Download - LETTRES MORTUAIRES...tmm L'AVENIR DE ROUBAIX-TOURCOING AVIS AUX SOCIÉTÉS ! Lei Société! qui feront leur commande , de convocations, avis, affiches, etc. , dans ] les bureaux de

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    L'AVENIR DE ROUBAIX-TOURCOING

    AVIS AUX SOCIÉTÉS ! Lei Société! qui feront leur commande ,

    de convocations, avis, affiches, etc., dans ] les bureaux de l ' imprimerie de l'A.VENIR j DR ROUHAIX TOUHCOlNti, au io 't droit I à l'Insertion g r a t u i t e dans le journal .

    PAS-DE-CALAIS

    LE VOL DE LU POSTE

    LETTRES MORTUAIRES ET D O B I T S

    Touta commande de lettres de faire part

    de décès, d'obits, etc., faite à Roubaix el Tourcoing, dans les bureaux de fM,VKWfB DE ROUBAIX-TOURCOING, donne droit à

    i GRATUITE dans l* Journal.

    TOURCOING Vol ds oba

    •aire de police du ouvert une enquête lies.

    — M. le commis arrondissement , a

    in vol de pantoU' » nu Grand Plaisir, au préju

    dice d'un marchand ambulant , par troii gamins dont un du nom de I)..., âge di

    Cbare t t e à chiens. — Dans la tournée faite hier avec la charret te a chiens, H de

    nt été saisis et conduits

    ( •Esc roquer ies . — Nous avons dit dans notre numéro d'hier, qu 'un individu •'était présenté dans différentes maisons de la ville, sollicitant des secours pour des œuvres catholiques belges.

    Aussitôt la police ttt des recherches et grâce au signalement fourni, elle ne tarda pas à arrêter un individu Agé de GO ans environ^qui voyageait en voiture de place.

    Amené au poste, cet individu qui était élégamment vêtu reconnut bien s'èfre pré sente dans tes maisons pour solliciter des abonnements anx jou rnaux cléricaux

    Il n avait sur lui comme papiers qu 'une lettre signée d'un nom inconnu, et qui lui avait été adressée chez un abbé de Rou-baix. Il se servait de cette lettre corn m» recommandation.

    Bien que le sipnalement de cet homme correspondait assez a celui de l'individu signalé la veille, il ne fut pas reconnu par les personnes mises en sa présence.

    Très embarrassé par Je défaut de preu ves matérielles, on dut relâcher cet huit vidu. Il prétendait qu'il retournait chaque soir à Bruxelles, ce qui parait bien Invrai-semblable,

    En tous cas il est â croire qu'il ne re-viendra pas ici, car il avait l'air t rès émo tionné.

    VILLE DE TOURCOING Condition publique des matières textiles

    M iuvement e mjwv du mois de novembre 188$ NAT1BJU4 1S-ST 1888

    Laine puiRnÉe

    Colons . - .

    Totaux. Expéditions e Expédié par 1

    Cl . l t»

    *T tM

    1,6»

    Kilos de lots Kilos 453

    1,343, '80 194.041 7:1.573

    1,710,111 t arrivages par v

    xpéditeur.-

    3 197 7)0 1,5» 121 Ï.12 221,0:9 111 197 4 6 1M 90,7*9

    1,606 2,100.456 ie ferrie :

    Arrivages directs par voie ferrée 63,262

    Dégraiiaages

    ••• tu .

    Total.

    0,1*0 «53 til

    . 0W,839

    LA Directeur : STOBHAY.

    considérables, d u n e soixantaine de mil le francs. Nous croyons que ces chiffres sont exagérés.

    L e s soupçons Tout est bien mystérieux dans ce vol. l 'ourlant certains témoignages, certains

    Mits sont à noter et, rapprochés les uns des aut res , complétés par les faits que l'instruction ne '"manquera pas de révéler, ils pourront peut être aider A la décou-verte des coupables, car ils doivent être plusieurs.

    Chacun des sacs de l'administration des postes pèse en moyenne nue cinquantaine de kilos, il est presque impossible qu'un seul homme ait pu manier A lui seul et A quatre reprises consécutives uu pareil poids, jeter à terre chacun des sacs, l'é-ventrer, le touiller pour en extraire les chargements — tout cela en sept minutes !

    Il n'est pas douteux non plus que le vol a été commis par des hommes ayant ap-partenu â l'administration. On est allé droit aux chargements avec une sûreté de main, une rapidité, une expérience qui dénotent â l'évidence des gens • de la partie >.

    Avis important M. le juge d'instruction d'Arras nous

    fait communiquer la note suivante : « Les personnes qui auraient confié à

    la poste, dans la journée d'hier, de sim-ples let tres, des let tres chargées, des let-tres recommandées, A destination d'Ar ras et devant y parvenir co matin, sont Instamment priées de bien vouloir en faire la déclaration soit aux autorités de leur commune, soit A MM. Ie3 juges de p:iix, soit aux brigadiers de gendarmerie ou à tout autre ofllcier de police judi-ciaire.

    »De même, les habitants d'Arras, atten-dant, pa r le courrier de ne malin, des let-tres chargées ou recommandées qui ne leur seraient pas parveinis.sont invitées â vouloir bien se faire connaître à M. le commissaire central . •

    LA B E L G I Q U E

    M O U S C R O N

    U N S C A N D A L E Captation d'héritage. — N o u v e a u x

    détails.

    Nos r e n s e i g n e m e n t sur la captation (Théritafa dont nous avons entretenu nos lecteurs dans notre numéro d'hier, ne sont pas encore aussi complets que nous

    Plusieurs des intéressés nous ont mis des détails complémentaires, nous ne manquerons pas de faire naître aux lecteurs.

    Henri et Stechar Leelercq sont préve nus d'avoir volé une carafe d'eau de vie dans le cabaret de Mme Dejeager, a Lys-lez Lannoy.

    Ils sont en outre Inculpés d'avoir avec 3 autres i nd iv idus , assommé un nommé Henri Leelercq. employé d'octroi A Lys Jez r.annoy, qui venait de te rminer son service et qu'ils ont dépouillé de son ar gent.

    Ceh IUP L- ,.-D'ailleurs. Louis Leelercq est mal noté

    il a été condamné, il y a 8 ans à l'» Jours de prison pour rixe et coups.

    tileckar dont la culpabilité ne peut être établie, est acquitté.

    Henri Leelercq est condamné à 40 jours de prison et 10 francs d 'amende.

    Le tr ibunal prononce ensuite les con-damnations suivantes :

    3 mois de prison et lii francs d 'amende A Jules Vanhuysse pour vol,

    moise ï ,ïOu Iraucs d'amende à Deiae-gher Jourdain, pour ivresse et rébellion envers la police.

    tin an et un jour de prison A Charles Dekeyser. pour coups et blessures, et

    L'int«rros;a!o]re de Conteaenne I COIfCBRT voeti «t instrumental. —Tans te-

    L'interrogatoire de Coi.tesemne a fait ' aè^Êpeù^bre'y de l'octroi a HÔu"bai *'. d i rouierdevunt nos feux la **f t o u t e » i Avec te cnDMara de Mi'w .leaiio.i. ;«ein«M>-tière de est intrépide malfaiteur. S ium ( JeaaiictU, citanteaaedrfcenre ; .leMW.Henri 3 , lière existence que la t i e n n e ! Véritable «wen», aaiytun, Oorvw», commue; A'Iraa Si roman d 'aventures! Après avoir parcouru ia«i»,uto, pianiste, toutes les étapes de la police correction i " " ««mencera a u neurea. nelte et de la cour d'assises, fait la fraude, i - - »:•-=-• « - — • - • — • - - - • < ir -

    quelques vola, Il • o n s t r a i t . a u ! ÊTATCIVJL DE ROUBAIX préjudice du comte Scl i ramm. A la Cour neuve, près Paris, sept cent mille francs do valeurBdiverse?.

    Condamné â dix ans de t ravaux forcés . _ pour ce fait, il s 'évada de l'Ile de Nouméa, , ft>r't s i u , . ._ •n gagnant nn navire où il se cache et où ' Aa« Héroiete',

    montre qu 'au milieu d e l à tra- ; tfto. — uonatatit uu

    Henri Demol, rue Nouveau-Monde, ciW Burte-lot, 35. — Oetavie Vandeearteale, tue «*u Ballon,

    - MnIII*I l. _ Kltta Vaadevcag Pauline Biaeq,

    versée. Abandonné sur une ile déserte, 111 t*iat, •e construisit — c'est son récit — nn ra- ! d'eau, et, après s 'ê t re nourri pendant! Emile r.rieck, i

    KIÎM \ HitleveiRerinae, " - - " - «Utcq, fU« Al

    de l'Epenle, c

    . Hôtel-Dieu. — Mar.e Ueruulder. 3û •

    recueilli comme naufragé.

    BU t rance et gagna la Belgique, ap ro3 | - 7 ™ » " j être approprié les papiers d'un nommé 1 Entre : Désiré Nico-e, îi ans, etnp. diiooram, Mercier,- papiers dont il s'est servi po ur et (Mlle Ff^et. n ans, ^ * * * « ; - JflSii Boa-se faire une identité i • o n ' " ' * n * ' d * b o u r , c l i r ef- G«iut;no« couirtoat,

    « A I I I I U A U M m m i # «„nnr,*A -la ^ i ^ a n >*» *a*' soittaputr-. — I.001* Hnn*s, *î ans. psi-

    B R O N C H I T E S , T O U X

    R H I J l s a i & r a a ^ r ^ n N i

    P H T H X S I B , AsjtlflBM

    lit quantité de vols en * j j ^ J ; ̂ ' K v*rer«y»c, su « ; Gustave Kornct, t'i »ii!-t cliaudr.

    piqurièie.

    . • ; • 1

    \'.:U

    voies de faits. 3 mois de prison et r» francs d 'amende

    A Joseph Kouquet, pour mendicité et

    Arrêté, condamné à viugt ans de tra- Ciuchv, ::n ms , pnjurièie. - u n t a v i r.aciâar,{ vaux forcés, on sait comnteitt i l s'évada HT an-, im-nius n et h%\*;- (i.-nrd. ^ a n i . e a a a -des mains des gendarmes, au Palais de i retière. - 1 id-He MauUH, u «:•.«. usserawat Justice deChai leroi . ' Î W W TreniMiux. M « s , *jy«hçpae. -

    Ou e n n a i t ses exploits dans le départe- ' v i t K S 0

    1 ment du Nord, le bandit les raconte sans r ; u , & * éiwuti nn r et t^roa b s u n é w ^ ACharles Debondue pour vol de broncher. , j , , 'Q i , aoi j^uie - r™açoii RolNwysl H B H

    . , . .S . . . ' renlrcorel Alwlpiii"* n-!8rums.ui, ;'3 au-, riiiu-' L e s autres accusés - L e s d é p o s i t i o n s , ^ l j ù i t h ] ; ( ; , r - - «.-. ::: an», in.-flr41.dfti

    des t émoins Bloiidinc VaodfoaeolPbrutiex, SI »< .̂ piquri.-re. j , „ , , . — Alphonse IwcorU. «5 «a*, appretaur ol P*jHa-L interrogatoire des autres accuses p re - mène bc'pc'u.'c v:> »»», t^sjerand*. - J s u i e s j

    sente peu d ' in té rê t ; pas plus d'ailleurs , Titcrgin^n, -ix ans, r«::i!"(rur «t Maria w*rbcm, '

    a

    Bel,if ant . son! prévenus do vol de tuyaux de plomb, et de zinc, au préjudice de M. Chef et Courccllesà Pives. Ils revendaient le produit du vol à vil prix,

    harles Dtlbeca est condamn ' i prison, Battez à 1 i dans

    COUR D'ASSISES DU NORD

    jKéttstMS du HBMIS» 1er Décembre 1S88.

    Présidence de M. 1>I:STK:KEK. conseiller

    I la cour.

    ! Ministère public : M

    tE FAMEUX BANDIT CONTESENNE Le lameux bandit Conteaenne, dont

    .nus avons maintes fois raconté les ex ploits. comparait Miiourd'hui devant la cour d 'assises, il a 48 ans. Ses co accusés,

    ;-*° comparses sont les nom-

    W A T T R E L O S

    LA COMISSIQN DES TRAVAUX

    Nous avions cru, pour un moment que l'examen de toutes les affaires renvoyées

    Sar le conseil municipal à la commission es travaux aurait effrayé celle ci. Mais pas du tout elle à l'avoir d'avoir at taquée bravement le taureau par les cornes et serait en train d'abattre. . . . la besogne.

    Dans une réunion qu'elle a tenue la semaine dernière, il a été décidé que le sentier du Labourf.ur au Crtilinier et celui de la llougarde A la Baiiiene seraient era pierres.

    Nous espérons donc qu'elle veillera à ce que les t ravaux commencent dans le plus bref délai et soient poussés avec la plus grande activité.

    Rendons A césar ce qui appart ient à Céaai .Nous ne pouvons que louer celle commission de l 'empressement qu'elle a mis A s'occuper de ces affaires dans la solution est réclamée depuis si longtemps.

    Nous espérons que celte décision n'a pas été prise seulement pour faire taire quelques réclamants plus ou moins gè nants , mais bien avec 1 intention arrêtée de taire droit aux juntes réclamations des habitants et qi 400ouvr ie rsducharbonuage du Gouffre

    A chatelid au. ont refusé de travailler au jourd'hui, ils sont calmes.

    La gendarmerie est sur les lieux. Liège, 1er décembre.

    Les derniers renseignements su r la grève de seraiug sont bons.

    La grève reste partielle elle ne s'étend pas.

    Le nombre des grévistes est aujour-d'hui de Vil.

    On annonce qu'un meeting aura lieu de main, dans cette localité avec le concours do ra l eu r s de Bruxelles, de Liège et de Verviers.

    T R I B L T J N T A T J X

    TRIBUNAL COmCTIOUMEl DE LILLE

    Audience du 1er décembre 1888

    Présidence de M. PARRNTT

    LE C U R É DE F R E L / N G H I E N Le sieur Pieire-Joseph Léman, vicaire

    à FrelintfhieD est prévenu de (raude élec-torale aux dernières élections législa M ves.

    Il essaie de se disculper en alléguant que sou graml père est tté à Mouscron en 1803, son père est né A Tourcoing et lui-même est né aussi A Tourcoing. Il était su séminaire quand il tira le sort.

    Son défenseur dit nue te sieur Léman a cru, en agissant ainsi, mettre en évidence sa qualité de français; il en est réduit à demander pour son client, les circons-tances at ténuantes .

    Léman est condamné à ir, fr, d'amende et & S jou r s de contrainte par corps. Ces t une p remiè re 1er.n dont il p r o f i t e r a i s pérons le, AUX prochaines éltcUons.

    de vulgair

    Nicolas Guidez, père, ". ,., ;

    | ne nous étonne pua, étant donné» n c o u \ ^ K *"**< '* *• w*****. - - - . raMaée. | pélence particulière dans tout ce qui cou-1 " ! cerne l'application des verres H fous les l genres de vue. j II serait n souhaiter qu'il se t rouvâ t ' I dans notre ville un spécialiste de ce genre ; .fournissant des ins t ruments aussi IMMJ [fabriqués, el surtout ù d 'aussi t onnes 1

    iiit\,i(iokii.t ss.s»a I » « L M ; . M U»p.r.tuelIoj M o n s i f l u r B R O U I L L A R D e s t vis ible ' * - ! . . il \ n .v>; 3 V I W M . 1 M q u . l 3 o k J * l ^ ' .

    1 programme attr^vanl 0

    La lecture de cet acte d'accusation n'a j pas duré moins d'une demi- heure.

    Contesenne se reconnaît l 'auteur de la plupart de ces vols, excepté toutefois du vol de la devanture du bijoutier Fauvet. de Denatn. pour lequel, prétend il, il n'a joué que le rote de comparse ; il nie aussi le vol dans l'habitation du curé Hachet, A Aulnoy, et l 'attentai sur la personne du curé, ainsi que le vol cher; le brasseur Brouette.

    Ses dénégations, — tout te prouve — sont mensongères.

    Les personnages qui entourent Conte* senne oui prêté assistance au bamlit dans ses pr incipaux vola et ont recelé las objets aoustrs t ts pa r celui ci.

    Voila certes K01IU les piu: leora préférence.

    Lesftcén.s palhél roman par le Matti d'émotioii violtmtf . d'ulmirer le* situations 'mou dan» l«a Uni'futiles, et les aventures de ValjMn, les c3ptiv»ronl au plux haut degrf

    A ceux qui préfèrent te frivole ai» .IrAmatt Josépliine vendue pur ses *u;iiri procurera r quea Instants 'In gaieté at da fou rire : le* raneeds l'eiDiègla Beu'.arnine et tes minut Petits soins drt ta mère Jacob pour son -arti les amuseront ferme at dérideront c a s q ront tron touchés les péripéties du dr»mc.

    C'est donc comme nous le disions en eorm spectacle hors ligned'etre vu etnul d " ' 0 nombn

    imp» qu fnraux ronbaisieni

    Nous parlerons dans quelques jour' Constantin dont la secondn a lien demi a obtenu un gntirf xriccàfl U>w1i Aet comme pièce que pir son iatérnrétatio

    ProfPaunmes des Théàtres-Ooncérts

    t décembre, prsinn* Capoi'at, diajpe pâli va«d«v.-op*r. en n i

    ; 2* fjU, W.50 a Emtftttlt - * I a1ftasas*as»*

    Sucre* fraitfsjs, j3.tto naos, suurcJ tma^em.

    DE ROUBAIX.

    « hnwroi. — dimanche î ^Acemhre. tentation eTlraordinaire: Le» Hiterab'

    * Le SANG, c'est la VIE!!'

    LeROilÉCHÀUX et les D iâgées jcRot L o c h a u z

    ABU ytrêcnlieru

    Pins les premifri fou-s J-. «>it*i i>«o»aiiw noa .un :.v;.i«inl fa.b't et i r « .-..Brait pt«« ofri r. :Ui l i Pr. ;'* 7?. Ae>urTimioa eisitjMw

    -riiiç ut ii djir^Ti'le «tu*. * twj aclivtt Je 'r 3Ti »- h Fr. V 3 3 . r i » «. . ma-.-!..' na ciUit oenis pïmu-u'» alb'.-BS V aitcen a r'r. : » . r ,« t

    f Fr. » M. L* '«•« H- . a*«w M w f t UwaSti M V " Njiiay tr r - m - M» ,n> t -i.Hnrileinaiit rottt :

    Sucre sa , A.M tunasf b'c