Pourquoi faut-il parfois jusqu’à 21 mois entre l’approbation d’un projet de la BAD et le début de sa mise en œuvre effective sur le terrain ? Pourquoi certains projets et programmes de la BAD ne sont-ils pas achevés dans les délais et le budget prévus ? De nombreuses réponses sont possibles, et le renforcement des capacités est au cœur de certaines d’entre elles. Ce contexte éclaire les activités de formation dans ce domaine qui ciblent les PMR et les aident à comprendre les procédures, les règles et les règlements du Groupe de la Banque. Les bénéficiaires des fonds de la BAD sont guidés dans leurs activités afin d’assurer la mise en œuvre réussie des programmes et projets.
Public cible : Agents des cellules d’exécution de projet (CEP), experts en décaissement et en gestion financière des projets, experts en passation des marchés pour les projets, chefs de projets, superviseurs du décaissement et de la gestion financière dans les pays, superviseurs de la passation des marchés dans les pays, et toute autre personne intéressée impliquée dans les questions de passation des marchés, décaissement, et gestion financière dans les ministères. Qualifications : Personnel des cellules d’exécution de projet et fonctionnaires des ministères et organismes parapublics directement impliqués dans la mise en œuvre de projets soutenus par la BAD, ou assumant des responsabilités de surveillance et/ou de supervision des projets.
Description du cours : Les ateliers de clinique fiduciaire sont répartis en deux catégories, comme décrit ci-dessous : Atelier de diagnostic des cliniques fiduciaires (étape 1)
Discussion des questions liées à l’utilisation des politiques, règles, procédures et pratiques de la BAD en matière de passation des marchés, gestion financière et décaissement ;
Discussion de l’utilisation des systèmes et procédures réglementaires et institutionnels nationaux ;
Examen des nouveaux développements et défis rencontrés dans l’application des procédures nationales au cours de la mise en œuvre des projets financés par la BAD ; et
Détermination des priorités et proposition d’un programme sur mesure annuel de formation de type clinique fiduciaire.
Mise en œuvre de l’atelier de clinique fiduciaire (étape 2)
Présentation des principales exigences de la Banque et des nouveautés en matière de politiques et procédures ;
Présentation des règles et procédures spécifiques relatives aux problèmes particuliers identifiés dans le décaissement et la gestion financière ;
Partage d’expériences sur des problèmes similaires déjà rencontrés par d’autres projets ;
Études de cas concrets et exercices pratiques sur les procédures et processus associés aux besoins de formation identifiés ;
Suivi de la mise en œuvre des plans de passation des marchés et de décaissement, et de la prise en compte des recommandations des missions de supervision précédentes.
CLINIQUES FIDUCIAIRES BOÎTES À OUTILS
POUR SOUTENIR LE
PORTEFEUILLE DE LA
BANQUE DANS LES
PMR
Cliniques fiduciaires Langue : Français Lieu : Dates : Tunisie 16 – 18 mars Mali 30 mars – 3 avril Bénin 20 – 22 avril
Niger Niger 6 – 8 avril Cameroun Avril Rép. démocratique du Congo 11 – 15 mai Djibouti 15 – 19 juin Maroc Septembre Mauritanie Septembre
Cliniques fiduciaires Langue : Anglais Lieu : Dates : Kenya 17 – 20 mars Rwanda 4 – 8 mai Éthiopie 27 – 29 avril Gambie 1 – 5 juin Tanzanie 27 – 30 avril Ghana 8 – 10 juin Nigeria Novembre
Cliniques fiduciaires Langue : Portugais Lieu : Date :
Mozambique 4 – 6 novembre
Public cible : Agents des cellules d’exécution des projets ; fonctionnaires des ministères de tutelle, chefs de projet dans les bureaux extérieurs et au siège de la BAD. Les fonctionnaires des ministères participants feront partie des cadres, à un grade supérieur ou égal à directeur adjoint ou équivalent. Les projets examinés lors de l’atelier relèvent des catégories de projets classés comme « à problèmes » ou « potentiellement à problèmes ». Le nombre des projets sélectionnés pour étude ne dépassera pas six. La liste définitive sera finalement établie conjointement par l’IAD, les bureaux pays et les chefs de projets. Qualifications : Personnel des cellules d’exécution des projets et fonctionnaires des ministères et organismes parapublics directement impliqués dans la mise en œuvre de projets soutenus par la BAD, ou assumant des responsabilités de surveillance et/ou de supervision des activités des projets en vue de surmonter les obstacles rencontrés par leurs projets et de planifier la marche à suivre pour obtenir des résultats immédiats.
Description du cours : Les quatre ateliers constitueront une plateforme d’examen des stratégies visant à améliorer les performances des projets à problèmes ou potentiellement à problèmes. Ils donneront à toutes les parties prenantes des projets la possibilité de se réunir et de s’entendre sur des activités limitées dans le temps en vue de surmonter les obstacles rencontrés par leurs projets et de planifier la marche à suivre pour obtenir des résultats immédiats. La méthodologie est conçue par l’Institut pour résoudre les difficultés des projets défaillants. Elle rassemble les parties prenantes autour de buts et priorités convenus de commun accord, d’objectifs mesurables à court terme, et d’un cadre pour le suivi des progrès de la mise en œuvre. La méthodologie encourage les efforts de changement à grande échelle à l’aide d’une série d’initiatives opportunes et productrices de résultats. Elle s’assure que les activités sont liées aux résultats finaux tout en réduisant les risques cachés inhérents aux stratégies à long terme. À la fin de l’atelier, les agents des CEP et les autres parties prenantes doivent normalement avoir effectué une analyse en profondeur des problèmes de leurs projets, débattu et convenu de mesures pour donner une impulsion à court terme, qui seront suivies et finalement transférées vers la prochaine phase d’activités.
OUTILS D’AMÉLIORATION
DES PERFORMANCES DES
PROJETS (OAPP)
Outils d’améliOratiOn des performances des projets Langue : Anglais Lieu : Date : Tanzanie 27 – 30 avril
Outils d’amélioration des performances des projets Langue : Français Lieu : Date : Gambie 13 – 17 avril Mali 14 – 18 sept Cameroun 28 sept – 2 oct
Public cible :
Personnel de niveau professionnel directement impliqué dans la préparation et le suivi des DSP. Comprend les chargés de programme pays, économistes pays, spécialistes sectoriels, spécialistes de l’évaluation, économistes des politiques, économistes institutionnels, et spécialistes du secteur privé.
Description du cours :
Le Document de stratégie pays (DSP) est le principal instrument de programmation de la Banque. Il définit l’orientation et l’étendue du programme pluriannuel de développement que la Banque s’engage à soutenir dans chaque pays membre régional (PMR), conformément à ses priorités stratégiques.
L’élaboration des DSP prend appui sur l’appropriation par le pays et des partenariats pour définir des programmes pays solides et ciblés, produisant des résultats partagés. L’analyse stratégique du contexte du PMR couvre différentes dimensions.
Un des ingrédients clés pour produire des DSPAR (Document de stratégie pays axé sur les résultats) de qualité est une capacité adéquate et une meilleure compréhension de la part du personnel de la Banque des processus et questions impliqués dans la préparation de ces documents. C’est dans ce contexte que l’IAD souhaite mener un programme de formation à ce sujet destiné au personnel de la Banque, en particulier compte tenu des changements de personnel majeurs qui ont eu lieu à la Banque au cours des huit dernières années.
Objectifs du cours :
La formation fournira au personnel des indications pratiques pour la formulation d’un DSP mettant en œuvre les objectifs des grands changements d’orientation de la Banque. Elle constitue un outil de connaissance qui complétera le format récemment révisé du DSP et la boîte à outils de la stratégie pays attendue pour bientôt. Le personnel acquerra une meilleure idée de la justification de la stratégie et une compréhension plus profonde des liaisons entre les objectifs de la Banque et les types d’opérations qu’elle entreprend habituellement.
La formation sensibilisera également les participants à l’approche de la Banque en matière de planification de ses engagements de développement avec les pays membres régionaux (PMR).
À la fin de l’atelier, le personnel participant doit être mieux outillé pour mener des discussions avec les clients de la Banque en vue de l’élaboration des stratégies pays.
FORMATION AU DOCUMENT DE
STRATÉGIE PAYS
Formation AU DSP Langue : Français Lieu : Date : Côte d’Ivoire 6 – 8 mai
Formation sur les DSP Langue : Français-anglais Lieu : Date : Kenya – Côte d’Ivoire 6 – 8 mai
Formation AU DSP Langue : Anglais Lieu : Date : Kenya Septembre
Dans de nombreux pays africains, le secteur public a fourni des biens publics de manière raisonnablement satisfaisante, et son rôle ne peut être sous-estimé. Mais ce qui est intéressant c’est que les secteurs tant privé que public peuvent développer des synergies dans certains domaines où ils produisent de meilleurs résultats en intervenant ensemble que séparément. Toutefois, lorsque les pays africains sont confrontés à des possibilités de PPP, leur défi est de disposer des capacités nécessaires pour traduire les plans en actions. Dans le cadre de ce thème, la formation se concentre sur les techniques et processus de PPP nécessaires à une gestion experte des projets clés d’infrastructure, notamment ferroviaires, routiers, énergétiques, de télécommunications, d’eau et d’assainissement.
Les ateliers destinés aux PMR portant sur les produits financiers de la Banque offriront une plateforme de compréhension des différents guichets de financement du Groupe de la Banque, ouverts aux pays membres régionaux à faibles revenus, aux pays classés comme mixtes ainsi qu’à ceux dits « atypiques » et en transition. Il existe différents prêts concessionnels, dons pour les projets et programmes, garanties partielles et du risque de crédit, et assistance technique aux études et au renforcement des capacités.
Ces ateliers donnent également une idée approfondie des évolutions liées à la reconstitution du FAD-13, concernant la manière dont le FAD a appliqué des conditions de prêts différenciées aux pays éligibles à ce Fonds, avec une extension des prêts aux pays mixtes, « atypiques » et en transition avec des périodes de maturité différentes. Les ateliers présentent également ce qui a été fait pour stimuler des investissements complémentaires du secteur privé dans les pays à faible revenu : l’instrument de garantie partielle du risque du FAD (GPR du FAD) a été introduit dans le cadre du FAD-12 pour mobiliser des ressources du secteur privé et d’autres cofinanciers en faveur de pays du FAD, notamment les États fragiles. La GPR du FAD protège les prêteurs privés contre des risques politiques bien définis, liés à l’incapacité d’un État ou d’une entité liée à l’État d’honorer certains engagements déterminés et incite les États à entreprendre les réformes politiques et fiscales nécessaires pour atténuer les risques liés aux performances.
La garantie (GPC) a été ajoutée à la suite des instruments du FAD. Elle est un instrument conçu pour relever les défis auxquels sont confrontés les seuls pays du FAD et entreprises publiques (EP) obtenant de bons résultats dans leur quête d’un
financement commercial à la fois intérieur et extérieur, à des fins de développement. Le produit servira à garantir partiellement les obligations de service de la dette des pays à faible revenu (PFR) et des EP obtenant de bons résultats dans les PFR.
La GPC du FAD est n’est disponible que pour 1) les pays du FAD à faible risque de surendettement (pays à « feu vert ») et dotés d’une capacité adéquate de gestion de la dette ; et 2) les EP des pays du FAD à risque de surendettement faible à modéré (pays à feu « vert » et « jaune » respectivement), sous réserve de certains critères d’admissibilité définis. Semblable à la GPR du FAD, la GPC du FAD permettra aux PFR et EP obtenant de bons résultats de mobiliser des volumes de financement du développement plus importants et à des conditions plus attrayantes.
PARTENARIATS PUBLIC-PRIVÉ, DÉVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVÉ
PRODUITS FINANCIERS DE LA
BANQUE DESTINÉS AUX PMR
Produits financiers de la Banque
destinés aux PMR
Langue : Français
Lieu : Date :
Maroc 22 – 23 avril
Tunis 6 – 7 mai
Description du cours : En s’appuyant sur les précédentes activités de renforcement des capacités, l’Institut parrainera et gérera, en partenariat avec les Opérations du secteur privé de la Banque, une conférence régionale en français sur les PPP en Afrique. L’événement rassemblera plusieurs acteurs internationaux et régionaux, des fonctionnaires de l’État, le secteur privé et le personnel de la Banque africaine de développement. En tant que coordonnateur de la Banque pour les initiatives de renforcement des capacités, l’Institut mènera une formation préalable à la conférence qui aidera les participants à l’atelier à mieux comprendre les aspects essentiels de la gestion de projet dans le cadre de PPP. Comme d’autres sessions, celle-ci mettra en évidence des domaines tels que :
• La sélection des projets pour les PPP ; l’embauche de conseillers ; l’analyse de préfaisabilité et de faisabilité ; l’analyse des risques ; l’administration de projet/gestion des connaissances et leadership ;
• La préparation des négociations, le développement des compétences, l’optimisation des relations avec les financiers et les méthodes pour concevoir des solutions gagnant-gagnant ;
• Une vue d’ensemble de la procédure de passation des marchés ; les processus d’appel d’offres transparents et la constitution de listes de contrôle des pratiques modèles ;
• Le suivi basé sur le contenu par rapport à la prévalence des institutions législatives et réglementaires ; la conservation des données essentielles des projets ; et les exigences de production des rapports.
CONFÉRENCE RÉGIONALE SUR
LES PPP EN AFRIQUE POUR LES
PAYS MEMBRES RÉGIONAUX
CONFÉRENCE RÉGIONALE SUR LES PPP EN
AFRIQUE POUR LES PAYS MEMBRES RÉGIONAUX
Langue : Anglais
Lieu : Date :
Afrique du Sud 1 – 3 décembre
L’Institut continue à offrir une formation adéquate en modélisation des politiques macroéconomiques et prévision afin de doter le personnel de la BAD et les analystes des politiques des PMR des outils et compétences nécessaires pour mener des analyses rigoureuses des défis économiques critiques en Afrique. Les techniques de simulation et prévision permettent aux analystes d’explorer diverses options de politiques en examinant des scénarios alternatifs et leur impact probable sur la résolution d’un défi économique tel que la récente résurgence d’une inflation à deux chiffres ou la dépréciation de la monnaie dans certains pays d’Afrique. De plus, ces ateliers reconnaissent l’existence de différentes approches de modélisation et que les analystes des politiques doivent choisir l’approche appropriée en fonction du problème économique considéré. Il est espéré que ces ateliers contribueront à construire en Afrique des réseaux pour la modélisation et la prévision des politiques macroéconomiques, rassemblant le personnel de la BAD, les banques centrales, des fonctionnaires des ministères des Finances et des représentants des universités et du secteur privé. Certains des ateliers de ce thème seront organisés en collaboration avec le Fonds monétaire international (FMI) dans le cadre du Partenariat multilatéral pour l’Afrique (PMA).
Public cible : Fonctionnaires et correspondants nationaux chargés des données, dont la principale responsabilité est la diffusion des statistiques nationales.
Qualifications : Les participants doivent être titulaires d’un diplôme en TI, économie ou statistiques, ou justifier d’une expérience équivalente.
Description du cours :
Ce cours d’une semaine, présenté conjointement par la Banque africaine de développement (BAD) et le Département des statistiques du FMI, présente aux participants la Plateforme ouverte de données (ODP – OpenData Platform) pour l’Afrique élaborée et mise à disposition par la BAD. Le cours aide les participants à comprendre la gestion et la diffusion des données à travers l’ODP, en constituant des ensembles de données et en produisant des contenus riches, tels que des diagrammes, des tableaux de bord et autres visualisations. Les participants apprennent à utiliser l’ODP en vue de la diffusion publique de données officielles, en accord avec leurs propres politiques de diffusion. Les instructeurs donneront des indications pour l’identification des ensembles de données qui doivent rester « privés » et ceux à diffuser auprès du grand public. Le cours fournit également une expérience pratique de l’utilisation de l’ODP pour la soumission de données au Fonds et la facilitation du partage des données avec d’autres organismes dans le pays. Il est organisé sous la forme d’une série d’études de cas interactives.
MODÉLISATION DES POLITIQUES MACROÉCONOMIQUES ET PRÉVISION
NORMES INTERNATIONALES
POUR LES DONNÉES (NID) DANS
LES PLATEFORMES OUVERTES
DE DONNÉES DES PAYS
NORMES INTERNATIONALES pour les DONNÉES
(NID) DANS LES PLATEFORMES OUVERTES DE
DONNÉES DES PAYS
(PMA)
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Afrique du Sud 23 – 27 février
NORMES INTERNATIONALES pour les DONNÉES
(NID) DANS LES PLATEFORMES OUVERTES DE
DONNÉES DES PAYS
(PMA)
Langue : Français
Lieu : Dates :
Sénégal 23 – 27 mars
Public cible : Fonctionnaires des ministères des Finances, de la Planification et de la Justice des PMR ainsi que parlementaires africains. Qualifications : Licence Description du cours : Le cours facilitera l’apprentissage et la réflexion guidée sur ces questions cruciales. Il rassemblera des professionnels chevronnés à mi-carrière et le personnel de la Banque pour une semaine de formation en anglais. Les participants prendront part à une expérience d’apprentissage participatif combinant des exposés, des discussions en petits groupes et des exercices. Le séminaire comprendra les sessions suivantes : i) défis de la fragilité et engagement de la Banque africaine de développement dans les États fragiles ; ii) conception et la mise en œuvre des projets de la Banque dans les États fragiles ; iii) analyse des conflits ; iv) aperçu d’économie politique ; v) messages clés de la stratégie d’engagement de la Banque africaine de développement ; vi) transformation des institutions : aller vers une résilience institutionnelle ; vii) légitimité et ses mécontentements ; et viii) renforcement des capacités des autorités, réforme de l’administration publique et des statistiques des comptes nationaux.
Public cible : Fonctionnaires des ministères des Finances, de la Planification et de la Justice des PMR ainsi que parlementaires africains. Qualifications : Licence Description du cours : La bonne gouvernance, la redevabilité et la transparence sont des éléments reconnus d’une gestion saine des finances publiques. Les parlements ont un rôle primordial à jouer dans la promotion d’une bonne gouvernance économique et financière, à l’aide d’une surveillance efficace du budget public et de la gestion des dépenses. La Banque africaine de développement (BAD) reconnaît ce rôle important des parlements en tant qu’institutions de défense de l’intégrité, dont la fonction de supervision peut être mobilisée pour encourager la bonne gouvernance économique dans les pays membres régionaux (PMR) et elle s’est par conséquent engagée à soutenir le travail parlementaire dans ce domaine.
Il est de l’intérêt de la BAD de le faire pour s’assurer que les ressources sont effectivement consommées dans le but de réduire la pauvreté et pour promouvoir une redevabilité adéquate dans la gestion des projets et programmes financés par la Banque dans ses PMR. Le cours abordera la gestion des finances publiques, une composante essentielle de la gouvernance économique. Le renforcement de la bonne gouvernance est aujourd’hui universellement reconnu comme de première importance pour le développement. L’efficacité de l’aide dépend en grande partie du renforcement des capacités institutionnelles et administratives en général et de gestion des finances publiques en particulier. Le rôle des parlementaires dans la promotion de la bonne gouvernance doit être examiné attentivement dans le cadre de leurs fonctions législatives et de contrôle de la redevabilité financière et de la responsabilité budgétaire.
AMÉLIORATION DE
L’EFFICACITÉ DE L’AIDE AU
DÉVELOPPEMENT DANS LES
ÉTATS FRAGILES ET EN
SITUATION DE POST-CONFLIT
GOUVERNANCE FINANCIÈRE
PUBLIQUE ET RÔLE DES
PARLEMENTAIRES
Amélioration DE L’EFFICACITÉ DE L’AIDE
AU DÉVELOPPEMENT DANS LES ÉTATS
FRAGILES ET EN SITUATION DE POST-
CONFLIT
Langue : Français
Lieu : Dates :
Sénégal 20 – 23 avril
GOUVERNANCE FINANCIÈRE PUBLIQUE ET
RÔLE DES PARLEMENTAIRES
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Malawi 28 avril – 2 mai
Public cible : Cadres des Banques centrales
chargés de la compilation des statistiques monétaires. Qualifications : Les participants doivent être titulaires d’un diplôme en économie ou en statistiques, ou justifier d’une expérience équivalente. La participation à un cours antérieur sur les SMF est un avantage. Description du cours : Ce séminaire de deux semaines, présenté par le Département des statistiques du FMI, vise à aider les fonctionnaires à compiler des statistiques monétaires et financières, en accord avec les pratiques modèles internationales, avec un accent sur les autres sociétés financières (ASF). Le contenu du cours est basé sur le Manuel des statistiques monétaires et financières et le Guide pour la compilation des statistiques monétaires et financières. Il résume brièvement les principes de la sectorisation économique, les caractéristiques et la classification des instruments financiers, la valorisation et d’autres questions de comptabilité pertinentes pour la compilation des comptes analytiques pour l’ensemble du secteur financier. Le cours aborde également certains aspects des statistiques financières, comprenant les flux et stocks financiers de tous les secteurs de l’économie nationale et leur interaction avec le reste du monde, l’approche bilancielle pour l’analyse de la vulnérabilité, et les relations entre les statistiques monétaires, de la balance des paiements, des finances publiques et des comptes nationaux.
Il se compose d’exposés et d’études de cas qui permettent aux participants de se familiariser avec les aspects pratiques de la compilation des statistiques monétaires pour les ASF. Les participants sont invités à faire de courtes présentations sur des questions de compilation des statistiques monétaires et financières et d’utilisation des données monétaires dans leurs pays.
Public cible : Cadres supérieurs des banques centrales chargés de la comptabilité, de la production des rapports financiers, de l’audit, de la gestion des risques, du contrôle interne, des statistiques, des opérations juridiques ou de gestion des réserves ; ou siégeant à un conseil ou un comité supervisant les activités d’audit, d’investissement ou de production des rapports financiers. Qualifications : Les participants doivent être titulaires d’un diplôme universitaire ou de doctorat dans l’une des disciplines suivantes : comptabilité, sciences commerciales, économie, finance, droit ; ou avoir obtenu des certifications professionnelles dans le domaine de l’audit (comptables agréés ou experts-comptables, auditeurs internes ou auditeurs des systèmes d’information) ou de la finance (analystes financiers certifiés).
Description du cours : Ce cours d’une semaine, présenté par le Département des finances du FMI est conçu pour fournir aux fonctionnaires des banques centrales un exposé interactif de la méthodologie d’évaluation des sauvegardes du FMI. Le cours souligne en particulier l’importance de la gouvernance, de la transparence et de la redevabilité de la Banque centrale pour l’amélioration des sauvegardes financières. Il servira également de forum où les fonctionnaires des banques centrales pourront partager leurs expériences du renforcement des cadres de sauvegarde, notamment des défis et difficultés émergents. Le cours comprend des exposés interactifs et des discussions, des ateliers et des études de cas portant sur les principaux domaines de l’évaluation, à savoir les mécanismes d’audit interne et externe, le cadre de production des rapports financiers, le système de contrôle interne, la gestion des réserves internationales, et la production des rapports sur les données monétaires destinés au Fonds. L’objectif est de fournir aux participants les connaissances et compétences requises pour évaluer les forces et les vulnérabilités des sauvegardes financières de leurs banques centrales et d’identifier les mesures spécifiques qui peuvent être prises pour renforcer ces sauvegardes. Il porte également sur la méthodologie et les procédures utilisées pour suivre le cadre des sauvegardes au niveau des banques centrales.
COURS AVANCÉ DE
STATISTIQUES MONÉTAIRES
ET FINANCIÈRES
ÉVALUATION DES SAUVEGARDES
DES BANQUES CENTRALES (ESBC)
COURS AVANCÉ SUR LES STATISTIQUES
MONÉTAIRES ET FINANCIÈRES
(PMA)
Langue : Français
Lieu : Dates :
Sénégal 1– 12 juin
ÉVALUATION DES DISPOSITIFS DE SAUVEGARDE
DES BANQUES CENTRALES (ESBC)
(PMA)
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Sénégal/Afrique du Sud 6 – 10 juillet
Public cible : Fonctionnaires des banques centrales et des organismes de supervision du secteur financier impliqués dans la collecte, la compilation et l’analyse des indicateurs de solidité financière. Qualifications : Les participants doivent être titulaires d’un diplôme en économie ou en statistiques, ou justifier d’une expérience équivalente. Description du cours : Ce cours d’une semaine, présenté par le Département des statistiques du FMI, comprend des concepts et définitions, des sources de données, et des techniques pour la compilation des indicateurs de solidité financière (ISF) servant à étayer l’analyse macro-prudentielle. Il porte sur les aspects fondamentaux de la méthodologie de construction d’ISF (tels que la couverture, l’agrégation, la consolidation, l’estimation), comme indiqué dans le Guide de compilation des indicateurs de solidité financière et ses amendements de 2007. Le cours présente le formulaire modèle à utiliser pour les rapports réguliers au FMI sur les données et métadonnées des ISF et fournit des indications pour l’accès à la base de données du FMI et son utilisation pour les données et métadonnées des ISF. Il fournit également des informations sur l’utilisation des ISF dans la surveillance du secteur financier. Les sujets sont traités dans des exposés et des ateliers (exercices pratiques sur la compilation des ISF).
Public cible : Fonctionnaires, principalement des ministères des Finances, de l’Économie et de la Planification, ou des banques centrales, qui fournissent des conseils pour les politiques macroéconomiques et financières ou participent à leur mise en œuvre. Qualifications : Les participants doivent être titulaires d’un diplôme en économie ou justifier d’une expérience équivalente, et maîtriser les logiciels de tableurs. Description du cours : Le cours de programmation et politiques financières (PPF), présenté par l’Institut pour le renforcement des capacités du FMI, vise à approfondir les connaissances des participants sur la conception et la mise en œuvre des politiques macroéconomiques et financières, en s’appuyant sur l’expérience du FMI en matière de surveillance économique, conception de programmes financiers, et fourniture de conseils techniques aux pays membres.
Le cours traite des principales caractéristiques des quatre grands secteurs composant la macroéconomie (réel, fiscal, extérieur et monétaire) et les relations qui les lient. Pour chaque secteur, le cours commence par présenter l’approche comptable, puis les questions analytiques et les méthodes de prévision simples ; le diagnostic de performance macroéconomique et l’analyse des effets des politiques macroéconomiques et structurelles sur les principales variables d’intérêt pour les responsables des politiques, notamment la production, les prix et la balance des paiements. Il aborde enfin l’élaboration d’un programme de politique macroéconomique visant à corriger les déséquilibres identifiés dans le diagnostic d’une étude de cas fondée sur des données réelles. Le cours sur les PPF admet des variantes spécifiques à la région (par exemple, un accent sur le ciblage de l’inflation), et certaines versions comprennent une composante en ligne à parcourir avant de participer à la composante résidentielle du cours.
INDICATEURS DE SOLIDITÉ
FINANCIÈRE (ISF)
INDICATEURS DE SOLIDITÉ FINANCIÈRE (ISF)
(PMA)
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Afrique du Sud 7– 11 septembre
PROGRAMMATION et POLITIQUES
FINANCIÈRES
(PMA)
Langue : Français
Lieu : Dates :
Sénégal 7 – 18 septembre
PROGRAMMATION ET POLITIQUES
FINANCIÈRES
Public cible : Fonctionnaires de niveau moyen à supérieur des banques centrales et des ministères des Finances ou de l’Économie, directement impliqués dans le diagnostic de la situation macroéconomique et l’élaboration de projections. Qualifications : Les participants doivent être titulaires d’un diplôme en économie ou justifier d’une expérience équivalente, avoir de bonnes aptitudes de quantification et maîtriser l’usage d’ordinateurs pour l’analyse des données. Description du cours : Ce cours de deux semaines, présenté par l’Institut pour le renforcement des capacités du FMI, est délivré au siège du FMI et dans les centres régionaux de formation de l’Institut. Il vise à étoffer l’aptitude des participants à évaluer la situation macroéconomique d’un pays, en mettant l’accent sur les outils pratiques à utiliser au quotidien dans l’analyse macroéconomique de l’évolution d’économies complexes. Le cours s’inspire largement des expériences concrètes des pays, et se concentre sur des outils de diagnostic et d’analyse généralement mal couverts dans les manuels de macroéconomie ou les cours universitaires. Les exposés et ateliers correspondants abordent trois grands types d’évaluations : 1. La situation actuelle de la macroéconomie, notamment les évolutions de la productivité et de la demande agrégées, de l’inflation, des marchés du travail, des marchés des actifs et du secteur extérieur ;
2. Les politiques budgétaires et monétaires sous un angle positif (plutôt que normatif). Ces politiques visent-elles l’expansion ou l’austérité ? Quel est leur impact sur la macroéconomie, et pourquoi ?
3. Les perspectives à moyen terme pour le pays, y compris la soutenabilité de la trajectoire des dettes publique et extérieure, la possible sous-évaluation du taux de change réel, et les vulnérabilités des bilans dans le secteur financier, les sociétés non financières et le secteur public d’un pays.
Les participants sont invités à participer activement aux discussions tout au long du cours. Pour les ateliers pratiques mettant en œuvre les outils de diagnostic et d’analyse présentés dans les exposés, les participants sont répartis en petits groupes dirigés chacun par un conseiller.
Public cible : Cadres-fonctionnaires principalement responsables de la compilation plutôt que de l’analyse des statistiques sur les finances publiques. Qualifications : Les participants doivent être titulaires d’un diplôme en économie ou en statistiques, ou justifier d’une expérience équivalente.
Description du cours : Ce cours d’une semaine, présenté par le Département des statistiques du FMI, se concentre sur différents aspects de la préparation et de la diffusion des statistiques sur les finances publiques (SFP). Il aide les cadres supérieurs des ministères des Finances à l’échelon central, des États et local, des services de comptabilité publique, des bureaux de la statistique et des banques centrales à mieux comprendre comment les données budgétaires sources existantes peuvent être efficacement exploitées. Il fournit des indications sur l’amélioration des données sources en vue d’optimiser leur utilisation dans l’analyse budgétaire. Le cours aborde également les données sur la dette et les bilans. Il examine les liaisons entre les SFP et le processus budgétaire, le plan comptable, les états financiers et divers autres ensembles de données, tels que les statistiques monétaires et financières, les comptes nationaux et les statistiques sur la balance des paiements. Les questions relatives à la production des rapports destinés au FMI sont également traitées. Les participants se pencheront sur la collaboration entre compilateurs des données nationales, et les formateurs expliqueront les bonnes pratiques en matière de diffusion des SFP, y compris la norme de diffusion des données du FMI.
DIAGNOSTIC
MACROÉCONOMIQUE (DM)
STATISTIQUES SUR LES FINANCES
PUBLIQUES (SFP) POUR LES CADRES
DIAGNOSTIC MACROÉCONOMIQUE (DM)
(PMA)
Langue : Français
Lieu : Dates :
Sénégal 21 sept. – 2 oct.
STATISTIQUES SUR LES FINANCES
PUBLIQUES (SFP) POUR LES CADRES
(PMA)
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Afrique du Sud 19 – 30 octobre
Public cible : Fonctionnaires de rang moyen ou supérieur des ministères des Finances, du Trésor, des services de gestion de la dette, des ministères de l’Économie, ou des services de planification financière au sein des ministères d’exécution. Qualifications : Les participants doivent avoir une expérience significative des politiques budgétaires, des questions macroéconomiques ou de la budgétisation. Description du cours : Ce cours d’une semaine, présenté par le Département des affaires fiscales du FMI, examine les activités des institutions budgétaires, telles que le cadre budgétaire à moyen terme, la budgétisation du sommet vers la base, la budgétisation à moyen terme, la gestion des liquidités et de la dette, les institutions budgétaires indépendantes et l’exhaustivité budgétaire ; ainsi que leur rôle dans la promotion de la discipline budgétaire.
Au cours des dix dernières années, des efforts louables ont été déployés pour surmonter les graves problèmes d’infrastructure de l’Afrique et pour développer les secteurs clés, tels que le transport routier et l’énergie, en particulier là où les améliorations de l’infrastructure constituent un levier important pour faire progresser l’intégration régionale. Le financement des infrastructures et l’intégration régionale restent néanmoins un défi majeur pour l’Afrique. Deux grandes innovations visant à obtenir les fonds requis sont analysées : l’une est l’émission d’obligations ; l’autre le recours à des instruments de financement islamique, notamment les sukuk. Cet atelier aborde le financement des infrastructures à l’aide des marchés des capitaux, les obligations islamiques (sukuk), l’évaluation de l’impact de l’intégration régionale, la négociation des contrats internationaux, et le recouvrement des recettes.
Public cible : Responsables de la formulation, facilitation et prise de décision en matière de politiques ; législateurs ; professionnels ; banquiers ; professionnels du développement ; etc. issus des ministères des Finances, de la Planification économique, du Commerce et de l’Intégration, des banques centrales et des services du budget. Les participants seront des cadres de niveau moyen à supérieur et des fonctionnaires techniques occupant des postes de direction ou équivalent. Qualifications : Licence ou maîtrise en économie et statistiques, commerce et intégration régionale, finance, économie du développement ou dans des domaines connexes. Description du cours : Plusieurs auteurs ont documenté les besoins en infrastructure de l’Afrique. Parmi eux, la BAD note en 2010 que « les investissements dans l’infrastructure en Afrique n’ont pas suivi le rythme de croissance de la demande, créant ainsi un énorme déficit. Moins de 40 % de la population du continent a accès à l’électricité, un tiers environ de la population rurale aux routes, et seulement 5 % des terres agricoles sont irriguées. La situation n’est guère meilleure en ce qui concerne les infrastructures sociales, avec seulement 34 % de la population ayant accès à un assainissement amélioré, et un peu plus à l’eau potable, avec une couverture d’environ 65 % ». Avec la réalisation de certains OMD dans la balance, il est nécessaire de penser à des moyens innovants de financer ce déficit d’infrastructure.
Institutions budgétaires et discipline
budgétaire
(PMA)
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Afrique du Sud 3 – 6 novembre
INSTITUTIONS BUDGÉTAIRES ET
DISCIPLINE BUDGÉTAIRE
MÉTHODES INNOVANTES
DE FINANCEMENT DES
INFRASTRUCTURES ET
INTÉGRATION RÉGIONALE
FINANCEMENT DES
INFRASTRUCTURES ET
INTÉGRATION RÉGIONALE
C’est pourquoi ce cours présente aux participants des modèles de financement et de gestion des infrastructures, ainsi que la justification de l’intégration régionale en Afrique. Plus précisément, il traite, entre autres, des difficultés de financement des infrastructures en Afrique ; des pratiques modèles de préparation des projets d’investissement dans l’infrastructure ; des bonnes pratiques et modèles internationaux de financement des infrastructures ; des partenariats public-privé et de l’intégration régionale (leçons tirées des expériences de l’Afrique australe, de l’Ouest et de l’Est) ; des partenariats public-privé pour le renforcement des infrastructures ; et du cadre politique et réglementaire pour la création d’un environnement favorable à l’investissement dans les infrastructures. Le cours présente les cas du corridor de Maputo, du corridor Abidjan-Lagos et du projet ZAZIBONA, et devrait améliorer la compréhension des différents modèles disponibles pour le financement des infrastructures et l’intégration régionale. Il devrait aussi créer un vivier de professionnels du financement des infrastructures capables de partager leurs expériences.
Public cible : Fonctionnaires, principalement des ministères des Finances, de l’Économie et de la Planification, ou des banques centrales, qui fournissent des conseils pour les politiques macroéconomiques et financières ou sont impliqués dans leur mise en œuvre.
Qualifications : Les participants doivent être titulaires d’un diplôme en économie ou justifier d’une expérience équivalente, et maîtriser les logiciels de tableurs.
Description du cours :
Le cours sur la programmation et les politiques financières (PPF), présenté par l’Institut pour le renforcement des capacités du FMI, vise à élargir les connaissances des participants en matière de conception et de mise en œuvre des politiques macroéconomiques et financières, en se fondant sur l’expérience du FMI en matière de surveillance économique, de conception des programmes financiers et de fourniture de conseils techniques aux pays membres.
FINANCEMENT DES INFRASTRUCTURES ET
INTÉGRATION RÉGIONALE
Langue : Français - anglais (bilingue)
Lieu : Dates :
Sénégal 15 – 19 juin
En Afrique, la jeunesse représente environ 37 % de la main-d’œuvre totale et forme une catégorie sociale qui, selon les prévisions, devrait croître plus rapidement que n’importe où dans le monde. Malheureusement, cette évolution ne s’accompagne pas d’un accroissement de la création d’emplois. Malgré un impressionnant taux de croissance de 5 % au cours des dernières années et des progrès notables dans le domaine de l’éducation, l’Afrique n’a pas su multiplier les possibilités d’emploi des jeunes. Le taux de chômage des jeunes atteint en moyenne 19 % sur l’ensemble du continent, plus que la moyenne du reste du monde. De plus, le taux de croissance de la population jeune reste plus rapide et nettement plus élevé que celui de l’emploi. Tout porte à croire qu’une approche holistique et intégrée du renforcement des capacités d’entrepreneuriat peut apporter une solution viable au problème chronique du chômage des jeunes. L’approche appropriée comprend, entre autres, l’évaluation des capacités d’entrepreneuriat, la mise en place d’un environnement favorable à l’entrepreneuriat, et le renforcement des capacités d’entrepreneuriat, afin de créer une plateforme d’engagement des pouvoirs publics, de l’industrie et des milieux universitaires.
Public cible : Fonctionnaires des PMR, représentants du secteur privé, des ONG et des milieux universitaires. Qualification : Licence Description du cours : Dans un certain nombre de pays africains, le secteur des PME a grandi au point de devenir un créneau porteur pour l’emploi des jeunes. Malheureusement, dans nombre d’entre eux, il reste handicapé par une demande inadaptée, un accès limité au capital et le coût élevé de celui-ci, la faiblesse relative de l’appui et des programmes d’acquisition des pouvoirs publics. Un dynamisme est possible dans le secteur si les problèmes sont clairement identifiés et si les stratégies les plus appropriées sont élaborées. Cela implique de sensibiliser les associations de PME à travers un renforcement des savoirs et savoir-faire. Ce cours est financé par la Corée au titre de la KOAFEC pour les PMR.
JEUNES ENTREPRISES,
ENTREPRENEURIAT ET
EMPLOI DES JEUNES
PROGRAMME AFRICAIN OFFICIEL
DE FORMATION AUX POLITIQUES
RELATIVES AUX PME ET
REDRESSEMENT ÉCONOMIQUE
PROGRAMME AFRICAIN OFFICIEL DE FORMATION AUX
POLITIQUES RELATIVES AUX PME ET REDRESSEMENT
ÉCONOMIQUE
Langue : Anglais
Lieu : Corée
Public : Dates :
Zimbabwe mars – avril
Lesotho 1 – 5 juin
Togo 19 – 23 octobre
Guinée novembre – décembre
Rwanda novembre – décembre
Public cible :
Membres du personnel de la BAD et autres invités.
Description :
Les Séminaires de haut niveau ont lieu avant l’ouverture officielle de l’Assemblée annuelle de la Banque africaine de développement. Celle-ci porte chaque année sur un grand thème et compte quatre Séminaires de haut niveau.
Public cible : Ce séminaire est ouvert aux professionnels du développement et/ou chercheurs/universitaires, titulaires d’un diplôme universitaire supérieur ou justifiant d’une expérience professionnelle en sciences sociales, gestion des ressources, agriculture, politiques publiques, statistiques du développement, économie, économie agricole, études du développement, ou dans des domaines connexes. Les participants issus de groupes de réflexion travaillant sur le renforcement des capacités seront également bienvenus.
Qualifications : Licence/maîtrise en économie, statistiques et démographie, problématique du genre, développement social, économie du développement, développement durable, gestion des ressources naturelles, agriculture, politiques publiques, ou dans des domaines connexes. Les participants seront des cadres de niveau moyen à supérieur et comprendront des fonctionnaires techniques occupant des postes de direction ou équivalent.
Description : En collaboration avec l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI), l’Institut africain de développement (IAD) de la BAD organise cette conférence pour faire le point sur les enjeux, les cadres, les méthodes et les leçons apprises visant à transformer les capacités en un intrant clé du développement durable de l’Afrique.
Les contributions au séminaire mettront également en évidence les pratiques modèles et identifieront les lacunes dans les connaissances et les actions au niveau du renforcement des capacités en vue du développement durable de l’Afrique. Combler ces écarts requiert d’examiner différents domaines, notamment : l’agriculture et la sécurité alimentaire ; le renforcement des infrastructures ; l’intégration régionale ; le développement du secteur privé ; les compétences ; la technologie et la création d’emplois ; la problématique du genre et la croissance inclusive ; la fragilité et la vulnérabilité socioéconomiques ; le changement climatique ; la durabilité environnementale et la croissance verte ; la gouvernance et la redevabilité ; et la migration et la sécurité humaine. Dans ce contexte, le séminaire sera organisé autour de six thèmes : Thème 1 : Questions conceptuelles et introduction au renforcement des capacités, y compris principaux acteurs, historique et cadres couramment utilisés pour le développement durable dans les pays africains. Thème 2 : Données disponibles sur le renforcement des capacités technologiques, de gestion des ressources et des chaînes de valeur, et sur leur contribution au développement durable. Thème 3 : Capacités institutionnelles et organisationnelles de transformation des économies africaines. Les auteurs et participants au débat présenteront les leçons tirées des approches passées et actuelles de renforcement des capacités institutionnelles et organisationnelles. Thème 4 : Renforcement des capacités en matière de politiques à différents niveaux. Thème 5 : Suivi et évaluation dans le renforcement des capacités et identification des difficultés et des leçons des initiatives de renforcement des capacités de mesure, de cartographie et de suivi. Thème 6 : Détermination de la voie à suivre pour les dix prochaines années à travers dix points de vue marquants de responsables des politiques et professionnels.
ASSEMBLÉES ANNUELLES 2015
Langue : Anglais - français
Lieu : Dates :
Côte d’Ivoire 25 – 29 mai
ASSEMBLÉES ANNUELLES 2015
SÉMINAIRE DE HAUT NIVEAU SUR
LA TRANSFORMATION DES
CAPACITÉS EN VUE DU
DÉVELOPPEMENT DE L’AFRIQUE
Cette conférence devrait être une occasion d’interaction et de création d’un réseau de professionnels du renforcement des capacités. Elle servira également d’outil de dialogue sur les politiques pour des questions pertinentes relatives au renforcement des capacités, et constituera aussi une plateforme de partage et de gestion des connaissances en consolidant toutes les contributions dans un ouvrage. Celui-ci reprendra les présentations faites au cours du séminaire.
Le cinquième OMD concerne la mortalité maternelle et, depuis 2005, l’accès universel à la santé génésique ; tandis que le troisième OMD porte sur la parité entre les genres dans l’éducation, la part des femmes dans l’emploi rémunéré, et la proportion de sièges occupés par des femmes dans les assemblées nationales. Chaque indicateur sous-jacent est jugé essentiel pour l’égalité des genres et l’autonomisation des femmes, mais implique des coûts importants. Ceux-ci concernent notamment : i) le renforcement de la capacité des pouvoirs publics à réaliser les interventions ciblées ; ii) la consolidation des mécanismes nationaux en faveur des femmes par une augmentation des affectations budgétaires et des effectifs des ministères chargés de la condition féminine ainsi que des points focaux consacrés au genre dans les autres ministères ; iii) un investissement dans la collecte des données et dans les activités de suivi afin de mesurer les résultats obtenus en matière de genre. En bref, atteindre l’égalité des genres et l’autonomisation des femmes exige une expertise et des connaissances techniques de la manière d’intégrer la problématique du genre dans les programmes et politiques de développement. Dans le cadre de ce thème, la formation sera centrée sur les disparités d’actifs entre les genres et sur les perspectives économiques offertes aux femmes dans les secteurs public et privé.
Public cible : Cadres-fonctionnaires des ministères des Finances et de la Planification du développement, des ministères des Statistiques ou d’organismes statistiques nationaux, et des ministères chargés du Genre et des Affaires sociales ou du Développement des femmes ou de la Condition féminine, des PMR.
Qualifications : Licence ou maîtrise en économie, statistiques et démographie, problématique du genre, développement social, ou dans des domaines connexes. Les participants seront des cadres de niveau moyen à supérieur et comprendront des fonctionnaires techniques occupant des postes de direction ou équivalent. Description : En raison de l’importance de plus en plus grande accordée à l’atteinte de l’OMD relatif à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes, le Bureau de l’envoyé spécial pour les questions de genre (SEOG) et l’IAD ont estimé opportun d’offrir un cours consacré au genre et à la gestion des finances publiques. Il abordera les questions de genre dans tous les aspects des politiques de développement économique (analyse économique, analyse des politiques, réduction de la pauvreté, emploi, prestation de soins non rémunérée, macroéconomie, commerce, fiscalité, cadre des dépenses à moyen terme, et finalement, budgétisation). Le cours comprendra une formation à des outils d’analyse des politiques (par exemple analyse fondée sur le genre ; indices liés au genre) et à des approches pluridimensionnelles de réalisation d’une analyse appliquée du genre dans la gestion des finances publiques. Ce cours devrait donner lieu à des budgets bien pensés, comprenant des données ventilées selon les genres pour permettre une meilleure prise en charge des problèmes particuliers liés au genre dans les politiques des PMR.
SÉMINAIRE DE HAUT NIVEAU SUR LA
TRANSFORMATION DES CAPACITÉS EN
VUE DU DÉVELOPPEMENT DE L’AFRIQUE
Langue : Français - anglais
Lieu : Dates :
Tunisie Août
INTÉGRATION DU GENRE DANS LA
GESTION DES FINANCES PUBLIQUES
GENRE, OPPORTUNITÉS
ÉCONOMIQUES ET
CROISSANCE INCLUSIVE
INTÉGRATION DU GENRE DANS LA GESTION
DES FINANCES PUBLIQUES
Langue : Anglais - français
Lieu : Dates :
Régional Multiples
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) soutient que la victoire dans la lutte contre la pauvreté passe nécessairement par des améliorations de la qualité et la quantité des données statistiques relatives à toutes les composantes du développement. Des données fiables sont indispensables pour fixer des buts et objectifs, ainsi que pour évaluer l’impact des projets. Elles constituent le moyen le plus convaincant d’amener les gens à s’impliquer dans ce qu’entreprennent leurs dirigeants et institutions. Elles les aident aussi à s’impliquer dans le processus de développement en éprouvant un sentiment d’appropriation.
Forte d’une remarquable équipe de chercheurs spécialisés dans la production de données statistiques sur les situations économiques et sociales, la BAD utilise également ces données dans ses publications phares sur le développement. Ce renforcement effectif de la capacité et des systèmes statistiques doit bénéficier aux pays membres régionaux pour leur permettre de mettre, en temps opportun, des données fiables à disposition pour la formulation, mise en œuvre et évaluation de leurs politiques, ainsi que pour le suivi de leurs progrès par rapport aux objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) et aux stratégies de réduction de la pauvreté.
Description : La recherche d’une transformation structurelle en Afrique ne peut aboutir sans un meilleur accès financier des ménages et entreprises jusqu’ici exclus. Un financement innovant encourageant l’accès des pauvres et créant des opportunités d’entrepreneuriat, surtout pour les petites et moyennes entreprises, pourrait donc avoir un effet transformationnel important.
Le défi principal est de concevoir des produits financiers répondant aux besoins des groupes à faible revenu, notamment en matière de coûts et d’atténuation des risques, tout en garantissant le recouvrement des coûts et la soutenabilité des fournisseurs financiers. L’actuel modèle de financement, où les pauvres dépendent principalement du microcrédit, a eu tendance à les appauvrir davantage ou à entraîner de forts taux de défaut, en raison des coûts élevés. Les promesses de la microfinance n’ont donc pas entièrement résolu les problèmes d’accès, d’inclusion et de réduction de la pauvreté.
De nouveaux modèles d’inclusion financière en faveur du développement attirent de plus en plus d’intérêt et d’adhésion. Actuellement expérimentés par certains pays en développement ou émergents, ils cherchent à refaçonner notre compréhension du marché de la finance et de la meilleure façon de répondre aux besoins des clients. La boîte à outils destinée aux chercheurs, professionnels du développement, bailleurs de fonds et responsables des politiques est conçue pour les doter de compétences en matière de pratiques modèles et de manière de procéder.
Public cible : Chercheurs, responsables des politiques, professionnels du développement, bailleurs de fonds. Objectifs du programme et activités : Tout programme d’inclusion financière en faveur du développement doit être conçu en vue de parvenir, entre autres, à : i) Une meilleure compréhension des besoins de financement des ménages et des petites entreprises ; ii) L’utilisation de modèles éprouvés basés sur des preuves, pour concevoir efficacement des services et produits financiers destinés aux segments exclus des marchés financiers ; iii) Une meilleure capacité analytique d’évaluation des propositions de financement des projets ; iv) Une compréhension accrue des opportunités et contraintes existant actuellement dans la conception des produits financiers ; v) Une compréhension des défis réglementaires éventuellement rencontrés par des produits innovants répondant aux besoins d’accès financier des pauvres, mais ne s’intégrant pas dans les cadres réglementaires traditionnels existants.
ACTIVITÉS DE
RENFORCEMENT DES
CAPACITÉS DE
QUANTIFICATION
INCLUSION FINANCIÈRE EN FAVEUR
DU DÉVELOPPEMENT
Inclusion financière en faveur du
développement
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Afrique du Sud
ou Côte d’Ivoire juin – juillet
Public cible : Jeunes universitaires, chercheurs,
responsables des politiques et professionnels du développement africains.
Objectifs du programme et activités : Description : La promotion de la transformation structurelle de l’agriculture et des zones rurales africaines où intervient la majorité des activités agricoles est essentielle pour faire progresser un agenda de croissance inclusive sur le continent. Cette transformation structurelle nécessite, en particulier, un accroissement de la productivité à l’aide d’un apport accru de technologies éprouvées et d’intrants améliorant la productivité des terres et, surtout, de la main-d’œuvre. Elle requiert aussi de remédier aux défaillances des marchés du travail, foncier et financier, qui entravent non seulement l’adoption de technologies, mais aussi l’allocation efficace des ressources, l’investissement et la résilience aux risques apparemment croissants dus aux chocs climatiques, de marché et politiques. Dans ce domaine, en collaboration avec la Banque mondiale, l’université Cornell, le Partenariat pour une politique économique et le Consortium pour la recherche économique en Afrique, la Banque africaine de développement est en train de mettre au point un projet sur le rôle de l’agriculture dans la promotion de la transformation structurelle de l’Afrique.
Avec pour thème « L’agriculture pour une transformation structurelle de l’Afrique (STAARS) », il se propose d’entreprendre des recherches approfondies, rigoureuses et axées sur les politiques, sur les déterminants de l’accroissement de la productivité et des revenus, de l’accumulation d’actifs et d’une gestion efficace des risques dans l’agriculture et les espaces ruraux africains. Il devrait, en particulier, améliorer la capacité d’un groupe de jeunes universitaires africains.
Ses principales composantes de renforcement des capacités sont : • Accroître la capacité des chercheurs et groupes partenaires de la BAD à travers le continent, ainsi que d’un réservoir d’autres universitaires africains prometteurs ; • Inviter quelques chercheurs africains sélectionnés de manière concurrentielle dans une université renommée, pendant 2 à 4 semaines chacun, afin de participer à l’élaboration d’un document à présenter au cours d’un forum de recherche tel que la Conférence économique africaine (CAE), la conférence semi-annuelle du CREA, la conférence triennale de l’Association africaine des agroéconomistes (AAAE) prévue en 2016, ou d’un événement de la BAD ou d’un autre partenaire. • Présenter les conclusions des recherches au cours de conférences à haute visibilité, en Afrique et ailleurs, en présence de responsables des politiques et d’autres chercheurs africains.
Description : On constate en Afrique un manque général de formations de niveau universitaire au financement du logement, surtout dans les pays francophones. Le secteur manque donc de professionnels qualifiés et convenablement formés pour le faire fonctionner et le développer.
Le sujet devient de plus en plus important sur le continent. En effet, l’Afrique affiche actuellement le taux d’urbanisation le plus rapide du monde. D’après ONU-Habitat, 46 villes africaines ont désormais dépassé le million d’habitants, et dans les quinze ans à venir, elles devront chaque jour accueillir 40 000 personnes supplémentaires, subissant ainsi une pression croissante et de lourdes contraintes de capacité. L’un des besoins les plus fondamentaux de l’être humain étant de se trouver un abri, il est essentiel de loger décemment la population croissante s’installant en milieu urbain. Il est donc impératif de promouvoir une formation ciblée des actuels et futurs professionnels africains aux questions et à la dynamique du financement du logement dans le contexte africain. Une formation au financement du logement en Afrique subsaharienne est dispensée par la Graduate School of Business de l’Université du Cap, mais elle est uniquement en anglais et ne convient donc pas pour les Francophones. Sur un continent où 24 pays sur 54 sont francophones, il s’agit de toute évidence d’un problème et d’un besoin urgent.
Le Secrétariat du MFW4A (Partenariat pour la finance au service de l’Afrique) a déjà entamé des conversations avec plusieurs partenaires concernant la possibilité de mettre au point un cours destiné aux Francophones dans le cadre du Plan de travail approuvé du Groupe de travail des donateurs pour le financement du logement (HF-DWG) qui le coordonne, de sorte qu’il est idéalement placé pour collaborer avec la BAD sur cette initiative. De plus, il a suivi de près l’étude d’EDRE, en participant à l’examen par les pairs et en facilitant les contacts initiaux du partenariat entre EDRE et ONU-Habitat.
L’AGRICULTURE POUR UNE
TRANSFORMATION STRUCTURELLE
DE L’AFRIQUE (STAARS)
FORMATION AU FINANCEMENT DU
LOGEMENT
l’aGriCulturE POur unE transFOrmatiOn
struCturEllE dE l’aFriQuE (STAARS)
Langue : Anglais - français
Lieu : Dates :
À confirmer À confirmer
g
L’initiative actuelle s’efforcera également de tirer parti des résultats de la récente étude d’EDRE sur la « dynamique du marché du logement en Afrique », et constitue une excellente occasion de collaboration entre la BAD (à travers l’IAD/EDRE) et le MFW4A et son vaste réseau de partenaires au développement, en vue de fournir une réponse collective. Public cible : Les participants seront issus d’institutions privées francophones de financement du logement, d’organismes publics chargés du financement et du logement, et d’institutions de développement universitaires et internationales des économies émergentes ou établies. Objectifs du programme et activités : Pour répondre au pressant besoin de professionnels francophones pour surmonter de manière soutenable et abordable le défi de l’urbanisation rapide du continent, la formation au financement du logement offrira un aperçu complet des questions et concepts clés du financement du logement dans les différents contextes. Bien qu’inscrite dans une vision panafricaine, elle portera en priorité sur les questions et concepts clés particuliers aux pays francophones. Le cours exploitera les connaissances et les conclusions de l’étude d’EDRE sur la dynamique du marché du logement en Afrique, et les supports seront tirés du cours pour l’Afrique subsaharienne de l’Université du Cap (Graduate School of Business) et adaptés au contexte francophone. Des supports seront également fournis par d’autres partenaires. Les formateurs seront identifiés en partenariat avec des universités/groupes de réflexion africains et les partenaires au développement.
Public cible : Personnel, administrateurs et cadres de la Banque
Qualifications : Au minimum un diplôme de maîtrise, de préférence avec une expérience des projets.
Description : La Stratégie décennale 2013-2022 de la Banque africaine de développement souligne la nécessité de veiller à une croissance inclusive en élargissant l’accès aux opportunités économiques, ainsi que d’aider la transition du continent vers une croissance verte. Le secteur privé représentant environ 80 % du PIB et environ 90 % de l’emploi total du continent africain, il sera au cœur de cette transformation.
Il est évident que tous les investissements privés ne mènent pas à une croissance inclusive et respectueuse de l’environnement. La Banque procède depuis 2008 à l’évaluation de l’additionnalité et des résultats en matière de développement (ADOA) pour ses opérations du secteur privé (OSP). L’évaluation ADOA est essentielle pour s’assurer que les OSP sont bien conformes aux objectifs de la stratégie décennale.
Grâce à l’évaluation préalable des résultats, l’ADOA a également contribué à encourager une culture basée sur les résultats au sein de la Banque. Elle y est donc largement considérée comme un précieux outil d’examen, essentiel dans la prise de décision tant de la direction que du Conseil d’administration. Cette formation aidera à encourager l’apprentissage, le partage des connaissances et le renforcement des capacités au sein de la Banque, de façon à généraliser une approche basée sur les résultats pour les opérations de la Banque. La formation visera à sensibiliser et former le personnel, les administrateurs et les cadres de la Banque aux atouts de l’ADOA et à les familiariser avec les questions de développement économique et social, tout en leur dispensant une formation pratique sur la manière de définir, mesurer, suivre, collecter des données et produire des rapports sur les indicateurs de développement.
GESTION DE L’ÉVALUATION DE
L’ADDITIONNALITÉ ET DES
RÉSULTATS EN MATIÈRE DE
DÉVELOPPEMENT (ADOA)
Formation au financement du logement
Langue : Français
Lieu : Dates :
À définir À définir
Gestion de l’évaluation de
l’additiOnnalité Et dEs résultats En
matière de développement (ADOA)
Langue : Anglais - français
Lieu : Dates :
Abidjan 2e - 4e trimestre
Description : Le Symposium africain sur le développement de la statistique (SADS) est une initiative menée par les Africains et coordonnée par la BAD, la CEA, la CUA et Statistics South Africa, en vue d’encourager le développement de la statistique au sein du continent. Durant les six premières années d’existence du SADS, son programme de travail a surtout visé à encourager et aider tous les pays d’Afrique à participer au Cycle 2010 du recensement de la population et de l’habitat (CRPH) couvrant la période 2004-2014. L’appui du SADS a contribué à accroître significativement la participation des pays au CRPH 2010. L’Afrique a enregistré le taux de participation le plus élevé jamais atteint sur le continent pour un recensement. Cette première dans l’histoire du recensement est de bon augure pour la génération sur le continent des données complètes nécessaires à l’évaluation des progrès réalisés en direction des objectifs du Millénaire pour le développement et à la formulation de politiques fondée sur des faits dans les PMR.
Le SADS a également augmenté la capacité des professionnels de la statistique de la région à travailler ensemble et à adopter des approches centrées sur l’Afrique. De plus, le symposium a également aidé à créer plus d’espace pour les jeunes, y compris les femmes, désireux d’entrer dans les métiers de la statistique. Son appui devrait assurer la pérennité et l’inclusivité de la profession, indispensables à une planification informée ainsi qu’au suivi et à l’évaluation des résultats du développement socioéconomique.
Grâce au réseau du SADS, un soutien technique a pu être apporté aux pays récemment sortis de conflits afin qu’ils puissent également entreprendre des recensements. En Angola, le quatrième SADS a mis en place un Mécanisme africain d’appui des pairs au recensement, destiné à orienter et gérer un cadre panafricain d’actions coordonnées, avec un accent particulier sur les États fragiles. Public cible : Directeurs des bureaux nationaux de la statistique, directeurs des services chargés de l’état civil, experts de l’enregistrement des actes d’état civil et des statistiques d’état civil (CRVS – Civil Registration and Vital Statistics), partenaires au développement Objectifs du programme et activités Ce dixième SADS aura pour thème « Une décennie de développement de la statistique : révolutionner le recensement ainsi que l’enregistrement des actes d’état civil et les statistiques d’état civil en vue de l’Agenda 2063 pour l’Afrique ». Il aura pour objectif global de réunir les États membres autour d’un programme statistique unifié visant à soutenir la mise en œuvre et le suivi et l’évaluation de la vision de l’Agenda 2063 pour l’Afrique. Le symposium se concentrera sur quatre grands thèmes statistiques : la révolution des données, le Cycle 2010 du recensement de la population et de l’habitat, celui de 2020, ainsi que l’enregistrement des actes d’état civil et les statistiques d’état civil. De plus, des mesures y seront prises pour assurer la mobilisation continue des PMR au cours du Cycle 2020 du recensement de la population et de l’habitat.
Les objectifs spécifiques du symposium sont :
i) Examiner les progrès réalisés dans la mise en œuvre du programme africain du Cycle 2020 du recensement de la population et de l’habitat ; ii) Élaborer pour l’Afrique une approche de mise en œuvre du CRPH 2020 conforme aux principes et recommandations applicables des Nations Unies ; iii) Examiner les progrès réalisés et les difficultés rencontrées au cours des cinq dernières années dans la mise en œuvre des APAI-CRVS à l’échelon régional et national ; iv) Examiner l’approche proposée par l’OMS pour améliorer les statistiques de mortalité grâce aux CRVS ; v) Adopter un cadre africain de révolution des données, conformément aux recommandations du Groupe international consultatif d’experts sur la révolution des données.
DIXIÈME SYMPOSIUM AFRICAIN
SUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA
STATISTIQUE
Dixième symposium africain sur le
développement de la statistique
Langue : Anglais - français
Lieu : Dates :
Ouganda 13 - 15 janvier
Description : En collaboration avec la Commission de l’Union africaine (CUA), la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), le Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la République de Côte d’Ivoire, la Banque africaine de développement organise actuellement la Troisième conférence des ministres responsables de l’enregistrement des actes d’état civil et des statistiques d’état civil en Afrique. La conférence doit se dérouler du 9 au 13 février 2015 à Yamoussoukro, en Côte d’Ivoire, sur le thème « Promouvoir l’utilisation de l’enregistrement des actes d’état civil et des statistiques d’état civil pour appuyer la bonne gouvernance en Afrique ». Du 9 au 11 février 2015, la conférence sera précédée d’une réunion de spécialistes qui examineront des documents techniques et prépareront des projets de résolutions et de recommandations pour la conférence des ministres. Cette conférence rassemblera les ministres de la Santé et ceux responsables de l’état civil dans 54 pays d’Afrique. Y participeront également des directeurs des Bureaux nationaux de la statistique (BNS), des directeurs des Services nationaux de l’état civil, et des spécialistes de l’enregistrement des actes d’état civil et des statistiques d’état civil de 54 PMR et d’organisations internationales, régionales et sous-régionales.
Au total, environ 300 participants sont attendus.
Public cible : Ministres responsables de l’état civil, ministres de la Santé, directeurs des Bureaux nationaux de la statistique, directeurs des services d’état civil, spécialistes de l’enregistrement des actes d’état civil et des statistiques d’état civil, partenaires au développement.
Objectifs du programme et activités L’objectif général de la Troisième conférence ministérielle est de situer l’enregistrement des actes d’état civil et les statistiques d’état civil (CRVS) par rapport à la gouvernance et d’examiner de quelle manière un système complet et efficace de CRVS peut aider les pays à parvenir à une « bonne gouvernance ». La conférence devrait inciter les pays à envisager cette liaison importante et les aider à concevoir et mettre en œuvre des stratégies spécifiques et des plans opérationnels pour faciliter la mise en place d’une bonne gouvernance et aider à utiliser les CRVS dans ce sens.
La conférence dressera également le bilan des progrès réalisés dans les APAI-CRVS et fournira des orientations de politiques pour surmonter les divers obstacles rencontrés dans la mise en œuvre du programme au cours des quatre dernières années. La conférence devrait émettre des orientations claires pour l’établissement de systèmes de CRVS durables sur le continent, tout en identifiant les actions prioritaires permettant d’aboutir à des résultats concrets à court terme.
Les objectifs spécifiques de la conférence sont : a) Débattre des stratégies et mesures programmatiques à prendre pour atteindre les objectifs fixés dans le plan à moyen terme ; b) Fournir des orientations pour un programme de renforcement durable de la capacité d’amélioration des CRVS dans la région ; c) Aborder les mécanismes de financement des plans d’action nationaux pour les CRVS ; d) Fournir aux pays des orientations de politiques pour des stratégies d’accélération de la mise en œuvre des plans nationaux de CRVS ; e) Proposer aux pays une plateforme où présenter certains des résultats clés obtenus au cours des quatre dernières années dans l’amélioration des CRVS, tout en soulignant certaines des difficultés rencontrées. f) Examiner les progrès accomplis dans les pays par rapport aux engagements pris au cours des deux dernières conférences ministérielles, ainsi que par rapport aux objectifs fixés dans le plan à moyen terme pour les APAI-CRVS. g) Débattre des politiques et actions programmatiques pour la prochaine phase de mise en œuvre du plan régional à moyen terme.
TROISIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES
AFRICAINS RESPONSABLES DE
L’ENREGISTREMENT DES ACTES
D’ÉTAT CIVIL : YAMOUSSOUKRO
TROISIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES
AFRICAINS RESPONSABLES DE
L’ENREGISTREMENT DES ACTES D’ÉTAT
CIVIL : YAMOUSSOUKRO
Langue : Anglais, français
Lieu : Dates :
Côte d’Ivoire 9 – 13 février
Description : Dans le cadre du Programme de connaissance de l’infrastructure en Afrique (AIKP), la Banque a entrepris une collecte des données avec la participation active des Bureaux nationaux de la statistique (BNS) des pays membres régionaux. À l’échelon national, une équipe dédiée à l’AIKP est composée d’un statisticien basé dans le BNS en tant que point focal et dont la responsabilité est de coordonner la collecte des données dans le pays ; d’un expert fiscal ; d’un spécialiste des services publics ; et d’un spécialiste des transports. Pendant les deux dernières années, l’équipe de l’AIKP a recueilli des données sur divers domaines de l’infrastructure et a communiqué l’information statistique à la Banque. Dans ce contexte, et afin d’assurer une bonne qualité des données recueillies sur l’infrastructure, la Banque organise un atelier de quatre jours sur la collecte et la validation des données de l’AIKP. Il mettra l’accent sur la construction d’une base de données africaine fiable, récente et à jour sur l’infrastructure.
Public cible : Équipes nationales de l’AIKP pour chaque pays, spécialistes internationaux de divers domaines de l’infrastructure (secteurs des services publics, des transports, des TIC, de l’eau et de l’assainissement, et de l’énergie).
Objectifs : L’objectif général de l’atelier est d’améliorer le mécanisme de collecte, d’échange et de validation des données à l’échelon régional. En particulier, il i) mettra en place un nouveau système d’appui à la communication des données à la Banque ; ii) améliorera la qualité des données sur l’infrastructure à l’aide d’une démarche normalisée commune ; et iii) entreprendra en 2015 un test de performance de la base de données africaine des infrastructures.
Description : Le traitement des données est une étape importante dans la constitution d’indicateurs à partir des données brutes recueillies dans le cadre de l’AIKP. Il prend généralement place après la validation des données. Ces indicateurs sont essentiels pour évaluer l’impact économique du développement des infrastructures dans les PMR. Le traitement et la compilation des données seront effectués en conformité avec les règles et normes internationalement acceptées, et veilleront à ce que les résultats soient cohérents et comparables à travers le continent.
L’atelier est un séminaire méthodologique destiné à former un groupe de responsables africains de la compilation des statistiques sur l’infrastructure, qui, à leur tour, formeront les spécialistes des BNS.
Public cible : Un groupe de quinze spécialistes africains possédant des compétences avancées de traitement et compilation des données, choisis parmi les membres des équipes de l’AIKP ; et un groupe d’experts internationaux de l’infrastructure qui agiront en tant que formateurs.
Objectifs : L’objectif principal est de générer des indicateurs d’infrastructure solides, fiables et comparables au niveau international. Plus spécifiquement, l’atelier i) définira des indicateurs de base à diffuser sur le site internet de la Banque ; ii) déterminera le processus méthodologique de calcul de tous les indicateurs de l’AIKP, et les générera en conséquence ; iii) validera les résultats de ces calculs, puis les comparera avec d’autres sources pertinentes ; iv) mettra en ligne les indicateurs de l’AIKP ainsi générés pour diffusion sur le portail internet.
COLLECTE ET VALIDATION DES
DONNÉES DE L’AIKP
ATELIER SUR LE TRAITEMENT DES
DONNÉES DE L’AIKP
COLLECTE ET VALIDATION DES DONNÉES DE
l’aiKP
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Kenya 27 – 30 avril
Atelier sur le traitement des données
dE l’aiKP
Langue :
Lieu : Dates :
Afrique du Sud 16 – 20 juin
Description : Pour relever les défis de la collecte et de la diffusion des données, la BAD a lancé, en novembre 2012, l’initiative Autoroute de l’information en Afrique (AIA) dans le cadre de son programme de renforcement des capacités statistiques. Son principal objectif est d’accroître significativement l’accès du public africain aux statistiques officielles ou autres, tout en aidant les pays du continent à améliorer la qualité, la gestion et la diffusion de leurs données. Dans le cadre de l’AIA, des portails de données statistiques et des plateformes ouvertes de données (Open Data) ont été installés dans les Bureaux nationaux de la statistique de presque tous les pays d’Afrique ainsi que dans un certain nombre d’organisations sous-régionales et centres de formation à la statistique. Dans ces institutions, le personnel a été formé à gérer et maintenir ces outils, ainsi qu’à mettre en ligne et diffuser des données sur les portails.
Public cible : Environ une cinquantaine (100) de représentants de la plupart des PMR impliqués dans l’initiative de l’AIA.
Objectifs : L’atelier a pour but d’impliquer les points focaux et autres acteurs clés des portails de données des pays dans des stratégies d’accroissement de l’utilisation locale des portails de données et plateformes ouvertes de données. Bien que l’utilisation des systèmes et outils ait été élevée dans certains pays, elle l’est nettement moins dans d’autres.
Le principal objectif de l’atelier est d’examiner les opérations de ces portails et plateformes, de partager l’expérience des pays et d’obtenir des commentaires concrets sur les actions et interventions nécessaires pour accroître l’utilisation du système par les différentes parties intéressées et le public en général. Des pays africains se servent également de la plateforme ouverte comme outil pour la soumission des données à la Banque et au FMI. Quelque dix-huit pays sont déjà couverts, et l’objectif est une extension à tous les pays africains. L’atelier débattra d’un mécanisme de gouvernance approprié pour une plateforme ouverte de données gérée à l’échelon national et régional, visant à faciliter son utilisation en tant qu’outil de soumission des données à la Banque et à d’autres organisations internationales.
Public cible : Directeurs des Bureaux nationaux de la statistique (BNS), cadres supérieurs des BNS, dirigeants d’autres producteurs de statistiques officielles, et parties concernées importantes.
Objectif L’ultime objectif est de construire pour les statistiques officielles, une solide communauté de dirigeants innovants, visionnaires et éthiques, capable de répondre aux demandes de l’agenda de développement post-2015 et d’élaborer des stratégies innovantes d’amélioration structurelle des bureaux et systèmes statistiques. L’atelier portera donc sur le renforcement du leadership et des compétences managériales des cadres supérieurs. Il leur offrira également une plateforme où échanger, entre pairs, leurs pratiques modèles et innovations et débattre des dernières évolutions afin d’améliorer la qualité des systèmes statistiques nationaux.
AUTOROUTE DE L’INFORMATION EN
AFRIQUE : AMÉLIORATION DES
PERFORMANCES DES PORTAILS DE
DONNÉES ET DES PLATEFORMES
OUVERTES DE DONNÉES DES PAYS
CONSTRUIRE UNE SOLIDE
COMMUNAUTÉ DE DIRIGEANTS
INNOVANTS ET VISIONNAIRES POUR
LES STATISTIQUES OFFICIELLES :
ATELIER SUR LE LEADERSHIP ET LA
GESTION
AUTOROUTE dE l’inFOrmatiOn En aFriQuE :
AMÉLIORATION DES PERFORMANCES DES
PORTAILS DE DONNÉES ET DES PLATEFORMES
OUVERTES DE DONNÉES DES PAYS
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Kenya 8 – 12 juin
Construire une solide communauté de dirigeants innovants et visionnaires pour les statistiques officielles : Atelier sur le leadership et la gestion
Langue : Anglais
Lieu : Dates :
Tanzanie 27 – 29 avril Kenya 8 – 12 juin
Construire une solide communauté de dirigeants innovants et visionnaires pour les statistiques officielles : Atelier sur le leadership et la gestion
Langue : Français
Lieu : Dates :
Sénégal juillet
Commenté [JPDS1]: Kenya dates do not appear in original.
Public ciblé: Experts africains expérimentés,
spécialisés dans la conception, la mise en
œuvre et/ou l’évaluation de la Stratégie
nationale de développement de la statistique
(SNDS) en Afrique.
Objectif:
Cet atelier de formation de formateurs a
pour objectif de créer un réseau de
professionnels africains qui aideront les pays
d’Afrique à concevoir, mettre en œuvre et
évaluer la Stratégie nationale de
développement de la statistique (SNDS) en
Afrique.
.
Public ciblé: Chaque pays enverra 3 participants: le
coordinateur de la SNDS (ou un membre de la
section coordination du BNS) et deux participants
représentant l’agriculture et un autre secteur.
Objectif:
Les ateliers auront pour objectif premier
d'améliorer les statistiques officielles par le biais du
cadre SNDS fondé sur une approche sectorielle. Les
participants seront formés à la manière d’intégrer
des secteurs à la SNDS, et surtout à la manière de
concevoir des Plans statistiques sectoriels qui
serviront ensuite de base lors de la conception de la
SNDS.
. Public ciblé: Il y aura 2 participants par secteur : le
coordinateur de la SNDS (ou un membre de la
section coordination du BNS) ?
Objectif:
Les ateliers auront pour objectif premier
d'améliorer les statistiques officielles par le biais
du cadre de la SNDS fondé sur une approche
sectorielle. Les participants seront formés à la
manière d’intégrer certains secteurs à la SNDS, et
surtout à la manière de concevoir des Plans
statistiques sectoriels qui serviront ensuite de
bases lors de la conception de la SNDS.
FORMATION DE FORMATEURS
(FF) EN CONCEPTION, MISE EN
ŒUVRE ET/OU ÉVALUATION
DE LA STRATÉGIE NATIONALE
DE DÉVELOPPEMENT DE LA
STATISTIQUE (SNDS) EN
AFRIQUE
Atelier de Formation de formateurs (FF)
En COnCEPtiOn, misE En œuvrE Et/Ou
évaluation de la stratégie nationale DE
développement DE LA statistique (SNDS)
en Afrique
Langue: anglais - français
Lieu: Dates:
Afrique du Sud 18 – 21 mai
CONCEPTION, MISE À JOUR, MISE EN
ŒUVRE ET ÉVALUATION DE LA
SNDS.
COnCEPtiOn, misE à jOur, misE En œuvrE Et
évaluation de la SNDS.
Langue: français
Lieu: Dates:
Togo 22 – 26 juin
Langue: anglais
Lieu: Dates:
Ghana 17 - 21 juillet
COnCEPtiOn, misE à jOur, misE En œuvrE
et évaluation de la SNDS.
Langue: français
Lieu: Dates:
CEDEAO (Togo) 8 – 12 juin
Langue: anglais
Lieu: Dates:
COMESA (Ouganda) 13 – 17 juillet
SADC (Maputo, Mozambique) 10 - 14 août
CONCEPTION, MISE À JOUR, MISE EN
ŒUVRE ET ÉVALUATION DE LA
SNDS.
Public ciblé: Statisticiens des IPCH chargés de
compiler les ICPH régionaux à partir des ICPH
nationaux des pays membres régionaux (PMR)
participants qui font partie de leur mandat.
Description de l’atelier :
L’harmonisation des outils de mesure de
l’inflation en vue de calculer des Indices des
prix à la consommation (IPC) comparables au
niveau international est un sujet d’actualité, et
s’appuie sur les IPC nationaux déjà existants.
Alors que les IPC nationaux sont destinés à un
usage spécifique dans un pays donné, les IPCH
sont conçus dans l’intention de permettre une
comparaison internationale de l’inflation, une
fonction que ne remplissent pas forcément les
IPC nationaux, qui ont été avant tout conçus de
façon à servir d’indices de rémunération. En
conséquence, les IPC devraient, dans la
mesure du possible, être établis et publiés en
parallèle avec les IPCH puisqu’ils n’ont pas
forcément les mêmes méthodes ou usages. Il
faut néanmoins noter que, dans la mesure du
possible, les deux index utilisent la même
infrastructure, et il va de soi que certaines
différences sont inévitables.
Cet atelier développera la base théorique des
IPCH nationaux, leurs similitudes avec les IPC
nationaux mais aussi leurs différences.
Compiler les IPCH nationaux afin de calculer
les IPCH régionaux est l’une des principales
tâches des OSR ; les données nécessaires et
procédures seront abordées en détail au cours
de ce même atelier à partir de données réelles.
Il est un impératif statistique qui prend une importance
croissante : la nécessité de croiser autant que possible les
données des IPC, IPCH et PPA nationaux entre eux, tout
en ayant conscience que les différents produits, modes de
calcul et usages ont chacun des spécificités différentes.
L’atelier devrait aussi développer les micro-fondations et
considération pratiques associées.
L’atelier sera en outre caractérisé par un usage délibéré
d’exemples concrets, afin d’aider les statisticiens des
IPCH à mieux juger comment appliquer les impératifs liés
aux IPCH au sein de leurs organisations le cas échéant.
Les participants devront être en mesure de faire la
distinction entre les IPC nationaux et les IPCH lorsqu’ils
existent, et surtout de les mettre en relation avec les PPA
étant donné les impératifs d’harmonisation. Ces
corrélations doivent être considérées non seulement
sous l’angle du recueil des données, mais aussi en
considérant les modes de calcul impliqués.
Public ciblé: Directeurs des centres de formation à la
statistique (CFS) et formateurs.
Description des supports de l’atelier:
En plus de collaborer avec les 54 pays membres
régionaux (PMR), la Banque africaine de
développement (BAD) travaille aussi en étroite
association avec les CFS d’Afrique sélectionnés afin de
créer une masse critique de statisticiens qualifiés en
Afrique. Cette démarche vise à garantir le maintien de
la mission des Bureaux nationaux de la statistique
(BNS) dans le cadre de normes internationales. Elle a
aussi pour objectif de permettre aux statisticiens
nationaux des PMR de mettre en œuvre des projets
statistiques périodiques, dont par exemple les enquêtes
sur le budget des ménages (EBM), les enquêtes auprès
des entreprises et le recensement de la population, sans
être soumis à une dépendance excessive de consultants.
L’analyse des données nationales et la collaboration
entre les BNS et les CFS devraient aussi s’améliorer
avec le temps.
L’atelier présentera plus en détail la NOTE
CONCEPTUELLE censée servir de manuel d’orientation
et de mise en œuvre pour les initiatives de
développement de la capacité statistique des CFS. Il
abordera aussi l’étendue et les modalités de suivi de ces
initiatives.
Les participants devront être en mesure de partager
leurs plans d’activités de cette année et de dégager des
domaines de collaboration pour l’avenir. l’accent sera
mis sur la nécessité de limiter le rôle des CFS au
personnel des BNS. L’atelier aborder également les
mesure de résultats et d’impacts en vue de faire
consensus sur ces mesures, y compris une évaluation
de l’ensemble de l’exercice afin de l’améliorer avec le
temps
INDICE DES PRIX À LA
CONSOMMATION
HARMONISÉ (IPCH) DES
ORGANISATIONS SOUS-
RÉGIONALES (OSR)
index des prix (ipch) des OrgaNISATIONS
sous-régionales (osr)
Langue: français - anglais
Lieu: Dates:
Sénégal 8 – 12 juin
OBTENTION D’UN CONSENSUS ET
MISE EN ŒUVRE DE LA NOTE DE
SYNTHÈSE DANS LES CENTRES DE
FORMATION STATISTIQUE
OBTENTION D’UN CONSENSUS ET MISE EN
ŒUVRE DE LA NOTE CONCEPTUELLE DANS LES
CENTRES DE FORMATION À LA STATISTIQUE
(CFS)
Langue: français - anglais
Lieu: Dates:
Côte d’Ivoire 20 – 24 juillet
Public ciblé: TOUS NIVEAUX Objectif du JAS: La mission du Journal depuis sa création reste la même, à savoir, servir de forum et de plate-forme commune, partager des idées sur les questions de développement de la statistique en Afrique et stimuler le débat et le dialogue sur les questions clés émergentes. A ce titre, nous visons non seulement les statisticiens tant en Afrique qu’ailleurs, mais aussi à toutes les autres parties prenantes qui œuvrent à assurer un avenir prospère, équitable et durable aux nations africaines.
Afin d’accroître sans cesse la visibilité du JAS, nous projetons également de profiter de plates-formes telles que les autres ateliers et missions de supervision des Centres de formation à la statistique (CFS) afin de faire connaître JAS et d’encourager le soutien de ses contributeurs et de ses lecteurs.
Cette initiative devrait, à terme, permettre à l’ASJ de poursuivre sa publication et son positionnement dans le domaine public à un rythme prévisible, grâce à des articles de qualité.
Public ciblé: Les ateliers regrouperont des spécialistes
nationaux de la statistique agricole venant de PMR, ainsi
que des représentants venus de la CEA, de la FAO, de la
CUA, du PDDAA, de la BMGF et de l’UE.
Description de l’atelier:
Le plan d’action pour l’Afrique (2011-2017) pour
l’amélioration des statistiques relatives à la sécurité
alimentaire, à l’agriculture durable et au développement
rural est actuellement mis en œuvre par la BAD en
partenariat avec la CEA et la FAO en tant qu’institutions
chargées du développement régional en Afrique. La BAD
fait figure de chef de file en matière d’assistance
technique et de modalités de mise en œuvre d’une
gouvernance au niveau régional.
Les ateliers ont pour objectif principal d’étudier
l’exécution du Plan d’action afin de prendre des mesures
correctives si nécessaires, et de compiler les besoins
d’assistance technique de tous les pays. Les ateliers
permettront plus précisément de : (i) étudier les progrès
accomplis en vue de la mise en œuvre du Plan d’action ;
(ii) dispenser une formation sur les outils et la validation
des données de la démarche utilisée pour l’évaluation
pays rapide 2015 ; et (iii) Identifier les besoins
spécifiques en assistance technique.
Public ciblé: les participants appartiennent à la FAO, à la
CEA, la CUA, l’ACBF, le DFID britannique, la fondation Bill
Melinda Gates, le ministère de l’Agriculture des États-Unis, à
cinq pays membres régionaux. En outre, le Comité africain de
la statistique agricole, les Centres de formation à la
statistique d’Afrique, les ministères de l’Agriculture et les
instituts de recherche agricole, seront chacun représentés
par un membre lors de la rencontre du CDR.
Description de l’atelier:
Le Comité directeur régional est chargé d’étudier et
d’approuver chaque année les plans de travail et budgets
associés. Les plans de travail sont relatifs à des activités
régionales, mais aussi à des activités nationales induites par
la demande (les plans de mise en œuvre nationaux), classées
par priorité et alignées sur la stratégie nationale de
développement de la statistique (SNDS) du secteur agricole.
Le comité directeur alloue les ressources aux activités
prioritaires conformément au budget ressource disponible.
Cette quatrième rencontre du CDR aura pour objectif
d’étudier les progrès accomplis dans l’exécution du Plan
d’action pour l’Afrique, en particulier les rapports
d’évaluation nationale, le plan de travail et budget régional et
les modalités de la coordination régionale pour le plan
d’action.
PRODUCTION DU JOURNAL
AFRICAIN DE STATISTIQUES
(JAS).
Production du journal africain de
statistique (JAS)
Langue: anglais - français
Lieu: Dates:
N.D. N.D.
PLANS SECTORIELS POUR LES
STATISTIQUE AGRICOLE ET RURALE
4e RÉUNION DU COMITÉ DIRECTEUR RÉGIONAL DU PLAN d’aCtiOn POur l’améliOratiOn dEs statistiQuEs RELATIVES À LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, A l’aGriCulturE duraBlE Et au dévElOPPEmEnt rural EN AFRIQUE
Langue: français - anglais
Lieu: Dates:
Ouganda mai
PLANS SECTORIELS POUR LA STATISTIQUE AGRICOLE
ET RURALE
Langue: français - anglais
Lieu: Dates:
Kenya mai
Égypte juin
Tunisie juillet - septembre
Burkina Faso novembre
4e RÉUNION DU COMITÉ DIRECTEUR
RÉGIONAL DU PLAN D’ACTION POUR
L’AMÉLIORATION DES STATISTIQUES
RELATIVES À LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, A
L’AGRICULTURE DURABLE ET AU
DÉVELOPPEMENT RURAL EN AFRIQUE
Public ciblé: Principales parties intéressées à
la mise en œuvre du projet de collecte
hebdomadaire des prix alimentaires en
Afrique.
Description de l’atelier:
Le projet de collecte hebdomadaire des prix
alimentaires en Afrique (AFPCP) consiste en la
collecte hebdomadaire de données actualisées
sur les prix alimentaires, et la communication
de ces données aux décisionnaires,
économistes et analystes spécialisés en
réglementations alimentaires et politiques
agricoles. Certains pays disposent déjà de
systèmes similaires, notamment des systèmes
d’information sur les marchés agricoles. La
BAD, en partenariat avec le Centre commun de
recherche de la Commission européenne,
organise des ateliers pour connaître l’état de la
mise en œuvre du projet.
L’atelier a pour objectif de faire un bref bilan la
situation actualisée de chaque pays afin de
rationaliser l’organisation de l’AFPCP en tirant
parti des systèmes déjà en place afin d’éviter
une duplication des efforts dans un contexte où
les ressources sont rares.
Public ciblé: Statisticiens des comptabilités nationales
chargés de compiler et calculer le produit intérieur brut
dans leurs Bureaux nationaux de la statistique.
Description de l’atelier:
Le Système de comptes nationaux (SCN), publié
conjointement par l’ONU, la Commission des
communautés européennes, le Fonds monétaire
international (FMI), l’Organisation de coopération et de
développement économiques (OCDE) et la Banque
mondiale, est un cadre qui fixe la norme statistique
internationale de mesure des économies de marché. Le
SCN est le plus complet de tous les cadres statistiques en
vigueur. Il génère des indicateurs tels que le Produit
intérieur brut (PIB) et le Revenu national brut (RNB), qui
sont à leur tour utilisés très couramment dans nombre
d’indicateurs du développement socio-économique.
Le SCN sert de cadre non seulement aux statistiques de
comptes nationaux annuelles, grâce auxquelles on évalue
la performance économique à moyen et long terme, mais
aussi aux statistiques trimestrielles, qui permettent un
suivi du développement à court terme.
L’atelier a pour principal objectif de faire suite aux
diverses recommandations formulées puis entérinées
lors de la réunion commune des bureaux statistiques de
l’ONU (UNSD), de la CEA et de la BAD, qui s’est tenue en
2012, et de la réunion du Groupe africain sur la
comptabilité nationale (AGNA) de février 2014. Il vise
aussi à aider les pays de la SADC à préparer leurs plans
de mise en œuvre nationale au moyen des instruments
d’auto-évaluation et cadres diagnostics.
Les six axes stratégiques choisis lors de la dernière réunion
de l’AGNA à Addis-Abeba seront aussi passés en revue.
Deux ateliers organisés en 2015 (mai et septembre) pour les
sous-régions réuniront des représentants des pays de la
SADC et du COMESA lors du premier atelier, et des
représentants des pays de l’UMA et de la CEDEAO lors du
second.
Les participants devront être en mesure de partager et
présenter leurs pratiques actuelles de compilation du plan
de mise en œuvre 2008 du SCN. Ils seront aidés à établir des
plans nationaux de mise en œuvre du SCN 2008.
Ces réunions prendront la forme de sessions de travail
portant sur chacun des points figurant sur le projet d’ordre
du jour, ainsi que sur d’autres questions pertinentes portées
à l’attention du secrétariat par les pays membres. Chaque
point à l’ordre du jour sera présenté par la personne qui
présidera la session, et sera suivi par des présentations faites
soit par des spécialistes, soit par des participants.
Les participants devront brièvement exposer la situation
d’ensemble de leur compilation du PIB, ainsi que leur
progrès dans la mise en œuvre du SCN, en évoquant des
problèmes concrets et des solutions possibles. L’atelier sera
aussi l’occasion de partager les expériences de chacun,
d’évoquer les difficultés rencontrées et de proposer aux pays
les meilleures pratiques à adopter dans ces domaines.
PROJET DE COLLECTE
HEBDOMADAIRE DES PRIX
ALIMENTAIRES EN AFRIQUE
PROJET DE COLLECTE HEBDOMADAIRE DES
PRIX ALIMENTAIRES EN AFRIQUE
Langue: anglais - français
Lieu: Dates:
Côte d’Ivoire – Afrique du Sud août
COMPTES NATIONAUX ET
STATISTIQUES ÉCONOMIQUES: MISE
EN ŒUVRE DU SCN 2008
COMPTES NATIONAUX ET STATISTIQUES
ÉCONOMIQUES: MISE EN œuvrE DU SCN 2008
Langue: français - anglais
Lieu: Dates:
Lusaka-Zambie-Éthiopie mai - septembre
Public ciblé: Spécialistes des répertoires
d’entreprises (RE), et statisticiens
économiques des Bureaux nationaux de la
statistique.
Description de l’atelier:
Au cours du RCS III, la réunion d’un groupe
d’experts en octobre 2012 a proposé des
Directives pour l’établissement de répertoires
d’entreprises. Plusieurs missions d’assistance
technique ont été effectuées, surtout dans la
région du SADC, afin d’aider les pays à
concevoir des RE fonctionnels. Un REC type a
depuis été mis au point en partant du modèle
de Statistics Mauritius. Ce modèle sera utilisé
dans les PMR lors de la mise en œuvre du RMC
IV. Divers ateliers de formation seront mis en
place afin de former les responsables des
répertoires d’entreprises à la conception de
projets et à la mise en œuvre des directives.
Deux ateliers organisés en 2015 (août et
octobre) réuniront des représentants des pays
de la SADC et du COMESA lors du premier
atelier, et des représentants des pays de l’UMA
et de la CEDEAO lors du second.
Les participants devront être en mesure de
partager leurs pratiques actuelles en matière
de conception et de mise en place de RE, et de
convenir d’un plan de mise en œuvre pour
l’établissement d’un RE entièrement
fonctionnel.
Public ciblé: Statisticiens du travail et spécialistes du
marché du travail issus des Bureaux nationaux de la
statistique ; ministères du Travail.
Description de l’atelier:
Au cours du RCS III, deux ateliers destinés aux pays
anglophones et francophones ont été organisés dans les
sous-régions pour traiter de l’analyse des données de
main d’œuvre, sur la base du manuel publié en 2013 par
l’ESTA. Néanmoins, ce manuel avait été rédigé avant le
déroulement de la CIST 2013. Au cours de la mise en
œuvre du RCS IV, il sera révisé de façon à inclure les
nouvelles résolutions. Les deux ateliers de formation ont
pour objectif principal d’aider les pays à créer des plans
de mise en œuvre de la CIST 2013.
Deux ateliers organisés en 2015 (juillet et novembre)
réuniront des représentants des pays de la SADC et du
COMESA lors du premier atelier, et des représentants des
pays de l’UMA et de la CEDEAO lors du second.
Les participants devront être en mesure de partager et
présenter leurs pratiques actuelles de mise en œuvre
de la CIST 2013. Ils seront aidés à établir des plans
nationaux de mise en œuvre de la CIST 2013.
RÉPERTOIRES
STATISTIQUES DES
ENTREPRISES
RÉPERTOIRES STATISTIQUES DES ENTREPRISES
Langue: anglais
Lieu: Dates:
Port-Louis – Île Maurice juin - octobre
STATISTIQUES DU TRAVAIL ET
SYSTÈMES D’INFORMATION DU
MARCHÉ DU TRAVAIL : MISE EN
ŒUVRE DES RÉSOLUTIONS DE LA
CIST 2013
STATISTIQUES DU TRAVAIL ET Systèmes
d’inFOrmatiOn du marCHé du travail : MISE
En œuvrE dEs résOlutiOns dE la CIST 2013
Langue: français
Lieu: Dates:
Maroc – Tanzanie juillet - novembre
Public ciblé: Spécialistes des prix et des comptes nationaux des Bureaux nationaux de la statistique des PMR. Description de l’atelier: Divers outils sont nécessaires pour ajuster et préparer le calcul des parités du pouvoir d’achat (PPA) à partir des données de prix et de comptes nationaux. Fort des éditions précédentes, ce programme les outils existants pour étudier et valider ces données. Parmi ces outils techniques figuraient la Nomenclature et les catalogues du PCI, ses évaluations de la qualité des données, des directives pour une procédure de validation des données du PCI-Afrique sur les prix (Semper, livret de validation), pour la cohérence des procédés (calendriers), et pour la validation des sous-régions (tableaux de Quaranta). Cette session 2015 du PCI tire parti des acquis des sessions 2005, 2009 et 2011.
Divers ateliers de formation seront organisés pour former les pays participants à l’étude, à la validation et au traitement des données, ainsi qu’au calcul des PPA. La session intérimaire 2015 a pour but d’amplifier progressivement l’échelle des phases précédentes tout en les consolidant : le PCI 2005, mené en 2005-2008, le PCI 2009 mené par le RCS-2 en 2009-2011 et le RCS-3 en 2012-2013.
Des ateliers organisés de juin à décembre 2015 réuniront des représentants des 54
pays membres régionaux, des organisations sous-régionales (la SADC, la CEDEAO, la CEEAC/CEMAC, le COMESA et l’UMA). Ils auront pour principal objectif d’aider à créer des systèmes statistiques plus efficaces qui généreront les données fiables nécessaires au développement national des PMR et rendront plus efficaces les opérations bancaires dans les PMR. L’atelier offrira une assistance technique à chacun des pays membres régionaux (PMR), aux 10 Communautés économiques régionales et aux 6 Centres de formation à la statistique (CFS) afin de consolider leur capacité individuelle et commune à fournir des statistiques de prix et de comptes nationaux en vue d’un suivi & évaluation (S&E) de la pauvreté, et d’une mesure des résultats accomplis en vue de la réduire. Les pays et OSR participant devront être en mesure d’exposer leurs meilleures pratiques en matière de prix et de comptes nationaux.
LE PROGRAMME DE
COMPARAISON
INTERNATIONAL: SESSION
INTÉRIMAIRE 2015
Session intérimaire 2015 DU PCI
Langue: anglais - français
Lieu: Dates:
Sénégal 11 -15 juin Gabon 20 – 24 juillet Tunisie 24 – 28 août Zambie 27 – 31 juillet Botswana 21 – 25 septembre Afrique du sud 20 – 21 octobre Maroc 23 – 27 novembre
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