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trc concitoyen M. Pierre Pouhln, ser-gent au 34* bataillon de chasaenrs al-pins, vient d'être reçu définitivementa l'école des élères-officiers de Saint-Maîxcut. Nos félicitations au futurofficier. _ _

SUR LE LUI ORAL

A Monte7Çtrlo !Le prîz du Cap-Martin, a réuni hier

39 tireurs.' ,Les première et deuxième places ont

été partagées entre MM. Robertset L.Tbome, 7 sur 7, se partageant 1,587fr.; 7e, M. Wildcr, 6 sur 7, qui gagne890 fr.

Les autres poules ont été partagéesentre MM. Moncorgé, Barker, Harold.

Aujourd'hui jeudi, 15 mars, poules.

A Nice :di procb ,

res du soir, aura lieu à Nsalle des Fûtes du Cercle de'laMedjterranée une matinée musicale, litté-raire et lyrique d'amateurs au profitde la Maison militaire de la rue Vic-tor.

Le programme de cette matinée, quiest fort bien conçu, porte un grandnombre de pièces et morceaux intéres-sants.

Nous remarquons notamment parmiles artistes et amateurs distingues quiprêteront leur concours a cette fête ar-tistique, les noms de Mmed'Hennessy,belle-sœur de M le vicomte de Jarjze etde M, et Mme Botrel, qui sont en ce

On sait que M^Botrel est l'auteur dela Vaimpotaise et de nombreuses chan-sons bretonnes très appréciées.

UN PEU PARTObTM. Paul Granet, préfet des Alpes-

MarUimes, actuellement à Paris, a étéreçu hier par M. Loubet, président dela République,

ANGLAIS ET ALLEMANDSLoodres,

Le Times consacre un article auxrelations de l'Angleterre avec l'Alle-magne.

I! relève la grossièreté de la popu-lace allemande et l'incivilité des mi-nistres. Bien qu'il y ait dans l'attitu-de de ces derniers un peu de posepour la galerie, l'Angleterre s6 sou-viendra le moment venu

La Pa.ll Mail Gazette constate queles Allemands détestant les Anglaisplus que les Français.

L'empereur Guillaume II est an-glophile, mais il perd sa popularité,la population n'approuvant pas sonattitude.

LES DÉSESPÉRÉS

Madame Suchaud, ûgée de 69ans, et aa fille, âgée de 28 ans, sesont suicidées en se pendant dansun hôtel meublé du quartier Mont-martre.

Sans ressources depuis longtemps,Mme Suchaud et ea fille étaient ré-duites à la misère qui les a poussésà commettre cet acte de désespoir.

Mme Suchaud était née à Nice.Elie avait habité Marseille.

Feuilleton du "COURRIER DE CANNES"40 — —

JEAN BRUNO

DERNIER FILSDE SATM

Ce terrible coup ruina complètementl'ingénieux commerce de l'ancienne cour-tisane; car, suivant les prescriptions de laloi, son mobilier fut confisque, et, outreune fojte amende, elle subît un empri-sonnement de dix-huit mois,

XII

Dans le Brésilien présenté par l'ancien-ne ouvriàre de Chagrot h Mme AngélïnaDumontier, les lecteurs ont sans doutereconnu de suite Garzi l'étrangleur.

L'Hindou consacre les trois premiersmois de son séjour il Paris à se mettreau courant des mœurs et des habitudes,afin de ne pas s'exposer à commettrequelque bévue qui pût attirer l'attentionsur lui, et lorsqu 1! se crut suffisammentrenseigné, il se mit en campagne pourpoursuivre sa lâche.

Son premier besoin était de faîie des

PREMIER FEUNoua liions d»n« le Littoral :

Les quelques vulgaires ambitieuxqui brûlant d'envie de remplacer hl'Hôtel de Ville, l'acluella mut.icipaH lé, avaient convoqué, mardi soir,en una réunion préparatoire, pourarrioer à former un Comité (sic),tous ceux qui pensent que les inté-rêts de Cannes sont mal défendus(resic).

Il faut croire qua ceux-là ne sontpas nombreux, car ils se sont trou-vés exactement 31 à cette réunion,qui a eu lieu au premier étage de laBrasserie du Lion.

Ce qui s'y est débité,, vous le devi-nez, sans peine, ami lecteur. On adaubé ferme sur notre municipalité,qui ne s'en porte pas plus mal dureste, puis, comme il (allait fairequelque chose on a nommé une com-mission composée de: MM. Raymond,gendre Caisson, Marchetti, BrivesotBertrand, président de la SociétéNautique. Comme homogénéité, caquatuor nous parait on ne peut plusréussi. L'avocat Tubie manquait al'appel, mais il avait eu soin des'excuser par lettre. Remarqué par-mi les assistants MM.Caze. Hertrandet Corniche, anciens couseillers mu-nicipaux , l'inévitable Lockroy etaussi, nous a-t-on assuré, l'émule dugénéral Boulanger , l'ex-douanierGarbier.

Devant urj paroi! état-major la Mu-nicipalité n'a qu'à bien se tenir. Unseul point nous inquiète. Qui sera lechef de cet état-major? D'aucuns prétendent que depuis que des circons-tances indépendantes de sa volontéout dérivé un iîl du pactole dansses caisses ou dans ses caissons, —comme on voudra,— M. Raymond, iln'y a pas d'erreur, a été pris d'uneinsatiable ambition. Il rêve do cein-dre l'écharpo municipale. C'est sondroit, mais c'est !e droit aussi detout électeur de se demander pat-quels actes préparatoires co mon-sieur s'est révélé administrateur.Nous savons bien que son beau-pères'en va partout disant : Est-ce quemon gendre ne pourrait pas faire unmaire aussi bien que M. Hibert? Comme iltre, cette affirmation nous pa-raît légèrement insuffisante.

Et puis M. Raymond nous sembleavoir compté sans son hôte. Il n'estpas seui à vouloir l'éciiarpe muni-cipale. Us sont au moins deux, luiet M. Tubïe, Et encore faudra t-tlcompter sans doute avec M. Chauve.Il n'a pas dit son dernier mot, M,Chauve.

Voilà donc trois candidats pourune seule écbarpe. Pourvu que, com-me jadis la pomme de discorde, cetteécharpe ns déchaîne point ta guerre_ n'inflige pas â Cannes ies mauxqui perdirent Troie, nous nous esti-merons bien heureux. Pour nous,lui sommes avant tout des hommesle conciliation,nous proposons qu'a-•ant d'aller plus loin, on nomme unirbitre chargé de dé.-igoer celui des

trois auquol.en cas de succès électo-ral, l'éciiarpe devra ôtre dévolue. Lo-ckroy qui est la sagesse même pour-rait être appelé à jouer ici le rôle dubeau Paris. Puïa, ce point élucidé onse mettrait en quête de compléter lafuture liste par l'adjonction do

;t six autres candidats.

mnaissances qui lui facilitassent l'accèsdu monde, car il élait h la recherche d'unepersonne appartenant aux rangs élevésde la société, et il ignorait quel nom elleportait depuis son mariage.

Jusqu'au jour où il pénétra dans letripot, grâce à la bienveillante protectiond'Eiodie, qu'il avait rencontrée fortuite-ment quelques heures auparavant sousles maronniers dés Tuileries, le Tuggn'était pas encore parvenu a ébaucher uneconnaissance qui lui fût de quelqueitilitê.

Les habiles chevaliers d'industrie dela vieille Lutèce lui prouvèrent mêmeplusieurs (ois que les habitants des co-lonies françaises n'étaient pas dignes delutter avec ceux de la métropole dans lechamp clos de la rapine et de l'escro-querie.

Mais le personnage possédait toutesles qualités désirables pour se formerpromptement; aussi dépassa-t-il bienvite ses professeurs.

Avec ce tact instinctif si merveilleuxdes sauvages pour tout ce qui peut con-tribuer à leur sécurité, Garzi n'habitaqu'un seul jour l'hôtel garni; le lende-main de son airivèe, il loua, sous lenom d'Anajuez, un petit appartementde deux pièces, rue Blanche, et il le fit

Puis, afin de mieux dérouter les soup-çons que personne du reste ne songeait îà avoir sur son compte, il raconta à son jconcierge qu'il habitait Paris depuis plusi- '

Comme ilg se trouvaient trente-unprésents à la réunion de la Brasso-rîa du Lion, le choix nous parait onne peut plus facile. Vingt-sept ex-traits da trente un, il reste quatrecitoyens sans emploi. Eh bien, ceux-là rempliraient le rôle d'électeurs.Comme une liste ainsi composée,avec da pareils chefs ne recueillerajamais plus d'une cinquantaine devoix, on peut affirmer que la nouveauparti, la parti Cnauve-Raymond-Tu-bie se trouvait réuni en majoritémardi aoiret que son premier feu afai t . . . long feu. Nous nous y atten-dions un peu et n'en sommes, parconséquent, pas autrement étonnés.

H.-G. BON.

CHRONIQUE LOCALEY«rlOe»tl<m rien p«U« «I nitiii-

»e«. - Par ar.Slé de M. le Préfet des Àlpen-M.rmmes. en date du 30 Noxembre 1899. laTe n a c&ti o n atinuâlle des poids et mesures,aura lieu pour la Commuas de Cannes, du1!» Mars au 7 Arnl-

Cstte Ténfioalion s o fer* aux dates.lieui aiheures suiTants .

Au poste do police de l'Hôtel de Tille, de8 beures du malin i 4 heures du soir, du 1»au 35 mars. Aa poste de police de la Place

31 Mars, et du 1er an 7 Avril dan* la b»nlieus.Il nu rappelé que Ions les détecteurs de

poids et mesures quelconques, doivent lessoumettre 1 la vérification, cous peine dfl pro-cès verfeaai.

P o u r n o i r e p r o c h a i n e h M a l I l ed e O t n » , — L'adjudication des kiosquesda fleunstgR.pour la Batailla do Rieurs du 2ï

à 10 heure»

P a a r les p a u v r e s , — Les qutiles faitesau mariage, célébra hier à l'H4l*l de T1II0,ont produit la tomme do 33 frauoa pour 1nspsuvlea.

A c c i d e n t d e T o i t u r e — Un de noshulcs les plus distingués a 6le T.ctimed'uD accident bizarre.

Hier m» un. Ter s 11 heures, il prenait non

tibes, en face de la rue Teisseire, le cbeval

une forte secousse au véhicule. La vojjgeur

disant.

chez lui.Nous espérons pour noire bute qua cet ac-

l l r h o - d e l 'IuctMKliedn 1 8 o . r » .

: éclaté le 13 courant dans k soirée, bou-e»ard de la Ferrage

Jusqu'ici on a'a pu encore établir, â oause

A d r a l t Alan.— Il j a deux ou trois

ers midi, dans un immeuble d» la ruee la Gare 4ei VuyaBeur«, mo.ni.it jumju'a

l'élago où sont situées las chambres de bon-et d'un pardegiut, flambant n»uf, lortaittoussean de rossignols, crochetait les:s, puis les malles et fusait rszzu des

économies qu'elles contenaient.

Ceci fait, il rerfetcendaïi, saluait très polt-

dans IWaiïer, giRûBil la rue si s'égaillaita plu» vue.Co Toleitr ai distingué est activement re

eberoaé.

T o m b é d ' a n p r e m i e r étmge. —Avant-hier, dans l'a près midi, un jeun* kom-

l'hôtel GalltR, quartier Monilaurj, a fait usechule de la hauteur d'un premier étage ets'est brisé laouisie gauebe-

Trun,porté A l'hôpital, il v a reçu les soinsréclamas par ses bleasures.

Son eut n'est pas grave, mais il dévia gar-er Je lit pendant une quarantaine de jours.

E n t r e m a i e l o t a . — C'est au portus la scène a eu heu.

Un matelot de vacbt, il propos de je ne saisuoi, provoquait, avant-iiicr, ua mknn d'unJtrn jachi ei pranan, après insultes graves,

la position de iuiieur

iba tk bras raccourci sur le boxeur Labatailla avait lieu non loin du Tactil ou es

spère arriver à élucider

n Chautard-Ii-fr- i.bjeis

eurs années déjà, mais que la vjc d'hôtelavait fini par le faliguer,

It parla de son père en termes si tou-chants, que le brave portier fut obligéde s'essuyer les yeux. Ce locataire devintbientôt son favori, et celui qui eût eu lemalheur de hasarder un mot malveillantsur son compte, se fût inévitablementattiré toute la haine de l'homme préposéà la garde de la maison.

Garzi était depuis un quart-d'heure aumdrtsdans le passge JouHroy, le lende-main de l'invasion du tripot de la ruedes Martyrs par la police, lorsque legénéral se décida à y pénétrer.

Les deux acolytes ne s'étaient pasrevus après la dèbâcJe; trop pressés dese soustraire aux poursuites, ils n'avaientnullement eu b temps de s'occuper l'unde 1 autre, aussi l'Hindou craignait-il dene pas voir arriver le vieux Mendoz.

Ce dernier hésita longtemps avantd'entrer dans le passage; il ne pouvaitnier que sa fuite de la veille était entiè-rement due à l'étranger mystérieuxamené par Elodie. et cependant il crai-gnait de se livrer à lui.

— Ah! c'est vous, général? mercid'être venu, dit Garzi en passant sonbras sous celui de Mendoz.

— Je devais au moins vous témoignerma reconnaissance...

— Pas de phrases creuses, je vousprie... Où allons-nous déjeuner?

— Chez Vachette, c'esï à deux pas,— Je n'y vois nul inconvénient.

ierjt, et tout ports à croire qu'ai!» arrivera,i résultat cherobeElle a démontre egalemnnt qae dans noir*

ironique sur l'iocendîe nom n'aviona pu^du hommage à tous lea dévouements, car,iniieun da BOB h*Isa, entre autres M. Lor-

ne Currie et Mme Lorne Curnt, a la iSle et*f quipigci de leurs yachts Rïaue et Scktandhu,

poriéi des secours auiai sfEoacas çu'oxperî-Idi «a cette tragiqul

«•e l'autro qup. du coup, fut Une* dans le pon,à il pril un biin copieux.

LH oapiuiae allait se jeter à l'eau pour lerer d'embirras lorsqu'il le vît saisir unn

Cctie manière eipédiuvo d'arranger unefoire a élé diveraameat appréciée, m>,i iien amusé quand toèma ceui qui ont été

A r r e s t a t i o n . — Le sarvice ds* jar

nommé S. . .L , , . £ou*i l'inculpation d

ares, rue du Chem>n de Fer.Unaenqu8:o en ouverte.

M i s e e s l i b e r t é . — La fille de main

gÔrps, Richard MarosItB, arrêtée sous Tic

été reniée en liberté, la plumo portée conrp aie, avant, après enquSto, été reconnu

A r r e s t a t i o n . — Le service <Je la s4

)3TfA' Lrôsimir, saTjs professioti et

6pou* Ardisson, demeurant rue <!u P(

ilé remis en liberté, les

Les deux nouveaux amis furent bientôtinstallés dans un élégant petit cabinet par-faitement isole.

Garçon voici le menu, vous sepet vons nous laisserez ensuite, dit l'Hin-dou; retenez bien, il est inutile décrire:Huîtres d'Ostende, jambon d'York,yonnaise de homard, salmis de perdreau,chapon du Mans. irurTes à la servielte edessert assorti. Nos vins seront • sauternipremière, clos-vougeot et diquot; allezporter mes ordres au chefet revenez nousdonner l'absinthe.

— Mais vous commandez un déjeûn...homérique, pour le consommer nous de-vrons rester à table une partie de la jour-née, reprit le vieux général ébahi.

— Cette perspective vous déplaît-elle,mon nouveau et bientôt, j'aime à le croi-re, mon très cher ami.

— Non . . . Cependant, je suis inquiet.— Vraiment?— Oui, je counais trop bien les honv

mes, surtout ceux qui vous ressemblent,pour ne pas deviner que ces brillantesavances tendent à autre chose qu'à vousconcilier mon amitié.

— Bravo, général, vous avez l'expéri-ence du monde.

— Un peu, j"ose m'en flatter,— Voyez comme cette absinthe char:-

ge decoHleur par l'addition d'une certai-en quantité d'eau.

— A quoi cela répond-il, s'il vous plaît T— Si vous mettez l'expérience donl

vous vous montrez si lier a mon service,

iNtruventlan.— La fille de ,tfgires, D... » été écrouée BU di tpc<*• la rue da Fréjus, sous l'inculpation

Bdanalaruod'Aalibe*.,

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raperies nouvelles pour la saison 18»» ng»J*qae t l ea «I CpMnmea p»,—.

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A l ' O p é r . - Aprei une «présent**»-Bfz iprae da Lucie de fammermoar le tbél

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Ce n'est pas que cet ouiragn an fllj ,_.prêt* (»Ï<SC toute l'homogaaéït* dés .ratio"

icèremenl émouvante, qu'une PireilleniÀ *

T.pW"' f« « » W«« pllut t C Îion d un talent très pmd, tenant, dunm

M. Deachamps, saos noun fwra oublier Mnhert de la Tour, nt m6me SI, ScarembetRi un Araqmlda prasianca «{rrénble Ûunnl

MU. Desmel, un général Gando d T.rtJ

f r i H ï d : R'm'3'? UntA ». ion et iMrDâï létèrentstatntTite, 11K complétèrent

u>bl*. que quelques répSmiona supplémen-

lu de liS.K.la Rwt'iPAngiitonv[Saxo

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Fèt© dn l a *tr.cV."êitie du f«

ïnVes 'u" e" t l B f3 'e ' q " PfL'Q- 'Olllea '**'obtoDir.cette année.uu succès très écltum

.'0101 la liste des chirs tt ducrses mascara

ï t t o "»*"•'.•""••• »c»,,*Chars —Musique d<

:kar de la Ut Ca.#me

Folies B rgères - L ^ " ^ ^ ^ " ^ ^ "

ila — La jeunesse du Cao d'Antiba» - F(k.cliampêira de la Mi-Carême — Las Pfioneurs

iitaiDS — Le Théâlre ambulant — L»n au pays de Cocngnn — Les artistes de

tvttir-Couoort — Le cbbr do l'Agriculture .

Les pi. heurs du Croûton — Tromnoties dacavalerio - L Œ 1 de I J D I a»e. ton outa

Prm i — Les Clowns i*

. atearadet uaUti- — Vic'ime du sa mala-drtj-.se Sérénade ÎL M^rrun — De l'eaujuj>:

- Je suis élpoimé - S, j« trom-.o p?Uï bêla

— Un ca, hcr en gi6ïf — Un uerm en hom-bo — Uû bon paru — Un timbré ai t «cher-

je changerai encore plus rapidement vo-tre état précaire en une douce aisance.

— Ei qui donc vous a si bien rensei-gné sur l'état de ma fortune?

— Ah! général, les gens d'esprit com-me nous ne doivent pas avoir de cessusceptibilités,

Malgré les airs de pourfendeur qu'il es-sayait de se donner. Mendoz paraissait évi-demment inquiet ;le regard vitreux et pro-fond du Tugg le faisait tressaillir; plus d'u-ne fois même, pendant les premiers ins-tants du déjeuner, i! fut sur le point deprétexter quelque motil de sortie pours'enfuir.

Mais les chaudes et généreuses fuméesdes vins choisis par I Hindou réveillèrentdans son cœur certaines libres bachiquesqui convertirent soudainement sa dciwn-

ce en tendresse démonstrative.Le vieux renard, connaissant les se-

creis de la cave de Mme Angehna Dumon-tier, se tenait toujours en garde contrreles effets qu'ils amenaient, en faisant actede so'irieté. Ici il ne put résister à fa tenta-tion de boire, et bientôt le Tugg se mit endevoir de recueillir les fruits de son invi-tation.

— A la santé de vos nobles épaulettes,mon vieux général, dit Garzi pour lavingtième fois au moins, en portant sacoupe à ses lèvres.

A la tienne, mon garçon, k la tienne,bégaya le militaire apocryphe.

(A suiore).