SABINEWEISS
#SabineWeiss
DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DES PARTENARIATS
DOSSIER DE PRESSE
SABINE WEISSLES VILLES, LA RUE, L'AUTRE20 JUIN - 15 OCTOBRE 2018
SABINE WEISS LES VILLES, LA RUE, L'AUTRE20 JUIN - 15 OCTOBRE 2018GALERIE DE PHOTOGRAPHIES, FORUM -1
SOMMAIRE
1. COMMUNIQUÉ DE PRESSE PAGE 3
2. PLAN DE L'EXPOSITION PAGE 5
3. TEXTES DES SALLES PAGE 6
4. LISTE DES ŒUVRES EXPOSÉES PAGE 8
5. BIOGRAPHIE DE SABINE WEISS PAGE 11
6. BIOGRAPHIES DES AUTRES ARTISTES EXPOSÉS PAGE 15
7. PUBLICATIONS PAGE 16
8. AVANT-PROPOS DU CATALOGUE PAGE 17
9. VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE PAGE 18
10. INFORMATIONS PRATIQUES PAGE 26
direction de la communicationet des partenariats75191 Paris cedex 04
directeurBenoît Parayretéléphone00 33 (0)1 44 78 12 [email protected]
attachée de presseÉlodie Vincenttéléphone00 33 (0)1 44 78 48 [email protected]
www.centrepompidou.fr
Mai 2018
#SabineWeiss
VISITE PRESSE
LUNDI 18 JUIN DE 11H À 13H
EN PRÉSENCE DE L'ARTISTE
direction de la communicationet des partenariats75191 Paris cedex 04
directeurBenoît Parayretéléphone00 33 (0)1 44 78 12 [email protected]
attachée de presseÉlodie Vincenttéléphone00 33 (0)1 44 78 48 [email protected]
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#ExpoSabineWeiss
Sabine WeissPlace de la Concorde, Paris, France 1953© Centre Pompidou, MNAM-CCI/P.Migeat/Dist. RMN-GP © Sabine Weiss
Mai 2018
COMMUNIQUÉ DE PRESSESABINE WEISSLES VILLES, LA RUE, L’AUTRE20 JUIN - 15 OCTOBRE 2018GALERIE DE PHOTOGRAPHIES, FORUM-1
L’exposition présentée au public dans la Galerie de photographies rassemble près de quatre-vingts photographies vintage, pour la plupart inédites, de Sabine Weiss sur le thème de la rue et couvre les années de 1945 à 1960. Les photographies présentées sont issues d’un achat par le musée national d’art moderne et d’un don récent de la photographe, qui a souhaité confier un ensemble significatif de photographies au Centre Pompidou.
Sabine Weiss est aujourd’hui la dernière représentante du grand courant de la photographie dite humaniste. Ce courant, typiquement français, a souvent été à tort réduit à des images sentimen-
talistes. Les photographes humanistes français, pour la plupart réunis au sein de l’agence
Rapho (Edouard Boubat, Robert Doisneau, Jeanine Niépce, Willy Ronis…) ont rendu compte de
leur époque en adoptant une démarche d’observation sociologique et non critique. Sabine
Weiss, comme ses collègues, s’intéresse au quotidien. Dans ces photographies, réalisées pour
elle-même, dans les moments libres, elle pose un regard à la fois doux et compréhensif sur les
habitants de sa ville. Sabine Weiss est à la recherche des beautés simples des moments
suspendus, de repos ou de rêverie sans pour autant cacher la pauvreté du quotidien de l’Europe
de l’après-guerre. Ses œuvres sont pleines de lumière, de jeux d’ombres et de flous mais elles
témoignent aussi et surtout d’un engagement de la photographe en faveur d’une réconciliation
avec le réel. L’exposition propose de réactualiser le regard posé sur cette production, riche et
variée, qui par bien des aspects dépasse le seul contexte de la photographie humaniste. Cette
nouvelle lecture du travail de Sabine Weiss est rendue possible par la mise en regard de ses
archives personnelles avec ses œuvres et celles de quatre artistes contemporains – Viktoria
Binschtok, Paul Graham, Lise Sarfati et Paola Yacoub – qui travaillent sur la thématique de la
Avec le soutien de
En partenariat média avec
4
COMMISSARIAT
Karolina Ziebinska-LewandowskaConservatrice, cabinet de la photographie, musée national d’art moderne
En collaboration avec Florian Ebner, chef du cabinet de la photographie
et Emmanuelle Etchecopar-Etchart, attachée de conservation
rue et de la ville contemporaines, avec des approches radicalement différentes, mais qui font écho à la
démarche de la photographe.
SÉQUENCES DE L’EXPOSITION :LA VILLE DE BRUME ET DE LUMIÈRE
LA VIE DES VILLES
SÉQUENCE - DYNAMISME DES SITUATIONS
MOSCOU – RÉALITE CACHÉE DES CHOSES
NEW YORK - MÉTROPOLE PHOTOGRAPHIÉE
Née en 1924, en Suisse, Sabine Weiss s’intéresse très tôt à la photographie et décide de faire de sa passion un métier. Durant la guerre, elle est
apprentie au studio Boissonnas, à Genève, et décide de s’installer à Paris après l’armistice. Elle travaille quelques années avec le photographe
Willy Maywald qui l’introduit dans le milieu de la mode et de la haute société parisienne. Peu après, elle devient photographe indépendante et
publie abondamment dans la presse illustrée : Paris Match, The New York Times, Life, Picture Post, Die Woche. Sabine Weiss publie son premier
reportage photographique à vingt et un ans, en 1945.
À vingt-huit ans, elle participe à l’exposition « Post-War European Photography » au MoMA New York et rejoint l’agence Rapho. En 1954, l’Art
Institute of Chicago lui consacre une exposition individuelle qui fera le tour des États-Unis. L’année suivante, en 1955, trois de ses photographies
figurent dans l’exposition « The Family of Man » au MoMA.
Elle travaille également pour l’édition française de Vogue tout au long des années 1950 et réalise des reportages à l’étranger et des publicités
pour de grandes agences de communication. En parallèle, Sabine Weiss se consacre à des travaux plus personnels. Elle photographie des
enfants jouant dans les terrains vagues de son quartier, Porte de Saint-Cloud mais aussi la ville de Paris, son quotidien, son métro, ses marchés
aux puces…
CATALOGUE
Sous la direction de Karolina Ziebinska-Lewandowska
À l’occasion de l’exposition un catalogue est coédité par le Centre Pompidou et les éditions Xavier Barral.
Richement illustrée, la publication montre des images peu connues de Sabine Weiss, réalisées entre 1946 et 1962.
Dans un long entretien la photographe explique son parcours, ses affiliations professionnelles et la réception de son
travail.
ExBÉDITIONS
xAVIER BARRAL
SAB
INE W
EISS LES VILLES L
A R
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uTR
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SABINE WEISSLES VILLES LA RuE
L’AuTRE
SOuS LA DIREcTION DE KAROLINA ZIEBINSKA-LEWANDOWSKA
cOLLEcTION DE phOTOgRAphIESDu cENTRE pOmpIDOu
ÉDITIONS Du cENTRE pOmpIDOu ÉDITIONS xAVIER BARRAL
5
2. PLAN DE L'EXPOSITION
GALERIE DE PHOTOGRAPHIES, FORUM NIVEAU -1
SCÉNOGRAPHIE : LAURENCE FONTAINE
Moscou
New York
Séquences Villes de brume et de lumière Introduction
EntréeSortie
Villes de brume et de lumière
New York La vie des villes
6
INTRODUCTIONSabine Weiss publie son premier reportage photographique à vingt et un ans en 1945. Huit ans plus tard,
elle participe à l’exposition « Post-War European Photography » au Museum of Modern Art de New York et
rejoint l’agence Rapho. En 1954, l’Art Institute of Chicago lui consacre une exposition individuelle qui fera
le tour des États-Unis. L’année suivante, en 1955, trois de ses photographies figurent dans l’exposition
« The Family of Man » au MoMA à New York. Sabine Weiss est aujourd’hui la dernière représentante du
grand courant de la photographie humaniste.
Au travers de cette exposition qui couvre la période 1945-1960, correspondant aux années confuses et
précaires de l’après-guerre, le Centre Pompidou propose une nouvelle lecture des photographies de
Sabine Weiss. Ce regard inédit sur son travail a pu se faire à partir de ses propres archives et révèle un
œuvre riche et varié, témoignage de sa spontanéité.
Les photographies de Sabine Weiss, issues d’un don et d’une acquisition récente, dialoguent avec les
œuvres de quatre artistes contemporains –Viktoria Binschtok, Paul Graham, Lise Sarfati et Paola Yacoub–
travaillant sur la thématique de la rue et de la ville contemporaine. Leurs approches radicalement
différentes permettent de poser un nouveau regard sur l’œuvre de la photographe humaniste.
VILLES DE BRUME ET DE LUMIÈRELes villes, et surtout Paris, brillent et scintillent dans l’objectif de Sabine Weiss. La photographe n’a peur
ni des reflets tremblants, ni des flous, ni des brumes qui estompent les premiers plans. Elle incarne le
courant de la photographie humaniste mais certaines recherches formelles sont aussi caractéristiques
de la photographie dite « subjective ». Dans ses balades photographiques à travers la ville, Sabine Weiss
se libère des contraintes techniques et produit des images surprenantes, où le vacarme de la cité semble
avoir disparu. Ces moments de liberté, dans ce Paris apaisé, appareil photo en main, sont des moments
de douceur.
LA VIE DES VILLESDurant presque vingt ans, Sabine Weiss photographie Paris, sa ville d’adoption. Elle aborde les citadins
avec humilité et naturel, sensible aux scènes sans importance. Elle aime les sons et les couleurs de la vie
urbaine, se plaît à sillonner les terrains vagues de la banlieue, peuplés d’enfants espiègles et joueurs.
L’humain est au centre de ses photographies, sans jamais porter de jugement, d’analyse ou de regard
critique. Ce travail personnel est presque entièrement dévolu au quotidien des gens, de toutes les
origines sociales, dans les rues des villes.
MOSCOUSabine Weiss se rend à Moscou en 1961 pour photographier les Ballets russes. C’est l’époque de Nikita
Khrouchtchev, en pleine guerre froide, mais la terreur stalinienne est déjà loin. La mission de Weiss
– une commande du magazine Vogue – n’a rien de politique. La journée, elle déambule dans la ville et
tombe par hasard sur une fête nationale. Elle y photographie les parades, typiques des régimes
3. TEXTES DES SALLES
7
totalitaires, organisées pour démontrer l’unité du peuple. Elle s’attache également à montrer les scènes
périphériques de la fête avec ses observateurs distanciés.
NEW YORKSabine Weiss se rend régulièrement à New York en compagnie de son mari américain, Hugh Weiss.
Là-bas, elle noue rapidement des contacts professionnels et son travail est très bien reçu par la presse et
diverses institutions. Lors de deux de ses voyages, en 1955 et 1962, elle photographie abondamment la
ville, d’abord pour elle-même, puis en réponse à une commande du New York Times Magazine. Loin de la
douceur des vues parisiennes, ces photographies, bouillonnantes, rapides, embrassent le mouvement de
la mégapole. Le rythme de New York impose un autre regard.
SÉQUENCESDans les archives de Sabine Weiss, plusieurs scènes sont captées en séquences par la photographe.
Ces séries de photographies peuvent présenter un aspect anecdotique, telle la scène à l’hippodrome ou
bien s’approcher du sujet d’étude, comme la série des enfants dans le terrain vague. Cette méthode
devance des démarches d’artistes contemporains.
CARTELS DÉVELOPPÉS EN RELATION AVEC LES AUTRES ARTISTES EXPOSÉS
« Des hommes, et parfois des enfants, parcourent les rues de Beyrouth, des bouquets de roses rouges dans les
bras […]. Avec ces fleurs, ils apportent une touche inhabituelle aux rues de Beyrouth. Mais personne ne leur
parle ou n’achète leurs fleurs. Et pourtant, chaque matin, ils retournent au même endroit avec des bouquets de
roses rouges. En fait, en 2002, tout le monde avait peur de ces “fleuristes”, car on les soupçonnait fortement de
faire partie des services secrets syriens. »
Paula Yacoub à propos de sa série « Les fleurs de Damas »
« Cela fait maintenant un moment que je voyage aux États-Unis et je voulais faire quelque chose de plus libre, je
voulais photographier les gens dans les moments les plus ordinaires de leur quotidien – lorsqu’ils tondent la
pelouse ou attendent le bus, fument une cigarette ou encore se rendent au supermarché ou en reviennent. »
Pour sa série « A Shimmer of Possibilities », Paul Graham a développé une forme de narration séquentielle qui lie l’image fixe de la photographie à une vision cinématographique. La banalité du quotidien se transforme et s’universalise en emblème de la condition sociale.
« Dans World of Details, je relie les deux : l’univers numérique et la réalité telle que je l’ai trouvée dans les rues
de New York. (….) Je me suis d’abord rendue virtuellement à New York et j’ai choisi certaines scènes de rue
dans l’immensité des archives de Google Street View. Je me suis intéressée aux piétons photographiés par
hasard, regardant l’objectif d’un appareil qui les a ensuite pris en photo. (….) Dans un second temps, je me suis
rendue physiquement sur les lieux que j’avais sélectionnés grâce à mes photographies de référence pour me
faire ma propre idée du monde réel. Je voulais voir ce que je pourrais découvrir de nouveau dans ces scènes
que je ne connaissais que sur des photos (….) »
Viktoria Binschtok à propos de sa série « Worlds of Details ».
« J’ai travaillé sur la distance pour créer un rapport ambigu de la relation de l’homme au paysage. Mes photo-
graphies sont de grand format et par leur équilibre elles permettent à l’observateur une liberté extrême : celle
de s’attacher au paysage ou à la figure humaine ».
À propos de « Oh Man », série de 17 photographies réalisée en 2012 et 2013 à Los Angeles, Lise Sarfati révèle sa vision métaphorique de l’espace urbain.
8
4. LISTE DES ŒUVRES EXPOSÉES
LISE SARFATIoh man. Phg7_07 2013 de la série Oh Man
2003
Épreuve à jet d’encre pigmentaire
Courtesy Galerie Particulière, Paris,
en cours d’acquisition
PAOLA YACOUBLes fleurs de Damas
2002
Épreuves chromogènes
PAUL GRAHAMSan Francisco de la série Un miroitement de
possibilité
2004-2005
Épreuves chromogènes
VIKTORIA BINSCHTOKFlic n°2, Poubelles
de la série Monde de détails
2012
Épreuves chromogènes
Centre Pompidou MNAM, AM 2016-679
VIKTORIA BINSCHTOKManteaux, couple
de la série Monde de détails
2011
Épreuves chromogènes
SABINE WEISS L’homme qui court, Paris
1953
Collection Sabine Weiss
Paris
1955
Collection Sabine Weiss
Paris
1955
Collection Sabine Weiss
Paris
1955
Collection Sabine Weiss
Paris
1955
Collection Sabine Weiss
Paris
1951
Collection Sabine Weiss
Marché aux puces, rue Soufflot, Paris
1948
Collection Sabine Weiss
Paris
1955
Collection Sabine Weiss
Rue des Terres au curé
1954
Collection Sabine Weiss
Sauf indication contraire, les œuvres sont de Sabine Weiss et appartiennent à la colletion du
Centre Pompidou. Toutes les œuvres de Sabine Weiss sont des épreuves gélatino-argentiques.
9
Avenue de Versailles, Paris
1953
Collection Sabine Weiss
Débardeur, port de Marseille
1946
Collection Sabine Weiss
Courses à Longchamp, Paris
1951
Collection Sabine Weiss
Paris
c. 1946-1948
Marché aux Puces, rue Soufflot, Paris
c. 1946-1948
Jardin du Luxembourg, Paris
1952
Marchande de frites, Paris
Vers 1946-1948
Petit matin brumeux, Lyon
1950
Boulevard Murat, Paris
1950
Enfants dans un terrain vague,
Porte de Saint-Cloud, Paris
1950
Enfants dans un terrain vague,
Porte de Saint-Cloud, Paris
1950
Enfants dans un terrain vague,
Porte de Saint-Cloud, Paris
1950
Enfants dans un terrain vague,
Porte de Saint-Cloud, Paris
1950
Enfants dans un terrain vague,
Porte de Saint-Cloud, Paris
1950
Dun-sur-Auron, France
1950
Paris
1950
Paris
1952
Bords de Seine, Paris
1952
Bords de Seine, Paris
1952
Enfant, Paris
1952
Enfant, Paris
1952
Collection Sabine Weiss
Enfants dans un terrain vague,
Porte de Saint-Cloud, Paris
1953
Enfants dans un terrain vague,
Porte de Saint-Cloud, Paris
1953
Paris
1953
Paris
1954
Place de la Concorde, Paris
1953
Paris
1954
Marché aux Puces, Paris
1954
Les lavandières, Bretagne, France
1954
Londres
1954
10
Vienne
1955
New York
1955
New York
1955
Coney Island, New York
1955
Coney Island, New York
1955
New York
1955
New York
1955
Manifestation, New York
1955
Employée en grève, New York
1955
New York
1955
New York
1955
New York
1955
New York
1955
Inondations, Paris
1955
Marseille
1956
Champs Elysées, Paris
1957
Métro, New York
1961
Métro, New York
1961
Times Square, New York
1961
Times Square, New York
1961
Moscou
1961
Moscou
1961
Moscou
1961
Moscou
1961
Moscou
1961
Moscou
1961
11
1924Née Weber le 23 juillet à Saint-Gingolph, Suisse (sera naturalisée française en 1995).
1942Apprentie photographe chez Paul Boissonnas à Genève.
1946-1950Assistante de Willy Maywald à Paris.
1949Se lance comme photographe indépendante.
1952Rencontre chez Vogue avec Robert Doisneau qui la met en relation avec Raymond Grosset.
1952-1961Signe un contrat de collaboration avec Vogue.
1953Intègre l’agence Rapho. Nombreuses parutions dans Newsweek, Picture Post, Du, Votre santé, Votre enfant,
Ihre Freundin, Sunday Graphic, Paris Match.
Participe à l’exposition « Post-War European Photography », Museum of Modern Art, New York.
1954Exposition personnelle de 55 œuvres à l’Art Institute of Chicago.
Exposition au Walker Art Institute, Minneapolis.
Exposition au Bard College, New York.
Exposition au Nebraska Art Center, Lincoln.
Invitée par Otto Steinert à participer à « Subjektive Fotografie », Saarbruck.
5. BIOGRAPHIE DE SABINE WEISS
Sabine Weiss© Patrice Delatouche
12
À partir de 1954 et jusqu’à la fin des années 1960, présence dans les éditions annuelles de photographie
(Photography Year Book, US Camera, Photography Annual) et parutions régulières dans The New York Times
Magazine, Le Ore, Zondagsvriend, Se og Hør, France illustration, Plaisir de France, Art d’aujourd’hui, L’OEil,
Arts, Life, Die Woche, Elle, Réalités, Point de vue-Images du monde, Arts ménagers, Esquire, Leica Fotofrafie,
Photography, Du, Camera, Le Leicaïste, Time, Amateur Photographer, Photography.
1954-1969Collaboration régulière avec le magazine Holiday.
1955Trois de ses photographies sont présentées dans l’exposition «The Family of Man», Museum of Modern Art,
New York.
1956Exposition à la Limelight Gallery, New York.
1960A partir de 1960, travaille plus particulièrement pour la publicité et la mode.
1962Parution du livre « J’aime le théâtre » aux éditions Denoël et Rencontre.
1969Parution du livre A Week in Daniel’s World : France aux éditions Crowell-Collier Press.
1970Des années 1970 aux années 1990, collaborations régulières avec les magazines Margriet, Town & Country,
European Travel and Life.
1978Première exposition rétrospective au centre culturel Noroit, Arras. Exposition « En passant au Centre
culturel de Chatillon ». Parution du livre En passant aux éditions Contrejour.
1980Exposition itinérante organisée par l’Action culturelle du ministère des Affaires étrangères (Centres
culturels français de New York, Athènes, Helsinki, etc.).
Exposition « Sabine Weiss. Photographies 1950-1980 », galerie Viviane Esders, dans le cadre du premier
Mois de la Photo, Paris.
1981Exposition au musée de la Photographie, Oslo.
1982Exposition au musée Nicéphore-Nièpce, Chalon-sur-Saône.
1983Bourse d’études sur les coptes d’Egypte.
1985Exposition à la galerie municipale du Château d’eau, Toulouse. Catalogue d’exposition avec un texte de Jean
Dieuzaide.
13
1987Les Habitants du Val-de-Marne, commande du Fonds départemental d’art contemporain, Créteil.
Nommée chevalier des Arts et des Lettres.
Exposition au musée de l’Elysée, Lausanne, Suisse.
1989Exposition à la Fondation nationale de la photographie, Lyon.
Parution de l’ouvrage Intimes convictions aux éditions Contrejour, préface de Frédéric Mitterrand et texte
de Sabine Weiss.
1992Exposition au musée Arthur-Batut, Labruguière.
Exposition au musée Tavet, Pontoise.
Catalogue d’exposition Sabine Weiss. Vu à Pontoise.
Bourse d’études sur La Réunion, délivrée par le ministère de la Culture.
1993Exposition au Forum de l’image, Blagnac.
Exposition à la Howard Greenberg Gallery, New York.
1995Exposition « Visages de la Passion religieuse », festival Visa pour l’Image, Perpignan.
1996Exposition « Sabine Weiss. Photographe de lumière et de tendresse », Espace photographique de Paris.
1999Nommée officier des Arts et des Lettres.
2000Expositions « Portraits d’artistes », galerie Lefort Openo, Paris, et « Poussettes, charrettes et Roulettes »,
musée de Bièvres.
2002Exposition « Les Hommes et leurs Croyances » festival Transphotographiques, église Saint-Maurice, Lille.
2003Parution de l’ouvrage Sabine Weiss aux éditions de La Martinière, texte de Jean Vautrin.
2004Exposition rétrospective à Chroniques Nomades, Honfleur.
2006Exposition au musée d’Art moderne de la Ville de Paris.
Participe à l’exposition « La photographie Humaniste. Autour d’Izis, Boubat, Brassaï, Doisneau », Bibliothèque
nationale de France, Paris.
Parution du livre Sabine Weiss, musiciens des villes et des campagnes, éditions Filigranes /musée de l’Hôtel-
Dieu de Mantes-la-Jolie, textes d’Ingrid Jurzak et de Gabriel Bauret.
14
2007Participe à l’exposition « Les années 50 », galerie Camera obscura, Paris.
Exposition « See and Feel », Espace ABP, Heerlem.
Parution du numéro « 100 photos de Sabine Weiss pour la liberté de la presse », Reporters sans frontières.
2008Rétrospective « Sabine Weiss. Un demi-siècle de photographies », Maison européenne de la photographie,
Paris.
Exposition « Les vitrines du Printemps dans les années 1950 », Rencontre d’Arles.
Film de Jean-Pierre Franey, Un regard sur le temps, 54 minutes, Regards Production.
2009Exposition « Elles. Les pionnières », musée national d’Art moderne, Centre Pompidou, Paris.
2010Rétrospective « Un demi-siècle de Photographies », Fonds culturel Katerina, Moscou, Russie.
Reçoit l’ordre national du Mérite.
2012Exposition « La photographie en France 1950-2000 », Maison européenne de la photographie, Paris.
Film de Frank Landron, Une vie de photographe, 52 minutes, Les Films en hiver.
2013Exposition « L’amour pour la vie », Alliance française de Rio de Janeiro.
Parution de l’ouvrage Sabine Weiss avec deux DVD, éditions de l’Œil.
Exposition « Instants fugaces », Base sous-marine de Bordeaux.
2014Rétrospective « Chère Sabine », Salon de la Photo, Paris.
Film de Stéphanie Grosjean, Mon métier de photographe, 11 minutes, Salon de la Photo.
Parution de l’ouvrage Sabine Weiss « L’Œil Intime »
2015« Nuit des Images », Musée de l’Elysée, Lausanne
2016Exposition au Jeu de Paume – Château de Tours. Catalogue éditions La Martinière.
2017Sabine Weiss choisit le Musée de l’Elysée à Lausanne, pour conserver son œuvre et ses archives.
15
6. BIOGRAPHIES DES AUTRES ARTISTES EXPOSÉS
VIKTORIA BINSCHTOK Née à Moscou en 1972, Viktoria Binschtok vit et travaille à Berlin. Formée par Timm Rautert à l’instar d’une
nouvelle génération d’artistes allemands utilisant la photographie tels que Tobias Zielony, Sven Johne,
Adrian Sauer, Viktoria Binschtok est remarquée par ses travaux autour de la globalisation et sa transcription
visuelle à travers des images puisées dans Internet, notamment la série World of Details dont sont issus
deux diptyques acquis par le Centre Pompidou en 2016. L’artiste a bénéficié d’un grand nombre d’expositions,
From Here On aux Rencontres internationales en Arles en 2011, Paparazzi ! au Centre Pompidou-Metz en
2014, à la Fondazione Prada à Milan, au C/O Berlin en 2015 et au Kunstmuseum à Bonn en 2017.
PAUL GRAHAM Photographe britannique né à Stafford en 1956 et installé depuis 2002 aux Etats-Unis, Paul Graham vit à
New York où il mène un travail fortement marqué par une tentative inlassable de questionner le
documentaire en photographie. Il inscrit sa démarche au sein d’un processus où la création s’engage au
niveau du politique et du social. Parmi d’autres travaux, A Shimmer of Possibility [2004-2006] résulte de
voyages effectués à travers les Etats-Unis et a fait l’objet d’un livre éponyme faisant référence. Son travail
daté des années 2000 a été montré dans de nombreuses expositions monographiques depuis le milieu des
années 90 et il est présent dans beaucoup de collections telles qu’au MOMA, à la Tate Gallery, au Centre
Pompidou notamment.
LISE SARFATILise Sarfati née en 1958 à Oran est une artiste française vivant et travaillant entre Los Angeles et Paris.
Après avoir été photographe à l’Académie des Beaux-Arts à Paris, elle vécut en Russie de 1989 à 1998 puis
intégra Magnum Photos en 2001 après y avoir longtemps collaboré à travers différents projets
documentaires. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions et figure dans un grand nombre de
collections privées et publiques notamment en France : la MEP, le Centre Pompidou, la Bibliothèque
nationale de France, le Fonds national d’art contemporain. L’artiste a participé à de nombreux évènements
tels que les Rencontres internationales en Arles. L’artiste est représentée en France par la Galerie
Particulière.
DONOVAN WYLIE Donovan Wylie est né en 1971 à Belfast.
Pratiquant la photographie très jeune, il s’engage dès l’âge de 16 ans dans un périple à travers l’Irlande qui
donnera lieu à un travail photographique documentaire aboutissant à un premier livre. Une partie de son
travail sera consacrée au paysage politique et social de l’Irlande du Nord. Dans les années 90 il collabore
avec l’agence Magnum et en devient membre dès 1998. Il s’intéresse dans ses reportages aux signes sociaux
et politiques que révèle l’architecture des lieux. La série Estonia est une exception par rapport à son travail
documentaire photographique qui a fait l’objet de nombreuses expositions en parallèle de la publication de
plusieurs ouvrages et de la réalisation de films.
PAOLA YACOUB Paola Yacoub est une artiste libanaise qui vit et travaille entre Beyrouth où elle est née en 1966 et Berlin.
Parmi de nombreux projets, l’artiste a travaillé sur les relevés de fouilles archéologiques à l’Institut français
d’archéologie du Proche-Orient dans les années 90 à Beyrouth. Son approche documentaire vise à révéler
les couches politiques, historiques, esthétiques des territoires. Son travail a été montré notamment à la
Biennale de Venise en 2000 et 2003. En France il est présent dans les collections du FNAC, du Centre
Pompidou, du Musée des Beaux-Arts de Nantes. Il a fait l’objet d’expositions comme ‘’What do I do ?’’ à la
Photographers’ Gallery à Londres en 2010, ‘’Do we agree ?’’ au Bal à Paris en 2011, ‘’O Syria !’’ chez Marian
Goodman en 2014 (Paris).
16
7. PUBLICATIONS
ExBÉDITIONS
xAVIER BARRAL
SAB
INE W
EISS LES VILLES L
A R
uE L’A
uTR
E
SABINE WEISSLES VILLES LA RuE
L’AuTRE
SOuS LA DIREcTION DE KAROLINA ZIEBINSKA-LEWANDOWSKA
cOLLEcTION DE phOTOgRAphIESDu cENTRE pOmpIDOu
ÉDITIONS Du cENTRE pOmpIDOu ÉDITIONS xAVIER BARRAL
SOMMAIRE
Avant-propos
Karolina Ziebinska-Lewandowska
Conversation avec Sabine Weiss et Karolina Ziebinska-Lewandowska
CATALOGUE DE L'EXPOSITION :SABINE WEISS.
LES VILLES, LA RUE, L'AUTRE
Coédition Éditions du Centre Pompidou / Xavier Barral
176 pages, 110 illustrations
42 €
Sous la direction de Karolina Ziebinska-Lewandowska
JOURNAL DE L'EXPOSITION :LA RUE
PHOTOGRAPHIES : LISE SARFATI, PAOLA YACOUB, PAUL GRAHAM, DONOVAN WYLIE, VIKTORIA BINSCHTOK
24 x 34 cm
32 pages, 34 images
Gratuit
Sous la direction de Karolina Ziebinska-Lewandowska
17
8. AVANT-PROPOS DU CATALOGUE
PAR KAROLINA ZIEBINSKA-LEWANDOWSKA
[EXTRAITS]
La réception de la photographie humaniste en France est une histoire d’amour et de haine, tiraillée
entre le profond enthousiasme du public et le mépris d’une critique progressiste. Souvent désignée
comme « produit national », cette photographie humaniste a été défendue par certains comme une
incarnation de l’esprit français, décriée par d’autres pour sa vision du monde trop simpliste. Accusée
de faiblesse car non dialectique, sa réception est la dialectique même.
L’œuvre de Sabine Weiss, figure majeure de ce courant, s’apprécie de longue date à l’aune de cette
appartenance. Ses expositions individuelles, nombreuses vers la fin des années 1970, ont contribué à
fixer cette identité, sinon à la figer. Elle gagne aujourd’hui à évoluer. Dans une récente monographie
publiée à l’occasion de l’exposition au Jeu de Paume Tours, Virginie Chardin, commissaire de l’exposi-
tion, a ainsi révélé un aspect jusqu’alors peu connu de la photographe : son travail professionnel, loin du
canon de ses photographies iconiques. Le présent ouvrage s’attache quant à lui à revisiter le travail
personnel de Sabine Weiss entre 1946 et 1964, années au cours desquelles la photographie humaniste a
rencontré sa plus forte popularité et, par voie de conséquence, sa constitution en modèle. La proximité
qu’entretient Sabine Weiss avec le mouvement est accentuée encore par son rattachement à l’agence
Rapho, qui rassemblait la plupart des « humanistes » parisiens, les Robert Doisneau, Willy Ronis, Janine
Niépce ou Jean Dieuzaide. Tous les éléments participant à l’originalité de ce courant se retrouvent peu
ou prou dans l’ensemble d’images ici présenté. Sabine Weiss en porte les couleurs, l’esprit, à travers ses
thèmes fétiches : le quotidien, les moments de joie simples, les enfants, les clochards, Paris et les quais
de la Seine, les marchés aux puces, les cafés… La marque de la photographie humaniste s’y lit jusque
dans la forme : un regard au plus proche du réel, mais un réel embelli par les jeux de lumière, le
brouillard, les fumées, la neige.
La réserve exprimée par les intellectuels et critiques d’art vis-à-vis de la photographie humaniste
n’était pas infondée. Trop souvent, en effet, cette photographie s’est vue caricaturée et sortie de son
contexte, renvoyant l’image d’une France d’Épinal éloignée des préoccupations sociales et politiques
du temps. Plusieurs photographies assimilées à ce courant sont devenues les icônes d’une imagerie
parisienne aux allures de carte postale.
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9. VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE
NOTE POUR LA PUBLICATION DES IMAGES
1. LES IMAGES DOIVENT ÊTRE PUBLIÉES EXACTEMENT TELLES QU’ELLES APPARAISSENT DANS LE DOSSIER DE PRESSE, AUCUN RECADRAGE N’EST AUTORISÉ.
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01.SABINE WEISS
Dun-sur-Auron, France, 1950
épreuve gélatino-argentique
30,2 x 23,8 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/Dist.
RMN-GP
© Sabine Weiss
02.SABINE WEISS
Jardin du Luxembourg, Paris, France, 1952
épreuve gélatino-argentique
30,2 x 19,8 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/Dist.
RMN-GP
© Sabine Weiss
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03. SABINE WEISS
Place de la Concorde, Paris, France, 1953
épreuve gélatino-argentique
30,4 x 20,1 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/Dist.
RMN-GP
© Sabine Weiss
04. SABINE WEISS
Paris, France, 1953
épreuve gélatino-argentique
29,9 x 20,2 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/Dist.
RMN-GP
© Sabine Weiss
05. SABINE WEISS
Paris, France, 1954
épreuve gélatino-argentique
21 x 30,3 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/Dist.
RMN-GP
© Sabine Weiss
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06. SABINE WEISS
Paris, 1951
Collection Sabine Weiss
© Sabine Weiss
07. SABINE WEISS
Petit matin brumeux, Lyon, France, 1950
épreuve gélatino-argentique
30,5 x 24,1 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/
Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
08. SABINE WEISS
Paris, France, 1952
épreuve gélatino-argentique
21 x 27,4 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/
Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
21
09. SABINE WEISS
Marchande de frites, Paris, France, vers 1946 - 1948
épreuve gélatino-argentique
30,7 x 24,8 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/
Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
10. SABINE WEISS
Paris, 1955
Epreuve gélatino-argentique
30,5 x 24 cm
41 x 30 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/
Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
11. SABINE WEISS
Bords de Seine, Paris, France, 1952
épreuve gélatino-argentique contrecollée sur
carton
27 x 39,9 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/
Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
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12. SABINE WEISS
Moscou, URSS, 1961
épreuve gélatino-argentique
23,8 x 29 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/
Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
13. SABINE WEISS
Manifestation, New York, Etats-Unis, 1955
épreuve gélatino-argentique
24 x 30,5 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/
Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
14. SABINE WEISS
New York, Etats-Unis, 1955
épreuve gélatino-argentique
23,3 x 30,3 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/
Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
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15. SABINE WEISS
Enfants dans un terrain vague,
Porte de Saint-Cloud, Paris, France, 1950
épreuve gélatino-argentique
29,5 x 18,4 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Philippe Migeat/
Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
17. SABINE WEISS
Madrid, Espagne, 1950
épreuve gélatino-argentique
30,4 x 24 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/
Philippe Migeat/Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
16. SABINE WEISS
Enfants dans un terrain vague, Porte
de Saint-Cloud, Paris, France, 1950
épreuve gélatino-argentique,
30,7 x 20,6 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/
Philippe Migeat/Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
24
18. SABINE WEISS
Paris, France, 1953
épreuve gélatino-argentique,
29,9 x 20,2 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/
Philippe Migeat/Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
19. SABINE WEISS
Enfant, Paris, France, 1952
épreuve gélatino-argentique
30,2 x 23,6 cm
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/
Philippe Migeat/Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
20. SABINE WEISS
New York, États-Unis,1955,
épreuve gélatino-argentique
Collection Centre Pompidou, Paris
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/
Philippe Migeat/Dist. RMN-GP
© Sabine Weiss
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PORTRAIT DE SABINE WEISS
© Patrice Delatouche
ExBÉDITIONS
xAVIER BARRAL
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SOuS LA DIREcTION DE KAROLINA ZIEBINSKA-LEWANDOWSKA
cOLLEcTION DE phOTOgRAphIESDu cENTRE pOmpIDOu
ÉDITIONS Du cENTRE pOmpIDOu ÉDITIONS xAVIER BARRAL
VISUEL DE COUVERTURE
DU CATALOGUE DE L'EXPOSITION
Coédition éditions du Centre
Pompidou / Xavier Barral
176 pages, 110 illustrations,
42 €
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1955
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SABINE WEISS
SABINE WEISS
LES VILLES, LA RUE, L’AUTRE20 JUIN - 15 OCTOBRE 2018
En partenariat média avec
VISUEL DE L'AFFICHE DE L'EXPOSITION
© Centre Pompidou
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MUTATIONS / CRÉATIONS 2RYOJI IKEDA15 JUIN - 27 AOÛT 2018attaché de presse Timothée Nicot01 44 78 45 79timothé[email protected]
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