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Couples

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Des études sociologiques démontrent les conclusions suivantes. Dérangeantes pour les uns, rassurantes pour les autres, elles indiquent que l’institution du mariage est loin d’être rayée de notre société. Les

bénéfices vont au-delà des sentiments du couple en affectant notre santé, notre situation économique et le bien-être de la génération suivante. Le résultat est que la meilleure manière d’assurer ces bénéfices est d’établir une relation stable dans le mariage entre un homme et une femme, et ce pour la vie. La meilleure façon de protéger et d’aider les enfants est de protéger et d’aider le mariage.1 C’est pourquoi le mariage devrait être encouragé et soutenu par le gouvernement, la société et les individus de toutes les manières possibles et imaginables.

Depuis les plus lointaines traces de l’espèce humaine, les hommes et les femmes se sont donné en mariage. Cela n’est pas ringard. La meilleure ressource dont nous disposons se trouve dans les familles. C’est pourquoi la force et la qualité des familles de notre pays détermineront leur bonheur. La qualité des relations dans le mariage est déterminante pour le destin de la nation.2 Pour toutes ces raisons, le mariage nécessite la protection totale, tant économique que légale.

En Suisse, le mariage est considéré comme une question strictement privée, ce qui n’a pas empêché les autorités de profiter en matière de taxation. Il est cependant temps d’avoir une campagne au plan national, afin de fournir les informations sur les bénéfices du mariage tels qu’ils figurent dans ce document de recherche. Il est vrai que le choix de se marier est personnel, mais votre mariage est une propriété publique, comme Dietrich Bonnhoefer l’a remarqué: «Ton amour est ta possession privée, mais le mariage est plus que quelque chose de personnel, c’est un état, un statut.»3 Le mariage a besoin du soutien total du gouvernement à toutes les étapes et à tous les niveaux, y compris le conseil prénuptial, l’information sur le mariage, l’enrichissement au cours du mariage et les conseils prédivorces. MarriageWeek

Suisse estime qu’il faudrait d’importantes ressources financières pour soutenir et renforcer le mariage. Dans une société occidentale où le taux de divorce avoisine cinquante pour cent4, certains se découragent. Les couples qui se marient ne s’attendent pas à figurer dans cette statistique. Protéger et encourager leur rêve d’une union pour la vie et leur donner les moyens de l’accomplir est tout simplement de notre devoir.

Selon une récente étude sur la famille, de septante-cinq à nonante-cinq pour cent des jeunes désirent fonder un mariage5 stable et solide, avoir des enfants et établir une relation de famille où l’amour, le respect et la tendresse font partie du quotidien. Les cinq jeunes couples dont les photos figurent dans ce document illustrent bien ces propos.

Définir le mariage en quelques mots est un défi très grand. Pour nous, il est une union sacrée (dans le sens large du terme) qui exprime la complémentarité de notre masculinité et de notre féminité. C’est bien plus qu’un contrat, c’est un engagement à vie.

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en Suisse

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Famille6ÉCONOmIE 8Santé

physique et longévité

SANTE

12Bien-être émotionnelet santé mentale16

Délits et violence domestique

COmPOrTEmENT

18

Pourquoile mariageest-il important?

4

SOmmAIrE

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Les conclusions des sciences sociales

Il y a eu une nette augmentation, sur les deux générations passées, de la proportion des enfants ne vivant pas avec leurs deux parents mariés. Cela est d’abord

dû par l’augmentation des divorces et, plus récemment, par une nette hausse de couples non mariés avec enfants. Un houleux débat public a mis en évidence ces changements dans la structure familiale et a généré une imposante littérature dans les sciences sociales sur les conséquences de la fragmentation familiale.

Ce rapport tente de résumer cette recherche scientifique en une forme suc-cincte pour qu’elle soit accessible à tous, quel que soit le débat sur la famille, afin de témoigner également de ce que nous savons sur l’importance du mariage dans nos familles et dans nos systèmes sociaux. Les études proviennent de différents pays.

Le mariage a énormément changé ces deux dernières générations, y compris en ce qui concerne l’incidence et l’acceptation sociale du divorce, du concubinage, des relations sexuelles avant le mariage et d’enfants nés hors

mariage. D’autres changements impor-tants révèlent un accroissement marqué de femmes qui travaillent, une tolérance réduite pour la violence domestique (mais malheureusement pas de son inci-dence) et une modification du rôle des deux sexes. Sur les quarante dernières années, tant les hommes que les femmes admettent une plus grande participation des hommes dans les tâches ménagères, de même que des femmes qui travail-lent, avec une différenciation diminuée entre le rôle des hommes et celui des femmes. Pour ce qui est des bénéfices du mariage, la recherche montre une évidence nette de continuité plutôt que de changement ou de déclin.

Les sciences sociales sont mieux équipées pour affirmer ou non si certains faits sociaux sont vrais plutôt que pour expliquer pourquoi ils le sont. Nous pouvons dire d’une façon plus péremptoire que le mariage est associé à une certaine puissance sociale, plus définitivement que nous pourrions dire que le mariage est l’unique ou la principale cause de ces acquis sociaux.

Une bonne recherche essaie de démêler ce que les spécialistes appellent «les

effets de la sélection» ou les différences préexistantes entre les individus qui décident de divorcer, de se marier ou de concevoir des enfants hors mariage. Le divorce est-il par exemple à l’origine de la pauvreté, ou est-ce plutôt les gens pauvres qui divorcent davantage? Les sciences sociales essaient de multiples manières de faire une distinction entre des relations causales et de simples corrélations. Les études citées ici sont pour la plupart d’entre elles fondées sur un vaste échantillon représentatif de l’espèce, du plan familial et autres fac-teurs composants. Dans beaucoup, mais pas dans tous les cas les spécialistes en sciences sociales ont pu démontrer des données longitudinales pour suivre des individus lors de leur mariage, divorce ou célibat, ce qui augmente encore notre sentiment que le mariage a toute son importance. Quand nous considé-rons que le mariage, de notre point de vue, est à la source du bien-être, nous le disons clairement. Là où nous estimons que le mariage pourrait probablement être l’origine de ce bien-être, mais que les liens de causalité ne sont pas bien compris, nous sommes plus prudents.

Que savons-nous au juste au sujet de l’importance du mariage pour les enfants, pour les adultes et pour la société?

Pourquoile mariageest-il important?

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Nous reconnaissons la possibilité que des facteurs autres que le mariage, le divorce ou les parents célibataires puis-sent influencer les résultats. Relative-ment peu d’études sur les structures familiales mettent en évidence le rôle de la génétique, et certains chercheurs pourraient ne pas être d’accord sur l’existence et l’importance de ces sélec-tions tendant à dire que le mariage est directement lié au bien-être social tel que rapporté ici.

Bien entendu, les circonstances indi-viduelles peuvent varier.6 Alors que le divorce est associé à de sérieux risques psychologiques pour les enfants par exemple, la majorité des enfants de divorcés ne sont pas mentalement atteints.7 Alors que le mariage est un bien socialement parlant, tous les mariages ne sont pas égaux. Générale-ment, la recherche n’admet pas l’idée que le remariage est préférable pour les enfants plutôt que de vivre avec une mère célibataire.8 Les mariages mal-heureux n’offrent pas le même bénéfice que le mariage type.9 Le divorce ou la séparation offrent une importante sortie de secours pour les enfants et les adultes dans des situations de conflits graves et

violents. Les familles, les communautés et les politiques qui s’intéressent à répartir les bénéfices du mariage d’une manière plus équitable doivent faire bien davantage que simplement dis-suader le divorce sur le plan légal.

Les sciences sociales sont vraiment mieux à même de répondre à des questions d’ordre général (par exem-ple: Les taux élevés de divorce et les enfants conçus hors mariage sont-ils susceptibles de diminuer le bien-être général des enfants?), que de répondre à des questions concernant directement des parents (par exemple: Mes enfants en particulier, dans mes circonstances personnelles, seront-ils marqués ou aidés par le divorce?).

Nous croyons que les sciences sociales bien utilisées, en dépit de leurs limites, sont un meilleur guide de la politique sociale que la non-information ou le préjudice. Le grand public et les politiciens méritent d’entendre ce que la recherche suggère au sujet des conséquences du mariage ou de son absence auprès des enfants et des adultes. Ce fascicule représente notre meilleur jugement de ce que

révèlent les sciences sociales au sujet de l’importance du mariage dans notre système social. Notre conclusion fondamentale est que

le mariage est un acquis social important en rapport avec un tableau très étendu de résultats positifs pour les enfants autant que pour les adultes.La structure familiale et ses processus sont, bien entendu, l’un des facteurs qui contribuent au bien-être social des enfants. Notre propos ici n’est pas de minimiser l’importance des autres facteurs socio-économiques comme la pauvreté, l’aide à l’enfance, le chômage, la sécurité dans le voisinage ou la qualité de l’éducation des parents et des enfants. Que notre société réussisse ou non à créer une culture du mariage saine est indiscutablement une affaire qui concerne légitimement le grand public.

INTrODuCTION

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Famille

1 Le mariage augmente les probabilités que les pères entretiennent

de bonnes relations avec leurs enfants.

Tant les mères que les pères sont affectés par l’absence de mariage. Les mères célibataires expérimentent davantage de conflits et moins de surveillance de leurs enfants que celles mariées.10 A l’âge adulte, les enfants de mariages heureux disent être plus proches de leur mère que les enfants du divorce.11 Dans une étude en Australie, trente pour cent des jeunes adultes dont

les parents sont divorcés signalent des relations lointaines avec leur mère par rapport aux seize pour cent des enfants dont les parents sont restés mariés.12

Les relations des enfants avec leur père sont encore plus risquées. Soixante-cinq pour cent des jeunes adultes de parents divorcés entretiennent de mauvaises relations avec leur père (par rapport aux vingt-neuf pour cent des familles non divorcées).13 En moyenne, les enfants dont les parents divorcent ou ne se marient jamais voient leur père moins fréquemment14 et éprouvent moins d’affection pour eux15 que les enfants dont les parents sont mariés et le sont restés. Le divorce semble avoir encore

un impact plus négatif sur les relations entre les pères et leurs enfants quedans la continuation d’un mariage malheureux.16

Comme l’a dit le professeur de socio-logie à l’Université de l’Etat de Penn-sylvanie, David Eggeben, «la preuve est là et il est évident que les pères ont de l’importance dans la vie de leurs enfants. Des centaines d’études sur les vingt dernières années ont montré un impact net sur leurs enfants».17 Les effets nocifs de l’absence de père ont été bien documentés.»18

Les adultes qui vivent ensemble ressemblent davantage à des célibataires qu’à des couples mariés en termes de santé physique.

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2 Le concubinage n’a pas la même dynamique que le mariage.

En tant que groupe, les concubins du monde occidental ressemblent plus à des célibataires qu’à des personnes mariées.19 Les enfants de concubins en arrivent à des résultats plus similaires à ceux d’enfants de parents célibataires ou remariés qu’à ceux de mariages intacts.20 Les adultes qui vivent ensemble ressemblent davantage à des célibataires qu’à des couples mariés en termes de santé physique,21 bien-être émotionnel et santé mentale,22 de même pour leurs actifs et leur salaire.23

Les effets de la sélection comptent pour une large partie dans la différence entre les personnes mariées et les concubins. En tant que groupe, les concubins (qui ne se sont pas engagés) ont des revenus moindres et moins d’éducation.24 Les couples qui vivent ensemble, d’une manière générale, vivent des relations de moindre qualité que les couples mariés; les concubins font état de davantage de conflits, de plus de violence et d’un moindre degré de satisfaction et d’engagement.25 Même les parents biologiques qui cohabitent ont une moindre qualité relationnelle et sont davantage susceptibles de se séparer que les parents qui se marient.26 Le concubinage diffère du mariage en partie parce que les couples qui choisissent simplement de cohabiter sont moins engagés dans les relations à long terme.27

De même, des preuves à l’échelle mondiale démontrent que le concubinage avec enfants tendrait à se dissoudre quatre à cinq fois plus que le mariage. Regardez ce qui se passe en Nouvelle-Zélande, pays non atypique. Dans l’étude du développement de l’enfant de Christchurch, le concubinage est clairement le risque majeur de dissolution de la famille d’un enfant dans ses cinq premières années. Il y a près de quarante-quatre pour cent des couples séparés de facto et près de onze pour cent de ceux qui étaient mariés.28

3 Grandir en dehors du mariage augmente la probabilité que,

plus tard, les enfants divorcent ou deviennent des parents non mariés.

Les enfants dont les parents divorcent ou décident de ne pas se marier sont davantage susceptibles de devenir des parents non mariés ou de divorcer eux-mêmes, d’avoir un mariage et/ou des relations malheureux.29 Les filles élevées en dehors du mariage sont environ trois fois plus susceptibles de devenir de jeunes mères non mariées que celles dont les parents sont et restent mariés.30 Le divorce parental double approxima-tivement les probabilités que les enfants devenus adultes divorcent également. Le divorce peut donc apparemment se transmettre au fil des générations quand

les parents, avec relativement peu de conflits, ont divorcé.31

4 Le mariage est une institution humaine presque universelle.

Le mariage existe dans pratiquement toutes les sociétés humaines connues.32 Les structures exactes des familles qui existaient dans la société préhistorique ne sont pas connues, et la forme du mariage humain varie considérablement dans des contextes culturels différents. Au moins depuis le début de l’histoire relatée, et dans toutes sortes de cultures humaines documentées par les anthropologues, le mariage a été une institution universelle sur le plan humain. En tant qu’idée omniprésente, universelle et humaine, il fait office de régulateur de la reproduction des enfants, des familles et de la société. Alors que les systèmes de mariage diffèrent (et non pas chaque personne ou classe de la société qui se marie), le mariage au travers des sociétés admet-tait et encourageait l’union sexuelle qui génère les obligations de parenté et le partage des ressources entre les hommes, les femmes et les enfants que leur union sexuelle pourrait engendrer.

FamilleFAmILLE

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5 Le divorce et la maternité hors mariage augmentent la

pauvreté pour la mère comme pour l’enfant.

La recherche a constamment démontré que tant le divorce33 que la maternité34 hors mariage augmentent la vulné-rabilité économique aussi bien pour les enfants que pour les mères. Les effets de la structure familiale sur la pauvreté demeurent puissants, même

sans tenir compte de l’espèce ou des antécédents familiaux. Les changements de la structure familiale sont une cause importante d’entrée dans la pauvreté (bien que la diminution des revenus du chef de famille soit la cause principale). Les taux de paupérisation des enfants sont très élevés justement à cause de l’augmentation du nombre de familles monoparentales.35 Quand les parents ne se marient pas, les enfants ont de grandes chances d’expérimenter une pauvreté grave et persistante, même en ne tenant pas compte de l’espèce et des

antécédents familiaux. La majorité des enfants qui grandissent en dehors de familles mariées vont expérimenter au moins une année de pauvreté (reve-nus familiaux à la moitié du seuil de pauvreté).36 Le divorce et la maternité hors mariage jouent un grand rôle; entre un cinquième et un tiers des femmes divorcées sombrent dans la pauvreté après leur divorce.37 En Suisse, il implique une baisse du niveau de vie de trente pour cent, des fins de mois difficiles, l’endettement, et trop souvent les services sociaux.38

EconomieLes hommes mariés semblent avoir plus d’engage-ment dans leur travail, un taux d’absentéisme moindre et un style de vie plus sain et plus stable.

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Publication originale © 2004, Revision © 2009. Publié par Dads4KidsFatherhood Foundation, PO 542, Unanderra NSW 2526 Australiaen collaboration avec The National Marriage Coalition in Australiaand New Zealand. Titre original: 21 reasons why marriage matters.Remerciements à David Blankenhorn, Institute for American Values, NY, E.-U., pour la permission d’utiliser les extraits de sa recherche, et à Bill Muehlenberg, éditeur de la revue en Australie. Remerciements à Berg

Photography www.bergportraits.com, Mark Bruinenberg et NorelleO’Sullivan et autres photographes. Edition Suisse © 2011 en collaborationavec Ressources pour la famille, et nos remerciements à Dave Percival,2-in-2-1, d’avoir contribué à certaines recherches. Traduction en français: Béatrice Crittin. Merci à Sylvie Combernous, Henri-Louis et Chantal Doge et Danièle Stalder de leur travail sur les textes en français. Graphisme pour l’édition suisse: Daniel Marsh.

Remerciements

www.marriageweek.ch | CP 8, 1000 Lausanne 21 | [email protected]

Nikki et Andy Bray: directeurs et fondateurs de Family Life New Zealand, Auckland, NZ.

William J. Doherty: professeur de sciences sociales de la famille et directeur du Marriage and family therapy program à l’Université de Minnesota, E.-U.

William A. Glaston: professeur à la School of Public Affairs et directeur de l’Insitute for Philisophy and Public Policy à Université du Maryland, E.-U.

Novral D. Glenn: professeur de sociologie et d’études américaines à l’Université du Texas, E.-U.

John Gottmann: professeur de psychologie à l’Université deWashington et cofondateur du Gottmann Institute, E.-U.

Bob McCoskrie: directeur national de Family First New Zealand, Manujau City, NZ.

Barbara Markey: directrice associée pour le Center for Marriageand Family à l’Université de Creighton, directrice de Catholique Archdiosese of Ohama’s Family Life Office, E.-U.

Alison et Warwick Marsh: fondateurs et directeurs de Dads4Kids Fatherhood Foundation, Wollogong, New South Wales, AUS.

Paul Marsh: sociologue et coach pour couples, coordinateur national de MarriageWeek Suisse.

Howard J. Markmann: professeur de psychologie et codirecteur pour le Center for Marital and Family Studies à l’Université de Denver, E.-U.

Bill Muehlenberg: fondateur de Culture Watch et secrétaire de la Family Council of Victoria, Melbourne, AUS.

Stephen Nock: professeur de sociologie à l’Université de Virgine, E.-U.

Roslyn et Dr D. Philipps: responsables de Family Voice Australia, Adélaïde, AUS.

Dave Percival: chercheur en sociologie, directeur et fondateur de 2-in-2-1, GB.

David Popenoe: professeur de sociologie et codirecteur de TheNational Marriage Project à l’Université de Rutgers, E.-U.

Dwight Randall: directeur de Live Ministries, Perth, AUS.

Gloria G. Rodriguez: fondatrice et présidente d’AVANCE, Inc., San Antonio, Texas, E.-U.

Isabel V. Sawhill: professeur, Brookings Institution Washington D.C., et présidente pour la National Campaign to Prevent Teen Pregnancy, E.-U.

Scott M. Stanley: codirecteur du Centre for Marital and Family Studies à l’Université de Denver, E.-U.

Linda J. Waite: professeur de sociologie à l’Université deChicago, E.-U.

Judith Wallerstein: psychanaliste pour enfants et chercheur dans le domaine de la famille et du mariage à Belvedere, Californie, E.-U.

Auteurs et contributeurs

Des exemplaires supplémentaires de ce prospectus sont disponibles auprès de MarriageWeek Suisse. Publication: MarriageWeek © 2011 tous droits réservés | Edition: Stand-by

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