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La revue de Presse KYLIA 1

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 20 au 26 mars 2017

La vente de sandwichs ne cesse de croître

Le 03/03/2017

A l'occasion du salon Sandwich & Snack Show, les 15 et 16 mars prochains, Bernard Boutboul,

directeur général de Gira Conseil, fait le point sur le marché du sandwich et un tour d'horizon de celui

de la vente au comptoir (VAC).

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2,35 milliards de sandwichs ont été consommés en France en 2016, en croissance de 3,98% en un

an. Cela représente un chiffre d'affaires de 8,25 milliards d'euros, soit un CA multiplié par 3 en 15 ans.

Si la consommation augmente, le prix de vente aussi : + 2,03% par rapport à 2015 pour un prix moyen

à 3,51 euros le sandwich en 2016. Et le jambon beurre (+ 2,97% pour un prix moyen à 2,93 euros) est

toujours leader avec 51% des ventes, malgré un petit effritement des ventes (- 2,92%). Par point de

vente, ce sont les supérettes, le canal le plus économique, où la hausse du prix est la plus forte sur un

an (+ 21,1%). La hausse se confirme aussi dans les boulangeries indépendantes, en GMS et dans les

cafés, bars, brasseries (+ 1,5% à 3,34 euros le sandwich en moyenne). Géographiquement, Paris

reste la ville où le jambon-beurre est le plus cher (3,48 euros en moyenne) avec Montbéliard et Dijon.

Rennes avec 2,43 euros et Lille avec 2,52 euros figurent parmi les villes les moins chères.

« La folie du burger se poursuit », dit Bernard Boutboul. 1,34 milliards de burgers consommés en

2016 (+ 12,16% en un an). 871 millions de burgers sont vendus en service à table (65% du marché du

burger) et 469 millions en vente au comptoir (35%). Pour les ¾ des restaurants avec service à table,

le burger est la meilleure vente. 1 repas sur 3 est un burger en restauration commerciale. En 2000, 1

burger était vendu pour 9 sandwichs. En 2016, c'est un burger pour un sandwich. Les ventes de

burgers ont été multipliées par 13 en 15 ans et celles des sandwichs par 3 sur la même période.

Le marché de la vente au comptoir en 2016, c'est 48,15 milliards d'euros en 2016, en hausse de

2,21% en un an et de 145% en 12 ans ! « C'est la vente à emporter qui soutient la croissance de la

CAHD (consommation alimentaire hors domicile, soit la restauration commerciale en France) »,

souligne Bernard Boutboul. Son poids par rapport au service à table (SAT) ira en croissant dans les

années à venir. Soulignons néanmoins que depuis septembre-octobre, nous enregistrons un

retournement de tendances dans la restauration commerciale. De la pizzeria au restaurant

gastronomique, le secteur reprend des couleurs. Le marché global de la restauration devrait avoir de

belles années devant lui, à moins que de terribles événements ne surviennent ».

Source : www.l’hôtellerie-restauration.fr

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Bail commercial : qui doit payer les dégâts

causés par l’explosion d’une chaudière ?

Le 21/03/2017

Une chaudière explose, causant plus de 1 100 000 € de dégâts… qui doivent être payés par le

locataire, selon le bailleur, comme prévu par le bail commercial. Ce que refuse le locataire estimant,

au contraire, que c’est au bailleur de rembourser les dégâts…

Par principe, c’est le locataire qui est responsable de la chaudière !

Une chaudière installée dans un local commercial explose. De nombreux dégâts sont alors causés qui

nécessitent d’être réparés (à hauteur de 1 100 000 €). Se pose alors la question de la responsabilité

et donc de la prise en charge des réparations : est-ce au bailleur ou au locataire d’assumer les frais ?

Pour le locataire, c’est le bailleur qui est responsable du sinistre. Si le bail commercial indique qu’il

doit veiller à l’entretien de la chaudière, le locataire rappelle que la Loi prévoit que c’est le bailleur qui

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en est responsable en cas de vétusté. Ce qui est le cas ici, selon lui. Le locataire estime prouver le

caractère vétuste de la chaudière grâce à 2 arguments :

la chaudière était vieille de 17 ans lorsqu’elle a explosé ;

la chaudière présentait des difficultés de fonctionnement maintes fois signalées au bailleur.

Arguments toutefois insuffisants pour caractériser la vétusté de la chaudière, selon le bailleur, car :

le locataire n’a pas souscrit de contrat d’entretien de la chaudière ;

selon un rapport d’expertise, l’explosion est due à une fuite de gaz dont la cause n’est pas

déterminée (vétusté, panne, manipulation malencontreuse, etc.) ;

le locataire n’a pas exigé le remplacement de la chaudière ;

les salariés de l’entreprise locataire ont redémarré la chaudière 15 jours avant son explosion

de leur propre chef ; ils ont pu, à cette occasion, commettre une faute de manipulation.

Pour le juge, parce qu’il n’est pas établi que la vétusté de la chaudière soit à l’origine du sinistre et

parce que le locataire n’a procédé ni à un entretien régulier, ni à une vérification régulière de l’état de

la chaudière, c’est à ce dernier d’assumer les frais de réparation engendrés par l’explosion.

Source : Arrêt de la Cour de cassation, 3ème chambre civile, du 2 mars 2017, n° 15-29042

Source : www.bar-brasserie.fr

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Franchise: quatre tendances à suivre

Le 21/03/2017

Maxence de Warren et David Lebreton, se sont lancés sur un créneau inattendu qui combine

restaurant et boucherie, Persillé

Persillé

Bye Bye Nits, Miss Cookies, Frites Alors, Persillé, Nitrogénie, La Vignery... Des dizaines de

réseaux se lancent chaque année avec des concepts originaux et prometteurs. Décryptage.

Libéralisation des marchés, ubérisation des activités, flexibilité du travail... Le monde change et

transforme les modèles économiques des entreprises. La franchise n'échappe pas à cette lame de

fond. "Nous voyons apparaître des concepts très innovants qui surfent sur des tendances jusqu'alors

inexploitées en franchise. Avec la libéralisation annoncée de certaines professions, médecins,

pharmaciens, notaires... commencent à réfléchir à des regroupements en réseau", constate Jean-

Baptiste Gouache, avocat spécialisé en franchise. Bientôt, qui sait, les médecins deviendront

franchisés d'enseignes qui mutualiseront leurs compétences, les prises de rendez-vous ou les

protocoles de soins. "Tout concept est franchisable dès lors que son modèle économique répond à un

besoin identifié et s'appuie sur un marché porteur", renchérit Sylvain Bartolomeu, dirigeant associé

chez Franchise Management.

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Seulement voilà... Un marché prometteur ne suffit pas à garantir la réussite d'une jeune franchise.

L'idée de départ peut être bonne mais si derrière, le franchiseur ne fait pas correctement son travail, le

réseau n'ira pas loin. "Il faut s'assurer du sérieux du franchiseur, avertit Laurent Delafontaine, associé

au sein du cabinet Axe Réseaux. A-t-il modélisé toutes les étapes de conceptualisation en franchise?

Propose-t-il un avantage concurrentiel qui permet de gagner du temps? S'est-il fait accompagner dans

la construction de son projet en franchise? Ces questions sont indispensables quand on rejoint une

enseigne.

"Cependant, quand ces conditions sont réunies, le choix d'un nouveau concept peut s'avérer payant.

D'abord parce que le franchisé va vivre une aventure entrepreneuriale en participant à la construction

d'un réseau, ensuite parce qu'en étant pionnier, il bénéficiera d'un accompagnement privilégié du

franchiseur. Une chance donc pour les candidats en quête de nouveautés ! D'autant plus que tous les

ans, des dizaines de concepts apparaissent dans des secteurs très variés. Notre sélection de jeunes

réseaux à suivre en 2017.

1. Restauration: la qualité et le goût à l'honneur

Comme toujours, les nouveaux concepts pullulent dans ce secteur. La saga des burgers se poursuit

avec l'arrivée d'enseignes comme 213 East Street, Road Side ou Urbun. Leur mot d'ordre : la qualité

et le goût. Cette tendance du premium domine d'ailleurs dans la restauration rapide.

Les concepts de bars à salades (Nostrum, Pur Etc, Eat Salad...) et de boulangeries-cafés (Feuillette,

Boréa...) parient sur la dimension du "fast good". La petite restauration gourmande (glaces, cookies,

milkshakes...) n'est pas en reste avec des modèles aboutis. Tout juste franchisé, Sweet'Shake (quatre

ouvertures prévues) propose des smoothies et des milkshakes personnalisables à l'envi avec des

friandises. Son credo : "You choose it, we shake it." Miss Cookies joue, de son côté, la carte de

l'authenticité avec des cookies faits maison dont la recette est jalousement gardée secrète. Le réseau

table sur une poignée d'ouvertures en 2017. Même tendance chez les glaciers : Ice Roll et Nitrogénie

se lancent. Le premier propose des glaces artisanales en forme de rouleaux, le second des glaces

refroidies à l'azote liquide.

Du côté de la restauration à thème, plusieurs entrants prétendent à un déploiement en franchise.

Parmi eux: Lucien et La Cocotte (poulets cuisinés en cocotte), Nachos Mexican Grill (cuisine

mexicaine), La Côte et l'Arête (grillades au feu de bois et poisson à la plancha) ou encore Framboise

(crêperie). A noter aussi, le grand retour de la "frite". Le belge Bintje & Zoet et le québécois Frites

Alors! arrivent en France. Hugo Cerf, master franchisé de Frites Alors ! à Lyon, entend accompagner

l'ouverture de trois à quatre restaurants en 2017.

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La "Burger mania"

Big Fernand, King Marcel, Urbun, 213 East Street, Road Side... On ne compte plus les concepts de

burgers développés en franchise. Mais combien survivront ? "La bulle va finir par exploser. Seuls ceux

qui sont capables de proposer de la qualité dans la duplication de leurs recettes et de leur modèle

s'en sortiront", prévient Gérard Boutboul, directeur général du cabinet Gira Conseil. Sans compter que

l'arrivée en masse sur notre territoire d'enseignes américaines comme Steak'n Shake, Shake Shack

ou Five Guys risque de porter un coup aux jeunes réseaux français qui n'ont pas la même force de

frappe que ces géants du burger. A étudier avec prudence donc.

2. Alimentaire spécialisé: vin et viande à des prix compétitifs

Le vin continue d'attirer les nouveaux entrants. Après BiBoViNo et ses vins de terroirs vendus en Bag

in Box (BIB), place cette année aux concepts XXL. Avec des méthodes proches de la grande

distribution (choix, prix, promotion) et des surfaces de vente de 300 à 600 mètres carrés, La Vignery

se lance en commission affiliation et compte recruter une dizaine d'affiliés. Même positionnement pour

L'Alambic, caviste en zone commerciale, qui prévoit un lancement prochain en franchise.

Autre créneau, surprenant et inattendu: la viande. Pas moins de deux concepts, Persillé et Le Boeuf

Tricolore se lancent. Le premier, hybride, fait à la fois office de boucherie et de restaurant (quatre

ouvertures prévues en 2017). Le second (une dizaine d'ouvertures) vend exclusivement des pièces de

viande 100% française à des prix compétitifs. "Ces deux exemples montrent à eux seuls que la

franchise permet de revisiter et de moderniser de vieux métiers", constate Jean-Baptiste Gouache.

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Le vin! Luc Schneider est presque tombé dedans quand il était enfant. A 10 ans, il collectionnait déjà

les étiquettes de bouteilles. Après plusieurs années en tant que directeur d'hypermarchés dans l'est

de la France, il a souhaité vivre de sa passion. "En 2015, un vigneron avec lequel je travaillais lors des

foires aux vins m'a parlé de La Vignery, un nouveau concept de caves qui cherchait à se développer.

J'ai rencontré le franchiseur et en moins d'une demi-journée, j'ai pris la décision de le rejoindre. J'ai eu

un véritable coup de foudre pour le concept : une surface de vente importante, des milliers de

références, des animations, des produits de qualité, des prix adaptés... Tout me plaisait." Recherche

de local, tournée des banques, formation en région parisienne... Luc Schneider prend le temps de

peaufiner le projet et ouvre son magasin en avril 2016. "Je suis le premier franchisé extérieur. J'ai

conscience d'essuyer les plâtres, mais je participe à la construction d'un réseau et d'une marque.

C'est une aventure entrepreneuriale hors du commun."

La Vignery

3. Services: la microfranchise se développe

Cette année, peu d'entrants notables sur le marché des services à la personne, largement trusté par

des géants comme L'Age d'or Services, Shiva ou Adhap Services. Le renouveau vient cependant de

l'essor de la microfranchise avec de grandes enseignes, comme le groupe O2 Care Services pour le

jardinage à domicile, ou de plus petits réseaux tels que Mon coursier de quartier,

MonAssistantnumérique.com et les Chérubins (crèches).

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Le principe: permettre à des entrepreneurs d'accéder à la franchise sans trop investir (apport moyen

d'environ 30 000 euros). "Ces modèles fonctionnent bien, ils répondent à l'essor du travail

indépendant", analyse Jean-Baptiste Gouache. Les recrutements massifs d'O2 Care Services en sont

la preuve : l'enseigne compte ouvrir une trentaine de microfranchises de jardinage en 2017.

Les nouveaux concepts de services destinés aux professionnels sont en revanche plus nombreux.

Ainsi Pixiva (aide à la décision pour les TPE/PME), Mental'O (coaching et orientation professionnel),

Matrix 3D (impression numérique) ou encore Bras droit de dirigeants (direction commerciale

externalisée) se lancent en réseau ou poursuivent leur récent développement.

Dans le courant de l'année, il faudra suivre avec attention le belge Euro DV. Avec les risques

d'attentats, ce spécialiste des sas de sécurité et des "panic rooms" prévoit un développement en

franchise pour équiper les centres commerciaux, les parcs d'attractions et les entreprises françaises.

"La sécurité est un marché d'avenir pour de nombreux industriels qui auront besoin de franchisés

installateurs", pronostique Sylvain Bartolomeu.

Quand la franchise devient solidaire

Réinsertion professionnelle, développement local, circuits courts... La franchise solidaire commence à

se développer en France. Parmi les concepts à suivre : La Minut'rit (conciergerie d'entreprise qui fait

appel à des structures de réinsertion), Day by Day (épicerie en vrac sans emballage) ou encore

Bou'sol (boulangerie qui favorise les filières locales d'approvisionnement).

4. Esthétique - Beauté: Entre innovation et tradition

En coiffure, après le low cost (Tchip, Beauty Bubble) et le haut de gamme (le Bar des coloristes, Jean-

Claude Biguine), les offres deviennent disruptives. A la manière des clubs de sport, Addict Paris

propose ainsi des formules sur abonnement. Par exemple, pour 19,90 euros par mois, un homme

peut se faire coiffer à volonté. Les premières ouvertures en franchise, lancées en 2016, vont se

poursuivre tout au long de 2017.

Dans un autre genre, Bye Bye Nits, centre de traitement antipoux, prévoit 20 ouvertures en 2017.

"Nous sommes les seuls sur ce marché et la demande est très forte. D'ici à cinq ans, nous comptons

ouvrir une centaine de centres" déclare Jennifer Assous, créatrice du réseau avec son frère.

Dans le secteur des cosmétiques, deux concepts se lancent simultanément sur le marché du savon

d'antan : La maison du savon de Marseille et La savonnerie de Nyons. Cette dernière est entrée en

bourse début 2016 pour financer son déploiement en franchise, prévue en 2017. Enfin, notons

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l'arrivée de Beauty Sisters, espace de beauté dédié aux jeunes filles, lancé par le groupe Beauty

Success. Encore en phase de test, le concept pourrait, s'il fait ses preuves, être amené à se déployer

cette année.

Julie Duvillard,ex-championne de ski, a ouvert en octobre 2016 une franchise Jott, spécialisée dans la

vente de doudounes ultralégères et fines. "Je connaissais bien les produits car ma soeur qui possède

une boutique dans Megève les vendait depuis quelques années." Quand elle apprend que les

fondateurs de la marque, créée en 2010 par deux Marseillais, souhaitent se développer en franchise,

elle n'hésite pas. D'autant plus qu'elle a déjà un local en vue. "Le contrat de franchise a été signé en

avril 2016, mais je voulais prendre le temps pour bien aménager la boutique et réaliser les travaux

pour un montant de 80 000 euros", explique la jeune femme qui croit à 300 % à la réussite de son

projet. "Le concept est abouti et prometteur. Les doudounes se déclinent en une large palette de

couleurs, elles sont présentées dans des pochons de rangements, leurs coupes sont soignées et elles

habillent toutes les générations, de 0 à 99 ans. Elles font un carton auprès des clients." Reste

cependant à savoir comment évoluera cette enseigne monoproduit dans le temps. Julie Duvillard en

est consciente. "Le réseau devra faire évoluer la marque avec d'autres produits." C'est déjà fait

puisque Jott propose aussi du beachwear et des accessoires.

Source : www.lentreprise.lexpress.fr

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Hygiène en fiche pratique : les autocontrôles

Le 22/03/2017

Les autocontrôles permettent de garantir la sécurité alimentaire. Ils concernent le personnel, les

matières premières, mais également l'entretien et la maintenance.

© Thinkstock

Tout autocontrôle est sous la responsabilité du gérant.

Les autocontrôles comprennent l'ensemble des mesures prises pour garantir la sécurité des aliments.

Ils concernent le personnel (plan de formation), les matières premières (contrôles à réception et lors

du stockage, relevés de température, tests des huiles de friture, analyses microbiologiques), mais

également l'entretien et la maintenance (contrôle du nettoyage et de la désinfection, prélèvements de

surface, lutte contre les nuisibles…). Comme il est stipulé dans le règlement (CE)

178/2002, "L'obtention d'un niveau élevé de protection de la santé humaine et de la santé animale est

l'un des objectifs fondamentaux de la législation alimentaire". Les autocontrôles sont des éléments

majeurs pour atteindre cet objectif.

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Qu'est-ce qu'un autocontrôle ?

C'est un examen, une vérification, un prélèvement ou toute autre forme de contrôle sous la

responsabilité du gérant de toute entreprise de secteur alimentaire, réalisé pour s'assurer qu'un

produit est propre à la consommation humaine. Il est indépendant des contrôles officiels, réalisés par

la DD(CS)PP.

Les obligations en matière d'autocontrôle

Il n'est pas précisé textuellement que les autocontrôles sont obligatoires mais la réglementation stipule

que tous les exploitants du secteur alimentaire (et donc y compris les restaurateurs) doivent prendre

des mesures d'hygiène spécifiques et, entre autres, le "respect des critères microbiologiques

applicables aux denrées alimentaires". Ces autocontrôles s'intègrent dans une démarche préventive

vis-à vis des risques microbiologiques ou chimiques et permettent de valider des processus de

fabrication.

Il ne s'agit pas de contrôler toutes les denrées alimentaires ou toutes les préparations mais seulement

les produits considérés comme "à risque" : préparations à base de viande (et en particulier viande

hachée), d'oeufs, de produits laitiers, de produits de la mer…

Les laboratoires proposent des tests microbiologiques de surface, pour vérifier la désinfection des

surfaces et matériels, mais également des analyses microbiologiques sur les plats proposés à la

clientèle (lorsqu'ils sont prêts à être servis).

La liste des laboratoires agréés pour la réalisation des analyses est consultable sur le site internet du

Ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt .

Le règlement (CE) 2073/2005 établit les critères microbiologiques de référence. On distingue ainsi les

critères de sécurité des denrées alimentaires (acceptabilité d'un produit ou d'un lot de denrées

alimentaires – le dépassement des valeurs fixées conduit à une interdiction de commercialisation ou

au retrait des aliments concernés) et les critères d'hygiène de procédé, avec une valeur indicative de

contamination. Un dépassement de cette valeur donne lieu à des mesures correctives.

Les analyses microbiologiques

Le recours à des analyses microbiologiques est sous la responsabilité du professionnel.

Si les résultats d'analyses microbiologiques sont corrects, et qu'il n'y pas d'agents pathogène dans

l'échantillon testé, cela ne garantit en aucun cas l'absence totale de germes dans l'aliment (limites

statistiques), et cela ne doit pas conduire à une fausse impression de sécurité. Le suivi des bonnes

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pratiques d'hygiène et les protocoles du Plan de Maîtrise Sanitaire offrent un supplément de garantie.

Si le système HACCP est bien en place, il n'est pas nécessaire de multiplier les analyses. La qualité

des produits est surtout garantie par un bon déroulement des préparations, plus que par les contrôles.

Pour fixer la fréquence des contrôles, on tiendra compte du volume d'activité, du type de

consommateurs (personnes âgées, jeunes enfants et autres personnes fragiles…), des changements

dans l'organisation (variabilité selon les saisons, changements de fournisseurs, mise en place d'une

nouvelle carte…) et des préparations réalisées.

Les différents niveaux d'autocontrôles requis

Pour un restaurant fabriquant des produits simples et potentiellement moins à risque (pizzas, crêpes,

produits frits…), les autocontrôles de base (contrôle des marchandises à réception, relevés de

températures du matériel frigorifique, traçabilité…) peuvent suffire.

Lorsque les préparations sont plus complexes (préparations à base de viande ou poisson, d'oeuf,

sauces, pâtisseries fraiches…), les protocoles du GBPH (Guide de bonnes pratiques d'Hygiène)

doivent être mis en place, respectés et régulièrement mis à jour.

Lorsque le niveau de risque est encore plus important (cuisine gastronomique, sous-vide, cuisson

basse-température…), tous les autocontrôles doivent être réalisés et tracés.

Détermination de la durée de vie d'un produit

Les autocontrôles permettent également de vérifier la date limite de consommation d'un produit que

vous avez préparé (plat cuisiné sous-vide, foie gras maison etc…). Cette durée de vie est la période

pendant laquelle le produit ne présente pas de risque pour la santé et aucune altération, dans des

conditions adéquates de stockage et d'utilisation. Elle sera exprimée par une DLC (Date limite de

consommation) et doit être systématiquement apposée sur l'emballage. Cette durée de vie sera très

variable selon les aliments mis en oeuvre et selon le mode de fabrication. A noter que cette durée de

vie n'est valable que pour le produit encore emballé et n'a plus de signification une fois le produit

ouvert. Une durée de vie secondaire peut également être estimée par ces tests de vieillissement.

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Plusieurs outils sont à votre disposition pour estimer la durée de vie :

- La comparaison avec ce qui est déjà fait par d'autres professionnels

- Les données de la littérature scientifique- Les données historiques d'autocontrôles pour cette

catégorie de produit (tests de vieillissement)

- L'autocontrôle lui-même, par le biais d'une analyse microbiologique

Source : www.lhôtellerie-restauration.fr

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Cinq concepts étrangers repérés à Franchise

Expo

Le 22/03/2017

Cette année encore, l’international était fortement représenté à Franchise Expo. Pas moins de

28 nationalités différentes étaient présentes via 130 enseignes. Leur point commun : vouloir

s’implanter ou se renforcer dans l’Hexagone.

Crédits photo : shutterstock.com

Déjà installées en France ou cherchant des opportunités d’implantation, près de 130 enseignes

étrangères ont participé au salon Franchise Expo Paris. L’objectif en quatre jours : nouer de nouveaux

partenariats en master-franchise ou directement en franchise. Parmi ces concepts, la rédaction des

Echos de la franchise en a sélectionné cinq pour leur originalité et leur potentiel de croissance.

Découverte.

1. Al Mamà Bistrot, un italien qui donne faim

C’est dans le Nord de l’Italie, à Turin, qu’est né le réseau Al Mamà Bistrot. Avec son offre atypique et

authentique de produits d’épicerie fine, cette enseigne met en avant l’excellence de la gastronomie

italienne, avec des produits traditionnels parfois réinventés dans le cadre de recettes originales.

Fromage de buffle, parmesan authentique, pâtes fraîches à la napolitaine préparées de façon

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revisitée, charcuteries et desserts faits maison… Il y en a pour tous les goûts. Ici, les mets sont à

déguster à temps comme dans un restaurant ou à emporter. Al Mamà Bistrot a également développé

un service de livraison à domicile. Les droits d’entrée s’élèvent à 15 000 euros et l’investissement

global, hors pas-de-porte, se fixe aux alentours des 100 000 euros.

2. Carlos Conde, un réseau espagnol au poil

Mode oblige, les barbershops commencent à essaimer un peu partout. Originaire d’Espagne,

l’enseigne Peluqueros Carlos Conde a très tôt compris l’intérêt de se spécialiser dans la taille de

barbe et a lancé son premier point de vente en 1997. Depuis, le concept a été modélisé de façon à

pouvoir le dupliquer en franchise. Une première, car pour l’instant, aucune enseigne de barbiers

n’est ouverte à la franchise en France. Dans ses salons, Carlos Conde propose des prestations de

qualité, dans la pure tradition des barbiers d’antan, ainsi que des soins du visage, manucure ou

encore l’hydratation après-rasage, etc. Pour ouvrir un salon d’une trentaine de mètres carrés en

centre-ville, un apport personnel minimum de 36 000 euros est conseillé.

3. Chicking, l’étoile montante du fast food émirati

« Nous sommes le réseau de restauration rapide qui croît le plus vite à Dubaï », se félicitent les

dirigeants. Parfois comparée à KFC, Chicking est une enseigne de fast food spécialisée dans le

poulet, très présente aux Emirats Arabes Unis et à l’envie de croître dans l’Hexagone. Une large

palette de produits sont proposés, des traditionnels burgers au poulet en passant par les spaghettis à

la royale, les ailes de poulet finement épicées, les pizzas ou encore les salades. Actuellement, le

réseau compte 70 restaurants dans le monde et espère ouvrir prochainement un premier point de

vente en France.

4. 925 Nine to Five, la mode masculine made in Serbie

Venue tout droit d’Europe de l’Est, l’enseigne 925 Nine to Five souhaite conquérir le marché

français avec son offre de prêt-à-porter masculin. Son originalité : avoir conçu un « produit

intelligent », selon les dirigeants de la marque, capable de seoir à tout le monde. « Au lieu de suivre

les tailles standard, nous produisons des chemises sur-mesure, en utilisant 21 dimensions pour

chaque taille. Notre coupe unique contient sept longueurs de manches et trois tours de tailles »,

détaillent-ils. Les premiers franchisés français sont actuellement recherchés par l’enseigne en vue

d’ouvrir prochainement les premiers points de vente.

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5. Papa John’s, l’américain en croissance

De l’autre côté de l’Atlantique, il fait partie des poids lourds de la restauration rapide de pizzas : le

réseau Papa John’s a ouvert ses premiers établissements en France courant 2016 – le premier a été

inauguré à Mulhouse par Hassan Bouanaka – et entend conquérir rapidement tout le territoire grâce à

la franchise. Et pour cause, les Français sont très friands de pizzas, puisqu’ils en sont les deuxièmes

plus importants consommateurs au monde, derrière le pays de l’Oncle Sam. Son point fort : une offre

basée sur la qualité et la fraîcheur des produits et un réseau solide – 5 000 restaurants dont 1 500 à

l’international – qui a déjà fait ses preuves aux Etats-Unis ainsi que dans les 44 pays dans lequel

Papa John’s est implanté.

Source : wwwlesechosdelafranchise.com

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Les constructions et améliorations réalisées

par le locataire en cours de bail : quels droits

pour le bailleur et le locataire ?

Le 22/03/2017

Dans le cadre d’un bail commercial, il est fréquent que le locataire effectue des travaux dans les

locaux pour les besoins de son activité. Ces travaux dépassent souvent de simples aménagements :

ils peuvent aller jusqu’à de véritables constructions fixes modifiant la configuration des lieux. La

question se pose alors de savoir d’une part, si ces constructions sont possibles et d’autres part, qui du

bailleur ou du locataire en est propriétaire. En outre, le locataire pourra se demander s’il a droit à une

indemnisation au titre des constructions qu’il a édifiées si celles-ci deviennent la propriété du bailleur.

Afin d’éviter toute incertitude, tant pour le bailleur que pour le preneur, il est utile prévoir d’avance le

sort des constructions et améliorations dans le cadre d’une clause dite « d’accession ».

L’obligation d’obtenir l’autorisation du bailleur.

Le locataire n’a pas le droit de modifier le bien en le transformant par des constructions ou des

améliorations : l’accord du propriétaire est toujours nécessaire. Pour des raisons évidentes de preuve,

une autorisation écrite du bailleur est préférable. L’autorisation peut être donnée dans le bail lui-même

ou dans tout autre écrit ultérieur émanant du bailleur (lettre, email, fax…). Si le locataire modifie les

lieux sans autorisation du bailleur, il risque deux sanctions : la résiliation du bail et l’obligation de

remettre les lieux en état.

Le locataire peut bien entendu réaliser des améliorations s’il est prêt à remettre les lieux dans leur état

initial en fin de bail. Il faut également préciser qu’il a le droit d’effectuer des travaux qui sont de

simples aménagements. À titre d’exemple, constituent des transformations le fait de percer des gros

murs, de déplacer ou d’abattre des cloisons, de supprimer un escalier. A l’inverse, constituent de

simples aménagements des travaux de peinture, de pose de moquette, de pose de convecteurs

électriques, de remplacement de fenêtres et de façon plus générale, les travaux de peu d’importance

ayant pour but d’améliorer le confort, la commodité ou l’esthétique des lieux loués, qui n’affectent pas

l’immeuble dans sa structure et qui n’ont rien d’irréversible.

Dans quelle mesure, le bailleur peut-il refuser d’autoriser des travaux ? Le refus du propriétaire peut

éventuellement être considéré abusif dans certaines situations, par exemple s’il refuse l’exécution de

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La revue de Presse KYLIA 19

travaux de climatisation qui ont pour but d’améliorer les conditions de travail du personnel employé

par la société locataire et qui ne sont pas de nature à changer la destination des locaux donnés à bail.

La question de la propriété des constructions.

En application des articles 552 et 553 du Code civil, le bailleur devrait en principe devenir propriétaire

de toutes les constructions au fur et à mesure de leur réalisation. Ce mécanisme juridique est appelé

« accession ». Cependant, dans la pratique, les tribunaux retiennent que l’accession ne se produit

qu’au moment où le bail prend fin. Pendant le bail, le locataire reste donc propriétaire des

constructions, ce qui a des incidences importantes, par exemple en matière d’assurance ou en

matière d’expropriation. Ce n’est qu’en fin de bail que le bailleur deviendra propriétaire des

constructions.

Mais attention, dans le cas d’un bail renouvelé, l’accession se produit lors du renouvellement du bail

car on considère qu’un nouveau bail est conclu. Il en résulte que le bailleur peut prendre en compte

les constructions réalisées par le preneur pour calculer le loyer du bail renouvelé. Et en cas de

cession de bail, les améliorations faites par le locataire originaire deviennent, par accession, la

propriété du bailleur lors de la cession. En conséquence, le cessionnaire ne peut pas les faire

disparaître.

Le mécanisme de l’accession a pour conséquence que le locataire ne peut pas retirer du local loué les

aménagements et améliorations qui devraient normalement y demeurer. Cette obligation du locataire

n’existe que si les éléments ont une nature de fixité suffisante qui les a fait s’incorporer à l’immeuble

loué, par exemple des constructions en préfabriqué fixées dans le sol. Il faut enfin préciser que

l’accession joue aussi pour les constructions réalisées par le sous-locataire.

Si le bailleur devient propriétaire des constructions, le locataire a-t-il droit à une

indemnisation ?

À l’évidence, le locataire qui réalise des travaux d’amélioration sans l’autorisation du bailleur ne peut

lui réclamer un dédommagement. Il ne peut pas invoquer la simple connaissance par le bailleur des

travaux : il doit démontrer une véritable autorisation et non pas la simple passivité du bailleur qui a

toléré les travaux.

L’article 555 alinéa 4 du Code civil prévoit en revanche une possibilité d’indemnisation pour le

locataire lorsque les constructions ont été réalisées de bonne foi, c’est-à-dire avec l’autorisation du

bailleur. Toutefois, encore faut-il vérifier que le bail ne contienne pas de clause d’accession excluant

tout droit à indemnisation.

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La revue de Presse KYLIA 20

La possibilité d’obtenir une indemnisation ne concerne que de véritables constructions nouvelles et

non pas des réparations ou améliorations d’ouvrages préexistants.

Quant au montant de l’indemnisation, il peut correspondre soit à la valeur des matériaux et de la main

d’œuvre utilisés par le locataire pour réaliser les constructions, soit à l’augmentation de valeur du

bien, mais c’est au bailleur que revient le choix entre ces deux options.

L’utilité des clauses dites « d’accession ».

Les clauses dites « d’accession » permettent d’aménager les dispositions légales décrites ci-dessus.

Ainsi, les parties peuvent par exemple modifier le moment de l’accession en décidant que le bailleur

deviendra propriétaire des constructions au fur et à mesure de leur réalisation, ou à l’expiration du bail

en cours. La clause d’accession peut également exclure tout droit à indemnisation au profit du

locataire, ou bien fixer des modalités d’indemnisation différentes de celles prévues par l’article 555 du

Code civil.

Compte tenu de ces éléments, il est recommandé aux bailleurs et aux locataires d’être très vigilants

non seulement lors de la rédaction du bail mais également en fin de bail. En effet, le sort des

constructions peut varier considérablement en fonction de la manière dont la clause d’accession est

rédigée. La consultation d’un avocat peut s’avérer indispensable afin de sécuriser cette question

délicate.

Source : www.village-justice.com

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La revue de Presse KYLIA 21

CHR : « Au resto, la vie a du goût » !!

Le 23/03/2017

Pour inciter les clients à (re)venir dans les restaurants, l’Etat, en partenariat avec les organisations

professionnelles du secteur de la restauration vient de lancer une importante campagne de promotion

avec un mot d’ordre que vous devez retenir : « Au resto, la vie a du goût » !

Campagne de promotion des restaurants : des bons cadeaux de 20 € !

Depuis le 18 mars 2017 et jusqu’au 30 juin 2017, un grand jeu concours a été lancé pour inciter les

clients à revenir dans les restaurants. Pour cela, 13 000 bons cadeaux de 20 € seront mis en jeu du

14 avril 2017 au 7 juillet 2017. Chaque semaine, il y aura donc 1 000 vainqueurs.

Pour gagner un bon cadeau, un client doit envoyer la photo ou le scan d’une addition avec ses

coordonnées (nom, prénom et adresse postale » sur le site www.lavieauresto.fr ou par courrier à Jeu

Concours « Au resto, la vie a du goût » BP 60042 – 75960 Paris cedex 20.

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La revue de Presse KYLIA 22

Le gagnant recevra alors son bon cadeau par courrier : ce dernier est utilisable une seule fois, pour

régler un ou plusieurs repas (mets et boissons), pour un montant d’une valeur minimale de 20 €. Il

aura jusqu’au 30 septembre 2017 pour utiliser son bon cadeau.

Vous êtes donc invité à accepter un bon cadeau si un client vous en présente un. Notez que le bon

cadeau est imprimé avec des éléments sécurisés.

Si un client paye son addition en partie avec un bon cadeau, vous devrez renvoyer ce bon avant le 30

octobre 2017, rempli et accompagné d’un RIB, à l’adresse postale précitée. Vous serez alors

remboursé directement par virement pour un montant de 20,73 € (montant du bon cadeau +

affranchissement au tarif lent en vigueur).

En plus du concours, la promotion s’accompagne d’une importante campagne de publicité à la

télévision et à la radio ainsi que sur les réseaux sociaux.

Source : www.lavieauresto.fr

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La revue de Presse KYLIA 23

Hôteliers : un classement « environnemental »

?

Le 23/03/2017

La 1ère phase de test de la démarche d’affichage environnemental dans les hôtels, expérimentée

depuis 2011, vient de prendre fin. La 2ème phase va désormais commencer. Est-elle ouverte à tous

les hôtels ? En quoi consiste-elle ?

Hôteliers : la démarche d’affichage environnemental passe à la 2ème phase de test !

Comme vous le savez, depuis 2011, l’Etat, avec le soutien de l’Agence de l’Environnement et de la

Maîtrise de l’Energie (ADEME), a expérimenté une démarche d’affichage environnemental dans les

hôtels dont l’objectif final est de réaliser un classement environnemental des hôtels.

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La revue de Presse KYLIA 24

Cet affichage consiste à informer le client de l’impact environnemental d’une nuitée dans l’hôtel et de

l’inciter à se rendre dans les hôtels les plus respectueux de l’environnement. Parallèlement, le

dispositif aide les hôteliers à réduire leurs coûts de fonctionnement afin d’avoir un impact

environnemental le plus faible possible.

La 1ère phase de test vient de prendre fin et l’Etat va passer à la seconde : 100 hôtels peuvent y

participer sur toute la France. Y participer présente plusieurs avantages. Ainsi, vous pourrez :

connaître et réduire l’impact environnemental de votre établissement pendant une période 3

ans ;

réduire vos coûts de fonctionnement jusqu’à 7 % grâce à un pré-diagnostic personnalisé et à

la mise en place d’un plan d’actions (cela correspond à un ordre de grandeur de 0,50 € à 2 €

de réduction par nuitée) ;

communiquer votre engagement de manière transparente auprès de vos clients grâce à

l’étiquette environnementale ;

étudier la complémentarité du dispositif avec l’Ecolabel Européen.

Source : www.developpement-durable.gouv.fr

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La revue de Presse KYLIA 25

A propos de Kylia

Fondé en 2010 sur Paris, KYLIA est un réseau de cabinet d’affaires nouvelles génération.

Kylia est une enseigne immobilière exclusivement dédiée à l’immobilier commercial : Une entreprise

construite par et pour des commerçants.

Le Groupe Kylia intervient sur un large panel de services depuis l’expertise, la commercialisation, le

conseil, la recherche de financement, l’assurance, mais également l’optimisation des stocks.

Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com

Contact Presse : KYLIA France

Marie LAURENT / [email protected] / 01 47 70 24 18