LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
RELATIONS PUBLICS 2.0
BIS NANTES
22 janvier 2014 – 16H30
I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
- PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX
- UNE APPROCHE DE “CONSOMMATION” LIÉE AUX PRATIQUES INTERNET
- OFFRE VS DEMANDE
- UNE GESTION COMPLEXE “POINT À POINT”
II. LE PROBLÈME À VENIR
- UNE LOGIQUE DES DONNÉES MAL MAÎTRISÉE
- LA VERTICALISATION DU SECTEUR EST EN MARCHE
> VERS UNE INDUSTRIALISATION
> LES SOLUTIONS EXISTANTES
- DES ALTERNATIVES COÛTEUSES
III. VERS LA MUTUALISATION
- UNE CULTURE DE LA MUTUALISATION
- UNE SOLUTION ÉPROUVÉE
- DES SERVICES ACCESSIBLES
- UNE EXPÉRIENCE COPRODUITE
• Nombre d’indices marquent les nécessaires changements à effectuer dans les relations aux publics.
• Sans une remise en cause des outils et des pratiques, des acteurs
émergents travailleront à une « rationalisation de l’offre culturelle » au détriment potentiel des artistes et des publics.
• Des solutions accessibles existent, fondées sur de nouvelles pratiques de mutualisation.
I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Les pratiques culturelles évoluent. Les « publics jeunes » ont des demandes auxquelles les institutions peinent à répondre. Internet a modifié la nature des pratiques. « L’offre culturelle » va croissante et les ressources pour travailler la relation aux publics ne sont pas toutes adaptées. La multiplication des outils de communication nuit à une lisibilité des lieux et de l’expérience qu’ils proposent.
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Les taux d’occupation sont stables.
1997 2008
En dix ans, les pratiques culturelles n’auraient
quantitativement pas changé :
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Qualitativement nous constatons :
u L’impact des ventes dernières minutes
u La perte d’audience des prescripteurs
u Le vieillissement des publics
Entre 1997 et 2008, Internet a bouleversé la donne.
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Aujourd’hui Internet ne peut plus être considéré comme un simple outil.
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
AUX PRATIQUES TRADITIONNELLES…
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
… SUCCÈDENT LES PRATIQUES « IMMATÉRIELLES »…
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
… CERTAINES PARTICIPANT MÊME À UN EFFET DE DÉMOCRATISATION CULTURELLE :
Qu’attendent les
« digital natives* » dans leurs pratiques culturelles ?
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
* ceux nés après 1980 et qui manquent dans les salles
Les « Digital Natives » considèrent les biens
dématérialisés qu’ils consomment au quotidien davantage
comme du divertissement que comme des biens culturels.
Ces cibles privilégient les biens culturels dématérialisés
pour leurs atouts fonctionnels (rapidité d’accès,
partout et à tout moment).
Ces atouts prenant le pas sur les atouts émotionnels.
Ces biens créent un phénomène d’addiction.
Étude CSA / février 2013
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
”
“
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
GRATUITÉ
UNIVERSALITÉ
DIMENSIONS PRATIQUES,
FONCTIONNELLES
u Un partage de l’information rapidement, sans contraintes matérielles.
u L’abolition des fontières :
des contacts démultipliés à l’échelle de la planète.
> UN OUTIL INTÉRACTIF
u Une offre presque illimitée et en renouvellement constant
u Facile et rapide d’accès,
à laquelle on peut accéder, partout et à tout moment
> DISPONIBILITÉ & CONFORT
u Facteur clé fortement mis en avant d’emblée.
u Une immatérialité par
nature rendant pour eux illégitime le principe du paiement pour les biens culturels.
> GRATUITÉ QUI PARAÎT “NATURELLE”
Étude CSA / février 2013
INTERNET COMME UN OUTIL ENCHANTEUR : à l’instar d’une bague8e magique, en quelques clics
on ob>ent tout.
r
Étude CSA / février 2013
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Les biens culturels immatériels
u Internet est considéré comme un outil potentialisant la diffusion de la culture et il est difficile pour ces jeunes de concevoir le principe du paiement pour ces biens virtuels.
Les biens culturels matériels
Considérés comme vecteurs d’émotion, ils suscitent le respect et le caractère payant apparaît légitime :
MP3
MP3
MP3
MP3
MP3
CONCERT CONCERT
Vinyl
FONCTIONNALITÉ / QUOTIDIEN ÉMOTION / OCCASIONNEL
u Jugés en phase avec les besoins d’immédiateté, de rapidité, d’intéractivité du monde actuel.
Au final, une perte de valeurs des biens culturels en tant que tels : le pratique prend le pas sur l’émotionnel et les biens culturels perdent leur statut de biens précieux.
u Une offre porteuse de qualités différenciatrices (l’émotion suscitée par un film sur grand écran au cinéma, par l’ambiance d’un concert, etc.).
MAIS, une distanciation marquée vis-à-vis de cette offre culturelle matérielle et une consommation plus occasionnelle = la perception d’un bien tourné vers le passé.
u Des biens tangibles, concrets, pérennes, que l’on peut conserver (CD, DVD, etc.), avec une valeur attachée à l’objet.
On la
rejette ?
On
L’ignore ?
On
s’adapte ?
Si l’attente culturelle est pratique, fonctionnelle et « consumériste »,
comment d’autres secteurs d’activité se sont adaptés à une civilisation connectée ?
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Que fait-on d’une telle analyse ?
Comment David a écrasé Goliath ?
PRATIQUES CULTURELLES, ÉTAT DES LIEUX I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Source Fevad
Qui ne consomme pas sur internet ? Pourquoi les « biens culturels » sont un des premiers marchés sur internet ?
UNE APPROCHE DE “CONSOMMATION” LIÉE AUX PRATIQUES INTERNET I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
En « pensant Internet » 1 / 2 Poids des ventes sur internet
Le marché e-commerce et vente à distance 45
Top 15 des sites “e-commerce” les plus visités en France
49,7
7%
UNE APPROCHE DE “CONSOMMATION” LIÉE AUX PRATIQUES INTERNET I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
2 / 2 En adaptant ses modes de communication et de vente propres aux usagers d’Internet
Vendre sur internet, ce n’est pas changer les produits, mais les pratiques de vente.
Source Fevad
LE E-COMMERCE ET LES RÉSEAUX
SOCIAUX 66 % 48 %
VENTE ENTRE INTERNAUTES
En 2007 à Roland Garros, la vente en ligne représentait 6.000 places, 38.000 en 2008, 125.000 en 2009 et 180.000 en 2010 (…) La réussite de cette politique de e-ticketing repose sur deux piliers : la bonne utilisation de la base de données clients de la fédération et la nouvelle segmentation de l’offre.
UNE APPROCHE DE “CONSOMMATION” LIÉE AUX PRATIQUES INTERNET I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Et sur d’autres secteurs ?
Frédéric Longuépée, Directeur délégué de la FFT Administration générale et billetterie.
”
“
L’offre augmente plus vite que la demande…
OFFRE VS DEMANDE I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
DEMANDE
u Les programmations sont toujours communiquées sous forme de catalogues annuels, alors que les usagers attendent des « saisons quotidiennes ».
u La vente se fait derrière les comptoirs alors que les spectateurs sont connectés.
u Les abonnés sont le « Saint Graal » alors que s’engager sur une année est anxiogène pour une part importante des publics.
u Les pratiques de vente sont relativement monolithiques alors que chacun est différent.
Pourtant, les acteurs culturels travaillent sincèrement, avec passion…
… Et pendant ce temps :
OFFRE VS DEMANDE I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Chacun multiplie les contacts « multipoints » et ces pratiques sont illisibles pour les opérateurs culturels et les publics.
… Et épuisement
UNE GESTION COMPLEXE “POINT À POINT” I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
RÉSEAUX SOCIAUX…
- Programmes saison - Programmes durant l’année - Affiches - Presse
PAPIER
- Actions
RELATIONS PUBLICS
- C.E - Diffuseurs - Content brokers - Google
RELAIS
- Web - Web services - Réseaux sociaux
INTERNET
Déperdition d’énergie, notamment, car les bases publiques ne sont ni communes, ni entretenues, ni agrégées, ni représentatives des publics potentiels.
UNE GESTION COMPLEXE “POINT À POINT” I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
- Programmes saison - Programmes durant l’année - Affiches - Presse
PAPIER
- Actions
RELATIONS PUBLICS RELAIS
- C.E - Diffuseurs - Content brokers - Google
INTERNET
- Web - Web services - Réseaux sociaux
RÉSEAUX SOCIAUX… fl
UNE GESTION COMPLEXE “POINT À POINT” I. RELATIONS AUX PUBLICS, INDICES DU CHANGEMENT
Nos bases contacts ressemblent un peu trop souvent à…
Garder le fond, changer les pratiques, rester critique
Il est temps de changer de logiciel
Simplement parce que…
Les données des publics sont mal maîtrisées par ce que les outils ne sont pas adaptés. Des industriels de la culture mettent en place des solutions pour maîtriser l’ensemble de la chaîne de valeur. Si des outils performants répondent aux besoins des acteurs culturels, leurs coûts sont conséquents.
II. LE PROBLÈME À VENIR
Que fait-on des autres spectateurs, avec quels outils gère-t-on la relation ?
UNE LOGISTIQUE DES DONNÉES MAL MAÎTRISÉE II. LE PROBLÈME À VENIR
La plupart des contacts des lieux culturels sont stockés dans les outils de billetterie.
Or ces outils ont été pensé pour faire de la transaction et s’adressent à des spectateurs identifiés (ex : les abonnés).
BILLETTERIE
UNE LOGISTIQUE DES DONNÉES MAL MAÎTRISÉE II. LE PROBLÈME À VENIR
La « base mère » étant la billetterie, elle ne connaît quasiment que les abonnés.
BILLETTERIE BASE SPECTATEURSabonnés
UNE LOGISTIQUE DES DONNÉES MAL MAÎTRISÉE II. LE PROBLÈME À VENIR
Les outils de billetterie ne centralisent que les données d'achat, en aucun cas les données utilisateurs des services web. Mettre un système GRC (Gestion de Relation Contacts) est la solution pour connaître tous les publics.
BILLETTERIE BASE SPECTATEURS (GRC)abonnés / publics /
non publics
SERVICES WEBsites / réseaux sociaux /
newsletters
Plus ou moins 30 % de données des bases de contacts sont redondantes, non actualisées et non qualifiées.
BILLETTERIE BASE SPECTATEURS (GRC)abonnés / publics /
non publics
SERVICES WEBsites / réseaux sociaux /
newsletters
UNE LOGISTIQUE DES DONNÉES MAL MAÎTRISÉE II. LE PROBLÈME À VENIR
UNE LOGISTIQUE DES DONNÉES MAL MAÎTRISÉE II. LE PROBLÈME À VENIR
Combien de « non publics » ne sont pas visés ?
2 / 3 des publics sont non identifiés
UNE LOGISTIQUE DES DONNÉES MAL MAÎTRISÉE II. LE PROBLÈME À VENIR
Mettre l’usager au centre et connecter sur
une base ouverte, avec tous les systèmes
existants pour connaître, fidéliser,
suivre et convaincre les publics, est
probablement la meilleure solution.
BILLETTERIE MOTEUR DERECOMMANDATION
SERVICES WEBsites / réseaux sociaux / newsletters
BASE SPECTATEURS (GRC)abonnés / publics / non publics
u De concevoir une « logistique des données »
u De ne plus penser « transaction » mais « relation »
u De travailler le contact public de manière plus organisée, rationnelle, consciente.
La rationalisation du traitement des contacts et des relations publics devient essentielle à l’heure d’une verticalisation du secteur.
Une telle approche suppose :
UNE LOGISTIQUE DES DONNÉES MAL MAÎTRISÉE II. LE PROBLÈME À VENIR
LA VERTICALISATON DU SECTEUR EST EN MARCHE / VERS UNE INDUSTRIALISATION
II. LE PROBLÈME À VENIR
Quelques acteurs structurent la chaîne de valeur « du produit au consommateur »…
verticalisation
- 250 artistes - 128 salles - 33 000 concerts - 60 M de spectateurs - Main Square Arras - 442 k€ en 2009
- 375 sites internets et 5 800 affiliés - 58 000 spectacles - 13 M billets
LA VERTICALISATON DU SECTEUR EST EN MARCHE / VERS UNE INDUSTRIALISATION
II. LE PROBLÈME À VENIR
Source marché de la billetterie en ligne
LE MARCHÉ DE LA BILLETTERIE EN 2009
Le marché intermédié croit plus vite que le marché de la vente directe
La vente, en ligne et intermédiée, croit de manière permanente.
LA VERTICALISATON DU SECTEUR EST EN MARCHE / VERS UNE INDUSTRIALISATION
II. LE PROBLÈME À VENIR
Le mouvement vers les systèmes cloud ou en mode SaaS (Software as a Service) s'inscrit dans le sens de l'histoire.
GESTION FERMÉE, DISPARITION DES CONTACTS
GESTION OUVERTE, ANIMATION DE SON PUBLIC
LA VERTICALISATON DU SECTEUR EST EN MARCHE / VERS UNE INDUSTRIALISATION
II. LE PROBLÈME À VENIR
technologiquement u + contemporaines.
u + évolutives.
u + sécurisées.
u + simples à maintenir.
Ces solutions « en ligne » sont effectivement :
LA VERTICALISATON DU SECTEUR EST EN MARCHE / LES SOLUTIONS EXISTANTES
II. LE PROBLÈME À VENIR
Description de 3 catégories non exclusives :
u Distributeurs (leurs clients sont les publics)
u SSII (leurs clients sont les salles) u Pure Player
Schéma de distribution des revenus – illustration pour un billet de 20 €
Distributeurs SSII Pure PLayer
LA VERTICALISATON DU SECTEUR EST EN MARCHE / LES SOLUTIONS EXISTANTES
II. LE PROBLÈME À VENIR
Un élément de valeur n’est pas intégré dans ce schéma : u la valeur du contact sur laquelle
les distributeurs conçoivent leur modèle économique.
u Les salles deviennent
tranquillement les prestataires de leur fournisseur…
LA VERTICALISATON DU SECTEUR EST EN MARCHE / LES SOLUTIONS EXISTANTES
II. LE PROBLÈME À VENIR
Ces outils - et leur maîtrise exclusive par les industries culturelles - bouleversent l’organisation du secteur culturel.
Un enjeu commun : le numérique La rupture numérique change les modes de consommation et bouleverse les modèles d'affaires
LA VERTICALISATON DU SECTEUR EST EN MARCHE / LES SOLUTIONS EXISTANTES
II. LE PROBLÈME À VENIR
Les risques ? Nous les connaissons.
Quel avenir pour la diversité culturelle ?
La mutation des billetteries est en train de restructurer le jeu des
acteurs du secteur culturel. Les salles ne peuvent bénéficier des outils contemporains de relation
aux publics ou doivent céder leurs
contacts.
L’enjeu n’est pas que technique, il
est aussi stratégique et politique. Pourtant des solutions existent…
DES ALTERNATIVES COÛTEUSES II. LE PROBLÈME À VENIR
u Le nettoyage de données
u L’équipement
u La maintenance
u L’animation d’une « Business intelligence »
u L’animation de communautés et la production de services
u Un investissement humain :
v De nouveaux métiers à inventer
v De nouveaux profils à recruter
Ces solutions supposent cependant un investissement concernant :
DES ALTERNATIVES COÛTEUSES II. LE PROBLÈME À VENIR
Aux principes de concentration et de verticalisation, nous opposons des
solutions de mutualisation fondées sur :
III. VERS LA MUTUALISATION
Le partage de solutions éprouvées.
Une approche fondée sur une culture du service.
La mise en œuvre d'une coproduction
menée en toute transparence.
UNE CULTURE DE LA MUTUALISATION III. VERS LA MUTUALISATION Première mutualité d’acteurs culturels sur internet, nous partageons les outils, le webmastering, l’animation, les réseaux et l’expérience pour être plus efficace à un prix moins élevé.
Les membres de la mutualité posent depuis 3 ans des questions récurrentes :
UNE CULTURE DE LA MUTUALISATION III. VERS LA MUTUALISATION
Trois ans de recherche, d’analyse et de comparaison : une recommandation.
Comment disposer d’une
base renseignée et opérationnelle ?
Comment disposer de services plus intelligents au meilleur coût ?
Comment utiliser les outils web
pour connaître nos publics ?
UNE CULTURE DE LA MUTUALISATION III. VERS LA MUTUALISATION
Équiper chacun des meilleures solutions et partager les coûts et les compétences pour une gestion qui fasse sens.
Une intuition / un projet 1 / 3
u Solution globale u Services u Coproduction
Partager une solution professionnelle, gérée en commun, selon les besoins.
BILLETTERIE MOTEUR DERECOMMANDATION
SERVICES WEBsites / réseaux sociaux / newsletters
BASE SPECTATEURS (GRM)abonnés / publics / non publics
BILLETTERIE MOTEUR DERECOMMANDATION
SERVICES WEBsites / réseaux sociaux / newsletters
BASE SPECTATEURS (GRM)abonnés / publics / non publics
BILLETTERIE MOTEUR DERECOMMANDATION
SERVICES WEBsites / réseaux sociaux / newsletters
BASE SPECTATEURS (GRM)abonnés / publics / non publics
ÉQUIPEMENT
MAINTENANCE
COÛTS
GARANTIES
CONTACTS PRO
MODULES
UNE CULTURE DE LA MUTUALISATION III. VERS LA MUTUALISATION Une approche / des valeurs 2 / 3
Trois années à rechercher partout en Europe,
le partenaire idéal,
le prince charmant qui…
n’existe pas.
UNE CULTURE DE LA MUTUALISATION III. VERS LA MUTUALISATION Un partenaire 3 / 3
Après trois années de tests, d’expertise, de comparaison, d’évaluation, de négociation :
Un seul acteur a répondu à nos attentes.
Cet acteur n’est ni prince, ni charmant, il est juste compétent, crédible, prêt à un tel projet.
UNE CULTURE DE LA MUTUALISATION III. VERS LA MUTUALISATION Un partenaire 3 / 3
UNE SOLUTION ÉPROUVÉE III. VERS LA MUTUALISATION La solution Secutix 360° 1 / 5
Une solution centrée sur l'usager capable de suivre et d'accompagner le parcours de chaque spectateur.
Analyse, interpréta>on & connaissance du client
Bille8erie
Canaux de vente et de communica>on B2C + B2B
Iden>fica>on & Contrôle d'accès
Digital marke>ng & Campagnes commerciales
Ges>on du public et des entreprises
Analyse, interpréta>on & connaissance du client
Bille8erie
Canaux de vente et de communica>on B2C + B2B
Iden>fica>on & Contrôle d'accès
Digital marke>ng & Campagnes commerciales
Ges>on du public et des entreprises
UNE SOLUTION ÉPROUVÉE III. VERS LA MUTUALISATION Une réponse concrète à des besoins concrets 2 / 5
u Être visible
u Éviter la volatilité des spectateurs et des informations les concernant
u Connaître son public, le fidéliser et le stimuler
u Assurer ses recettes par des formules innovantes et appropriées
Être visible
Éviter la volatilité des spectateurs et des informations les concernant
Connaître son public, le fidéliser et le stimuler
Assurer ses recettes par des formules innovantes et appropriées
UNE SOLUTION ÉPROUVÉE III. VERS LA MUTUALISATION Un engagement : l'anonymat choisi 3 / 5
Permettre à chaque structure de connaître précisément ses spectateurs quand ceux-ci souhaitent une approche personnalisée. Garantir aux opérateurs culturels la propriété des informations concernant leurs spectateurs. Donner les moyens d’une animation intelligente et adaptée aux nouveaux usages numériques.
Pour chaque spectateur :
u le bon message u au bon moment u sur le bon canal
Pour une communication aboutie et respectueuse.
UNE SOLUTION ÉPROUVÉE III. VERS LA MUTUALISATION S'inscrire dans une « journée digitale type » pour interagir avec son public de manière non intrusive
4 / 5
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ȏ�PXVLTXHȏ�6SRWLI\ȏ�'HH]HU
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ȏ�VHDUFKȏ�VKRSSLQJȏ�VXUI�
Fin de soirée Matin
Matin
Mat
in
Fin d’après-midi Après-midi
Début de soirée
Soiré
e
UNE SOLUTION ÉPROUVÉE III. VERS LA MUTUALISATION
5 / 5 Un parcours public enrichi
Établir une rela>on de qualité et des services appropriés via
un espace personnel. Valoriser sa saison sous différentes formules culturelles (abonnements,
fermés, libres, parcours n spectacles…).
Proposer des services avant et après spectacle dans le même panier.
Iden>fier et "récompenser" son public :
bons cadeaux, codes promo>onnels ou uniques…
u Les moyens du changement existent mais pour quel projet ? u Des nouveaux métiers sont à inventer dans les structures u Ces solutions peuvent-être accessibles grâce à la mutualisation pour :
v Un partage de compétences v Un partage d’expériences v Une diminution des coûts
u Les publics, eux, sont prêts à partager
( leur temps, leur réseau, leur expérience, leur informations…).
Une telle solution est possible, mais rien n'est magique.
UNE SOLUTION ÉPROUVÉE III. VERS LA MUTUALISATION
créent
garantie / sécurité
UNE SOLUTION ÉPROUVÉE III. VERS LA MUTUALISATION
+
logiciel
mutualisation
service
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
DES SERVICES ACCESSIBLES III. VERS LA MUTUALISATION
u une mutualisation logicielle.
u une mutualisation maintenance.
u une approche globale.
u un interlocuteur unique.
u une solution « BI mutualisée ».
u une mutualisation contacts pro.
u une R&D de modules innovants.
u une prise en compte des entrées gratuites.
u une exclusivité droits contacts.
u des tarifs et CGU garantis.
BILLETTERIE MOTEUR DERECOMMANDATION
SERVICES WEBsites / réseaux sociaux / newsletters
BASE SPECTATEURS (GRC)abonnés / publics / non publics
Forts de notre culture et de cet outil, nous inventons un service travaillant à :
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
Offrez produits, services et conseil sur Internet
u Opérer sa billetterie en toute indépendance.
u Enrichir et unifier le parcours de son public. u S’inscrire dans la journée digitale type
pour interagir intelligemment avec son public.
DES SERVICES ACCESSIBLES III. VERS LA MUTUALISATION
Une boîte à outils pour :
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
DES SERVICES ACCESSIBLES III. VERS LA MUTUALISATION Demain : trouvez des solutions pour faire de chaque spectateur un ambassadeur.
JE VAIS VOIR UKANDANZ, QUI VIENT AVEC MOI ?
RÉSERVER
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
DES SERVICES ACCESSIBLES III. VERS LA MUTUALISATION Demain : permettre aux relais de structurer leur propre offre et de devenir relais des structures culturelles.
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
UNE EXPÉRIENCE COPRODUITE III. VERS LA MUTUALISATION Nous choisissons d’avancer en transparence dans une logique de coproduction.
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
et Sopublics vous invitent à suivre sur
artishoc.com (articles) les conditions de mise en place de cette
solution, en toute transparence.
www.artishoc.com/articles
UNE EXPÉRIENCE COPRODUITE III. VERS LA MUTUALISATION
FÉVRIER Chantier data Formation relations aux publics connectées Tour de France, étude de besoins Intégration Dominicains
MARS
MARS / JUIN
AVRIL / JUIN
Coproduction
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
Découvrez (avec nous), les
nouvelles conditions d’accès
que nous pouvons inventer,
les nouveaux produits,
une autre manière même
de penser la tarification.
UNE EXPÉRIENCE COPRODUITE III. VERS LA MUTUALISATION
www.artishoc.com/articles
Coproduction
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
UNE EXPÉRIENCE COPRODUITE III. VERS LA MUTUALISATION
www.artishoc.com/articles
Sans fascination, conserver le sens des missions.
Débattre des conditions d’usage de ces outils.
Réfléchir à un usage raisonné d’un « marketing culturel »
Coproduction
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
Offrez produits, services et conseil sur Internet
u Bruno Caillet [email protected]
u Christian Binelli [email protected]
Plus d'informations :
www.artishoc.com/articles
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
Les Dominicains // Centre Photographique d'Ile de France // Compagnie Catherine Diverrès //
Culture Europe Interna>onal // Danse Toujours (iddac) // Le Carré -‐ Les Colonnes // Le Cuvier //
Territoires de Cirque // Théâtre du Mouvement // Ticket Théâtre(s) // Bureau Formart //
Centre Na>onal de la Danse // Iddac // Le Carré de Chateau Gonthier // Le Maillon // Le Vivat //
Théâtre de la Cité Interna>onale // CCNT // Centre Wallonie-‐Bruxelles à Paris //
Échappé Belle (Le Carré -‐ Les Colonnes) // École Régionale des Acteurs de Cannes // Espace des Arts //
Forum des Images // Forum des Ins>tuts Culturels Étrangers à Paris // Le Monfort // Le Volcan //
Manège de Reims // Mouvement // Nouveau Théâtre de Montreuil // Paloma //
Point Éphémère (applica>on) // Théâtre de la Bas>lle // Ateliers de Paris //
Rencontres Chorégraphiques Interna>onales de Seine-‐Saint-‐Denis // Les Tréteaux de France //
Théâtre des 13 Arches // Le Parvis Tarbes // Le Quai Angers //
Membres au 31/12/2013
www.artishoc.com/articles
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
Siège
Filiales
Siège : Lausanne (CH) Création en 2002 Plus de 60 collaborateurs
Nos clients :
+ Opéra National de Paris
+ Cité de la Musique + Théâtre du Chatelet
+ Théâtre lliure (Barcelone) + Théâtre La Boulimie (Lausanne)
+ Théâtre de Vidy + Les Eurockéennes
+ Stade de France + Musée Grévin
Notre proposition :
Nos moyens :
Mettre à disposition sous forme de services une solution de la billetterie professionnelle pour les acteurs du Spectacle Vivant, du loisir, du divertissement et du sport dont l’ambition est d’élargir leur offre, leur recette et d’exceller dans l’animation de la relation avec leur public.
www.artishoc.com/articles
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
http://www.besoinded.com/telechargement/Evolution%20des
%20march%C3%A9s%20de%20la%20billetterie%20en%20France.pdf
Plus d'informations :
www.artishoc.com/articles
La maîtrise de la base de données clients
Une question pendante et d’importance a trait à la maîtrise de la relation au « client ». En assurant la vente des billets, les distributeurs disposent de fichiers clients, dont ils sont propriétaires. Les entreprises de spectacles souhaitent de leur côté développer leur action de promotion et de communication auprès de leur public ou clientèle, rassemblée autour d’un ou plusieurs artistes. La gestion de la relation au client (GRC), appelée aussi CRM (customer relationship management), apparaît en effet un enjeu décisif, particulièrement dans le contexte de la révolution numérique.
“ “ extrait
(p. 22)
Enquête : évolution des marchés de la billetterie en France
LIEN enquête :
LA SOLUTION DE GESTION DES CONTACTSDÉDIÉE AUX ACTEURS CULTURELS
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