Jeux sérieux : quel potentiel pour l’apprentissage
Mireille Bétrancourt6 Avril 2011
Discussion du cours Environnements informatisés d’Apprentissage
TECFATechnologies pour la
Formation et l’Apprentissage
Le cas particulier des « jeux sérieux »
• Combien d’entre vous jouent ? 3 sur ~20• Pourquoi on apprendrait mieux en jouant ?Parce que plaisir à jouerSe sentir acteur, en contrôle
• Qu’ont-ils de différents par rapport aux simulations « normales » ?
• Qu’apprend-on en jouant ?Compréhension des règles et consignesStimulation d’autres apprentissages – (lecture)
• Conditions et limites pour apprendre d’un jeuApprentissage « implicite », on se concentre sur but du jeu, transfert difficileQue plaisir et pas apprentissageDemande rapidité sinon on n’accroche pasAspect environnement motivant
Quelques repères sur les jeux sérieux
• Combien d’entre vous jouent ?
• Pourquoi on apprendrait mieux en jouant ?– Plus fort engagement dans la tâche (Gee, 2003), idée de flow, Impact de la narration et du
sentiment de contrôle
• Qu’ont-ils de différents par rapport aux simulations « normales » ?– « gameplay » : challenge, choice, uncertainty, risk & reward, signs & feedbacks
• Qu’apprend-on en jouant ?– Beaucoup de choses sur le jeu ! – Compétences tranversales (collaboration, gestion de projet…)– Connaissances d’un domaine externe seulement si intégrées dans la méchanique du jeu
(Ainsworth & Habgood, 2009)
• Conditions et limites pour apprendre d’un jeu– Doit d’abord être un bon jeu !– Doit rester un acte délibéré, sinon on n’est plus dans le jeu mais dans la simulation ludique– Tranfert difficile ? En effet, Intégration du domaine dans la mécanique du jeu (see Habgood et al.,
2005)
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