Download - LES ECHOS DE CANNES - archivesjournaux.ville-cannes.frarchivesjournaux.ville-cannes.fr/dossiers/echos/1875/Jx5_Echos_Cannes...de sou père, il se fit couper les cheveux et se consacra

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|Gi(1(e « l'habile administration de M. Mé&> m maire, Menton va donc entrer dan;im nouvelle voie de prospérité. Elle eivjit iPelleineiHbesoin.

' Bi m —Lapopulation de Beuil a été misn e nui, lundi dernier, 3 mai, jour do 1y a liKile, par le fait brutal suivant, quuente *> il est vrai dans tons ses détails, unprompte et juste réparation.

M. le curé de Beuil aurait été frappé vio.erainent au visage, et en plein jour, en préîence de plusieurs personnes, par le uomm-;• I;L.., habilantde la commune. Le vicaire.ntervenant pour empêcher cet outrage puolic envers son supérieur, aurait dû prendre!a fuite pour éviter lui-même les coups de:>ierre dont il était menacé.

Après cet attentai, le nommé C. H... seserait promené dans (es rues ayant en mainsun gourdin, proférant des menaces de moroutre plusieurs autres personnes respecta-bles de la localité. Le soir même, plusieursjfuiitfs gens auraient été victimes de la hru-

'lité de cet. individu, qui les aurait frappésl'-Hips de bâton.

Notre correspondant nous affirme qu'en cesi ri s les circonstances, l'autorité, représentée,<nv un adjoint, aurait fait preuve d'une fai-blesse exceptionnelle.

La gendarmerie, informée des faits quenous signalons, se serait rendue à Beuil, oùelle aurait verbalisé, mais sans pouvoir s'em-"i**s du coupable, dont elle n'a pu eue.retrouver les traces. (Le Phare*)

Vhomœopalhie en Australie. — \,'[Iomœo-nikie World, du larmai, nous anuoncéeqne!• yotiveruement de Victoria vient de con-n'der un terrain pour l'érection d'un hôpital'iiuœopaihique. Un comité composé de neuf

i;es i't de neuf messieurs, à la tête du-i se trouve le chief-justice, lir Willia'm

l. a déjà élaboré les règlements de cettee institution, qui aura une installation

provisoire en attendant que les bâtimentsdélinitifs soient achevés.

Un vieux prêtre de Saint-Cloud avait crutrouver dans de vieilles, très vieilles pa'po-

.rasses des indications probantes sur l'empla-cement que devait occuper le cercueil deClodoald, petit-fils de Clovis, fondateur de lamonarchie française.

Des fouilles furent faites il y a quelquesjours, sur les indications de ce prêtre, et ellesviennent d'aboutir d'une façon des plus heu-reuses. Le cercueil de Clodoald, qui a donnéon nom à la ville de Saint-Cloud, a été trou-

vé à une profondeur de quatorze mètres, surl'emplacement d'une maiion incendiée, enface de l'églis*.

Chacun sait que Clovis laissa quatre filsquf se partagèrent entr'eux son royaume,suivant la loi salique, comme un bien de fa-mille. On en fit quatre lots, qui furent tirésau soit, car le droit d'aînesse n'existait pastmore. Thierry ou Théodorik, né d'Évochil-:^, première femme de Clovis, fut roi de.\H'i£ ou d'Austrasie ; Clodomir, né de Clo-

1 ijlde, fui roi d'Orléan6 (Gaule Centrale);Jhildebcrt fut loi de Paris, elClotaire fut roi'Je Soissons. Les trois royaumes d'Orléans,de Pariset.de Soisaous formaient ce qu'onappelait la Neustrie.

Bu 523, Glodomir, Childebert et Clotaire,qui convoitaient la Bourgogne, déclarèrentla guerre à Sigismond, roi de celte contrée,sous le prétexte qu'il détenait une partie des

;ens de Cloiilde, leur mère. Clodomir, le

K.%s actif des trois agresseurs, prit Sigismondavec sa femme et ses enfant» et les fit mon-,r : niais l'année suivante, la guerre se con-

.iiiuant, Clodomir fut tué à la bataille de

Vois'on.Clotaire et Childebert, restés ieuls rain-

rueurs, se partagèrent la Bourgogne.Clodomir mort laissait quatre enfants on

bas âge, dont. U tutelle fut confiée à Clotilde,leur grand-mère ; mais comme le royaume

'Orléans tentait l'appétit de Clotaire et deidebert, qui venaient de se partager laJ^j^ne, ils signifièrent à Cloiilde qu'elle

" " V i r pour eux entre le cloîtra ou la

/lolHde leur répondit énergiquementcLieli* préférait les voir morts que dégradés.J furieux de cette réponse, qui paralysaitleurs con-voitises, Clotaire et Childebert se

1 rendirent alors a Paris, au palais des Ther-^iies, où demeurait Clotilde, leur mère, et ces! ,. JlS barbarei, sans pitié 'pour leurs jeunes

rv(juX| égorgèrent lâchement trois de ces

prjnces infortunés. Clodoald, le quatrièmeIU$ de Clodomir, eut la chance d'échapper

' à ia rage de ces rois assassins, leurs oncles ;il fui sauvé du trépas par quelques seigneurs-estes ii'ièles à la mémoire de Clodomir.L'enTan tt caché dam quelque retraite igno-

,-, ,flir. ni',u à neu ; mais comme il était

jour le môme sort que subirent ses jeunesfrères, s'il venait à revendiquer le royaumede sou père, il se fit couper les cheveux et seconsacra à l'état ecclésiastique. Clodoald allatrouver alors un saint solitaire, nommé Séve-rin, qui vivait enfermé dans une cellule auxenvirons de Paris, et il vécut quelque tempsavec lui, dans les exercices de la vie monas-tique, puis il sa retira en Provence, pour ymener une vie plus solitaire encore.

N'ayant plus désormais aucune raison deredouter la fureur de ses oncles CloLaire c-tChildebert, au prolit desquels il avait renon-cé généreusement au royaume de son père,Clodoald revint à Paris, 0(1 il fut ordonnéproirc par l'évoque Kusèbe, prédécesseur desaint Germain, puis il se retira au village deNovemtium, dans lequel il se renferma et yconsomma le reste de ses jours dans desœuvres de pénitence,

Ce fut depuis la canonisation de Clodoaldque lu village de Noventium a été appeléSainl-Cloud.

VARIÉTÉS

L E R O S S I G N O L

N o u s a v o n s t r o u v é d a n s n o t r e b o î l e

lo l ' i i . 'mimnf n r l i r h ; qu i su i t . Qui en os!

1 i t t ' i i f? A' .HI^ l ' ignorons . , non? ]t; Vf-

n:i.htu-- .-.u'IouL ; n i a i s it v ien i i.rnp ;'i

t c i u j i ^ i'i il (;sl vcvil d a n s un M\U-

t r o p f leur i , p o i u ' q t i u n o u s on p r i v i o n s

nos lecteurs.

La nuit est venue. Des profondeurs de lavallée, ellea monté connue une mor sombre,l les derniers l'ayons du soleil couchant sa

sont enfuis de cime en cîme pour disparaîtrefln derrière les collines qui bornent l'hori-

zon. Quelques nuages, tout à l'heure rutilantscomme une fournaise, ont bientôt pâli,puis sesont évanouis dans l'ep^ace. La lune descend,ardente et ronge comme vu globe de feu; elle;e plonge lentement dans la nuit, elle s'efface,ît bientôt, an-dessus de ce noir océan qui eou-'re la terre, on voit scintiller dans la sombremnnsnsilé du ciel les radieuses splendeurs

des étoiles.

La terre repose; et dans le vague murmu-•e de la brise à travers le feuillage, il sembleju'ou entend le souffle de la nature endor-mie. Quel silence eL quelle harmonie ! Com-jien. a MCMin1 ijih' \<- contemple ces espacesmverts devant moi. jo vois s'en reculer lesKjrnes et s'en creuser les profondeurs ! Ané-.nti dans ce vide, perdu dans cet infini,'homme se sent diminuer peu à peu et n'êtreilus qu'un atome. Son aine le quitte et s'é-auce, les ailes étendues, dans l'immensité,e la vie universelle...

La douce nuit ! 0 nature que tu es belle,nais qui; tu es majestueuse, et que la parole.îumaine est faible à rendre la mystérieusearmonie de'ton silence !Sous les splendeurs de la voûte étoiîée,

;ous les mille regards de flamme qui la con-.emplent du foml des abîmes éternels, sous'attraction souveraine de ces mou des quientraînent à travers l'espace, on dirait quea terre, silencieuse et voilée . comme unelancée pudique, s'abandonne aux cartssese son bien-aimé.

Qu'elle est donc la loi secrète qui vientinsî, chaque nuit, suspendre la vie de ton*es êtres ? Sous ce voile sombre qui les cache,ans ce silence et dans ce repos où elles sont

:omme anéanties, pourquoi ces millions de.réature.s, tout à l'heure agitées de tous lesnouvements et de toutes les passions de laîe, sont-elles maintenant muettes, sourdest insensibles? Tout est peuplé, tout four-ùlle d'êtres vivants : la tourterelle est sur

ion nid, l'aigle dans son aire, la hôte fauveans sou autre, l'insecte sous sou brin d'her-ie> mais jusqu'à ce que les premiers l'ayonsai jour viennent les réveiller, pas un d'euxne fera un m on vu m eut, pai un d'eux neloussera un cri.

0 sommeil de la nature ! ô nuit sombre!ji dont les vagues profondeurs Toilent tante mystères, qui oserait vous troubler YTroii notes, longues, lentes, graves, allè-

rent solennellement an milieu du silence dea nuit, et, tout aussitôt, partant comme unexplosion de mélodie, cent fusées harmo-

nieuses jaillissent et ruissellent, se pressent,je "onfondent, se dépassent et vont éclaterusqu'au ciel !

Puis, tout à coup la voix s'abaisse, se voileet devient si douce, qu'il faut se pencherpour l'entendre, Et alors, elle se balance, elle

berce en un faible murmure, et le chan-teur fait résonner tour à tour la quarte, lajuin te, l'octave, passant de l'une à l'autre;omme pour les essayer. À mesure qu'ililiauto. le rliythme devient plus fin, plusdé.heut ; c'était un fantaisie, puis un rêve

LES ECHOS DE CANNES

pleine de la plus douce mélancolie et de laplus infinie tendrssse.

Il s'arrête; un moment, puis reprend.Un long «Internent, un iil vibrant à peine..

et, peu à peu, ce faible son s'allonge, s'étends'amplifie, et ses ondes sonores s'élargissentet se multiplient par degrés rapides, éclatenteuliu et relentisseni/uans les longs échos desbois, comme- l'hymne sacrée sous les voûtesd'une cathédrale.

Encore un repos.

Maintenant, il ne chaule plus : il parle.Des notes brèves, profondes, graves, sour-

des, tantôt simples, tantôt répétées ; ici cou-pées par des silences ; là, nuitées d'une courteroulade en sourdine, tout cela se suivant,s'enchainant, montrant le développementd'une pensée ; car qui oserait prétendre quele hasard seul dicte ces inflexions si variées,ces expressions si détaillées et si énergiquesen même temps ? Et surtout, comment expli-quer ces retours et ces combinaisons Analo-gues de mêmes efforts;1 Ne sonL-c& pas desmots, ne sont-ce pas des phrases qui revien-nent, et le jeu libre de ce gosier qui les arti-cule u'est-il pas l'exécution d'une volontérélléehie et libre elle-même ?

Il a recommencé sa chanson, et le voilà.[ni de nouveau jette ses folles roulades, com-me dos poignées de perles, à tous les hasardsJe la fantaisie-, Tuul ce (pie le caprice a deplus soudain, la joie de plus glorieux, la

i.'-ss-j de plus teiiiliT, l'amour de plus ar-i, \ H'M u.-ur ii Loin' .se iijnil ulei'iians ce clirin t

éLriinge. doiil. rhiLeiisitè semble redoubler àsure qu'il se prolonge ; et plus je- me busse

aller au charrue irrésistible qui m'eulentraî-ne, plus je sens que la nature, à cette heureiolenuelle, est pour moi, toute entière, dansces étoiles qui brillent et dans cet oiseau quichante.

Qui donc es-tu, frôle créature, pauvre êtremisérable perdu dans la foule des infinimentpetits et des infiniment faibles, qui donc es-tu, pour qu'à loi, et à toi seid, il soit, permisd'élever la voix, à l'heure ou toutes les autrescréatures, où l'homme lui-même, subissentla loi du silence et du repos ?

Pourquoi, toi qui n'as ni l'intelligence, nila force, ni la beauté, la nature t'a-t-elle douéde cette voix assez puissante pour remplir lasolitude et le silence des nuits d'élé, assezmystérieuse pour troubler le ccaur même del'homme? Pourquoi ùi-t-elle enseigné d'unemanière si précise et si parfaite l'art merveil-leux de faire résonner rinstnuueiu incoinparable qu'elle n'a donné qu'à toi ? Je le vois, je lesens : dans ce moment où je l'écoute, l'âraetout attendrie et le corps tout frémissant d'unvague émoi, Lu remplis sur la scène de lanature un rôle plus grand que le mien ; carje suis l'homme, et c'est moi qui écoute ; je,suis l'homme, et, à tes accents qui m'entraî-nent, je voudrais m'élancer dans le vaguede la nuit, je voudrais m'envoler vers cesmondes dont les rayons de feu me regardentet m'appellent !

Chante ! chante encore, encore, toujours !Mon ciour se gonfle, resyeux se remplissentde larmes, et dans ta voix, dans ta voi.t tou-chante et passionnée, c'est l'àuie universelle,c'est mon âme elU-méme qui chante et quej'entends.

Ah ! l'avoir choisi si petit et si faible pourle donner une voix de souverain et de domi-nateur, avec le sonflle inspiré de l'artiste ;avoir mis dans Ion chant merveilleux tout cejue la musique a de plus suave et tout ce(jne la passion a de plus tendre ; l'avoir cachécomme un amant, sous la fouillée des grandsarbres, la nuit, au primptemps, pour envoyerdes sénôrades aux étoiles, lui seul a pu lefaire, n'est-ce pas? lui, la lumière 1 lui lefeu ! lui, la vie ?

Le Rossignol, Tu la dit ; I'AMOUR.x...

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