G u i t a r i s t e c l a s s i q u e
D O S S I E R D E P R E S S E
Téléphone : 450-263-5674
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Vers l’âge de 12 ans, son intérêt pour la guitare
classique se dessine. Trois ans plus tard, Alvaro Pierri
l’accueille dans sa classe où il se distingue par sa
grande musicalité, son sens du rythme, sa grande
dextérité et la profondeur de ses interprétations.
Atteint du syndrome de Gilles de la Tourette, Thierry
trouve avec la musique un moyen de diminuer la
fréquence des spasmes.
Depuis 2004, Thierry a remporté les honneurs de
plusieurs concours : Concours Jeunes Artistes de
Radio-Canada, Concours international de Lachine,
Concours de musique du Chœur de la montagne,
Concours du Bas-Richelieu, Festival-Concours de
musique de Sherbrooke, finale nationale du National
Festival of Music au Nouveau-Brunswick, finale
nationale du Concours de musique du Canada et Grand
Prix de guitare de Montréal. Il remporte le premier
prix aux concours internationaux espagnols d’Elx, de
Coria et de Petrer ainsi que le prix du public en 2013.
En avril 2014, il a remporté le concours Nicolas Alfonso
à Bruxelles en Belgique.
Thierry a participé à plusieurs stages de
perfectionnement et classes de maître, notamment
avec Sergio Assad, Roberto Aussel, Denis Azabagic,
Rémi Boucher, Judicael Perroy, Pavel Steidl, Roland
Dyens, Margarita Escarpa et plusieurs autres de
renommée internationale.
Il a complété une maîtrise en interprétation sous la
direction d’Alvaro Pierri à l’Université Laval à Québec.
En plus de ses études musicales, il se passionne pour
les langues : il parle couramment l’espagnol, l’anglais,
l’allemand et apprivoise l’italien, le portugais et le
russe.
Thierry Bégin-L. a de nombreux concerts à son actif :
en Espagne, en Allemagne, en France, en Italie, en
Belgique, en Normandie, aux États-Unis, au Mexique,
au Brésil, en Argentine, au Lichtenstein, en Finlande
et au Canada. Il s’est produit au Québec avec I
Musici et le Chœur de la montagne, avec l’Atelier
lyrique de Montréal, l’Institut d’études
méditerranéennes de Montréal et le Festival de jazz
de Montréal, notamment.
PRÉSENTATION
1er prix
Né à Cowansville d’une famille de musiciens, Thierry Bégin-L démontre un talent pour la musique dès son plus jeune
âge. Il joue sur une guitare Jean Rompré et est commandité par les cordes D’Addario.
Photo : Denise Lamontagne
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- Jeunes Artistes à Radio Canada - Concours du Canada (catégorie guitare) - Concours du Canada (catégorie guitare) - Concours du Canada (catégorie guitare) - Concours de Drummondville - Concours de musique du Chœur de la montagne
1er prix
INTERNATIONAL
- Concours de guitare, Antony, France - Concours de guitare, Bruxelles, Belgique - Festival de guitare, Elche, Espagne - Festival de guitare, Coria, Espagne - Festival de guitare, Petrer, Espagne - Concours international de Lachine, Canada
Les 2ième prix - Concours Robert J.Vidal, France - Festival de guitare à Coria, Espagne - Festival de guitare à Petrer, Espagne - Concurso internacional Julian Arcas, Espagne - Concurso internacional Piñero, Cadix, Espagne - Guitar symposium, Columbus, Georgia, E.U.
Prix du public en France à Antony, 2016 Prix du public en Espagne à Coria, 2012 et à Petrer, 2014 Prix spécial meilleure interprétation de la Toccata de Aaron Brock, Toronto, 2010
Prix spécial décerné par Davis Joachim, président du jury, Concours du Bas-Richelieu, 2009 Coup de cœur d’Henri Brassard, Concours du Bas-Richelieu, Sorel-Tracy, 2003
PRIX SPÉCIAUX
Photo: Mylène O’Reily
QUÉBEC, CANADA
1er prix
- Concours du Bas-St-Laurent (cat. guitare) - Concours de musique Vallée-des-champs - Festival-Concours de Sherbrooke (soliste) - Festival-Concours Sherbrooke (concerto) - Festival national de musique de Moncton - Grand prix de guitare de Montréal
CONCOURS
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OISEAUX RARES DE LA MUSIQUE : JAMAIS SANS SA GUITARE
REVUE DE PRESSE
La vie de musicien est rarement banale. Mais il y a des passionnés dont la vie (tout court) sort complètement de l’ordinaire. Nous vous présentons le deuxième d’une série de trois portraits d’artistes dont le
parcours atypique leur vaut le qualificatif d’oiseaux rares de la musique. Édition du 10 janvier 2015, section ARTS.
CAROLINE RODGERS, LA PRESSE +
10 janvier 2015
Quand Thierry Bégin-Lamontagne joue de la guitare, personne ne pourrait se douter qu’il est atteint d’une maladie qui provoque des spasmes moteurs et des tics de toutes sortes : le syndrome Gilles de la Tourette. À l’école, le croyant hyperactif, on le bourrait de Ritalin. Il a changé six fois d’école et a pensé au suicide à l’adolescence. C’est sa guitare qui l’a sauvé. Lorsqu’il joue, comme par magie, tous ses symptômes disparaissent. « Je n’ai jamais eu de spasme pendant que je joue de la guitare, et je n’en aurai jamais, dit-il. C’est surement parce que je suis concentré. La musique active une partie de mon cerveau et vient chercher une partie de moi qui est vitale. J’en ai besoin. » Maintenant âgé de 28 ans, le guitariste, qui a obtenu une maitrise en interprétation avec le réputé Alvaro Pierri, a remporté cinq concours internationaux et donné des concerts dans une dizaine de pays. Après avoir remporté le premier prix au Concours international de guitare de Petrer, en Espagne, en 2013, il s’est vu offrir une tournée de 20 concerts dans 6 pays européens. Ses deux parents, musiciens, l’ont toujours soutenu. Après avoir essayé le piano, la flute et le violon, il a adopté la guitare à 12 ans. « C’est la sonorité qui m’a séduit. La guitare est un instrument très intime. Et la guitare classique est bien plus difficile qu’on le croit. J’aime le défi que ça représente », dit ce surdoué qui, dans ses temps libres, s’amuse à apprendre des langues étrangères. Il parle assez bien l’anglais, l’espagnol, l’allemand et l’italien, et il se débrouille en portugais et en russe. UN PARCOURS DIFFICILE Son cauchemar a commencé par des tics dans les yeux, au primaire. Parce qu’il était turbulent en classe, on lui faisait prendre du Ritalin. Selon lui, le médicament a contribué à aggraver son cas.
« Les enfants atteints du syndrome Gilles de la Tourette ont souvent plus d’énergie que la moyenne. Pourtant, quand mes parents m’amenaient à un concert, je restais tranquille et j’écoutais la musique sans bouger pendant plus d’une heure. Je disais à ma mère : “Tu vois bien que je ne suis pas hyperactif !” » Mais l’école exigeait qu’il prenne le médicament. En 1re secondaire, les intervenants, qui n’en pouvaient plus, ont exigé qu’on lui administre une troisième dose quotidienne. « Quelques jours après, j’ai commencé à avoir des spasmes dans le bras, qui sont plus tard devenus des spasmes corporels. Dans la pire période, j’avais de 1200 à 1400 spasmes par jour. C’était impossible que j’écoute en classe. » L’adolescence n’est jamais une période facile. Pour lui, ce fut encore pire à cause des moqueries de ses camarades. « Je me faisais écœurer à cause de mes tics et, en plus, j’avais les dents avancées. J’étais une cible facile », raconte-t-il. La guitare a été son refuge. Et avec les années, les symptômes se sont estompés. Aujourd’hui, les spasmes se limitent à une dizaine par jour. D’ailleurs, pendant les 30 premières minutes de notre entretien avec lui, pas le moindre symptôme n’est apparu. C’est en abordant le sujet de la maladie qu’on l’a vu traversé pour la première fois d’un brusque tressaillement. Car, à l’inverse de la musique, certains facteurs aggravent les symptômes : les bains de foule (sauf les concerts), la fatigue et le fait d’en parler. « La musique m’a aidé à comprendre qu’il y a un moyen, psychologique et neurologique, d’avoir un corridor pour que les symptômes s’arrêtent complètement, dit-il. Comment cette porte s’ouvre-t-elle dans ma tête ? Je l’ignore.
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Mais quand je donne un concert d’une heure, je suis complètement épuisé à la fin. Même si je trouvais comment ouvrir la porte qui arrête les symptômes, ce ne serait sans doute pas possible de le faire en tout temps. » « Il faut apprendre à vivre avec le syndrome et le concert est un moment privilégié. » — Thierry Bégin-Lamontagne Bien que la vie de Thierry Bégin- Lamontagne ait pris une tournure positive, la situation n’est pas encore rose. Criblé de dettes d’études, il a dû retourner vivre chez ses parents. En Espagne, en Allemagne, au Brésil ou en Argentine, un guitariste classique peut gagner plus facilement sa vie qu’ici. Mais au Québec, c’est un parcours du combattant. « N’allons pas croire que je fais de l’argent avec ça, dit-il. Tout ce que je gagne dans les concours, je le dépense en billets d’avion. »
La guitare fait plutôt bande à part dans le monde classique au Québec. Il est difficile de percer dans le réseau des salles de concert, surtout à Montréal. Surtout quand, comme lui, on n’a pas encore enregistré d’album. Pour le moment, c’est sa mère, Joanne Bégin, qui gère sa carrière. Mais Thierry Bégin-Lamontagne en a vu d’autres. Il est déterminé à vivre de son art et ne baisse pas les bras. Question de pouvoir continuer, il donnera un concert-bénéfice dans son patelin, à Cowansville, en février. Il lancera aussi bientôt une campagne de sociofinancement pour lui permettre d’enregistrer son premier disque. À l’église Sainte-Rose-de-Lima de Cowansville, le 7 février, à 19 h 30.
Photo : Denise Lamontagne
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Journal “LE GUIDE” Cowansville, 7 mai 2014
REVUE DE PRESSE
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Une sonorité d’un raffinement saisissant
REVUE DE PRESSE
Œuvres baroques et classiques espagnoles Son programme était composé d’œuvres baroques et classiques espagnoles, ainsi que de pièces italiennes. Ses magnifiques interprétations de la « Sevilla » et de la « Mallorca » de Albéniz, de la « Tres Piezas » de Rodrigo ainsi que du « Collectici intim » de Vincente Asencio, étaient très complexes, émouvantes et colorées. En fait, elles auraient suffi à elles seules à nous convaincre de la compétence du jeune guitariste. Mais le talent artistique de Thierry Bégin-Lamontagne s’est à nouveau manifesté lorsqu’il interpréta trois autres pièces tirées de la « Chaconne » de Bach, œuvre écrite par le maitre du Baroque à la mort de sa femme. Cette oeuvre s’est métamorphosée en une profonde élégie émotionnelle sous les doigts du guitariste au naturel déconcertant. Les mélomanes ont eu l’impression de franchir lentement et graduellement tous les stades du deuil, avant d’être à nouveau impressionnés par le « Rossiniana n° 3 » de Giuliani. Les opéras de Rossini, revus par la virtuosité et la technique de Giuliani, sont constitués d’ouvertures, de marches ainsi que d’arias composés pour un orchestre de six instruments à cordes. C’est cette œuvre qu’a brillamment mise en scène le jeune Canadien dont le style déconcertant et l’interprétation « authentique » sont empreints de bravoure, de vivacité et d’audace. Les variations sur le « Carnaval de Venise » de Paganini ont atteint le même niveau : un joyau que Thierry Bégin-Lamontagne a interprété de façon rasante et pleine d’humour, devant un public littéralement ravi.
Le guitariste classique Thierry Bégin-Lamontagne fait bien sa marque, et cela hors des sentiers battus. Né au sein d’une famille de musiciens, il a très tôt appris à jouer de plusieurs instruments, le violon étant le dernier en liste. C’est à douze ans qu’il a choisi la guitare classique comme instrument principal. Cependant, c’est bien avant cet âge qu’il semble avoir réussi à intérioriser les caractéristiques d’une bonne interprétation, qu’il a ensuite adaptées à la guitare en créant une sonorité raffinée, une exécution contrastée, ainsi que des lignes mélodiques franches et expressives. C’est avec toutes ces qualités et une exécution des plus musicales que le sympathique Canadien à l’air presque insouciant a enthousiasmé l’auditoire au 113e Concert des maitres de guitare classique du Kunstmuseum.
Bonner Rundschau, Johannes Bieler, 6 mars 2012
Traduction: Michèle Laliberté
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Commentaires de juges lors des concours
Photo: Milène O’Reily
« Quels jeux imaginatifs, fins, intelligents. » Agnès Grossman
« Jeu très convaincant. » Patrick Roux
« Profondeur, sensibilité, émouvant, grande musicalité. » Luc Beauséjour
Les plus belles qualités de la guitare «nous sont révélées. »
Joseph Rouleau
Thierry joue sur une guitare fabriquée par le luthier Jean Rompré
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Le printemps des musiciens
Ici Radio-Canada
Françoise Davoine, animatrice
18 septembre 2014
Le Téléjournal 22 heures Ici Radio-Canada Entrevue réalisée par Mélissa Fauteux Radio-Canada Estrie, 28 septembre 2014
Cena Aberta TV Camara Caxias Brésil, 7 août 2014
Festival de musique Jose Tomas Petreraldia.com La Rédaction Espagne, 17 septembre 2014
Vidéos
Télévision
Médium Large Ici Radio-Canada Catherine Perrin, animatrice 17 novembre 2014
ENTREVUES
Radio
Fugue en sol mineur BWV 1001 (J.S. Bach)
En los trigales (J. Rodrigo)
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Conception: Joanne Bégin 2015
CONTACTS
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Conseillère en communications : Carole Clément
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