z i x 2 (œuvre) Musique 2008–09 - louvre.fr · avec Pierre-Yves Charlois, ... BOULEZ, FUJIKURA,...
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Auditorium du Louvre / Musique 2008-2009
Pierre Boulez
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Musique2008 –09
Président-directeur du musée du LouvreHenri Loyrette
Directeur de l’auditoriumJean-Marc Terrasse
Direction artistique des concertsMonique Devaux avec Pierre-Yves Charlois, Laurent Muraro et Nicolas Foulon
Concerts Musique du monde de l’IslamPierre Bois, Maison des cultures du monde
Musique filméeChristian Labrande avec Elsa Bouguen
Duos éphémères, Électrons libresPascale Raynaud avec Camille Maurel
Public scolaireIsabelle Jacquot,Delphine Vanhove
Conférences et colloquesMarcella Lista
PublicationMusée du Louvre, mars 2008
CoordinationGabrielle Rouault de la Vigne,Sophie Walter
IconographieLaure Péan,Monique Devaux
Conception graphiqueAtelier Takavoir / musée du Louvre
Secrétariat d’éditionCécile Dufêtre, Geneviève Peillon
PhotogravureOpale
ImpressionStipa
Crédits textesDavid Sanson : p. 4, 21-31Hélène Jarry : p. 32.
Crédits photographiquesp. 2 : © Photo RMN, musée du Louvre / DR ; p. 7 : © Photo RMN / Jean-Gilles Berizzi ; p.9-10: © Photo RMN /Thierry Le Mage;p. 15, 20, 28-29, 33, 37 : © Philippe Gontier ; p. 25 : DR ; p. 38 : © Photo RMN / Michèle Bellot ; p. 43 : © Photo RMN / Hervé Lewandowski.
Sommaire
3 Musiques de chambre au Louvre
4 Quatuor à cordes6 Voix8 Grands classiques
11 (œuvre)2
12 Concerts du jeudi
15 Le Louvre invite Pierre Boulez
17 – « Pierre Boulez. Œuvre : Fragment »
21 – Concerts34 – Musique filmée35 – Exposition, publication,
conférences36 – Salle Pleyel
39 Musique filmée41 Duos éphémères
Électrons libresMusique du monde de l’Islam
42 Public scolaire44 Calendrier 2008-200947 Partenaires48 Informations
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Aventure, ouverture et diversité
La qualité des programmes musicaux du Louvre largement plébiscités par le publicchaque année incite à l’audace de la diversité, de l’ouverture et même de l’aventure. Dire que nous avons choisi Mathieu Chedid pour la programmation des « Duoséphémères » de la saison, c’est ouvrir la porte aux amateurs d’une musique pluriellequi flirte avec le jazz, le blues et même la variété. L’aventure, c’est aussi celle quenous tentons avec la Scala de Milan en retransmettant en direct sur le grand écrande l’auditorium la soirée d’ouverture de la saison le 7 décembre avec le Don Carlode Verdi, et aussi en présentant tout au long de l’année des opéras et des archivesde cette grande maison.
L’ouverture, c’est celle que nous pratiquons depuis quelques saisons en programmant des musiques savantes des communautés musulmanes du Pakistan, de l’Azerbaïdjan et, belle surprise, de l’île de Java.
L’ouverture c’est enfin, et surtout, la place faite à la création grâce à Pierre Boulez,grand invité de la saison. Avec lui entreront au Louvre des compositeurs contempo-rains toujours en regard des grands classiques ainsi que d’illustres interprètescomme Maurizio Pollini, Pierre-Laurent Aimard, Christian Tetzlaff, Martin Fröst,Clément Dufour, Christine Schäfer et bien d’autres. Sous sa direction, l’Orchestre de Paris interprétera L’Oiseau de feu d’Igor Stravinski sous la pyramide, et vousserez conviés à une promenade dans les salles du musée avec les musiciens de la « Lucerne Festival Academy ».
Enfin, la qualité et la diversité résident aussi dans nos cycles réputés ; cette annéeest consacrée à la musique de chambre et aux quatuors à cordes. Neuf quatuorsexceptionnels : Doric, Arcanto, Hagen, Pacifica, de Jérusalem, Emerson, Escher,Modigliani et Pavel Haas !
Une nouveauté pour finir, une de plus, un cycle ouvert à tous, mais plus spécialementau public jeune du vendredi soir : quatre concerts de piano intitulés « Grandsclassiques » – Debussy interprété par Philippe Cassard, Chopin par Simon Trpceski,Liszt par Denis Kozhukhin et Bach par Lise de la Salle.
Henri Loyrette
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Du 17 septembre 2008 au 3 juin 2009 à 20h
Les artistes les plus prestigieux de la scène classique vous donnent rendez-vous au Louvre pour une nouvelle série de concerts. Maurizio Pollini et Christian Tetzlaffpartagent l’affiche avec les solistes de l’Orchestre philharmonique de Berlin, la pianiste Lise de la Salle ou encore le Trio Sigfridsson-Kopatchinskaja-Gabetta.
Concerts Musiques de chambre au Louvre
Mercredi 17 septembre
Sextuor de l’Orchestre philharmonique de BerlinBRAHMS
Sextuors à cordes en si bémol majeuropus 18 ; en sol majeur opus 36. R. STRAUSS
Sextuor extrait de Capriccio.
Mercredi 1er octobre
Lise de la Salle, pianoBEETHOVEN
Sonates en ut mineur opus 13,Pathétique ; en mi bémol majeur opus 31 n° 3.SCHUMANN
Études symphoniques opus 13.
Lundi 24 novembre
En liaison avec « Le Louvre invite Pierre Boulez »
Florent Boffard, pianoChristian Tetzlaff, violonMartin Fröst, clarinetteBARTÓK, BERG, DEBUSSY
Voir le détail du programme à la page 26.
Mercredi 26 novembre
En liaison avec « Le Louvre invite Pierre Boulez »
Maurizio Pollini, pianoSCHOENBERG, DEBUSSY, WEBERN, BOULEZ
Voir le détail du programme à la page 27.
Mercredi 25 mars
Henri Sigfridsson, pianoPatricia Kopatchinskaja, violonSol Gabetta, violoncelleJ. HAYDN
Trios en mi majeur Hob.XV.28 ; en mibémol majeur Hob.XV.29 ; en sol majeurHob.XV.25, All’Ongarese ; sonate pourpiano et violon en sol majeur Hob.XVI.43.MOZART
Trio en mi majeur K 542.
Mercredi 3 juin
Truls Mørk, violoncelleKathryn Stott, pianoBEETHOVEN
Sonate en sol mineur opus 5 nº 2.R. STRAUSS
Sonate en fa majeur opus 6.LISZT
Élégie, La Lugubre Gondole.FRANCK / DELSART
Sonate en la majeur.
–Les concerts des 17/9, 1/10, 25/3 et 3/6 sont enregistrés par France Musique.
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Du 25 septembre 2008 au 20 mai 2009
C’est Joseph Haydn que le rendez-vous biennal du quatuor à cordes a choisi d’honorerà l’occasion du bicentenaire de la mort de ce grand compositeur. Des quatuors derenommée internationale – Hagen, Emerson ou Arcanto – partagent l’affiche avecde jeunes formations au talent prometteur comme les quatuors Doric ou Escherpour interpréter les plus belles pages de l’initiateur du genre. Sont présentées, en regard de quatuors extraits des opus tardifs de Joseph Haydn et de deux partitionsphares de Beethoven – dont ce Serioso d’une incroyable modernité –, deux créationsde compositeurs contemporains. Car depuis les avancées décisives accomplies auXXe siècle par Ravel, Bartók, Schoenberg ou Chostakovitch, le quatuor reste toujoursun laboratoire d’innovation particulièrement exaltant : en témoignent aujourd’huiPierre Jalbert, qui signe Icefield Sonnets, et Michaël Levinas qui compose une suiteà ses deux premiers quatuors.
Jeudi 25 septembre à 12h30
Quatuor DoricJ. HAYDN
Quatuor en si bémol majeur Hob.III.67.BRAHMS
Quatuor en do mineur opus 51 n° 1.
Mercredi 3 décembre à 20h
Quatuor ArcantoJ. HAYDN
Quatuors en si mineur Hob.III.68 ; en ré majeur Hob.III.71.BARTÓK
Cinquième quatuor.
Mercredi 28 janvier à 20h
Quatuor HagenJ. HAYDN
Quatuors en sol majeur Hob.III.75 ; en si majeur Hob.III.78, Lever de soleil.MENDELSSOHN-BARTHOLDY
Quatuor en la mineur opus 13.
Jeudi 29 janvier à 12h30
Quatuor PacificaJ. HAYDN
Quatuor en ré majeur Hob.III.63,L’Alouette.MENDELSSOHN-BARTHOLDY
Capriccio en mi mineur opus 81 n° 3.LIGETI
Premier quatuor, Métamorphosesnocturnes.
Mercredi 11 février à 20h
Quatuor de JérusalemJ. HAYDN
Quatuors en fa mineur Hob.III.35 ; en mi bémol majeur Hob.III.38,L’Oiseau.BRAHMS
Quatuor en la mineur opus 51 n° 2.
ConcertsQuatuor à cordes
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Jeudi 12 février à 12h30
Quatuor de JérusalemJ. HAYDN
Quatuor en fa mineur Hob.III.35.BRAHMS
Quatuor en la mineur opus 51 n° 2.
Mercredi 11 mars à 20h
Quatuor EmersonBEETHOVEN
Quatuor en fa mineur opus 95, Serioso.BARTÓK
Troisième quatuor.J. HAYDN
Quatuors en ut majeur Hob.III.72 ; en fa majeur Hob.III.73 ; en sol mineurHob.III.74, Le Cavalier.
Jeudi 12 mars à 12h30
Quatuor EscherJ. HAYDN
Quatuor en si majeur Hob.III.78, Lever de soleil.JALBERT
Icefield Sonnets, création française.BEETHOVEN
Quatuor en fa mineur opus 95, Serioso.
Mercredi 29 avril à 20h
Quatuor ModiglianiJ. HAYDN
Quatuor en si bémol majeur Hob.III.69.LEVINAS
Troisième quatuor, création mondiale,commande du musée du Louvre.BEETHOVEN
Quatuor en ut majeur opus 59 n° 3,Razumovsky.
Jeudi 30 avril à 12h30
Quatuor Modigliani J. HAYDN
Quatuor en si bémol majeurHob.III.69.LEVINAS
Troisième quatuor, création mondiale,commande du musée du Louvre. WEBERN
Langsamer Satz.
Mercredi 20 mai à 20h
Quatuor Pavel HaasJ. HAYDN
Quatuors en ré majeur Hob.III.43 ;en ré mineur Hob.III.76, Les Quintes.JANÁCEK
Premier quatuor, Sonate à Kreutzer ;deuxième quatuor, Lettres intimes.
–Les concerts des 3/12, 29/1, 11/2, 12/3, 29/4 et 20/5 sont enregistrés par France Musique.
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Du 15 octobre 2008 au 1er avril 2009 à 20h
Du lied à la mélodie russe en passant par la découverte des trios et quatuors vocauxde Joseph Haydn et de Robert Schumann, ce cycle est l’occasion de mesurer toute la richesse et la diversité du répertoire vocal. Ces pages, connues ou plus rarementprogrammées, sont interprétées par les plus grandes voix féminines d’aujourd’hui :Petra Lang, Christine Schäfer, Olga Guryakova ou Marina Domashenko et les jeunessolistes de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris.
ConcertsVoix
Mercredi 15 octobre
Petra Lang, mezzo-sopranoCharles Spencer, pianoBRAHMS
Deutsche Volkslieder (extraits).SCHUMANN
Frauenliebe und -leben opus 42.WOLF
Mörike-Lieder (extraits).MAHLER
Rückert-Lieder.
Mercredi 19 novembre
En liaison avec « Le Louvre invite Pierre Boulez »
Christine Schäfer, soprano Ensemble intercontemporain Pierre Boulez, directionBOULEZ, FUJIKURA, POPPE
STRAVINSKI
Voir le détail du programme à la page 23.
Mercredi 14 janvier
Solistes de l’Atelier lyrique de l’Opéra de ParisJ. HAYDN
Trios et quatuors vocaux.SCHUMANN
Trios et quatuors vocaux.
Mercredi 25 février
Olga Guryakova, sopranoAnna Rakhman, pianoBRAHMS, R. STRAUSS, MEDTNER,
SVIRIDOV.
Mercredi 4 mars
En liaison avec l’exposition « Arioste imaginaire,
Arioste imaginé ».
Solistes de l’Atelier lyrique de l’Opéra de ParisLes PaladinsJérôme Correas, directionHAENDEL
Cantates et airs d’opéra.LULLY
Airs d’opéra.
Mercredi 1er avril
Marina Domashenko, mezzo-sopranoAlexandre Paley, pianoCHOSTAKOVITCH
Chansons espagnoles opus 100.GAVRILINE
Les Saisons. MOUSSORGSKI
Chants et danses de la mort.
–Les concerts des 15/10, 14/1, 25/2, 4/3 et 1/4 sont enregistrés par France Musique.
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Du 23 janvier au 17 avril 2009 à 20h
Des récitals d’une heure, gratuits pour les moins de 26 ans : c’est le nouveaurendez-vous du Louvre, qui vous invite à réviser vos classiques le vendredi à 20 h.Les quatre concerts de cette première édition, entièrement consacrée au piano,proposent chacun un portrait d’un compositeur ayant signé quelques-unes des plusbelles pages de la littérature pour clavier. Debussy, Chopin, Liszt et J.-S. Bach sontainsi successivement à l’honneur, servis par des interprètes qui en ont fait leurscompositeurs de prédilection – Philippe Cassard, Simon Trpceski, Denis Kozhukhinet Lise de la Salle.
Vendredi 23 janvier
Philippe Cassard, pianoDEBUSSY
Images, Livre I ; Images, Livre II ;Images oubliées ; Masques ; D’un cahier d’esquisses ; L’Isle joyeuse.
Vendredi 27 février
Simon Trpceski, pianoCHOPIN
Sonate en si bémol mineur opus 35,Marche funèbre ; deux polonaisesopus 26 ; quatre mazurkas opus 24 ; mazurka opus 17 n° 4.
Vendredi 13 mars
Denis Kozhukhin, pianoLISZT
Polonaise en mi majeur ; Bénédiction de Dieu dans la Solitude,extrait des Harmonies poétiques etreligieuses ; deuxième Mephisto-Valse ;Venezia e Napoli.VERDI / LISZT
Danse sacrée et Duo final d’Aïda.
Vendredi 17 avril
Lise de la Salle, pianoJ.-S. BACH
Partita en ut mineur BWV 826 ;Sinfonias, BWV 787-801 ; Concertoitalien en fa majeur BWV 971.J.-S. BACH / KEMPFF
Befiehl du deine Wege, choral BWV 727.J.-S. BACH / ALSDORF
Jesus bleibet meine Freude, choralextrait de la cantate BWV 147.
ConcertsGrands classiques
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Du 14 au 28 novembre 2008 à 20h
La série (œuvre)2 poursuit la politique ambitieuse de commandes impulsée par le Louvre à des compositeurs contemporains. En lien avec l’invitation du musée à Pierre Boulez sont présentées la création française de pièces d’Elliott Carter sous les doigts de Pierre-Laurent Aimard et la création mondiale d’une œuvre deMarco Stroppa interprétée par les Cris de Paris. À découvrir également, une œuvrechorale a cappella de Clytus Gottwald sur un texte de Pierre Boulez.
Vendredi 14 novembre à 20h
En liaison avec « Le Louvre invite Pierre Boulez »
Pierre-Laurent Aimard, pianoPrésentation : Pierre BoulezSCHOENBERG
Cinq pièces pour piano opus 23.BOULEZ
Troisième sonate. CARTER
Deux Diversions, part I & II ; TwoThoughts for piano, création française.MESSIAEN
Îles de feu I & II, extraites des QuatreÉtudes de rythme.
Vendredi 21 novembre à 20h
En liaison avec « Le Louvre invite Pierre Boulez »
Diego Tosi, violonJérôme Comte, clarinetteRéalisation informatique musicaleIrcam : Andrew GerszoRégie informatique Ircam : Arshia ContPrésentation : Pierre BoulezSTRAVINSKI
Trois pièces pour clarinetteBOULEZ
Anthèmes ; Anthèmes 2 ;Dialogue de l’ombre double .En coréalisation avec l’Ensembleintercontemporain.
Vendredi 28 novembre à 20h
En liaison avec « Le Louvre invite Pierre Boulez »
Les Cris de ParisGeoffroy Jourdain, directionChristophe Desjardins, altoDaniel Ciampolini, percussions NN, célestaPrésentation : Geoffroy JourdainGOTTWALD
Über das, über ein verschwindelaren.STROPPA
Création mondiale, commande du muséedu Louvre et des Cris de Paris.FELDMAN
Rothko Chapel pour chœurs, alto,percussions et célesta.
–Les concerts des 14/11 et 28/11 sont enregistrés par France Musique.
Concerts(œuvre)2
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Du 18 septembre 2008 au 30 avril 2009 à 12h30
Dans des programmes variés associant classiques du répertoire à des œuvrescontemporaines, découvrez en avant-première de jeunes artistes promis à une brillante carrière internationale comme les pianistes Benjamin Grosvenor, Ilya Petrov ou les violonistes Pavel Sporcl et Hahn-Bin. La création est également au rendez-vous avec des œuvres de Jolas, Hödl, Levinas et Bertrand.
Jeudi 18 septembre
Hahn-Bin, violon John Blacklow, pianoMOZART
Sonate en si bémol majeur K 454.RAVEL
Sonate en sol majeur.LUTOSLAWSKI
Subito.RAVEL
Tzigane.
Jeudi 25 septembre
Quatuor DoricJ. HAYDN
Quatuor en si bémol majeur Hob.III.67.BRAHMS
Quatuor en do mineur opus 51 n° 1.
Jeudi 9 octobre
Quintette AquilonDANZI
Quintette en ré mineur opus 68 n° 3.BARBER
Summer Music.TOMASI
Cinq danses profanes et sacrées.VASKS
Musique pour un ami décédé.
Jeudi 23 octobre
Benjamin Grosvenor, pianoKAPUSTIN
Trois Études de concert.CHOPIN
Sonate en si mineur opus 58. RAVEL
Ondine ; Alborada del gracioso.MOSZKOWSKI
Caprice espagnol opus 37.
Jeudi 13 novembre
En liaison avec « Le Louvre invite Pierre Boulez »
Musiciens de la Lucerne FestivalAcademyBARTÓK, COMBIER, MOZART, FISCHER,
G. GABRIELI, ADAMEK, DONATONI,
BOROWSKI
Voir le détail du programme à la page 22.En coproduction avec la LucerneFestival Academy.
Jeudi 27 novembre
En liaison avec « Le Louvre invite Pierre Boulez »
Clément Dufour, flûteDavid Kim, altoEmmanuel Ceysson, harpeDEBUSSY, TAKEMITSU, SAARIAHO,
BERTRAND
Voir le détail du programme à la page 30.
ConcertsConcerts du jeudi
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Jeudi 4 décembre
Narek Hakhnazaryan, violoncelle Katia Mechetina, pianoSCHUMANN
Fantasiestücke opus 73. CHTCHEDRINE
Quadrille.FAURÉ
Élégie opus 24. BRONNER
The Jew, Life and Death.CHOSTAKOVITCH
Sonate opus 40.
Jeudi 15 janvier
Ilya Petrov, pianoJ.-S. BACH
Partita en si bémol majeur BWV 825.BEETHOVEN
Sonate en do majeur opus 2 n° 3.KAPUSTIN
Sonatina opus 100 ; Bagatelle opus 59 n° 9 ; Motive Force opus 45.LISZT
Feux follets, extrait des Douze Étudesd’exécution transcendantes ; Un sospiro, extrait des Trois Études de concert.
Jeudi 29 janvier
Quatuor PacificaJ. HAYDN
Quatuor en ré majeur Hob.III.63,L’Alouette.MENDELSSOHN-BARTHOLDY
Capriccio en mi mineur opus 81 n° 3.LIGETI
Premier quatuor, Métamorphosesnocturnes.
Jeudi 12 février
Quatuor de JérusalemJ. HAYDN
Quatuor en fa mineur Hob.III.35.BRAHMS
Quatuor en la mineur opus 51 n° 2.
Jeudi 26 février
Pavel Sporcl, violonPetr Jirikovsky, pianoMOZART
Sonate en mi mineur K 304. DVORÁK
Sonate en fa majeur opus 57 ; mazurka.MEISL
Ballade.
Jeudi 5 mars
En liaison avec l’exposition « Arioste imaginaire,Arioste imaginé ».
Benjamin Alard, clavecin DELLA CIAJA
Cinquième sonate en do majeur.D. SCARLATTI
Six sonates. W.-F. BACH
Fantaisie F 19. C.-P.-E. BACH
Douze variations sur Les Folies d’Espagne.
Jeudi 12 mars
Quatuor EscherJ. HAYDN
Quatuor en si majeur Hob.III.78, Lever de soleil.JALBERT
Icefield Sonnets, création française.BEETHOVEN
Quatuor en fa mineur opus 95, Serioso.
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Jeudi 19 mars
Haydn Trio Eisenstadt J. HAYDN
Trios en do mineur Hob.XV.13 ; en do majeur Hob.XV.27.JOLAS
Dedicated To Haydn 2009, créationmondiale.HÖDL
Dedicated To Haydn 2009, créationfrançaise.
Jeudi 26 mars
Dinara Nadzhafova, piano MOZART
Sonate en do majeur K 330.SCHUMANN
Études symphoniques opus 13.LIGETI
Treizième étude, L’Escalier du diable.
Jeudi 2 avril
Eugena Chang, violoncelleKwan Yi, pianoBEETHOVEN
Sonate en fa majeur opus 5 n° 1.SCHUMANN
Adagio et allegro opus 70.SEYFRIED
Quatre variations pour violoncelle. DEBUSSY
Sonate en ré mineur.
Jeudi 9 avril
Ji-Yong, pianoJ. HAYDN
Fantaisie en do majeur Hob.XVII.4.LIEBERMANN
Gargoyles opus 29.SCHUBERT
Sonate en la mineur D 784.LISZT
Consolation ; Rhapsodie espagnole.
Jeudi 30 avril
Quatuor Modigliani J. HAYDN
Quatuor en si bémol majeur Hob.III.69.LEVINAS
Troisième quatuor, création mondiale,commande du musée du Louvre.WEBERN
Langsamer Satz.
–Les concerts des 23/10, 13/11, 4/12, 29/1, 26/2, 12/3,19/3 et 2/4 sont enregistrés par France Musique.
ConcertsConcerts du jeudi
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Du jeudi 6 novembre au mardi 2 décembre 2008
Pierre Boulez est à l’honneur cette année avec l’hommage particulier que lui rend le musée du Louvre, succédant ainsi à Robert Badinter, Toni Morrison et AnselmKiefer.Pierre Boulez et le Louvre ont imaginé un programme autour de la question del’inachevé et du fini, de l’interrogation même du processus de création artistique.Entre pièces maîtresses de la musique du XXe siècle et compositions d’aujourd’hui,des œuvres de Schoenberg, Debussy, Stravinski, Bartók, Boulez, Fujikura, le RothkoChapel de Feldman et six commandes du musée à de jeunes compositeurs alimententle propos de Pierre Boulez. Christine Schäfer, Pierre-Laurent Aimard, Maurizio Pollini,Christian Tetzlaff, Martin Fröst, l’Ensemble intercontemporain, les Cris de Paris,l’Orchestre de Paris et de jeunes artistes talentueux se joignent à ce programme.Un cycle de films, « Le geste musical à l’écran », illustre le travail de Pierre Boulezdans le domaine de la transmission de la musique.Une exposition « Pierre Boulez. Œuvre : Fragment » propose des lectures croiséesentre des œuvres graphiques, littéraires et musicales des XIXe et XXe siècles de Delacroix, Degas, Cézanne, Kandinsky, Picasso, Brancusi, Giacometti, de Mallarméet de Webern, Bartók, Varèse, Berio et Boulez.
Le Louvre invite Pierre Boulez
«Pierre Boulez. Œuvre : Fragment»
Il m’est de plus en plus apparu, au fur et à mesure de ma propre évolution,qu’une certaine forme de modernité consistait à abolir la frontière entrel’inachevé et le fini, que l’œuvre ne pouvait être, d’une certaine façon, quefragment d’un grand œuvre imaginaire, virtuel, dont nous ne connaîtrions nil’origine ni la fin.
L’opposition entre esquisse et réalisation a toujours existé, mais on étaitconscient que la préparation d’une œuvre comportait une phase d’essais plus ou moins poussés, plus ou moins aboutis, destinés à être placés ici ou là dansl’œuvre définitive. Ces essais étaient, par définition, destinés au rebut, même sion pouvait les garder comme souvenirs, comme mémoire du chemin parcouru.Les avoir tracés n’impliquait pas un ordre définitif, dans l’espace ou dans letemps, selon les modes d’expression, visuel ou acoustique. Ces sortes d’esquissesflottent avant d’être utilisées, et elles flottent encore après qu’on les a utilisées :elles acquièrent une sorte d’autonomie, d’existence propre entre l’inachevé et le fini. Même si l’on est conscient de leur emploi définitif, elles résistent à la dissolution et peuvent même nous intéresser – au moins temporairement – plus que le produit achevé.
Un type tout différent d’inachèvement peut produire, lui aussi, des œuvres toutà fait accomplies, mais qui sont sans cesse à la poursuite d’un même objet,d’une réalisation qu’on dirait provisoire, d’un objet que l’on se reprend sanscesse à transcrire. À un certain moment, il semble qu’on l’ait saisi, et puis on lecherche à nouveau presque comme s’il n’avait jamais encore existé. Il ne s’agitpas de variations intentionnelles, mais d’une étape différente dans l’approchede cet objet. Cézanne avec les « Sainte-Victoire » ou, plus systématiquement,Mondrian, avec la série des « Arbres », sont parmi les exemples les plusfrappants de cette fixation sur un motif donné grâce à laquelle se décrit leurévolution : poursuite sans cesse recommencée, sans cesse inachevée qui,cependant, nous donne à nous, témoins posthumes, le confort d’œuvresabouties, mais porteuses instables d’une trajectoire. Surtout si nous connaissonscette trajectoire, nous ne pouvons plus en isoler les composantes, et nous voilàcomplices de l’obsession d’un motif dans ce qu’il a à la fois de définitif et detransitoire.
Ce qui s’applique au choix de l’objet peut également s’appliquer à sa réalisation.Sans remonter à la catastrophe de Frenhofer1 du Chef-d’œuvre inconnu, on n’aqu’à observer certains tableaux ou dessins de Giacometti pour constater combienprédomine l’hyperactivité descriptive, une espèce de tremblement de l’esprit ;
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on assiste, en quelque sorte, à un refus d’arrêter la saisie, à une superposition de mille façons de décrire et de ne vouloir se déterminer pour aucune d’elles enparticulier. À cet excès on pourra opposer l’extrême sobriété de quelques lignesdépouillées, mais dont la précision semble indiquer le propos délibéré de sous-informer et de laisser à l’imagination le soin de compléter ce qui pourrait être.Certains dessins de Brancusi, voire de Matisse, nous obligent à voir cette façonde fragment comme une réalisation potentiellement aboutie.
Si l’on radicalise l’intention, le fait de soumettre l’œuvre à la notion de hasardpur ou de hasard dirigé entraîne une ambiguïté fondamentale entre l’achevé et l’inachevé. Ce qu’on a appelé œuvre ouverte n’est autre chose qu’un refusd’accepter que les solutions proposées soient définitives, soit dans leurconstitution, soit dans leur enchaînement. La responsabilité revient à celui quimanipule les données de l’œuvre, à l’aide de codes plus ou moins précis – ce quidonne des champs d’action circonscrits – ou dans une totale liberté. L’apparentachevé ne peut être que provisoire.
Dans le même sens, mais plus restrictivement virtuel, l’œuvre parfaitementdéfinie peut être ressentie comme un fragment de temps ou d’espace, certeslimité par un début et une fin, cependant que ces limites nous paraissentfortement arbitraires, ne dépendant aucunement d’une absolue nécessité. Je pense à certaines pièces pour orgue de Messiaen basées sur des permutationsde durées : ces dernières, si on voulait en épuiser le catalogue complet,dépasseraient la notion même de composition, niant toute idée de trajectoire,flottant dans une espèce d’apesanteur. On commence la combinatoire à un point arbitraire et on la termine à un point non moins arbitraire, dans deslimites, pourrait-on dire, raisonnables. Est-ce alors un tout, est-ce un fragmentqu’on a entendu ? Difficile à dire si l’on n’introduit pas d’autres critères plusdéterminants. Mallarmé a spéculé sur ce phénomène lorsqu’il a voulu créer le Livre avec ses lectures multiples dépendant d’une combinatoire passablementcomplexe. Devant la difficulté de réalisation, il s’est replié sur le Coup de dés 2
où, dans une structure immobile, il a créé des régions typographiques rendantmobile la lecture du poème : poème fragmenté, pourrait-on dire, paroxysme de l’aboutissement calculé et, en même temps, de l’indécision de lecture.
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Le fragment, l’inachevé, on le trouve encore de bien d’autres façons dansl’intention ou en cours de réalisation, en le provoquant par des pratiquesvolontaires ou en se référant à des choses existantes. Je voudrais signalerquelques-unes de ces possibilités. De même que, lorsque l’on retrouve quelquesdébris d’un objet, suivant qu’ils dépendent ou non d’une forme donnée,contraignante, on peut les replacer dans cette forme sans reconstituer unecontinuité artificielle, mais, au contraire, laisser s’exposer la discontinuité decette forme supposée, de même on laissera supposer une forme globale en n’endonnant que des fragments à des moments donnés séparés par des intervalles– de temps ou d’espace – neutres. Proche de cela, un découpage volontairepréside à une déconstruction d’une forme constituée, et l’on peut réajuster lesfragments obtenus selon une logique réinventée. Ou encore, le grossissementd’un détail fait qu’il devient hors de proportion avec l’ensemble et tend aufragment isolé du contexte lui donnant une autre signification. Enfin, en senscontraire, l’effacement d’une texture pour ne laisser subsister que certainsfragments laissant entrevoir cette texture générale, tout en la refusant commeun tout, nous fait déboucher sur l’inabouti provoqué. Toutes ces techniques, je les ai certainement trouvées chez les peintres qu’il m’est arrivé d’observer. Il est plus facile de réaliser de telles intentions dans les arts plastiques que dansla musique. Mais je pense qu’une telle transposition est non seulement possiblemais valable, et qu’elle a tendance, de plus en plus, à effacer la frontière entrefragment et tout, entre aboutissement et inachèvement, entre forme close etforme ouverte. L’œuvre prend alors toute la valeur pour ce qu’elle est réellement :un fragment de l’espace ou du temps.
Pierre BoulezParis, octobre 2007
1 Peintre imaginé par Balzac dans Le Chef-d’œuvre inconnu.2 Un coup de dés jamais n’abolira le hasard.
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Mardi 11 novembre à 21h dans les salles du musée
Musiciens de la Lucerne Festival Academy
BARTÓK Deuxième mouvement de la sonate pour violon seul.COMBIER* Œuvre pour violon seul. MOZART Adagio pour deux clarinettes et trois cors de basset
en si bémol majeur K 411.FISCHER* Œuvre pour deux clarinettes et trois cors de basset.G. GABRIELI Canzone pour huit cuivres.ADAMEK* Œuvre pour huit cuivres.DONATONI Mari pour marimba solo.BOROWSKI* Œuvre pour marimba solo.
À l’heure où coexiste une extrême variété d’esthétiques, où le concept de« nouveauté » s’avère de moins en moins pertinent pour appréhender sesdéveloppements, la musique apparaît, plus que jamais, comme un vaste champde résonances – remettant radicalement en jeu la notion d’« œuvre » autour de cette dialectique de l’« inachevé » et du « fini » qui anime la démarche dePierre Boulez. C’est tout le propos de ce concert qui confronte quatre partitionsde « répertoire » et quatre créations qui s’en inspirent. Les œuvres références,qui ressortissent à quatre grandes périodes de l’histoire de la musique – l’âgebaroque avec Gabrieli, le classicisme avec Mozart, la modernité avec Bartók,l’ère contemporaine avec Donatoni – ont également en commun de jouer elles-mêmes avec les formes traditionnelles : ainsi le canon dans le cas de l’adagiopour deux clarinettes et trois cors de basset K 411 de Mozart, et la fugue de lasplendide sonate pour violon seul de Bartók (dont les deux premiers mouvementsse réfèrent à la suite baroque). Face à ces modèles, quatre jeunes compositeursont été sollicités pour y réagir : chacun à sa manière, dans l’esprit ou dans lalettre, Jérôme Combier, Johannes Boris Borowski, Johannes Fischer et OndrejAdamek dialoguent avec ce répertoire, questionnant à travers lui les notionsd’hommage et de création, de citation et d’inspiration. Un jeu d’échos, de misesen abyme, encore démultiplié, puisque ces commandes ont été conçues pour un« concert-promenade » dans les salles du musée et de l’exposition imaginée parPierre Boulez, en regard, donc, de chefs-d’œuvre de l’histoire de la peinture.
Création française, commande du musée du Louvre et de la Lucerne FestivalAcademy. En coproduction avec la Lucerne Festival Academy.
ConcertsLe Louvre invite Pierre Boulez
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Jeudi 13 novembre à 12h30 à l’auditorium
Musiciens de la Lucerne Festival Academy
BARTÓK, COMBIER, MOZART, FISCHER, G. GABRIELI, ADAMEK, DONATONI, BOROWSKI.
Voir le détail du programme à la page 21.
Vendredi 14 novembre à 20h à l’auditorium
Pierre-Laurent Aimard, pianoPrésentation : Pierre Boulez
SCHOENBERG Cinq pièces pour piano opus 23.BOULEZ Troisième sonate. CARTER Deux Diversions, part I & II ;
Two Thoughts for piano, création française.MESSIAEN Îles de feu I & II, extraites des Quatre Études de rythme.
Il semble tout à fait naturel de célébrer, au sein de ce cycle consacré à PierreBoulez, les cent ans d’Elliott Carter que l’on a pu surnommer « le Boulezaméricain » : les trajectoires des deux compositeurs se sont en effet croisées à de nombreuses reprises, comme en témoignent les œuvres que ces géants de la musique du XXe siècle se sont réciproquement dédiées. Pierre-Laurent Aimard est à l’origine de la commande de Caténaires, destinéeprécisément à commémorer ce centenaire, que Carter définit comme une pièce« linéaire, rapide et sans accords », que sa vivacité rythmique rapproche parfoisdes Îles de feu d’Olivier Messiaen. Également données en première française, les Intermittences ont été créées en 2005 par Peter Serkin : tirant leur titre d’un fameux mot de Proust, elles sont une ode à la mémoire, que la musiqueactive en jouant avec le silence, les répétitions et les résonances. Caténaires etIntermittences ont été réunies en une seule œuvre, Two Thoughts for piano. Quant au diptyque des Diversions, il est lui aussi construit autour d’un jeu d’oppositionsd’une grande complexité rythmique et métrique, sous-tendu d’intentions quasiphilosophiques, à travers lequel s’exprime le génie contrapuntique d’ElliottCarter. En miroir de ce parcours, trois jalons essentiels de la musique duXXe siècle : les Cinq Pièces opus 23 de Schoenberg (1920-1923), entérinant lepassage du compositeur au dodécaphonisme ; les Îles de feu de Messiaen (1950),extraites de ces Quatre Études de rythme qui marquèrent un autre tournant en créant, selon les mots de Boulez, « une technique consciente de la durée » ;enfin, la Troisième Sonate de Boulez (1957), dans laquelle le compositeur faitintervenir un « hasard dirigé ».
ConcertsLe Louvre invite Pierre Boulez
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Mercredi 19 novembre à 20h à l’auditorium
Christine Schäfer, soprano Ensemble intercontemporain Pierre Boulez, direction
BOULEZ Dérive I ; Improvisation I ; Improvisation II ; Mémoriale. FUJIKURA Fifth Station.POPPE Création mondiale, commande du musée du Louvre
et de l’Ensemble intercontemporain.STRAVINSKI Trois Poésies de la lyrique japonaise, Deux Poèmes de Balmont
pour soprano et ensemble.
En 1957, deux ans après avoir atteint, avec Le Marteau sans maître, le pointculminant de son travail sur la poésie de René Char, Pierre Boulez signait deuxpremières Improvisations sur Mallarmé. «Le Vierge, le Vivace et le Bel Aujourd’hui»d’abord, « Une dentelle s’abolit » ensuite, plus tard intégrés à Pli selon pli,traduisent une préoccupation que le compositeur formule, à la même époque,dans un article intitulé « Son et verbe » : il y appelle à une nouvelle alliance,structurelle, entre musique et poésie ; à un poème intimement lié à la formemusicale, appréhendé comme « source d’irrigation » de la musique, à la fois« corps et absence » du corps sonore. Cette rencontre avec Mallarmé seradéterminante : le sérialisme fait écho au Livre mallarméen, tandis que l’idéed’œuvre « ouverte » selon Pierre Boulez rejoint cette « diffraction prismatiquede l’idée » (selon les mots du musicologue Alain Poirier) chère à Mallarmé. Ce qui est à l’œuvre dans ces Improvisations outrepasse largement une influenceencore perceptible dans Le Marteau sans maître : celle du Pierrot lunaired’Arnold Schoenberg – dont la soprano Christine Schäfer reste l’inoubliableinterprète. En 1912, la découverte de cette œuvre avait déjà tellementimpressionné Igor Stravinski que, l’année suivante, il composait ses TroisPoésies de la lyrique japonaise (1913) pour une nomenclature quasi identique, à laquelle il reviendra en 1954 avec ses Deux Poèmes de Constantin Balmont.Ponctuant ces offrandes lyriques, Dérive I et Mémoriale de Pierre Boulezvoisinent avec une création mondiale d’Enno Poppe, jeune compositeurallemand dont Boulez a déjà souvent défendu la musique, et le Fifth Stationde Dai Fujikura, d’après le titre d’un tableau de Barnett Newman, musiqueprofondément immersive, tirant parti des effets de spatialisation.
En coréalisation avec l’Ensemble intercontemporain.
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Vendredi 21 novembre à 20h à l’auditorium
Diego Tosi, violonJérôme Comte, clarinetteRéalisation informatique musicale Ircam : Andrew GerzsoRégie informatique Ircam : Arshia ContPrésentation : Pierre Boulez
STRAVINSKI Trois pièces pour clarinette.BOULEZ Anthèmes ; Anthèmes 2 ; Dialogue de l’ombre double.
L’œuvre de Pierre Boulez est sous-tendue par un savant et constant processusde prolifération : bon nombre de ses partitions découlent les unes des autres,sont unies entre elles par de féconds jeux de développements, de combinatoireset de démultiplications. Dialogue de l’ombre double est ainsi, à l’origine, unfragment du cycle « Domaines », composé pour clarinette solo et six groupesd’instruments à la fin des années 1960, dont le compositeur a fait une pièceautonome, élaborée pour le soixantième anniversaire de Luciano Berio (1985).Le soliste est ici l’unique «protagoniste» d’un dialogue invisible avec lui-même:reliée par un micro-contact à la caisse de résonance d’un piano situé en coulisse,la clarinette jouée en direct s’interrompt lors de six « transitions » danslesquelles le son de l’instrument, enregistré au préalable, est diffusé par sixhaut-parleurs entourant le public. C’est un dialogue à une voix, à la foisthéâtral et introspectif, invitant le spectateur/auditeur à questionner sa propreperception. De la même manière, Anthèmes, composé en 1991, pour violon solo,est issu de l’une des premières moutures d’… explosante-fixe… (1972-1993),dont elle reprend certains motifs. Entre 1995 et 1997, à l’Ircam, Pierre Boulezen conçoit une version électroacoustique, aidé en cela par Andrew Gerzso, déjà responsable de la partie électronique de Dialogue…, à cette différencequ’ici le matériau est traité en temps réel, l’informatique permettant à la fois de démultiplier le spectre sonore, d’éclairer la rigueur structurelle et de dilaterla trame temporelle. Les trois pièces pour clarinette de Stravinski viennentcompléter ce programme, exaltant les richesses de l’écriture pour soliste.
En coréalisation avec l’Ensemble intercontemporain.
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Lundi 24 novembre à 20h à l’auditorium
Florent Boffard, pianoChristian Tetzlaff, violonMartin Fröst, clarinette
BARTÓK Première sonate pour violon et piano ; Contrastes pour piano, violon et clarinette.
BERG Quatre pièces pour clarinette et piano opus 5.DEBUSSY Première rhapsodie pour clarinette et piano.
« Musique de chambre d’échos » : l’expression mériterait d’être forgée pourévoquer les œuvres qui composent ce programme jalonnant un siècle demusique de chambre avec clarinette, tant celles-ci semblent irriguées par unriche réseau de réminiscences. Échos de Brahms dans les quatre pièces pourclarinette et piano d’Alban Berg (1913), formant une sorte de sonate enminiature dont les mouvements eux-mêmes se répondent. Échos de folkloreshongrois et roumain, mais aussi de Debussy et du dodécaphonisme de l’écolede Vienne, dans la fameuse première sonate pour violon et piano (1921) commedans le trio Contrastes (1938) de Béla Bartók. Chez Debussy, ces échos seraientplutôt ceux d’un au-delà, celui du rêve : la rhapsodie pour clarinette et piano estparcourue d’une vibration poétique, onirique qui éclatera dans la merveilleuserhapsodie pour orchestre avec clarinette principale, version orchestrée de cettepièce de concours composée en 1910. Mais c’est également le cas pour l’ensemblede ce programme. Des «folklores imaginaires» de Bartók aux œuvres «ouvertes»de Berg (que Pierre Boulez comparait aux « amorces de nouvelles que l’on peutlire dans le Journal de Kafka »), le système d’échos et de correspondances ici à l’œuvre est également, et avant tout, d’une nature suprêmement poétique.
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Mercredi 26 novembre à 20h à l’auditorium
Maurizio Pollini, piano
SCHOENBERG Six pièces opus 19 ; trois pièces opus 11.DEBUSSY Préludes, Livre II.WEBERN Variations opus 27.BOULEZ Deuxième sonate.
Le grand Maurizio Pollini revisite cette musique du XXe siècle dont il est depuis toujours l’un des plus nobles thuriféraires au cours d’un programme qui en explore les fondations : moins de cinquante ans séparent les quatre piècesen présence, témoignages de la fulgurante mutation accomplie par la musiquepour piano au cours de cette période. Un programme qui est égalementl’occasion de placer la musique de Pierre Boulez en miroir de ses grandessources d’inspiration. En 1956, au musicologue Antoine Golea, Boulez parlaitde Debussy comme d’« un guide constant, mon plus grand, mon permanentmodèle ». Composé entre 1910 et 1912, le second livre des Préludes de Debussycondense cet art « mystérieux et envoûtant » que Boulez admire tant chez sonaîné. À la même période, à Vienne, Arnold Schoenberg compose les six petitespièces formant son opus 19 : d’à peine une minute chacune, elles sont unpoudroiement de fragments sonores, où des harmonies opulentes croisent deslignes brisées abstraites, et souvent sombres. Deux ans auparavant, les troispièces opus 11 avaient marqué sa rupture définitive avec la tonalité. Créées en 1937, les Variations opus 27 d’Anton Webern poursuivent plus avant cetenchevêtrement de la structure et de l’expression. En trois brefs mouvements,elles déploient autant de minuscules miroirs organisés suivant la techniquedodécaphonique. Enfin, au lendemain de la guerre, en 1948, à l’âge de vingt-trois ans (Maurizio Pollini en avait alors six), Pierre Boulez parachève, avec safameuse deuxième sonate, ce processus de fragmentation intérieure des formesclassiques, de « corruption des bonnes mœurs sonores » (d’après la formule deBoulez au sujet de Debussy) au service d’un désir mallarméen, prométhéen, de servir la poésie.
Jeudi 27 novembre à 12h30 à l’auditorium
Clément Dufour, flûteDavid Kim, altoEmmanuel Ceysson, harpe
DEBUSSY Sonate en fa majeur pour flûte, alto et harpe.TAKEMITSU And then I knew it was wind pour flûte, alto et harpe.SAARIAHO New Gates pour flûte, alto et harpe.BERTRAND Dall’ inferno pour flûte, alto et harpe, création mondiale,
commande du musée du Louvre.
Un concert en forme d’invitation au voyage, construit autour de troisinstruments propices à faire souffler le vent du large – la flûte, la harpe, l’alto –et d’une œuvre emblématique, la première du genre : la sonate en fa majeur deDebussy, créée en 1915 par un compositeur qui mettait ainsi fin à une longuepériode d’infertilité créatrice avec ce retour à la musique de chambre. Conçueau départ pour s’intégrer dans un cycle de six sonates pour instruments divers,c’est une pièce d’une farouche originalité : une suite, ou plutôt une fuited’éléments musicaux en apparence hétérogènes, qui peu à peu s’assemblentavec une grande sensualité, baignée par moments d’effluves orientaux. Sonatmosphère nocturne est assombrie encore par l’humeur d’un compositeur quivit alors les heures les plus noires de la guerre. L’esprit de cette sonate soufflesur And then I knew it was wind, du Japonais Toru Takemitsu (1992) – dont onsait l’amour qu’il porte à Debussy, avec lequel il partage une même dilectionpour la flûte ; le motif d’alto ascendant présenté au début de l’œuvre enconstitue même une allusion directe. Les réminiscences de musique japonaiseaffleurent dans cette partition méditative et éthérée, qui emprunte son titre àun vers d’Emily Dickinson. De même que Takemitsu cherchait à traduire lesfluctuations de l’âme, la Finlandaise Kaija Saariaho a conçu son trio New Gates(1996) comme une succession d’états différents, un voyage imaginaire.Poursuivant le travail du compositeur sur les rythmes, les textures et les micro-intervalles, une création de Christophe Bertrand conclut ce périple poétique enouvrant de nouveaux horizons.
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ConcertsLe Louvre invite Pierre Boulez
Vendredi 28 novembre à 20h à l’auditorium
Les Cris de ParisGeoffroy Jourdain, direction Christophe Desjardins, altoDaniel Ciampolini, percussions NN, célestaPrésentation : Geoffroy Jourdain
GOTTWALD Über das, über ein verschwindelaren.STROPPA Création mondiale, commande du musée du Louvre
et des Cris de Paris.FELDMAN Rothko Chapel pour chœurs, alto, percussions et célesta.
En 1969, année de la mort de Theodor W. Adorno, Clytus Gottwald – fameuxchef de chœur et fidèle collaborateur de Pierre Boulez, auteur de nombreusestranscriptions – composait Über das, über ein verschwindelaren sur un texte de Boulez en hommage à son aîné. Cette pièce pour chœur mixte a cappellaest empreinte d’un recueillement poignant que la fameuse Rothko Chapelde Morton Feldman ne pourra qu’amplifier. Là encore, il s’agit d’un hommageà un ami disparu : l’œuvre a été composée en 1971 pour l’inauguration de lachapelle – œcuménique – dont elle porte le nom, conçue à Houston autour dequatorze toiles du peintre Mark Rothko qui s’était suicidé un an auparavant.Avec cette pièce, Morton Feldman disait avoir voulu créer « une musique qui parcourt la ligne étroite entre l’abstraction propre à tout art et le désirémotionnel qui caractérise le fait d’être humain » : entre les voix du chœur et l’alto solo, délicatement renforcé par le célesta et la percussion, se noue undialogue séraphique où des textures vibratiles, suspendues, excavent le silencecomme les tableaux de Rothko retiennent la lumière. Comme ces derniers,cette musique magique dégage une puissance méditative d’une subtilité rare – culminant avec cette bouleversante mélodie que, soudain, l’alto finit parentonner, accompagné par le vibraphone, au milieu du quasi-silence…
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Mardi 2 décembre à 20h sous la pyramide du Louvre
Orchestre de Paris Christoph Eschenbach, directeur musicalPierre Boulez, direction
STRAVINSKI L’Oiseau de feu, ballet intégral
Ce concert gratuit marque de façon particulièrement brillante le cycle d’accueil,par le Louvre, de personnalités extérieures au monde des musées. Ce soir-là,L’Oiseau de feu a pour double écrin le verre et la nuit, puisqu’il est donné dansle vaste espace couronné par la pyramide de Ieoh Ming Pei. Une entrepriseaudacieuse et prometteuse de féerie qui correspond bien à l’œuvre.En composant L’Oiseau de feu, Stravinski répondait à une commande des Balletsrusses imposant des contraintes liées à un genre et à un argument. Mais il en est résulté une partition qui transcende l’anecdotique et le pittoresque,qui vit magnifiquement, indépendamment même de toute représentationchorégraphique. Le spectacle, « prodige d’équilibre le plus exquis entre les sons,les mouvements, les formes» (selon Henri Guéon, écrivain et critique), a conquisles premiers spectateurs de 1910 par son originalité due à une collaborationintime entre le chorégraphe, le musicien et le peintre. Mais les commentateursn’ont pas hésité à louer particulièrement les mérites d’une musique tout entièreà découvrir. « La partition est d’un jeune Russe complètement inconnu ici.C’est une œuvre admirable. Pour la première fois de ma vie un ballet m’a émuau point de me remplir les yeux de larmes. […] Il n’y a plus la moindre erreur :c’est bien un chef-d’œuvre», écrit le compositeur Alfred Bruneau, élève deMassenet et ami de Zola.Ces qualités remarquées dès les premières auditions – « l’orchestre sonore,coloré, lumineux, constamment vibrant », « l’ingéniosité des thèmes et l’éclat de l’instrumentation », « le pépiement des timbres, la caresse de la mélodie, le délire des danses », « l’invention rythmique, la verve et la couleur » – en fontune œuvre flamboyante du XXe siècle. À goûter entre lumière et ténèbres.
Le Louvre propose une introduction au concert L’Oiseau de feu avec un atelierpédagogique destiné au public scolaire, le 1er décembre à 15 h à la salle Pleyel.Voir page 42.
En coproduction avec l’Orchestre de Paris.
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ConcertsLe Louvre invite Pierre Boulez
Le geste musical à l’écran
Les jeudi 13, samedi 15, dimanche 16, samedi 22 et dimanche 23 novembre
à l’auditorium
Huit séances de musique filmée
Ce cycle de films est consacré au travail de Pierre Boulez dans le domaine de latransmission de la musique : cours de direction d’orchestre, analyses musicales,répétitions filmées. Si Pierre Boulez est l’un des musiciens contemporains qui a le plus conceptualiséles divers aspects de la vie musicale, il n’a jamais, à proprement parler, enseigné.Il a écrit, professé au Collège de France, mais n’a jamais souhaité transmettreune tradition. Cependant, il s’est toujours servi des médias, en particulier de la télévision, pour transmettre ses idées et son esthétique musicale. Ce cycle présente une sélection des nombreuses émissions de télévision auxquellesil a participé depuis les années soixante. On y voit le compositeur présentantavec clarté ses œuvres les plus connues, les plus complexes, qu’il dissèque lorsde répétitions ou de master classes comme dans les films réalisés par OlivierMille à Villeneuve-lès-Avignon en 1988 ou à la Cité de la musique à propos deSur Incises en 2001. Mais le travail de transmission du compositeur ne se limitepas aux jeunes talents. Pierre Boulez s’est servi de l’audiovisuel pour initier unlarge public aux musiciens du XXe siècle qu’il défend. On a ainsi l’occasion devoir pour la première fois en France la remarquable série de la BBC consacréeà Igor Stravinski, Edgard Varèse et Béla Bartók et de retrouver Pierre Boulez àla tête de l’Orchestre de Paris dans des concerts consacrés à Arnold Schoenberg(La Nuit transfigurée) et Béla Bartók (Le Prince de bois). Son rôle dans le domainede l’opéra est illustré par la création de la version intégrale de Lulu d’AlbanBerg filmée par Bernard Sobel ou par des extraits de répétitions de Wozzeckcréé avec Jean-Louis Barrault au même Opéra de Paris. La télévision s’est aussi beaucoup intéressée à une personnalité qui a toujourspris part avec mordant aux grands débats de la scène culturelle française, del’époque du Domaine musical, au Théâtre Marigny, à son engagement dans leprojet de renouveau de l’Opéra de Paris aux côtés de Jean Vilar et de MauriceBéjart, ou à son impulsion pour la création de l’Ircam.
Ce cycle est aussi l’occasion de rendre un hommage particulier à Olivier Messiaendont on connaît l’influence déterminante durant les années de formation de Pierre Boulez, et dont on commémore en 2008 le centenaire de la naissance.Le jeudi 13 novembre, en ouverture du cycle de films, Pierre Boulez s’entretientavec Hélène Jarry sur son intérêt pour l’audiovisuel et sur la manière dont il conçoit son rôle dans le champ des nouveaux médias de communication.
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Musique filméeLe Louvre invite Pierre Boulez
Exposition
Du jeudi 6 novembre 2008 au lundi 9 février 2009 dans les salles d’arts graphiques
«Pierre Boulez. Œuvre : Fragment»
L’exposition aborde quelques aspects de l’autonomie esthétique de l’esquissetelle qu’elle s’est développée avec lamodernité. Établissant des lecturescroisées entre des œuvres graphiques,littéraires et musicales des XIXe etXXe siècles, le parcours a partie liée avecune méthodologie de l’acte créateur et interroge le processus même de la genèse de l’œuvre. Il traverse les« familles artistiques » qui sont celles de Pierre Boulez, jusqu’à composer un possible portrait du compositeur.Autour de quatre thèmes – « esquisse et aboutissement », « le fragment et letout », « filiation et rupture », « l’œuvre en suspens » –, l’exposition présente,entre autres, des œuvres de Delacroix,Ingres, Degas, Cézanne, Kandinsky,Picasso, Brancusi, Giacometti, Webern,Bartók, Varèse, Berio, Mallarmé. Les manuscrits de Pierre Boulez entissent le fil conducteur.
Publication
Fragment (titre provisoire), textes de Pierre Boulez, Henri Loyrette et Marcella Lista.Pierre Boulez et Henri Loyrette abordentla problématique plastique et musicalede la genèse de l’œuvre, de la trajectoirede l’artiste, de l’inachevé, du fragment ;ils évoquent le parcours de l’œuvre, sa genèse, son développement, sa suspension. Marcella Lista analyse l’un des thèmes de l’exposition duLouvre : filiation et rupture.
Coédition musée du Louvre Éditions /Gallimard.
Conférence, débat, colloque
Les 6, 7 et 8 novembreà l’auditorium
Jeudi 6 novembre à 18h30
Conférence inauguralepar Pierre Boulez.
Vendredi 7 novembre à 18h30
Rencontre d’art contemporain « Faces à faces »Architecture, musique, acoustique : le projet de la Philharmonie de Paris Avec Pierre Boulez, Jean Nouvel et Laurent Bayle.
Samedi 8 novembre de 10h à 18h30
ColloqueRépétition et inachèvement : l’œuvre en suspensEn présence de Pierre Boulez.
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Exposition, publication, conférencesLe Louvre invite Pierre Boulez
Lundi 1er décembre à 15h à la salle Pleyel
Orchestre de ParisPierre Boulez, directionPrésentation et conception : Hélène Jarry
Introduction à L’Oiseau de feu de Stravinski .
En amont du concert L’Oiseau de feu d’Igor Stravinski donné sous la pyramide,le Louvre propose une introduction au concert destinée au public scolaire.L’œuvre interprétée par l’Orchestre de Paris dirigé par Pierre Boulez estprécédée d’une présentation, documents iconographiques à l’appui, situant la partition dans le contexte de l’extraordinaire floraison musicale suscitée par les commandes des Ballets russes. Des éléments empruntés aux diversesproductions dont L’Oiseau de feu a été l’objet permettent de présentersuccinctement la trame narrative soutenant le ballet.On découvre comment Stravinski ménage la progression ou précipite larupture, comment il renouvelle l’énergie, comment il joue avec l’espace sonore,comment il allège ou densifie, comment il introduit des déséquilibres, commentil peut suggérer sans rien décrire. La projection de courts extraits d’archivesfilmées offre également la possibilité de comparer des manières de diriger.Ce voyage initiatique mené avec la complicité des interprètes ne détruit pas la magie du moment du concert. Les quelques clefs délivrées pour l’écoutedevraient simplement permettre aux jeunes spectateurs de repousser les limitesde leur perception et de jouir mieux encore du mystère de la naissance d’uneœuvre immédiatement fascinante et accessible.
En coproduction avec l’Orchestre de Paris.
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Salle PleyelLe Louvre invite Pierre Boulez
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Samedi 14 et dimanche 15 mars 2009
Une conférence et trois séances de musique filmée En liaison avec l’exposition « Arioste imaginaire, Arioste imaginé ».
L’Orlando furioso de l’Arioste est une des œuvres littéraires dont la fortune a été la plus importante et la plus durable dans l’Europe musicale. Dès le XVIe siècle, peuaprès la disparition du poète en 1533, son œuvre fut souvent représentée avec desaccompagnements musicaux – spectacles qui annonçaient la naissance de l’opéra. Les premiers opéras issus de l’Orlando apparaissent en Italie, à la fin du siècle,avec des œuvres de Jacopo Peri et Francesco Caccini. L’influence de l’Arioste se déplace ensuite en France à la fin du XVIIe siècle. Par letruchement de l’œuvre du Tasse – son célèbre poème La Jérusalem délivrée (1581)s’inspire de l’œuvre de l’Arioste –, de nombreux opéras s’emparent des thèmes etdes personnages du Roland furieux, notamment Armide de Lully. Les dernières années du XVIIe et le début du XVIIIe siècle annoncent l’âge d’or del’opéra inspiré par le poète italien, à travers une multitude de productions. Troisnoms de librettistes dominent cette période : Salvi, Capece et Braccioli. Deux nomsde musiciens l’illuminent : Haendel et Vivaldi, qui établissent définitivement laréputation de l’œuvre du poète italien – en Angleterre avec les trois chefs-d’œuvrede Haendel que sont Ariodante, Orlando, Alcina, et en Italie avec l’Orlando furiosode Vivaldi. Les séances de musique filmée permettent de mettre en évidence, en proposanttrois captations différentes, la variété de styles qu’a inspirée l’œuvre de l’Ariostedans les trois grandes aires du baroque : l’Italie, la France et l’Angleterre. La conférence introductive, qui met en perspective et problématise ces trois« coups de sonde », forcément arbitraires compte tenu de l’importance du corpusauquel nous avons affaire, donne une vision d’ensemble de cette « galaxie Arioste »à l’opéra. Elle permet d’élargir l’approche historique avec des archives de produc-tions classiques comme le mémorable Alcina de Haendel par Jorge Lavelli avecTeresa Berganza, Philip Langridge (1978) ou l’Orlando furioso de Vivaldi dans la production de Pier Luiggi Pizzi à l’Opéra de San Francisco avec Marilyn Horne,Renée Fleming et Susan Graham (1990), et certaines des meilleures productionsmodernes (après l’entrée en scène des baroqueux). Elle est également appuyée par l’écoute d’autres opéras, notamment ceux dont nous ne possédons pas decaptations audiovisuelles.
Musique filméeL’Arioste à l’opéra
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Musique filméeUne saison à… la Scala de Milan
7 et 8 décembre 2008, 17 et 18 janvier, 14 et 15 février, 27 et 28 juin 2009
Quatre week-ends de musique filmée
L’auditorium du Louvre propose une nouvelle série de musique filmée consacréeaux grandes maisons d’opéra.Cette première série est dédiée à la Scala de Milan, le théâtre qui symbolise plusque tout autre la quintessence du genre opéra et qui connaît un nouvel élan sousl’impulsion de son directeur, Stéphane Lissner, et de Daniel Barenboïm, principalchef invité jusqu’en 2013.
Réparti sur quatre week-ends de la saison, ce cycle permet d’assister à de nouvellesproductions de la Scala. En premier lieu, sa traditionnelle soirée d’ouverture du7 décembre est retransmise en direct dans la salle de l’auditorium, avec unenouvelle production du Don Carlo de Giuseppe Verdi dirigé par Daniele Gatti dansune mise en scène de Stéphane Braunschweig. Deux autres moments forts de lasaison, captés par la RAI, sont ensuite présentés à l’occasion de soirées spéciales.Quelques-unes des productions majeures des trois dernières saisons peuventégalement être vues ou revues, comme cette Traviata dirigée par Lorin Maazel ou le Tristan et Isolde de Patrice Chéreau et Daniel Barenboïm qui ouvrait la saison2007-2008.
D’autre part, le prestigieux passé du grand théâtre milanais est évoqué grâce aux archives audiovisuelles. Dès les années quarante, Cinecitta a consacré un longmétrage à la Scala et aux grandes figures qui l’ont illustrée. Dans les annéessoixante-dix, la télévision prend le relais avec des captations de productions mythi-ques de Giorgio Strehler, Franco Zeffirelli et Luca Ronconi que nous proposons au public de l’auditorium.
Enfin, des conférences illustrées d’exemples visuels et sonores permettent aux responsables de la Scala d’exposer leur projet culturel. « L’Accademia Teatro allaScala », notamment, porte un ambitieux projet pédagogique qui touche chaqueannée une large frange de public jeune grâce à une production originale.
En partenariat avec le Teatro alla Scala et RAI Trade.
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Duos éphémères
Vendredis 16 janvier, 13 février,
20 mars, 10 avril et 29 mai 2009
Cinq séances à 20 h 30Mathieu Chedid orchestre cette saisondes Duos éphémères. Le Louvre luipropose de s’inspirer de la magie ducinéma de Georges Méliès pour inviterartistes ou ensembles lors de cinqsoirées thématiques. Depuis dix ans, et son premier album Le Baptême (1997),M – Mathieu Chedid – fait partager à un public de plus en plus vaste ununivers artistique d’une grande richesse,alliant poésie et humour.
Avec le soutien de la Sacem.
Électrons libres
Ce programme propose desperformances confrontant les matièressonores et visuelles pour en dégagerdes énergies nouvelles : mixagesplastiques et sonores, films muets etmusiques électroniques…
Vendredi 5 juin 2009 à 20h30
Projection-concert
Häxan (La Sorcellerie à travers les âges)Film muet de Benjamin Christensen.Suède, 1921, 80 min env.Création musicale électronique de Mauro Lanza, commande du muséedu Louvre (2008).
Documentaire pastiche, Häxan apparaîtà la fois comme une enquête documen-taire sur l’idéologie du XVe siècle et un pamphlet contre le totalitarisme,dans une esthétique proche de Goya et de Rodolphe Bresdin, graveur etmaître d’Odilon Redon.
Avec le soutien de la Sacem.
Musique du monde de l’Islam
Dimanche 29 mars, samedi 4
et dimanche 5 avril 2009
Trois concertsLa diversité et l’immensité de l’airegéographique du monde de l’Islam estgarante de la variété et de la richessedes musiques des communautésmusulmanes, bien souvent imprégnéesde traditions plus anciennes, voisinesou extérieures, qu’elles soient reli-gieuses, savantes ou populaires. Nousvous présentons, cette année, troisconcerts qui illustrent cette pluralité.
29 mars à 17h
Ashigh, bardes d’Azerbaïdjan.4 avril à 20h30
Qawwali, chant soufi du Pakistan.5 avril à 17h
Tembang Sunda, l’art vocal de Java-Ouest.
En partenariat avec la Maison des cultures du monde et le Festival de l’Imaginaire.
Et aussi Duos éphémères, Électrons libres…
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Introduction au concert
Lundi 1er décembre 2008 à 15h
À la salle Pleyel
Orchestre de ParisChristoph Eschenbach, directeurmusicalPierre Boulez, directionPrésentation et conception : Hélène JarryIntroduction à L’Oiseau de feu de Stravinski
Voir le détail du programme à la page 36.En coproduction avec l’Orchestre de Paris.
Public scolaire, à partir de la 4e.Entrée libre sur réservation.
Musique filmée
Jeudi 20 novembre 2008 à 14h30
Jeudi 26 mars 2009 à 14h30
À l’auditorium
Depuis plusieurs saisons, à l’auditorium,les élèves, dès la maternelle, découvrentle passage de la musique à l’écran.Films d’animations et images d’archivesles invitent cette année à un voyagedans l’univers de l’opéra.
Programmation détaillée sur louvre.frdès juillet 2008.
Atelier-concert
Vendredi 23 janvier 2009 à 14h30
À l’auditorium
Le programme, composé d’un film etd’un concert, est conçu pour permettreaux plus jeunes de se familiariser avecles grandes œuvres du répertoireclassique et de mieux comprendre lerôle d’interprète et le métier d’artiste. Internationalement connu pour soninterprétation des œuvres de Debussyet ses émissions sur France Musique,Philippe Cassard emmène son jeuneauditoire à la rencontre du compositeuret témoigne de son propre parcours,évoquant à partir d’extraits d’archivesl’apprentissage de son art.
Film
Une leçon particulière de musique… avec Nikita Magaloff (extraits)Réal. : Thierry Benizeau, prod. :Com’unimage, La Sept, Radio France,1989, 56 min.
Concert
Philippe Cassard, pianoDEBUSSY
Estampes ; Images, Livre I.
Public scolaire, à partir du CM1.
Public scolaire
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Septembre
Mercredi 17 à 20 h / ConcertSextuor de l’Orchestre philharmoniquede Berlin
Jeudi 18 à 12 h 30 / ConcertHahn-Bin, violon John Blacklow, piano
Jeudi 25 à 12 h 30 / ConcertQuatuor Doric
Octobre
Mercredi 1er à 20 h / ConcertLise de la Salle, piano
Jeudi 9 à 12 h 30 / ConcertQuintette Aquilon
Mercredi 15 à 20 h / ConcertPetra Lang, mezzo-sopranoCharles Spencer, piano
Jeudi 23 à 12 h 30 / Concert Benjamin Grosvenor, piano
Novembre
Jeudi 6 à 18 h 30 / Conférenceinaugurale par Pierre Boulez
Vendredi 7 à 18 h 30 / Rencontre d’artcontemporain « Faces à faces »Architecture, musique, acoustique : le projet de la Philharmonie de Paris Avec Pierre Boulez, Jean Nouvel et Laurent Bayle
Samedi 8 de 10 h à 18 h 30 / Colloqueinternational d’esthétiqueRépétition et inachèvement : l’œuvre en suspensEn présence de Pierre Boulez
Mardi 11 à 21 h / Concert dans les salles du muséeMusiciens de la Lucerne FestivalAcademy
Jeudi 13 à 12 h 30 / Concert Musiciens de la Lucerne FestivalAcademy
Jeudi 13 à 20 h / Musique filméePrésentation du cycle de films avec Pierre Boulez
Vendredi 14 à 20 h / ConcertPierre-Laurent Aimard, piano
Samedi 15 / Musique filméeLe geste musical à l’écran
Dimanche 16 / Musique filméeLe geste musical à l’écran
Mercredi 19 à 20 h / ConcertChristine Schäfer, soprano Ensemble intercontemporain Pierre Boulez, direction
Jeudi 20 à 14 h 30 / Public scolaire /Musique filmée
Vendredi 21 à 20 h / ConcertDiego Tosi, violonJérôme Comte, clarinetteAndrew Gerszo, réalisation informatiquemusicale IrcamArshia Cont, régie informatique
Calendrier 2008-2009
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Samedi 22 / Musique filméeLe geste musical à l’écran
Dimanche 23 / Musique filméeLe geste musical à l’écran
Lundi 24 à 20 h / ConcertFlorent Boffard, pianoChristian Tetzlaff, violonMartin Fröst, clarinette
Mercredi 26 à 20 h / ConcertMaurizio Pollini, piano
Jeudi 27 à 12 h 30 / ConcertClément Dufour, flûteDavid Kim, altoEmmanuel Ceysson, harpe
Vendredi 28 à 20 h / ConcertLes Cris de ParisGeoffroy Jourdain, directionChristophe Desjardins, altoDaniel Ciampolini, percussions
Décembre
Lundi 1er à 15 h / Public scolaire /Introduction à L’Oiseau de feu, salle PleyelOrchestre de Paris Pierre Boulez, directionHélène Jarry, présentation
Mardi 2 à 20 h / Concert sous la pyramideOrchestre de Paris Pierre Boulez, direction
Mercredi 3 à 20 h / ConcertQuatuor Arcanto
Jeudi 4 à 12 h 30 / ConcertNarek Hakhnazaryan, violoncelle Katia Mechetina, piano
Dimanche 7 / Musique filméeUne saison à… la Scala de Milan
Lundi 8 / Musique filméeUne saison à… la Scala de Milan
Janvier
Mercredi 14 à 20 h / Concert Solistes de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris
Jeudi 15 à 12 h 30 / ConcertIlya Petrov, piano
Vendredi 16 à 20 h 30 / Duoséphémères
Samedi 17 / Musique filméeUne saison à… la Scala de Milan
Dimanche 18 / Musique filméeUne saison à… la Scala de Milan
Vendredi 23 à 14h30 / Public scolaire /Atelier-concert Une leçon particulière de musique… avec Nikita Magaloff,réal. : Thierry BenizeauPhilippe Cassard, piano
Vendredi 23 à 20 h / ConcertPhilippe Cassard, piano
Mercredi 28 à 20 h / ConcertQuatuor Hagen
Jeudi 29 à 12 h 30 / ConcertQuatuor Pacifica
Février
Mercredi 11 à 20 h / ConcertQuatuor de Jérusalem
Jeudi 12 à 12 h 30 / ConcertQuatuor de Jérusalem
Vendredi 13 à 20 h 30 / Duoséphémères
Samedi 14 / Musique filméeUne saison à… la Scala de Milan
Dimanche 15 / Musique filméeUne saison à… la Scala de Milan
Mercredi 25 à 20 h / ConcertOlga Guryakova, sopranoAnna Rakhman, piano
Jeudi 26 à 12 h 30 / ConcertPavel Sporcl, violonPetr Jirikovsky, piano
Vendredi 27 à 20 h / ConcertSimon Trpceski, piano
Mars
Mercredi 4 à 20 h / ConcertSolistes de l’Atelier lyrique de l’Opéra de ParisLes PaladinsJérôme Correas, direction
Jeudi 5 à 12 h 30 / ConcertBenjamin Alard, clavecin
Mercredi 11 à 20 h / ConcertQuatuor Emerson
Jeudi 12 à 12 h 30 / ConcertQuatuor Escher
Vendredi 13 à 20 h / ConcertDenis Kozhukhin, piano
Samedi 14 / Musique filméeL’Arioste à l’opéra
Dimanche 15 / Musique filméeL’Arioste à l’opéra
Jeudi 19 à 12 h 30 / ConcertHaydn Trio Eisenstadt
Vendredi 20 à 20 h 30 / Duoséphémères
Mercredi 25 à 20 h / ConcertHenri Sigfridsson, pianoPatricia Kopatchinskaja, violonSol Gabetta, violoncelle
Jeudi 26 à 12 h 30 / ConcertDinara Nadzhafova, piano
Jeudi 26 à 14 h 30 / Public scolaire /Musique filmée
Dimanche 29 à 17 h / Musique du monde de l’Islam Ashigh, bardes d'Azerbaïdjan
Avril
Mercredi 1er à 20 h / ConcertMarina Domashenko, mezzo-sopranoAlexandre Paley, piano
Jeudi 2 à 12 h 30 / ConcertEugena Chang, violoncelleKwan Yi, piano
Samedi 4 à 20 h 30 / Musique du monde de l’IslamQawwali, chant soufi du Pakistan.
Dimanche 5 à 17 h / Musique du monde de l’IslamTembang Sunda, l’art vocal de Java-Ouest.
Jeudi 9 à 12 h 30 / ConcertJi-Yong, piano
Vendredi 10 à 20 h 30 / Duoséphémères
Vendredi 17 à 20 h / ConcertLise de la Salle, piano
Mercredi 29 à 20 h / ConcertQuatuor Modigliani
Jeudi 30 à 12 h 30 / ConcertQuatuor Modigliani
Mai
Mercredi 20 à 20 h / ConcertQuatuor Pavel Haas
Vendredi 29 à 20 h 30 / Duoséphémères
Juin
Mercredi 3 à 20 h / ConcertTruls Mørk, violoncelleKathryn Stott, piano
Vendredi 5 à 20 h 30 / ProjectionConcert, Électrons libresHäxan (La sorcellerie à travers les âges)de Benjamin Christensen.Musique : Mauro Lanza
Samedi 27 / Musique filméeUne saison à… la Scala de Milan
Dimanche 28 / Musique filméeUne saison à… la Scala de Milan
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47
Partenaires
La communication des concertsbénéficie du soutien de Téléramaet de France Musique.
Les concerts de 12 h 30 bénéficient du parrainage de la Fondation SAGEM–Groupe SAFRAN.
Les Duos éphémères, Électrons libreset (œuvre)2 sont organisés avec lesoutien de la Sacem.
Les concerts de Musique du monde de l’Islam sont proposés en partenariatavec la Maison des cultures du monde,dans le cadre du Festival de l’Imaginaire.
Le cycle « Une saison à… la Scala de Milan » est proposé en partenariatavec le Teatro alla Scala et Rai Trade.
Séance du 1er décembre et concert du 2 décembre en coproduction avecl’Orchestre de Paris.
Concerts des 19 et 21 novembre en coréalisation avec l’Ensembleintercontemporain.
Concerts des 11 et 13 novembre en coproduction avec la LucerneFestival Academy.
Concerts des 14 janvier et 4 mars en coréalisation avec l’Opéra nationalde Paris.
48
Informations
Auditorium du Louvre
Accèspar la pyramide, le passage Richelieuou les galeries du Carrousel.
Informationslouvre.fr01 40 20 55 55, de 9 h à 19 h du lundi au vendredi.
Pour recevoir notre lettre d’information,laissez votre adresse électronique sur :[email protected]
Pour acheter vos places
Les places peuvent être achetées à compter du 14 avril 2008 :
par correspondanceÀ l’aide du formulaire de réservation Les demandes seront traitées par ordred’arrivée.
Adresse postale : Auditorium du LouvreBilletterie75058 Paris Cedex 01
par téléphoneAu 01 40 20 55 00, du lundi au vendredi(sauf le mardi), de 11 h à 17 h,uniquement par carte bancaire.
à la caisse de l’auditoriumDu lundi au samedi (sauf le mardi) de 9 h à 17 h 30. Fermeture de la caisse du 28 juin au 31 août inclus.
Informations et réservations groupes
Groupes scolaires et parascolaires01 40 20 84 55.
Public enseignant / accompagnementpédagogique01 40 20 58 [email protected]
Groupes adultes (associations,comités d’entreprise…)01 40 20 54 55.
Salle Pleyel
Séance pédagogique du 1er décembreRenseignements et inscriptions auprèsde l’Orchestre de Paris :01 56 35 12 49 / [email protected]
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Offre spéciale « Jeunes »
Moins de 26 ans 3 concerts * 18€
Carte Louvre jeunes 3 concerts * 15€
* Concerts de musiques de chambre, voix et quatuor à cordes, hors concerts à tarifs spéciaux.
Tarifs (1)
Places à l’unité Plein Réduit Jeunes, Carte Louvre jeunes et solidarité et groupes scolaires
Places en abonnement (2) Plein Réduit
Tarif A 30€ 24€ 18€ 12€
Tarif B 20€ 16€ 12€ 8€
Tarif C 14€ 11€ 8,50€ (3) Gratuit
Tarif D 10€ 8€ 6€ 4€
Tarif spécial 1 SP1 60€ 48€ 36€ 24€
Tarif spécial 2 SP2 80€ 64€ 48€ 32€
1. Prix par concert.
2. Abonnements à partir de cinq concerts.
3. Gratuit pour les moins de 26 ans. Pas de réservation, se présenter à l’accueil de l’auditorium 30 minutes avant le début du concert.
Achat des places
Les billets sont expédiés à domicile. Les commandes passées moins de dix jours avant
la date du premier concert et les achats par télephone nécessitant la présentation
d'un justificatif sont à retirer au guichet le soir même. Les places non retirées ne sont
pas remboursées.
Réductions tarifaires
Tarif « réduit » :
- Titulaires d’une carte d’adhérent du musée. - Étudiants de plus de 26 ans.- Personnel du ministère de la Culture et de la Communication.- Guides et conférenciers relevant des ministères français chargés de la Culture et du Tourisme
et de la Réunion des musées nationaux.- Adhérents FNAC.- Public réalisant l’achat de places en abonnement.- Achat groupé de 5 places et plus à l’unité à une même séance.
Tarif « Jeunes » et « Solidarité » :
- Moins de 26 ans. - Bénéficiaires des minima sociaux, demandeurs d’emploi.- Personnes handicapées civiles ou victimes de guerre ainsi qu’un accompagnateur par personne.- Bénéficiaires du tarif réduit à l’unité, pour l’achat de places en abonnement (au moins 5 places).
Tarif « Carte Louvre jeunes » et « groupes scolaires » :
- Titulaires d’une carte Louvre jeunes.- Achats groupés émanant de classes, centres de loisirs, associations culturelles, etc.
Devenez correspondant d’un groupe
Si vous réunissez dix personnes qui souhaitent souscrire un abonnement, le onzième abonnementvous est offert. Modalités au 01 40 20 54 55.
Bulletin de réservation concertsLa Musique filmée sera ouverte à la réservation à partir de septembre 2008,les Duos éphémères et Électrons libres à partir de janvier 2009.
La lo
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du
Louv
re.
Achat de places en abonnement (à partir de 5 concerts)
Tarif plein
Tarif A 24€ x concerts x places = €
Tarif B 16€ x concerts x places = €
Tarif C 11€ x concerts x places = €
Tarif D 8€ x concerts x places = €
Tarif réduit
Tarif A 18€ x concerts x places = €
Tarif B 12€ x concerts x places = €
Tarif C 8,50€ x concerts x places = €
Tarif D 6€ x concerts x places = €
Offre spéciale « Jeunes »
Moins de 26 ans 18€ pour 3 concerts * x ab. = €
Carte Louvre jeunes 15€ pour 3 concerts * x ab. = €
Sous-total Abonnements** = €
* Concerts de musiques de chambre, voix et quatuor à cordes, hors concerts à tarifs spéciaux.
**Attention : les concerts des 11, 19 et 26 novembre ne peuvent pas être pris en abonnement.
Total général = €
Vos coordonnées
Merci de nous retourner les quatre volets de ce bulletin à l’adresse suivante :Auditorium du Louvre « Billetterie » 75058 Paris Cedex 01
Nom Prénom
Adresse
Ville
Tél. dom. Tél. travail
Courriel
Si vous avez une carte d’adhérent Louvre, merci d’inscrire ici son numéro et sa date d’expiration
Amis du Louvre Carte Louvre jeunes
Enseignants Professionnels
Jeunes Mécènes Date d’expiration
Si vous avez moins de 26 ans, indiquez votre date de naissance : 19Si vous êtes chômeur, joignez une attestation de demandeur d’emploi.Si vous détenez une carte Cotorep ou carte d’invalidité, merci de joindre une photocopie.Si vous détenez une carte FNAC, merci de joindre une photocopie.
Paiement par chèque à libeller à l’ordre du « musée du Louvre »
Paiement par carte bancaire Carte bleue American Express
Nº de carte Signature (indispensable)
Expire le Crypto*
les trois derniers chiffres figurant au dos de la carte dans le pavé signature.
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3
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5
Code postal
Sélectionnez vos concerts
Date Artiste Abonnements ou Places à l’unité Tarif
Musiques de chambre au Louvre à 20 h
17/9 Sextuor de l’Orchestre philharmonique de Berlin places A
1/10 L. de la Salle places A
24/11 F. Boffard, C. Tetzlaff, M. Fröst (cycle Boulez) places A
26/11 M. Pollini (cycle Boulez) places SP2
25/3 H. Sigfridsson, P. Kopatchinskaja, S. Gabetta places A
3/6 T. Mørk, K. Stott places A
Quatuor à cordes à 20 h (voir aussi rubrique « Concerts du jeudi »)
3/12 Quatuor Arcanto places A
28/1 Quatuor Hagen places A
11/2 Quatuor de Jérusalem places A
11/3 Quatuor Emerson places A
29/4 Quatuor Modigliani places A
20/5 Quatuor Pavel Haas places A
Voix à 20 h
15/10 P Lang, C. Spencer places A
19/11 C. Schäfer, EIC, dir. P Boulez (cycle Boulez) places SP1
14/1 Solistes de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris places A
25/2 O. Guryakova, A. Rakhman places A
4/3 Solistes de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris places A
1/4 M. Domashenko, A. Paley places A
Grands Classiques à 20 h
23/1 P. Cassard places C
27/2 S. Trpceski places C
13/3 D. Kozhukhin places C
17/4 L. de la Salle places C
(œuvre)2 à 20 h
14/11 P.-L. Aimard (cycle Boulez) places C
21/11 D. Tosi, J. Comte, A. Gerszo, A. Cont (cycle Boulez) places C
28/11 Les Cris de Paris, dir. G. Jourdain (cycle Boulez) places C
Concerts du jeudi à 12 h 30
18/9 Hahn-Bin, J. Blacklow places D
25/9 Quatuor Doric places D
9/10 Quintette Aquilon places D
23/10 B. Grosvenor places D
13/11 Musiciens de la Lucerne Festival Academy (cycle Boulez) places D
27/11 C. Dufour, D. Kim, E. Ceysson (cycle Boulez) places D
4/12 N. Hakhanazaryan, K. Mechetina places D
15/1 I. Petrov places D
29/1 Quatuor Pacifica places D
12/2 Quatuor de Jérusalem places D
26/2 P. Sporcl, P. Jirikovsky places D
5/3 B. Alard places D
Date Artiste Abonnements ou Places à l’unité Tarif
Concerts du jeudi à 12 h 30 (suite)
12/3 Quatuor Escher places D
19/3 Haydn Trio Eisenstadt places D
26/3 D. Nadzhafova places D
2/4 E. Chang, K. Yi places D
9/4 Ji-Yong places D
30/4 Quatuor Modigliani places D
Concert dans les salles du musée à 21 h
11/11 Musiciens de la Lucerne Festival Academy (cycle Boulez) places SP1
Concerts de musique du monde de l’Islam
29/3 Ashigh à 17 h places B
4/4 Qawwali à 20 h 30 places B
5/4 Tembang Sunda à 17 h places B
Achat de places à l’unité
Tarif A Plein 30€ x places = €
Réduit 24€ x places = €
Jeunes et Solidarité 18€ x places = €
CLJ, gr. scolaires 12€ x places = €
Tarif B Plein 20€ x places = €
Réduit 16€ x places = €
Jeunes et Solidarité 12€ x places = €
CLJ, gr. scolaires 8€ x places = €
Tarif C Plein 14€ x places = €
Réduit 11€ x places = €
Solidarité 8,50€ x places = €
Tarif D Plein 10€ x places = €
Réduit 8€ x places = €
Jeunes et Solidarité 6€ x places = €
CLJ, gr. scolaires 4€ x places = €
Tarif spécial 1 Plein 60€ x places = €
Réduit 48€ x places = €
Jeunes et Solidarité 36€ x places = €
CLJ, gr. scolaires 24€ x places = €
Tarif spécial 2 Plein 80€ x places = €
Réduit 64€ x places = €
Jeunes et Solidarité 48€ x places = €
CLJ et gr. scolaires 32€ x places = €
Sous-total Places à l’unité = €
2
1
Sélectionnez vos concerts
Date Artiste Abonnements ou Places à l’unité Tarif
Musiques de chambre au Louvre à 20 h
17/9 Sextuor de l’Orchestre philharmonique de Berlin places A
1/10 L. de la Salle places A
24/11 F. Boffard, C. Tetzlaff, M. Fröst (cycle Boulez) places A
26/11 M. Pollini (cycle Boulez) places SP2
25/3 H. Sigfridsson, P. Kopatchinskaja, S. Gabetta places A
3/6 T. Mørk, K. Stott places A
Quatuor à cordes à 20 h (voir aussi rubrique « Concerts du jeudi »)
3/12 Quatuor Arcanto places A
28/1 Quatuor Hagen places A
11/2 Quatuor de Jérusalem places A
11/3 Quatuor Emerson places A
29/4 Quatuor Modigliani places A
20/5 Quatuor Pavel Haas places A
Voix à 20 h
15/10 P Lang, C. Spencer places A
19/11 C. Schäfer, EIC, dir. P Boulez (cycle Boulez) places SP1
14/1 Solistes de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris places A
25/2 O. Guryakova, A. Rakhman places A
4/3 Solistes de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris places A
1/4 M. Domashenko, A. Paley places A
Grands Classiques à 20 h
23/1 P. Cassard places C
27/2 S. Trpceski places C
13/3 D. Kozhukhin places C
17/4 L. de la Salle places C
(œuvre)2 à 20 h
14/11 P.-L. Aimard (cycle Boulez) places C
21/11 D. Tosi, J. Comte, A. Gerszo, A. Cont (cycle Boulez) places C
28/11 Les Cris de Paris, dir. G. Jourdain (cycle Boulez) places C
Concerts du jeudi à 12 h 30
18/9 Hahn-Bin, J. Blacklow places D
25/9 Quatuor Doric places D
9/10 Quintette Aquilon places D
23/10 B. Grosvenor places D
13/11 Musiciens de la Lucerne Festival Academy (cycle Boulez) places D
27/11 C. Dufour, D. Kim, E. Ceysson (cycle Boulez) places D
4/12 N. Hakhanazaryan, K. Mechetina places D
15/1 I. Petrov places D
29/1 Quatuor Pacifica places D
12/2 Quatuor de Jérusalem places D
26/2 P. Sporcl, P. Jirikovsky places D
5/3 B. Alard places D
Date Artiste Abonnements ou Places à l’unité Tarif
Concerts du jeudi à 12 h 30 (suite)
12/3 Quatuor Escher places D
19/3 Haydn Trio Eisenstadt places D
26/3 D. Nadzhafova places D
2/4 E. Chang, K. Yi places D
9/4 Ji-Yong places D
30/4 Quatuor Modigliani places D
Concert dans les salles du musée à 21 h
11/11 Musiciens de la Lucerne Festival Academy (cycle Boulez) places SP1
Concerts de musique du monde de l’Islam
29/3 Ashigh à 17 h places B
4/4 Qawwali à 20 h 30 places B
5/4 Tembang Sunda à 17 h places B
Achat de places à l’unité
Tarif A Plein 30€ x places = €
Réduit 24€ x places = €
Jeunes et Solidarité 18€ x places = €
CLJ, gr. scolaires 12€ x places = €
Tarif B Plein 20€ x places = €
Réduit 16€ x places = €
Jeunes et Solidarité 12€ x places = €
CLJ, gr. scolaires 8€ x places = €
Tarif C Plein 14€ x places = €
Réduit 11€ x places = €
Solidarité 8,50€ x places = €
Tarif D Plein 10€ x places = €
Réduit 8€ x places = €
Jeunes et Solidarité 6€ x places = €
CLJ, gr. scolaires 4€ x places = €
Tarif spécial 1 Plein 60€ x places = €
Réduit 48€ x places = €
Jeunes et Solidarité 36€ x places = €
CLJ, gr. scolaires 24€ x places = €
Tarif spécial 2 Plein 80€ x places = €
Réduit 64€ x places = €
Jeunes et Solidarité 48€ x places = €
CLJ et gr. scolaires 32€ x places = €
Sous-total Places à l’unité = €
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Offre spéciale « Jeunes »
Moins de 26 ans 3 concerts * 18€
Carte Louvre jeunes 3 concerts * 15€
* Concerts de musiques de chambre, voix et quatuor à cordes, hors concerts à tarifs spéciaux.
Tarifs (1)
Places à l’unité Plein Réduit Jeunes, Carte Louvre jeunes et solidarité et groupes scolaires
Places en abonnement (2) Plein Réduit
Tarif A 30€ 24€ 18€ 12€
Tarif B 20€ 16€ 12€ 8€
Tarif C 14€ 11€ 8,50€ (3) Gratuit
Tarif D 10€ 8€ 6€ 4€
Tarif spécial 1 SP1 60€ 48€ 36€ 24€
Tarif spécial 2 SP2 80€ 64€ 48€ 32€
1. Prix par concert.
2. Abonnements à partir de cinq concerts.
3. Gratuit pour les moins de 26 ans. Pas de réservation, se présenter à l’accueil de l’auditorium 30 minutes avant le début du concert.
Achat des places
Les billets sont expédiés à domicile. Les commandes passées moins de dix jours avant
la date du premier concert et les achats par télephone nécessitant la présentation
d'un justificatif sont à retirer au guichet le soir même. Les places non retirées ne sont
pas remboursées.
Réductions tarifaires
Tarif « réduit » :
- Titulaires d’une carte d’adhérent du musée. - Étudiants de plus de 26 ans.- Personnel du ministère de la Culture et de la Communication.- Guides et conférenciers relevant des ministères français chargés de la Culture et du Tourisme
et de la Réunion des musées nationaux.- Adhérents FNAC.- Public réalisant l’achat de places en abonnement.- Achat groupé de 5 places et plus à l’unité à une même séance.
Tarif « Jeunes » et « Solidarité » :
- Moins de 26 ans. - Bénéficiaires des minima sociaux, demandeurs d’emploi.- Personnes handicapées civiles ou victimes de guerre ainsi qu’un accompagnateur par personne.- Bénéficiaires du tarif réduit à l’unité, pour l’achat de places en abonnement (au moins 5 places).
Tarif « Carte Louvre jeunes » et « groupes scolaires » :
- Titulaires d’une carte Louvre jeunes.- Achats groupés émanant de classes, centres de loisirs, associations culturelles, etc.
Devenez correspondant d’un groupe
Si vous réunissez dix personnes qui souhaitent souscrire un abonnement, le onzième abonnementvous est offert. Modalités au 01 40 20 54 55.
Bulletin de réservation concertsLa Musique filmée sera ouverte à la réservation à partir de septembre 2008,les Duos éphémères et Électrons libres à partir de janvier 2009.
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Achat de places en abonnement (à partir de 5 concerts)
Tarif plein
Tarif A 24€ x concerts x places = €
Tarif B 16€ x concerts x places = €
Tarif C 11€ x concerts x places = €
Tarif D 8€ x concerts x places = €
Tarif réduit
Tarif A 18€ x concerts x places = €
Tarif B 12€ x concerts x places = €
Tarif C 8,50€ x concerts x places = €
Tarif D 6€ x concerts x places = €
Offre spéciale « Jeunes »
Moins de 26 ans 18€ pour 3 concerts * x ab. = €
Carte Louvre jeunes 15€ pour 3 concerts * x ab. = €
Sous-total Abonnements** = €
* Concerts de musiques de chambre, voix et quatuor à cordes, hors concerts à tarifs spéciaux.
**Attention : les concerts des 11, 19 et 26 novembre ne peuvent pas être pris en abonnement.
Total général = €
Vos coordonnées
Merci de nous retourner les quatre volets de ce bulletin à l’adresse suivante :Auditorium du Louvre « Billetterie » 75058 Paris Cedex 01
Nom Prénom
Adresse
Ville
Tél. dom. Tél. travail
Courriel
Si vous avez une carte d’adhérent Louvre, merci d’inscrire ici son numéro et sa date d’expiration
Amis du Louvre Carte Louvre jeunes
Enseignants Professionnels
Jeunes Mécènes Date d’expiration
Si vous avez moins de 26 ans, indiquez votre date de naissance : 19Si vous êtes chômeur, joignez une attestation de demandeur d’emploi.Si vous détenez une carte Cotorep ou carte d’invalidité, merci de joindre une photocopie.Si vous détenez une carte FNAC, merci de joindre une photocopie.
Paiement par chèque à libeller à l’ordre du « musée du Louvre »
Paiement par carte bancaire Carte bleue American Express
Nº de carte Signature (indispensable)
Expire le Crypto*
les trois derniers chiffres figurant au dos de la carte dans le pavé signature.
*
3
4
5
Code postal
Président-directeur du musée du LouvreHenri Loyrette
Directeur de l’auditoriumJean-Marc Terrasse
Direction artistique des concertsMonique Devaux avec Pierre-Yves Charlois, Laurent Muraro et Nicolas Foulon
Concerts Musique du monde de l’IslamPierre Bois, Maison des cultures du monde
Musique filméeChristian Labrande avec Elsa Bouguen
Duos éphémères, Électrons libresPascale Raynaud avec Camille Maurel
Public scolaireIsabelle Jacquot,Delphine Vanhove
Conférences et colloquesMarcella Lista
PublicationMusée du Louvre, mars 2008
CoordinationGabrielle Rouault de la Vigne,Sophie Walter
IconographieLaure Péan,Monique Devaux
Conception graphiqueAtelier Takavoir / musée du Louvre
Secrétariat d’éditionCécile Dufêtre, Geneviève Peillon
PhotogravureOpale
ImpressionStipa
Crédits textesDavid Sanson : p. 4, 21-31Hélène Jarry : p. 32.
Crédits photographiquesp. 2 : © Photo RMN, musée du Louvre / DR ; p. 7 : © Photo RMN / Jean-Gilles Berizzi ; p.9-10: © Photo RMN /Thierry Le Mage;p. 15, 20, 28-29, 33, 37 : © Philippe Gontier ; p. 25 : DR ; p. 38 : © Photo RMN / Michèle Bellot ; p. 43 : © Photo RMN / Hervé Lewandowski.
Sommaire
3 Musiques de chambre au Louvre
4 Quatuor à cordes6 Voix8 Grands classiques
11 (œuvre)2
12 Concerts du jeudi
15 Le Louvre invite Pierre Boulez
17 – « Pierre Boulez. Œuvre : Fragment »
21 – Concerts34 – Musique filmée35 – Exposition, publication,
conférences36 – Salle Pleyel
39 Musique filmée41 Duos éphémères
Électrons libresMusique du monde de l’Islam
42 Public scolaire44 Calendrier 2008-200947 Partenaires48 Informations