Revue
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de
presse
01 & 02/2012
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2012, l'année de la prudence
La crise économique actuelle risque-t-elle de déteindre sur le milieu viticole comme ce
fût le cas en 2008 ? C'est ce que craignent nombre d'opérateurs. Le point sur la
situation à mi-décembre.
“Les opérateurs s’attendent à un début 2012 catastrophique. Notre plus gros débouché
est celui des marchés développés, tels que l’Europe ou l’Amérique du Nord. Or, ce sont
ceux qui sont concernés par la morosité économique actuelle ”, s’inquiète Patrick
Aigrain, chef du service Evaluation, prospective et analyses transversales de
FranceAgriMer.
Crise européenne, incertitude quant à la tenue des marchés, interrogations sur
l’évolution des taux de change sont autant de sujets qui poussent les opérateurs à la
frilosité et à l’attentisme. “ On assiste à une prudence de la part du négoce sur les
achats en ce moment, confirme en effet Xavier Coumau, président des courtiers de
Bordeaux.
Nous sommes presqu’à l’équilibre entre l’offre et la demande pour le bordeaux rouge.
En temps normal, nous aurions déjà dû sentir une hausse des cours. Mais là, les
affaires sont ralenties. D’un côté, nous sommes très inquiets par rapport au marché
européen et français. De l’autre, nous sommes optimistes pour le marché chinois.
Nous sommes donc en situation de statu quo. Les cours stagnent. Si le ralentissement
économique se poursuit, il n’y aura pas d’amélioration des cours, qui sont en moyenne
à 900 €/tonneau de 900 litres. Mais nous en saurons plus en mars. ”
France et Royaume-uni sous surveillance
Cette prudence est aussi de mise en Champagne. “ Nous restons optimistes, car nous
avons confiance en nos produits, indique Thibaut Le Mailloux, directeur de la
communication du comité champagne.
Néanmoins, nous avons des incertitudes pour 2012. Depuis cet été, nous observons un
léger recul des exportations par rapport à 2010, année de forte reprise.
Certains marchés sont sous surveillance, notamment le Royaume-Uni où le pouvoir
d’achat des ménages est en chute suite à la politique de rigueur. Le marché intérieur,
qui représente 60 % de nos ventes, est lui aussi en léger recul.
Marché français En Janvier
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Marché français
Si les politiques de rigueur et la baisse de la croissance économique se
poursuivent en Europe, nous espérons limiter le recul sur ces marchés, tout en
nous développant sur le grand export. ”
En Côtes-du-Rhône et en Provence, la situation est saine, même si, comme dans
les autres régions, quelques marchés donnent des signes d’alerte. “ Le contexte
économique et financier international est mouvant et fragile, mais la campagne
démarre sur des agrégats économiques très corrects, assure Christian Paly,
président d’Inter-Rhône.
Nous avons destocké sur les deux dernières campagnes. La vendange 2011 est
bonne et pas trop abondante. Néanmoins, nous faisons attention car sur certains
marchés, nous observons une forte croissance, comme en Amérique du Nord ou
en Asie.
En revanche, nous sommes en légère régression en Grande Bretagne, et à + 0,5
% seulement en France. ” Même son de cloche en Provence, où Jean-Jacques
Bréban, président des négociants se veut optimiste : “ À ce jour, il n’y a pas de
stocks. Les 2011 vont donc être commercialisés très vite, dès le mois de janvier.
C’est une très bonne chose.
De plus, les prix sont stables à la production, et les acheteurs traditionnels
viennent déguster et se projettent aux achats. 2012 s’annonce donc plutôt bien.
La demande est soutenue aux Etats-Unis, au Brésil et en Chine. En revanche,
nous observons un ralentissement au Royaume-Uni et en Allemagne. ”
Amérique du Nord et Chine tirent les exportations
Ces observations confirment celles de la Fédération des Exportateurs de Vins et
Spiritueux de France (FEVS). “ Il est très dur de prévoir ce qui va se passer en
2012, prévient Benoît Stenne, délégué général adjoint de la FEVS.
L’année 2011 a été bonne. Mais nous avons des inquiétudes sur la zone euro, et
ce d’autant plus que l’Europe est notre premier marché à l’exportation en volume.
Le contexte financier européen pourrait donc entraîner quelques problèmes pour
2012. Nous sommes vigilants.
L’année 2011 a été bonne. Mais nous avons des inquiétudes sur la zone euro, et
ce d’autant plus que l’Europe est notre premier marché à l’exportation en volume.
Le contexte financier européen pourrait donc entraîner quelques problèmes pour
2012. Nous sommes vigilants.
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Marché français
À l’heure actuelle, la bonne tenue des Etats-Unis, notre premier marché en valeur, et
de l’Asie qui connaît une très forte croissance, compense avec le demi-sommeil de
l’Europe.
Néanmoins, il ne faut pas perdre de vue que ce sont des marchés capables de se
retourner très vite, contrairement au marché européen, qui ne s’effondre jamais
entièrement. ” La viticulture va-t-elle replonger dans les affres de la crise comme en
2008, ou tenir le coup grâce à une situation micro-économique saine ? Réponse dans
quelques mois.
Source : Réussir Vigne Janvier 2011
Les soles de blé tendre et de colza pourraient atteindre des
niveaux élevés
Estimée à 7 millions d’hectares, selon Agreste, la sole en céréales d’hiver
dépasserait en 2012 le niveau des trois dernières années, sans atteindre le
record de 2008. Les semis de blé tendre d’hiver, à plus de 5 millions d’hectares,
augmenteraient d’environ 50 milliers d’hectares par rapport à 2011. La sole
d’orge d’hiver se redresserait après une baisse régulière depuis 2009. La sole
de colza d’hiver, avec près de 1,6 million d’hectares, s’étendrait de 40 milliers
d’hectares.
Selon les premières estimations du SSP, la sole de céréales d’hiver atteindrait 7
millions d’hectares en 2012. Dans l’ensemble, les semis n’auraient pas connu de
difficulté majeure. Le contexte de prix a également été assez incitatif aux intentions
de semis pour plusieurs des cultures d’hiver. Les conditions climatiques automnales
et du mois de décembre particulièrement douces ont entraîné un développement
important des cultures.
Poursuite de la hausse des surfaces en blé tendre d’hiver
Avec 5054 milliers d’hectares, la sole de blé tendre d’hiver gagnerait 1 % par rapport
à 2011 après deux années consécutives de hausse. Elle se situerait auniveau record
de l’année 2008. La sole de blé dur d’hiver s’accroîtrait, notamment en région Centre,
mais resterait au niveau national légèrement inférieure à la moyenne quinquennale.
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Marché français
La sole d’orge d’hiver s’étendrait à nouveau
Après deux années de baisse, la sole d’orge d’hiver progresserait à nouveau en 2012. Elle
demeurerait toutefois inférieure de 9 % à la surface moyenne des cinq dernières années.
Les surfaces ensemencées en avoine d’hiver, qui représentaient 60 % de la sole totale
d’avoine ces deux dernières années, s’étendraient en 2012 par rapport au faible niveau de
2011.
Malgré cette reprise, elles resteraient 16 % en deçà de la sole moyenne des dix dernières
années. Les surfaces en seigle, à 29 milliers d’hectares, progresseraient légèrement. La
sole de triticale, en hausse depuis plusieurs années, se développerait encore pour se situer
à 401 milliers d’hectares. Cette céréale, traditionnellement implantée dans les régions
d’élevage, serait en 2012 surtout présente en Pays de la Loire, Bretagne, Midi-Pyrénées,
Auvergne et Limousin.
La sole de colza à son plus haut niveau depuis 2007
Les surfaces de colza d’hiver, qui représentent la quasi-totalité de l’ensemble des surfaces
de colza, gagneraient 40 milliers d’hectares par rapport à 2011. Avec 1590 milliers
d’hectares, elles se situeraient néanmoins 2 % en dessous du record de l’année 2007.
Source : Plein Champ Février 2011
Froid : pas d’inquiétudes pour les cultures céréalières
françaises
A l’issu du Conseil spécialisé Céréales, les spécialistes de FranceAgriMer l’ont confirmé :
«Malgré le froid, il n’y a pas d’inquiétudes à avoir sur l’état végétatif des cultures en
France».
Le froid n’affecte pas les cultures céréalières d’hiver en France, a réaffirmé le conseil
spécialisé de FranceAgriMer en se basant sur les données de «Céré’Obs*», l’observatoire
de l’état des cultures de FranceAgriMer.
« L’Etat végétatif des cultures ne mérite pas la spéculation intellectuelle qui se met en
place » a estimé Christian Vanier, directeur de l'Animation des filières de FranceAgriMer.
Même si les céréales d’hiver sont en avance, le stade « 1 cm » n’est en effet pas atteint
(sauf dans certaines zones de l’Ouest et des Pyrénées) et les céréales peuvent, sans
dommages, supporter les températures actuelles de -9 / -12°C.
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Plus à l’Est de l’Europe, le contexte n’est pas le même. Les températures ont chuté
à -25°/-30°C en Ukraine et en Russie, ce qui laisse augurer des dégâts importants
dus au gel. «En Ukraine, 28 à 33% de la sole céréalière en graines d’hiver pourrait
être touchée», confirme Michel Ferret chef du service marchés et études.
Des surfaces qui pourraient être ressemées en maïs, d’où une production
supplémentaire de maïs en Ukraine qui pourrait atteindre les 25MT. La production
ukrainienne toutes céréales est maintenant évaluée à 45 Mt, au lieu de 56 Mt il a
quelques semaines. La vague de froid qui sévit sur ces régions bouleverse
également le trafic maritime et fluvial et gène les exportations, notamment celles du
Kazakhstan.
Le risque « winterkill » tire les prix du blé
L’inquiétude qui prévaut sur ce risque de « winterkill » et l’éventualité d’une
intervention du gouvernement russe pour limiter ses exportations tirent les prix du
blé tendre vers le haut.
Le marché mondial du blé est pourtant plutôt « détendu » : les estimations de
production mondiale de blé ont en effet, une nouvelle fois, été revues à la hausse et
s’établissent désormais à 691Mt.
Au 3 février, le blé tendre FOB Rouen cotait 216 €/t (avec majorations mensuelles),
soit une progression de 19% en deux mois, d’après FranceAgriMer. Une hausse qui
entraîne dans son sillage les cours de l’orge et du maïs : le FOB Atlantique cotait
211 €/t le 3 février contre 191€/t début décembre, soit une hausse de 10%.
Le Conseil spécialisé pour la filière céréalière a, par ailleurs, apporté son soutien au
projet de mise à grand gabarit de la Seine entre Nogent et Bray. Ce projet, en cours
d’enquête d’utilité publique, « présente un grand intérêt logistique pour les filières
des grandes cultures, soucieuses de développer les modes de transport durables
comme la voie fluviale », a souligné le président du Conseil spécialisé, Rémi
Haquin.
Un projet qui permettrait à des péniches de 2 500 tonnes de naviguer sur ce
tronçon, soit une réduction de 25% du coût du transport par rapport à la logistique
fluviale petit gabarit actuelle, et de moitié par rapport à une logistique route.
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Marché français
* Céré’Obs : En cours de déploiement dans 16 régions représentant 80 % de la
production française de céréales, l’Observatoire mis en place par FranceAgriMer pour
observer l’état des cultures aux différents stades de développement végétatifs, publiera
ses données à compter d’avril prochain sur internet.
Source : Plein Champ Février 2012
Record du monde de battage - La Lexion 770 entre dans le livre des
records
Une nouvelle moissonneuse batteuse vient de rentrer dans le Guinness World
Records, la Claas Lexion 770 TT. Le record était de récolter la plus grosse quantité
de blé en huit heures.
Sur une ferme dans le Lincolnshire, en Angleterre la moissonneuse-batteuse Claas
Lexion 770 TT a battu le record du monde de battage (en huit heures) avec 675,84
tonnes, soit une augmentation de 22,5% par rapport au précédent record du monde
établi en 2008 par la New Holland CR9090.
Réalisé en septembre 2011, ce nouveau record a été confirmé à l’occasion du
salon allemand Agritechnica par un certificat de Guinness World Records,
remis de la main de Jack Brockbank, représentant officiel de Guinness World
Records.
Source : Terre Net Février 2012-02-09
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Marché français
Rapport annuel 2012 de la Cour des comptes - Les aides d’urgence
ne sont pas satisfaisantes et ne peuvent perdurer en l’état
La Cour des comptes déplore que le ministère de l’Agriculture et ses services
n’aient pas les indicateurs pertinents pour apprécier la gravité des crises
affectant les filières requérant de nouveaux soutiens. Leur montant relève
plutôt de négociations « avant même que les retombées réelles des crises
soient connues », écrivent les rapporteurs.
Comme chaque année, un des chapitres du rapport annuel de la Cour des Comptes
est consacré à l’agriculture et aux fonds publics alloués. L’édition 2012 porte sur les
aides d’urgence versées durant les années 2006 à 2009, y compris les versements
intervenus au titre des années précédentes en 2010.
Suivant les situations de crise à couvrir, ces aides proviennent, pour rappel, du
fonds national de garantie des calamités agricoles (Fngca devenu par la suite le
Fnca) et du fonds d’allègement des charges, complétés par des aides à la
trésorerie. Les dispositifs de redressement portaient aussi sur les cotisations
sociales et des exonérations de taxes fiscales (Tfnb et Tic).
La Cour des comptes déplore que le ministère de l’Agriculture et ses services
n’aient pas les indicateurs pertinents pour apprécier la gravité des crises affectant
les filières requérant de nouveaux soutiens.
Leur montant relève plutôt de négociations « avant même que les retombées
réelles des crises soient connues », écrivent les rapporteurs.
Aussi, ces aides allouées ne constituent pas, selon eux, une réponse «
satisfaisante ni pour les agriculteurs qui préfèrent vivre de leur revenu de leur
exploitation que des aides publiques, ni pour l’Etat qui paradoxalement décourage
les nécessaires évolutions structurelles, en intervenant de manière asymétrique lors
des crises, tout en ignorant les périodes d’embellies ».
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Marché français
Pour remédier à ces anomalies, l’institution recommande en cette période de restriction
budgétaire, que le secteur agricole se dote d’un certain nombre de moyens pour mieux
supporter les crises avec « la mise en place d’un système de couverture des risques » à la
fois individuel et collectif.
Réponse du ministre de l'Agriculture
Ce système de couverture des risques renforcerait les outils existants (Dpa, moyenne
triennale) et développerait un système de responsabilité collective comme la
contractualisation ou encore les fonds d’assurance récoltes. « Le recours à la solidarité
nationale ne serait ainsi réserver qu’aux crises les plus graves, et le versement des aides
serait subordonné à l’intervention des deux niveaux de couverture individuels et collectifs ».
Et pour que les erreurs du passé ne se reproduisent pas, la Cour des comptes demande
au gouvernement français « de rendre juridiquement plus sûres les aides allouées au
regard du droit communautaire » en vérifiant leur euro-compatibilité et en s’assurant de ne
pas dépasser le plafond des aides des minimis (7.500 € sur 3 ans).
Pour justifier la complexité des dispositifs décrits par la Cour des comptes, Bruno Le Maire,
ministre de l’Agriculture, s’appuie sur la multiplicité des situations à chaque survenance de
crise. Des crises qui n’affectent pas du reste l’ensemble du secteur agricole mais des
filières tour à tour. Par ailleurs, dans sa réponse de 5 pages, le ministre de l’Agriculture,
rappelle la nécessité d’agir rapidement à chaque survenance de crise pour préserver
l’emploi et les filières menacées. Mais « la rapidité d’action n’exclut pas la réflexion ». « Le
ministère n’agit jamais sans expertise précise ».
La Cour des comptes à Paris. (© DR)
Renforcer les filières face aux aléas
Sur la régularité des aides versées, Bruno Le Maire assure
que « rien n’est décidé qui va à l’encontre de la
réglementation, car il n’y a pire situation que de demander aux
agriculteurs le remboursement d’une aide octroyées quelques
années plus tôt ».
Enfin, « les solutions apportées ces dernières années (au
niveau national et européen – ndlr) vont dans le sens d’un
renforcement des filières face aux aléas. Les négociations
récentes et en cours privilégient la mise en place d’outils de
couverture des risques ».
Source : Terre Net Février 2012
Actualité Web Marketing
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Publicité sur Facebook : 24h00 lance sa plate-forme
Boosket Ads V2
La nouvelle version de la plate-forme de création et d'achat d'espace sur Facebook
revisite création de publicités, outils statistiques et reporting.
Publié le 17/01/2012, 12h12
24h00-Boosket annonce le lancement de la deuxième version de sa plateforme de
création et d'achat d'espace sur Facebook, Boosket-Ads V2. "Nos concurrents sont
exclusivement anglo-saxon et sont là depuis plus longtemps que nous, cela ne nous a
pas empêché ces derniers mois de remporter plusieurs compétitions contre certains
d'entre eux, mais nous savons qu'en 2012 la concurrence sera rude et qu'elle se
jouera notamment sur la qualité des algorithmes d'optimisation, le tracking, la mesure
des performances, et enfin sur le Social CRM, explique Patrick Robin, président de
24h00-Boosket.
C'est pourquoi dès l'été 2011 nous avons décidé de doubler les équipes de R&D et les
investissements consacrés à Boosket-Ads. C'est ce qui nous permet aujourd'hui de
présenter une V2.0 qui comprend neuf évolutions et nouveautés majeures comparée à
la V.1 "
Les principales évolutions concernent tout d'abord la création de publicités, au travers
d'un outil amélioré de création automatique de campagnes, d'un outil de duplication de
campagne et d'un outil permettant de modifier plusieurs campagnes à la fois. Par
ailleurs, un "time scheduller" est dédié à la programmation des jours et heures de
diffusion des publicités.
Trois nouveautés statistiques voient également le jour : un tracker de conversions
multicanales auquel attribuer des conversions aussi bien sur Facebook qu'en dehors
du réseau social, des statistiques en temps réel plutôt que quotidiennes, ainsi que des
statistiques associées à des mots clés. Enfin, Boosket-Ads V2 facilite l'export de
données avec un outil de reporting personnalisable. Lancée en mai 2011, la première
version de Boosket-Ads a déjà convaincu Lacoste, Marionnaud, Vertbaudet, 3Suisses
ou encore Kobojo.
Source : http://www.journaldunet.com
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Une croissance à deux chiffres en 2011
Comme prévu, le marché français de la publicité a enregistré une croissance à deux
chiffres en 2011, selon la septième édition de l'Observatoire de l'e-pub réalisé par
Capgemini Consulting pour le Syndicat des régies Internet (SRI). Les
investissements nets en communication online ont progressé de 11% pour
atteindre 2,561 milliards d'euros. Une croissance contrastée par un ralentissement
certain des investissements sur la seconde moitié de l'année.
Evolution du marché sur les principaux canaux de la communication online entre
2009 et 2011 en millions d'euros © S. de P. SRI / Capgemini Consulting
Search et display continuent de se tailler la part du lion du marché. Le search en
représente à lui seul près de 42% avec près de 1,1 milliard d'euros investis.
Les budgets consacrés aux liens sponsorisés connaissent une augmentation de
11% dans la moyenne du marché de l'e-pub, notamment liée à l'augmentation du
nombre de requêtes de 18% en France en 2011. Les acteurs du secteur, Google
en tête ont par ailleurs beaucoup travaillé la cible des PME, encore peu utilisatrice
de ce levier marketing.
Comme en 2010, le display affiche une croissance plus forte que le search de
14%. Avec 616 millions d'euros, les bannières et autres types de publicité
graphiques représentent près du quart du marché de la publicité online. La
croissance des investissements sur les médias sociaux a fortement contribué à
tirer le display en 2011. "Sans les réseaux sociaux, la croissance du display
retombe à +10%", concède Jérôme Bourgeais, directeur associé de Capgemini
Consulting.
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Autre facteurs de croissance pour le display : l'essor de la publicité vidéo, qui a
représenté 60 millions d'euros nets en 2011, soit un doublement des investissements
sur un an. "En une année, l'inventaire vidéo disponible et commercialisable a été
doublé", précise Jérôme Bourgeais qui ajoute que les CPM des formats vidéo se sont
maintenus à des niveaux élevés. Les opérations spéciales ont par ailleurs
progressé de 22% pour rapporter 55 millions d'euros. Cette demande pour des
opérations qualitatives n'a pas pour autant freiné la demande de display à la
performance, qui représente désormais plus du quart des dépenses du display.
Source : http://www.journaldunet.com
Les candidats intéressés par le dossier de reprise du fabricant de panneaux solaires
ont jusqu’à ce 10 février à minuit pour se faire connaitre. L’électricien français devrait
donc être parmi eux.
Le groupe EDF a confirmé avoir l’intention de déposer une offre de reprise de
Photowatt. Une déclaration faite par un porte-parole après l’annonce du président de la
République allant dans ce sens le 9 février.
En effet Nicolas Sarkozy a annoncé qu’il allait se rendre sur le site du groupe
Photowatt à Bourgoin-Jallieu la semaine prochaine. Avec pour objectif de présenter
aux salariés une formule de reprise industrielle grâce à EDF. Selon une source proche
du dossier, l’électricien qui avait déclaré son refus de reprendre l’entreprise aurait été
pressé de le faire par l’Etat.
Dans le détail, EDF pourrait reprendre 370 salariés de l’entreprise et classer les autres.
Le groupe Photowatt emploie 440 salariés sur le site de l’Isère. EDF pourrait aussi ne
reprendre l’entreprise que pour une période de 3 à 4 ans, le temps que le marché du
solaire reprenne des couleurs.
Depuis son dépôt de bilan en novembre et son placement en redressement judiciaire,
Photowatt cherche une solution pour garantir tant l’avenir de l’entreprise que de ses
salariés. L’annonce du président de la république a été plutôt bien accueillie par les
salariés et la direction. "C'est une bonne nouvelle. On lui réservera le meilleur accueil
possible", s'est félicité Vincent Bès, directeur général de Photowatt.
C’est le 21 février que le tribunal de commerce de Vienne devra se prononcer sur les
différents dossiers. Selon l’AFP, le groupe franco-italien STMicroelectronics aurait pour
sa part renoncé à la reprise.
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Le marché de la pub vidéo dépassera les 5 milliards de dollars d'ici 2016
5,4 milliards de dollars seront investis dans l'e-pub vidéo d'ici 2016 contre 2 milliards
en 2011 en Amérique du Nord, Asie et Europe. Publié le 09/01/2012, 12h54
L'attrait pour la publicité vidéo se confirme. Selon Forrester, les investissements
publicitaires mondiaux dans les formats vidéo devraient passer de 2 milliards de
dollars en 2011 à 5,4 milliards à l'horizon 2016 en Amérique du Nord, Europe et Asie,
soit une explosion de 250%. Le développement de contenus vidéo professionnels (et
donc monétisables) associé à la multiplication des terminaux capables de diffuser de la
vidéo devraient notamment favoriser la forte croissance de ce type de publicités.
Selon l'auteur de l'étude, Stacy Stokes, les marques vont devoir abandonner leur
stratégie de communication TV pour adopter une vision plus holistique de la publicité
vidéo intégrant les canaux digitaux en plus de la TV traditionnelle. Car si la télévision
permet de toucher l'audience la plus vaste, certains profils de consommateurs sont de
plus en plus difficiles à toucher uniquement via la TV. En France, la publicité vidéo
pourrait représenter un marché de 60 millions d'euros en 2011, selon des prévisions du
SRI et de Capgemini Consulting.
Source : http://www.journaldunet.com
L'envoi d'e-mails marketing a progressé de 16% en 2011
Un internaute américain a reçu en moyenne 177 e-mails commerciaux en 2011, dont
une quarantaine pour les fêtes de fin d'année.
Publié le 04/01/2012, 12h24
177 : c'est le nombre moyen d'e-mails promotionnels envoyés par les annonceurs à
chaque internaute américain au cours de l'année 2011, indique une étude du service
de gestion de campagnes Responsys basée sur l'analyse des pratiques d'une centaine
d'e-commerçants US. Ce nombre est en progression de 16% par rapport à 2010.
Cette augmentation s'explique notamment par un accroissement de l'envoi d'e-mails
commerciaux de dernière minute durant la période des fêtes. Entre novembre et
décembre 2011, 41 e-mails promotionnels ont en moyenne été envoyés à chaque
internaute, soit une croissance de 20% par rapport à la même période l'année
précédente. Responsys prédit une augmentation similaire du nombre d'e-mails
envoyés pour 2012.
Source : http://www.journaldunet.com
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Les impressions publicitaires sur Smartphone ont augmenté de près
de 500% en un an sur le réseau inMobi
InMobi, régie publicitaire indépendante sur mobile, smartphones et tablettes, vient de
publier son «InMobi Mobile Market 2011», qui dévoile les tendances issues de
l'analyse de l'activité mobile des 12 derniers mois dans le monde. InMobi a distribué
200 milliards d'impressions dans 140 pays au 4ème trimestre 2011. Selon la régie, les
contacts distribués sur mobiles ont augmenté de 251% au dernier trimestre 2011
tandis que ceux sur smartphone ont quasiment quintuplé. L'Europe a tiré ce marché,
avec respectivement +358% et +722%.
Ce bond est lié à l'explosion des publicités hébergées dans les applications ainsi qu'à
l'adoption massive des tablettes, où les contacts distribués (11,2 milliards) ont explosé
de +771%. Une tendance qui va se prolonger en 2012, selon la régie, qui souligne que
l'ensemble de ces appareils va progressivement se substituer aux PC tandis que la
demande consommateur continuera à stimuler l'innovation dans ce marché.
Sur le plan des systèmes d'exploitation, la concurrence exacerbée entre l'iOS
d'Apple et Android se solde par l'avance de ce dernier à la fin de 2011. Au dernier
trimestre 2011, Android a représenté 21% des contacts distribués par InMobi, tandis
qu'Apple se contentait de 17%, devant Nokia et Symbian. Une hiérarchie qui a des
chances de se reproduire en 2012, selon InMobi. En Europe, la bataille était plus
serrée, fin 2011 avec 32% de part de marché au dernier trimestre pour Android
contre 28% pour Apple, qui a été soutenu par les lancements de l'iPad 2 et de
l'iPhone 4S.
Source : http://www.offremedia.com
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L’audience d’Internet en décembre 2011
Médiamétrie//NetRatings a publié les résultats d’audience d’Internet de décembre
dernier.
En décembre, Amazon et SFR gagnent chacun plus de 2 millions de visiteurs
uniques. La Fnac et YouTube gagnent plus de 1,5 million de VU en un mois. C’est
Météo France qui progresse le plus en données relatives (+17,6% de VU). Le
Journal des Femmes et Notre Famille progressent respectivement de 13,2% et de
11,1%.
Parmi les sites issus de marques plurimédias, France Télévisions affiche la plus forte
hausse en nombre de VU : +0,5M de VU à 8,9M de VU. En progression relative,
l’Equipe progresse de 7,4% à 5,1M de VU.
Les leaders progressent encore : le leader Google dépasse les 37 millions de VU et
gagne 0,6M de VU par rapport à novembre. Facebook approche les 29 millions de
VU et gagne 1,2M de VU tandis que MSN/Windows Live gagne 1,18M de VU, à
26,7M de VU.
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Marché allemand Janvier
Un niveau record pour les ventes de tracteurs
En 2011 l’Allemagne enregistre 35 977 immatriculations de tracteurs, soit le plus grand
nombre de nouveaux tracteurs depuis 1983. Le marché est en hausse de 26% par
rapport à l'année dernière.
L’augmentation des immatriculations se fait notamment dans les deux catégories
suivantes :
+37% dans le segment des mini-tracteurs à 50 CV (37 kW).
+37% également pour les tracteurs supérieurs à 190 CV
Au total plus de 28 419 unités vendues de tracteurs de plus de 51 CV
La croissance du revenu chez les agriculteurs accélère la demande
l'agence de statistiques Eurostat estime que le revenu des agriculteurs allemands a
augmenté de 15% en 2011.
Kesla ouvre une filiale en Allemagne
La société finnoise Kesla, spécialisée dans la production de matériel forestier, étend ses
activités vers l’Allemagne et fonde une filiale au Bade-Wurtemberg. Cette filiale
s’occupera de la commercialisation, du marketing et de l’après-vente de tout les
produits Kesla en Allemagne.
Le Bade-Wurtemberg prend la présidence des conférences des ministères de
l’agriculture Allemands :
Une année passionnante attend Alexandre Bonde (Partie Vert), ministre de l’agriculture
du Bade-Wurtemberg : « 2012 sera une année mouvementée pour la politique agricole
de l’Europe ».
En effet cette année commence les négociations sur la politique Agricole Commune de
l’Europe(PAC), qui devra être finalisée en 2014.
Le plus gros travail de la réunion des ministres allemands sera de formuler les positions
du pays et les défendre au mieux lors des discussions au niveau Européen. « Le but est
de garder nos producteurs compétitifs, et de remettre l’environnement et le social au
centre du débat“ dit Alexandre Bonde.
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Solde négatif pour les ventes de machines agricoles en
Italie pour 2011
Les ventes de tracteurs en 2011 se clôturent avec un résultat décevant, selon les
données compilées par FederUnacoma, avec une hausse de seulement 0,5%, (23 431
unités contre 23 323 en 2010).
Le résultat 2011 s'aligne donc sur le même niveau que l'an dernier - qui s'était terminé par
une baisse des ventes de 13,8% - et qui déçoit les operateurs du secteur. Les bons
résultats des premiers mois de 2011 avaient alimenté le sentiment que le marché pouvait
marquer une inversion de tendance, mais en dépit d'un +22,9% au cours des quatre
premiers mois de l'année, il ya eu une baisse constante des ventes au cours de l’été et
même un effondrement pendant l'automne (-24,8% en Septembre, -19,4% en Octobre)
qui a en fait neutralisé la tendance positive enregistrée en début d'année.
Si pour les ventes de tracteurs le marche stagne, pour les autres types de machines le
déclin des ventes continue: pour les moissonneuses-batteuses la baisse sur l’année est
de -7,2% (411 unités vendues, contre 443 en 2010), pour les transporteurs, le recul est de
- 12,2% (1 539 unités contre 1 753 en 2010) et les remorques enregistrent une baisse de
0,6% (11 694 unités contre 11 746 en 2010). La phase négative est encore plus évidente
si on pense que pour les moissonneuses-batteuses l’année 2010 avait déjà enregistrée
une baisse des ventes de 13,1% (8,9% pour les transporteurs).
Source : Agronotizie : http://agronotizie.imagelinenetwork.com/agrimeccanica/2012/01/19/macchine-agricole-il-mercato-italiano-
chiude-in-negativo-14688.cfm
Marché italien Janvier
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Le pays émergents redonnent du souffle au marché du machinisme
Dans la première moitié de 2011 éclairs positifs pour l'Union européenne (+15,6%
d’augmentation en moyenne pour les ventes de tracteurs agricoles), avec de bonnes
performances pour le marché allemand (+31,8% au premier semestre, qui devrait se
stabiliser à +20% sur 12 mois ) et la France (+20,9%, mais avec une tendance à la
baisse). En difficulté les pays de la méditerranée : les marchés en Espagne, au Portugal
et en Grèce enregistrent un contraction. L'Italie est aussi en récession : avec la fin des
aides à la casse, les bon résultats du début d’année ne se confirment pas, et l’année se
termine avec un +0,5%. Le marché s’effondre en Afrique du Nord et dans la partie du
Moyen-Orient qui donne sur la Méditerranée : au cours des six premiers mois de 2011 les
exportations italiennes se sont effondrés en Syrie (-81%), au Liban (-35%), en Egypte (-
66%), Libye (-42,6%), Tunisie (-28%), Algérie (-42 %) et Maroc (-52%).
La Turquie enregistre de son coté une tendance extrêmement positive, avec environ 55
000 tracteurs vendus en 2011 dans le segment des plus de 30 cv (+65%) ; et qui a permis
aux constructeurs italiens d’enregistrer une augmentation de 359% des exportations dans
le premier semestre 2011.
Dans les pays du BRIC, on prévoit déjà pour la Chine, pour 2012, un bond de 10% par
rapport à 2011. Même pourcentage pour le Brésil, après une 2011 très satisfaisant, qui a
vu une hausse des ventes des tracteurs de grosse puissance et machines combinées
entre 10% et 17%. Une accélération de l'ordre de 20% est prévue pour le marché indien
en 2012, augmentation de la demande qu’ira impacter seulement en partie sur les
exportations des pays occidentaux traditionnellement producteurs de machines agricoles
(Etats-Unis, Allemagne, Italie), et qui sera largement couverte par la production locale
.
Source : http://agronotizie.imagelinenetwork.com/agrimeccanica/2012/01/12/i-paesi-emergenti-risollevano-la-meccanica-agricola-
14644.cfm
Marché italien Janvier
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Agriaffaires.es part au Salon FIMA 2012
Salon "FIMA" de Saragosse, 1ère vitrine de matériels agricoles en Espagne.
La Foire internationale de la machine agricole (FIMA) de Saragosse est le plus grand
salon dédié aux machinisme agricole en Espagne. La 37ème édition (du 14 au 18 février
20012), sur une surface de plus de 90 000 m2.
Le parc des expositions de Saragosse a reçu 1 257 exposants venus à 45 % d´Espagne.
Les constructeurs français sont très présents à ce salon d´envergure internationale
puisqu´ils arrivent au troisième rang du nombre d´exposants : 80 constructeurs français
juste après les 281 entreprises italiennes et les 559 sociétés espagnoles.
Les plus grands du machinisme agricole français se retrouvent ainsi à Saragosse :
Agrisem International, Berthoud, Blanchard, Bugnot, Goizin, Grégoire, Grégoire-Besson,
Kuhn, Mailleux, Manitou, Michelin, Pellenc, Quivogne, Rabaud, Renault Agriculture,
Ribouleau, Sulky, Tecnoma, Yanigav, etc.
Ce salon en pleine expansion est aussi un moment privilégié pour la présentation de
nouveaux matériels, de nouvelles gammes d´équipements, parfois retenus par le jury du
concours de l´innovation technique.
Marché espanol Janvier
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Privatiser les terres pour soutenir la production
agricole
Le Premier ministre ukrainien, Mykola Azarov, a affirmé que son pays ne pourrait pas
satisfaire la demande alimentaire intérieure sans une réforme de la propriété des terres
agricoles, dans une interview accordée à l'agence Interfax-Ukraine.
Il s'est inquiété d'importations de viandes, inimaginable il y a 20 ans, selon lui. Le
problème du secteur agricole « est devenu une menace pour notre sécurité », a-t-il
déclaré.
Selon le Premier ministre ukrainien, il est primordial de développer l'investissement et de
changer d'attitude au sujet du foncier afin de favoriser « l'instinct du propriétaire » qui se
sent responsable de la terre sur laquelle il travaille.
Mykola Azarov a également fait part de sa surprise au sujet de l'expansion de cultures
industrielles comme le colza, qui ne respectent pas la rotation des cultures, rapporte
Interfax-Ukraine.
Au sujet du risque de spéculation sur les terres agricoles que pourrait engendrer une
privatisation, le Premier ministre a expliqué l'acquisition de terres à grande échelle par
des étrangers pourrait être limitée par des dispositions législatives.
La réforme du secteur agricole pourrait être réalisée en 2012. « La tâche de notre
gouvernement », pour les un ou deux ans qui viennent « est de transformer la terre en
une ressource d'investissement, avec l'aide de laquelle nous allons mobiliser des fonds
considérables », a-t-il dit.
« La question est complexe. La question est politique. Par conséquent, il est clair que
nous allons élaborer un projet de loi et nous allons mener des discussions du projet de loi
essentiellement avec les agriculteurs et les habitants des régions rurales », a également
affirmé le Premier ministre ukrainien.
« Nous essayons de trouver une formule qui nous permette de prendre en compte
l'expérience internationale et nos pratiques traditionnelles en matière de foncier », a-t-il
également déclaré.
http://www.lafranceagricole.fr
Marché russe et ukrainien Janvier
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Marché du Royaume uni et irlandais Janvier
John Deere tient le marché bien que les ventes de
tracteurs tombent.
John Deere a conservé sa part de marché des tracteurs d'environ 30 pour cent en 2010.
Alors que la part de marché de CNH a plongé depuis 2009, les efforts combinés de New
Holland et Case IH les maintienne a la deuxième place.
En troisième place, Agco a augmenté sa part de marché de 1,4 pour cent, grâce à une
augmentation des ventes de l'ensemble de ses marques.
Claas poursuit son augmentation de part de marché, passant de 5,1 pour cent en 2008
à 6,2 pour cent en 2010. L’autre moitié reste féroce avec SDF, Kubota et AgriArgo se
positionnant autour de la barre des 4%.
Les chiffres pour l'année dernière ne peut pas être révélé encore, en raison à la
Commission européenne ne permettant l'analyse des informations sur la société une
année en retard.
Toutefois, les ventes de tracteurs globales ont chuté d'un sommet de 18 564 en 2008
à 14486 en 2010. Cette grande chute était due à plusieurs facteurs en 2008, plus
particulièrement les prix élevés des matières premières et un environnement sain du
marché à l'exportation.
Total des tracteurs immatriculés en 2011 était 14 094, la moyenne pour la décennie
précédente, explique M. Evans. "Les perspectives de l'industrie pour les deux
prochaines années reste soutenue. Les chiffres de vente ne sera probablement pas
augmenter, à moins que nous voyons une autre série de circonstances extraordinaires,
comme en 2008.
"Comme les fermes augmentation de la taille, les tracteurs aussi, donc moins de
tracteurs sont nécessaires."
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Marché belge Janvier
Machinisme agricole en Europe
Les commandes enregistrées par ll'industrie européenne du machinisme agricole ne
cessent de croître depuis fin 2011, d'après Ralf Wezel, Secrétaire général du CEMA, le
Comité européen du machinisme agricole, dont Agoria fait partie pour la Belgique.
L'indice de confiance s'est encore amélioré au cours des deux derniers mois. Seuls 13
pour cent des représentants des entreprises ne sont pas satisfaits de la situation
actuelle; un représentant sur deux, ou presque, s'attend à une progression du chiffre
d'affaire durant les six prochains mois.Selon des estimations, le chiffre d'affaires du
machinisme agricole a progressé de 20 pour cent en 2011, pour atteindre 26 milliards
d'euros. Les marchés d'Europe de l'Est (Russie, Ukraine...), ont connu une
augmentation encore plus forte, après un net recul en 2009 et 2010.
Le nombre de commandes en France et en Allemagne reste très important: les ventes
du premier semestre 2012 seront plus élevées que l'an passé. Pour le second
semestre, il faut s'attendre à une demande relativement stable.
Le Cema représente le secteur des machines agricoles en Europe, soit 4.500
constructeurs qui emploient quelque 135.000 personnes directement, plus 125.000
chez les distributeurs et prestataires de services.
La vague de froid et les cours du pétrole tirent les prix agricoles vers le
haut
Après avoir progressé de 5 à 7 euros par tonne le 31 janvier, les prix des céréales et
des oléagineux ont encore progressé d'environ 2 euros par tonne le 1er février sur les
marchés à terme en raison des craintes liées à l'arrivée de conditions froides sur
l'Europe. Les cours sont aussi tirés par un baril de pétrole approchant les 100 $ à New
York.
Les cultures ayant profité d'un hiver relativement doux jusque-là ont, pour certaines,
dépassé le stade leur permettant de passer l'hiver. En Europe de l'ouest, c'est
particulièrement le cas du colza et du blé dur.
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Marché belge Janvier
De plus, une chute brutale des températures en Ukraine et en Russie, atteignant -20
°C à -30 °C, a mis en état d'alerte les marchés agricoles. Ces derniers craignent pour
les cultures de colza dont le développement végétatif, en avance, pourrait amener à
leur destruction par le gel. De plus, des conditions sèches ne permettent pas une
couverture neigeuse suffisante pour protéger les cultures de ces températures
critiques.
OGM: Hausse de 8 % dans le monde
Dans son rapport annuel, publié le 7 février, l'Isaaa - organisation internationale non
gouvernementale active dans le développement et le transfert de biotechnilogies - note
que les surfaces cultivées avec des plantes génétiquement modifiées ont progressé de
12 millions d'hectares (Mha) pour atteindre 160 Mha en 2011.
En Europe, les surfaces demeurent dérisoires, même si elles ont augmenté pour
atteindre un record (tout relatif !) de 114.490 ha de maïs Mon 810 contre 91.193 ha en
2010. A cela s'ajoutent les 17 ha cultivés en Allemagne et en Suède avec la pomme de
terre transgénique Amflora.
Les dix pays qui cultivent le plus d'OGM à l'échelle mondiale sont: les États-Unis (69
Mha), le Brésil (30,3 Mha), l'Argentine (23,7 Mha), l'Inde (10,6 Mha), le Canada (10,4
Mha), la Chine (3,9 Mha), le Paraguay (2,8 Mha), le Pakistan (2,6 Mha), l'Afrique du
Sud (2,3 Mha) et l'Uruguay (1,3 Mha).
Le soja transgénique est le principal OGM cultivé dans le monde avec 73,3 Mha soit
près de 50 % des surfaces. Suivent le maïs (46,8 Mha), le coton (21 Mha) et le canola
(7 Mha).
La tolérance aux herbicides reste le caractère le plus utilisé (93,9 Mha soit 59 % des
terres cultivées avec des cultures génétiquement modifiées). Les variétés à double
caractère (résistance aux herbicides et aux insectes) progressent fortement (+31 %)
pour atteindre 42,2 Mha en 2011.
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Marché français En Février
SIA 2012 : la formation, l’enseignement, les métiers…
« La formation, l’enseignement, les métiers… » est le thème du Salon International de
l’agriculture cette année. Objectif : donner envie aux jeunes de se diriger dans les
filières agricoles. Agroalimentaire, aménagement du territoire, services vétérinaires…
5000 offres d’emploi en agroéquipement au Salon de l’agriculture
La filière agroéquipement a 5000 emplois à pourvoir à court et moyen terme. Elle sera
présente au Salon de l’agriculture pour faire connaître ses besoins et ses filières, avec
force machines, professionnels et étudiants.
Salon international de l’agriculture ou salon national de l’emploi en agriculture ? Pour le
Pôle Agroéquipement, qui rassemble les industriels (Axema), les concessionnaires
(Sedima) ainsi que l’Aprodema, l’Association professionnelle de développement de
l’enseignement du machinisme agricole et des agroéquipements, la question ne se pose
pas. Si la filière investit le Salon international de l’agriculture, c’est bel et bien pour faire
savoir au grand public que la machine agricole est un secteur porteur, porteur d’emplois
divers et variés, porteur de carrières professionnelles, porteur de technologies high-
tech. En résumé, porteur d’avenir. Professionnels, enseignants, chefs d’entreprise, et
étudiants seront chargés de faire passer le message auprès des visiteurs, dont
l’attention devrait être retenue par la présence de machines.
500 offres d’emploi en direct du Salon
Parmi les constructeurs partenaires de l’opération, on peut citer les groupes Cnh (Case
IH, New Holland), Same-Deutz-Fahr (Deutz, Same, Lamborghini, Grégoire) ou encore
Merlo pour ce qui concerne les automoteurs agricoles, ainsi que Husqvarna (robot de
tonte), Lely (robot de traite), Stihl (tronçonneuse), Würth (outillage) et Kverneland pour
ses solutions électroniques embarquées.
La filière agroéquipement escompte recruter 5000 personnes à court et moyen terme,
dont 90 % en CDI. Sur le stand du Pôle Agroéquipement, 500 offres d’emploi seront
affichées. Toutes filières confondues, le Salon international de l’agriculture fait des
métiers et des formations le fil conducteur de sa 49ème édition. Rendez-vous au Pôle
Agroéquipement, hall 3 E92, Salon international de l’agriculture, du 25 février au 4 mars.
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Marché français En Février
Kubota & Same Deutz-Fahr - Same Deutz-Fahr dément toute
négociation
( Publié le 28/02/2012 à 06h41 )
Par un communiqué datant du 23 février dernier, le tractoriste dément toute négociation
avec le groupe Japonais. Lodovico Bussolati, Pdg de Same Deutz-Fahr, en a profité pour
affirmer la volonté de développement et d'indépendance du groupe italien.
Same Deutz-Fahr dément toute négociation avec Kubota (© DR)
En réponse à la récente rumeur concernant l’intérêt de Kubota pour le rachat potentiel du
groupe italien, le tractoriste dément toute négociation en cours et ajoute qu’il n’y a jamais
eu de contact entre Same Deutz-Fahr et Kubota à cet égard.
« Nous sommes déterminés à poursuivre notre stratégie de développement, qui consiste
à rester indépendant, à développer de nouveaux produits et à s’étendre sur les marchés
émergents à travers des Joint Ventures et des acquisitions » déclare Lodovico Bussolati,
Pdg de Same Deutz-Fahr.
Source : Terre-net Média
Dégâts de gel sur pois - Anticiper le diagnostic en vérifiant l’état et la
couleur des racines
( Publié le 27/02/2012 à 16h10 )
La vague de froid et le gel ont pu provoquer des dégâts sur les cultures de pois d’hiver,
alors déjà bien développées et même en pleine croissance. La chute progressive des
températures sur plusieurs jours et la présence parfois de neige ont fait varier le niveau
d’impacts. Pour évaluer leur importance dès maintenant, plutôt que d’attendre comme
convenu plusieurs jours après un dégel complet, alors que des fenêtres de semis de pois
de printemps devraient très vite s’ouvrir, l’Unip conseille d’observer l’état des racines et
du collet.
Il est important de vérifier l’état du collet et de la racine. Ici des dégâts foliaires mais de
belles ramifications vertes permettront au pois d’hiver de repartir. (© Arvalis-Institut du
végétal)
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Marché français En Février
« En cas de dégâts de gel en cultures de pois, il convient d’attendre le retour de
températures douces pendant plusieurs jours pour observer les conséquences : reprise
de végétation ou apparition de symptômes de dépérissement. Cependant, des créneaux
de semis de pois de printemps en remplacement pourraient survenir très vite à présent
», réagit l’Unip. L’institut donne un moyen d’anticiper le diagnostic grâce à l’observation
de quelques plantes prélevées avec leurs racines. « Dans tous les cas, ne pas précipiter
de décisions de retournement. Les dégâts du gel très tardif de mars 2010 avaient
montré les bonnes capacités de récupération du pois. »
Des plantes cisaillées au collet
La résistance au froid du pois d’hiver est maximale entre 2 et 4 feuilles et, selon les
variétés, jusqu’à des températures entre - 13 et - 18°C sans neige. « Elle diminue autour
de 6-8 feuilles (avec vrilles sur la tige principale, soit 8-10 nœuds en comptant les deux
premières écailles), lorsque l’initiation florale est atteinte », intervient l’Unip. Le froid
intense de ces dernières semaines a pu provoquer des dégâts de gel là où il n’y a pas eu
une couche de neige protectrice. « Des brûlures sur feuilles, jusqu’à des destructions de
tiges, peuvent être d’ores et déjà visibles. Dans le meilleur des cas, de nouvelles
ramifications des deux premières écailles prendront le relais. Les situations les plus
préoccupantes se situent en Champagne où des plantes ont parfois été cisaillées au
niveau du collet. Mais des plantes encore vertes aujourd’hui peuvent aussi brunir au fil
du temps. » Il est donc important de vérifier l’état du collet et des racines jusqu’à 5 cm en
dessous de la graine. « Si le collet et les racines sont bruns et mous, la plante ne
repartira pas. En revanche, s’ils sont bien blancs et sains, il y aura peu d’impact sur le
rendement. »
Semis précoces moins résistants
Afin d’établir un état des lieux plus précis de la variabilité des dégâts, l’Unip, en
collaboration avec Arvalis-Institut du Végétal, a lancé une enquête auprès de ses
partenaires (coopératives, Chambres d’agriculture, sélectionneurs,….). « L’effet du gel
semble plus important sur les semis précoces (20-25 octobre) que sur les semis plus
tardifs (vers le 5-10 novembre), réalisés conformément aux préconisations habituelles
pour du pois d’hiver, excepté dans l’Est où même des semis tardifs ont pu souffrir du
froid intense. » Par ailleurs, dans des essais semés précocement, fin octobre dans le
Centre et dans l’Ouest, les variétés plus sensibles au froid (Indiana) sont plus touchées
que les plus résistantes (Isard, James) ou les plus tardives (Enduro). « L’analyse
détaillée de cette enquête permettra d’affiner les préconisations de choix variétal et de
date de semis pour les semis de l’automne prochain. »
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Marché français En Février
COURS DES CEREALES
Marchés Physiques
Mis à jour : 28/02
Blé tendre la Pallice Féveroles Rouen
-2 €/t205 €/t =0 €/t230 €/t
Blé tendre Rouen Blé dur Départ Sud-Ouest
-2 €/t198 €/t =0 €/t250 €/t
Colza Rouen Colza Moselle
+2 €/t456 €/t +2 €/t462 €/t
Mais Creil Mais Bordeaux
-1 €/t194 €/t -1 €/t199 €/t
Orges fourragères Rouen Orge hiver Rouen
-2 €/t192 €/t =0 €/t230 €/t
Orge printemps Moselle Tournesol St Nazaire
-2 €/t258 €/t +2 €/t452 €/t
Pois fourrager Creil Pois alimentaire Creil
=0 €/t230 €/t =0 €/t230 €/t
Les immatriculations de tracteurs 2011
C’est repartit !
2011 marque la reprise des immatriculations de tracteurs agricoles. Avec 38133 unités, le
volume total retrouve le niveau de 2007, 2005 et 2003. L’’addition des modèles
comparables, c'est-à-dire les tracteurs standard et spécialisés (29980 tracteurs), connaît
une croissance de 25.6% et se compose en général de produits plus puissant et plus
sophistiqué. Hormis les zones de production de viande, touchées par la sécheresse, les
autres régions affichent toutes des progressions sensibles.
Immatriculations 2010 : 31312
Immatriculations 2011 : 38133
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Le marché de la publicité croît faiblement à +2,9% en janvier. Le display fait moins
bien.
Publié le 24/02/2012, 12h43
Selon Kantar Media, le marché du display s'est monté à 201,6 millions d'euros bruts en
janvier 2012, pour une part de marché de 10,56% du marché plurimédia. S'il gagne en
volume sur un an (+2,3%), sa part de marché baisse puisqu'elle était de 10,61% en
janvier 2011.
Les secteurs les plus dynamiques sont l'automobile (+49%), la distribution (+63,5%)
et la mode (64,2%). A contrario, certains connaissent une forte baisse, comme les
établissements financiers (-26,9%), les télécommunications (-10,1%) et l'alimentation (-
29,5%).
Le marché plurimédia (1,9 milliard d'euros bruts) croît de son côté faiblement à +2,9%,
tiré par la télévision (+10,2%), à 711,5 millions bruts. La presse, la publicité extérieure
et le cinéma sont en négatif en valeur.
La rédaction, Journal du Net
Actualité Web Marketing
e-Pub : le display fait moins bien que le
marché plurimédia en janvier
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Les bannières publicitaires de Facebook vont faire l'objet de quelques changements,
dès le 29 février, et devraient faire la part belle à l'interaction sociale.
Publié le 23/02/2012, 14h13
Selon des documents qui ont fuité et qui ont été relayés par Peter Corbett, CEO de
iStrategy Labs, les publicités Facebook vont faire l'objet de quelques retouches afin
d'améliorer leurs performances.Parmi les changements qui devraient être apportés
figurent la largeur des bannières, la promotion des contenus sponsorisés, la possibilité
de laisser les internautes commenter les publicités et de permettre aux marques d'en
changer le contenu quotidiennement.
La firme de Palo Alto, qui avec un peu plus de 1 300 milliards d'impressions en 2011
aux Etats-Unis, représente 28% du marché du display (Lire l'article, Comment
Facebook continue d’accroître son emprise sur le web du 20/02/2012), semble donc
décidé à capitaliser sur son inventaire et espère que les nouveaux formats seront 40 à
80% plus efficaces.
Nicolas JAIMES, Journal du Net
Facebook espère que ses nouvelles
bannières seront 40 à 80% plus efficaces
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La France gagne 408 000 vidéonautes en un mois
Environ 29,4 millions d'internautes ont regardé au moins une vidéo au mois de
novembre 2011, selon Médiametrie//NetRatings.
En novembre 2011, plus de 29,4 millions d’internautes ont regardé au moins une vidéo sur
leur écran d’ordinateur, soit 408 000 vidéonautes de plus qu’au mois d’octobre, selon les
dernières mesures de Médiametrie//NetRatings. Ils y ont consacré en moyenne 3 heures
et 26 minutes, chacun ayant regardé 71 vidéos au cours du mois.
Hommes et femmes sont à égalité : ils sont aussi nombreux à avoir regardé au moins une
vidéo sur leur écran d’ordinateur en novembre 2011. Toutefois, les hommes sont plus
consommateurs : ils ont regardé en moyenne 82 vidéos alors que les femmes en ont
regardé 62.
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Signe de l’engouement pour la vidéo, ce format a désormais des adeptes inconditionnels :
avec 5 h 20 par personne consacrées à regarder des vidéos en novembre, les 15-24 ans
représentent près d’1/5e du temps global dédié à la vidéo (18,1 %) contre près d’1/12e du
temps passé sur le web (7,8 %).
Plus largement, les moins de 25 ans consomment, quant à eux, 26,4 % du temps passé
sur la vidéo contre 11 % du temps.
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http://www.e-marketing.fr/Breves/Audience-video-44224.htm
19 millions de mobinautes en France, selon Médiamétrie
Par Martine FUXA, 30/01/2012
Selon le baromètre du 4e trimestre 2011 de Médiamétrie, l'Internet mobile poursuit sa
croissance avec 19 millions de mobinautes actifs sur le mois de décembre. Cette
mesure d'audience deviendra prochainement mensuelle et non plus trimestrielle.
L'audience de l'Internet mobile en France continue de progresser. Selon Médiamétrie, les
personnes qui se sont connectées à l’Internet mobile au cours du mois de décembre sont 3,5
millions de plus qu’il y a un an (+ 23 %), et représentent désormais 19 millions de
mobinautes.
De même source, le mobinaute est plus féminin, plus jeune et plus provincial que la moyenne
de la population. C'est, sans surprise, la démocratisation des smartphones et l’attractivité des
offres des opérateurs qui contribuent à l’évolution du profil des mobinautes. Au 4e trimestre
2011, les femmes représentent 43 % des mobinautes contre 40 % il y a un an.
Près d’un mobinaute sur deux a moins de 35 ans alors que cette tranche d’âge ne
représente qu’un peu plus d’un quart de la population française. Par ailleurs, les mobinautes
habitant hors agglomération parisienne comptent désormais pour près de 8 mobinautes sur
10 contre moins de 3 mobinautes sur 4 il y a un an.
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91 % des mobinautes ont consulté au moins un site – optimisé ou non pour le
mobile – accessible depuis le réseau 3G des opérateurs. Cela représente une
progression de 1,3 point par rapport au 4e trimestre 2010.
Au total, 12 524 sites sont mesurés au 4e trimestre 2011. 60,6 % des mobinautes
ont consulté au moins une application mobile connectée à partir de leur
smartphone et du réseau opérateur (3G).
En moyenne les mobinautes ont consulté 1 248 pages par visiteur, soit 350 de plus
qu’au 1er trimestre 2011.
À noter, face à l’essor de l’Internet mobile en 2011 qui a entraîné une progression des
investissements publicitaires sur ce média, Médiamétrie publiera en 2012 l'audience
de l'Internet mobile mensuellement.
http://www.e-marketing.fr/Breves/19-millions-de-mobinautes-en-France-43974.htm
Retail : Que vont faire les consommateurs en 2012 ?
Par Amelle Nebia, 17/02/2012
L'étude conjointe Opinion Way Aldata anticipe, pour 2012, le comportement des
consommateurs. La maîtrise du budget passe devant la commodité, les
programmes de fidélité sont plébiscités et les comportements éco-
responsables s'installent. En revanche, la promotion est jugée inadaptée aux
besoins.
L'enquête "Les nouveaux consommateurs 2012 " a été réalisée aux États-Unis et
en Europe (France, Allemagne et Royaume-Uni) auprès de 4 000 consommateurs.
Elle a été réalisée par Opinion Way et sponsorisée par Aldata.
Les principaux résultats hexagonaux(1)
Les consommateurs français comptent encore plus réduire leur budget courses en
2012. 12 % déclarent qu'ils vont moins acheter pour compenser les hausses de prix.
Avec seulement 25 % de réponses, la commodité s'efface devant la maîtrise du
budget. Ils n'achètent plus seulement les marques les moins chères, ils visitent
également plusieurs magasins pour dénicher le prix le plus bas.
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Fidélité plébiscitée, promotion mal notée !
33 % apprécient les programmes de fidélité mis en place par les enseignes tandis que
15 % en sont mécontents trouvant qu'ils ne collent pas à leurs attentes. En revanche, la
promotion est jugée mal adaptée aux attentes. En effet, 38 % des consommateurs
préféreraient que les produits soient moins chers plutôt que proposés en promotions
groupées. Une tendance encore plus marquée chez les femmes (41 %) et les 55 ans et
plus (45 %). Et seulement 9 % d'entre eux passent plus de temps que prévu pour
dénicher des promotions dans les linéaires.
Le réagencement, synonyme de perte de temps
Les consommateurs ont besoin de repères quand ils font leurs courses. Aussi, lorsque
l'agencement de leur magasin change, une certaine frustration s'installe, car il leur
faudra généralement plus de temps pour trouver leurs produits. 69 % passent 5 minutes
supplémentaires en moyenne dans leur magasin habituel lorsqu'il change
d'agencement. Ce temps grimpe pour les femmes ou les seniors. Mais ils pensent à
75 % que les changements sont effectués par l'enseigne pour les pousser à la
consommation.
Course contre le temps
Sept consommateurs sur dix jugent qu'ils passent trop de temps aux caisses. Ils sont
également agacés (75 %) par les ruptures de stock.
Concernant le format très populaire du drive, seuls 11 % des consommateurs y ont
recours, dans le cas où leur magasin habituel propose ce service. 78 % des 55 ans et
plus se déclarent réfractaires au drive, contre 55 % des 18-34 ans. Bref, ce possible
relais de croissance pour les distributeurs doit encore faire ses preuves.
Enfin les comportements éco-responsables sont salués par l'échantillon. Ainsi, 85 %
des personnes interrogées sont sensibles à ces nouveaux usages, comme la vente de
produits régionaux, locaux ou issus du commerce équitable, l'adoption d'emballages
recyclables, la meilleure isolation des rayons frais ou l'information des consommateurs
sur la provenance et l'impact écologique des produits.
Toutefois, seuls 15 % des répondants ont choisi le magasin dans lequel ils font
régulièrement leurs courses selon ce critère. Entre le déclaratif des bonnes intentions et
la réalité des faits, il y a, comme toujours, un gouffre !
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Méthodologie en France : étude quantitative réalisée en décembre 2011 auprès de
1 040 personnes représentatives. L'échantillon a été constitué selon la méthode des
quotas. L'étude est sponsorisée par Aldata, le leader mondial de l'optimisation du
retail et de la distribution.
http://www.e-marketing.fr/Breves/Que-vont-faire-les-consommateurs-en-2012-
44443.htm
M&CSaatchi.Mobile dévoile ses prédictions sur le marketing mobile
Par Florence GUERNALEC, 14/02/2012
À l'occasion de l'arrivée de l'agence "ès mobile" en France, son directeur,
Fernando Nogueira, expose ses convictions sur un marché en pleine
croissance.
Depuis deux ans, le business sur mobile a le vent en poupe. Il y a aurait des
centaines d'agences marketing dédiées en France ! Dans ce contexte, M&C Saatchi.
Mobile, filiale de M&CSaatchi.GAD, ouvre un bureau à Paris, dirigé par Fernando
Nogueira. Pour marquer sa différence, le dirigeant a livré ses cinq convictions sur ce
marché :
- Le mobile représente une révolution dans les usages
“Dupliquer les sites web sur les smartphones, c’est mal penser le mobile”, affirme
Fernando Nogueira. Ce canal induit de nouveaux services et comportements : par
exemple, les mobinautes prennent en photo des produits qu’ils partagent avec leurs
amis sur les réseaux sociaux ; ils en scannent le code barre pour comparer les prix
avec d’autres enseignes…
Aux États-Unis, les applications dédiées à la santé, et notamment l’automédication,
connaissent un grand succès : 44 millions de téléchargements prévus dans le monde
en 2012.
-Les applis vont mourir
Leur nombre ne cesse pourtant d’augmenter : 600 000 sur l’App Store, 550 000 sur
l’Android Market.
-« Quand je discute avec les annonceurs et partenaires, au début, ils sont dubitatifs,
mais une fois mes éléments exposés, ils sont convertis », explique Fernando
Nogueira qui a fait toute sa carrière dans ce secteur, de SFR à PhoneValley en
passant par Vodafone en Grande-Bretagne.
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Il constate que les mobinautes n’arrivent pas à organiser la multitude d’applis qu’ils
ont téléchargées et n’en utilisent en réalité qu’une poignée, toujours les mêmes. Le
paradigme : une application pour une fonction n’a pas d’avenir.
D’ailleurs, 91 % des mobinautes disent à avoir consulté au moins un site web au
quatrième trimestre 2011, seulement 60,6 % ont ouvert au moins une appli, d’après
les derniers chiffres Médiamétrie. Beaucoup d’entre eux passent par Google mobile
pour trouver ce qu’ils cherchent.
D’autres utilisent les réseaux sociaux en priorité. Fernando Nogueira croit aussi à
l’appli jetable qu’on utilisera uniquement en magasin via le NFC, la technologie sans
contact.
- Le mobile peut aussi être un outil d’aide à la vente
Aujourd’hui, les marques utilisent surtout le mobile comme un nouveau canal d’achat
et ne l’exploitent pas comme un moyen de faciliter la vente, contrairement à Nissan et
Mercedes-Benz qui fournissent à leurs concessionnaires des iPad pour renseigner
leurs visiteurs en temps réel sur les offres disponibles ou sur les crédits…
Dans le même esprit, Pernod Ricard a équipé ses commerciaux d’une appli iPhone
qui leur permet d’accéder aux promotions, en fonction de leurs clients. Le
constructeur d’électroménager, Miele, expérimente, aux Pays-Bas, la distribution
d’iPod Touch aux consommateurs. Ceux-ci entrent leurs informations personnelles et
leurs besoins : l’application dédiée sert alors de guide personnalisé en magasin et
interagit avec le consommateur.
-Il faut privilégier l’utilisateur à l’audience
« Les annonceurs concentrent leur attention sur le nombre de téléchargements de
leur application mobile alors que c’est l’utilisation qui compte, souligne Fernando
Nogueira. Nous connaissons tous des appli idiotes qui ont été énormément
téléchargées mais qui auront servi une fois… »
Il prône ainsi la sortie d’applis utiles, même si celles-ci ne sont pas parfaites, comme
la première appli de la RATP qui comportait beaucoup de défauts mais présentait
l’intérêt d’indiquer les itinéraires.
Adepte du “bêta testing”, Fernando Nogueira assure que, si “la douleur d’usage” est
inférieure à la valeur d’usage, il convient de sortir son appli sans tarder pour ne pas
être pas être doublé par la concurrence.
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- Le mobile va décloisonner définitivement tous les métiers du marketing
« Le mobile a un rayonnement sur tous les départements des entreprises », explique
Fernando Nogueira. Chez M&CSaatchi.GAD, le mobile est d'ailleurs totalement
intégré au "Village", la fédération d'entrepreneurs-experts qui constitue le groupe
(Corporate, Pub, CRM, Digital, Contenus…).
« Et si le mobile était une occasion pour les marques de se rendre utile ? » La
question et posée par la nouvelle agence. Pour Fernando Nogueira, celles-ci doivent
trouver une manière d’être présentes dans la vie des gens.
"Aujourd’hui, les marques proposent des appli qui se ressemblent toutes", concède le
directeur M&C Saatchi.Mobile : un catalogue de ses produits, un store locator… : "les
marques cherchent avant tout à minimiser les risques, pas à maximiser les profits".
http://www.e-marketing.fr/Breves/M-CSaatchi-mobile-livre-ses-tendances-du-marketing-mobile-44334.htm
Les revenus display US de Google dépasseront ceux de Facebook
dès 2012
Facebook est devenu l'année dernière, en dépassant Yahoo, le premier vendeur
d'impressions display. Mais la suprématie publicitaire du réseau social devrait être de
courte durée. L'activité de Google en matière de display dépasse toutes les
prévisions et la firme de Mountain View devrait s'octroyer la première place dès 2013,
avec un chiffre d'affaires estimé à 3,68 milliards de dollars selon une étude réalisée
par eMarketer.
En 2011, Google a réalisé 1,71 milliard de dollars de chiffre d'affaires dans le display
et talonne plus que jamais Facebook, qui a réalisé la même année un CA de 1,73
milliard. Les deux sociétés capteront à elles seules près d'un tiers des
investissements display aux Etats-Unis en 2012.
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Source : www.journaldunet.com
L'ePub compte 40% de réfractaires et 42% de cliqueurs dans son public selon
l’étude Profiling d’Ipsos MediaCT
Ipsos a dévoilé hier une nouvelle vague de résultats de l’édition 2011-2012 de l’étude
Profiling. 243 profils ont été étudiés, dont 185 sites Web, 19 sites mobiles, 34
rubriques de portails et 5 couplages.
En moyenne, 42% des interrogés déclarent avoir cliqué sur une publicité dans les 30
derniers jours, 42% déclarent apprécier les contenus éditoriaux et 42% sont
sensibles à la pub qui correspond à leurs centres d’intérêts.
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Les interactions de l’internaute avec la publicité ont été détaillées. 4 types ont été
dégagés :
- 23% de réceptifs : des internautes actifs, experts, qui affectionnent l’e-pub, et tout
particulièrement les formats vidéo.
- 27% d’alternatifs : des jeunes internautes qui privilégient d’autres modes de
communication comme le brand content.
- 10% de participatifs : une population comblée par l’interactivité et les réseaux
sociaux.
- 40% de subversifs : une population plus âgée récalcitrante et méfiante vis-à-vis du
Web.
Source : www.offremedia.com
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LinkedIn, réseau professionnel qui compte plus de 135 millions de membres dans le
monde, annonce l’expansion de son équipe française avec l’internalisation de la
commercialisation de ses « solutions marketing ».
Cette nouvelle force commerciale a pour objectif de proposer une approche du
marché publicitaire spécifique aux réseaux sociaux professionnels. Cette équipe est
dirigée par Prune Nouvion, qui rejoint LinkedIn après Google France où elle occupait
le poste de «Sales Head YouTube & Display».
Outre le fait de proposer des produits spécifiques à LinkedIn, ces consultants auront
également un rôle de conseil auprès des annonceurs concernant leur présence sur le
réseau social. LinkedIn revendique plus de 3 millions de membres en France et 135
millions dans le monde.
Les « tweets sponsorisés » existent depuis 2010 mais n’étaient jusqu’à présent
accessibles qu’aux gros annonceurs. Pas de quoi ratisser assez large ! Le service de
microblogging Twitter poursuit donc sa stratégie de monétisation de son audience et
lance un service de libre-service qui permet aux PME d'acheter et de placer des
publicités sur son site.
En collaboration avec American Express, et pour le moment seulement aux Etats-Unis,
les annonces apparaîtront dans le flux des membres du réseau social, et se
présenteront comme des tweets normaux. Les annonceurs paieront en fonction du
nombre d’interactions générées par ces publicités. Dans un premier temps, seuls les
détenteurs d’Amex y auront accès.
Pour attirer le chaland, le groupe va d’ailleurs offrir 100 dollars de publicité aux 10 000
premières entreprises qui ouvriront un compte sur le service. Le réseau social pourrait
générer un business de 260 millions de dollars et cette plate-forme de « tweet pub »
pourraitlargement y contribuer. Ce système de libre-service sera étendu aux autres
cartes de crédit dans les mois à venir.
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Marché allemand
Les éleveurs allemands sont plus optimistes que leurs homologues français
Selon une enquête téléphonique réalisée en novembre dernier auprès des éleveurs de
porcs de six pays européens par le DLG, l’organisme qui gère le salon Eurotier, 41 %
des éleveurs de porcs français considèrent que leur situation actuelle est « mauvaise »
à « très mauvaise », contre 23 % seulement des éleveurs allemands.
Les éleveurs français sont également plus pessimistes que les britanniques (15 %), les
hongrois (22 %), les polonais (23 %) et les tchèques (30 %). 47 % des sondés français
jugent que leur situation ne va pas s’améliorer dans l’année à venir, contre seulement
20 % pour les éleveurs allemands.
Ce pessimisme se traduit par des projets limités. 26 % seulement des éleveurs de porcs
français ont déclaré prévoir un investissement dans les 12 mois à venir. Les allemands
et les britanniques sont nettement plus dynamiques (respectivement 44 % et 65 % des
éleveurs de porcs de ces deux pays ont des projets d’investissement). Selon cette
enquête, un quart des investissements futurs chez les agriculteurs allemands sera
consacré à la production d’énergies renouvelables.
Reportage sur l’agriculture allemande - Une stratégie de vente : le local
Aux portes de Cologne et d'un marché de plus d'1 million d'habitants, trois
agriculteurs allemands poursuivent une stratégie : le produit de proximité, devant
toute préoccupation environnementale. Les consommateurs lui font confiance et
en raffolent, les agriculteurs allemands, eux, s'y retrouvent en matière de revenu.
On les appelle les « locavores » ; ces consommateurs qui veulent « manger local »,
acheter leurs fruits et légumes, leurs bouteilles de lait et leur viande à la ferme, à la
coopérative locale ou régionale. Parce que ces produits de proximité sont pour eux un
gage de qualité, d'authenticité et de respect de l'environnement puisqu'ils voyagent
moins.
En Février
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Marché allemand
En Allemagne et en particulier dans le Land de Rhénanie du Nord-Westphalie, face à
la France, les agriculteurs ont bien compris cet engouement de la part des
consommateurs et misent tout sur la vente directe et de proximité de leurs produits.
Quant à la préoccupation environnementale, elle n'est pas en tête de leur stratégie.
Très diplomate, Friedhelm Decker, président de la Fédération de l'Agriculture
rhénane, en charge de l'environnement au Bureau du DBV (Fédération des
agriculteurs allemands), considère que l'Allemagne « a besoin de ces deux
agricultures, de proximité et biologique ».
Johannes Remmel, lui, ministre (Vert) de l'Agriculture et de l'Environnement du Land
de Rhénanie du Nord-Westphalie, estime que « le bio continue d'être un marché
porteur », mais aussi que « le produit régional doit rester un vrai label ».
Le virus de Schmallenberg s’approche de la France
Le virus de Schmallenberg, qui contamine un grand nombre d’élevages bovins, ovins
et caprins en Europe, a été identifié à l’automne dernier en Allemagne et aux Pays-
Bas. Ce virus, qui provoque des agneaux morts-nés ou porteurs de malformations
mortelles pour le nouveau-né comme pour sa mère, a rapidement gagné la Belgique -
au 27 février, 166 élevages y sont touchés-, le Royaume-Uni -pas moins de 74
exploitations anglaises sont frappées au 26 février- et la France -qui compte
désormais 277 élevages concernés dans 28 départements-. Et le virus s’est aussi
propagé à l’Italie et au Luxembourg. Les spécialistes prennent la mesure de la
menace, et Schmallenberg fait ainsi partie des maladies émergentes qui sont
actuellement mises en avant par le CIRAD au Salon de l’agriculture de la porte de
Versailles.
Depuis les dernières semaines de 2011, le virus de Schmallenberg (du nom de la
commune allemande où il a été recensé pour la première fois) poursuit une
progression sans répit à travers la partie centrale de l’Europe occidentale. Les cas
d’infections fœtales et de malformations multiples gagnent ainsi les agneaux et
quelques veaux et chevreaux de sept pays.
Renaud Lancelot, épidémiologiste, s’efforce ainsi de faire la lumière sur
Schmallenberg aux yeux du grand public, qui découvre ce nouveau mal affectant les
animaux de la ferme. Mais les experts eux-même ne savent pas tout. Si le virus a pu
être importé à l’automne dernier par des moucherons, le reste est relégué au
rang des hypothèses, à commencer par sa transmission éventuelle entre les
animaux. Et un vaccin pourrait prendre deux ans à développer.
En Février
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Forte baisse de ventes de tracteurs en janvier 2012
Avec deux cents tracteurs immatriculés en moins pas rapport à janvier 2011, le marché
2012 s'ouvre en baisse de 11%. Les fortes ventes réalisées par plusieurs importants
groupes en Décembre n'ont pas amélioré les statistiques du premier mois de l’année. Les
impressions captés parmi les réseaux de distribution et les fabricants ne sont pas
optimistes et sont confirmées. Le problème principal semble être la grande difficulté du
monde agricole à obtenir des financements pour les achats de matériel. Entre temps, les
dégâts causés à l'agriculture par la vague de grand froid ne laissent pas présager une
reprise imminente
L’état des lieux du réseau de distribution en Italie
Ils sont un peu moins de 2000 les acteurs présents dans le marché Italien des machines
agricoles (Source : MAD Annuaire 2011). Un nombre qui, bien qu'en baisse de 20% par
rapport
à 1998, est encore trop élevé pour l’état actuel du secteur. Si par contre les chiffres se
réfèrent uniquement à des entreprises qui vendent des Tracteurs, les concessionnaires
se réduisent à 1396
(- 28% sur la même période) dont 746 de « Full Liners » et 650 concessionnaires de
« spécialisés » (Goldoni, Carraro, BCS).
Les immatriculations se sont entre temps écroulées de 34% : de 36 000 unités (1999) à
23 500 unités (2010). La première considération est que, par rapport aux autres pays
européens le marché interne italien est encore trop fragmenté : la moyenne par
concessionnaire est de 17 tracteurs neufs par ans, ce qui place l’Italie derrière les
principaux marchés du continent (La France et l’Allemagne se placent en tête, avec 30 et
28 unités par ans, respectivement). Résultat : beaucoup de dealers, faibles volumes de
vente, CA limité.
Au cœur du réseau italien on trouve toujours des entreprises familiales, avec peu
d’employés, avec une zone de chalandise très restreinte (niveau provincial). Cette
« photographie » du marché est néanmoins en train d’évoluer rapidement : la
« rationalisation » du réseau est désormais l’impératif de tous les constructeurs (à
l’exception de Kubota), qui essayent aussi d’augmenter le control du réseau même : le
degré de « fidélisation » du concessionnaire (c.à.d. les concessionnaires « mono-
couleurs ») atteint désormais 95% pour les principaux réseaux (CNH et JD).
Source : UNACMA
Marché italien En Février
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Comparative inscriptions matériel agricole en Espagne
2011 vs 2010
Marché espagnol En Février
Distribution de tracteurs par marques
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Marché espagnol En Février
Distribution de Moissonneuse batteuse par marques
Distribution Ensileuse automotrice par marques
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Marché espagnol En Février
Distribution Machine à vendanger par marques
RETOUR DU SALON FIMA 2012
Agriaffaires a été présent au salon agricole plus important en Espagne, FIMA 2012 à
Saragosse.
Pendent les 5 jours de salon on a eu l’opportunité d’échangé avec les constructeurs,
concessionnaires et distributeurs, aussi comme avec des agriculteurs.
On a fait connaissance de concessionnaires clients et surtout avec de prospects pour
mètre ses annonces d’occasion sur le site et avoir une visibilité national (Espagne) et a
l’international.
Les constructeurs Espagnoles commencent à être intéressées avec la pub sur le net et
Agriaffaires et bien connu entre eux comme un possible outil de communication. On
espère dans quelque mois avoir de campagnes de pub sur Agriaffaires Espagne.
To be continued……
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Marché russe et ukrainien En Février
Ouverture de l’usine CNH-KAMAZ au Tatarstan, Russie
Le 15/02/2013 nouvelle usine était inaugurée à Naberezhnye Chelny au Tatarstan,
construite par l’alliance CNH-KAMAZ.Cette alliance entre CNH - un leader mondial du
secteur de matériel agricole et de la TP et OJSC KAMAZ - un fabricant de camions
lourds de premier plan - visait à ramener les technologies de pointe de CNH dans la
Fédération de Russie pour soutenir le développement et la modernisation de son
secteur agricole.
L'usine de fabrication de CNH-KAMAZ s'étend sur une superficie 45 000 mètres carrés
couverts et produit des équipements de CNH nouvelle marque Pays-Bas depuis 2010. Il
a été entièrement rénové pour accueillir une capacité de production de 5.000 unités par
an et est désormais pleinement opérationnel.
L'installation a soulevé des volumes de production plus rapidement depuis le début,
avec une augmentation annuelle de 40% rapport à l'année en 2011, et une hausse
similaire est attendue pour 2012. La joint-venture n'a cessé renouvelé sa gamme de
produits fabriqués localement, l'introduction de la dernière grande puissance T8 et T9
modèles de tracteurs et, plus récemment, le CX6090 nouvelle moissonneuse-batteuse
sur les lignes de production dédiées.
"Nous avons livré sur tous les engagements que nous avons pris lorsque nous avons
signé des protocoles d'accord en présence du Premier ministre Vladimir Poutine", a
commenté M.Marchionne."Nous prenons très au sérieux notre engagement à répondre
à la demande du gouvernement russe à localiser la production à Naberezhnye Chelny.
Nous avons régulièrement mis à jour les modèles fabriqués à cette usine, car la
production a commencé et nous continuerons à le faire.La localisation de la fabrication
suivront en 2012 avec le Outre le modèle T8.330 tracteur et l'introduction de la nouvelle
marque CX8080 allie. La Russie représente un choix stratégique pour notre Groupe.
Cette usine témoigne de notre approche à long terme avec notre partenaire, KAMAZ
fois à partir d'un industriel et un point de vue commercial."
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Marché russe et ukrainien En Février
En plus de la production de machines, la joint-venture en charge les clients sur tout le
territoire avec un réseau de 13 concessionnaires New Holland et 46 points de vente
qui fournissent des services techniques et après-vente ainsi que la formation.
OJSC KAMAZ est le plus grand fabricant russe de camions lourds. Il prend la 11ème
place dans la production de camions (de 14 t de PTAC) et la 8ème place dans la
production de moteurs diesel dans le monde. KAMAZ groupe se compose de 96
entreprises, dont 13 sont les principales entreprises associées. Le personnel est
d'environ 59 000 employés.
Vente KAMAZ réseau de service et couvre toutes les régions de la Russie et la CEI. Il
y a 127 concessionnaires et plus de 100 centres de service garanti de voiture.
Camions de PTAC de 14 à 40 tonnes, le diesel et des moteurs à gaz sont les
principaux produits de OJSC KAMAZ. Les camions sont utilisés dans la CEI, l'Europe,
en Asie, en Afrique et en Amérique latine (plus de 80 pays).
http://www.fr-communiquedepresse.net
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Marché du Royaume uni et irlandais
Les inscriptions des nouveaux tracteurs en UK et Ireland en
2011.
Les inscriptions du Royaume-Uni de tracteurs agricoles de plus de 50cv atteint 11,851
unités au cours des neuf premiers mois de cette année, une augmentation de 3,8 pour cent
par rapport à la même période l'an dernier.
Les régions présentant les plus fortes hausses ont été en Irlande du Nord, le Yorkshire et le
Lancashire (en hausse de 12,5 pour cent).
Toutefois, l'Est a connu une baisse de 3,9 pour cent, ce qui reflète l'impact de la
sécheresse et la baisse des rendements des céréales, selon l'Association agricole
ingénieurs.
La puissance moyenne des tracteurs enregistrée cette année a également augmenté de
2,3 pour cent sur l'an dernier à un peu plus de 146ch.
En Irlande FTMTA montrent une augmentation des immatriculations de tracteurs d'un peu
plus de 17% durant l'année 2011 avec un chiffre final de 1.543 tracteurs neufs immatriculés
durant l'année. Sur un total de 1315 tracteurs immatriculés en 2010, les cinq premières
marques étaient les suivants:
John Deere avec 30% New Holland avec 13% Massey Ferguson avec 12%
Zetor avec 10% Landini avec 7%.
En Février
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Marché belge
Décélération de la production
Au cours du mois de janvier 2011, 273.217.996 kg de lait ont été livrés aux laiteries, ce
qui représente un surplus de 5,17 % par rapport au mois de janvier 2010, mais
constitue un déficit de 5,9 % par rapport à ce qui pourrrait être livré durant ce mois
pour couvrir le quota annuel d'avril 2010 au 31 mars 2011. Même après correction pour
la matière grasse, les livraisons de janvier 2011 ont été inférieures de 2,37%, soit un
peu moins de 7 millions de kg, par rapport à la théorie.
Après novembre et décembre 2010, cela fait donc le 3e mois consécutif que le quota
mensuel n'est pas atteint. Si on cumule les 10 premiers mois de la campagne laitière
2010-2011, le dépassement du quota est de 0,44%, ce qui représente ± 12,3 millions
de litres de lait, soit 1,5 jour de production laitière. Si la décélération de la production
laitière se maintient en février et mars prochains, il est encore possible d'éviter le
superprélèvement pour la campagne 2010-2011.
Pommes de terre: stocks en berne dans le nord-ouest de l'Europe
Selon le Nepg, Groupe des producteurs de pommes de terre du nord-ouest européen,
plus de 50 % des pommes de terre récoltées en 2010 ont désormais été valorisées,
alors que nous sommes au milieu de la campagne 2010/2011.
Cette intense activité de marché résulte en grande partie de la demande soutenue des
pays de l'Est, et en particulier de la Russie. Cette année, les exportateurs proposent
des prix plus élevés que les industriels et c'est l'export qui sert de référence pour les
bases de prix du marché!
Moindres stocks
En Belgique, le stock était estimé en baisse de 100.000 tonnes début février. Aux
Pays-Bas, 6,7% de volumes supplémentaires de pommes de terre ont été travaillés
dans les usines de transformation, de sorte que les stocks sont également annoncés
en baisse. La France a environ 400.000 tonnes de pommes de terre en moins en
conservation, par rapport à février 2010.
Le Nepg signale aussi que le pourcentage des stocks de pommes de terre non encore
engagées est plus faible que lors des années précédentes. La majeure partie des
stocks actuels sont déjà vendus ou contractualisés.
Quant aux contrats pour la récolte 2011, les prix sont actuellement annoncées en
hausse de 5 à 12 €/tonne dans certains pays. Les producteurs prennent le temps de
réfléchir aux propositions. Enfin, le Nepg indique, dans une première estimation rapide,
que la surface de pommes de terre pour 2011 sera stable ou en légère augmentation
au niveau des 5 pays.
En Février
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