, se contracter et se relâcher par moments. Ma langue fut attirée
comme un aimant sur du fer, et je titillai son anus du bout de ma langue.
– Papouneeeeeet !
Je savais par-dessus tout que mon petit trésor aimait cette caresse anale plus que toute autre au
monde. Je la vit prendre l’arrière de ses genoux avec ses mains et tirer vers elle ses jambes repliées,
m’offrant encore plus son anus à ma langue.
Devant mes yeux, sa vulve palpitait d’excitation, un son modulé sortait de la bouche de mon amour
au rythme de mes léchouilles. Ma langue pénétra son anus, et je sentis à quelques centimètres vers
l’intérieur, une masse dure. Une crotte prête à sortir. Ma salive aidant et lubrifiant le conduit, je senti
brusquement l’anus de mon amour se resserrer avec force. Emprisonnant ma langue et faisant
s’éloigner vers l’intérieur et de ma langue, sa crotte prête à sortir.
– Papa !... Papa, je dois faire caca !... Arrête !
– Va mon amour, va faire ton besoin, je t’attends ! Lui dis-je en me retirant de son entre-jambe.
Ma puce se leva, mais au lieu de laisser retomber sa chemise de nuit sur son corps, elle l’ôta, dans un
geste, digne d’un grand cabaret de strip-tease. Elle me regarda avec un air égrillard, comme savent le
faire toutes les petites filles amoureuse de leur papa, et sorti de la chambre sans me lâcher du regard.
Je savais ce qui m’attendait à son retour. Depuis que nous faisions l’amour tous les deux, elle avait
découvert mon secret le plus profond. Lui lécher son anus après qu’elle eut été à selle. Ma langue
servir de papier toilette l’amusait fortement, et avec le regard qu’elle venait de ma lancer, je savais
ce qu’elle allait faire. Mon érection me fit tellement mal que j’ôtai mon slip et attendit ma puce à
demi-couché sur le lit, me masturbant lentement.
Sept minutes plus tard, je revis mon amoureuse reprendre sa position sur le lit, mais complètement
nue cette fois.
Pas un mot, pas une parole, même pas un soupir ne fusa dans la pièce. Dès que ma petite puce
d’amour reprit sa position initiale, je replongeai entre ses jambes et commençai mon nettoyage de
son anus barbouillé.
Je me fis la remarque que son anus sentait très peu, signe d’excellente santé d’un point de vue
digestif. Malheureusement pour moi, peu de résidu de ses selles à me donner. Ce qui renforça les
pénétrations de ma langue dans son anus. Mes mains ne restèrent pas immobiles et s’attaquèrent à
ses tétons et à son clitoris. Mes caresses buccales durèrent plus de vingt minutes, avant qu’un début
d’orgasme donna de légers spasmes à ma petite Anissa d’amour.
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Alors, je profitai que son adrénaline soit près du maximum, que son anus soit bien dilaté par ses
selles et mes caresses buccales, pour me redresser au-dessus d’elle. Je positionnai mon sexe, prêt à
exploser, sur sa pastille humide et m’enfonçai lentement très lentement en elle par étapes.
Ce n’est que lorsque mon gland disparu dans son anus, que je continuai légèrement plus vite à
m’enfoncer en elle. Malgré les petites grimaces qui apparurent sur son visage, mon Anissa d’amour
essayait de me sourire et de m’encourager.
Enfin mon pubis toucha sa vulve, et je ne bougeai plus pendant certainement deux minutes, mon
sexe bien au fond de son petit cul serré. C’est mon amour de petite puce qui donna le signal de la
chevauchée sauvage, en nouant ses petits pieds dans mon dos et en donnant de forts coups de
bassin.
– Hoooooo ! Oui ! Mon amour ! Ma puce ! Criais-je déjà au bord de l’éjaculation.
– Mon Pa...pou...net ! En...cule-... moi.... Hacha-t-elle sous mes coups de butoir.
Moins d’une minute plus tard, un dévastateur orgasme me transperça et je lui remplis les intestins
de mes nombreuses éjaculations.
Ma chérie me suivit de près en sentant, sans doute, les jets de sperme contre ses parois intestinales.
Ce fut dans un cri commun que je me suis écoulé sur ma princesse, qui essaya aussitôt de me
repousser.
Sous ses cris, je me redressai en me soutenant de mas bras, et comble de tout, ma petite princesse
me tint toujours la taille de ses jambes, son corps formant un arc de cercle, qu’elle renforça en
poussant son ventre vers le haut.
L’image devait être d’un érotisme maximum. Je regrettai de ne pas avoir un grand miroir dans la
chambre pour voir ça.
Ma petite puce scellée à moi par son petit derrière, sa tête renversée en arrière sur le lit, ses bras
sous elle, ses main me touchant les genoux, son corps formant un parfait arc de cercle. Mes poils
pubiens se trouvant sur la vulve de ma puce, laissant croire à un mélange de poils entre elle et moi,
alors qu’elle était complètement glabre.
De voir la scène, et surtout de l’imaginer, m’empêcha de débander, et c’est un sexe bien dur qui était
enfoui au plus profond des entrailles de ma puce d’amour âgée de huit ans.
– Ho ! Papounet ! Je t’aiiiiiiiiime !
– Moi... Moi aussi mon bébé ! Moi aussi !
Je ne voulais pas ressortir de son anus, alors la prenant par la taille et tirant son corps vers moi, je
m’assis lentement sur mes talons. Anissa conserva sa position, et même tira sur ses jambes dans mon
dos.
J’avais maintenant le loisir de caresser, de triturer, de lécher toute sa poitrine et le haut de son
ventre. Je n’eu le temps de rien faire de tous cela, car mon petit trésor, d’un fabuleux coup de rein,
se redressa et entoura mon cou de ses bras.
L’effort qu’elle fit pour se redresser se ressenti sur mon sexe, car elle contracta au maximum son
anus dans cet effort.
– Oh ! Mon Dieu ! Tu vas me refaire jouir ! M’écriais-je lorsque je sentis mon sexe essoré par la
pression.
Sa poitrine contre mon ventre, sa tête entre mes seins, jouant avec son nez dans ma toison de
poitrine, je sentis une incroyable chose que jamais je n’avais ressenti avec aucune femme, aucune
petite fille, l’anus de ma chérie se contractait et se relâchait autour de mon sexe, comme si elle me
masturbait avec son sphincter.
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J’en ouvris la bouche d’émotion et de stupéfaction. La montée de mon adrénaline se fit à une vitesse
vertigineuse, et quelques dizaines de secondes suffirent à me faire éjaculer une deuxième fois dans
ses intestins.
Alors je fus pris de folie et fit monter et descendre le petit corps de ma puce sur mon sexe,
dégorgeant une deuxième ration de sperme.
Cette fois, ma puce m’avait complètement essoré les testicules. Après de longues minutes où son
anus continua ses contractions, je me séparai d’elle délicatement, la recouchai sur le dos, pris ses
chevilles, les soulevai au ciel et entrepris de nettoyer l’anus de ma princesse.
Je profitai de son abandon total à mes caresses pour lui donner un troisième orgasme. Nous nous
sommes endormis dans les bras l’un de l’autre, sous la fatigue sexuelle de nos ébats.
Le lendemain en nous réveillant, je regardai son petit corps qui semblait hésiter entre devenir une
femme ou rester une petite fille. Je savais aussi que je ne la reverrai pas avant deux mois. Tels étaient
les termes du contrat de garde d’Anissa, entre sa mère et moi.
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