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La Boutique à ArlucPauvre Isnard

Ça .se dessine. Jigé et Roumieu vien-nent de signer un papafard en faveurde M. Isnard leur complice en Gaza-gnairisme. C'est la preuve éclatante,manifeste, irréfutable que nous assis-tons à un ultime soubresaut des black-boulés de 1912.

Donc, nous avons dit la stricte véri-té quand nous avons affirmé que lacandidature Isnard était :

1° Le prolongement de la candidatu-re Dufrêne;

2° La glorification des concussionsdes Pompes funèbres et des vols duSyndicat d'Initiative;

" 3° Le triomphe de la vénalité, del'immoralité et du brigandage politi-ques.

L'équivoque politicien Roumieu, quireprésente à Cannes le Crédit Foncierde France, et J'inoffensif entomologis-te J. Gazagnaire, déclarent sans rireque leurs ours est. un symbole d'apaise-ment. Mince alors ! Pour faire la paixil faut Atra deux. Oui dit conciliation,dit concession. Or, le parti des maîtres-tres-chanteurs ne cède pas un pouce deterrain. Il veut bien se concilier maisà la condition qu'il domino et qu'ilcommande. En d'autres termes il exi-ge beaucoup el ne donne rien en échan-ge. C'est une opération usuraire qui nesera du soûl de personne.

Roumieu et .Iit;é affirment que lenom .d'Tsnard va sonner le ralliementdes forces honnêtes du Canton. Cesforces sont : Arluc, Dufrêne, Mnrgn-rot, Forest. Devaye et Gillette. Quantaux 3.000 électeurs qui ont élu la Mu-nicipalité, mil n'ignore que ce sont desvendus, des canailles.

Relevons enfin la devise de M. Is-nard. belle comme une illusion et di-gne d'être inscrite sur la boutique Ga-zagnairiste :

n Honnêteté il uns tmis les rtmntri-nes ! »

Alors nous posons à MM.Gnzagnairc,Ronjmieu, Isnard, les trois crucifiés ducalvaire Gillettiste, ces questions préci-ses :

Pourquoi, lorsque le scandale duchantage des Moines de Lérins a éclatén'avez-vous pas exigé une enquête sé-vère ?

Pourquoi n'avez-vous jamais vouluconnaître la vérité ?

Pourquoi avez-vous fait la sourdeoreille ?

Pourquoi n'avez-vous pas bondilorsqu'on a porté des accusations for-melles de concussion dans l'affaire desPompes Funèbres ?

Pourquoi n'avez-vous pas exigé despoursuites en Cour d'Assises, 011 LAPIIECVE EST ADMISE ?

Allons, répondez les trois anabaptis-tes ! Expliquez-vous sur ces points.Vous parlez il'lioiinrlolé. Kli bien !mais il nous semble que le CHANTAGEet lii CONCUSSION ne sont lias préci-sément dos actes de probité.

Or, vous lez avez tolérés, vous ne lesavez pas reniés, vous les avez tacite-ment excusés.

Alors !...

68OOOn annonce ce soir1 une grande réu-

nion de famille à la Brasserie de Ge-nève. M. Gilleile-Arimondy on sera.

Kn conséquence, nous croyons de-voir rappeler à tous les assistants unevieille histoire qui n'a jamais été liqui-dée en ee qui touche au rôle de T'nnuGarai I lVimil du CHANTAGE DESMOINES in; I.El!ISS.

M. Gillelle-Arimondy a été V1NTEH-MEDIAIIIE »E CE CHANTAGE.

Il est donc le COMPLICE MOHAL<lu mnîtrP-elnntour.

Il a participé dans une certaine me-sure à celte .1/ IIYAISF. ACTION, àcette MALI'IIOI'IIETE. que le Code Pé-nal prévoit et punit.

Donc il est indigne de parler aunom du peuple. Il est indigne de cein-dre l'écharpe parlementaire.

Nous verrons si, parmi «es amis, ilen est un seul, ce soir, qui aura assezde propreté morale pour lui poser laquestion et l'engager a rembourser auCouvent de Ix-rins Ios H.MO francsqu'il a contribué à lui exlorquer.

Nous verrons si les promoteurs de la.candidature Isnard, après avoir ap-prouvé Ifs CONCESSIONS DES POM-PES Ei-\Elil!ES LES VOLS DV SYN-DICAT D'INITIATIVE se déclarerontpar-dessus le marché PARTISANS DVCHANTAGE.

Allons les Purs de la Discipline il estl'heure de proclamer si voire poljtiqneest une politique propre et honnête oubien une politique de canailleries etd'immoralité.

Raymond-Caissonà M ou gin s

II est acclaméM. Kayniond-Caisson a donné hier

soir une superbe réunion à Mougins etaux Baraques.

La brave population de Mougins pré-fère voir par ses yeux que par ceux dessophistes qui l'avaient quelquefois éga-rée.

Elle a constaté que M. Raymond-Caisson a été, au Conseil général, lereprésentant impartial de toutes lescommunes du canton.

Et rémunération de ce qu'il a obte-nu déjà, de ce que les habitants voientet touchent, lui donne une grande con-fiance dans les déclarations de M. Ray-mond-Caisson.

Le candidat de l'Union Républicai-ne a donc obtenu un accueil empresséet d'autant plus flatteur .que la cote-rie qui patronne Isnard avait traité lacommune do Mougins en pays conquis.

Cette coterie verra, le 3 août, si lesMouginois, qui ont beaucoup de. bonsens, se laissent amuser aussi docile-ment.

A Mouans-SartouxLe candidat Isnard, flanqué de quel-

ques acolytes, a donné, hier, une réu-nion à Mouans-Sartoux, où le trio n'atrouvé rien de mieux que, d'insulter lePréfet et de nier l'arrêté de la chasse.

M. Raymond-Caisson arrivant ensui-te, après le départ d'Isnard, s'est ex-pliqué avec une franchise qui lui a ga-gné tous les cceurs.

Devavc a pris la parole pour direque l'affaire des Pompes Funèbresétait mensongère, comme l'arrêté surla chasse.

Ce citoyen nous paraît m'en insolent.Il oublie aisément certaine enouêfe dela brigade mobile au sujet de l'emploides souliers du Rurciu de Rionfnisanco.

Los pauvres de Cannes n'oublierontpas aussi aisément.

»o*o»

UN BOUAN COUNSÉOUAh ! moiin fraïré Miinilo !Qu'entendi rapourta !Doou Suquet jusqu'à l'ilo 1Que H vas fa pourtaGounseillcr géiiérnnu ?Es pas de balancouaro ?En venden dé drdaouAs panlailla la glnuaro !Mi va vouriuu pas croire.Su d'un journaou d'un sooul'ourlant veni de veiréTomi noum ! Paouré faïou !Dounc escoutés lei foualsQi\(< li préehoun la lutlo !Ti rounpéras Ion coualE taras la culbiito !S'aviès pas demie tuPeirin. marchand dé grauoPouriès ostré élu ;Maï es brûla din Cano -Et l'aoutré lartarasTau lien que li palrouno,Aquéou gros darnégas,Es vieil el dérésouno.Li siès encaro a tenSe vouas ti retourna;Ti parli per toun bèn,Siès din lou séména !Laïsso bava Gilletlo,Laïsso canta Dufrèno,FA pas vi la soleil oQu'as cuilli teï dardenno !Resto un bouan citoyen,Ni counseiller, ni mairo,Es |ias din tei mouayensDé li mettre en conléro ?Rintro léon din toun Iraou,Bravé marchand dé fiou.T'en trouvaras pas maouSe fas coumo ti dion !

J.mt bé'ln'dé San-Pe'iré.

SABATIÉ.....Nous avons dit que le commerce lo-

cal a de toni leinp- protesté contre lescolporteurs. C'est un Fait. S'il plaît àun rival de la lune do le contester, li-bre àlui. Mais le cri d'un serin n'estpas le chani de toute la volière.

En l'espèce, M. Isnard est convain-cu de n'avoir eu le souci des intérêtsdu commerce local que lorsqu'il n'aplus eu son négoce lui-même.

C'est l'histoire du diable qui se fitermite eu vieillissant ou du braconnierqui, sur ses vieux jours, se niue engarde-chasse.

D'ailleurs, le singulier défenseur ducommerce cannois croit s'en tirer endisant que Ios colporteurs ont leur clien-tèle dai^ les village- vilains.

Qu'à cela ne tienne, A rencontre deM. Isnard, nous voulons nous que leshabitants des communes voisines vien-

nent s'approvisionner chez les com-merçants cannois.

On le voit, ce n'est pas nous quisommes illogiques, ce sont nos adver-saires qui bredouillent pitoyablement etqui ont encore manqué une occasion dese taire.

Ça leur arrive très souvent.

JUSTE !Si M. Roumieu, président de la so-

ciété dos chasseurs, avait le moindresouci de son rôle il devrait adresserdes remerciements aux deux hommesqui ont obtenu du Préfet la révision del'arrêté sur la chasse conformémentaux désirs des chasseurs.

Ces deux hommes sont :

M. Gassin.M. Raymond -Caisson.

Avis à M. Roumieu.Un chassevr.

Elections au Conseil Généraldu 3 Août 1913

Conrairement aux indications conte-nues dans les cartes électorales, lesélecteurs de la commune de Cannessont informés que l'ouverture du scru-tin pour l'élection du 3 août aura lieuà 6 heures du matin, suivant l'arrêtépréfectoral ci-après :

Nous, Préfet des Alpes-Maritimes, Com-mandeur de la Légion d'honneur,

Vu les lettres par lesquelles divers élec-teurs dea communes de Nice et de Cannesdmandent que l'ouverture du scrutin pourles élections départementales du 3 Aoûtiç)i3 soit fixée à 6 heures du matin.

Vu l'avis de MM. les Maires de Nice etde Cannes ;

Vu les lois des io Août 1871, 3o Juil-let 1876 et k Février 1909 ;

Vu le décret du ter mai 1869 ;Vu l'arrêté du i5 Juillet igi3 ;

Arrêtons :Article Premier. — Le scrutin du 3

Août 1913 sera ouvert dans les communesde Nice et d'e Cannes à 6 heures du ma-tin.

Article 2. — Le présent arrêté sera pu-blié et affiché dans les communes inté-ressées au moins 5 jours avant la réuniondu collège électoral.

Fait à Nice, l£ 28 Juillet igi3.Le Préfet :

ANDEÉ DE .1OLY.

Chronique LocaleEphémérides Cannoises

i" r . \nùl i 7 s ' | . — 1 . ^ consu l s sont ;i\ jsr> p a rles [•iininiis^MM-s des iiMiimuui1- q u ' u npai'ti de Savoya rd - , déjà n - p u n d ud a n - h- l>auph iné . \ a p a ^ c r en l ' ro-\ l ' i irr . hi'S cnmpï i^ni i ' s imurL'Viiisi'-SIMI I u r f . r ; i i i !W p o u r exercer l;i s in-

U N I DES M I E N DE CANNES« Arche de Noé »

i()i;i' d'innées' m l 'honneur il- la Sainl-Picrre Iele patrouille des Pèeheur- de Can-ne-o :mv le ivLrkmenl de |'l nion Inter-nalinnalf de V.ichling de Course so,,s lepatronage de la Municipalité el du YaehlChili de France a\ee le concours des Pé-cheurs el Marin" de Cannes.

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Joutes Nautiques dn 3 AoûtNous avon-^ dit h ier l'effort m a g n i f i q u e

fourn i p a r la société df- <( 'l'iuujii'irê Su-(jiu'^ins » en i\iit> îles _j(oule> n a u t i q u e s( i ' i iprcs-dcmain d i m a n c h e , jou les qui met-t r o n t aux [irises de va leureux c h a m p i o n sde la t i n l a inc , tous dés i reux de d é c r o c h e rle G r a n d Pr ix d e la Ville de C a n n e s .

C o m p l é t o n s n o t r e i n f o r m a t i o n en indi-q u a n t q u e la Mus ique Munic ipa le , la pre-m i è r e p h a l a n g e a r t i s t i que de no i re ville,p rê te ra son c o n c o u r s h la fêle.

Et, d u r a n t que la luile se pou rsu ivra ,a r -den le , Mius les r ega rds du pub l i c n o m -b r e u x qui a m a pris place d a n s les t r ibu-nes, elle se fera e n t e n d r e , à la sa t is fact ionlie tous .

C'est un a g r é m e n t de p ins à la fê le ,unenouvel le marq i i ' ' de SMiipalh e que la Mu-nic ipa l i t é dunni- nux « l a r ^ a ï r é ».

* # #

Voici la li>te des jou teurs i i n r l eu r nu-

m é r o d 'o rd re :

Barque rouge . - - i. H a v m o n d Louis ;•>. l > e \ a v Jn-epl i ; li. Maûai/ . i .Iran : \ .Kitneiull'i Marin* ; ">t l . ipaoudi Ilap1i<tin ;li. Délia .lnsi' |ih : 7. Gliio Char les : S.Ton-11' 11 \ r l u c ; »|. C n i ^ l i o n ; i o . Lipaoui i iS ' iUad ' . r : 1 1.' M;ij« 'Ipbi \ l e \ ; , n d r e ; r>. "A-médéc S imimdi : \?i. \ r l u c J n - c p h ; T/J.OIVIIUM .leau : 1") G'iiijnM Murius ; il1). Ga-]•>•] F r a n c i s , dit .1 Le' l.i.m de Mer ».

Han iue b leu . •- 1. Pizzotli .lean ; ::.Pi/./ntli I a i i - e ; !i. Mancheni i i i ; \ . Alla-zini .lean : \'. Carlfs l l l i rnne ; \\. ConiuKt ienne ; 7 .1 >r\ ;i> i- V ' e l ' T ; S. Sénéca Louis ;*). Olivier S \ ] \ a i u ; i o . Dunail l-ranoois ;1 1. l'Vn-on i l onoré ; ]••. Con l r s Marins ;lit. Broc Franço is ; 1 '1. Girai idn .lean ; i 5 .Cbinsa .Ioso])li ; ili. \ r b i c l ;! 'aiiçois, dit<( Le D a u p h i n »,

I ,e j u r y c o m p r e n d r a :

MM. Chio/./.a. prés ident des P r u d ' b u n i -\incs pêcheu r s ; Ksiachs . •.>" prud' l i - ' i nme :Gia iune , l Iuirues .Guiui i , R a y m o n d , Ar luc .

MM. Charles G.HHI..H cl F ranço i s Gare l .

# * #

Au programme : a 3 h e u r e s : G r a n d dé-filé des J o u t e u r s p;ir la m u s i q u e « P r i n t a -nia )> ; à !\ heu res : C rand Pr ix de-; Jou te sd e la Ville de C a n n e - : P r e m i e r p r ix :Lance et Pavoi d ' h o n n e u r : ••'' pr ix : unob je t d ' a r t ; 3" p r ix : ifli ob je i d ' a r t . P r ixde P re s t ance .

\ d e m a i n pmi r de p l i n a m p l e s reiwei-Lrnenienl- ^itr ivl le juui-néc qui n i i i nmera

Haas,, Graveur, 3, rue lînasu. Cannée.

Excursion. Observ. Roc-Fleuri. Mandelies

Ynchting.Voici le programme de la journée du

dimanche W août prochain, que le ClubNautique tic la Cro'seltc organise dans songentil quartier.

A li heures du malin, enneours de pê-che au boulenlin à \\ hameçons. La romn-«rnole est interdite. Le concours prendralin à 10 heure* du malin el se trouve ré-servé1 aux soc claires.

Tout bateau qui se rapprocherait d'unautre de moins de •>•> niMrrs serait exclusdu concours. Le- rouirre*. murailles, sei-ches, poulpes, ^iitus. sont exclus du con-cours.

Rendez-vous à 5 h. ^ du matin, à laPeyrette.

Yi>Ht\ —• L'après-midi, épreuve des cou-pes.

iT" série. — h ni. o'i ; :>" épreuve ; aver-tissement 1 h. -.'.h ; départ 1 b. 3o,

3° série. — .'1 111. .'io ; î1' épreuve ; dé-parl 1 h. 35.•

épreuve ; départ 1 h. /io..^ série. — 5 m. pointu- ; -i" /'preuve ;

départ 1 h. .Kt.,r>" série. — '( ni. f>o ; réglementation île

\oilure ; ••"• épreu\e ; départ 1 h. "10,

voilure ; i e épreuve ; dépari 1 b. jf).Parcours : trois tours du triangle.

Le déplacement du garage des tram-ways.

Non- avons i nd iqué déjà que ce dépla-cement limi MHihailé du {.'ara^e acluel dest r a m w a y s dont lu s i tua t ion rue Félix-l-'aure con-; | i!ue u n e ^éne e| un <lan.urer

se l'aile punr la prncbi i ine saison.La C o m p a g n i e de L O n i n i u m . sur W> vi-

ves in^lancfs de la nnmie"pa l i l é . a fait di-

l igence pour réaliser r a p i d e m e n t ces tra-vaux impui' t j inls r | ee di ' ' |dacenn'i i l du ga-vu»r. e| s o n ins ta l la t ion place de l 'Hôtelde Ville n'est plus q u ' u n e ques t i on deque lques - e i i u ine s .

Bonne occasion, à vendre, wagonnette, 4roues, banquettes démontables. S,adr. bu-reau du journal. 8861

Excursion. Observ. Roc-Fleuri, MandeUe*

Recensement de la classe 1913.Sans préjuger le vote définitif au Par-

lement et sans attendre la promulgationde la loi votée par la Chambre des Dépu-té-; le 19 Juillet iç)i3, des instructions ontété données aux Maires en vue de la prépa-ration immédiate des tableaux de recense-ment des jeunes gens de la classe 1913.

Les Maires ont pour mission de recher-cher les jeunes gens qui se trouvent dansle* conditions requises pour èlre inscrits,c'esl-à-dire (jui sont nés entre le rer Jon-vier et le 3i décembre r8o3. Mais il estdu devoir aussi des intéressés de se pré-senter a U Mairie sans attendre aucuneconvocation pour fournir tous les rensei-gnements utiles à leur inscription et pourdéposer leurs réclamations.

Les tableaux de recensement devant 4tr«drtsséa et arrêtés dans des délais très res-treints, il est utile que les intéressés pro-voquent sans rtflard leur inscription pouréviter leur omission et les conséquencesqu'elle entraîne.

L'attention des jeunes gens et de leursreprésentants légaux est spécialement ap-pelée sur les dispositions suivantes quiprésenteront un caractère d'urgence deale jour où la loi sera votée :

i° L'unique publication des tableaux derecensement sera faite au plu- lard le troi-sième dimanche qui suivra la promulga-tion de la loi ;

?.° Les déclarations relatives aux inGr-inités ou maladies susceptibles de rendrele- iiiM-rifs impropres au service militairedevruni r j R . formulées dans un délai dedix jours, compté à partir du jour de lapublicaton et, de l'affichage des tableauxde recensement.

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-eolaii'es de \ acances organisées par luCaisse îles l*"eidi:s. [iarl ironl jeudi pro-chain - Aoùl.

Le dépari de~ fillellcs (c.donie de Val-honnei i'-l iixé à S heures précises du ma-tin, de la place île la Gare.

Les garçons (colonie de Briançonnet)forriiemni deux convois. Ils partiront res-jn'cl ;\ r uu'iil à .'j h. .1 du malin el à midi,

Pendant la durée des colonies .scolaires,un rapjiort journalier sera fait sur la san-té des cnfanls.

Il -era à la disposition des parents tousli-~ jour-, de n heures à midi, à la mai-rie, luireau de la Caisse des Krnlrs.

Le candidat intelligent.Un entrefilet pa ru dans un g r a n d quo-

t idien ce mut in a n n o n ç a i ! que le cand i -da! au Conseil (Jénéral dans un c a n t o ninipor l .u i t du Cent re se liorna, hier, à d i re ,

ferai u M e n i r u n e d i - l r i l iu t ' un g r a t u i t e ethehdoniadaire de llnyut lietirre ! n

I ne ova t i on «-nlhoitsiasle lui fui faiteet son élection ne fait pas de dou te .

Non- passons le I in au aux c a n d i d a t sd a n - li- niènic cas : le lit>val tteurre, d o n tAgullo et Cie. \ Lis, rue ' Hoche, sont lesagents ^é'i iéranx, -e IIMIIM1 che / les g r o s -,-isles. uiarciiainl> henrr i f i ' - et foules lesb o n n e s épiceries..

Excursion. Obsorr. Roc-Fleuri. Mandeliwi

IHiHl.ICATK^S 1M-; M.VHIAGKS du ierA c i ù i i t ) i 3 :

Knlre :Félix, Jean, Ha]iliste Racialoni, laitier

et Catherine Marro, domestique.—- Jean, Jacques Pe^ione. boulanger et

Célcsline Viale, journalière.

K T \ T C I V I L du ie r \ où t i . ) i 3 .

Xnhyanri-s. • • llurzio Seconde, José-phine, lioulev.in! du Cailliei.

Uurinyr?. — V-uul.Décès. — Truc Charles, René, 3 ans,

rue de« Vallcrgue.s.

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