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5/13/2018 Audrey Perez une ligérienne sur TF1 - slidepdf.com

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LA LOIRE ET SA REGIONTEMOIN D’UN EVENEMENT ? ALERTEZ-NOUS !PAR MAIL : [email protected] TELEPHONE : 08 000 768 43 (08 000 ROUGE)

Vendredi 1er octobre 2010 www.leprogres.f942

Faits divers Société

Saint-Martin-la-Plaine :il déclare sa voiturevolée après avoirrefusé un contrôleMercredi soir, unautomobiliste a refusé de sesoumettre à un contrôleroutier. Les policiers, voyantle véhicule accélérer, ontdéployé une herse pour lestopper. Le véhicule a toutde même réussi à poursuivresa route. Peu de temps

après, un homme seprésentait au commissariatde Rive-de-Gier pour signalesa voiture volée. Comme parhasard, il s’agissait de cellequi avait pris la fuite.Entendu par les policiers,l’homme a fini par avouerque c’était bien lui qui étaità bord lors du contrôle. Cequi lui vaudra d’êtreconvoqué au tribunal.

Saint-Etienne : lesquatre suspects pourcaillassage relâchésNous avons relaté, dans noséditions d’hier, l’interpellationde quatre jeunes gens aprèsle caillassage d’un bus de laStas et d’une voiture depolice, mercredi après-midi àLa Cotonne. Après une nuiten garde à vue, ils ont étérelâchés faute de preuves.

Saint-Etienne :

trois blessés aprèsqu’un tram percuteune voitureHier vers 16 h 25, untramway a heurté unvéhicule à hauteur de la ruedu Plateau des Glières, nonloin du terminus deChateaucreux. Sous le choc,la voiture a heurté deuxautres véhicules. Lespompiers ont relevé troisblessés légers et le traficdes tramways a dû êtreinterrompu le temps del’intervention.

Lyon : deux mallettesarrachées à desconvoyeurs de fondsDeux convoyeurs de fonds,de la société Loomis ont étéattaqués hier, peu avant7 heures, alors qu’ilstransportaient des mallettesà destination de la Caissed’Epargne.

L’agression s’est déroulée àproximité de la placeGabriel-Peri, côté 7e

arrondissement de Lyon. Unconvoyeur a été agressédans la rue par un premiermalfaiteur.L’individu lui a porté descoups, et a tenté del’asperger de gazlacrymogène. L’agent arésisté. Un deuxièmemalfaiteur est venu enrenfort. Dans l’affrontement,les deux agresseursontréussi à s’emparer de deuxmallettes qui contenaientune somme totale de l’ordrede 100 000 euros.Les malfaiteurs ont pris lafuite à bord d’une voiturepilotée par un troisièmecomplice.Il n’est pas dit que lesvoleurs profitent de leurbutin. La chute des mallettesa probablement déclenché

un système de sécurité quiinonde les billets d’encreindélébile. Ce que semblentconfirmer des taches d’encrerelevées sur la chaussée àl’endroit de l’agression.L’enquête a été confiée à labrigade de répression dubanditisme (BRB).

Pont-Salomon :la bétonnièrese renverseDans la nuit de mercredi àjeudi, aux alentours deminuit, une voiture tractaitune bétonnière sur la RN88à hauteur de Pont-Salomon,quand, pour des raisonsindéterminées, la bétonnières’est renversée. Pas trèsregardant, le conducteur dela voiture a laissé sur placela bétonnière accidentée enbordure de la zone d’arrêtd’urgence. Devant le dangerque la présence de l’enginpouvait faire courir auxautres automobilistes, lesgendarmes ont fait enleverla bétonnière par undépanneur.

EXPRESS

Quinze enfants issus defamilles sans domicile fixesont actuellement scolarisésau collège Jules-Vallès et àl’école du Soleil. Être inscritsdansces deuxétablissementsstéphanoisne suffiraitcepen-dant pasà leuroffrir unesco-larité normale. « Commentétudier,lorsqu’aprèsles cours,le bureau est une marched’escalier, au pied de l’Hôtelde Ville », s’insurge YvesScanu, porte-parole du collec-tif « Pour que personne ne

dorme dans la rue ». Le res-ponsableassociatifva, encore

plus loin etestime quele droità la scolaritén’estpas respec-té dans cette situation. « Sil’école seréduit à être unabri,il n’y a plus de scolarité etencore moins d’éducation.Avantde renter à l’école, ilfautrentrer chez soit, sous untoit », clame Yves Scanu.Hiersoir, le collectifa tenuuneréunion d’informations,devantune trentaine de personnes.« L’opinion et les pouvoirspublics doivent être sensi-bilisés au problème. Il est

urgent d’agir », conclut YvesScanu.

Pour que ces enfants ne fassent plusleurs devoirs dans la rue

> SAINT-ETIENNE

 / Boris Ivanoff

Originaire de Saint-Just-Saint-Rambert, Audrey Perez, 24 ans, connaît ses heures de célébritéen participant à Koh-Lanta. Elle succède à Patrick Merle, le Roannais finaliste de la 9 e édition

 Avec Audrey Perez,la Loire estencore à l’épreuve de Koh-Lanta 

 V ingt-quatre ans, sportive,active, fraîche, et… Pon-

trambertoise Audrey Perezparticipe à la dixième saisonde Koh-Lanta actuellementdiffusée sur TF1. Au télé-phone,la voixunpeu fébrile,elle raconte son histoire .

« Un soir, il y a un an, j’étaisavecdescopines à lamaisondevant la télé, on a vu des

pubs pour s’inscrire à Koh-Lanta. Mes amies m’ont ditquec’étaitfaitpour moi, que

 jedevraisle faire.Alorsje mesuis prise au jeu ! » Audrey rédigealors salettre demoti-vation, monte à Paris pourpasser les castings et… « àpartirdelà, j’étais sûrdevou-loir le faire, c’est devenu undéfi personnel ! » Entretiens,tests sportifs, médicaux etpsychologiques s’enchaî-nent.Le tournage de l’émission sedéroule entre avril et maiau Vietnam. Les débuts sontdifficiles : «je me suis faitpiquer par des bêtes, j’enavais sur tout le corps ! Pourmoi, ce fut une expériencetrès difficile en terme denourriture, de chaleur, etde sommeil. Sur l’île, on serend compte que sans lesmachines et sans son con-fort,la vieestdifficile auquo-

tidien ! Cette expériencerestera gravée dans mamémoire pendant long-temps. » Audrey fait partiede l’équipe des Vang, les

 jaunes qui luttent contre lesrouges : les Do. Mais cetteannée la production del’émission a choisi de résu-mer l’affrontement entre lessexes : féminin contre mas-culin. Durant l’aventure,

 Audrey a eu Waffa, commemeilleure complice.La jeune fille n’a qu’unregret : « je me suis surtoutfixée sur les épreuves, passur la vie de camp, la viecommune.» 100% pontram-bertoise pur souche, Audrey est allée au collège Anne-Frank, puis au Lycée Fran-

çois-Mauriac d’Andrézieux où elle obtient son bac en2004. Elle étudie ensuitel’espagnol à la Fac de Saint-Etienne, pour finalementse spécialiser dans l’immo-bilier au lycée Teznas duMontcel. Aujourd’hui elletr a va i l le c om me a g e ntimmobilier dans la Loire.L’émission a permis demettre en avant ses capaci-tés sportives : elle pratiquela danse et la course à pied.« Dans quelques années,

  j’aimerais ouvrir un com-merce ! »Et maintenant, demande-t-on , où ê te s- vous ? Quefaites-vous ? « Je ne peux pasvous l e d i r e , j e m e s ui sabsentée pour raisons per-sonnelles. » L’émission étante n c ours d e d i ffus i on,

 Audrey est tenue au secretpar la production. La jeunePontrambertoise a passé le

cap des deux premiers épi-sodes. Reste à voir jusqu’oùelle ira. Début de réponsepeut-être ce soir.

  Aurélien Marty 

Jeune, sportive, hargneuse, à 24 ans, la jeune Ligérienne relève le défi de Koh-Lanta. Tenue ausecret de la production, impossible de dire où elle est et jusqu’où elle ira dans l’émission / DR

« Cette expérienceresteralongtempsgravéedans ma mémoire »

PATRICK MERLE40 ans, finaliste roannaisdu précédent Koh-Lanta

Bien sûr que je regarde lanouvelle édition de Koh-Lanta,d’autant qu’il y a cette annéeune candidate de la Loire. Je nelâche pas l’affaire. C’est sym-pathique d’avoir séparé pourcette édition les garçons et lesfilles dans deux équipes dis-tinctes. Mais il va sûrement yavoir du changement par lasuite.Cette expérience va de toute

façon changer la vie des can-didats. Un an après cette aven-ture,je voisla viedifféremment.Je suis plus zen. J’en profiteplus, mais j’ai arrêté de faire

du quad. Je suis plus impli-qué dans la vie associativede mon village (Saint-Sym-phorien-de-Lay, Ndlr), où jem’occupe des gosses dansl e s c l u bs d e f o ot e t d ebasket. Ceci dit, je suis tou-jours teinturier à Tarare. End é c e m b r e d e r n i e r , o n aacheté avec ma femme quiest coiffeuse, les murs d’unsalon de coiffure où on a faitbeaucoup de travaux. Débutn o ve m b re , j e va i s à P a r i spour le salon de la coiffure.

Je vais revoir d’anciens can-d i d a ts d e K o h - L a n ta l o rsd’une soirée, dont certainsqui voulaient me connaître.

« Bien sûr que je regarde la nouvelle édition, je ne lâche pas l’affaire »

 / Archives TF1 Christophe Chevalin

« Tant que Sarkozy n’aurapas appliqué les directivesde la Communauté euro-péenne, je refuserai de m’ali-menter ». Nancy Bernad a lavoix faible lorsqu’elle nousappelle, hier. Elle en serait àsondix-huitièmejourde grèvede la faim et sa santé sedégrade.« J’ai perdu9 kg» dit-elle.C’est d’ailleursce quia motivésonhospitalisation : « Je souf-fred’insuffisance rénaleet monmédecin a jugé préférable deme faire conduireà l’hôpital».Elle est donc actuellementsous perfusion mais reste

déterminée : « Je n’ai pasl’intention d’arrêter moncombat ».Son fils s’est dit « rassuré »par cette hospitalisation. « Jesuis inquiet depuis le jour oùellem’aannoncéson intention

de faire grève de la faim »dit-il.

J.-H. A.

 / Yves Salvat

Nancy Bernad hospitaliséesuite à sa grève de la faim

> SAINT-ETIENNE

La pollution a vite été iden-tifiée, de l’huile provenait

du17,rue desChambons.Unepropriétévenduele 28octobre,3 jours avant les inondationspar Christiane Garnier. C’estsur ce site qu’elle avait exploi-té avec son mari, (aujourd’huidécédé), jusqu’en 1987, uneactivité de transport routier.Elle s’installait ensuite à LaFouillouse, la SARL changeaitde statut pour devenir SAS,modifiant juste son pôled’actionnaires, sans changerde personnalité morale.

C’est pourquoi, hier à la barredu tribunal de Montbrisoncomparaissaient ChritianeGar-nier, et le représentant de la

personne morale SAS Trans-port Garnier.Lespréjudices réclamés parlesparties civiles sont consé-quents, des milliers d’euros.La ville d’Andrézieux réclametous préjudices confondus249 000 euros. L’huile prove-nait d’une cuve de 3 000 l,enterrée dans un dépôt de lapropriété. La pollution s’estétendue sur un hectare, 25 m3

de boue polluée ont été récu-pérés par la ville.Lam unicipalitéa, depuis, saisile tribunal administratif pourprésenterla facturede cechan-tier à la sociétéTransportGar-nier.Le jugementn’esttoujourspas rendu. Les prévenus se

défendaienten disant, « nepasconnaître l’existence de cettecuve », et que pour eux, « lorsdudépartdu site,ellesavaientété nettoyées, cuve à gasoil etcuve à huile. De plus pour leshuiles usagées, à l’époquel’entreprise était même payéepourse débarrasserdes huiles. Aujourd’huion nousle faitgra-tuitement ».Questionnement du tribunaltenu par laprévention,là c’est

lecode del’environnementquiest cité, article 216-6 quiévoque le faitde « jeter,déver-ser ou laisser s’écouler desdéchets dans l’eau ». Or dansce cas de figure, c’est l’eauqui vient au déchet ! L’articleparle encore de « porteratteinte au milieu, faune etflore ».Pourl’avocatdela socié-té « maisons, façades, pis-cines, ce n’est donc pas monproblème. Quant à la ville,

ellearriveraà sesfinsdevantletribunal administratif ». Ilposaitleproblèmede«lapres-criptionen matièred’environ-nement.Ça fait toutde mêmeplus de 20 ans que la sociétén’exerce plus sur ce site ».Mmela présidenteauraitsou-haitéqueles enquêteursjouentplusaux «experts.Àqui appar-tient cette huile, soit la socié-té n’a pas nettoyé, soit elle l’afait.Onauraitpu datercesrési-

duspour plusd’informations».Le procureur rappelait qu’ilavait cherché une alternativeaux poursuites, « pour uneréparation rapide des vic-times ; le débat entre la socié-té et son assureur n’a paspermis d’yarriver».Il réclamaitune amende de 4 500 euroscontre Mme Garnier, amendemultipliée par 5 pour la socié-té. Délibéré le 21 octobre.

Françoise Salle

« La puissance publique municipale s’est d’ailleurs beaucoup plus vite mobilisée que la puissance étatique »,a souligné le procureur au tribunal / Archive Marie-Anne Leca

Le code del’environnement alonguement fait débat

Fin 2008, après la crue de la Loire, Andrézieux-Bouthéon devait faire face à une pollution aux hydrocarbures. En cause, une société de transport fermée en 1987. La ville réclame 249 000 euros

Pollutionaux hydrocarbures:qui va payer, 23 ans après ?

Braquage de Saint-Just-la-Pendue :dix ans ethuit ans de prisonA l’issue de quatre jours dedébats, et d’un délibéréde plusde cinq heures, la cour d’assi-sesde laLoirea condamnéhiersoir deux jeunes Ricaman-doisSophiane Tadjouri,24 anset Abdelmajid Ben Fadhl, 22ans respectivement à despeinesde dixansde réclusionet de huitannées d’emprison-nement. Tous deux étaient

accusésd’unvol à mainarméecommis le 24 janvier 2008 àSaint-Just-la-Pendue, dans leRoannais. Ils reconnaissaientles faits tout comme un troi-sième homme Ahcène Beld-jehem,28 ans,accusé, poursapart,de complicitéde volavecarme qui a écopé d’une peinede septannéesd’emprisonne-ment.Les jurés ontdoncsuivil’avocat général s’agissant deMM. Tadjouri et Beldjehem,maiils sontdescendusen des-sousdes réquisitions(10 ans)

pour M. Ben Fadhl. Troisfemmes étaient poursuivieségalement dans ce dossier,la justice estimant qu’ellesavaient porté assistance auxauteursduvol,parfoisdanslecadre d’un « amour aveu-gle » ou une certaine incon-science du moment. MmeMichelle Chassaing, 54 ans,dontl’appartement avaitservi

de retraite aux trois hommes,a été condamnée pour cetteassistanceet le receld’argentprovenant du vol à une peineavec sursis (trois ans) le juryestimantqu’iln’yavaitpas lieude la renvoyer en détentioncomme l’avait requis l’avocatgénéral. Deux jeunes femmesl’une de 20 ans, en partieacquittée, et la seconde, 22ans, condamnées pour recelont écopé d’un an et six moisde prison avec sursis.

 A. C.

> ASSISES DE LA LOIRE

L’adjointe au maire de Brulliolesdécède dans un accidentUn tragique accident est sur-venu hier, vers 17 h 30, sur laroutedépartementale101,surla communede Saint-Laurent-de-Chamousset. Sur la chaus-sée glissante, la conductriced’une Renault Clio a perdu lecontrôle desa voiture dans unecourbe. Son véhicule est allépercuté un 4x4 qui arrivaiten face. Malgré leseffortsdesservices de secours, la conduc-trice, victime d’un arrêt car-

diaque, n’a pu être réanimée.Souffrant authorax,le conduc-teur du 4x4 a été conduit àl’hôpitalde Feurs.Née en 1956,la conductrice,Marie-Josephe

Berger, était la troisièmeadjointe au maire de Brullio-les, dans les Monts du Lyon-nais.

> SAINT-LAURENT-DE-CHAMOUSSET

 / Michel Varliette

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