Download - JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE …...Anne-Marie Aubin, Simon Gaudreault, Laurence Perreault, Joey Veilleux 4. 9 h 15 Effi aité d’une ordonnan e olle tive pour le traitement

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JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE

CLINIQUE ET DE L’ÉVALUATON DE LA QUALITÉ DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

DÉPARTEMENT DE MÉDECINE DE FAMILLE ET DE MÉDECINE D’URGENCE FACULTÉ DE MÉDECINE ET DES SCIENCES DE LA SANTÉ

UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE

AMPHITHÉÂTRE FM-6214

UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE

30 MAI 2014

H O R AIR E DE LA J O UR NÉE ANN UELLE DE L A R EC H ERC H E C LIN IQ UE

ET DE L’ ÉV ALUAT IO N DE LA Q UALIT É DE L’ EXER C IC E PR O FESSIO NNEL

V e n d r e d i 3 0 m a i 2 0 1 4

A V A N T - M I D I

7 h 30 Accueil - Inscription (À l’entrée du local FM-6214)

CAFÉ SERVI

8 h 00 Introduction et mot de bienvenue Dre Diane Poirier, directrice scientifique

Journée de la recherche clinique 2014

8 h 05 Présentation : « Réseau de recherche en milieu clinique ou PBRN 101 » Pre Marie-Claude Beaulieu

UMF Estrie

8 h 15 L’écart entre les connaissances et les pratiques : Constat et développement d’un programme de recherche en santé mentale des populations

Pre Pasquale Roberge

Groupe de recherche PRIMUS, CR-CHUS

PROJETS DE RECHERCHE (Présentation 12 min. + questions 3 min.)

Local FM-6214

1. 8 h 30 Le désintérêt des résidents en médecine de famille pour le suivi à domicile UMF Estrie Rébecca Arseneau et Charles-Olivier Audet

2. 8 h 45 L’application du score de WATUR pour évaluer l’indication des uroscans à l’urgence de l’Hôpital Charles-LeMoyne : une étude rétrospective

Urgence Charles-LeMoyne David Bacon, Lysanne Bellefeuille, Isabelle Casgrain, Jodiane Lapointe-Girard

3. 9 h 00 L’intubation endotrachéale digitale avec bougie UMF Chicoutimi Anne-Marie Aubin, Simon Gaudreault, Laurence Perreault, Joey Veilleux

4. 9 h 15 Efficacité d’une ordonnance collective pour le traitement de l’asthme UMF Estrie / Urgence Nicole Desforges, Chantal Ferré, Christine Robin

5. 9 h 30 La « SUPER » pilule : prescrire ou ne pas prescrire l’exercice? UMF du Grand Moncton Edith Couturier, Natacha Dion, Vanessa Girouard, Jessy Phillips

9 h 45 PAUSE (JUS – EAU – CAFÉ) AU FM-6214 (à l’entrée)

PROJETS D’ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL (Présentation 12 min. + questions 3 min.)

6. 10 h 15 Don de cornée : qu’est-il arrivé depuis 2010? UMF Richelieu-Yamaska Charlie Benoît, Élise Royer-Perron, Catherine Tétreault

7. 10 h 30 La grossesse et la vaccination contre l’influenza UMF Estrie Roxanne Gosselin, Karen Keryakes, Émilie Trahan

8. 10 h 45 Le traitement de l’ostéoporose fracturaire au Centre hospitalier de Rouyn-Noranda UMF Rouyn-Noranda Michelle Garant, Marie-Line Lemieux, Andréa Lemire

9. 11 h 00 Quand les pieds te craquent, vite une radio! Urgence Sherbrooke Élyse Allard, Karine Deslandes

10. 11 h 15 Évaluation de l’acte médical sur les indications et l’utilisation des IECA ou ARA chez les diabétiques

UMF Estrie Karyne Arsenault, Harry Duroseau, Jia Zheng

11. 11 h 30 Êtes-vous tombés sur la tête? UMF Chicoutimi Jean-Michel Baucicot, Myriam Berry, Benoît Bhérer-Simard, Marie-Michèle Duplain-Otis, Philippe Guevremont

11 h 45 LUNCH servi au local : Z7-1309 / Z7-1317 / Z7-1319 (Z7-3515 / Z7-3512 : tables supplémentaires, si mauvais temps)

H O R AIR E DE LA J O UR NÉE ANN UELLE DE L A R EC H ERC H E C LIN IQ UE

ET DE L’ ÉV ALUAT IO N DE LA Q UALIT É DE L’ EXER C IC E PR O FESSIO NNEL

V e n d r e d i 3 0 m a i 2 0 1 4

A P R È S - M I D I

PROJETS AFFICHE (Présentation aux juges 12 min. + questions 3 min.) – Parcours libre pour les autres participants

Z7-3515 et Z7-3512

12. 12 h 45 Délai d’administration des antibiotiques chez les patients avec méningite qui se présentent à l’urgence de l’Hôpital Charles-LeMoyne

UMF Charles-LeMoyne Sophie Carrière, Mélina Desbois, Kim Lambert-Gauthier, Marylène Quesnel, Maxim Régimbal-Éthier

13. 13 h 00 Rôle du médecin de famille dans le suivi des patients avec antécédent récent d’une infection à Chlamydia Trachomatis

UMF du Grand Moncton Evelyn Alarcon Chinchilla, Jocelyn Cormier, Chantal Gallant, Diana Garcia

14. 13 h 15 La santé psychologique des résidents en médecine familiale à l’Université de Sherbrooke : une exploration du niveau de bien-être et des facteurs de stress

UMF Charles-LeMoyne Maria Dellerba, Vanessa Purcell Lévesque, Catherine Veillette

15. 13 h 30 Prévention de l’alloimmunisation foeto-maternelle Rh à l’urgence UMF Alma Joey Cloutier, Mathieu Maltais, Dominik Melhem, Roxanne Thibodeau, Ana Cecilia Farfan Ruiz

16. 13 h 45 L’évaluation du délai entre l’arrivée d’un patient avec une altération de l’état de conscience et la prise de la première glycémie à l’urgence de l’Hôpital Charles-LeMoyne

UMF Charles-LeMoyne Sarah Emmanuelle Daoust, Audrey Rochon, Vicky St-Jacques

17. 14 h 00 L’index de choc, une association avec certains indicateurs de sévérité en milieu hospitalier et ses applications potentielles

UMF Richelieu-Yamaska Anne-Isabelle Dionne, Gabriel Gosselin, Renée-Anne Patenaude-Blais, Marie-Ève Pelletier

18. 14 h 15 Les attentes des médecins d’une UMF envers le dossier médical électronique UMF Charles-LeMoyne Jean-Sébastien Henry-Lebel, Marie-Agnès Chan

14 h 30 DÉPLACEMENT LOCAL FM-6214

PROJETS D’ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL (Présentation 12 min. + questions 3 min.)

Local FM-6214

19. 14 h 45 Dépistage de l’anévrisme de l’aorte abdominale chez les hommes de 65 à 75 ans UMF Estrie Svetlana Gromova, Martin Lafrance, Ming Kun Sun, Caroline Thibodeau

20. 15 h 00 Dépistage de l’embonpoint et de l’obésité UMF du Grand Moncton Stéphane Bastarache, Julien Dupuis, Tania Harquail, Mark Wait, Stéphanie Ward

21. 15 h 15 La gestion de la douleur dans les fractures pédiatriques déplacées ou chirurgicales des os longs au département de médecine d’urgence de l’Hôpital de Chicoutimi

Urgence Chicoutimi Caroline Dupont-Dorais, Andrée-Anne Corneau Tousignant, Danny Maltais

22. 15 h 30 L’évaluation de l’investigation et de la prise en charge initiale de l’hypertension de novo UMF Estrie Gabrielle Maher-Laporte, Yves-Stéphane Noah, Renée Thériault

23. 15 h 45 La douleur pédiatrique à l’urgence : un défi à relever UMF Cowansville Marie-Ève Guévin, Aizhen Jade Lefebvre, Judith Lafrance, Joannie Sanche

16 h 00 CONCLUSION Dre Luce Pélissier-Simard, directrice du programme de résidence en médecine de famille

16 h 10 Mot de la fin et quelques mots sur la recherche Dre Diane Poirier, directrice scientifique

Journée de la recherche 2014

16 h 15 REMISE DES CERTIFICATS

REMERCIEMENTS

LE DÉPARTEMENT DE MÉDECINE DE FAMILLE ET DE MÉDECINE

D’URGENCE TIENT À REMERCIER LES MEMBRES DU JURY POUR LEUR

PARTICIPATION :

• Pre Catherine Hudon, UMF Chicoutimi

• Pr Alain Vanasse, UMF Estrie

• Guy Bertin Tcheumi, R2, UMF Chicoutimi

• Marjolaine Talbot-Lemaire, R2 UMF Moncton

JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE

ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS

PROJET DE RECHERCHE

PRÉSENTATION NO :

TITRE :

Faib

le

Dan

s la

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nn

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Exce

pti

on

nel

sult

ats

(usa

ge

déc

imal

es

enco

ura

gé)

1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5

2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5

3. Justification pertinente pour la médecine familiale

1 … 3 … 5 /5

4.

Méthodologie appropriée

4.1 Dispositif de recherche approprié 4.2 Échantillon adéquat (taille de l’échantillon, recrutement, représentativité, saturation…) 4.3 Collecte des données appropriée (qualité des mesures, source d’information, complet…) 4.4 Plan d’analyses adéquat

1

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1

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3

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3

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5.

6.

Présentation des résultats

Éthiques (approbation s’il y a lieu, respects des principes d’éthique de la recherche)

1

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7. Discussion 2 … 6 … 10 /10

8. Conclusion qui répond à la question et qui est congruente avec la méthode

1 … 3 … 5 /5

9. Qualité de la présentation (compréhensibilité, utilité du support visuel, respect du temps)

1 … 3 … 5 /5

10. Qualité des réponses aux questions 1 … 3 … 5 /5

11. Originalité 1 … 3 … 5 /5

12. Implication des résidents (contribution relative des résidents, reconnaissance de contributions antérieures, degré de difficulté, autonomie, apprentissage, etc.)

2 … 6 … 10 /10

TOTAL :

/85

Commentaires :

Initiales :

JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE

ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS

ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

PRÉSENTATION NO : TITRE :

Faib

le

Dan

s la

m

oye

nn

e

Exce

pti

on

nel

sult

ats

(usa

ge

déc

imal

es

enco

ura

gé)

1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5

2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5

3.

4.

Méthodologie appropriée

Échantillon adéquat (recrutement, taille de

l’échantillon, représentativité, etc.)

1

1

3

3

5

5

/5

/5

5. Pertinence des critères

(ex : inclusion/exclusion, conformité/non-conformité)

1 … 3 … 5 /5

6. Présentation des résultats 1 … 3 … 5 /5

7. Discussion 1 … 3 … 5 /5

8. Retombées du projet : (recommandations vs

évaluation des changements de pratique)

2 … 6 … 10 /10

9. Qualité de la présentation (compréhensibilité,

utilité du support visuel, respect du temps)

1 … 3 … 5 /5

10. Qualité des réponses aux questions 1 … 3 … 5 /5

11. Originalité 1 … 3 … 5 /5

12. Implication des résidents (contribution relative des

résidents, reconnaissance de contributions

antérieures, degré de difficulté, autonomie,

apprentissage, etc.)

2 … 6 … 10 /10

TOTAL :

/70

Commentaires :

Initiales :

JOURNÉE ANNUELLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE

ÉVALUATION DES PRÉSENTATIONS

AFFICHES

PRÉSENTATION NO : TITRE :

Faib

le

Dan

s la

mo

yen

ne

Exce

pti

on

nel

sult

ats

(usa

ge

déc

imal

es

enco

ura

gé)

1. Qualité du résumé 1 … 3 … 5 /5

2. Question de recherche ou objectifs bien définis 1 … 3 … 5 /5

3.

4.

Méthodologie appropriée

Échantillon adéquat (recrutement, taille de l’échantillon,

représentativité, etc.)

1

1

3

3

5

5

/5

/5

5. Pertinence des critères

(ex : inclusion/exclusion, conformité/non-conformité)

1 … 3 … 5 /5

6. Présentation des résultats 1 … 3 … 5 /5

7. Discussion 1 … 3 … 5 /5

8. Retombées du projet : (recommandations vs évaluation

des changements de pratique)

2 … 6 … 10 /10

9. Qualité de la présentation (compréhensibilité,

utilité du support visuel, respect du temps)

1 … 3 … 5 /5

Qualité des réponses aux questions

Originalité

1 … 3 … 5 /5

1 … 3 … 5 /5

10. Implication des résidents (degré de difficulté,

autonomie, apprentissage, etc.)

2 … 6 … 10 /10

TOTAL : /70

Commentaires :

Initiales :

JOURNÉE ANNUELLE DE LA

RECHERCHE CLINIQUE

VENDREDI 30 MAI 2014

RÉSUMÉ

DES

PRÉSENTATIONS

TI TRE 1 Le désintérêt des résidents en médecine de famille pour le suivi à domicile

PRÉSEN TATEU RS Rébecca Arseneau et Charles-Olivier Audet

AU TEURS Rébecca Arseneau et Charles-Olivier Audet

SU PERVI SEU RS Pre Isabelle Gaboury et Pr François Aubry

UMF Estrie

Objectifs

Notre étude vise à identifier les causes relatives à la formation et à la pratique des résidents en médecine de famille qui

peuvent expliquer le désintérêt pour le soin à domicile.

Méthode

Nous avons réalisé des entrevues avec 10 résidents en médecine de famille d’une UMF du Québec. Nous avons suivi un

devis qualitatif. La structure thématique de l’entrevue se déployait autour de trois objets centraux : 1) la perception du

suivi à domicile et l’intérêt des résidents pour cette pratique, 2) les causes formatives et 3) les causes relatives à la

pratique médicale et l’organisation du travail expliquant l’intérêt ou le désintérêt pour le suivi.

Résultats

Nos résultats montrent une perte brutale de l’intérêt pour le suivi à domicile chez les résidents consécutivement à la

première expérience du suivi. Le désintérêt provient de deux causes majeures. La première est la difficulté pour les

résidents de respecter le principe de soins centrés sur le patient. La seconde est le fait de devoir gérer trop de tâches

jugées de gestion ou propres au rôle de l’infirmière, conduisant à un sentiment d’inefficacité à réaliser des actes

médicaux utiles pour les patients.

Conclusion

Nos résultats suggèrent qu’une piste à explorer pour accroitre l’intérêt des résidents pour le suivi à domicile est le

développement d’une collaboration interprofessionnelle entre les différents professionnels dans le contexte domiciliaire

de la personne, soit le médecin, l’infirmière, le gestionnaire de cas, etc. pour permettre une meilleure centration des

pratiques médicales.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 2 L’application du score de WATUR pour évaluer l’indication des uroscans à

l’urgence de l’hôpital Charles-LeMoyne : une étude rétrospective

PRÉSEN TATEU RS Dre Lysanne Bellefeuille et Dre Isabelle Casgrain

AU TEURS Dr David Bacon, Dre Lysanne Bellefeuille, Dre Isabelle Casgrain, Dre Jodiane

Lapointe-Girard

SU PERVI SEU RS Pr Laurent Vanier

Urgence Charles-LeMoyne

Objectifs

Comme la plupart des urolithiases sont excrétées spontanément et que le nombre de diagnostics alternatifs urgents découverts à l’uroscan est faible, nous nous sommes questionnés sur la pertinence d’effectuer cet examen chez tous les patients avec symptômes compatibles avec un diagnostic d’urolithiase. Dans un souci d’ordre économique, de meilleure gestion des ressources ainsi que de diminution des doses d’irradiation, nous avons voulu évaluer l’applicabilité du score de WATUR (White count, Abdominal pain Temperature, Urine Red cells). Celui-ci permettrait de réduire le nombre d’uroscans chez les patients avec des signes fortement suggestifs de colique néphrétique.

Méthode

Nous avons mené une étude rétrospective sur des patients qui avaient consulté à l’urgence de l’Hôpital Charles LeMoyne en 2012 et qui avaient subi une TDM abdominale sans injection de produit de contraste pour évaluer la possibilité d’urolithias. Leur score de WATUR a été déterminé et nous avons tenté d’établir un lien entre celui-ci et la possibilité de diagnostic urgent.

Résultats

Sur les 200 patients (hommes : 55 %; âge moyen 49 ans), 44 (22 %) ont obtenu un diagnostic urgent. La sensibilité et la spécificité du score de WATUR étaient respectivement de 34.1 % et84.0 % pour un score de supérieur ou égale à 2. Des analyses par sous-groupes selon l’âge, les antécédents de lithiases des résultats similaires non contributifs.

Conclusion

Le score de WATUR ne permettait pas d’identifier de façon efficace les patients ayant un risque plus élevé de diagnostic urgent à l’Hôpital Charles LeMoyne.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 3 L’intubation endotrachéale digitale avec bougie

PRÉSEN TATEU RS Anne-Marie Aubin & Simon Gaudreault

AU TEURS Anne-Marie Aubin, Simon Gaudreault, Laurence Perreault, Joey Veilleux

SU PERVI SEU RS Pr Sébastien Lefebvre, Pr Julien Bouchard, Pr Tarek Bouhali

UMF Chicoutimi

Objectifs

• Évaluer le taux et le temps de succès de la technique de l’intubation digitale avec bougie

• Déterminer si une courte formation est suffisante pour l’apprentissage de celle-ci

• Encourager l’utilisation future de cette technique dans les situations où les techniques standard ont échoué

Méthode • Revue littérature structurée : PubMed, DynaMed & livres référence

• Devis : étude observationnelle

• Population visée : médecins, résidents et externes travaillant à l’urgence au CSSS de Chicoutimi

• Période : 6 septembre 2013 – 8 octobre 2013

• Expérimentation en 3 parties : o Visionnement d’un vidéo de formation standardisé o Pratique de la technique sur mannequins puis évaluation de la réussite/échec

▪ 3 mannequins différents/participant ; 1 essai/mannequin ; 45 s/essai o Gradation de l’appréciation de la formation par les participants

• Données compilées sur grille préalablement validée

o Compilation avec logiciel SPSS ; analyse descriptive

Résultats • 51 participants (taux participation : 37,5 %)

• Taux de succès : 68,3 % (99 intubations endotrachéales/145 essais) o 89 % de succès sur au moins 1/3 essai

• Temps moyen de succès : 28,5 s (20,4-36,6 s)

• Satisfaction globale de la formation : 88,5 % o 8,8/10 pour la durée et 8,9/10 pour le contenu

• Utilisation ultérieure considérée chez 80,4 % des participants et (93,3 % des médecins d’urgence)

Conclusion • Taux de succès intéressant pour technique alternative d’intubation

• Réalisée dans délais acceptables (28,9 s)

• Devrait faire partie de l’arsenal de tout médecin d’urgence

• Courte formation standardisée suffisante pour l’apprentissage

• Impact réel sur formation médicale au CSSS de Chicoutimi

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 4 Efficacité d'une ordonnance collective pour le traitement de l'asthme

PRÉSEN TATEU RS Nicole Desforges

AU TEURS Nicole Desforges R2, Chantal Ferré R3, Christine Robin R3

SU PERVI SEU RS Pr Jean-François Deshaies

Urgence Sherbrooke

Objectifs

Évaluer si la mise en place d’une ordonnance collective pour le traitement de l’asthme diminue les durées de séjour à l’urgence chez les patients non admis. Secondairement, nous évaluerons le temps avant l’amélioration, le besoin d’hospitalisation et les revisites à l’urgence.

Méthode

Une étude des dossiers pré et post mise en place de l’ordonnance collective sera faite avec 50 % de part et d’autre. À noter que l’ordonnance collective est en processus d’approbation et celle-ci est indépendante au projet de recherche.

Résultats

Nous anticipons démontrer une diminution de la durée de séjour et du temps avant amélioration.

Conclusion

Le temps passé dans la salle d’attente ou sur civière en attente de voir un médecin est de plus en plus long et il est pour l’instant difficile d’y voir une solution à court terme. Sachant que le délai pour recevoir un corticostéroïde plus court peut influencer sur l’évolution de la crise et diminuer les taux d’hospitalisation, il apparaît important d’essayer de raccourcir ce temps. La période d’attente avant de voir le médecin est la variable la plus longue et donc si nous pouvons intervenir dans cette fenêtre, les gains seraient encore plus appréciables. Comme ce sont les gens les moins malades qui attendent le plus longtemps, c’est probablement dans cette clientèle que l’ordonnance collective pourrait faire une différence.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 5 La « SUPER » pilule : prescrire ou ne pas prescrire l’exercice ?

PRÉSEN TATEU RS Edith Couturier, Natacha Dion, Vanessa Girouard, Jessy Phillips

AU TEURS Edith Couturier, Natacha Dion Vanessa Girouard, Jessy Phillips

SU PERVI SEU RS Pr André Barrieau, Pr Mathieu Bélanger, Mme Cécile Howard

UMF du Grand Moncton

Objectifs

Des études démontrent que même si la plupart des médecins reconnaissent que l’exercice physique (EP) est associé à plusieurs bienfaits thérapeutiques, peu de médecins en prescrivent. Le but était donc d’identifier des moyens d’inclure la prescription régulière de l’exercice physique dans la pratique en médecine de famille.

Méthode

Cette étude à devis mixte a permis de contraster les expériences et perceptions de médecins qui utilisent couramment la prescription écrite de l’EP comme option thérapeutique à celles de médecins qui ne l’utilisent pas. Tous les médecins francophones du Nouveau-Brunswick ont été invités à remplir un questionnaire en ligne pour mesurer leurs habitudes de prescriptions d’EP. De ces questionnaires, des médecins en phase pré-contemplation et d’autres en phase action, ont été identifiés et invités à passer une entrevue semi-dirigée. Une analyse thématique des verbatim a permis d’identifier des facteurs associés à chaque groupe ainsi que des solutions pour favoriser l’utilisation de la prescription d’EP.

Résultats

Les principaux thèmes associés à la prescription d’EP dans les groupes action et pré-contemplation ont été les suivants : barrières, solutions, avantages, population visée et comportement des médecins. Dans les deux groupes, le facteur temps ne semblait pas être une barrière significative. Certains médecins du groupe action ont adopté des méthodes qui facilitent la prescription écrite d’EP. Tous les médecins du groupe action et la majorité de ceux en pré-contemplation, perçoivent les avantages que pourrait avoir cette pratique.

Conclusion

Des facteurs tels que l’utilisation d’une prescription standardisée, pouvant être rapidement remplie de façon personnalisée selon le patient, affiche et promotion auprès des médecins pourraient faciliter l’adoption d’une pratique incluant régulièrement la prescription écrite d’EP.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 6 Don de cornée : qu’est-il arrivé depuis 2010?

PRÉSEN TATEU RS Charlie Benoit, Élise Royer-Perron et Catherine Tétreault

AU TEURS Charlie Benoit, Élise Royer-Perron et Catherine Tétreault

SU PERVI SEU RS Pre Diane Poirier

UMF Richelieu-Yamaska

Objectifs

Évaluer l'impact de l'implantation du Formulaire d'identification de donneurs potentiels de cornée sur le nombre de dons de cornée au CSSS RY en 2012 par rapport au nombre de donneurs potentiels. Secondairement, évaluer les obstacles au don de cornée.

Méthode

Étude des dossiers des patients décédés à l’Hôpital Honoré-Mercier entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2012.

Résultats

Le Formulaire d'identification de donneurs potentiels de cornée n’a pas permis d’accroître significativement le nombre de don de cornée au CSSS RY.

Conclusion

Signez don!

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 7 La grossesse et la vaccination contre influenza

PRÉSEN TATEU RS Roxanne Gosselin, Karen Keryakes, Émilie Trahan

AU TEURS Roxanne Gosselin, Karen Keryakes, Émilie Trahan

SU PERVI SEU RS Pre Stéphanie Allard, Pre Mélanie Béliveau

UMF Estrie

Objectifs

C’est un projet qualité de l’acte dans le CSSS IUSG CLSC des Deux-Rives, nous évaluons si les médecins, les résidents et les infirmières offrent la vaccination de l’influenza aux femmes enceintes à leur 2e et 3e trimestre de grossesse.

Méthode

Nous analysons 200 dossiers du CLSC de King Est et de Lennoxville, 100 dossiers 2011-2012 et 100 dossiers 2012-2013.

Nous incluons les femmes enceintes au 2e et 3e trimestre dans la période grippale du 15 novembre au 1er avril.

Ensuite, nous analysons les dossiers en fonction d’une grille d’analyse pour permettre d’évaluer si ses femmes ont été vaccinées.

Résultats

On a seulement des résultats préliminaires.

Conclusion

Nous réalisons que les femmes enceintes sont peu vaccinées malgré que les recommandations l’exigent.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 8 Le traitement de l’ostéoporose fracturaire au Centre hospitalier de Rouyn-

Noranda

PRÉSEN TATEU RS Michelle Garant, Marie-Line Lemieux, Andréa Lemire

AU TEURS Michelle Garant, Marie-Line Lemieux, Andréa Lemire

SU PERVI SEU RS Dre Alexandra Cayer

UMF Rouyn-Noranda

Objectifs

Cette étude s’inscrit dans un cadre d’évaluation de la qualité de l’acte. Elle vise à vérifier si les recommandations

actuelles concernant le traitement de l’ostéoporose fracturaire avec les bisphosphonates sont respectées au Centre

hospitalier de Rouyn-Noranda (CHRN).

Méthode

Quatre-vingt-quatre (84) dossiers de patients hospitalisés en courte durée au CHRN entre novembre 2010 et septembre 2013 ont été analysés. Les patients devaient être âgés d’au moins 18 ans et devaient présenter une fracture ostéoporotique active inscrite sur la feuille sommaire. Les critères d’exception étaient la présence d’une contre-indication aux bisphosphonates, le refus du patient et la recommandation au médecin de famille d’évaluer le traitement en externe. De l’étude étaient exclus les patients en soins palliatifs ou en soins de confort (NIT E), ceux avec suspicion de fracture pathologique, ceux dont le traumatisme ayant causé la fracture étaient considérés comme « non-mineur » ainsi que les cas de décès per hospitalisation.

Résultats

Sur un total de 50 patients inclus dans l’analyse, six (6) ont été considérés des cas d’exception et ont été exclus du calcul

du taux de conformité. Ainsi, 19 patients sur 44 (43,2 %) ont bénéficié d’une conduite clinique

conforme aux lignes directrices d’Ostéoporose Canada de 2010.

Conclusion

Au CHRN, le taux de prescription de bisphosphonates pour les patients atteints d’ostéoporose fracturaire est sous

optimal, mais similaire à celui décrit dans la littérature. Des mesures d’incitation permettant de reconnaître cette

pathologie et de la traiter dans les cas opportuns afin de prévenir de nouvelles fractures sont fortement recommandées.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 9 Quand les pieds te craquent, vite une radio!

PRÉSEN TATEU RS Élyse Allard et Karine Deslandes

AU TEURS Élyse Allard et Karine Deslandes

SU PERVI SEU RS Pr Jean-François Deshaies

Urgence Sherbrooke

Objectifs

• Évaluer l’application de l’ordonnance collective

• Évaluer son efficacité

• Émettre des recommandations pour l’amélioration de son exécution

Méthode

• Étude rétrospective des dossiers avant et après la mise en place de l’ordonnance collective

• Grille d’analyse

• Étude pilote

• Évaluation au triage de l’ordonnance collective

Résultats

À venir

Conclusion

À venir

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 10 Évaluation de l’acte médical sur les indications et l’utilisation des IECA ou ARA

chez les diabétiques

PRÉSEN TATEU RS Karyne Arsenault, Harry Duroseau, Jia Zheng

AU TEURS Karyne Arsenault, Harry Duroseau, Jia Zheng

SU PERVI SEU RS Pre Geneviève Turcotte et Pre Mariline Lupien St-Pierre

UMF Estrie

Objectifs

Évaluer l’utilisation des IECA ou ARA chez les diabétiques selon les lignes directrices canadiennes.

Méthode

Étude rétrospective des dossiers médicaux d’un échantillon de la population diabétique adulte inscrite au GMF des

Deux-Rives.

Résultats

43 % de conformité aux lignes directrices canadienne.

Conclusion

Nous recommandons de porter davantage attention aux facteurs jugés à haut risque d’évènement cardiovasculaire,

surtout en ce qui concerne l’âge.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 11 Êtes-vous tombés sur la tête?

PRÉSEN TATEU RS Jean-Michel Baucicot, Myriam Berry, Benoît Bhérer-Simard, Marie-Michèle

Duplain-Otis, Philippe Guevremont

AU TEURS Jean-Michel Baucicot, Myriam Berry, Benoît Bhérer-Simard, Marie-Michèle

Duplain-Otis, Philippe Guevremont

SU PERVI SEU RS Pre Andrea Lessard et Mme Mylène Levesque

UMF Chicoutimi

Objectifs

Évaluer si la prescription d’imagerie cérébrale par tomodensitométrie cérébrale (TDM), chez les patients de 16 et plus

subissant un traumatisme cranio-cérébral léger (TCCL) et évalué par les médecins de l’urgence du CSSS de Chicoutimi,

répond aux normes énoncées par l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS).

Méthode

L’évaluation de la qualité de l’acte a été faite grâce à une analyse rétrospective d’environ 200 dossiers récents

présentant un diagnostic de TCCL (ou diagnostic connexe) chez les patients de 16 ans et plus s’étant présentés à

l’urgence du CSSS de Chicoutimi entre octobre 2013 et janvier 2014. L’objectif était d’inclure 100 dossiers de patients

ayant subi un TCCL selon les critères de l’INESSS. Les patients sous anticoagulant, ceux ayant consommé de

l’alcool/drogues et les patients ayant un dossier illisible étaient exclus.

Résultats

Environ 90 dossiers ont été inclus sur 164 analysés. Les résultats préliminaires sont les suivants : sur les 56 TDM faits, 28

ont été faits de façon non conforme (50 %). Alors que parmi les 34 dossiers où un TDM n’a pas été fait, tous sont

conformes aux critères de l’INESSS.

Conclusion

Comme attendu, si la tendance se maintient, les urgentistes ont tendance à prescrire davantage de TDM que le suggère

l’INESSS. Il semble qu’il y aurait lieu de procéder à une application plus rigoureuse des critères de l’INESS afin de réduire

l’irradiation indue chez certains patients.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 12 Délai d’administration des antibiotiques chez les patients avec méningite qui se

présentent à l’urgence de l’Hôpital Charles-Lemoyne

PRÉSEN TATEU RS Sophie Carrière, Mélina Desbois, Kim Lambert-Gauthier, Marylène Quesnel,

Maxim Régimbal-Éthier

AU TEURS Sophie Carrière, Mélina Desbois, Kim Lambert-Gauthier, Marylène Quesnel,

Maxim Régimbal-Éthier

SU PERVI SEU RS Pr Mathieu Turcotte-Lagacé, Pr Laurent Vanier

UMF Charles-LeMoyne

Objectifs PRIMAIRE :

Déterminer le temps écoulé entre l'arrivée du patient à l'urgence (heure du triage) et le début de l’administration de la première dose d’antibiotique à l’urgence chez les patients avec diagnostic de méningite bactérienne ou virale.

SECONDAIRE :

1) Établir la séquence d’investigation et de traitement (ponction lombaire, l’imagerie cérébrale et la prescription

d’antibiotiques)

2) Déterminer le délai entre la première visite médicale d’un patient avec méningite (heure à laquelle le patient a été

évalué par l’urgentologue) et le début de l’administration de la première dose d’antibiotique à l’urgence.

Méthode Notre projet de l’évaluation de la qualité de l’acte se veut une évaluation rétrospective par revue de dossiers basée sur

le diagnostic d’admission de méningite selon des critères implicites chez des patients de plus d’un mois du 1er juillet

2002 au 30 juin 2012.

Résultats Le temps écoulé entre l’arrivée du patient à l’urgence (heure du triage) et le début d’administration de la première dose

d’antibiotique à l’urgence correspond à une moyenne de 4 h 07 avec une médiane de 3 h 28.

Quant au temps écoulé entre la première visite médicale d’un patient avec diagnostic de méningite ou d’encéphalite

(heure à laquelle le patient a été évalué par l’urgentologue) et le début d’administration de la première dose

d’antibiotique correspond à une moyenne de 3 h 02 avec une médiane de 1 h 28.

Également, on remarque que l’investigation a retardé la prescription d’antibiotiques chez 61 % des patients.

Conclusion Plus de la moitié des patients ont eu un traitement antibiotique débuté en moins de 4 heures. Il n’en demeure pas

moins que la séquence n’est pas respectée dans la majorité des cas; l’optimisation de cette dernière pourrait

définitivement améliorer l’issu des patients.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 13 Rôle du médecin de famille dans le suivi des patients avec antécédent récent

d'une infection à Chlamydia Trachomatis

PRÉSEN TATEU RS Jocelyn Cormier

AU TEURS Evelyn Alarcon Chinchilla, Jocelyn Cormier, Chantal Gallant, Diana Garcia

SU PERVI SEU RS

Pre Jalila Jbilou

En collaboration avec André Barrieau, Mathieu Bélanger et Cécile Howard

UMF du Grand Moncton

Objectifs

Évaluer la pratique médicale à l’UMF-Dieppe de la recommandation niveau A établie par Santé Canada traitant du re-

dépistage de la chlamydiose génitale (CT) 6 mois après un épisode confirmé.

Méthode

Deux questionnaires furent administrés aux médecins de l’UMF-Dieppe. Dans le premier, les pratiques courantes et les

connaissances de la recommandation ont été explorées. Le deuxième questionnaire sollicitait les médecins à suggérer

des pistes et des stratégies de support d’information, sensibilisation et adhésion à la recommandation.

Résultats

Un taux de réponse de 73,33 % au premier questionnaire stipulait que 9 % des médecins répondants connaissaient cette

recommandation. Ils estiment que 12,7 % de leur clientèle a été re-dépistée pour l’infection à CT. Selon eux, il serait

justifié de re-dépister jusqu’à 58,2 % des patients atteints. En deuxième temps, 36 % des répondants confondaient « Re-

dépistage » avec « Test of cure ». Parmi les réponses obtenues : l’obligation du médecin d’informer adéquatement et de

responsabiliser leurs patients, l’application d’un système de rappel via diverses méthodes et par fixation d’un rendez-

vous pour le re-dépistage lors de la première rencontre.

Conclusion

La majorité des médecins de famille ne connaissent pas la recommandation. Il semble exister une certaine confusion

avec le « Test of cure ». Deux éléments importants sont revenus sur nos sondages : l’éducation et la responsabilisation

du patient et la création d’un système de rappel. L’intégration des infirmières dans le suivi de patients atteints d’une

infection à CT pourrait s’avérer également très utile à l’UMF. Des méthodes d’auto-prélèvement à domicile seraient des

possibilités à explorer dans un futur.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 14 La santé psychologique des résidents en médecine familiale à l’Université de

Sherbrooke : une exploration du niveau de bien-être et des facteurs de stress.

PRÉSEN TATEU RS Maria Dellerba, Vanessa Purcell Lévesque, Catherine Veillette

AU TEURS Maria Dellerba, Vanessa Purcell Lévesque, Catherine Veillette

SU PERVI SEU RS Pre Louise Champagne, Pre Yanouchka Labrousse, Pre Christine Loignon

UMF Charles-LeMoyne

Objectifs

1. Explorer la santé psychologique soit le bien-être et le stress, des résidents en médecine familiale de l’Université de Sherbrooke.

2. Explorer les facteurs de stress perçus par les résidents.

Méthode

Les résidents ont été invités à participer par courriel à un questionnaire électronique de type ‘Survey Monkey’. Ensuite, une analyse statistique des résultats a été effectuée.

Résultats

83 % des résidents ont obtenu un score correspondant à un état de bien-être. Les cinq facteurs de stress les plus importants sont : la nécessité de négocier les PREMS, l’incertitude par rapport au futur professionnel, la charge de travail, le manque de sommeil et le maintien des connaissances à jour.

Conclusion

Les résultats concordent avec la littérature consultée. Ce projet pourrait mener à une étude qualitative de type ‘focus group’. Les résultats seront partagés avec la FMRQ et la faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke, afin de les sensibiliser à la réalité de la résidence en médecine familiale. Cela pourra donner lieu à l’organisation d’ateliers de formation sur la gestion du stress et de la pratique future.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 15 Prévention de l'alloimmunisation foeto-maternelle Rh à l'urgence.

PRÉSEN TATEU RS Joey Cloutier, Mathieu Maltais, Dominik Melhem et Ana Cecilia Farfan Ruiz

AU TEURS Joey Cloutier, Mathieu Maltais, Dominik Melhem, Roxanne Thibodeau et Ana

Cecilia Farfan Ruiz

SU PERVI SEU RS Pr Mario Brisson et Pr Philippe Villemure

UMF Alma

Objectifs

1. Vérifier si le traitement prophylactique anti-D a été donné lorsqu’indiqué à l’urgence.

2. Déterminer si la recherche du groupe sanguin a été effectuée lorsqu’une patiente se présente la première fois à

l’urgence pour menace d’avortement, avortement spontané, grossesse extra-utérine ou saignement utérin avec b-

HCG positif.

3. Vérifier si le médecin a inscrit le groupe sanguin de la patiente dans sa note médicale

4. Évaluer si l'administration d'anti-D chez les sujets rhésus négatif a été effectuée à l’urgence selon les doses

recommandées.

Méthode

La population étudiée représentait toutes les patientes ayant consulté à l’urgence de l’Hôpital d’Alma pour menace

d’avortement, avortement spontané, grossesse extra-utérine ou saignement utérin avec un b-HCG positif entre le 1er

janvier 2010 et le 30 avril 2013 inclusivement, selon la banque de données STAT-URG. La collecte de données s’est

divisée en plusieurs étapes : la recension des écrits utiles au sujet, l’identification d’une question clinique et des

objectifs, l’élaboration d’une grille de collecte de données, l’étude des dossiers sélectionnés via STAT-URG puis la saisie

des données avec le logiciel SPSS. Au total, 346 consultations à l’urgence répondant aux critères d’inclusion ont été

révisées et analysées. De celles-ci, 47 ont été exclues pour plusieurs raisons. Au terme du processus, l’échantillon final

comprenait 299 consultations à l’urgence.

Résultats

Les résultats seront présentés lors de la Journée annuelle de la recherche clinique et de l’évaluation de l’exercice

professionnel qui se tiendra le vendredi 30 mai 2014.

Conclusion

À venir

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 16

L'évaluation du délai entre l'arrivée d'un patient avec une altération de l'état de

conscience et la prise de la première glycémie à l'urgence de l'Hôpital Charles-

Lemoyne

PRÉSEN TATEU RS Sarah Emmanuelle Daoust, Audrey Rochon, Vicky St-Jacques

AU TEURS Sarah Emmanuelle Daoust, Audrey Rochon, Vicky St-Jacques

SU PERVI SEU RS Pr Frédéric Lemaire et Pr Laurent Vanier

UMF Charles-LeMoyne

Objectifs L’objectif principal du projet est d’évaluer le délai entre l’arrivée des patients se présentant avec une altération de l’état

de conscience à la salle de réanimation de l’Hôpital Charles-LeMoyne et la prise de la première glycémie capillaire.

Comme objectif secondaire, nous avons divisé les patients en différentes catégories selon leur mode de présentation

afin d’évaluer s’il y a des lacunes dans certains groupes de patients.

Méthode La sélection des patients s’est faite via une recherche dans le logiciel MedUrge en sélectionnant aléatoirement 15

patients dans les 7 catégories de plaintes suivantes : « inconscient ou altération de l’état de conscience ou confusion

aiguë avec altération de l’état de conscience », « céphalée et inconscient », « convulsions actives », « symptômes d’AVC

possibles/faiblesse des membres », « trauma crânien et inconscient ou trauma crânien et altération de l’état de

conscience », « surdosage et choc ou surdosage et inconscient » et « hypoglycémie et inconscient ». Une moyenne du

délai entre l’arrivée du patient et la prise de la glycémie a été faite et divisée en quatre catégories : glycémie < 5

minutes, entre 5 à 10 minutes, > 10 minutes et glycémie capillaire non faite.

Résultats Un total de 94 dossiers ont été retenus. 49 patients (55,1 %) ont eu une glycémie faite à la salle de réanimation. De ces

49 patients, la glycémie capillaire a été mesurée dans un délai de moins de 5 minutes chez 69,3 % des patients, de 5 à 10

minutes chez 16,3 % des patients et de plus de 10 minutes chez 14,2 % des patients. Au total, 16 patients (17,9 %) n’ont

eu aucune glycémie faite ni à la salle de réanimation, ni en pré-hospitalier. De ces 16 patients, 50 % faisait partie de la

catégorie trauma et altération de l’état de conscience.

Conclusion

Lorsque la glycémie est contrôlée chez les patients avec une altération de l’état de conscience, elle est faite rapidement

dans un délai moyen de 6,1 minutes avec 69,3 % des cas fait dans un délai de moins de 5 minutes. Toutefois, la valeur

obtenue par le préhospitalier n’est pas recontrôlée de façon systématique et il s’agit d’un test souvent omis dans les cas

de traumatisme.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 17 L’index de choc, une association avec certains indicateurs de sévérité en milieu

hospitalier et ses applications potentielles.

PRÉSEN TATEU RS Anne-Isabelle Dionne, Gabriel Gosselin, Renée-Anne Patenaude-Blais, Marie-Ève

Pelletier

AU TEURS Anne-Isabelle Dionne, Gabriel Gosselin, Renée-Anne Patenaude-Blais, Marie-Ève

Pelletier

SU PERVI SEU RS Pre Diane Poirier

UMF Richelieu-Yamaska

Objectifs

Établir une association entre l’index de choc (rapport entre la fréquence cardiaque et la tension artérielle systolique) à

l’urgence et la mortalité pendant le séjour hospitalier. Des indicateurs de performance ainsi que de sévérité sont aussi

analysés en fonction de ce paramètre.

Méthode

Il s’agit d`une étude rétrospective réalisée sur la période 2011 – 2012 à l`hôpital Honoré-Mercier. Les adultes admis via

l`urgence représentent la population à l’étude. Ont été exclus : les grossesses, les porteurs de stimulateurs cardiaques

implantables et les patients sous bêtabloquants ou bloquants des canaux calciques non-dihydropyridines. Un échantillon

aléatoire comptant 543 dossiers a été étudié. Les résultats ont été analysés à l’aide de tests non-paramétriques.

Résultats

Il existe une différence statistiquement significative entre la mortalité per-hospitalière des patients avec un index de

choc < 0,9 par rapport à ≥ 0,9 (p = 0,003). Il en va de même pour la durée de séjour totale à l’hôpital (10 jours par

rapport à 15 jours, p < 0,0001), l`admission aux soins intensifs (5,5 % par rapport à 21,9 %, p < 0,0001), l`administration

de vasopresseurs (0 % par rapport à 13,3 %, p < 0,0001), et l`utilisation de ventilation mécanique (0,68 % par rapport à

7,62 %, p = 0,00015).

Conclusion

Les résultats supportent un lien entre un index de choc ≥ 0,9 à l’urgence et certaines issues défavorables, dont la

mortalité. Il serait pertinent d`effectuer une étude prospective sur le sujet afin de valider l`utilisation de l`index de choc

au triage, dans divers contextes cliniques.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 18 Les attentes des médecins d’une UMF envers le dossier médical électronique

PRÉSEN TATEU RS Jean-Sébastien Henry-Lebel, Marie-Agnès Chan

AU TEURS Jean-Sébastien Henry-Lebel, Marie-Agnès Chan

SU PERVI SEU RS Pre Christine Loignon, Pre Élise Crête, Pre Yanouchka Labrousse

UMF Charles-LeMoyne

Objectifs

L’objectif primaire de notre étude est de décrire les attentes des médecins de famille d’un GMF envers l’utilisation du

DME qui sera implanté prochainement. L’objectif secondaire est de comparer l’écart, s’il existe, entre ces attentes et les

avantages ou inconvénients potentiellement réalisable tels que décrits dans la littérature.

Méthode

Cette étude repose sur un devis de recherche qualitative. Une revue de la littérature est d’abord réalisée afin de préciser

les impacts démontrés dans les études. Un groupe de discussion constitué de 6 médecins de famille faisant partie de la

phase de pré-implantation du DME est ensuite mené et transcrit intégralement. L’analyse thématique et systématisée

de cette transcription est effectuée afin de mettre en évidence les principales attentes des médecins et ensuite les

comparer aux impacts démontrés dans la littérature.

Résultats

Plusieurs attentes correspondent aux résultats documentés dans la littérature. En effet, les médecins et les études

s’entendent en général sur une prescription plus sécuritaire des médicaments, une perte initiale de productivité et sur

un gain d’efficacité à moyen terme. De plus, plusieurs médecins demeurent ambivalents envers la confidentialité du

DME, l’impact sur la relation patient-médecin, la communication et la surmédicalisation. Cette ambivalence est

également retrouvée dans la littérature où il existe peu de données ou encore ces dernières sont contradictoires. Par

contre, plusieurs médecins sous-estiment le niveau d’implication personnelle requise lors de l’implantation d’un DME et

plusieurs médecins s’attendent à avoir des outils d’aide à la décision clinique, qui ne sont pas encore intégrés aux DME

disponibles au Québec.

Conclusion

Plusieurs attentes des médecins concordent avec la littérature et semblent donc globalement réalistes. Les attentes qui

divergent de la littérature semblent influencées par un manque d’information sur le DME.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 19 Dépistage de l’anévrisme de l’aorte abdominale chez les hommes de 65 à 75 ans

PRÉSEN TATEU RS Svetlana Gromova, Martin Lafrance, Ming Kun Sun, Caroline Thibodeau

AU TEURS Svetlana Gromova, Martin Lafrance, Ming Kun Sun, Caroline Thibodeau

SU PERVI SEU RS Pr Karen Gallagher, Pre Annie Roberge

UMF Estrie

Objectifs

En 2009, l’Examen Médical Périodique (EMP) de la médecine de famille suggère au moins un dépistage par échographie

de l’anévrisme de l’aorte abdominale chez les hommes de 65 à 75 ans, ainsi que chez les hommes de moins de 65 ans

avec une histoire familiale positive. Par contre, quel est le pourcentage d’application de cette recommandation dans la

pratique médicale? Notre évaluation a pour but de déterminer ce pourcentage et de formuler ensuite des

recommandations pour améliorer l’adhérence au dépistage.

Méthode

Il s’agit d’une étude rétrospective par analyse de dossiers. Notre population est tout patient homme de 65 à 75 ans

ayant eu plusieurs visites médicales au GMF des Deux Rives. Un échantillon de 150 dossiers a été ensuite sélectionné au

hasard. Nous avons ensuite exclu les dossiers où l’anévrisme de l’aorte abdominale est déjà diagnostiqué avant 2010, les

dossiers où les imageries abdominales sont faites pour autres raisons que le dépistage, ainsi que ceux qui ont déjà un

diagnostic avant 65 ans. Au total, nous avons 121 dossiers conformes.

Résultats

Seulement 11 % de nos dossiers analysés sont conformes à la recommandation de l’EMP.

Conclusion

Suite à notre évaluation, nous pouvons conclure que très peu de médecins à notre GMF suivent la recommandation de

l’EMP concernant le dépistage de l’anévrisme de l’aorte abdominale. Les principales raisons soulevées sont : la

sursaturation du système de santé ne permettant pas un tel dépistage et le manque de conviction quant au coût-

efficacité du dépistage.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 20 Dépistage de l’embonpoint et de l’obésité

PRÉSEN TATEU RS Stéphane Bastarache, Julien Dupuis, Tania Harquail, Mark Wait, Stéphanie Ward

AU TEURS Stéphane Bastarache, Julien Dupuis, Tania Harquail, Mark Wait, Stéphanie Ward

SU PERVI SEU RS

Pre Jalila Jbilou

En collaboration avec Pr André Barrieau, Pr Mathieu Bélanger et Mme Cécile Howard

UMF du Grand Moncton

Objectifs

Évaluer la prévalence du dépistage de l’embonpoint et l’obésité (Em/Ob) à l’UMF de Dieppe, NB.

Introduction

Au NB, 63 % des adultes sont obèses (1/4 au Canada). La mesure de l’IMC et le tour de taille chez tous les adultes est

une recommandation Grade A de niveau 3 au Canada (Panel d’expert - Obésité Canada 2006). Afin de déterminer

l’adhérence à ces recommandations, une revue de la qualité de l’acte a été effectuée précisant la proportion de patients

adultes dépistés pour Em/Ob ainsi que l’étendue des pratiques de dépistage, d’éducation et de suivi des médecins de

l’UMF.

Méthode

Un questionnaire a été administré aux médecins afin d’évaluer leurs opinions et pratiques actuelles. Des données

cliniques ont été colligées parmi un échantillon randomisé de 362 patients de 25-54ans de l’UMF ayant eu au moins

deux rendez-vous entre le 30 juin 2010 et 2013.

Résultats

Recommandation acceptée par 9/10 des médecins, qui disent dépister moins de 60 % des patients et jugent nécessaire

une intervention si 41-60 % sont dépistés. Parmi les 362 dossiers, 7,5 % rapportait un IMC, 1,4 % un tour de taille et 52 %

permettait le calcul de l’IMC (65 % de Em/Ob). Parmi les barrières au dépistage identifiées, on retrouve le manque de

temps, l’inaccessibilité aux pesées, les mesures omises et le manque de ressources.

Conclusion

Des mécanismes organisationnels supportant les pratiques exemplaires (ex: mesures anthropométriques

systématiquement prises et documentées par l’infirmière avant de rencontrer médecin) devront être mis en place ainsi

qu’une plus grande sensibilisation des médecins au dépistage de l’Em/Ob.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 21

La gestion de la douleur dans les fractures pédiatriques déplacées ou

chirurgicales des os longs au département de médecine d’urgence de l’Hôpital de

Chicoutimi

PRÉSEN TATEU RS Caroline Dupont-Dorais, Danny Maltais

AU TEURS Caroline Dupont-Dorais, Andrée-Anne Corneau Tousignant, Danny Maltais

SU PERVI SEU RS Pr Bruno Hamel

Urgence Chicoutimi

Objectifs

Le but de cette étude est de vérifier si les enfants se présentant au département de médecine d’urgence de l’hôpital de

Chicoutimi avec une fracture déplacée ou chirurgicale des os longs bénéficient d’une analgésie adéquate pendant leur

séjour et au congé, ainsi que d’évaluer la documentation de l’intensité de la douleur au dossier.

Méthode

Il s’agit d’une étude rétrospective pour la période du 1er janvier 2010 au 30 décembre 2013. L’échantillon est composé

de patients âgés entre 3 et 12 ans ayant subi une fracture des os longs déplacée ou chirurgicale et ayant consulté un

médecin d’urgence à Chicoutimi. La collecte de données a été faite à l’aide d’une grille standardisée. Lors de la révision

des dossiers, l’analgésie prescrite à l’urgence, les prescriptions remises au congé et la documentation de l’intensité de la

douleur ont été évaluées.

Résultats

Lors de cette évaluation, des 272 dossiers révisés et de ceux-ci, 98 ont été retenus pour l’analyse. Pendant leur séjour à

l’urgence, 54 % des patients ont reçu une analgésie adéquate. Dans 44 % des cas, l’intensité de la douleur a été notée au

dossier. Chez les patients retournant à domicile, 44 % des patients ont reçu une prescription ou des conseils en lien avec

l’analgésie.

Conclusion

La gestion de la douleur à l’urgence chez la population pédiatrique est sous-optimale. Une analyse plus approfondie est

en cours afin de déterminer si le sexe ou l’âge peut avoir une influence sur le phénomène.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 22 L’évaluation de l’investigation et de la prise en charge initiale de l’hypertension

de novo

PRÉSEN TATEU RS Gabrielle Maher-Laporte, Yves-Stéphane Noah, Renée Thériault

AU TEURS Gabrielle Maher-Laporte, Yves-Stéphane Noah, Renée Thériault

SU PERVI SEU RS Pre Carolle Bernier, Pre Claude Castonguay

UMF Estrie

Objectifs

L’objectif de l’étude est de vérifier si le bilan initial suggéré par la donnée la Société québécoise d’hypertension (SQHA),

au moment du diagnostic de l’hypertension artérielle (HTA) et la prise en charge des habitudes de vie, est

systématiquement fait par les médecins de famille dans notre milieu de pratique.

Méthode

Étude rétrospective auprès de la clientèle du GMF des Deux-Rives, aux points de service de Sherbrooke et Lennoxville.

Population âgée entre 45 et 75 ans qui ont eu un nouveau diagnostic d’HTA à partir de l’année 2009.

Résultats

Nous avons vu que les médecins de famille du GMF des deux-rives (Sherbrooke et Lennoxville) sont conformes (à un

taux de plus de 75 %) pour ce qui des bilans paracliniques: électrolytes, créatinine, glycémie à jeun, bilan lipidique. Par

contre, moins d’un tiers des médecins effectuaient soit l’ECG soit l’analyse d’urine, ce qui nous donne le résultat de dix

(16 %) dossiers conformes selon les lignes directrices SQHA.

Conclusion

Nous recommandons donc aux médecins de famille d’être attentifs lors d’une prise en charge d’une hypertension de

novo, surtout pour ce qui est de demander l’ECG ainsi que l’analyse d’urine. Pour faciliter leur tâche, nous avons conçu

une fiche de rappel contenant les recommandations de la prise en charge d’une HTA de novo, tel que suggéré par la

SQHA.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

TI TRE 23 La douleur pédiatrique à l’urgence: un défi à relever

PRÉSEN TATEU RS Marie-Ève Guévin, Aizhen Jade Lefebvre, Judith Lafrance et Joannie Sanche

AU TEURS Marie-Ève Guévin, Aizhen Jade Lefebvre, Judith Lafrance et Joannie Sanche

SU PERVI SEU RS Pre Anne Rouleau et Pre Alexandra de Pokomandy

UMF Cowansville

Objectifs

Évaluer si la douleur pédiatrique à l’urgence de l’hôpital BMP est bien évaluée et bien soulagée pour émettre des

recommandations pour mieux soulager les enfants à l’urgence.

Méthode

Les dossiers des enfants de 3 à 10 ans se présentant avec un diagnostic douloureux (entorse, fracture, luxation, brûlure,

morsure, appendicite et traumatisme) à l’urgence de l’hôpital BMP d’avril 2012 à mars 2013 inclusivement ont été

analysés. Une grille caractérisant l’évaluation de la douleur, son suivi et son traitement au cours de l’épisode de soins a

été utilisée. L’analyse statistique des grilles a ensuite été faite grâce au logiciel STATA.

Résultats

Un total de 194 dossiers ont été analysés. Une évaluation inadéquate de la douleur a été faite chez 79 % des enfants au

triage et chez 98 % des enfants évalués par un médecin. Bien que le traitement non pharmacologique de la douleur ait

été assez utilisé (74 %), seuls 40 % des enfants ont reçu des analgésiques et seulement 3,6 % ont reçu un traitement

approprié pour leur niveau de douleur. La moyenne de temps avant de recevoir une analgésie est de 112 minutes.

Conclusion

La douleur pédiatrique est mal évaluée et mal soulagée à l’urgence de l’hôpital BMP. Une meilleure utilisation des outils

d’évaluation de la douleur ainsi que l’utilisation de protocoles clairs pour le soulagement de la douleur pédiatrique,

entre autres avec le fentanyl intra-nasal, seraient souhaitables.

Catégorie : RECHERCHE

ÉVALUATION DE L’EXERCICE PROFESSIONNEL

Type de présentation : PRÉSENTATION POWERPOINT

AFFICHE

NOTES

NOTES

REMERCIEMENTS

NOUS TENONS À REMERCIER LES CMDP SUIVANTS POUR LEUR

SUPPORT FINANCIER À CETTE JOURNÉE :

• CMDP du CSSS Chicoutimi

• CMDP du CSSS Lac-Saint-Jean-Est

• CMDP du CSSS La Pommeraie

• CMDP du CSSS Richelieu-Yamaska

• CMDP du CSSS Rouyn-Noranda