Download - Evolution de liberalisme

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  • 1. Evolution du libralismeEncadr par: Mme EL MRINIPrpar par: Ihssan CHRIATT Soukaina MAIMOUNI

2. INTRODUCTIONUne cole de pense conomique, ou courant de pense conomique, est un regroupement dconomistes qui partagent un faisceau dides proches concernant le fonctionnement macroconomique dun pays ou dun ensemble conomique. 3. Plan Dfinition Histoire Traits Conclusion 4. Quest ce que le libralisme 5. Cest une doctrine conomique qui considre que:La rgulation par le march est la meilleure modalit de gestion de lconomie. LEtat ne doit pas intervenir. 6. Histoire 7. Fin de XVIIIe, dbut de XIXe: Dveloppement du libralisme par les conomistes classiques. 8. it h Sm90 dam 3-17 A 172 La source de la richesse des nations est le travail. Pour lui il y a cration de valeur, de richesse, ds que le travail est mis en cause, aboutissant la cration des biens .Donc la mesure de la richesse c'est la quantit de travail. 8 9. it h Sm90 dam 3-17 A 172 La division du travail amliore l'efficacit du travail. Pour Smith, la division du travail conduit la spcialisation et augmente la productivit du travail qui permet une spcialisation des travailleurs. Celle-ci accroit l'habilet des hommes, permet des conomies de temps, facilite l'emploi des machines. Ces machines, leur tour, amliorent la productivit du travail. 9 10. it h Sm90 dam 3-17 A 172 Le march concilie intrt particulier et intrt gnral grce une "main invisible". Selon Smith les individus s'intressent d'abord la recherche de leur intrt personnel. L'addition de lintrt individuel donne alors l'intrt gnral. 10 11. r do ica id R823 av 2-1 D 177 >Selon lui la valeur des biens tient compte non seulement du travail immdiat appliqu la production (travail direct), mais encore du travail constat aux outils et aux machines qui servent fabriquer ces biens (travail indirect). La valeur d'change est gale la quantit de travail (direct et indirect) incorpor dans les biens.11 12. r do ica id R823 av 2-1 D 177 la valeur exprime l'utilit d'un bien :C'est la Valeur d'Usage.la valeur exprime la facult qu'a un bien, pour celui qui le possde d'acheter d'autres biens. C'est la Valeur d'Echange.l'utilit d'un bien ne suffit pas pour fonder sa valeur. Il faut encore que ce bien soit rare et ncessite une quantit de travail pour l'obtenir. 13. r do ica id R823 av 2-1 D 177 la thorie de la rente et de la rpartition Il tudie la loi qui rgles la distribution du produit de la terre entre les 3 classes dtentrices de 3 types de revenus: propritaires terriens..la Rente Foncire (part du produit de la terre que l'on paie au propritaire pour avoir le droit d'exploiter le sol) entrepreneurs..le profit( il rsulte de l'emploi du capital engag) travailleursle salaire( prix du travail) 14. Fin du XIX, dbut de XXe: rnovation de libralisme par les conomistes no-classiques. 15. Une nouvelle thorie de la valeur Rappelons que pour les classiques, la valeur des biens est dfinie de faon objective en rfrence au travail. Cette valeur est gale la quantit de travail incorpor dans les biens. Les no-classique ont une optique diffrente. Pour eux, la valeur des biens est dfinie de faon subjective, en rfrence au besoin que satisfait le bien. lutilit dun bien 16. lApproche micro-conomique r La valeur dun bien dpend non de son cot de production mais de lutilit que le consommateur lui accorde les no-classique passent la recherche des conditions de maximisation de lutilit des individus. Cette maximisation se fait sous contrainte. 17. L'tre humain est m par la recherche de son intrt personnel et par le dsir d'obtenir le maximum de satisfaction personnelle.ivid Indsme uali 18. Le march constitue le rgulateur le plus efficace de l'activit conomique, l'intervention de l'tat est fcheuse Le march constitue le mission de supprimer les entraves sauf lorsqu'elle a pour rgulateur le plus efficace de l'activitjeu des mcanismes conomiques. est fcheuse au libre conomique, l'intervention de l'tat sauf lorsqu'elle a pour mission de supprimer les entraves au libre jeu des mcanismes conomiques.e la nd atio que: firm omi 'af L con t iber l 19. Un systme doit tre conduit par le principe de la libert conomique car il va tendre ainsi naturellement vers l'quilibre. Et lorsque cet quilibre n'est pas spontanment atteint, les prix vont s'ajuster la hausse ou la baisse pour le raliser.l'de ence ue : man miq per ono La e c libr qui 20. CONCLUSION 21. BibliographieMerciSites: www.wikipdia.org www.jscoron.fr de votre attention www.toupie.org www.babylon.com www.oboulo.com Ouvrage: conomie gnral, Amal SEFIANI Dictionnaire: Encarta, petit Robert