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LE COURRIER DE CANNES"TTTJZ, et tontes te pièces qui laccom-

l"f."S puSl cation .tonnée* l'Information

. le maires de Cannes, leVaîbonne, Biat, Antibes

'un certificat constatant iadans leur Commune tant à

["jJrtT.-C^torinalitraaccomplies, et aprèsÎ j , ronsell d'vciène publique et du Con-: ï ï S Présure, s'il y à lieu, il sera statué

sen u e i ,,.,_..r l'admission ou le rejet de lait, sauf tous recoure par

.^sToies do droit.

TRIBUNAUXCOUR D'ASSISES JlES^ALPES-M

Audience du Jeudi 30 avril iSS5

Affaire Mu.In,Cre«l». Damnon, I taneé, IS.'-im.l

Cinq accusés figuraient au banc des assl-es c'étaient les nommés :Mutin Denis-Maurice, âgé de 40 ans, car-

ossier néàVirïat(arrondissementde Bourg,in), demeurant A Cannes ;Cresp Marguerite, femme Périssol, âgée de

7 «usinée a Grasse, demeurant eu dernier;eu a Cannes ;Daumas Jean-Antoine, âgé de 37 ans, coif-

feur né a Grasse, demeurant en dernier lieuà Cannes;

Rancé Louis, âgé de 59 ans, cultivateur,'•i Grasse, demeurant au Tignet {arrondis-

tëmeiit de Grasse) ;flérard François, Agé de 58 ans,carrossier,

nâ i ^fignoles, demeurant A Marseille.

Ces cinq accusés comparaissaient sous l'in-culpation de banqueroute frauduleuse, defaux et d'usage de faux.

Voici les faits tels qu'Us résultent de !aprocédure instruite au Tribunal de première

istance do Grasse;Maurice Mutin exerçait, à Cannes, la pro-

.jssion de carrossier, t e 19 août 1884, il futdéclaré en état de faillite. D'après la bilanBéposé par lui. quelques jours auparavant,sonaetif se sarait élevé à 183,059 fr.83 cent.,et son passif a 178,505 ir. I l cent. Mais ïl futbientôt établi que ces indications étaientmensongères, et l'information ne tardait pas

ontrer que ce commerçant avait effec-tivement détourné une partie eonsidér.ibie

i actif.is le courant des mois de juillet ut

août 188J, Bérard avait reçu à lui seul pourplus de 10,000 fr. de marchandises sorties,pendant la nuit, des magasins de Mutin., Lafeorrespondunce échangée entre Bérard etMatin ne laisse aucun doute sur l'évidenceSu concert frauduleux intervenu entre eux.

La femme Marguerite Cresp avait égale-oent reçu en dépôt une certaine quantité deaarchandises diverses qu'elle tenait cachéesoit dans une maison de Cannes, soit dans laîaison do campagne que Mutin lui à achetée,près l'arrestation de ce dernier, cette fem-K,craignantque des perquisitions ne fussentpêrêeschez elle, confia ces objets ;1 son

jjeau-frére, le nommé Rancé Louis. Le nom-mé Faissolle, qui a aidé la femme Cresp A1-ansporter les objets chez Rancé, dit à ce, ïrnidr. — «Dieu fasse qu'on ne sache ja-mais que ces marchandises appartiennent aMutin; » Et Rancé de répondre ; — « Jemus brûlerai la cervelle si vous dites ja-mais qu'elles sont cachées chez moi.» Rancél'est ilébarrassé, à son tour, de ces marchan-des eu les remettant, de concert avec laFemme Périssol, A un sieur Blanc de Fayen-fce, mais il en a conservé une partie-qu'il n'a

nsenti à restituer qu'aux derniers joursl'information et alors que les aveux de la

femme. Périssol ne lui (permettaient plus defaire autrement.; Le 22 juin, Mutin a gravement lésa Ie3 in-lérétsde ses créanciers, en contractant, par

int M' Westermann, notaire à Cannes,obligation aux termes de laquelle il se

reconnaissait taussement débiteur, enverssieur Daumas, d'une somme de 20,000

trano que Daumas lui aurait antérieure-ment prêtée, Daumas, le S juillet, ne crai-gnit pas de faire usage de cet acte pour re-Itiérir ;1 son profit une încription d'hypotlie-|ue sur les biens des époux Mutin. Il avaitn outre chargé le sieur Dédoué agent d'af-fres, à Cannes, de se présenter à la failliteit d'affirmer cette créance supposéede 250 fr.Mais l'accueil fa.îlv 4 Dedoué au Tribunal decommerce, le déconcerta tellement qu'il.'osa affirmer la seconde créance.Dedoué poursuivi, d'autre part, pour abus

e confiance et escroquerie, est en fuite.Pour mieux donner le change à ses créan-

ciers, Mutin n'a pas craint de faire falsifier'es livres de commerce par un comptable'«quel il avait donné les instructions né-cessaires et d'y faire figurer les sommes queDaumas était censé lui avoir prêtées. Il adétruit ensuite sas véritables livres.

En conséquence Mutin, Cresp, Daumas,Rancè et Bérard, sont accusés d'avoir:

1. Mutin Denis-Maurice, à Cannes, étantonimeirant failli en 1884, soustrait des 11-n détourné ou dissimulé tout ou partiele son actif.et soit dans ses éerïture.s,soltparles actes publics ou des engagemenst sous>lgnatures privées, soit par son bilan, del être frauduleusement reconnu débiteur des»tnmes qu'il ne devait pas ;

3. Héiard Mnrius-Cèlestin, en 1S84, AMarseille, dans l'intérêt de Mutin, commer-" mt failli, frauduleusement soustrait, re-

ilûou dissimulé une partie de son actif.3. Daumas Jean-An toi nette, de s'ûtre, aueuie Heu et a la même époque, rendu com-

plice du crime de banqueroute frauduleuse,

„ dan, «.««,„,4. Marguerite Cresp, femme PerrlsBol. et

V ™Lh0}"s' (i a v 6 i r ' a u l n è m o ''««. e" 1884et 188o, à Cannes et au Tignet, dans l'inté-rêt de Mutin, commerçant failli frauduleu-sement soustrait, recelé ou dissimulé-unePiirtiedesonactir;

5. Mutin Denis-Maurice, de s'être, en 1S81â Cannes, rendu complice de la falsiik-ationde ses livres, en donnant a l'auteur de cettefalsification les Instructions nécessaires pourla commettre ;

0. Mutin Denis Maurice, Daumas Jcan-Antoino, d'avoir, A Cannes, le 23 juin 1884,ensemble at de concert, commis un faux enécriture authentique et publique, en se dé-clarant frauduleusement, dans un acte nota-rié reçu par M' Westermann, notaire, débi-teurs et créanciers de la somme de 26.000franci; altérant ainsi les faits que cet acteavait pour objet de constater;

i' paumasJean-Antoine.d'avoir.àGrasse,le 2 juillet 1884, fait usage de ladite pièce,sachant qu'elle était fausse, en requérant deceehefunehypothèquesur les biens des épouxMutin ;

8° Daumas Jean-Antoine, d'avoir, en août188-1, frauduleusement présenté et affirmédes créances supposées de la faillite Mutin ;

Ce qui constitue les crimes prévus et pu-nis par les articles 1<I5,147, 148, 50 00, 402du Code pénal,591,503 du Codede commerceet de la compétence de la Courd'assists.

Vingt-trois témoins étaient assignés danscette affaire.

M. le président procédait immédiatementa l'interrogatoire des accusés.

Mutin, le failli, dit que c'est Bérard quilui a conseillé de mettre quelque chose decûlê, il regrette, ajoute-t-il en sanglottant,d'avoir suivi ces conseils.

Bérard, nie. avoir tenu ces propos à Mutin,c'est ce dernier au contraire qui lui a faitpart dece projet. Bérard.continueà répon-dre en donnantquelquos explications sur samanière de vivre. Il était bon ouvrier, com-me Mutin etque par latravailetavecdu tempsil aurait pu payer ses créanciers. Il pleureabondamment lui aussi, et il afllrme, en ter-minant, qu'il ignorait complètement la loiet qu'il ne savait paa à quoi 11 s'exposait envenanten aide à son parent.

Daumas, accusé de complicité parahleetassistance, soutient que Mutin le pria de luitrouver deux charretiers. Il les procura,mais il ne se aérait jimais douté qu'ils dus-sent servir à transporter des marchandisesfrauduleuses soustraites i des créanciers.Répondant ensuite à M. le président qui luifait remarquer que Mutin lui avait tout ra-conté et qu'il s'était même chargé de louerun local au Golfe-Juan, l'accusé nie; il asimplement payé le loyer de ce local, sur l'or-dre da Mutin, il nie encore avoir fait desexpéditions de marchandises a Marseille.

Cresp Marguerite, femme Périssot, accuséede recel, nie avoir recelé la marchandise ;si elle en a reçu une partie, elle ne savaitpas que Mutin avait été déclaré en faillite.

M. le président lui rappelé les proposqu'elle a wnus : —Plaise A Dieu que per-sonne ne sache que ces marchandises appar-tiennent A Mutin.

L'accusée nie cea paroles. On l'a présentéecomma la maîtresse du failli, mais elle étaitsimplement employée chez lui à raison dedeux francs par jour.

Interpellée sur les occupations qu'elleavait à remplir chez Mutin, la femme Pé-rissol répond qu'elle était chargée de lui fairela cuîsiue et de le blanchir (rires dans l'au-ditoire).

Rancé Louis, accusé également de recel,reconnaît que des marchandises ont ététransportées chez lui.C'est la femme Péris-sol qui les envovaït. Tous les objets qu'il areçus avaient été d'abord logés chez cette.femme qui lui a dit, en eiTet ; «PlaiseàDieu.,., etc.», mnla il ignorait la prove-nance frauduleuse rie ces marchandises.

Apres l'interrogatoire, l'audition des té-moins commençait. Ils étaient au nombre detien te-rteux. Vingt-trois à charge et neuf Adécharge. Les dépositions des premiers co -roborent les faits tels qu'Us sont exposésdans l'acte d'accusation, ceux. A déchargedonnent quelques renseignements sur la ma-nière de vivre des accusés, sur leurs antécé-dents, sur les bons rapports qu'ils avaiententr'eux.

L'audition de tous les témoins n'était ter-minée qu'à six heures, M. le président ren-voyait l'audience u vendredi, A 9 heures,pour le réquisitoire et les plaidoiries.

Audience du Vendredi î" JUat.'L'audience était reprisa hier matin à 8

heures. Malgré l'heure maiîuale on retrou-vait la même foule dans la grande salle duPalais de justice, dévisageant les cinq accu-sés qui avaient pris place :\ leur banc. Toutle moni!e semblait avoir hâte de connaîtreles résultats deslongs débats de cette affaire.

Le siège du ministère public était occupépar M. Gain, juge suppléant; M" F. Pltate,Mnrcy, Lairolle et Punel, au banc de la dé-fense, Après les formalitésd'usage, M. Gainprenait la parole.

Dans un brillant réquisitoire l'honorabkorgane de l'avocat général a relevé avec sé-vèrîtô les charges qui pesaient sur chaquraccusé. Il a énuméré tous les chefs de l'ac-cusation et n'a omis aucun des détails sirattachant aux actes coupables qui les onfait asseoir devant les juges dont la hautemission est de décider du sort de chacun.Les responsabilités qui incombaient aux cinqaccusés, ont été tour A tour établies ave'conviction et, en terminant, il a requis u:châtiment justement mérité contre Mutin etses complices.

M* F Pïlatte, défenseur de Mutin, avaitla parole. Avec cette facilité d'éloeutlon,avec cette précision et" cette clarté qui luisont propres, lejenneavocat arpentait à sontour la voie que venait de parcourir son ho-norable contradicteur; il cherchait A détruireles prétendues preuves de culpabilité et con-cluait en demandant l'acquittement do sonclient.

L'audience était suspendue il midi 35 mi-A la reprise de l'audience, 2 heures 50 mi-

nutes, M. lo président donnait immédiate-ment la psirole A M* Pilatta qui rappelait auinrv i«s nrflunienta du la rlfifense ou'll avait

Me Marey rentrait à son tour dans l'arène 1>ur Daumas et ia femme Périssol. Ce mai- ,edu barreau a cherché à disculper ses deuxlents et surtout A démontrer quo si la Im me Périssol avait quitté son mari pour

.avenir, comme on t'a prétendu d'ailleurs à,tort, la maîtresse da Mutin, c'est que des rcirconstances très graves l'j avaient pous- [aée,, M* Marcy demande, ,\ son tour, l'acquit- IOrnent de ses deux clients.

L'audience était da nouveau suspenduelurun quartd'heure.Pendant cetto -interruption, la femme de

lutin qui avait suivi jusqu'alors lesdébatsavançait vers les accuses et venai.tembms-!r son mari. Les deux malheureux époux)nfondaient un instant ievtrs larmes.A cfnq Keures moins 15 minutes, la Courait annoncée et M » je président donnait lairolaa M' Lairolle.

L'éloquent avocat proclamait, à son tour,icence de Bérard. La meilleure prou

Bérard, laissé en liberté, s'était'constituéprisonnier lui-même. Reprenant ensuite etréfutant toute l'argumentation soutenue par"-ccusation, le défenseur demandait en ler-

:s chaleureux l'acquïttementde Bérard.La magnifique péroraison da M* Lairolle

>,Alt saluée ].ar les applaudissements unani-mes de la nombreuse assistance qui avaitattentivement suivi cette balle défense,

M- Funel, défenseurde Rance,demandait,lui aussi, l'acquittement de son client quiavait un passé irréprochable et qui étaitinnocent.

A 7 heures, les débats étalent clos.M. le président posait les questions au

jury ; elles étaient au nombre de douze.

VERDICTAprès une heure et demie de délibérations

II est aflirmatif poîlr Mutin et Cresp Mar-guerite ;

Négatif pour Dauraas, Bérard et Rancé.

En conséquence la Cour condamne.

MUTIN Denis-Maurice; il c inq a n stle prison ;

ORËSP Marguerite, femme Périssol,;t d e u x a n s île prison.

DAUMAS , BÉRARD et RANOÈsont a c q u i t t é s et mis en liberté.

M U S I Q U E M U N I C I P A L E

de la non culpabilité de client, c'est tm<

ÉTUDEde M' OIRLOT, huissier a Cannes,

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Service d'ÉtéDimanche 3 Mai 1885.

Ae3H4 lidurfs 'ALu \\nllanl UHinmtjTiriie llub<TLe-» J»r.iBdin de Viiiam (omarturok.. MnlllsrtLe inlM.nl! /jiiuira if uHaisi*).,... OounnilH | Mét

,'dinn 7 ySfii 1885.àe 3 à i licuVua %

Salut Lointoîf Tiorinp;LJX Belliqueuas (onscrfurel „ . . , , . . . . LcgiiazLa l'art du Diable (moaoïque) . . . . . . . AuTierL'Arc-tn-Ciel (valac] , . , . FoareLe Lion <lc Belfort (fclilaiaie) HemmeriiMardi,: J t s Ukuluteui

Ténioiguagr de rccouiialsianec

Date (Suisse) le 16 Décembre 1884.Monsieur le Docteur Cbalhoub I

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