Culture SciencesLes
Les mardis d’octobre à mars
à 18 h00 - Entrée libre
2012-2013
Programme
2013
2012
w w w . s u p a g r o . f rCentre international d’études supérieures en sciences agronomiques
2 place Pierre Viala - 34 060 Montpellier cedex 2
C Y C L E D E C O N F É R E N C E S
EDITO
1
Pour la 4éme édition du cycle de conférences «Les CultureSciences»,Montpellier SupAgro a décidé de vous offrir ce programme qui regroupe toutes les rencontres organisées entre octobre 2012 etmars 2013.Ouvertes à tout public, en particulier aux étudiants et à l’ensemblede la communauté scientifique, ces conférences ont pour vocationde sensibiliser aux grands enjeux agronomiques de demain en développant la réflexion et le sens critique, sur des sujets qui couvrent les champs thématiques de formation de Montpellier SupAgro : l’agriculture, l’alimentation, la biodiversité, l’environne-ment, la gestion des territoires… Plusieurs conférences sont organisées en étroite collaboration avec la Chaire Unesco Alimen-tation du monde, SupAgro Fondation et l’Inra dans le cadre de«Sciences en question».Chaque conférence est suivie d’un débat avec des personnalités reconnues dans leur champ de compétences. Elles apportent leurvision et leur expertise sur des thèmes souvent transdisciplinaires etcomplémentaires à l’enseignement académique et professionnel.Cette année, des étudiants ont proposé au comité de pilotage d’organiser deux conférences pour partager leur expérience dans lecadre d’un projet réalisé au cours de leur année de césure et àl’occasion d’un stage. Ces interventions seront enrichies par la projection de films documentaires et d’expositions photographiquesprésentées sur le campus de la Gaillarde à Montpellier.L’implication des élèves ingénieurs dans la programmation des «CultureSciences» fait également partie de l’intérêt de ce cycle
de conférences. Confié à un comité de pilotage, composé de référents scientifiques de l’établissement et animé par la Directionde l’enseignement et la vie étudiante, ce cycle s’articule autour de six grands axes thématiques récurrents : l’histoire et la philosophiedes sciences, le développement durable, la responsabilité de l’ingénieur dans la société, les relations entre sciences et société, unecontroverse et un retour d’expérience d’étudiants. Une conférence inaugurale ou exceptionnelle, organisée en parte-nariat avec la librairie Sauramps, est généralement proposée au public. Ainsi Montpellier SupAgro a eu le privilège de recevoir lorsdes précédentes éditions des «CultureSciences», des personnalitésrenommées : Albert Jacquard en 2009, Axel Kahn en 2010, JeanMichel Sévérino en 2011 et Jean Ziegler en 2012Afin de conserver ces interventions de qualité et les partager avec un large public, toutes les conférences sont filmées et accessibles en vidéo sur le site internet de l’établissement. Depuis2011, ces conférences peuvent être suivies en direct sur internetgrâce au streaming. Les conférences de Montpellier SupAgro sont largement diffuséesgrâce à l’appui de nos partenaires, notamment Agropolis Interna-tional, le PRES Sud de France, la Direction de la culture et du patrimoine de la Ville de Montpellier dans le cadre de l’Agora dessavoirs.
Etienne LandaisDirecteur général de Montpellier SupAgro
CALENDRIER
Les mardis des CultureSciences
2012
09 # Octobre - J.Porcher«Elevage» ou «productions animales» : redéfinir nos relations aux animaux.
20 # Novembre - C.BrodhagRio +20 : quelles avancées concrètes pourle développement durable ?
04 # Décembre I. Feher et T. Garcia AzcarateLa réforme de la PAC.
18 # Décembre - M. Bouttes - L. DrochonC. Gaboriau - S. Passarieu - F. Le MaîtreA. CapillonQuatre agronomes s'invitent chez des paysans.
15 # Janvier - B. Wampfler A. Pouessel - C. PrigentQuelles conditions à la pérennité d’un projet de développement :l’exemple du projet Fertipartenaires au Burkina Faso.
12 # Février - C. Alliot - A. Derouet - S. PayeFormer l’ingénieur citoyen.
12 # Mars - P. BlandinCrise écologique et écologie en crise : la notion d’écosystème en question.
2013
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Jocelyne Porcherest chercheure à l’Inra, membre
de l’UMR Innovation. Après avoir été éleveuse, ouvrière dans l’industrie porcine, technicienne agricole et
ingénieure agronome, elle s'est engagéedans une carrière de sociologue à l’Inra,
dans le département Sciences pour l’Action et le Développement. Ses
recherches portent sur les relations de travail entre les hommes et les animaux
Auteure de nombreux ouvrages dont«Vivre avec les animaux. Une utopie pour
le 21ème siècle» (La découverte), «Cochons d’or : l’industrie porcine en
questions» (Quae), «Eleveurs et animaux,réinventer le lien» (PUF), elle défend ni
le végétarisme, ni le «bien-être animal»tel qu’il est généralement pensé, ni la «libération des animaux » telle qu’elle
est promue par certains mouvements.
Jocelyne Porcher expliquera combien l’indus-trialisation de l’élevage et de l’abattage a généré des souffrances autant pour les animaux que pour les travailleurs des filières animales. Elle présentera tout d’abord le modèle des productions animales, tel qu’il s’estdéveloppé depuis le milieu du 19ème siècle,en expliquant ses origines, ses caractéristiqueset ses conséquences.
Elle montrera tout particulièrement commentle rapport au travail et à la mort y est profon-dément altéré. Elle discutera ensuite des alternatives à ce modèle, en expliquant pour-
quoi elle est en désaccord avec certaines d’entre elles, et en décrivant le projet d’une relation renouvelée aux animaux. En plaidantpour un modèle d’élevage marqué par la réciprocité entre hommes et animaux, elle développe une pensée originale, qui lui vautaujourd’hui une participation importante audébat public.
SCIENCES ET SOCIETE
Mardi 09 octobre 2012Amphi Philippe Lamour - Bâtiment 9
Montpellier SupAgro - Campus de la Gaillarde
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ZOOM
«Elevage» ou «productions animales» : redéfinir nos relations aux animaux
Christian Brodhagest actuellement Directeur de Rechercheà l'École nationale supérieure des mines
de Saint-Étienne. Docteur ès Sciencesphysiques et Ingénieur civil des mines, cet
universitaire a participé au cours de sacarrière, à divers groupes de réflexion
dont la Commission de la charte de l’environnement et le Conseil national du
développement durable. Il a égalementprésidé plusieurs instances, notamment laCommission française du développement
durable de 1996 à 1999, le groupe de travail de l’AFNOR sur le
développement durable de 2001 à 2005.Il a été nommé Délégué interministériel
au développement durable de 2004 à 2008. Ecologiste engagé, il a été
porte-parole des Verts de 1989 à 1991 etPrésident du groupe des Verts au Conseil
régional Rhône-Alpes de 1996 à 1999.
20 ans après la première conférence internationalede Rio en 1992 qui a porté le développement durable au cœur des préoccupations des NationsUnies, les pays membres se sont à nouveau réunisau Brésil en juin 2012 pour faire le bilan des avancées.
S’il n’y a pas eu de décision spectaculaire propre à intéresser les médias, ce sommet consacre le développement durable comme un objectif global qui implique l’ensemble des institutions internationales. Plusieurs chantiers de travail ont été ouverts : la définition d’objectifs de développement durable pour tous les pays, la créa-tion d’une instance de haut niveau sur le développement durable…
Un programme décennal sur la consommation etla production durable va voir le jour.
Christian Brodhag a participé activement à la préparation de ce sommet dans le cadre des délégations des pays francophones. Il fera un retour en tant qu’observateur direct, sur le déroulement, les résultats et les perspectives ouvertes par ces échanges. En décryptant le fonctionnement des institutions internationales, il montrera pourquoi Rio +20 a été un succès, malgré les critiques de ceux qui attendaient des résultats concrets qui ne pourront jamais se décider au sein d’une telle conférence.
DEVELOPPEMENT DURABLE
Mardi 20 novembre 2012Amphi Philippe Lamour - Bâtiment 9
Montpellier SupAgro - Campus de la Gaillarde
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ZOOM
Rio +20 : quelles avancées concrètes pour le développement durable ?
Le budget européen de la Politique Agricole Commune, c’est 50 milliards d’euros par an. Dansun contexte de crise, les négociations sur l’avenirde la PAC pour la période 2014-2020 sont tendues. Les Etats membres de l’Union européenne doivent trouver un accord sur la manière dont ils souhaitent encourager à la fois lacompétitivité de l’agriculture européenne, tout en promouvant des modes de production plus durables et en rendant les outils d’intervention etde financement plus équitables.
Le débat sur les modalités de réforme de la PACportera principalement sur trois thèmes :
g En quoi les instruments de la PAC 2013 peuvent-ils concilier l’ambition d’une agricultureeuropéenne compétitive sur les marchés extérieurset d’une agriculture respectueuse des hommes,des ressources et des paysages?g Comment peut-on améliorer l’équité des instruments de la PAC entre pays membres, entreagriculteurs, entre productions ?g Quels sont les points de divergences entre lesdifférents Etats-membres et pourquoi ?
ACTUALITE AGRICOLE
Mardi 04 décembre 2012Amphi Philippe Lamour - Bâtiment 9
Montpellier SupAgro - Campus de la GaillardeIstván Fehérancien secrétaire d’état au Ministère
de l’agriculture et du développementrural de Hongrie est aujourd’hui
professeur émérite en économie agricoleà l’Université en sciences agronomiques
Szent István à Gödöllö.
Tomas Garcia Azcarateest conseiller responsable pour
la coordination et l'analyse économique à court terme des marchés agricoles à la
Commission européenne. Membre de l’Académie d’Agriculture de France,
il intervient en tant que Maître de conférences consultant à
l’Institut d’études européennes de l’Université Libre de Bruxelles.
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ZOOM
La réforme de la PAC
Après avoir sillonné pendant plusieurs mois à vélopour les uns, sac à dos pour les autres les campagnes de France, d’Europe et d’Afrique pouraller à la rencontre des paysans, quatre étudiantsde Montpellier SupAgro nous livrent leurs témoi-gnages sur cette expérience humaine et leurs réflexions sur l’engagement paysan. Ils nous invi-tent à partager leur questionnement sur le rôle del’ingénieur agronome et du citoyen quant aux modèles alternatifs rencontrés.Coralie Gaboriau et Lauréline Drochon nous ferontrevivre leur «Tour de France» de l’agriculture durable avec de belles étapes marquées par la visite d’une quinzaine de fermes françaises entredeux coups de pédales. Sébastien Passarieu, Maëlys Bouttes et Floriane Le Maître présenterontleur film intitulé «Paysans des temps modernes, àla rencontre de la diversité paysanne», tourné dansles fermes françaises, suisses, marocaines et sénégalaises.
Ces deux binômes sont partis avec l’envie de met-tre les mains dans la terre et les yeux sur le terrainpour mieux comprendre les réalités agricoles ettenter de trouver des éléments de réponse pourrelever les défis agronomiques de demain.Deux expositions photos, organisées successive-ment dans le hall d’honneur et à la caféterie duChâteau, retracent les temps forts de leurs rencontres avec le monde paysan.
En savoir plus :
Projet Diversité paysanne : www.diversitepaysanne.org
(Maëlys Bouttes, Floriane Le Maître, SébastienPassarieu)
Projet Agronomes en vadrouille : http://coraliegaboriau.wix.com/agronomes-en-
vadrouille
(Lauréline Drochon, Coralie Gaboriau)
RETOUR D’EXPERIENCE 1
Mardi 18 decembre 2012Amphi Philippe Lamour - Bâtiment 9
Montpellier SupAgro - Campus de la Gaillarde
sont tous issus du cursus ingénieur agronomede Montpellier SupAgro. Après leur année de
césure, ils reviennent pour effectuer leurspécialisation «Territoires et ressources,
politiques publiques et acteurs» pour Coralie et Lauréline, «Productions
végétales durables» pour Sébastien et Maëlys.
Floriane Le Maîtreest diplômée de l’Ecole supérieure
de journalisme de Paris où elle excerce son métier.
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ZOOM
Quatre agronomes s'invitent chez des paysans
Maëlys Bouttes, Lauréline Drochon,
Coralie Gaboriau, Sébastien Passarieu,
ALain Capillon,est professeur en agronomie à Montpellier SupAgro et participe à des programmes de
recherche sur les systèmes de culture et les relationssystèmes de cultures - systèmes de production.
Il a fait sa carrière à l’INA-PG et a été directeur de département au Cirad (1999-2004).
Betty Wampflerenseignante-chercheure
en socio-économie à l'Institut des régions chaudes
Montpellier SupAgro, membre de l’UMR Moisa
Antoine PouesselEtudiant à Montpellier SupAgro, filière Saads, option Dars- Resad
Cybill PrigentEtudiante à Montpellier SupAgro, filière Saads, option Dars- Resad
A l'heure où on s’interroge sur l'efficacité de nombreux projets de développement, la recherche-action en partenariat semble apporterdes clés pour améliorer leur mise en place. Cettedémarche est séduisante car elle promet d'associerl'ensemble des acteurs d'un projet aux orientationset aux décisions pour le mettre en œuvre.Antoine Pouëssel et Cybill Prigent, étudiants àl’IRC, ont rencontré au Burkina Faso l'ensembledes protagonistes du projet Fertipartenaires, auquel le Cirad participe. Ils ont réalisé un film
documentaire intitulé « Conjuguer le développe-ment au futur» afin d’expliquer ce que signifieconcrètement cette démarche peu répandue quivise à travailler ensemble à relever la fertilité dessols des exploitations et des espaces agro-sylvo-pastoraux. A l’issue de la projection du film, les intervenants débattront sur la recherche-action etson rôle dans le développement.
RETOUR D’EXPERIENCE 2
Mardi 15 janvier 2013Amphi Dumont
Institut des régions chaudes - Campus de La Valette
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ZOOM
Quelles conditions à la pérénnité d’un projet de développement :
l’exemple du projet Fertipartenaires au Burkina Faso.
L'ingénieur peut être amené au cours de sa carrière à prendre des décisions qui auront des impacts économiques, environnementaux, sociétaux voir politiques. Face à cette situation, ilnous semble important de s'interroger sur notrecapacité à tenir notre juste place non seulementcomme ingénieur mais aussi comme citoyen.Comment les formations sensibilisent-elles les étudiants sur les questions éthiques aujourd'hui enFrance dans les écoles d'ingénieurs? Quels peuventêtre les moyens d'action d'un ingénieur?
Les intervenants présenteront l'hétérogénéité desréponses apportées par les différentes formationsau développement de pratiques «éthiques», «responsables» ou «durables». Ils amèneront les élèves-ingénieurs à se questionner sur l'évolu-tion de leur profession.
RESPONSABILITE DE L’INGENIEUR
Mardi 12 février 2013Amphi Philippe Lamour - Bâtiment 9
Montpellier SupAgro - Campus de la GaillardeChristophe Alliotest coordinateur
et conseiller stratégique chez Max Havelaar ;
il est également membre d'ISF.
Antoine Dérouetdoctorant à l’Ecole des hautes études
en sciences sociales (EHESS), est en charge du projet «former l'Ingénieur
Citoyen». Il a déjà animé plusieurs conférences sur ce thème.
Simon Paye doctorant EHESS, est membre
d’Ingénieur sans Frontières (ISF).
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ZOOM
Former l’ingénieur citoyen
Patrick Blandinest Professeur Emérite du Muséum
National d'Histoire Naturelle. Il intègre cetteprestigieuse institution en 1988 comme
professeur et dirige le Laboratoire d'écologie générale jusqu'en 1998.
Dès 1989, il s’implique dans la conceptionde la Grande Galerie de l’Evolution,
comme responsable du thème «L'Homme, facteur d'évolution». Son
engagement marqué sur la protection de lanature le propulse en 1992 à la présidence
du Comité français de l'Union internationale pour la conservation de la
nature (UICN). Il s’est intéressé à l'épistémologie des sciences de la vie, puis
plus précisément de l'écologie. De 1990 à 1995, il dirige la thèse de philosophie de l'écologie de Donato
Bergandi. Sa réflexion nourrie d’expériences concrètes, l'a conduit
à s'intéresser de plus en plus à la dimension philosophique et éthique
de la conservation de la nature.
Comme l’introduit Patrick Blandin dans un articlede 2007, « L’écosystème existe-t-il ? Le tout et lapartie en écologie », le concept d’écosystème aacquis un pouvoir d’évocation récent en politiqueet dans les médias sans pour autant recevoir unedéfinition scientifique stable et consensuelle. Lestravaux de Bergandi ont montré combien l’écosystème a été variablement perçu au coursde l’histoire de l’écologie, notamment avec l’avènement de l’écologie des systèmes. Que cesoit avec un F. E. Clements (1905), un H. A. Gleason (1917) ou un A. G. Tansley (1937), l’écosystème a été différemment perçu à traversle prisme déformant des métaphores alors en vogue : l’écosystème-organisme, l’écosys-tème-collectif…Ces points de vue sont autant deperspectives sur un objet au contour flou, rele-vant d’affinités plus ou moins fortes pour l’un des
deux courants philosophiques dominants : leholisme, marqué en écologie par l’organicisme,et le courant réductionniste marqué par l’ato-mico-collectivisme. Cette conférence se voudrait le lieu d’un questionnement sur nos représentations del'écosystème. Egalement en lien avec le dualismeépistémologie holisme/réductionnisme, nousvoudrions en évoquer l'impact sur l'ingénierie etles modalités de gestion environnementale, pourmettre en évidence ici l'articulation existante entrereprésentation théorique et action concrète : est-ce qu'une approche réductionniste de l'écosystème va se traduire par des modalitésd'intervention particulières ? A quel point ces approches déterminent-elles nos représentationsde l'écosystème ?
L’HISTOIRE DES SCIENCES
Mardi 12 mars 2013Amphi Philippe Lamour - Bâtiment 9
Montpellier SupAgro - Campus de la Gaillarde
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ZOOM
Crise écologique et écologie en crise : la notion d’écosystème en question
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En streamingSuivez en direct chaque conférence
et participez au débat en posant vos questions à l’intervenant,
à partir de cette page : http://streaming.supagro.inra.fr/lamour/
Les vidéosRetrouvez les archives vidéos
de toutes les conférencessur le site internet dans la rubrique
«Montpellier SupAgro / Communication / Les vidéos des conférences CultureSciences» :
www.supagro.fr
LES CULTURESCIENCES
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Directeur de l’enseignement et la vie étudiante
Tél. 04 99 61 29 41Mél. [email protected]
Communication Ghyslaine Besançon,
responsable de la communicationTél. : 04 99 61 27 30 / 06 66 00 05 69
Mél : [email protected]
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