Post on 03-Apr-2015
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(1632-1675)
Johannes VERMEERvécut si modestement que son œuvre géniale resta
longtemps dans l’ombre. Cette modestie
transparaît sous son immense maestria.
La ruelle (1657-61)
Vue de Delft (1660-61)
D’une manière subtile le pinceau dégrade la
lumière jusqu’à envelopper les
personnages dans une atmosphère presque palpable, capturant l’instant comme s’il
s’agissait d’une photo.
L’officier et la jeune fille riant (1657)
La lenteur
du travail de
Vermeer en
explique la finesse
La Maîtresse et la servante (1666-67)
La « mise en scène » est souvent la
même : mur du fond lumineux,
fenêtre à gauche
Une dame debout au virginal (1670-73)
La Laitière (1660)
Le verre de vin (1658-61)
La peinture de Vermeer est un
instantané photographique
La dame au collier de perles (1662-65)
Avec cette intimité, cette lumière qui lui
est si particulière
Une dame écrivant une lettre à sa servante
(1670-71)
La femme à la balance
(1662-65)
Vermeer, tel un
paparazzi,
L’Art de la peinture
(1665-66)
Vermeer, tel un
paparazzi, semble
surprendre
Femme en bleu lisant une lettre
(1662-65)
Vermeer, tel un
paparazzi, semble
surprendre
les personnages
La lettre d’amour
(1669-70)
Vermeer, tel un
paparazzi, semble
surprendre les
personnagesdans leur intimité
Le Concert (1664-67)
La leçon de musique
interrompue (1658-61)
Une femme jouant de la
guitare(1669-72)
Des perspectives parfaites (avec la
camera obscura ?)
Une dame assise au virginal
(1670-75)
Le Christ dans la maison de
Marthe et Marie (1654-56)
Quelques scènes
religieuses à ses
débuts
Toujours cette omniprésente
lumière
Le géographe (1669)
La jeune fille à la perle
(1665-67)
La fille au chapeau rouge
(1665-66)
Merveilleuxsouci du
détail
La leçon de musique
(1662-64)
La dentelière (1669-70)
La jeune femme à l’aiguière(1662-65)
Un cadrage de cinéma !
La jeune fille assoupie(1656-57)
CB