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Vincent CHEPPE Marie-Hélène DOURTE

VOYAGE

DANS

L'INVISIBLE

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(Déchiffrer et comprendre la

spiritualité)

Les auteurs

Marie-Hélène et Vincent CHEPPE-DOURTE sont tous deux écrivains, médiums, et thérapeutes énergéticiens. De plus, Marie-

Hélène est spécialisée en fleurs de Bach et décodage des maladies alors que Vincent pratique quotidiennement la communication

animalière (animaux vivants ou décédés) et les contacts médiumniques avec les personnes décédées

Vous pouvez joindre les auteurs aux adresses e-mail suivantes :

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vincent.cheppe4@swing.be

Ou

mariehelene.dourte@scarlet.be

Visitez également leurs blogs

http://lesvoiesdelasagesse.skynetblogs.be

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Table des matières. Dédicace et remerciements. Préface. Préface. Avant-propos et mise en garde. Introduction. Chapitre I : Dieu………………………………………………………………….pp.18 à 29.

Dieu existe-t-il ? Dieu et la société humaine. Qui crée l'homme et le monde ? Les témoignages. Avant le big-bang ? Dieu/Diable : le concept Amour/Peur. Les arguments en faveur ou en défaveur de l'existence de Dieu.

� Arguments en faveur de certaines conceptions de Dieu ou des dieux. � Arguments contre certaines conceptions de Dieu ou des dieux.

Chapitre II : L’Homme et les autres règnes de la Nature…………..pp.30 à 49.

Que sommes-nous ? La description holistique de l'être humain.

� Les corps subtils. � L'aura. � La lecture de l'aura. � Les chakras. � L'âme.

Témoignages sur l'âme et le corps astral. Les autres règnes de la Nature : réflexions et témoignages.

� Le règne minéral. � Le règne végétal. � Le règne animal.

Chapitre III : La naissance…………………………………………………….pp.50 à 56.

La naissance : un événement ! La Vie avant la Vie et la Vie après la Vie : qu'en penser ? Les témoignages.

� Avez-vous choisi de naître ? � Oui, j'ai choisi de naître… � Oui, j'ai choisi de naître contre l'avis de mes guides et conseillers (3% du

sous-groupe de ceux qui ont choisi de naître). � Non, je n'ai pas choisi de naître… � Pourquoi avez-vous choisi le XXe siècle pour renaître ? � Quand votre conscience a-t-elle rejoint le fœtus ? � Qu'avez-vous éprouvé lors de votre naissance ? � Autre témoignage.

Chapitre IV : La vie sur la Terre……………………………………………..pp.57à 65. Quel est le sens de la vie terrestre ? La vie terrestre : un chemin d'apprentissage ? Le respect de la Vie.

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Les témoignages. � Vies antérieures. � Réincarnations, karma, épreuves. � Le sens de la vie et de la souffrance. � Quel était votre but en choisissant de naître ? (Ou quel était votre plan de vie ?). � Réflexion.

Chapitre V : La mort……………………………………………………………..pp.66 à 77.

La mort : une fatalité ? L'approche spirituelle de la mort. Que se passe-t-il au moment de la mort ? Témoignages. Les NDE (near death experience) ou EMI (expériences de mort imminente) : témoignages.

� La vie après la vie, best-seller mondial. � Une expérience hallucinante aux frontières de la mort, celle de Ned

DOUGHERTY ! � Dans les bras de … la Lumière !

La mort : témoignages. � L'arrivée dans l'au-delà. � Le jugement. � L'arrivée dans l'au-delà est différente suivant le type de décès.

Le suicide. Chapitre VI : La vie dans l’au-delà………………………………………….pp.78 à 86.

L'au-delà : un monde énigmatique ? L'arrivée dans l'au-delà. La vie dans l'au-delà. Les témoignages.

� Où se situe l'au-delà ? � De quoi est fait l'au-delà ? � Descriptions des sphères : bas-astral ou enfer, sphères intermédiaires,

sixième et septième sphères. � Sur les contacts entre les sphères. � Comment vit-on dans l'au-delà ? Qu'y fait-on ? � Description de diverses missions dans l'au-delà. � Retrouve-t-on sa famille dans l'au-delà ? � Le temps dans l'au-delà. � A quoi ressemble un être incarné ?

Chapitre VII : Les Hiérarchies célestes. …………………………………..pp.87 à 107.

Les Anges. Les témoignages.

� Qu'est-ce qu'un Ange ? � A quoi ressemblent les Anges ? � Intervention d'anges dans des situations dramatiques. � Anges consolateurs. � Comment je fis la connaissance de mon Ange (extraits). � Conversation avec un Ange. � " Coup de gueule " de l'Archange Saint-Michel à l'égard des Etats-Unis (extraits).

Les Hiérarchies angéliques et les guides. Les Esprits de la nature : " cousins des Anges ". Les témoignages.

� Entrer en contact avec les Esprits de la nature.

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� Rencontre insolite. � Rencontre extraordinaire !

Chapitre VIII : Les Maîtres de sagesse – Les Saints………………….pp.108 à 126.

Introduction. Les Maîtres initiés ou " Maîtres de sagesse ".

� Les Maîtres de sagesse dans l'Histoire. � Les Maîtres de sagesse contemporains. � Les Avatars.

Les Saints. � Les signes surnaturels de sainteté. � Quelques Saints stigmatisés, incorruptibles.

Les témoignages. � Le Padre Pio. � Concernant le maître Jésus et les autres maîtres-initiés. � Un discours important et une mise au point du maître Jésus. � Les apparitions mariales. � Conversation avec Marie concernant son mode de communication. � Concernant les Saints. � Où se situe Shamballah ? Shamballah, qu'est ce que c'est ? (extraits).

Chapitre IX : Sommes-nous seuls dans l'Univers ?......................pp.127 à 165.

Introduction. L'Univers au-dessus de nos têtes. La vie ailleurs que sur la Terre. Les plans vibratoires. Le visible et l'invisible. Les contacts intra et interdimensionnels. Les témoignages.

� " Races " d'extraterrestres d'après le témoignage de trois grands contactés. � Les extraterrestres existent-ils ? (Questions à des décédés). � Le mystère des Ummites. � La Vénusienne Omnec Onec. � Le discours d'Omnec Onec. � Rencontre de George Adamski avec Orthon (extraits). � Une étrange communication sur la BBC (émanant du commandement d'Ashtar

Sheran). � Informations sur le commandement d'Ashtar. � Message d'un Végan de la Lyre reçu par Pierre Monnet. � La terre creuse. � L'étrange voyage de l'amiral Richard E. Byrd dans la terre creuse. � Vers la terre creuse. � Télos : cité des Lémuriens. � Vénus et les Vénusiens : un article d'Olivier de ROUVROY.

Les crop circles (cercles de récolte) : signature extraterrestre ? � Histoire des crop circles. � Effets physiques et chimiques. � Symbolisme et géométrie. � Un crop circle de légende : Chibolton.

Chapitre X : Nos contacts avec les autres dimensions………………pp.166 à 202.

Introduction. Le cerveau humain. L'étude des expériences aux frontières de la mort. Les annales akashiques.

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Les morts nous font signe parfois : soyons attentifs ! � Introduction. � Et encore d'autres manifestations. � Les matérialisations. � Les petits enfants : de bons médiums.

Manifestations des autres dimensions. Entrer en contact avec les autres dimensions.

� Qu'est-ce que le spiritisme ? � Channels, médiums, écriture intuitive, canalisations : tout ce que vous devez

savoir sur le sujet… � Qui sont les médiums ? … Des gens comme vous et nous ! � Quelles sont les diverses formes de médiumnité ? � Le voyage astral (ou sortie " hors du corps "). � La TCI : transcommunication instrumentale.

Médiums, voyants, prophètes : témoignages. � Edgar Cayce : le prophète endormi. � Monique Matthieu : un channel hors-pair. � Comment un médium peut aider un chercheur. � Cathy MULLER : une maman-médium. � Pascal RIOLO : prodige de la voyance. � Les contacts avec les morts. � Rencontre avec Cerise. � Rencontre du troisième type. � Tout le monde est médium. � Images en provenance de l'au-delà : le cas " Romy Schneider ". � Transcommunication instrumentale avec les animaux.

Contacter les autres dimensions par la prière : témoignages. � Nos désirs peuvent-ils être exaucés par la prière ? Comment procéder… � Les anges : des intermédiaires très puissants dans la réalisation de nos

désirs. � Une prière miraculeusement exaucée. � Comment prier. � Prier pour les défunts.

La méditation. � Introduction. � Exemples de méditations.

Chapitre XI : Où va notre Monde ?...............................................pp.203 à 237.

Le globe terrestre, notre hôte. Les prophéties. 2012 : une date-butoir pour le calendrier maya. Le passage au " Point zéro " en 2012. Témoignages.

� L'avenir de la Terre, les grands bouleversements. � A quoi s'attendre jusqu'à 2012. � L'échéance de 2012. � Le retour du Christ. � Intervention des extraterrestres à la fin des temps. � Les événements annoncés sont-ils inéluctables ? � Le nouveau monde.

Les prophéties. � La prophétie de Jean de Jérusalem : une vision étonnante de notre monde

actuel. � Les prophéties des Indiens hopis. � La prophétie de Malachie.

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� Sérieux avertissement à Garabandal. � Et encore d'autres prophéties.

Conclusion des auteurs. Chapitre XII : Vivre sa spiritualité au quotidien……………………….pp.238 à 255.

L’Amour et la Peur : deux émotions qui dominent notre monde ! Ouvrir son cœur et son esprit à soi-même.

� Accepter de se remettre en cause. � Prendre conscience de notre vraie nature. � Faire travailler son cerveau droit pour retrouver le lien subtil qui nous relie à

Dieu. � Etre conscient que nous avons en nous la connaissance universelle. � Ecouter sa voix intérieure et s’ouvrir aux autres réalités.

Aimer. S’aimer soi-même. Aimer les autres.

� Reconnaître le " divin " chez les autres. � Respecter la liberté de l’autre, son libre-arbitre. � Etre soucieux du bonheur d’autrui. � Ecouter, prêter une oreille attentive. � Voir ce qui est beau en chacun d’entre nous. � Ne faites pas aux autres… � Aider c’est aimer. � Pardonner encore et toujours. � Aimer TOUTE la Création.

Vivre et rayonner au quotidien. � Etre heureux d’être. � S’émerveiller encore et toujours. � Faire plaisir mais aussi SE faire plaisir. � Rayonner. � Parler, dialoguer. � Laisser le divin s’exprimer en nous. � S’attacher à l’essentiel, dépasser les petits tracas. � Observer les autres règnes et s’en inspirer. � Contrôler nos pensées, susciter le positif et l’abondance. � Tirer les leçons positives de nos épreuves, accepter ce qui nous arrive.

Conclusion………………………………………………………………………….p.256 Glossaire.....................................................................................pp.257 à 259. Bibliographie……………………………….……………………………………...pp.260 à 268.

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Ce livre est dédié à toutes les personnes de notre entourage qui se sont longtemps demandé « ce que l’on pouvait bien écrire comme bouquin » mais il est consacré également à toutes celles et ceux qui veulent ouvrir leur cœur « aux choses de l’esprit ».

Nos remerciements vont à : Jean MARTIN Monique MATHIEU Cathy MULLER Rachel Pascal RIOLO Olivier de ROUVROY pour leurs contributions diverses. Et un merci tout spécial à

Etienne !

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Préface 1 Marie-Hélène : Etienne, que penses-tu du livre que nous avons écrit Vincent et moi ? Etienne : Marie-Hélène, ta question est très étrange. Ce livre, tu dois savoir que nous l’avons écrit ensemble. Ce livre n’est que vérité ! Ce livre est un message d’espoir ! Ce livre est la réalité et le reflet presque exacts de ce que nous vivons dans l’au-delà et vous sur la terre. Ce livre en question, nous l’avons écrit à trois. Je vous donne mon aval et vous devez savoir que ce livre mérite d’être lu par du monde. Il n’est pas à comparer aux « torchons » qui circulent un peu partout !

Etienne DOURTE, décédé le 1er décembre 1998, frère de Marie-Hélène. Extrait du message reçu par contact médiumnique chez Pascal RIOLO le dimanche 2 avril 2006.

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Préface 2 Je lisais dernièrement, sous la plume d'un auteur spirituel appelé Robert RIBERT, cette parole : « Les certitudes sont des forteresses. Mais quand vient la paix, rien ne vaut une fenêtre ouverte sur le ciel. » Cette affirmation me paraît fondamentalement juste et fondamentalement belle. Si je puis évoquer très brièvement ma propre expérience, je suis sûr d’avoir vécu profondément cela après un deuil douloureux. Fils unique, j’ai " perdu " (bien que le terme soit inexact) mon père et ma mère en quelques mois de temps et après une maladie très pénible de ma maman. Au sortir de cette épreuve, j’ai rencontré un ami qui, compatissant, m’a dit : «Tu ne dois plus savoir où tu en es ! » Et moi, spontanément, je lui ai répondu : « Pas du tout ! Je sais très bien où j’en suis et cette longue épreuve n’a pas ébranlé les grandes certitudes de ma vie. Seulement, il se fait que je suis tout endolori, comme un boxeur qui a été envoyé dans les cordes ! » Quelques mois plus tard, je recevais mes premiers messages en " transcommunication instrumentale " (1) et je sentais à ce moment-là, une onde de paix traverser ma vie parce que, comme Robert RIBERT l'écrit : « Rien ne vaut une fenêtre ouverte sur le ciel ! » Je tiens à m'expliquer là-dessus : je pense sincèrement qu'il ne faut pas demander aux contacts noués avec " l'autre monde " ce qu'ils ne peuvent pas donner. « Les certitudes sont des forteresses » : elles viennent de la foi et sont alimentées par un " Maître intérieur " qu'on appellera du nom que l'on veut : pour moi c'est l'Esprit-Saint, l'Esprit de Dieu et de Jésus. Mais, une fois ces certitudes établies, voire ré-établies après le creuset de l'épreuve, oui, si " une fenêtre s'ouvre sur le ciel ", c'est un vrai cadeau ! Certains reprochent à ceux qui font ce genre de recherches de ne pas avoir assez de foi et, pour ce qui est des chrétiens, de ne pas accorder crédit à la parole de Jésus : « Heureux ceux qui croient sans avoir vu ! » Certes, c’est le plus mauvais des chemins que d’exiger des preuves ; pire, de lancer à " l’au-delà " des ultimatums ! Par contre, quoi de plus naturel que de se parler (même d’un " monde " à l’autre) et de communiquer ! On prête à Voltaire cette parole : « L’oreille est le chemin du cœur. » Sur ce point-là, je suis bien d’accord avec lui !

********** Je ne connais pas beaucoup Marie-Hélène et Vincent mais je les connais assez pour savoir que ce sont des gens de cœur. Il y a quelques temps d’ici, Marie-Hélène m’a téléphoné pour me parler de son chat, disparu depuis plusieurs jours et pour lequel Vincent et elle-même s’inquiétaient. J’ai tenté un contact en " transcommunication " pour ce petit disparu. Je me suis rendu compte, à ce moment-là, combien ce couple s'inquiétait et combien ils aimaient leur petit animal. Pour moi, c'est un signe très positif ! J'ai la plus haute estime pour les gens qui aiment les animaux, contrairement à certains qui trouvent cet amour suspect. La bonté de cœur est indivisible et le fait qu'elle se porte vers le plus petit, le plus humble, incline à croire qu'elle est authentique ! Une autre fois, Marie-Hélène m'a demandé d'aider une amie lointaine qu'elle n'arrivait pas à soulager et pourtant, m'a-t-elle dit : « Je l’aime comme si c’était ma sœur. » Cette fois-là, j’ai vu un signe d’humilité : cette humilité dont le " curé d’Ars " disait qu’elle est comme le fil qui relie les grains d’un chapelet. « Si on enlève le fil, tous les grains s’en vont ! »

********** Je ne pense pas que Vincent et Marie-Hélène attendent de moi que je porte une appréciation sur le contenu de leur ouvrage si bien documenté : préfacer n’est pas apprécier ! Je peux simplement dire que ma modeste expérience " d'écoute de l'invisible " pour reprendre l'expression de Monique SIMONET, m'amène à penser que

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" les êtres de lumière " peuvent, de fait, nous laisser des messages pour nous aider. Mais ils ne feront jamais, comme je le disais plus haut, que souligner ce que le " Maître intérieur " ne cesse de nous dire, par Amour. Je me rappelle qu'étant enfant, j'avais les pires difficultés par rapport aux célèbres " problèmes " d'arithmétique : les bassins qui se vident et se remplissent ; les prairies bordées d'arbres ; les mélanges et, " nec plus ultra " les questions d'escompte, n'étaient pas, comme on dit aujourd'hui, ma " tasse de thé " ! Il fallait pourtant bien y passer ! Alors, ma mère qui avait beaucoup plus que moi l'esprit mathématique, s'asseyait à côté de moi pendant que je " séchais " sur le problème puis, elle m'aidait discrètement, en me montrant du doigt le point essentiel de l'exposé. Ce doigt qui souligne et qui indique sera toujours pour moi le symbole de l'aide pleine d'amour. Ceux qui nous aiment vraiment ne résoudront jamais les " problèmes " à notre place mais ils nous aideront en soulignant le mot ou la phrase essentielle. D'ailleurs, une hymne célèbre au Saint-Esprit dit qu'Il est " le doigt de la main droite du Père ". On a vu dans cette image une allusion au potier qui parachève son œuvre en se servant de son index. Mais on peut tout aussi bien y voir une allusion à ce doigt qui, par-dessus nos épaules, indique et souligne l'essentiel. Ainsi fait le " Maître intérieur ". Il n'y a aucune raison pour que les guides spirituels, s'ils sont authentiques, agissent autrement. Je dis " s'ils sont authentiques " car l'expérience, là aussi, m'a appris que ce n'est pas parce qu'on est dans le monde invisible et qu'on se met à dicter, qu'on est pour autant totalement fiable. Savoir cela peut relativiser le " channeling " et nous inciter à la prudence. Comment s'y retrouver, dira-t-on alors ? Je pense qu'il existe une clef, un sésame, un secret. Il se trouve dans l'Evangile de Saint-Luc là où Jésus affirme devant ses disciples : « Je te bénis, Père, Seigneur du ciel et de la terre car tu as caché ces choses aux sages et aux savants et tu les as révélées aux tout petits ! » Ailleurs encore il dit : « Si vous ne redevenez pas comme des enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des cieux. » Il faut " redevenir " enfant, voilà tout ! Après avoir grandi, mûri, expérimenté et vécu tant de choses, après avoir " veillé ", retrouver la grâce de l'enfance ! Certes, un enfant peut être naïf et se laisser abuser mais un enfant est intuitif : il sait ou plutôt il sent qui se trouve devant lui. Et si, après avoir vécu une vie d'adulte, nous savons retrouver cette intuition qui ne trompe pas, alors nous pourrons avancer et discerner. Quand j'ai rédigé l'introduction du livre que je consacrais aux contacts avec les animaux décédés, j'ai imaginé une sorte de " parabole " comme Jésus aimait en raconter. J'ai mis en scène deux personnes rencontrées après la mort de mon chien et, comme je leur annonçais à toutes deux que celui-ci m'envoyait des signes et même me parlait, j'ai obtenu deux réactions tout à fait différentes : la première a haussé les épaules et a poursuivi son chemin : c'était un adulte ! La deuxième, qui était un enfant, a eu un large sourire et m'a dit : « Ah bon ! Mais c’est magnifique ! Et qu’est-ce qu’il te dit ? » Je crois que tout est là !

Jean MARTIN, Docteur en théologie, spécialiste en transcommunication instrumentale, auteur des ouvrages suivants : Des signes par milliers, Editions Laurens, Paris, 1998. Pour que danse une étoile, Editions Scaillet, Montigny-le-Tilleul, 1999. Horizon de Lumière, Editions JMG, Agnières, 2002. Le prêtre, la médium et le chien, Editions JMG, Agnières, 2003. Nul n’est une île, Editions JMG, Agnières, 2005.

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Avant-propos et mise en garde Cet ouvrage, écrit en termes clairs et compréhensibles s’adresse à tous ceux et celles qui souhaitent approfondir leur recherche intérieure et découvrir ce qu’est la spiritualité.

Le tumulte de la vie quotidienne, avec ses tracas et ses obligations, nous emporte souvent dans un tourbillon enivrant qui nous saoule et nous grise, sans jamais pourtant nous apporter de satisfaction authentique. Pourquoi ?…

La nourriture issue de la société de consommation, de la course effrénée à la

possession, de l’individualisme et de l’impérialisme matérialiste laisse l’homme sur sa faim et ne lui procure que des moments de bonheurs artificiels, faux et ô combien éphémères. L’être humain ne peut se repaître indéfiniment de cette nourriture qui, visiblement, ne lui convient pas et ne lui apporte aucune satisfaction dans sa quête éperdue du Bonheur avec un grand B, pas plus qu’elle ne lui procure de réponse à ses questions ou d’apaisement à ses peurs. L’homme a faim d’autre chose, cela est évident pour qui sait ouvrir les yeux.

Le Bonheur, le vrai, celui que l’on ne peut connaître que par un désintéressement total de soi, celui qui ne peut s’envisager sans l’Amour avec un grand A est si proche et si éloigné à la fois. Et pourtant…

La spiritualité semble être l’outil merveilleux avec lequel le vrai bonheur va

pouvoir être extrait du monde de l’invisible. Le monde de l’invisible, car il semble bel et bien exister, est à la portée de chacun

d’entre nous. Il nous appartient, si nous le souhaitons, de l’explorer seul ou avec des guides spirituels.

La dimension dans laquelle nous vivons quotidiennement sur la Terre n’est qu’une

parmi d’autres. La vie existe ailleurs, sur d’autres plans, qui sont agencés selon une hiérarchie

bien définie. Chacun de ces plans a sa raison d’être, dans chacun de ces plans et entre chacun d’eux des missions d’Amour sont constamment accomplies.

A travers cet ouvrage, nous souhaitons ouvrir au lecteur les portes d’un monde

souvent inconnu, et qui pourtant est complémentaire de celui dans lequel nous évoluons tous les jours.

Le livre est divisé en douze chapitres et aborde des thèmes tels que la notion de

Dieu, la naissance, la mort, la vie dans l’au-delà, les contacts entre les différentes dimensions ou encore la façon de vivre sa spiritualité au quotidien. De multiples témoignages ainsi que des références à de nombreux ouvrages traitant plus profondément de tel ou tel sujet émaillent les différents chapitres.

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Mise en garde

Nous avons voulu écrire ce livre d’une façon simple, avec des mots et des concepts simples. Nous nous sommes aperçus souvent, dans nos conversations spirituelles avec notre entourage ou nos amis, que ceux-ci semblaient bien ignorants de tous les sujets que nous abordions. Nous avons donc pensé à eux en premier lieu en rédigeant cet ouvrage qui se veut être avant tout UNE INITIATION à la spiritualité, au monde de l’invisible, à la dimension de l’esprit, une sorte de cours en douze leçons sur ce qui représente l’immatériel dans la vie des hommes et de l’Univers. Les lecteurs plus avancés dans ces domaines nous pardonneront sans doute, car peut-être trouveront-ils quand même dans ce livre des réponses à certaines questions restées en suspens ou tout au moins un petit " rafraîchissement " de leurs connaissances en matière de spiritualité. Vincent et Marie-Hélène

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« La vie spirituelle est à la vie

matérielle ce que la racine est à la fleur. »

Introduction Vous est-il déjà arrivé de réfléchir sur le sens de votre vie ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Vous êtes-vous déjà interrogé(e) sur l’existence ou non de Dieu ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Avez-vous déjà réfléchi sur la mort, sur la vie après celle-ci ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Vous arrêtez-vous parfois un instant pour écouter votre " silence " intérieur ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Vous êtes-vous déjà posé des questions sur vous et sur les autres ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Vous interrogez-vous parfois sur la souffrance et le sens de celle-ci ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Vous demandez-vous parfois d’où vous venez, et où vous allez ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Vous posez-vous parfois la question de ce qu’est le vrai amour, l’amour inconditionnel ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Essayez-vous parfois de changer, de devenir " meilleur(e) ", d’aimer mieux ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Réfléchissez-vous parfois à " l’invisible ", " l’irrationnel ", " aux pouvoirs de votre esprit " ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Cherchez-vous parfois à atteindre le calme, à être plus serein, plus " en accord avec vous-même " et avec les autres et dans la vie de tous les jours ? Si oui, vous pratiquez la spiritualité ! Si vous avez répondu affirmativement à au moins une de ces questions, vous pratiquez la spiritualité, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir ! Qu’est-ce que la spiritualité ? Beaucoup de personnes s’imaginent que la spiritualité est une affaire de religion, voire de mysticisme. Il n’en est rien. La spiritualité c’est le " contraire " de la matérialité, c’est la faculté qui est donnée à l’homme de se poser des questions sur lui-même, sur le sens de sa vie, sur sa place dans l’Univers. C’est également un ensemble de pratiques visant à atteindre une harmonie intérieure, une sérénité, une relaxation mentale bref une plus grande joie de vivre en acquérant la connaissance de soi et des autres. Etre spirituel de nos jours, c’est aussi œuvrer pour améliorer la marche du monde, c’est réfléchir aux solutions intérieures et extérieures en vue de restaurer l’Amour dans toutes choses. Pratiquer la spiritualité, c’est avoir un esprit ouvert sur ce qui est invisible, sans préjugés d’aucune sorte, en acceptant que tout ne soit pas visible, codifiable, quantifiable et reproductible. Etre spirituel c’est, non pas se poser la question « comment » (à l’instar des scientifiques), mais plutôt se demander « pourquoi ? » et tenter d’y répondre par une quête d’abord intérieure !

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Voici d’autre part quelques définitions qui sont données de la spiritualité. Larousse : Spiritualité : nom féminin, 1. Qualité de ce qui est esprit, de ce qui est dégagé de toute matérialité. Spiritualité de l’âme. 2. Ce qui concerne le spiritualisme, la vie spirituelle. Littré : Spiritualité : nom féminin. Métaphysique : qualité de ce qui est esprit. Spiritualité de l’âme. Tout ce qui a rapport aux exercices intérieurs d’une âme dégagée des sens, qui ne cherche qu’à se perfectionner aux yeux de Dieu. En général : caractère de ce qui est dégagé de la matière et des sens. Grand Larousse encyclopédique en dix volumes : Spiritualité : nom féminin. Nature spirituelle ; qualité de ce qui est esprit : la spiritualité de l’âme, de la poésie. Théologique : tout ce qui a pour objet la vie spirituelle. Encyclopédie Wikipédia en ligne : La spiritualité (du latin spiritus, esprit) désigne, par opposition à la matérialité (corps, instincts, la chair, etc.) les activités qui se rapportent à l'esprit et à sa vie (expression vie de l'esprit) ; elle désigne ainsi, entre autres, un ordre de réalités religieuses et mystiques, et concerne donc la capacité que possède l'être humain de s'interroger sur son existence et sur sa place dans l'univers. (http://fr.wikipedia.org).

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« Dieu parmi les mondes en fuite, sourit, dans les gouffres du jour, quand une fleur toute petite lui conte son premier amour. »

V. Hugo (Chansons des rues et des bois)

Chapitre I : Dieu. Définitions de Dieu. Larousse : Dieu : nom masculin (du latin deus). (Avec une majuscule). Dans les religions monothéistes, être suprême, créateur de toutes choses et sauveur de monde. Grand Larousse encyclopédique en dix volumes : (extrait) Dieu : (avec une majuscule) : Etre suprême, créateur du monde. Encyclopédie Wikipédia en ligne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil Dieu est un mot hérité du latin deus, lui même issu d'une racine indo-européenne deiwos (une divinité) de la base dei- (lueur, briller). (Webster's New World Dictionary). Suivant les points de vue, le terme Dieu peut avoir différentes significations. C'est ainsi que :

• pour les religions monothéistes, les trois religions dites du Livre, le terme " Dieu " désigne un être supérieur, immatériel, créateur de notre univers et doué de la perfection absolue.

• pour les religions polythéistes, il n’existe pas un dieu mais plusieurs qu’ils vénèrent, dont les rôles dans l’univers sont variables selon les croyances.

• en philosophie, dans une perspective croyante, Dieu est l’Être par excellence ; on parle aussi en métaphysique* de cause première. Il reçoit traditionnellement les attributs suivants : pour l’existence : infinité, immuabilité et perfection ; pour la volonté et l’entendement : toute-puissance, omniscience, sagesse, justice et bonté.

• pour les agnostiques, il n’est pas possible de se positionner sur la question de l’existence de Dieu, ce pourquoi ils demeurent dans le doute.

• pour les athées, l’existence des dieux ou de Dieu relève d’une invention humaine à but social sans fondement réel.

* Les mots suivis d'un astérisque sont définis dans le glossaire en fin d'ouvrage.

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Dieu existe-t-il ? Et bien, pour une entrée en matière, en voici une de taille ! Lorsque l’on interroge des personnes au sujet de l’existence de Dieu, les réponses divergent, soit dans le sens d’une affirmation, soit dans le sens d’une négation pure et simple, et les arguments utilisés par les uns et par les autres semblent tenir la route. Que penser ? Comment savoir ? Personne n’a jamais vu Dieu, tout au plus certains disent qu’ils l’ont approché, mais de là à le voir en chair et en os, si nous osons dire, il y a un fameux pas. Depuis la nuit des temps, les hommes s’interrogent. Dieu existe-t-il ? En effet, toutes les civilisations qui nous ont précédés ont parlé d’un Dieu ou de plusieurs dieux (exemple des Grecs, des Romains, des Egyptiens pour ne citer qu’eux). Dieu, le grand Tout, l’Etre souverain, l’Energie suprême, Tout ce qui est, il y a autant de noms donnés à Dieu que d’êtres humains sur terre. D’où venons-nous, qui sommes-nous, où allons-nous ? Dieu tient-il une place essentielle dans les réponses à ces questions ? A chacun de voir… Et si justement, Dieu était la réponse à ces questions ? Dieu et la société humaine. Dans la société de consommation moderne, tout est fait, par l’homme, pour donner à l’homme l’illusion que tout s’achète, que tout est à sa portée immédiate, que tout est mis en œuvre pour lui procurer du bonheur ici et maintenant : on veut tout, tout de suite ! Et pourtant… Les hommes n’ont jamais été aussi malheureux. L’homme n’a jamais eu autant besoin de croire en quelque chose, quelque chose de mieux, le bonheur, le paradis, bref toutes ces choses durables que les possessions matérielles, telles que maison, voiture, ordinateurs, ne peuvent lui procurer illusoirement qu’un temps. L’homme n’a jamais eu autant besoin de spiritualité, de retour aux sources, à la Source. Retour à Dieu peut-être ? Preuve s’il en est que le bonheur auquel aspire l’homme ne se réduit pas à l’envie ou à la possession d’une belle maison, d’une belle voiture, voire d’un chouette boulot. De tout cela, on risque de se lasser rapidement. Le bonheur se découvre à l’intérieur de nous-mêmes, et lorsqu’il est pleinement ressenti et vécu, il débouche alors sur l’amour de l’autre qui est indispensable, nous semble-t-il, à une vie collective harmonieuse que nous sommes très loin de connaître actuellement. Voyez le nombre de personnes seules, sans ressources, sans toit, abandonnées et donc sans amour. Chacun d’entre nous se rend compte, sans trop le reconnaître publiquement, que l’évolution de la société n’a pas nécessairement pris le bon chemin. Un rapide coup d’œil autour de soi permet à n’importe qui de le constater aisément : guerres, terrorisme, pauvreté, famine, maladies, solitude, indifférence, abandon, exclusion … des termes utilisés dans nos médias et qui n’ont rien à voir avec l’AMOUR. Mais pour qui nous prenons-nous donc ? Pour des dieux peut-être, fiers d’être, apparemment, l’espèce dominante sur la planète, fiers de notre technologie qui nous abaisse plutôt qu’elle nous élève, fiers de nos sciences qui tuent sans conscience et qui n’apportent aucune réponse à des questions primordiales ? Des " dieux " qui ne savent cependant toujours pas répondre à ces trois questions essentielles, d’où venons-nous, qui sommes-nous, où allons-nous ?

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Qui crée l'homme et le monde ? L’homme, ainsi que tout l’univers qui l’entoure, peut-il être sorti du néant ? Cela semble peu probable. Tout ce qui existe, chaque événement, quel qu’il soit, a une origine et une fin. On peut dire que l’événement (un événement créé par l’homme c’est par exemple la construction d’une maison ou l’organisation d’un repas, mais aussi un voyage dans l’espace ou le déplacement d’un objet, alors que les animaux créent des événements qui leur sont propres ainsi que la Nature qui crée des végétaux et des minéraux) a été créé, ce qui introduit naturellement la notion d’un créateur. L’homme et le monde qui l’entoure ont créé et créent des événements. Mais qui crée l’homme et le monde ? Pourquoi ce créateur ne pourrait-il pas être ce Dieu dont tout le monde parle depuis toujours. Il serait cependant naïf de décrire ce Dieu comme un vieillard à la barbe blanche assis sur son trône au milieu du Ciel et qui dispense des bons points et des punitions aux petits humains que nous sommes. Ce n’est pas un Dieu marionnettiste qui agite nos ficelles dans tous les sens, c’est surtout nous semble-t-il, un Dieu qui laisse le libre-arbitre, c’est-à-dire le libre choix aux hommes. C’est un Dieu qui comprend et accepte tout, et qui attend patiemment que nous, ses enfants, reconnaissions notre appartenance divine. C’est à ce Dieu que nous croyons. Notre expérience de la vie nous a conduits à cette certitude qui est partagée par de nombreuses personnes dans le monde. Les témoignages. Les témoignages que vous allez lire ci-après émanent de personnes décédées, donc résidant après leur mort physique dans ce qu’on appelle communément l’au-delà. Nous sommes conscients que nous allons sans doute heurter certains lecteurs en parlant d’une vie après la mort. Certains d’entre vous sont sans doute persuadés qu’il " n’y a rien après la mort " et que lorsque l’on est " en terre ", c’est le néant. D’autres argumenteront en disant " de toute façon, personne n’est jamais revenu pour le dire ! " (Nous n’en sommes pas si sûrs, et nous en voulons pour preuve le cas unique de Jésus-Christ, eh oui !). Revenons à nos moutons et réfléchissons un peu : l’être humain est à la fois un corps physique mais aussi un esprit (un être qui pense), vous en conviendrez. Le corps physique, c’est du tangible, du palpable, du concret ! Mais l’esprit ? On ne peut le toucher, on ne peut le saisir, on ne peut le voir, il est donc immatériel et pourtant il existe, on ne peut nier cela. Si l’on conçoit facilement qu’un corps mort ne peut que disparaître, pourrir comme de la " viande ", on ne peut pas en dire autant de l’esprit qui habite ce corps puisque par essence il est immatériel, il n’est pas composé de matière ! Comment voudrait-on faire mourir quelque chose qui n’est pas composé de matière ? Alors, où va donc cet esprit après la mort du corps physique ? Survit-il ? Il semblerait bien que oui, et nous en parlerons plus amplement dans un chapitre ultérieur. Partant de là, nous avons sélectionné dans la littérature un certain nombre de témoignages de personnes décédées tentant de nous éclairer un peu sur la nature de Dieu. Comment ont fait ces personnes décédées pour nous communiquer ces messages ? Essentiellement par des médiums*, c’est-à-dire ces personnes ayant la faculté (qu’apparemment nous avons tous mais que malheureusement nous ne prenons pas la peine de travailler, cfr : La divine connexion du Docteur Melvin Morse, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage) de communiquer avec les autres plans d’existence et notamment l’au-delà (nous développerons ce sujet dans le chapitre consacré aux façons de communiquer avec l’au-delà et les autres plans). Voici donc des témoignages :

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« Une force supérieure nous guide tous, c’est ce que vous appelez Dieu, ceci est le plus important. Mon départ de ce monde vous a rapprochés de Dieu. Chacun de nous possède Dieu, quelle que soit la religion qu’il a ou qu’il a choisie et chacun le trouve s’il agit avec foi et amour. L’au-delà n’appartient pas plus à une religion qu’à une autre mais à tous ceux qui croient en Dieu. » (Message de Karine à Maryvonne et Yvon DRAY dans Karine après la Vie, p. 122, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). « Est-ce que vous pouvez expliquer Dieu ? » Réponse : « Dieu ne s’explique pas. Il EST. Nous ne pouvons pas l’expliquer… On vous dit qu’il est un Etre infiniment bon. C’est insuffisant. Oui, Dieu existe, il est une Force cosmique, une force qui nous enveloppe tous et pas seulement sur terre, qui enveloppe tout. Un grand ordinateur, qui suit tout, connaît tout… Dieu existe depuis toujours. » (Question à un guide de l’au-delà, dans Monique SIMONET, Messagère de l’au-delà, pp. 103-104, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). « Qui est Dieu ? » Réponse : « Cela n’aurait pas de sens de vous expliquer ce qu’est Dieu, car vous n’avez pas réellement la possibilité de l’imaginer dans sa totalité. Par rapport à un seau plein d’eau, votre compréhension correspond à une goutte. » (Question posée à un guide spirituel par trans-communication instrumentale* dans Sarah WILSON ESTEP, La communication avec les morts, p.243, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). « La seule chose que nous puissions savoir en vérité, c'est qu'Il est l'Esprit infini. Il est Illimité dans tous les sens du terme, Inconnaissable et Inconnu … Dieu est en tout et au-dessus de tout, cependant personne ne connaît sa nature, ni de quelle sorte d'essence Il est fait, hormis qu'Il est chaque chose et qu'il est partout … » (Le guide de Farnèse dans Pierre JOVANOVIC et Anne-Marie BRUYANT, L'explorateur de l'au-delà, pp. 76-77, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). A propos de Dieu : « Il faut tout remettre dans les mains du Très-Haut qui est une force cosmique inimaginable. C’est une énergie constructive, une force dynamique, dense, intensive, prodigieuse, la conscience d’une divine présence qui agit en tout… » (Paroles de CHRISTOPHE dans Paroles de lumière, p. 16, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). « 1. Qu’est-ce que Dieu ? Réponse : Dieu est l’intelligence suprême, cause première de toutes choses. 2. Que doit-on entendre par l’infini ? Réponse : ce qui n’a ni commencement ni fin : l’inconnu ; tout ce qui est inconnu est infini. 3. Pourrait-on dire que Dieu, c’est l’infini ? Réponse : définition incomplète. Pauvreté de la langue des hommes qui est insuffisante pour définir les choses qui sont au-dessus de leur intelligence. Dieu est infini dans ses perfections, mais l’infini est une abstraction : dire que Dieu est l’infini, c’est prendre l’attribut pour la chose même et définir une chose qui n’est pas connue par une chose qui ne l’est pas davantage. 4. Où peut-on trouver la preuve de l’existence de Dieu ? Réponse : dans un axiome que vous appliquez à vos sciences : il n’y a pas d’effet sans cause. Cherchez la cause de tout ce qui n’est pas l’œuvre de l’homme et votre raison vous répondra. Pour croire en Dieu, il suffit de jeter les yeux sur les œuvres de la création. L’univers existe, il y a donc une cause. Douter de l’existence de Dieu serait nier que tout effet a une cause et avancer que rien a pu faire quelque chose. » (Questions aux esprits dans Allan KARDEC, Le livre des esprits, pp. 59-60, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage).

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« Dieu est éternel : s’il avait eu un commencement, il serait sorti du néant ou bien il aurait été créé lui-même par un être antérieur. C’est ainsi que de proche en proche, nous remontons à l’infini et à l’éternité. Dieu est immuable : s’il était sujet à des changements, les lois qui régissent l’univers n’auraient aucune stabilité. Dieu est immatériel : c’est-à-dire que sa nature diffère de tout ce que nous appelons matière, autrement il ne serait pas immuable car il serait sujet aux transformations de la matière. Dieu est unique : s’il y avait plusieurs dieux, il n’y aurait ni unité de vues, ni unité de puissance dans l’ordonnance de l’univers. Dieu est tout-puissant : parce qu’il est unique. S’il n’y avait pas la souveraine puissance, il y aurait quelque chose de plus puissant ou d’aussi puissant que lui ; il n’eût pas fait toutes choses et celles qu’il n’aurait pas faites seraient l’œuvre d’un autre dieu. Dieu est souverainement juste et bon : la sagesse providentielle des lois divines se révèle dans les plus petites choses comme dans les plus grandes et cette sagesse ne permet pas de douter ni de sa justice, ni de sa bonté. » (Questions aux esprits dans Allan KARDEC, Le Livre des esprits, pp. 63-64, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). Qui est Dieu ? « La question peut surprendre, la réponse également. Qui est Dieu ? Qui est cet être, homme/femme qui est au-dessus de tout, tout en étant LE TOUT, qui est Amour inconditionnel tout en étant l’ensemble des êtres humains, qui est Bonté tout en étant le païen et le chrétien, qui est l’ensemble des dieux tout en étant l’Unique Père de toutes les âmes incarnées ou désincarnées ? Comment la somme de toutes les âmes créées par Dieu est-elle Dieu ? Comment cette pluralité totale de toute la Création, Dieu, peut-elle être en chacun de vous ? Comment enfin, étant tout être humain, je peux parler à travers un channel* tel qu’Hinri (ndlr= nom donné par Dieu à Cathy MULLER) aujourd’hui ? Dans toute partie de ma création, j’ai mis mon empreinte, autant dans le monde végétal, minéral, animal et humain. Chacune de ces empreintes est plus ou moins visible de l’extérieur, avec vos yeux d’humains : la beauté en chaque chose, en chaque créature. En fonction de celle-ci, je suis plus ou moins reconnaissable et accepté par l’être ou la chose que j’habite. Je laisse la totale liberté à tout être de me reconnaître en lui et de me laisser la place qu’il décide que j’aurai. Ainsi, certaines espèces vivant sur terre sont plus ouvertes et réceptives à ma présence, se laissant guider par l’Amour, car je suis l’Amour. Vous pouvez donc voir et toucher Dieu. D’autres refusent, pour l’instant du moins, que mon empreinte soit visible et palpable, ne laissant pas apparaître la lumière cachée sous des amas de torture morale, comme tous les sentiments négatifs, la jalousie étant à la première place. Dieu, JE SUIS, votre Etre supérieur ne se battra pas pour conquérir la place qui Lui est due mais appellera, donnera des signaux lumineux, patientera jusqu’à totale prise de conscience de l’importance de ce Soi dispensant pourtant Amour inconditionnel, illimité, sans aucune restriction, sans aucun jugement. Lorsque vous comprendrez que votre course au bonheur ne trouvera pas écho à votre cœur tant qu’elle sera une fuite vers un aboutissement impossible, vous saurez qui est Dieu, car Dieu est à l’intérieur et non à l’extérieur. Dieu est en dedans et non pas en dehors. Dieu est maintenant et toujours et non pas seulement dans un délai que vous vous imposez en croyant fermement en vos buts de confort et de place dans la société. Vous n’êtes pas seulement des êtres devant réussir dans la vie, mais dans l’éternité de votre âme. C’est ainsi que vous ne saurez plus faire la différence entre vous-mêmes et une parcelle de Dieu. Il n’y aura plus de vide en vous le jour où vous accepterez de m’ouvrir la porte de votre cœur, il n’y aura plus de tristesse, plus de haine, plus de rancune, plus de maladie psychosomatique, plus de désir de vengeance, seulement une paix indescriptible qui elle seule peut mener au bonheur au quotidien. Soyez heureux, soyez Amour, soyez Dieu. Votre Source illimitée et intarissable. Dieu. » (Message de Dieu

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à Cathy MULLER dans le magazine Fleurs de la Nouvelle Terre, p.1, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage).

« - Ton expérience de toi-même ? -Oui. Permets-moi de te l’expliquer ainsi : Au commencement il n’y avait que ce qui Est et rien d’autre. Cependant, Tout ce qui Est ne pouvait pas se connaître car il n’y avait que Tout ce qui Est et rien d’autre. Ainsi Tout ce qui Est …n’était pas. Car en l’absence d’autre chose, Tout ce qui Est n’est pas. C’est le grand Est/N’Est Pas auquel les mystiques* font allusion depuis la nuit des temps. Alors Tout ce qui Est savait que c’était tout, mais ça ne lui suffisait pas, car il ne pouvait connaître son absolue magnificence que de façon conceptuelle, et non expérientielle. Mais il désirait faire l’expérience de Soi, car il voulait sentir ce que c’était d’être si magnifique. Mais c’était impossible, car le terme " magnifique " est relatif. Tout ce qui Est ne pouvait pas savoir ce que c’était que de se sentir si magnifique, tant que n’apparaîtrait pas Ce qui n’est pas. En l’absence de Ce qui n’est pas, Ce qui EST n’est pas. Comprends-tu cela ? -Je crois que oui, continue. -Très bien. La seule chose que savait Tout ce qui Est, c’est qu’il n’y avait rien d’autre. Ainsi, Cela ne pourrait jamais Se connaître, et ne se connaîtrait jamais, à partir d’un point de référence extérieur à Soi-même. Ce point n’existait pas. Il n’existait qu’un point de référence, et c’était l’unique lieu intérieur. Le " Est/N’Est Pas ". Le Suis-Suis Pas. Cependant, le Grand Tout choisit de Se connaître de façon expérientielle. Cette énergie (cette énergie pure que personne n’avait jamais vue, ni entendue, ni observée, ni, par conséquent, connue) choisit de sentir d’Elle-même l’absolue magnificence qu’Elle était. Pour ce faire, Elle s’aperçut qu’Elle devrait utiliser un point de référence intérieur. Elle se dit, avec assez de justesse, que toute portion d’Elle-même devrait nécessairement être plus petite que le tout et que, par conséquent, si Elle se divisait tout simplement en portions, chaque portion, étant plus petite que le tout, pourrait regarder le reste d’Elle-même et y voir la magnificence. Ainsi, Tout ce Qui Est Se divisa, devenant en un seul et merveilleux instant, ce qui est ceci, et ce qui est cela. Pour la première fois, ceci et cela existèrent séparément. Et pourtant les deux existaient simultanément. De même que tout ce qui n’était ni l’un ni l’autre. Ainsi, trois éléments existèrent soudainement : ce qui est ici, ce qui est là, et ce qui n’est ni ici ni là, mais qui doit exister pour qu’ici et là existent. C’est le rien qui maintient le tout. C’est le non-espace qui maintient l’espace. C’est le tout qui maintient les parties. Peux-tu comprendre cela ? Me suis-tu ? -Je crois bien que oui. Crois-le ou non. Tu as utilisé une illustration si claire que je crois vraiment comprendre. -Je vais aller plus loin. Ce rien qui soutient le tout, c’est ce que certaines personnes appellent Dieu. Mais ce n’est pas une formulation exacte, non plus, car elle suggère qu’il y a quelque chose que dieu n’est pas, c’est-à-dire tout ce qui n’est pas " rien ". Mais comme Je suis Toutes Choses (visibles et invisibles), le fait de me décrire comme étant le grand invisible, la Non-Chose, ou l’Espace intermédiaire, une définition essentiellement mystique et orientale de Dieu, n’est pas plus valable que la description essentiellement pratique et occidentale de Dieu, c’est-à-dire : tout ce qu’on voit. Ceux qui croient que Dieu est Tout ce Qui Est et Tout Ce Qui N’Est Pas s’en font une idée juste. Alors, en créant ce qui est " ici " et ce qui est " là ", Dieu a permis à Dieu de Se connaître. Au moment de cette grande explosion surgie de l’intérieur, Dieu a créé la relativité : c’est le plus grand cadeau qu’Il se soit jamais fait. Ainsi la relation est le plus grand cadeau que Dieu t’ai jamais fait. Ainsi, de la Non-Chose surgit le Tout : cet événement spirituel est tout à fait compatible, d’ailleurs, avec ce que vos scientifiques appellent la théorie du Big-Bang. A mesure que les éléments jaillissaient du tout, le temps fut créé, car une chose fut d’abord ici, puis elle fut là et la période qu’il fallait pour passer d’ici à là était mesurable. » (Dieu parle avec Neale Donald WALSCH, dans Conversations avec Dieu, pp 37, 38, 39, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage).

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Note de la rédaction : Amis lecteurs, cette définition de Dieu donnée par Dieu dans son extraordinaire dialogue avec Neale Donald Walsch est, selon nous, la plus remarquable et la plus juste qui soit. Cependant, sa lecture risque d'en déconcerter plus d'un ; aussi nous a-t-il semblé utile d'en rédiger un commentaire succinct afin de l'éclaircir quelque peu. Au commencement donc, il n'y avait que Dieu. Cependant Dieu ne pouvait pas se connaître car il n'y avait rien d'autre que Lui. Dieu, d'autre part, savait qu'Il était le TOUT mais cela ne lui suffisait pas. En fait, Dieu se connaissait " en théorie ", mais pas " en pratique " : Il était à l'état de " concept ". Or, Il aurait bien voulu faire l'expérience de ce qu'Il était vraiment, c'est-à-dire " connaître sa magnificence ". Mais comment se connaître quand on n'a pas de point de référence ? Dieu dut donc créer Lui-même des points de référence (comment savoir ce qu'est la chaleur, si l'on ne connaît pas le froid ?). Comment connaître la lumière si l'on ne sait pas ce que sont les ténèbres ? ). Il créa donc un point de référence intérieur. Comment fit-Il ? Il décida de se diviser en parties plus petites afin que ces parcelles de Lui (nous en définitive) puissent observer à leur échelle la grandeur de Dieu. C'est ce moment unique dans l'œuvre de Dieu que nous appelons communément le big-bang. Et à partir de ce big-bang, le temps a commencé à exister (et par-là même, la notion de relativité). Avant le big-bang. « Désireux de poursuivre la recherche dans le sens de ces témoignages (NDLR : témoignages obtenus par régression des personnes sur leurs vies antérieures, leur naissance etc…) qui ne cessaient de m’intriguer, j’ai tenté de projeter expérimentalement des sujets jusqu’à l’origine des temps, lorsque l’univers physique n’existait pas. Certains sujets racontent alors qu’ils ne sont qu’une âme, qu’ils sont UN avec tout ce qui les entoure, dans un état de parfaite béatitude. Lorsqu’ils avancent ensuite jusqu’à la création, ils parlent d’une énergie qui se solidifie, ou d’une gigantesque aspiration vers le bas. A l’inverse, lorsqu’ils reculent plus loin encore dans le passé, ils se retrouvent parfois dans un autre univers, à la fois semblable et différent. Ceci me rappelle curieusement une théorie émise par certains astrophysiciens, selon laquelle notre univers, après sa phase d’expansion, entrera en contraction, puis arrivera peu à peu à sa phase finale dans environ trente milliards d’années. il n’y aurait plus alors qu’un trou noir, à partir duquel un autre univers entrerait en formation avec d’autres galaxies, d’autres planètes et d’autres civilisations pensantes… » (Patrick DROUOT dans Nous sommes tous immortels, p. 112, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Dieu/Diable : le concept Amour/Peur. Et si Dieu existe ? Qu’en est-il alors du Diable ? On peut raisonnablement penser que si l’on accorde crédit au premier, le second doit exister aussi. Là, c’est encore dans le livre de Neale Donald Walsch que Dieu donne la réponse : « Au moment où les parties visibles de Soi-même commençaient à se définir, " en relation " les unes avec les autres, il en alla de même pour les parties invisibles. Dieu savait que pour que l’amour existe (et se connaisse en tant qu’amour pur), son contraire exact devait exister lui aussi. Alors, Dieu créa volontairement la grande polarité : le contraire absolu de l’amour, tout ce que l’amour n’est pas, ce que l’on appelle à présent la peur. Dès que la peur se mit à exister, l’amour put exister comme une chose dont on pouvait faire l’expérience. C’est cette création de la dualité entre l’amour et son contraire que les humains appellent, dans leurs diverses mythologies, la naissance du mal, la

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chute d’Adam, la rébellion de Satan et ainsi de suite. Tout comme vous avez choisi de personnifier l’amour pur en créant le personnage que vous appelez Dieu, vous avez choisi de personnifier la peur abjecte en créant le personnage que vous appelez diable. » (Dieu parle avec Neale Donald Walsch dans Conversations avec Dieu, pp. 39-40, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Les arguments en faveur ou en défaveur de l'existence de Dieu. Et pour être tout à fait objectifs, voici quelques arguments développés dans un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ces arguments aussi nombreux et convaincants qu'ils soient, semblent se heurter à une difficulté essentielle, que l'on rencontre aussi pour les arguments contre l'existence de Dieu : prouver l'existence d'une entité quelconque peut-être aussi problématique que d'en prouver directement l'inexistence. Le but de cet article est uniquement d'exposer les arguments estimés valides (ndlr : ou non valides) pour l'existence de Dieu ou des dieux. 1) Arguments en faveur de certaines conceptions de Dieu ou des dieux. Tous ces arguments ne sont pas également reçus par tous les théologiens ou par tous les philosophes.

� L'argument du consensus universel : c'est un argument proposé par Cicéron (De natura deorum) suivant lequel la croyance universelle des peuples en quelque chose de divin est une preuve suffisante pour établir son existence. Dans ce cas, la minorité des non-croyants serait en leur défaveur : n'est-il pas plus raisonnable de penser qu'un grand nombre ne peut se tromper ?

� L'argument chrétien de la vie du Christ. � L'argument ontologique : cet argument a été proposé pour la première fois par

Anselme, dans son Proslogion. Son argument est que Dieu est l'être tel que rien ne peut se penser de plus grand, et cela tant dans l'intellect que dans la réalité. Ainsi, selon lui, pensant à l'être le plus grand, nous ne pouvons penser réellement que Dieu n'est pas : la pensée de Dieu implique son existence.

� Argument de la causalité : c'est l'argument fondamental selon Thomas qui reprend en partie Aristote.

� La version cartésienne de l'argument ontologique. � L'argument cosmologique, selon lequel il doit exister une cause première. � L'argument théologique. � L'argument moral consiste à dire que la morale ne peut exister sans Dieu, puisque

c'est lui qui décide ce qui est bien et ce qui est mal, et qu'il est en conséquence le fondement ultime de la morale. Si l'on suppose que Dieu n'existe pas, on doit en conclure que l'existence est dénuée de valeur morale, et qu'il n'y a ni bien ni mal dans nos actions. Soutenir l'argument moral (voir, par exemple, Dostoïevski), c'est dire que les athées doivent accepter que tout soit permis sous peine de se trouver en contradiction avec eux-mêmes, mais c'est également soutenir la thèse que les athées ont plus de propension aux crimes que les croyants. Ce dernier point a été beaucoup discuté de Descartes à D'Holbach, c'est un lieu commun de la réflexion morale, lieu qui s'est avéré faux.

� L'argument panthéiste, qui définit le divin comme le Tout. Sans doute pourrait-on également mettre aux rangs d'arguments des "preuves" moins formelles, comme les expériences personnelles, les révélations, les miracles, etc). Ces aspects de la philosophie de la religion ont en tous cas fait l'objet de nombreuses discussions.

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2) Arguments contre certaines conceptions de Dieu ou des dieux. Les arguments suivants s'adressent surtout à un type de dieu, et non véritablement à son existence sous une forme quelconque.

� Argument de l'imperfection de la révélation. � Argument de l'existence du mal. � Argument du libre-arbitre de Dieu. � Argument de l'indigence de la création. � Argument de l'inutilité d'un Dieu ou de dieux créateurs : pour la théologie

naturelle, depuis au moins Anaxagore, il est légitime de passer de l'idée d'ordre dans la nature à l'idée d'un plan de la nature, formé et conçu par une intelligence créatrice. Cet argument pose deux a priori :

o la matière ne produit pas spontanément de l'ordre ; o l'idée de la nature intentionnelle de la cause de l'ordre de la nature.

Ces deux a priori ont été critiqués par Hume dans ses Dialogues sur la religion naturelle : il montre en effet, en s'appuyant essentiellement sur notre ignorance, qu'il peut y avoir une genèse de l'ordre sans intention démiurgique :

1) Tout d'abord, nous passons inconsidérément de notre ignorance des causes réelles à la certitude d'un dessein divin ; cette dernière certitude reflète donc surtout le fait que nous n'avons pas d'autres hypothèses plausibles à disposition ;

2) Ensuite, nous ne connaissons pas assez bien la matière pour décider a priori qu'elle ne contient aucun principe d'ordre.

� Argument de l'évolution : cet argument est dans la continuité du précédent,

puisqu'il s'agit de montrer que la nature a une histoire et un ordre qui ne nécessitent pas un démiurge. Darwin est sur ce point un véritable disciple de Hume.

� Argument de l'invention de l'idée de Dieu ou des dieux par les hommes (ou généalogie du divin).

� Argument de l'impossibilité d'une déduction métaphysique : l'existence d'un être ne peut lui être prédiquée autrement que par le biais de l'observation empirique. Or, le Dieu des métaphysiciens (Descartes, Spinoza, etc.) n'est pas un être empirique. En conséquence, de l'idée d'un tel être, on ne peut rien déduire. Non seulement tout discours sur Dieu en tant qu'être est dénuée de sens (ni vrai, ni faux), mais, ne pouvant rien non plus connaître des attributs de Dieu, nous ne savons pas réellement ce que nous disons en employant ce mot. L'intérêt de cet argument est qu'il supprime le débat, vu qu'il n'y a rien à débattre.

La naissance du monde « Toutes les âmes de la vie pré-mortelle ont pris part à la genèse de la terre. Nous étions heureux d’y participer. Nous étions avec Dieu, et savions qu’il nous créait, que nous étions Ses enfants. Il était fier de notre évolution et débordait d’un amour absolu pour chacun de nous… Quand nous fûmes réunis, le Père expliqua qu’un séjour ici-bas favoriserait notre enrichissement spirituel. Chaque âme devait collaborer à l’organisation des conditions de l’existence dans notre univers, parmi lesquelles les règles de la mortalité nous gouverneraient. Celles-ci comprenaient les lois de la physique telles que nous les connaissons, les limites de notre corps, et les pouvoirs spirituels qui demeureraient à notre portée. Nous assistions Dieu dans la formation de la vie animale et végétale que nous trouverions. Tout était âme avant de revêtir sa forme physique :

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les systèmes solaires, les soleils, les lunes, les étoiles, les astres, les présences sur les planètes, les montagnes, les rivières, les océans, etc. j’imaginai ce processus. Puis afin qu’il me fut limpide, le Sauveur compara l’âme à une de nos épreuves photographiques ; elle représentait le positif, clair et net, et la terre était son négatif sombre. La planète bleue n’est qu’une ombre de la beauté et de la splendeur de son âme, mais elle est indispensable à notre développement… Dans le monde pré-mortel, nous connaissions et choisissions même la mission de notre vie… Grâce au savoir divin, nous n’ignorions rien des épreuves qui nous seraient infligées, ni des moyens d’y parer. Même les liens familiaux et amicaux que nous avons contractés sur terre visent à l’exécution de nos missions… Nous sommes venus de notre plein gré, désireux d’apprendre et de vivre ce que Dieu a créé pour nous. Toutes les âmes qui ont pris la décision de s’incarner sont valeureuses. Même le moins évolué ici-bas, était fort et courageux dans l’autre monde… A l’heure de la genèse, nous chantions notre réjouissance et la tendresse de Dieu nous rassasiait. Nous débordions de bonheur en imaginant notre enrichissement sur terre et les heureux liens que nous formerions entre nous. Puis nous regardions le monde se faire. Nous observions nos frères et sœurs, les autres âmes, pénétrer leur corps physique pour passer un moment ici-bas et connaître les joies et les peines qui les aideraient à progresser… » (Extraits du témoignage de Betty J. Eadie dans, Dans les bras de la lumière, pp. 51à 54, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage).

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Ils ont dit : « Or c’est Dieu qui, pour nous, doit être au degré suprême la mesure de toutes choses, tellement plus que ne l’est l’homme qu’invoquent certains. Il est donc nécessaire, pour plaire à un tel être, de faire tout son possible pour devenir comme lui, en vertu de quoi celui d’entre nous qui est sage sera aimé de Dieu, car il lui ressemble (…). » (PLATON) « Je ne puis pardonner à Descartes : il aurait bien voulu dans toute sa philosophie, se pouvoir passer de Dieu ; mais il n’a pas pu s’empêcher de lui faire donner une chiquenaude pour mettre le monde en mouvement ; après cela, il n’a plus que faire de Dieu. » (PASCAL) « Ne doutez pas de l'existence du Créateur ! Il est, en effet, impensable que ce soit la nécessité seule qui dirige l'univers ! Car une nécessité aveugle, et échappant à tout changement, on ne peut imaginer qu'elle soit à l'origine de ce monde avec toute sa diversité et l'harmonie et l'ordre qui la caractérisent, et ce malgré le changement des temps et des lieux ! Disons plutôt que tout cela ne peut provenir que d'un être éternel doué de sagesse et de volonté. » (NEWTON) « La question n’est pas de savoir si Dieu existe ou non. Mais plutôt : qui est-Il, et à quoi joue-t-Il ? » (Hubert REEVES) « Dieu ne joue pas aux dés. » (Albert EINSTEIN) « L'escalier de la science est l'échelle de Jacob, il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu. » (Albert EINSTEIN) « Ne souhaite pas trouver Dieu ailleurs que partout. » (André GIDE) « Approchez-vous de Dieu ; et Dieu s'approchera de vous. » (SAINT-JACQUES) « Faire l'expérience de Dieu reste toujours à la portée de chaque homme. » (JEAN-PAUL II) « Il est beaucoup plus difficile de ne pas croire que de croire en Dieu, les vrais athées sont presque introuvables. » (Jules RENARD) « Personne n'a jamais vu Dieu ; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous. (…) Celui qui confessera que Jésus est le fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. Et nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour, demeure en Dieu, et Dieu en lui » (JESUS) « Moi et le Père nous sommes un. » (JESUS) « Rien ne peut exister sans intention, et par conséquent, rien ne peut exister sans créateur ; donc Dieu existe parce qu'il a créé. » (VOLTAIRE) « Dieu ne t'apparaît pas en personne mais en action. » (GANDHI) « Ni dimension, ni lieu, ni qualité, ni figure, ni temps ne peuvent être attribués à Dieu, car il est tout. Le Tout traverse toutes choses et entoure toutes choses. » (HERMES TRISMEGISTE)

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Mais aussi … « Si Dieu est omniscient et omnipotent, pourquoi n'a-t-il pas réussi son univers du premier coup, exactement comme il le voulait? Pourquoi n'arrête-t-il pas de le rafistoler et de se plaindre ? S'il y a bien une chose qui crève les yeux dans la bible, c'est qu'en tant que fabricant, le Dieu de l'Ancien Testament ne vaut pas tripette, ses plans pas grand-chose, et ses réalisations encore moins. Il serait au chômage, s'il y avait de la concurrence. » (Carl SAGAN) « Dieu ! Dieu ! Il n'y a pas de Dieu ! J'arracherai cet imposteur de son trône de nuages, et tous fouleront aux pieds ce vieux farceur que les caricaturistes sont forcés d'orner d'une barbe blanche pour nous le rendre respectable. Dieu, c'est l'homme. » (Guillaume APOLLINAIRE) « Dieu, c'est comme le sucre dans le lait chaud, il est partout et on ne le voit pas. Et plus on le cherche, mois on le trouve. » (Michel COLUCCI, di COLUCHE) « Dieu, celui que tout le monde connaît, de nom. » (Jules RENARD) « Le jour du jugement dernier, Dieu comparaîtra devant moi. » (Jean YANNE) « Je ne sais pas si Dieu existe. Mais s'il existe, j'espère qu'il a une bonne excuse. » (Woody ALLEN) « Et puis si j'étais le bon Dieu, je crois que je ne serais pas fier. Je sais qu'on fait ce qu'on peut, mais il y a la manière. » (Jacques BREL) « Dieu, je n'ai pas besoin de cette hypothèse. » (LAPLACE à NAPOLEON)

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Nous sommes les passants, les foules et les races. Nous sentons, frissonnants, des souffles sur nos faces. Nous sommes le gouffre agité ; Nous sommes ce que l’air chasse au vent de son aile. Nous sommes les flocons de la neige éternelle, dans l’éternelle obscurité. (Victor HUGO, Les contemplations)

Chapitre II : L’homme et les autres règnes de la Nature.

Que sommes-nous ? D’où venons-nous, qui sommes-nous, où allons-nous ? Ces interrogations existentielles que nous avons déjà abordées dans le premier chapitre, pourraient largement trouver leur place dans cette seconde partie. Mais, pour aussi interpellantes qu'elles soient, ce ne sont pas elles qui vont nous intéresser directement dans ce second chapitre ; nous allons plutôt tenter une approche différente de nous-mêmes, humains, afin d'essayer d'apprendre à mieux nous connaître. Nous allons donc nous poser une autre question : que sommes-nous ? Cette interrogation en surprendra peut-être plus d'un, et pourtant oui, que sommes-nous, nous les êtres humains, ou plus exactement qu'est-ce qu'un être humain ? Un être humain n'est-il qu'un organisme constitué d'os, de muscles, d'organes mous, de nerfs, de glandes et de sang, le tout merveilleusement dirigé par un cerveau extraordinaire ? Un être humain n'est-il finalement que cela, de la chair organisée sur un squelette, un tas de viande en définitive ? Et le morceau de choix, dans cette viande est-il ce cerveau qui dirige l'ensemble de cette fantastique machine durant son existence ici- bas ? Et bien, dès cet instant, le lecteur attentif se rendra certainement compte qu'il y a un problème restrictif dans cette description. En effet, un morceau de viande, fût-ce le cerveau humain, ne peut avoir aucune capacité à diriger ou à gérer quelque situation que ce soit, puisqu'il ne peut pas savoir de lui-même qu'il existe. C'est un morceau de viande, eh oui, en tout point pareil à la cervelle des animaux dont certains se régalent parfois. Comment dès lors, ce cerveau peut-il accomplir les prouesses que nous lui connaissons ? Tout simplement parce que cet organe extraordinaire est le centre de commande de notre maison terrestre, qui nous permet, entre autres, de diriger notre corps et de coordonner ses différents mouvements. Mais, il est bien autre chose qu'un dispatching de commande ; il est le siège de notre conscience parce qu'il nous héberge nous, notre moi profond, notre personnalité, nos traits de caractère qui nous rendent uniques et qui nous différencient tous les uns des autres. Voici l'être humain tel que chacun d'entre nous peut le percevoir avec ses yeux de chair. Mais, est-ce là la vision complète de la personne humaine ?

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La description holistique de l'être humain. Il est temps d'introduire ici la description holistique* de l'être humain. L'homme ne se réduit pas à un corps charnel habité par une conscience venue d'on ne sait où, l'habiter on ne sait quand, et qui repart on ne sait où (cfr : chapitres III et IV) lorsque la machinerie de l'organisme s'enraye et finalement s'arrête.

Nous allons tenter d'approcher de manière simple la psychologie subtile de l'être humain en évitant toutefois des explications techniques relativement complexes et auxquelles le lecteur intéressé pourra avoir accès en consultant les différents ouvrages spécialisés cités dans la bibliographie en fin d'ouvrage. Le corps humain est par nature caractérisé par sa dualité matière/énergie, c'est-à-dire qu'il est à la fois matière et énergie. Les corps subtils. Il y a déjà quelques milliers d'années que s'est développée en Orient et en Extrême-Orient une approche de l'être humain considérant que son corps physique est le prolongement d'autres corps subtils situés à l'intérieur de lui-même. Selon cette approche, l'homme, contrairement à son apparence physique est un système complexe, dont le corps de chair, visible à nos yeux, n'est qu'une des manifestations ; ce corps de chair est le prolongement de six corps subtils imbriqués l'un dans l'autre, à la manière de " poupées russes " ou " poupées gigognes ", en commençant par l'enveloppe physique. L'être humain a donc une constitution septuple ; son Corps physique d'abord, ensuite les différents véhicules subtils, c'est-à-dire le Corps éthérique qui est, lui, uni au corps physique, le Corps astral (ou émotionnel), le Corps mental (monde de nos pensées), le Corps causal (support enregistreur de nos expériences), le Corps de vitalité divine et enfin le Corps d'esprit divin. La corde d'argent. « Lors de ton prochain dédoublement, tandis que tu flotteras encore au-dessus de ton corps, tu remarqueras qu'une sorte de cordon ombilical relie ton être astral à ton être physique. Ce cordon s'offrira à ta vue sous la forme d'une mince bande argentée, vibrant comme un ruban tendu. Voilà ce que depuis toujours les initiés nomment la CORDE D'ARGENT. Elle est le lien indéfiniment extensible qui pendant la vie terrestre maintient en permanence le contact entre le corps de lumière et le corps de matière dense. Seule la mort physique, accidentelle, causée par la maladie ou la vieillesse parvient à la rompre. Sache que l'instant de la rupture est pour tout être, sans distinction aucune, celui de la libération de l'âme, de l'énergie animatrice… » (Paroles d'un guide à A et D. MEUROIS-GIVAUDAN dans Terre d'émeraude, p.40, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage).

L'aura. Si les corps subtils représentent la prolongation intérieure du corps physique, il existe aussi une prolongation extérieure de ce dernier ; cette extension est l'aura. L'aura peut être décrite globalement comme étant un halo plus ou moins coloré et lumineux qui

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entoure le corps physique. Ce halo est aussi appelé l'œuf aurique. C'est en quelque sorte le champ de force qui est dégagé par un être vivant. L'aura est en fait constituée de plusieurs auras réparties en couches autour du corps physique, l'enveloppant entièrement et s'étendant de plus en plus loin de celui-ci. Ces différentes auras, il y en a six, sont émises par les différents corps subtils que nous avons décrits plus haut. Elles sont leur manifestation plus ou moins tangible. La première, la plus proche du corps physique est l'aura éthérique (ou aura vitale), elle épouse le corps à la manière d'un gant et son épaisseur peut varier entre un et trois centimètres au-delà de la surface de la peau ; ensuite viennent l'aura astrale (ou émotionnelle), l'aura mentale, l'aura causale, l'aura de vitalité divine et pour terminer l'aura d'esprit divin. Le rayonnement des auras, en parlant de la place qu'il occupe autour du corps physique, est inversement proportionnel au corps subtil dont il est issu ; ainsi, le rayonnement de l'aura d'esprit divin qui s'étend le plus loin du corps physique est l'émanation du Corps d'esprit divin qui est le plus petit des corps subtils. La lecture de l'aura. La lecture des différents aspect des auras est un outil précieux ; elle peut fournir, à celui qui sait l'interpréter, des renseignements précis sur l'état de santé physique et psychologique d'une personne. Petite méthode pour apprendre à voir l'aura. Il vous faudra d'abord vous mettre d'accord avec un partenaire qui accepte que vous l'utilisiez comme sujet d'apprentissage. En effet, il faut toujours obtenir l'assentiment de la personne dont vous tentez de regarder l'aura. A défaut, vous pouvez toujours essayer d'observer votre propre aura. Dans ce cas, asseyez-vous face à un mur de teinte claire et étendez votre bras, paume face à vous et doigts légèrement écartés. Sans fixer la main, regardez plutôt vaguement. Vous allez sans doute, au bout d'un court instant, voir autour de votre main une sorte de brume bleutée (un halo) qui dessine exactement son contour et qui disparaîtra dès que vous fixerez votre main. Répétez cet exercice quelques fois afin de bien maîtriser la vision de votre " corps éthérique ". Vous pourrez alors tenter de visualiser les tourbillons colorés autour du corps que vous observez. Pour ce faire, il vous faudra, toujours " sans mettre au point " regarder vaguement, mais un peu plus largement autour de votre main. Pour visualiser l'aura de votre corps, placez-vous devant un miroir et fixez un point situé à quelques centimètres du sommet de votre tête. Autour de celle-ci, allant jusqu'aux épaules, se dessine un halo blanchâtre. Pour ce faire, il faut que l'éclairage de la pièce dans laquelle vous faites votre expérience soit indirect, c'est-à-dire, non dirigé vers vous (quelques bougies suffiront, ou mieux, une lampe de chevet). Pour observer votre corps astral (à côté du corps éthérique), il vous faudra sans doute quelques essais. Au début, vous verrez quelques couleurs transparentes. A force de vous exercer, vous devriez plus tard parvenir à voir la couleur de votre aura.

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Effet Kirlian et procédé Korotkov : une approche scientifique de l’aura ? En 1760, le physicien allemand Lichtenberg constate l’impression sur le sol de l’image d’un arbre foudroyé. Avec l’invention de la photographie en 1822, il a fallu attendre 1939 pour qu’un jeune électricien Russe Semyon Kirlian découvre fortuitement le phénomène qui porte son nom et en fasse une étude systématique. Après de multiples développements apportés par de nombreux chercheurs comme Georges Hadjo et Konstantin Korotkov entre autres, cette technique permet aujourd’hui de réaliser des bilans bio-énergétiques fiables. Des études menées sur le procédé Kirlian appliquées à l’homme ont montré qu’il s’agissait en réalité d’une excitation électrique des gaz diffusés par la peau. Les photographies obtenues montrent des " flammèches " qui par leurs formes et leurs localisations apportent des informations très intéressantes sur l’état de santé de l’individu testé. Konstantin Korotkov, Docteur en Electronique Physique et Docteur en Ingénierie Médicale, développe le système GDV avec le concours d’une équipe de recherche de l’Université de Saint-Pétersbourg (le procédé est agréé officiellement en Russie comme appareillage médical depuis 1993). La caméra est reliée à un ordinateur portable qui capte les clichés obtenus. Le logiciel traite les informations et les résultats sont rendus sous forme de différents diagrammes quantifiant le niveau énergétique des organes et systèmes fonctionnels. L’aspect psycho-émotionnel du patient peut être également abordé. Il est possible de tester la biocompatibilité des remèdes, l’effet thérapeutique d’une technique ou d’étudier différentes substances (eau, huiles essentielles, …). Cette technique apporte beaucoup pour la recherche en médecine quantique. La biorésonance permettra de gommer les anomalies constatées au cours du bilan. (Source : http://www.mednat.fr/effet-kirlian) Les chakras. Les chakras, nom d'origine sanskrit* signifiant " roue ", sont les centres, ou les plexus, qui captent la force d'énergie vitale, appelée " prana " en sanskrit, la transforment et la distribuent aux différents corps subtils. D'après les textes anciens, il existerait plusieurs milliers de chakras, mais les plus importants sont les 7 chakras principaux échelonnés le long de la colonne vertébrale. La réalisation d'un bilan énergétique, permet d'examiner le rayonnement de ces chakras. Celui-ci informe, d'une part sur le bon ou le mauvais fonctionnement des organes, organes qui dépendent de l'un ou l'autre chakra, et d'autre part sur l'état psychologique de la personne.

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Pour donner une image simplifiée et pratique, on peut dire que les chakras sont en quelque sorte des " antennes " mettant le corps humain en contact avec tout ce qui l'entoure, et principalement avec les énergies vitales venant du cosmos et de la Terre. Ils se présentent comme des " roues d'énergie " (c'est la traduction du terme " chakra "), ayant vaguement la forme d'un entonnoir, et sont partie intégrante de la totalité du système énergétique constituant l'être humain. LES CHAKRAS peuvent se définir comme étant des centres d'énergie vitale constitués d'éléments subtils ou comme des centres de forces psychiques représentant des niveaux de conscience spécifiques. Ces centres ont la propriété de transformer et de redistribuer l'énergie qui les traverse. En sanskrit, chakra signifie roue. Roue du destin et des réincarnations. En médecine tantrique*, les chakras sont en étroite relation avec les corps subtils dont les trois principaux sont : le corps éthérique, le corps émotionnel ou " corps Astral " et le corps mental. Ils agissent sur les plans physique et psychique. Points essentiels du système énergétique humain, les chakras reçoivent, transforment et distribuent les différentes sortes " d'énergies " et " d'informations " (au sens large du terme), qui nous parviennent soit directement du cosmos, soit de notre environnement immédiat. Les chakras transforment ensuite ces énergies en fréquences nécessaires aux divers plans du corps physique ou des corps subtils, afin de les maintenir ou de les développer : la jonction entre les chakras et les différents corps s'effectue à travers les canaux énergétiques (Ida, Pingala, Sushuma, et les quelques milliers de canaux secondaires). « Dans le même temps, les chakras émettent et irradient énergie et informations autour d'eux. Ainsi, grâce à ce système énergétique, l'Homme est en communication constante avec les forces actives situées à tous les niveaux de son environnement, de l'univers et des sources de la Création. Outre les sept chakras principaux, l'être humain en possède d'autres, importants ou secondaires que l'on appelle les Marmas. Des chakras importants se trouvent dans la paume des mains, aux extrémités des doigts, sous la plante des pieds et sur certains points importants comme les coudes ou les genoux. » (Source : http://www.ateliersante.ch/chakras.htm) Nous avons donc sept chakras principaux que nous allons vous décrire succinctement :

1. Le chakra de la base (muladhara) est situé entre l’anus et les parties génitales, la couleur qui lui correspond est le rouge.

2. Le chakra sacré (swhadistana) est situé au niveau du ventre à plus ou moins trois centimètres en dessous du nombril, la couleur qui lui correspond est l’orange.

3. Le chakra du plexus solaire (manipura) est situé au niveau du plexus solaire (au creux de l’estomac), la couleur qui lui correspond est le jaune.

4. Le chakra du cœur (anahata) est situé au niveau du plexus cardiaque, la couleur correspondante étant le vert.

5. Le chakra de la gorge (vishuda) est situé au niveau de celle-ci, la couleur qui lui correspond est le bleu.

6. Le chakra du troisième œil (ajna) est situé entre les deux sourcils et sa couleur est l’indigo.

7. Le chakra coronal (sahashrara) est situé au sommet de la tête et la couleur qui lui correspond est le violet.

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L'âme. L'âme ! S'il est une notion difficile à définir, c'est bien celle de l'âme. On en parle souvent dans la vie de tous les jours sans pour autant savoir ce que c'est réellement. Et pourtant, elle nous est si intime à tous et à chacun en particulier. Nous venons de voir au début de ce chapitre que l'homme ne se réduit pas à un morceau de viande articulé tel un robot à partir du centre de commande qu'est le cerveau. Nous avons vu aussi que le corps physique n'est que la partie visible d'un ensemble de corps subtils imbriqués les uns dans les autres. Comme vous le verrez dans les témoignages qui suivent, amis lecteurs, l'âme peut être définie comme étant un corps de lumière qui est le véhicule de l'esprit. Le corps de matière, c'est-à-dire le corps physique, est quant à lui le véhicule de l'âme. Le corps physique et l'âme sont reliés entre eux durant toute la vie par la corde d'argent, de la même manière que sont reliés, durant la grossesse, la mère et son enfant. Cette corde d'argent n'est brisée qu'avec la mort du corps de matière. L'âme peut être considérée comme étant la partie astrale, ou le corps astral, de l'être. C'est l'âme qui porte en elle les fondements de notre personnalité. Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil) « L’âme est le principe vital de toute entité douée de vie, pour autant que ce principe puisse être distingué de la vie même. Il provient du mot latin anima qui a donné " animé ", " animation ", " animal ". On la définit souvent comme la capacité à ressentir, à s’émouvoir, elle est alors une caractéristique propre à l’Homme, aussi peut-elle se personnifier par Psyché. L’homme est porté à attribuer de préférence une âme à ce qui change et évolue avec une certaine autonomie, mais par extension, tout élément naturel, par exemple une montagne, peut être investi d’une telle instance avec lequel il est d’une façon ou d’une autre possible d’interagir : ce comportement s’il est partagé par l’ensemble d’une culture s’appelle animisme. Dans ce paradigme, chaque entité est douée d’intentionnalité, ce qui donne lieu à l’émergence de rituels pour se concilier ses faveurs. La notion d’âme joue un grand rôle dans la croyance religieuse. Avec ce concept vitaliste, la mort devient moins mystérieuse : lorsqu’une personne meurt, son âme la quitte, raison pour laquelle elle devient inerte ; cette âme peut alors revenir sous forme de fantôme, ou bien aller vers un paradis ou un enfer. Concentrant la fonction vitale essentielle, l’âme devient un espoir de vie éternelle de l’essentiel de la personne et rien ne s’oppose même à sa réincarnation. Ainsi chargée de toutes les vertus, l’âme est alors la face cachée de l’être ; elle devient le moteur de l’action humaine, la capacité à faire le bien et le mal. » Témoignages sur l'âme et le corps astral. « … la lecture de l'aura n'est en aucun cas à considérer comme un " pouvoir ". Elle en est même tout à fait l'inverse puisqu'elle ne saurait servir à dominer mais plutôt à se mettre au service d'autrui ... Le but unique de la lecture de l'aura est l'aide à autrui par la connaissance de son être profond, la détection de ses potentialités et de ses faiblesses. » (A. et D. MEUROIS-GIVAUDAN dans Les robes de lumière, Lecture d'aura et soins par l'esprit, pp 33-34, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). « Question : Michel, l'âme est-elle liée au corps dans toute sa surface ? Michel : tous les éléments visibles et invisibles du corps sont parcourus par un courant d'ondes lumineuses à l'œuvre dans tout ce qui existe. Chaque parcelle en est imprégnée. Elle imprègne la personnalité physique et mentale de chacun. » (Question à Michel par Belline dans La troisième oreille, p. 121, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage).

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« Question : qu'est-ce que l'âme ? Réponse : un esprit incarné. Question : qu'était l'âme avant de s'unir au corps ? Réponse : esprit. Question : y a t-il dans l'homme autre chose que l'âme et le corps ? Réponse : il y a le lien qui unit l'âme et le corps. Question : que serait notre corps s'il n'avait pas d'âme ? Réponse : une masse de chair sans intelligence, tout ce que vous voudrez, excepté un homme. Question : y a-t-il quelque chose de vrai dans l'opinion de ceux qui pensent que l'âme est extérieure et environne le corps ? Réponse : l'âme n'est point renfermée dans le corps comme l'oiseau dans une cage ; elle rayonne et se manifeste au-dehors comme la lumière à travers un globe de verre ou comme le son autour d'un centre sonore, c'est ainsi qu'on peut dire qu'elle est extérieure mais elle n'est pas pour cela l'enveloppe du corps !... » (Questions aux esprits par Allan Kardec dans Le livre des Esprits, pp. 121-122-123, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). « Ainsi tu vois, le corps astral, ce double lumineux superposé au corps de chair et qui s'en détache le moment venu (ndlr : au moment de la mort) est simplement ce que toutes les religions du monde appellent âme. D'un point de vue purement physique, le corps astral peut se comparer à un flot d'énergie continue dont la tâche est d'animer des cellules nerveuses. Cette énergie contient en elle l'intellect ainsi que la faculté qu'a tout individu d'être conscient de lui-même… » (Paroles d'un guide à A et D. MEUROIS-GIVAUDAN dans Terre d'émeraude, p. 36, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). « Bonsoir, pourriez-vous nous définir l'âme ? Nous essayerons de faire de l'âme la définition la plus simple possible, afin qu'elle soit accessible à votre compréhension. L'âme est une énergie qui a une conscience, et qui a amené avec elle tout un acquis de ses expériences antérieures. Cette énergie permet à l'esprit de comprendre et d'intégrer encore davantage la présence de Dieu. L'âme est un véhicule, comme le corps, mais un véhicule immatériel, un véhicule qui sert à l'esprit pour lui permettre de comprendre et d'intégrer tout ce qu'est la création, tout ce que sont aussi l'émotion, l'émotionnel, l'amour, tout ce qui est le sentiment. Le sentiment n'existe que sur ce monde avec une telle intensité ! Et les âmes qui viennent s'incarner en ce monde, même celles qui n'appartiennent pas à cette sphère d'existence, acquièrent une approche extraordinaire de ce côté affectif, émotionnel, de ce côté sentiment qui est, en fait, presque unique à cette sphère. Comment pourrions-nous vous décrire l'âme afin que vous puissiez mieux la cerner ? On me montre comme une petite lumière bleutée, cette lumière attire à elle une immensité de particules d'expériences, de vécus, et cette petite lumière fait une synthèse de tout ce qu'elle reçoit, aussi bien de l'extérieur que de l'intérieur. L'âme est un véhicule précieux pour l'évolution de l'esprit. L'esprit lui, est comme un petit soleil qui rayonne de mille feux et qui doit grandir afin de pouvoir rejoindre Celui qui l'a créé, mais il doit s'enrichir d'une somme considérable d'expériences afin de pouvoir ramener toutes ces expériences à Celui duquel il émane. Ils me montrent une image: cette petite parcelle d'énergie qui est complètement neutre, qui est partie du Père, qui s'est involuée de monde en monde, à laquelle on a tout d'abord donné comme véhicule, l'âme, qui, elle, peut comprendre, intégrer, ressentir. Elle charge ... c'est comme une ... c'est très difficile à exprimer avec des mots ! Je vois les images ... c'est comme une petite disquette ... c'est stupide ce que je vais vous dire mais je ne peux pas exprimer autrement, c'est comme une petite disquette d'ordinateur dans laquelle on va rentrer une quantité énorme de données, et ces données ne peuvent

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rentrer qu'au travers de l'âme. Car l'esprit tout seul, n'ayant pas l'âme pour support, ne pourrait pas recevoir ces sommes colossales d'expériences. Et lorsqu'il sera chargé de toutes ces expériences, il retournera vers son Créateur. Mais l'esprit ne souffre pas, l'esprit n'a pas de sentiment, l'esprit est une énergie Divine neutre, il se charge des expériences mais sans en avoir la nuisance, ni l'émotionnel, ni le sentiment, il n'en a que la substance filtrée, la substance précieuse, celle qui le fera briller encore davantage. L'âme sert des milliards de fois pour porter le maximum d'informations à ce petit soleil qui est l'esprit en vous. Je vois toutes les images et je voudrais tellement vous expliquer d'une façon claire tout ce qu'ils me montrent. Ils me disent : Ils le sauront, ils le comprendront. Ils le comprendront beaucoup mieux, encore mieux lorsqu'ils auront quitté leur enveloppe de manifestation, leur corps physique. Mais ils n'auront cependant qu'une petite partie de conscience par rapport à leur esprit, ils ne verront qu'une petite partie de ce soleil immense qui est pourtant eux, aussi. Il faut que vous sachiez que ce qui est filtré vers l'Esprit Divin ne peut être que beauté, ne peut être que Lumière. L'âme est un filtre. Comme le corps est un support pour l'âme, l'âme est un support pour l'esprit. Chacun est le filtre et le reflet de l'autre, et chacun est aussi l'expérience pour l'autre. Votre corps fait évoluer votre âme, et votre âme fait évoluer votre esprit. C'est la trinité absolue sur ce monde et dans les autres mondes. Car le schéma que vous vivez ici en ce monde se répète dans les autres. Il y a toujours la Trinité. C'est pour cela que vous devez travailler au maximum, afin d'épurer tout ce que vous transmettez à votre âme par votre réalité physique afin que votre âme ait moins de travail pour filtrer, pour transmuter et pour transférer des données à l'esprit, à la sphère solaire qu'est l'esprit. Je ne sais pas si ces explications ont pu éclairer un petit peu vos consciences. Pour moi lorsque je vois les images, c'est tellement simple, mais les mots sont si limitatifs qu'il est parfois très difficile avec des mots humains de faire comprendre ce qui est dans le domaine de la non humanité. Voilà ce que nous pouvions à peu près vous donner comme informations sur cette question. Il pourrait y avoir encore d'autres réponses encore plus vastes mais celle-là suffira à une petite compréhension de votre trinité, de votre fonctionnement. Il ne faut pas non plus vouloir, par des réponses trop complexes, embrouiller vos esprits. Tout vient à son heure, toutes les portes vous seront ouvertes lorsque vous serez prêts à les franchir. Alors préparez votre corps le mieux possible afin qu'il soit un outil parfait pour votre esprit. L'Esprit demeure à jamais; l'âme et le corps sont temporels même s'ils ont l'éternité pour évoluer, ils sont tout de même temporels. Lorsque toutes les incarnations dans toutes les sphères sont terminées, l'âme n'existe plus. Voilà ce que nous voulions répondre à ta question. » (Réponse à une question posée aux Etres de Lumière, canalisée par Monique Matthieu, voir référence du site internet en fin d’ouvrage). N.B. : Ce texte peut être reproduit et donné en copie aux conditions suivantes :

• qu'il ne soit pas coupé • qu'il n'y ait aucune modification de contenu • qu’il soit fait référence au site http://assoc.wanadoo.fr/ciel-a-la-terre

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Ils ont dit : « L'âme qui habite aujourd'hui en moi est faite de parcelles qui survécurent à des milliers de morts. » (Maurice BARRES) « L'âme humaine ne s'explique pas par la psychologie. Elle ne peut être expliquée, elle est à vivre. » (Tahar Ben JELLOUN) « Il faut se conduire comme si on était au ciel, où il n'y a pas de voiture de troisième classe et où une âme en vaut une autre. » (George BERNARD SHAW) « Il y a autant de chemins vers Dieu que d'âmes. » (Hadith de MUHAMMAD) « Seul l'amour sait écouter le mystérieux et inaudible murmure de l'âme. » (ANONYME) « Rien n'est meilleur à l'âme que de faire une âme moins triste. » (Benoît DUTEURTRE)

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Les autres règnes de la Nature. D’autre part nous apprenons tous à l’école que la nature se compose outre du règne humain, du règne minéral, végétal et animal. Serait-il possible qu’à l’instar de l’homme les minéraux, végétaux et animaux aient eux aussi une " conscience ", une âme ? Voyons plutôt ce qu’en disent les témoignages de philosophes, de guides spirituels ou de personnes décédées : « Nous allons vous parler de la nature, de tout ce qui vous entoure, de tout ce qui est vie autour de vous et en vous. Votre monde occidental a banni, en quelque sorte, le monde végétal. Le monde animal n’a pas été en totalité banni car il est une compensation au manque affectif de beaucoup d’êtres humains qui vivent séparés, qui vivent dans leurs cités de béton. Dans quelques temps, les hommes redécouvriront la nature, redécouvriront les trésors qu’elle peut apporter à l’homme pour la compréhension de lui-même, pour la compréhension de la vie et pour la compréhension de l’Univers. L’humanité est en ce moment à la croisée des chemins. Lorsqu’elle aura compris qu’elle ne peut absolument pas vivre sans la nature, sans le monde minéral, sans le règne végétal et le règne animal, elle sera sauvée. Pour qu’elle arrive à comprendre cela, il faut qu’il arrive beaucoup d’accidents dramatiques, d’accidents pétroliers, d’accidents d’empoisonnement de fleuves, d’accidents d’empoisonnement de l’atmosphère. Il n’y a que de cette façon que l’humanité pourra percevoir ses erreurs et revenir à une dimension beaucoup plus spirituelle de la vie. Cependant l’homme n’est pas complètement coupable, car il y a beaucoup de forces en opposition sur ce monde. Il y a des êtres d’une puissance extraordinaire qui œuvrent comme vous œuvrez, c’est-à-dire pour la Lumière, mais il y a aussi des êtres, des entités humaines qui œuvrent pour l’énergie opposée, car dans les mondes de troisième dimension, il y a toujours la dualité. La dualité existera tant que les êtres humains n’auront pas compris qu’ils ne doivent pas vivre la séparation, qu’ils doivent rester toujours unis en eux-mêmes et avec tout ce qui les entoure. A partir du moment où les êtres humains auront cette conscience, il n’y aura plus de dualité, il n’y aura plus de violence, il n’y aura plus de cruauté, votre monde deviendra un monde parfait. Il faut pour cela que les hommes comprennent encore et encore pour qui ils œuvrent ou pour quoi ils œuvrent. Vous pouvez vous poser la question : pour qui est-ce que j’œuvre chaque jour dans mes prières, mes méditations, pendant mes connexions, ou pour quelles raisons est-ce que j’œuvre ? Vous aurez des réponses différentes, et vous verrez que ces réponses vous apporteront beaucoup. Les hommes ne sont pas capables de se poser de telles questions, ils vivent tout simplement dans le confort qu’a apporté votre civilisation, ce confort tellement fragile, ce confort qui les coupe de l’essentiel, qui les coupe d’une grande partie de l’énergie de vie, cette énergie de vie qu’ils peuvent trouver dans les divers règnes. Pour quelle raison croyez-vous que les gens des villes n’ont qu’une hâte, celle de quitter leur cité en fin de semaine pour aller respirer la nature ? Parce que c’est un appel profond qu’ils ressentent, un appel pour se connecter à cet élément essentiel à la vie qui est la nature. Les hommes n’ont pas décodé cet appel ainsi, ils ne l’ont pas interprété, ils ont un besoin et ils essaient uniquement de l’assouvir. Le jour où ils auront compris que ce besoin est crucial pour leur sauvegarde, pour perpétuer la vie et pour évoluer au travers de cet environnement, ils se poseront les bonnes questions et ils auront les bonnes réponses. Ces prises de conscience vont s’accélérer, car sur votre planète Terre il y aura de plus en plus d’erreurs monumentales commises par la folie des hommes, et ces erreurs monumentales feront prendre conscience à une grande partie de l’humanité qu’elle a réellement pris la mauvaise route. A ce moment-là, elle changera complètement sa façon d’être, sa façon de vivre, sa façon de concevoir sa propre vie. Cela est important.

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Nous vous avons dit maintes et maintes fois « le temps presse, vous n’avez pas beaucoup de temps. » C’est vrai pour vous humains, le temps s’accélère et vous n’avez pas tellement le temps de prendre conscience de ce que vous êtes, de prendre conscience de ce que vous devez devenir, de prendre conscience de ce qui vous entoure, d’ouvrir le plus possible votre conscience par rapport à la vie dans ses multiples représentations, sur ce monde et ailleurs. » (Message des êtres de Lumière reçu par le canal Monique Matthieu, voir références du site internet en fin d’ouvrage) http://assoc.wanadoo.fr/ciel-a-la-terre « Tous les végétaux vivent du même principe de vie que toi et moi. Tous les végétaux, tous les minéraux, tous les animaux, bien sûr, tout vit absolument tout, jusqu’à la plus insignifiante des parcelles qui composent un corps et jusqu’aux simples éléments qui bâtissent un univers. La terre, l’Eau, l’Air, le Feu, l’Ether, la Lumière de cet Astral et bien d’autres choses encore existent et vivent comme nous. Chaque élément, chaque créature, qu’elle nous semble animée ou non, possède en son centre la même force vitale qui fait que nous lui devons respect. Si tu fais exploser un pan de montagne, si tu arraches une plante du sol, tu provoques une souffrance et tu tranches le fil d’une vie. Je ne veux pas dire qu’il faille absolument s’abstenir de commettre ces actes, car l’homme est à un carrefour et il lui importe d’aller de l’avant ; sa progression s’effectue bien souvent à ce prix. Je veux simplement insister sur le fait qu’aucun acte ne doit être commis inconsidérément. Il ne faut jamais détruire, briser une existence minérale, végétale ou animale sans être certain que cet acte a une finalité constructive… As-tu jamais entendu parler des Dévas* ? C’est un terme d’origine sanskrite qui signifie à peu près : êtres de lumière. Non je ne parle pas des êtres de lumière dont tu as constaté la présence et le travail bénéfique dans le franchissement du seuil de la mort. Les Dévas sont des êtres de lumière qui ont en charge ce que nous pouvons appeler schématiquement les Forces de la Nature. La Nature c’est, pour l’homme, aussi bien les Eléments que les trois Règnes qui cohabitent avec lui, c’est-à-dire : le minéral, le végétal et l’animal. La forme de vie mise à la disposition d’un règne est bien sûr différente du règne voisin. Mais ce qui est dissemblable au point de vue physique n’a que peu d’importance. … Je pourrais te dépeindre le vrai visage des Dévas, mais cela ne serait d’aucune utilité car il me faudrait déployer une énorme quantité de notions dont aucune n’a cours sur terre. Il me faudrait te parler au moyen d’images, de projections mentales, d’une nature telle que ta santé en subirait probablement le contrecoup. Imagine simplement les Dévas comme des êtres infiniment lumineux et d’une puissance extraordinaire, des êtres d’une grande sagesse et qui possèdent en eux la clef de l’évolution future des créatures qu’ils dirigent … Il est des milliers de dévas de par l’Univers : chacun d’eux est la force, la volonté et le savoir d’une variété d’êtres n’étant pas encore parvenus à une individualisation parfaite. Un Déva est une grande âme globale qui résume à elle seule toutes les âmes diversifiées qui naîtront de la catégorie de créatures auxquelles elle prodigue ses soins. Le Déva est l’âme d’un groupe, la source du savoir que les hommes nomment instinctif parce qu’ils ne l’appréhendent pas et parce que quelques mots ont l’art de faire croire qu’ils expliquent tout… Voici donc pourquoi tu te dois de considérer l’Univers, mais non ton pays, comme ta patrie, et tous les types d’existence comme appartenant à la Grande Vie au même titre que toi. Le plus petit brin d’herbe possède ta vie et celle de dix mille soleils. » (Extraits d’une conversation avec un guide spirituel dans A. et D. MEUROIS-GIVAUDAN, Terre d’Emeraude, pp. 100 à 105, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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Le règne minéral. Réflexions et témoignages au sujet du règne minéral. « Vous partez en promenade et sur le chemin vous trouvez des pierres, des roches … Est-ce que vous pensez quelquefois à vous arrêter pour les prendre dans la main, leur parler ? Non, parce que vous vous laissez tromper par les apparences : vous croyez que les pierres sont mortes, sans âme. Vous n’imaginez pas quelles histoires extraordinaires elles pourraient vous raconter si vous saviez les écouter ! Car tout est vivant et l’histoire de l’Univers est inscrite sur les pierres, sur les rochers et partout dans la nature. Oui, tout s’enregistre. Les humains, toujours tellement présomptueux, s’imaginent qu’ils sont les premiers et les seuls à avoir découvert la technique de l’enregistrement. C’est vrai qu’ils ont fait des merveilles avec la photographie, le cinéma, les disques, les bandes magnétiques… Seulement, ils ne se doutent pas que, s’ils ont pu arriver à ces réalisations, c’est que le phénomène de l’enregistrement existe déjà dans la nature : toute la nature est sensible et elle réagit. » (Paroles du philosophe Omraam Mikhaël Aïvanhov cité par Jean MARTIN dans Nul n’est une île, p. 126. Voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Bonjour à toi ! Enfin, je peux parler ! Tu es prête à m'entendre. Je suis le Déva de la pierre, du monde minéral. Cela nous fait vraiment du bien de pouvoir nous exprimer. Vous nous voyez inertes, sans vie. Détrompez-vous, nous vivons mais dans un temps qui n'est pas le vôtre. Les millions d'années n'ont pas d'importance pour nous. Les électrons qui se déplacent dans nos atomes n'ont pas le même parcours que les vôtres. Vous faites bien peu attention à nous et pourtant nous vous sommes d'une grande utilité. Avec nous vous bâtissez vos maisons et vos cathédrales, avec nous vous bâtissez également vos prisons et vos abattoirs. Il est grand temps que nous donnions notre avis. Dieu, la Source, le Créateur est aussi notre Père et il nous aime autant que vous. Respectez-nous ! Employez-nous, c'est notre karma mais de grâce employez-nous pour de belles choses, des belles réalisations et pas pour enfermer vos semblables ni pour recevoir le sang de nos frères les animaux. Regardez-nous, nous sommes humbles la plupart du temps et parfois éclatantes lorsque nous sommes précieuses. Regardez notre cœur, il bat pour Dieu, pour la grandeur de l'Univers. A bientôt ma sœur humaine. Merci de m'avoir écoutée. » (Message reçu en channeling par Marie-Hélène le 30 mai 2003). « Oui, c'est bien moi, le Déva de la pierre qui te parle chère sœur humaine. Nous sommes heureuses moi et mes innombrables sœurs de savoir que les humains s'intéressent à notre âme. En fait, chaque pierre, chaque caillou que vous voyez autour de vous est une parcelle d'âme. Nous ressentons cependant ce qui est fait à chacune de nous et c'est moi l'âme groupe, la déesse qui, au nom de toutes ces parcelles d'âme, te parle aujourd'hui. Certaines d'entre nous, celles que vous appelez pierres précieuses ou semi-précieuses ont une mission d'importance : celle d'apporter nos vibrations positives aux règnes supérieurs : végétal, animal et humain. Sachez cependant que Dieu nous voient toutes, du simple caillou au diamant, comme des joyaux qui participent à la grandeur de l'Univers. On nous dit froides et sans vie, c'est faux. Nous vibrons d'amour pour Dieu et nous vous transmettons, à notre niveau, ces vibrations lorsque vous faites attention à nous. Nous sommes capables autant que nos frères les végétaux de vous apporter la santé et l'harmonie. Utilisez-nous avec la conscience que nous sommes des parcelles du Divin. Nous pouvons vous apporter de multiples joies et réconforts. Regardez-nous avec un œil nouveau. Nous oeuvrons également pour le plan divin. Nous vous sommes dévouées. Aimez-nous et nous évoluerons. Merci de m'avoir écoutée ma sœur humaine.» (Message reçu en channeling par Marie-Hélène le 4 juin 2003).

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Le règne végétal. Réflexions et témoignages au sujet du règne végétal. Préalable : nous vous encourageons vivement avant d’aborder cette lecture à vous référer à la fiche bibliographique établie en fin d’ouvrage. Cette fiche vous fera mieux comprendre ce qu’est l’expérience des jardins de Findhorn qui a fait école et dont beaucoup de personnes actuellement s’inspirent dans le monde entier. « Nous pensons qu’il est grand temps pour l’homme de s’ouvrir et d’inclure dans son champ de vision différentes formes de vie qui constituent son univers. Il a imposé au monde ses propres créations, sans se rendre compte que tout ce qui vit, comme lui, fait partie d’un ensemble, placé là par le plan et le dessein divin. Toute plante, tout minéral apporte sa propre contribution, au même titre que chaque âme. L’homme ne devrait plus nous considérer comme des formes de vie inférieures sans intelligence, avec lesquelles par conséquent il ne communique pas. La théorie de l’évolution, qui place l’homme au sommet de la vie sur terre, n’est correcte que sous certains aspects. Elle exclut le fait que Dieu, en tant que conscience universelle, est le créateur des formes vivantes. Par exemple, selon la norme actuellement en vigueur, je suis un lis ordinaire, dépourvu de conscience et inapte à la communication ! Pourtant, quelque part existe l’intelligence qui nous créa beaux, de même qu’existe quelque part l’intelligence qui produisit votre corps physique dans sa complexité. Vous n’avez que peu conscience de vos facultés intuitives, et vous ne contrôlez qu’une infime partie de votre corps. Vous n’avez connaissance que de certains aspects de vous-mêmes, et de la vie autour de vous. Mais il ne tient qu’à vous de vous harmoniser à ce qui vous dépasse, à l’intérieur et à l’extérieur de vous. Il existe de vastes niveaux de conscience, tous issus de celui qui est notre conscience intérieure. Lui a pour dessein l’ouverture de tous les éléments de la création les uns aux autres, et leur union au sein du prodigieux mouvement qu’est la vie, évoluant toujours vers plus de conscience et de maîtrise. Observez le lis et tout ce qu’il vous révèle ; soyez prêts à progresser dans la compréhension, l’unité et l’amour, unis en Dieu. » (Message du Déva du lis du Japon dans Les jardins de Findhorn, p. 108. Voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). « La communication qui suit est celle d’une entité qui se présente simplement sous le nom de " John ". Myrtle et moi, nous avons contacté cette présence au tout début de notre recherche. Depuis, " John " est devenu un nom de code, ou un point de contact avec un grand nombre d’énergies vivantes dont les véritables identités sont difficilement traduisibles en terme de personnalités humaines. Ici John apparaît comme un émissaire " représentant les intérêts et la conscience des royaumes élémentaux* " qui participent à l’expérience des jardins de Findhorn. Cette communication est née de nos interrogations sur la relation entre deux volontés, celle de l’homme, représenté par Peter au jardin et celle des esprits de la Nature. (NDLR : Voici quelques extraits choisis de la communication avec cette entité). John parle : « Les élémentaux ne sont pas les corps physiques des plantes. Une plante est une manifestation tangible de l’être de la terre, de la vie, de l’âme de la planète que vous pouvez appeler le Logos de la terre. Les plantes sont au service de cet être. Elles servent aussi à fournir un environnement pour que des formes de vie plus évoluées pénètrent dans cette dimension physique et s’y sentent bien. Les élémentaux, que je représente, rendent possible la croissance et le développement des formes naturelles. Nous sommes, pour la plupart, beaucoup plus anciens que la terre physique elle-même et nous nous déplaçons librement dans les énergies de la créativité cosmique. Avant qu’une planète existe, nous existons ; nous donnons son existence à la planète. A une époque, nous étions les seuls maîtres de la terre. D’une certaine façon, l’homme est sorti de notre sein, que vous appelez la Nature. L’homme est en partie un produit des royaumes des élémentaux et des dévas car il fut autrefois un être semblable à nous, relié aux sources cosmiques et créatives. Lorsque la forme de l’homme fut créée et que

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l’humanité telle que vous la connaissez a commencé à se développer, nous étions ses maîtres. Pendant très longtemps, nous avons guidé et protégé l’homme. Il a pu dialoguer avec nous car, dans sa sensibilité profonde et à cause de ce souvenir, il ne faisait qu’un avec nous. Dans ce royaume de notre véritable existence, nous cheminions en étant un… » (Extrait de transmission n° 1 : la coopération avec les esprits de la Nature dans Les Jardins de Findhorn, pp. 143-144. Voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). « Je vis ; Oui c’est vrai, je suis là. Formidable de l’avoir trouvé ! N’hésite pas à parler ! C’est ça Jean le paradis ! » (Exemple de trans-communication instrumentale avec une plante réalisée par l’Abbé Jean Martin dans Nul n’est une île, p. 115. Voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). A LIRE EGALEMENT A CE SUJET NOTRE DEUXIEME OUVRAGE « Je parle aux arbres et ils me répondent », Editions Lanore, Paris, 2012 (disponible en librairie, à la Fnac, sur Amazon)

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Le règne animal. L’âme des animaux ? Une évidence ! « Si l’on entend par âme la partie incorporelle de l’être, le siège de la sensibilité, de l’entendement et de la volonté, la source des pensées, des attachements et des passions, le sujet commun de toutes les modifications affectives et intelligentes de la conscience, oui, les animaux ont une âme. Si l’on entend par âme le courage, les sentiments élevés, les instincts généreux d’une individualité considérée du point de vue moral, oui, les animaux ont une âme. Si l’on entend par âme un principe immatériel mais cependant substantiel, se séparant du corps après la mort ; si l’on entend par âme un double de l’être à la ressemblance du vivant qu’il fut et lui permettant de continuer à vivre dans un autre monde, oui, les animaux ont une âme. Je dirais plus : l’animal est une âme : animal est anima. Curieusement, le vocabulaire lui accorde ce que la religion et le gros bon sens lui refusent. A propos de vocabulaire, je précise que sous le terme animaux, je n’englobe dans ce livre que les vertébrés supérieurs… En ce qui concerne le monde étrange des insectes…on ne peut parler que d’âme groupe surtout quand il s’agit des insectes sociaux… Oui les animaux ont une âme. Si j’avais déclaré cela devant des Néolithiques, des Egyptiens, des Grecs, des Perses ou des Indiens, j’aurais enfoncé une porte ouverte. On m’aurait raillé d’énoncer une vérité première… Pour tous les anciens, en effet, l’âme animale était une évidence. Pythagore, qui a vu juste sur tant de points, enseignait que les âmes des bêtes sont impérissables au même titre que celles des hommes, parce que les unes et les autres émanent de l’Ame du Monde. Même idée chez Anaxagore de Clazomènes : " l’âme de l’homme et celle des animaux, provenant de l’Ame du monde, sont de même nature que celle-ci, c’est-à-dire de nature divine. " Les Anciens désignaient sous le nom d’Ame du monde une force infuse dans toutes les molécules de l’Univers, laquelle servait à la matière de principe moteur et plasmateur. Mais cette force qui donnait le mouvement et la forme à tous les êtres était, selon Pythagore, Platon et les Alexandrins, une substance intermédiaire entre le cosmos et le dieu suprême, tandis que pour les Stoïciens, cette Intelligence, ce principe de Vie, c’était DIEU lui-même. L’animal comme l’homme était une émanation divine. Aristote pour qui l’âme humaine était triple : végétative (ou nutritive), sensitive, rationnelle (cette dernière étant un rayon de la Divinité) accordait l’âme sensitive aux animaux et tous les philosophes le suivirent sur ce point. Cette division subsista jusqu’à Bacon, lequel rejeta la nutritive pour ne garder que la rationnelle et la sensitive. C’est alors que Descartes, qui allait pour longtemps handicaper le mental européen, se débarrassa de l’âme sensitive en affirmant que les animaux étaient des automates et en réduisant à un pur mécanisme les facultés que l’homme possède en commun avec eux. Il ne restait plus, dans son système, que l’âme rationnelle dont l’attribut était la pensée. Dès lors, les ponts étaient coupés entre l’homme occidental et la nature qui le porte et l’entoure. Le monde animal devenait suspect, toute manifestation intelligente de sa part était bientôt taxée de diabolisme. Une fois de plus, le satanisme s’emparait d’un territoire déserté par le christianisme. Si l’on y regarde de près, l’âme des animaux ne fait problème que depuis l’avènement de cette religion qui, comme Descartes, a toujours craint de compromettre la destinée humaine, en accordant aux animaux la moindre analogie spirituelle avec nous. Secouant le double joug de l’église et de Descartes, un certain Pierre Massuet n’hésitait pas à écrire dans ses Eléments de philosophie moderne (1752) : « Nous avons dit, en parlant de l’âme humaine, que c’est une substance immatérielle qui a la faculté de penser. Or, les bêtes ont très certainement cette faculté. Donc elles ont une âme. L’âme

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des bêtes est-elle immortelle ? Oui, et même par sa nature, puisqu’elle est spirituelle. Il résulte des faits d’observation quotidienne rapportés dans ce livre que les phénomènes affectifs présentés par les animaux supérieurs qui vivent dans notre entourage sont tout à fait semblables à ceux observés chez les humains. Il s’agit de toute évidence d’une différence de degré et non de nature. En partant des faits d’observation scientifique, Jean Rostand, l’agnostique avait abouti à la même conclusion. Il ajoutait : si l’on refuse une âme aux animaux, pourquoi les humains en auraient-ils une ? Mais l’argument de celui qui fut à la fois savant et philosophe peut se retourner comme un manteau réversible : si on attribue une âme aux humains, pourquoi les animaux en seraient-ils privés ? Paradoxalement, ceux des Chrétiens qui lient l’âme animale se rangent du côté de la thèse matérialiste. Si l’existence de cette âme leur pose problème, que sera-ce quand il leur faudra envisager sa valeur morale, ses pouvoirs psychiques et sa survivance ? Comment leur ferons-nous admettre que le monde sub-humain est entraîné lui aussi dans la spirale ascendante de la vie indestructible. » (Extrait du livre de Jean PRIEUR, l’âme des animaux, pp 7 à 10, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Réflexions et témoignages au sujet du règne animal.

« Ici, nous avons toutes les sortes d’animaux et tous vivent en harmonie. Ici, il n’y a pas de bagarres entre les animaux, ils vivent tous en paix. » (Paroles de Karine dans Karine après la vie, p. 104, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Je suis Plume, la petite chienne que tu as tant aimée. C’est un grand jour aujourd’hui pour moi et ceux de ma race. Je t’avais dit un jour « il n’y a que le temps qui nous sépare ». Le temps est passé et nous sommes un jour lumineux où je peux enfin te parler. Tu m’as aimée, soignée, respectée, récupérée de la cave où je végétais et tu m’as " apprivoisée ". Tu m’as considérablement fait évoluer et j’ai atteint un stade où je peux communiquer avec toi au-delà de la mort. Tu te souviens comme nous étions proches ? Je te suivais des yeux partout où tu allais, je n’avais d’yeux que pour toi. Tu m’as donné tout ton amour et je t’en suis reconnaissante. Où sont tous les petits copains d’alors ? Ils sont pour la plupart avec moi. Tous vous disent merci à toi et à Vincent. Nanou, ton amie, se joint à nous. Vous avez été jusqu’au bout, vous avez fait un travail merveilleux. Nous avons été heureux en votre compagnie. Ton chien à toi, Pompon le boxer, te dit un grand et joyeux bonjour. Elle joue actuellement avec un ballon rouge ! Les chats que tu as connus se prélassent au soleil ! Ici l’endroit est merveilleux. Il n’y a pas de chaînes, pas de cages. Tout le monde est gentil. Ma mission consiste à aider mes semblables sur terre actuellement. Souvent je les visite et je leur donne du courage pour affronter leurs dures conditions de vie. Je pallie le manque d’amour dont ils souffrent. Tu sais, il y a beaucoup d’animaux malheureux. S’ils pouvaient tous avoir le bonheur de rencontrer des êtres humains comme vous ! La fin du monde de cruauté est proche et nous nous en réjouissons. Bientôt tu pourras me revoir et je pense que nos retrouvailles seront grandioses ! A bientôt petite maîtresse adorée. Plume, ta Plume. » (Message du chien Plume canalisé par Marie-Hélène le 10 juin 2003). « C’est moi, petite maîtresse adorée, c’est moi, Plume qui veux te parler. Le temps pour nous revoir est moins long que tu crois. Tu verras que j’ai rajeuni, je ne suis plus le vieux chien souffrant que tu as soigné et pleuré. Notre âge est ramené à 3 ans et nous sommes, nous les chiens, plus beaux que jamais. Les personnes décédées peuvent choisir de nous reprendre avec elles et continuer à vivre ensemble mais nous avons aussi notre évolution. Nous ne sommes pas vraiment dans les mêmes lieux, nous sommes

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dans la sphère des animaux mais il est très facile de venir nous dire bonjour. Ici, c’est très gai, on est heureux, il n’y a plus de méchanceté. Je me réjouis de te revoir très bientôt et je te contacterai prochainement. A bientôt petite maîtresse adorée. Plume, Plume des bois. » (Message du chien Plume canalisé par Marie-Hélène le 12 juin 2003). Mascotte, ses dons psychiques, ante et post mortem « A la fin des années 60, je rencontrais régulièrement une jeune femme, Marguerite, qui pratiquait l’écriture automatique. A la fois très douée et très sceptique, elle était la première étonnée de ce qui lui arrivait et gardait une attitude critique et mordante à l’égard des textes qui surgissaient sous son crayon. Il fallait sans cesse lui dire : « Mais si, cela a un sens … je vois ce qu’ils veulent dire. Je vous en prie, continuez ! ». Les exercices avaient lieu l’après-midi en présence de Michèle, son amie, qui présentait le cas inverse, elle croyait aux communications sans avoir le don d’écriture. Un jour je demandai : « Y a-t-il des animaux (décédés) autour de nous ? Réponse de l’au-delà par l’intermédiaire de Marguerite qui lisait au fur et à mesure ce que sa main écrivait : « Oui, il y a plusieurs chiens et chats, un poney, une chèvre et un singe. » Je m’esclaffe : « Allons, tout ça n’est pas sérieux ! ». Michèle intervient : « Mais si, quand j’étais petite, j’ai eu effectivement des chiens et des chats, comme tout le monde, mais aussi un poney, une chèvre et un singe. » Je la sens à la fois blessée par mon hilarité et très émue de savoir que ces petites âmes se sont en ce jour rassemblées autour d’elle. Marguerite continue à écrire : « Quant à toi Jean, il y a près de toi un berger allemand ». Ah ! Revoici Mascotte qui doit trouver le temps long de l’autre côté. Elle se manifeste d’autant plus facilement qu’elle était médium en ce monde. Un après-midi de 1930, elle avait hurlé à la mort pendant un bon quart d’heure. Le soir même, arrivait un télégramme annonçant la mort de mon petit filleul âgé de cinq ans. Chose curieuse, elle n’avait jamais rencontré cet enfant, aucun lien affectif ne la rattachait à lui. Le décès avait eu lieu dans l’après-midi à Audincourt près de Montbéliard, et nous habitions à l’époque Maisons-Laffitte : cinq cents kilomètres nous séparaient. Mais on sait que la distance ne joue pas et l’on cite le cas d’un chien hurlant à la mort dans un village des environs de Cahors à l’instant même où son jeune maître tombait en Indochine. Je demande : « Est-ce que cette chienne est sans cesse auprès de moi ? Non, elle te rejoint seulement dans la petite maison ». Marguerite ignorait à la fois l’existence de la chienne et de la petite maison des coteaux de Cergy. Effectivement, en ces lieux champêtres, quelques années plus tard, alors que j’étais en train de dîner, j’ai senti sur le dos de ma main droite se poser un museau frais. Par contre je n’ai rien vu, rien entendu. Ce fut très net et fugitif. Je l’ai revue en 1979, elle était devenue toute blanche et je lui disais, la croyant toujours sur le plan terrestre : « Mais tu as cinquante ans maintenant, on n’a jamais vu un chien atteindre cet âge-là ! » Le 3 janvier 1981, dressée devant moi, elle posait ses pattes sur mes genoux et par télépathie me disait : « Il est temps d’écrire ce livre sur les animaux ! ». Je comprenais qu’elle me le demandait au nom de ses frères de race. (Témoignage de l’auteur dans Jean PRIEUR, L’âme des animaux, pp. 128 à 130, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). (James Van Praagh, médium, est en séance médiumnique avec un client qui voudrait entrer en contact avec son frère décédé. Nous prenons la séance en cours de route…) « Votre frère était un peu perdu, dit-il, mais il a compris qu’il devait être mort. Il décrit l’intense sensation de calme et de paix qu’il a éprouvée… Attendez un instant … Il veut que je vous dise qu’il a également vu papi et que Jojo est toujours avec lui.

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- Jojo était le berger allemand de papi, notre grand-père. Mike et Jojo ne se quittaient jamais. - C’est incroyable. Donc les animaux continuent aussi de vivre ? - Toutes les créatures vivantes poursuivent leur existence. Votre frère souhaite que je vous dise qu’il regrette vivement de vous avoir causé tant d’inquiétude et de chagrin.

Sachez qu’il va bien et qu’il vit pleinement. - Qu’il ne s’en fasse pas à ce sujet. Faites-lui savoir que nous l’aimons beaucoup et que nous sommes heureux qu’il soit encore avec nous. Nous avons hâte de le revoir un jour. - Il dit qu’il attendra avec les autres là-bas … Je l’entends rire … Y compris Jojo, dit-il. »

(Extrait de séance médiumnique dans James VAN PRAAGH, Dialogues avec l’au-delà, pp. 91-92, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Lorsqu’un animal se manifeste, le client me regarde souvent d’un air perplexe. Nous avons du mal à imaginer que Fluffy ou Rover continuent à vivre après leur mort. Mais pourquoi pas ? Tout comme les humains, les animaux sont constitués de la force vitale divine. Lorsque je reçois la vibration d’un animal, l’interprétation ne diffère pas de celle des humains. Les traits de caractère de l’animal (les animaux en sont dotés) se font sentir très clairement en moi. Bien souvent, l’animal me signifiera qu’il aimait un aliment précis ou qu’il avait une préférence pour un fauteuil particulier. Comme ses homologues humains, il arrive à l’occasion qu’un animal décrive en détails les circonstances de sa mort, décrive comment il avait du mal à avaler sa nourriture quand il était malade ou à quel point il lui était difficile de marcher à la fin. » (James VAN PRAAGH dans Dialogues avec l’au-delà, p. 92, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Autre réflexion. Parmi les différents règnes de la nature, le plus semblable à nous, humains, est sans conteste le règne animal. Dotés d’un système nerveux, capables de sentiments aussi visibles et variés comme l’amour, la haine, la peur, la jalousie et aussi la solidarité, la générosité, les animaux nous ressemblent en de nombreux points. Depuis toujours cependant nous exerçons notre pouvoir sur les bêtes, comme nous les appelons. Et de quelle façon ? En les asservissant, en les dominant, en les tuant, en les torturant, en les mangeant, en les utilisant de toutes les façons et ce peuple " muet " est souvent humilié, bafoué, ridiculisé et en tous cas souvent perdant dans sa relation avec l’homme. Lorsque l’on s’intéresse à la spiritualité, lorsque l’on tente de s’ouvrir au monde et que l’on comprend que l’Univers et tout ce qui le compose forment un TOUT, on en arrive rapidement à la conclusion que TOUTE la création mérite notre amour et a droit à notre respect : un amour et un respect fraternels car le fait est bien là : nous sommes tous frères en ce inclus non seulement les humains mais également les animaux, les végétaux et les minéraux. " Pas un passereau ne meurt sans que Dieu en soit averti "… Il en est ainsi, chaque vie ôtée, humiliée, torturée est un peu de " divinité " enlevée à la Terre. Le mal qui est fait aux animaux est donc aussi important que le mal fait aux êtres humains. Y avons-nous déjà réfléchi lorsque, par exemple, dans nos menus figurent tous ces cadavres d’animaux que nous nommons distraitement " viande " ou " poisson ". Avons-nous songé que ce steak moelleux ou ce filet fondant à souhait appartenaient à un animal vivant et sensible à la douleur avant de " réjouir " nos papilles ? Que dire de ces animaux que l’on cuit ou que l’on dépèce vivants ? Quelle souffrance doivent-ils endurer pour NOTRE plaisir ? Combien d’entre nous deviendraient-ils végétariens s’ils devaient, de leurs mains, tuer un animal ? Ne sommes-nous pas en définitive tous des hypocrites ? Nous-mêmes en premier lieu car nous ne nous démarquons pas de vous, lecteurs de ce livre, qui faites figurer viande et poisson dans vos menus quotidiens. Nous nous posons des questions, nous nous demandons si le fait d’utiliser nos frères animaux, de les sacrifier pour notre palais est une bonne chose et surtout nous nous disons " de quel droit agissons-nous ainsi ? " Non, assurément, ce n’est pas bien. Mais comment faire lorsque, déjà dans notre prime enfance, nos parents nous ont habitués à ces nourritures ?

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La première des choses est peut-être de prendre conscience de ce que nous faisons subir à ce règne de la nature, la deuxième serait de se demander si nous avons vraiment besoin de viande (un régime végétarien équilibré semble bien meilleur pour notre santé) et la troisième serait d’envisager des substituts à la viande que l’on pourrait ajouter progressivement à notre alimentation quotidienne (il en existe sur le marché). Nous sommes comme vous, chers lecteurs, nous sommes en train de prendre conscience de ce problème, de ce massacre organisé et nous tentons jour après jour d’y trouver une solution. Nous essayons de privilégier de plus en plus souvent les produits végétariens. Ce n’est pas chose facile car il faut bien l’avouer, nous sommes aussi amateurs de grillades, de barbecues tout comme de cuisine gastronomique. Remercier nos frères animaux pour leur sacrifice et " bénir " notre nourriture (afin d’élever ses vibrations) est entré dans nos coutumes. Nous voulons abandonner notre alimentation carnée, nous ne voulons plus être à l’origine de souffrances de nos frères dits " inférieurs ". Le chemin est long et malaisé… Nous y arriverons ! Ils ont dit : « Les animaux de boucherie sont généralement tués par procuration avant d'être mangés par des hypocrites qui s'évanouiraient à la vue du sang. »(Tomi UNGERER) « Le jour où l'on comprendra qu'une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires. » (Boris CYRULNIK) « Nous devons apprendre à respecter la vie sous toutes ses formes : il ne faut détruire sans raison aucune de ces herbes, aucune de ces fleurs, aucun de ces animaux qui sont tous, eux aussi, des créatures de Dieu. » (Théodore MONOD) « Le jour viendra où les personnes comme moi regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent aujourd'hui le meurtre des êtres humains. » (Léonard de VINCI) « Je me sers des animaux pour instruire les hommes. » (Jean de LA FONTAINE) « On peut juger la grandeur d'une nation par la façon dont les animaux y sont traités. » (GANDHI) « Il est facile à quiconque est né homme de gouverner toute espèce d'animaux, plutôt que des hommes. » (XENOPHON) « Si l'homme civilisé devait tuer lui-même les animaux qu'il mange, le nombre des végétariens augmenterait de façon astronomique. » (Christian MORGENSEN) « Pourquoi la souffrance d'une bête me bouleverse-t-elle ainsi ? Pourquoi ne puis-je supporter l'idée qu'une bête souffre, au point de me relever la nuit, l'hiver, pour m'assurer que mon chat a bien sa tasse d'eau ? » (Emile ZOLA) « Pour moi, je crois bien que ma charité pour les bêtes existe de ce qu'elles ne peuvent parler, expliquer leurs besoins, indiquer leurs maux. Une créature qui souffre et qui n'a aucun moyen de nous faire entendre comment et pourquoi elle souffre, n'est-ce pas affreux, n'est-ce pas angoissant ? » (Emile ZOLA) « De quel droit mettez-vous des oiseaux dans des cages ? De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages ? Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents ? De quel droit ôtez-vous la vie aux vivants ? » (Victor HUGO)

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« Il y a dans le regard des bêtes, une lumière profonde et doucement triste qui m'inspire une telle sympathie que mon âme s'ouvre comme un hospice à toutes les douleurs animales. » (Francis JAMES) « Tant que les hommes massacreront les bêtes, ils s'entretueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut en effet récolter la joie et l'amour. » (PYTHAGORE) « Les naturels sanguinaires à l'endroit des bestes témoignent d'une propension naturelle à la cruauté. » (Michel de MONTAIGNE) « Quelle pitié, quelle pauvreté d'avoir dit que les bêtes sont des machines privées de connaissance et de sentiments. » (VOLTAIRE) « La cruauté envers les bêtes est la violation d'un devoir de l'homme envers lui-même. » (Emmanuel KANT) « Entre la pitié envers les bêtes et la bonté d'âme, il y a un lien étroit. » (Arthur SCHOPENHAUER) « Vous ne serez jamais, et dans aucune circonstance, tout à fait malheureux si vous êtes bon envers les animaux. » (Victor HUGO) « Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ? Si toutes les bêtes disparaissaient l’homme mourrait, car ce qui arrive aux bêtes arrive bientôt à l’homme. » (Parole attribuée au chef indien SEATTLE, 1854) « Quand un homme désire tuer un tigre, il appelle cela sport. Quand un tigre le tue, il appelle cela férocité. » (George BERNARD SHAW) « Un seul oiseau est en cage et la liberté est en deuil. » (Jacques PREVERT) « L’Homme a peu de chance de cesser d’être un tortionnaire pour l’homme, tant qu’il continuera à apprendre sur la bête son métier de bourreau. » (Marguerite YOURCENAR) Mais aussi : « La mode est à l'hygiène, les microbes en mènent de moins en moins large. Et la Société protectrice des animaux qui ne bouge pas ! » (Alphonse ALLAIS) « J'aime bien les animaux domestiques, mais pas chez moi. » (Roland TOPOR) « Les animaux ont été créés par Dieu pour donner aux hommes une impression de supériorité. » (Philippe BOUVARD)

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Rien n'est précaire comme vivre. Rien comme être n'est passager.

C'est un peu fondre comme le givre. Et pour le vent être léger.

J'arrive où je suis étranger. Louis ARAGON

Chapitre III : La naissance. La naissance : un événement ! S'il est un événement heureux dans la vie d'un couple c'est bien la naissance d'un enfant. Cette naissance, synonyme de bonheur, suscite la joie et l'enthousiasme des parents et de leur entourage ; chacun félicite la maman et le papa et se réjouit en son for intérieur du bonheur qu'ils ressentent en ce moment toujours unique. Pour l'homme qui regarde l'apparence de la vie, l'existence commence avec cet événement heureux qu'est la naissance et se termine avec cet épisode malheureux qu'est la mort. Mais, les choses sont-elles si simples? La Vie avant la Vie et la Vie après la Vie : qu'en penser ? Si nous posons que nous ignorons tout ce qui se passe après la mort, il peut être intéressant de remarquer, que nous ne savons rien de ce qui se passe avant la naissance. Nous pouvons dès lors imaginer qu'il y a un monde avant celle-ci et un monde après la mort, et entre les deux, celui dans lequel nous sommes incarnés, c'est-à-dire celui dans lequel évolue notre corps charnel qui nous sert de véhicule matériel. Lorsque nous naissons, nous quittons l'univers dans lequel nous évoluions auparavant, pour intégrer le corps physique que nous allons utiliser durant notre parcours terrestre. La naissance, c'est-à-dire l'arrivée dans notre dimension, peut alors être comparée à une forme de départ du monde prénatal que nous quittons bon gré mal gré. En effet, pour ce quelle a d'extraordinaire à nos yeux, la naissance est parfois, pour ne pas dire souvent, un véritable traumatisme pour l'âme qui vient, ou qui revient, au monde. Le petit pèlerinage que nous venons effectuer sur terre semble donc bien être aussi pénible à son prélude qu'à son épilogue. Indubitablement, au terme de celui-ci, il faut à nouveau franchir la barrière de l'inconnu pour entrer dans une autre dimension. Nous livrons ci-dessous, à votre appréciation, des témoignages relatifs à l'existence prénatale et à la naissance proprement dite.

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Les témoignages. Les témoignages que vous allez lire ci-après ont été recueillis sous hypnose par la célèbre psychologue américaine Helen WAMBACH. Celle-ci a mené une vaste expérience sur 750 volontaires afin de savoir si ces personnes avaient des souvenirs de leur vie intra-utérine. Parmi les questions posées à la fin de l’expérience figurent quelques-unes plus audacieuses telles que :" Avez-vous vécu avant de naître ? "," Avez-vous choisi votre sexe, vos parents, votre époque ? " Voyons quel est le résultat de cette enquête pour le moins surprenante au travers de quelques témoignages qui risquent de bouleverser certaines convictions parmi nos lecteurs. Avez-vous choisi de naître ? « Avez-vous choisi de naître ? Oui, j’ai choisi de naître et j’y ai réfléchi avec l’aide d’une sorte de professeur. Je voulais vivre. Mais quand on m’a demandé dans quel but, j’ai alors eu la sensation d’attendre quelque chose, je ne sais pas quoi. J’ignore pourquoi j’ai choisi cette époque, par contre je sais que j’ai voulu être une femme parce que j’avais été un homme dans plusieurs vies antérieures. Je ne connaissais ni mon père, ni ma mère dans les vies passées. Mais je connaissais mon mari et certains de mes amis. Je me suis rattachée au fœtus uniquement lorsque j’étais prête à naître. Je sentais que ma mère avait très peur lors de la naissance. Tout ce que moi j’ai ressenti, c’est une sensation de tourbillon et de chute… » (Témoignage dans Helen WAMBACH, La vie avant la vie, p. 33, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Avez-vous choisi de naître ? Non, je n’ai pas choisi de naître, mais il me semble que c’est une de mes sœurs de ma vie présente qui m’y a poussée. Je ne le voulais pas car je ne me sentais pas prête. Je savais que dans cette vie je devais chercher à accepter mon père tel qu’il est et à mieux connaître ma mère, ma meilleure amie dans une vie passée. Les deux vivaient à cette époque et c’est pourquoi je l’ai choisie. J’ai aussi choisi mon sexe parce que j’étais un homme dans la vie antérieure où j’ai connu mon père ; celui-ci était mon geôlier et il me fouettait… » (Op.cit., p.35). « Avez-vous choisi de naître ? Je n’ai pas choisi de naître, en fait je pensais : oh non, pas encore ! Je suis si bien ici ! On m’a aidée à choisir. J’avais deux conseillers qui m’ont montré combien ma future mère m’attendait ; j’ai pu voir qu’elle me désirait vraiment. Je savais qu’elle s’occuperait bien de moi et qu’elle m’aimerait. Cela me rassurait. En effet, ayant le sentiment d’avoir suffisamment vécu dans une vie précédente, je voulais me reposer un peu. Je n’ignorais pas que le retour à la vie était traumatisant. N’était-ce pas trop tôt ? Mon but est de rendre heureux les gens autour de moi. Il ne s’agit pas de quelque chose de religieux, mais je veux contribuer au bonheur des êtres qui m’entourent. Je savais que cette époque allait être troublée et c’est pour cela que j’hésitais à naître. J’ai choisi mon sexe parce qu’on sert mieux les autres quand on est une femme. Je connaissais ma mère dans une vie antérieure mais je ne suis pas certaine d’avoir connu mon père. Je connaissais mon mari mais pas mes enfants. J’ai bien connu un de mes amis. Je sentais avant ma naissance que ma mère était très heureuse et qu’elle me désirait vraiment. Cela m’a donné le courage de naître. Je ne me souviens pas à quel moment je me suis rattachée au fœtus. A la naissance, j’ai éprouvé une grande sensation de froid et je me suis dit : « et maintenant ? ». Je reste perplexe devant le but vague de ma vie. Alors que sous hypnose, il m’est apparu clairement que je devais me consacrer aux autres et non à moi-même. » (Op.cit., p.37). « Avez-vous choisi de naître ? Je crois que c’est non sans mal que j’ai été convaincu de naître. J’y fus aidé par un homme sage à qui je devais respect et obéissance. Il était doux et gentil mais décidé.

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J’avais peur d’avoir à renaître mais je savais que ma mission était d’aider. J’ai choisi le XXe siècle pour être entouré de ceux avec qui je voulais être, mais non mon sexe. Si je peux avoir connu précédemment ma mère, je n’en ai pas un souvenir très vivace. J’ai par contre connu mon père, et nous étions très proches ainsi qu’un de mes enfants. Il me semble avoir intégré le fœtus quand ma mère était enceinte de cinq ou six mois. Je savais qu’elle était très nerveuse à l’idée de ce qui allait se passer et j’en étais désolé pour elle. Au cours de l’accouchement, j’ai senti qu’on m’écrasait le visage et les bras. Tout de suite après, j’ai eu froid. J’étais furieux d’être éloigné de ma mère et d’avoir à affronter le froid et la lumière. Je voyais tout ce qui se passait dans la pièce et je sentais mon père soucieux. Ma mère était toujours nerveuse et parlait beaucoup puis elle s’est endormie. » (Op.cit., p. 40). « Avez-vous choisi de naître ? J’ai observé la formation du fœtus et j’avais le sentiment d’expérimenter le même voyage que lui, un voyage vers l’avenir, jamais vers le passé. J’ai choisi de naître : je crois avoir été aidé et entouré par des gens que j’aimais. Je savais que je devais renaître pour aimer davantage mais je ne sais pas pourquoi j’ai choisi ce moment. Je crois avoir toujours été une femme et n’avoir jamais choisi ; c’est une chose naturelle pour moi. Je connaissais ma mère dans une vie passée, mais pas mon père ni mon mari et mes enfants. Je ne savais rien des sentiments de ma mère et la seule sensation que j’ai eue de la naissance était qu’il faisait froid et humide. Tout de suite après, j’ai senti les mains des gens qui me touchaient. Ils étaient tellement occupés … tant d’activité après le calme que j’avais connu ! » (Op.cit., p. 41). Oui j’ai choisi de naître…. « … Parce que je devais continuer et améliorer la tâche que j’avais commencée dans une vie passée. J’attendais de revivre avec impatience… » (Cas A-157, op.cit., p. 45). « … D’autres m’ont aidé. J’avais le choix entre plusieurs entités (corps fœtaux) mais le fait de connaître tous ceux avec qui je devais vivre facilita ma décision. J’attendais cette vie avec bonheur. Je craignais seulement pour la santé de ma mère. » (Cas A-217, op.cit., p. 46). « … Il me semblait être entourée de quatre entités qui me conseillaient. Je voulais vivre cette vie. Je sentais que c’était une période importante car mes conseillers insistaient pour que je la vive. » (Cas A-302, op.cit., p. 47). « … Nous étions tous d’accord dans le groupe. Je sentais que cette époque était bien pour moi. Je voulais arriver à quelque chose avec les autres : je souhaitais m’exposer à une vie dissolue pour pouvoir la maîtriser ensuite… » (Cas A-443, op.cit., p. 47). « … Je fus aidé dans cette décision par un conseil d’âmes. Je ne me posais pas de questions à propos du but de cette vie ; je sentais que je devais revenir car mes parents avaient perdu une petite fille de quinze mois morte dans un incendie. » (Cas A-48, op.cit., p.48). Oui, j’ai choisi de naître contre l’avis de mes guides et conseillers (3% du sous-groupe de ceux qui ont choisi de naître). « … Je souhaitais vivre dans une grande famille. Mon frère avait été un bon ami à moi. En entendant votre question, j’ai pensé à une personne qui s’appelait Marie et de qui j’étais très proche. Je voulais qu’elle vienne avec moi mais elle a refusé. J’entendais quelqu’un qui répétait : « Attends un meilleur moment, une famille plus petite te

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consacrerait plus de temps. « Mais je me disais : « Non, il faut que ce soit maintenant. » Je ne voulais pas attendre trop longtemps. » (Cas A-191, op.cit., p. 49). Non, je n’ai pas choisi de naître… « … Quelqu’un insistait en me disant qu’il était temps de revenir. Je ne voulais pas vivre une autre vie, parce que j’étais bien sur le nuage. Mais la voix insistait en disant que j’avais besoin de plus d’expérience. » (Cas A-227, op.cit., p. 58). « On me l’a conseillé. Je ne voulais pas vivre cette période mais je savais qu’il me fallait revenir. » (Cas A-129, op.cit., p. 60). « On m’a dit que je devais. Je ne voulais pas vivre cette époque et j’ai dit à quelqu’un : « Ils sont si pauvres ! » (Cas A-134, op.cit., p. 60). Pourquoi avez-vous choisi le XXe siècle pour renaître ? « … C’est l’ère des changements et de l’élévation des niveaux de conscience. » (Cas B-5, op.cit., p. 70). « … Je désire aider à la prise de conscience de l’unité qui s’annonce au cours de cette période. » (Cas A-383, op.cit., p. 70). « … Il y a un réveil croissant de la spiritualité dans la culture occidentale et je pense pouvoir y contribuer. » (Cas B-32, op.cit., p. 71). « … Je veux retrouver quelqu’un que j’ai connu dans une autre vie… » (Cas A-249, op.cit., p. 72). « … Pour terminer la vie de ma sœur plus âgée. Elle est née malade et n’a vécu que trois mois. Il me semble que je suis elle. Je me souviens du " temps intermédiaire " avant que je renaisse. J’attendais d’avoir une nouvelle chance dans ce même espace. » (Cas A-43, op.cit., p. 72). « … Je sentais que l’époque serait troublée, mais je savais que c’était la fin d’une ère. Les temps étaient difficiles, mais je pouvais rendre davantage de gens heureux. J’ai souhaité pouvoir assister au grand chambardement de la fin de ce siècle. » (Cas B-56, op.cit., p. 73). Quand votre conscience a-t-elle rejoint le fœtus ? « Sur les 750 cas analysés, 89 pour cent répondirent qu’ils ne faisaient pas partie du fœtus avant six mois de gestation. Et même alors, beaucoup d’entre eux se sentaient parfois dans et parfois hors du corps fœtal. Ils se sentaient une conscience adulte regardant le corps fœtal comme une forme de vie mal développée et incomplète. Presque tous les sujets déclarèrent, peut-être grâce à la télépathie, avoir été conscients des émotions de leur mère, avant ou pendant leur naissance. 33 pour cent des sujets dirent ne pas avoir rejoint le fœtus avant le moment de la naissance. » (Op.cit., p. 101). « J’étais en dehors du fœtus, attendant le moment de la naissance pour pouvoir m’y intégrer. Je sentais que ma mère avait peur de l’accouchement et que sa perspective la rendait malheureuse. » (Cas A-125, op.cit., p. 101).

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« Le développement du fœtus me faisait peur. Je voyais qu’il grossissait et approchait du moment de la naissance mais je demeurais à l’extérieur. Je ne sais pas exactement ce que vous entendez par " rejoint ". J’ai senti que cet accouchement posait des problèmes à ma mère et je crois qu’elle m’en a voulu de ne pas avoir eu un accouchement normal. » (Cas A-420, op.cit., p. 102). « Nous avons (le sujet a une sœur jumelle) intégré le fœtus peu de temps avant la naissance. Nous nous disputions pour savoir quel corps prendre, le fœtus aux cheveux bruns ou celui aux cheveux blonds. Ma mère se sentit heureuse d’être sur le point d’être délivrée. » (Cas A-123, op.cit., p. 103). « Je suis venue dans le fœtus tout de suite avant la naissance et j’ai pu la vivre entièrement. Ma mère était effrayée et elle tremblait. Elle n’osait rien dire à mon père ou au médecin. Je ne voulais me rattacher au fœtus qu’au tout dernier moment, mais lorsque j’ai senti la frayeur de ma mère, j’ai pensé qu’il fallait que je sois là pour l’aider. » (Cas A-393, op.cit., p. 105). « Je ne m’intéressais que de temps en temps à la vie à l’intérieur du fœtus. Je préférais rester à l’extérieur. La seule chose que je percevais de ma mère était une grande fatigue. » (Cas A-472, op.cit., p. 108). « Il me semble que j’entrais et que je sortais. Je regardais le fœtus avec compassion et impatience. Je sentais que ma mère m’adorait et il me semblait que nous étions de vieux amis. » (Cas B-14, op.cit., p. 109). « Il me semble m’être rattachée au moment de la conception, bien que j’aie été consciente que cette expérience de neuf mois allait être plutôt ennuyeuse et j’étais impatiente de naître. Je sentais ma mère anxieuse, nerveuse et effrayée. » (Cas A-305, op.cit., p. 118). Qu’avez-vous éprouvé lors de votre naissance ? « Sortir de l’utérus est une drôle d’expérience. D’abord je fus étonnée par la lumière ; puis j’eus froid. J’ai pleuré. On m’éloigna de ma mère et j’ai eu peur, puis je me rendis compte que c’était pour me donner des soins avant de me rendre à elle. J’étais consciente du fait que les gens autour de moi faisaient bien leur travail mais qu’ils ne pouvaient pas me comprendre. » (Cas A-371, op.cit., p. 126). « Au cours de la naissance, je sentais une fort pression sur ma tête, et je pensais : on va y arriver ! Puis je me suis sentie triste, dès que je suis sortie. Je pleurais. Je ne sais pas si ces sentiments étaient vraiment les miens ou ceux des personnes qui m’entouraient et que j’aurais captés ; j’étais très triste parce que j’étais seule et ma vie allait être si dure ! » (Cas A-452, op.cit., p. 127). « La naissance, c’est comme un tremblement de terre, tout bouge, cogne, explose. J’avais des sensations de panique, des impressions de vitesse. Tout de suite après la naissance, j’étais effrayé. Je percevais les sentiments des autres dans la salle de travail. Il y avait un médecin et deux infirmières. Le docteur semblait toujours étonné du miracle de la naissance mais pour les infirmières, c’était un travail comme un autre et elles étaient contentes que ce soit fini. Ma mère était soulagée, droguée, fatiguée. ? » (Cas A-500, op.cit., p. 129). « La naissance n’a pas été déplaisante, c’était plutôt comme une course précipitée. Tout de suite après, j’ai senti les énergies qui m’entouraient mais je n’ai pas vu d’images. J’ai

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senti la terreur et la résignation de ma mère et aussi le fait qu’elle ne savait pas comment me prendre. » (Cas A-240, op.cit., p. 133). « Je n’ai senti aucune douleur au cours de la naissance. Après, les lumières étaient fortes mais j’étais heureuse d’être née. Ma mère semblait joyeuse et tout le monde dans la pièce plaisantait et riait. » (Cas B-96, op.cit., p. 143). Autre témoignage.

« Après avoir assisté à la délicate tentative de la rencontre entre les deux jeunes gens, mon attention fut attirée par d’autres âmes qui se préparaient pour aller sur Terre. L’une, exceptionnellement brillante et dynamique, entrait dans le ventre de sa mère. Elle avait décidé de venir au monde en tant qu’handicapé mental. Cette opportunité l’exaltait, et elle savait qu’elle et ses parents parviendraient à terme à un haut degré de maturité. Il y avait longtemps qu’ils avaient conçu cet arrangement. L’âme avait choisi de commencer sa vie humaine à la conception de sa chair, et je la vis pénétrer dans le ventre et se fondre dans un corps naissant. Elle avait hâte de recevoir l’amour de ses parents mortels. J’appris que les âmes peuvent rejoindre leur utérus à n’importe quel stade de la grossesse. Quand elles y sont installées, elles entament immédiatement leur existence temporelle. L’avortement, m’expliqua-t-on, est contre nature. L’âme qui en est victime se sent rejetée et éprouve beaucoup de chagrin. Elle n’ignore pas que ce corps devait être le sien, qu’il fût conçu hors des liens du mariage, handicapé ou tout juste fort pour vivre quelques heures. Mais elle éprouve aussi de la compassion pour sa mère, et a conscience que sa décision était basée sur son niveau personnel de connaissance. De nombreuses âmes ne passeraient qu’un bref instant sur terre, car leur vie ne durerait que quelques heures ou quelques jours après la naissance effective. Elles étaient néanmoins aussi heureuses que les autres, puisqu’elles auraient, elles aussi, une raison d’être. Leur mort avait été programmée avant leur naissance, comme l’est aussi la nôtre. Elles n’avaient pas besoin d’une longue existence pour se développer, et leur trépas serait une épreuve qui enrichirait leurs parents. La douleur d’une telle expérience est intense mais courte. Nous finissons pas nous retrouver, la douleur est gommée, et ne demeure que la joie de notre mûrissement et de notre amitié. Je fus surprise par le nombre de projets et de décisions prises pour le bien d’autrui. Nous désirions tous nous sacrifier pour les autres. Tout est fait pour que l’âme grandisse, toutes les épreuves, tous les dons et faiblesses vont dans ce sens. Les choses de ce monde importent peu ou pas du tout aux gens de là-haut. Tout est envisagé du point de vue spirituel… Durant ce spectacle de l’existence

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pré-mortelle, je fus impressionnée par la beauté et la splendeur de chaque âme. Je savais que, comme nous tous, j’étais déjà venue ici et que j’avais été pourvue de lumière et de grâce. Puis cette pensée, s’appliquant à l’humanité entière, me vint à l’esprit : « Si vous vous voyiez avant votre naissance, vous seriez stupéfaits de votre intelligence et de votre rayonnement. Naître, c’est s’endormir et oublier. » (Témoignage de Betty J. EADIE lors de sa NDE, (extraits) dans, Dans les bras de la lumière, pp. 90 à 92, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Ils ont dit : Un enfant disait, pour parler du temps d’avant sa naissance : « Quand j’étais encore mort. » (Jean-Claude CARRIERE) « Existe-t-il une seule naissance qui ne convoque pas les morts ? » (Marc VILROUGE) « La vie est courte, mais comme c’est long, de la naissance à la mort. » (Jules RENARD) « Souviens-toi qu’au moment de ta naissance tout le monde était dans la joie et toi dans les pleurs. Vis de manière qu’au moment de ta mort, tout le monde soit dans les pleurs et toi, dans la joie. » (PROVERBE ARABE) « La plus grande émotion qu’un être humain puisse ressentir : celle de sa propre naissance. Etre, à nouveau, au commencement de soi. Etre, et que tout soit neuf. » (Georges DOR) « La naissance est le miroir de la mort. » (Bruno LAGRANGE) « L’apocalypse est au commencement de soi puisque la fin précède toute naissance. » (Victor-Lévy BEAULIEU) « Vivre, c’est naître sans cesse. La mort n’est qu’une ultime naissance, le linceul de notre dernier lange. » (Marcel JOUHANDEAU) « Je voudrais bannir les pompes funèbres : il faut pleurer les hommes à leur naissance et non à leur mort. » (MONTESQUIEU) « Destiné par ta naissance à la poussière, pourquoi ériges-tu dans ce monde ici-bas des palais élevés ? » (Farid Al-Din’ATTAR) « Qui crie à la naissance, en mourant comprend pourquoi. » (PROVERBE BULGARE) « La naissance et la mort sont comme des bulles sur l'eau. » (RAMAKRISHNA)

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Voici que vous avez assez souffert, pauvre homme, assez connu l'amour, le désir, le dégoût, l'âpreté du vouloir et la torpeur des sommes, l'orgueil d'être vivant et de pleurer debout... Que voulez-vous savoir qui soit plus délectable que la douceur des jours que vous avez tenus, quittez le temps, quittez la maison et la table ; vous serez sans regret ni peur d'être venu.

Anna de NOAILLES

Chapitre IV : La vie sur la Terre. Quel est le sens de la vie terrestre ? S'il est certaines questions que chaque être humain se pose au moins une fois au cours de son parcours terrestre, c'est bien celles-ci : « Quel est le sens de ma vie ? », « quel sens donner à ma vie ? » La prérogative donnée à l'homme d'avoir conscience qu'il existe le conduit naturellement à des interrogations de ce type. Cela a-t-il un sens de venir vivre sur la Terre, cette aventure s'inscrit-elle dans un contexte plus large, cette vie nous est-elle octroyée pour que nous lui trouvions un sens, son sens peut-être ? Dès lors que l'on ouvre son cœur et son esprit, il semble bien que la réponse à cette interrogation soit évidente. Le sens de cette vie est fixé avant notre arrivée dans ce monde ; à nous de le découvrir en sachant d'ores et déjà que son dessein ultime est de nous retrouver tôt ou tard dans l'Amour universel. Chacun abordera ces questions et les réponses à leur donner selon sa conception des choses et ses convictions intimes. Il n'en reste pas moins que deux courants de pensées principaux émergent des considérations précédentes et que les choix de réponse ne sont pas légion ; en effet, soit on considère l'existence comme un fait banal et " accidentel ", sans lien aucun avec un passé ou un futur quelconques, soit on considère que notre parcours terrestre n'est qu'une étape dans une évolution qui nous est personnelle et unique, et que cette vie s'inscrit dans un plan plus large qui va bien au-delà de ce que peuvent percevoir nos sens physiques et notre imagination.

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La vie terrestre : un chemin d'apprentissage ?

Si l'on estime que la vie terrestre s'inscrit effectivement dans un parcours plus complexe, qu'elle n'est en fait qu'une étape, qu'un pèlerinage sur le chemin qui nous conduit, ou nous reconduit à la Lumière, elle apparaît alors comme un formidable outil d'apprentissage, un parcours initiatique nous donnant accès à une connaissance d'une richesse insoupçonnée. Il semble bien qu'il n'est pas une seule expérience de vie qui ne soit utile à l'ensemble des apprentissages menés sans cesse dans le grand laboratoire qu'est l'Univers visible et invisible. Ainsi, qu'elle s'arrête à deux jours, deux mois, deux ans, 20, 40 ou 80 ans, une vie a une synergie évidente avec toutes les formes de vie qu'elle a côtoyées durant un laps de temps dont la durée importe finalement peu pourvu que la mission que l'être s'était donnée fût menée à bien. Le respect de la vie. Toute vie à un sens, toute existence mérite l'amour et le respect. Nous, qui sommes si prompts à nous juger les uns les autres, ne disons-nous pas souvent, trop souvent peut-être, « un tel, qu'a-t-il fait de sa vie ? », et nous répondons, sûrs de nous, « rien de bon ». De quel droit nous permettons-nous de juger la manière dont les autres mènent leur propre existence ? Que savons-nous d'eux ? A en juger par la connaissance que nous avons de notre propre destin, pas grand-chose vraisemblablement. N'est-il pas bien plus exaltant de chercher la Lumière dans notre cœur plutôt que de constater les errements apparents des autres ? Tant il est vrai que chaque vie représente une expérience qui est menée à la fois en parallèle et en osmose avec la nôtre. Aucune aventure humaine n'est stérile. Nous avons tous un verger à cultiver afin de pouvoir, au terme du voyage terrestre, récolter des fruits qui, quels qu'aient été les aléas de ce périple, seront riches d'apprentissage. Les témoignages. Vies antérieures. Question d’Anne-Marie LIONNET à sa fille Isabelle, décédée (message reçu par écriture intuitive) : « Les vies antérieures que l’on a pu avoir influencent-elles celle que l’on a actuellement ?

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Bien sûr, mais comme on les oublie ! Les enfants très jeunes s’en souviennent mais on ne les croit pas. On s’en souvient aussi au moment du passage et on comprend tout ! Tu es, actuellement, ce pour quoi tu es revenue. Tu es dans une évolution où tu ne pourras pas régresser, mais évoluer encore si tu le veux. Ainsi, tu en auras moins " à baver ". (Anne-Marie LIONNET dans Lumières de l’au-delà, pp. 14-15, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Réincarnation, karma, épreuves. « Je me pris à penser qu’il était bien extraordinaire qu’un monde de matière (NDLR : comme la terre) puisse attirer une âme qui a connu un univers à sa mesure, un univers où le Beau et le Bon paraissent régner en souverains incontestés. Notre ami (NDLR : un guide spirituel de l’au-delà) me rétorqua alors que, bien qu’il ne soit pas inactif en ces lieux (NDLR : l’au-delà), un corps astral y apprend moins qu’au travers d’une enveloppe de chair. Le désir de réincarnation serait ainsi un véritable besoin. Quiconque n’aurait pas assimilé tous les enseignements qu’apporte la chair se sentirait irrésistiblement attiré vers elle comme par un aimant, tôt ou tard. « Une entité se réincarne lorsque insensiblement elle commence à perdre la joie de vivre dans le monde qui l’a reçue », fit notre guide. « Elle connaît une sorte de sommeil éveillé. C’est à ce moment précis qu’elle est prise en charge par les entités qui oeuvrent ici et qui la dirigent vers sa nouvelle destination. » (Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN dans Terre d’ Emeraude, pp. 73-74, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Le plan de la réincarnation est un contrat immuable, signé, une tapisserie à broder selon un dessin absolument tracé. Si l’on a à broder tel paysage, telle figure, on ne peut pas en broder un autre, mais on peut le broder selon un choix de laine et de soie ou on peut le broder exactement au modèle. Le choix des laines et des soies, c’est le libre-arbitre. Nous avons tous choisi notre livre de vie … » (Christophe dans Paroles de Lumière, p. 11, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Allan Kardec dicte à Rose GRIBEL : « … Pourquoi des êtres ont-ils des infirmités, pourquoi y a-t-il des accidentés, pourquoi des enfants ont-ils très peu à vivre et partent-ils ? Le voile est tombé sur eux. Pourquoi Dieu accepte-t-il tant de malheurs ? Là est la loi dans son éternelle justice divine. La terre est un lieu d’expiation pour nous élever spirituellement. L’homme croit sa vie établie avec ce qu’il a acquis par sa domination, mais le karma est là et la loi est immuable. Dans la mort, le pauvre et le riche, le bon et le mauvais se retrouvent. Ils n’emportent avec eux rien de ce qui fit leurs délices, rien de leurs attaches matérielles. C’est la coupure, le néant d’une vie et le départ dans le monde des Esprits où les attendent les familles qui les y ont précédés, les amis. Pour l’esprit, chaque passage sur terre est une épreuve qui lui est assignée et là est son propre destin… Ainsi l’expiation (NDLR : de fautes commises dans des vies antérieures) sert toujours d’épreuve, mais l’épreuve n’est pas toujours une expiation. Elle est choisie volontairement par l’esprit sans être imposée. Il ne faut pas croire que toute souffrance endurée ici-bas soit nécessairement l’indice d’une faute déterminée. Ce sont souvent de simples épreuves choisies par l’Esprit pour hâter son avancement dans l’élévation et atteindre le bonheur suprême. » (Rose GRIBEL dans Ma vie dans le monde des esprits guidée par Allan Kardec, pp. 182, 183, 184, extraits, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Question de Farnèse à son guide : « Tu soutiens donc la réincarnation ? Je ne considère pas que ce soit une loi absolue à laquelle tous les esprits sont soumis mais je crois que la réincarnation conditionne la progression des esprits. » (Pierre JOVANOVIC, Anne-Marie BRUYANT dans L’explorateur de l’au-delà, p. 102, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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« La réincarnation est bel et bien une réalité et non une chimère, comme on le croit trop volontiers dans le monde où tu es né. Seuls en rient les ignorants, ceux qui n’ont pas cherché ou refusé de voir clair. Non, elle n’est pas quelque chose de monstrueux et d’absurde, ainsi que la majorité actuelle des humains le pensent ; voilà plutôt la plus belle loi cosmique pour l’égalité parfaite et l’affinement de tous les corps, de toutes les énergies. Ce lieu (NDLR : ce lieu se situe dans l’au-delà) n’est autre que le point de départ des êtres qui s’apprêtent à retourner vers un monde de matière dense , vers un monde où ils prendront d’autres apparences , une autre personnalité, d’autres qualités… et d’autres défauts quelquefois, hélas. Tout cela n’a qu’un but : multiplier au maximum le nombre des expériences, fortifier chaque âme afin de la rendre invulnérable à tout ce qui revêt une forme foncièrement négative. La vie des hommes sur la terre d’aujourd’hui n’est que momentanée, bien que ce moment-là s’étende sur des milliards d’années. Un autre type d’existence viendra un jour prendre le relais… » (Paroles d’un guide spirituel à Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN dans Terre d’Emeraude, p. 70). Le sens de la vie et de la souffrance. « … Ma vie sur terre a été courte, mais grâce à vous, j’ai tout eu, et maintenant j’ai une autre vie qui est la vie réelle, pour laquelle chacun devrait se préparer sur terre. Normalement, c’est le but de notre passage sur terre mais peu de gens le savent. » (Message de Karine à ses parents dans Karine après la vie, p.101, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Je n’ai pas souffert en vain ; la souffrance aide à l’évolution personnelle et aussi à celle des autres car nous sommes tous liés. » (Axel à sa maman le 9/03/1984 dans Monique SIMONET, Images et messages de l’au-delà, p. 91, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Sananda, je ne comprends pas pourquoi il faut souffrir ? Lors de notre passage sur terre, souffrir fait grandir le coeur. Lorsque quelqu'un souffre dans sa chair ou son esprit, son coeur s'ouvre à la souffrance des autres. Le Père aurait voulu qu'il n'en soit pas ainsi mais le fait est là. Les hommes qui souffrent ouvrent leur coeur et leurs yeux sur les autres hommes Comment peux-tu comprendre quelqu'un qui souffre, comment peux-tu l'aider et l'aimer si tu ne sais pas ce que c'est la souffrance ? Ce qui revient à dire qu'avant notre incarnation nous avons choisi nos épreuves ? C'est cela, ma soeur. Vous avez choisi d'expérimenter la souffrance sous des formes variées pour mieux aimer, pour mieux aider, pour grandir, pour en fin de compte vous rapprocher du Père. Cependant, il y a des personnes dont les souffrances sont intolérables ? Toute souffrance est intolérable aux yeux du Père mais c'est un choix de la part de l'être concerné .Je vous rappelle qu'il FAUT passer par toutes les expériences pour redevenir conscience totale. Oui, Sananda mais il y a des personnes comme les stigmatisés et je pense notamment à Marthe Robin qui choisissent une vie entière de souffrances intolérables, dans quel but ? Marthe est ma soeur bien-aimée et elle se trouve actuellement dans la lumière, celle du Père. Elle a sacrifié sa vie et son corps pour témoigner l'amour. Elle a voulu une souffrance extrême. Elle a demandé mes plaies. Elle était MOI et je l'ai soutenue tout au long de son calvaire. Elle a éclairé des milliers d'êtres. Elle a fait un travail considérable que peu d'âmes choisissent d'accomplir. Elle est lumière, à présent ! Mais je pense aussi à ces petits enfants qui souffrent de maladies graves et incurables, quelle injustice !

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Sache bien ma soeur que ces enfants, des âmes élevées, ont choisi ce chemin pour éclairer ceux qui les entourent. Leur maladie, leur souffrance ouvre le coeur d'un nombre impressionnant d'êtres, leurs parents, leur entourage proche, leurs médecins et infirmières, etc. Leur maladie est comme un caillou jeté dans l'onde calme. As-tu déjà vu le remous de l'eau provoqué par ce petit caillou. Il en est de même avec ces enfants qui ont choisi la souffrance pour remuer le monde. Mais il n'empêche, Sananda, même si ces enfants ont choisi la maladie nous pouvons mettre toutes nos forces en commun pour les guérir ? C'est le but ma soeur ! Ces forces en commun pour les guérir s'appellent de l'amour, tout simplement. Donc, même s'ils ont choisi de souffrir, ils peuvent guérir. Ce n'est donc pas sans issue ? C'est le but ma soeur, c'est le but suprême. Faire naître chez les autres, l'amour qui agit, l'amour qui guérit. Donc, en priant, en envoyant de l'amour des énergies positives on peut les guérir ? C'est exactement cela. Ces enfants, ces êtres qui souffrent sont là pour cela, pour que votre coeur gonfle d'amour et ... l'amour guérit ! Mais, Sananda, bien des enfants malades sont entourés de beaucoup d'amour qui pourrait les guérir et ils meurent quand même ! Pourquoi ? Rien n'arrive par hasard, ma soeur ! La mort d'un enfant est une grande mise à l'épreuve pour ses parents et son entourage car il s'agit pour eux de garder leur coeur gonflé d'amour même au-delà de la mort. Il existe autant de missions que d'êtres sur la terre. Chacun a sa mission mais le but est toujours le même : élever l'âme à l'amour, élever l'âme vers Dieu. Donc, pratiquement que doit-on faire, Sananda ? Aimez-vous les uns les autres ! Je te remercie Sananda. » (Message pris en channeling par Marie-Hélène le 2 août 2003, NB : Sananda est un autre nom pour désigner en fait l’être de lumière appelé Jésus). Quel était votre but en choisissant de naître ? (Ou quel était votre plan de vie ?) Revenons un instant à cette étude extrêmement intéressante réalisée par Helen Wambach sur 750 sujets en état d’hypnose (voir chapitre précédent). Voici quelques témoignages : « Il me semble qu’avant de naître, le but de cette vie avait fait l’objet d’une discussion. Mais quand je suis né, avec deux compagnons inconnus pour m’aider, je ne savais plus rien ni de mes vies antérieures ni du but de ma vie actuelle. » (Cas A-364 dans Helen WAMBACH, La vie avant la vie, p. 84, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Je sais qu’il y avait une raison à ma venue, mais je ne me la rappelle pas. » (Cas A-373, op.cit., p. 84). « Mon but était de faire l’expérience de la vie en tant qu’être humain de peu d’importance, tout en prenant part à la révolution scientifique de ce siècle. » (Cas A-19, op.cit., p. 84). « Mon but était de me réaliser en tant qu’épouse et mère, et de vivre un temps d’épreuves dont je tirerais beaucoup d’enseignements. » (Cas A-63, op.cit., pp. 84-85). « Avant ma naissance, il y avait une sorte de conférence, et je me sentais entourée d’amour. Mon guide me parla du but de ma vie qui semblait faire partie d’un plan. » (Cas A-341, op.cit., p. 85).

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« J’avais hâte de retrouver un corps et de recommencer. Je cherchais à apprendre et à comprendre à travers le plus grand nombre d’expériences possible, bonnes ou mauvaises. » (Cas A-197, op.cit., p. 85). « En choisissant de naître, je savais que l’un de mes futurs enfants était avec moi en cette période dans cette période d’entre deux vies et le but de ma vie était de donner naissance à un grand chef : ce fils-là serait un grand chef à l’origine de changements sociaux importants. Je ne voulais pas que mes autres enfants le sachent. J’ignorais cela avant cette séance d’hypnose. » (Cas A-187, op.cit., p. 86). « Il me semble que je suis née pour faire l’expérience du rejet de ma mère et de ma sœur afin de parvenir à un détachement suffisant qui me permette de me consacrer aux tâches spirituelles. » (Cas A-338, op.cit., p. 87). « Je devais établir une relation nouvelle avec les gens à qui j’avais fait du mal dans les vies antérieures. Mon mari, dans cette vie, est alcoolique ; je dois l’aider parce que j’ai été très méchante avec lui dans une autre vie. » (Cas B- 11, op.cit., p. 87). « Le but de ma vie était de descendre sur terre et de distribuer un peu de cette lumière et de cette paix que j’avais connues là-haut. Je devais donner de l’amour, de la façon la plus totale et la plus libre possible. » (Cas A-190, op.cit., p. 88). « Je devais naître pour soulager les souffrances, les peines et les chagrins d’autrui. Je savais que mes parents devaient m’aider à atteindre ce but. » (Cas A-251, op.cit., p. 88). « Le but de ma vie consistait à apprendre la patience, l’amour et à soulager la solitude en aimant les autres. » (Cas A-57, op.cit., p. 89). « Je pense que mon but dans cette vie est d’apprendre l’humilité, savoir que chacun de nous est profondément semblable à l’autre. Il me faut aussi l’enseigner et donner l’exemple. » (Cas A-434, op.cit., p. 89). « Mon but était de guider d’autres âmes à travers cet âge qui marque la transition de la culture matérielle à la culture cosmique. » (Cas A-419, op.cit., p. 90). « Le but de cette vie était d’aider au travail de Dieu afin que se passe mieux la transition vers l’âge de la conscience cosmique. » (Cas B-2, op.cit., p. 91). « Mon but était d’apprendre l’humilité. » (Cas A-46, op.cit., p. 91). « Les raisons de ma venue sont culturelles et religieuses. Je dois rassembler tout cela et participer à l’éveil aux choses spirituelles. » (Cas A-14, op.cit., p. 92). « Depuis la plus haute antiquité et jusqu’à nos jours, les écritures sacrées ainsi que tous les grands courants spirituels nous ont parlé de dimensions autres que celle de notre vie de tous les jours. L’histoire nous parle d’hommes et de femmes, sages ou gens ordinaires, qui disent être entrés en contact avec la " Vérité ". Or aujourd’hui, à travers toutes les recherches entreprises depuis une vingtaine d’années principalement aux USA, il apparaît que l’Etre humain semble posséder en lui la faculté d’accéder naturellement à des états de conscience différents permettant d’entrer dans une dimension hors de l’espace-temps dont nous avons l’habitude et que nous percevons normalement à travers nos cinq sens physiques. Ces états, que nous appellerons Etats Supérieurs de Conscience, sont une expansion de la conscience, la vision d’une réalité

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qui se rapproche à la fois des concepts de la pensée orientale, de notre " savoir ésotérique ", et des données de la physique moderne. C’est dans un tel état élargi de conscience que je me trouvais lorsque je suis remonté de quelques milliers d’années dans mon propre passé, pour me retrouver Govenka dans la clairière (NDLR : Patrick Drouot a expérimenté lui-même la régression dans ses vies antérieures dont l’une, particulièrement riche, a laissé apparaître une de ses anciennes incarnations : Govenka, femme celte, voir le détail dans son ouvrage cité ci-après). Bien que j’aie choisi de vous faire partager ce voyage sous la forme d’un récit, j’ai fait en sorte qu’il ne comporte rien d’onirique ni de romanesque. Tous les éléments qui le composent sont rigoureusement exacts : descriptions, événements, lieux, jusqu’aux termes employés au cours de la régression que je me suis efforcé de conserver lorsque c’était possible. A la suite de cette expérience, la recherche que j’avais entreprise depuis une dizaine d’années changea profondément. D’un scepticisme cartésien de bon aloi, je suis passé à une conviction de plus en plus précise. J’en suis peu à peu arrivé à ressentir la nécessité d’expérimenter encore davantage moi-même ces états spéciaux d’éveil, afin de mieux comprendre ce qui se passe à ce moment-là, afin de mieux saisir le processus qui permet de ramener à la conscience des souvenirs d’événements qui ne se sont pas produits dans la vie présente. Jusqu’à Govenka, je pensais que les voyages dans le temps, les régressions dans les vies passées, permettaient l’accès à un état supérieur de conscience. Aujourd’hui, j’ai compris que c’est le contraire : c’est dans un état supérieur de conscience qu’il nous est possible de retourner dans notre passé et de réactiver ce que l’on pourrait appeler la mémoire karmique. Ce voyage dans mon passé est loin d’être un cas isolé. Des dizaines, sinon des centaines de milliers de personnes, dans le monde entier, ont eu accès à des expériences de ce type. Des centaines sinon des milliers de chercheurs se livrent à une recherche intense sur ce qui semble être l’une des possibilités inexploitées de l’être humain. Bien sûr, toutes les régressions ne sont pas aussi riches que celles que je viens de vous conter. La teneur de la vie que l’on explore dépend à chaque fois de ce que l’on recherche au départ. Si l’on recherche dans le passé la cause d’un problème psychologique du présent (claustrophobie, angoisse, phobie,…) on peut même revivre des moments franchement désagréables. Souvent, on revit des vies assez banales. Dans le cas présent, j’étais parti à la recherche de ma vie la plus spirituelle… » (Patrick DROUOT dans Nous sommes tous immortels, pp. 39-40, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Réflexion. Si Dieu existait … Si Dieu était bon … Nous entendons souvent parler de telle façon : « Si Dieu existait, il n’admettrait pas les guerres. Si Dieu était bon, il n’autoriserait pas la souffrance, il ne permettrait pas que des petits enfants par exemple soient enlevés à l’affection de leurs parents, etc, etc. » Que répondre face à de telles affirmations teintées de reproches que, soit dit en passant, nous comprenons fort bien. Lorsque l’on est en recherche spirituelle, on est très vite confronté à ce sujet qui, il faut bien le dire, écarte nombre de personnes du chemin vers Dieu. En effet : « Pourquoi, entend-on parfois, se tourner vers un Dieu qui semble insensible à la souffrance de ses enfants ? Pourquoi faire confiance et croire en un Dieu qui ne fait rien pour m’aider alors que je le prie régulièrement ? » … Mais, doit-on accuser Dieu de tous nos maux ? Réfléchissons en énumérant tout simplement certaines grandes souffrances de notre monde actuel : la famine dans le monde et les guerres. Est-ce Dieu qui en est responsable ? Assurément non, ce sont les hommes eux-mêmes qui déclenchent les guerres et qui manquent de solidarité. Ceci amène d’ailleurs une autre interrogation : pourquoi nos gouvernements ne sont-ils pas plus solidaires de ces peuples affamés ? Ils

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pourraient fournir la nourriture et les moyens de culture. Pourquoi nos dirigeants investissent-ils tant d’argent dans les armements au lieu de faire la Paix une fois pour toutes et d’aider concrètement les peuples en difficulté ? Raisonnement un peu simpliste certes mais émis d’un point de vue du cœur ! C’est donc bien ainsi, l’homme est entièrement responsable des guerres et de la famine. « Mais alors, pourquoi Dieu n’intervient-il pas ? Pourquoi n’arrête-t-il pas tout cela ? » La réponse est simple : en créant l’homme, Dieu lui a donné une preuve d’amour inconditionnel en lui laissant le libre arbitre, c’est-à-dire le pouvoir de gérer sa vie et sa destinée comme il l’entend. De toutes façons, si Dieu n’agissait pas de la sorte il s’en trouveraient pour le qualifier de dictateur sans doute… (Personnellement, nous préférons disposer de notre libre arbitre…). L’autre grand fléau dont on tient le créateur pour responsable est la souffrance qu’elle soit physique ou morale. Nous sommes effectivement tous confrontés tôt ou tard à la souffrance, à la maladie, à la mort que ce soit pour nous-mêmes ou pour nos proches. Dans ces moments de douleur, l’envie est grande de pointer un doigt accusateur sur Dieu : « Pourquoi permet-il que je ou X ou encore Y souffre, pourquoi " rappeler à lui " ce petit enfant… » ? Là encore, c’est peut-être mal poser la question. Il serait sans doute plus juste de dire : « Pourquoi ai-je choisi cette souffrance ? Pourquoi X ou Y est-il malade ? Pourquoi ce petit enfant a-t-il décidé dans son plan de vie de s’en aller tôt ? » Il y a plusieurs explications possibles à la maladie et à la souffrance. La première c’est que c’est l’âme elle-même qui s’impose ces épreuves avant de se réincarner afin de grandir, d’évoluer, de retrouver plus rapidement sa divinité par une incarnation difficile. On dit que les épreuves font grandir, font évoluer et c’est vrai. Un exemple est lorsqu’on souffre soi-même. On est à même de mieux comprendre alors la souffrance des autres, on développe son empathie et par conséquent son amour ce qui est le but que toute âme se donne dans chaque incarnation. Certaines âmes choisissent de s’incarner brièvement et de disparaître ensuite dans le seul but d’amener leur entourage à se poser des questions et ainsi à évoluer spirituellement. Chaque cas de souffrance ou de mort prématurée est particulier. C’est la plupart du temps, un choix délibéré de l’âme en incarnation (Je choisis d’être malade et de mourir jeune pour faire comprendre des choses à mon entourage, pour les faire se poser des questions, pour les faire évoluer, pour les inciter à aimer toujours plus par exemple ceux qui sont dans le même cas, etc….). La deuxième explication de la souffrance et de la maladie est, comme l’avait très bien compris le Dr Edward Bach, la conséquence d’une inadéquation entre les désirs profonds de l’âme et la vie que l’on mène sur terre. Chaque âme, au moment de se réincarner, choisit avec des guides un plan de vie qui va l’amener à évoluer. Le voile de l’oubli (et oui, à quoi cela servirait-il de s’incarner si l’on savait tout au départ et en tous cas on n’évoluerait certainement pas de la même façon !) qui est conséquent à la naissance, de même qu’un trop grand matérialisme amènent l’être humain à s’écarter du plan de vie choisi. L’âme est en inadéquation et tire la sonnette d’alarme. Par la souffrance ou la maladie elle dit au corps « Arrête-toi et réfléchis, tu fais fausse route ! » « Reprends-toi ! » « Rappelle-toi ce pour quoi tu t’es incarné ! Tu voulais évoluer, apprendre à aimer toujours plus et tu te perds dans ta vie matérielle, dans ta course effrénée après l’argent et les honneurs… » On le comprend bien, la maladie et la souffrance en général ne sont jamais " gratuites ". Il n’en reste néanmoins qu’il y a une troisième et une quatrième cause à la maladie (nous parlons évidemment ici de maladies chroniques le plus souvent). Il y a d’une part le non-respect de notre véhicule terrestre que nous abîmons par ce que nous ingérons et ce que nous lui faisons subir comme agressions diverses et d’autre part les maladies engendrées par notre propre karma, c’est-à-dire une " mémoire " résultant d’expériences antérieures. Les maladies karmiques sont souvent celles qui déroutent la médecine traditionnelle. En réalité et de toutes les façons, le libre-arbitre nous est toujours accordé. A nous de comprendre pourquoi nous tombons malades, pourquoi nous souffrons. Cette compréhension s’opère par une introspection, un retour sur soi-même. Parfois un thérapeute énergéticien est nécessaire. Lorsque nous avons compris tout cela, il nous appartient d’être les propres acteurs de notre guérison … mais ceci est une autre histoire que nous développerons plus loin dans cet ouvrage.

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Ils ont dit : « Nos vies forment une courbe, un arc-en-ciel qui se referme et dont les extrémités vont se rejoindre derrière un horizon, ou sous la terre. » (Cécile WAJSBROT) « Il est dit que tout homme doit découvrir quelque chose qui justifie sa vie. » (Luis SEPULVEDA) « Notre amour de la vie est semblable au sentiment des vivants pour les disparus, nous savons qu’elle existe et nous l’aimons sans pouvoir l’étreindre. » (Paul MELKI) « La vie est l’école de l’absence. On apprend à vivre sans les autres, sans ceux qui nous ont aimés et que nous avons aimés. » (Christian AUTHIER) « Mourir, c’est probablement se brancher sur la fréquence que nous recherchons toute notre vie inconsciemment. » (Gary VICTOR) « Je prends acte, pour l’autre vie, de ma conduite en celle-ci. » (Jean-Jacques ROUSSEAU) « Nous ne nous approchons de la vérité que dans la mesure où nous nous éloignons de la vie. » (SOCRATE) « De quelles souffrances l'humanité n'est-elle pas affligée parce qu'elle ne sait pas se réconcilier ! » (JEAN-PAUL II) « Pour moi, la vie a un sens. Et, si la vie a un sens, la souffrance aussi en a un, même si elle peut paraître révoltante et même incompréhensible. » (Jean DELUMEAU) « L'Homme ne s'explique, logiquement, qu'immortel. La vie n'a de sens que si elle s'annexe l'éternité. » (Jean-Marie POIRIER) « Il y a plus d'intelligence à trouver le sens de sa vie qu'à lancer des fusées dans le cosmos. Il faut trouver le courage de le dire. » (Christian CHABANIS) « L'élément tragique pour l'homme moderne, ce n'est pas qu'il ignore le sens de sa vie, mais que ça le dérange de moins en moins. » (Vaclav HAVEL) « En apparence, la vie n'a aucun sens, et pourtant, il est impossible qu'il n'y en ait pas un ! » (Albert EINSTEIN) « Ce qui donne un sens à la vie, donne un sens à la mort. » (Antoine de SAINT-EXUPERY) Mais aussi : « A quoi bon prendre la vie au sérieux puisque de toute façon nous n’en sortirons pas vivants ? » (Alphonse ALLAIS) « Au fond … la vie est une sorte de machine à voyager dans le temps. » (Philippe GELUCK) « La vie est dure, mais elle est belle puisqu’on y tient tellement. » (François TRUFFAUT)

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Ne reste pas inerte au seuil des portes closes, Homme ! Sache mourir afin d'avoir été ; et, hors du tourbillon mystérieux des choses, cherche au fond de la tombe, en sa réalité, le secret de la vie.

Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894)

Chapitre V : La mort. La mort : une fatalité ? La mort ! Voilà bien une notion inséparable de la vie. En effet, elles sont toutes deux intimement liées. Il est impossible d'évoquer l'une sans penser à l'autre. Elles sont d'une complémentarité indissociable. La mort, ce mot dont la connotation, ou la signification, fait si peur, qu'à sa seule évocation les visages se figent, est-elle ce moment tant redouté que l'homme tente de retarder par tous les moyens ? Cet événement qui nous attend tous, puisque nous devons tous sans exception mourir un jour, qui que nous soyons, quelles qu'aient été notre destinée, notre position sociale, la couleur de notre peau, que nous fussions spirituels ou pas, croyants en telle ou telle religion ou totalement athées, est le second moment, avec la naissance, le plus important de notre passage sur terre, et il mérite à ce titre d'être particulièrement bien préparé. En effet, cela ne sert à rien de tenter de l'ignorer, de le repousser avec l'énergie du désespoir, de connaître la panique à sa seule évocation, car même si toutes ces réactions sont parfaitement légitimes, la mort vient à nous quoi que nous fassions. Dès que nous sommes conçus, nous souffrons tous d'une maladie incurable qui est la mort. Pourquoi le futur passage à travers la mort est-il si redouté et vécu comme un moment de grande tristesse alors que la naissance est fêtée à l'inverse comme un événement joyeux ? On peut s'interroger sur les coutumes de certaines peuplades qui célèbrent la mort comme un heureux épisode. Comme nous, amis lecteurs, vous vous posez certainement beaucoup de questions sur la mort et ne savez pas toujours comment ébaucher, ne fût-ce qu'un fragment, de réponse à celles-ci. L'approche spirituelle de la mort. La pratique de la spiritualité éclaire d'une lumière nouvelle tant la mort que la naissance. L'approche spirituelle permet effectivement de lever les voiles derrière lesquels ces deux événements majeurs sont dissimulés, nous offrant ainsi une opportunité unique d'en saisir le sens. La mort, comme la naissance d'ailleurs, est une porte qui s'ouvre sur un autre monde. L'existence en tant qu'êtres incarnés n'est pas éternelle. Nous sommes ici pour apprendre, mais l'écolage n'a qu'un temps, nous devons repartir : comment ? En franchissant le portail que nous appelons mort, de la même manière que pour pouvoir

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nous incarner, nous avons dû franchir le portique de la naissance comme nous l'avons expliqué au chapitre 3. Cette porte, a bien évidemment deux côtés : lorsque nous venons au monde, nous la franchissons dans un sens, nous poussons le pan sur lequel était écrit le mot naissance et nous entrons dans ce que nous appelons la vie, mais qui n'est en réalité qu'une forme de vie, qu'une étape dans notre cheminement spirituel comme nous l'avons également déjà évoqué dans les chapitres précédents. La porte se referme sur notre passage, et nous voilà ici, bien en peine de nous rappeler ce qu'il y avait de l'autre côté. Mais en même temps, à peine s'est-elle refermée, qu'elle disparaît pour réapparaître devant nous, dans l'autre sens, à une certaine distance que nous sommes incapables d'apprécier, mais qui, en quelque sorte matérialise la durée de notre traversée ici. Plus cet intervalle diminue, et plus nous apercevons clairement l'inscription mort qui nous rappelle que nous devrons un jour retraverser la porte lorsque prendra fin l'aventure terrestre. Au terme de notre pèlerinage sur terre, nous retournons, par la portail de la mort, dans le monde d'où nous venons ; mais en emportant avec nous les richesses de notre apprentissage dans l'environnement parfois agréable, mais souvent chaotique, de cette dimension matérielle. La mort n'est donc que le retour à notre condition subtile. Voyons une fois de plus ce qu'en disent les témoignages… Que se passe-t-il au moment de la mort ? Témoignages.

Werner Schiebeler dans son ouvrage " La vie après la mort terrestre " explique que, de son vivant déjà, l’homme possède un second " corps " connu sous le nom de corps astral ou éthérique. Ce corps astral est enfoui au sein du corps physique et relié à celui-ci par une fine corde très extensible : c’est la corde d’argent. En cas de mort, le corps astral quitte le corps physique et la corde d’argent se rompt définitivement au contraire de ce qui se passe dans un voyage astral ou le corps éthérique est toujours relié au corps physique par cette fameuse corde. Laissons la parole à présent à quelques décédés qui expliquent comment s’est déroulée leur mort. Vous verrez qu’il y a parfois des nuances et c’est normal. Tout dépend apparemment de l’idée que l’on se fait de la mort et de l’après-vie.

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- Le soldat Dowding : « … Je redoutais la mort, sûr qu’elle signifierait pour moi l’extraction de toute vie … Quelque chose m’a heurté très brutalement au cou ... C’est le seul souvenir désagréable que je garde de l’aventure. Je me suis abattu sur le sol et retrouvé instantanément projeté hors de mon corps, apparemment sans évanouissement intermédiaire … Essayez de vous mettre à ma place ! A l’instant même, j’étais en vie, au sens terrestre du terme, je regardais par-dessus la fortification d’une tranchée, le plus tranquillement et le plus naturellement du monde, et cinq secondes plus tard, j’étais hors de mon corps et j’aidais mes camarades à transporter ma dépouille jusqu’à un poste de secours, dans l’enchevêtrement des corridors… » (Werner Schiebeler, la vie après la mort terrestre, p. 52, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). - Jürgen Rombart, tailleur de pierres est mort en 1935. (Op.cit., pp76-77). « J’ai été longtemps malade, j’avais un cancer des poumons. Je délirais, je n’étais déjà plus vraiment là, je flottais entre la terre et l’au-delà. Je ne me suis pas rendu compte du moment où je suis réellement mort. Je me suis seulement étonné de ne plus ressentir de douleurs. Et brusquement, je n’ai plus vu mon corps terrestre dans mon lit. Il était parti, on l’avait déjà enterré. Je ne me suis pas non plus aperçu de l’enterrement. J’ai essayé de parler avec mes enfants chez qui j’avais logé le temps de ma maladie. Mais ce n’était plus possible ; à cet indice, j’ai compris que j’étais bien mort ... J’avais un nouveau corps et me sentais en bien meilleure forme. J’allais et venais dans mon ancienne chambre, je pouvais même passer à travers les murs. Puisque je ne pouvais plus parler avec les membres de ma famille, j’ai cherché ailleurs … J’ai donc quitté ma maison terrestre … je me suis d’abord retrouvé dehors, complètement désorienté. Je ne me sentais bien nulle part et j’éprouvais un sentiment étrange, car je ne me sentais plus attiré par la terre. L’attraction terrestre qui agit habituellement sur l’homme ne jouait plus son rôle … Soudain j’ai aperçu plusieurs personnes qui se déplaçaient comme moi … Je me suis approché d’eux et les ai salués. Je leur ai demandé s’ils étaient morts. Ils m’ont répondu que oui et ont expliqué qu’ils étaient venus me chercher … » (Werner Schiebeler, la vie après la mort terrestre, pp.76-77 voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Voici à présent le témoignage de notre frère et beau-frère Etienne décédé en 1998 d’un cancer. Etienne nous dit ceci : « Dès les premières heures que mon corps lâchait, différentes personnes, trois, sont venues dans la chambre. Mon état, plus rien n’avait d’importance à mes yeux. Je ne voyais plus la chambre. Tu faisais partie des personnes présentes. Deux personnes décédées de la famille sont venues me chercher : ma grand-mère et une autre dont je ne te donnerai pas le nom. Réfléchis, tu trouveras. Pendant de longs moments qui auraient pu être des mois pour vous, j’ai été pris en charge, assisté … » (Ce témoignage a été recueilli le 18 mars 2003 chez Pascal RIOLO, voyant-médium de la région liégeoise). Les NDE (near death experience) ou EMI (expérience de mort imminente) : témoignages. La vie après la vie, best-seller mondial. Le Docteur Raymond MOODY, docteur en philosophie et médecin aux Etats-Unis, a publié dans les années 1980 un livre étonnant qui réunit une centaine de témoignages de personnes ayant été considérées comme cliniquement mortes ou qui ont approché la mort de très près. Celles-ci furent ramenées à la vie grâce aux procédés modernes de réanimation. Ce livre, best-seller bien connu de ceux qui s’intéressent aux phénomènes étranges s’intitule " La vie après la vie ". Dans cet ouvrage, le docteur Moody a dégagé de frappantes similitudes dans les témoignages de ceux qui relatent leur expérience aux frontières de la mort. Voici ci-après, établi par Raymond Moody, le modèle " théorique " complet d’une expérience proche de la mort :

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« Voici donc un homme qui meurt, et tandis qu’il atteint le paroxysme de la détresse physique, il entend le médecin constater son décès. Il commence alors à percevoir un bruit désagréable, comme un fort timbre de sonnerie ou un bourdonnement, et dans le même temps il se sent emporté avec une grande rapidité à travers un long et obscur tunnel. Après quoi il se retrouve soudain hors de son corps physique, sans toutefois quitter son environnement physique immédiat ; il aperçoit son propre corps à distance, comme un spectateur. Il observe de ce point de vue privilégié les tentatives de réanimation dont son corps fait l’objet… Au bout de quelques instants, il se reprend et s’accoutume peu à peu à l’étrangeté de sa nouvelle condition. Il s’aperçoit qu’il continue à posséder " un corps " mais ce corps est d’une nature très particulière et jouit de facultés très différentes de celles dont faisait preuve la dépouille qu’il vient d’abandonner. Bientôt d’autres événements se produisent : d’autres êtres s’avancent à sa rencontre, paraissant vouloir lui venir en aide ; il entrevoit les " esprits " de parents et d’amis décédés avant lui. Et soudain une entité spirituelle d’une espèce inconnue, un esprit de chaude tendresse, tout vibrant d’amour, un " être de lumière " se montre à lui. Cet être fait surgir en lui une interrogation qui n’est pas verbalement prononcée et qui le porte à effectuer le bilan de sa vie passée. L’entité le seconde dans cette tâche en lui procurant une vision panoramique instantanée de tous les événements qui ont marqué son destin. Le moment vient ensuite où le " défunt " semble rencontrer devant lui une sorte de barrière, ou de frontière, symbolisant apparemment l’ultime limite entre la vie terrestre et la vie à venir. Mais il constate alors qu’il lui faut revenir en arrière, que le temps de mourir n’est pas encore venu pour lui. A cet instant, il résiste car il est désormais subjugué par le flux des événements de l’après-vie et ne souhaite pas ce retour. Il est envahi d’intenses sentiments de joie, d’amour et de paix. En dépit de quoi, il se retrouve uni à son corps physique : il renaît à la vie. Par la suite, lorsqu’il tente d’expliquer à son entourage ce qu’il a éprouvé entre-temps, il se heurte à différents obstacles. En premier lieu, il ne parvient pas à trouver les paroles humaines capables de décrire de façon adéquate cet épisode supraterrestre. De plus, il voit bien que ceux qui l’écoutent ne le prennent pas au sérieux, si bien qu’il renonce à se confier aux autres. Pourtant, cette expérience marque profondément sa vie et bouleverse notamment toutes les idées qu’il s’était faites jusque là à propos de la mort et de ses rapports avec la vie. » (Dr Raymond MOODY dans La vie après la vie, pp. 35, 36, 37. Voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). (NDLR : Il va sans dire que nous parlons bien ici d’un modèle théorique et si l’on s’attache à un témoignage en particulier, il peut diverger légèrement ou ne pas relater l’entièreté de l’expérience du modèle théorique. Ce que nous pouvons en tous cas affirmer, c’est que la grosse majorité des témoignages convergent vers ce modèle théorique. Il faut dire également que tous " les morts cliniques " réanimés ne rapportent pas forcément un souvenir d’une expérience telle que celle dont il est question ici). Une expérience aux frontières de la mort hallucinante, celle de Ned DOUGHERTY !

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Membre de la Jet Set, millionnaire, cocaïnomane et alcoolique, rien ne prédisposait Ned Dougherty à s’occuper de questions spirituelles jusqu’à ce que son cœur lâche brutalement sur le trottoir de sa discothèque le 2 juillet 1984 à 22h30. Emmené par l’ambulance, Ned Dougherty quitte son corps et se sent flotter au-dessus de lui : « j’étais toujours en lévitation au-dessus de l’autoroute … Mon attention fut alors attirée par le ciel brillant de toutes ses étoiles … Un champ d’énergie gigantesque se forma alors dans le ciel juste en face de moi … Il me sembla que l’obscurité du ciel se liquéfiait et que cette masse d’énergie s’enroulait comme une vague sur l’océan pour former un tunnel parfait s’étirant vers le Ciel… » (p. 23). Ned se retrouve alors face à son vieil ami Dan mort au Vietnam : « Dan, je te reconnais ! Tu as été tué au Vietnam ! Que fais-tu ici ? Du calme, tout va bien … Je suis ici pour t’indiquer le chemin ! » (p. 25). C’est alors que son ami lui révèle la mission qu’il aura à accomplir. Il est impératif que Ned se souvienne de chaque détail de l’expérience qu’il va vivre lorsqu’il reviendra sur terre. Ils entrent alors dans le tunnel pour une traversée fantastique jusqu’au moment où, le tunnel étant à présent derrière eux, Ned perçoit une immense source d’énergie devant lui. « Je sus immédiatement que j’étais en présence de Dieu » (p. 27). Après cette extraordinaire rencontre racontée dans le livre, Ned revoit alors des proches et des amis décédés puis se retrouve à analyser, toujours en présence de Dieu dit-il, le film de sa vie, plaçant sur la balance ses " bonnes " et " mauvaises " actions. Il se sent ensuite propulsé dans un magnifique jardin lorsqu’une lumière brillante lui apparaît. Il se retrouve en présence d’une créature étincelante, vêtue de blanc. Cette femme se présente comme " la femme de Lumière." Celle-ci entreprend alors de montrer à Ned des scènes de son avenir qui se déroulent comme dans un film puis lui révèle l’avenir du monde, lui montrant les grandes catastrophes à venir et les régions du monde menacées... D’autres rencontres et faits extraordinaires émaillent la suite du livre qui nous donne également de précieux enseignements spirituels. (Ned DOUGHERTY, Voie express pour le Paradis, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Dans les bras de … la Lumière ! Betty J Eadie décrit également très bien dans son ouvrage " Dans les bras de la Lumière " cet instant où à la suite de son opération, elle fit l’expérience de sa mort. Une hémorragie importante la fit sombrer dans l’inconscience. C’est à ce moment précis qu’elle sentit subitement une montée d’énergie. Elle raconte que son âme sortit par sa poitrine et s’éleva. Betty se retrouva ainsi à planer à hauteur du plafond éprouvant une sensation de liberté sans limites. Quelle ne fut pas sa surprise en se retournant de voir, là en bas, son corps physique étendu, inerte sur le lit. De nombreuses questions l’assaillaient quand trois hommes apparurent à ses côtés. Vêtus de robes brunes, âgés apparemment de 70-80 ans, ils se présentèrent à elle comme ses " anges gardiens ", guides de sa vie actuelle et lui dirent qu’elle était morte prématurément, cependant elle n’avait pas à s’inquiéter car tout se passerait bien. Inquiète tout de même pour ses proches qu’elle " laissait sur terre ", Betty voulut (avec son corps éthérique) se rendre compte sur place et entreprit un voyage à une vitesse fulgurante jusqu’à sa propre maison pour s’apercevoir que là-bas, tout se passait bien. Son mari était assis dans son fauteuil et lisait tranquillement le journal tandis que les enfants s’étaient joyeusement lancés dans une bataille de polochons. Betty les observait mais eux, ne se doutaient évidemment pas le moins du monde de sa présence. C’est à cet instant qu’elle eut une sorte de prémonition concernant leur avenir et prit conscience que chacun d’eux avait bel et bien également son propre parcours à effectuer sur terre. « Ils étaient à mon égal des âmes indépendantes dont l’intelligence s’était développée bien avant leur apparition en ce monde. On leur avait accordé la liberté d’agir à leur guise … L’existence de mes enfants avait son programme et à la conclusion de celui-ci, ils achèveraient aussi leur séjour ici-bas … » (p.41). Ces réflexions eurent pour effet de rassurer Betty et de la ramener directement à l’hôpital où son corps gisait toujours sur le lit.

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A ce moment, un son saccadé se fit entendre accompagné d’une espèce de carillon tintant dans le lointain. Toute la pièce devint sombre et Betty (son esprit et corps éthérique) fut entraînée dans une énorme masse noire et tournoyante : le fameux tunnel. C’est dans un état de bien-être et de calme qu’elle se déplaçait d’abord lentement puis à une vitesse grandissante. D’autres gens ainsi que des animaux voyageaient en sa compagnie mais à quelque distance. Une petite lueur brillait au loin. Betty cerna mieux les contours du tunnel fonçant littéralement en cet instant vers cette lumière. En s’approchant, elle remarqua la silhouette rayonnante d’un homme. Cet homme était en effet entouré d’un halo doré. Il ouvrit les bras pour l’accueillir. C’était Jésus en personne ! De cela Betty n’en doutait point. Elle lâcha un moment son étreinte et plongea ses yeux dans le regard du Christ qui lui dit avec une infinie bonté que son heure n’était pas encore venue, que sa mort était prématurée. Betty se lança alors dans une série de questions auxquelles Jésus apporta des éclaircissements et notamment à la question essentielle du sens de notre vie sur terre… (Betty J. EADIE, Dans les bras de la lumière, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Qu’as-tu fait de ta vie ? (George Ritchie raconte son expérience NDE…) « … je regardai, stupéfait, tandis que la lumière augmentait encore, venue de nulle part, paraissant briller partout en même temps. Toutes les lampes de la section n’auraient pu fournir une telle luminosité. Et toutes les lampes de l’univers pas davantage ! C’était une lumière incroyable : comme si un million de lampes à souder s’étaient embrasées en même temps. Dans mon étonnement, me vint une pensée prosaïque dont l’origine était probablement une lecture de biologie à l’université : « j’ai de la chance de ne pas avoir d’yeux naturels : cette lumière m’aurait détruit la rétine en 1/10e de seconde. » Non. Je me corrigeai : ce n’était pas la lumière. C’était LUI. Il était trop brillant pour qu’on puisse le regarder en face. Je voyais alors que ce n’était pas de la lumière mais un Homme qui était entré dans la pièce, ou plutôt un Homme fait de lumière, quoique cela n’ait pas paru plus concevable à mon esprit que cette incroyable intensité d’éclat qui composait Sa personne. Au moment où je m’aperçus de sa présence, un ordre se forma de lui-même dans mon esprit : « Debout ! » Les mots venaient du dedans de moi, et cependant ils possédaient une autorité que mes pensées n’avaient jamais eue. Je me mis sur pied et, pendant que je me levais, me vint cette prodigieuse certitude : « Tu es en présence du Fils de Dieu. » A nouveau, l’idée paraissait se former au-dedans de moi, mais ce n’était pas un raisonnement spéculatif. C’était une sorte de connaissance, immédiate et complète. J’appris d’autres choses à Son sujet. D’abord : il était l’Etre le plus totalement viril que j’aie jamais rencontré. S’Il était le Fils de Dieu, Son nom était Jésus … Par-dessus tout, avec la même certitude intérieure mystérieuse, je sus que cet Homme m’aimait. Plus encore que la puissance, ce qui émanait de cette Présence était un amour inconditionnel. Un amour surprenant. Un amour situé au-delà de mes rêves les plus fous. Cet amour connaissait tout ce que j’avais fait de désagréable : les querelles avec ma belle-mère, mon caractère explosif, les rêveries érotiques que je ne pouvais contrôler, toutes mes pensées et mes actions basses et égoïstes depuis le jour où j’étais né. Il m’aimait cependant et m’acceptait… (George Ritchie voit alors toute sa vie défiler devant lui…) … Chaque détail de ces vingt années d’existence était là pour être vu. Le bon, le mauvais, les points forts, les fuites. Avec ce spectacle qui englobait tout, se posait une question : elle était implicite dans chaque scène et, comme les scènes elles-mêmes, paraissait provenir de la Lumière vivante à côté de moi : « Qu’as-tu fait de ta vie ? » A l’évidence, ce n’était pas une question dans le sens où Il cherchait une information : ce que j’avais fait de ma vie apparaissait en pleine vue. En tous cas, ce rappel général, parfait et

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détaillé, venait de Lui et non de moi. Je n’aurais pu me souvenir du dixième de ce qui était là jusqu’à ce qu’Il me le montrât. … « Qu’as-tu fait de ta vie que tu puisses me montrer ? » J’avais déjà compris que dans mes efforts frénétiques pour formuler une réponse impressionnante, j’avais complètement raté mon objectif : Il ne me demandait pas des réalisations et des brevets. La question, comme tout ce qui venait de lui, avait trait à l’amour : combien as-tu aimé au cours de ta vie ? As-tu aimé les autres comme je t’aime ? Totalement ? Inconditionnellement ? » (Témoignage de George RITCHIE dans Retour de l’au-delà, extraits des pages 64 à 72, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). La mort : témoignages L’arrivée dans l’au-delà. Nous l’avons vu, en général, les personnes décédées sont accueillies dans l’au-delà par des membres de leur famille, des amis très chers ou par des êtres spirituellement très élevés. Commence alors pour certains, surtout ceux qui sont morts de maladie, une période de " convalescence " qui dure apparemment quelques mois (de notre temps terrestre). Après l’arrivée dans l’au-delà, il semble que pour certains une période d’adaptation est nécessaire. C’est à ce moment que les amis ou parents proches font visiter les lieux au nouvel arrivé et s’appliquent à répondre à toutes ses questions. « Pendant de longs moments qui auraient pu être des mois pour vous, j’ai été pris en charge, assisté… » (Message d’Etienne du 18/03/2003). Un autre témoignage corrobore celui d’Etienne, c’est celui de William T. Stead (1849- 1912). « Je suis incapable de dire pendant combien de temps nous avons volé, ni à quelle distance de la terre. Mais l’arrivée fut belle comme un conte de fées. C’était comme si l’on nous avait brusquement transposés de la grisaille du brouillard anglais à l’éclat du ciel de l’Inde. Tout était beauté et clarté … Nous sentions combien l’atmosphère était apaisante. Elle pénétrait les nouveaux arrivants d’une force vivifiante, de sorte que, très vite, chacun pouvait se reposer et retrouver son ancien équilibre spirituel. » (Werner Schiebeler, La vie après la mort terrestre, p. 59, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Tout le monde ne se régénère pas dans le même temps. Pour certains, c’est très rapide mais pour d’autres cela peut durer des mois, voire des années. Tout dépend de leur maladie et de leur état de conscience. La maladie se guérit vite mais le reste est plus pénible et plus long. » (Paroles de Karine dans Karine après la vie, p. 106, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Mon ami Philippe était décédé subitement en janvier 1998. Au mois de septembre de la même année, une nuit, je me suis réveillée subitement, consciente d’avoir vécu une fabuleuse aventure et ce grâce à mon ami qui m’avait laissé entrevoir une toute petite partie de l’au-delà. Je suis donc cette nuit-là partie en voyage astral et j’ai rencontré Philippe. Rasé de près, visiblement rajeuni, vêtu d’une chemise à lignes bleues, Philippe dont je ne voyais que le buste, se tenait près de moi et pointait son doigt vers un bâtiment situé au loin mais dont on pouvait facilement distinguer les contours et l’allure générale. Il s’agissait d’une grosse bâtisse allongée, toute de plain-pied, construite en pierres et entourée d’une immense prairie à l’herbe parfaitement égalisée, lisse et soignée comme un parcours de golf. Philippe m’expliquait que c’était l’endroit où il avait séjourné depuis sa mort. C’était d’après lui une espèce d’hôtel-hôpital très plaisant où il

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avait eu la possibilité de se soigner et de se régénérer durant ces derniers mois. Il m’expliquait aussi qu’il allait devoir quitter cet endroit rassurant car il allait rejoindre un autre plan (sans doute plus élevé). Il me fit part du fait qu’il redoutait un peu de s’en aller. C’est à ce moment que j’ai remarqué, dressée près de nous, une maisonnette. Celle-ci, m’expliqua Philippe, lui appartenait. Il l’avait construite pour demeurer à proximité de l’hôtel-hôpital. Il me fit visiter cette construction dans laquelle à ma grande stupéfaction, il n’y avait point de meubles. La maisonnette de Philippe était vide ! « Ce n’est pas nécessaire (les meubles) » m’expliqua-t-il. Je lui posai des questions sur la vie dans l’au-delà et je lui demandai si son existence était similaire à celle qu’il vivait sur terre : avait-il une voiture, mangeait-il, etc … questions auxquelles il répondait : « Oui, tu peux avoir ceci ou cela mais ce n’est pas nécessaire ». Forcément, je le comprends bien maintenant, comme nous étions à un niveau spirituel, le " matériel " n’était vraiment pas nécessaire. J’ai conscience d’avoir pu poser des tas de questions à mon ami. Toutes ont reçu une réponse. Malheureusement, à mon réveil, je ne me suis souvenue de rien, probablement n’étais-je pas autorisée à emporter les réponses dans ma vie terrestre à ce moment-là. Il n’en reste néanmoins que j’ai gardé un magnifique souvenir de cette rencontre. L’impression que j’en ai retirée est que cette partie de l’au-delà est un endroit très harmonieux et empreint de sérénité. » (Témoignage de Marie-Hélène). William T. Stead poursuit son témoignage : « Je me suis trouvé à ce moment-là en compagnie de deux amis très chers, dont l’un avait jadis été mon père sur la terre. Il vint et resta près de moi pour m’aider à me familiariser avec mon nouvel environnement. C’était comme, sur la terre, lorsqu’on effectue un voyage à l’étranger et que l’on est accueilli par une personne de connaissance qui vous facilite les premières démarches… » (Werner Schiebeler, La vie après la mort terrestre, p. 60, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Axel dit à sa maman le 24/01/1984 « Maman, au moment du passage, quelqu’un vient nous aider. A cet instant précis, on reçoit une connaissance immense… » (Monique Simonet, Images et messages de l’au-delà, p. 72, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). La tante de Rudolf Schwarz en communication avec lui le 7 décembre 1947 : « Mon esprit tutélaire me conduisit alors dans une maison où l’on me salua avec la plus grande amabilité puis il m’expliqua que j’étais ici chez moi. Une magnifique période de repos m’attendait dans cette demeure. Elle dura quelque temps et cette détente me parut plus délicieuse que tout ce que j’avais pu connaître auparavant sur terre. Je me reposais entourée d’un amour et d’une sollicitude comme je n’en avais jamais rencontrés sur terre … J’étais allongée dans une chambre ornée de fleurs. Par les fenêtres grandes ouvertes, je pouvais apercevoir un magnifique paysage de montagnes et de collines avec des champs et des prairies, ainsi que de nombreux bâtiments comme on peut en voir sur terre, mais tout était beaucoup plus beau… » (Werner Schiebeler, La vie après la mort terrestre, pp. 164-165, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Si vous voulez, nous allons parler un peu de la vie. Nous n’avons plus besoin de ce que nous avions sur terre, nous recevons de l’aide dès notre arrivée et dès que nous sommes adaptés, on nous laisse le choix de ce que nous voulons faire… Certains acceptent rapidement ce qui leur arrive car ceux qui nous attendent nous font vite comprendre que c’est irréversible. J’ai vite pensé que je pourrais vous être d’une plus grande aide malgré votre immense douleur. Je ne pouvais pas faire marche arrière, le mieux était donc d’accepter les choses et d’apprendre rapidement comment vous aider. C’est maintenant une de mes missions, vous apporter le plus de réconfort possible ainsi que vous aider à trouver les éléments qui vous serviront à vous et à l’humanité, je vous admire pour votre façon de réagir. Vous n’avez jamais perdu la foi ni votre amour pour moi, nous voudrions bien que beaucoup de parents réagissent comme vous. Il y a tellement d’êtres ici qui souffrent en voyant la douleur continue de leur famille, ils envoient eux aussi des

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messages, mais ils ne sont pas reçus à cause du grand chagrin et surtout du manque de foi dans la vie éternelle… » (Message de Karine à ses parents dans Karine après la vie, p. 102. Voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : Pourrais-tu me donner des renseignements sur ces " stations orbitales " où se fait l’accueil des décédés ? Réponse d’Isabelle : c’est tout simplement un groupement d’êtres de l’au-delà qui ont connu ou aimé celui qui arrive, ou qui viennent l’aider. On l’appelle comme on veut, mais je dirais que c’est un " noyau d’amour " qui vient guider celui qui arrive (qui est souvent perdu et désorienté) pour l’aider à franchir le cap, à s’initier à sa nouvelle vie. C’est une aide précieuse pour le passage dans la vraie vie. » (Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, pp. 29-30, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Le jugement. « Ceux qui ne sont pas malades doivent seulement passer en " jugement " pour leur vie sur terre, ceux qui avaient la foi et se sont bien comportés passent rapidement les premières étapes. Comme vous voyez, ce qui ne se paye pas sur terre devra se payer ici. Rien n’est laissé dans l’oubli. » (Paroles de Karine dans Karine après la vie, p. 106, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). L’arrivée dans l’au-delà est différente suivant le type de décès. « … Celui qui arrive ici, d’un certain âge, par maladie ou par mort naturelle, est toujours reçu par un membre de sa famille qui l’a accompagné dans ses derniers instants terrestres. Il arrive très souvent que ces personnes perçoivent dans leur chambre la présence de ceux qui sont venus les chercher ; au pied du lit, près des portes, au plafond… Ainsi au moment du dernier soupir, ils sont tranquilles parce qu’ils ont perçu ce qui se passait et la transition est parfaite. Les explications sur ce que chacun ressent sont variables mais souvent ils ont une sensation de tournis et ils aperçoivent cette belle lumière qui brille sans éblouir. Toutes ces personnes ne ressentent jamais la peur parce qu’elles sont avec des familiers, mais parfois elles hésitent en voyant la douleur de ceux qui restent ; ressentir la douleur et pleurer sont des sentiments normaux, mais il ne faut pas s’accabler à l’excès, surtout quand on sait le mal que cela nous fait. Au contraire, il faut nous souhaiter un bon chemin vers la lumière. Le décès par accident ou assassinat sont différents parce qu’on se trouve projeté dans l’autre monde, sans comprendre ce qui nous arrive. Ce n’est pas un être familier qui vient, à cause de la violence de la séparation, mais il y a des âmes qui ont choisi cette mission. C’est plus difficile que de faire la transition de manière naturelle car on est toujours vivant, on parle, on entend, on voit et sur le moment on ne comprend pas pourquoi la famille et les autres personnes crient et pleurent. Tous n’acceptent pas si facilement de suivre leur guide vers l’au-delà : c’est une réaction logique. Il n’y a que deux solutions : accepter les explications de notre guide, car on ne peut pas faire marche arrière, ou se rebeller et rester entre les deux vies. Cela provoque des confusions auprès des personnes qui perçoivent des manifestations d’âmes perturbées qui ne sont pas encore parties vers la lumière et qui ne sont pas en paix… » (Message de Karine dans Karine après la vie, p.110, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Le suicide. Lorsque nous comprenons le sens général de notre vie sur terre, il nous devient plus facile d’accepter les aléas et souffrances que l’on peut rencontrer dans celle-ci. On sait que ces épreuves ont été choisies par nous-mêmes avant de nous incarner. On est conscient que les difficultés rencontrées nous permettent de mettre à l’épreuve nos potentiels d’amour afin que celui-ci finisse par occuper la place essentielle dans notre vie, quoi que nous ayons décidé de subir. Car là est le but de toute incarnation : faire grandir

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notre amour afin de retourner plus rapidement vers notre divinité. Les difficultés les plus diverses (maladie, souffrance, solitude, pauvreté etc, etc) sont placées volontairement par nous-mêmes sur notre parcours parce que nous avons décidé, avant, de les dépasser, de les réussir, de gagner. Certains êtres cependant mettent fin à leur incarnation de manière plus ou moins violente : ils se suicident, ils décident de quitter prématurément le plan terrestre. Ils n’arrivent pas à concrétiser leur expérience terrestre et à atteindre les buts qu’ils s’étaient fixés. Certaines religions réprouvent et condamnent le suicide. Ont-elles raison ? Nous ne le pensons pas. Lorsqu’un être décide de partir de l’autre côté, il est sûr et certain qu’il n’encourra aucun châtiment de qui que ce soit et certainement pas du Créateur lui-même. Il faut couper l’herbe sous le pied à cette croyance erronée. Le seul problème risque de venir de l’âme elle-même qui se culpabilisera sans doute de n’avoir pas réussi sa " mission ", mais, rappelons-le, les foudres de Dieu n’existent pas même dans ce cas. Dieu n’est pas un " être " qui punit, c’est un " être " qui aime inconditionnellement. Nous ne prônons évidemment pas le suicide car nous estimons que c’est un échec pour l’âme en incarnation qui retarde ainsi quelque peu sa progression. Néanmoins nous pouvons très bien comprendre qu’un être, inconscient de la mission qu’il s’est fixée auparavant, se sente submergé de chagrin et de découragement à tel point qu’il ne supporte plus de vivre. C’est bien pour cette raison qu’il est impératif de comprendre le sens de toute vie terrestre afin d’en saisir l’essence profonde et le but réel. S’intéresser à la spiritualité permet de se poser les bonnes questions et d’y trouver les réponses. Lorsque nous sommes en contact avec une personne suicidaire, nous estimons qu’il est de notre devoir de lui faire entrevoir l’autre réalité, celle de l’invisible, celle de Dieu (sans pour autant le forcer à croire à ce à quoi nous croyons, évidemment). Cela peut se faire notamment en lui prêtant un livre qui va peut-être faire changer son optique des choses, cela peut se réaliser au cours d’une conversation (plusieurs dialogues sont souvent nécessaires), cela peut survenir simplement par notre propre attitude confiante et de compréhension du sens de la vie qui peut inspirer une réflexion profonde à cette personne sur ses propres buts dans la vie. Sachons cependant que nous ne réussirons pas toujours à convaincre tel ou tel de vivre, nous lui aurons au moins fourni des pistes de réflexion. Chaque être humain a et conserve toujours son libre arbitre et la décision finale lui appartient. Lorsqu’il arrivera dans l’au-delà, il réfléchira longuement avec l’aide de guides spirituels à son expérience avortée. Il décidera sans doute de s’incarner à nouveau rapidement car il sera soucieux d’achever ce pourquoi il était descendu dans la troisième dimension. Durant la courte période suivant le suicide, il est important aussi d’aider l’âme en partance à trouver à nouveau rapidement la Lumière. Celle-ci en effet peut se trouver désemparée, ne plus savoir où elle se trouve, ne pas vouloir quitter son corps physique, ayant pris soudainement conscience de ce qu’elle a fait. Cette aide peut se réaliser par nos propres envois de lumière à son égard, par nos " prières ". Des êtres de Lumière se présenteront immanquablement à cette âme pour l’accompagner : ce sera alors à elle et à elle seule de décider de les suivre avant d’entamer un processus de réflexion intense et de revoir ce qui a freiné sa progression. En tout cas, en ce qui concerne ceux qui vivent le suicide d’un de leurs proches, ils ne doivent le condamner ni se culpabiliser de n’avoir pu l’empêcher.

Puis Almitra parla, disant : Nous voudrions vous interroger au sujet de la Mort.

Et il répondit :

« Vous voudriez connaître les secrets de la mort.

Mais comment le trouverez-vous

sinon en cherchant au cœur même de la vie ?

Le hibou dont les yeux perçant la nuit sont aveugles le jour,

ne peut révéler le mystère de la lumière.

Et si vous voulez vraiment apercevoir l'esprit de la mort,

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ouvrez grand votre cœur dans le corps de la vie.

Car la vie et la mort sont une,

de même que le fleuve et l'océan sont un.

Dans les profondeurs de vos espoirs et de vos désirs,

réside votre silencieuse connaissance de l'au-delà ;

Et comme des graines rêvant sous la neige,

votre cœur rêve du printemps.

Ayez confiance dans les rêves,

car en eux est cachée la porte de l'éternité.

Votre peur de la mort n'est autre que le frémissement du berger,

alors qu'il se tient devant le roi

dont la main va se poser sur lui pour l'honorer.

Le berger n'est-il pas ravi, malgré son tremblement,

de porter la marque du roi ?

Pourtant, n'est-il pas plus conscient encore de son tremblement ?

Car qu'est-ce que mourir, si ce n'est être debout, nu,

face au vent et fondre dans le soleil ?

Et qu'est-ce que cesser de respirer sinon

libérer le souffle de ses marées tempétueuses,

afin qu'il s'élève et se dilate et recherche Dieu sans entraves ?

C'est seulement quand vous aurez bu à la rivière du silence

que vous chanterez vraiment.

Et quand vous aurez atteint le sommet de la montagne,

vous commencerez votre ascension.

Et quand la terre réclamera vos membres,

alors vous danserez vraiment. »

LE PROPHETE - Khalil Gibran

Ils ont dit : « La mort n’est pas une chose, une chose à éviter, à différer, mais plutôt une compagne de chaque jour. De cette perception naît alors un sens extraordinaire de l’immensité. » (Jiddu KRISHNAMURTI) « Celui qui sait sa mort certaine et cesse d’en souffrir peut se repaître de chaque instant. » (Patrice LEPAGE) « Nous deviendrons réellement libres lorsque nous aurons réappris à dépasser la mort, lorsque nous aurons franchi cette frontière mentale qui permet l’harmonie avec soi-même. » (Théo ANGELOPOULOS) « Pour savoir ce qu’il y a après la mort, il suffit de savoir ce qu’il y a avant la vie. » (Théo ZACHMANN) « Si la mort n’est rien, le " mourir " est difficile. » (Françoise CHANDERNAGOR)

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« Chaque souffle nous rapproche de la mort. » (Hazrat ALI) « La mort n’est que la dernière nuance de la vie. » (BUFFON) « La mort, c’est le début de l’extase où l’âme ravie entrevoit la vision béatifique. » (Régis JARROSSON) « L’homme est un animal qui a la faculté de penser quelquefois à la mort. » (Jules RENARD) « Invisibles, nos morts ne sont pas des absents. Anges de foyers, ils sont toujours présents. » (ANONYME) « Vivre, c’est momentanément échapper à la mort. » (Ruppert BARNES) « Il faut songer quelquefois à la mort, cette seule pensée peut nous apprendre à bien vivre. » (Chevalier de Méré) Mais aussi : « Courage… la mort fait moins mal qu’on le croit. » (Hugo PRATT) « Nous savons que nous allons vers la mort et, face à cette occurrence inéluctable, nous n’avons qu’un instrument : le rire. » (Umberto ECO) « Je n’ai plus peur de la mort depuis que j’ai appris que je ne serai pas le premier à passer par là. » (Michel SERRAULT) « Nous ne sommes pas là pour pleurer les morts mais pour les prolonger, pour les continuer. » (François Mitterrand)

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« Aujourd’hui, jamais je ne pourrais revenir, je suis trop bien là où je suis. Jamais je ne voudrais être à votre place sur la terre ! Si tu voyais le centième de ce qu’il y a ici ! L’âme évolue très fort… » (Paroles d’Etienne)

Chapitre VI : La Vie dans l’Au-delà. Définitions de l'Au-delà. Larousse : Au-delà : (1) locution adverbiale et locution prépositive. Plus loin (que). (2) nom masculin invariable. L'au-delà : ce qui vient après la vie terrestre. Littré : Au-delà : locution adverbiale. Plus loin par rapport à un point déterminé par là. Grand Larousse encyclopédique en dix volumes : (extrait) Au-delà : (1) adverbe. Plus loin. (2) nom masculin. L'autre monde, la vie future. (3) Au-delà de : locution prépositive. Plus loin que. L'au-delà : un monde énigmatique ? L'au-delà. Ce mot désigne, dans la conscience populaire, un monde ténébreux, énigmatique et occulte, il est prononcé souvent à voix basse tant il est empreint de mystère et d'interrogation. Au-delà de quoi ? De notre vie en tant qu'êtres incarnés bien sûr. Comme nous l'avons vu au chapitre précédent, c'est par le portail de la mort que nous pénétrons dans l'au-delà. L'arrivée dans l'au-delà. Que se passe t-il effectivement lorsque nous arrivons dans l'au-delà ? Comme nous l'avons déjà évoqué, quelque soit l'événement qui a conduit à notre mort, c'est-à-dire un accident, une maladie, un suicide, un assassinat ou autre, la personne décédée est prise en charge dès son arrivée, ou plutôt dès le départ définitif de son corps de chair, parfois même avant pour les grands malades en phase terminale qui voient souvent des proches eux-mêmes décédés, les rejoindre avant leur mort proprement dite et ainsi les préparer au passage vers le monde qu'ils entrevoient déjà.

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La vie dans l’au-delà. La vie dans l'au-delà, loin d'être chaotique est parfaitement structurée. Il existe des stades d'élévation spirituelle que l'on n'atteint qu'après avoir terminé avec succès l'apprentissage dans le niveau précédent, un peu comme les études que l'on mène dans les écoles et les universités sur la Terre. Lorsque nous mourons donc, nous commençons à vivre dans l’au-delà. Mais qu’est-ce que l’au-delà ? Où se situe-t-il ? Qu'y fait-t-on ? Pour répondre à ces différentes questions, voyons les réponses, que certains décédés ont communiquées aux différents médiums qui sont entrés en contact avec eux, et qui sont retranscrites dans les témoignages qui suivent. Les témoignages. Où se situe l’au-delà ? « Votre monde est interpénétré par un autre monde dont la substance présente une fréquence supérieure à celle que vous pouvez capter. L’Univers est un tout immense. Mais vous n’en concevez que ce que vous voyez, entendez ou sentez. Croyez-moi, il existe un autre monde, d’une essence beaucoup plus fine que la matière physique, dans lequel règne la vie et dont vous ne pouvez vous faire une idée sur terre. L’Univers dans lequel je suis arrivé après ce que vous appelez la mort, est intimement lié à votre terre. Des couches de différentes épaisseurs entourent votre monde. » (Contact médiumnique avec une entité désincarnée dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre, pp. 156-157, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « L’au-delà se trouve au milieu de vous, parmi vous et ailleurs. Il n’y a pas de commencement ni de fin. C’est difficile pour vous de comprendre. » (Isabelle dans Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, p. 39, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). De quoi est fait l’au-delà ? « Notre monde n’est pas matériel, et pourtant, il est malgré tout réel, il est palpable et se compose d’une substance d’une fréquence beaucoup plus élevée que la matière qui constitue votre univers. C’est pourquoi notre esprit peut agir sur la substance de notre monde mais d’une manière différente de vous sur la matière du vôtre. Notre condition de vie est à l’image de notre esprit. L’environnement des bons est beau, celui des méchants, affreux. » (Contact médiumnique avec une entité désincarnée dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre, p. 156, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : Croyez-vous qu’il soit possible que vous viviez dans un monde de rêve où tout paraît réel, mais sans l’être ? Non, nous ne vivons pas dans un univers de rêve ; comme je l’ai déjà dit, nous vivons dans un monde réel, palpable, bien que les atomes qui le constituent soient différents de ceux qui constituent votre sphère. Notre esprit peut agir sur cette substance palpable d’une manière selon laquelle votre esprit ne peut pas, lui, agir sur votre monde. Vous vivez dans un monde aux vibrations plus lentes. » (Question à une entité désincarnée dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre, p. 159, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Tous ceux qui se trouvent au même stade, peuvent voir et toucher les mêmes choses. Si nous regardons un champ, c’est bien un champ que tout le monde aperçoit. Tout est

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identique pour ceux qui se situent au même niveau d’évolution spirituelle. Ce n’est pas un rêve. Nous pouvons nous asseoir ensemble et profiter de la compagnie des autres comme vous sur terre. Nous avons des livres et nous pouvons les lire. Nous avons les mêmes sentiments que vous. Nous pouvons faire de longues promenades dans la campagne ou rencontrer un ami que nous n’avons pas vu depuis longtemps. Nous cueillons des fleurs comme vous. Tout est palpable, mais d’une beauté d’un degré supérieur à tout ce qui se trouve sur la terre. Ici, les fleurs et les champs ne se flétrissent pas comme chez vous. Quand la vie végétale cesse sa croissance, elle disparaît tout simplement. Elle se dématérialise. Il n’y a ici qu’une seule chose comparable à ce que vous appelez la mort. Nous, nous la nommons, " transition ". Quand nous nous sommes suffisamment développés, nous passons à un autre stade, d’où il n’est plus aussi facile de revenir sur la terre. C’est ce phénomène que nous baptisons " la seconde mort ". Ceux qui ont subi ce deuxième passage peuvent revenir et nous rendre visite dans notre sphère, mais nous ne pouvons pas accéder à leur niveau tant que nous n’avons pas à notre tour franchi le pas… » (Contact médiumnique avec une entité désincarnée dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre, p. 161, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : tu nous parles très souvent de sphères qui caractérisent un niveau acquis. Y en a-t-il un nombre déterminé pour en arriver à la dernière ? Combien ? Peux-tu me le dire ? Réponse d’Isabelle : je parle de sphères, parce qu’il faut bien trouver un mot, un symbole … disons qu’en évoluant on " monte " vers une autre sphère (monter n’est pas exact !), cela se fait sans escalier, sans échelle, mais on évolue si on se laisse guider par l’amour et on a envie d’accéder à la dernière, car c’est le point de fusion totale. On peut quelquefois y arriver sans avoir à revivre une vie. » (Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, pp. 33-34, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « L’au-delà est composé de plusieurs sphères. Selon nos vies terrestres, nous débutons nos vraies vies dans l’un ou l’autre de ces plans de l’au-delà. Notre plus grand souci est de faire la mission que Dieu nous a confiée … L’au-delà est merveilleux. Le passage vers celui-ci peut se passer de différentes façons. Pour les humains qui croient à la vraie vie, ce sera la plus belle expérience de leur vie terrestre … la porte s’ouvrira après le passage dans un petit tunnel … Ce sera le début de votre Vraie Vie. Les gens, pour qui la mort est la fin de tout, auront un réel choc. Les premiers instants après leur mort, ils seront propulsés hors de leur corps. Une partie d’entre eux voudra retourner dans leur enveloppe. Avec amour, un messager de Dieu leur indiquera que leur temps sur terre est terminé … les humains qui ne sont pas prêts à abandonner le matérialisme de leur tristesse, verront la mort comme un malheur. Ils s’accrocheront de toutes leurs forces au sol, n’écoutant pas les appels de l’être qui essaie de leur faire comprendre qu’ils n’auront plus les mêmes besoins là où ils sont… Malgré cela ils décideront de rester, errant dans la nuit … ils resteront dans ce que vous appelez le bas-astral, jusqu’à ce qu’ils choisissent de s’élever vers le plan supérieur. » (Message de Lina dans Lina et Cathy MULLER, Passerelle vers l’au-delà, pp. 33 à 36, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : existe-t-il une hiérarchie à votre niveau ? Réponse d’Isabelle : pas vraiment. Je dirais plutôt des plans et des sphères. Suivant notre évolution, on peut rester au bas de l’échelle, mais on peut " grimper " si on le désire et si on se laisse porter par cette force qui nous attire. Dans chaque plan, il y a différents niveaux. Nous pouvons évoluer pour accéder à un niveau supérieur et ensuite changer de sphère. C’est difficile à expliquer, mais c’est toujours l’amour qui nous guide. » (Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, p. 17, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage)

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Description des sphères : enfer, bas-astral, sphères intermédiaires et sphères supérieures. Le bas-astral ou l’enfer. « Le bas-astral est un plan où les âmes qui refusent l’amour restent. Malheureuses, elles se rattachent à la vie terrestre et n’acceptent pas de s’élever… Vraie salle d’attente pour le bonheur, cette sphère est un endroit que ne connaissent pas les personnes qui ont des valeurs non intéressées par le matérialisme… » (Message de Lina dans Lina et Cathy MULLER, Passerelle vers l’au-delà, p. 38, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « On dit que l’enfer n’existe pas. Il est vrai qu’il n’y a pas dans les sphères spirituelles, un endroit tel que cela a souvent été décrit, avec le Diable et des flammes… Mais il y a de toute façon, une sorte d’enfer : c’est une existence très dure, où l’on souffre d’une privation totale de bonheur. Pourtant, on peut toujours " sortir de là "…..et cela par la prière et le désir sincère de s’améliorer. Et je sais aussi qu’il existe également une sorte de Purgatoire : dans ces sphères plus supportables, l’âme se purifie…..les guides des plans supérieurs pénètrent dans ces atmosphères très pénibles, pour y apporter leur aide. » (Axel à sa maman le 14/04/1984 dans Monique SIMONET, Images et messages de l’au-delà, pp.95-96, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : que sont les mondes " obscurs " ou " inférieurs " dont tu parles dans le livre ? Réponse d’Isabelle : ce sont ces sphères où grouillent toutes ces âmes torturées, torturantes. C’est un monde obscur, infernal et il faut aux guides " chargés " de ces sphères une sacrée dose d’évolution pour essayer d’aller les " repêcher "… » (Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, p. 25, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Le jour qui a suivi mon passage, je suis descendu dans la sphère terrestre en compagnie d’Oncle F et d’Oncle C. Pas pour venir chez vous mais pour aller là où règnent les conditions de vie du niveau le plus bas. C’est pire qu’un asile d’aliénés où chacun serait atteint d’une forme particulière de folie. Vous ne pouvez imaginer l’enfer que c’est… » (Contact médiumnique avec W.Y. chez le Dr Wickland dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre, p. 120, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Les sphères intermédiaires. « Du troisième au cinquième univers : les 3e, 4e et 5e univers sont des sphères intermédiaires entre le bas astral et le sommet de la pyramide. Ce sont des endroits merveilleux où les âmes continuent à grandir … pour nous, l’émerveillement pour ces lieux est magique et perpétuel. Les descriptions sont difficiles à faire, parce qu’il n’y a rien de comparable sur terre. Ce n’est pas le purgatoire qu’on vous a enseigné, c’est la promesse d’un vrai pardon que nous devons nous accorder à nous-mêmes … Nous sommes libres d’avancer à notre rythme, mais nous voulons nous élever rapidement car nous savons ce qui vaut la peine de progresser. Chaque plan (suivant) est encore plus extraordinaire et lumineux. » (Message de Lina dans Lina et Cathy MULLER, Passerelle vers l’au-delà, p. 40, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Maman, je voudrais que tu puisses voir comme c’est beau ici. Il y a tellement de lumière ... tout est lumineux et resplendissant… » (Axel à sa maman dans Monique SIMONET, Images et messages de l’au-delà, p.56, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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Les sixième et septième sphères. « Quand nous sommes à ce niveau, les mots de votre vocabulaire sont trop limités pour décrire ce paradis ...Tout est perfection et beauté. Nous vivons en parfaite harmonie, y compris tous les enfants, car ils viennent très vite à cet ultime éden … pour nous la vie est un délice, car ici tout est merveilleux. Dieu est omniprésent et son paradis fait de nous de très universels messagers de l’au-delà. Nous pouvons tout comprendre, de la vie sur terre aux mystères de la spiritualité… » (Message de Lina dans Lina et Cathy MULLER, Passerelle vers l’au-delà, p. 41, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Sur les contacts entre les sphères. A la question de savoir si Axel a vu Stéphane : « c’est difficile de le joindre car il se trouve dans un plan inaccessible pour moi. Mais bien que je ne puisse pas y aller, oui, je l’ai vu, car lui est venu jusqu’à moi. Stéphane peut toujours descendre parmi nous, et aussi près de ses parents… » (Axel à sa maman le 29/01/1984 dans Monique SIMONET, Images et messages de l’au-delà, p. 79, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

Un témoignage sur le passage des sphères inférieures à un premier plan supérieur. « Depuis la Terre, la sphère la plus proche du Soleil est la plus élevée. A l’inverse, la plus éloignée représente la plus basse. Chaque sphère se subdivise en douze couches si imbriquées les unes dans les autres qu’on passe de l’une à l’autre pratiquement sans s’en rendre compte. Jusqu’à présent, j’avais vécu sur la sphère du " plan terrestre " semblable à une ceinture entourant la terre et pénétrant dans son atmosphère. Elle englobe dans ses limites les premières sphères supérieures et inférieures car elle regroupe les esprits encore liés à la terre. … On m’expliqua alors que je m’étais tellement libéré de cette attraction et avais si bien maîtrisé mes désirs terrestres que j’étais à présent apte à me rendre dans la seconde sphère. Le passage d’une sphère à l’autre est fréquent, il a lieu pendant un profond sommeil (qui n’est pas sans rappeler celui de la mort lorsque l’esprit quitte le corps physique). Au fur et à mesure que l’esprit s’élève, sa nature devient de plus en plus éthérée et s’accompagne d’une conscience plus ouverte. Cette " élévation " équivaut à remplacer ses vêtements par d’autres, plus élégants ou à se dépouiller d’une enveloppe spirituelle pour une nouvelle plus subtile… Par exemple, de retour de l’une de mes visites sur Terre, je me sentis une sorte d’engourdissement plus proche d’une paralysie du cerveau que du sommeil. Je me retirai alors dans ma petite chambre du Pays du crépuscule (NDLR : le nom de la

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première sphère de l’au-delà donné par Farnese) et sombrai subitement dans un sommeil sans rêves. Je restai dans cet état pendant environ deux semaines, en temps terrestre, et mon âme abandonna soudain mon corps astral défiguré et difforme pour un corps éthérique nouveau, plus étincelant et plus pur … Alors mon corps astral fut dissout et ses éléments se mêlèrent à ceux qui composent le plan terrestre tout comme sur terre un cadavre se désintègre. Ce fut ma seconde mort. Emergeant du sommeil de la mort pour la seconde fois, je découvris cette fois que le cadre était nettement plus agréable dans le Monde de l’Esprit. Enfin de la lumière ! La lumière d’un jour sans soleil par temps couvert … Mais quelle bénédiction ! Cela me changeait du crépuscule lugubre et de la nuit noire. Maintenant je me trouvais dans une chambre modeste mais confortable comme on peut en voir sur Terre, allongé sur un lit au matelas moelleux rempli de duvet blanc. Devant moi s’ouvrait une grande fenêtre donnant sur un paysage bucolique aux collines vallonnées. On ne voyait ni arbres ni arbustes et pratiquement pas de fleurs à l’exception de quelques-unes très banales. Contrairement au Pays du Crépuscule dont le sol était invariablement dur et dénudé, on trouvait ici des fougères et de l’herbe. Cette région s’appelait La terre de l’Aube et la lumière qui y brillait ressemblait effectivement à celle qui précède le lever du jour, juste avant que les rayons du soleil ne viennent réchauffer la terre. … La chambre comportait tout le nécessaire pour mener une vie agréable et n’avait plus rien à voir avec mes chambres précédentes aux allures de prison … Mes yeux, fatigués par les sphères inférieures, goûtaient dans cette contemplation un repos empreint de paix. Réalisant que je m’étais ainsi élevé à une vie nouvelle, je me sentis empli d’un indicible sentiment de gratitude. Je finis par m’éloigner de la fenêtre, et, apercevant une sorte de miroir " normal ", je voulus voir les changements produits en moi et fis un véritable bond en arrière avec un cri de surprise et de joie. Etait-ce bien moi ? Je regardai et regardai, encore et encore. Oui ! C’était bien moi ! J’avais rajeuni ! ...Tandis que je méditais, la porte s’ouvrit : un esprit se glissa dans ma chambre, vêtu, comme moi, d’une longue robe bleu foncé, agrémentée de bordures jaunes… Il venait m’inviter à un dîner offert en mon honneur et en celui de tous les nouveaux arrivés d’une sphère inférieure … » (Extraits de témoignage de Farnese dans Pierre JOVANOVIC et Anne-Marie BRUYANT, L’explorateur de l’au-delà, extraits des pages 65 à 68, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Comment vit-on dans l’au-delà ? Qu’y fait-on ? La vie dans l’au-delà. « Nous avons des ruisseaux et des montagnes pas très hautes, nous avons des vallées et des collines où les âmes peuvent se promener tranquillement. Il y a peu de bruit et ceux que nous entendons sont ceux de la nature. Tout est beau et bien vert et les fleurs sont magnifiques mais on ne les coupe pas. Nous n’avons pas besoin de dormir mais nous pouvons nous relaxer dans les jardins. La fatigue n’existe pas, il y a encore beaucoup de chose que je dois apprendre… Non maman, pas plus que sur terre, tu ne pourras voir Dieu ici, on croit et c’est tout. Toutes les âmes sont dans l’amour de Dieu. Certaines gardent quelques coutumes de leur religion, on apprend comment gérer notre vie, sans temps, sans espace. On apprend vite la façon de se déplacer, de voir, d’entendre, de se manifester, mais ce n’est pas facile au début… » (Paroles de Karine dans Karine après la vie, p. 107, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Ma vie dans les sphères de lumière est celle de tous les guides. Il n’y a pas de temps, ni de sensation de durée, je ne sais même plus depuis quand j’ai quitté la terre. Je suis tellement heureux qu’il me semble que j’ai toujours été dans cette paix, dans ce sentiment d’épanouissement, dans ces ailes déployées d’oiseaux d’or qui vont de monts

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en monts, de cimes en cimes, de planètes en planètes. Parfois je suis sur telle ou telle autre planète suivant les voyages de guides instructeurs qui nous emmènent et moi-même j’en reviens, chargé d’ondes, d’enseignements et de richesses. » (CHRISTOPHE dans Paroles de Lumière, p. 41, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Dans le monde de l’esprit, l’être humain est libre à tous égards, libre de travailler ou de ne rien faire, libre de faire le Bien ou le Mal, d’attirer bénédiction ou malédiction. Mais il vivra dans la sphère qui lui correspond, où il recevra l’aide pour accéder à une autre sphère plus élevée. Ainsi le Bien n’a besoin d’aucune protection contre le Mal, chacun occupant un niveau différent, ce qui équivaut à une barrière insurmontable. Ceux du niveau supérieur ont toujours la possibilité de descendre pour aider ceux du dessous, mais entre eux se trouve un énorme fossé infranchissable pour les seconds… » (Message de Farnese dans Pierre JOVANOVIC et Anne-Marie BRUYANT, L’explorateur de l’au-delà, p. 64, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Nous pouvons décider de la mission dont nous avons envie. Dieu ou nos guides nous proposent plusieurs possibilités, du plus petit au plus grand travail. Selon nos aptitudes, nous avons le choix entre des actions dirigées vers l’humanitaire ou vers l’organisation des sphères dans lesquelles nous vivons. » (Message de Lina dans Lina et Cathy MULLER, Passerelle vers l’au-delà, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : en ce qui concerne vos missions, la majeure partie du temps, vers quel domaine sont-elles orientées ? Serait-ce juste si je disais vers l’Amour ? Réponse d’Isabelle : nos missions sont en fonction de ce que nous sommes, de nos dons, de nos qualités, de notre personnalité. Il est certain que l’amour est la chose la plus importante, primordiale même, et dans votre monde et dans le nôtre (mais pour nous, c’est tellement plus facile !)… » (Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, p. 33, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « … le monde où je vis est très comparable mais aussi très différent, ce n’est pas facile à expliquer. Nous vivons avec des normes qui ne sont pas les mêmes. Nous ne pensons qu’à faire le bien pour ceux qui sont restés sur terre, nous avons la même mission qui est d’aider, chacun attend ou a besoin de savoir des choses différentes, mais nous sommes toujours avec vous, merci, surtout pour ne pas avoir cru que tout était fini… » (Message de Karine à sa maman dans Karine après la vie, p.99, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : votre temps libre est-il occupé à cent pour cent et de quelle manière ? Réponse d’Isabelle : comme je l’ai déjà dit, de multiples occupations, suivant nos dons, nos qualités, nos missions. Mais aussi des " récréations " : nous nous regroupons par affinités, nous nous promenons (là où nous le désirons)… » (Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, p. 21, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Description de diverses missions dans l’au-delà. Missions dans les sphères inférieures. « ... Je vous ai déjà dit que je ne m’occupais plus d’enfants, mais de vieillards dont certains sont tellement entêtés qu’ils refusent toute aide. D’eux-mêmes, ils ne veulent pas avancer d’un pas … chez certains, je crois parfois avoir trouvé un angle d’approche : ils se laissent aborder, finissent par sortir de leur torpeur et acceptent de coopérer. Mais dès la fois suivante, je suis bien obligée de constater que tout est à reprendre comme avant. Ce ne sont pas des malades dont on peut avoir pitié, mais des êtres responsables de leur propre malheur, si dur que ce jugement puisse paraître. Ils sont dans une situation qui ne leur permet pas d’autre comportement que celui qu’ils adoptent.

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Question de W. Schiebeler : une situation déterminée par leur vie sur terre ou par leur attitude dans l’au-delà ? Réponse de Magdalena : à la fois par leur vie terrestre et leur attitude ici. On ne se change pas du jour au lendemain. Nombre d’entre eux ne veulent tout simplement pas admettre que la vie se poursuit, que l’on continue à évoluer et que l’on peut aller vers les autres. Mais j’ai aussi rencontré des êtres qui savaient parfaitement qu’ils étaient morts et qui restaient néanmoins enchaînés à la terre et prenaient un malin plaisir à influencer des hommes de votre terre, à les troubler, à les angoisser… » (Un esprit nommé Magdalena chez le Dr Wickland le 11 septembre 1986 dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre, pp. 128-129, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Lorsque je retournai dans Le Pays de l’Esprit, mon père m’accompagna. Au cours de l’une de nos conversations, il me révéla qu’une expédition était sur le point de partir de la sphère où nous nous trouvions. Il s’agissait d’envoyer dans la sphère la plus basse de toutes (connue comme " L’enfer ") une équipe d’esprits qui travailleraient en tant que " sauveteurs ". Nous ne savions pas combien de temps durerait l’expédition mais un travail devrait être fait, et comme une armée d’occupation, nous resterions jusqu’à ce que la mission soit accomplie. » (Témoignage De Farnese dans Pierre JOVANOVIC et Anne-Marie BRUYANT, L’explorateur de l’au-delà, p. 74, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Missions d’accueil des nouveaux arrivants dans l’au-delà. « Je veux te parler de ma mission, maman. Elle consiste à accueillir les enfants qui meurent, en particulier ceux qui meurent de faim. C’est terrible, ils arrivent ici " par wagons ". Maman, il ne faut pas jeter la nourriture. Il y a tous ces gens qui meurent de faim. » (Message d’Axel à sa maman dans Monique SIMONET, Images et messages de l’au-delà, p. 53, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Missions vers la Terre. « Je suis bien là où je suis, heureux et entouré de 71 personnes. Avec ce groupe nous luttons, nous faisons en sorte depuis l’an dernier de venir en aide à cette pauvre population qui va souffrir. Ma mission est celle d’aider. » (Contact avec Etienne chez le médium Pascal Riolo le 18 mars 2003). (NDLR : il semblerait que cette mission dont parlait à ce moment Etienne était d’aider les populations d’Irak dont le conflit avec les Etats-Unis allait commencer les jours suivants…). Retrouve-t-on sa famille dans l’au-delà ? « Pour la famille, c’est différent, nous ne vivons pas ensemble bien sûr, nous pouvons nous voir quand nous voulons mais chacun vit dans un endroit différent. Papy a retrouvé sa famille et il est heureux … Nous sommes répartis par niveau. Je suis avec un groupe de jeunes, comme moi, qui avons les mêmes affinités… » (Paroles de Karine dans Karine après la vie, p. 105, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Le temps dans l’au-delà. « Question : une notion de temps existe-t-elle pour vous ? Si oui, à quoi pourrait-elle correspondre pour nous ? Réponse d’Isabelle : il n’y a plus de notion de temps. On ne peut pas trouver de correspondance avec votre temps. Nous vivons dans l’intemporel, dans un présent éternel qui ne se mesure pas. C’est difficile de comprendre cela pour vous qui vivez avec montres, pendules, hiver, été, etc. » (Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, p. 19, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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A quoi ressemble un être désincarné ? « Question de Werner Schiebeler à une personne décédée : je ne peux pas te voir. Mais si je le pouvais, à quoi ressemblerais-tu ? Réponse : j’ai un corps qui est la réplique de mon corps terrestre, avec les mêmes mains, les mêmes jambes, les mêmes pieds, qui se meuvent comme les vôtres. Ce corps éthéré que j’avais déjà sur terre, pénétrait mon corps physique. Le corps éthéré est le vrai corps et c’est une copie absolument conforme de notre corps terrestre. Au moment de la mort, nous nous détachons de notre enveloppe charnelle et poursuivons notre vie dans le monde éthéré ; nous agissons au travers de notre corps subtil exactement comme sur terre nous agissions au travers de notre corps physique. Pour nous, ce corps éthéré possède actuellement autant de substance qu’en possédait notre corps physique lorsque nous vivions encore sur terre. Nous avons les mêmes sensations. Quand nous touchons un objet, nous pouvons le sentir ; quand nous regardons quelque chose, nous pouvons le voir. Bien que notre corps ne soit pas matériel, au sens où vous l’entendez, il a pourtant une forme, des traits du visage et une expression. Nous nous déplaçons de lieu en lieu, comme vous, mais beaucoup plus vite que vous. » (Témoignage d’une entité désincarnée dans Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre, p. 160, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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Ange divin, qui mes plaies embaume, le truchement et le héraut des dieux,

de quelle porte es-tu coulé des cieux, pour soulager les peines de mon âme ?

Pierre de RONSARD

Chapitre VII : Les Hiérarchies célestes Définition des Anges. (Encyclopédie en ligne wikipédia,http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil). Dans plusieurs religions, dont la religion chrétienne, le Judaïsme et l’Islam, les anges sont des êtres créés par Dieu avant les hommes, dont le rôle principal est d’être les messagers de Dieu (d’où leur nom, cf. ci-dessous). Trois anges sont nommés par leur nom dans la Bible, et bien davantage dans la Kabbale*. Les anges sont de purs esprits (donc sans corps, bien que capables de prendre apparence humaine quand leur mission l’exige). Leur intelligence est parfaite : une fois un choix effectué, ils ne peuvent changer d’avis. Ainsi, la religion chrétienne présente les démons comme des anges déchus ayant choisi, par orgueil, de ne pas obéir à Dieu. Pour ceux qui n’y croient pas, les anges sont de simples créatures imaginaires. Le mot vient du latin angelus, lui-même provenant du grec ἄγγελος, ággelos, signifiant messager. Le mot hébreu le plus proche est מלאך, mal’ach, signifiant également messager. Les anges étant de purs esprits, ils n’ont par conséquent pas de corps. Leur représentation populaire est donc symbolique, comme c’est souvent le cas :

• Leur grande beauté représente leur plus grande perfection ; • La blancheur de leur vêtement représente leur pureté ; • Leurs ailes symbolisent leur promptitude. N’étant pas matériels, les anges n’ont

bien sûr pas besoin d’ailes ! • Comme Dieu, les anges sont toujours représentés sous des traits masculins.

Etant de purs esprits, ils n’ont évidemment pas de sexe. Les neuf chœurs des anges. La hiérarchie angélique retenue par les catholiques, est celle formalisée dans La Hiérarchie céleste du néo-platonicien pseudo-Denys l’Aréopagite. Elle comprend neuf chœurs d’anges qui sont, du rang le plus élevé au plus bas :

• Le chœur des séraphins • Le chœur des chérubins • Le chœur des trônes • Le chœur des dominations • Le chœur des vertus • Le chœur des puissances • Le chœur des principautés • Le chœur des archanges • Le chœur des anges

Il est important de noter que cette " hiérarchie " n’en est pas réellement une. La séparation entre les neuf chœurs des anges est plus liée à la différence de leurs

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fonctions. Il est tout de même avéré que certains anges sont supérieurs aux autres : le démon, Lucifer (dont le nom signifie porteur de la lumière), était le plus grand de tous les anges. Anges. Les anges sont les messagers de Dieu. La religion chrétienne va plus loin en ajoutant que chaque personne vivante possède un ange gardien, selon l'indication du Christ dans l'Evangile :" [A propos des enfants] leurs anges voient sans cesse la face du Père ". Les nations, les paroisses et autres groupements d'importance en posséderaient également, puisque l'Ange des apparitions de Fatima au Portugal (reconnues par l'Eglise catholique) s'est présenté comme étant " l'Ange du Portugal ". Archanges. Les archanges sont des anges réservés aux nouvelles de plus haute importance, comme l'Annonciation. L'archange Michel est le chef de la milice céleste, chargé de combattre le démon. Ils sont 7, tous saints :

• Michel (celui qui chassa le démon), • Raphaël, • Gabriel (l'Annonciation), • Sealtiel, • Uriel, • Jehudiel, • Barachiel.

Les Anges. Ange. Dès la plus petite enfance, ce mot nous est familier : souvent, une maman l’emploie lorsqu’elle s’adresse à son enfant en lui disant par exemple « Bonjour mon ange » ou bien « A tout à l’heure, sois sage mon ange. » Mais on l’utilise aussi pour désigner une personne qui n’est, selon nous, pas gentille ; on entend alors dire « Il ou elle, n’est pas un ange. » On s’en sert encore pour s’adresser aimablement à sa compagne ou à son compagnon. Enfin, dans des circonstances plus pénibles, on le retrouve encore lors du décès d’un tout petit enfant dont les funérailles sont qualifiées de messe d’ange. Bref, l’homme réserve une connotation généralement positive à ce mot, en l’employant pour désigner ce qui est pur, bon, sans tache. Mais qu’est ce qu’un ange ? Est-ce cet être diaphane, subtil, vêtu de blanc et arborant deux grandes ailes fixées dans le dos tel qu’il est représenté par la croyance populaire ? Peut-être, mais pas seulement.

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Les anges, ces messagers de Dieu, bien qu’empreints d’une spiritualité plus que supérieure à la nôtre, sont présents à nos côtés lors de notre vie terrestre, mais d’une façon extrêmement discrète : ils veillent sur nous et interviennent parfois directement dans notre destin lorsque nous sollicitons leur aide, si tant est que leur intervention est autorisée par Dieu. Ils sont nos guides et nos compagnons silencieux et invisibles, mais ô combien présents. Pour établir un contact plus direct, il nous appartient, comme cela est rappelé souvent dans ce livre, de faire silence et d’ouvrir notre cœur et notre esprit afin de permettre à ces patients compagnons de manifester leur présence bienveillante à nos côtés. En lisant les témoignages qui suivent, le lecteur pourra se rendre compte du niveau d’élévation spirituelle de ces êtres qui apparaissent hors de portée de notre raisonnement humain. Les témoignages. Qu’est-ce qu’un ange ? « A mon avis, un ange n’est pas une personne qui est décédée et est montée au ciel. J’entends souvent des gens dire : « J’ai perdu mon papa l’année dernière, mais maintenant je sens sa présence dans la maison et j’ai l’impression qu’il est notre ange gardien et veille sur nous ». C’est joli comme pensée et il est sans doute vrai que le père veille sur sa famille, mais techniquement parlant, les anges sont des créations distinctes. On dit dans les Ecritures qu’ils ont été créés avant la terre et l’humanité. Par conséquent, ils étaient là au tout début et ce sont des créations distinctes, purement spirituelles. Ils ont trois fonctions principales : ils adorent Dieu, servent d’intermédiaires entre la terre et le ciel, et veillent sur nous… » (Interview de Joan WESTER ANDERSON (conférencière, enseignante et écrivain) dans COLLECTIF, Les Anges, mystérieux messagers, p. 23, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

« Il y a des êtres spirituels qui, apparemment, appartiennent à une espèce différente de la nôtre. Bien des gens croient que les humains deviennent des anges après la mort ou après de nombreux cycles de vie et de mort. D’autres soutiennent que les anges appartiennent à une espèce différente, créée par Dieu au début des temps… Ce que nous savons, c’est qu’il y a des êtres que nous appelons des anges, qu’ils sont de notre côté et apportent chaleur et lumière dans un chatoiement de couleurs magnifiques. En les voyant, on ressent une tendresse, un amour insondable. Ils nous aiment plus que tout ce que nous pourrions imaginer… Les anges viennent mais n’aiment pas être vus. Ils ne veulent pas s’immiscer dans notre réalité. C’est pourquoi ils font en sorte de ne pas déranger notre perception de la réalité. Ils se manifestent sous forme de visions, de voix, d’intuitions, une petite tape sur l’épaule qui dit : « va là, ne va pas là ». Qui n’a jamais dit : « je savais que je n’aurais pas dû m’engager sur cette voie-là mais je ne me suis pas écouté ». Cette vague intuition est le chuchotement d’un ange ou la poussée de son aile… » (Interview de Sophy BURNHAM (dramaturge, journaliste, auteur du best-seller « Le livre des anges » dans COLLECTIF, Les Anges, mystérieux messagers, pp.83-84, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

« Un ange est un être spirituel fondamentalement différent des humains. Je crois que Dieu a créé les anges il y a très longtemps, avant la terre même. Les esprits célestes forment une société qui a pour fonction d’adorer Dieu et d’exécuter ses ordres sur la terre. » (Interview d’Eileen ELIAS FREEMAN (professeur de théologie et auteur de best-sellers sur les anges) dans COLLECTIF, Les Anges, mystérieux messagers, p. 102, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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A quoi ressemblent les anges ? Réponse de Sargolais, compagnon angélique d’Andrew (un des auteurs du livre cité ci-après) : « Il m’est difficile de répondre. Les physiciens rencontrent le même problème en essayant de déterminer ce qu’est un électron. Est-ce une particule ou une onde ? Est-il à un seul endroit au même moment ou à plusieurs à la fois ? C’est la même chose avec les anges. Nos corps se trouvent dans plusieurs lieux en même temps ou dans tous ces lieux à la fois. Comment dessiner un ange ou le prendre en photo ? Vous ne le pouvez pas. Nous pouvons ralentir nos vibrations de manière à apparaître en un seul lieu et à un instant donné, mais si nous le faisons, c’est pour vous. Si vos sens subtils étaient complètement développés comme ils le seront dans votre histoire future, vous pourriez peut-être nous voir comme des êtres rayonnants vibrant de lumière. Cette lumière n’est pas la même que celle qui émane d’un soleil, d’un feu ou d’une ampoule électrique. C’est une lumière beaucoup plus subtile qui se diffuse partout… » (Message de Sargolais à Andrew RAMER dans Alma DANIEL, Timothy WYLLIE et Andrew RAMER, Demandez à vos anges, p. 32, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

Interventions d’anges dans des situations dramatiques. « Une jeune femme m’écrivit pour me raconter l’incident qui était arrivé à son fils Mark. La mère et le fils vivaient en Floride, dans une région très peuplée et infestée de serpents. Les enfants avaient appris à être prudents. Un jour, Mark, qui avait alors treize ans, se promenait avec son fusil et son chien quand il marcha sur un énorme serpent à sonnettes qui le mordit à la cheville dans une veine principale. Sa mère se trouvait à la maison quand elle vit son fils franchir le seuil en titubant et s’évanouir en murmurant : « j’ai été mordu ». C’était là la seule information qu’elle possédait. Elle vit que sa cheville avait enflé au point d’atteindre deux ou trois fois sa taille normale. A grand-peine, elle transporta son fils à l’hôpital. Il entra dans le coma et les médecins crurent qu’il perdrait sa jambe. Puis ils eurent la certitude qu’il mourrait. Ce ne fut pas le cas. Mark émergea du coma, et quelques jours plus tard, le médecin et sa famille purent l’interroger sur ce qui s’était passé. Il commença par dire qu’il avait été mordu par un serpent à environ deux ou trois cents mètres de la maison, mais le médecin intervint aussitôt : « oh non, tu ne devais pas être aussi loin de la maison car tu n’aurais pas pu couvrir une distance aussi grande avec tout ce venin qui se trouvait déjà dans ta jambe ». Mark répondit qu’il ne l’avait pas franchie à pied. Qu’un homme vêtu de blanc l’avait pris dans ses bras très tendrement et porté jusqu’à la maison. Or Mark était un adolescent grand et lourd, mais l’homme le porta jusque chez lui et lui dit qu’il serait très malade mais qu’il s’en sortirait. Ils demandèrent à Mark s’il avait vu le visage de l’homme et il répondit non parce que sa joue reposait sur l’épaule de celui-ci. Mais il s’était senti merveilleusement bien et aimé, et il s’est remémoré le message de l’homme quand il avait peur et souffrait à l’hôpital. L’homme avait simplement monté les treize marches qui menaient à la maison, il avait ouvert la porte, qui était verrouillée, et déposé Mark en sécurité à l’intérieur. » (Témoignage de Joan WESTER ANDERSON (écrivain) dans COLLECTIF, Les Anges, mystérieux messagers, pp. 27-28, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Anges consolateurs. « L’une des histoires qui figurent dans mon livre sur les enfants et les anges me tient à cœur parce que j’avais moi-même un enfant qui souffrait de difficultés d’apprentissage. A cette époque, les gens ne comprenaient pas ce problème aussi bien qu’aujourd’hui, et mon fils était persuadé que quelque chose clochait chez lui. L’histoire dont il est question met en cause une fillette aux prises avec le même problème. Quand elle se trouve en classe, son pied ne cesse de battre le sol malgré elle. Le professeur lui enjoint de cesser de se tortiller. Et la fillette pense : « pied, arrête de frapper ». Mais au bout de quelques minutes, le pied recommence à battre le sol. On sent que l’enfant est très agitée. Les lignes de son cahier ressemblent à des gribouillis pour elle : tous les autres comprennent ce qui est écrit, sauf elle. Elle souffre d’une forme de dyslexie, mais elle l’ignore. Elle se

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sent affreusement cloche. Un jour, son professeur se met en colère et l’expulse de la classe. La petite se rend à la bibliothèque, met sa tête sur ses bras et fond en larmes. Elle se dit qu’elle est laide et bête et ainsi de suite. Soudain, elle sent une main sur son épaule, comme une sorte de massage léger, et elle entend une voix d’homme dire : « Tout va bien, petite Laura, tout ira bien, ne t’inquiète pas ». Puis elle ressent une infusion de force, d’amour et de confiance. Elle finit par se retourner, le visage encore baigné de larmes, mais elle ne voit personne. Cependant elle est apaisée et a l’impression que rien ne sera plus comme avant. Effectivement, un an plus tard, une personne merveilleuse lui fait passer des tests, découvre son problème et lui enseigne une nouvelle façon d’apprendre. La petite fille n’a jamais oublié cette main, le toucher de cette main… » (Interview de Joan WESTER ANDERSON (écrivain) dans COLLECTIF, Les Anges, mystérieux messagers, pp. 34-35, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Comment je fis la connaissance de mon ange (extraits). « A l’âge de six ans et alors que je vivais à Long Island dans l’Etat de New York, je construisis au sommet de la bibliothèque de ma chambre ce que j’appellerais aujourd’hui au autel. J’y disposai deux figurines en céramique, un cow-boy et un ange. Le cow-boy était acceptable en 1957 pour une famille du centre gauche, mais mes parents refusèrent de me laisser l’ange plus longtemps. Il représentait toutes les superstitions qu’ils essayaient de rejeter dans l’oubli. Mais j’étais un enfant têtu et ils cédèrent finalement à mes désirs… Enfant, j’entendais souvent des voix, à l’état de veille et dans mes rêves. Je ne me souviens pas d’avoir fait le lien entre ma passion pour les Anges et ces voix mais j’appris très jeune qu’il valait mieux ne pas en faire mention. Cela énervait tout le monde, surtout lorsque je devins plus âgé. Les grands garçons ne sont pas supposés entendre des voix… A l’époque où j’entrai à l’université les voix n’avaient pas encore disparu, mais j’avais appris avec succès à les refouler… C’est à l’automne 1969 que je débutai mon premier trimestre à l’université. Je vivais à Santa Barbara en Californie et j’étais très actif au niveau politique, participant notamment au mouvement contre la guerre. Mais en même temps je découvrais le yoga et les techniques méditatives orientales qui commençaient à devenir populaires aux Etats-Unis. « Ecoute ta voix intérieure ». C’était ce que nous répétait sans cesse un de nos maîtres. Je m’autorisais à écouter de nouveau les voix, chose que je n’avais pas faite depuis dix ans, à titre d’essai. « Si je commence à devenir fou, je m’arrête ! ». J’étais fermement résolu à tenir ma promesse. Je n’avais pas la moindre idée de ce qui se cachait derrière ces voix. Il me fallut sept années pour diminuer suffisamment mon propre bavardage intérieur pour qu’il me soit enfin possible d’entendre à nouveau des phrases et des paragraphes entiers. … Lorsque mon amie Linda Sherwood me donna un exemplaire du livre Seth parle, je m’en moquai. Il me fallut attendre la moitié du livre pour réaliser que je faisais exactement la même chose que l’auteur Jane Roberts, écouter. … En 1976, j’étais en pleine recherche spirituelle. Je méditais, pratiquais le yoga, donnais des consultations, et transcrivais des centaines de pages sous la dictée de mes guides. Sous leur égide, j’étudiais l’époque de l’ère glaciaire et découvrais la vie sur plusieurs autres planètes… En 1979 j’étais à Los Angeles pour prendre soin de mon père qui s’acheminait lentement vers la fin. Une nuit, le téléphone se mit à sonner. C’était mon amie Harriet Goldman qui appelait de New York pour me dire qu’un réacteur nucléaire était sur le point d’exploser en un lieu dont je n’avais jamais entendu parler, Three Mile Island. Harriet et moi avions souvent prié et médité ensemble. Quand elle me dit, « on doit absolument faire quelque chose », je compris exactement ce qu’elle voulait dire. Je raccrochai le combiné et m’apprêtai à méditer lorsque soudain je fus happé hors de mon corps par une force invisible. D’un seul coup je me retrouvai flottant dans les airs en compagnie d’un grand nombre d’autres êtres. Nous formions deux grands cercles lumineux autour de la centrale nucléaire. Je savais que notre présence allait empêcher le réacteur d’exploser. Après avoir réintégré mon corps, j’appelai Harriet pour lui dire que tout se passerait bien. Puis je branchai la télévision pour regarder les nouvelles. Là, sur l’écran, se trouvait exactement la même centrale nucléaire que j’avais vu d’en haut. Le présentateur ne mentionna pas les deux cercles d’êtres lumineux. Autant que je me souvienne, un grand

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nombre d’entre eux étaient des Anges. Trois années passèrent durant lesquelles je continuai à travailler avec mes guides … Une nuit, au printemps 1982, alors que j’étais en train de méditer, assis sur le sol de ma chambre, un Ange m’apparut. Il mesurait environ deux mètres de haut, sa peau était noire. Il avait des cheveux, des yeux d’or et des ailes couleur or. Il flottait à environ dix centimètres du sol. Ma première réaction fut la colère. Le genre de méditation que je faisais était supposé vider mon esprit et non le remplir de lumière dorée. Passe encore de communiquer avec des guides et des déesses, mais toute ma peur intériorisée et les critiques que je m’adressais à propos de ces voix que j’entendais s’étaient concentrées sur les Anges. Aussi, je rentrai à nouveau dans ma coquille. A cet instant précis il disparut, mais je sentais toujours sa présence. Et il continuait à m’irradier de tant d’amour que je dus m’ouvrir à nouveau à sa présence. Il sourit et me demanda de déployer mes ailes ... Dès lors, pendant des semaines, je communiquai avec lui chaque nuit. Il m’emmena en voyage, me parla et m’enseigna diverses choses. Longtemps je ne parlais à personne de son existence, ni qu’il m’avait dit s’appeler Gabriel. Je ne mentionnais pas non plus que l’Ange qu’il amenait parfois avec lui, celui qui avait une peau d’obsidienne, des yeux d’ambre et des ailes d’or se prénommait Raphaël. Ce n’est pas le genre de choses dont on parle à Brooklyn. J’ai maintenant compris qu’ils sont tous membres de tribus d’anges portant chacune un nom générique. Il y a donc autant de Gabriel et de Raphaël que de Jennifer et de Jason sur le terrain de jeux de l’autre côté de la rue. Au début, les Anges me contactèrent de manière à ce que je puisse les voir. Mais lorsque je m’habituais à eux ils cessèrent de m’apparaître visuellement. Ils me révélèrent que le fait de ralentir suffisamment leurs vibrations pour pouvoir être vus des humains exigeait d’eux beaucoup d’efforts. Il leur est plus facile de communiquer avec nous par les sons … J’ai eu une autre vision d’ange. Une nuit, des mois après sa première apparition, alors que je m’étais habitué à lui parler sans le voir, Raphaël se manifesta de nouveau sous forme visuelle. Il n’avait pas changé, il ressemblait à un homme ailé. Mais à l’époque, la question du sexe des Anges m’intriguait et je lui posai la question. Sous mes yeux, il revêtit une apparence féminine. Sans me dire quoi que ce soit, je compris ce qu’elle me disait, que les Anges sont à la fois masculin et féminin. Puis je lui demandai si les Anges ressemblent réellement aux humains. D’abord elle se fondit en une sphère de deux mètres de diamètre environ, puis elle s’étira horizontalement sous la forme d’un dauphin ailé et doré de deux mètres trente de long qui flottait à environ un mètre du parquet de ma chambre. Je compris que les Anges apparaissaient à chaque être doué de sensibilité sous sa propre forme… Durant l’été 1985, un autre Ange, Gantol, entra dans ma vie et me dicta un livre sur les systèmes qui gèrent l’énergie subtile du corps humain… Par l’intermédiaire de Gantol, je rencontrai deux autres Anges qui avaient été désignés pour nous aider ma compagne et moi-même dans notre relation et pour travailler avec le groupe de méditations que nous menions… Dans le passage de mon journal concernant le 9 avril 1987, je mentionne un nouvel être qui s’était manifesté dans ma vie deux nuits plus tôt : " une énergie dorée, intense et hautement active ". (NDLR : l’auteur explique ensuite qu’il s’agit de son ange gardien qu’il avait déjà vu lorsqu’il avait trois ans et demi mais qu’il avait " occulté ") … Au cours des semaines suivantes, mon Ange et moi-même rétablîmes notre lien. Il m’apprit que son nom était Sargolais, qu’il m’avait toujours soutenu, à distance, attendant le moment où je serais assez fort pour chercher à nouveau de l’aide auprès de lui. … Ma relation avec Sargolais a transformé ma manière d’être dans le monde. Les informations que j’ai reçues de Sargolais m’ont permis d’agir avec plus de clarté et un sens plus profond de ma raison d’être… A travers ma relation avec Sargolais, j’ai pu donner des séances de communication spirituelles avec les Anges, et conduire des ateliers angéliques… » (Témoignage d’Andrew RAMER (extraits) dans Alma DANIEL, Timothy WYLLIE et Andrew RAMER, Demandez à vos anges, pp. 97 à 106, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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Conversation avec un ange. « Qui veut me parler ? Je suis l’ange chargé de veiller sur toi. Tu as demandé à Muriel quel était mon nom. Je vais te le communiquer : B.I.R.M.I.E.L. Je suis à ton service si tu as quelque chose à me demander. Oui, quelle est la mission des anges ? Préserver ta vie, tes pas. Lorsque tu es sur la route, je suis avec toi et pendant ton sommeil je t’accompagne dans les mondes que tu visites. Comment es-tu physiquement ? Si je t’apparaissais, je suis grand, mes cheveux sont blonds et tombent sur mes épaules. J’ai une longue robe blanche ceinturée à la taille. Cette ceinture est dorée. Aux pieds j’ai des sandales et je suis sous les ordres de l’archange Mikaël (= saint Michel). Pourrais-tu te manifester à moi ? Oui, tu vas entendre parler ou voir beaucoup d’anges prochainement. Ce sera mon clin d’œil. Tu peux me parler plus souvent. J’en serais ravi. Birmiel c’est le nom juste ? J’ai un doute sur ce que j’ai entendu. C’est le nom exact ! Sens-tu ma présence ? Oui, sur le sommet et le pourtour de la tête ! C’est moi, Birmiel. Je suis souvent avec toi ! » (Message reçu en channeling par Marie-Hélène le 9 juin 2003). " Coup de gueule " de l’archange Saint-Michel à l’égard des Etats-Unis (extraits). Ned Dougherty (Voie express pour le paradis) raconte : « J’arrivai dans un endroit dégagé. Je regardai le ciel noir, orné d’étoiles brillantes et fus submergé par l’émotion. Cette marche m’avait amené devant le mur du War Memorial qui jaillissait de terre. Encore une fois, j’étais debout devant la dalle de granit sur laquelle était gravé le nom de Dan. Je repensai à cette nuit de juillet lorsque j’avais quitté mon corps dans l’ambulance pour flotter, libre comme l’air, et être ensuite accueilli par lui. Cette soirée avait été le début d’un long et difficile chemin de découverte spirituelle qui n’en était qu’à ses débuts. Ce n’était donc pas par pure coïncidence que je me retrouvai devant ce mur. Au moment où mes doigts touchèrent le nom de Dan sur le mur, une énergie me traversa soudainement. Je sentis mon corps tomber sur le sol. J’en étais maintenant débarrassé et flottais au-dessus. Une lumière intense m’enveloppa. Je me trouvais en présence d’un être spirituel immense. Une voix extraordinaire emplit l’air, une voix retentissante, la voix la plus puissante que j’aie jamais entendue. C’était celle de l’Archange Saint-Michel. Et je sus instantanément qu’il allait me donner un message capital (NDLR : dont voici quelques extraits) : « Vos ancêtres ont créé une nation placée sous Dieu, avec la liberté et la justice pour tous. C’étaient des hommes avec des grands idéaux, spirituellement guidés et inspirés à créer une nation et une civilisation qui sera admirée et respectée, et qui donnera l’exemple au reste du monde… Pourtant ces hommes spirituels aux idéaux élevés ont été rapidement remplacés par d’autres qui, grâce au libre arbitre, ont choisi de privilégier leur ego, plutôt que Dieu, et de combattre le plan divin. Vous êtes devenus une nation d’exploiteurs, homme contre homme, frère contre frère, gouvernement contre citoyens, et la nation choisie est devenue un guerrier avec et contre d’autres nations. Vous assassinez dans les guerres. Vous tuez l’innocent. Vous tuez vos enfants. Vos dirigeants créent des lois pour justifier les meurtres, pour faire croire que ce qui est mauvais est juste, pour réécrire la morale et l’éthique afin de donner une légitimité à vos avidités et désirs terrestres. Vous êtes devenus une nation qui s’éloigne de plus en plus de l’esprit et de l’influence de Dieu. Vous avez créé des

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sciences et des philosophies pour encourager des activités qui ne reconnaissent que les réalités terrestres qui non seulement refusent de reconnaître la nature spirituelle de l’homme lui-même, mais qui refusent aussi de reconnaître l’existence de Dieu… Pourtant, Dieu a créé une nation aux grands idéaux afin que vous puissiez survivre à d’autres empires tombés dans l’oubli pour leurs dirigeants qui se sont crus au-dessus de Dieu, et maintenant ces empires et civilisations ne sont plus qu’un amas de poussière ou noyés sous les eaux. Vous êtes à l’aube d’un nouveau millénaire assuré pour le futur de l’humanité, et vous vous apprêtez, comme toutes les grandes civilisations du passé, à être réduits en un amas de cendres ou à être recouverts par les eaux. Mais une fois de plus, Dieu vient à vous pour vous supplier en tant que peuple, pour vous supplier en tant que nation, pour supplier vos dirigeants. Son armée d’anges vous visite avec une force d’énergie vitale, une énergie spirituelle émise par le Créateur à l’ensemble de l’humanité… Guidé par la prière et la méditation, tout homme, femme et enfant peut répondre à son appel, mais ce doit être le plus tôt possible. Il ne reste plus beaucoup de temps. Les anges arrivent ! Est-ce que vous les entendez ? Est-ce que vous les écoutez ? » (Message de l’archange Saint-Michel à Ned DOUGHERTY dans Voie express pour le paradis, pp. 137 à 139, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). (NDLR : Ce message aux Etats-Unis nous paraît pouvoir s’appliquer à tous les pays… Qu’en pensez-vous ?) Extrait d’interview du Dr Melvin MORSE, pédiatre-urgentiste, spécialiste des NDE. « Question : d’après vos recherches, dans quelle mesure les anges sont-ils présents dans les expériences de mort imminente (ou NDE) chez les enfants et les adultes ? Réponse : en ce qui concerne les enfants, les anges sont présents la plupart du temps, soit dans soixante à soixante-dix pour cent des cas pour ce qui touche mes propres recherches. La poignée d’autres rapports sur les enfants signalent la présence d’anges dans au moins la moitié des cas. Fait intéressant, les adultes qui font l’expérience de la vie après la mort voient des anges dans dix à quinze ou vingt pour cent des cas seulement. On dirait presque que les enfants entretiennent une relation particulière avec les anges car les rencontres avec les anges reviennent sans cesse dans leurs récits. Elles sont souvent très simples. Un garçonnet qui avait subi une opération banale faillit mourir à la suite de complications ayant provoqué trois arrêts cardiaques. Il me raconta qu’un ange se trouvait à son côté et qu’il descendait à toute vitesse dans un tunnel qui semblait éclairé par des balises d’atterrissage. C’est là la totalité de son expérience. Il ignore ce que l’ange faisait, où lui-même allait ou pourquoi. Parfois, les anges ne sont pas identifiés comme tels. Une fillette qui faillit mourir de complications reliées au diabète me raconta que trois médecins vêtus de blanc lui avaient donné le choix entre vivre ou mourir. « Comment savais-tu qu’ils étaient médecins ? » lui demandai-je. « Et bien, ils étaient très grands et tout blancs, une lumière blanche émanait d’eux et j’avais peur de les regarder ». Ce qui est intéressant, c’est qu’appartenant à une famille profondément athée, cette fillette n’avait pas reçu de véritable éducation religieuse. De sorte que, voyant ces hommes, elle assuma simplement qu’ils étaient médecins. Pourtant, les éléments de son expérience sont identiques. Les trois personnages lui proposèrent un choix en précisant que si elle venait avec eux elle ne reverrait jamais sa famille. Voilà de nouveau ce choix qui met en cause l’amour de la famille. Parfois, les expériences de type angélique sont très complexes. Un adolescent de quinze ans me raconta qu’à l’âge de cinq ans, il avait fait une chute de plus de six mètres en tombant du haut d’un fort qu’il avait construit lui-même. Pendant sa chute, un ange lui était apparu ; c’était une femme et il avait ressenti un immense amour pour elle. Jamais il n’avait éprouvé autant d’amour pour un être humain. Cette femme lui dit : « si tu places ta tête dans telle position, tu t’en tireras ». Sa mère raconte que lorsque son fils

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fut transporté à l’hôpital, les médecins déclarèrent qu’il avait failli se rompre la nuque et que seule la position dans laquelle se trouvait son corps lors de sa chute lui avait sauvé la vie. Le garçonnet explique donc sa survie par une histoire d’ange très complexe. » (Extrait d’interview de Melvin MORSE dans COLLECTIF, Les Anges, mystérieux messagers, pp. 202-203, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Les Hiérarchies angéliques et les guides. (Note de la rédaction : il nous a paru intéressant de vous livrer ici ce message délivré à Monique Matthieu. Il émane de la hiérarchie angélique. Il est un peu long, sans doute, mais l’effort en vaut la peine car il résume à lui tout seul tout ce qu’il faut connaître sur cette hiérarchie). « Nous allons essayer le plus simplement possible de répondre à vos interrogations par rapport aux anges, par rapport aux guides. Nous allons tout d’abord commencer par vous expliquer la tradition, la tradition orale, la tradition écrite. Depuis la nuit des temps, l’entité qui s’est incarnée sur ce monde a œuvré. Certaines entités de très haut niveau ont établi des bases qui sont entrées dans vos traditions ésotériques ou exotériques. Nous allons parler de quatre traditions différentes. Il a d’abord été donné à l’homme la tradition orale qu’il pouvait mettre en application. Cette tradition a été inspirée en fonction du degré de compréhension des êtres auxquels elle était destinée. Ce fut bien souvent la naissance de certaines religions. Cette tradition a été inspirée par rêve ou simplement par la connaissance de ceux qui l’ont instaurée, par leur évolution. Cette tradition a permis aux hommes en début d’évolution de comprendre, de s’éveiller davantage. Sur votre monde, il y a encore des êtres qui sont à un premier niveau de compréhension, au premier niveau du système évolutif, au niveau de leur propre conscience. En prenant pour base les religions quelles qu’elles soient, un autre niveau a été donné aux hommes, avec une conscience beaucoup plus élevée, mais quand même encadré par cette tradition. Ces êtres sont ceux qui sont capables de penser un petit peu au-delà de l’endroit où les ont mis certains dogmes ou certaines religions. Ces êtres sont également capables de découvrir en eux certaines choses qu’aucune tradition ne leur a forcément appris, ce sont eux-mêmes, en expérimentant, qui ont découvert la vraie tradition et le souvenir de certains de leurs acquis. A un autre niveau, il y a la grande tradition, la tradition kabbalistique, la tradition qui a été conservée depuis des civilisations très avancées pour d’autres civilisations très avancées. Mais cette tradition ne fait partie que de la connaissance de la troisième dimension, car elle n’est pas applicable à des niveaux de conscience beaucoup plus élevés faisant partie d’autres dimensions pouvant toutefois intervenir dans la troisième dimension. A ce niveau de tradition peut aussi se placer l’intervention d’autres entités n’appartenant pas à votre monde, dont la tradition invocatoire. Tout cela fait partie de ce troisième niveau de conscience à échelle humaine. Ensuite il y a un autre niveau que vous n’avez pas encore appréhendé parce que vous n’êtes pas en mesure de le faire, un niveau qui a aussi des interférences avec les autres niveaux de troisième, de quatrième dimension. A ce niveau là, ce sont des êtres totalement réalisés, mais pas réalisés dans la troisième dimension, réalisés dans la compréhension Divine. Ces êtres là influencent par ce qu’ils sont. Certains hommes peuvent capter l’enseignement qu’ils ont à donner, mais cet enseignement ne peut être reçu et perçu qu’à partir du moment où les êtres qui le captent en troisième dimension ont développé leurs facultés de l’esprit beaucoup plus que vous n’avez pu le faire. Donc ces êtres font partie des maîtres réalisés, des enseignants supérieurs, des " connaissants " sur cette troisième dimension. Il y a encore d’autres plans dont nous ne pouvons même pas vous parler car ils sont hors d’atteinte de votre compréhension. Nous voulions vous parler de cette tradition parce que vous mélangez un petit peu trop les choses. Ce n’est pas facile pour vous parce que vous avez reçu beaucoup d’enseignements religieux ou philosophiques, et vous arrivez à vous

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perdre dans tout ce qu’on vous a appris depuis de très nombreuses années ou même depuis de nombreux millénaires. Nous allons parler tout d’abord des Hiérarchies Angéliques. Les Hiérarchies Angéliques correspondent à l’enseignement Christique, à l’enseignement qu’a pu donner et mettre en place votre grand Frère d’Amour Sananda (NDLR = Jésus). Pour que les êtres humains puissent avoir une idée de ce qu’étaient les Hiérarchies, il fallait pouvoir les situer dans le temps et dans l’espace, il fallait aussi pouvoir les situer par rapport à eux- mêmes. On vous a donc parlé des Hiérarchies angéliques, qui existent, certes, mais pas comme cela a été systématiquement enseigné dans la tradition. Nous n’aimons pas employer les termes " Hiérarchies angéliques ", parce que les Hiérarchies angéliques se situent dans un contexte et que nous nous aimerions les situer hors de ce contexte. Un contexte est toujours limitatif dans la compréhension. Nous allons tout simplement dire qu’il y a des Hiérarchies qui sont là essentiellement pour donner leur Amour et aider au niveau de leur fréquence vibratoire très élevée. Ils aident non seulement les êtres des dimensions inférieures, mais ils donnent également une aide considérable à tous les êtres qui habitent l’Univers et qui sont encore dans des incarnations de matière. Ces hiérarchies ne se sont jamais incarnées. Pour votre confort, vous pouvez les appeler anges ou archanges. Si vous voulez leur demander leur aide, bien évidemment ils vous la donneront, ils répondront à votre demande en fonction de ce que vous attendez d’eux. Ils se manifesteront à vous en fonction de la vision que vous avez d’eux, de l’imagerie qu’on vous a donnée d’eux. En fait, tout fonctionne par rapport à l’image ou à la conscience que vous pouvez avoir des choses, des formes, de l’Amour et de toute la Création de la vie. Nous espérons qu’à ce premier niveau nous nous sommes un petit mieux fait comprendre, mais ce sera très difficile d’appréhender tout ce système hiérarchique et toute l’aide considérable que peuvent donner ces hiérarchies vraiment supérieures et jamais incarnées dans aucune matière qui œuvrent cependant de façon considérable à d’autres niveaux. Les niveaux d’aide que nous pouvons apporter dans l’Univers sont considérables. Il y a une multitude de fréquences, il y a une multitude de consciences qui s’éveillent au travers de ces fréquences, il y a aussi une multitude de fréquences d’Amour et de Lumière qui œuvrent pour pouvoir élever chaque jour davantage la Création vers la Lumière, vers la conscience de la Lumière et de l’Amour Universel. Nous allons vous parler de nos hiérarchies, de notre façon de fonctionner, de la façon de fonctionner des peuples de hautes vibrations, de tous les peuples vivant dans l’harmonie, de tous les peuples du ciel qui vivent dans la paix, dans la sérénité, dans l’Amour. Ils fonctionnent de la même façon que nous. Nous allons vous expliquer ce mode de fonctionnement. Sur votre monde de troisième dimension, votre mode de fonctionnement est toujours hiérarchisé dans le sens du pouvoir, de l’argent. Dans votre civilisation vous ne tenez que très peu compte de la parole sage, du comportement altruiste, de tous ceux qui peuvent vous guider sagement par leurs paroles. Ces éléments ne sont absolument pas pris en compte dans vos sociétés, dans vos civilisations, et c’est pour cela que vos sociétés, vos civilisations chutent et se renouvellent. Nous vivons totalement différemment. Nous recevons tout d’abord un enseignement qui concerne le monde sur lequel nous vivons, sur lequel nous travaillons, sur lequel nous sommes incarnés (même si l’incarnation n’a pas la même connotation que celle qu’elle peut avoir sur les mondes de troisième dimension). Nous apprenons tout d’abord ce qui correspond au savoir, à la connaissance du monde sur lequel nous vivons. Nous apprenons les divers règnes, car il n’y a pas que sur Terre qu’il y a plusieurs règnes. (Dans l’Univers, vous retrouvez les mêmes règnes, même s’ils sont vibratoirement différents. Ils existent parce que cela fait partie de la vie). Donc nous étudions ces différents règnes, nous étudions comment nous fonctionnons, nous étudions toutes les capacités de l’esprit qui sont les nôtres, nous étudions aussi, lorsque nous pouvons le faire, les autres mondes qui sont différents du nôtre (cela dépend dans quelle " section " nous nous trouvons), et nous apprenons considérablement des autres mondes et de tout ce qui nous entoure. Malgré tout ce que nous apprenons, nous considérons que nous n’avons pas atteint la Sagesse. Ce niveau de conscience ne correspond pas à ce que vous supposez, parce que ceux qui peuvent vous paraître fort sages sur votre monde ont encore des turbulences en eux et

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encore certaines choses à mettre en place car ils ne sont malgré tout que des hommes. Cependant, si ces hommes de grande sagesse avaient la capacité de diriger votre monde, tout serait différent pour vous. Nous disions donc que malgré tout ce que nous pouvons apprendre de tout ce qui nous entoure, de nous-mêmes et des autres mondes, nous n’avons pas forcément acquis la Sagesse. Dans les Hiérarchies, la Sagesse n’est acquise qu’avec les états vibratoires supérieurs, avec une conscience très différente que celle que vous pouvez concevoir, et parfois que certains de nos mondes peuvent avoir atteinte. Dans l’Univers, tout est hiérarchisé en fonction d’une conscience supérieure de la Sagesse et de l’Amour, c’est-à-dire que celui qui est en haut de l’échelle éprouve une très grande Compassion et l’Amour Inconditionnel pour tous ceux qui se trouvent en- dessous, et agit en conséquence afin de pouvoir les aider à évoluer, à comprendre, à changer de plan de conscience. C’est cela la mission des Hiérarchies. Elles ont aussi pour mission de gérer les mondes avec l’aide de la Confédération des Etres Evolués, des êtres qui ont compris, qui ont intégré une partie de l’Amour Universel. Lorsque nous disons " une partie ", c’est qu’avant d’intégrer la totalité de l’Amour Universel, les êtres qui aident les mondes ne sont pas encore prêts. Lorsque ces entités de très haut niveau ont intégré la totalité, ils se fondent dans la Source, et à ce moment là n’ont plus de rôle à jouer dans l’Univers. Il y a les hiérarchies d’Amour et il y a également les hiérarchies de commandement qui ont pour mission de mieux diriger les mondes. Il y a une parfaite entente, une parfaite coordination entre toutes les hiérarchies œuvrant sur des rayons différents, mais étant en permanence en connexion à un très haut niveau de conscience. Chacun œuvre sur le rayon qui est le sien, sur le rayon où il excelle, dans le rayon qu’il a choisi, mais tous œuvrent pour la Source et tous œuvrent de concert. Il faut vous dire que l’Univers n’est pas forcément tel que vous pouvez vous l’imaginer, car il est tellement vaste ! Il abrite des vies tellement différentes dans les niveaux de conscience que cela génère un travail considérable pour les Hiérarchies ! Si les Hiérarchies ne veillaient pas à la bonne marche des planètes et de leurs habitants il n’y aurait plus d’harmonie dans l’Univers, parce que les hommes sont destructeurs en essence et qu’ils n’ont pas encore compris qui ils sont. Dans d’autres parties de l’Univers, il y a encore des êtres beaucoup plus destructeurs que vous qui font des dégâts considérables même sur des peuples très pacifiques qui n’ont pas toujours le moyen de se défendre. Nous sommes aussi les gardiens de la Paix Universelle, les gardiens de la Connaissance, des gardiens qui enseignent l’Amour. Nous sommes des gardiens, des enseignants. Nous faisons partie de tous ceux qui ont la charge de créer toujours plus d’harmonie sur les mondes habités. Nous avons toujours été actifs sur votre monde. Les premières civilisations nous appelaient les hommes dieux. Effectivement, si vous aviez la capacité de nous voir à l’œuvre, de voir les miracles considérables que nous pouvons accomplir, vous nous considéreriez comme des hommes dieux. » « Je vois maintenant que se trace devant moi une route de Lumière. Les routes sont toujours horizontales et celle que l’on me montre est beaucoup plus verticale, elle démarre du bas, donc de notre plan, et elle monte. Je n’en vois pas le bout, je n’en vois que le commencement. J’ai l’impression de sortir de moi-même et je m’engage sur cette route. La marche n’est pas difficile. Je n’ai pas l’impression de monter, c’est comme si je n’avais pas de densité. Ma marche continue encore et encore et je m’approche d’une grande sphère. Je ne sais pas si c’est un vaisseau ou une planète mais c’est immense. Cela ressemble à un immense soleil et la route mène à ce lieu. Je vois maintenant devant moi d’autres personnes que je ne connais pas qui empruntent cette route et qui marchent avec joie et allégresse. Nous approchons de plus en plus de cette sphère. On dirait une sphère en or toute lisse. Elle brille, mais d’une lumière intérieure et d’une lumière extérieure que je ne sais pas décrire. Je suis toujours à l’extérieur, devant moi et derrière moi il y a encore du monde. Maintenant je vois une ouverture dans cette immense sphère. Cela ne me paraît pas plus logique que s’il y avait une porte qui pénétrait dans la planète Terre. Je suis encore à quelques mètres de cette porte, ceux qui sont devant moi ont commencé à pénétrer dans la sphère. En fait, je pourrais dire que c’est un trou d’énergie, parce que plus je m’approche, plus je vois comme un rideau de lumière très fin qu’on peut aisément traverser. Je m’avance et pénètre à l’intérieur. Je vois comme une immense planète mais je ne sais pas si c’est une planète.

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Je vois la vie dans sa plus grande beauté. Les êtres sont merveilleusement en paix. Ils gèrent eux-mêmes leur fonctionnement. Près de moi, un être m’accompagne et me dit : « Viens, je vais te montrer ce que peut être la vie dans l’harmonie, ce que peut être la vie guidée par des Hiérarchies Supérieures, des vrais Sages. » Il me montre un bâtiment très beau, très dépouillé, de forme ronde et d’une couleur dorée, mais un doré très léger. Quatre pyramides entourent ce bâtiment qui est relativement rond. Le guide qui m’a accueillie à l’entrée me dit : « Avant de te faire visiter ce que peut être un monde d’harmonie, je vais t’emmener dans la salle des Sages qui ont la charge de guider tous les êtres habitant ce monde. » Je suis à côté de cet être et nous avançons dans ce dôme. C’est très curieux, les quatre pyramides qui sont autour diffusent une vibration que je ressens. C’est comme une force, comme une paix, quelque chose de très puissant que je ne connais pas, quelque chose d’équilibrant, mais l’énergie qui émane de chacune d’elles a un rôle particulier. J’arrive maintenant dans une pièce qui n’est pas très grande. Je vois des sièges translucides. Pour l’instant, il n’y a que ces sièges. Ils sont disposés en demi-lune et devant se trouvent sept sièges sur une petite estrade. On nous demande maintenant de nous asseoir sur les sièges translucides et d’attendre. La salle se remplit petit à petit. C’est curieux, je vois des êtres et je sais qu’ils font partie d’autres mondes. Je les vois différents et pourtant je sais que je vois leur projection, et dans leur projection ils ont reproduit ce qu’ils sont, comme j’ai reproduit ce que je suis dans la mienne. J’en vois de très beaux, de moins beaux (selon notre critère). Peu importe la forme car ils ont tous un immense Amour au cœur et une grande pureté, et c’est surtout cela qui est important, le reste n’est qu’habillage. Je vois maintenant arriver les sept Maîtres. Ils sont auréolés d’une lumière un peu irréelle et quand ils marchent, j’ai l’impression qu’ils ne touchent pas le sol. En fait ce n’est qu’une partie des dirigeants de ce monde, car pour l’équilibre, il faut qu’ils soient douze, comme les douze rayons. Je suis fascinée par leur beauté, (pas par leur beauté physique), et par leur rayonnement. Ils nous parlent et ils disent d’être très attentifs car ils parleront à chacun de nous afin que nous puissions comprendre, c’est-à-dire télépathiquement et dans notre langage. Ils me disent : « Nous avons passé toutes les initiations de la Sagesse et nous sommes enfin arrivés à la Sagesse qui peut aider les êtres humains et surtout à ne pas peser sur eux dans leur évolution. Lorsque sur certains mondes les choses ne vont pas comme nous souhaiterions qu’elles aillent, nous aidons uniquement par notre Amour. Les pyramides que vous avez vues à l’entrée sont en fait des condensateurs d’énergies. Il fut un temps où il en a existé sur Terre mais elles ont été dématérialisées car trop dangereuses pour des êtres non évolués. Il existe beaucoup d’autres capteurs, d’autres condensateurs d’énergies sur ce monde. Comment gérons-nous les affaires d’une planète ? Nous avons la capacité de tout comprendre, de tout voir, de tout entendre, nous avons la capacité de vivre notre multidimensionnalité. Nous avons la capacité de voir l’avenir et également d’être en relation avec ce que vous appelez le passé. Nous sommes là essentiellement pour travailler au niveau de l’Amour Universel et de l’énergie libératoire; cette énergie libératoire qui commence à agir sur votre monde. Le monde sur lequel vous vivez est un monde réel qui est sous-dimensionné afin que vous puissiez y accéder, mais sa réalité est autre. Ici l’harmonie règne d’une façon presque totale parce que même sur ce monde le degré d’évolution des êtres n’est pas le même. Cependant chaque être a pris conscience de ce qu’il est, a appris à se gérer, a appris à maîtriser tout ce qui peut être émotion, quoique les émotions que peuvent éprouver ces êtres soient totalement différentes de celles que vous pouvez éprouver sur la Terre. Donc c’est une société où les êtres s’autogèrent, mais malgré tout, ces êtres n’ont pas les capacités de l’esprit poussées au degré où nous nous les avons, et nous pouvons les aider par nos émanations. Deux fois dans l’année les douze sages de ce monde que nous sommes se réunissent, et nous le faisons dans un lieu bien spécifique. C’est une immense pyramide de Lumière d’où nous ré-énergétisons cette planète afin que l’harmonie puisse demeurer mais surtout afin que nos énergies et les énergies en harmonie de ce monde puissent repousser toute intrusion d’êtres non évolués, et cela a une importance considérable. Nous agissons aussi sur les mondes extérieurs avec d’autres frères, notamment avec le

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commandement de la flotte intergalactique qui œuvre pour la paix dans l’Univers. Ils ont énormément de travail, car les mondes de troisième dimension et les mondes non humanoïdes sont souvent en ébullition, tout du moins en ce moment, car les énergies qui émanent de ce que nous sommes et qui émanent aussi de la Source réajustent en permanence les mondes, réajustent en permanence les êtres afin que tout puisse monter encore plus vite dans ce plan ascensionnel vers une plus grande conscience. La planète ou la sphère sur laquelle nous nous trouvons existe vraiment, c’est une planète artificielle que nous avons créée, qui se trouve dans le système des Pléiades, et où viennent travailler et vivre tous les êtres que nous préparons à un destin supérieur. Ils pourront eux aussi projeter sur les mondes des énergies libératoires, ils pourront aider grandement à la transformation et à l’ascension des êtres. Un jour vous viendrez aussi sur ce monde de lumière après un long périple. Après avoir acquis beaucoup et encore beaucoup d’expériences vous viendrez finir vos études sur ce monde. Restez en paix avec un immense espoir en vos âmes, car le chemin est merveilleux et le but à atteindre est encore plus beau. Vous avez tous la force de pouvoir atteindre ce but mais n’oubliez pas enfants de la Terre, tous les êtres qui sont sur ce monde n’ont plus d’ego, ils n’ont pour seul moteur que l’Amour Universel, ils n’ont que l’humilité, l’Amour et le plus grand désir de s’élever en permanence afin de pouvoir aider les mondes à s’élever. Les maîtres de votre Terre, ceux que vous pouvez appeler les sages, ont encore de l’ego car cela fait partie de la troisième dimension. Beaucoup ont travaillé grandement l’humilité mais ils ont encore beaucoup de dépassements à faire. Maintenant prenez conscience de ce que vous êtes, grandissez chaque jour davantage dans l’Amour Universel, dans la tolérance, dans l’acceptation, dans la Sagesse. Sachez que pour cela, très loin de vous mais cependant très près nous sommes là, nous veillons sur les mondes, nous veillons sur les âmes. Nous allons projeter sur votre monde de plus en plus d’énergies libératoires afin que les voiles se déchirent les uns après les autres, afin que vous puissiez avoir beaucoup plus de lucidité par rapport à votre vie, par rapport à vous-même. » Continuez à œuvrer sur ce monde et vous nous retrouverez, continuez tous à vous ouvrir, à bien comprendre, à bien assimiler la vie et vous nous retrouverez. Sur le chemin qui mène à nous, il y a plusieurs autres chemins qui au début peuvent être aussi lumineux que le nôtre mais qui redescendent à un certain moment au lieu de continuer dans le sens ascensionnel. Ce n’est qu’une image mais une image très forte. Cette image doit vous faire comprendre que vous avez tous la possibilité d’emprunter cette voie qui vous mène à nous, mais si vous n’êtes pas suffisamment vigilant par rapport à vous-même, vous redescendrez sans vous en rendre compte, vous redescendrez à un niveau de conscience que vous ne pourrez pas dépasser, bloqué par votre ego, par vos erreurs, vos incompréhensions. Pour pouvoir accéder à cette route de Lumière, il faut être toujours ouvert à tout, toujours attentif, toujours en soif d’apprendre, toujours en soif d’aimer, toujours en soif de paix. SI VOUS ÊTES RASSASIÉS DE TOUT CELA, VOUS ARRÊTEZ LE CHEMIN DE LUMIÈRE, VOUS VOUS ARRÊTEZ AU NIVEAU DE CONSCIENCE QUI EST LE VÔTRE ET VOUS NE POUVEZ ALLER PLUS LOIN. Nous ne pouvons pas donner plus d’explications sur les Hiérarchies, sur nos façons de fonctionner, car elles sont totalement différentes des concepts humains. Nous ne vous en avons dit qu’une toute petite partie, celle que vous pouvez comprendre. Plus vous grandirez en conscience mieux vous comprendrez. Nous sommes une hiérarchie qui œuvre sur d’autres rayons, avec une autre conscience. Nous pourrions appliquer le mot conscience sur une gamme infinie. Regardez simplement, sur votre planète Terre, la différence de niveau de conscience entre un enfant et une personne qui a pratiquement terminé sa vie, qui a acquis des expériences, qui a appris au travers de ses expériences. Certes un enfant a vécu des expériences mais pour s’incarner, pour pouvoir accomplir son travail d’évolution dans la troisième dimension et sur cette planète, il a occulté tout ce qu’il a pu apprendre. Il peut y avoir une différence considérable entre un enfant qui s’incarne avec des acquis très importants et une personne en fin de vie qui a très peu d’acquis antérieurs. Il est donc très difficile de donner une échelle de valeurs en ce qui concerne la compréhension, en ce qui concerne différents états de conscience, non seulement de l’humanité mais de toutes les intelligences de l’Univers. Nous voulons simplement vous dire qu’il existe des millions,

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voire des milliards de niveaux d’états de conscience, et que chaque jour vous changez d’état de conscience par rapport à ce que vous comprenez aujourd’hui et que vous n’aviez pas pu comprendre hier, par rapport à ce que vous comprendrez demain et qu’il vous est impossible de comprendre aujourd’hui. Tout se fait par rapport à la compréhension que vous pouvez avoir de la vie et de vous-même. Par rapport à vos guides, il y a plusieurs possibilités. Nous vous avons souvent dit que lorsque vous vous incarnez sur la planète Terre pour expérimenter la vie sous toutes ses formes, c’est-à-dire sous ses formes émotionnelles affectives, sous toutes ses formes évolutives, une entité vous est attribuée pour vous accompagner pendant toute votre existence. Cette entité a le devoir de vous protéger, de vous donner la force que vous n’avez pas par rapport à certaines expérimentations difficiles, mais elle reste neutre par rapport à votre évolution, elle est là pour vous donner son Amour, pour vous donner le maximum de protection et pour vous suivre pas à pas. D’autres guides peuvent vous être donnés tout au long de votre existence par rapport à votre chemin évolutif et surtout par rapport à la mission que chacun de vous a programmée. Vous aurez le guide qui correspond de votre évolution. Il est bien évident que si vous êtes à l’école maternelle, vous n’aurez pas un guide qui peut vous enseigner les mathématiques supérieures, ce serait une perte de temps absolument inutile pour le guide et pour l’entité humaine en évolution que vous êtes. Donc vous avez un guide qui peut vous donner son Amour, qui peut vous enseigner pendant votre sommeil, au travers des lectures que vous pourrez faire, et qui suscitera en vous le désir de prendre tel ou tel livre à tel ou tel moment, qui pourra vous enseigner au travers d’une rencontre, d’une conversation. Ces guides-là sont des guides programmés pour tel ou tel moment de l’existence de l’être humain en évolution. Certains guides de haut niveau peuvent vous suivre très longtemps parce qu’ils voient que vous avancez très vite. Ils peuvent donc vous donner un enseignement supérieur. Tout se fait par l’intermédiaire de l’énergie de votre Soi Supérieur. L’action de vos guides ne peut se faire qu’au travers votre Soi Supérieur au niveau de l’énergie. Vous seriez totalement fermé à toute guidance extérieure si vous n’aviez pas le relais précieux qu’est votre Soi Supérieur. Vous nous demandez mentalement : « Si notre Soi Supérieur est totalement puissant, si notre Soi Supérieur peut accomplir des miracles, pourquoi avons-nous besoin de guides supplémentaires ? Cela paraît inutile ». Nous allons répondre simplement ceci : tant que vous n’avez pas la conscience totale de votre Soi Supérieur et que vous n’intégrez pas la conscience de cette puissance qui est en vous dans chaque acte de votre vie, vous avez besoin d’intermédiaires, vous avez besoin de guidance, vous avez besoin d’inspiration. LE JOUR OÙ VOUS DONNEREZ TOTALEMENT LA GÉRANCE DE VOTRE VIE, DE VOTRE COMPORTEMENT À VOTRE SOI DIVIN, LES GUIDES S’EFFACERONT CAR ILS N’AURONT PLUS AUCUN TRAVAIL À FAIRE AUPRÈS DE VOUS. Mais ATTENTION, ce n’est pas parce que vous avez intellectuellement la conscience de la puissance considérable qui vous habite que vous pouvez la mettre en activité, en action. C’est bien au-delà de la compréhension humaine qui est la vôtre en ce moment et qui est celle de la majorité des êtres humains. Entre le savoir intellectuel et la mise en application de certaines données dont vous n’avez pas toutes les bases, il y a un long chemin à faire. Plus vous demanderez à votre Soi Supérieur de guider votre existence, plus vous contrôlerez vos émotions, vos pensées, vos sentiments, plus ce Soi se manifestera dans toute votre vie, dans votre corps physique, dans vos corps énergétiques, c’est comme si d’un seul coup vous enleviez les voiles qui masquent votre propre réalité. Mais cela ne se fait pas aussi facilement que vous pouvez le penser. Certaines fréquences vibratoires sont nécessaires, il faut développer beaucoup plus l’Amour Inconditionnel pour arriver à ce stade, il faut maîtriser toutes les émotions, tout du moins les émotions négatives. Un travail gigantesque est nécessaire afin de pouvoir accéder au Soi Supérieur ou à la Divinité en Soi. Vos guides vous sont attribués afin que vous puissiez accéder plus rapidement à la conscience de votre propre Divinité. Ils agissent très souvent en vous inspirant, en vous aidant au travers de vos rêves, en vous aidant comme nous vous aidons, en vous enseignant tout ce que vous êtes capables de comprendre dans vos limitations et

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d’accepter aussi vos limitations. Plus vous repousserez vos limitations, plus nous pourrons ouvrir votre conscience et plus vite vous ressentirez les effets de votre propre Divinité. Beaucoup d’entités non humaines sont très attachées à vous guider, à vous protéger, à vous aider à remplir votre programmation de vie. Il y a aussi des êtres que vous avez connus dans cette existence qui sont parfois près de vous pour vous aider. A partir du moment où votre niveau de conscience est plus élevé que le leur, et même s’ils vous ont aidé pendant un petit moment au-delà de la vie, ils sont complètement dans l’impossibilité de vous aider, ils pensent simplement à vous avec Amour et ont même du mal à vous percevoir car vous n’êtes plus dans leur champ de vision, vous êtes sur une fréquence vibratoire supérieure. Par contre, si vous vous avez toujours un immense Amour pour ces êtres avec qui vous avez vécu, vous pouvez, pendant votre sommeil, aller les rejoindre sur les plans où ils se trouvent et échanger vibratoirement, parce qu’à ce moment là, vous avez aussi la possibilité de les aider à évoluer, à mieux comprendre ce qu’ils sont même de l’autre côté de la vie. Il ne faut pas croire qu’à partir du moment où vous quittez votre véhicule de manifestation vous avez tout compris, vous avez tout assimilé de la vie. Vous possédez l’acquis de tout ce que vous avez pu vivre et de tout ce que vous avez pu tirer de vos expériences depuis que vous avez une conscience incarnée dans la matière, mais vous ne pouvez ni comprendre ni transmettre ce que vous n’avez pas encore vécu, ce que vous n’avez pas encore dépassé. Si l’âme a une très grande volonté d’avancer rapidement sur le chemin de la Lumière, et si elle a une très grande volonté de servir l’Amour et la Lumière, son éveil peut se faire beaucoup plus vite. A ce moment là, les guides intemporels, les guides invisibles peuvent être beaucoup plus nombreux ou elle peut avoir un guide spirituellement très haut. Il est tout à fait possible qu’au moment où vous n’étiez pas en expérimentation sur la troisième dimension, vous ayez pu aider considérablement en tant que guide, en tant qu’Etre de Lumière, des êtres qui expérimentaient la vie sur la planète Terre ou ailleurs, des êtres qui vous étaient chers ou des êtres que vous ne connaissiez pas. Au-delà de la matière toute vie est précieuse et l’Amour n’a pas de visage, l’Amour est inconditionnel, l’Amour est illimité. N’oubliez pas que vous faites partie d’un immense groupe d’âmes œuvrant dans la même direction, que cet immense groupe d’âmes se retrouve de monde en monde mais pas forcément de vie en vie, car vous pouvez vous retrouver des milliers, voire des millions de vies plus tard. Qu’est-ce que le temps ? Le temps n’est qu’une réalité subjective, une fausse réalité, une illusion. Alors que veulent dire un an, mille ans, cinq minutes ? Ce sont des notions terrestres, des notions de troisième dimension. Le sujet est tellement vaste et parfois tellement en dehors de la compréhension humaine, (comme tout sujet évolutif), que c’est pour cela que nous essayons, à chaque fois que nous le pouvons, d’être le plus simples, le plus clairs possible dans nos explications. Vous désireriez aussi savoir si ces guides sont réservés aux êtres qui s’incarnent dans la troisième dimension. Nous allons vous dire ceci : toutes les entités qui s’incarnent dans la troisième dimension ont un travail très difficile, un travail considérable. Nous donnons la possibilité d’œuvrer aux êtres qui sont incarnés dans la troisième dimension, car ils sont notre prolongement C’est pour cela que tous les êtres incarnés dans la troisième dimension ont besoin d’une aide beaucoup plus importante que ceux qui sont dans d’autres dimensions de réalisation. Cependant, dans certaines dimensions ils reçoivent des aides essentiellement spirituelles qu’ils perçoivent totalement, contrairement à vous qui ne percevez rien ou qui du moins ressentez mais ne voyez pas. Donc la plus grande aide est effectivement donnée à toutes les âmes qui s’incarnent en troisième dimension pour qu’elles puissent mener à bien leur mission essentielle qui est de faire évoluer la matière, mais aussi la mission d’expérimenter la vie à tous les niveaux de conscience, à tous les niveaux accessibles pour elle. Tout est lié au Tout et tout fait partie du Tout. Plus vous aurez conscience de votre appartenance au Tout, plus vous comprendrez avec aisance ce que nous vous disons (assez maladroitement étant donné le vocabulaire restreint de notre canal). Mais sachez cependant ceci : vous faites partie du Tout et le Tout est en vous. Il n’y a aucune limite à partir du moment où en chacun de vous il y a

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cette partie Divine qui a la connaissance du tout et qui est reliée au Tout. Nous espérons que vous avez bien compris, mais entre comprendre et intégrer complètement il y a une grande distance à parcourir. Chaque âme a accès à ce qu’elle est capable de comprendre, de vivre, donc plus les âmes expérimentent, plus elles ont accès à une multitude de niveaux et plus elles ont des possibilités d’apprendre. Nous allons reprendre l’exemple que nous donnions tout à l’heure : un enfant de la maternelle ne pourrait pas comprendre les mathématiques supérieures. Donc, dans l’infinité des mondes, les âmes recherchent ce qu’elles sont par rapport à leur évolution, ce qu’elles sont capables d’apprendre, de comprendre. Comme elles ne peuvent pas le faire toutes seules il y a auprès d’elles des Etres de Lumière qui les aident, et ensemble ils voient si la mission ou les devoirs d’expérimentation que l’âme a choisis pourront être ou non réalisés par celle ci. Pour pouvoir intégrer la conscience du Soi, il y a certaines bases qu’il faut obligatoirement travailler et stabiliser. La première base c’est bien sûr l’Amour, avec ce qui en fait partie, c’est-à-dire la Sagesse, la Compassion, la Paix intérieure. Ensuite, il faut que l’âme ait compris qu’elle est tout mais aussi qu’elle n’est rien par rapport à ce qu’elle a encore à comprendre de la vie, à tout ce qu’elle doit apprendre ici et ailleurs. Il faut qu’elle comprenne qu’elle doit intégrer beaucoup d’humilité, car avant qu’elle n’ait atteint le moment précieux, le moment sacré où elle retournera à la Source, elle a tellement à comprendre, tellement à apprendre ! Elle n’est jamais arrivée au but. Même si parfois, dans certaines incarnations, une âme pense avoir atteint un très haut niveau de compréhension, un très haut niveau de Sagesse, elle a encore et encore à comprendre, elle a encore et encore à travailler, et pour mieux comprendre, pour mieux travailler, il faut qu’elle soit humble devant tout ce qui lui reste encore à apprendre. Ensuite, il faut que cette âme ait perdu tout sens critique envers elle-même, envers les autres, il faut qu’elle puisse accepter ce qui peut paraître inacceptable, il faut qu’elle soit dans la confiance et dans la foi. Et encore nous en oublions ! Voyez combien le travail est important avant de pouvoir arriver à une partie du but que l’âme s’est imposée ! C’est pour cela que nous vous disons : travaillez chaque jour, travaillez votre pensée, travaillez vos émotions. Vous ne pouvez pas savoir à quel point cela est important, car tout découlera du travail que vous aurez accompli sur vous-même. Ce que vous souhaitez tellement, c’est d’avoir la conscience de votre Soi Divin. Lorsque vous aurez suffisamment travaillé les bases vous aurez l’illumination, c’est-à-dire que la conscience du Soi Divin descendra dans la matière, dans votre système nerveux, dans toutes vos cellules. Pour pouvoir supporter cela, il faudra avoir fait un grand travail d’épuration, sinon cela pourrait vous détruire. Une trop grande quantité d’Amour pourrait vous détruire si votre fréquence vibratoire n’était pas assez élevée. » (Message donné par les êtres de Lumière à Monique MATTHIEU). NB : Ce texte peut être reproduit et donné en copie aux conditions suivantes : • qu’il ne soit pas coupé.

• qu’il n’y ait aucune modification de contenu.

• qu’il soit fait référence au site http://assoc.wanadoo.fr/ciel-a-la-terre

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Les Esprits de la Nature : " cousins " des Anges. Les Esprits de la nature forment également un ordre angélique, mais leur longueur d’onde (vibrations) diffère de celle des anges. Parmi ceux-ci on trouve les dévas, les fées, les ondines, les sylphes, les salamandres, les faunes, les trolls et gnomes qui sont en fait les différents noms que toutes les cultures leur ont attribué. Quel est donc leur rôle ? Structurer et contrôler toute forme de vie c’est-à-dire les plantes, les récoltes et les jardins, les forêts et les lacs, les poissons, les oiseaux et les animaux terrestres. Les esprits de la nature participent à la création et prennent soin de l’environnement physique indépendamment des efforts humains. C’est ainsi qu’à Findhorn en Ecosse (voir bibliographie en fin d’ouvrage), on peut constater les véritables prodiges obtenus en matière d’horticulture par une collaboration étroite des humains et des esprits de la nature. D’ailleurs, les personnes qui sont pourvues d’un minimum de sensibilité et qui travaillent la terre ont toujours eu l’intuition plus ou moins aiguë de l’existence de ce royaume invisible. De tous les êtres angéliques, les esprits de la nature, ou devas, sont les plus à l’écoute de notre réalité humaine. Ils forment un royaume à respecter profondément puisque indépendamment de ce que nous, humains, faisons subir à la Nature, ils continuent bien volontiers à nous aider subtilement. (Source bibliographique : Demandez à vos anges, voir bibliographie en fin d’ouvrage). Les témoignages. Entrer en contact avec les esprits de la nature. « Lorsque cette partie du jardin fut prête, j’y plantai des poireaux, des céleris, des rutabagas, des navets, d’autres radis et laitues, des pois et des haricots, ainsi que quelques autres légumes. Nos journées s’émaillaient de moments d’activité paisible, intérieure. Lorsque le temps le permettait, nous méditions dans le patio. Eileen et Dorothy couchaient toutes deux par écrit la guidance qu’elles recevaient chaque jour de la Divinité intérieure. Ces conseils inspirés allaient de directives concernant notre développement intérieur à la nourriture que nous devions absorber, ou aux travaux particuliers à effectuer le jour même. Ma propre guidance prit la forme d’éclairs intuitifs d’inspiration, souvent reçus lorsque je travaillais, qui avaient un sens convaincant et m’apportaient une profonde connaissance intérieure. Ces intuitions étaient parfois confirmées et amplifiées par la guidance qu’Eileen recevait. L’un des avantages de ce travail en groupe était que la guidance de chacun pouvait être comparée à celle des autres lorsque le doute planait pour savoir si les réponses que nous avions provenaient

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du moi inférieur ou d’un niveau plus élevé. Lorsque nous ressentions tous la même certitude intérieure, nous savions que nous agirions de manière plus juste. De nous trois, c’est Dorothy qui avait toujours eu le lien le plus étroit avec la nature. Par un matin de mai, deux mois après avoir démarré notre jardin, elle reçut un message au cours d’une méditation qui nous fit entrer dans une phase totalement nouvelle du développement du jardin. Elle contacta directement un esprit du royaume des plantes, le déva ou " ange " des pois. Nous savions que les dévas font partie de la hiérarchie angélique qui maintient le modèle archétypique de chaque espèce de plantes et canalise l’énergie pour aider une plante à prendre forme sur le plan physique. Au cours de mon entraînement spirituel, j’avais pris conscience des formes de la nature, en particulier des " élémentaux ", ces esprits de la terre, de l’air, du feu et de l’eau. Pour moi les dévas et les esprits de la nature faisaient intégralement partie du processus de la création : ils étaient la force de la vie personnifiée. En fait, à un certain moment, le fait de pouvoir coopérer avec eux de manière consciente m’avait beaucoup intéressé. Et maintenant voici que le déva des Pois nous offrait de nous aider dans notre jardin. Je sautai sur cette chance, n’ayant qu’une seule pensée : enfin ! Nous pouvions maintenant obtenir directement les réponses aux questions que nous nous posions sur le jardinage. Je me mis à poser toutes les questions qui nous avaient traversés au cours des semaines qui s’étaient écoulées tandis que nos jardins commençaient à se développer, et Dorothy à son tour les posa au déva de chaque espèce concernée. Aussi étrange que cela puisse paraître, il nous fut répondu. Des réponses pratiques à des questions pratiques. Les dévas nous expliquèrent à quelle distance les unes des autres devaient être plantées les plantes, la fréquence à laquelle il fallait les arroser, que faire et ne pas faire. Ce n’était que des réponses concernant directement le jardinage, celles que tout jardinier doit connaître. Mais le fait était que nous, nous les ignorions. De plus, les dévas nous dirent que cette sorte de coopération consciente entre l’homme et les forces de la nature constituait une expérience tout à fait nouvelle pour eux aussi. Nous avons alors découvert ensemble certaines méthodes de jardinage qui dépassaient de loin celles qui sont habituelles… » (Témoignage de Peter dans COLLECTIF, Les jardins de Findhorn, p. 19, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Le petit Peuple a-t-il élu domicile dans votre jardin ? Les spécialistes des êtres féeriques appellent " élémentaux " les êtres qui sont en quelque sorte l’essence, la personnalité immatérielle des quatre éléments naturels que sont l’eau, l’air, le feu et la terre.

1. Les élémentaux de l’eau sont les ondines, avec les nymphes, les nixes, les sirènes et autres néréides.

2. Les élémentaux de l’air sont les elfes et les sylphes. 3. Les élémentaux du feu sont les salamandres. 4. Les élémentaux de la terre sont les nains et les gnomes du monde souterrain.

Avez-vous bien observé votre jardin ? Etes-vous certains qu’un petit être féerique n’y loge pas ? Ouvrez l’œil ! Les fées logent dans le vent qui agite les feuilles des arbres, dans les fleurs qui embaument au printemps, dans les hautes herbes des prairies, la mousse des sous-bois et la bruyère des landes. Etres invisibles au commun des mortels, les sylphes changent sans cesse de forme, épousant le dessin d’un nuage, la fumée d’un feu de bois ou la fine écume d’une cascade. Nains, gnomes, gobelins et korrigans ont bien du mal à vivre dans notre monde moderne. Effrayés par les villes, les champs cultivés, les routes et les usines, ils aiment se réunir autour des pierres dressées, symboles silencieux d’une époque révolue.

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Au printemps, profitant de la fonte des neiges, les nains quittent les profondeurs de la terre afin de prendre un petit bol d’air. Verveine, véronique, brunelle, mauve, achillée, herbe de la Saint-Jean et euphraise : ces sept plantes, réputées magiques, bénéficient de la protection et de l’attention de toutes les fées. (Extrait du Grand Double Almanach Belge dit de Liège, année 2005, édition Casterman, pp. 140-141). Rencontre insolite. « Mon contact personnel avec de telles entités en particulier les esprits de la terre, a eu lieu pour la première fois en mars 1966, dans les jardins botaniques d’Edimbourg, les Royal Botanic Gardens. Ces jardins très vastes contiennent de grandes variétés de buissons, d’arbustes, de fleurs et d’arbres, et ils ont été pendant des années l’un de mes endroits favoris. Bien que j’aie été un citadin toute ma vie, sauf pendant une douzaine d’années, j’éprouve un grand amour pour la nature et, en particulier, une affinité profonde avec les arbres. Par un bel après-midi de printemps, je flânais parmi les jardins de rocailles et d’autres de mes lieux favoris. Finalement, je me mis à marcher le long d’un sentier allant vers le nord du Palais d’ Inverleith, situé sur un tertre au centre des jardins et qui est devenu la Galerie d’Art moderne d’Edimbourg. Je quittai cette sente pour traverser une large pelouse parsemée d’arbres et de buissons, et allai m’asseoir sous un grand bouleau en appuyant la nuque et les épaules contre cet arbre. D’une certaine façon, je m’identifiai à celui-ci, devenant conscient du mouvement de la sève dans son tronc, et même de la croissance infiniment lente de ses racines. Puis survint alors un état de conscience plus élevé et une sorte d’attente. Je me sentis en état d’éveil total et rempli d’énergie. Soudain, je vis une silhouette danser autour d’un arbre qui se trouvait à une vingtaine de mètres de moi, une jolie silhouette d’environ 90 centimètres de haut. Je découvris avec étonnement que c’était un faune, cet être de la mythologie grecque, mi-humain, mi-animal. Il avait un menton et des oreilles pointues, ainsi que deux petites cornes sur le front. Ses jambes poilues se terminaient par des sabots et sa peau était couleur de miel. Je le regardai avec étonnement, n’en croyant pas mes yeux. Pendant un moment je me dis que c’était peut-être un petit garçon qui s’était déguisé pour une fête d’école. Mais ce ne pouvait être cela, quelque chose en lui n’était décidément pas humain. Etait-ce une hallucination ? Une ou deux personnes se promenaient dans ces jardins. Je portai mon regard vers elles puis à nouveau vers ce magnifique petit être. Il était toujours là et semblait aussi matériel et réel qu’elles. Je m’efforçai âprement d’analyser cette expérience et de trouver une explication à sa présence. Soudain, je réagis : qu’étais-je en train d’essayer de faire ? C’était une expérience étrange et merveilleuse. Pourquoi ne l’accepterais-je pas, ne verrais-je pas ce qui pourrait se produire, quitte à l’analyser plus tard ? Je me mis à observer ce petit être avec délice lorsqu’il commença à danser autour d’un autre arbre. Il se mit à danser là où j’étais assis puis s’arrêta pour me regarder pendant un moment et, enfin, s’assit, les jambes croisées, devant moi. Il était parfaitement réel. Je me penchai en avant et lui dis : « Hello ! » Il se dressa sur ses pieds, tressaillit et me regarda fixement : « Tu peux me voir ? » « Oui ». « Je ne te crois pas. Les humains ne peuvent pas nous voir ! » « Ah oui mais certains le peuvent » « Comment suis-je ? » Je le décrivis tel que je le voyais. Bien que paraissant encore troublé, il se mit à danser en faisant des petits cercles. « Que suis-je en train de faire ? » Je le lui dis. Il s’arrêta de danser et dit : « Alors, tu dois me voir. » Il se rapprocha du banc en dansant, s’assit puis, se tournant vers moi, il leva les yeux et dit : « Pourquoi, vous les humains, êtes-vous si stupides ? » (Témoignage de Roc dans COLLECTIF, Les Jardins de Findhorn, pp. 115-116, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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Rencontre extraordinaire ! « Les rues étaient presque désertes et je pensais que la ville était alors bien paisible. Je marchais dans la rue principale d’Edimbourg, la Princes street. En tournant au coin de la rue qui longe la National Gallery, je pénétrai dans une " atmosphère " extraordinaire. Je n’avais jamais rencontré auparavant une telle ambiance. Comme elle est assez difficile à décrire, je pourrais dire que c’est comme si je n’avais pas eu de vêtements et que je marchais dans un milieu plus dense que l’air, mais moins dense que l’eau. Je pouvais le sentir contre mon corps. Cela me donnait une sensation de chaleur et de picotements, comme un mélange de piqûres d’aiguilles et de choc électrique. Ceci s’accompagnait d’un état de conscience accru et de cette même sensation d’attente que j’avais éprouvée dans les Jardins avant de rencontrer Kurmos (NDLR : voir témoignage précédent). Je réalisai alors que je n’étais pas seul. Une silhouette, plus grande que moi, marchait à mes côtés. C’était un faune, irradiant une extraordinaire puissance. Je le regardai attentivement. Ce n’était certainement pas mon petit faune devenu grand. Nous continuâmes de marcher côte à côte. Puis il se tourna et me regarda. • Alors, tu n’as pas peur de moi ? • Non ! • Pourquoi ce non ? Tous les êtres humains ont peur de moi. • Aucun mal n’émane de ta présence. Et je ne vois aucune raison pour laquelle tu

souhaiterais me faire du mal. Je ne me sens pas effrayé. • Sais-tu qui je suis ? • (A l’instant je le sus). Tu es le grand dieu Pan ! • Alors tu devrais être effrayé. Votre mot " panique " provient de la terreur que ma

présence cause. .Pas toujours. Je n’ai pas peur. • Peux-tu me dire pourquoi ? • C’est peut-être à cause de mon affinité avec tes sujets, les esprits de la terre et les créatures qui vivent dans les forêts. • Tu crois en mes sujets ? • Oui. • Aimes-tu mes sujets ? • Oui, bien sûr ! • Dans ce cas, m’aimes-tu ? - Pourquoi pas ? • M’aimes-tu ? • Oui. Il me regarda avec un sourire étrange et ses yeux se mirent à briller. Des yeux d’un brun profond et mystérieux. • Tu sais, bien sûr, que je suis le diable ? Tu viens tout juste de dire que tu aimes le • diable. • Non, tu n’es pas le diable. Tu es le dieu des forêts et des champs. Il n’y a aucun mal en

toi. Tu es le dieu Pan. • Mais l’église chrétienne primitive ne m’a-t-elle pas pris comme modèle du diable ?

Regarde mes sabots fourchus, mes jambes poilues et les cornes sur mon front ! • L’Eglise a fait des dieux et des esprits païens des diables, des démons et des diablotins. • Elle s’est donc trompée ? • L’Eglise a fait cela avec les meilleures intentions, du moins de son point de vue. Mais

elle a eu tort. Les anciens dieux ne sont pas forcément des démons. Nous traversâmes la rue Princes et prîmes une autre rue. Il se tourna vers moi. • Dis-moi ce que je sens ! Depuis son arrivée, je m’étais mis à respirer une merveilleuse odeur de forêts de sapin, de feuilles humides, de terre fraîchement retournée et de fleurs sauvages. Je le lui dis. • Alors, je ne sens pas le fauve, comme un bouc ?

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• Non, pas du tout. Cela sent une faible odeur un peu comme celle du musc, comme la fourrure d’un chat bien portant. C’est agréable et ressemble aussi à l’odeur de l’encens. Tu veux toujours te faire passer pour le diable ?

• Je dois savoir ce que tu penses de moi. C’est important. • Pourquoi ? • Parce que… • Tu ne veux pas me dire pourquoi ? • Pas maintenant, cela deviendra clair, le moment venu. Il passa son bras autour de mon épaule. Je sentis vraiment le contact physique. • Cela ne te gêne pas que je te touche ? • Non. • Tu n’éprouves vraiment aucune répulsion ni aucune crainte ? • Aucune ! • Excellent ! Je ne parvenais pas à comprendre pourquoi il faisait un tel effort pour provoquer en moi un signe de peur. Je ne proclame pas être courageux ; il existe beaucoup de choses qui pourraient me faire mourir de peur. Mais, pour une raison ou une autre, je n’avais absolument pas peur de cet être. Une appréhension, à cause de sa puissance, mais aucune peur : seulement de l’amour. Je lui demandai où étaient ses flûtes. Il sourit à cette question. • Elles sont avec moi, tu sais. Et voici que les flûtes de Pan apparurent dans ses mains. Il se mit à jouer une curieuse mélodie. Je l’avais déjà entendue dans les bois auparavant, et je l’ai souvent entendue depuis, mais si discrètement que j’ai toujours été incapable ensuite de m’en souvenir. Juste au moment où nous venions d’atteindre le perron de la maison où j’habite, il disparut. J’eus cependant la très forte sensation qu’il était toujours avec moi lorsque j’entrai chez moi… » (Témoignage de Roc dans COLLECTIF, Les Jardins de Findhorn, pp. 118 à 120, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Ils ont dit : « Dans le théâtre des humains, les places de spectateurs sont réservées à Dieu et à ses anges. » (PYTHAGORE) « Les anges d’aujourd’hui, ce sont tous ceux qui s’intéressent aux autres avant de s’intéresser à eux-mêmes. » (Wim WENDERS) « On ne sait pas précisément où les anges se tiennent, si c’est dans l’air, dans le vide, dans les planètes : Dieu n’a pas voulu que nous fussions instruits. » (VOLTAIRE) « Je suis persuadé que les anges ne méprisent pas tant les hommes que les hommes se méprisent les uns les autres. » (MONTESQUIEU) « Nous abritons un ange que nous choquons sans cesse. Nous devons être les gardiens de cet ange. » (Jean COCTEAU) Mais aussi : « Les hommes sont des anges stagiaires. » (Victor HUGO)

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... Ô toi qui fis lever cette seconde aurore, dont un second chaos vit l'harmonie éclore, parole qui portait, avec la vérité, justice et tolérance, amour et liberté ! Règne à jamais, ô Christ, sur la raison humaine, et de l'homme à son Dieu sois la divine chaîne !

Alphonse de LAMARTINE

Chapitre VIII : Les Maîtres de sagesse – Les Saints. Introduction. De tous temps, la route des humains a croisé celle de personnages dont la vie était empreinte d’une spiritualité exceptionnelle. Ces hommes et ces femmes étaient, et sont encore, de véritables pôles d’attraction pour les foules qui suivent leurs préceptes. A notre époque contemporaine, il y toujours des maîtres de sagesse qui délivrent leur enseignement un peu partout sur la planète. Il ne s’agit pas ici de faire l’apologie de telle ou telle religion, église, philosophie ou courant de pensée, et encore moins de polémiquer sur le besoin ou non de l’espèce humaine d’avoir des maîtres à penser et de les suivre aveuglément. Il est simplement remarquable de constater l’ampleur de l’impact des différents enseignements de ces sages sur des foules innombrables, et ce, tout au long de l’Histoire : ces enseignements, qui tous prônent l’amour inconditionnel entre les êtres humains, et plus largement entre ces mêmes êtres humains et le monde qui les entoure. N’en déplaise aux détracteurs de tous bords, il est évident que si l’homme ne ressentait pas au fond de lui-même ce besoin d’aimer et d’être aimé, il ne manifesterait pas, en masse, une telle réceptivité à ce type d’enseignement. Il est tellement avéré et incontestable que l’homme a soif d’amour, plus encore qu’il n’a besoin de respirer ! Les maîtres de sagesse ne cessent de nous montrer le chemin, celui sur lequel nous pourrons délier les chaînes de notre esprit, le laissant s’ouvrir pleinement à l’amour et nous permettant ainsi de devenir ce que nous sommes, des êtres de lumière. D’autre part, il est parmi nous des individus, qui ayant ouvert leur cœur à l’amour et à la vérité, ont obtenu le statut de saints. Indépendamment de l’institution qui les a reconnus tels quels, il est intéressant de suivre le parcours de ces hommes et de ces femmes, qui comme nous se sont trouvés confrontés aux vicissitudes de l’existence ici-bas, et ont transmuté leur vie en amour des autres. Depuis deux mille ans, depuis la venue du Maître Jésus, l’église catholique a canonisé plusieurs milliers de personnes, ce qui ne représente vraisemblablement qu’une petite partie du nombre réel de ces gens que l’on qualifie de saints, puisque la sainteté se vit aussi dans la vie de tous les jours, sans bruit et sans éclat, trouvant son mûrissement dans une humilité qui n’a d’égal que le silence de son épanouissement. La sainteté,

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se caractérise par une vie d’abnégation, tournée vers les autres, considérant constamment l’amour des autres comme étant une priorité, tentant de les enseigner par le comportement ou par un enseignement de paroles, en multipliant les petits ou les grands gestes d’amour, en portant l’altruisme à son paroxysme, en donnant sans rien espérer en retour, en aimant le plus humble et le plus insignifiant, en sachant voir le visage du Père dans le petit qui croise sa route, en partageant le savoir et l’avoir, en se réjouissant du bonheur des autres et en tentant d’atténuer leur malheur, en les mettant en valeur pour ne passer qu’après eux, en leur ouvrant la porte du bonheur et en s’effaçant pour les laisser entrer, c’est tout cela la Sainteté. Quel programme ! Eh oui, on ne devient pas Saint comme cela. Il est donc intéressant de s’attarder un moment sur la vie de ces personnages hors du commun qui ont tant de choses à nous apprendre sur le concept spirituel de l’existence. Les Maîtres initiés ou " Maîtres de sagesse ". Ces hommes sont avant tout des êtres humains accomplis qui vivent ou ont vécu parmi nous. Ce sont des hommes qui ont libéré " le Dieu vivant " en eux. Dotés de pouvoirs psychiques et spirituels, ce sont des hommes capables d’accomplir des prodiges, voire des miracles (parce qu’ils ont compris les grandes lois universelles), toujours au service de l’Humanité. Les Maîtres-initiés sont libres et totalement conscients de leur responsabilité. Ils se consacrent à l’éveil et à la sauvegarde de leurs frères (les humains que nous sommes), du plus humble au plus grand. Dans l’Histoire, plusieurs maîtres de sagesse sont apparus pour éveiller les hommes à leur dimension spirituelle et leur montrer la voie. Ces maîtres étaient et sont encore de véritables sauveurs de l’Humanité entraînant les hommes sur le chemin qui mène à l’Amour inconditionnel. (Source de documentation : www :theosophie.asso.fr). Dans les pays tels que l’Inde, la Chine ou encore le Tibet, l’existence des maîtres de sagesse n’est absolument pas mise en doute. Les maîtres de sagesse sont aussi appelés " Maîtres ascensionnés " : ils sont donc initiés et ne doivent plus se réincarner (ils ont fini le tour de toutes leurs vies) mais ils peuvent toutefois prendre occasionnellement un corps de chair pour diffuser leur enseignement. Quand on pense aux grands maîtres spirituels, notre esprit se tourne directement vers le maître Jésus appelé aussi maître Sananda. Il est cependant loin d’être le seul. Nous vous en citerons d’autres à titre d’exemple ci-après. Tous ces maîtres feraient partie de " La grande Fraternité blanche " qui serait un ordre spirituel hiérarchique rassemblant ces êtres dans le but de servir les plus hauts buts divins auprès des hommes. Cette grande fraternité blanche ne rassemble pas que des êtres ayant vécu ou vivant sur terre : elle accueille également des membres issus d’autres planètes qui sont elles aussi concernées par l’évolution des hommes et de l’Univers. Le mot " blanche " se rapporte à la lumière blanche ou " aura " qui entoure les saints et les sages. La grande Fraternité blanche a son " siège " (ou QG) à Shamballah, lieu gardé secret sur terre (mythique pour certains…) d’où elle prend ses décisions et où elle organise ses réunions. Citons, simplement à titre d’exemple, quelques maîtres ascensionnés. Il est bien entendu que cette petite liste est loin d’être exhaustive et les lecteurs intéressés par le sujet trouveront dans les librairies suffisamment d’ouvrages qui pourront leur en apprendre plus.

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Les maîtres de sagesse dans l’Histoire.

Bouddha Gautama : né il y a environ 2.500 ans, Siddharta Gautama, sage indien (et à l’origine du Bouddhisme) est né près de la ville de Kapilavastu. Il se marie jeune avec la princesse Yasodhara dont il a un fils, Rahula. A l’âge de 29 ans, ayant déjà manifesté très tôt dans sa vie le goût pour la méditation et les grandes questions, il fait la rencontre d’un vieil homme, d’un malade et d’un cadavre : ces rencontres lui font comprendre que c’est la souffrance qui gouverne l’humanité. Bouddha, par cette prise de conscience, va donner un autre tournant à sa vie et il part à la recherche de la Vérité… A l’âge de 35 ans, il atteint " l’Eveil ", assis sous " l’arbre de l’Illumination ", au terme d’une méditation de 49 jours. Bouddha dispensera alors son enseignement pendant 45 ans…

Confucius : il a vécu de 551 à 479 avant J-C. Il était chinois. C’était un philosophe, fondateur du confucianisme. Son enseignement est basé sur les règles morales. Il fut le premier à énoncer la loi de bienveillance et de compassion suivante : « ne faites pas à autrui ce que vous ne voulez pas qu’on vous fasse ». Avec Lao Tseu et Bouddha, Confucius est à l’origine des trois religions actuelles de la Chine. Confucius considérait que l’homme devait se conduire sur la base de cinq vertus qu’il énonce : la bonté, la droiture, la bienséance, la sagesse et la loyauté. A ces vertus s’ajoutent le respect des parents de même que de la vie et de la mort… Krishna : il était un avatar (voir définition ci-après) qui a vécu il y a 5000 ans. Krishna est le nom de la huitième incarnation du dieu suprême, de l’instructeur universel. Lao Tseu : est né en Chine il y a environ 2.500 ans. Il fut archiviste et astronome à la Cour des Zhou. Lao Tseu, dans ses enseignements, invite ses fidèles à " copier " leur comportement sur les lois de la Nature et à toujours conserver une attitude humble. Sa philosophie est le " non agir " (qui ne veut pas dire " ne rien faire ") qui consiste à ne fournir aucun effort inutile et en contradiction avec la Nature. Le Tao, dont il parle, est l’énergie d’où proviennent toutes les énergies. Mahomet : est né en 570 à La Mecque (Arabie Saoudite). Orphelin peu après sa naissance, il est recueilli par son grand-père puis par son oncle. Mahomet est pauvre et doit aller travailler. Une riche commerçante veuve, Khadija, en fait son " bras droit " et lui propose ensuite le mariage. De cette première union naîtront quatre filles. Mahomet,

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comme ses contemporains, fait de temps à autre une retraite spirituelle dans une caverne proche de chez lui. Un jour, en 610, il a une vision : il entend une voix et lui apparaît soudain un être majestueux (l’archange Gabriel) qui lui transmet les paroles de Dieu. Ces paroles, entendues à plusieurs reprises, deviendront plus tard le Coran. Le maître Jésus (ou Sananda) : il est né en Palestine à Bethléem il y a environ 2.000 ans. Son enseignement, relaté dans les Evangiles, est à l’origine du Christianisme. Sa vie a fait l’objet de nombreux ouvrages dont certains qui, depuis les récents travaux suscités par la découverte des Manuscrits de la mer Morte nous font nous interroger : qui étaient les Esséniens, communauté à laquelle Jésus appartenait, qui était Jésus en fin de compte ? Comment a-t-il été " initié " ? On parle également de : Le maître El Morya : on dit qu’il fut successivement incarné dans : le patriarche Abraham, le roi mage Melchior, le roi Arthur et Thomas Moore (poète anglais). Il aurait aussi été l’empereur mogol Akbar et vers 1830, El Morya Khan, un Mahatma tibétain… Adama : il vivrait actuellement à Télos (sous le Mont Shasta) et il œuvre pour l’ascension collective de la terre. C’est un grand prêtre qui a en charge le haut conseil lémurien de Télos…. Kuthumi : il se serait incarné entre autres sous les traits du pharaon Thoutmosis III, puis de Pythagore, puis de saint François d’Assises… Saint-Germain : il aurait été le prophète Samuel puis saint Joseph, père de Jésus. Un peu plus tard il revint sous les traits de Merlin, magicien, puis au 13e siècle, il s’incarna en Roger Bacon puis en Christophe Colomb et enfin Francis Bacon. Il revint une dernière fois au XIXe siècle en Europe sous le physique de Saint-Germain, pour empêcher la révolution et enseigner la démocratie…. Mère Marie (ou la Sainte Vierge) : elle fut enseignée dès sa naissance à servir Dieu. Durant toute sa vie, on la disait plus près des anges que des hommes. Elle symbolise l’amour rayonnant et a fait de nombreuses apparitions aux hommes leur enseignant la prière et l’amour… Hilarion : il aurait été Saul, le persécuteur romain converti au christianisme et est devenu l’apôtre Paul. Trois cents ans plus tard, il s’incarna en Hilarion, ermite et grand guérisseur christique et exorciseur…

Le Commandant Ashtar Sheran : commandant de la Flotte intergalactique et interdimensionnelle de la Lumière la Division aéroportée de la Grande Fraternité Blanche de la Lumière. Attention : le titre de "Commandant" n'est pas lié à une quelconque hiérarchie militaire… voir à ce sujet l’excellent site bien documenté http://ashtar.sheran.free.fr/ashtar-sheran.htm Citons encore : Les apôtres de Jésus, Baha U’llah (grand instructeur iranien), Jean Baptiste, Kabir (poète indien), mais aussi Afra (patron de l’Afrique et de la race noire), Lady Nada, Serapis Bey et bien d’autres… Les maîtres de sagesse contemporains. Mikhaël Aïvanhov (1900-1986) : il est né en Bulgarie. Dès l’âge de cinq ans, il éprouve une vraie passion pour la Nature. Il découvre en 1909 le " Livre des Proverbes " de Salomon. A quinze ans, il a déjà lu de nombreux textes sacrés et un matin, après le lever

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du soleil, il se retrouve entouré d’une lumière éclatante et de la présence de plusieurs " personnages ". En 1917, il s’intéresse aux enseignements de Peter Deunov. Il le rencontre et devient un de ses disciples : guéri par lui d’une grave maladie, il reprend ses études universitaires à Sofia en 1923. Le 18 juillet 1937, il quitte son pays à la demande de son maître pour aller fonder en France la section française de la grande Fraternité blanche (créée en 1900 par Peter Deunov). Il donne sa première conférence à Paris en 1938. Après plusieurs conférences, un petit groupe se forme autour de lui qui s’agrandit au fil du temps. De 1959 à 1960, après avoir été emprisonné pendant deux ans sur ordre des services secrets, il visite l’Inde et rencontre notamment Babaji. En septembre 1960, il est réhabilité par la Justice. A partir de ce moment et jusqu’en 1985, il enchaînera conférence sur conférence et livre sur livre. Son enseignement est très clair et très complet. Aïvanhov a abordé toutes les questions spirituelles. Il a milité pour une religion unique, universelle. La sagesse qui le caractérise fait de lui un grand pédagogue de la spiritualité. Il demande aux hommes de vivre une vie pleine, riche, joyeuse, avec un idéal et de vraies valeurs…. Amma : née le 27 septembre 1953, elle est une véritable star en Inde. Elle a serré dans ses bras des millions de personnes à travers le monde, sa devise étant : " étreindre le monde pour la Paix et l ’Harmonie ". Déjà dans sa jeunesse, elle priait Krishna avec ferveur. Très vite consciente de la pauvreté qui règne autour d’elle, elle donne ce qu’elle a. Son message tient en quelques mots et notamment ceux-ci : « il ne suffit pas de parler de conscience, de non-dualité, de philosophie : il faut les mettre en pratique ». Son œuvre est avant tout humanitaire. L’argent collecté par son centre sert à financer des écoles, un hôpital, un hospice, un centre pour sidaïques, des maisons pour les sans-abri. Son ashram* est ouvert à tous, aux miséreux et aussi à ceux qui cherchent une voie spirituelle. En 2002, elle a reçu le prix Gandhi de la non-violence et de la Paix… Un film vient de retracer sa vie, il s’appelle " Darshan "… Peter Deunov (1864-1944) : né le 11 juillet 1864 à Varna et après des études d’instituteur, Peter Deunov part étudier la médecine et la théologie à l’Université de Boston. En 1895, il rentre en Bulgarie où il médite longtemps avant d’organiser la première réunion de la Fraternité blanche. Peter Deunov a eu de nombreux disciples, les plus connus étant Mikhaël Aïvanhov et Albert Einstein qui a dit : « le monde entier s’incline devant moi, mais moi je m’incline devant le maître Peter Deunov ». Peter Deunov a développé les trois thèmes : amour, sagesse et vérité dans le cadre d’un christianisme originel. Jiddu Krishnamurti (1895-1986) : il fut philosophe et instructeur spirituel. Il est le huitième enfant d’une famille brahmane de haute caste. En 1910, à l’âge de quinze ans, il publie son premier livre et à l’âge de seize ans il est à la tête de l’Ordre international de l’Etoile d’Orient qui a pour mission de préparer l’opinion publique à recevoir " l’Instructeur mondial ". Entre 1912 et 1921, Krishnamurti poursuit ses études à Londres et à la Sorbonne. En 1922, après deux semaines de méditation, il " quitte " son corps à plusieurs reprises vivant alors des rencontres extraordinaires avec Bouddha, le seigneur Maitreya et le maître K.H.. Pendant plus de cinquante ans, il va enseigner par des conférences, des livres et il fonde également des écoles. Pour Krishnamurti : « la vérité est en nous » (NDLR : ce que disent également tous les autres maîtres) et « ce sont les enseignements qui comptent, pas l’instructeur qui les délivre ». Les Avatars. Dans l'hindouisme, un Avatar est l'incarnation de la divinité suprême sur terre. « Pour la sauvegarde du bien, déclare Krishna dans la Bhagavad-Gîtâ*, pour la destruction du mal et pour le rétablissement de la loi éternelle, je m’incarne d’âge en âge. » (IV, 8). Le mot avatar est dérivé du sanscrit avatâra, descente … Dans la mythologie, d’autres divinités ou personnalités semi-divines sont parfois considérées comme des avatars, comme par exemple Hanumân (incarnation de Shiva). La plupart des Hindous considèrent les

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grandes figures religieuses de l’humanité, tels que Zoroastre, Jésus ou Mahomet, comme autant d’avatars ou de manifestations du principe divin. Certaines personnalités saintes de l’hindouisme, tel que Chaitanya (incarnation de Vishnu), sont également vénérées par leurs disciples comme des avatars partiels, voire même complets. Le XXe siècle a vu l’apparition d’un nombre considérable d’avatars autoproclamés, non seulement en Inde mais aussi en Occident. (Extrait de définition donnée par l’encyclopédie Wikipédia en ligne). Nous pourrions ajouter à cette définition qu’il existe des avatars humains, planétaires et cosmiques. Les avatars prennent un corps mortel, homme ou femme ; ils ne font pas partie de la hiérarchie terrestre. Certains grands avatars, attachés à la Terre, tels Babaji ou Sanat Kumara sont immortels. Babaji : il est un sage indien intemporel. Sa mission serait de venir en aide aux instructeurs spirituels. Jamais apparu au grand jour, de nombreux avatars l'ont cependant vu et parlé avec lui. Babaji, d'après ceux-ci, semble éternellement jeune et ne vieillit pas : il paraît avoir vingt-cinq ans. Les Saints. « Dans son usage le plus ancien, le terme " saint " désignait ceux qui appartenaient à Dieu, et, ainsi, tous les membres de l’Eglise primitive qui reçurent le message évangélique, rejetèrent le péché et vécurent dans un état de sainteté. Peu à peu, le mot s’appliqua à ceux qui étaient morts en chrétiens, et qui, par conséquent, étaient au Paradis et pouvaient intercéder auprès de Dieu en faveur des vivants. Finalement, il indique une marque particulière de vénération et d’honneur attribuée à un homme par les habitants d’une région ou les membres d’un même ordre religieux… La reconnaissance de la sainteté dans l’Eglise catholique est soumise à une étude approfondie de la vie et de la mort de l’homme (NDLR : ou la femme) concerné. On déterminera si la pratique de la vertu et de la piété a revêtu un caractère d’héroïcité. Souvent sera prise en compte une action hors du commun, comme la fondation d’un ordre ou le martyre qui reste le critère suprême de sainteté. Mais la mort peut être commune si l’homme en question a montré une humilité et une conduite exemplaire tout au long de sa vie. Les témoignages sur d’éventuels miracles ont également une grande valeur pour la définition de la sainteté… » (Extrait de Alison JONES, Les Saints, éditions Bordas, p. 7). Les signes surnaturels de sainteté. Parmi les signes surnaturels qui sont pris en compte par l’Eglise pour établir la sainteté d’une personne, on retrouve ce qui suit : - l’incorruptibilité du cadavre : aussi étrange que cela puise paraître, lorsqu’on exhume

une dépouille, celle-ci est demeurée en parfait état de conservation et qui plus est, elle dégage parfois une bonne odeur qui est parfaitement incompatible avec ce que l’on pourrait attendre d’un cadavre enterré depuis quelques années. En effet, un cadavre exhumé après 20 ans ou même 200 ans se résume plutôt à un squelette nettoyé de toute chair. Ici, c’est le contraire, on découvre un corps en bon état de conservation, encore souple, propre voire parfumé. Parmi les incorruptibles " célèbres ", on peut citer : Anne-Catherine EMMERICH, Marie-Madeleine de PAZZI, Thérèse d’AVILA, Catherine de SIENNE et Bernadette SOUBIROUS,

- les écoulements inexplicables de la dépouille, - les manifestations surnaturelles de lumière, - les guérisons en tous genres médicalement inexplicables, - les parfums d’origine inconnue, - les apparitions aux fidèles, - les stigmates : on appelle stigmates des traces corporelles douloureuses des plaies du

Christ, visibles ou invisibles, permanentes ou périodiques. Le premier stigmatisé est

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saint François d'Assise. (source : Pierre JOVANOVIC, Enquête sur l’existence des anges gardiens, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

Quelques saints stigmatisés, incorruptibles. (NDLR : le lecteur intéressé pourra en savoir plus en lisant notamment le livre cité ci avant, Les Saints, éditions Bordas ou Pierre JOVANOVIC, Enquête sur l’existence des anges gardiens, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Anne-Catherine EMMERICH (1774-1824) : née en Westphalie en 1774, Anne-Catherine a eu ses premières visions à l’âge de neuf ans : elle voit son ange gardien de même que Jésus et Marie. Elle se retire dans un couvent en 1802 et en 1811, lors de la suppression des institutions religieuses par le gouvernement prussien, elle se retrouve à la rue et est recueillie par un prêtre français. Un an plus tard, les stigmates apparaissent sur son corps et chaque vendredi, Anne-Catherine revit et voit la Passion du Christ. Comme une autre stigmatisée appelée Marthe ROBIN, Anne-Catherine ne mange jamais, se nourrissant exclusivement d’hosties. Anne-Catherine impressionne beaucoup ceux qui l’approchent : elle lit dans les pensées, elle lévite*, elle est transportée par son ange gardien à des milliers de kilomètres de son village natal, ce qui lui permet d’annoncer des nouvelles bien avant qu’elles n’arrivent dans ce coin perdu. En 1824, elle meurt à l’âge de cinquante ans. Quelques semaines après, elle est exhumée et son corps est toujours en parfait état, souple, sans odeur, sans aucune décomposition… Curieusement, elle n’a pas encore été canonisée… Marie-Madeleine de PAZZI (1566-1607) : quatre cents ans après sa mort, son corps est toujours visible dans l’église des Carmélites à Florence, parfaitement conservé. Née en 1566, Marie-Madeleine de Pazzi (qui, au départ s’appelait Catherine) était la fille d’une des familles nobles les plus en vue de Florence. A l’âge de dix ans, elle décide de devenir religieuse et entre à l’âge de seize ans chez les Carmélites à Florence. Elle aussi lévite fréquemment, son corps a les stigmates, elle a des visions christiques et opère des miracles. Au cours de certaines de ses extases, elle reçoit les enseignements du Christ et de Catherine de Sienne, son modèle. Comme le Padre Pio, elle peut lire dans les pensées, guérir des malades et discerner les véritables postulantes. Elle meurt à l’âge de quarante-deux ans. Elle est enterrée dans l’église et les Carmélites remarquent aussitôt que de sa tombe se dégage une odeur agréable. Son corps sera exhumé et examiné en 1612, en 1625 et en 1663 en vue de sa béatification. Autre phénomène étrange : pendant huit ans, une sorte d’huile suinte de ses genoux. La dépouille n’a jamais été embaumée. Thérèse d’AVILA (1515-1582) : son cœur, exposé dans l’église des Carmélites d’Alba de Tormès, semble continuer à vivre de façon indépendante : il gonfle, devient brûlant et brise le tube en cristal qui le contient. Catherine de SIENNE (1347-1380) : Catherine Benincasa est née à Sienne en Italie (1347). Tertiaire dominicaine à l'age de 16 ans, elle mène une vie de recluse pendant trois ans. Reprenant une vie dans le monde, beaucoup de personnes attirées par son ascendant spirituel et sa gaieté l’entourent. Elle ressent les premières douleurs de la Passion en 1373 d’abord avec la couronne d’épines, suivie deux ans plus tard des stigmates sur le corps, d’abord invisibles mais qui apparurent lors de son décès le 29 avril 1380. Cinq ans plus tard, lorsque son cercueil est ouvert, on la découvre intacte…

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On peut également citer Bernadette SOUBIROUS (apparitions de la Vierge à Lourdes), Catherine LABOURE (apparitions de la Vierge à la rue du Bac à Paris), le saint curé d’Ars, et le Padre Pio (en ce qui concerne les stigmates notamment). Les témoignages. Le Padre Pio. « Né Francesco Forgione, le 25 mai 1887, à Pietrelcina, dans la province du Bénévent (Italie), Padre Pio est mort au couvent de San Giovanni Rotondo, cinquante ans, presque jour pour jour, après avoir reçu les stigmates. … On ignore presque tout des jeunes années de cet homme qui se définit lui-même : " un maccherone senza sale ", autrement dit, un jeune homme ordinaire… Déjà pendant son noviciat, on apprit, à l’extérieur, que le religieux était l’objet " d’étranges phénomènes ". Jour après jour, le jeune novice, pâle et émacié, refuse toute alimentation… A Venafro il " vit pendant vingt et un jours consécutifs de la Sainte Eucharistie ". De santé fragile, le frère est sujet à des accès de fièvre tellement intense que " régulièrement, les thermomètres du couvent explosent "... Padre Pio passe ses vacances à la ferme paternelle. Le 20 septembre 1915, sa mère l’appelle pour le déjeuner et le voit sortir d’une hutte qui s’élève au milieu des vignes : " il agitait ses mains en tous sens comme si elles étaient brûlées ". Elle lui demande ce qui se passe et son fils lui répond qu’il ressent des douleurs " vives mais supportables ". En fait, " Padre Pio vient de recevoir les stigmates mais ceux-ci demeurent invisibles ". Telle est la phrase que chacun peut lire dans un ouvrage revêtu de l’imprimatur de la plus haute hiérarchie catholique. Trois ans plus tard, Padre Pio est dans le choeur de l’église du couvent en compagnie des autres religieux quand, tout à coup, les stigmates s’ouvrent : ses mains, ses pieds saignent et il porte sur le côté une plaie profonde, celle du coup de lance du centurion. Les fidèles s’exclament : « Padre Pio e un santo ! ». Les photos des blessures sont transmises à Rome, à l’administration du Saint-Office, l’actuel office de la Congrégation de la Foi. Padre Pio reçoit l’ordre de se soumettre à un examen médical et de se soustraire à la curiosité des fidèles. Des médecins examinent les linges qui protègent les stigmates, les enferment dans des boîtes qu’ils scellent et concluent : « ce genre de lésions ne s’explique pas scientifiquement ». Padre Pio perd, chaque jour, l’équivalent d’une tasse de sang et protège ses mains par des gants d’étoffe brune. Padre Pio possède pratiquement tout l’éventail des aptitudes auxquelles la science accorde l’étiquette " manifestations parapsychologiques " ; voyant, prophète, télékinésiste*, télépathe, guérisseur, thaumaturge*, il est tout cela. Il ignore l’anglais mais comprend ce que de jeunes Américains lui disent ; il sait par avance ce que ses pénitents lui révéleront ou lui cacheront en confession. Il déclare impromptu à un inconnu que celui-ci cherche à se débarrasser de sa femme par un meurtre. A une femme qui est à la veille de se soumettre à une opération gynécologique, il annonce que l’hémorragie va cesser et qu’elle donnera naissance à un fils. Un an plus tard, la femme lui présente l’enfant, au monastère. Chroniqueur attitré des faits miraculeux dont San Giovanni Rotondo a été le théâtre, Alberto de Fante rapporte qu’un homme priait dans le confessionnal du Padre Pio pour la guérison de son neveu ; agnostique, il était à l’article de la mort et les médecins l’avaient abandonné. Vingt-quatre heures plus tard, le neveu était " indiscutablement " guéri. Une femme tentait de raccourcir le délai d’attente de trois jours qu’on lui avait fixé pour une entrevue avec Padre Pio et se frayait en pleurant un chemin à travers la foule ; le capucin la vit, lui ordonna de rentrer chez elle au plus vite et l’assura que tout était de nouveau normal. De retour chez elle, la femme constata que son mari pour lequel elle voulait que le père intercède, était guéri… Le don de bilocation de Padre Pio est encore plus extraordinaire. L’auteur de la relation des faits miraculeux attribués au capucin rapporte qu’à la stupéfaction de la foule qui l’attend, Padre Pio " franchit les portes closes ", procédé qui lui permet de se retirer avec élégance et de se débarrasser des curieux … Padre Pio qui dit de lui-même : « Je souffre même

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quand je ne souffre pas » possède également le don d’émettre des odeurs agréables même dans les pièces qui sentent le renfermé. Un médecin, le Dr Romanelle, s’étonne, c’est du moins ce qu’il suppose, que Padre Pio utilise du parfum, mais un capucin lui explique que l’odeur est celle du sang des stigmates … Au mois de juillet 1930, un parfum, mélange de rose et de narcisse, emplit soudain, à Bologne, le salon d’un appartement où une malade revient de San Giovanni Rotondo ; l’odeur persiste pendant un quart d’heure puis la malade, une jeune fille, peut de nouveau remuer son bras, jusqu’alors inerte. Ces phénomènes insolites, sont indéniables et attestés, durant quarante ans, par une multitude de témoins. » (Extraits de Erich VON DANIKEN, Le livre des apparitions, pp. 164 à 167, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Une vision du Padre Pio. Un jour, dans les années cinquante, un jeune prêtre polonais, débarquait du train l'ayant amené en Italie, dans une ville située non loin du monastère dans lequel résidait le Padre Pio. A peine ses bagages déposés à l'hôtel, le prêtre se mit en route pour le monastère, car il avait hâte de rencontrer le célèbre capucin. Chemin faisant, il se tordit la cheville mais il continua néanmoins sa route. Lorsqu'il fut arrivé à destination, et qu'il se trouva, pour la première fois de sa vie, devant le moine, ce dernier lui demanda tout naturellement comment il allait. Le jeune curé se plaignit alors des douleurs qu'il ressentait à la cheville à la suite de son petit accident sur le chemin du monastère. Ce à quoi le Padre Pio répondit à son visiteur que ces douleurs n'étaient rien en regard des souffrances qu'il endurerait lorsque ses vêtements blancs se tacheraient de rouge. Ces paroles étonnèrent le prêtre qui répondit au capucin qu'il ne voyait pas quant il pourrait être habillé de blanc puisqu'il porterait toujours une soutane noire. Le Padre Pio ne répondit pas, mais adressa un sourire énigmatique à l'homme auquel il venait de faire cette prédiction et qui s'appelait Karol Wojtyla, le futur Jean-Paul II. Le Padre Pio venait en fait de prédire à celui qui deviendrait, bien de années plus tard, le pape Jean-Paul II, l'attentat dont ce dernier a bien été victime, à Rome, le mercredi 13 mai 1981, moins de trois ans après son élection au trône de l'Apôtre Pierre. Concernant le maître Jésus et les autres maîtres initiés. « Je voulus en avoir le cœur net sur leurs idées théologiques et leur demandai platement quels étaient leurs rapports avec le Christ. Réponse d’Alain : il est au-dessus de nous et nous le prions. Il est merveilleux à voir, même de loin. On espère s’en rapprocher un jour, il faut de la patience et beaucoup travailler dans son sens pour pouvoir être à ses côtés. Mais il a des regards qui vous pénètrent, c’est fantastique et impossible à décrire. Nous le servons avec joie et espérons monter vers lui. Il est blanc brillant mais c’est une image. Nous le sentons fortement en nous plus que nous le voyons. Nos corps s’imprègnent et ce sont les meilleurs moments. Pas tout le temps, ce serait trop beau. Marie aussi, c’est du même ordre. » (Message d’Alain reçu par Julien par écriture intuitive dans Paul MISRAKI, L’expérience de l’après-vie, pp. 104-105, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : qui est Jésus-Christ pour vous ? Réponse : un très grand enseignant. Et surtout notre frère aîné puisque lui et nous, nous sommes les fils d’un même Père… » (Témoignage de SILVER FOX, Cherokee, pasteur et psychothérapeute dans Les Gardiens de la Terre, p. 187, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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« Je peux vous dire que je vois Jésus. Ce n’est pas cette statue sulpicienne* coloriée stupidement, c’est un Maître de Lumière qui a un collège d’enseignement. Siddharta Gautama (le Bouddha) a un collège d’enseignement. Zoroastre a un collège d’enseignement. De temps à autre ils redescendent. Ils s’incarnent brièvement et ils repartent. Tous ces maîtres de Lumière sont des êtres extraordinaires qui vivent avec vous, qui sont près de vous, qui sont vos guides, que vous ne voyez pas, que vous ne sentez pas, sauf des êtres évolués ou conscients… » (CHRISTOPHE dans Paroles de Lumière, p. 12, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Un discours important et une mise au point du maître Jésus.

« … Notre ami se tut, et il y eut un profond silence d’environ cinq minutes, après quoi une lueur que nous n’avions pas encore vue illumina la chambre. Nous entendîmes une voix qui parut d’abord lointaine et indistincte. Après qu’elle eut attiré notre attention et que nos pensées furent dirigées vers elle, la voix devint parfaitement distincte et résonna en tons clairs comme des sons de cloches. L’un de nous demanda : qui donc parle ? Notre chef répondit : « Gardez le silence, c’est notre cher Maître Jésus qui parle. » L’un de nous dit : « Vous avez raison, c’est Jésus qui parle ». Alors la voix continua : « Quand j’ai dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie », je n’avais pas l’intention d’apporter à l’humanité l’idée que j’étais à moi seul l’unique lumière véritable. J’ai dit également : « Autant il y en a qui sont conduits par l’esprit de Dieu, autant il y a de fils de Dieu ». Quand j’ai dit : « Je suis le fils parfait, le Fils Unique engendré de Dieu chez lequel le Père prend son plaisir », j’entendais affirmer à l’humanité entière que l’un des enfants de Dieu voyait, comprenait et proclamait sa divinité. Cet enfant voyait que sa vie, ses actes, et son existence résidaient en Dieu, le grand principe Père-Mère de toutes choses. Il proclama ensuite qu’il était le Christ, le fils unique engendré de Dieu. Puis en vivant la vie sainte d’un cœur sincère et persévérant, il devint ce qu’il proclama être. Gardant les yeux fixés sur cet idéal, il en remplit son corps tout entier et le but recherché fut atteint. Pourquoi tant de gens ne m’ont-ils pas vu ? C’est parce qu’ils me mettent sur un piédestal et me situent dans l’inaccessible. Ils m’ont entouré de miracles et de mystères, et m’ont situé loin des gens du peuple pour lesquels j’éprouve un amour indicible. Je ne me suis pas retiré d’eux, mais eux se sont retirés de moi. Ils ont dressé des voiles, des

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murs, des séparations, et des médiateurs ainsi que des images de moi-même et des proches qui me sont chers. Chacun de nous fut entouré de mythe et de mystère jusqu’à paraître si éloigné que l’on ne sut plus comment nous atteindre. On prie et on supplie ma mère chérie et mon entourage et l’on nous tient ainsi dans des pensées mortelles. En vérité si on voulait nous connaître tels que nous sommes, on souhaiterait nous serrer la main comme vous le faites aujourd’hui et on le ferait. Si l’on voulait abandonner toute superstition, on nous parlerait comme vous le faites. Vous nous voyez immuables tels que nous sommes. Combien nous aimerions que le monde entier le sache ! Quel réveil, quelle réunion, quelle fête ! Vous nous avez entourés si longtemps de mystère qu’il n’y a rien d’étonnant à ce que le doute et l’incroyance aient fini par prédominer. Plus vous fabriquez d’images et d’idoles et plus vous nous entourez de mort, plus vous nous rendez inaccessibles. Plus vous projetez profondément le doute et l’ombre, et plus l’abîme de la superstition deviendra large et difficile à franchir. Si vous vouliez nous serrer audacieusement les mains et dire : « je vous connais », alors chacun pourrait nous voir et nous connaître tels que nous sommes. Il n’y a pas de mystère autour de nous ni autour de ceux que nous aimons, car nous aimons le monde entier. La plupart des gens n’aperçoivent que la fraction de ma vie qui s’est terminée sur la croix. Ils oublient que la plus grande partie en a été vécue sous la forme actuelle. Ils oublient que l’homme continue à vivre, même après une mort apparemment violente. On ne peut pas détruire la vie. Elle continue encore et toujours, et une vie bien vécue ne dégénère ni ne disparaît jamais. La chair elle-même peut devenir immortelle et ne plus changer. Quand ce bon Pilate s’est lavé les mains et a dit : « Enlevez-le et crucifiez-le vous-mêmes, je ne trouve pas de faute en lui », il ne connaissait pas grand-chose de l’événement historique auquel il prenait part ni de la prophétie qu’il accomplissait. Lui et son entourage ont bien plus souffert que moi. Mais tout cela est passé, oublié, pardonné, comme vous allez le voir par notre réunion en un même lieu. » Deux personnages apparurent, et Jésus les embrassa. Posant la main sur l’épaule de l’un d’eux, il dit : « Le cher frère que voici a parcouru tout le chemin avec moi. Quant à cet autre, il a connu encore bien des épreuves avant que ses yeux ne s’ouvrent, mais quand ils furent complètement ouverts, il nous rejoignit bientôt. Il est tout aussi sincère que les autres, et nous l’aimons du même amour ». Alors, le second personnage avança lentement et se tint un moment debout. Jésus se tourna vers lui les bras ouverts et dit : « Cher Pilate ». Il n’y avait pas d’erreur possible sur la bienveillance de leurs pensées. Alors Pilate prit la parole et dit : « J’ai peiné et souffert pendant bien des années après le verdict que j’ai prononcé le jour où j’ai rejeté avec légèreté le fardeau qui m’incombait. Pendant leur vie physique, bien peu d’entre nous se rendent compte des fardeaux inutiles qu’ils amoncellent sur autrui dans leurs tentatives pour éluder leurs responsabilités. Mais quand nos yeux sont ouverts, nous comprenons que plus nous essayons d’échapper à nos devoirs et de faire porter nos fardeaux par les autres, plus le fardeau s’appesantit sur nous. Il me fallut bien des années lassantes pour voir cela clairement, mais que de joie j’ai eue depuis que mes yeux se sont ouverts ! ». Alors le choeur invisible éclata en plain-chant. Sa mélodie défie toute description. Après quelques mesures Jésus s’avança et dit : « Vous étonnez-vous que j’aie pardonné depuis longtemps à ceux qui m’ont cloué à la croix ? Dès lors, pourquoi le monde n’a-t-il pas pardonné comme moi-même ? En ce qui me concerne, le pardon fut complet au moment où j’ai dit : « C’est accompli ». Pourquoi ne me voyez-vous pas tel que je suis, non pas cloué à la croix, mais élevé au-dessus de tout ce qui est mortel ? » Le chœur invisible reprit en chantant : « Salut, salut à tous, vous qui êtes fils de Dieu. Inclinez-vous et louez-le, son royaume est établi pour toujours parmi les hommes. Oui, il est avec vous toujours ». Et cependant que le chœur chantait, les paroles s’inscrivaient sur le mur de la chambre. Il ne s’agissait pas là d’une scène lointaine, confuse ou indistincte. Nous étions bien présents dans la chambre et nous parlions à nos interlocuteurs. Nous leur avons serré la main et nous les avons photographiés. Ils étaient parmi nous et nous étions autour d’eux. La seule différence entre eux et nous résidait dans la lumière spéciale qui les entourait. Cette lumière paraissait être la source d’éclairage de la chambre. Il n’y

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avait d’ombre nulle part. Leur chair semblait posséder une translucidité particulière. Au toucher, elle ressemblait à de l’albâtre. Cependant, elle avait des reflets chauds et sympathiques, et la chaleur rayonnait autour d’eux. Après qu’ils furent sortis, la chambre elle-même parut conserver leur chaleur et leur lumière… » (Baird T. SPALDING dans La vie des Maîtres, pp. 153 à 156, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Les apparitions mariales. Tout le monde a entendu parler des apparitions de la Vierge Marie. Certaines d’entre elles sont célèbres comme Lourdes, Fatima, San Damiano, et plus récemment Medjugorge. D’autres sont moins connues du grand public et notamment ces deux apparitions extraordinaires au Mexique et en Egypte : nous vous les relatons ci-après. Notre Dame de Guadalupe (Mexique). En 1531, une " Dame du Ciel " apparut à un pauvre Indien nommé Juan Diego. La première apparition se produisit un samedi alors que Juan Diego marchait en direction de la colline de Tepeyacac. Soudain une voix se fait entendre à Juan Diego : « Juanito, juan Dieguito ! ». Le pauvre Indien entreprend alors de gravir la colline au sommet de laquelle se tient debout une belle dame qui l’invite à s’approcher. Arrivé près d’elle, il remarque que ses vêtements sont " brillants comme le soleil ". Elle lui dit : « Juanito, le plus humble de mes fils, où vas-tu ? ». Celui-ci lui répond qu’il est en route pour Mexico. Vient alors le moment où la belle dame se présente à lui comme la Vierge Marie et lui fait part de son désir qu’une église soit érigée rapidement à l’endroit où elle se tient « afin que je puisse vous montrer et vous donner mon amour, ma compassion, mon aide et ma protection, parce que je suis votre mère miséricordieuse, à vous, à tous les habitants de cette terre et à tous ceux qui m’aiment, m’invoquent et ont confiance en moi… », telles sont ses paroles. Elle demande à Juan Diego qu’il aille faire part de son désir à l’évêque de Mexico : « Tu lui raconteras dans les moindres détails tout ce que tu as vu et admiré et ce que tu as entendu ». Juan Diego s’en va donc au palais épiscopal où il est reçu par le Père Juan de Zumarraga qui l’écoute mais n’accorde guère de crédit à ses paroles. Dépité et triste, Juan Diego reprend la route et lorsqu’il parvient à nouveau à hauteur de la colline, la Dame du Ciel se manifeste à nouveau à lui. Il lui raconte son entrevue avec l’évêque. « Je t’implore ardemment, toi le moindre de mes fils, et avec fermeté je t’ordonne d’aller demain voir l’évêque. Tu y vas en mon nom et tu lui fais connaître mon vœu intégral selon lequel je lui demande de commencer la construction d’une église… » Le lendemain, Juan Diego se trouve à nouveau en présence de l’évêque et répète le message de la Vierge. Le Père lui pose beaucoup de questions mais ne semble toujours pas le croire. Il demande même que la Vierge fasse un signe qui pourrait accréditer toute cette histoire. La Vierge, écoutant le récit du pauvre Indien lui dit : « Très bien mon petit, tu repartiras là-bas demain, afin de porter à l’évêque le signe qu’il a demandé… ». Deux jours plus tard, ayant été empêché la veille par la grave maladie de son oncle, Juan Diego part à la recherche d’un prêtre pour son parent. Il tente d’éviter le lieu des apparitions, honteux de n’avoir pas " obéi " à la Vierge. Celle-ci lui apparaît cependant. Ayant entendu les explications concernant la maladie de l’oncle elle le rassure : « Ne sois pas affligé de la maladie de ton oncle, il n’en mourra pas. Sois assuré qu’il est maintenant guéri ! ». (Par la suite, Juan Diego apprendra et constatera que son oncle a été guéri sur le champ). La Vierge lui demande d’aller cueillir les fleurs qui ont poussé en haut de la colline. Comme il atteint le sommet, Juan Diego n’en croit pas ses yeux : une belle variété de roses de Castille est là, en floraison, à une époque où normalement elle serait gelée. La dame, à qui il a apporté un bouquet lui dit : « Cette variété de roses est une preuve et un signe que tu porteras à l’évêque… ». Lorsque Juan Diego tend le bouquet à l’évêque, celui-ci en demeure plus que stupéfait d’autant que sur le tissu ayant

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contenu les roses s’est imprimée l’image de la Vierge ! Bien entendu ce miracle achève de convaincre l’évêque qui ordonnera de bâtir dans les plus brefs délais une église dédiée à Marie… (NDLR : le plus étonnant dans cette apparition est sans conteste les caractéristiques de ce portrait de la Vierge imprimé sur le tissu et notamment les yeux de Marie qui ont été examinés par de nombreux spécialistes parmi lesquels des ophtalmologues. Non seulement les yeux reflètent ce qui était en face de la Vierge au moment de son apparition mais de plus ils semblent tout à fait étrangement vivants. A noter également que le tilma (genre de tunique) de Juan Diego est en fait un vêtement de piètre qualité, fait à bas de cactus. Il aurait dû se détériorer normalement au bout d’une vingtaine d’années. Après 469 ans, il est en parfait état de conservation ! (Source : site web jesusmarie.com/apparitions_guadalupe.html). Autre NDLR. Deux autres caractéristiques remarquables de l'image imprimée recto verso sur la tilma de Diego sont à mettre en évidence :

1. Sur le manteau de la Vierge Marie, apparaît clairement la représentation cosmologique du jour de l'apparition au cours duquel le voyant reçut le bouquet de roses, c'est-à-dire que la position exacte des étoiles dans le ciel au-dessus de l'endroit ou se déroule la scène est imprimée sur le manteau de la Vierge. (Bien que la rencontre se déroula en plein jour, et que dès lors les étoiles fussent à ce moment, invisibles à l'œil nu).

2. Après analyse rigoureuse par plusieurs experts, il apparaît bien que l'image n'est pas peinte, mais qu'elle est colorée par des pigments inconnus sur terre. Les fibres de la tilma ne contiennent aucun colorant connu, qu'il soit d'origine synthétique, minérale, végétale ou animale.

Apparitions de Zeïtoun (Egypte) (1968-1969) (extraits). « Et voilà que nous est parvenue l’étonnante nouvelle : Notre-Dame était apparue, en silence, sur le dôme d’une église Copte-Orthodoxe de Zeïtoun, dans la banlieue du Caire, en Egypte. Elle n’a jamais parlé… mais son silence suffisait amplement. Elle ne pouvait pas se présenter comme " Mère de Dieu ", puisque les Musulmans, majoritaires dans cette région, ne reconnaissent pas la divinité de Jésus-Christ. Pour eux, le Seigneur est seulement un grand prophète, vénéré comme tel. Elle ne pouvait pas, non plus, se présenter, comme à Lourdes, comme la Vierge Immaculée, car les Coptes-Orthodoxes ne lui reconnaissent pas ce privilège… Ces apparitions, vues de tous, photographiées par plusieurs, ont favorisé un rapprochement œcuménique entre Musulmans et Chrétiens… Elles ont contribué à la Paix et au rapprochement des peuples. Il ne faut pas oublier que le Président Anouar El Sadate fut grandement impressionné par ces événements … Marie était venue dans son pays comme la " Mère de la Lumière ", avec tout un cortège de colombes célestes. Le cardinal Stephanos 1er Sidarouss, Patriarche Copte Catholique d’Egypte, déclara le 28 avril 1978 : « je n’ai aucune raison de douter… ». Que s’est-il passé en cette soirée du 2 avril 1968, « une heure et demie après le coucher du soleil ? » La revue, Le Monde Copte nous donne d’abondants détails dont nous citerons quelques extraits : « A Zeïtoun, une église dédiée à la Sainte Vierge, commémore le passage de la Sainte Famille. Cette église Copte-Orthodoxe s’élève dans la rue Touman-Bey, principale artère de cette banlieue du Caire. Elle est surmontée d’un

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dôme central et de quatre dômes plus petits aux quatre coins de l’édifice. En face de l’église se trouve un garage d’autobus des Transports publics… » Or, dans ce garage, l’attention des chauffeurs et mécaniciens fut, tout à coup, attirée par une rumeur, des cris montaient de la foule dense, à ce moment, dans cette rue. Ils virent alors une forme humaine, une femme, habillée de blanc, debout sur le dôme de l’église et tenant la main sur la croix dominant le dôme central. Ils virent cette dame avec tellement de netteté, qu’ils ne doutèrent pas un instant qu’elle fut vivante et crurent tout bonnement être en présence d’une religieuse… Ils lui crièrent de faire attention ! D’autres pensèrent qu’il s’agissait d’une personne qui tentait de se suicider et coururent frapper à la porte du sanctuaire pour en avertir le desservant. Elle revint une semaine après, le 9 avril. Un témoin écrira : « Elle se déplaçait d’un côté à l’autre au-dessus de l’église, afin que tous aient la chance de la voir en face. Elle se penchait, s’inclinait pour saluer la foule. Son déplacement n’était pas celui d’une marche, mais plutôt d’un glissement dans l’air, son vêtement flottant suivant le mouvement de l’air. Son visage, souvent souriant, d’autres fois plus grave et comme attristé, était toujours bienveillant. Certaines fois, elle portait une couronne, d’autres fois, non. Cela pouvait varier d’une apparition à l’autre dans une même nuit. Il lui est arrivé de tenir l’Enfant Jésus dans ses bras, (comme la Théotokos des Icônes). L’Enfant et sa Mère se montraient parfois couronnés, parfois non. Marie est aussi apparue, au moins une fois, accompagnée de saint Joseph et de l’Enfant Jésus, celui-ci semblant âgé d’une douzaine d’années… » … C’est toujours pendant la nuit, entre neuf heures du soir et six heures du matin, qu’eurent lieu les apparitions. Parfois, elles ne duraient que quelques minutes, parfois jusqu’à une, deux heures et plus. Elles pouvaient aussi s’interrompre et reprendre plus d’une fois dans la même nuit. Dans la nuit du 8 juin 1968, une apparition dura, sans interruption, de neuf heures du soir à quatre heures et demie du matin. L’apparition de Notre Dame était ordinairement annoncée par des lumières mystérieuses. Parfois, un globe lumineux apparaissait à l’un des dômes, puis éclairait toute la toiture et le dessus des dômes. Il arriva même qu’on vit la Sainte Vierge sortir graduellement d’un dôme, alors que toutes les vitres en sont fixées à demeure sans pouvoir être ouvertes. Un autre phénomène particulier à ces manifestations fut la présence de créatures ressemblant à des oiseaux, plus gros que des colombes, d’un blanc immaculé, lumineux. Ils étaient vus avant, pendant et après les apparitions, parfois même les nuits sans apparitions. Ils surgissaient d’un coup et disparaissaient de même. Ces formes volaient plus vite que des colombes, sans un battement de leurs ailes déployées. Elles semblaient glisser dans l’air plutôt que de voler. Leur nombre : deux, trois, six ou plus. Elles se disposaient en formation : en triangle, en croix ou en lignes parallèles. Ajoutons que des photographies ont pu être prises, non seulement de ces oiseaux mystérieux, mais de la Sainte Vierge elle-même. Et cela dura quatorze mois … Les foules qui se pressaient, à chaque nuit ont pu être évaluées à cinquante mille personnes et, parfois même, elles atteignaient la centaine de milliers … « Les premières fois », raconte un témoin, « c’était au début de la nuit, puis ensuite c’était à la fin, elle partait avec l’aube. Mais elle ne disparaissait pas brusquement, comme une lampe qu’on allume ou qu’on éteint, non : elle partait progressivement dans le ciel… Quand elle partait, elle partait avec un geste d’adieu, d’au-revoir, si vous voulez, et puis elle disparaissait dans le ciel. » (Extraits de Père Jean DEROBERT dans L’ange puissant qui descend du ciel, Editions Hovine, 1985, pp. 173 à 176).

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Conversation avec Marie concernant son mode de communication. « Qui veut me parler ? C'est Marie de la Lumière qui te parle aujourd'hui mon enfant chérie. Tu te posais des questions au sujet de la multiplicité des formes de langage que j'adopte lorsque je m'adresse aux gens de votre monde. L'élévation des esprits est fort diverse (voire différente) sur la terre. Si je m'adresse à des enfants (j'aime leur parler) j'utilise un langage maternel, simple. Je leur apparais par ailleurs comme " une belle dame rayonnante ". Si je m'adresse à des gens que l'on dit simples ou encore humbles, je parle dans leur langue faite de simplicité, de déférence et d'humilité. À certains channels je parle comme ils imaginent mes paroles : parfois très simples, parfois très " mystiques " voire alambiquées. En ce qui te concerne j'utilise le mode de communication " qui va droit au but " et compréhensible pour tout le monde. Les messages doivent sonner juste, sans ambages, sans fioritures. L'important est l'amour véhiculé par ces paroles car seul l'amour doit transparaître. Je pourrais vous parler d'une façon beaucoup plus " intellectuelle " par ton canal mais l'émotion, le coeur, les sentiments seraient masqués par les " grands mots ". C'est bien ainsi. Tu traduis bien, tu captes bien ce que j'ai à vous dire et je suis heureuse de parler par ton canal. Sois-en remerciée " petite Marie de la Terre ". »Marie de la Lumière (message reçu en canalisation par Marie-Hélène le 25 juin 2003).

Rencontre avec les maîtres. « La littérature spiritualiste est actuellement si abondante, il y a un tel réveil, une telle recherche de la vérité concernant les grands instructeurs du monde, que je suis incité à exposer mon expérience des maîtres d’Extrême-Orient. Dans ces chapitres, je ne cherche pas à décrire un nouveau culte ou une nouvelle religion. Je ne donne qu’un résumé de nos expériences avec les Maîtres, en vue de montrer les grandes vérités fondamentales de leur enseignement. Il faudrait presque autant de temps pour authentifier ces notes que ce qu’il en a fallu pour le travail de l’expédition. En effet, les Maîtres sont éparpillés sur un vaste territoire, et nos recherches métaphysiques ont couvert une grande partie de l’Inde, du Tibet, de la Chine et de la Perse. Notre mission comprenait onze hommes de science avertis, ayant consacré la plus grande part de leur vie à des travaux de recherche. Nous avions pris l’habitude de ne rien accepter sans contrôle et nous ne considérions rien comme vrai a priori. Nous arrivâmes complètement sceptiques. Mais nous repartîmes complètement convaincus et convertis au point que trois des nôtres retournèrent là-bas, décidés à y rester jusqu’à ce qu’ils fussent capables de vivre la vie des Maîtres et d’accomplir les mêmes œuvres qu’eux. Ceux qui apportèrent une aide immense à nos travaux nous ont toujours priés

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de les désigner par des pseudonymes au cas où nous publierions nos Mémoires. Je me conforme volontiers à leur désir. Je ne relaterai que les faits constatés, en me servant, autant que possible des mots et des expressions employés par les personnes rencontrées, dont nous partageâmes la vie quotidienne au cours de cette expédition. Parmi les conditions préalables à nos accords de travail, la suivante nous fut imposée : nous devions accepter a priori, comme un fait, tout événement dont nous serions témoins. Nous ne devions demander aucune explication avant d’être bien entrés dans le vif du sujet, d’avoir reçu leurs leçons, et d’avoir vécu et observé leur vie quotidienne. Nous devions accompagner les Maîtres, vivre avec eux, et voir par nous-mêmes. Nous aurions le droit de rester avec eux tant qu’il nous plairait, de poser n’importe quelle question, et d’approfondir à notre guise ce que nous verrions, puis de tirer nos conclusions selon les résultats. Après quoi, nous serions libres de considérer ce que nous aurions vu comme des faits ou comme des illusions. Il n’y eut jamais aucun effort de leur part pour influencer notre jugement en quoi que ce soit. Leur idée dominante était toujours que si nous n’avions pas assez bien vu pour être convaincus, ils ne souhaitaient pas que nous ajoutions foi aux événements. J’agirai donc de même vis-à-vis du lecteur, en le priant de croire ou de ne pas croire ce qui suit, à sa convenance. Nous étions aux Indes depuis environ deux ans accomplissant régulièrement nos travaux de recherche, quand je rencontrai le Maître que j’appellerai Emile. Un jour que je me promenais dans les rues de la ville, mon attention fut attirée par un attroupement. L’intérêt de la foule était centré sur un de ces magiciens ambulants ou fakirs, si répandus dans le pays. Je m’approchai et remarquai bientôt près de moi un homme d’un certain âge qui n’appartenait évidemment pas à la même caste que les autres spectateurs. Il me regarda et me demanda si j’étais depuis longtemps aux Indes. Je répondis : « Depuis environ deux ans ». il me dit : « Etes-vous anglais ? ». je répondis : « Non, américain ». Surpris et ravi de rencontrer une personne parlant ma langue maternelle, je lui demandai ce qu’il pensait de cette exhibition. Il répondit : « Oh ! il y en a souvent de semblables aux Indes. On appelle ces gens-là fakirs, magiciens ou hypnotiseurs, et c’est à juste titre. Mais sous toutes leurs simagrées il y a un sens spirituel profond, discerné seulement par une faible minorité ; nul doute qu’il n’en sorte du bien un jour. Mais ce que vous voyez n’est que l’ombre de la réalité originelle. Cela soulève beaucoup de commentaires, mais les commentateurs paraissent n’avoir jamais saisi la vérité. Pourtant, il y en a certainement une derrière tout cela ». Sur quoi nous nous séparâmes et ne nous rencontrâmes plus qu’occasionnellement pendant les quatre mois suivants. Puis se posa un problème qui nous causa de graves soucis. Quelques jours plus tard, je rencontrai Emile. Il me demanda la cause de mes soucis et me parla du problème auquel nous avions à faire face. Je m’en étonnai, car j’étais sûr que personne n’en avait parlé en dehors de notre petit cercle. Il paraissait si bien au courant de la situation que j’eus l’impression qu’il connaissait toute l’affaire. Du moment qu’elle était connue, il n’y avait plus d’inconvénient à en parler librement, et c’est ce que je fis. Il me dit alors qu’il avait une certaine connaissance de l’affaire et s’efforcerait de nous aider. Un ou deux jours plus tard, tout était clarifié, et le problème n’existait plus. Nous nous en étonnâmes, mais bientôt la chose fut oubliée et ne tarda pas à sortir de notre esprit. D’autres problèmes se présentèrent, et je pris l’habitude d’en parler familièrement avec Emile. Il semblait que nos difficultés disparaissaient dès que je m’en étais entretenu avec lui. Mes compagnons avaient été présentés à Emile mais je ne leur avais guère parlé de lui. A cette époque, j’avais déjà lu pas mal de livres choisis par Emile, sur les traditions hindoues, et j’étais tout à fait convaincu qu’il était un adepte. Ma curiosité était éveillée, et mon intérêt augmentait de jour en jour. Un dimanche après-midi, je marchais dans un champ avec lui lorsqu’il attira mon attention sur un pigeon qui tournoyait au-dessus de nos têtes. Il me dit que le pigeon le recherchait. Il se tint parfaitement immobile, et bientôt l’oiseau vint se poser sur son bras tendu. Emile annonça que l’oiseau lui apportait un message de son frère qui vivait dans le Nord. Adepte de la même doctrine, il n’avait pas encore atteint l’état de

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conscience lui permettant d’établir une communication directe. Il se servait donc de ce moyen. Nous découvrîmes plus tard que les Maîtres ont la faculté de communiquer directement et instantanément les uns avec les autres par la transmission de pensée ou, selon eux, par une force bien plus subtile que l’électricité ou la télégraphie sans fil. Je commençai à poser des questions. Emile me démontra qu’il pouvait appeler les oiseaux à lui et diriger leur vol, que les fleurs et les arbres s’inclinaient vers lui, que les bêtes sauvages s’approchaient de lui. Il sépara deux chacals qui se disputaient le cadavre d’un petit animal qu’ils avaient tué. A son approche, ils cessèrent de se battre, posèrent leurs têtes en toute confiance sur ses mains étendues, puis reprirent paisiblement leur repas. Il me donna même un de ces fauves à tenir dans les mains. Après quoi il me dit : « le Moi mortel et visible est incapable de faire ces choses. C’est un Moi plus véritable et plus profond, celui que vous appelez Dieu. C’est Dieu en moi, le Dieu omnipotent s’exprimant par moi qui les fait. Par moi-même, par mon Moi mortel, je ne peux rien faire. Il faut que je me débarrasse entièrement de l’extérieur pour laisser parler et agir le moi réel, le « JE SUIS ». En laissant s’épanouir le grand amour de Dieu, je peux faire ce que vous avez vu. En le laissant se répandre à travers soi sur toutes les créatures, nulle ne vous craint, et aucun mal ne peut vous advenir. A cette époque, je prenais des leçons quotidiennes avec Emile. Il lui arrivait d’apparaître soudain dans ma chambre, même quand j’avais soigneusement fermé la porte à clef. Au début, cette façon d’apparaître à volonté chez moi me troubla, mais bientôt je vis qu’il considérait ma compréhension comme un fait acquis. Je m’étais habitué à ses manières et je laissai ma porte ouverte pour lui permettre d’entrer et de sortir à sa guise. Ma confiance parut lui plaire. Je ne pouvais comprendre tout son enseignement ni l’accepter entièrement. D’ailleurs, malgré tout ce que je vis en Orient, je ne fus jamais capable d’accepter les choses sur-le-champ. Il me fallut des années de méditation pour réaliser le sens spirituel profond de la vie des Maîtres … » (Témoignage de Baird T. SPALDING dans La vie des Maîtres, pp. 13 à 17, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Concernant les Saints. « Maman, je suis entouré de personnes saintes. Tu sais, les saints ne sont pas seulement ceux que l’Eglise a reconnus comme tels. Il y en a d’autres ; il y a des gens sur terre dont personne ne pense qu’ils sont des saints … Mais lorsqu’ils arrivent auprès du Père, ils sont des saints aussi ; et vous sur terre, vous ne le savez pas… » (Axel à sa maman, le 24/01/1984 dans Monique SIMONET, Images et messages de l’au-delà, p. 70, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Où se situe Shamballah ? Shamballah, qu'est ce que c'est ? (extraits). « Au même moment, avec une infinie délicatesse, un parfum d’air frais nous saisit tout entiers. Nous accomplissons alors quelques pas vers la petite porte et découvrons une vaste plate-forme située en terrasse. Elle surplombe une vallée verdoyante enchâssée entre d’impressionnantes cimes aux reflets glacés. Tout cela est presque trop pour nos yeux. L’air même que nous absorbons paraît irisé. Chacune de ses molécules acquiert une étrange présence à notre conscience et semble jouer le rôle d’un prisme. Cependant la pression de la main n’a toujours pas quitté nos épaules et nous mène jusqu’à la balustrade de la terrasse. Celle-ci est étincelante, ciselée dans le même matériau que celui du bâtiment. Des reflets bleutés s’en échappent de ci, de là ; ils sont parés de l’éclat de la turquoise et du lapis-lazuli … Il y a d’abord en contrebas cette vallée, véritable jardin d’Eden … Aucun plan ne se dégage de cette beauté à l’état libre mais une volonté savante semble pourtant présider à toute son ordonnance, son équilibre magique… « Tout ce que vous voyez présentement, Frères, siège dans une zone éthérée

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de votre planète. " Ethérée " ne signifie pas immatérielle, vous vous en apercevez bien ! ». Nous tournons la tête. L’Etre qui nous a introduits sous la coupole est à nouveau présent et c’est lui qui nous adresse ces paroles. « Vous êtes ici au sein de la contrée qui sert de cœur à la Terre. Sans ce lieu, toute vie digne de ce nom serait totalement désorganisée, la planète elle-même irait vers un état de dessèchement. Ce cœur vibre sur trois fréquences essentielles. Retenez ce détail car il vous permettra de comprendre bien des faits. Ces trois fréquences, ou trois longueurs d’ondes pour employer vos termes, donnent naissance à trois types de manifestation, à trois formes de vie. Ce sont aussi trois voies pour atteindre l’ultime lumière. Comprenez que je veux parler également de trois plans d’existence qui à la fois se superposent et s’interpénètrent. Ils ont pour nom Agartha, Royaume du haut roi Go et Shamballah. Leur action peut s’identifier à celle des germes de tout corps, de toute âme et de tout esprit de ce qui naît momentanément de la terre. …. Peu d’hommes ont conscience qu’il puisse encore exister un semblable lieu, impénétrable, à la surface d’un monde qu’ils croient être en leur possession. Les légendes ont situé cette contrée aux alentours du désert de Gobi, vers les sables de Shamo. Elles disent vrai mais laissons leur le charme de l’imprécision. Certains éléments géographiques ne sont pas près de figurer sur les cartes humaines, non pas par crainte de quelque visite mais parce que la pureté absolue ne se développe jamais que dans la discrétion. … Vous devez savoir que des barrières mentales ont été dressées au cours des millénaires afin de rendre infranchissable le seuil de ce royaume qui est celui du roi Go. Elles dérèglent toutes les boussoles du monde ….Seuls ceux qui ont purifié leur corps par le labeur acharné de leur cœur y pénètrent et y vivent. Ce sont ceux-là également qui ont décidé de se river à la terre tant qu’un seul de leurs frères humains n’aura pas compris la suprématie de la loi d’Amour. » (Extraits du voyage astral d’ Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN, Le voyage à Shamballah, un pèlerinage vers soi, pp. 39 à 41, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). (NDLR : le lecteur aura bien compris que Shamballah désigne un lieu qui semble bel et bien exister mais sur une fréquence (longueur d’onde, vibration) plus élevée que la fréquence terrestre. Si l’on atteignait le point géographique exact de Shamballah, il faudrait pouvoir élever soi-même ses propres vibrations pour entrer dans ce lieu, qui, paraît-il est le siège, le quartier général de la Grande Fraternité blanche rassemblant les grands maîtres initiés attachés au sort de la Terre). Ils ont dit : « Ce qui importe avant tout, c'est d'entrer en nous-même pour y rester seul à seul avec Dieu. » (Sainte Thérèse d'AVILA) « Le monde est aveugle. Rares sont ceux qui voient. » (BOUDDHA) « Quand on ne sait pas ce qu'est la vie, comment pourrait-on savoir ce qu'est la mort. » (CONFUCIUS) « Quand vous voyez un homme sage, pensez à l'égaler en vertu. Quand vous voyez un homme dépourvu de sagesse, examinez-vous vous-même. » (CONFUCIUS) « Nul besoin de temples, nul besoin de philosophies compliquées. Notre cerveau et notre cœur sont nos temples. » (DALAÏ LAMA) « Regarde-toi : tu as en toi le ciel et la terre. » (Hildegarde de BINGEN) « Rappelez-vous que lorsque vous quittez cette terre, vous n'emportez rien de ce que vous avez reçu, uniquement ce que vous avez donné. » (Saint François d'ASSISE)

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« Aimez-vous les uns les autres. » (JESUS de Nazareth) « Range le livre, la description, la tradition, l'autorité, et prend la route pour découvrir toi-même. » (Jiddu KRISHNAMURTI) « La vie est un départ et la mort un retour. » (LAO-TSEU) « Je traite avec bonté ceux qui ont la bonté ; je traite avec bonté ceux qui sont sans bonté. Et ainsi gagne la bonté. » (LAO-TSEU) « Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous-même. » (MAHOMET) « Ce n'est pas ce petit corps-ci qui est Dieu ; comme n'importe quel corps, il périra un jour ; mais le Dieu intérieur est impérissable et éternel. » (Sathya SAI BABA) « La distance entre vous et Dieu est la même qu'entre vous et vous-mêmes. » (Sathya SAI BABA) « Partout et toujours, cherche sans te lasser le remède qui soulage, sème l'espoir : ça vivifie et ton amour peut faire des miracles. » (Sœur EMMANUELLE) « Si vous ne pouvez pas nourrir cent personnes, nourrissez-en au moins une. » (Mère TERESA) « Ce qui compte ce n'est pas ce que l'on donne, mais l'amour avec lequel on donne. » (Mère TERESA) « Seules les pensées lumineuses et les sentiments d'amour désintéressé peuvent créer la beauté. » (Omraam Mikhaël AIVANHOV) « Le bonheur, c'est d'aimer à l'infini. » (Omraam Mikhaël AIVANHOV)

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Etrange vision ou hallucination.

La brume laisse apparaître, dans le silence gelé, un être acrocéphale qui glisse sur le sol. A peine un bruissement de sa tunique d’émeraude, ses yeux adamantins fixent l’humain, le rassurent en pensée. Il dit l’amour et les constellations, puis tourne la tête lentement vers un vaisseau scintillant, silencieux et bouillant… Marie-Hélène DOURTE

Chapitre IX : Sommes-nous seuls dans l'Univers ? Introduction. Sommes-nous seuls dans l'Univers ? L'être humain, dans sa quête éperdue du savoir, ne pouvait pas passer à côté de cette interrogation qui en tenaille plus d'un depuis que l'homme a appris à observer le monde qui l'entoure et principalement le ciel au-dessus de sa tête. En observant ce ciel, à l'œil nu d'abord depuis des milliers d'années, puis avec des instruments de plus en plus puissants depuis le 17e siècle et la mise au point par Galilée de la lunette astronomique, l'homme peut contempler des dizaines de millions d'étoiles. Certaines d'entre elles ont la taille de "notre étoile", le Soleil, sans lequel la vie sur la terre telle que nous la concevons serait impossible ; les autres sont soit plus petites, soit plus grosses, mais à l'instar du Soleil, elles sont des millions à posséder des planètes orbitant autour d'elles. Il est donc légitime pour nous de nous demander si la petite planète que nous arpentons est le seul astre à abriter la vie, ou bien si une forme d'existence intelligente avec laquelle nous pourrions dialoguer a pu éclore ailleurs dans l'immensité du cosmos. L'Univers au-dessus de nos têtes. Afin de permettre une observation aisée du ciel, l'homme a réalisé une carte de la voûte céleste en la découpant en différentes régions qu'il a appelées constellations. Il a baptisé ces constellations du nom du personnage, de l'animal ou de la chose que l'imagination populaire croyait discerner dans la disposition des étoiles les plus brillantes de ces endroits stellaires (constellation de la Grande Ourse, constellation de la Lyre, constellation d'Andromède, constellation du Grand Chien, etc.) En observant toutes ces régions de l'espace, on découvre un nombre incalculable de corps célestes : étoiles avec leur cortège de planètes, galaxies renfermant des milliards d'étoiles, amas galactiques contenant des centaines ou des milliers de galaxies, etc. Comme nous l'avons évoqué dans l'introduction de ce chapitre, on peut donc, à juste titre, s'interroger sur la probabilité de trouver un peu partout dans l'univers, un certain nombre de planètes, qui, comme la Terre, ont vu se mettre en place les conditions favorables à l'apparition de la vie, parfois sous des formes tout à fait inconnues chez

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nous et pourtant tout aussi estimables et respectables que toutes celles que nous rencontrons sur notre globe. La vie ailleurs que sur la Terre ? Sommes-nous seuls dans l'Univers ? Pourquoi pas diront certains ? Pourquoi le serions-nous rétorqueront d'autres ? A chacun de voir ajouterons-nous. Force est cependant de constater que si nous laissons place au bon sens, en écartant notre caractère profondément égocentrique et les questions d'éthique que nous ne manquons pas de soulever dans une telle recherche, il semble évident que cet univers, cette cour de récréation géante, est beaucoup trop vaste pour nous seuls et que nous pouvons aisément le partager avec d'autres. S'il peut nous paraître confortable à nous, êtres humains égotistes, de penser que nous sommes seuls dans l'univers, et partant, maîtres de celui-ci, il faut bien reconnaître que notre profonde dualité nous amène aussi à souhaiter rencontrer des êtres venus d'ailleurs, en tentant de contacter ces derniers par tous les moyens à notre disposition. Les plans vibratoires. Sans entrer dans des considérations philosophiques et scientifiques complexes, ce n'est pas le propos de cet ouvrage, nous pouvons néanmoins constater que les recherches menées par l'homme sur le fonctionnement de l'univers nous en proposent un modèle d'évolution assez pertinent, nous permettant de nous promener le long de la flèche du temps depuis le big-bang jusqu'à nos jours. Depuis le big-bang, un nombre incalculable d'atomes se sont dispersés dans l'espace, dispersion qui continue à l'heure actuelle, et se sont agglutinés pour former toutes sortes de structures qui ont permis d'aboutir par exemple à des organismes aussi complexe que les nôtres, mais aussi aux corps célestes peuplant le cosmos. Il est bon de rappeler ici que certains atomes présents dans les étoiles sont les mêmes que ceux que nous rencontrons sur la Terre, dans nos corps physiques comme partout dans notre environnement ; nous sommes, en quelque sorte, les cousins des étoiles. Ces quelques lignes étaient nécessaires pour souligner l'osmose intime qui lie tout ce qui existe dans le cosmos. Tous les atomes dans l'univers vibrent, ce qui revient à dire que tout l'univers se trouve lui aussi dans un état vibratoire, ou mieux, dans un plan vibratoire. Nos yeux charnels, puisqu'ils vibrent ou oscillent à la même fréquence que le reste du monde, peuvent donc observer celui-ci sans artifice aucun. Il n'en va pas de même pour observer ce qui se passe dans les autres plans vibratoires. Le visible et l'invisible. Car, à l'inverse du monde visible, il y a le monde invisible à nos yeux de chair. Il est bon de rappeler ici, que l'invisibilité ne va pas de pair avec l'inexistence, ou si vous préférez, ce n'est par parce qu’un être, ou une chose dans le sens large du mot, est invisible que cet être ou cette chose n'existe pas ou qu'il n'a pas d'utilité. Comme vous le verrez plus loin, plusieurs plans vibratoires coexistent simultanément, ce qui revient à dire que plusieurs univers, y compris le nôtre, sont imbriqués les uns dans

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les autres. C'est un peu comme le câble d'antenne de votre téléviseur qui véhicule sur un seul fil plusieurs dizaines de programmes différents, mais chacun vibrant à sa propre fréquence. Pourquoi dès lors, ces différents univers vibratoires, que nous pouvons qualifier de mondes subtils, ne grouilleraient-ils pas de vie eux aussi ? Les contacts intra et interdimensionnels. Tous ces mondes éthérés et notre univers matériel sont reliés entre eux par un canal énergétique, une sorte de vortex qui permet à l'énergie d'évoluer d'un à l'autre. Il est temps de distinguer les contacts qui ont lieu entre notre humanité et des êtres venus d'ailleurs mais bien présents dans notre plan d'oscillation, c'est-à-dire les contacts intradimensionnels, et nos relations avec des créatures existant dans d'autres dimensions vibratoires, que nous qualifierons de contacts interdimensionnels Depuis la nuit des temps, l'homme a été confronté à des phénomènes d'apparitions étranges, souvent inexpliquées, qui ont alimenté bien des rumeurs et sont parfois à l'origine de légendes et autres histoires fantastiques. Les contacts, la plupart du temps par observation d'événements dans le ciel, mais pas toujours, ont en effet lieu depuis que l'homme est arrivé sur la surface de cette planète. Les contacts intradimensionnels sont ceux que nous avons avec des individus appartenant à notre monde vibratoire, n'habitant pas notre Terre, mais provenant de différents endroits du cosmos, qui essayent d'entrer en contact afin de communiquer avec nous, ou qui sont présents ici dans le but de nous observer et d'étudier notre mode de vie. A l'inverse des précédents, les contacts interdimensionnels ont lieu avec des êtres subtils existant sur d'autres plans vibratoires. Ces êtres rayonnants dont l'évolution est souvent nettement supérieure à la nôtre sont caractérisés par une sagesse et une spiritualité hors du commun. A la lecture des nombreux témoignages relatés dans ce chapitre, il apparaît bel et bien que de multiples formes de vie intelligente existent un peu partout, et pas seulement dans notre univers vibratoire, mais aussi dans les autres univers subtils. Tous ces mondes sont sillonnés par des êtres généralement empreints d'une très grande évolution spirituelle dont l'enseignement, pour nous humains de la terre, a une valeur inestimable. Les témoignages. "Races " d’extraterrestres d’après le témoignage de trois grands contactés. NDLR : Un " contacté " est une personne " choisie " par les extraterrestres pour recueillir leurs enseignements ou d’autres informations ou tout simplement pour témoigner de leur réelle existence. A noter qu’il existe parmi les personnes qui se disent contactées de vrais farfelus. Ici, plus que jamais dans ce domaine, la prudence est nécessaire, autrement dit tout n’est pas à " gober tout cru ". Nous avons choisi de vous parler de trois " contactés " sérieux et crédibles. Selon Marshall Vian Summers (" Les alliés de l’humanité "), il existerait deux groupes d’extraterrestres : - les " invisibles " qui sont des êtres très évolués, ne se matérialisant physiquement

que très rarement, qui nous visitent de façon tout à fait pacifique et qui font partie de

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la Confédération intergalactique, " organisation " qui a pour but de nous aider, nous humains, dans notre éveil spirituel. Ces êtres, d’apparence humaine, vivent dans une dimension vibratoire supérieure à la nôtre.

- Les " visiteurs " qui sont des non-humanoïdes comme les Zetas ou les Dracos et qui agissent dans notre système solaire et sur notre planète comme des prédateurs, s’appropriant certaines ressources et se livrant parfois à des expériences génétiques sur les humains et les animaux.

Nous nous attacherons ici plus particulièrement aux membres de la Confédération intergalactique : ceux-ci proviennent des plans subtils de Vénus (plans non matériels donc invisibles pour les humains), des Pléiades, de la Lyre, du Centaure. La plupart de ceux-ci sont des humains, de plus grande taille, d’une intelligence prodigieuse. D’une grande douceur, d’une très grande beauté, ils ont une morphologie de type androgyne.

Témoignage de George ADAMSKI (1891-1965) : en 1947, cet Américain d’origine polonaise, aperçut la première fois dans le ciel de Californie un nombre impressionnant d’ovnis (200). Cette observation fut faite par de nombreux autres témoins. Sa curiosité fut aiguisée par ce phénomène et bien vite, George Adamski se passionna pour ces objets volants non identifiés. Le 20 novembre 1952, il se rendit au lieu-dit " Palomar Gardens " en compagnie d’une vingtaine de personnes afin de faire des éventuelles observations d’ovnis. La chance était avec eux car au bout d’une heure, ils virent dans le ciel un gigantesque " cigare " argenté pris en chasse par des avions militaires. Afin de mieux le photographier, George Adamski décida de se déplacer de quelques centaines de mètres pour prendre des photos sous un meilleur angle. C’est à ce moment, raconte-t-il, qu’il remarqua qu’un autre engin, en forme de soucoupe et nettement plus petit, venait de s’immobiliser à une centaine de mètres de lui. Il va alors faire une rencontre extraordinaire (voir extraits de son livre ci-après). Un extraterrestre s’approche de lui, disant se nommer Orthon et lui faisant comprendre par télépathie qu’il est originaire de Vénus. Sa visite est amicale, son principal souci étant de transmettre une mise en garde à l’humanité au sujet des risques énormes de l’activité nucléaire pratiquée par les hommes. D’autres contacts auront lieu par la suite, George Adamski affirmera d’ailleurs avoir été invité à bord d’une soucoupe. (George Adamski a relaté son incroyable aventure dans deux ouvrages qui sont devenus quasi introuvables aujourd’hui). Témoignage de Pierre MONNET (né en 1932) : c’est au cours d’une nuit de l’année 1951, alors qu’il roulait à bicyclette qu’il fut brusquement " téléporté " 5 km plus loin dans une carrière. Il se trouva face à un engin lumineux dont sortirent quatre êtres, grands, blonds, d’une beauté presque surnaturelle. Voici la description que Pierre Monnet donne de ces êtres : « Ils étaient grands ; ils devaient bien mesurer au moins 1,85 m et c’est un minimum. Parfaitement proportionnés et chacun de corpulence identique aux autres. Leur chevelure était à la fois blonde et blanche et descendait, bien ordonnée, jusqu’aux épaules. Leur visage était très beau et très fin. Leur regard était d’une clarté, d’une

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franchise et d’une douceur que je n’ai encore jamais vues chez l’un de nos semblables terriens. Ils étaient d’une si grande beauté que, sur le moment, je fus embarrassé pour déterminer s’ils appartenaient au sexe féminin ou masculin. Ils souriaient et étaient rayonnants de tranquillité, de gentillesse et de bonté ; une paix profonde semblait les habiter. » Pierre Monnet fut donc invité à entrer dans le vaisseau où il reçut télépathiquement un très long message de leur part. Ils lui expliquèrent qu’ils venaient de Véga et qu’ils se manifestaient afin de lancer un avertissement à l’humanité pour qu’elle change de vie car selon eux la terre était en grand danger. Témoignage de Billy MEIER : déjà à l’âge de cinq ans, en 1942, Billy Meier (suisse) apercevait au-dessus de lui un vaisseau gigantesque. Celui-ci, dans un silence total, survola sa maison à grande vitesse. Plus tard, Billy fut contacté par des extraterrestres qui l’emmenèrent plusieurs fois à bord d’une soucoupe. En 1975 et 1976, il fut contacté par une Pleïadienne nommée Semjase qui lui fit d’étonnantes révélations à propos de son système planétaire d’origine, des dématérialisations/rematérialisations et des technologies supraluminiques utilisées par les membres de la Confédération. Billy Meier a réalisé huit films super-8 et pris plus de mille clichés, documents analysés par la NASA notamment et au sujet desquels aucune supercherie, aucun trucage n’ont pu être détectés. Il a également présenté aux experts des fragments " métalliques " qui, selon un chimiste d’IBM ont été fabriqués par " fusion froide ", processus inconnu sur terre. Les témoins sont nombreux qui l’ont accompagné et ont observé l’atterrissage et le décollage d’objets volants lumineux… (Source : site web : erenouvelle.com). Les extra-terrestres existent-ils ? (Questions à des décédés). « Question : que pouvez-vous nous dire des extra-terrestres ? Existent-ils ? Les voyez-vous ? Pouvez-vous avoir des contacts avec eux ? Comment sont-ils ? Réponse : bien sûr que les extra-terrestres existent ! Oui, j’ai visité ces mondes tellement différents du vôtre, ce ne sont pas des êtres verts avec des antennes mais des êtres subtils avec une intelligence infinie… A côté, vous êtes à l’âge de pierre. Nous avons des contacts par télépathie, par intuition spontanée, plus facilement qu’avec vous. » (Témoignage d’Isabelle dans Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, pp. 113-114, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : Michel, existe-t-il d’autres formes de vie ? D’autres êtres évoluant dans d’autres sphères ou d’autres planètes ? Réponse : oui ! » (Message de Michel dans BELLINE, La troisième oreille, p. 148, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : d’autres formes de vie existent-elles ? Réponse : bien sûr, il y a des tas de formes de vie, des tas de systèmes planétaires. Sur terre, on est des " minus " par rapport à certains autres mondes. J’ai fait des voyages fabuleux que la science-fiction est loin de reproduire… Des tas d’autres mondes existent, avec une intelligence X fois supérieure à la vôtre. Peut-être un jour y aura-t-il de vraies rencontres. » (Message d’Isabelle dans Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà, p. 19, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « … Il y a votre planète Terre, il y a d’autres planètes. Il y en a qui sont dans de merveilleuses et éblouissantes transformations et qui sont des planètes d’amour, de paix, d’harmonie. Vous êtes sur une planète difficile et à une époque difficile, avec des ondes lourdes, mais vous êtes bénis, de toutes les façons… » (CHRISTOPHE dans Paroles de Lumière, pp. 37-38, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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Etions-nous seuls sur la lune le 20 juillet 1969 ? (une conversation surprenante…). En 1987, le livre " Celestial Rise " (Aube céleste) de Richard Watson, rapportait in extenso le surprenant dialogue d’Apollo 11, cité plus haut, tel qu’il a été capté par des centaines d’amateurs radio aux Etats-Unis : « Durant l’émission en direct qui montrait l’alunissage d’Armstrong et Aldrin, qui rejoignirent la lune à bord d’une navette américaine, il y eut deux minutes de silence pendant lesquelles les images et le son furent interrompus. La NASA a toujours soutenu que ce problème était causé par la surchauffe d’une des caméras, qui a interféré avec la réception. Ce problème imprévu a également surpris les spectateurs les plus qualifiés, qui ne furent pas en mesure d’expliquer comment, dans le cadre d’un projet si coûteux, un des instruments les plus importants pouvait tomber en panne… Peu de temps après le débarquement historique sur la lune, le directeur de la base de Houston, Christopher Craft, fit quelques déclarations surprenantes quand il abandonna la NASA, dont le contenu a été confirmé par des centaines d’amateurs radio qui ont syntonisé leurs stations sur la même fréquence utilisée par les astronautes. Pendant les deux minutes d’interruption, la NASA a censuré tant le son que l’image. Voici la version intégrale de la conversation qui a eu lieu entre les astronautes et le centre de contrôle. Armstrong et Aldrin : ces objets sont gigantesques. Non, non, non… Ce n’est pas une illusion d’optique. Personne ne croira à une chose pareille ! Houston (Christopher Craft) : quoi ? Quoi ? Quoi ? Que diable se passe-t-il ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Armstrong et Aldrin : ils sont là, sous la surface. Houston : qu’est-ce qu’il y a là ? (bruit de fond, communication coupée, interférences ; le Centre de contrôle appelle Apollo 11). Armstrong et Aldrin : nous avons vu quelques visiteurs. Ils sont restés là pour quelque temps et ils ont observé les instruments. Houston : répétez ! Répétez ! Armstrong et Aldrin : laissez-nous sonder cette orbite… de 625 à 5… La connexion automatique est activée… Mes mains tremblent tellement que je n’arrive à rien faire. Le filmer ? Oh mon Dieu ! Si ces sacrées caméras ont enregistré quelque chose, alors qu’est-ce qui se passera ? Houston : avez-vous enregistré quelque chose ? Armstrong et Aldrin : je n’avais pas de film à ma portée. Trois prises de vue des disques ou de quoi que ce soit d’autre, qui étaient en train d’endommager le film. Houston : les miroirs ! Les miroirs ! Les avez-vous installés ? Armstrong et Aldrin : oui, ils sont au bon endroit. Mais quiconque a construit ces vaisseaux spatiaux peut sûrement retourner demain et les enlever. Terminé. » (Extrait de Stargate magazine, numéro 1, décembre 2003, p. 46). » (NDLR : il semble bien qu’Armstrong et Aldrin ont vu des vaisseaux spatiaux : « Je vous

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dis qu’il y a d’autres vaisseaux spatiaux là-bas, alignés sur la bordure lointaine du cratère ! » et « Ils sont sur la lune en train de nous regarder » puis encore « Ces machins sont énormes, Monsieur ! Gigantesques ». Voilà les paroles mystérieusement coupées par la NASA… Toute cette histoire fut confirmée par Maurice Chatelain, l’ancien directeur des communications de la Nasa en 1979. Effectivement, Armstrong et Aldrin avaient trouvé des ovnis sur la lune !). Le mystère des Ummites. Dans les années 1960, de mystérieuses lettres sont reçues par différents membres d’un groupe ésotérique de Madrid. Ces missives émanent des " Ummites ", extraterrestres de la planète Ummo située à 14,421 années lumière du soleil. Dans ces mystérieuses lettres envoyées également à des savants et à des techniciens, les Ummites racontent être arrivés sur notre planète aux alentours de 1950 afin d’étudier notre biosphère, notre atmosphère et notre culture. Ils décrivent en détails dans leurs écrits leur système planétaire, leur technologie très sophistiquée et le fonctionnement de leur société. Une partie de leurs lettres est également consacrée à la philosophie, au concept de Dieu, à l’âme, etc. Le contenu de cette littérature intrigue hautement les scientifiques et parmi ceux-ci, Jean-Pierre PETIT, directeur de recherches du CNRS (France) qui a largement et méticuleusement étudié des milliers de documents envoyés les jugeant très pertinents, de très haut niveau scientifique et souvent d’avant-garde. Ceux-ci lui ont notamment permis d’établir diverses théories concernant notamment la propulsion magnétohydrodynamique et la modélisation et le calcul d’univers gémellaires. Certains crient à l’énorme canular mais on se demande alors dans quel but tout ceci aurait été monté et surtout cela n’enlève rien au fait que ces documents sont d’une technicité et d’une science nettement novatrice et d’avant-garde, qui ne peut provenir que d’une civilisation très en avance. Jean-Pierre Petit en est tellement convaincu qu’il y a consacré un ouvrage, rejoint par d’autres auteurs que le " mystère ummite " fascine tout autant. Voici donc deux ouvrages bien documentés sur le sujet : - Martine CASTELLO, Philippe CHAMBON, Isabelle BLANC, La conspiration des étoiles, Editions Robert Laffont, 1991. - Jean-Pierre PETIT, Enquête sur les extraterrestres qui sont déjà parmi nous, Editions Albin Michel, 1991. Du même auteur, ceux que l’ufologie intéresse pourront lire également : Enquête sur les ovnis, voyage aux frontières de la science, éditions Albin Michel, 1990. La Vénusienne Omnec Onec.

En novembre 1991, une jeune femme de belle allure prit la parole devant quelque trois cents participants au congrès OVNI international de Tucson (USA). Elle déclara qu’elle était vénusienne et qu’elle était âgée de 439 ans (avec un âge apparent de plus ou moins

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trente-cinq ans !). Elle impressionna grandement le public par l’aisance et la clarté de son discours. Son message avait pour thèmes le développement spirituel et l’Amour universel mais elle semblait aussi à l’aise dans les discussions plus scientifiques. Son histoire avait été récemment divulguée dans des journaux américains dans laquelle elle déclarait être née sur Vénus, avoir été préparée et éduquée pendant huit ans en vue de sa future mission sur terre. Elle avait, racontait-elle, quitté Vénus à bord d’un vaisseau en forme de soucoupe pour atterrir au Tibet et vivre durant une année dans un monastère, entourée de guides spirituels qui lui avaient enseigné tout ce qu’elle devait savoir sur notre planète et notre civilisation. Après cette année d’études, elle s’envola pour les USA où elle emprunta l’identité d’une jeune américaine, Sheila Gipson, qui avait été victime d’un accident et dont le corps entièrement calciné n’avait pu être identifié. C’est ainsi qu’elle était devenue une Américaine semblable aux autres jusqu’au jour où elle publia un livre dans lequel est divulguée la raison de sa venue sur terre. Voici quelques extraits de son discours. (Vous pourrez en découvrir d’autres sur le site d’Olivier de Rouvroy, erenouvelle.com, qui y consacre un long article). Le discours d’Omnec Onec. « Mon nom est Omnec Onec. Je viens de la planète que vous connaissez sous le nom de Vénus. J’aimerais, pour commencer, vous transmettre des salutations vénusiennes qui signifient : « Que l’Amour et les Bénédictions soient sur vous ! » « Amual Abactu Baraka Bashad ! » Il existe dans le système solaire des civilisations qui vous sont encore inconnues. Certaines de ces communautés regroupent des êtres physiques que vous n’avez pas l’habitude de rencontrer sur la Terre. Il fut un temps, dans notre histoire, où nous étions nous aussi des êtres physiques et avions des structures sociales similaires aux vôtres… Vénus est la planète d’origine de ce que vous appelez la " race blanche ", Mars, celle de la " race jaune ", Saturne, celle de la " race rouge " et Jupiter, celle de la " race noire ". Ces planètes sont toutes plus anciennes que la Terre. Lorsque celle-ci n’était encore qu’une comète effectuant ses circonvolutions au sein du système solaire, elles abritaient déjà des collectivités d’êtres physiques aux structures sociales assez similaires à celles que vous avez connues et connaissez actuellement sur la Terre. Une hiérarchie unique contrôlait nos villes et la société était divisée en deux principales couches sociales : les ouvriers d’un côté, et les riches et puissants de l’autre. Nous avons traversé quatre différents stades d’évolution et de progrès techniques qui nous ont amenés à abandonner cette organisation. Nous nous sommes finalement rendu compte que nos progrès techniques et expérimentations avaient gravement atteint l’environnement et engendré une réaction en chaîne destructrice que nous ne pouvions plus arrêter. Nous savions que l’existence d’une société physique structurée était devenue matériellement impossible sur cette planète et c’est ainsi que nous décidâmes d’émigrer, emportant avec nous nos connaissances. Notre savoir fut l’objet d’un partage à l’origine d’une nouvelle vie très simple, quoique techniquement très avancée. En ces temps-là, la Terre était une planète relativement primitive, sans vie humaine proprement dite, mais une très belle planète. C’est alors que les quatre plus anciennes planètes se mirent d’accord pour tenter d’y implanter des colonies, qui devinrent par la suite l’Atlantide, la Lémurie, l’Égypte et la civilisation aztèque, telles que vous les avez connues. Nous conservâmes cependant sur notre planète certaines villes - mais des villes spirituelles - car notre environnement avait changé et les structures physiques passèrent désormais au niveau " astral ". Mais des hommes envoyés par la hiérarchie qui contrôlait les autres planètes, se rendirent également sur la Terre pour essayer d’asservir les humains et de régner sur eux. Des guerres eurent lieu, et à cause des technologies utilisées, les destructions furent immenses… En considérant votre passé historique, on s’aperçoit que les habitants de ces autres planètes sont les ancêtres de toutes les races de la Terre. Tout au long de votre histoire, nous vous avons envoyé des êtres, guides spirituels, savants et scientifiques, afin d’affiner la conscience de l’humanité, et ainsi de l’émanciper, de l’élever (car les

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premières colonies qui avaient été installées par des êtres hautement évolués étaient techniquement très avancées). De nombreuses sociétés structurées coexistent aujourd’hui sur votre planète. Cependant l’immense majorité des humains a perdu les enseignements d’origine et les débuts de votre histoire vous sont incompréhensibles. Des êtres venus d’autres planètes vous visitent depuis des milliers d’années, afin de vous relier à votre histoire originelle, à ses enseignements spirituels et à la Connaissance. La plupart du temps, lorsque des Maîtres spirituels apparaissaient, ils étaient idolâtrés et leurs enseignements n’étaient ni compris ni acceptés ! Et arriva bientôt le temps où ceux-ci tombèrent à nouveau dans l’oubli. Mais les Maîtres continuèrent à établir de nombreux contacts avec les humains. Ainsi, de tout temps, bien des livres traitant d’êtres venus d’autres planètes furent écrits. Le problème est que la Terre est depuis longtemps divisée en bon nombre de cultures et de sociétés. Elle est le refuge d’émotions, telles que la colère et l’agressivité, qui ne nous sont pas familières; en effet, dans nos sociétés, il n’existe qu’une seule race planétaire et un seul enseignement spirituel. Par ailleurs, différentes religions, ainsi que divers niveaux de conscience cohabitent sur votre Terre. C’est pourquoi les êtres d’autres planètes ont de grandes difficultés de communication et de compréhension avec votre humanité. Ils ne peuvent venir travailler parmi vous que durant un laps de temps très limité. C’est ce qu’ils font d’ailleurs depuis des centaines d’années. Le temps est cependant venu de modifier la conscience humaine sur la Terre. Cela est nécessaire pour l’évolution et le progrès de cette planète, ainsi que pour sa préservation et sa protection. Les Vénusiens ont donc estimé que la venue d’un de leurs enfants serait la meilleure chose à apporter à ce monde. Une meilleure compréhension et une appréciation plus profonde seraient nécessairement offertes à cet enfant grandissant parmi les humains de la Terre, et appelé à vivre des expériences similaires aux vôtres. Et ainsi je suis venue… Je vivais sur le niveau astral de Vénus dans une ville appelée Teutonia. Nous avons la capacité de nous manifester dans un corps physique, si la nécessité s’en présente. Mais il nous devient alors impossible de retourner au niveau astral et de continuer à y vivre. L’une des villes que nous avions préservées au niveau astral, ainsi qu’au niveau physique, s’appelle Retz. À l’époque où nous vivions au niveau physique, elle était la capitale de notre planète. Aujourd’hui, elle sert de site spirituel et de station de transfert entre les niveaux astral et physique, de telle sorte que nous puissions nous manifester avec un corps physique, vivre et travailler parmi vous… Les habitants des quatre planètes majeures de ce système solaire forment désormais une Fraternité ayant pour mission de patrouiller à travers l’univers physique pour le protéger, tout en subvenant aux besoins des différentes communautés qui l’habitent. Les membres de cette Fraternité sont très intéressés par le développement de l’espèce humaine sur la Terre, car ce sont vos ancêtres. Ils étudient depuis longtemps l’évolution de vos sociétés et systèmes politiques, et ils ont un proverbe intéressant relatif à leurs observations successives de l’humanité : " Dieu unit, l’homme désunit ". Ainsi, sur votre planète, les villes, les pays, les états, les cultures, les races et les religions sont morcelés à l’infini. Il est patent de constater que, pour ce qui vous concerne, vous avez oublié que nous sommes tous reliés par l’esprit et qu’au niveau de l’âme, nous sommes tous égaux : nous ne possédons rien. Tout nous est donné aussi longtemps que nous existons. Notre existence physique n’est qu’un passage, elle nous sert d’apprentissage et de terrain d’expérience. On a l’impression que les êtres humains ont oublié tout cela, et s’acharnent à se limiter les uns les autres en établissant continuellement de nouvelles séparations… Les humains n’ont pas encore compris qu’il n’y a pas de religion, ni d’hommes qui soient meilleurs que d’autres. Seuls existent divers niveaux de conscience, et toutes les religions sont, en cela, filles de ces inégalités. Il en est, cependant, toujours une qui corresponde à vos propres besoins, et qui soit à la hauteur exacte de votre compréhension individuelle. Voilà la raison pour laquelle il existe autant d’enseignements différents, ici-bas. Mais tous ont le même fondement : Dieu. Or, il n’existe qu’un seul et unique Dieu. Sur Vénus, nous disposons d’un enseignement condensé, qui nous apprend que nous sommes par essence des âmes, et que nos expériences sur le plan physique ne sont que transitoires; de fait, elles le sont dans chaque incarnation. L’individualité est une aptitude primordiale, car vous naissez en tant qu’individu, en tant qu’être. Chaque

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âme est créée en tant qu’individu, et elle demeure individu de toute éternité. Jamais deux êtres ne feront la même expérience, et jamais ils ne se ressembleront parfaitement. Chacun de vous est unique !... » (Extraits du discours d’Omnec Onec dans l’article d’Olivier de Rouvroy consacré à la Vénusienne sur le site erenouvelle.com). Rencontre de George Adamski avec Orthon (extraits). « Après avoir pris trois photos, je restai là un moment à regarder autour de moi, le Kodak à la main. J’étais encore tout émerveillé de m’être trouvé aussi près d’une soucoupe volante et je me demandai si les passagers savaient que je la photographiais. J’avais l’impression qu’ils m’avaient observé. Je rêvais de voir un jour le pilote de ce merveilleux engin, de lui parler… Soudain, j’aperçus un homme qui se tenait à l’entrée de la ravine, entre deux collines, à 400 mètres environ. Il me faisait signe d’approcher… Tandis que je m’approchais de lui, j’éprouvai soudain une étrange sensation, et j’hésitai. Je me retournai, afin de m’assurer que mes compagnons pouvaient me voir. Apparemment, rien ne justifiait cette impression, car l’homme avait l’air d’un homme normal, un peu plus petit que moi et beaucoup plus jeune. Quand je fus un peu plus près, je notai deux différences flagrantes. 1) Son pantalon n’était pas comme le mien. C’était une espèce de fuseau un peu large

et serré aux chevilles, un peu comme un pantalon de ski, et je me demandai un instant pourquoi il portait cette tenue dans le désert.

2) Il avait des cheveux très longs, tombant sur les épaules, que le vent ébouriffait… J’étais maintenant tout près de l’homme. Il fit un pas vers moi. Nous étions maintenant à moins d’un mètre l’un de l’autre. Je comprenais enfin, avec stupéfaction, que j’étais en présence d’un extra-terrestre … d’un être humain venu d’un autre monde !...La beauté de cet homme dépassait tout ce que j’avais jamais pu imaginer. Son visage était radieux … Il émanait de lui une infinie bonté, une infinie compréhension et une suprême humilité … Il me tendit la main comme pour serrer la mienne. Je réagis machinalement, comme nous le faisons tous en pareil cas. Mais avec un sourire et un léger hochement de tête, il écarta mon geste et plaça simplement sa paume contre la mienne et la retira aussitôt. Je pris cela pour un signe d’amitié … Il mesurait environ un mètre soixante-dix … Il avait un visage assez rond avec un très grand front, de grands yeux gris légèrement en amande à l’expression calme, des pommettes saillantes mais pas autant que les Orientaux, un nez finement modelé, une bouche bien dessinée et des dents très blanches qui brillaient quand il souriait ou qu’il parlait … (NDLR : George Adamski s’attache ici à une description complète de l’habillement de l’extra-terrestre) … Je me rendais compte que le temps passait et que je ne pourrais obtenir de lui aucun renseignement en me contentant de le regarder, alors je lui demandai d’où il venait. Il ne parut pas comprendre mes paroles, aussi lui posai-je de nouveau ma question. Sa seule réaction fut un léger hochement de tête, et il eut l’air de s’excuser, ce qui m’indiqua qu’il ne comprenait ni mes mots ni mon intention … Afin de lui faire comprendre ma première question, je pensai fortement à l’image d’une planète, tout en montrant le soleil, alors au zénith. Il comprit cela comme me le révéla son expression… Je crus comprendre que la deuxième planète était la sienne et je lui demandai en articulant bien : « Vous voulez dire que vous venez de Vénus ? » C’était la troisième fois que je prononçais le nom de cette planète, et je le vis hocher affirmativement la tête. Puis lui aussi articula le mot " Vénus " … « Pourquoi venez-vous sur la Terre ? » demandai-je ensuite … Il me fit entendre que sa visite et celle de ses congénères étaient amicales. De plus, il m’indiqua par geste qu’ils s’inquiétaient des radiations émanant de la Terre … je lui demandai alors si son inquiétude était provoquée par les explosions de nos bombes et les retombées radioactives. Il comprit immédiatement et répondit par un signe de tête affirmatif … je voulus savoir si ces bombes représentaient un danger pour les espaces intersidéraux. Encore une fois, il me répondit par l’affirmative, d’un signe de tête … Soudain l’idée me vint de lui demander s’il croyait en Dieu. Il ne comprit pas, car ce mot " Dieu " le déroutait … Il finit par comprendre mes pensées … Et il me répondit « Oui » … Mais il me fit comprendre, à force de gestes et d’images mentales, que nous autres terriens savions fort peu de choses de

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ce Créateur … Il se désigna, puis montra le ciel, je compris qu’il voulait indiquer la planète où il vivait, et me communiqua la pensée qu’ils vivaient là-haut selon la volonté du créateur … Je lui demandai alors si nous pouvions espérer d’autres visites comme la sienne. Il me répondit qu’il y avait déjà eu beaucoup de visiteurs, et qu’il en viendrait encore beaucoup. « Les hommes de l’espace ne viennent-ils que de Vénus ou bien d’autres planètes aussi, d’autres galaxies ? » lui demandai-je … Il me fit alors comprendre que des visiteurs venaient vers la terre d’autres planètes de notre système, et d’autres planètes de systèmes solaires plus éloignés …. Songeant alors à une question qui m’avait été très souvent posée, je lui demandai pourquoi ils n’atterrissaient jamais dans des lieux peuplés. Il m’expliqua, par gestes et par pensées, que cela terrifierait les populations et que les visiteurs risqueraient d’être mis en pièces par les Terriens … Il lut mes pensées à mesure qu’elles me venaient et m’assura que ce jour arriverait effectivement (NDLR : Georges Adamski a demandé si le jour viendrait où les extra-terrestres pourraient atterrir sans danger). Alors ils atterriraient dans les pays très peuplés. Mais il me fit bien comprendre que ce ne serait pas demain (NDLR : nous sommes en 1952) … Je changeai donc encore une fois de sujet et lui demandai combien d’autres planètes étaient habitées. D’un grand geste, il m’indiqua qu’elles étaient nombreuses dans tout l’univers … Je sentais que le temps passait et que j’avais encore mille questions à lui poser mais je ne savais plus quelles étaient les plus importantes. Lui aussi devait sentir que sa visite tirait à sa fin et qu’il devait bientôt regagner sa soucoupe, car il me montrait constamment ses pieds et me parlait dans une langue étrange que je n’avais jamais entendue … Il fit un pas de côté et je remarquai alors les étranges empreintes qu’avaient laissées ses chaussures sur le sol. Il me regardait fixement pour voir si je comprenais bien ce qu’il me demandait de faire. Et quand je lui indiquai que j’avais bien compris, et que j’obéirais, il se déplaça encore deux fois, laissant ainsi trois séries d’empreintes profondes … Il me fit ensuite signe de l’accompagner et nous nous dirigeâmes côte à côte vers la soucoupe qui l’attendait … la soucoupe planait, légèrement au-dessus du sol, à une trentaine de centimètres du côté le plus proche de la pente du col, mais l’avant, ou plutôt la partie la plus proche de moi, se trouvait bien à deux mètres de hauteur … Soudain, un merveilleux visage apparut à un de ces hublots, et regarda dehors, puis disparut aussitôt … J’étais fasciné par ce merveilleux vaisseau spatial et je me demandais comment ces gens faisaient pour le maintenir ainsi immobile à un mètre du sol. Mon compagnon de l’espace m’avertit de ne pas trop m’en approcher, et lui-même recula légèrement … En quelques pas il atteignit la paroi rocheuse derrière la soucoupe et monta sur la bande, à ce qu’il me sembla, mais je ne saurais dire comment il pénétra dans le vaisseau spatial. Toujours est-il que la soucoupe s’éleva silencieusement et s’éloigna en virant de bord. Quand la soucoupe eut disparu, j’allai rapidement me pencher sur les empreintes laissées par mon ami de l’espace qui me manquait déjà… » (Rencontre de George Adamski avec un Vénusien dans Les soucoupes volantes ont atterri, extrait des pages 229 à 254, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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Une étrange communication sur la BBC (émanant du commandement d’Ashtar Sheran).

Le 26 novembre 1977, à 17h12 GMT, les émissions de la chaîne indépendante anglaise ITV furent " piratées ", la voix du présentateur des nouvelles du soir Ivor Mills fut remplacée durant 5 minutes par la mystérieuse lecture d'un communiqué provenant d'un représentant de l'Ashtar Command. Cinq émetteurs différents couvrant la région de Londres, le sud et le sud-est de l'Angleterre furent concernés par ce phénomène, sans que les responsables et techniciens d'ITV ne s'aperçoivent apparemment d'une quelconque défaillance de leur réseau. Ainsi, le présentateur du JT continua à débiter son texte comme si de rien n'était, imperturbable. La source de l'intrusion ne put être identifiée, et certaines sources avancent l'explication d'une technologie " non-humaine ". A ce jour, ce piratage reste l'une des plus mystérieuses et inexplicables émissions sur le sol du Royaume-Uni ! Laissons la parole au " speaker " de l'AC :

« Vous écoutez la voix de Gramaha, porte-parole de la flotte Galactique de l'Ashtar Command. Depuis de nombreuses années vous nous observez comme des phénomènes lumineux dans le ciel. Nous venons vers vous en Paix et avec sagesse, comme nous l'avons fait auparavant avec vos frères et soeurs sur toute la surface de votre planète Terre. Nous venons pour vous prévenir d'un danger menaçant votre race et votre monde, afin que vous puissiez retransmettre à vos collègues humains les mesures que vous devez prendre pour éviter les dangers qui mettent en péril votre monde. Vous pourrez ainsi partager le grand réveil, alors que la planète entre dans le Nouvel Age du Verseau. Ce Nouvel Age peut être pour votre race une période de paix et d'évolution, mais seulement si vos gouvernants prennent conscience des forces obscures qui tentent de prendre le contrôle de leur jugement. Arrêtez-vous maintenant et écoutez, car en vérité, la chance qui vous est offerte ne se représentera pas. Depuis de très longues années vos scientifiques, vos gouvernements et vos généraux n'ont pas entendu nos avertissements; ainsi ils ont poursuivi leurs essais et expériences avec les forces obscures que vous appelez énergie atomique. Les bombes nucléaires peuvent détruire votre Terre, et les êtres de vos mondes jumeaux en quelques instants. Les déchets produits par les systèmes basés sur l'énergie atomique empoisonneront votre planète pour plusieurs milliers de vos futures années. Nous qui vous avons précédé dans le chemin de l'évolution, avons réalisé depuis longtemps que cette énergie et toujours dirigée contre la vie. Elle n'a aucune application pacifique. Son usage, et les recherches scientifiques la concernant devront cesser immédiatement, ou vous risquez d'être tous anéantis. Toutes les armes malfaisantes doivent être neutralisées. Il est plus que temps de cesser vos conflits. La race que vous représentez doit s'élever vers les plus hauts plans d'évolution, si vous vous montrez assez forts pour le faire. Vous n'avez plus que très peu de temps

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pour apprendre à vivre ensemble en paix et avec bienveillance. De petits groupes existent en de nombreux points de votre planète et font actuellement l'apprentissage de tout ceci. Ils sont incarnés pour répandre largement la Lumière de l'Aube du Nouvel Age. Vous êtes libres de les écouter ou non, mais seuls ceux qui apprendront à vivre en paix marcheront vers les plus hautes sphères de l'évolution spirituelle. Vous écoutez toujours la voix de Gramaha, porte-parole de la flotte Galactique de l'Ashtar Command. Prenez conscience également qu'il existe actuellement sur votre planète de nombreux faux prophètes et instructeurs. En vérité, il aspirent votre énergie, l'énergie que vous appelez argent, l'utilisent à des fins malfaisantes ne vous apportant en échange que des déchets sans valeur. Votre Être Divin Supérieur vous protégera de tout ceci. Vous devez apprendre à reconnaître la petite voix intérieure qui ne vous dit que la vérité, écartant ce qui est confusion, chaos et mensonge. Oui, apprenez à reconnaître cette voix de vérité qui se trouve en vous et vous pourrez ainsi poursuivre votre chemin vers l'évolution. Ceci est le message que nous adressons à nos chers amis. Nous vous avons vu grandir depuis de longues années, comme vous observiez vous-mêmes nos lumières dans le ciel. Vous savez à présent que nous sommes ici, avec vous, et qu'il existe bien plus d'êtres sur et autour de votre Terre que vos scientifiques l'admettent. Nous sommes profondément concernés par votre avenir, par votre cheminement vers la lumière, et nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous aider. N'ayez pas peur, cherchez seulement à bien vous connaître vous-mêmes, et à vivre en harmonie avec votre planète Terre. Le commandement galactique d'Ashtar vous remercie pour votre attention. Nous quittons maintenant votre espace dimensionnel. Puissiez-vous être bénis dans l'Amour suprême et la vérité universelle. » (Source : http://www.lumieresdelaudela.com/). Informations sur le commandement d’Ashtar. « Bonsoir mes chers amis. C’est Ashtar. Je suis très heureux d’être ici avec vous ce soir, pour échanger les informations et l’amour que nous pouvons partager ensemble en ces moments capitaux. S’il vous plaît, détendez-vous et mettez-vous à l’aise et je commencerai par une introduction. J’aimerais vous faire part de quelques informations au sujet du Commandement d’Ashtar : notre but, qui nous sommes, et ce que nous faisons ici à vous parler de cette étrange façon. Je vous donnerai la possibilité de me poser des questions plus tard. Je suis sûr que vous en aurez tous davantage. On vous a donc présenté cette idée d’ascension (NDLR : il s’agit du passage annoncé de la planète terre et de ses habitants dans une dimension vibratoire plus élevée, voir chapitre suivant), ce plan que nous avons élaboré. Laissez-moi vous dire que c’est un plan du Christ, sous les auspices duquel nous travaillons directement. Je voudrais vous parler un petit peu de mon rôle et du rôle du Commandement d’Ashtar dans la réalisation de ce plan. Peut-être cela tranquillisera-t-il votre esprit au sujet des êtres extra-terrestres ascensionnés qui vous entourent. Si c’est une idée nouvelle pour vous, alors je suis sûr qu’il existe, ou qu’il a existé, au moins un petit peu d’inquiétude, alors je viens pour vous tranquilliser un peu. Vous pouvez voir que je n’ai pas de cornes sur la tête, ni la peau verte. Nous sommes d’apparence humaine, tout comme vous. Il y a des humains partout dans l’univers. La terre n’est pas la seule planète habitée, et puisque le Seigneur a fait l’homme à son image, il est tout simplement logique qu’il y ait des images de lui éparpillées à travers toute Sa création. Alors, laissez-moi vous dire que le Commandement d’Ashtar est une alliance intergalactique de vaisseaux éthériques, d’êtres humains et d’êtres angéliques. Nous sommes ici en mission et nous l’avons été depuis des milliers d’années. Nous avons surveillé l’évolution de la planète et de la conscience de l’espèce humaine et nous l’avons aidée. Nous nous sommes de temps en temps manifestés physiquement mais en général nous travaillons spirituellement. Le temps viendra peut-être, le temps viendra probablement, où vous verrez nos vaisseaux, mais il est encore un petit peu tôt pour cela. Nous restons dans la cinquième dimension. Ainsi nous vous entourons de millions de vaisseaux et de millions de volontaires, de serviteurs et de maîtres ascensionnés. Vous ne pouvez pas nous voir à moins que nous

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n’abaissions notre fréquence au temps et à l’espace de la troisième dimension. Néanmoins nous sommes là et nous fonctionnons pleinement. En fait, en ce moment, nous avons redoublé d’efforts et nous avons un grand nombre de flottes qui entourent la planète et accomplissent un formidable travail. Notre travail comporte de nombreux domaines différents. Dans une large mesure, nous aidons à l’élévation de la conscience durant la période pendant laquelle la planète évolue vers son ascension. Nous l’assistons dans son évolution. Nous vous assurons une formation durant votre sommeil. Nous délivrons nos messages télépathiques à ceux d’entre vous qui peuvent les entendre et les recevoir. Nous ouvrons des liens de communication chaque jour. De plus en plus nombreux sont ceux d’entre vous qui s’ouvrent aux aspects du channeling et à la communication télépathique avec nous. Et quand je dis nous, je me réfère au commandement d’Ashtar et à tous les Maîtres ascensionnés de la Grande Fraternité blanche. Nous travaillons à l’unisson, voyez-vous, chacun de nous dans nos différentes spécialités, mais dans un effort coordonné. Nous sommes un groupe d’êtres très organisé. Nous prenons le temps de nous amuser et de jouer, tout comme vous. En fait nous avons perfectionné ces activités un tout petit peu plus que vous ne l’avez fait, car nous avons un peu plus de liberté, et cependant, dans le même temps, nous sommes tout à fait organisés et impeccables dans nos manifestations. Du moins nous essayons de l’être. A côté du travail que nous faisons à l’aide de ces communications et de ces messages pour amplifier la croissance spirituelle individuelle, nous travaillons avec la planète, et nous l’avons fait depuis un certain temps pour l’aider à maintenir son équilibre. Nous travaillions encore récemment à détourner l’activité le long des lignes de failles. Cette activité a cessé. Il est temps maintenant de lui permettre de se produire et elle se produit (tremblement de terre, etc.). Nous avons utilisé notre technologie pour aider à contrôler un peu la rotation de la terre, à contrôler l’oscillation qui va inévitablement résulter du changement d’axe des pôles (NDLR : voir chapitre suivant). Nous avons fait beaucoup pour focaliser la lumière qui est émise par le Créateur lui-même à travers tout l’univers. Nous avons travaillé spécifiquement avec les grilles d’énergie. Elles sont difficiles à décrire. Elles apparaissent en quelque sorte comme des lignes de méridiens qui entourent votre planète qui entourent votre planète avec divers points de vortex, et nous utilisons ces grilles pour aider à équilibrer et à contrôler le taux et la nature des rayons spirituels qui sont émis vers votre monde. C’est, comme je l’ai dit, pour aider à rétablir l’équilibre, car votre monde est dans un état d’équilibre précaire. En ce moment, nous faisons tout ce que nous pouvons, et nous l’avons fait depuis bien longtemps , pour vous permettre, ainsi qu’à toute l’humanité, d’avoir le maximum de temps pour vous développer spirituellement et vous préparer à l’ascension et au changement qui vont se produire sur ce monde. » (Communication du Commandant Ashtar à Eric KLEIN dans L’escalier de cristal (guide pour l’ascension), Editions Résonances, 2002). Message d’un Végan de la Lyre reçu par Pierre Monnet. « Hommes de la Terre, vous devez apprendre à remplacer le mot " argent " par le mot " Amour ". Vous devez apprendre à parler d'Amour au lieu de parler " canons ". Nous vous observons depuis fort longtemps, et nous sommes catastrophés de voir à quel point vous avez si peu évolué depuis les cinq derniers de vos millénaires. Nous constatons que vous êtes comme de mauvais enfants qui ne veulent pas écouter leur père. Pour cette raison, vous êtes arrivés au bord de l'abîme que vous avez creusé et où vous allez tomber si vous ne faites pas l'effort de comprendre la valeur de ce que nous vous apportons. Sous prétexte que nous n'atterrissons pas sur vos places publiques pour vous parler nous-mêmes, vous tournez en dérision et en ridicule l'enseignement que nous transmettons à certains hommes de votre planète. Ces hommes que nous contactons parlent en notre nom. Si, pour l'instant, nous ne nous matérialisons pas physiquement parmi vous, c'est que nous avons nos raisons dont la première est de ne pas créer la panique au milieu de la multitude. Vos concepts actuels sont trop peu évolués pour que

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vous puissiez supporter de nous voir arriver. Certains d'entre vous parlent déjà d'envahisseurs. Vos pilotes d’avions n'auraient pas la sagesse d'arrêter à temps la poursuite de nos vaisseaux. Ils ne tiendraient pas compte de la fragilité de nos véhicules en phase de matérialisation. Certains ont déjà explosé en tentant d’échapper à leurs poursuivants. La plupart de nos vaisseaux sont de dimensions impressionnantes. À leur vue à basse altitude ou au sol, certains d'entre vous subiraient une frayeur telle qu'elle leur causerait des dérèglements mentaux très souvent irréversibles. Nous voulons éviter cela. L'enseignement que nous prodiguons à certains d'entre vous, les contactés, que nous sélectionnons en fonction de leur degré plus élevé d'ouverture d'esprit, et dont la courbe du diagramme d'agressivité est pratiquement nulle ou tout au moins très basse, a pour but de faire d'eux nos porte-parole, afin de familiariser les plus larges couches de votre humanité à notre esprit de paix et de fraternité. Dans quelques-unes de vos années et selon votre degré de compréhension de l'enseignement que vous aurez reçu de nos contactés (ils sont des milliers), nous évoluerons de façon plus fréquente dans vos cieux, afin de vous familiariser avec la vue de nos vaisseaux. Lorsque ceux-ci ne représenteront plus aucun danger psychique pour vous, nous jugerons du moment opportun de nous manifester officiellement. Si, forts de l'enseignement que vous donnent nos contactés, vous refusez de comprendre que nous avons parcouru un grand nombre d'années-lumière pour vous apporter les moyens d'accéder à la sagesse et au bonheur, nous ne nous manifesterons plus. Et c'est avec la plus grande douleur au cœur que nous nous désintéresserons de vous. La méfiance de vos scientifiques et de vos chefs de gouvernement à notre égard est due au fait qu'ils sont trop enracinés dans la matière et ne tiennent aucun compte de la place que doit prendre l'Esprit pour assurer l'équilibre de l'être humain dans la sagesse. Puisque nous vous parlons de l'Esprit, nous vous signalons que nous trouvons déplorable, absurde et sans fondement l'état d'esprit général de vos religions. Elles ont été la cause d’une partie des troubles qui vous ont menés au bord de l'abîme où vous allez tomber si vous ne vous reprenez pas. Mais attention : le temps presse ! Vous n'avez plus que quelques années pour rattraper vos erreurs, et ceci, en commençant immédiatement et en première urgence à gommer de votre esprit la place qu’y tient l’argent et qui fait votre malheur. Vous ne devez désormais tenir compte que des valeurs humaines au service de la Vie et du bien-être de votre humanité toute entière. » (Extrait de Contacts d’outre-espace de Pierre MONNET, recueilli sur le forum de onnouscachetout.com, sans référence de page ni d’édition). La terre creuse.

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Non seulement les extraterrestres habitent dans l’univers mais il semblerait que certains d’entre eux ont élu domicile … à l’intérieur de notre planète. Comment cela est-il possible ? L’on se souvient des diverses missions Apollo dans les années soixante. Ces missions avaient pour but de mieux connaître la lune mais également de prendre des photos de notre belle planète. Parmi ces documents, certains n’ont pas été rendus publics, et pour cause ! Une de ces photos, qui a échappé à la censure, révèle la présence d’une sorte de trou noir à proximité du Pôle Nord, en fait une sorte d’ouverture béante d’un diamètre de plus ou moins 900 km (ce trou correspond à celui décrit par l’amiral Byrd (voir ci-après) dans lequel il raconte avoir été " aspiré " et où il aurait vu des choses incroyables. De plus, il paraît que le 14 février 1995, le journal canadien " Weekly World News " a publié un article mentionnant que la NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l’intérieur de la terre : « Des experts pensent que ces signaux sont émis par une forme de vie intelligente et très développée » telle est une partie du titre de cet article dans lequel un haut responsable de la NASA affirme qu’il existe sous terre des êtres qui cherchent à entrer en communication avec nous… (Source : site internet ere.nouvelle.com). Bien sûr tout ceci bouleverse toutes les théories géologiques de la composition de la terre mais … gardons l’esprit ouvert … nos scientifiques sont loin de tout savoir et de tout comprendre … Nous allons voir ci-après dans les divers témoignages que de nombreuses personnes font allusion depuis bien longtemps à ces êtres qui habiteraient … dans notre sous-sol. L’étrange voyage de l’amiral Richard E. Byrd dans la terre creuse.

L’amiral Richard E. Byrd est né le 25 octobre 1888 à Winchester en Virginie. Après des premières études militaires, il entre à l’Université de Virginie en 1907 puis rejoint l’école navale en 1908. Une fois son diplôme en mains, il intègre la Marine US en 1912. Après quelques années dans ce corps d’armée et très intéressé par les nouvelles technologies en matière d’aviation, il suit un entraînement et reçoit ses ailes de pilote en 1917. Après avoir été au commandement des pilotes de la marine US assistant l’expédition de Donald Mac Millan dans le Groenland en 1925, l’amiral Byrd cherche des fonds financiers pour monter ses propres expéditions en vue de voler au-dessus du Pôle Nord en 1926. Il participera aussi à plusieurs expéditions en Antarctique.

Voici donc ce qu’il raconte dans son journal de bord écrit lors de sa quatrième expédition polaire :

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« Je dois tenir ce journal en cachette et dans le secret le plus absolu. Il concerne mon vol antarctique du 19 Février 1947. Un temps viendra où la rationalité des êtres humains devra se dissoudre dans le néant, et où l'inéluctabilité de la Vérité devra alors être acceptée. Je n'ai pas la liberté de diffuser la documentation qui suit ; peut-être, ne verra-t-elle jamais la lumière; cependant, je dois faire mon devoir : la rapporter, ici, avec l'espérance qu'un jour tous puissent la lire, dans un monde où l'égoïsme et l'avidité de certains êtres humains ne pourront plus mettre la Lumière sous le boisseau. Sur les étendues de glace et de neige en dessous de nous, l'on remarque des colorations jaunâtres aux dessins linéaires. La vitesse de croisière est ralentie en vue d'un meilleur examen de ces configurations colorées. L’on relève aussi des colorations violacées et rosées… Aussi bien la boussole magnétique que le gyrocompas commencent à tourner, puis à osciller; il n'est pas possible de maintenir notre route à l'aide des instruments. Nous relevons la direction avec le compas solaire; tout semble encore être en ordre. Les contrôles semblent lents à répondre et à fonctionner ; cependant, nous ne relevons pas d'indication de congélation ... 29 minutes de vol se sont écoulées depuis le premier repérage de montagnes, Non, il ne s'agit pas d'une hallucination : une petite chaîne de montagnes se dresse là; jamais, auparavant, nous ne l'avions remarquée … Outre les montagnes, une vallée semble être façonnée par un petit fleuve - ou ruisseau - qui coule vers la partie centrale. Aucune vallée verte ne devrait se trouver ici, en dessous de nous ! Décidément, Il y a quelque chose d'étrange et d'anormal ici ! Nous ne devrions survoler que neige et glace ! Sur la gauche, les pentes des montagnes se parent de grandes forêts. Nos instruments de navigation oscillent, comme fous … Je limite l'altitude à 1.400 pieds, puis j'exécute un virage en rase-mottes, à 180° sur la droite, afin de mieux examiner la vallée située au-dessous. Mousse et herbe très fine lui confèrent une coloration verte. Ici, la lumière semble différente. Je ne parviens plus à voir le Soleil. Je vire à nouveau, cette fois sur la gauche, afin de faire un second tour. Nous apercevons un animal énorme qui ressemble à un éléphant ! NON ! C'est un mammouth ! Cela est incroyable ! Pourtant, il en est bien ainsi ! Nous descendons à 1.000 pieds d'altitude ; j'utilise les jumelles pour mieux observer l'animal. Je le confirme, il s'agit bien d'un animal semblable à un mammouth … Nous rencontrons d'autres collines verdoyantes. L'indicateur de température extérieure marque 24 degrés centigrades. Nous maintenons le cap. À présent, les instruments de bord semblent réagir normalement. Je demeure perplexe quant à leurs réactions. Je tente de contacter la base. La radio ne fonctionne pas ! ... Le paysage alentour parait nivelé et normal. Devant nous, nous repérons... une ville !!! Cela est impossible ! ... L'avion semble léger et très flottant. Les contrôles refusent de répondre ! Mon Dieu !!! À notre droite et à notre gauche, des appareils d'un type étrange nous escortent. Ils s'approchent : quelque chose rayonne de ces appareils. Désormais, ils sont suffisamment proches pour nous permettre de voir leurs armoiries. Il s'agit d'un symbole étrange. Où sommes-nous ? Que s'est-il passé ? Une fois encore, je tire les manettes avec décision. Les commandes ne répondent pas ! Nous sommes solidement maintenus par une sorte d'étau d'acier invisible… Notre radio grésille : une voix nous parvient, qui s'exprime en anglais avec un accent plutôt nordique ou allemand ! Le message est le suivant : « bienvenue sur notre territoire, Amiral. Nous vous ferons atterrir exactement d'ici à sept minutes. Relaxez-vous, Amiral, vous êtes en bonnes mains. » Je réalise que les moteurs de notre avion sont éteints. L'appareil est sous un étrange contrôle; maintenant, il vire de lui-même… Nous recevons un autre message radio. Nous sommes sur le point d'amorcer la procédure d'atterrissage; rapidement, l'avion vibre légèrement ; il commence à descendre, comme soutenu par un ascenseur énorme et invisible… À pieds, quelques hommes s'approchent de l'appareil. Ils sont grands ; leurs cheveux sont blonds. Au loin, une grande ville scintille ; elle vibre des couleurs de l'arc-en-ciel. Je ne sais pas ce qui va se passer désormais. Toutefois, je ne remarque aucune trace d'armes sur ceux qui s'approchent de nous. J'entends une voix

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qui, m'appelant par mon nom, m'ordonne d'ouvrir la porte. J'exécute… À partir de là, je décris les événements en faisant appel à ma mémoire. Les faits frôlent l'imaginaire ; leur description pourrait être tenue comme relevant de la folie s'ils ne s'étaient pas réellement produits. Une fois extraits de l'appareil, mon mécanicien et moi, nous fûmes accueillis de cordiale manière. Puis, nous fûmes embarqués à bord d'un petit appareil de transport semblable à une plate-forme, mais sans roues ! Il nous conduisit à grande vitesse vers la ville scintillante. À mesure de notre approche, la ville apparaissait faite de Cristal. En peu de temps, nous parvînmes à un grand édifice, d'un genre encore jamais vu. Il semblait sortir des dessins de Frank Lloyd Wright ou, peut-être plus précisément, d'une scène de Buck Regers ! Une boisson chaude à la saveur inconnue nous fut offerte. Elle était délicieuse. Environ 10 minutes après, deux de nos hôtes étonnants entrèrent dans notre cabine. Ils m'invitèrent à les suivre. Je n'avais pas d'autre choix que celui d'obéir. Je laissai mon mécanicien-radio. Nous marchâmes jusqu'à ce qui me paraissait être un ascenseur. Nous descendîmes durant quelques instants, puis l'ascenseur s'arrêta ; la porte glissa silencieusement vers le haut. Nous allâmes au long d'un couloir éclairé par une lumière rose qui semblait émaner des murs ! L'un des êtres nous fit signe de nous arrêter devant une grande porte, surmontée d'un écriteau que je n'étais pas en mesure de lire. La grande porte disparut sans bruit. Je fus convié à m'avancer. L'un des hôtes dit : « n'ayez pas peur, Amiral, vous allez avoir un entretien avec le Maître. » J'entrai. Mes yeux s'adaptèrent lentement à la merveilleuse coloration qui semblait envahir complètement la pièce. Alors, je commençai à entrevoir ce qui m'entourait. Ce qui s'offrit à mes yeux était la plus extraordinaire vision de toute ma vie. Elle était trop magnifique pour être décrite. Elle était merveilleuse. Je ne pense pas qu'il existe des termes humains à même de la décrire avec justesse dans tous ses détails. Mes pensées furent doucement interrompues par une voix chaude et mélodieuse : « bienvenue sur notre territoire, Amiral ! » Je vis un homme aux traits délicats, qui portait sur son visage les signes de l'âge. Il était assis à une grande table. Il m'invita à m'asseoir sur une chaise. Dès que je fus assis, il unit les extrémités de ses doigts, puis il sourit. Il s'exprima de nouveau avec douceur : « nous vous avons laissé entrer ici parce que vous êtes d'un caractère noble, et aussi parce que vous êtes bien connu dans le monde de la surface, Amiral! ». « Monde de la surface » ! Je demeurais le souffle coupé ! « oui », ajouta le Maître avec un sourire, « vous vous trouvez sur le territoire des Aryens : le monde submergé de la Terre. Je ne retarderai pas longtemps votre mission ; en toute sécurité, vous serez escortés lors de votre retour à la surface, et même un peu plus loin. À présent, Amiral, je vous ferai connaître la raison de votre convocation ici. Notre intérêt débuta tout de suite après l'explosion des premières bombes atomiques lancées par votre race, sur Hiroshima et Nagasaki, au Japon. En ce moment inquiétant nous avons envoyé nos engins volants, les " Flügelrads ", sur votre monde de surface pour enquêter sur ce que votre race avait fait. D'évidence, il s'agit là d'une histoire ancienne, Amiral ; cependant, permettez-moi de poursuivre. Voyez-vous, jamais, nous ne sommes intervenus avant l'heure dans les guerres et les barbaries de votre race, Pourtant, à présent, nous nous trouvons contraints à le faire, étant donné que vous avez appris à manipuler un type d'énergie, atomique, qui n'est pas du tout fait pour l'être humain. Nos émissaires ont déjà remis des messages aux puissances de votre monde. Elles ne s'en sont pas préoccupées. Vous avez été choisi pour être ici témoin que notre Monde existe. Voyez-vous, notre culture et notre science ont des milliers d'années d'avance sur les vôtres, Amiral ». Je l'interrompis : « mais qu'est-ce que tout cela a à voir avec moi, Seigneur ! ». Les yeux du Maître semblèrent pénétrer profondément mon esprit, Après m'avoir un peu étudié, il répondit: « votre race a atteint le point de non-retour, parce que certains, parmi vous, détruiraient votre monde tout entier plutôt que de renoncer au pouvoir tel qu'ils le connaissent... » J’acquiesçais. Le Maître poursuivit : « depuis 1945, nous avons tenté d'entrer en contact avec votre race, Nos efforts ont toujours été accueillis avec hostilité : l’on a tiré sur nos Flügelrads. Oui, ils furent même poursuivis avec agressivité et animosité par vos avions de combat. Aussi, vous dirai-je, mon fils, qu'une grande tempête se profile à l'horizon de votre monde : une furie

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noire qui ne s'épuisera pas des années durant. Vos armes ne serviront aucunement à votre défense ; votre science ne vous garantira aucune sécurité. Cette tempête sévira aussi longtemps que toute fleur de votre culture n'aura pas été piétinée, toute création humaine dispersée dans le chaos. Pour votre race, la récente guerre n'a été que le prélude à ce qui doit encore survenir. Ici, nous pouvons nous en rendre compte plus clairement à chaque heure qui passe... Pensez-vous que je me trompe ? » « Non », répondis-je, « cela est déjà survenu par le passé; les années obscures viendront; elles dureront cinq cent ans. » « Oui, mon fils », répondit le Maître, « les années obscures qui viennent pour votre race recouvriront la Terre comme une couverture. Toutefois, je crois que certains survivront à la tempête, je ne sais rien d'autre ! Nous voyons, dans un futur lointain, des ruines de votre race, émerger un monde nouveau, à la recherche de ses trésors légendaires perdus; ils seront en sûreté, mon fils, ici, en notre possession. Lorsque le moment viendra, nous nous avancerons à nouveau pour aider votre culture et votre race à vivre. » « Alors, peut-être aurez-vous appris la futilité de la guerre et de ses luttes... Dès lors, une partie de votre culture et de votre science vous sera restituée, afin que votre race puisse recommencer son évolution. Vous, mon fils, vous devez retourner dans le Monde de Surface, porteur de ce message… »

Ces dernières paroles semblaient devoir conclure notre entretien. Un instant, j'eus l'impression de vivre un rêve ... pourtant, je le savais, il s'agissait bien de la réalité. Pour quelque étrange raison, je m'inclinais légèrement; je ne sais si ce fut par respect ou par humilité. Tout à coup, je réalisai que les deux hôtes étonnants qui m'avaient conduit ici se trouvaient de nouveau à mes côtés.

« Par ici, Amiral », m'indiqua l'un d'eux. Avant de sortir, je me retournai encore une fois ; je regardai le Maître. Un doux sourire se dessinait sur son délicat visage de vieillard. « Adieu, mon fils », me dit-il, esquissant un geste très doux de sa main frêle, en un geste de Paix. Ainsi, prit fin notre rencontre. Nous sortîmes doucement par la grande porte de la pièce où se tenait le Maître, puis nous entrâmes de nouveau dans l'ascenseur. La porte s'abaissa silencieusement ; aussitôt, l'ascenseur s'éleva. L'un de mes hôtes reprit la parole : « maintenant, nous devons nous dépêcher, Amiral ; en effet, le Maître ne veut pas retarder davantage votre programme ; vous devez retourner parmi votre race avec son message. » Je ne répondis pas. Tout cela était inconcevable. L'arrêt de l'ascenseur interrompit mes pensées. J'entrai dans la salle où se tenait toujours mon mécanicien radio. L'anxiété marquait son visage. Je m'avançai vers lui en disant : « tout va bien, Howie, tout va bien ».

Les deux êtres nous firent un signe montrant l'appareil en attente. Nous sortîmes pour regagner rapidement notre avion. Les moteurs tournaient au ralenti ; nous embarquâmes immédiatement. Un certain état d'urgence planait dans l'atmosphère. Dès que la porte se fut refermée, une force invisible transporta l'avion vers le haut, jusqu'à une altitude de 2.700 pieds. Deux de leurs appareils nous escortaient à bonne distance. Ils nous firent planer sur le chemin du retour. Je dois souligner que le compteur de vitesse n'indiquait rien, bien que nous nous déplacions à grande vitesse.

Nous reçûmes un message radio : « à présent, nous allons vous quitter, Amiral ; vos contrôles sont libres. Wiedersehen !!! » Un instant, nous suivîmes du regard les Flügelrads, jusqu'à ce qu'ils disparaissent dans un ciel bleu glacier. L'avion sembla capturé par un courant ascensionnel. Immédiatement, nous en reprîmes le contrôle, Nous gardâmes le silence durant un certain temps; chacun de nous {deux} était immergé dans ses propres pensées… De nouveau, nous survolâmes des étendues de glace et de neige, à environ 27 minutes de notre base. Nous envoyâmes un message radio. L’on nous répondit. Nous rapportâmes des conditions normales ... normales. Le camp de base exprima un grand soulagement lorsque le contact fut de nouveau rétabli.

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Nous atterrîmes doucement sur la base. J'avais une mission à accomplir.

11 Mars 1947. Je viens d'avoir un entretien à l'État Major du Pentagone. J'ai entièrement rapporté ma découverte ainsi que le message du Maître. Tout a été soigneusement enregistré. Le Président a été mis au courant. Des heures durant (6 heures et 39 minutes, très exactement), je fus soumis à la question. Les Top Security Forces, assistées d'une équipe médicale menèrent un interrogatoire très poussé. Quel calvaire !!! Les forces de la Sécurité Nationale des États Unis d'Amérique me placèrent sous un rigoureux contrôle. Il me fut rappelé qu'en tant que militaire j'avais l'obligation d'obéir aux ordres. Dernière note : 30 Décembre 1956. Toutes les années qui se sont écoulées depuis 1947 n'ont pas été bonnes ... D'où ma dernière note dans ce journal personnel. Je termine en affirmant que, durant toutes ces années, j'ai scrupuleusement maintenu ce sujet sous le sceau du secret, comme il me le fut ordonné. J'ai dû le faire à l'encontre de tous mes principes d'intégrité morale. À présent, je sens la grande nuit s’approcher ; ce secret ne mourra pas avec moi ; comme toute Vérité, il triomphera ! C'est le seul espoir pour le genre humain. J'ai vu la Vérité ; elle a fortifié mon esprit en m'accordant la Liberté ! J'ai fait mon devoir vis à vis du monstrueux complexe militaro-industriel. La longue nuit commence à tomber ; cependant, il y aura un épilogue. À l'exemple de la longue nuit antarctique qui se termine, le Soleil resplendissant de la Vérité se lèvera de nouveau, et ceux qui appartiennent aux ténèbres périront sous Sa Lumière… Parce que j'ai vu " cette Terre au-delà du Pôle, ce Centre du Grand Inconnu ". » (Sources diverses Internet, si vous voulez approfondir le sujet, tapez par google : " amiral Byrd ").

Vers la terre creuse.

« … Le Grand Etre à la robe blanche marche lentement le long d’un sentier escarpé qui descend très bas dans la vallée et nous le suivons … A main gauche, à mesure de notre avance, un ravin s’est rapidement creusé et se fait sans cesse plus profond. Ses murailles sont abruptes, impressionnantes de majesté … À un détour de chemin, c’est une série de cascades qu’il va nous falloir franchir. Le Frère à la chevelure ébène ne se retourne pas. Il avance et son itinéraire nous mène sous le rocher, derrière le rideau rugissant d’un torrent … La succession des cascades est bientôt franchie et il nous semble sortir transformés de leur tunnel de lumière argentée. Nous osons à peine formuler une pensée mais force nous est de constater que la structure vibratoire de nos corps se trouve à nouveau modifiée … Nous marchons sans effort et il nous paraît presque que cette marche ne peut avoir de fin tant nous nous enfonçons toujours plus bas dans la vallée. Tandis que l’horizon des cimes glacées s’est enfui loin de nous, la voûte céleste elle-même disparaît sous un manteau de verdure … A quelques pas du frère D.K. se dresse enfin une paroi rocheuse d’une dizaine de mètres seulement de haut … Alors, baissant légèrement la tête, il enfonce une main dans une des anfractuosités de la paroi et pose doucement son front sur le roc. Soudain, l’Etre tend à nouveau le bras, ouvre la main et la pose rapidement, dans un effleurement, au creux de nos poitrines … Et c’est comme un tremblement de terre pour notre âme, c’est un séisme qui secoue notre cœur et tire sur nos yeux un voile noir. Nous sommes pris au milieu d’un mur de coton obscur et invisible. Où sont nos corps, nos membres… ? Tout s’est envolé, englouti en une fraction de seconde … Peu à peu une lumière grandit quelque part … Simultanément, une impression de chute se fait sentir et l’image d’un couloir dans lequel nous glissons à une vitesse folle s’imprime dans notre esprit. Mais est-ce bien une chute ?... Brusquement tout s’arrête … Nous sommes dans une espèce de grotte ou plutôt au cœur d’une immense géode … C’est une gigantesque cathédrale naturelle, un lieu où les cent mille visages de la grande

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matrice terrestre semblent s’être donné rendez-vous … L’espace n’est pas clos et plus nos yeux s’y plongent plus ils se perdent dans une immensité infinie… « Frères, ceci est la porte d’accès au premier des mondes souterrains. Je dis premier car il en existe sept. En vérité, vous le savez, votre Terre est aussi creuse qu’un ballon. Ce ballon n’est cependant pas rempli d’air mais d’un grand nombre de formes de vie évoluant sur différents plans vibratoires. Oui, Frères, voyez combien les fictions des plus talentueux romanciers s’annoncent fades à côté de ces réalités dont pas un seul humain ne peut avoir une idée juste … Sachez tout d’abord que la totalité des sept mondes souterrains peut être connue sous le nom d’Agartha … Des sept mondes que j’ai évoqués, quatre seulement sont perceptibles ou du moins concevables par ceux qui portent encore le nom d’ " humain " … (Témoignage d’Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN dans Le voyage à Shamballah, extraits des pages 100 à 105, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

Télos : cité des Lémuriens.

NDLR : mythique pour certains, bien réelle pour d’autres, la Lémurie tout comme l’Atlantide font l’objet de nombreux livres. Voici ce qu’en dit l’encyclopédie en ligne

Wikipédia (extrait) : " La Lémurie (mot formé de Lémurien) est donc l’hypothétique continent, appelé aussi Mu, où auraient vécu les Lémuriens et qui aurait occupé jadis une bonne partie des océans pacifique et indien. Détruit par des tremblements de terre et des éruptions volcaniques : l’Australie, l’Océanie, l’Ile de Pâques, en seraient les vestiges. C’est sur un continent semblable qu’aurait vécu, selon la cosmogonie aztèque, la troisième grande race ayant peuplé le monde. Tout comme l’Atlantide, le continent de Mu serait donc le berceau de l'humanité. "

« Nous avons choisi de vivre sous le mont Shasta parce que cet endroit nous permettait de fleurir et de perpétuer la culture lémurienne sans interférence de la part d’autres sociétés ou groupes de l’espace. Malgré le fait que les cités souterraines étaient confinées et restreintes, elles furent pour nous une protection. Ces limitations ont été notre sauvegarde depuis les 12.000 dernières années. Le mont Shasta a été notre " bulle " de protection, il nous offrait la clandestinité favorisant notre croissance en une race d’êtres supérieurs sans quitter cette planète … Toutes les planètes sont creuses ; autant celles de ce système solaire que de l’ensemble de l’univers. Naturellement elles ne possèdent pas toutes une densité tridimensionnelle, mais elles sont toutes creuses à l’intérieur. La plupart sont peuplées de sociétés appartenant à diverses dimensions, surtout la cinquième et au-delà … Mars en l’occurrence, contient une civilisation ascensionnée, de la cinquième dimension, qui prospère en son centre, invisible et indécelable pour vos scientifiques. L’intérieur et la surface de Vénus portent aussi une population de la même dimension qui s’apprête à passer à la sixième ; l’humanité ne peut la déceler, ni par ses facultés sensorielles ni par ses instruments. Voilà pourquoi vos scientifiques en ont conclu que ces mondes sont inhabités et impropres à la vie … Au centre de la terre et sous la croûte terrestre sont rassemblées un grand nombre de civilisations très anciennes venues de mondes et d’univers éloignés il y a plusieurs éons. Bien que plusieurs aient conservé un certain degré de densité physique, toutes existent dans un état de conscience ascensionné qui relève de la cinquième ou de la sixième dimension, ou de dimensions encore supérieures. Le réseau Agartha comporte environ 120 cités de lumière souterraines, peuplées en majorité par des Hyperboréens ; au moins quatre villes sont habitées par

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des Lémuriens et quelques-unes par des Atlantes … Le réseau Agartha était jadis sous la gouverne de la capitale Shamballah mineure. Ses citoyens sont hyperboréens. Plus récemment, Telos a pris la tête du réseau Agartha…

Telos est une ville assez importante ; sa population se chiffre à environ un million et demi d’habitants. Comme elle n’est pas découpée en plusieurs villages, le gouvernement est le même pour tous … La cité de Telos comporte cinq niveaux répartis sur plusieurs kilomètres carrés sous le mont Shasta… » (Communication d’Adama, grand prêtre de Telos à Aurelia Louise JONES et Dianne ROBBINS dans Telos, révélations de la nouvelle Lémurie, extraits des pages 29 à 33, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

Interview de Connie Miller. Connie : « Je m’appelle Connie Miller. Je suis la fille d’un pasteur baptiste très fondamentaliste du Sud. Il était d’origine indienne mais il ne voulait surtout pas que cela se sache. Moi-même, je ne l’ai appris que lorsque j’ai eu trente-cinq ans. Je ne savais pas davantage que ma mère était cherokee. C’est qu’elle avait été élevée comme une fille blanche. Son père avait été enlevé, comme tant et tant d’enfants indiens, pour l’arracher au " paganisme " de sa famille d’origine. Il a recherché toute sa vie cette famille mais en vain. À cette époque, on ne faisait pas de papiers d’adoption légale. Rachel : Connie Miller, ce n’est pas du tout un nom indien. Connie : non, j’ai longtemps dû garder mon vrai nom dans mon cœur. Rachel : comment le connaissiez-vous ? Connie : il m’a été révélé par un esprit qui s’est fait connaître à moi sous le nom d’Aigle rouge. Je m’appelle vraiment Ohennaka, ce qui signifie Étoile du matin. J’étais encore toute petite lorsque je me suis sentie attirée par un appel que je ne comprenais pas. Un appel vers autre chose. Tout naturellement, puisque je ne connaissais que cela, je me suis lancée dans l’étude de la Bible. Pendant dix ans, je l’ai étudiée à fond tout en sachant, au fond de moi, qu’il me faudrait un jour découvrir autre chose. Un soir, poussée par je ne sais quelle impulsion, j’ai ouvert la télévision et je suis tombée sur un programme de Leonard Nimoy qui s’appelait : " À la recherche de … " Cette nuit-là, il était consacré à la recherche des anciens astronautes. Je n’ai pas compris pourquoi, mais cela a fait vibrer en moi une corde secrète, comme si quelqu’un en moi se souvenait. Je me sentais au bord d’une découverte et j’ai demandé à Dieu de me donner la sagesse, la connaissance et le discernement. À partir de ce moment-là et peu à peu, mes guides ont commencé à travailler avec moi. Jean-Pierre : j’aimerais bien en savoir un peu plus sur ces guides. Comment sont-ils apparus ? Qui étaient-ils ? Connie : cela ne se passe pas ainsi. Je ne les voyais pas mais je sentais qu’ils me guidaient. Par exemple, j’allais dans une librairie et je sentais que quelqu’un me posait la main et la posait sur le livre dont j’avais besoin à ce moment-là. Et il est vrai que ce livre répondait toujours à des questions que je me posais, que ces questions posaient de nouvelles questions, lesquelles trouvaient à leur tour leurs solutions dans de nouveaux livres qui m’étaient proposés. Et puis un jour, mon guide a tiré le tapis sous mes pieds. Jean-Pierre et Rachel : ?... Connie : c’est-à-dire qu’il m’a fait perdre mon travail et m’a obligée à aller travailler à la NASA à Houston. Là, j’ai appris que les ovnis existaient réellement. C’était une préparation pour ce que j’allais être appelée à vivre. Petit à petit, en effet, je suis entrée en contact avec les êtres de l’espace. Ils me plaçaient, comme ils disaient dans un rayon de tension, c’est-à-dire un rayon de communication. Ce n’est pas un rayon que vous pouvez voir, mais vous le sentez sans aucun doute possible. Rachel : que vous disaient-ils par l’intermédiaire de ce rayon ?

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Connie : beaucoup de choses, mais je ne dois pas entrer dans les détails. Un jour, ils m’ont révélé que j’avais un père à bord d’un de leurs vaisseaux spatiaux. Un père qui venait des Pléiades. Jean-Pierre : et vous l’avez cru ? Connie : bien sûr que non ! Mettez-vous à ma place ! Et cela d’autant plus que si je voulais conserver un esprit ouvert, j’étais bien décidée à ne pas croire à n’importe quoi. Je leur ai demandé le nom de mon père et le nom de son vaisseau, mais ils n’ont pas voulu me répondre. Nous en sommes restés là, mais, par la suite, ils sont entrés de temps en temps en communication avec moi, comme pour me faire savoir qu’ils étaient toujours là. Huit années ont passé ainsi. Un jour, j’étais à Sadona en train de soigner la cheville d’un ami blessé lorsque j’ai reçu un message. On me disait d’entrer en méditation. Il était environ quatre heures de l’après-midi. Au bout d’une minute, j’étais déjà hors de mon corps et tout à fait consciente. J’ai vu mon corps de lumière quitter le fauteuil, monter, monter, se déplacer dans l’obscurité de l’espace et arriver à proximité d’un énorme vaisseau spatial. Je me souviens de tous les détails comme si cela venait de se passer. Je me suis retrouvée à l’intérieur du vaisseau, dans une pièce d’environ dix mètres carrés dont les coins étaient arrondis. Il y avait aussi un arrondi à l’endroit où le plafond rencontrait le mur. La pièce était toute blanche, le sol aussi. Devant moi se trouvait un homme qui devait mesurer un mètre quatre-vingt-dix. Il était mince et bien bâti. Il portait une combinaison spatiale étroitement ajustée, des bottes souples et blanches et il avait un casque sur la tête. Il m’a dit qu’il était mon père. Bien sûr j’ai été choquée et je n’ai pu que balbutier : « Mon Dieu ! Êtes-vous vraiment mon père ? », « Oui » m’a-t-il répondu, « et c’est pourquoi je t’ai amenée ici maintenant. Le temps était venu de te le dire. » Rachel : s’agissait-il d’un père spirituel ? Connie : non. Il était physiquement mon père. Je ne peux vous expliquer ni pourquoi ni comment mais je sais que c’est vrai. Rachel : alors votre père physique, celui que vous avez toujours connu, ne serait pas votre père ? Connie : il ne l’est pas et cela m’a tout de suite posé une question : comment puis-je être cherokee si mon père physique n’est pas mon vrai père ? Je l’ai demandé un peu plus tard à l’être qui se trouvait devant moi et il m’a répondu par cette question : « D’où crois-tu que viennent les Cherokees ? Eux aussi, ils viennent des Pléiades. » Alors il s’est avancé vers moi, m’a embrassée, a pris mon bras et m’a conduite vers le mur qui s’est ouvert. Nous sommes entrés dans un " biodôme ", c’est-à-dire un très grand jardin. Si grand qu’il y avait des nuages au sommet, des collines, des rivières, des arbres, des animaux, des oiseaux, des papillons … Autour, il y avait comme un trottoir d’environ trois mètres de large. On aurait dit des pavés, mais ils étaient beaucoup plus lisses que nos pavés à nous. Il y avait un peu partout des bancs faits dans le même matériau. Des oiseaux chantaient. Marchant dans les sentiers, je voyais d’autres membres de l’équipage, vêtus comme l’était mon père. Un homme s’est approché de nous et mon père m’a dit qu’il s’agissait du capitaine Oltra avec lequel j’avais déjà été en communication télépathique. « Il est temps pour toi de retourner », m’a-t-il dit au bout d’un moment et je me suis immédiatement retrouvée dans mon corps et dans mon fauteuil. Rachel : vous étiez d’accord pour revenir ? Connie : absolument pas. Rachel : combien de temps a duré ce voyage ? Connie : une heure et demie environ. Mon ami Robert, celui dont j’avais soigné la cheville, se trouvait de l’autre côté de la pièce. Il avait terminé sa méditation et il attendait que je termine la mienne. Il a vu que je pleurais et, quand j’ai ouvert les yeux, il m’a demandé : « Est-ce que ça va bien ? » Je lui ai raconté ce que je venais de vivre et j’ai ajouté que c’était si extraordinaire que je ne pouvais pas y croire. Alors il m’a demandé : « Mais pourquoi est-ce si difficile à croire ? » Cela m’a fait du bien. C’était en octobre 1985.

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Trois ans plus tard, je me trouvais en Californie dans la maison d'une femme dont la mission est de recevoir les enseignements des êtres de l'espace. Elle me montrait une série de tableaux qu'elle avait faits et qui représentaient un certain nombre de ces êtres. Jean-Pierre : comment avait-elle fait pour les peindre ? Connie : ils lui ont dit que les temps étaient venus où les hommes allaient avoir besoin de les reconnaître. Ils ont guidé sa main. Sur l'un de ces tableaux, j'ai reconnu mon père. La femme m'a dit qu'il s'appelait le commandant Soldec. C'est exactement le nom que j'avais reçu dans un message. Regardez-le : j'ai fait une photo du tableau. Sur l'un de ces tableaux, j'ai reconnu mon père. La femme m'a dit qu'il s'appelait le commandant Soldec. Rachel : c'est vrai qu'il est beau. Pourquoi porte-t-il une croix ? Connie : la croix est un symbole très ancien. Un symbole qui date de millions d'années avant le christianisme. De toute façon, les êtres de l'espace sont des disciples du Christ. Rachel : ne dit-on pas que le Christ reviendra sur un char céleste ? Connie : " Ce Jésus qui vous a été enlevé pour le Ciel reviendra de la même manière que vous l'avez vu s'en aller vers le Ciel ". C'est dans les Actes des Apôtres. Jean-Pierre : et depuis vous n'avez pas revu votre père ? Connie : si, j'ai été reprise à bord plusieurs fois mais c'est à peine si je m'en souviens. Jean-Pierre : pourquoi ? Connie : ce sont eux qui me l'ont expliqué. Ils m'ont dit qu'ils avaient le pouvoir de bloquer la mémoire. Jean-Pierre : mais pourquoi feraient-ils cela ? Connie : ils m'ont dit que c'était pour ma protection. D'après eux, il y a sur Terre beaucoup d'êtres qui appartiennent aux forces du mal et qui risquent de mettre en danger ceux qui travaillent pour l'avènement de la Lumière. Tout ce dont je me souviens, c'est de la dernière fois où j'ai été prise à bord. C'était l'automne dernier dans un lieu sauvage de l'Arizona. Mais encore une fois, je n'ai que de vagues souvenirs. Je sais seulement que mon père m'a baptisée " Petra " parce que, a-t-il dit, « Tu es solide comme un rocher et têtue comme lui. » Il est vrai que je suis souvent très obstinée. Je ne le regrette pas car, à partir du moment où je me suis engagée sur le chemin ésotérique et spirituel, il m'a fallu passer par sept années d'une intense recherche. Les esprits m'ont testée pour m'enseigner le discernement. Ils m'ont tentée avec des visions de grandeur. Ils ont voulu voir si je ne m'engageais pas sur le chemin de l'ego, du pouvoir, de l'argent… Rachel : mais comment savez-vous que ce sont les esprits qui vous ont envoyé ces " tentations " ? Connie : ce sont des êtres appartenant à ce qu'on appelle " la Fraternité de la robe noire ". Ils ne sont pas méchants mais leur travail est de tester le métal dons nous sommes faits. Rachel : est-ce que vous parlez de l'avenir avec les êtres de l'espace ? Connie : ils insistent beaucoup sur le fait que la Terre est malade et menacée de disparaître mais ils ajoutent que l'esprit humain peut encore empêcher la catastrophe. C'est un espoir. Nous devons sans cesse entretenir des pensées d'amour, de guérison, de coopération avec tous les êtres et avec Notre Mère la Terre. Ils savent que nous, les Indiens, nous avons un grand rôle à jouer dans ce domaine et d'énormes responsabilités. Ils insistent beaucoup sur l'Unité. Voilà pourquoi lorsque Dhyani m'a demandé ce que j'avais à dire dans le cercle des Anciens, j'ai insisté sur le fait que nous devions cesser de nous disputer, de nous haïr à propos des mots. Il y a beaucoup de religions sur la Terre et beaucoup de langues qui sont autant de limitations. Nous devons cesser de nous disputer à propos de Dieu sous prétexte que nous le voyons de manières différentes. Lorsque nous nous disputons, nous oublions que nous sommes tous UN, que nous prions le même Être et que nous voulons tous remonter à la même Source. Voilà ce que disent les Êtres de l'espace. Et aussi que, trop souvent, les Églises nous enferment dans des dogmes et nous ferment à la vérité spirituelle qui est en nous. Rachel : est-ce que vous avez aussi trouvé cela dans la Bible ? Connie : oui, « Le Royaume de Dieu est au-dedans de vous. » C'est sans doute la

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phrase la plus importante des Évangiles. Jean-Pierre : c'est une belle conclusion à notre entretien mais si vous avez encore quelque chose à ajouter. Connie : je me sens très proche de vous. À mes yeux, le travail que vous faites va tout à fait dans le sens de ce que demandent les Êtres de l'espace. » (extrait de : Rachel et Jean-Pierre CARTIER, Les gardiens de la terre, pp 228 à 235, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

Extrait de l’encyclopédie wikipédia en ligne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil

• 1944 : foo fighters, sphères colorées périodiquement repérées par les équipages militaires aériens partout dans le monde.

• 1946 : roquettes fantômes, objets aux caractéristiques de missiles de croisière aperçus à plusieurs reprises au-dessus de la Scandinavie. Le personnel de la défense suédoise se préoccupa de l'affaire.

• 1947 : observation de Kenneth Arnold, l'incident qui a défini le terme de " Soucoupe volante ". • 1947 : l'incident de l'île de Maury, une histoire très controversée, où un chien a

été tué et un garçon blessé par des OVNI et les témoins menacés par des hommes en noir (traditionnellement appelés MIB ou men in black).

• 1947 : l'incident de Roswell, l'US Air Force collecta des débris dans le désert, certains pensent qu'ils venaient d'une soucoupe volante, d'autres d'un ballon espion de l'armée.

• 1948 : l'incident de Mantell, l'US Air Force envoya un chasseur pour vérifier une observation d'OVNI, il s'écrasa avec son pilote.

• 1949 : l'astronome Clyde Tombaugh fut témoin d'une étrange observation. • 1952 : cas de Carson Sink dans le Nevada, aux Etats-Unis. • 1952 : l'apparition à Washington, une série d'observations avec contacts radar à

Washington, aux Etats-Unis. • 1954 : la vague française, des milliers d'observations individuelles, dont environ

300 furent collectées par les ufologues de l'époque. • 1955 : la rencontre de Kelly-Hopkinsville, un groupe étrange de créatures ont

terrorisé une famille.

• 1961 : l'abduction* Hill, le premier récit d'abduction par des extraterrestres largement médiatisé.

• 1965 : l'incident de Kecksburg, observations en masse d'un crash d'OVNI suivi d'une intervention de l'US Army sur le site du crash.

• 1967 : l'incident de Falcon Lake, un témoin aurait présenté des brûlures après une rencontre avec un OVNI.

• 1969 : l'observation d'un OVNI par Jimmy Carter, qui la révéla une fois devenu président.

• 1971 : traces au sol de Delphos, un OVNI laissa une empreinte sombre. • 1973 : l'abduction de Pascagoula, une expérience d'abduction extraterrestre

rendue publique. • 1975 : l'abduction de Travis Walton, un homme disparu pendant cinq jours,

revint avec l'histoire d'un enlèvement, il écrivit un livre qui fut adapté dans un film.

• 1977 : l'affaire de Colares, une île brésilienne débordée par des OVNI malfaisants, 35 blessés, l'île fut évacuée.

• 1978 : le cas Valentich, un pilote australien observa un OVNI avant de disparaître sans laisser de traces.

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• 1979 : l'incident de Marshall County, un shérif remarqua une lumière mystérieuse qui vint percuter son véhicule.

• 1980 : le cas Cash-Landrum, une étrange observation accompagnée de traces physiques sur trois témoins.

• 1980 : l'incident de Rendelsham, plusieurs militaires américains font une observation en Grande-Bretagne.

• 1986 : l'incident de Height 611, un crash d'OVNI supposé à Dalnegorsk, en ex-URSS, suivi par un atterrissage supposé en 1989.

• 1989 : trace dans un champ de lavandin à Valensole (France, dept 04). Enquête de JG, PG et AR en collaboration avec la gendarmerie. Rapport d'enquête disponible sur le site Ufoweb-France.

• 1990 : vague belge, observation en masse d'OVNI triangulaires avec un cas de contact radar par la force aérienne belge qui le rendit public.

• 1996 : l'incident de Varginha, observations multiples de créatures étranges à Minas Gerais, au Brésil.

• 2004 : observation de la patrouille de l'air mexicaine, où elle aperçut des OVNI sur ses caméras infrarouges, et en publia le métrage.

Vénus et les Vénusiens : un article d’Oliver de ROUVROY sur le site http://www.erenouvelle.com/news.php Nous tenons ici à remercier vivement Olivier de Rouvroy qui nous a donné son autorisation de reproduire cet excellent article in extenso. Nous encourageons vivement les internautes parmi nos lecteurs à se rendre sur ce site très bien fait et toujours très bien documenté (voir présentation en fin d’ouvrage).(NB : à l’heure de la réédition de cet ouvrage, nous avons appris il y a peu qu’Olivier de Rouvroy nous a quittés pour l’autre monde. Qu’il soit remercié par-delà les mondes de sa contribution à l’éveil de l’Humanité) « Dans son livre " L’Or des Étoiles ", José Frendelvel a démontré, au terme d’une minutieuse enquête sur la dynamique de notre système solaire, que celui-ci répond à une architecture mathématique tellement élaborée que seul, celui que certains ont appelé " Le Grand Architecte " semble pouvoir en être à l’origine. Une incroyable architecture de jeux de chiffres, de géométrie et d’inversions s’est en effet progressivement révélée à cet observateur avisé, intégrant l’ensemble de notre système solaire avec son étoile centrale, ses planètes avec leurs lunes, et ses deux ceintures d’astéroïdes. Il lui a été donné de constater que tous ces corps célestes - y compris ceux qui, tel Vulcain, n’ont pas encore été officiellement répertoriés - jouent ensemble, en compagnie de notre Terre et de son satellite naturel, une véritable et grandiose symphonie mathématique en comparaison de laquelle les œuvres de nos soi-disant génies de la musique, Mozart, Haendel, Bach, Beethoven et tant d’autres, font piètre et pâle figure ! Une authentique architecture sacrée a été placée sous nos yeux par l’Intelligence Cosmique, attendant l’époque où nous aurons les moyens et la sagesse de comprendre et de décrypter son message. Au sein de ce système étonnant, " l’étoile du Berger ", Vénus, que certains ésotéristes ont décrite comme la planète jumelle de la Terre, occupe une place toute particulière… Voici quelques unes des étonnantes révélations de José Frendelvel à son sujet et au sujet de ses habitants. « Si nous pouvions nous approcher de Vénus pour observer de plus près sa nature, que découvririons-nous ? Depuis quelques décennies, l'activité spatiale a permis de décrire un peu sa nature physique grâce aux sondes qui se sont aventurées dans son voisinage et ou se sont posées sur son sol. Les porte-parole de ces missions d'exploration nous ont parlé d'un environnement particulièrement inhospitalier, d'un air surchargé de gaz carbonique, d'une pression barométrique infernale, d'une chaleur torride de plusieurs

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centaines de degrés à sa surface ainsi que d'une atmosphère hébergeant d'épais nuages opaques et chargés d'acides sulfuriques. Bref, un astre ne permettant absolument pas de générer ni d'abriter la vie, un astre qui ne donne pas le moins du monde envie d'aller y faire une petite excursion dominicale ou d'y installer un club de vacances. Pourtant en 1989, un dossier a été déclassifié de l'autre côté de l'Atlantique et ceci dans la plus grande discrétion, car quinze ans plus tard, ce document est encore pratiquement inconnu du public. Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce dossier rapporte de nombreux contacts avec des êtres de la planète Vénus ! Il raconte comment ces êtres de Vénus sont venus et continuent à venir sur la Terre pour y rencontrer des hommes, choisissant de s'adresser parfois à d'humbles citoyens, parfois à des scientifiques et parfois à de hauts responsables de notre société. Ce rapport raconte entre autres la rencontre inopinée entre l'un de ces êtres et le président américain Eisenhower. Nous voilà face à deux informations apparemment incompatibles. Deux approches de la planète Vénus complètement antagonistes. D'une part celle de la science terrestre avec ses sondes spatiales et le sérieux qu'on lui attribue généralement ; d'autre part celle d'un rapport quasiment inconnu qui soutient l'existence d'une civilisation sur Vénus et des contacts cachés. Face à un tel paradoxe, la réaction habituelle est de faire confiance à la science et de bien vite oublier une version si déphasée de la réalité spatiale. Ainsi nous pouvons continuer de dormir tranquilles. Mais notre objectif n’est pas de pouvoir continuer à dormir sur nos deux oreilles. Il est de connaître la vérité ! Et si les hiérarchies scientifiques en qui nous faisons une confiance sans borne, nous avaient menti ! Le plus grand mensonge de tous les temps pour nous cacher le fait que nous ne sommes pas seuls dans notre système solaire ? Une telle éventualité de vie sur Vénus entraînerait une véritable révolution des consciences. Avoir cru depuis bien longtemps que le système solaire est un désert avec une seule oasis - la Terre - et puis soudain un rapport nous annonce que nos frères de l'espace sont là, à deux pas sur la planète voisine, qu'ils nous tendent la main et attendent discrètement en toute patience que les feux verts s'allument dans nos consciences ! Bien que ce rapport parle essentiellement d'événements s'étant déroulés dans la période postérieure à la seconde guerre mondiale, le contenu se recoupe avec l'une des prophéties d’un éminent médium, le futur pape Jean XXIII. En 1935, celui-ci révélait l'une de ses visions en ces termes : « Les signes sont de plus en plus nombreux. Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement. Quelqu'un vient de très loin et veut rencontrer les gens de la Terre. Des rendez-vous ont déjà eu lieu. Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus. » (Jean XXIII, 1935). La civilisation vénusienne, telle qu'elle est décrite dans ce dossier, semble avoir résolu tous les problèmes relationnels particulièrement négatifs que nous connaissons sur Terre comme les guerres, la criminalité et les agressions en tous genres. Non pas en les mettant hors la loi par une quelconque force policière, mais en développant collectivement des valeurs plus pacifiques basées sur le respect, la compréhension et l'Amour. Par leurs contacts réitérés avec des personnalités terrestres, ils sont venus nous proposer une assistance pour nous aider à résoudre nos problèmes de plus en plus critiques de société et d'environnement. La condition qu'ils posaient à cet appui humanitaire et technologique était d'abandonner nos armes de destruction massive et de faire le choix délibéré de nous engager comme eux dans une voie pacifique. Ces conditions ont été jugées irrecevables par les grands dirigeants de notre monde et l'offre des Vénusiens est restée à l'état de proposition. Au début des années cinquante, un dénommé George Adamski a défrayé la chronique un peu partout dans le monde. Ce résident californien d’origine polonaise racontait dans ses livres, dans ses conférences et dans ses interviews journalistiques, ses prodigieuses rencontres avec des êtres de la planète Vénus. (Cf. notre page L’héritage spirituel de

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George Adamski). Ses récits étaient étayés par la présentation d'extraordinaires photographies de vaisseaux en forme de soucoupes ou de cigares volants. Adamski racontait qu'il avait vécu plusieurs rencontres avec des Vénusiens et qu'à quelques reprises, il avait eu l'immense privilège de pouvoir les accompagner à bord de leurs engins pour un petit tour dans l'espace. C’est pour cette raison que certains journalistes ignorants l’ont ensuite ironiquement baptisé " le premier homme de l'espace ". Adamski a décrit certains phénomènes inhérents au voisinage de la Terre, signalant notamment la présence de petites apparitions lumineuses évoquant des lucioles se déplaçant dans l’obscurité, ainsi que l'existence d'une zone de radiations autour de la planète (identifiée des années plus tard sous le nom d’ionosphère). Ces éléments inconnus à l'époque, se sont vérifiés dès que les premiers satellites artificiels ont commencé à circuler en orbite terrestre. Au-delà de l'atmosphère, les premiers astronautes ont effectivement décrit la présence de sortes de petites "lucioles" lumineuses, puis des sondes ont découvert des anneaux de radiations autour de la Terre auxquels on a donné le nom de ceinture de Van Allen. Comme pour tout ce qui touche au phénomène extraterrestre, George Adamski fut énormément critiqué, accusé de falsification et traité de fou, surtout dans son propre pays, aux États-Unis. Note : Les premières observations de ces lucioles spatiales ont étonné les astronautes et inquiété le gouvernement américain. La NASA a tenté de " régler " le problème en annonçant que ces prétendues " lucioles " n'étaient en réalité que les particules de glace formées par la condensation des rejets d'eau émis par les capsules spatiales. Cette explication invraisemblable n'a heureusement pas convaincu tout le monde ! Le rapport, dont nous citerons ci-dessous quelques extraits, parle en ces termes de George Adamski : « En novembre 1952, les médias internationaux ont fait écho aux révélations de George Adamski, et une grande partie du public a cru qu'un contact historique avait réellement été réalisé avec une autre planète. Des photos nettes ont été publiées dans de nombreux journaux et magazines et Adamski a été traité comme un héros lors de ses voyages dans les capitales étrangères où de nombreux leaders mondiaux l'ont accueilli ... Tel n'a cependant pas été le cas dans la capitale des États-Unis ni aux Nations Unies. Incapable d'apporter les preuves d'un canular, le Pentagone a simplement manié le discours facile en traitant Adamski de menteur sans aucun élément pour justifier cette accusation. Plus d'un spécialiste a alors certifié qu'avec un peu de chance, Adamski aurait pu rétablir lui-même la vérité auprès de la Cour Suprême. Mais ce dernier semblait plutôt amusé par le manque d’argumentation de ses détracteurs. Par la suite, dans les années soixante-dix, l'Air Force a déclaré à la presse qu'Adamski avait photographié et filmé le couvercle d'un refroidisseur de bouteille de fabrication anglaise. Cela a fait la une de la presse internationale. Mais l'homme qui a inventé ce dit refroidisseur de bouteilles a indiqué que celui-ci n'existait pas en 1952 et n'avait été inventé qu'en 1959 ! Cependant les journaux concernés n'ont publié cette précision que dans de minuscules colonnes soigneusement isolées au milieu de leurs publicités. » Néanmoins, malgré le terrible discrédit public que les pouvoirs publics américains ont tenté de jeter sur cet homme hors du commun, George Adamski fut enterré à Arlington, le cimetière national des grands héros américains. En dépit des attaques virulentes et injustifiées qui lui ont été infligées de son vivant, son inhumation discrète à Arlington révèle la reconnaissance et le respect secret que lui témoignaient certains hauts responsables américains. Note : Le plus illustre de ces responsables fut sans conteste John F. Kennedy. (Cf. nos pages Kennedy : message posthume et L’héritage spirituel de George Adamski). Aujourd’hui encore, le simple fait d’évoquer le nom d’Adamski ou de lui attribuer ne serait-ce qu'un soupçon de crédibilité, provoque généralement l’incompréhension ou la dérision, et parfois même des réactions virulentes. L’existence de cet extraordinaire rapport longtemps classifié Top Secret par le

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gouvernement canadien et dont il a déjà été question, tend cependant à réduire à néant toutes les observations et supputations émises par ses détracteurs. En voici quelques extraits. Extraits d’un ancien dossier Top Secret du Département canadien des Affaires Interplanétaires, déclassifié en 1989 puis compilé par son directeur de l’époque, S.E. Mar. Nota : l’intégralité de ce texte figure dans l’Annexe 1 du livre de José Frendelvel : " L’Or des Étoiles ". Des scientifiques canadiens contactent Vénus. « En janvier 1972, le Département des Affaires Interplanétaires fut créé dans un objectif de recherche et d'investigation scientifique des OVNI, ainsi que pour tenter de contacter, si possible, des occupants d'OVNI. Des dossiers importants sur des rapports d’observations, d'atterrissages d'OVNI et de contacts avec leurs équipages furent aussitôt accumulés. Nous nous aperçûmes que de nombreux chercheurs ufologues souhaitaient obtenir nos rapports et commençâmes à échanger avec eux des informations. Nous fûmes surpris de voir un jour arriver à notre bureau des anciens officiels du gouvernement secret et des agences des services de renseignements militaires qui nous offraient d'échanger " les informations qu’ils détenaient " en échange de ce que nous savions. La plupart de ces informations étaient classées Top Secret et au-delà. Elles mettaient en avant l’existence d’un secret gouvernemental et militaire concernant les OVNI. Ce qui nous étonna le plus est que les témoins cités dans ces dossiers racontaient tous les mêmes détails ahurissants. Qu'ils viennent de la NASA, qu'ils soient des scientifiques civils accrédités par le gouvernement, des pilotes militaires, des agents des services secrets, ou des Nations Unies, il n'y avait aucune contradiction dans leurs rapports à propos de bases aliens sur la Terre, sur d'autres planètes, de soucoupes volantes crashées et récupérées avec des occupants, et de contacts secrets entre Aliens et gouvernement américain. Par ailleurs, nos informateurs déclaraient souhaiter rester anonymes à cause de menaces d'assassinat, d’amendes, de procès, ou de disparitions mystérieuses. Certains nous affirmaient que nous pourrions avoir de gros ennuis si nous informions le grand public de ce qui nous avait été révélé ! Au début des années cinquante, le gouvernement canadien avait mis en place le Magnet Project [Projet Aimant] pour l'étude des OVNI. Le directeur de ce projet, Wilburt B. Smith, a par la suite écrit qu'un officiel très haut placé du Pentagone US avait révélé que les OVNI étaient le plus grand secret qu'ils détenaient, bien plus grand que celui de la bombe H (l'arme ultime de l'époque). Il nous a été possible d'obtenir une copie de la recherche de Wilburt B. Smith sur le Project Magnet. Cette recherche était si déconcertante que Smith aurait pu vraisemblablement être assassiné s'il la publiait. Aussi est-elle restée indisponible jusqu'à sa mort. Le Project Magnet a pu fonctionner grâce à une équipe de scientifiques canadiens qui avaient continué à travailler sur les inventions de Nikola Tesla, l'un des plus éminents scientifiques du début du XXe siècle. Tesla, inventeur du courant électrique alternatif/continu, co-inventeur du radar et de nombreuses technologies militaires, fut l'auteur de centaines d'autres inventions tout aussi extraordinaires, la plupart ayant été brevetées. Il avait déjà déclaré de son vivant à certains de ses associés et amis qu'il avait inventé un système de communication interplanétaire grâce à des idées qui lui avaient été transmises par des Vénusiens. Le Project Magnet a pris Tesla au sérieux. Ce rapport détaille un site expérimental ultrasecret construit par le gouvernement canadien et conçu pour des atterrissages

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d'OVNI. L'ex-ministre de la défense canadienne, Paul Hellyear, a admis plus tard publiquement que ce projet a bel et bien existé. Cependant, il n'a pas mentionné ce que Smith a rapporté. Le projet a en fait permis de détecter un ONVI réel et d’entrer en contact avec ses pilotes qui disaient venir de Vénus. Arthur Matthews, qui fut à une époque l'assistant scientifique le plus proche de Tesla, était impliqué dans ce contact. Le Project Magnet rapporte par ailleurs qu’alors que Matthews était en train de parachever certaines inventions inachevées de Tesla, les Vénusiens l'ont aidé à finaliser ces travaux. Le rapport mentionne également d’autres inventions transmises par les Vénusiens au Docteur Matthews. Elles ont toutes été testées et ont toutes fonctionné à la perfection. Les Vénusiens se sentaient sérieusement concernés par la dégradation de notre environnement ainsi que par les dangers liés à l’utilisation des énergies fossiles et aux essais nucléaires. Ils ont alerté le gouvernement américain pour tenter de le convaincre de mettre un terme à ces pratiques. Ils ont offert des systèmes d'énergie alternative non polluante et pratiquement gratuite que les conseillers du gouvernement, qui se sont enrichis grâce aux milliards de dollars provenant du pétrole, du gaz, du charbon et des industries de guerre, ont tous rejetés pour " raisons économiques ". Un beau jour, un vaisseau interplanétaire en provenance de Vénus est descendu au-dessus du laboratoire scientifique ; l'alarme de détection Tesla a retenti, puis l'atterrissage a eu lieu. Arthur Matthews est sorti pour regarder cet incroyable vaisseau spatial. Deux êtres sont sortis à l'extérieur du vaisseau et se sont dirigés vers le scientifique. Il a noté qu'ils avaient une taille d'environ 1,80 m. Il pouvait discerner leurs cheveux dorés et leurs yeux bleus lumineux dans la clarté des étoiles. Il émanait d'eux une aura de bonheur et de santé parfaite. Il pouvait ressentir une vibration irrésistible de bonté en provenance de ces Vénusiens. Les hommes de l'espace ont alors dit à Matthews qu'ils venaient jeter un coup d'œil sur la machine à rayons cosmiques de Tesla dont il était en train de poursuivre le développement. Après un dialogue de nature scientifique, Matthews a accepté de visiter leur vaisseau. Il était entouré d’un anneau métallique distant d'environ 6 mètres du corps central métallique et qui n'était connecté à la carlingue du vaisseau par aucun système visible, mais plutôt par magnétisme. Ce vaisseau mesurait environ 210 mètres de diamètre et 90 mètres de hauteur. Il n'y avait aucun système de contrôle visible dans la salle de commandes. Au centre se trouvait une grande plate-forme circulaire avec une zone équipée de sièges. Quatre Vénusiens y étaient assis, le dos tourné au centre et la face orientée respectivement au nord, au sud, à l'est et à l'ouest. Ces pilotes avaient été spécialement choisis pour leur puissance de pénétration spirituelle sur la matière et ils faisaient fonctionner le vaisseau par transmission télépathique, en projetant les ondes de leur cerveau dans l’ordinateur qui régit ses commandes. Deux de ces pilotes étaient des femmes. Il a rencontré une Vénusienne d'une beauté sans âge, qui avait de longs cheveux dorés, une belle peau bronzée, un extraordinaire visage émanant une paix intérieure indescriptible et un bonheur suprême. De ses yeux bleu saphir semblait jaillir une sagesse cosmique. Grâce à elle, il a beaucoup appris à propos de la vie sur Vénus. Notons au passage que ces informations ne proviennent ni d'un halluciné aux yeux hagards, ni d'un fanatique ou d’un membre d’une secte, ni d'un dépravé, d’un ivrogne ou d’un drogué. Ce rapport a été écrit de la main de l'un des plus grands scientifiques que le XXe siècle ait connus, Wilburt B. Smith, qui était le directeur du Project Magnet, le comité d'étude scientifique des OVNI du gouvernement canadien. Cet éminent scientifique était extrêmement respecté, crédité de nombreuses inventions technologiques, avait une excellente réputation publique et possédait de prestigieux diplômes, prix et brevets d'inventions. On peut dire que Smith était le plus grand scientifique canadien de son temps, tout comme on peut dire que Tesla et Einstein furent les deux plus grands scientifiques de leur époque, au regard de l'évidence des inventions brevetées. Notons également que les informations sur Vénus et son peuple qui ont été consignées

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dans ce rapport, ne contredisent en aucune façon les détails que nous avons obtenus à partir de sources totalement différentes. Description de Vénus. Le scientifique canadien a ensuite fait une excursion sur la planète Vénus. Il s'est retrouvé debout près de grands piliers de basalte parfaitement polis. Une chute d'eau gigantesque s’écoulait d'une falaise noire d'ébène de plusieurs centaines de mètres de hauteur. Les rives étaient bordées d'une eau écumante mais limpide, alors que le lac central donnait l’impression d’une masse parfaitement lisse évoquant un dôme de verre multicolore. Ce n'était pas de l'eau telle que nous la connaissons, car des reflets de lumière de toutes les couleurs imaginables irisaient la surface de ce dôme aquatique. Elles s’y mélangeaient en paillettes vertes, roses et violettes, le transformant en un splendide arc-en-ciel. Ce decorum menait à une vaste étendue d'herbe verte émeraude, parsemée ici et là de palmiers merveilleux aux feuilles miroitantes de gouttes d'eau étincelantes comme des diamants. Dans le ciel vénusien, au-dessus de la chute d'eau, apparaissait une énorme boule de cristal transparente. Elle ressemblait à une gigantesque bulle de savon aux couleurs d'arc-en-ciel. Autour de la partie centrale du vaisseau, il y avait une bande de métal doré et aux pôles, comme des projections d'or. Des fenêtres étaient disposées le long de cette bande dorée. Note : Omnec Onec a décrit aussi un voyage dans ces vaisseaux-bulles dans son livre " From Venus I Came " [Je suis venue de Vénus] (Cf. notre page : Le Message d’Omnec Onec à l’humanité). La campagne qui s'étendait aux alentours avait l’apparence d’un vaste et joli parc. Une montagne coiffée de neige s'élevait au loin et une grande rivière s'étirait dans l'arrière- plan. Plus tard, Matthews est entré dans une cité vénusienne. Les bâtiments avaient des toits ellipsoïdaux en prismes de cristal ; ils reposaient sur des piliers circulaires en marbre en forme de colonnades. Un paradis de végétation luxuriante entourait les constructions. Les maisons de cristal étaient surplombées de vaisseaux transparents aux reflets multicolores. Surplombant les colonnes de basalte, des groupes de Vénusiens se tenaient gracieusement sur des falaises longeant une rivière majestueuse. Un dôme de cristal, également en forme de prisme, servait de lieu de réunion, d’assemblée aux Vénusiens. Une vaste avenue bordée de palmiers majestueux menait au grand hall, un immense amphithéâtre entouré de gradins et de sièges de marbre. Un lac circulaire aux reflets arc-en-ciel y était comme suspendu en l'air, de sorte que l’on pouvait marcher en dessous ! Dans ce " Palais de la Vérité " - c’est le nom que les Vénusiens ont donné à ce grandiose édifice – ils lui ont expliqué comment ils avaient transformé leur planète en un paradis bucolique où règne l’abondance, où le climat est contrôlé, et où les désastres naturels sont exclus, de sorte qu'ils y mènent une vie de paix et de prospérité. L'intérieur des vaisseaux était divisé en différents niveaux. Le niveau inférieur contenait 24 vaisseaux éclaireurs, des véhicules de surface et des équipements. Le second niveau renfermait des jardins, des salles de séjour, des zones de loisirs, des aires d'études, ainsi qu'un hall de réunion. Le plancher était couvert d'une sorte de substance souple, comme du plastique, tandis que les murs étaient ornés de splendides tableaux. Les Vénusiens font pousser des fruits et des légumes frais à l’intérieur de leurs vaisseaux en utilisant l’énergie solaire. Les parois transparentes permettent à leurs occupants d'avoir une vue de l'espace à 360°. L'armée et le secret de l'atterrissage d'un vaisseau vénusien à Oahu. En 1972, il y a eu des centaines de rapports signalant des vaisseaux survolant Hawaï au-dessus de la région de Maui, des atterrissages dans les zones reculées de l'île, ainsi que quelques contacts. Nous avons mis en place un bureau du Département des Affaires

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Interplanétaires à Lahaina pour étudier ces rapports et tenter de contacter ces visiteurs. Notre objectif était d’avoir accès à de l'information avancée afin de résoudre les problèmes mondiaux et de définir des critères permettant à l’humanité d’évoluer dans de meilleures conditions. Plusieurs témoins ont rapporté avoir vu des vaisseaux en forme de soucoupe avec des dômes et des hublots, similaires aux photos d'OVNI supposés être de type vénusien, qui avaient été prises par différentes personnes en Angleterre et en Amérique. Nous avons ainsi acquis la conviction que ces photos figurant dans nos dossiers n'étaient pas truquées. D'autres témoins ont rapporté avoir vu un vaisseau en forme de cigare allongé larguant une soucoupe au-dessus du cratère Haleaka et stationnant ensuite au-dessus d'autres régions d'Hawaï, ce qui corrobore les descriptions qui nous ont été transmises par Omnec Onec. Cette année-là, nous avons reçu certaines informations incroyables du Sergent Willard Wannall, qui a enquêté sur les OVNI dans les années cinquante, alors qu’il servait dans les services de renseignements de l'armée à Oahu. Il affirme avoir eu connaissance du secret officiel OVNI détenu par le gouvernement américain, qui concerne notamment des visiteurs de Vénus. Nous avons rencontré cet homme deux fois et échangé avec lui des informations sur les recherches OVNI et E.T. de l’armée américaine. Il nous a mis en garde, dressé une impressionnante liste d’hommes et de femmes qui ont tous été assassinés ou réduits au silence, d'une manière ou d'une autre, par les autorités militaires, pour avoir trop parlé au sujet de l'activité OVNI secrète. Il nous a semblé passablement dépressif, suite aux harassements répétés de l'armée dont il a été victime. Wannall semblait vraiment hésiter à présenter publiquement les stupéfiants résultats de ses investigations ; il nous a prévenus de faire attention à nous. Wannall a raconté comment, par deux fois, il avait été contacté et emmené à bord d'un vaisseau après qu’il ait atterri dans une zone boisée reculée à Oahu. À la suite de l’un de ces contacts qu'il a détaillés dans un long rapport qui figure parmi mes dossiers, Wannall a établi qu'il avait été emmené à Retz, la cité capitale de Vénus, à des fins d'enseignements. Il a rapporté qu'il avait atterri dans un Centre-Énergie situé sur la surface de la planète dans une structure qui comporte de nombreuses pièces, dont la plupart sont circulaires. Cet édifice constitue, selon lui, la partie centrale d'une métropole lumineuse et chatoyante, composée de bâtiments en forme de dôme disposés en cercles concentriques. L'aspect translucide des bâtiments et l'agréable effet de transparence colorée qui s’en dégage proviendrait d’un procédé d’isolation de l'énergie-lumière, permettant de l’ajuster au taux vibratoire de chaque zone spécifique. Le matériau radiant qui en résulte donne l'impression que le bâtiment est en perpétuel mouvement, bien qu'il soit solide au toucher. Ces bâtiments ne peuvent être " détruits " que par impulsion d’une forme-pensée induisant une modification de la relativité du temps au sein de la fréquence vibratoire qui maintient leur cohésion, ce qui libère leur énergie qui retourne alors se fondre dans l’Océan Cosmique. La plupart des objets sur Vénus sont amenés sur le plan de la manifestation par ce procédé. Wannall a décrit en détail les très belles peintures qui ornent les murs intérieurs. Ce sont principalement des paysages, avec des entrelacements de nuances inconnues sur la Terre et particulièrement lumineuses. Il a constaté une profusion de fleurs merveilleuses aux senteurs particulièrement agréables et dit avoir été particulièrement touché par la beauté des musiques qu’il lui a été donné d’entendre. Les Vénusiens et Vénusiennes qui étaient là portaient des sortes de longues tuniques amples et seyantes ; ils ne semblaient pas très différents des humains de la Terre mais dégageaient par contre une impression agréable d’harmonie. On nous a également montré des photos incroyablement nettes et détaillées d'énormes vaisseaux argentés au-delà de notre atmosphère. Farida Iskiovet, qui enquêtait alors sur les OVNI pour le président de l'Assemblée Générale des Nations unies, m'a dit que l'expérience de Wannall était vraie.

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En 1973 nous avons rencontré le docteur Frank Stranges, directeur du Comité National d’Enquête sur les Objets Volants Non-Identifiés, qui était également un membre de notre Département des Affaires Interplanétaires. Il a rapporté des détails sur la manière dont il avait été contacté au Pentagone en 1959 par un diplomate vénusien, Val Thor, qui avait atterri avec un vaisseau à l'extérieur de Washington pour rencontrer le Président Eisenhower. Ultérieurement, le Dr. Stranges a déclaré qu'il y avait eu plus tard une rencontre avec feu le sénateur Robert Kennedy. Farida Iskiovet était totalement convaincue de la réalité de Val Thor et de ces contacts… Un Vénusien à Maui – Les Xiens. En 1972, le département des Affaires Interplanétaires a reçu un livre rare et aujourd’hui introuvable intitulé " The venusian secret Science " [La Science secrète vénusienne], qui décrivait les sciences cosmiques de Vénus, l'aspect de leur planète, leur système de culture et croyances, leur apparence et habillement, ainsi que leur mission sur notre planète. La plupart de l'information était si différente de tout ce qu'on nous avions jamais lu jusque-là, que cela nous a impressionnés et persuadés qu’il s’agissait de données ufologiques authentiques et étonnamment originales. Plus tard, nous avons comparé cette connaissance avec les informations transmises par Omnec Onec, la femme vénusienne (Cf. notre page : Le Message d’Omnec Onec à l’humanité), ainsi qu'avec le rapport canadien du Project Magnet et les informations du sergent Willard Wannall. Au total, nous avons relevé un grand nombre de similarités mais aucune contradiction ! La méthode de communication interplanétaire implique l'utilisation d'un cristal appelé " Telolith ", une forme de télépathie pour les communications interdimensionnelles nommée télé-pensée, ainsi qu'un symbole vénusien que nous avions brodé sur nos vêtements (Nous l'avons d'ailleurs peint dans nos bureaux et sur le toit de notre voiture). Plusieurs membres de l'agence " Xian International ", qui gère le Département des Affaires Interplanétaires, ont rapporté avoir vu des objets volants qu'ils ont pensé être des vaisseaux ; certains ont même eu des contacts télépathiques. (Note d’ÈRE NOUVELLE : Le mot " Telolith " provient étymologiquement de Telos (nom de la cité intraterrestre cristalline située sous le Mont Shasta en Californie) et de Lithos qui signifie pierre en grec. D’après Aurélia-Louise Jones et Dianne Robbins, co-auteurs du best-seller " Telos " (Éd. Ariane), Telos est en effet le centre des communications télépathiques interdimensionnelles entre Terriens et Vénusiens, basées sur l’utilisation du cristal.) " The venusian secret Science " a été écrit par Michael Barton de Californie. Cet auteur a rapporté que l'information provenait d'un vaisseau vénusien avec lequel il aurait eu un contact dans les années cinquante au milieu des collines derrière Santa-Barbara. Il a décrit le pilote comme étant de grande taille et portant un uniforme d'une pièce unique : « Son visage était celui d'un homme extraordinairement intelligent, rayonnant une force masculine et un air décidé, mais qui exprimait aussi une qualité de paix intérieure, une bienveillance et de la compassion. Le vénusien avait de longs cheveux dorés, des yeux bleu clair qui brillaient comme des bijoux précieux et sa peau était agréablement bronzée. Il reflétait la santé parfaite. La profondeur du regard du Vénusien donnait à Barton l'impression de regarder dans un océan profond et d’y voir l'univers entier. Une belle femme vénusienne est alors sortie du vaisseau. Elle avait de longs cheveux blonds dorés, une belle peau bronzée et des yeux violets qui semblaient projeter des éclats d'or. Sa silhouette était joliment proportionnée et elle portait une ceinture dorée autour de la taille. Ses chaussures étaient d'une matière souple, tressée et dorée. » Ce récit m'a rappelé les anciens hiéroglyphes du Temple du Soleil, à Tiahuanaco (sic) dans les Andes, décrivant comment un vaisseau doré en provenance de Vénus avait atterri là dans des temps reculés. Ces glyphes expliquent comment une belle femme vénusienne, Oréjona, sortit alors du vaisseau et enseigna aux anciens les bases de l'agriculture ainsi que le savoir-faire pour démarrer une civilisation.

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Selon les écrits laissés par les Babyloniens, les Sumériens, les Égyptiens, les Phéniciens, les Chaldéens, les Mayas, les Aztèques, les Ariens, les Assyriens, tout comme les habitants de l'ancienne Inde et du Tibet, les Vénusiens sont venus sur Terre dans les temps anciens pour enseigner aux humains l'agriculture, le tissage, l'exploitation minière, l'architecture et bien d'autres activités encore. Pourquoi ne croirions-nous pas en ces anciens textes ? Barton a rapporté que les Vénusiens qu'il a rencontrés portaient tous le même symbole sur leurs combinaisons spatiales, le symbole des communications interplanétaires que les Xiens utilisent maintenant pour essayer de contacter les êtres de l'espace. J'ai décidé à mon tour de faire imprimer ce symbole sur un tee-shirt et d'utiliser les cristaux Telolith ainsi que la télépathie télé-pensée pour tenter d'entrer en contact avec les Vénusiens. Au début j'étais très sceptique. Cependant, très rapidement, j'ai commencé à voir des OVNI que je n'ai pas pu identifier. Un matin de bonne heure à Lahaina, après une nuit presque blanche passée à lire " The venusian secret Science ", et alors que j'étais assis seul sur un banc au bord de la mer, un mystérieux étranger s'est approché lentement et s'est assis juste à côté de moi. Il est resté assis durant plusieurs minutes sans mot dire. J'ai commencé à me sentir un peu mal à l'aise, puis je me suis tourné pour le regarder. Il avait des cheveux blonds mi-longs avec une peau dorée, des yeux bleu clair profonds et il était exceptionnellement beau. Je lui ai dit « Bonjour » ; il a souri et m'a salué. Je lui ai demandé d'où il était et il a parlé de quelque chose à propos d’un voyage qu’il avait effectué récemment dans les Montagnes Rocheuses où il m’a expliqué avoir séjourné au " Temple Blanc de la Grande Fraternité Blanche ". Cette déclaration m'a surpris, parce que cela est supposé être le siège du Gouvernement spirituel cosmique de notre planète, qui est constitué de Maîtres cosmiques et qui agit dans les coulisses pour aider et guider notre destin en tant que race sur Terre. J'ai commencé à me demander si je n’étais pas en présence d’un grand Maître spirituel. Comme s’il avait capté mes pensées, il a souri et m’a dit que non. Il a cependant déclaré avoir été envoyé à Maui par les Maîtres du Temple Blanc, en mission pour se renseigner au sujet des Xiens et nous offrir la possibilité d'une guidance. Les Xiens sont un groupement international de personnes qui se considèrent avant tout comme des Terriens, des citoyens de la planète Terre. Ils estiment appartenir à la Terre avant d’appartenir à un pays quel qu’il soit. Les Xiens pensent que notre humanité devrait idéalement former une seule nation en paix au lieu de ces multitudes de nations, de religions, de systèmes politiques en conflits et en combats perpétuels les uns avec les autres. En 1972, les Xiens s’étaient installés à Maui, pensant y préparer l’avènement d’une nouvelle civilisation destinée à unir les hommes et les femmes du monde entier. Le Département des Affaires Interplanétaires était l'un des 14 départements de la Conférence Planétaire Xien et notre mission était de chercher à savoir s'il était possible de contacter des civilisations supérieures d'autres planètes, des civilisations qui auraient résolu elles-mêmes sur leurs propres planètes tous les problèmes que nous connaissons actuellement sur la Terre et qui pourraient nous offrir des conseils, des technologies ainsi que des supports d’évolution. Dans les années 70, au moins une douzaine de membres de ce département avaient rapporté qu'ils avaient eu des contacts physiques avec des extraterrestres et reçu différents conseils de leur part. Bien que j’en sois le directeur, je n'avais jusqu’alors pas été contacté. Mais j'étais habitué à recevoir des journalistes et des personnalités qui venaient régulièrement me questionner à propos des Xiens, des OVNI et du Département des Affaires Interplanétaires. L’étranger m'a alors demandé de lui expliquer ce que sont les Xiens. Je lui ai dit que nous étions des citoyens de la planète Terre, que nous tentions de nous accorder pour vivre ensemble une vie de paix et de fraternité mondiale en tant que citoyens planétaires. J'ai ajouté que cela m'intéressait de recruter de nouveaux Xiens et je lui ai demandé s'il était intéressé de devenir lui-même un Xien. Il a souri à cette question et a répliqué : « Et si je venais d'une autre planète ? » Cette réponse m'a ébranlé. Je suis resté silencieux le temps de rassembler mes pensées et de retrouver mon calme. Puis je lui ai demandé s'il était vraiment d'une autre planète

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et il m’a répondu que oui. Je lui ai ensuite demandé si cela ne le dérangeait pas de me dire de quelle planète il venait et il a m’a répondu : « de Vénus. » Je l'ai regardé attentivement et j'ai remarqué qu'il avait exactement l'apparence physique des Vénusiens décrits par Michael Barton, par le Project Magnet du gouvernement canadien, ainsi que par les témoignages des douzaines d'autres contactés que j'avais lus ! Il m'a dit qu'il était l'un des nombreux Vénusiens déguisés en humains et agissant incognito en mission sur notre planète. Il a ajouté que sa mission était de se renseigner sur notre Département des Affaires Interplanétaires. Il m'a donné son nom après que j'aie promis de ne le révéler ni de dévoiler son existence à qui que ce soit sans sa permission. J'ai décidé de le questionner sur sa connaissance de Vénus. Je l'ai interrogé sur des questions insolites et précises dont j’avais été informé en lisant " The venusian secret Science ", un livre - je le répète - extrêmement rare. Il a donné des réponses absolument parfaites à toutes mes questions. Cela m'a étonné ! Ces informations détaillées ne se trouvaient tout simplement pas dans quoi que ce soit d'autre que j'aie jamais lu ou vu. Il m’a aussi expliqué de manière circonstanciée les secrets de la propulsion des vaisseaux interplanétaires et des vaisseaux éclaireurs. Son récit corroborait les détails que nous avions obtenus grâce au Project Magnet et à d'autres sources. Il était réellement fascinant… Il m’a indiqué qu’il utilisait le pseudonyme de Rich Evers. Je l'ai présenté aux autres dans notre département et tous ont rapidement acquis la conviction qu'il était bel et bien un Vénusien. On l'a emmené à un congrès sur les OVNI à Lahaina. Durant cette réunion, plusieurs OVNI ont survolé Lahaina. À la suite de ce meeting, de nombreuses personnes ont témoigné devant des journalistes qu'ils avaient vu des " vaisseaux ". Mon propre père faisait partie de ces témoins. Un diplomate de l'Assemblée générale des Nations Unies, Adam Malik, qui étudiait les OVNI pour le compte du président des Nations Unies, est arrivé à Maui et a voulu rencontrer ce Vénusien. J'ai personnellement arrangé un entretien privé dans une maison particulière de Napili où vivait auparavant Maureen Maharry (elle était autrefois ma secrétaire pour les Affaires Interplanétaires, avant d’être assassinée à Kauai par un agent de la CIA). Les personnes présentes à cette réunion ont observé par la fenêtre un OVNI brillant qui virevoltait… Selon Michael Barton, qui affirme avoir été contacté par des Vénusiens dans les années cinquante, la capitale vénusienne a été conçue suivant un modèle cosmique unique qui permet aussi bien aux planètes de tourner autour des soleils qu’aux molécules de s’articuler autour des atomes et aux électrons de vibrer autour des noyaux. Le noyau central est formé de trois ensembles circulaires constitués de dômes de matière cristalline. À partir de ce noyau, huit grandes voies mènent à huit grandes cités. Chacune de ces cités possède quatre voies rayonnant à leur tour vers quatre autres cités et chacune de ces dernières est elle-même le centre d’une structure géométrique de rayons concentriques menant à d’autres cités. Cette structure continue et s’étend jusqu’aux confins de la planète. Entre les cités se trouvent de grandes forêts, des rivières et des montagnes. Les vallées abritent une végétation luxuriante et toutes les couleurs y sont vives. Ici et là s'élèvent des maisons en forme de dômes faites d'un cristal translucide. Les océans vénusiens sont similaires à ceux de la Terre, mais plus petits, plus profonds et de plus belle couleur. Les véhicules se déplacent sur de grands axes. Ils sont complètement silencieux et tirent leur puissance de l'énergie solaire. Les voitures solaires sont entourées d'un champ de force électromagnétique qui protège les passagers des collisions, quelle que soit la vitesse. L'atmosphère de Vénus est beaucoup plus chargée en électricité que celle de la Terre. La luminosité y est similaire à celle de nos aurores polaires et produit en permanence les couleurs de l'arc-en-ciel (il est à noter qu'un tableau représentant le

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village vénusien de Teutonia réalisé par Omnec Onec montre également un ciel aux couleurs d'arc-en-ciel). La criminalité n'existe pas sur Vénus. Elle est inconcevable pour une race aussi évoluée. Il n'y a pas non plus d'hôpitaux puisque les Vénusiens sont tous en parfaite santé. Les gens passent la plupart de leur temps à l'extérieur et se nourrissent uniquement de fruits et de légumes frais. Les informations que j'ai reçues personnellement en 1973 de Michael Barton sont, à cet égard, en complète harmonie avec les rapports du sergent Willard Wannall et les révélations d'Omnec Onec, ainsi qu'avec les conclusions du Projet Magnet du gouvernement canadien. Omnec Onec a décrit du sable doré sur les plages vénusiennes, des montagnes pourpres et des jardins d'Eden paradisiaques occupant une bonne partie du paysage. D'autres ont décrit des eaux aux couleurs de l'arc-en-ciel et une mer ayant l'apparence de milliards de diamants scintillants... Bon nombre de ces effets de paysage ont été créés par les Vénusiens eux-mêmes grâce à leur science cosmique supérieure ainsi qu'à leur psychisme et leur mental incroyables. Il semble qu’une bonne partie de ce qui est sur la surface de Vénus, vibre légèrement au-delà des longueurs d’ondes accessibles à la vision humaine, sur une bande de fréquences interdimensionnelle imperceptible à la majorité des habitants de la Terre. »

Extraits du livre de José Frendelvel « L’Or des Étoiles » Adaptation : ÈRE NOUVELLE - Février 2006

Les crop circles (cercles de récolte) : signature extraterrestre ?

Les crop circles ou agroglyphes sont des formations généralement circulaires qui apparaissent au beau milieu des champs de blé, de colza, d’avoine ou de seigle. Ces traces ont fait l’objet depuis plusieurs années de diverses études scientifiques et les supputations vont bon train quant à l’origine et au mode de leur formation. Il est vrai que lorsque l’on examine la plupart de ces agroglyphes, on est véritablement saisi face à la perfection du dessin voire même la complexité de celui-ci. Certains d’entre eux semblent même être porteurs de messages très importants pour l’Humanité comme nous le verrons plus loin avec le crop circle de Chibolton. Il est en tous cas un fait certain, ces agroglyphes sont réalisés avec une intelligence manifeste et sans doute au vu des dernières conclusions, d’origine extraterrestre ! Devant la formation d’un crop circle on est stupéfait de constater que les tiges des plantes sont couchées ou tordues mais jamais arrachées ou abîmées. Elles continuent d’autre part à pousser horizontalement, ne se redressent pas. Parfois même, les plantes sont tressées entre elles. De toute façon, le bord de la figure est toujours délimité de façon extrêmement nette…

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Histoire des crop circles. Le premier cercle serait apparu à Assen, en Hollande en 1590. Plusieurs documents attestent aussi l’existence de ces manifestations en Angleterre au XVIIe siècle. Mais c’est véritablement au XXe siècle que le phénomène s’est amplifié et il est devenu plus complexe au fil du temps. Dans les années 1980, les formations apparurent non loin des sites mégalithiques d’Avebury et Stonehenge (qui avaient déjà connu dans les années 7O une recrudescence d’observations d’ovnis). Le phénomène s’étendit dès lors au Pays de Galles, dans le Norfolk et en Ecosse. Il gagna les USA, le Canada, le Mexique, le Brésil, l’Australie, l’Afrique du Sud, le Japon, l’Europe avec la Suisse, la Belgique et la France l’année dernière encore. Les années 1990 ont vu la complexification de ces formations avec apparition de figures géométriques élaborées, symboles alchimiques, kabbalistiques, celtiques, astronomiques et mathématiques. Effets physiques et chimiques. D’après les témoignages des personnes qui se sont rendues sur les lieux de formation, il semble que des effets physiques divers aient été constatés à de nombreuses reprises et notamment ceux-ci : les animaux face à ces agroglyphes, refusent d’y pénétrer et sont effrayés. Certaines personnes y souffrent de malaises importants et d’autres s’y sentent très bien (NDLR : cela serait-il dû aux vibrations que dégagent les agroglyphes ?). Les boussoles se dérèglent et les caméras et autres appareils sophistiqués connaissent des pannes inexpliquées. Avant la découverte de ces formations c’est-à-dire la nuit précédant celle-ci, on entend sur les lieux des sons étranges, de forts vrombissements et des boules lumineuses ont été vues survolant l’endroit. Au niveau botanique, les plantes et les graines subissent des modifications cellulaires (augmentation du volume du nœud des tiges). D’après W. Levengood, biophysicien américain et Ken Larsen, biologiste anglais, le taux de radioactivité du sol subit également des changements. De nombreux témoignages de toutes sortes ont été enregistrés. En voici un qui me semble très intéressant. Jugez plutôt : « Nous vîmes bouger les épis à notre droite … Le champ était nimbé de brume. Nous entendîmes un son aigu, puis un vent fort se leva. Il était tellement violent que nous avions du mal à rester debout, mais les cheveux de mon mari étaient dressés sur sa tête…Quand le tourbillon disparut, nous étions au milieu d’un cercle de blé aplati … Le calme revenu, nous nous retrouvâmes avec une sensation de picotement… » (M et Mme Tomlinson, les témoins d’une formation de crop circle à Hambledon en Angleterre en août 1991). Symbolisme et géométrie. On remarque que les agroglyphes donnent souvent le reflet de symboles utilisés par de nombreuses cultures sur la planète entière (Tibet, Chine, Egypte, Mexique…). Il existe aussi des cercles reproduisant des descriptions de notre système solaire. Les thèmes des dessins sont variés : cercles isolés, concentriques, entrelacés ; représentations de systèmes planétaires ; formes dérivées de formes géométriques (carrés, cubes, étoiles,…) ; systèmes géométriques complexes en forme de spirale ; formes géométriques figuratives fractales, plans d’architecture. Il est à remarquer que les bords des dessins sont francs et réguliers et l’alignement des épis parallèles est optimal … Difficile à réaliser par une intervention humaine… ! (NDLR : ces crop circles se différencient nettement des " canulars " montés de toutes pièces que l’on a pu observer parfois dans les champs. Mais là, le graphisme laisse beaucoup à désirer…).

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Un crop circle de légende : Chibolton. En août 2001 est apparu à Chibolton un crop circle qui a laissé pantoise une grande partie de la communauté scientifique mondiale. En effet, deux rectangles se formèrent qui laissèrent deviner pour le premier le visage d’un humanoïde et pour le deuxième, six jours plus tard, un message codé. Il apparut clairement que le second agroglyphe se référait au fameux message SETI (Search for Extra Terrestrial Intelligence) envoyé par le radiotélescope d’Arecibo (Porto Rico) le 16 décembre 1974 en vue de contacter des éventuels extraterrestres. Le crop de Chibolton semblait bel et bien être une réponse à ce message.

Le message initial était formé de 1679 octets, répartis en 73 lignes de 23 caractères. Il décrivait notamment : la base décimale, les éléments formant notre ADN et les bases fondamentales le composant, la taille de l’homme moyen et son image stylisée, le nombre total d’habitants sur la terre, la composition du système solaire, etc, bref, la carte d’identité des terriens.

Le crop circle apparu à Chibolton répond point par point à ce message et à son tour décrit (de façon très pertinente) les extraterrestres qui l’envoient… (Marie-Hélène DOURTE pour le magazine Fleurs de la Nouvelle terre, n°5, décembre 2004, pp.4-5). Ils ont dit : « Le phénomène OVNI existe bien, et doit être traité sérieusement. » (Mikhaïl GORBATCHEV) « Nous savons tous que les OVNI sont réels. La seule question que nous devons nous poser est de trouver d’où ils viennent. » (Capitaine Edgard D. MITCHELL, astronaute sur Apollo 14)

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« Je puis vous assurer que les soucoupes volantes, étant donné qu’elles existent, ne sont pas construites par une puissance terrestre. » (Président Harry S. TRUMAN) « … Tous les vols d’Apollo et de Gemini ont été suivis, à distance et parfois également de très près, par des véhicules spatiaux d’origine extraterrestre, soucoupes volantes ou OVNI, si vous voulez les appeler comme cela. Chaque fois que cela s’est produit, les astronautes ont informé les contrôleurs de la mission, qui a alors imposé le silence absolu. » (Maurice CHATELAIN, ancien chef des systèmes de communication à la NASA) « A aucun moment lorsque les astronautes étaient dans l’espace, ils n’étaient seuls : il y avait une surveillance constante par des OVNI. » (Scott CARPENTER, astronaute à la NASA) « Les gouvernements nous cachent-ils des choses importantes concernant le dossier OVNI ? La réponse est oui. Certains gouvernements ont-ils l’intime conviction que les OVNI sont des machines d’origine extraterrestre ? Même réponse. Les Américains ont-ils récupéré des épaves d’OVNI à la fin des années quarante ? Réponse positive. Il s’agissait d’une navette hypersonique. Des recherches ultra secrètes ont-elles été engagées dans certains pays, directement liées au dossier OVNI ? Oui, aux USA et en (ex)-URSS. Les Russes ont dû abandonner faute de moyens. » (Jean-Pierre PETIT, directeur de recherches au CNRS). « Qui serait assez téméraire pour affirmer que nous connaissons et percevons toutes les forces, toutes les ondes et tous les moyens de communications ? » (Hubert REEVES)

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Les yeux sont aveugles. Il faut chercher avec le cœur.

Antoine de SAINT-EXUPERY

Chapitre X : Nos contacts avec les autres dimensions Introduction. Nous avons vu dans les chapitres précédents que la dimension dans laquelle nous existons et évoluons avec notre corps physique, notre corps de chair, n'est qu'une parmi d'autres. Bien que présentant un caractère que nous qualifierons de subtil par rapport à la nôtre, ces différentes dimensions n'en sont pas moins accessibles pour nous humains. Dans ce dixième chapitre, nous allons tout particulièrement nous intéresser d'une part aux moyens dont nous disposons pour établir le contact avec ces dimensions invisibles à nos yeux charnels, et d'autre part aux précieuses informations qui nous sont transmises durant ces " communications ". Nous constaterons également que chacun d'entre nous peut, d'une manière ou d'une autre, au cours d'une expérience aux frontières de la mort (EFM), lors d'une sortie du corps ou d'un contact avec les trépassés, entrer en communication avec les dimensions subtiles. La communication avec le monde de l'invisible, avec les anges et même avec Dieu est bien possible durant notre vie terrestre via le lobe temporal droit de notre cerveau. Les scientifiques, n'utilisent, bien sûr, pas le mot " Dieu ", mais celui de " conscience supralumineuse " ou " système d'information universel ". Le cerveau humain. Dans son excellent ouvrage intitulé " La Divine Connexion " (Voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage), le docteur Melvin Morse, pédiatre-urgentiste et professeur associé de Pédiatrie à l'Université de Washington, nous explique, entre autres, que nous possédons tous, dans le lobe temporal droit de notre cerveau un circuit biologique spécialement conçu pour converser avec Dieu. Les recherches en neurologie ont permis de comprendre que chacun des lobes du cerveau humain, qui est loin, très loin même d'avoir révélé tous ses secrets, possède ses propres fonctionnalités. Ainsi, alors que le lobe gauche est le cerveau de la logique et du rationalisme, l'hémisphère droit est-il le siège de la musique, des couleurs, de la reconnaissance des visages, de la créativité et de l'intuition. La recherche a permis de démontrer que les tout petits enfants, plus intuitifs et plus créatifs, utilisent leur cerveau droit bien plus qu'ils ne le feront par la suite, détournés en cela par une éducation malheureusement bien trop rationnelle et scientifique, laquelle persuade ces futurs adultes que ce qui ne peut pas être démontré et vérifié par expérience renouvelable n'existe pas. Grave erreur, qui nous conduit le plus souvent à ignorer purement et simplement un outil d'une puissance inimaginable qui nous permettrait, si nous l'utilisions à sa pleine mesure de dépasser les problèmes générés par la vision cartésienne de notre environnement, vision il faut bien l'admettre, complètement dépassée à l'heure actuelle.

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L'étude des expériences aux frontières de la mort. Les études sérieuses et minutieuses qui sont menées sur des personnes rescapées de la mort, qui ont donc vécu une expérience de mort imminente, montrent clairement que l'être humain ne se réduit pas à un corps de chair. Comme nous l'avons déjà abordé au chapitre II de cet ouvrage, le corps de chair est entouré d’un corps astral qui est en réalité son âme. L'homme est un corps dans une âme et non pas une âme dans un corps ! L'âme est le siège de notre pensée et de notre conscience. La science qui étudie les expériences aux frontières de la mort met en évidence les possibilités que nous avons tous d'entrer en contact avec les morts, de découvrir le monde de l'invisible, et surtout la potentialité de survivre à la mort. Comme nous l'avons déjà évoqué à maintes reprises dans cet ouvrage, en citant notamment de nombreux témoignages à ce sujet, il est parfaitement possible de quitter temporairement notre enveloppe charnelle pour avoir alors accès à une autre dimension toute aussi réelle, voire plus que la nôtre. Les petits enfants, qui ont vécu une expérience aux frontières de la mort, nous dit le Docteur Morse « dépeignent souvent un état d'esprit qui leur donne le sentiment de tout connaître, de tout savoir, y compris des événements futurs. Souvent, ils reviennent " de l'autre côté " en annonçant des faits qui effectivement, et contre toute attente, se réalisent. » (Extrait de la préface du livre du Dr. Melvin Morse, La Divine connexion, p. 18, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). Les annales akashiques. Les études des spécialistes de la mémoire permettent au docteur Morse de formuler avec ces chercheurs la thèse que notre cerveau n'est peut-être pas le siège de notre mémoire, mais que celle-ci se trouverait à l'extérieur de notre corps physique, dans une autre dimension. Nous avons vu que tout est vibration, c'est-à-dire énergie. Nos pensées et nos actes émettent des vibrations qui ne disparaissent pas dans le néant, mais sont stockées dans une immense banque de données universelles dans laquelle notre cerveau, par l'intermédiaire de son lobe temporal droit va puiser directement ses souvenirs ; la tradition de l'Inde a baptisé cette banque de données " les annales akashiques ". Le chronoviseur, une visionneuse du passé. Chronoviseur. Ce mot désigne-t-il l'une des inventions les plus révolutionnaires qui ait pu germer dans l'esprit humain. Si l'on en croit certains, le chronoviseur est un appareil extraordinaire mis au point par un moine, un bénédictin de l'abbaye de San Giorgio Maggiore de Venise, le Père Pellegrino Ernetti, assisté par des savants dont l'un d'eux était prix Nobel. Sans entrer, une fois de plus, dans des considérations scientifiques et techniques extrêmement complexes, nous pouvons qualifier l'appareil fabriqué par l'équipe du Père Ernetti comme étant un moyen de capter les événements du passé, quels que soient la date et l'endroit où ceux-ci ont eu lieu. L'appareil aurait permis de capter enter autres, Mussolini en train de formuler un discours, le pape Pie XII prononçant un exposé, puis un peu plus loin dans le temps, Napoléon Bonaparte. Le chronoviseur permit ensuite à ses inventeurs, en remontant toujours plus loin dans le passé, de contempler, dans l'Antiquité romaine, une scène du marché aux fruits et aux légumes de Trajan, d'assister à la première " catilinaire " l'un des discours les plus célèbres de Cicéron, et d'être les spectateurs d'une petite pièce nommée " Thyeste " écrite par Quintus Ennius, l'un des premiers grands poètes de langue latine et jouée à Romme en 169 avant Jésus-Christ. L'équipe de chercheurs a aussi réglé l'appareil sur la vie du Christ et aurait assisté aux scènes douloureuses de la Passion. On imagine aisément les applications incroyables offertes par une telle invention.

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Pouvoir vivre en direct un événement qui a eu lieu plusieurs heures, jours mois ou années auparavant, en pouvant l'apprécier tel qu'il s'est vraiment déroulé et non plus en lisant des témoignages plus ou moins exacts de personnes qui étaient présentes, ouvre des perspectives inconnues jusqu'alors. Que dire de l'élucidation des crimes et de bien d'autres choses… Un appareil tel que le chronoviseur représente une avancée technologique exceptionnelle du point de vue des possibilités offertes, et en même temps terriblement dangereuse pour une humanité qui patauge toujours dans ses incertitudes. Est-ce pour cela que certaines autorités, parfaitement au courant de ces recherches et de leur aboutissement, ont tout mis en œuvre pour faire disparaître le chronoviseur qui aurait été démonté, ses différentes parties dispersées à travers le monde, ses plans étant placés en lieu sûr, et ont imposé un silence absolu sur son existence. Peut-être. En attendant, à l'heure actuelle, on ne peut que se perdre en conjectures devant une invention dont personne ne connaît, ou ne veut connaître tous les tenants et les aboutissants. Nous invitons le lecteur intéressé à parcourir l'un des plus récents ouvrages sur le sujet : (François BRUNE, Le chronoviseur, Machine à explorer le passé, voir fiche bibliographique en fin d'ouvrage). Les morts nous font signe parfois : soyons attentifs ! Introduction. Bien sûr, nous ne sommes pas tous médiums bien que nous en ayons tous la capacité. Il n’est cependant pas nécessaire d’être clairvoyant ou clairaudient* pour recevoir et percevoir les signes que nous font parfois les personnes décédées. Celles-ci, lorsqu’elles en ont l’autorisation, peuvent se manifester à nous de plusieurs façons. Nous reprendrons ici la liste qu’élabore James Van Praagh dans son livre " Dialogues avec l’au-delà " (voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage) car elle nous semble assez complète. Les morts utilisent donc des éléments de notre vie quotidienne pour se manifester et par exemple : - Ils peuvent utiliser l’éclairage domestique en diminuant l’intensité d’une ampoule par

exemple. D’autres fois ils peuvent faire un signe en faisant " griller " une ampoule neuve.

- Les appareils de télévision sont souvent utilisés. Les décédés brouillent les images. Parfois ils apparaissent sur l’écran ou alors c’est le poste TV qui s’allume spontanément ou il s’éteint sans raison particulière juste au moment où l’on était en train de penser à nos êtres chers. Ceci nous fait d’ailleurs penser aux différentes manifestations de notre frère et beau-frère après sa mort. Lors de notre séance chez le médium, le mardi 18 mars 2003, dans son message oral, Etienne nous avait dit qu’il se manifesterait à nous. Il nous demandait en quelque sorte d’être attentifs à ce qui pourrait se passer " d’anormal ". Deux semaines après ce contact, Vincent regardait le JT sur une chaîne française. A 13h15 exactement, ce mardi, le poste s’est brouillé. Zappant sur d’autres chaînes, Vincent s’est aperçu qu’elles fonctionnaient correctement et lorsqu’il est revenu aussitôt sur la chaîne française, celle-ci fonctionnait à nouveau. Intuitivement, il a tout de suite fait le rapprochement. Mardi … 13h15 pile … c’était le second signe d’ Etienne (nous parlerons ci-après du premier signe).

- Les postes de radio : il se peut que la radio se mette en route toute seule à une heure déterminée, souvent importante ou revêtant une signification spéciale pour la personne décédée. Ou alors le poste de radio s’allume alors que passe une chanson " importante " pour la personne décédée.

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- Les horloges : on a déjà vu des horloges s’arrêter au moment précis de la mort d’un être cher. En ce qui nous concerne, nous dirions que c’est plutôt l’inverse : il s’agit d’une horloge se remettant à fonctionner.

Après notre visite chez le médium et le contact avec Etienne, celui-ci nous avait donc annoncé qu’il se manifesterait. Exactement 24 heures après la séance, une vieille horloge de cuisine reléguée dans l’abri de jardin (cette horloge avait appartenu à maman et Etienne) et dont la pile était complètement plate (ayant subi deux hivers avec le gel, l’humidité etc…) s’est remise en route. Elle a admirablement fonctionné encore pendant 20 mois. Avec une pile plate, il faut le faire ! Il va s’en dire que nous l’avions re-nettoyée complètement et accrochée au mur de mon bureau.

Elle n’a pendant ce temps pris aucune minute d’avance ou de retard et son tic-tac était franc et régulier. Quel magnifique signe dont nous remercions encore aujourd’hui Etienne.

- Les téléphones et répondeurs : il a déjà été rapporté que des personnes ont reçu un appel téléphonique d’une personne décédée. Dans ce cas, le message est souvent court mais la voix du disparu est reconnaissable. De même on a rapporté aussi le cas de messages enregistrés sur répondeur.

- Les appareils électriques : c’est ici une façon courante pour les décédés de se manifester à nous. Soudain, un appareil électrique se met en route, sans qu’on y ait touché… - Les ordinateurs : certains esprits ayant eu un intérêt particulier pour

l’informatique vont choisir ce mode de communication avec les vivants. Ils peuvent apparaître sur l’écran ou imprimer un message, etc. Ce type de manifestation nous est personnellement arrivé quelques mois après la mort de mon frère. Un après-midi, j’étais assise à mon bureau devant l’ordinateur lorsque celui-ci s’est soudain mis à " disjoncter ". En effet, l’écran laissait défiler et se superposer des tas de " fenêtres " et l’ordinateur produisait un bruit ressemblant à une sonnerie. Des dizaines de messages se présentaient à une allure vertigineuse. Bref, j’ai cru un instant que l’engin allait exploser tant ce remue-ménage était impressionnant et franchement inhabituel. Je fis appel à Vincent qui accourut et constata ce que je vous raconte. C’était hallucinant ce défilement de fenêtres et cette sonnerie. Soudain, l’écran est devenu noir, la sonnerie a cessé, et sont apparues deux lettres " M A " suivies d’un petit cœur blanc. Nous nous sommes regardés devinant tout de suite qu’il s’agissait d’une tentative de communication émanant d’Etienne. Mais que signifiaient ces lettres ? Tout simplement M (arie) A (ntoinette), c’était le prénom de maman à qui Etienne semblait communiquer un petit message d’amour. Ce qui était surtout surprenant, c’est ce petit cœur que l’on trouve après quelques manipulations dans les caractères spéciaux de l’ordinateur. Nous avons alors éteint la machine pour la rallumer aussitôt et là … L’ordinateur après s’être de nouveau emballé a à nouveau affiché un écran noir sur lequel figurait le même petit message. Quelle ne fut pas la joie de maman d’entendre notre récit de ce contact. Plusieurs fois par la suite, alors que je travaillais sur l’ordinateur, l’imprimante se mettait en route toute seule et m’imprimait … un petit cœur ! Nous apprîmes plus tard par Etienne lui-même, lors d’une consultation chez un médium, que c’était bien lui qui avait provoqué ces manifestations.

- Les odeurs : c’est un signe très répandu. Nombre de personnes racontent avoir perçu le parfum d’une personne décédée après sa mort. Parfois, c’est une odeur de roses ou un autre parfum de fleurs. Le Padre Pio dont il a été question dans un chapitre précédent se manifeste encore très souvent par une odeur de violettes et de roses… Vincent, qui recevait de temps à autre, par écriture intuitive des messages de Lina, la fille de Cathy Muller (Passerelle vers l’au-delà, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage) a eu plus d’une fois l’occasion de sentir un superbe parfum juste en dessous de son nez. C’était la petite Lina qui se manifestait à lui.

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Et encore d’autres manifestations. Jean Riotte (Ces voix venues de l’au-delà) a eu la surprise très tôt d’une manifestation de son fils. Pascal Riotte est décédé en 1988. Il était pilote de chasse et mourut dans un accident d’avion le 7 juin 1988. Le lendemain des obsèques, Jean (son papa) était assis dans son salon. Il eut une vision très nette pendant quelques secondes. Sur la vitrine d’un meuble situé en face de lui apparut une image en couleur, une photo représentant Pascal. Cette représentation montrait cependant Pascal " dans une pose grave et le regard insistant ". De plus il semblait plus jeune que lors de son décès. Ceci interloqua quelque peu Jean Riotte. Sa surprise fut alors immense lorsque quelques semaines plus tard, un de ses amis, s’étant procuré les journaux relatant le crash d’avion, lui présenta une photo absolument identique à sa vision du 11 juin.

Monique Simonet (Images et messages de l’au-delà) raconte également que quatre jours après son départ, son petit-fils Axel lui fit un " cadeau exceptionnel " de même qu’à la maman de Monique. Les deux femmes s’apprêtant à aller dormir, il est 22h 30, entendent soudain une musique magnifique (" ressemblant au requiem de Fauré ") alors que tous les appareils radio et TV sont fermés dans la maison. Ce fait est inexplicable car la maison est isolée, sans voisins et les portes et les fenêtres sont closes et de toute façon la musique semble baigner la pièce où elles se trouvent. Aussitôt les deux femmes pensent à un signe d’Axel. Le lendemain matin, Monique tente un contact de transcommunication instrumentale et obtient une courte phrase bien prononcée et émanant d’un enfant : « Je n’ai plus mal ». Elle reconnaît Axel… Les matérialisations. Se montrer aux proches restés sur terre est également possible. Ceci se fait apparemment dans certaines conditions et en tous cas avec l’autorisation des guides de l’au-delà. Mon oncle nous raconta un jour l’histoire suivante : c’était la nuit, il somnolait quand soudain il entendit une petite voix lui dire d’ouvrir les yeux et de regarder dans le coin de la chambre. Il ouvrit donc les yeux et vit effectivement dans le coin de la chambre … son beau-fils qui souriait en le regardant. L’apparition resta muette. Mon oncle ne vit que le buste de son beau-fils. Monique Simonet dans son livre " Images et messages de l’au-delà " raconte une histoire semblable qui est arrivée à sa fille. Alors que celle-ci, se rendant au cimetière, s’était arrêtée pour acheter des fleurs, elle se figea subitement car là à quelques pas, Axel, son

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petit garçon décédé venait de se matérialiser pendant quelques secondes. Il était vêtu de blanc, il souriait. Là aussi, sa maman ne vit que le haut de son corps. Les petits enfants : de bons médiums. Il semble que les jeunes enfants ont cette faculté de voir des êtres désincarnés que nous, adultes, ne discernons même pas … nous serions tentés de dire « que nous ne discernons plus ». A ce sujet, Monique Simonet (Images et messages de l’au-delà) raconte cette très belle histoire dont elle a été témoin peu de temps après la mort de son petit-fils Axel. C’était le 2 janvier 1984, soit deux semaines après le décès d’Axel. Son frère Frédéric fête son anniversaire en compagnie de la famille. Le temps est assez doux pour cette période de l’année et tout le monde est sur le pas de la porte lorsque la petite sœur d’Axel (3 ans) s’écrie joyeusement : « Maman, Néné est là ! » (Néné, vous l’avez compris, c’est Axel). Elle montre du doigt un endroit dans la cour et s’y précipite en disant : « Je vais lui faire un mimi » (l’embrasser). C’est alors que toute la famille voit cette petite fille tendant ses bras qui paraissent réellement toucher quelqu’un. Elle retourne ensuite vers sa maman, contente d’avoir " vu " son grand frère. Cette histoire me fait également penser à la fille de notre cousine, qui, hospitalisée pour des problèmes bénins, refusa de réintégrer son lit affirmant qu’un vieux monsieur se trouvait dedans… Il existe de nombreuses histoires racontant le même phénomène. On pourrait se demander pourquoi les enfants possèdent apparemment ce don de voir les personnes décédées, don qui disparaît souvent lorsqu’ils grandissent. Ils semblent en tous cas bien plus proches des autres dimensions que nous et ils n’ont surtout pas d’a priori comme nous et voient " tout " avec un cœur pur, un cœur d’enfant. C’est le cas de le dire ! Manifestations des autres dimensions. Parmi ces manifestations on peut citer les apparitions de la Vierge Marie mais aussi du Christ et d’autres grands maîtres de sagesse. On peut également parler des apparitions de vaisseaux et d’êtres extraterrestres habituellement invisibles. Depuis peu un étrange phénomène survient un peu partout dans le monde : ce sont " les cercles de lumière ".

« Les crop circles (cercles de cultures), ont continué en 2004 à se matérialiser en grand nombre dans le sud de l’Angleterre et dans de nombreuses régions du monde, mais on assiste depuis quelques mois à la multiplication d’apparitions plus étranges encore : les

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cercles de lumière. À la différence des crop circles, qui s’observent dans les champs de céréales au printemps et en été, les cercles de lumière apparaissent principalement dans les villes et les villages sur les murs extérieurs des bâtiments, mais ils peuvent également se matérialiser sur le sol, sur les voitures et même sur les vêtements, et ce, quelle que soit la saison, parfois même en pleine nuit ! C’est en 1997 que le phénomène des cercles de lumière a pu être observé pour la première fois dans une ville du Vermont, puis dans d’autres localités du nord-est des États-Unis. Mais aujourd’hui, ces cercles apparaissent dans le monde entier. On en a signalé la présence en France, en Allemagne, en Suisse, en Grande-Bretagne, en Slovénie, en Australie, au Japon, etc. Dans la plupart des cas, ils apparaissent lorsqu'il y a du soleil et que les rayons de lumière arrivent sous un certain angle, leur permettant d'atteindre une ou plusieurs fenêtres et de se refléter sur le mur d'une maison voisine. Il ne s’agit cependant pas d’un simple phénomène de réflexion et de diffraction lumineuses. Ces manifestations semblent au contraire défier toutes les lois de la physique. Car la plupart du temps, leurs apparitions, leurs disparitions et leurs déplacements ne sont pas directement liés au parcours ascendant puis descendant du Soleil d’est en ouest ni au mouvement induit par la rotation de la Terre. Bien plus, elles semblent guidées par une forme d’intelligence supra-humaine… … Ainsi, les occupants d'une chambre, qui venaient de lire un article consacré aux cercles de lumière, ont-ils eu récemment la surprise d’en voir brusquement un apparaître sur le mur qui leur faisait face ; une autre fois, des cercles se sont matérialisés sur les trottoirs empruntés par des personnes qui espéraient justement en voir apparaître ; un cercle est même demeuré sur la chemise d'un individu longtemps après qu’il soit rentré chez lui et qu’il ait refermé la porte. Un autre témoin a raconté qu'en marchant dans le centre d’une ville, il avait brusquement vu des cercles apparaître simultanément sur toutes les maisons de la rue, puis disparaître tout aussi mystérieusement. Les formes des cercles de lumière sont généralement simples mais d’une grande beauté. Certaines figures assez inhabituelles sont cependant apparues à différentes reprises, par exemple un X brillant, au milieu d’un carré, lui-même entouré d'un cercle. On a pu aussi voir certains motifs se transformer de manière significative en l'espace de quelques secondes, par exemple un triangle lumineux se transformer en trois cercles et même un pentagramme se métamorphoser en cinq cercles parfaitement égaux et équidistants. J. D. Rabbit - il ne s’agit pas d’un lapin mais d’un journaliste américain ! - affirme que dans deux cas vérifiés et authentifiés, la lumière s'est réfléchie sur la maison de membres d'un groupe de prière, pour former des cercles sur toutes les maisons voisines. On n'a pu vérifier aucun cas de guérison en relation directe avec ces cercles, mais, selon lui, les motifs deviennent plus brillants lorsque des personnes méditent à proximité. Ces extraordinaires manifestations ne peuvent qu’inspirer un profond sentiment d’étonnement, d’autant que des témoins de telles matérialisations, déjà familiarisés avec la géométrie sacrée, ont pu identifier certains motifs inclus dans ces cercles, par exemple le " Vesica Pisces ", autrement dit le Vaisseau des Poissons, qui est l’un plus importants symboles de l’hermétisme occidental, ou la fameuse " Fleur de Vie " et bien d’autres encore. D’autres vont plus loin encore : ils estiment que le Vaisseau des Poissons qui réapparaît régulièrement à l’intérieur des cercles de lumière serait lié à la Parousie, c’est-à-dire au prochain retour glorieux du Christ (ou de Sananda) " à bord de sa Blanche Astronef ", comme aime à le rappeler Eugenio Siragusa… … De plus en plus de signes se manifestent en tous cas actuellement dans le monde, semblant annoncer l’avènement prochain d’une nouvelle époque, une Ère dont la venue pourrait bien être liée au triomphe de la Lumière et de la Vérité sur notre planète. (Extrait de l’article d’Olivier DE ROUVROY dans le magazine Fleurs de la Nouvelle terre, n°5, décembre 2004, pp. 10-11, cet article est également consultable dans son entièreté sur le site http//www :erenouvelle.com/).

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Entrer en contact avec les autres dimensions. Qu’est-ce que le spiritisme ? Quand on parle de spiritisme, on pense à Allan KARDEC (1804-1869) et à Léon DENIS (1846-1927). Ces deux hommes ont largement contribué à la connaissance et à la diffusion de cet ensemble de " techniques " de communication avec les esprits de l’au-delà et des autres dimensions. Une séance de spiritisme bien menée doit être conduite par un médium (terme que nous approfondirons plus loin). Plusieurs supports existent pour communiquer avec les autres dimensions.

Nous allons les citer ci-après : - La table ou le guéridon : un médium dirige la séance. Après une prière ou une

méditation, les participants posent très légèrement leurs mains en effleurant à peine la table ou le guéridon. Ils peuvent également garder les mains suspendues au-dessus de celle-ci. Après un temps qui peut varier, la table ou le guéridon se soulève légèrement ou peut se mettre à tourner. Quelques craquements peuvent se faire entendre. C’est le moment choisi pour poser la célèbre question : « Esprit es-tu là ?...si oui, frappe un coup… ». On prendra une convention avec l’esprit : frapper un coup pour dire oui, deux coups pour dire non. L’esprit pourra également répondre par des phrases entières en frappant un coup pour la lettre A, deux coups pour la lettre B, et ainsi de suite…

- Le Oui-ja : c’est une planchette en bois comportant les lettres de l’alphabet, les chiffres, le oui et le non avec un pointeur à roulettes qui est " déplacé " par l’esprit contacté (suivant le même principe que celui employé pour les tables, les participants ayant la main légèrement posée sur le pointeur). - Le verre à pied : c’est encore une fois le même principe que le Oui-ja mais il s’agit ici

d’utiliser un verre à pied retourné comme pointeur. On utilise une grande feuille de papier absolument lisse sur laquelle sont inscrits les différents caractères de l’alphabet, les chiffres, le mot " oui " et le mot " non ". Les participants, toujours accompagnés d’un médium expérimenté posent alors très légèrement leur index sur le pied du verre…

- L’écriture automatique : cette expérience se réalise seul. Il faut du papier et un stylo. On appelle l’esprit avec qui on veut entrer en communication et on pose des questions, puis on laisse courir le stylo sur la feuille de papier. C’est l’esprit qui va " prendre possession " de la main et va écrire. Autant dire tout de suite que cette

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pratique nécessite de l’entraînement et il est assez rare que l’on obtienne des résultats satisfaisants du premier coup.

Personnellement, nous déconseillons fortement ce genre de pratiques énoncées plus haut tant il est vrai qu’elles doivent être pratiquées sous la conduite de personnes très expérimentées, des médiums confirmés et honnêtes parce que l’on risque toujours d’attirer vers soi des esprits malveillants du bas-astral (encore très attachés à la terre). En tous cas, ce type d’exercice doit être toujours réalisé dans le respect total de ce que l’on fait, sans curiosité malsaine, avec sérieux, et avec les protections d’usage… Channels, médiums, écriture intuitive, canalisations : tout ce que vous devez savoir sur le sujet… « On nomme médium une personne qui s'autoproclame intermédiaire entre notre monde et un autre. Il peut s'agir de l'au-delà, monde des défunts (voir spiritisme) ou tout autre « plan » d'existence qu'elle soit ou non reconnue par nos connaissances scientifiques actuelles. ... » (Extrait de l’encyclopédie en ligne Wikipédia, pour de plus amples informations, tapez " medium "). Nous allons essayer de développer cette définition en parcourant notamment l’excellent livre de Jon KLIMO, Les médiateurs de l’invisible, Editions Robert Laffont (voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage) auquel nous emprunterons quelques passages. Qui sont les médiums ?... Des gens comme vous et nous ! « A toutes les époques, y compris la nôtre, les gens qui prétendent communiquer avec d’autres mondes semblent rester tout à fait dans les normes. De l’étude de leur vie se dégage un modèle typique de relations sociales et familiales, de soucis financiers, avec tous les problèmes habituels de la vie courante, et ses diverses échéances. On trouve parmi les médiums des universitaires de haut niveau et des gens qui ont abandonné leurs études en cours de route ; on trouve tous les types de personnalité et de caractère, des introvertis et des extravertis ; des employés, des chauffeurs de poids lourd, des cadres, des écrivains, des enseignants, des scientifiques, des ménagères de banlieue, des artistes graphiques et des vendeurs. Pratiquement tous les contextes socio-culturels sont représentés : croyants, agnostiques, athées, et de multiples groupes ethniques, nationalités, cultures et croyances. Il est pratiquement impossible a priori de savoir qui est médium, que l’on assiste à une soirée entre amis ou que l’on fasse la queue aux caisses du supermarché. A de très rares exceptions près, ils vivent tout à fait normalement. Simplement, un jour, ils se découvrent capables de se mettre sur la longueur d’onde d’informations inaccessibles aux autres, ou de leur servir de canal » (Jon KLIMO, Les médiateurs de l’invisible, p. 3, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Dans ce chapitre l’auteur mentionne également qu’il y a plus de femmes que d’hommes parmi les médiums (ou channels, le terme anglais) car celles-ci auraient développé davantage leur cerveau droit que les hommes (l’hémisphère droit étant la partie du cerveau plus créative, plus intuitive). Ce en quoi, l’auteur est rejoint par les récentes recherches du pédiatre-urgentiste Melvin MORSE (voir ses ouvrages en fin de livre) qui lui, désigne le lobe temporal droit du cerveau comme le siège d’un " point de Dieu " plus ou moins activé chez chacun d’entre nous et qui expliquerait donc tous ces phénomènes dits " paranormaux " : rêves prémonitoires, voix, visions, sorties hors du corps, etc… ;

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Quelles sont les diverses formes de médiumnité ? Il existe plusieurs sortes de médiumnités que l’on peut notamment classer selon le degré de conscience que conserve le médium (ou channel) durant son expérience. 1°) la transe profonde : le médium perd conscience, ou entre en transe et semble laisser sa place à quelqu’un d’autre qui " entre " dans son corps et dans son cerveau pour parler, délivrer des messages, écrire, voire même bouger … En général, après l’expérience, le médium ne se souvient de rien mais certains rapportent que durant l’expérience, ils se sont retrouvés à flotter regardant leur corps utilisé par quelqu’un d’autre… « Au cours d’une séance de transe, l’entité utilise généralement un ton de voix nettement différent de la voix normale du channel » (Jon KLIMO, op.cit., p. 183). (NDLR : c’est chez ce genre de médium que nous nous sommes rendus le 18 mars 2003 afin d’entrer en contact avec Etienne (notre frère et beau-frère). Pascal Riolo nous a expliqué comment allait se dérouler la séance : d’abord, il s’est concentré sur la photo d’Etienne dont il ne connaissait que le prénom, la date de naissance et la date de mort. Il a intérieurement appelé celui-ci en lui " laissant ses cordes vocales " afin qu’il puisse s’exprimer. Pendant ce temps, il nous a expliqué que son esprit irait se loger dans la boule de cristal dont il se sert comme support. Et effectivement, au bout que quelques minutes Pascal Riolo a fermé les yeux, son esprit a semblé s’éloigner, se déconnecter, bref il était inconscient et une voix, totalement différente de celle du médium a commencé à s’exprimer. C’était Etienne. La voix était atone, basse, presque chuchotée. Lorsque Etienne est reparti, Pascal Riolo s’est progressivement réveillé. Il lui a fallu quelques minutes pour émerger (comme après un bon sommeil) et il nous a raconté qu’au début de la séance, plusieurs entités désincarnées de notre famille " jouaient des coudes " pour nous parler. Il les a repoussées pour laisser la place à Etienne…). 2°) La médiumnité dans le sommeil : « Au cours d’un cycle de sommeil ou d’une sieste, un individu peut recevoir des informations médiumniques en dehors des rêves. En se réveillant, il sait quelque chose qu’il ne savait pas auparavant, mais il est incapable de se souvenir de la façon dont l’information lui est venue. Eventuellement, il aura la sensation que, pendant son sommeil, il y a eu une sorte de communication et que certaines connaissances ou capacités lui ont été transmises … Il y a en effet des entités qui, tout en communiquant par d’autres voies médiumniques, affirment qu’elles donnent souvent des informations à l’esprit inconscient de leur channel pendant qu’il dort. » (Jon KLIMO, Les médiateurs de l’invisible, p. 184, extrait, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). 3°) La médiumnité en rêve : « Dans la médiumnité en rêve, la source peut apparaître dans le rêve de façon directe, sous l’aspect d’un personnage qui parle … Au réveil, le rêveur réalise parfois immédiatement qu’il y a eu une communication personnelle inhabituelle et il sait même parfois de qui elle émanait. (Jon KLIMO, op. cit. p185). (NDLR : c’est de cette façon que parfois les personnes décédés se manifestent à nous, intervenant dans nos rêves et nous délivrant un conseil, un message, une mise en garde ou simplement nous assurant qu’elles vont bien … Vous lirez ci-après quelques témoignages de rêves durant lesquels il y a une visite de décédés). 4°) La transe légère : « Dans la transe légère, l’individu est partiellement ou totalement conscient de ce qui se passe dans son environnement et à l’intérieur de lui. On dit alors que l’entité qui communique avec ou à travers le channel, que ce soit en se servant de ses cordes vocales pour parler ou de sa main pour écrire, est une personnalité cohabitante qui travaille avec le channel. Pourtant, si le téléphone sonne, le channel l’entend, peut interrompre la séance pour répondre puis la reprendre sans interrompre le processus ». (Jon KLIMO, op.cit., p. 186).

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5°) La clairaudience : « Dans ce type très courant de médiumnité, le médium (ou channel) peut être conscient ou dans un état de conscience légèrement modifié. Il mobilise l’attention de « l’oreille intérieure » en se relaxant et en dirigeant son écoute sur l’intérieur de lui-même, même s’il peut entendre en même temps les sons extérieurs. Cela fait, il peut entendre une voix ou une sorte de langage de transmission qui lui donne l’impression de venir de l’intérieur de lui-même. Son travail de médium est de répéter ce qu’il entend aux personnes présentes qui peuvent l’enregistrer… » (Jon KLIMO, op.cit., p. 187). (NDLR : c’est de cette façon que personnellement nous canalisons les autres dimensions ou les personnes décédées. Des signes physiques précurseurs se manifestent toujours avant un contact : ils se traduisent par des fourmillement voire de forts picotements sur le sommet du crâne. Ceux-ci peuvent se déplacer sur le lobe temporal droit et parfois se manifester comme un bandeau à l’arrière de la tête mais ils sont différents et très reconnaissables des frissons que nous éprouvons quand une entité désincarnée se manifeste plus physiquement à nous. A noter que nous ne prenons jamais d’enseignements ou de messages sans éprouver auparavant les symptômes cités plus haut qui sont, selon nous, bons gages d’une réelle connexion avec les plans supérieurs. Nous retranscrivons ensuite ce que l’on nous dit, ou ce que l’on nous envoie comme images mentales, concepts, voire même phrases qui s’inscrivent sur un écran intérieur). 6°) La clairvoyance : « Le médium clairvoyant dit qu’il reçoit des informations sous forme d’images qu’il voit dans son imagination. Le channel croit pourtant que l’imagerie en question ne relève pas de l’imagerie mentale mais prend sa source à l’extérieur de celle-ci. Ces images peuvent se présenter comme des photos en deux dimensions, des hologrammes à trois dimensions ou des séquences animées. Elles peuvent montrer des objets concrets, des dessins de lumière abstraits, ou des schémas énergétiques… Comme le channel clairaudient, le clairvoyant peut en principe faire la différence entre le matériel issu de son esprit et celui qui vient de l’extérieur… » (Jon KLIMO, op.cit., p. 188). 7°) La médiumnité globale : « L’expression de médiumnité globale (open channeling) désigne simplement la faculté de capter des pensées, des images, des sensations et des informations apparemment situées en dehors du soi normal ou de l’esprit d’autres personnes physiques, ou dans la réalité physique. Cela se produit d’une façon apparemment banale, sans aucun des phénomènes bizarres et incontrôlés constatés dans d’autres situations médiumniques. Il n’y a pas de source identifiable du message reçu ; c’est ce qui différencie la médiumnité globale de la médiumnité classique. Ce terme de médiumnité globale englobe l’essentiel de ce que l’on classe traditionnellement sous les concepts d’intuition, de sixième sens et d’imagination… » (Jon KLIMO, op.cit., p. 188). (NDLR : Nous parlons, nous, dans ce cas d’un contact avec notre " soi supérieur ", que l’on peut appeler " âme " si vous voulez….). 8°) La médiumnité à effets physiques : « La médiumnité objective ou à effets physiques, par opposition à la médiumnité subjective ou à effets psychiques, se définit comme la faculté de capter des énergies inconnues pour modifier l’environnement physique qui peut être directement observée par des tiers … Parmi les effets, on trouve des matérialisations et dématérialisations, la lévitation, la téléportation*, la typtologie (coups frappés par une table), les coups, les esprits frappeurs, les poltergeists*… » (Jon KLIMO, op.cit., p. 193, extraits).

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Le voyage astral (ou " sortie hors du corps "). Le voyage astral n’est autre que la projection de notre corps subtil (voir les différents corps au chapitre deux) en dehors de notre corps physique. Lorsque nous sommes en état de relaxation intense, le plus souvent quand nous dormons, il arrive que notre corps subtil se dégage de notre corps physique (comme nous l’avons vu pour les NDE au chapitre concernant la mort) tout en restant relié à ce dernier par la corde d’argent. Le " double " de notre corps physique s’en va ainsi " visiter " d’autres dimensions. En fait, il semble que nous effectuons tous, chaque nuit, un voyage astral mais nous n’en sommes pas conscients et en tous cas il est assez rare que nous en gardions le souvenir, juste peut-être parfois quelques " bribes " qui nous font dire « j’ai l’impression que j’étais loin, cette nuit ! ». Dans quel but ce voyage astral a-t-il lieu ? La sortie hors du corps serait le moyen qu’utilise notre âme pour voyager dans les autres dimensions, apprendre, voir, comprendre, recevoir certains enseignements, acquérir des expériences en vue de ce qui lui importe le plus c’est-à-dire son (notre) élévation spirituelle. Il est possible d’opérer des voyages astraux de façon totalement consciente (les maîtres de sagesse en sont coutumiers). Nous suggérons à nos lecteurs de se renseigner parmi les nombreux livres traitant le sujet. Le voyage astral permet quelques fois de rencontrer des êtres chers disparus, de parler avec eux… Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN ont largement expérimenté cette technique de sortie hors du corps et en ont ramené de multiples enseignements qu’ils diffusent dans leurs nombreux ouvrages (voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Cependant, leur première sortie consciente hors du corps s’est opérée de façon fortuite, comme ils le racontent dans le témoignage ci-après : (c’est Daniel qui raconte…) « Je me rappellerai toujours cette fameuse soirée d’avril où, m’étant abandonné à cet état qui est à la frontière de la veille et du sommeil, je me vis soudain étendu sur mon lit. Comment décrire les impressions d’un être qui se voit pour la première fois de l’extérieur ? Non, je ne parle pas d’une projection sur un écran de cinéma, cela, chacun en a déjà fait l’expérience, elle n’est pas, d’ailleurs, toujours très agréable : n’est pas photogénique qui veut ! Quand je dis se voir de l’extérieur, je veux dire se voir … en chair et en os. Lequel est moi ? Suis-je lui ou moi ? Sommes-nous moi ? En un éclair ces questions fusent dans mon esprit. Le choc des premières secondes passé, on en vient à se demander si la mort n’est pas cela, si l’on n’a pas franchi la grande porte et, en se regardant ainsi les yeux clos, les membres abandonnés nonchalamment, on se prend à penser qu’on n’est pas bien beau. Un peu inquiet, on continue de se demander qui on est. « Je ne suis pas lui puisque je le regarde ! ». C’est alors qu’on s’aperçoit qu’on n’est pas qu’une paire d’yeux qui voient l’autre qui est allongé, mais qu’on est aussi un corps, qu’on est nu comme un ver, et que ce corps se met à flotter à droite et à gauche, de bas en haut, comme s’il venait d’absorber quelques bonnes doses d’alcool … (C’est) la sortie astrale. (Ce moyen) peut être considéré comme une technique et j’en ai décrit les premiers effets ci-dessus. Ce qui fut accompli un soir d’avril, accidentellement, peut être répété à souhait, et a effectivement été répété …Cela s’apprend de la même façon qu’on apprend à lire ou à rouler à bicyclette, c’est-à-dire avec un peu de volonté et de patience. Ce livre relatera donc une série de sorties astrales qui, espérons-le, lèveront quelque peu le voile qui couvre certains problèmes cruciaux pour l’Humanité, ou plus simplement pour l’homme lui-même. » (Extraits du témoignage de Daniel MEUROIS dans A. et D. MEUROIS-GIVAUDAN, Récits d’un voyageur de l’astral, pp. 19-20, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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La TCI : transcommunication instrumentale. Petit historique. Il semblerait que la découverte de cette possibilité d’établir un contact avec des personnes décédées au moyen d’appareils d’enregistrement a été effectuée simultanément dans les années cinquante par trois personnes qui ne se connaissaient pas. Il y eut le Père Agostino Gemelli, physicien et médecin qui lors de manipulations d’un magnétophone découvrit la voix de son père décédé, ce dernier s’identifiant clairement. De son côté, le suédois Friedrich Jürgenson, artiste peintre et réalisateur de films, qui enregistrait dans un coin de forêt des chants d’oiseaux eut la surprise d’entendre sur la bande un solo de trompette suivi plus tard de voix en norvégien et en russe et finalement la voix de sa maman décédée quatre ans plus tôt. En 1964, un Letton, traducteur de profession, fit à son tour la même découverte en réécoutant la bande de son magnétophone. Les premiers mots qu’il reçut étaient le diminutif que sa mère employait jadis à son égard : « Kosti, kosti ». Depuis cette époque, de nombreux chercheurs ont expérimenté la transcommunication. Comment pratiquer la TCI ? Une remarque préalable d’une importance capitale s’impose d’emblée : la TCI ne se pratique pas dans un esprit de curiosité mais avec respect, amour et sincérité ! La patience est également de rigueur. On utilise de préférence un magnétophone à cassettes. Certains arrivent cependant à des résultats au moyen d’un ordinateur et il existe actuellement des logiciels de TCI. Revenons au magnétophone. Celui-ci n’a nul besoin d’être sophistiqué pourvu qu’il possède un variateur de vitesse de défilement à la lecture. En effet, parfois les propos des décédés sont dits de façon très rapide et apparaissent très clairs lorsqu’on ralentit la lecture. Un micro extérieur au magnétophone est également utile. On branchera celui-ci et on le placera à quelque distance de l’appareil. Un casque d’écoute peut apporter une aide supplémentaire de manière à affiner la réception sans bruits provenant de l’extérieur. L’Abbé Martin, spécialiste en TCI avec les animaux décédés nous a également recommandé un magnétophone avec compte-tours de manière à toujours savoir où on se trouve sur la cassette. Comment se déroule une séance. Il s’agit de s’installer dans un endroit calme. Beaucoup de " transcommunicateurs " travaillent en soirée ce qui semble favoriser le contact. Les perturbations atmosphériques (orage, vent et tempêtes) peuvent rendre le contact plus difficile. Beaucoup d’expérimentateurs adjoignent un bruit de fond constitué par exemple d’un fond de radio étrangère, ou une musique, voire même un écoulement d’eau (les fontaines sont à la mode en ce moment, pourquoi ne pas les utiliser ?) mais il semblerait que ce ne soit une obligation. Cependant, les personnes décédées disent en majorité préférer utiliser l’énergie émanant d’une source sonore. En tous cas, il s’agit aussi d’exercer son oreille pour capter plus vite et d’une façon plus sûre les messages. Tout ceci s’acquiert avec le temps. Médiums, voyants, prophètes : témoignages. Edgar Cayce : le prophète endormi. Edgar Cayce est né aux Etats-Unis le 18 mars 1877. Déjà très jeune, il manifeste des dispositions psychiques peu communes et c’est à l’âge de 13 ans que lui apparaît un ange qui lui demande de formuler un souhait. Edgar répond que son plus cher désir serait de venir en aide aux autres et notamment aux enfants malades. Quelques temps plus tard, le jeune garçon se rend compte qu’il est capable de mémoriser ses livres

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scolaires simplement en dormant quelques instants, la tête appuyée sur ceux-ci, mais cette faculté ne dure qu’un temps…

A l’âge de 16 ans, Edgar quitte l’école et entre dans la vie active. Il exerce désormais la profession de voyageur de commerce mais doit bien vite abandonner étant devenu aphone suite à l’absorption d’un sédatif. C’est ainsi qu’un peu plus tard, on lui propose une place d’apprenti dans un studio photographique. Edgar, à cette époque, ne peut plus s’exprimer que par murmures alors que sous hypnose, suite au passage d’un hypnotiseur ambulant à Hopkinsville, il se remet à parler normalement. L’expérience d’hypnose est retentée et Edgar parvient à entrer à nouveau dans le même état de conscience que lorsqu’il mémorisait ses manuels scolaires. Alors qu’il est sous hypnose, on lui demande de se prononcer sur la cause de son mal et le remède à y apporter. Edgar donnera lui-même des instructions précises quant à son traitement. Ainsi débute la première " lecture " psychique du " prophète endormi ". Celle-ci sera le prélude à une quantité impressionnante d’autres diagnostics et lectures. Son entourage s’aperçoit très vite qu’Edgar Cayce n’a pas besoin de connaître beaucoup de choses sur la personne pour laquelle il pratique une lecture : seuls son nom et son adresse suffisent pour qu’il puisse décrire précisément son état de santé et le traitement approprié. Evidemment, la nouvelle se répand rapidement et des gens venus de tous les horizons s’adressent désormais à Edgar Cayce. Il donne ainsi quotidiennement des lectures sur les problèmes médicaux. Au fil des ans, il découvre en outre qu’il est capable de donner des lectures sur n’importe quel sujet et notamment toutes les questions spirituelles. Il est également à l’origine de nombreuses prophéties (dont nous reparlerons dans le chapitre suivant). De plus en plus sollicité, il abandonne le studio photographique pour se consacrer entièrement aux lectures. Parallèlement, il se met à la recherche d’investisseurs pour la construction d’un hôpital. Cet hôpital, sis à Virginia Beach, verra le jour en 1928 mais devra malheureusement déjà fermer ses portes en 1931, par manque de ressources financières, à la suite du grand krach de 1929. En juin 1931, l’A.R.E (Association for research and Enlightenment, Inc) est fondée. Elle se concentre essentiellement sur la médecine holistique et les questions spirituelles. Durant la seconde guerre mondiale, Edgar Cayce reçoit journellement de pleins sacs de courrier, ce qui l’amène à porter le nombre de ses lectures à six par jour. La fatigue se fait ressentir intensément, diminuant ses forces considérablement au point qu’il décède le 3 janvier 1945, laissant en héritage plus de 14.000 lectures représentant l’ensemble le plus considérable de documents psychiques ayant une même provenance. (Source : http://www.edgarcayce.org). Il existe de nombreux livres relatant la vie d’Edgar Cayce ou reprenant ses lectures. Nous vous citons ceux qui sont en notre possession : Joseph MILLARD, Edgar Cayce, l’homme du mystère, éditions J’ai lu, 1990. Dr William A. MAC GAREY (nouvelle adaptation de Dorothée KOECHLIN DE BIZEMONT), Les remèdes d’Edgar Cayce, éditions du Rocher, 1988. Dorothée KOECHLIN DE BIZEMONT et Laurence M. STEINHART, Edgar Cayce, recettes de beauté et de santé, Editions du Rocher, 1990.

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Monique Mathieu : un channel hors-pair. Nous retranscrivons ci-après le petit texte de présentation de Monique Matthieu sur le site http://perso.wanadoo.fr/ciel-a-la-terre/ que nous vous encourageons à visiter si vous avez une connexion internet. Les enseignements spirituels des Etres de Lumière sont tout simplement extraordinaires !

« C'est en 1984 que Monique est devenue canal après avoir été choisie en fonction de critères très spéciaux tels son refus d'un trop grand intellectualisme, son intégrité morale, sa grande neutralité religieuse. Il faut entendre par canal quelqu'un qui peut établir un contact paranormal avec une entité existant hors de notre réalité de la 3e dimension. Monique est aussi depuis son plus jeune âge un médium doué de capacités de psychométrie* et de voyance (elle a subi une préparation spéciale par des entités spirituelles). En channeling, elle entre en relation avec des plans très élevés ou se trouvent les Etres de Lumière, et dans cet état, elle peut transmettre un enseignement spirituel et philosophique qui s'adresse à l'humanité. Les entités spirituelles ou Etres de Lumière disent d'elle : « Si nous avons choisi ce canal, c'est pour qu'elle ouvre les cœurs, pour qu'elle fasse prendre conscience à ses frères de la Terre de ce qu'ils sont réellement, pour leur faire prendre conscience de leur partie divine, de leur réalité sur le plan cosmique. » Devant l'importance considérable de l'enseignement reçu, une association s'est constituée afin de pouvoir diffuser. A l'heure où la planète se déchire, où les valeurs politiques, religieuses et morales tombent les unes après les autres, il est réconfortant de savoir qu'autour de nous, auprès de nous existent des Etres merveilleux prêts à nous aider, à nous soutenir dans nos épreuves. Mais ne croyez pas qu'il suffit de s'ouvrir à eux et de se laisser guider, ce n'est pas aussi simple que cela pour nous humains. Beaucoup de voiles devront se déchirer, beaucoup de croyances devront être abandonnées, beaucoup de doutes devront se surmonter et de peurs être éradiquées. C'est un long travail intérieur de chaque instant avant de pouvoir spiritualiser notre vie matérielle. Chacun a son propre cheminement. Mille sentiers mènent au sommet de la montagne, vers la lumière. Les Etres de Lumière par leur enseignement répété sans cesse avec Amour, nous montrent une voie à parcourir. Grâce à eux les portes de la Connaissance et de la Sagesse s'entrouvrent, et l'on s'aperçoit avec émerveillement que TOUT, enfin ce que notre conscience actuelle peut assimiler, prend place au sein d'un plan gigantesque et qu'il faut absolument reprendre contact avec la partie invisible de la

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vie, avec Dieu. Chaque séance est enregistrée puis transcrite ; vous trouverez ci-après des extraits de ces entretiens. Libre à vous de venir nous rejoindre pour nous aider à diffuser cet Amour qui nous, qui vous est donné si généreusement. Il faut savoir que Monique sert d'intermédiaire à un véritable dialogue qui s'instaure entre les participants et les Etres de Lumière. Plus d'une dizaine de questions sont posées chaque fois sur les sujets les plus variés. Certaines d'entre elles nécessitent de longues réponses. Ce questionnement joue un double rôle : présenter l'enseignement sous une autre forme et transmettre des énergies par la vibration des mots et par la faculté du canal. » Comment un médium peut aider un chercheur. « J’ai rencontré Kathryn, infirmière à l’hôpital royal de Doncaster, lorsqu’elle est venue me consulter avec sa mère, dans le but d’établir une communication avec leur père et mari. Il était mort subitement d’une crise cardiaque. Kathryn était folle de joie d’avoir des nouvelles de son père … C’est lors d’un de ces cours (NDLR : Rosemary lui a donné des cours) qu’elle a reçu un autre message de mon guide. Message qui cette fois, était destiné à son mari, Christian Langton … très têtu et ne voulant pas abandonner des années de raisonnement scientifique, Christian répugnait à venir me voir en consultation. Comme il avait néanmoins l’impression qu’il devait me parler, il m’a invitée à prendre le thé … C’est l’intervention du grand-père de Christian, passé dans le monde des esprits depuis plusieurs années et qui attendait cette occasion de communiquer, qui a fait basculer Christian … Le grand-père de Christian ne s’est pas satisfait de nous prouver qu’il avait survécu. Il a voulu montrer à son petit-fils qu’il était capable de s’impliquer encore dans les choses de " ce " monde, si l’occasion lui en était offerte. Christian Langton est chercheur. A l’époque de cette consultation, il travaillait sur l’analyse des os. Il avait conçu et fabriqué une machine, l’analyseur d’os ultrasonique, capable de détecter l’ostéoporose … L’idée d’analyser les os de la cheville aux ultrasons était bonne et Christian était convaincu qu’elle fonctionnerait. Mais sa machine qui, à en croire les descriptions de son grand-père, ressemblait à un aquarium pour poissons rouges à moitié rempli d’eau, restait au stade artisanal. Elle n’était pas encore complètement au point puisque les examens n’avaient pas encore produit de résultats satisfaisants de manière constante. Après de nombreuses nuits d’insomnie passées à réfléchir, Christian avait acquis la conviction que le seul défaut possible était l’angle du repose-pieds dans le réservoir. Lorsque j’ai décrit la machine à Christian, son intérêt s’est aiguisé et il a eu l’air abasourdi quand je lui ai dit que son grand-père était au courant des difficultés qu’il rencontrait. « Dans ce cas, a-t-il observé avec causticité, il pourrait peut-être avoir la bonté de m’aider à les résoudre. » … Mais son grand-père l’a pris au mot : « Dites-lui qu’il suit une fausse piste. L’angle du repose-pieds est correct, c’est l’eau qui pose problème. » Il m’a ensuite expliqué comment corriger la chose, à l’aide de termes techniques que je ne comprenais pas. Pour résumer, il lui a conseillé d’enlever l’eau et de placer les transducteurs électroniques directement sur la peau, ce qui permettrait de résoudre le problème. Christian s’est alors demandé comment il pourrait expliquer à ses collègues ce qui l’avait incité à apporter cette modification à son projet … Moins d’une semaine après, Christian Langton avait corrigé le défaut de son analyseur d’os ultrasonique en suivant les instructions de son grand-père à la lettre. Cette machine est à présent utilisée dans les hôpitaux d’Europe, d’Australie, du Canada, du Japon et de bien d’autres pays. » (Rosemary ALTEA, Une longue échelle vers le ciel, extrait des pp. 202 à 205, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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Cathy MULLER : une maman-médium. « Ma fille Lina s’est envolée vers la Lumière, à l’âge de dix ans, à la suite de nombreuses souffrances dues à un cancer, me laissant dans l’anéantissement total. Je ne pouvais imaginer vivre sans elle, mon aînée, ma princesse, mon petit chat. Je ne connaissais rien de la mort, de l’après-vie, des royaumes angéliques, de Dieu, de l’Univers. Tout de suite après sa mort, des signes paranormaux nous furent donnés (une peluche dont la mécanique se mettait en action toute seule, la pendule qui s’est arrêtée sur l’heure de sa mort, etc.) Lina était bien là, bien présente, bien vivante, voulant à tout prix nous faire comprendre qu’elle n’avait pas disparu de nos vies et qu’elle allait nous aider à surmonter notre chagrin.

J’ai pu grâce à un système de communication facilitée que nous avions mis en place lorsqu’elle était aux soins intensifs et qu’elle ne pouvait s’exprimer, avoir des messages provenant de son nouveau monde. Elle m’indiquait à l’aide d’une chaînette avec ses pendentifs que je tenais comme un pendule, des lettres d’alphabet que j’avais inscrites sur un cahier et former ainsi des mots, des phrases, etc. Le premier livre qu’elle m’a dicté fut entièrement écrit de cette façon. Très lent, mais combien nécessaire pour moi de garder ce contact avec mon enfant. Elle m’apprit beaucoup de choses, me fit rencontrer de nombreux Etres de Lumière, opérant pour aider les humains et la planète. C’est ainsi que je pus communiquer de manière de plus en plus facile et rapide, avec de nombreux êtres angéliques, laissant tomber l’alphabet pour l’écriture intuitive. Je me suis mise au service de Dieu et j’ai réuni de nombreuses personnes qui étaient, comme moi, en quête de réponses à leurs questions existentielles : les travailleurs de l’Amour. Je continuerai jusqu’à la fin de mes jours à vivre en parallèle dans ces deux mondes visible et invisible à nos yeux d’humains, car c’est là que réside la force de surmonter les épreuves terrestres. Deux mondes superposés dans lesquels évoluent nos amours, que ce soit d’un côté ou de l’autre de la rive. » (NDLR : tous nos remerciements vont à notre amie Cathy MULLER pour ce témoignage, voir ses ouvrages et son site internet " Lumières de l’au-delà " dans les fiches bibliographiques en fin d’ouvrage). Pascal RIOLO : prodige de la voyance. Pascal RIOLO a 39 ans. Il est voyant-médium et exerce sa profession dans la région de Liège (Belgique). Il est également conférencier et écrivain. Il a écrit plusieurs livres au sujet du paranormal… Passionné et passionnant, Pascal Riolo fait partie des meilleurs voyants-médiums actuels. Il a notamment fait de nombreuses prédictions à échelle mondiale, celles-ci s’étant révélées par la suite tout à fait exactes. Il dispose d’un site internet dont nous vous donnons les coordonnées ci-après. Vous pourrez y trouver tous

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les renseignements sur les activités de cet homme empreint de simplicité et de gentillesse. (Site : pascalriolo.com).

Interview de Pascal RIOLO. Question : Pascal, pourriez-vous nous raconter brièvement comment vous vous êtes rendu compte de vos dons de voyance et de médiumnité ? Ces dons que vous possédez se sont-ils révélés dans votre enfance ? Pascal RIOLO : très étrangement, je peux vous dire que je ne me suis jamais rendu compte à aucun moment de ma vie de ces capacités, parce que je suis né avec et disons plutôt que ce sont les autres qui m'ont fait remarquer que j'étais différent, mais à aucun moment moi-même je ne me suis rendu compte de cette réalité. Ce sont plutôt les amis, l'entourage, mes parents qui se sont aperçus qu’il se passait des choses complètement anormales dans ma vie : je pouvais savoir et voir les choses à l'avance comme par exemple en me promenant avec ma maman, je lui disais « tiens, regarde maman, la voiture là est cassée, ou il y une bosse », mais il n'y avait rien. Et en réalité, dès le lendemain ou la soirée même, la voiture était déclassée, celle du voisin par exemple… J'ai pris conscience, on m'a fait prendre conscience précisément à l’âge de neuf/dix ans que j'étais différent. Tout simplement, tout a démarré par un débat en classe ayant pour thème " le lion ", débat qui a dévié sur les phénomènes paranormaux, l'astrologie, les esprits. A partir de ce moment-là, j'ai commencé à faire des recherches sur les phénomènes liés à l'ésotérisme, à la parapsychologie. J'ai appris qu'il y avait des gens qui pouvaient voir des choses que tout le monde ne voyait pas, et là j'ai réellement pris conscience que j'avais un don, " une faculté ". Ce fut un choc parce que je me suis dit « tiens, je ne suis pas comme les autres ! ». Voilà comment l'histoire a commencé… Question : comment votre entourage a-t-il réagi à vos capacités paranormales ? Vous a-t-on encouragé à poursuivre dans ce sens ? Pascal RIOLO : pas du tout. Cela a été un désastre, une catastrophe ! Lorsque mes parents ont su que je développais ces capacités, cela a été un combat de tous les jours. Pendant des années, ils ont tenté de m’éloigner de ce secteur, premièrement parce qu’ils

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ne connaissaient pas ce secteur et deuxièmement parce que c’était quelque chose de tout à fait étrange pour eux, de tout à fait bizarre, un monde à part, et ne sachant pas très bien dans quoi j’allais évoluer, ils ont tenté par tous les moyens de me dissuader, chose qu’ils n’ont pas réussie à faire, parce que à l’âge de dix-huit ans , j’ai ouvert mon cabinet de voyance et j’ai démarré, et aujourd’hui j’ai trente-deux ans et cela continue. C’était ma destinée, c’était dans mon karma, mais… comment vais-je dire, c’est surprenant pour les autres ! Mon parcours, vous le verrez en lisant le livre. Pour moi cependant il n’y a rien d’extraordinaire, c’est comme cela, c’était prévu, aussi fou que cela puisse paraître. Question : pourriez-vous nous expliquer comment vous entrez en contact avec les personnes décédées, les voyez-vous ? Les entendez-vous habituellement ou vous faut-il des circonstances particulières, par exemple concentration, support photo, méditation ? Pascal RIOLO : il y a deux grandes catégories, deux méthodes particulières qui me permettent de déclencher un contact avec l’au-delà. Il y a le contact direct, le contact recherché, le contact voulu et désiré, qui est celui que nous venons de créer (NDLR : nous venons d’avoir un contact avec Etienne, notre frère et beau-frère par l’intermédiaire de Pascal Riolo) ; dans ce cas il me faut une photo, il me faut un instrument pour me mettre en concentration. Ce support peut être n’importe quoi, même une flaque d’eau ! A un moment donné, mon esprit va jusqu’à la personne décédée, précisément jusqu’à son âme, et à l’instant où nous nous rencontrons, l’univers qui se situe autour de moi devient complètement inexistant, je perds ma sensibilité, je ne suis plus présent dans la pièce. Question : c’est ce que l’on appelle la transe médiumnique ? Pascal RIOLO : absolument, tout à fait ! Et à cet instant en réalité, mon esprit fusionne avec celui de la personne décédée qui, elle, prend vraiment une énorme partie de ce qui se passe en moi, et à cet instant précis, elle prend possession de mes moyens, de ma voix par moments. Quant à moi, je dors, je ne suis plus présent, je suis dans une autre dimension, et le contact se réalise. Il est possible également qu’à certains moments, sans que je ne le veuille, en me promenant dans la nature, dans un château, dans des ruines, en vacances, à l’étranger, en Asie, il est possible que certaines choses déclenchent une communication avec l’au-delà. Cela peut-être la vue d’un tombeau, cela peut être un os, un crâne, cela peut être tout simplement en marchant sur une terre où il y a, où il s’est produit des choses, là en réalité le contact est auditif, cela veut dire que j’entends, que j’entends comme si vous me parliez, mais avec des phrases beaucoup plus courtes et pas très recherchées, ou alors, je peux également les voir, les observer. Le plus souvent ce sont des âmes que l’on voit, et un peu plus rarement, on voit réellement la personne comme elle était lors de son vivant ; tout dépend du moment où elle est décédée, on peut peut-être la voir plus jeune, au moment où elle est décédée ou entre les deux. Disons qu’en ce qui concerne le contact avec l’au-delà, on croit qu’on le maîtrise, mais pas du tout, on subit c’est-à-dire que l’on subit le choc de la faculté de perception, et l’on ne sait pas toujours comment réagir parce que c’est toujours une nouvelle expérience, de nouvelles surprises. Avec l’au-delà tout est possible. Dans la voyance, on peut encore contrôler, mais avec l’au-delà on ne sait pas très bien quand cela commence et quand cela se termine. Question : pourriez-vous nous raconter brièvement comment et dans quelles circonstances a eu lieu le premier contact avec une personne décédée ? Pascal RIOLO : c’est une question qui est très difficile parce que, étant donné que j’ai commencé très tôt, je ne sais pas en réalité si mon premier contact était une entité, un esprit, ou une personne décédée. J’ai dévoilé pour la première fois, l’année dernière dans le livre, la vraie vérité sur ce qui s’est passé dans ma vie. Cette histoire s’est passée en juillet 1979, vous la lirez très précisément dans le livre, j’ai eu un contact avec une

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personne qui n’existait pas ; l’histoire est un peu longue, je préfère que vous la lisiez dans le livre (NDLR : Pascal a été " téléporté " dans une autre dimension.) Question : quand vous dites une personne qui n’existait pas… ? Pascal RIOLO : une personne que je ne voyais pas. Question : mais qui avait été humaine ? Pascal RIOLO : encore à ce jour, je n’en ai aucune idée. Il s’est passé quelque chose qui a bouleversé toute ma vie et mon existence, et je suis convaincu que c’est à cause de cela que j’ai des capacités de voyance, et des perceptions paranormales. J’ai vécu une expérience qui aurait pu traumatiser n’importe quel enfant à vie, parce que j’ai été " téléporté " quelque part, c’est une vraie histoire ! Quand vous allez la lire, vous aurez sans doute un choc, c’est vraiment choquant. Pour en revenir aux premiers contacts que j’ai eu, dont je suis certain qu’ils émanaient de personnes décédées, c’était en fait via des photos. J’étais devant des photos de personnes décédées, et là je voyais les cadres bouger, je voyais des ombres circuler autour de moi dans la pièce. Les contacts ont démarré ainsi, via les photos qui étaient présentes chez les grands-parents, chez les personnes auxquelles j’allais rendre visite. J’étais comme captivé par la photo et je sentais que la personne me parlait. Au début, évidement, je coupais cela, jusqu’au moment où je n’ai plus pu. Voilà d’ailleurs pourquoi dans ma maison, vous ne verrez pas une seule photo de personnes décédées, parce que ce genre d’expérience se produirait tout le temps ! Question : pourriez-vous nous décrire ce qu’est un flash de voyance ? Pascal RIOLO : il y a dans l’univers de la voyance plusieurs termes que les gens ne comprennent pas, par rapport auxquels ils se trompent, vis-à-vis desquels ils font des amalgames. Cela est un vrai problème parce qu’ils ne peuvent pas faire la différence entre une intuition, une voyance, une voyance auditive, etc. Un voyant travaille soit par support, soit en voyance directe, soit éventuellement par rapport à des visions. Que sont les visions ? C’est tout simplement quand vous êtes par exemple assis, debout, ou couché et à un moment donné, il ne s’agit pas d’un rêve, mais une vision, c'est-à-dire que nous (les voyants) sommes conscients. Le corps ne dort pas, le corps est vraiment présent, mais nous entrons en transe dans un univers dans lequel nous sommes transportés, et là nous voyons une scène, un film se dérouler : des scènes de la vie qui peuvent durer trois secondes, dix secondes, quinze secondes, pas plus. Voilà ce qu’est une vison. Remarquez que quinze secondes, c’est énorme ! C’est vraiment un film qui est très long, parce qu’en quinze secondes, vous en voyez des choses ! Mais c’est rare. Un flash, par contre, c’est une photo. Clic ! C’est une photo qui est immortalisée, un flash ne bouge pas. C’est une vision fixe d’un événement futur dont nous n’avons pas encore connaissance à l’heure à laquelle nous parlons. Question : lorsque vous faites une voyance, avec les tarots, etc, vous avez forcément des flashs ? Pascal RIOLO : non. En ce qui me concerne, quand je pratique une consultation à travers le tarot, il y a minimum 80% de visions, mais ces visions en réalité sont un mélange d’interprétation des cartes : interprétation des couleurs, des chiffres, des symboles. C’est vraiment de la symbolique à 80% dans le tarot, et pour ma part, j’ai à peu près une quinzaine de pourcents d’espèces de flashs, de visions, d’intuitions tout simplement aussi. Il y a aussi 1%, 2 % parfois de contact avec l’au-delà, même dans une consultation de voyance. Question : certainement via vos guides ?

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Pascal RIOLO : non, pas nécessairement. Question : ou les guides de la personne ? Pascal RIOLO : oui absolument, les guides du consultant, ou tout simplement une personne décédée de son entourage qui veut manifester quelque chose. Et par moments, on ne sait même pas de qui il s’agit ! Question : êtes-vous en contact avec vos guides spirituels (personnes décédées, anges, guides) et vous aident-ils dans vos activités médiumniques ? Pascal RIOLO : oui, tous les jours. Question : vous les connaissez ? Vous savez déterminer qui c’est ? Pascal RIOLO : oui, je les connais. Il y en a deux et il y a d’autre part quatre esprits qui depuis de très très nombreuses années m’accompagnent et me protègent dans la plupart de mes travaux, recherches, voyages, conférences. Ce sont des esprits en fait qui m’accompagnent, ils sont comme quatre murs placés autour de moi. Je baigne dans l’univers de l’irrationnel et du rationnel dans mon travail, par rapport à des forces que les gens ne voient pas et que moi je vois comme je peux vous voir maintenant en fait. Tout cela est très troublant mais je dirais que cela fait partie de ma vie, de mon existence, et je crois que sans eux (sans mes guides) je n’aurais pas été très loin. Question : vous est-il arrivé de " voir " les événements mondiaux futurs comme par exemple la " fin " de notre monde (basculement des pôles, raz-de-marée, jours de ténèbres …) comme cela a été dit par de nombreux prophètes ? Pascal RIOLO : non, non. Autant je peux être pessimiste pour beaucoup de choses, par rapport à ce que je peux ressentir sur les événements futurs, autant je n'ai jamais eu de visions de cataclysmes, d'Armaguedon ou de choses pareilles, non. Question : pourtant, vous aviez vu la destruction des deux tours du World Trade Center ? Pascal RIOLO : ah ! Oui. Maintenant évidemment, j'ai des visions pessimistes dans mes grandes visions mondiales. Il y a eu le World Trade Center qui a été prévu deux ans avant les événements, la guerre en Irak, dix-huit mois avant, si je ne me trompe pas, avant les événements, le tsunami, sauf erreur j'ai eu la vison le 15 octobre 2004 et c'est arrivé le 26 décembre (en fait ma vision a été déclarée pour la première fois, à Bonn en Allemagne.) Question : mais jamais, vous n'avez eu la révélation par un de vos guides justement, ou par une vision que le monde dans lequel on vit pourrait s’arrêter comme cela maintenant ? Pascal RIOLO : jamais. Non, je n'ai jamais eu de flash par rapport à cela. Question : pensez-vous, comme l'affirme le Dr. Melvin Morse (que vous avez rencontré) que tout le monde est capable de " faire " comme vous, en activant le point de Dieu ? Pascal RIOLO : moi je crois que toute personne sur Terre est capable d'avoir des résultats impensables avec le travail de l'esprit, avec les mécanismes cachés du mental, parce que le mental peut faire des choses exceptionnelles. Je dirais simplement qu'il y a des gens qui sont plus doués que d'autres, il y a des gens qui peuvent avoir un peu plus de capacités que d'autres, mais à la base, je pense que tout le monde même s’il n'a pas forcément le même don a des capacités extrasensorielles, je le pense fermement.

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Question : le tout selon vous, ce serait probablement d'ouvrir un peu son esprit sur tout cela ? Pascal RIOLO : oui. Tout le monde n'a pas cette capacité de pouvoir cerner les événements futurs, parce que premièrement, si tout le monde possédait cette faculté, ce pourrait être " une arme contre son prochain ", et deuxièmement, quand on n'est pas capable de gérer de tels phénomènes, de telles activités, on risque tout simplement des ennuis très graves, la mort même, en tous cas des ennuis énormes. Mais, je suis certain qu'à la base, nous avons tous un potentiel psychique, un certain quota… je le pense. Question : croyez-vous en Dieu ? Pascal RIOLO : oui. Incontestablement ! Je ne crois pas forcément au même Dieu que tout le monde, c'est-à-dire que moi personnellement, je ne crois pas qu'un dieu se nomme un tel ou un tel. J'appellerais plutôt Dieu une énergie, un potentiel d'énergie suprême, qui est là autour de nous, qui nous surveille, qui nous gère. Disons que je n'ai pas du tout la vision de l'église catholique, je n'ai pas du tout ces genres de visions en question. Non, pas du tout. Mais je crois en Dieu, je revendique son existence tout comme celle de Satan. Question : Satan, qui paraît-il serait une création des hommes ? Pascal RIOLO : je ne crois pas. Non. Pour moi Satan, c'est une création de Dieu. Au départ, c'est un ange déchu, c'est l’ange le plus exceptionnel que Dieu avait créé, et cet ange a pris son parti et a développé son monde. Je ne crois pas que Satan soit la création de l'homme, je ne pense pas. Fin de l'interview. (Tous nos remerciements vont à Pascal RIOLO pour le temps qu’il nous a consacré lors de cet interview). Les contacts avec les morts. « Les morts, ceux que nous avons aimés, sont encore avec nous, ils veillent sur nous et ils nous parlent si nous savons les entendre. Chaque fois que j’ai eu des moments difficiles, j’ai pu demander conseil à ma grand-mère et elle m’a répondu. » (Paroles de Dhyani, chamane amérindienne dans Les Gardiens de la terre, p. 40, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : d’autres (personnes) sont-ils aussi visités, inspirés dans leurs rêves ? Réponse de Michel : certains rêves ouvrent la voie à l’invisible, à la lumière, à l’Amour. » (Michel dans BELLINE, La troisième oreille, p. 139, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Question : Michel, ta mère me demande souvent par quels moyens se font nos communications ? Réponse de Michel : dis à maman que tu émets des ondes. Je les perçois. » (Michel dans BELLINE, op.cit., p. 133, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Mon cousin est décédé en 1988 à l’âge de 20 ans, laissant sa famille dans le désarroi total et dans une tristesse indicible, on le comprend. Quelques semaines après sa mort, je fis un " rêve ", en fait, Dominique m’expliquait sa mission dans l’au-delà qui était d’aider les jeunes comme lui à franchir le portail de la mort. Plus étrange, il me montra la couverture d’un livre … ce livre portait le titre : " Les morts nous parlent ". Dominique me faisait comprendre par cette vision qu’il aimerait que ses parents lisent ce livre. Mais, le plus étonnant dans cette histoire, c’est que le livre en question du révérend Père

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Brune, n’a paru que quelques semaines plus tard ! Quand l’ouvrage a été disponible, je l’ai acheté, il était exactement semblable à celui que Dominique m’avait montré, même couverture, même titre ! » (Marie-Hélène). « Question : qu’en est-il des contacts avec les gens d’ici ? Comment cela se passe-t-il ? Réponse d'Etienne : ce que je peux vous dire, c’est que lorsque nous disons que nous sommes près de vous, il ne faut pas l’entendre au sens strict du terme. Je dirais que nos dimensions respectives, celles dans lesquelles nous évoluons, vous les " vivants " et nous les " morts " (morts à la vie terrestre bien entendu) se touchent, s’imbriquent en quelque sorte. Je dirais en terme d’espace que nous occupons le même espace mais dans d’autres vibrations, chacun des vibrations différentes. Mais tout se passe dans le même espace. Me comprends-tu ? Oui Etienne, je pense que je comprends. Se mettre au diapason au niveau vibratoire demande de l’énergie de votre part et de notre part. Vous, nous allons dire qu’il faut que vous montiez vos vibrations et nous, nous devons descendre. Le monde de l’esprit est immense et vous commencez à voir la pointe de l’iceberg. » (Message d’Etienne reçu en channeling par Marie-Hélène le 7 juillet 2003). Rencontre avec Cerise. « En ce petit matin du 31 juillet 2004, il est entre 6 et 7 heures, nous dormons encore Marie-Hélène et moi. En effet, un bal était organisé dans le parc communal, en face de notre habitation, et le tintamarre généré par cette organisation a passablement perturbé notre nuit. Nous sommes d’autant plus fatigués, surtout mentalement, que la veille, nous avons dû nous résoudre à faire euthanasier notre petit chien Cerise, qui nous a quittés après avoir partagé presque 14 années de notre existence. Elle était atteinte d’un cancer et se trouvait en phase terminale depuis plusieurs semaines, ne se nourrissant quasiment plus, sauf lorsque Marie-Hélène lui donnait à la main l’une ou l’autre bonne chose achetée avec amour à son attention, mais appréciant jusqu’à ce mardi la promenade quotidienne, promenade qui s’était raccourcie jour après jour, son état de santé et sa faiblesse croissante ne lui permettant plus, les derniers temps, que quelques dizaines de mètres de balade. Avec beaucoup de regrets donc, mais avec confiance aussi au vu de ce que les derniers mois nous ont apporté, nous avons appelé le vétérinaire dans l’après-midi de ce vendredi 30 juillet et nous avons dit au-revoir à notre petite Cerise. Le départ s’est déroulé dans la sérénité. Je me souviens avoir dit à Marie-Hélène, et pas seulement pour la réconforter mais bien parce que j’en étais convaincu, qu’après le départ de Cerise, nous allions très vite recevoir un signe venu de l’autre côté du voile séparant ce monde de l’au-delà. Et ce signe, que dis-je ce contact merveilleux est venu en effet très vite. Je m’étais donc rendormi ce samedi matin. A un certain moment, je me retrouve transporté en rêve dans un endroit qui ressemble un peu à la cuisine qu’il y avait chez mes parents. Je me tiens debout dans cette pièce et de là où je me trouve, j’aperçois la buanderie et l’entrée de celle-ci donnant sur la cour. Je suis seul dans ce lieu étrange qui a l’air d’un décor mis en place rapidement par mon cerveau pour y accueillir une scène oh combien plus importante. Tout à coup, un chien se trouve dans la cuisine tout près de moi. Je crois qu’il est venu de la buanderie, mais je n’en suis pas sûr. Je le regarde, puis je pense « on dirait Cerise ou plutôt Framboise (sa petite sœur qui vit toujours à cette époque sur Terre), mais ce chien est plus grand que Framboise, alors, incrédule je me dis que c’est Cerise qui est là près de moi. Aussitôt, comme pour accréditer ma pensée, une image holographique de Framboise (qui trottine et ne fait pas attention à nous), légèrement brouillée comme lors d’une mauvaise réception de télévision, apparaît dans la pièce où nous nous trouvons, et je comprends alors que je suis avec Cerise dans sa nouvelle

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dimension, que l’image de Framboise m’a été montrée brouillée afin que je comprenne qu’elles ne sont plus dans le même univers vibratoire. Je regarde alors Cerise et je lui dis « C’est toi Cerise ? Tu es déjà revenue ? » Je savais qu’elle était décédée depuis quelques heures, je m’étonnais donc de sa présence à mes côtés ? Cerise était magnifique, en pleine forme, toute trace de la maladie qui l’a emportée avait disparu. Son pelage était particulièrement beau et brillant, elle respirait la santé, l’insouciance et l’Amour. Oui l’Amour, un Amour infini pour moi se lisait dans ses yeux. Pour toute réponse à ma question, Cerise s’est lovée contre moi et a entrepris de me lécher le visage et de me donner des bisous. Ensuite, à un certain moment, Cerise s’est relevée et m’a quitté en traversant la buanderie et en sortant par la porte donnant sur la cour. Je me suis alors immédiatement réveillé et j’ai remercié Dieu. Ce contact merveilleux a duré une poignée de secondes, peut-être plus, cela est difficile à estimer, mais il m’a profondément bouleversé. Je sais qu’il m’a été donné, à travers cette rencontre, de voir la vie dans l’au-delà, de constater aussi que lorsque l’on a donné de l’amour lors de sa vie terrestre, cela vous est rendu au centuple de l’autre côté. » (Vincent). Rencontre du troisième type. « Il fait encore nuit noire en ce matin du 30 décembre 2003. Ma nuit a été agitée. Réveillé vers 3 heures, je n’ai pu me rendormir avant 4 heures et demie. Mon sommeil ne dut pourtant pas être très profond car je me réveillai 35 minutes plus tard environ et à nouveau, plus moyen de dormir. Quelques minutes s’écoulèrent, 15 ou 20 peut-être. Bien que toujours éveillé, une douce torpeur m’envahissait. Soudain, une voix accorte, m’avertit d’une présence étrangère mais bienveillante dans la chambre à coucher, présence qui m’est décrite comme étant un être venu d’ailleurs, un extraterrestre. A ce moment précis, et comme pour confirmer ce que je venais d’entendre, ma tête astrale s’est soulevée, pas ma tête physique car je dois préciser que durant cette formidable rencontre, à aucun moment mon corps physique n’a effectué le moindre mouvement et mes yeux sont restés clos. Je l’ai alors aperçu, là, se tenant debout dans la chambre devant la porte de la salle de bains et regardant vers le lit. Il était d’une taille relativement petite que j’évaluerai à 1,50 mètre, avec une tête ovale, un visage présentant des traits parfaits et des yeux en forme d’amande. Je n’apercevais que son torse. Le personnage portait une tunique et avait, m’a-t-il semblé, des cheveux fins et noirs à l’arrière de la tête sans que je puisse toutefois les apercevoir clairement, et il émanait de tout son être une lumière bleue, l’une de ces lumières que l’on ne peut oublier. Tout dans son maintien et dans son regard indiquait une immense sagesse ainsi qu’une bonté et une douceur inconnues sur la Terre. Soudain, le personnage s’est animé et presque instantanément, en glissant, a fait le tour du lit pour se retrouver à côté de moi. Durant ce déplacement, ma tête astrale s’est recalée sur ma tête physique toujours immobile. La peur m’envahit, mais aussitôt, la voix que j’ai déjà entendue me rassure. Alors, l’être tend les bras en avant et commence, à une vingtaine de centimètres de mon corps, une imposition des mains, par un 'balayage' lent, depuis mes pieds jusqu'à ma nuque. Je ressens une extraordinaire augmentation d’énergie vibratoire. Cette énergie prend possession de moi en m’enveloppant depuis les pieds jusqu’au dessus de la taille, exactement comme si j’enfilais un survêtement, et continue sa progression le long de l’épine dorsale jusqu'à la base de la tête. Un courant d’air glacial me parcourt l’échine et je ressens beaucoup de frissons. L’être bleu se retire alors tout doucement pour disparaître à travers la porte d’entrée de la chambre. L'autre présence que j’ai ressentie tout au long de la rencontre est toujours derrière moi. Je comprends alors qu’il s’agit d'une entité spirituellement très élevée, un être de Lumière si vous préférez, et que la voix que j’ai entendue à deux reprises était la sienne. Je le vois

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se pencher sur moi, un peu comme pour vérifier le travail accompli par l’être bleu et ensuite, extrêmement détendu et calme malgré ce que je viens de vivre, je sombre dans un sommeil sans rêve qui ne sera brisé que par l'alarme de ma montre électronique. A mon réveil, je me souviens de tout, je ressens toujours énormément d’énergies, sous forme de vibrations et de picotements, et la sensation d’avoir changé à la suite de cette rencontre devient rapidement une certitude. Les choses de ce monde, bien qu’elles fassent toujours partie de mon environnement, me semblent plus futiles encore. Cette double rencontre extraordinaire m’a ouvert à une dimension nouvelle, je me sens libéré, non pas physiquement, mais spirituellement. » (Vincent). Tout le monde est médium. « Tous les êtres évolués peuvent nous entendre parfaitement sans le concours d’un médium à condition de développer leur écoute intérieure. » (CHRISTOPHE dans Paroles de lumière, p. 31, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Vous semblez tous à des degrés divers tracassés et turlupinés par le phénomène de canalisation. Je vous comprends. Et oui, c’est vrai que pour certains d’entre vous ce phénomène est récent mais il va falloir vous y habituer car dans un proche avenir, les communications télépathiques seront pour vous aussi naturelles que lorsque vous émettez des sons avec votre bouche. Cependant, nous concevons fort bien que ce mode de communication étant loin d’être habituel (et non validé par la science que vous avez) peut vous sembler non réel et comme venant de votre subconscient. Non ! Les communications que vous recevez sont bien réelles ! Chacun de vous reçoit des messages en fonction de ses capacités, de ses connaissances, de ses compétences et aussi de ses expériences passées ici sur terre ou dans d’autres mondes. Un excellent test pour vérifier que ces communications sont bien réelles est la réaction de votre cœur. Si votre cœur dit oui, c’est que c’est oui ! Plus tard vous rirez de vos doutes. Tout sera très clair. Patientez encore un peu. D’autre part le channeling n’est pas un travail à la chaîne. Il se peut que vous passiez de longs moments sans canaliser. Rien n’est grave et tout est nécessaire, même le " silence radio ". A bientôt ! » (Message du commandant Ashtar reçu par Marie-Hélène le 14 juin 2003). Images en provenance de l’au-delà : le cas " Romy Schneider ". Il nous a paru intéressant de vous livrer ici un extrait du livre de Rémy Chauvin et François Brune, En direct de l’au-delà, (voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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« Les ondes rémanentes pourraient aussi être à l’origine de certaines images paranormales. Ce serait peut-être l’explication la plus satisfaisante, par exemple, pour la déjà célèbre image de Romy Schneider reçue par Klaus Schreiber, à Aix-la-Chapelle. L’origine paranormale de cette image ne fait guère de doute. D’abord parce que, avant d’apparaître ainsi sur écran, elle s’était déjà manifestée à Klaus Schreiber par la voix, et même plusieurs fois. Voici les dernières phrases reçues d’elle avant son image :

- Klaus, ici Romy. Que c’est beau ! - J’aimerais venir après-demain ! - Je vais me montrer à toi par vidéo.

Effectivement, deux jours plus tard, son image se formait peu à peu sur l’écran de téléviseur de Klaus Schreiber ! Les précisions sur cette image n’ont pu venir que progressivement. Un autre expérimentateur allemand, qui n’a que très peu de résultats personnellement, passe une bonne partie du temps qu’il consacre aux recherches de TCI à démontrer que les autres sont des faussaires. Il faut bien alors, pour réfuter ses accusations, pousser les études plus loin. C’est ainsi qu’il avait repéré que cette image de Romy Schneider correspondait à un passage du film " La jeune fille et le commissaire ". Une comparaison minutieuse des images a donc été entreprise à Vienne. Il en ressort que l’image reçue par Klaus Schreiber ne peut venir directement du film ni même de ses chutes. Dans, ce film, Romy est en plein mouvement, et un certain angle blanc que l’on aperçoit derrière son profil ne se trouve que sur une seule photo. A Aix-la-Chapelle, Romy ne bouge pas mais cet angle glisse légèrement derrière sa chevelure. La largeur du visage n’est pas tout à fait la même. Il semble que l’angle de prise de vue ait été un peu différent. Mais surtout, sur l’écran de Klaus Schreiber, l’image ne se forme que lentement, en partant d’une masse blanche très confuse où le profil de Romy ne devient reconnaissable que tardivement. Aucun cadreur ne garderait son emploi avec une mise au point si défectueuse. Enfin, répétons-le, Klaus Schreiber travaillait en circuit fermé, ce qui tout de même exclut en principe toute interférence. Redisons-le aussi, tous ceux qui ont connu K. Schreiber sont absolument formels. Il était au-dessus de tout soupçon. Martin Wenzel, ingénieur en électronique, qui l’a bien connu pendant des années et a pu contrôler son travail, me l’a confirmé plusieurs fois. Il n’y a aucun doute là-dessus. Mais alors, d’où vient cette image où Romy apparaît toute jeune encore, dans tout son éclat ? Probablement de Romy elle-même dans l’au-delà, puisqu’elle s’était annoncée à Klaus. Mais comment expliquer à la fois, cette extraordinaire ressemblance avec le film jusqu’à ce détail de cet angle blanc derrière sa chevelure, et la différence qui rend possible d’admettre une provenance directe ? Et bien, il est fort possible que Romy ait puisé elle-même dans ces fameuses archives akashiques*, dans les ondes rémanentes du temps où elle tournait ce film, pour nous envoyer une image d’elle-même qui lui plaisait particulièrement. Peut-être voulait-elle par là nous faire comprendre qu’elle avait aujourd’hui retrouvé sa jeunesse, comme au temps où elle tournait ce film. » (François Brune). Transcommunication instrumentale avec les animaux. Dans son livre " Le prêtre, la médium et le chien " (voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage), l’abbé Jean Martin raconte son expérience d’essais de TCI avec des animaux et notamment son fidèle chien Kim.

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Nous avons eu le bonheur d’être en contact avec cet homme d’une gentillesse et d’une bonté exemplaires quelques temps avant que notre petite chatte Mirabelle disparaisse de chez nous le 3 septembre 2004. Mirabelle vivait avec nous depuis cinq ans. C’était une très jolie petite chatte à longs poils noirs et blancs. Nous l’adorions et c’était un bonheur de la voir déambuler nonchalamment dans la maison ou jouer avec son frère Alizé. L’hiver, lorsque nous allumions un feu de bois, elle se prélassait sur le sofa enlacée avec Alizé ou elle se couchait carrément devant le feu sur le dos, les quatre pattes en l’air. C’était un amour de chat, fort indépendante de nature mais très affectueuse. Mirabelle, un matin de septembre, est partie faire son petit tour de vérification de son territoire, comme d’habitude. Le soir, elle n’est pas rentrée, ni les autres soirs d’ailleurs. Nous avons cherché dans tous les coins, nous avons appelé, nous avons téléphoné dans le quartier, bref toutes nos investigations se sont soldées par des échecs. Mirabelle était introuvable. C’est alors que nous avons eu l’idée d’en parler à l’abbé qui nous a gentiment proposé de tenter un contact par TCI avec elle au cas où elle serait morte (nous n’en savions rien, nous n’avons jamais retrouvé son corps…). Un soir, il fit un essai et … obtint Mirabelle. Le message fut assez laconique. En effet Mirabelle lui disait « je suis près de toi » à la question « où es-tu Mirabelle ? », puis subitement une phrase étrange : « On me délaisse », ensuite plus rien. Jean Martin nous fit part de ce contact qui nous laissait avec quelques interrogations. Qu’avait voulu dire Mirabelle ? Que signifiait « on me délaisse » ? Si elle était morte, elle se trouvait dans l’au-delà ou alors dans un plan très proche de la terre. Y errait-elle, ne sachant vers où se diriger ? Ou alors, était-elle encore vivante et communiquait-elle par télépathie avec l’abbé Martin). Nous étions vraiment perplexes. Jean Martin nous proposa d’attendre un peu avant une nouvelle tentative de TCI tout en priant pour Mirabelle, ce que nous fîmes chacun de notre côté. Quelques jours plus tard, il entra en communication avec son chien Kim et son chat Oscar qui lui dirent : Oscar : (sois) rassuré, (sois) rassuré, il est bien là ! (Faut) pas s’en faire, il est ici. Kim : c’est le cas pour ça. Je le dis. Elle est là. Oscar : tu l’avais dit. Faut bien prier. Faudra prier… Nous étions maintenant fixés. Mirabelle était morte et se trouvait de l’autre côté. Nous préférions la savoir dans l’au-delà plutôt qu’en train de souffrir ici-bas. De toutes façons, nous la reverrons quand, à notre tour, nous passerons de l’autre côté. Quelques jours plus tard, Jean Martin tenta un contact TCI avec Mirabelle. Elle était au rendez-vous et lui dit : « Je suis libérée…. J’ai la paix … Je regrette d’avoir traîné … Monsieur l’abbé j’ai la paix… » A la question de l’abbé demandant si elle avait un message pour nous : « arrêtez (de vous tracasser). J’ai la paix…. » A la question de savoir si elle désirait entrer en contact à nouveau ultérieurement : « Oui » puis en guise de conclusion : « J’ai la paix, bien la paix. » Nous avons poussé un soupir de soulagement. Mirabelle le dit et le répète : elle est à présent en paix. Que s’est-il passé ? Nous lui demanderons ultérieurement mais nous avons l’intuition qu’elle a été heurtée par un véhicule. Ce choc sans doute très violent a provoqué sa mort et Mirabelle s’est peut-être retrouvée, errant avec son corps éthérique, et ne pouvant réintégrer son corps physique sans vie. Dans le désarroi, elle ne savait que faire et a sans doute continué à errer. Les prières formulées par Jean Martin et par nous-mêmes l’auront sans doute fortement aidée… Personnellement j’ai toujours cru que Mirabelle était morte car une semaine après sa disparition, alors que j’étais dans ma cuisine, j’ai soudain ressenti la présence d’un être décédé car les frissons caractéristiques qui m’envahissent à ces occasions se sont manifestés et j’ai pensé immédiatement à Mirabelle. Récemment l’abbé Martin a tenté un nouveau contact avec Mirabelle. Voici ce qu’elle dit : Après un appel et une prière de l’abbé : « Mais oui : tu m’appelles ! Je viens vite, je suis là ». L’abbé demande ensuite un signe de présence pour nous : « Oui, je suis là. Je suis bien ! » L’abbé demande que Mirabelle parle d’elle : « Mais oui, je vais bien. J’hérite par

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là » (paroles laconiques, difficiles à comprendre et dont le sens pourrait échapper mais Jean Martin, très expérimenté dans la TCI, pense que Mirabelle parle d’un " héritage spirituel "). Jean Martin demande que Mirabelle nous délivre un message concernant ce que nous avons entrepris, à savoir … la rédaction de cet ouvrage : « Oui, c’est bien ! ». L’abbé demande si Mirabelle aurait autre chose à dire : « Et bien, je suis là. Je t’aide par là ! (Mirabelle veut-elle dire qu’elle aide l’abbé dans ses transcommunications ou peut-être qu’elle nous aide, Vincent et moi, dans nos entreprises…). Jean Martin conclut la transcommunication en souhaitant la paix à notre petite chatte et qu’elle rayonne sur ceux que Mirabelle aime. Celle-ci répond : « Oui, c’est très bien. Je veille sur ça. Je t’aime bien. » (Petite parole affectueuse pour l’abbé qui, c’est vrai, consacre énormément de son temps à apporter par la transcommunication aide et réconfort aux personnes qui ont perdu un être cher qu’il soit humain ou animal, nous nous joignons à " Mimir " pour lui témoigner ici toute notre reconnaissance). Petite méthode pour pratiquer le channeling. Nous publions cette petite méthode avec l’aimable autorisation de notre amie Muriel HUYSENTRUIT, voyante-médium. 1. D’abord se mettre à l’écart du bruit, avec papier et crayon ; 2. Faire une petite méditation pour se débarrasser du stress. Fermer les yeux et se protéger avec la Flamme Bleue d'Astréa. 3. Appeler les EDL (Etres de Lumière) à voix haute ou en pensée en leur demandant d’envoyer un signe pour être sûr que c’est bien à eux qu’on s’adresse. En général, on ressent une impression de chaleur ou un autre signe physique : sommet de la tête qui chatouille, frissons, etc… 4. Demander (à voix haute ou en pensée) qui va nous donner les messages. Quelquefois, le nom ne dit rien, mais le noter quand même, c’est toujours bon de savoir qui nous contacte, afin de se renseigner ensuite. 5. Se laisser aller, lâcher prise et poser des questions préparées ou non : quelquefois, c’est spontané. 6. Parfois, cela ne marche pas, parce que l’on n’est pas assez prêt ou que l’on ne se fait pas suffisamment confiance. 7. Quand c’est le bas astral ou le mental qui répond, on ressent un malaise au niveau de l’estomac ou du cœur. Là, il faut arrêter tout de suite. 8. Quand le cœur dit « OUI », alors c’est que c’est bon. On le ressent à la manière dont le cœur réagit. 9. Quand c’est fini, ne pas oublier de dire « MERCI ». Petits conseils destinés aux futurs channels. Normalement, quand on est sur le point de recevoir des messages, des signes physiques se font ressentir (chaleur diffusée dans le corps à certains endroits, palpitations du cœur, larmes de joie qui coulent, etc.) : il faut laisser " venir " les sensations. Les messages peuvent être des " concepts " qu’on traduit par des mots (pour certains ce sont des images, pour d’autres ce seront des sensations et pour d’autres encore des mots qui n’auront pas de signification sur le moment). Tout dépend de la personne, chacun est différent au niveau des ressentis, la façon dont on reçoit un message est un ressenti très fort. Au début, les messages ont l’air de venir du mental, mais avec de l’exercice, on s’aperçoit qu’ils viennent bien des EDL en passant par le cœur. On peut, par exemple, pour commencer, faire une petite liste de questions auxquelles on veut des réponses personnelles. Les réponses arrivent sans qu’on se rende compte. Les mots viennent, coulent d’eux-mêmes et on sent qu’on est " bien ".

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Au début, les futurs channels peuvent demander des confirmations à d’autres plus expérimentés. A ces channels " confirmés ", on demande d’être honnêtes et de ne pas hésiter à dire vraiment ce qu’ils pensent par rapport aux messages. C’est avec des tentatives et des essais qu’on avance. Il faut mettre son ego et son orgueil de côté, " il faut être apprenti avant d’être maître " et prendre les conseils et les avis comme un enfant qui apprend avec son cœur et avec des yeux émerveillés. Contacter les autres dimensions par la prière : témoignages. Nos désirs peuvent-ils être exaucés par la prière ? Comment procéder… « Tandis que nous retournions à la première chambre, notre chef demanda si un désir pouvait se réaliser aussitôt exprimé. Notre hôtesse répondit que tout désir exprimé sous une forme parfaite se réalisait. Elle ajouta que le désir est une forme de prière, que c’était la forme parfaite de prière que Jésus employait, car elle était toujours exaucée. Une prière toujours exaucée ne peut qu’être parfaite, donc scientifique, et si elle est scientifique, elle doit être conforme à une loi précise … Notre hôtesse continua : cette loi est la suivante : « Votre prière est exaucée selon votre foi. » Je dirai sous une autre forme : « Quels que soient les objets de vos désirs quand vous priez, croyez que vous les avez reçus, et vous les aurez. » Si nous savons positivement que tout ce que nous demandons est déjà nôtre, nous saurons aussi que nous travaillons en accord avec la loi. Et si le désir est réalisé nous saurons que la loi est accomplie. Si le désir n’est pas réalisé, nous saurons que nous avons demandé à faux. La faute n’en incombe pas à Dieu mais à nous. Dans ce cas, voici le commandement : « Vous aimerez le Seigneur votre Dieu de tout votre cœur, de toute votre âme, de tout votre esprit, de toute votre force, et de toute votre pensée. » Maintenant descendez au plus profond de votre âme, sans préjugé, sans crainte, et sans incrédulité, avec un cœur joyeux, libre et reconnaissant, sachant que les choses dont vous avez besoin vous appartiennent déjà. Le secret consiste à se mettre consciemment à l’unisson avec Dieu. Il faut ensuite s’y maintenir sans dévier d’une ligne, quand bien même le monde entier s’y opposerait. Jésus disait : « De moi-même je ne puis rien faire. Le Père qui habite en moi fait seul le travail. » Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, ne craignez pas. Souvenez-vous qu’il n’y a pas de limite à la puissance de Dieu. « Toutes choses sont possibles. » En formulant votre demande, employez des mots positifs. Rien n’existe que l’état de perfection souhaité. Ensuite, plantez dans votre âme la graine d’idée parfaite à l’exclusion de toute autre. Demandez à manifester la santé et non à être guéris de la maladie. Priez pour exprimer l’harmonie et réaliser l’abondance, et non pour être délivrés de l’inharmonie, de la misère, et des limitations. Rejetez ces dernières comme de vieux vêtements. Ce sont de vieilles affaires, les seules dont vous n’avez plus besoin. Vous pouvez vous en débarrasser joyeusement. Ne tournez même pas la tête pour les regarder. Elles sont oubliées, pardonnées, retournées à la poussière d’où elles venaient. Elles n’existent pas. Tous les espaces qui paraissent vides autour de vous, remplissez-les de la pensée de Dieu, le Bien infini. Ensuite, rappelez-vous que la parole est une graine. Il faut qu’elle croisse. Quant à savoir où, quand, et comment, c’est l’affaire de Dieu. A vous il appartient seulement de dire ce qu’il vous faut, et de donner des bénédictions en sachant qu’à l’instant où vous avez demandé, vous avez reçu. Tous les détails d’exécution du travail concernent le Père. Remplissez fidèlement votre rôle, et laissez le sien à Dieu en ayant foi en lui. Demandez, affirmez, tournez-vous vers Dieu pour vos besoins, et ensuite recevez de lui l’accomplissement. » (Enseignement des maîtres dans Baird T. SPALDING, La vie des maîtres, pp. 160-162, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). (NDLR : Nous avons souligné en gras ce qui nous paraît le plus important dans ce témoignage : c’est vrai que prier de façon efficace n’est pas si simple que cela. Il faut

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absolument avoir et garder la foi dans sa demande et surtout faire « comme si cela était déjà réalisé. Une formule que nous employons souvent lorsque nous avons quelque chose à demander aux " instances supérieures " est celle-ci : « Si tel est le désir de mon âme, si cela est bon pour mon évolution (spirituelle), merci de me permettre de … ou merci de veiller à … » A partir du moment où la requête est formulée avec une foi inébranlable en son accomplissement, il s’agit ensuite de " lâcher prise " sur sa demande. Autrement dit, « J’ai demandé, je laisse faire … cela viendra quand cela viendra... » Ceci est très important. Vous pouvez tester vous-mêmes ce genre de prière, nous vous assurons qu’elle est très efficace !). « … Prononcez la parole d’une façon positive, lucide, avec mesure et discernement. Il n’est pas question de décréter tout d’un coup pour l’un de vos amis que vous lui souhaitez 50 millions ou 50 milliards de quelque monnaie. Il est question simplement de décréter l’abondance normale pour les êtres suivant leur karma ou leur destin car il est des êtres qui n’ont pas un karma ou un destin pour avoir telle voiture somptueuse, telle résidence secondaire, tertiaire ou telle autre chose… Vous devez toujours dire : « par le Christ qui est en moi et par le Christ qui est en X, au nom du Christ cosmique universel, au nom de l’amour/lumière, je décrète la parfaite santé, l’équilibre, l’harmonie, l’abondance spirituelle et matérielle illimitée pour telle âme. » (CHRISTOPHE dans Paroles de Lumière, extrait des pp. 54-55, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Les anges : des intermédiaires très puissants dans la réalisation de nos désirs. Nous oublions souvent de nous adresser à nos anges gardiens lorsque nous avons un souhait. Ceux-ci, comme nous l’avons vu au chapitre concernant les hiérarchies célestes, sont des messagers qui se feront un plaisir de transporter nos demandes (si toutefois celles-ci sont justes et sincères) à qui de droit. Une petite recette en passant : lorsque nous avons un différend avec une personne, parfois, nous nous demandons comment nous pouvons améliorer la situation, quelle solution trouver à ce conflit, bref, comment nous réconcilier. Si nous nous tournions vers notre ange gardien ? Comment ? Simplement en lui demandant de parler ou de se rendre auprès de l’ange gardien de la personne avec qui nous sommes en conflit pour qu’à son tour cet ange inspire une solution à notre " ennemi " ou le réoriente vers des sentiments de paix et d’amour à notre égard. Voici ce qu’il a été donné de découvrir à Betty J. EADIE lors de son expérience de mort imminente (EMI ou NDE, voir notre chapitre consacré à la mort) concernant la façon dont sont " traitées " nos prières par les délicieux compagnons de vie que sont les anges. Ce récit, vous verrez après l’avoir lu, est un peu imagé mais il donne un bon éclairage sur la prière et la façon dont celle-ci est reçue dans les dimensions supérieures : « Les cieux se dérobèrent encore, et je vis le globe terrestre qui tournait dans l’espace. Une quantité de faisceaux, tels ceux d’un phare, en jaillissaient. Certains étaient très puissants et transperçaient le ciel comme de gigantesques rayons laser. D’autres semblaient provenir d’une petite lampe torche, et quelques-uns n’étaient que de simples étincelles. A mon immense surprise, on m’expliqua qu’ils représentaient les prières des Terriens. Des anges se précipitaient pour y répondre. Leur organisation permettait d’apporter le maximum d’aide. Pour contenter chacun, ils volaient littéralement de prière en prière. Leur travail les comblait d’amour et de bonheur. Ils étaient ravis de nous assister, et particulièrement heureux quand quelqu’un disait une oraison avec assez d’intensité et de foi pour recevoir une réponse immédiate. Ils s’occupaient d’abord de celles dont l’éclat et la puissance étaient les plus intenses, puis de chacune selon son ordre d’arrivée, jusqu’à ce que toutes soient exaucées. Toutefois, je remarquais que le faisceau des prières récitées mécaniquement, celles qui manquaient de sincérité, était faible, sinon inexistant ; et certaines, qui ne possédaient aucune énergie, n’étaient même pas perçues.

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Toutes celles qui expriment un désir réel sont entendues et l’on s’applique à les satisfaire. Quand nous sommes dans le besoin, ou quand nous prions pour une autre personne, les rayons émanent directement de nous et se voient instantanément. Les plus belles prières sont celles d’une mère pour ses enfants. Ce sont les plus pures, car elles traduisent un souhait profond et, parfois, le désespoir. Une mère est capable d’offrir son cœur à ses enfants et d’implorer Dieu et toutes ses forces pour eux. Quoi qu’il en soit, nous pouvons tous élever notre âme au niveau du Seigneur par la prière. Une fois que nous avons émis un vœu, nous ne devons pas faire montre d’impatience, mais accorder notre confiance au pouvoir du Créateur de le combler. Il connaît nos exigences de chaque instant et n’attend que d’être invité à nous contenter. Il est tout-puissant pour répondre à nos requêtes, mais Il doit s’en tenir à Sa loi et à nos attentes. Il faut que Sa volonté devienne la nôtre. Notre confiance en Lui ne doit jamais faiblir. Une demande formulée avec loyauté et foi sera toujours récompensée. Une prière pour le bien d’autrui jouit d’un très fort impact. Mais elle ne sera exaucée qu’à condition qu’elle n’aille pas à l’encontre du libre choix de celui qui en est l’objet, et qu’elle ne le frustre pas de ses espoirs… » (Betty J. EADIE, Dans les bras de la lumière, pp. 99-100, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Une prière miraculeusement exaucée. Le 31 juillet 1993, nous décidons d’une petite excursion à Banneux. (Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est en Belgique un des deux lieux d’apparitions de la Vierge Marie, l’autre, officiellement reconnu étant Beauraing). Nous ne nous étions encore jamais rendus dans cet endroit pourtant situé à quelques dizaines de kilomètres de notre domicile. Le temps est ensoleillé et les pèlerins nombreux. Nous nous asseyons devant la " chapelle des apparitions " et sans vraiment y croire je dis en moi-même, m’adressant à la Vierge : si tu existes vraiment, fais-moi un signe, là, maintenant ! Mais … pas de signe. Pourtant il aurait été le bienvenu à cette époque car nous étions bien déprimés et manquions cruellement d’argent celui-ci passant presque intégralement dans un refuge pour animaux (16 chiens et 8 chats) que nous avions repris contre vents et marées à la mort de notre amie Nanou. Bref, ce jour-là nous rentrons à la maison et personnellement je suis très déçue de ma visite à Banneux… Pourtant, ma curiosité naturelle me fait entreprendre de lire plusieurs ouvrages sur les apparitions mariales dans le monde et tout en étant émerveillée de ce que je lis (je veux bien y croire), je me dis que tout cela n’est pas pour moi et que la Vierge a sûrement autre chose à faire que de me donner un signe. Le temps passe et notre situation financière et morale s’aggrave car Vincent, victime d'une terrible hernie discale, est alors en incapacité de travail durant plusieurs mois. La vie continue cependant et le refuge nous demande toujours beaucoup de sacrifices. De mon côté, là où je travaille, j’ai parfois le temps de lire et je suis en train de parcourir un petit ouvrage sur les apparitions de la Vierge à San Damiano en Italie. Nous sommes le 27 octobre 1993. Je suis seule ce jour au travail (mon collègue est parti) et je suis en train de lire ce petit ouvrage mais je le referme brutalement car je suis excédée : il est dit dans le bouquin que tous les vendredis, les pèlerins peuvent amener aux pieds de la Vierge (sa statue, je pense) des petits mouchoirs qu’elle bénit. Ces petits mouchoirs (vendus sur place, je suppose) sont sensés apporter aide et réconfort aux gens qui souffrent moralement et physiquement. Donc, je referme brutalement le bouquin en me disant : « Comment pourrais-je avoir un petit mouchoir ainsi pour soigner Vincent s’il faut que je courre à San Damiano ? Avec nos chiens et chats c’est impossible et de toute façon, il faut de l’argent pour ce voyage ! » Il est plus ou moins 14h30. Je ne pense plus à tout cela. Vers 16 heures je téléphone à maman et alors que je suis en train de lui parler, mon regard est attiré sur mon genou gauche (j’ai les jambes croisées et je regarde dans le vide comme quand on est au téléphone) et sur ce fameux genou gauche SE MATERIALISE à l’instant… un petit carré de tissu tout blanc, tout propre, tout lisse. J’en perds la voix et je raccroche quasi au nez de maman.

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Vous imaginez ma surprise mais je fais directement le rapprochement avec ces fameux mouchoirs d’Italie. Mon cœur bat la chamade, je suis pétrifiée… puis je prends peur et je prends mes jambes à mon cou pour aller rejoindre Vincent qui soigne tant bien que mal nos " petits protégés " au refuge. Je lui raconte ce qui vient de se passer. Il me dit : « Cela ne m’étonne pas ». (Je n’ai jamais compris pourquoi il m’a fait cette réflexion, il n’a pas su me l’expliquer). Et bien ce petit mouchoir appliqué sur la hernie de Vincent l’a guérie en trois jours ! Incroyable. Les jours qui ont suivi ce " miracle ", je me suis posée la question de savoir ce que je devais faire de ce magnifique présent. Je me suis creusée et je me suis dit que ce serait bien de le partager avec des personnes qui souffraient et je l’ai découpé. Je pense maintenant que ce n’était peut-être pas cela que Marie voulait mais soit, je l’ai découpé. Il m’en reste encore une partie que j’ai placée dans un médaillon que je porte au cou, actuellement. Ce petit mouchoir a souvent fait des merveilles : apaiser les douleurs, et guérir et bien que l’ayant un peu laissé de côté pendant des années je crois plus que jamais à ses très hauts pouvoirs thérapeutiques. Je me suis récemment guérie d’une excroissance qui poussait sur le blanc de mon œil (quelques applications et une prière à Marie). Ce mouchoir a été contrôlé par des radiesthésistes. Leur conclusion : cela ne vient pas d’ici (sur terre), ils l’attribuent tous à Marie et les vibrations qu’il dégage sont pratiquement incommensurables. (Marie-Hélène). Comment prier. « C’est moi, Ashtar Sheran, qui veux te parler petite sœur de la terre. Lorsque quelqu’un, sur votre terre, de même que dans l’univers envoie des pensées positives à un autre, il ne faut pas croire que ces pensées d’amour se perdent en cours de route. Non, elles forment une espèce de faisceau d’énergie qui atteint l’être auquel elles sont adressées. C’est ainsi aussi qu’il est important de prier : prier ne veut pas dire réciter des formules toutes faites (le faisceau est moins intense). Prier veut dire envoyer des ondes d’amour. Prier veut aussi dire demander aux EDL, notamment, et à Dieu, forcément, une amélioration des choses pour soi ou pour quelqu’un ou même pour la terre et la marche du monde en général. Il y a de multiples façons de demander. Ce n’est pas tant la " formule " de demande qui compte, c’est le contenu de la demande. Ce contenu doit refléter l’amour. Sache en tout cas petite sœur que cette activité oubliée (la prière) devrait être une activité quotidienne. Elle l’est pour certains êtres mais souvent ils prient " mécaniquement ". Cela ne fait pas de tort, bien sûr mais cela ne rapporte pas grand-chose. Je vous dis donc, adressez vos demandes, vos espoirs à Dieu et aux Etres de Lumière. Concentrez-vous sur ce que vous faites. Faites cela sérieusement mais simplement comme si vous parliez à un (des) ami(s). Dieu et les Etres de Lumière perçoivent la " couleur " de la prière au sens propre comme au sens figuré. Chez nous, nous prions, nous méditons, seuls ou en groupe, comme sur terre et comme dans l’au-delà. Vous ne pouvez pas imaginer la puissance de la prière bien faite. La prière doit avoir la couleur de l’amour. Dieu et les Etres de Lumière feront en sorte d’y répondre, favorablement. Tu te souviens du mouchoir de Marie, ta prière avait été vibrante et avait, en tout cas, la merveilleuse couleur de l’Amour. Pourtant tu n’avais pas " mâché " tes mots. Marie t’a entendue. Tu en as vu le résultat. Voilà petite sœur, c’était ce que je voulais te dire par rapport à la prière. Transmets ceci aux personnes qui se posent des questions concernant la prière. Ce message sera leur réponse lorsqu’un de leurs proches leur demandera à quoi cela sert et comment prier. Je t’aime et je t’embrasse petite sœur. À bientôt. LE COMMANDANT ASHTAR (qui prie pour la terre). » (Message reçu en channeling par Marie-Hélène, 2003).

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Prier pour les défunts. « Michel : toute prière jaillit en petites lumières de couleurs différentes qui en indiquent la provenance … La prière est lumière, voilà pourquoi certains d’entre nous (les décédés) ont besoin de prières …Toute action humaine devrait être prière. » (Michel dans BELLINE, La troisième oreille, extrait des pp. 130-131, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). La méditation. Introduction. La méditation est également un excellent moyen d’entrer en contact avec les autres dimensions mais elle est aussi une technique qui permet de se recentrer, de déconnecter de la réalité de troisième dimension afin de nous retrouver, de mieux saisir notre vraie nature d’êtres avant tout spirituels, notre essence propre : l’essence divine qui nous habite tous !

Il existe plusieurs façons de méditer. Ci-après nous vous en proposons trois qui ont chacune un but différent. Il existe de nombreux ouvrages spécialisés traitant du sujet mais aussi des CD qui permettent de belles expériences, qui conduisent à de " beaux voyages " et qui amènent à retrouver ce qui nous manque à chacun dans notre société légèrement " déboussolée " : le calme intérieur, l’harmonie… Exemples de méditations. Méditation de la bouteille de lumière dorée (à pratiquer lorsqu’on se sent fatigué, pour se ressourcer, pour rayonner). « Détends toi … Vois ton corps … Prépare-le à recevoir ces énergies … Visualise chaque chakra qui se dénoue et se prépare à se laisser traverser par l’énergie de la source … Ton chakra coronal s’ouvre, ton troisième œil s’ouvre, telle une fleur qui s’épanouit … ta gorge, ton cœur s’ouvre et se déploie, le plexus se relâche, le hara s’ouvre, ton périnée se relâche… Maintenant, tu es prêt(e) à te remplir … visualise un liquide doré qui coule en toi, d’abord comme une bouteille qu’on remplirait par le chakra coronal … vas-y. Ton enveloppe corporelle est le récipient de cette lumière liquide d’or … Une main céleste est là perpétuellement en train de verser en toi cette lumière Divine.

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Vois comme ce liquide doré monte en toi, vois tes pieds se remplir de cette lumière, vois le niveau monter, à tes chevilles, puis tes mollets, le niveau d’or est maintenant à tes genoux, et monte tranquillement le long de tes cuisses, la bouteille continue de se remplir … L’intérieur de ton corps se remplit de cette lumière dorée … ton bassin se remplit de ce liquide, vois la région de ton nombril, à l’intérieur, ton ventre est plein maintenant de cet or … le plexus solaire baigne maintenant dans cette énergie qui lui est si familière … Et le niveau monte encore et encore … c’est maintenant toute la région de ton thorax qui s’emplit de lumière, ton cœur s’ouvre et devient un superbe cœur doré … le niveau monte jusqu’à tes épaules, prends bien soin de les relâcher … Ton cou gagne cette lumière, tu vois le niveau monter, la gorge, et maintenant c’est tout l’intérieur de ton crâne qui est empli de cette énergie d’or, et le niveau monte encore jusqu’au somment de ta tête … Prends conscience à quel point tu es relié(e) à la Source d’Amour intarissable … cette énergie universelle est constamment à ta disposition, elle coule en toi à chaque instant ! Plus tu en prendras conscience, plus tu en ressentiras les bénéfices, et ainsi, tu ne te sentiras plus en fuite d’énergie … Maintenant que la bouteille est bien remplie, et toujours connecté(e) avec le Père céleste, imprègne-toi bien de cette image de ton corps, comme une enveloppe qui contient tout cet or liquide et vaporeux en même temps … Vois le canal au-dessus de ta tête qui déverse cette énergie … Coule en toi bien plus d’énergie que ne peut contenir ton corps… Et vois maintenant cet épais liquide d’or qui déborde de ton chakra coronal … Et cette lumière coule à l’extérieur de ton corps, et vient illuminer de l’extérieur ton enveloppe corporelle … cette énergie déborde sur tes cheveux, ton visage, ton menton, ton cou, tes épaules … vois ce halo lumineux qui se forme autour de toi, et cette énergie d’or continue de couler à l’extérieur de toi, ton thorax s’éclaire, ton dos, ton ventre, tes fesses, tes cuisses, tout devient doré … tes genoux, tibias et mollets s’illuminent, tes chevilles tes pieds … Tu peux désormais te voir tel(le) que nous, êtres de Lumière des dimensions plus élevées pouvons vous voir à chaque instant ! Vous êtes des Flammes d’or ! Vois comme tu es empli(e) à l’intérieur de cette lumière Christique dorée, vois comme tu rayonnes à l’extérieur ! Vois le halo qui se forme autour de tout ton corps et prend de plus en plus de place autour de toi ! Ce sont maintenant tous tes corps subtils que tu vois s’illuminer de cette lumière dorée … Tu rayonnes de plus en plus loin ! Maintenant que tu es gonflé(e) de cette lumière, tu peux enlever les " bouchons " de la bouteille, ceux qui sont situés sous tes pieds … Laisse l’énergie circuler sous tes pieds… Sens le liquide couler jusqu’au centre de la terre, tu peux ainsi nourrir Gaïa de cette lumière ... Gaïa sait recevoir tout ton Amour … Elle en a besoin … Elle sait aussi donner ! La terre-mère te nourrit à son tour de son énergie … Une belle énergie d’argent, qui remonte le long du canal que tu as ouvert en lui partageant tes énergies dorées, cette lumière d’argent remonte en toi et vient se fondre en toi … Vois-la se mélanger à la lumière dorée que tu portes en toi ! Tu es maintenant le juste mariage entre les énergies de Gaïa, et les énergies du Père Céleste. En ton corps circule ce juste mélange des énergies féminines et argentées de notre mère la Terre, et les énergies masculines dorées de notre Père … Ressens cet équilibre qui se fait en toi … Et toi, tu es là, entre ciel et terre, matérialisant ce mélange de ces énergies, tu es là pour les manifester ! Ton corps est là, le fruit de ce mariage ! L’Amour de la mère et du Père coulent en toi. Tu manifestes cette superbe énergie dans la matière. Rayonne, rayonne encore et encore autour de toi ! La Source coule en toi et ne se tarira jamais ! » (Ashtar reçu en channeling par Evreah le 29 février 2004. Avec l’aimable autorisation d’Evreah).

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Méditation de groupe pour favoriser la guérison d’une ou plusieurs personnes (guérison énergétique). Cette méditation doit se pratiquer à plusieurs. Il est bon dans ce cas que quelqu’un lise la méditation lentement à voix haute pendant que les autres participants " méditeront ". Vous pouvez également l’écouter en fichier audio sur le site cité plus bas. « Prenons tout d’abord le temps de bien nous ancrer, nous ancrer à la terre. Nous pouvons nous imaginer des racines d’or qui partent de la plante de nos pieds bien posés au sol et qui descendent profondément jusqu’au centre de la terre, nous reliant ainsi aux énergies de Gaia, énergies de Gaia qui remontent le long de ces racines et viennent remplir tout notre être, et de la même façon que nous nous sommes ancrés à la terre, nous pouvons nous relier au Ciel et imaginer un faisceau de lumière dorée qui remonte le long de notre colonne vertébrale, traverse notre cou et remonte jusqu’au sommet de notre tête, poursuit sa progression vers les plus hautes sphères, canal de lumière qui vient nous relier aux énergies célestes. Par ce canal se déverse en nous la plus pure lumière qui vient remplir tout notre être … (pause) … Nous pouvons nous visualiser en cercle, imaginer nos frères et nos sœurs qui vont avancer dans ce travail de guérison, mise en commun de toutes nos énergies qui sont ainsi amplifiées … (pause) … Nous sommes en cercle, nous nous tenons par la main et nous laissons ainsi traverser tout notre être par les énergies du groupe. Nous somme Uns, reliés les uns aux autres, reliés à la terre, reliés au Ciel. Nous ne faisons qu’Un avec l’Univers … (pause) … Une belle énergie dorée circule à travers nous de haut en bas, de bas en haut, d’un côté à l’autre et nous formons ainsi un grand cercle de Lumière au milieu duquel vient se placer la personne à qui nous allons donner le soin. Elle s’avance et se place au milieu du cercle … (pause) … Notre lumière vient rayonner jusqu’à elle et, vient s’ouvrir au-dessus un faisceau de pure lumière, un faisceau d’amour qui s’élargit, s’illumine et qui fait rayonner cette personne. Tout rayonne si bien qu’on ne sait plus si la Lumière vient du Ciel ou de la terre ou bien du cercle que nous formons … (pause) … Un beau halo lumineux, une belle lumière transparente, lumière dorée, une lumière pure, une lumière d’amour … Nous pouvons encore renforcer cette énergie de guérison et sentir la lumière que nous concentrons dans notre cœur, chacun pour soi, laisser s’amplifier cette boule de lumière qui part de notre cœur, qui devient de plus en plus grande, déborde de notre corps physique, remplit notre corps éthérique, tout notre champ énergétique. Nous pouvons laisser émaner de notre cœur un faisceau de pure lumière qui va se diriger vers notre amie qui reçoit ce soin. Ainsi tous les cœurs des frères et sœurs se mettent à rayonner en direction de cette personne. Cette lumière concentrée vient la purifier, la libérer de tous ses maux, de toutes ses mémoires et vient déprogrammer les anciens schémas pour y amener un niveau progressif d’amour, d’amour inconditionnel, d’amour pur … (pause) … Respirons profondément, laissons s’infuser cette lumière. Avec nos respirations profondes, ce faisceau de lumière s’intensifie en préservant toute la douceur qui est nécessaire à la guérison … (pause) … La personne reçoit les énergies qu’elle est en mesure d’accueillir. Nous la voyons très belle dans cette lumière, dans cette sphère de lumière dorée. Nous pouvons la visualiser complètement guérie, en parfaite santé, rayonnant dans cette perfection divine … (pause) …Cultivons l’image de cette personne en pleine santé, détentrice de son plein potentiel divin, magnifique ! ... (pause) … Prenons conscience de l’amour qui règne, ce profond ressenti d’amour, amour inconditionnel, amour lumière, amour énergie qui nous baigne tous … (pause) … Ce rayonnement d’amour peut s’étendre au-delà du cercle. Il se diffuse avec la même intensité tout autour de nous. Nous adressons cet amour à la Terre, à Gaïa, à l’esprit de la Terre, à la terre qui nous nourrit, à la Terre qui nous porte … (pause) … Portons cet amour à tous les êtres qui peuplent cette planète et nous pouvons aller au-delà et laisser rayonner cet amour à tout l’Univers, à toute la Création, à l’Universalité, à Dieu. Ressentons cette énergie d’amour que nous adressons à l’Univers et que l’Univers nous adresse … (pause) … Ressentons cette énergie d’amour de notre cercle en incluant la personne que nous soignons et nous pouvons nous imaginer que nous nous serrons très

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fort dans les bras pour nous témoigner de façon humaine ce bel amour que nous ressentons. Merveilleux partage d’amour, merveilleuse diffusion de Lumière. Nous sommes la manifestation de la perfection divine … (pause) …Respirons profondément et laissons-nous porter par ces énergies … (pause) … Remercions-nous mutuellement, remercions la personne que nous venons d’illuminer de notre Lumière et qui nous a permis d’être ensemble à retrouver toutes nos potentialités de guérison. Merci à elle, merci à nous, merci à Gaïa, merci à toute la Création, merci à la Source. Merci … » Voici donc deux exemples de méditations très puissantes et bienfaisantes : vous pourrez en trouver bien d’autres sur le site de notre amie Evreah dont voici les coordonnées internet : http://cachrachel.chez-alice.fr/. Sur ce site, les méditations sont en format audio, c’est un véritable délice de se laisser porter par la voix d’Evreah et de ses collaborateurs et collaboratrices. Méditation-visualisation : voyage au cœur du règne minéral. Cette méditation-visualisation peut être pratiquée pour se ressourcer, se relier aux énergies du monde minéral, à la nature tout entière.

« Vous marchez dans la campagne, tranquillement … Le soleil est haut dans le ciel … Les oiseaux chantent … Hormis leur frais gazouillis et le frémissement des ailes des insectes qui butinent les fleurs, tout est calme, tout respire la tranquillité, la félicité et vous ressentez le bonheur d’être vivant sur cette terre, en connexion, Un avec la Nature … (pause) … Une caverne se profile devant vous et vous distinguez du dehors un superbe scintillement qui aiguise votre curiosité … Vous avancez vers cette anfractuosité et vous pénétrez dans cette caverne … Un spectacle magnifique s’offre à vos yeux émerveillés … Cette caverne est tapissée d’améthystes toutes plus brillantes les unes que les autres … Vous vous asseyez un instant dans cette grotte aux mille reflets violets et vous admirez toute cette beauté … Pas un bruit, pas un mouvement, le temps est arrêté, comme suspendu … (pause) … Vous vous sentez détendu, relaxé, et vous fermez les yeux. Un monde féerique apparaît derrière vos paupières closes … En fait vous venez de pénétrer au cœur d’un cristal d’améthyste et vos yeux éthériques s’émerveillent faisant le tour de cette " cathédrale " violette où pendent des stalactites et montent des stalagmites. Sous vos pas, le sol crisse doucement, l’air est agréablement frais, apaisant, ressourçant. Vous avancez lentement, découvrant à chaque pas d’autres merveilles minérales, ici un dôme cristallisé, là une pyramide scintillante, là encore un globe parfait … Vous êtes au cœur de la pierre, là où le temps n’existe pas, là où règne l’éternité, le silence absolu … Les bruits du dehors, ceux de la civilisation sont loin, si loin et vous vous prenez à réfléchir sur la beauté de la Création … Tout a été mis en place pour votre ravissement

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perpétuel … Comme vous aimeriez que vos frères et sœurs humains puissent baigner à leur tout dans l’intemporel, dans le vrai réel … Vous avez l’impression d’entendre une petite voix, là tout au fond de vous … C’est l’améthyste qui s’exprime : elle vous raconte le début de la vie, l’aube des temps, le commencement … Vous vous laissez bercer par cette voix si sage, si vraie qui laisse à présent place à une musique semblant émaner des plus hautes sphères, une musique angélique, une musique qui vous guérit de vos angoisses, une musique qui apaise vos peurs … plus conscient encore d’être le frère, l’égal de toute la création … car il n’y a pas de gradation, pas de supériorité dans le monde de l’esprit … Nous sommes tous Un … Une clochette a tinté ! La réalité du monde dans lequel vous vivez s’offre de nouveau à vous … Vous vous éveillez, conscient d’avoir bien voyagé, conscient d’être là, présent dans cette grotte qui vous a dévoilé ses mystères … Vous vous levez, vous baillez, vous sortez par l’anfractuosité … dehors seul le gazouillis des oiseaux, seul le froissement des ailes des insectes, seul le soleil, là-haut dans le Ciel … Vous êtes vivant, vous êtes heureux, vous êtes uni avec le Tout. Jamais vous n’oublierez ce moment d’éternité … ce moment privilégié face à face avec le cœur du monde minéral … face à face avec Dieu ! » (Méditation-visualisation imaginée par Marie-Hélène).

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« On portera nos regrets, si nous survivons peut-être, le souvenir dévasté de notre ancienne planète On emportera nos remords de ce temps où l'on savait, si honteux d'avoir eu tort d'oublier que l'on pouvait. J'ai rêvé la douceur de certains soirs. J'ai rêvé surtout qu'il n'était pas trop tard. Espéré que l'on pouvait changer. J'ai rêvé d'être encore avant le jour d'après. »

(Extrait de la chanson « Le jour d’après », interprète Chimène BADI, auteur : J. KAPLER)

Chapitre XI : Où va notre monde ? Le globe terrestre, notre hôte. Où va notre monde ? Cette question a-t-elle encore un sens pour une société ayant fait de l'argent et du pouvoir des dieux, et du temps un ennemi contre lequel il faut sans cesse se battre, partout et toujours, par exemple sur la route en roulant toujours plus vite au mépris du code et des règles élémentaires de respect de la vie d'autrui, ou encore en passant à côté des autres sans même leur accorder un regard, pressé que nous sommes par les missions " de la plus haute importance "dont nous nous chargeons nous-mêmes. Lorsque nous regardons une horloge de 24 heures symbolisant l'existence de notre planète depuis sa création jusqu'à nos jours, on constate que l'homme apparaît seulement à 23 heures 45’. Cette constatation ne devrait-elle pas tous nous inciter à beaucoup de respect par rapport à l'environnement qui nous entoure, et nous rendre très modestes face à un monde dans lequel nous voulons jouer le rôle d'espèce dominante. Si l'on regarde de plus près sur notre horloge, durant ces heures et ces heures qui ont précédé notre apparition, la nature a successivement effacé de la surface du globe plusieurs formes de vie, ainsi que plusieurs civilisations humaines souvent aidée en cela par la folie des hommes eux-mêmes. Il n'est donc pas absurde de se demander ce qui attend la nôtre, qui dans l'évolution atteint sans doute des sommets par les erreurs qu'elle commet constamment en creusant sans cesse le fossé entre elle et son environnement, entre elle et la Terre, cette terre qui est notre planète-mère, le berceau de notre civilisation, que nous bafouons continuellement sans même nous en rendre compte, aveuglés que nous sommes par notre égocentrisme et nos intérêts égoïstes. La troisième planète du système solaire, le globe terrestre, le seul à présenter les caractéristiques permettant à la vie telle que nous la connaissons de s'épanouir est notre hôte ; et nous nous comportons comme si ce globe et tout ce qu'il porte à sa surface était notre propriété, notre bien duquel nous pouvons disposer à notre guise, en tuant, en ravageant et en détruisant selon notre bon plaisir. Est-ce ainsi que l'on considère un hôte ?

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Que ferons-nous de cette pauvre planète, une fois que nous aurons épuisé toutes ses ressources naturelles, une fois que nous l'aurons rendue aride par un surpeuplement humain auquel certains pays sont déjà confrontés aujourd'hui, une fois que nous l'aurons défigurée avec nos gigantesques montagnes d'immondices, une fois que nous aurons enfoui honteusement nos déchets nucléaires au fond des océans ou de ses entrailles, ou pire encore, une fois que nous aurons atomisé son atmosphère ? L'homme doit apprendre, ou réapprendre à vivre en harmonie et en osmose avec le monde qui l'entoure, et bien plus loin d'ailleurs aussi, au vu des progrès scientifiques en matière d'exploration spatiale, avec l'univers tout entier. Il n'est pas question d'exporter nos erreurs dans l'espace. Les prophéties. Le lecteur constatera en lisant les différents témoignages relatés ci-dessous, ainsi que les prophéties qui nous ont semblé dignes d'intérêt, que leurs différents auteurs font références à la lumière et aux ténèbres, au feu et au chaos, ainsi qu'aux cataclysmes de toute nature sensés frapper les hommes. Depuis son apparition sur la Terre, l'humain compromet gravement son existence et celle de la planète qui l'a accueilli. Les prophéties ne sont pas des mises en garde écrites pour faire peur à des collégiens égarés, qui auront à subir la colère et la punition d'un Dieu courroucé par leurs comportements, mais elles sont là pour nous mettre en garde face à nos propres agissements et ne font que décrire les conséquences, somme toute logiques, que peuvent engendrer nos actes sur notre environnement, sur nous-mêmes et finalement sur notre bonheur. Si de tous temps, des catastrophes naturelles telles que des éruptions volcaniques ou des tremblements de terre par exemple, ont eu lieu sur la Terre, il faut bien reconnaître que l'homme par son progressisme effréné en décalage total avec lui-même d'abord, et avec la nature toute entière, est à l'origine de tragédies et de catastrophes, dont certaines peuvent être l'amorce, à court ou moyen terme, de cataclysmes à l'échelle planétaire, qui n'auraient vraisemblablement pas eu lieu sans l'intervention humaine. Il est à remarquer que l'homme est, avec les malheureux innocents partageant avec lui la surface du globe, la première victime de ces cataclysmes. Il appartient donc à l'homme de se ressaisir. Les prophéties mentionnent d'ailleurs clairement la possibilité pour l'humain d'inverser la vapeur, parfois même lorsqu'il a été très loin dans ses erreurs. Mais, ce serait une erreur bien plus grande encore, de croire que nous pourrions continuer impunément à répandre le chaos à notre guise, puis décider d'inverser les choses, si tant est que nous le puissions ne fût-ce qu'en partie. L'homme crée lui-même sa réalité, instant après instant, acte après acte, pensée après pensée. Il est trop facile de charger Dieu ou quelqu'un d'autre de nos propres erreurs. Notre mauvaise relation avec la planète, avec les différentes formes d'existence qu'elle abrite et finalement avec nos semblables sont uniquement de notre responsabilité à tous et à chacun d'entre nous. La Terre, avec tout ce qu'elle abrite, ne pourra accéder à l'harmonie que lorsque l'homme, sans le mettre sur un piédestal, mais bien parce qu'il est responsable de l'état actuel des choses, aura tourné son cœur vers l'amour universel. La spiritualité est en cela un merveilleux outil pour l'y aider.

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NDLR pour la réédition e-book de ce livre : On a beaucoup parlé de 2012 qui devait, pour certains, correspondre à la fin du monde, ni plus ni moins. Nous avons dit maintes et maintes fois que cette date de 2012 ne signifiait en rien la fin du monde mais bien la fin d’un monde, d’une façon de penser et le début d’une prise de conscience par l’Humanité de ses erreurs, de ses égarements. L’Histoire nous a donné raison car effectivement il ne s’est rien passé en ce 21 décembre 2012… Il ne s’est rien passé ? Pas si sûr mais en fait rien dans le Visible, dans le concret, dans le spectaculaire. Cependant, il nous a paru intéressant de maintenir ce chapitre pour la nouvelle édition et de laisser au lecteur le loisir de lire toutes les prédictions qui y figurent et qui pour certaines, sont édifiantes. A la fin de ce chapitre, nous ajouterons l’une ou l’autre canalisation reçues par Monique Mathieu, qui nous expliquent ce qui s’est réellement passé en ce fameux 21 décembre 2012 et…ce qui nous attend pour la suite… 2012 : une date-butoir pour le calendrier maya. Rappelons tout d’abord que la civilisation maya est précolombienne, qu’elle est apparue au troisième millénaire avant Jésus-Christ et que son influence géographique s’est étendue au sud-est du Mexique, à l’ouest du Honduras et du Salvador, au nord du Belize et au Guatemala. Cette civilisation a connu son apogée du IIIe au Xe siècle puis a subi une décadence progressive et a disparu enfin au moment de la conquête espagnole au XVIe siècle. Les Mayas constituaient un peuple disposant de grandes connaissances dans de nombreux domaines. Ils étaient par exemple très en avance dans leurs études astronomiques.

Leur système de calendrier a fait couler beaucoup d’encre car leur compréhension du temps et des saisons de même que des cycles est très vaste et très complexe. Les Mayas ont eu 17 calendriers différents et certains de ceux-ci décrivent de façon très précise les événements temporels pendant plus de dix millions d’années. Le calendrier qui nous intéresse ici s’appelle le Tzolk’in et il se base sur le cycle des Pléiades. Il détermine en outre d’importants tournants de l’histoire de l’humanité. Après une période de transition qui part en 1987 pour arriver en 2012 (période de destruction de l’environnement), les Gardiens du Temps mayas considèrent le 21 décembre 2012 comme une date-butoir qui signifie non pas la fin du monde mais plutôt la fin de notre monde tel que nous le connaissons actuellement. C’est la date de la renaissance, le début du Monde du Cinquième Soleil qui inaugure la " grande transition " c’est-à-dire l’âge de Lumière et de sagesse qui apportera la conscience de la multidimensionnalité (passage dans la 5e dimension), prélude lui-même d’une nouvelle ère.

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Ce changement, disent les Mayas, sera accompagné de violents séismes et sans doute d’une inversion des pôles de la terre. Il est étonnant de constater que de nombreuses prophéties vont dans ce sens, étayées en cela par différentes études scientifiques… Le passage au " Point zéro "… en 2012 ? Selon le scientifique Gregg Braden, ex ingénieur aérospatial, quand la terre arrêtera ses rotations et que la fréquence atteindra 13 cycles (13Hz), nous serons au « point zéro » du champ magnétique, ce qui veut dire que notre planète s’immobilisera et dans les deux à trois jours, elle commencera à tourner dans l’autre sens. Ceci produira un renversement dans le champ magnétique autour de la terre et en elle-même. Il paraît qu’actuellement la terre atteint 12 cycles (12Hz). Elle devrait donc s’immobiliser quand elle atteindra 13 cycles, entraînant le renversement des pôles magnétiques. Tout laisse donc supposer qu’après le franchissement du point zéro, comme le nomme Gregg Braden, le soleil se lèvera à l’ouest et se couchera à l’est. Cette théorie du renversement des pôles a été largement décrite dans de nombreuses prophéties… (Source : http://erenouvelle.com.) Témoignages L’avenir de la Terre, les grands bouleversements. Ce qu’en disent les décédés. « … Incontestablement, il y aura des tremblements de terre, des raz de marée, des troubles atmosphériques de toutes sortes, des anéantissements de villes, des glissements de terrain mais savez-vous quand ils se produiront ? Nous-mêmes du plan de l’invisible lumière, nous ne le savons pas. Nous le voyons sur des écrans mystérieux à nos dimensions, mais nous ne pouvons pas vous dire les dates… » (CHRISTOPHE dans Paroles de lumière, p. 36. voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « … Actuellement, Orionix, grand maître de la constellation d’Orion, observe la Terre et la considère avec une tristesse infinie … La Terre est semblable à une créature décharnée, squelettique, pleine d’escarres, une charogne où grouille la vermine. C’est presque un cadavre mais ce cadavre vit encore, il a encore un souffle. Il faut qu’il y ait la résurrection de la terre parce qu’elle va devenir une planète d’amour, semblable au corps d’une belle jeune femme, la Vierge qui enfante. » (CHRISTOPHE dans Paroles de lumière, extrait des pp. 41-42, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « L’homme dépasse imprudemment et trop vite certaines limites. Ni la vie, ni la nature ne pourront supporter très longtemps le fardeau des inconsciences et des égoïsmes… » (Paroles de Michel dans BELLINE, La troisième oreille, p. 125, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « … Marie, comme nous le savons ! Nous voyons les événements futurs. De grandes tragédies arrivent ! Ma mission est celle d’aider… » (Message d’Etienne chez le médium le 18 mars 2003). « Question à Michel : qu’arrivera-t-il sur terre ? Michel : bientôt ce sera une autre nuit. Question : que veux-tu dire ? Michel : je veux dire que les hommes sont déjà aveugles. Question : puis-je faire quelque chose ?

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Michel : le dire. Un nouveau monde doit commencer. De nouveaux mondes, plus proches du nôtre. » (Paroles de Michel dans BELLINE, La troisième oreille, p. 111, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). « Edgar Cayce a annoncé des événements très douloureux, très importants et très graves pour les années qui vont venir. Mais je vais vous dire quelque chose : ne soyez pas anxieux, ne soyez pas inquiets. S’il y a une chose dont vous devez vous défaire dans cette vie présente, ici même et maintenant à l’instant, c’est la peur et l’angoisse, la peur du lendemain, la peur des événements, la peur de manquer, la peur de la maladie, la peur pour les uns et les autres… » (CHRISTOPHE dans Paroles de lumière, p. 14, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Ce qu’en disent les Amérindiens. « Nous (les Amérindiens) sommes les gardiens de la Terre, et si nous manquons à ce devoir, ou si vous refusez de nous entendre, la Terre risque de se secouer comme un chien secoue ses puces pour s’en débarrasser. Mais dans ce cas, les puces, ce seront les hommes. La Terre est patiente, elle souffre et elle attend. Mais un jour, si l’homme continue à la salir, à la polluer, à la défigurer, elle s’en débarrassera. Rares seront les survivants. Seuls s’en tireront ceux qui auront fait le bon choix, qui auront appris à respecter Notre Mère la terre et à partager ses richesses. Ce n’est pas la morale que je prêche. Mais si vous n’apprenez pas à vous détacher, si vous continuez à idolâtrer les choses matérielles, elles finiront par vous dévorer. Je ne dis pas qu’il faut revenir aux cavernes. Nous pouvons accepter une certaine dose de technologie mais à condition qu’elle soit baignée de spiritualité… » (Paroles de HOLLIS LITTLECREEK dans Les Gardiens de la Terre, p. 24, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Ce qu’en disent les Guides spirituels. « Par l’action des hommes, la terre du XXe siècle est obligée de se préparer à des catastrophes d’origine cosmique en même temps que d’origine proprement terrestre … Il faut que les hommes du XXe siècle cherchent au fin fond d’eux-mêmes … Qu’on ne parle pas de fin du monde ! N’enseigne pas cela à tes semblables à la manière d’un sombre prédicateur. Il ne peut y avoir de fin du monde. La vie doit toujours être la plus forte. Ce qui peut se produire, c’est la fin d’un monde, celui des hommes actuels, celui qu’ils estiment pourtant en plein progrès et dont les dirigeants pratiquent quotidiennement l’autosatisfaction … Il se pourrait que la civilisation moderne du XXe siècle périsse par le feu, complètement impuissante, et que l’axe de la terre soit complètement inversé… » (Paroles d’un guide spirituel à Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN, Récit d’un voyageur de l’astral, extraits de la p. 137, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Ce qu’en disent les " crânes de cristal ". NDLR : Nous vous encourageons vivement ce livre relatant les investigations très fouillées et sérieuses de deux journalistes anglais qui ont mené l’enquête sur de mystérieux crânes de cristal disséminés sur la planète et qui renfermeraient de précieuses informations sur les origines et le destin de notre planète.

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Des médiums ont capté ces informations et en guise d’introduction voici comment les crânes eux-mêmes se présentent : « Vous cherchez à connaître les origines de ce réceptacle que vous appelez " le crâne de cristal " … Je vous dirai qu’il a été façonné il y a de nombreux milliers d’années par des êtres d’une intelligence supérieure … Il a été formé par une civilisation qui a précédé ceux que vous appelez " les Mayas ". A de nombreux égards votre niveau de civilisation était, " à l’époque ", comme vous dites, très en avance sur celle que vous avez aujourd’hui… » (Message d’un crâne de cristal par l’intermédiaire de la médium canadienne Carole Wilson dans Chris MORTON et Ceri Louise THOMAS, Le mystère des crânes de cristal, p. 101, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Venons-en donc à ce que dit un des crânes de cristal concernant l’avenir de notre Terre : « … Nous sommes venus vous mettre en garde car la séparation est déjà entamée. La destruction commence à se mettre en place. L’esprit de séparation a assuré son emprise et des choses graves se sont déjà produites. Car vous, avec votre savoir primitif, vous avez mis en branle quelque chose que vous ne pouvez plus maîtriser. Ce sont vos scientifiques qui ont commencé à jouer avec les ondes sonores et lumineuses de votre atmosphère et avec ce que vous appelez " les particules ". Vous aurez remarqué que, maintenant, de nombreux rayonnements destructeurs frappent votre planète. Il y aura d’autres destructions liées à l’atmosphère, aux changements météorologiques et climatiques, et il y aura aussi des mouvements de vos blocs continentaux. Nous voulons vous dire que votre civilisation a grossièrement méconnu l’utilisation de la lumière, du son et de la matière. C’est pourquoi vous n’avez découvert que ce qui est le plus près de vous. Mais en ce moment même, vos scientifiques et vos gouvernements jouent avec des jouets qu’ils ne comprennent pas. Ils jouent avec la lumière et le son et avec ce que vous nommez " particules " et " radiations ", et ils feront pleuvoir les désastres. Mais comme la réaction n’est pas immédiate, comme elle ne vous touche pas directement, vous continuez encore et encore jusqu’à ce que votre planète soit détruite. Ainsi que nous l’avons dit, votre esprit actuel ne cherche que la séparation. Vous avez un désir de séparation qui vous mènera à votre propre destruction. Car c’est ce même esprit qui a causé le déluge et la destruction antérieure de nombreuses terres. Mais le processus de destruction a déjà commencé. Et nous sentons déjà l’influence de cette séparation dans notre monde. Pour l’instant, vous n’en avez pas conscience car c’est de votre propre fait. Mais nous vous le disons : votre Terre connaîtra de grands changements… Le corps même de votre planète changera, ainsi que le temps et tout ce que vous connaissez aujourd’hui de votre terre. Il y aura des changements sur cette Terre dans les formes humaines et animales, et dans cette forme que vous nommez " végétation ", celle que vous nommez " blocs continentaux " et celle que vous nommez " atmosphère ". Ce sera un désastre de grande ampleur. Mais en essence, votre " désastre ", comme vous l’appelleriez, a déjà commencé. Vous verrez beaucoup de mort parmi ce qui vit sur votre planète. Vous verrez que ce qui croît dans le sol entraînera de grands changements et vous verrez que ce qui se nourrit du sol connaîtra de nombreuses morts. Vous verrez des destructions dues à ce que vous appelez " radiations " et vous découvrirez une grande pestilence dans ce qui vole aujourd’hui sur votre planète. Il y aura des éruptions et des perturbations de votre climat, et une grave séparation des atmosphères. Vous aurez de grands vents … et votre bétail mourra en grand nombre. Vos eaux monteront plus haut qu’elles ne devraient et vos terres s’enfonceront sous les vagues. Les continents disparaîtront et les mers et les océans s’élèveront. Il y aura une grande rupture de la terre … de l’intérieur de la terre. Le champ magnétique basculera et il bascule déjà maintenant. La terre s’ouvrira et ses entrailles se répandront à sa surface et dans l’atmosphère. L’atmosphère entre déjà dans un état de pollution dangereux. Voilà ce que vous faites sur terre avec vos énergies négatives … Mais quand le temps viendra, le devoir de tous ceux qui cherchent la connaissance spirituelle sera d’instruire les autres au moment où la terre basculera sur son axe … Nous sommes ici pour vous révéler ce qui est … ce qui sera … et qui a déjà commencé, un grand changement dans le sein de votre

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Mère la terre. Nous vous pressons de faire connaître à l’humanité les choses que nous avons à vous offrir dans l’espoir que l’holocauste pourra être réduit. Car si ce qui est donné ne peut plus maintenant être changé, ses effets peuvent encore être grandement atténués. » (Message d’un crâne de cristal par l’intermédiaire de la médium Carole Wilson dans Le mystère des crânes de cristal, extrait des pages 106 à 109, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Ce qu’en dit Edgar Cayce. « Lorsque se produiront les premières cassures dans la mer du Sud Pacifique, pour sûr, ces bouleversements apparaîtront comme des submersions, ou, au contraire, des émergences de terres à l'autre bout du monde, c'est-à-dire en Méditerranée, dans la zone de l'Etna, alors nous saurons que cela a commencé. » (Lecture 311-8, donnée en avril 1932). L’échéance de 2012. Ce qu’en disent les Amérindiens : « Nous aimons notre mère naturelle, nous souhaitons la voir heureuse. Alors pourquoi n’aimerions-nous pas notre Mère la terre ? Pourquoi ne souhaiterions-nous pas la voir heureuse ? Notre mission particulière, à nous Amérindiens, c’est d’empêcher qu’on ne continue à détruire la terre par cupidité. Non pas avec des fusils mais en envoyant une énergie d’amour qui fera enfin comprendre que tout ce que nous faisons souffrir à la terre nous revient avec violence, que nous sommes en train de tuer ce sur quoi nous vivons. Comment notre Mère la Terre nous enseigne-t-elle ? En faisant des éruptions volcaniques, des tremblements de terre, des glissements de terrain, des inondations… C’est comme si elle nous prenait par l’oreille et nous disait : « Ecoute-moi ! Si tu n’écoutes pas, la prochaine fois je serai obligée de taper un peu plus fort. » Et si malgré tout, nous n’écoutons pas, elle prendra un bâton encore plus gros. Finalement nous n’aurons plus que ce choix : faire enfin ce qu’il faut ou disparaître … Et je suis persuadé que notre Mère la terre nous aide en nous envoyant l’énergie dont nous avons besoin pour changer. Mais elle ne fera pas tout à notre place … Personnellement je pense que notre Mère la terre va prendre sa décision entre 2000 et 2012. Ou elle va se dire : « Ok, puisque vous faites des efforts, je vais vous laisser encore un peu de temps. » ou elle parlera ainsi : « Vous êtes vraiment trop paresseux, vous ne savez que faire le mal et me détruire, vous n’apprendrez jamais, alors je n’ai plus besoin de vous ! » Et ce sera la fin. Par le feu, les tremblements de terre, les éruptions volcaniques, la bombe atomique et peut-être tout cela à la fois. Question des auteurs : Pourquoi 2012 ? Réponse : Je ne sais pas, je le sens comme ça et je ne suis pas le seul. C’est dans l’air. Vous savez, la terre nous parle cœur à cœur. De toute façon, vous avez intérêt à finir votre livre avant 2012 ! » (Paroles de SEVEN HAWKS, Apache, dans Les Gardiens de la Terre, extrait des pp. 178-179, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Le retour du Christ. Ce qu’en disent les décédés. « Le maître Jésus va revenir en gloire et en triomphateur, mais avec beaucoup de tristesse, dit-il, car il pensait qu’il avait racheté en une fois le karma de la Terre, mais non pas le karma des êtres sur la Terre. Il va revenir sur les nuées, comme dit l’apocalypse, c’est-à-dire qu’il va re-projeter son amour et sa puissance re-décuplés, aidé de sa mère avec laquelle il est sans cesse puisque ce sont deux âmes sœurs » (CHRISTOPHE dans Paroles de lumière,p. 51, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage).

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Ce qu’en dit Edgar Cayce. (Lecture 5749-2 de janvier 1934 et Lecture 5748-5). « Le temps (exact), personne ne le sait, même pas, comme il l’a dit, le fils de Dieu lui-même, seul le Père (le sait). Cela n’arrivera que lorsque ses ennemis et la terre seront pleinement soumis à sa volonté et à son pouvoir. Et les changements dans la matière sont un signe (...) comme l’ont dit les anciens, et alors sera proclamé, que son étoile est apparue, car il est en train de préparer sa manifestation devant les hommes… » Intervention des extraterrestres à la fin des temps. Ce qu’en disent les décédés. « … Je suis moi-même chargé de mission auprès de ces fameux vaisseaux intergalactiques qui viendront pour recueillir certains êtres de la Terre au moment où il y aura les grands troubles… » (CHRISTOPHE dans Paroles de lumière, p. 51, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Les événements annoncés sont-ils inéluctables ? Ce qu’en dit Edgar Cayce. « Ceux qui comme l’entité (autrement dit la personne pour qui est donnée la lecture) ont pu entrevoir comment se fait la politique nationale et internationale et ont pris conscience des dégâts qu’elle inflige à notre Mère la terre, s’interrogent sur des prophéties. Existe-t-il des groupes et des individus qui ont eu (et auraient encore) le pouvoir d’empêcher les catastrophes annoncées, concernant notre Terre ? Encore une fois, l’interprétation des signes et des présages est une expérience personnelle. A chaque entité est donné le privilège, et la possibilité d’agir. Elle peut interpréter les prédictions pour aider ses frères à trouver l’espoir et non la peur ; la paix et non la haine ; une mentalité constructive et non destructive. » (Lecture 1602-5 d’Edgar Cayce dans Dorothée KOECHLIN DE BIZEMONT, Prophéties d’Edgar Cayce, p. 40, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Ce qu’en dit la Fédération intergalactique. Les événements. « Vous êtes maintenant dans le cycle de transformation, ce cycle tellement important de transformation. Ce cycle d’ailleurs peut se ressentir dans toute vie. Il y aura sur votre Terre des espèces ou même des animaux qui ne pourront pas vivre les anciennes énergies et donc qui disparaîtront, comme aussi beaucoup d’êtres humains qui ne pourront pas s’aligner sur ces énergies de transformation, donc il y aura aussi beaucoup de départs à ce niveau. Vous verrez encore, tout du moins vous vivrez encore beaucoup de choses étranges dans votre monde, que ce soit au niveau du climat, au niveau de vos propres ressentis, au niveau de votre transformation. Le processus ne fait que commencer. Certains scientifiques, certains groupements scientifiques de votre monde jouent actuellement (car nous voulons dire le mot jouer) avec des énergies ou une connaissance qu’ils pensent maîtriser mais qu’en fait ils ne maîtrisent absolument pas. Un des ces groupements se rendra compte très bientôt de la grave erreur qu’il a faite, mais pour beaucoup de choses il sera trop tard. De toutes façons, la planète et tout ce qui vit a commencé son processus de transformation, et ce ne sont pas les humains qui pourront arrêter ou transformer ce processus. Ils pourront tout simplement le déranger momentanément, mais ils n’interféreront pas réellement. Ils n’ont pas la réelle conscience de la puissance gigantesque que peuvent représenter la Terre et les énergies, les énergies émanant de la Terre, les énergies émanant d’autres systèmes solaires,

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d’autres galaxies. Ils n’ont qu’une infime conscience de ce que cela peut représenter. Vous vivez actuellement de grandes périodes d’orages assez conséquents. Cela fait partie de la transformation, c’est une énergie dont a besoin la planète pour pouvoir se transformer plus rapidement, pour pouvoir accoucher d’elle-même. Il y aura encore et encore des orages qui pourront vous faire très peur, mais tout cela fait partie du plan d’élévation de planète Terre, du plan de la transition. Toutes ces transformations auront des incidences assez néfastes par rapport à la vie, par rapport à votre nourriture, car si vous ne comprenez plus trop ce qui vous arrive, la nature fait de même. Les cycles sont tellement perturbés que la végétation ne donnera plus tout ce qu’elle pouvait vous donner afin que vous puissiez vous alimenter, mais ce sera aussi pour vous faire prendre conscience, pour faire prendre conscience à l’humanité de la générosité de Mère Terre. Vous l’avez bafouée, vous avez détruit les semences, vous avez détruit ses fruits parce que certaines catégories d’êtres humains disaient qu’il fallait détruire car cela ne rapportait pas assez d’argent. C’est insensé, vous avez été et vous êtes encore des insensés. Au lieu d’honorer, de remercier des cadeaux merveilleux que vous fait Mère Nature pour vous nourrir, vous la méprisez, vous ne respectez pas les dons qu’elle vous fait. Vous en aurez obligatoirement le résultat : elle ne donnera plus comme elle vous a donné si généreusement. Il faut que chaque fois vous compreniez dans la souffrance, vous n’êtes pas encore capables de comprendre dans la joie, tout du moins une grande partie de l’humanité n’est pas capable de le comprendre. Cependant, afin que vous n’ayez pas de tristesse par rapport à ce que nous venons de vous annoncer, nous allons vous dire aussi que dans très peu de temps la nature sera plus généreuse qu’elle n’a jamais été. Ce sera une autre nature, un autre monde, vous le comprendrez. Pour l’instant, vous ne pouvez pas l’appréhender, et vous vous demandez si ce sera sur ce monde ou si ce sera ailleurs. Nous vous disons simplement : soyez patients et confiants, bientôt la Terre qui vous portera vous nourrira abondamment, vous échangerez beaucoup d’Amour et vous serez en harmonie parfaite avec elle, vous reconnaîtrez le don qu’elle vous fait et vous la remercierez. Remerciez-vous l’arbre qui vous donne des fruits ? Remerciez-vous la Terre quand elle vous donne des pommes de terre ou tout autre légume ? Vous mangez machinalement, et ne remerciez que très rarement ! Vous remercierez en permanence dans le nouvel état de conscience dans lequel vous serez. Vous êtes pressés pour tout et vous ne voyez rien. Votre civilisation vous a coupés de l’essentiel, de l’essence même de toutes choses, c’est cela qui est le plus affligeant pour vous mais cela fait partie du cycle. Le nouveau cycle s’approche et vous vous reconnecterez avec tout ce qu’est la vie, la vraie vie. Alors ce que nous vous demandons, c’est simplement de vous préparer en votre âme et conscience, de vous préparer dans votre corps à ce nouveau cycle. … Il y a une quinzaine, une vingtaine d’années, les choses sur ce monde, les événements devaient s’activer. Il y a eu un immense conseil des êtres venant de plusieurs galaxies, de plusieurs systèmes. Une grande majorité de ces êtres était pour l’action immédiate. Une partie de ces mondes évolués avait décidé de refaire ce laboratoire d’expérimentations, de le remettre à neuf avec d’autres données, avec d’autres programmations, avec une autre conscience. Une autre grande partie des êtres appartenant à ces mondes évolués a demandé le report, l’ajournement d’une décision qui aurait coûté la vie à des millions, à des milliards d’êtres humains. Il a été donc accordé un grand sursis à votre Terre et nous en sommes heureux, car cela a permis à beaucoup d’âmes de sortir de cette léthargie, de comprendre, cela leur a permis de se révéler à elles-mêmes, de comprendre l’Amour, la Fraternité, de comprendre certaines lois immuables de l’Univers, d’accepter leur appartenance à l’Univers. LE GRAND CONSEIL DES MONDES EVEILLÉS S’EST RÉUNI IL Y A QUELQUES MOIS. IL N’A DONNÉ QU’UN PETIT SURSIS. L’accélération se fait de plus en plus car le travail que vous accomplissez, le travail qu’accomplissent beaucoup d’autres groupes sérieux, a permis de faire sortir beaucoup d’âmes, beaucoup de consciences de l’ignorance et de la léthargie. Donc un deuxième sursis a été donné, mais le temps de ce sursis est relativement limité. Vous avez pour comprendre réellement, pour changer réellement, quelques années de sursis ; après, ce monde aura vécu. Un nouveau monde renaîtra car tout renaît toujours,

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mais renaît sublimé. Nous considérons que la vie est précieuse dans tout l’Univers, nous considérons que nous devons laisser leur chance à tous les êtres qui sont en demande de justice, en demande d’Amour, en demande de respect, en demande de beauté, en demande de Fraternité. Ils sont nombreux sur cette Terre, ils sont en demande mais pour l’instant cela ne reste qu’en demande. Ils ne sont pas encore dans l’action, donc nous leur laissons un temps supplémentaire pour être davantage dans l’action que dans la demande. Après, tout changera, cela sera irréversible. Pour certains, ce sera l’âge d’or, le paradis par rapport à tout ce qu’ils auront pu vivre sur ce monde. Pour d’autres, ce sera l’anéantissement, la mort pour une nouvelle existence sur d’autres mondes. Patience ! Nous œuvrons pour aider ce monde. Si nous n’avions pas œuvré, il y a longtemps que votre monde (comme nous vous l’avons dit) n’existerait plus. Nous avons à notre disposition plusieurs vaisseaux, des vaisseaux matériels que vous pourriez voir, toucher. Ceux-là sont prévus dans le plan éventuel d’évacuation. Nous possédons également des petits vaisseaux d’exploration, ce sont ceux que vous appelez soucoupes volantes, qui font environ cinq ou six mètres de diamètre, qui peuvent transporter deux à trois personnes, mais souvent ils ne transportent qu’une personne. Nous avons aussi à notre disposition des grosses sphères de nettoyage, ces sphères bleu-vert que nous envoyons pour nettoyer votre monde de toute la radioactivité qui est tellement nocive pour vos vies. A un niveau de conscience différent, nous avons ce que nous appelons des vaisseaux de lumière. Ceux-ci n’existent pas pour l’instant autour de votre monde car autour de votre monde de troisième dimension, il faut quelque chose de beaucoup plus tangible, de beaucoup plus réel pour aider l’humanité, afin que le choc ne soit pas trop conséquent. Donc nous avons ces vaisseaux immatériels qui sont faits de la même énergie que nous. Il y a aussi pour vous guider des entités de Lumière immatérielles qui viennent essentiellement vous aider au niveau vibratoire, pour vous aider à vous transformer dans vos énergies subtiles. Ces Etres de Lumière, ces êtres immatériels sont très souvent près de vous, surtout lorsque vous vous réunissez, et ils sont une aide précieuse pour nous qui œuvrons dans ces mondes en devenir d’évolution. Nous travaillons en association avec beaucoup de vies différentes de celles que vous pouvez concevoir en tant que vie humanoïde, il existe beaucoup de formes de vie immatérielles mais tellement précieuses pour l’œuvre que nous accomplissons dans l’Univers, car dans cet Univers, tout n’est pas idyllique comme vous pourriez le supposer, et vous en avez une preuve, vous qui êtes venus œuvrer sur ce monde. Donc tous ces êtres sont immensément précieux pour nous aussi bien que pour vous. Les informels qui sont venus vous visiter très souvent font partie de ces êtres immatériels, nous les aimons infiniment, nous les respectons bien plus encore que vous ne le supposez. Ce sont nos alliés, ils sont beaucoup plus évolués que nous encore et nous les aimons infiniment. Lorsque vous et bien d’autres reviendrez sur vos mondes, chacun de vous s’assumera. Dans nos mondes, chaque être s’assume ; il assume totalement ses responsabilités et ses devoirs. C’est pour cela que sur nos mondes, la hiérarchie existe, mais pas dans l’esprit où elle existe sur Terre, ce n’est pas le plus fort qui domine, c’est le plus sage, celui qui a le plus de connaissance pour le plus grand profit de ses Frères. Voyez la différence avec votre monde où celui qui domine est le plus riche, le plus puissant. Tout cela doit disparaître de votre monde et disparaîtra, cela se fera d’un seul coup au moment où vous vous y attendrez le moins. A ce moment-là vous nous verrez. Quel choc pour cette humanité ! Nous agissons d’une façon considérable mais pour l’instant l’humanité donne préférence et privilège aux forces contraires. Que pourrions-nous vous offrir si ce n’est une plus belle conscience, un éveil de ce que vous êtes, beaucoup plus d’Amour, d’Humilité, une vie beaucoup plus harmonieuse, une vie dans la Fraternité et dans la Paix. Pour beaucoup d’entre vous tout cela ne représente que des mots, que de l’abstrait, que du fantasme. Par contre, l’énergie en opposition peut offrir à l’humanité qui la suit le pouvoir, la séduction, l’argent, les pouvoirs sexuels, les plaisirs de premier niveau et cela, les hommes de la Terre en sont très friands, c’est du concret pour eux ! Voyez combien pour l’instant nous ne faisons pas le poids par rapport aux énergies dominantes de ce monde ! Cependant quand vous aurez consommé tous ces plaisirs, tous ces pouvoirs, quand vous aurez détruit l’essentiel, c’est-à-dire le respect de vous-même, l’Amour, la beauté, la fraternité, la conscience de votre immortalité, quand vous

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vous serez réveillé la bouche amère, vous vous éveillerez et nous serons là. Beaucoup de vos frères humains ne seront plus là pour nous recevoir car le monde que nous leur offrons ne leur conviendra pas. Certains êtres humains ne peuvent concevoir la vie sans l’argent, c’est leur repère essentiel, c’est devenu une autre partie d’eux-mêmes, c’est devenu leur Dieu. Certains êtres humains ne peuvent concevoir la vie sans le pouvoir et la domination. A partir du moment où ceux-ci leur seront enlevés, ils ne pourront plus exister. Lorsque vous serez prêts à accepter ce que nous vous donnons, ce que nous vous offrons, lorsqu’il y aura sur ce monde suffisamment d’êtres humains dans cette demande, dans cette acceptation, nous nous manifesterons. Si nous nous manifestons trop tôt, cela créera encore un plus grand déséquilibre sur votre monde et au lieu d’ouvrir un maximum de consciences, nous mettrons la peur chez les ignorants. Alors, il faut toujours travailler dans la patience, avec le raisonnement, il faut travailler avec le discernement, avec beaucoup d’Amour. Vous comprenez pourquoi parfois cela vous paraît si long, pourquoi notre présence qui a été annoncée bien des fois ne s’est pas réalisée. Nous, vos Frères des mondes évolués, avons parlé maintes et maintes fois de ce problème entre nous, nous avons voulu activer la transformation de ce monde, mais les plus sages d’entre nous l'ont toujours reportée car ils savaient que c’était à des âmes et à des consciences qu’ils permettaient de rentrer dans cette nouvelle énergie et de pouvoir accéder à ces mondes futurs, ces mondes évolués. Nous vous avons souvent dit que nous ne pouvions pas interférer dans votre libre arbitre, que nous devions laisser le monde aller où il doit aller par rapport à votre comportement, par rapport à votre inconscience. Les dirigeants de la Confédération Galactique s’occupent intensément de cette petite planète Terre. Si nous disons intensément, c’est que cette petite planète Terre a une énorme importance dans la galaxie. Bien qu’elle ne représente qu’une infime parcelle de Lumière, elle a une grande importance par rapport aux êtres qui s’y trouvent, par rapport à la vie qu’elle porte. Ces dirigeants sont donc obligés d’intervenir sans jouer sur le libre arbitre des humains. Les humains se sont détruits eux-mêmes sans détruire la planète Terre (qui est une entité vivante), les humains ont été un loup pour un loup, c’est-à-dire qu’ils n’ont eu aucun respect pour eux-mêmes et pour la vie qui les entoure, et nous ne sommes pas intervenus. MAINTENANT LES ÊTRES HUMAINS ONT DÉPASSÉ LES LIMITES QUE NOUS POUVONS CONCEVOIR. TOUT CE QU’ILS FONT À UN CERTAIN NIVEAU DONT VOUS N’AVEZ MÊME PAS CONSCIENCE PORTE PRÉJUDICE NON SEULEMENT À VOTRE SYSTÈME SOLAIRE MAIS À UNE PARTIE DE VOTRE GALAXIE ET À CE MOMENT LÀ, LA LOI D’INGÉRENCE N’A PLUS COURS, NOUS SOMMES OBLIGÉS DE METTRE DE L’ORDRE OÙ IL Y A CE DÉSORDRE PUISSANT. Alors qui est qui ? Qui donne des ordres, qui décide qu’il en sera ainsi ou qu’il en sera autrement ? La Confédération Galactique a des ramifications sur votre monde et est au courant de tout ce qui se passe au niveau des gouvernements qui régissent la société actuelle de votre monde. Elle a fait tout ce qu’elle a pu pour redresser la barre, mais maintenant votre navire commence à tanguer un peu trop et il va être de plus en plus difficile de redresser cette barre, alors il y aura intervention. Comment aura lieu cette intervention ? Nous ne vous le dirons pas parce que le moment n’est pas venu. Soyez certains qu’il y aura intervention. Il y aura intervention par le comportement de votre mère la Terre, et nous interviendrons également. Nous vous en dirons un peu plus une fois prochaine, mais sachez que les décisions finales par rapport à l’interaction, par rapport à l’ingérence, seront données par la Hiérarchie des Hiérarchies, la Hiérarchie supérieure à vos Hiérarchies habituelles. Pour ces Hiérarchies, bien sûr, votre monde est tellement peu de choses, mais comme elles ont un grand respect de la vie, et qu’elles savent que le débordement occasionnera des problèmes à d’autres vies dont vous n’avez pas conscience, elles feront intervenir vos frères galactiques qui peuvent le faire très facilement dans cette troisième dimension. Il ne faut pas oublier que la préparation en vue du grand passage s’accélère de plus en plus et nous vous disons aussi, c’est pour bientôt. Quel bientôt ? Simplement bientôt ! TOUT EST PARFAIT DANS LE PLAN. Le seul problème c’est que nous ne vous donnons à chaque fois que de toutes petites bribes de ce plan. Sur une grande page d’écriture concernant ce plan, nous vous donnons un dixième de ce qu’il comporte. Cela est voulu, comme nous vous l’avons dit maintes et maintes fois, nous ne pouvons pas vous livrer en totalité ce qui est prévu

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pour vous et pour planète Terre. Autant il y a de consciences différentes, autant il y a de compréhensions et d’acceptations différentes, autant il peut y avoir des rejets pour telle ou telle affirmation que nous pouvons faire. Donc, nous respectons totalement vos différences car c’est aussi dans vos différences que vous pouvez avancer, que vous pouvez comprendre, que vous pouvez dépasser. La nouvelle ère sera une ère de Lumière, la nouvelle ère fera que vous ne vous poserez plus de questions ni par rapport aux religions ni par rapport à vos frères de l’espace, vos Frères de Lumière, vos Guides. Vous n’aurez plus à vous poser de questions car vous saurez, vous nous verrez, nous travaillerons en conscience ensemble. Il y a des milliers, des millions d’années, nous avons déjà travaillé en conscience avec les frères de la Terre. La Terre a déjà connu un âge d’or où le voyage galactique existait, les voyages intersidéraux existaient, il n’y avait ni religions, ni dogmes, ni limitations, il n’y avait qu’harmonie et beauté. Et puis, un jour sont venus sur ce monde d’autres êtres qui venaient de planètes sombres (sombres en énergie). Les êtres qui vivaient sur ce monde et nous-mêmes ne nous sommes pas méfiés, non parce que nous n’avions pas la conscience pour les détecter, mais parce qu’ils avaient maquillé ce qu’ils étaient dans leur énergie. Nous avons été trompés, trop confiants. Cela faisait aussi partie de la vigilance, du discernement à très haut niveau que les êtres doivent avoir car il faut que vous sachiez que l’ombre est toujours attirée par la Lumière, qu’elle sait qu’elle se fera engloutir par la Lumière, qu’elle se fera éclairer, et c’est pour cela qu’elle est attirée. A un premier moment, elle absorbe la Lumière dans son ombre, dans son énergie. Jamais la Lumière ne se laisse engloutir, elle arrive toujours à retrouver sa splendeur, son rayonnement. Nous pourrions vous raconter l’histoire de la Terre mais petit bout par petit bout, nous vous en raconterons de plus en plus car vous êtes en mesure de comprendre et d’accepter ce que vous n’auriez pu ni comprendre ni accepter il y a quelques années. Les planètes, les systèmes solaires qui n’ont jamais eu de différends ou d’attaques avec les planètes sombres sont celles qui ont réussi à mettre une immense protection de Lumière et d’Amour tout autour de leur sphère, tout autour de leur système. Les êtres humains qui ont habité le monde de la Terre au moment de l’âge d’or ont vécu cet âge d’or fort longtemps, et les cycles changeant, ils se sont montrés moins vigilants. La Lumière s’est faite un petit peu plus sombre en eux parce que cela aussi arrive. Ils n’avaient pas encore suffisamment de force et de maturité, ils n’étaient pas suffisamment grands, et les êtres avec qui ils communiquaient n’étant pas en permanence sur ce monde n’ont donc pas pu les aider comme ils auraient dû ; et cela a été le monde de la manipulation génétique. Nous vous en reparlerons. Dans l’état actuel des choses, si rien n’est changé TRÈS RAPIDEMENT, il y aura de très grands cataclysmes sur votre planète, il y aura des parties de continents qui s’effondreront, il y aura certaines îles qui s’effondreront car cela doit être, car ce que vous vivez maintenant ne vous fait pas encore prendre conscience de vos erreurs. Un laps de temps, une rémission vous est accordée. Elle vous a été accordée car il y a eu beaucoup d’ouvertures de conscience, beaucoup d’actions accomplies pour faire prendre conscience à une grande partie de l’humanité de ses erreurs. Malheureusement certaines des actions accomplies n’ont pas été entendues par vos gouvernants. Etant donné qu’il y a eu beaucoup plus de travail de fait que nous ne l’espérions, nous avons donné une rémission à la Terre, malgré l’avis défavorable de certains de vos frères galactiques faisant partie de ceux qui viendront vous aider. Nous avons beaucoup défendu la planète Terre car nous espérons qu’une très grande partie de l’humanité pourra comprendre et pourra s’éveiller, pourra vivre cette grande transition grâce à toutes les énergies, toutes les vibrations venant non seulement de notre Univers, venant des émanations du Souffle Divin, venant aussi de nos prières (comme vous pourriez les nommer sur Terre) mais venant aussi de l’aide de vos frères qui vivent à l’intérieur de la Terre. Certains désiraient que cela aille beaucoup plus vite, que le plan d’évacuation soit mis en action et qu’on ne rectifie pas en permanence les erreurs des humains. Nous vous avons dit plusieurs fois

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que si les membres de la Confédération n’avaient pas dépollué votre Terre maintes et maintes fois, vous ne pourriez plus y vivre, essentiellement à cause de la radioactivité. Nous avons obtenu un sursis et nous espérons de tout notre cœur que vous mettrez à profit ce sursis pour votre transformation personnelle. N’oubliez pas qu’un frère de la Terre qui s’éveille à la conscience Divine entraîne dans son sillage beaucoup d’autres frères. Il faut que cet éveil fasse l’effet boule de neige. Alors travaillez sans relâche. Nous savons que cela est difficile pour vous car vous êtes soumis à des énergies très puissantes, des énergies vous tirant en permanence vers le bas. Nous-mêmes ne pourrions vivre sur votre monde. Rien que le fait de venir communiquer avec vous en projection de ce que nous sommes nous est désagréable. Alors non seulement nous vous comprenons mais nous ne vous en aimons que davantage. Il y a eu trois plans pour cette planète Terre, le troisième est celui qui aura lieu pour la transformation de ce monde, pour la transformation de tout ce qui vit sur ce monde, dans un temps que nous ne pourrions vous dire car nous n’en avons pas le droit. Ou vous ferez le travail qui est demandé, ou vous serez dans l’incapacité de le faire, et à ce moment là nous mettrons tout simplement en action le plan d’évacuation. Nous vous avons souvent parlé de ce plan d’évacuation mais nous n’aimerions pas en arriver là, car il y aura beaucoup de personnes vivant sur ce monde qui seront détruites. Elles ne seront pas détruites dans leur âme, mais détruites dans leur corps physique tout simplement. Alors nous espérons que vous avancerez pour donner une chance supplémentaire à une grande multitude, afin que la Lumière l’éclaire, que la lumière l’habite et que l’Amour que nous avons pour vous puisse être ressenti au plus profond du cœur par chacun de vous. Nous travaillons avec vous, nous travaillons pour vous, nous travaillons pour la Terre, nous travaillons pour l’Univers. Si tous les êtres de la Terre pouvaient reconnaître notre réalité, si tous les êtres de la Terre pouvaient lever les yeux pour nous ressentir, nous percevoir et nous voir, tout irait tellement plus vite ! Les êtres de la Terre ne se sentiraient plus seuls, ils comprendraient que tout est possible, ils retrouveraient l’espoir, ils retrouveraient la joie, ils sauraient qu’ils ne sont pas seuls. Si tous les êtres de la Terre pouvaient lever les yeux et nous voir, si tous les êtres de la Terre croyaient en nous, comme nous serions heureux et comme ils seraient heureux ! Nous existons, soyez-en sûrs. Même si parfois un petit doute subsiste en votre cœur, nous existons et bientôt vous nous verrez, soyez également sûrs de cela. Soyez courageux car des moments encore difficiles vont être vécus par l’humanité, l’humanité dans son grand ensemble. Plus vous vous serez préparés en votre cœur, en votre conscience, plus vous aurez lâché prise avec tout ce que nous vous avons dit depuis si longtemps, plus vous aurez acquis de l’humilité, de la tolérance, de la compréhension, de l’Amour Inconditionnel et moins les choses seront difficiles pour vous. Il faut essayer d’avoir le moins possible d’attachement pour tout ce qui est biens matériels, biens terrestres. Vous pouvez avoir un grand attachement pour ceux que vous aimez, cela fait aussi partie de l’Amour, mais vous devez travailler au détachement par rapport à tout ce qui n’est pas utile à la vie, à la vie harmonieuse. Si le virage que nous souhaitons est bien pris dans le temps que nous avons donné à l’humanité afin qu’il puisse s’accomplir dans de moindres souffrances, nous n’interviendrons pas, tout du moins pas comme nous l’avions prévu. Si ce virage n’est pas pris comme nous le souhaitons, il y aura plan d’évacuation de la Terre. Comprenez, enfants de la Terre, que si vous avez trop d’attachement pour vos possessions terrestres, pour vos habitations, pour tout ce qui a fait la joie de votre vie matérielle, vous aurez une grande souffrance à laisser tout cela. Profitez de ce qui est autour de vous, jouissez de votre confort, de la paix qui règne dans vos maisons, dans votre environnement, mais sachez que demain, dans huit jours, dans un an, tout cela pourra vous être enlevé. Alors attachez-vous à l’essentiel, à l’Amour, à la beauté intérieure, à la fraternité, à la paix, à la sérénité, à la joie. Tout cela ne vous sera jamais enlevé et ce sera un immense trésor que vous emmagasinerez en vous. » (Message donné par la Fédération intergalactique à Monique MATTHIEU).

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Ce texte peut être reproduit ou donné en copie aux conditions suivantes : qu'il ne soit pas coupé, qu'il n'y ait aucune modification de contenu, qu’il soit fait référence au site http://assoc.wanadoo.fr/ciel-a-la-terre ou à leur adresse de courrier électronique. Le nouveau monde. Ce qu’en dit Edgar Cayce. Dans la nuit du 3 mars 1936, Edgar Cayce eut un rêve prophétique sur sa future incarnation aux États-Unis, décrivant un environnement complètement différent de celui d'aujourd'hui : « Je naissais de nouveau en 2100 dans le Nebraska. La mer, apparemment, recouvrait tout l'ouest du pays, et la ville où j'habitais était sur la côte. Le nom de ma famille était bizarre ; très jeune, j'avais déclaré être Edgar Cayce qui avait vécu deux cents ans auparavant. Des savants, avec de longues barbes, très peu de cheveux et des lunettes à verre épais, furent appelés pour m'examiner. Ils décidèrent de visiter les endroits où je disais avoir vécu et travaillé, le Kentucky, l'Alabama, New York, le Michigan et la Virginie. M'emmenant, moi, l'enfant, avec eux, ce groupe de savants partit visiter ces endroits, dans un vaisseau volant qui avait la forme d'un cigare en métal et se déplaçait à une très grande vitesse. L'eau recouvrait une partie de l'Alabama. Norfolk, en Virginie, était devenu un immense port de mer. New York avait été détruite soit par une guerre, soit par un tremblement de terre, et on était en train de reconstruire la ville. Les industries étaient éparpillées dans la campagne. La plupart des maisons étaient en verre. On découvrit beaucoup de documents sur Edgar Cayce, qui furent réunis et emportés au Nebraska pour y être étudiés par le groupe. » (Source : Edgar Cayce : Prophéties d’Edgar Cayce). Les prophéties. La prophétie de Jean de Jérusalem : une vision étonnante de notre monde actuel. Cette prophétie pour le moins étonnante et d’une extrême acuité aurait été écrite en 1099 par un certain Jean de Jérusalem (ou Jean de Vézelay), qui aurait été un des fondateurs de l’Ordre des templiers. Evidemment, on peut s’interroger sur cette prophétie en se demandant simplement si elle n’est pas tout simplement un faux, et d’ailleurs lorsque l’on se rend sur le net, il existe toutes une série de sites qui en discutent en long et en large, les uns argumentant en sa faveur, les autres en sa défaveur. Nous vous la livrons ici en entier. A nous d’exercer notre discernement… A noter également qu’à la suite des prophéties sombres de la première partie du texte, Jean de Jérusalem nous annonce un monde nouveau, totalement différent de celui dans lequel nous vivons actuellement. (S’il pouvait avoir raison !!!). Il est rejoint en cela par de nombreux autres prophètes. 1 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'Or sera dans le Sang Qui regardera les étoiles y comptera des deniers Qui entrera dans le Temple y rencontrera les marchands Les Souverains seront changeurs et usuriers Le Glaive défendra le Serpent Mais le feu couvera Chaque ville sera Sodome et Gomorrhe Et les enfants des enfants deviendront la nuée ardente Ils lèveront les vieux étendards 2 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'Homme aura peuplé les Cieux et la Terre et les Mers de ses Créatures Il ordonnera

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Il voudra les pouvoirs de Dieu Il ne connaîtra aucune limite Mais chaque chose se retournera Il titubera comme un roi ivre Il galopera comme un chevalier aveugle Et à coup d'éperon il poussera sa monture dans la forêt Au bout du chemin sera l'abîme 3 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Se dresseront en tous points de la Terre des Tours de Babel Ce sera Rome et ce sera Byzance Les champs se videront Il n'y aura de loi que de soi et de sa bande Mais les Barbares seront dans la ville Il n'y aura plus de pain pour tous Et les jeux ne suffiront plus Alors les gens sans avenir Allumeront les grands incendies 4 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille La faim serrera le ventre de tant d'hommes Et le froid bleuira tant de mains Que ceux-là voudront voir un autre monde Et des marchands d'illusions viendront qui proposeront le poison Mais il détruira les corps et pourrira les âmes Et ceux-là qui auront mêlé le poison à leur sang Seront comme bête sauvage prise au piège Et tueront et violeront et rançonneront et voleront Et la vie deviendra une apocalypse de chaque jour 5 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Chacun cherchera à jouir tout ce qu'il peut L'Homme répudiera son épouse autant de fois qu'il se mariera Et la femme ira par les chemins perdus (creux) prenant celui qui lui plaira Enfantant sans donner le nom du Père Mais aucun Maître ne guidera l'Enfant Et chacun parmi les autres sera seul La tradition sera perdue La loi sera oubliée Comme si l'Annonce n'avait pas été faite et l'homme redeviendra sauvage 6 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Le père prendra son plaisir avec sa fille L'homme avec l'homme la femme avec la femme Le vieux avec l'enfant impubère Et cela sera aux yeux de tous Mais le sang deviendra impur Le mal se répandra de lit en lit Le corps accueillera toutes les putréfactions de la terre Les visages seront rongés les membres décharnés L'amour sera haute menace pour ceux qui ne se connaissent que par la chair 7 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Celui qui parlera de Serment et de Loi Ne sera pas entendu Celui qui prêchera la Foi du Christ Perdra sa voix dans le désert Mais partout se répandra les eaux puissantes des religions infidèles De faux messies rassembleront les hommes aveuglés Et l'infidèle armé sera comme jamais il ne fut Il parlera de justice et de droit et sa foi sera brûlante et tranchante Il se vengera de la Croisade 8 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille

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Le bruit de la mort donnée roulera comme l'orage sur la terre Les barbares seront mêlés aux soldats des dernières légions Les Infidèles vivront dans le cœur des Villes Saintes Chacun sera tour à tour barbare, infidèle et sauvage Il n'y aura plus d'ordre ni de règle La haine se répandra comme la flamme dans la forêt sèche Les barbares massacreront les soldats Les infidèles égorgeront les croyants La sauvagerie sera de chacun et de tous et les villes périront 9 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes se jugeront entre eux selon leur sang et leur foi Nul n'écoutera le cœur souffrant des enfants On les dénichera comme des oisillons Et personne ne saura les protéger de la main raidie par le gantelet La haine inondera les terres qui se croyaient pacifiées Et nul ne sera épargné ni les vieux ni les blessés Les maisons seront détruites ou volées Les uns prendront la place des autres Chacun fermera les yeux pour ne pas voir les femmes violées 10 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Chacun saura ce qui est en tous les lieux de la terre On verra l'enfant dont les os percent la peau Et celui dont les yeux sont couverts de mouches Et celui qu'on pourchasse comme un rat Mais l'homme qui verra détournera la tête Car il ne se souciera que de lui Celui-là donnera une poignée de grains comme aumône Alors qu'il dort sur des sacs pleins Et ce qu'il donnera d'une main il le reprendra de l'autre 11 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme fera marchandise de tout Chaque chose aura son prix L'arbre l'eau et l'animal Plus rien ne sera vraiment donné et tout sera vendu Mais l'homme alors ne sera plus que poids de chair On troquera son corps comme un quartier de viande On prendra son œil et son cœur Rien ne sera sacré ni sa vie ni son âme On se disputera sa dépouille et son sang comme une charogne à dépecer 12 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme aura changé le visage de la terre Il se voudra le Maître et le Souverain des forêts et des troupeaux Il aura creusé le sol et le ciel Et tracé son sillon dans les fleuves et les mers Mais la terre sera nue et stérile L'Air deviendra brûlant et l'eau sera fétide La vie se fanera car l'homme épuisera la richesse du monde Et l'homme sera seul comme un loup Dans la haine de lui 13 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'enfant sera lui aussi vendu Certains se serviront de lui comme d'une quintaine Pour jouir de sa neuve peau D'autres le traiteront comme un animal servile On oubliera la faiblesse sacrée de l'enfant Et son mystère Il sera comme un poulain qu'on dresse Comme un agneau qu'on saigne qu'on abat Et l'homme ne sera plus rien que barbarie

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14 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Le regard et l'esprit des hommes seront prisonniers Ils seront ivres et l'ignoreront Ils prendront les images et les reflets pour la vérité du monde On fera d'eux ce que l'on fait d'un moutonAlors les carnassiers viendront Les rapaces les mettront en troupeau pour mieux les guider vers l'abîme Et les dresser les uns contre les autres On les écorchera pour prendre leur laine et leur peau Et l'homme s'il survit sera dépouillé de son âme 15 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Régneront des Souverains sans croyance Ils ordonneront aux foules humaines innocentes et passives Ils cacheront leurs visages et garderont leurs noms secrets Et leurs châteaux forts seront perdus dans les forêts Mais ils décideront du sort de tout et de tous Personne ne participera aux assemblées de leur ordre Chacun sera vrai serf et se croira homme libre et chevalier Seuls se dresseront ceux des villes sauvages et des fois hérétiques Mais ils seront d'abord vaincus et brûlés vifs 16 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes seront si nombreux sur les terres Qu'ils ressembleront à une fourmilière dans laquelle on enfonce le bâton Ils grouilleront et la mort les écrasera du talon Comme des insectes affolés De grands mouvements les pousseront d'une contrée à l'autre Les peaux brunes se mêleront aux peaux blanches La Foi du Christ à celle de l'Infidèle Certains prêcheront la paix jurée Mais partout ce sera la guerre des tribus ennemies 17 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes voudront franchir toutes les enceintes La mère aura les cheveux gris d'une vieille Le chemin de la nature sera abandonné Et les familles seront comme des grains séparés que rien ne peut unir Ce sera donc un autre monde Chacun errera sans lien comme un cheval emballé Allant en tout sens sans guide Malheur au chevalier qui chevauchera cette monture Il sera sans étrier et chutera dans le fossé 18 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes ne s'en remettront plus à la loi de Dieu Mais voudront guider leur vie comme une monture Ils voudront choisir leurs enfants dans le ventre de leurs femmes Et tueront ceux qu'ils n'aimeront pas Mais que sera l'homme qui se prendra ainsi pour Dieu ? Les Puissants se saisiront des meilleures terres et des plus belles femmes Les pauvres et les faibles seront du bétail Chaque masure deviendra donjon La peur sera en chaque cœur comme un poison 19 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Un ordre noir et secret aura surgi Sa loi sera de haine et son arme le poison Il voudra toujours plus d'or et étendra son règne sur toute la terre Et ses servants seront liés entre eux par un baiser de sang Les hommes justes et les faibles subiront sa règle Les Puissants se mettront à son service La seule loi sera celle qu'il dictera dans l'ombre

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Il vendra le poison jusque dans les églises Et le monde marchera avec ce scorpion sous son talon 20 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Bien des hommes resteront assis les bras croisés Ou bien iront sans savoir où les yeux vides Car ils n'auront plus de forge où battre le métal Et plus de champ à cultiver Ils seront comme une graine qui ne peut prendre racine Errants et démunis humiliés et désespérés Les plus jeunes et les plus vieux souvent sans lieux Ils n'auront que la guerre pour salut Et ils se combattront d'abord eux-mêmes et ils haïront leur vie 21 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les maladies de l'eau, du ciel et de la Terre Frapperont l'homme et le menaceront Il voudra faire renaître ce qu'il a détruit et protéger ce qui demeure Il aura peur des jours qui viennent Mais il sera bien tard Le désert rongera la terre et l'eau sera de plus en plus profonde Elle ruissellera certains jours en emportant tout comme un déluge Et elle manquera le lendemain à la terre Et l'air rongera le corps des plus faibles 22 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille La terre tremblera en plusieurs lieux et les villes s'effondreront Tout ce que l'on aura construit sans écouter les sages Sera menacé et détruit La boue submergera les villages et le sol s'ouvrira sous les Palais L'homme s'obstinera car l'orgueil est sa folie Il n'entendra pas l'avertissement répété de la terre Mais l'incendie détruira les nouvelles Rome Et dans les décombres accumulés Les pauvres et les barbares pilleront malgré les Légions les richesses abandonnées 23 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Le soleil brûlera la terre L'Air ne sera plus le voile qui protège du feu Il ne sera qu'un rideau troué Et la lumière brûlante rongera les peaux et les yeux La mer s'élèvera comme une eau qui bout Les villes et les rivages seront ensevelis Et des continents entiers disparaîtront Les hommes se réfugieront sur les hauteurs Et ils reconstruiront oubliant déjà ce qui est survenu 24 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes sauront faire vivre des mirages Les sens seront trompés et ils croiront toucher ce qui n'est pas Ils suivront des chemins que seuls les yeux verront Et le rêve pourra ainsi devenir vivant Mais l'homme ne saura plus séparer ce qui est de ce qui n'est pas Il se perdra dans de faux labyrinthes Ceux qui sauront faire naître des mirages Se joueront de l'homme naïf en le trompant Et beaucoup d'hommes deviendront des chiens rampants 25 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Les animaux que Noé avait embarqués sur son Arche Ne seront plus entre les mains de l'Homme Que bêtes transformées selon sa volonté Et qui se souciera de leur souffrance vivante?

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L'homme aura fait de chaque espèce ce qu'il aura voulu Et il en aura détruit d'innombrables Que sera devenu l'homme qui aura changé les lois de la vie Qui aura fait de l'animal vivant une motte de glaise Sera-t-il l'égal de Dieu ou l'enfant du Diable ? 26 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Il faudra avoir peur pour l'enfant de l'homme Le poison et le désespoir le guetteront On ne l'aura désiré que pour soi et non pour lui ou pour le monde Il sera traqué pour le plaisir et parfois on vendra son corps Mais même celui qui sera protégé par les siens Sera menacé d'avoir l'esprit mort Il vivra dans le jeu et le mirage Qui le guidera puisqu'il n'y aura plus maître Personne ne lui aura enseigné à espérer et à agir 27 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme se croira Dieu alors qu'il ne sera rien de plus qu'à sa naissance Il frappera toujours vaincu par la colère et la jalousie Mais son bras sera armé de la puissance dont il se sera emparé Et Prométhée aveuglé il pourra tout détruire autour de lui Il restera un nain de l'âme et il aura la force d'un géant Il avancera d'un pas immense mais il ignorera quel chemin prendre Sa tête sera lourde de savoir Mais il ne saura pas pourquoi il vit et il meurt Il sera comme toujours le fou qui gesticule ou l'enfant qui geint 28 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Des contrées entières seront la proie de la guerre Au-delà du limès romain et même sur l'ancien territoire de l'Empire Les hommes des mêmes cités s'égorgeront Ici sera la guerre entre tribus et là entre croyants Les Juifs et les enfants d'Allah n'en finiront pas de s'opposer Et la terre du Christ sera leur champ de bataille Mais les infidèles voudront partout défendre la pureté de leur foi Et il n'y aura en face d'eux que doute et puissance Alors la mort s'avancera partout comme l'étendard des temps nouveaux 29 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille Des hommes en multitude seront exclus de la vie humaine Ils n'auront ni droits, ni toit, ni pain Ils seront nus et n'auront que leurs corps à vendre On les rejettera loin des tours de Babel de l'opulence Ils grouilleront comme un remords et une menace Ils occuperont des contrées entières et prolifèreront Ils écouteront les prédications de la vengeance Et ils se lanceront à l'assaut des tours orgueilleuses Le temps sera revenu des invasions barbares 30 Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme sera entré dans le labyrinthe obscur Il aura peur et il fermera les yeux car il ne saura plus voir Il se défiera de tout et il craindra à chaque pas Mais il sera poussé en avant car aucune halte ne sera permise La voix de Cassandre sera pourtant haute et forte Il ne l'entendra pas Car il voudra toujours plus posséder et sa tête sera perdue dans les mirages Ceux qui seront ses Maîtres le tromperont Et il n'y aura que des mauvais bergers 31 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes auront enfin ouvert les yeux Ils ne seront plus enfermés dans leurs têtes et dans leurs cités

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Ils se verront et s'entendront d'un point à l'autre de la terre Ils sauront que ce qui frappe l'un blesse l'autre Les hommes formeront comme un grand corps unique Dont chacun d'eux sera une part infime Et ils constitueront ensemble le cœur Et il y aura enfin une langue qui sera parlée par tous Et il naîtra ainsi enfin le grand humain 32 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme aura conquis le ciel Il créera des étoiles dans la grande mer bleu sombre Et il naviguera sur cette nef brillante Nouvel Ulysse compagnon du Soleil pour l'Odyssée Céleste 33 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille Les hommes pourront s'enfoncer sous les eaux Leur corps sera nouveau et ils seront poissons Et certains voleront haut, plus haut que les oiseaux Comme si la pierre ne tombait pas Ils communiqueront entre eux Car leur esprit sera si grand ouvert qu'il recueillera tous les messages Et les rêves seront partagés Et ils vivront aussi longtemps que le plus vieux des hommes Celui dont parlent les Livres Saints 34 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme saura quel est l'esprit de toute chose La pierre ou l'eau, le corps de l'animal ou le regard de l'autre Il aura percé les secrets que les Dieux anciens possédaient Et il poussera porte après porte dans le labyrinthe de la vie nouvelle Il créera avec la puissance et le jaillissement d'une source Il enseignera le savoir à la multitude des hommes Et les enfants connaîtront la terre et le ciel plus qu'aucun avant eux Et le corps de l'homme sera agrandi et habile Et son esprit aura enveloppé toutes choses et les aura possédées 35 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme ne sera plus le seul souverain car la femme viendra saisir le sceptre Elle sera la grande maîtresse des temps futurs Et ce qu'elle pensera, elle l'imposera aux hommes Elle sera la mère de cet An Mille qui vient après l'An Mille Elle répandra la douceur tiède de la mère après les jours du Diable Elle sera la beauté après la laideur des temps barbares L'An Mille qui vient après l'An Mille se changera en temps léger On aimera et on partagera On rêvera et on enfantera les rêves 36 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme connaîtra une seconde naissance L'Esprit saisira la foule des hommes Qui communieront dans la fraternité Alors s'annoncera la fin des temps barbares Ce sera le temps d'une nouvelle vigueur de la Foi Après les jours noirs du commencement de l'An Mille qui vient après l'An Mille S'ouvriront des jours heureux L'homme retrouvera le chemin des hommes Et la terre sera ordonnée 37 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille Des voies iront d'un bout à l'autre de la terre et du ciel à l'autre bout Les forêts seront à nouveau denses Et les déserts auront été irrigués Les eaux seront redevenues pures

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La terre sera comme un jardin L'Homme veillera sur tout ce qui vit Il purifiera ce qu'il a souillé Il sentira toute la terre comme sa demeure Et il sera sage pensant aux lendemains 38 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille Chacun sera comme un pas réglé On saura tout du monde et de son corps On soignera la maladie avant qu'elle n'apparaisse Chacun sera guérisseur de soi et des autres On aura compris qu'il faut aider pour maintenir Et l'homme après des temps de fermeture et d'avarice Ouvrira son cœur et sa bourse aux plus démunis Il se sentira chevalier de l'ordre humain Et ainsi ce sera un temps nouveau qui commencera 39 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme aura appris à donner et à partager Les jours amers de solitude seront enfouis Il croira à nouveau à l'Esprit Et les barbares auront acquis droit de cité Mais cela viendra après les guerres et les incendies Cela surgira des décombres noircies des tours de Babel Et il aura fallu la poigne ferrée Pour que s'ordonne le désordre Et que l'homme retrouve le bon chemin 40 Lorsque ce sera le plein de l'An Mille qui vient après l'An Mille L'homme saura que tous les vivants sont porteurs de lumière Et qu'ils sont créatures à respecter Il aura construit les nouvelles cités Dans le ciel, sur la terre et sur la mer Il aura la mémoire de ce qui fut Et il saura lire ce qui sera Il n'aura plus peur de sa propre mort Car il aura dans sa vie vécu plusieurs vies Et la Lumière il le saura ne sera jamais éteinte Les prophéties des Indiens hopis. NDLR : selon l’encyclopédie en ligne Wikipédia, le terme HOPI désigne un ensemble de tribus amérindiennes du sud-ouest de l’Amérique du Nord, voisines des Apaches, des Navajos, des Papagos, des Zuñis et des Pueblos. « Une première série d'avertissements avait eu pour but d'alerter les Anciens Hopis futurs de l'approche de cet avènement ; signe qui leur était donné de rompre le silence et de livrer au monde une deuxième série de prédictions annonçant l'imminence de la purification par le feu. Voici la première série de prédictions : Avertissement : un cheval de fer viendra au pays de l'homme rouge. Réalisation : le chemin de fer a été construit au XIXe siècle. Avertissement : l'homme blanc dressera des fils de métal dans le ciel. Réalisation : ce sont les lignes télégraphiques au XIXe, et, au XXe siècle les câbles porteurs d'électricité. Avertissement : des toiles d'araignées sillonneront le ciel. Réalisation : ce sont les traînées de condensation des avions. Avertissement : les puissances du rouge, de la svastika et du soleil menaceront l'île de la Tortue. Réalisation : vue de l'espace, l'Amérique du nord ressemble au profil d'une tortue (Ne me demandez pas comment des voyants pré-colombiens savaient cela). Pendant la

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seconde guerre mondiale et la guerre froide qui suivit, l'Amérique du nord fut menacée par ces trois " puissances ". La croix gammée des nazis et plus tard, les forces rouges communistes russes et chinoises entourèrent l'île de la Tortue. La toute puissance du soleil brûla le sol natal lorsque l'homme blanc essaya ses bombes atomiques dans le Nevada et au Nouveau Mexique, proches de la terre sacrée des Hopi en Arizona. Avertissement : l'homme blanc créera une gangue de cendres qui empoisonnera la terre et la rendra stérile pour des générations. Réalisation : les bombes atomiques encore et les radiations stérilisantes. Avertissement : l'accomplissement de cette première série de signes autorisera les Anciens Hopis à sortir de leur long silence et à répandre le message prophétique de l'imminence de la grande purification. Ils partageront leur connaissance et leur sagesse avec les peuples du monde, afin que chacun puisse se préparer ou amortir le choc sur la Terre. Réalisation : il y a 50 ans, en effet, les Anciens Hopis reconnurent que le premier train de signes était avenu. Ils commencèrent donc à révéler au monde les prophéties d'une purification prochaine. Certains Anciens, tel que Thomas Banyaca, ont expliqué ces prophéties à la télévision et ont parlé devant l'Assemblée Générale des Nations Unies. Et voici la seconde et dernière série d'avertissements : Avertissement : une tribu d'hommes vêtus de capes rouges et coiffés de chapeaux de même viendront de l'est en grand nombre, voyageant par les airs. Ils coloniseront les terres de l'ouest américain, se disperseront et disparaîtront. Réalisation : lorsque les trois premiers signes précurseurs de leur prophétie, vieille de 1200 ans, concernant la transplantation de leur religion vers l'Amérique furent accomplis, les Tibétains rendirent visite aux Anciens Hopis. Cette prophétie donnée par le fondateur du bouddhisme tibétain, Padmasambhava, s'énonce : « Quand volera l'oiseau de fer (l'avion) et que le cheval courra sur les routes (autos), le peuple tibétain sera dispersé comme des fourmis sur la face de la Terre, et le Dharma* viendra au pays des hommes rouges ». Depuis 1970, le Dalaï Lama et un certain nombre de prêtres aux capes marron accomplissent la prophétie hopi en visitant les Anciens Hopis, puis en poursuivant leur migration. De nombreux Hopis croient aussi que leur prophétie se complète par une seconde visite, dans les années 80, des disciples vêtus de rouge de Bhagwan Sri Rajneesh, arrivés par milliers dans l'ouest de l'Oregon. Effectivement, un groupe de partisans de Rajneesh rendit visite au chef des Anciens Hopis, Grand Père David Monogye, en 1985, pour ensuite disparaître suivis de leurs compagnons de voyage en capes rouges. Cette rencontre est très bien évoquée dans le livre : " Les Messies : visions et prophéties du 2e avènement ". Avertissement : l'homme blanc volera des roches de la lune. Ceci est un signe de danger car nous serons dans les derniers jours avant la purification. Réalisation : les missions Apollo ramenèrent sur Terre des centaines de kilos de roches prélevées sur la Lune. Avertissement : l'homme blanc construira une maison permanente dans le ciel. Ceci est l'avertissement final avant la purification. Réalisation : les fragments de MIR ont tracé une trajectoire de feu jusqu'à l'océan, mais aujourd'hui la Station Internationale de l'Espace, bien plus permanente, parcourt le ciel. Elle sera tout à fait opérationnelle dans quelques années. On pourrait même dire qu'elle est opérationnelle et que les temps de la purification sont arrivés. » (Source : http://www.onnouscachetout.com/themes/avenir/hopis.php citant comme sources le magazine Nexus n°16 et John Hogue le 16 Avril 2001 de ses Hogue Prophecy Archives au site web http://www.hogueprophecy.com). La prophétie de Malachie. « La " prophétie de saint Malachie ou prophétie des papes " est un texte mystérieux, qu'on attribue parfois à saint Malachie, et qui aurait été découvert vers 1590. Ce document de 5 pages a été publié pour la première fois en 1595, dans un ouvrage d'un moine bénédictin de Venise, Arnold de Wyon. » (Source : encyclopédie en ligne Wikipédia).

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Nous vous livrons ici le texte de la dernière des 111 prophéties de Malachie concernant les papes. Avec la réalisation de cette dernière prophétie est supposée arriver la fin du monde… « In persecutione extrema romanae ecclesiae sedebit Petrus Romanus, qui pascet oves in multis tribulationibus ; quibus transactis, civitas septis collis diruetur, et Judex tremendus judicabit populum suum. Amen. » « Pierre le Romain aura son siège dans l'ultime persécution de la Sainte église romaine, lui qui fera paître ses brebis lors de ses nombreuses tribulations, après lesquelles, la cité aux sept collines sera détruite et le Juge redoutable le proclamera à son peuple. » Nous ne résistons pas à l’envie de vous donner les prophéties (il s’agit en fait de devises attribuées à chaque pape) concernant le pape Jean-Paul II et son successeur Benoît XVI, prophéties qui ont été interprétées comme suit : 110. De labore Solis (de l'éclipse solaire, du labeur du soleil). Jean-Paul II (1978-2005). Né le jour d'une éclipse solaire et aussi enterré le jour d'une éclipse solaire, ce pape a visité (tout comme le soleil) tous les continents lors de ses nombreux voyages. 111. Gloria olivae (la gloire de l'olive). Benoît XVI (2005-). Les branches d'olivier sont le symbole de l'ordre de Saint-Benoît. L'olivier est aussi le symbole de la paix. Benoît XVI prône un rapprochement avec le judaïsme (on considère parfois la branche d'olivier comme symbole d'Israël). (Source : encyclopédie Wikipédia en ligne). Sérieux avertissement à Garabandal. On le sait, la Vierge Marie est apparue de nombreuses fois un peu partout dans le monde et quelques fois en mettant en garde l’humanité contre ses dérives et son manque de " foi ". L’avertissement de Garabandal que nous allons vous relater constitue une prophétie majeure dans les apparitions de Marie. D’abord, plantons le décor : Garabandal (Espagne) est un petit village montagnard comptant près de 300 âmes. Ses habitants sont pauvres, pieux et habitués à une vie simple et rude. Le 18 juin 1961, l’archange Saint-Michel apparaît à quatre petites filles âgées d’une douzaine d’années. Elles s’appellent Conchita, Jacinta, Loli, et Mari-Cruz. L’archange leur annonce la venue de Notre Dame pour le 2 juillet suivant. Pendant quatre ans les apparitions vont se multiplier et au cours de celles-ci Marie délivrera des prophéties concernant la fin des temps. Nous empruntons le récit qui va suivre au livre de Ramon PEREZ, Les apparitions de Garabandal, L’ultime avertissement ? (Voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Annonce de l’Avertissement à l’adresse de l’humanité entière : « … Avant que ne survienne cet extraordinaire événement, Dieu enverra un signe à l’évêque de Santander, lui donnant la preuve irréfutable de la réalité surnaturelle des apparitions de Garabandal … Interrogée sur ce sujet au cours de la Semaine Sainte de 1971, Conchita confirme les données précédentes : … Il est certain que Monseigneur l’évêque lèvera l’interdiction pour les prêtres de monter au village … Il est certain qu’il sera changé par un signe personnel qu’il recevra … Il est certain qu’il possèdera la lumière, avant l’Avertissement, si cela venait après, cela n’aurait plus de valeur… … Au début de 1987, Monseigneur del Val prend la décision d’autoriser les prêtres à monter à Garabandal et à y célébrer la messe, à condition qu’ils ne parlent pas des apparitions. Cette décision n’est pas publiée officiellement, les intéressés en sont informés oralement par le curé de la paroisse Don Juan Gonzalez. A-t-il reçu le signe annoncé ? La rumeur court dans le diocèse qu’il a été guéri d’une grave maladie par l’intermédiaire d’une relique de Garabandal. Mais s’il a reçu le signe, pourquoi ne reconnaît-il les apparitions, ou tout du moins n’ouvre-t-il pas de nouveau le

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dossier ?... A remarquer qu’avec ou sans signe surnaturel et malgré son caractère restrictif (ne pas parler des apparitions) l’autorisation donnée, aux prêtres de monter à Garabandal, entre dans la série de prophéties faites par les enfants qui se sont réalisées. Cette prophétie de l’Avertissement, aussi stupéfiante et prodigieuse qu’universelle, unique dans l’histoire du peuple hébreux et de l’Eglise, tout être humain, en toutes nations et races, sur toute la surface de la terre, et quelle que soit sa croyance l’expérimentera. (NDLR : voici ce message du 18 octobre 1961 : « Il faut faire beaucoup de sacrifices, beaucoup pénitence. Il faut visiter beaucoup le Saint-Sacrement. Mais avant tout il faut être très bons. Si on ne le fait pas, un châtiment nous frappera. Déjà la coupe est en train de se remplir. Si nous ne changeons pas, le châtiment sera très grand. »). Sa portée est non seulement morale et spirituelle, mais encore eschatologique*. Son accomplissement visera à redonner à tout homme la conscience radicale du bien et du mal, mais aussi du bien et du mal déjà fait… A partir des nombreuses déclarations orales ou écrites faites par Jacinta, Mari-Loli et Conchita au temps des apparitions comme dans les années qui suivirent, on peut énumérer les différents éléments et phases de ce prodigieux événement : - Il pourra survenir de jour comme de nuit. - Il durera très peu de temps. - Il sera vu dans le ciel par tout être humain où qu’il se trouve. - Ce sera comme si deux étoiles se heurtaient. - Ce sera comme du feu. - Tous les moteurs et machines s’arrêteront (donc également les avions en vol). - Son nom figure dans le dictionnaire à la lettre A. - Il sera inexplicable par la science. - Il surviendra moins d’un an avant le grand Miracle. - La Vierge en a parlé pour la première fois à Jacinta et à Mari-Loli, lors des " deux nuits des cris ", en juin 1962. - Mari-Loli en connaît l’année. - Jacinta ignore la date, mais en connaît la nature. - Conchita en a été informée par la Vierge en janvier 1965, mais n’en connaît pas la date. - Il causera une douleur spirituelle et psychologique presque insupportable, comme une brûlure intérieure. - Quoique nous le ressentirons aussi physiquement, il ne causera aucune souffrance physique, il ne brûlera pas notre chair. - S’il y a des morts, ce ne pourrait être que dû à l’émotion. - Il ne sera pas envoyé pour nous faire peur, mais pour nous faire prendre conscience de certaines réalités : Dieu, le Bien, le Mal. - Ce sera une correction de la conscience humaine. - Ce sera comme un bref séjour au Purgatoire. - Il nous fera voir en nous-mêmes le mal que nous avons fait et le bien que nous n’avons pas fait. - Ce choc nous amènera à aimer Dieu. - Il aura pour but de changer l’homme (conversion). - Pour que les bons s’approchent de Dieu et pour que les mauvais s’amendent. - Ce sont les péchés de l’humanité qui provoqueront et amèneront l’Avertissement. - Il sera une purification, une préparation spirituelle pour recevoir le grand Miracle. - Même ceux qui ne croient pas au Christ comprendront que ce signe vient de Dieu. - Le monde sait bien qu’il y a un Ciel et un Enfer, mais il n’y pense pas ou seulement en termes de récompense ou de peur. - Il vient aussi pour avertir les mauvais que vient la fin des temps, que ce sont les derniers avertissements… » (Op. cit, extrait des pp. 77 à 80). Après ce mystérieux avertissement, la Vierge annonce un Miracle.

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Le grand Miracle : « … Conchita annoncera cette date huit jours à l’avance. (NDLR : cette date qu’elle a communiquée à quelques personnes). Il s’écoulera moins d’un an entre l’Avertissement et le Miracle. Il durera entre dix minutes et un quart d’heure. Il aura lieu un jeudi à 20h30. Entre le 8 et le 16 de l’un de ces trois mois : mars, avril, mai. Ce ne sera pas un jour de fête de la Vierge. Il coïncidera avec le jour de la fête d’un saint martyr en relation avec l’eucharistie. Il coïncidera aussi avec un événement important, rare, singulier dans et pour l’Eglise et toute la Chrétienté, un événement heureux semble-t-il. Le miracle prophétisé sera immensément grand, « beaucoup, beaucoup plus grand et plus important que celui de Fatima », répète fréquemment Conchita : ce sera le Miracle le plus grand que Jésus ait fait pour le monde ; aussi ne pourra-t-on douter en rien qu’il est de Dieu et qu’il est fait pour le bien de l’humanité. » Il sera visible à Garabandal et dans les montagnes qui entourent le village, mais à portée de vue de celui-ci : il pourra être photographié, filmé, donc très probablement télévisé. Il en restera aux Pins, jusqu’à « la fin des temps », un signe qui en lui-même sera un phénomène miraculeux ; ce signe pourra être également photographié, filmé, télévisé, mais ne sera pas palpable. Il ne sera pas nécessaire que les fillettes soient là au moment de la réalisation de ce Miracle, que Dieu fera par l’intercession de Marie. Les malades présents guériront et les incroyants se convertiront … Après le Miracle, si le monde ne se convertit pas, Dieu enverra un grand Châtiment sur l’humanité endurcie et incrédule ; sauf par conséquent sur un petit nombre qui en sera exclu (NDLR : sans doute ceux qui se seront convertis)… » (Op.cit., extrait des pp. 95-96). Annonce de la fin des papes, de la grande Tribulation, de la fin des temps : « …3 juin 1963 : le Père Rodriguo s.j. professeur de théologie morale à l’Université pontificale de Comillas (Santander) qui eut comme élèves de nombreux évêques espagnols actuels est décédé le 30 mars 1973. Sur son lit de mort il déclara avoir reçu une preuve non équivoque de la vérité de Garabandal. Il rapporte cet épisode : … C’était les premiers jours de juin 1963 : les cloches de Garabandal commencèrent à sonner. Conchita, qui était dans la cuisine de la maison avec Aniceta sa mère, s’exclama immédiatement :

- Les cloches sonnent pour un mort ! C’est sûrement pour le pape. Maintenant il n’en reste plus que trois.

- Quelle sottise dis-tu ? répliqua Aniceta. - Je ne dis aucune sottise. La Vierge me l’a dit à moi. Après ce pape, il n’y en aura

plus que trois. - Alors, est-ce que va venir la fin du monde ? - La Vierge n’a pas dit " la fin du monde ", mais " la fin des temps "…

Maximina qui était également présente confirme ce récit … » (Op. cit. extrait des pp. 130-131). (NDLR : concernant cette prophétie des papes, si l’on compte bien : après Jean XXIII, il ne devait rester que trois papes… Mais en réalité, après Jean XXIII, nous avons eu Paul VI, Jean-Paul Ier et Jean-Paul II et le pape actuel, Benoît XVI, donc non pas trois mais quatre papes… A moins que la Vierge n’ait pas " compté " Jean-Paul Ier qui a régné seulement 33 jours … Mystère !). La grande tribulation. « … De même à Garabandal, fin 1967, Marie-Loli écrit au Père mexicain Gustavos Morelos, le texte ci-dessous actuellement détenu par mme Carmela Saraco (Boston,

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USA) : … La nuit de la peur, bien que nous continuions à voir la Vierge, nous avons commencé à voir aussi une grande multitude de gens qui souffraient beaucoup et criaient avec une grande angoisse … La Vierge nous a expliqué que ce grand mal, qui n’était pas encore le châtiment, arrivera parce que viendra un moment où l’Eglise donnera l’impression d’être sur le point de disparaître. Elle subira une terrible épreuve. Nous avons demandé à la Vierge comment s’appellera cette grande épreuve et Elle a dit " communisme ". Elle précisera à Needles le 27 juillet 1975 : … La Vierge me dit que le communisme dominerait le monde, et qu’il semblerait que l’Eglise aurait disparu, car il sera très difficile aux prêtres de dire la messe. Comme nous l’avons déjà vu, le 16 août 1979, Jacinta en réponse à nos questions sur ce point, et en essayant de se rappeler sa vision nous dit : … Oui, c’était comme une invasion, enfin quelque chose qui était un grand mal, dans lequel le communisme jouait un grand rôle … Mais je ne sais pas quels pays ou régions étaient touchés. La Vierge nous a dit avec insistance qu’il fallait prier pour cela (pour éviter ou supporter cela ?). Ces événements difficiles auront lieu avant l’Avertissement, car celui-ci arrivera quand cette situation sera au pire … La Russie ? Je ne sais pas, ou je ne me souviens plus… » (Op. cit. extrait de la p. 137). (NDLR : Pourquoi la Russie ? pourquoi cette question est-elle posée ? Nous pensons que dans le contexte de l’époque, la " menace " dans les esprits émanait sans doute toujours de la Russie, suite aux nombreuses années de guerre froide…). Le châtiment Selon les messages et les visions qu’ont reçus les fillettes, le châtiment interviendrait au cas où à la suite de l’avertissement et du grand miracle, l’humanité ne prenait pas conscience des changements qu’elle devait opérer. Toujours selon les visions des fillettes, ce serait purement et simplement l’apocalypse. « Oh, c’était horrible à voir. Nous étions absolument épouvantées … Je ne trouve pas de mots pour l’expliquer. Nous voyions l’eau des rivières se changer en sang … Du feu qui tombait du ciel … Et quelque chose de pire encore que je ne peux révéler pour le moment » déclare Mari-Loli à Mme Maria Herrero de Gallardo le 7 octobre 1962 (Op. cit. p. 139). (NDLR : assurément les fillettes ont-elles été terriblement impressionnées de ce qu’elles ont vu et la Vierge a-t-elle employé des images terrifiantes pour bien leur faire comprendre la gravité de la situation afin qu’elles en avertissent leur entourage… Il n’en reste néanmoins que la Vierge annonce " la fin des temps " et non la " fin du monde ", ce qui n’est pas du tout la même chose à notre sens et en cela, ses prophéties rejoignent celles citées dans cet ouvrage). Et encore d’autres prophéties. - Marie-Julie Jahenny vécut à la Fraudais, près de Blain (Loire Atlantique, France) de 1850 à 1941. Elle porta les stigmates du Christ pendant 62 ans, suite aux apparitions de la Vierge et du Christ. Voici ce qu’elle dit : Prophétie : « Les nuages deviennent si bas qu'on semble les toucher. Le soleil n'a plus de force. Les ténèbres sont épaisses : on ne voit plus rien. On ne sait plus l'heure du jour. La foi se réveille en Bretagne. Les uns se prosternent à terre ; d'autres se mettent les bras en croix, tournent leur coeur en haut et font amende honorable au Sacré-Coeur. On se relève sans se reconnaître. Les corps demandent sépulture. Après ces trois jours, où les jours seront noirs, mes ministres auront plus de liberté : ils recommenceront à célébrer les saints mystères, mais secrètement. »

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- Le maître Philippe de Lyon est né à Loisieux en Savoie en 1849 et est décédé en 1905. Cet homme avait, outre des dons de guérisseur, un très grand don de voyance. Prophétie : « Le soleil noir sera visible pour les hommes au renouvellement des choses. Dès maintenant, il est sur l'horizon à un angle de 35° environ, il se lève à 2 heures et se couche à 5 heures, c'est la vraie lumière. Les deux soleils existeront ensemble, puis le blanc diminuera. A ce moment, il y aura moins d'habitants, mais ils seront plus unis... » Et… 28 Mars 1897 (Extrait de l'ouvrage " Le Maître Philippe de Lyon ", Dr Philippe Encausse, Edition traditionnelle, Paris). Prophétie : « Dans un siècle, un cataclysme se produira, à la suite duquel (...) la terre aura tourné, et nous serons vers le pôle Sud. » Interview de Ned DOUGHERTY. NDLR : le lecteur se souviendra sans doute que nous avons déjà parlé de la fameuse expérience aux frontières de la mort (NDE) que Ned Dougherty a vécue. Durant cette NDE, Ned Dougherty a eu aussi des visions assez nettes de l’avenir de la planète. Nous vous livrons ici un extrait de l’interview qui figure à la fin de son ouvrage (interview réalisé le 11 janvier 2004). « Ned, bénéficiez-vous toujours de dons spirituels et lesquels ? Ned Dougherty : j'ai eu une sorte de " don médiumnique ". Mais cela fut insupportable à vivre dans ce monde et j'ai prié comme un fou pour que l'on m'en débarrasse. Je voyais par exemple le futur de mes amis et j'essayais de tout faire pour les empêcher de commettre tel ou tel acte ; mais eux me prenaient pour un dingue. Une fois, j'ai vu la mort de l'une de mes amies et cela m'a posé tellement de problèmes que je ne veux même pas en parler. Le don qui m'est resté est celui de guérir avec mes mains. Vos visions vous ont permis de voir la chute économique des États-Unis. Mais cette chute entraîne aussi celle du reste du monde… Qu'en pensez-vous à la lumière de vos visions ? Ned Dougherty : ce que les Etats-Unis risquent de connaître, associé à notre colossal déficit qui s'empile depuis des années, associé aux dépenses militaires totalement délirantes de Bush, ne présage rien de bon. Ce qui viendra s'ajouter à cela concerne les visions que j'ai eues d'un raz-de-marée phénoménal sur la côte est des Etats-Unis. Ma vision de cet événement est très claire et précise, et elle me conduit à penser qu'il est imminent, qu'il se situe dans un futur très proche. Je n'ai appris que plusieurs années après mon expérience aux frontières de la mort qu'il existe des failles sous l'océan Atlantique, spécialement du côté des îles Canaries. Selon les sismologues, ces failles vont bouger et la question n'est pas de savoir comment mais tout simplement quand. Dans le cas de ce tremblement de terre, nous n'aurons que 8 heures pour évacuer l'ensemble de la côte est avant l'arrivée du raz-de-marée. La destruction totale qui en résultera affectera aussi toutes les installations portuaires et bases militaires sur les côtes de la Virginie et de la Caroline du Sud. La perte de tous ces biens sera une catastrophe pour les compagnies d’assurance qui déposeront le bilan, en entraînant avec elles la faillite des banques. Ensuite, cela causera d'énormes pannes d'électricité,

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entraînant une catastrophique réaction en chaîne du Maine jusqu'à la Floride en passant par New York, pour finalement affecter tout le pays. J'ai vu ce raz-de-marée aussi clairement que je vous vois. La vague s'élèvera entre 80 et 100 mètres au-dessus du niveau de la mer. Alors imaginez … J'ai vu la même scène de la 57e rue de Manhattan. New York était inondée. La Floride disparaissait de Key Biscayne jusqu'au sud de Miami. Une vague haute comme un immeuble de vingt étages… Vous dites que les côtes américaines seront détruites et que seuls ceux qui vivent dans des montagnes ont des chances de survivre. Pouvez-vous préciser ? Ned Dougherty : en fait, au cours de mes visions, j'ai pu voir le raz-de-marée sous trois " angles " différents : à partir du sanctuaire d'Eastport avec une vue de plusieurs centaines de mètres au-dessus de la mer ; ensuite du croisement de la 57e rue et de Lexington Avenue à New York ; et finalement j'ai eu une sorte de vision globale de Key Biscayne jusqu'au sud de Miami Beach. Ma perception était que l'inondation affectera toute la côte est des Etats-Unis, du Maine jusqu'à la Floride. Ceux qui vivent sur la côte seront, comment dire… effacés. Simplement parce qu'après le tremblement de terre, il n'y aura que 8 heures pour évacuer la population avant l'arrivée de " la vague ". Imaginez ce qu'une évacuation d'environ 80 millions de personnes peut signifier ! Avoir un enfant qui va affronter tous ces cataclysmes ne vous fait-il pas peur ? Ned Dougherty : je suis comme tous les parents, je veux protéger mes enfants. Cependant, ils ne nous appartiennent pas. Et ils ont voulu venir dans ce monde. Que diriez-vous de particulier à vos lecteurs francophones ? Ned Dougherty : de prier, parce que cela peut changer des choses tout de suite dans leur vie. Et de prier tous les jours, pour soi et pour le monde ensuite, parce que ce que j'ai vu de l'avenir est quand même inquiétant. » (Extraits de l'interview de Ned Dougherty du 11 janvier 2004 dans Voie expresse pour le Paradis, pp. 200 à 203, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Conclusion des auteurs : Que ce soit les Anciens, les scientifiques, les médiums, les visionnaires, les prophètes, les maîtres de sagesse, les extraterrestres, tout le monde s’accorde donc à dire que notre monde (tel que nous le connaissons) ne va plus durer éternellement. Ce ne sera pas LA FIN DU MONDE mais bien LA FIN D’UN MONDE, celui à la fois si beau et si chaotique voire violent que nous connaissons. Certains avancent des dates très précises comme par exemple le 21 décembre 2012. Que pouvons-nous ajouter si ce n’est que…nous verrons bien… (et en ce qui concerne le 21 décembre 2012… et bien… nous avons vu… que nous n’avons rien vu ! En attendant, rien ne sert de s’affoler inutilement même si beaucoup d’événements actuels sont loin d’être réjouissants et penchent en faveur d’une échéance finale à plus ou moins moyen terme. Nous vous proposons dans le chapitre suivant d’acquérir par certains enseignements une spiritualité plus active, source de sagesse, de calme intérieur et d’harmonie. Mais avant cela voyons ce que les Etres de Lumière disent à Monique Mathieu au sujet de cette échéance de 2012 et de la suite de l’Histoire…

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Le changement de cycle a réellement eu lieu 28/12/2012 "Vous avez passé un cap très important ! Le changement de cycle a réellement eu lieu, mais les humains s’attendaient, comme de bien entendu, à des merveilles, à des miracles, à des miracles en eux-mêmes. Le seul miracle est ce que vous pourrez comprendre de vous-mêmes, c’est l’action que vous mènerez sur vous-mêmes, c’est le réveil que vous provoquerez en vous-mêmes. Soyez certains que maintenant vous avez toutes les possibilités de générer le réveil de votre conscience et également le réveil de votre ouverture du cœur. Comment avoir accès à ce réveil ? Nous allons déjà vous dire que vous pouvez ressentir ce réveil au niveau de certaines choses dans votre corps, vous pouvez ressentir ce réveil au niveau de votre émotionnel qui, par moment, est un peu en déséquilibre, vous pouvez ressentir ce réveil au niveau de toutes les questions que vous vous posez sur vous-mêmes et auxquelles vous n’aviez pas forcément de réponses jusqu’à ce jour. Si vous êtes assez attentifs à vous-mêmes, vous pourrez ressentir votre progression. Nous pouvons vous assurer qu’en chacun de vous le changement est en route ! Pour l’instant, vous êtes comme des petits enfants que vous êtes cependant très loin d’être. Pendant dans ce changement de cycle, vous êtes comme des petits enfants qui ne perçoivent pas encore leur grande, leur très grande transformation. Pour qu’elle puisse s’accomplir le plus rapidement possible, il y certains « ingrédients » nécessaires. Il faut déjà que vous alliez au plus profond de vous-mêmes voir si tout le ménage a été fait et si, dans ce nouveau cycle, vous n’emmenez pas avec vous tout ce qui a été difficile à vivre pour vous, tout ce qui a pu imprégner votre subconscient et votre âme, que ce soit dans cette vie ou dans une autre. Il faut aussi que vous appreniez à gérer vos pensées, c'est très important car elles vont acquérir une grande force ; petit à petit, la télépathie sera de plus en plus réelle en vous. Il faut également que vous appreniez à maîtriser la parole ; c’est également très important car la parole génère un son, le son étant une vibration qui entre en harmonie avec les sons similaires. Ce pourra être merveilleux pour vous ou, bien évidemment, déstabilisant. Si vous émettez des pensées de limitation, des pensées de jugement, des pensées de peur, le son sera amplifié puisque votre propre puissance a énormément augmenté. D’une certaine manière, heureusement que vous ne vous en rendez pas encore compte, car vous pourriez également employer cette puissance du côté inférieur ; cependant la puissance employée du côté inférieur vous détruirait assurément dans un délai plus ou moins long. Vous le savez, mais étant ce que vous êtes vous ne vous en rendez pas compte. Soyez attentifs à vos paroles ! Evitez toute « appréciation » sur ceux qui vous entourent, et même sur ceux que vous appelez les politiciens. Ils font ce qu’ils font et, à leur manière, ils appliquent le plan.

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Essayez également de rester centrés, de ne pas vous laisser emporter par les émotions. Soyez certains que vous vivrez des émotions plus que vous n’en désirerez, que ce soit des émotions profondes de joie, de bonheur et d’Amour, ou des émotions de peur, des émotions totalement inférieures. Lorsque vous aurez compris non seulement ce que vous devez faire mais aussi ce que vous êtes et qui vous êtes, les voiles de votre conscience s’enlèveront petit à petit, et pour certains beaucoup plus rapidement que pour d’autres. Pour accéder à une conscience supérieure, il vous faut de la volonté. Nous vous traçons la route, nous vous donnons la possibilité d’avancer, mais nous ne pouvons pas le faire pour vous ! Chacun de vous, nous le savons, a une très grande volonté pour avancer, mais parfois, parce que vous êtes des êtres humains, cette volonté faiblit. Il faut aussi que vous ayez confiance en vos propres capacités ; chacun de vous a des capacités de transformation et d’élévation ! Ne dites pas : « je ne pourrai pas, je ne saurai pas, je ne serai pas capable ». Le mot que nous emploierons est un peu fort, mais nous dirons que c’est une insulte par rapport à vous-mêmes. Maintenant vous êtes capables d’avancer, vous êtes capables de comprendre, vous êtes capables de mettre un pied devant l’autre, mais il vous faut du courage, de la détermination et de la confiance. Cependant cet avancement n’aura pas lieu s’il n’y a pas de joie en vous. Vous devez acquérir la Joie car c’est un outil précieux. L’Amour est évidemment très important. Nous aimerions aussi vous dire : l’Amour est tellement différent pour chacun de vous ! Chacun le mesure, le comprend et le vit en fonction de ce qu’il est, en fonction de sa capacité de donner et d’aimer. Vous êtes tous très différents, et cependant tellement semblables. Ne soyez pas dans l’illusion de l’Amour. Essayez de comprendre réellement ce qu’est l’Amour et comment le manifester ! Vous avez "du pain sur la planche", comme vous dites sur Terre ! Vous avez de quoi étudier, comprendre et avancer ! Le miracle ne se produira pas instantanément ! Nous ne pouvons pas changer instantanément ce que vous êtes, mais nous pouvons vous aider à le faire, nous pouvons vous aider afin que vous puissiez mieux vous comprendre. Nous vous aidons lorsque nous marchons près de vous, mais pour votre évolution c’est vous qui devez accomplir la plus grande tâche ! Nous aimerions dire à tous ceux qui se lamentent parce qu’il ne s’est rien passé qu’il s’est passé énormément de choses, invisibles pour l’instant aux yeux des humains ; il s’est passé énormément de choses dans votre cœur, dans votre façon de concevoir la vie. C’est encore un peu en sommeil, mais vous le comprendrez ! Il s’est également passé énormément de choses sur votre Mère la Terre et dans les divers règnes. Cela se manifestera ! L’année 2013 sera une année très particulière ! Nous n’avons pas donné accès à notre canal à ce que sera cette année, chacun le comprendra avec ses capacités d’analyse et de compréhension. Ce que nous vous demandons, c’est d’être dans la confiance, dans la joie, dans l’Amour, dans le service et dans le don, et nous vous promettons que beaucoup de choses seront différentes très rapidement.

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Donc pour ceux qui se lamentent qu’il ne s’est rien passé, nous allons dire ceci : vous avez donné beaucoup de vous-même, vous avez offert beaucoup d’Amour ces derniers temps. Nous ne dirons pas que rien n’arrivera, nous dirons simplement que ce sera un peu différent grâce à vous tous, Travailleurs de Lumière, qui vous êtes investis, qui avez cru à ce changement. Maintenant les Travailleurs de Lumière se démobilisent un petit peu car ils perdent un peu confiance, pourtant c’est le moment où ils doivent avoir beaucoup plus confiance en leur devenir et non baisser les bras ! Vous allez voir comme il est agréable d’atteindre un autre niveau de conscience, car à ce moment-là tout vous semblera facile, toutes les capacités latentes en vous, entre autres vos dons - car chacun de vous a un don bien spécifique et même plusieurs - et ces dons remonteront à votre conscience humaine ; vous serez parfois étonnés de vos capacités naissantes, de choses que vous ferez et que vous n’aviez pas conscience d’être capable de faire. Nous sommes heureux pour vous, humains ! Certes, certains êtres humains auront de grandes difficultés dont nous ne parlerons pas car en parler irait à l’encontre de ce que nous désirerions que vous intégriez et que vous compreniez et donnerait de la force à quelque chose qui ne doit plus être. Nous vous demandons aussi de créer en permanence ce que vous désirez devenir, de créer la joie, l’Amour, la Sagesse et la Connaissance en vous, de créer le nouveau monde qui maintenant vous appartient. Vous n’êtes plus dans l’ancien monde car vous avez franchi un cap. Avec toutes les nouvelles énergies qui vous ont été envoyées et qui continueront à inonder votre monde, vous aurez une plus grande capacité de création. Vous pourrez créer la beauté en vous ! Aimez-vous ! Essayez de vous voir tellement plus beau que ce que votre miroir vous montre de vous-mêmes ! Essayez de générer la beauté intérieure qui ressortira et se manifestera automatiquement à l’extérieur ! Prenez soin de vous car vous êtes précieux ! Honorez l’être que vous êtes tout comme vous honorez la Source, tout comme vous honorez l’univers ! Pour nous, un grand travail a été accompli. Maintenant il faut qu’il prenne racine. » Ils me montrent ce que nous sommes et le travail que nous avons fait. Je vois un champ. « Ce champ est l’intérieur de vous-mêmes, c'est votre conscience. Ce champ a été ensemencé de particules de Lumière. S'il été bien labouré, les graines merveilleuses qu’il porte pousseront et fleuriront ; elles vous inonderont de leur beauté et de leur Amour. Si ce champ n’a pas été suffisamment labouré, les graines de Lumière seront toujours là mais seront mélangées aux mauvaises herbes que vous devrez enlever une par une, ce qui créera en vous de la souffrance, de la fatigue, parfois du désespoir de ne pas arriver à ce que vous espériez. Nous espérons pour vous que vous n’aurez pas à enlever herbe après herbe et que vous laisserez s’épanouir et grandir ces graines de Lumière afin qu’elles accomplissent leur travail de beauté et d’harmonie en vous, qu’elles fleurissent et vous inondent de leur beauté ». Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

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qu'il ne soit pas coupé qu'il n'y ait aucune modification de contenu que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu C'est pour demain ou pour bientôt ? Vous parlez très souvent de la quatrième et de la cinquième dimension qui arrivent à grands pas. C'est toujours pour demain ou pour bientôt ! Vous ne donnez jamais de dates ! Pour vous le temps n'existe pas ! Mettez-vous à la place des terriens de troisième dimension et vous verrez qu'il en est tout autrement ! C'est simple pour vous car vous êtes en mesure de nous donner des dates ! "Que veut dire « bientôt » pour vous et pour nous ? Nous n'avons pas du tout la même conscience du temps, certes, mais nous pouvons cependant vous dire ceci : Le « bientôt » est pour…. bientôt ! Ce que nous disons vous paraît sans doute... "intelligent" !!! Nous aimerions dire ceci : ne soyez pas trop impatients ! Une nouvelle naissance, surtout la nouvelle naissance de l'humanité, demande de laisser du temps au temps. Si demain, d'un seul coup, vous passiez dans une autre conscience, si vous passiez en cinquième dimensions, énormément d'êtres ne supporteraient pas la nouvelle vibration. Actuellement, il y a déjà beaucoup d'êtres qui « perdent la raison », parce qu'ils intègrent difficilement cette nouvelle vibration. La seule chose que nous pouvons dire c'est que dans l'année qui va venir, attendez-vous au pire comme au meilleur ! Alors préparez-vous simplement au meilleur en essayant de ne pas penser au pire ! N'oubliez pas que vous n'êtes plus dans l'ancien monde ; vous êtes maintenant dans l'ère du verseau qui est l'ère de la fraternité, l'ère de la Connaissance ! Vous êtes dans l'ère des révélations, dans l'ère où tout ce qui est caché remontera à la surface. Parfois, cela pourra même faire « mal aux yeux » (c'est une façon de parler) à ceux qui ne voudront pas accepter certaines vérités. Une grande partie de la population mondiale n'accepte pas la vérité de l'existence de vos frères galactiques. Elle accepte les vérités qui lui conviennent, mais elle n'accepte pas la vérité. Dans l'intelligence et l'Amour Divin, tout doit être fait en fonction du seuil d'acceptation et de tolérance de l'humanité ! Il arrivera cependant un moment où ce seuil sera franchi, c'est-à-dire que nous ne pourrons plus rien minimiser, tout s'accélérera tellement dans le changement que ceux qui ne se seront pas préparés à ce changement, ceux qui resteront dans leur ancienne façon de concevoir la vie ne s'adapteront pas et partiront de ce monde. Il y aura beaucoup, beaucoup de départs.

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Vous, êtres humains, fonctionnez avec les dates. Pour nous les dates n'ont pas la même réalité. Cependant nous dirons tout de même ceci : Il y a des scénarios pré établis, et ils sont appliqués en fonction de l'élévation spirituelle des hommes et de leur capacité d'Amour. Au jour d'aujourd'hui, le plan définitif a été adopté pour la planète Terre ! Bien sûr que nous connaissons votre devenir puisque nous avons la capacité de voyager dans le temps ! Cependant nous ne vous le dirons pas ! Nous n'avons pas le droit de vous le dire, car cela freinerait l'évolution des êtres !Jusqu'au bout de votre existence, vous devez expérimenter. Imaginez que tout de suite ou demain nous vous disions : « c'est fini, dans huit jours votre monde n'existera plus, il y aura des catastrophes gigantesques ». Imaginez-vous le drame que nous pourrions occasionner pour les humains ? Nous n'avons pas le droit de le dire ! Les Lois Universelles veulent que nous laissions toujours l'espoir aux mondes en devenir d'évolution. Nous n'avons pas le droit d'enlever l'espoir dans le cœur des hommes, car à ce moment-là nous freinerions leur évolution. Il faut donc que vous compreniez que même si nous avons vraiment la connaissance de la réalité de votre devenir, de tout ce qui se passera sur votre monde (puisque nous sommes aussi acteurs de ce qui se passera sur votre monde) nous n'avons pas le droit de vous le dire. Certes il y aura des canaux qui vous raconteront des tas de choses ! Ils vous diront : « il va se passer ceci ou cela », ils affoleront même les humains en annonçant des catastrophes terribles. Nous dirons donc ceci : vous avez tous la capacité de ressentir ce qui va se passer en vous et autour de vous ! Vous avez tous la capacité d'avoir la prescience du devenir de votre monde ! Par peur, vous occultez la vision de votre futur ! Ce n'est pas nous qui révélerons la vision de votre futur ! La seule image que nous sommes en droit de vous donner est celle du monde nouveau vers lequel vous allez, ce monde qui sera réellement un monde de fraternité, d'Amour, d'harmonie, de bonté, un monde de Lumière. Il ne nous appartient pas de vous dire ce qui se passera entre ce que vous êtes aujourd'hui et ce que vous deviendrez demain ! C'est à vous de le ressentir ! Regardez votre monde ! Ouvrez les yeux ! Croyez-vous que vous pourrez continuer très longtemps dans la direction qu'a prise votre monde ? Il n'y a plus aucune valeur humaine ! Il n'y a plus aucun respect de la vie ! Pensez-vous que cela continuera longtemps ? Si vous êtes suffisamment réceptifs à la vie, vous aurez la réponse que nous ne vous donnons pas car elle est en vous ! Essayez simplement de voir la vie telle qu'elle se manifeste, que ce soit la vie sociale, la vie économique ou religieuse ! Tout n'est qu'illusion ! Tout est faussé ! Tant que les êtres humains n'auront pas réintégré le respect d'eux même et de la vie, le nouveau monde ne pourra pas éclore ! Le nouveau monde restera en attente ! Cette attente peut durer quelques jours, quelques mois! Nous ne disons pas quelques années car cela vous mettra dans de mauvaises dispositions et nous ne le souhaitons pas.

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Qu'est-ce que le temps ? Regardez le temps qui s'écoule à une rapidité qui n'a jamais existé ! Alors une semaine, un mois ou un an n'ont plus tellement d'importance ! Nous appuierons sur ceci : l'important est ce que vous devenez par rapport à votre environnement, c'est la conscience que vous avez de votre propre vie et de la vie qui vous entoure, l'important est votre souhait profond de voir cette vie aller vers l'harmonie, la fraternité, la Lumière et l'Amour. Comme nous vous l'avons dit il y a déjà longtemps : vous êtes les artisans de votre devenir. Nous constatons que parfois ces artisans ne sont pas très courageux ! Autant que possible et sans trop interférer sur votre destinée, nous essayons, comme vous le dites sur Terre, de vous donner un petit coup de mains afin d'accélérer le processus de transformation. Nous vous conseillons d'avoir les yeux grands ouverts ! Vous verrez, vous saurez et vous comprendrez ! Cependant malgré tout ce que vous pourrez voir et comprendre, gardez toujours l'espoir parce que même s'il se passe des choses très difficiles (et il s'en passera) ce que nous pourrons faire pour vous, c'est raccourcir cette période difficile. S'il y a suffisamment d'Amour dans vos cœurs, nous raccourcirons la période des grandes tribulations car nous pouvons le faire, à la seule et unique condition que de votre côté vous ayez fait une partie de votre travail de compréhension et d'évolution, de votre travail d'Amour Inconditionnel. Donc travaillons tous de concert, nous de notre côté, vous du vôtre, afin de raccourcir le plus possible la période noire qui vous mènera inéluctablement vers le monde merveilleux auquel chacun de vous aspire de tout son cœur. Voilà ce que nous voulions répondre à cette question. Cette réponse te convient-elle ? » Non ! Vous nous laissez toujours dans l'ignorance ! « Nous ne pouvons pas faire autrement ! Nous te l'avons expliqué ! A quoi cela te servirait-il de savoir que dans un mois ou dans un an toute votre civilisation s'écroulera ? Elle s'écroulera de toute façon ! A quoi cela vous servirait-il de savoir que cela se produira dans un mois ou dans un an ? A vous faire beaucoup de soucis ! A rendre certains malades ! A générer une peur chez d'autres ! Nous ne voulons pas de cela, ce n'est pas ce que nous désirons pour vous. Nous ne pouvons donc pas faire plus que ce que nous faisons. Nous savons que certaines informations vous sont données avec des dates. Une seule date donnée par d'autres canaux s'est-elle révélée exacte ? Non ! Donc pourquoi donner des dates puisqu'elles sont toujours inexactes ? Nous sommes désolés de ne pas pouvoir de donner de réponse plus précise, mais nous en avons expliqué les raisons". Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes : qu'il ne soit pas coupé qu'il n'y ait aucune modification de contenu que vous fassiez référence à notre site http://ducielalaterre.org que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

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Ils ont dit : « La nature ne pardonne pas, n’oublie rien … Des coups, elle peut en supporter mille et rendre soudain non pas œil pour œil mais apocalypse pour chiquenaude. » (Jérôme DESHUSSES) « Si l’on m’apprenait que la fin du monde est pour demain, je planterais quand même un pommier. » (Martin LUTHER KING) « Et si l’Univers est tout amour, que craindre ? Rencontrer plus d’amour encore … Un amour qui irait jusqu’à nous anéantir, pour nous mettre éternellement à l’abri de l’inquiétude et des élancements… » (Robert KEMP) « Dans le passé nous nous sommes créés à travers la comédie de la tragédie humaine, maintenant il se peut que nous nous anéantissions dans la tragédie de la comédie humaine. » (Edward BOND) « On croit que l’homme est libre … On ne voit pas la corde qui le rattache au puits, qui le rattache, comme un cordon ombilical, au ventre de la terre. » (Antoine de SAINT-EXUPERY) « La terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la terre. » (SITTING BULL) « L’anéantissement de tous les mondes équivaut au soupir d’une orchidée. » (Marc GENDRON) « Il ne sert à rien à l’homme de gagner la lune s’il vient à perdre la terre. » (François MAURIAC) Mais aussi : « Quand Dieu a pétri la terre de ses mains, il a fait une belle boulette. » (Alexandre BREFFORT) « La fin du monde est pour demain ! Je vous le confirmerai la semaine prochaine. » (Frédéric DEVILLE) « Le seul ennui avec la fin du monde, c’est que l’on ne peut la raconter à ses petits-enfants. » (Arnaud COTREL) « La fin du monde … Dieu se retourne et dit « j’ai fait un rêve ». » (Paul VALERY)

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Heureux, qui de la Sagesse attendant tout son secours, n'a point mis en la Richesse l'espoir de ses derniers jours. La mort n'a rien qui l'étonne ; et dès que son Dieu l'ordonne, son âme prenant l'essor s'élève d'un vol rapide vers la demeure, où réside son véritable trésor.

Jean RACINE (cantiques spirituels)

Chapitre XII : Vivre sa spiritualité au quotidien. L’amour et la peur : deux émotions qui dominent notre monde ! « Toutes les actions humaines sont motivées, à leur niveau le plus profond, par l’une de ces deux émotions : la peur ou l’amour. En vérité, il n’y a que deux émotions, que deux mots dans le langage de l’âme. Ce sont les opposés extrêmes de la grande polarité que J’ai créée en produisant l’univers, ton monde, tel que tu le connais aujourd’hui. Ce sont les deux points (l’Alpha et l’Oméga) qui permettent l’existence du système que tu appelles " relativité ". Sans ces deux points, sans ces deux idées à propos des choses, aucune autre idée ne pourrait exister.

Chaque pensée humaine, et chaque action humaine, est fondée soit sur l’amour soit sur la peur. En réalité, il n’y a pas d’autres motivations et toutes les autres idées sont dérivées de ces deux-là. Ce ne sont que des versions différentes, des tournures différentes du même thème. Penses-y bien et tu verras que c’est vrai. C’est ce que J’ai appelé la pensée racine. C’est une pensée soit d’amour, soit de peur. C’est la pensée derrière la pensée derrière la pensée. C’est la première pensée. C’est la force première. C’est l’énergie brute qui propulse le moteur de l’expérience humaine. Voilà comment le comportement humain produit, en chaîne, la reprise des mêmes expériences ; voilà pourquoi les humains aiment, détruisent, puis aiment à nouveau : toujours ce balancement d’une émotion à l’autre. L’amour parraine la peur qui parraine l’amour qui parraine la peur…

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Car aussitôt après avoir dit « Je t’aime », tu t’inquiètes de ce que cet amour te soit retourné. Et s’il l’est, tu te mets aussitôt à t’inquiéter de perdre l’amour que tu viens de trouver. Ainsi, toute action devient réaction (pour te défendre contre la perte) même lorsque tu cherches à te défendre contre la perte de Dieu. Cependant, si tu savais Qui Tu Es (l’être le plus magnifique, le plus remarquable, le plus splendide que Dieu ait jamais créé), tu n’aurais jamais peur. Car qui pourrait rejeter une telle magnificence ? Même Dieu ne pourrait trouver à redire d’un tel être… Toute action entreprise par des êtres humains est fondée soit sur l’amour, soit sur la peur, et cela ne se limite pas aux relations personnelles. Les décisions qui affectent le commerce, l’industrie, la politique, la religion, l’éducation de vos jeunes, les programmes sociaux de vos pays, les objectifs économiques de votre société, les choix concernant la guerre, la paix, l’attaque, la défense, l’agression, la soumission, la décision de convoiter ou de donner, d’épargner ou de partager, d’unir ou de diviser, chacun des choix que tu fais librement, tout cela vient d’une des deux seules pensées possibles : une pensée d’amour ou une pensée de peur. La peur est l’énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse. L’amour est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit. La peur enveloppe nos corps dans des vêtements, l’amour nous permet de rester nus. La peur s’accroche et se cramponne à tout ce que nous avons, l’amour donne tout ce que nous avons. La peur retient, l’amour chérit. La peur empoigne, l’amour lâche prise. La peur laisse de la rancœur, l’amour soulage. La peur attaque, l’amour répare. Chaque pensée, parole ou action humaine est fondée sur l’une ou l’autre émotion. Tu n’as aucun choix à cet égard, car il n’y a pas d’autre choix. Mais tu es libre de choisir entre les deux… » (Dieu parle à Neale Donald WALSCH dans Conversations avec Dieu, Tome 1, extrait des pages 29 à 33, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). Ouvrir son cœur et son esprit à soi-même. Ouvrir son coeur et son esprit à soi-même ! Voilà une tâche qui a priori semble facile, pour ne pas dire banale. Et pourtant, combien et combien d’entre nous ne se connaissent pas eux-mêmes, mieux, ignorent tout ou presque tout de leur personnalité, de leur potentialité en bien des domaines, combien d’entre nous vivent une vie qui ne répond pas aux aspirations qui étaient les leurs avant leur incarnation et qui sont actuellement toujours les désirs de leur âme qui elle n’a pas oublié les choix qui avaient été posés avant le début du pèlerinage sur terre, combien d’entre nous vivent complètement déphasés sans se rendre compte qu’ils sont en inadéquation totale avec leur soi profond, combien ignorent leur appartenance divine, combien se dévalorisent, combien vivent une existence de convenances, combien n’ont jamais entamé leur propre exploration en partant à la découverte d’eux-mêmes, enfin, combien ne s’aiment pas tout simplement. Accepter de se remettre en cause. Accepter de se remettre en cause, c’est d’abord et avant tout, faire montre d’humilité, de sagesse et d’ouverture d’esprit, c’est laisser au placard notre vanité et notre orgueil, c’est oser nous regarder dans un miroir et nous voir sans ambiguïté ni hypocrisie, c’est gratter la couche de vernis qui nous englue, c’est consentir à regarder à l’intérieur de nous-mêmes pour nous redécouvrir, c’est envisager l’idée d’une autre réalité qui bien qu’apparemment invisible à nos yeux est pourtant tout à fait réelle. Accepter de se remettre en cause, c’est admettre l’idée de ne pas voir ce que nous voulons voir, mais voir ce qui est, c’est reconnaître que ce que nous vivons n’est pas toujours ce que nous voulons, c’est admettre que nous sommes les seuls vrais artisans de notre existence, les seuls responsables de notre réalité.

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Prendre conscience de notre vraie nature. Nous sommes en effet les seuls façonniers de notre réalité, c’est à nous, et à nous seuls qu’il revient de la créer, instants après instants, nous avons le libre-arbitre, nous sommes des créateurs, nous avons tous les pouvoirs de création. A nous de nous de rappeler, à nous de les mettre en pratique. Nous avons tous le droit, et la possibilité si nous avons foi en nous, en notre divinité, de nous épanouir lors de notre périple terrestre. Ce qui devait être une merveilleuse aventure expérientielle se transforme souvent malheureusement pour beaucoup d’entre nous en une pénible traversée d’un désert dont nous ne pouvons percevoir les limites tant il nous paraît infini. Cependant, nous ne sommes pas condamnés aux galères dès lors que nous venons au monde. Non, pas du tout. Nous nous aveuglons progressivement par nos peurs qui prennent rapidement le pas sur l’amour. Toute notre existence s’en trouve alors bouleversée. Nos peurs ! Nous ne nous rendons pas assez compte de leur puissance destructrice. Elles nous minent, dirigent nos gestes et nos pensées, empoisonnent notre quotidien, s’enracinent dans notre esprit, nous font douter de tout et surtout, effacent notre identité première et gomment notre nature divine. Nous qui avons un potentiel de créativité infini, nous nous retrouvons tout désemparés, tout désabusés, dans un monde qui nous semble totalement effroyable et angoissant. Combien d’entre nous subissent alors leur existence comme un fardeau, comme une dure corvée qu’il faut bien mener vaille que vaille à son terme, combien choisissent délibérément de l’arrêter en cours de route, tant l’épreuve est insurmontable, tant la vie elle-même est pour eux l’expression d’une misère insondable, tant le poids de l’existence est écrasant. La réalité est cependant toute autre. Ouvrons les yeux, ouvrons à nous-mêmes notre esprit et notre cœur, ressentons le souffle divin qui nous anime et nous percevrons alors une dimension qui jusque là était invisible, dissimulée derrière la montagne de nos peurs, cette montagne que seule la foi en notre nature divine nous permettra de vaincre, et que nous pourrons alors gravir en premiers de cordée en montrant le chemin aux autres. Ouvrons à nous-mêmes notre esprit et notre cœur. Nous constaterons que la vie qu’il nous est donné de connaître, que l’expérience que nous venons faire ici-bas n’est pas en réalité une épreuve au sens où nous l’entendons, qu’elle n’est pas non plus une fatalité, que nous ne sommes pas là pour " tuer le temps " comme on l’entend dire parfois. Il nous revient de permettre à l’amour inconditionnel qui est en nous de l’emporter sur la peur, nous sommes ici pour nous souvenir de notre dimension divine. Ce qui nous semble être des ténèbres n’est en réalité que le contraire de la lumière que nous sommes, mais pour pouvoir nous rendre compte que nous sommes de la lumière, il nous faut bien expérimenter de se trouver dans les ténèbres, car une bougie qui brûle au soleil ne peut se rendre compte qu’elle brille, alors que dans la nuit, elle éclaire tout autour d’elle. Voilà ce que nous devons nous appliquer à faire chaque jour de notre vie ; reprendre conscience de notre vraie nature, nous rappeler qui nous sommes et nous transformer en luminaires afin d’éclairer le chemin des autres par la lumière de l’amour inconditionnel dont nous sommes tous issus. Faire travailler son cerveau droit pour retrouver le lien subtil qui nous relie à Dieu. Comment prendre conscience de notre nature divine, comment se rappeler qui nous sommes vraiment ? Soyons attentifs à ce qui se passe autour de nous, mais aussi et surtout à ce qui se passe à l’intérieur de nous, dans notre cerveau. Pour entendre ce que nous dit la voix intérieure qui nous habite tous, nous devons d’abord et avant tout apprendre à nous taire, à faire silence, à nous placer en état de méditation, c’est-à-dire à nous détacher de tous les problèmes qui encombrent, souvent

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inutilement, nos pensées et qui nous empêchent de constater que la solution à tous ces problèmes se trouve au fond de nous-mêmes. Nous devons apprendre à nous faire confiance, à compter sur nos propres facultés pour comprendre les choses. Nous sommes tous des petites parcelles de Dieu, comme tout ce qui nous entoure. Comme nous l’avons vu au chapitre X, le lobe temporal droit du cerveau humain abrite ce que le docteur Melvin Morse appelle " le point de Dieu " ou " le point Divin ". Cette zone du cerveau est ce que nous pouvons appeler à l’ère de l’informatique, une interface de connexion avec Dieu et avec l’univers. Comment se fait-il, penseront certains, que nous existions depuis des milliers d’années sans avoir conscience de cela ? La réponse tient en quelques mots : l’homme en est à la préhistoire de la spiritualité. La spiritualité, comme nous n’avons pas cessé de le dire et de le répéter tout au long de cet ouvrage, est le plus merveilleux instrument qui nous soit donné pour nous permettre d’explorer l’intérieur de nous-mêmes, de décoder notre fonctionnement intime, de comprendre ce que nous faisons ici, et nous permettre de nous souvenir de qui nous sommes. Et de fait, devenons ce que nous sommes, c'est-à-dire des parcelles divines appartenant à un tout. Soyons conscients de notre vraie place dans l’univers. Rappelons-nous que nous ne sommes ni plus ni moins que tout ce que nous apercevons dans la création. Nous formons un tout, une seule entité, dont peu importe finalement l’apparence de telle ou telle partie. Etre conscient que nous avons en nous la connaissance universelle. Nous sommes des parcelles de Dieu, des parties du grand Tout, à l’image de tout ce qui nous entoure. A ce titre, nous avons tous en nous la connaissance universelle, la connaissance de toute chose. Nous ne sommes pas ici pour apprendre quoi que ce soit, puisqu’il n’existe rien que nous ne sachions déjà. Nous sommes ici pour expérimenter ce que nous savons. Nous sommes ici pour connaître la relativité des choses et nous rappeler qui nous sommes. C’est le but de notre âme. C’est ce que nous devons faire pour nous d’abord et pour les autres ensuite afin qu’eux aussi se rappellent qu’il sont des parcelles divines portant en elles la connaissance universelle et venues l’expérimenter ici. En nous créant, Dieu, dont nous ne sommes pas une création à proprement parler mais l’un des nombreux aspects, a décidé de connaître à travers nous de façon expérientielle ce qu’il savait de lui de façon conceptuelle. « La vie (comme tu l’appelles) est une occasion pour toi de savoir de façon expérientielle ce que tu sais déjà de façon conceptuelle. Pour cela, tu n’as rien à apprendre. Tu n’as qu’à te rappeler ce que tu sais déjà et à le mettre en pratique. » (Dieu parle à Neale Donald WALSCH dans Conversations avec Dieu, Tome 1, extrait de la page 36, voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage). En retrouvant notre enfant intérieur, en écoutant la voix qui nous parle au plus profond de nous-mêmes, nous pourrons reprendre conscience des possibilités infinies qui sont les nôtres et nous comprendrons alors que nous nous mettions nous-mêmes dans les ténèbres à cause de la peur qui nous étouffait. Ecouter sa voix intérieure et s’ouvrir aux autres réalités. En écoutant sa voix intérieure, une liberté infinie basée sur l’amour s’ouvre à nous et remplace peu à peu un emprisonnement trouvant ses racines dans la peur. Plusieurs outils spirituels, tels que la méditation, la prière, l’intuition, les rêves, le voyage astral, la rencontre avec les guides, sont à notre disposition pour nous permettre un accès aux autres réalités et dépasser les limites de notre incarnation, nous donnant ainsi la possibilité d’expérimenter librement nos potentialités dont nous ne soupçonnons même pas l’existence, aveuglés que nous sommes par la peur. Une fois de plus, mettons en évidence la puissance de la spiritualité dans notre quête infinie de l’amour et n’hésitons pas à utiliser le plus souvent possible les différents outils que nous venons de citer.

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Cela nous permettra de comprendre le sens de la création et le sens de notre appartenance à cet univers dont la véritable image qui n’est pas celle que nous regardons avec les yeux de la peur, mais qui est celle que les yeux de l’amour nous révèlent. Aimer. Pourquoi vouloir aimer à tout prix. Pour répondre à cette question, il suffit, une fois de plus de nous interroger sur nous-mêmes, en toute franchise, sans nous voiler la face comme nous le faisons trop souvent : que souhaitons-nous tous, autant que nous soyons, quelle que soit la couleur de notre peau, quelle qu’ait été notre éducation, quel que soit l’endroit où nous vivons à la surface du globe et quelle que soit notre culture ? Tous, sans exception, même si cela est parfois caché soigneusement au fond de notre cœur, enfoui sous des tonnes de bonnes raisons pour ne pas apparaître au grand jour, tous nous voulons aimer et être aimés. « Le jour où quelqu’un vous aime, il fait très beau » dit la chanson. Quel bonheur pour chacun d’entre nous lorsque l’amour frappe à la porte, quelle que soit la manière dont il se présente, tantôt sous la forme d’une personne prête à faire un bout de chemin avec soi dans la vie, tantôt sous la forme d’un sourire, d’un mot gentil, d’un petit cadeau, d’une invitation à partager un repas même frugal, ou tout simplement être l’objet d’une attention particulière. Voilà donc pourquoi nous voulons aimer à tout prix. Notre nature première est d’aimer et d’être aimés. Ne pas aimer, c’est se mettre soi-même dans les ténèbres, dans la solitude, dans le malheur et l’exclusion, c’est nier notre vraie nature. Aimer, c’est se mettre dans la lumière, dans le bonheur, c’est retrouver notre condition première, c’est respirer et insuffler le souffle divin qui est en nous. Aimer ! Ce mot a une connotation universelle. Aimer, c’est vouloir le bonheur de l’autre. Aimer, c’est répandre le souffle de Dieu sur le monde. La création toute entière a éperdument besoin d’amour, tout autour de nous a une soif insatiable d’amour. L’amour peut, et doit s’envisager, dans un contexte plus large que celui d’un couple, d’une famille ou d’un cercle d’amis. L’amour est un concept trop beau pour n’être appliqué que dans certains cas bien précis dont les contours sont dessinés par l’homme. L’amour est un concept universel, dont tout l’univers qui nous entoure a besoin. S’aimer soi-même. S’aimer soi-même ! Voici une considération qui s’apparente à une lapalissade tant elle paraît évidente. Et pourtant, en y regardant de plus près, on constate rapidement que bien peu de personnes ont une véritable estime pour elles-mêmes. Il ne s’agit évidemment pas ici de prôner des travers tels que la prétention et l’orgueil, mais bien de mettre en évidence un amour authentique pour son soi profond. L’éducation que nous recevons ne nous permet pas de développer naturellement cet état d’esprit, puisqu’on nous enseigne, et cela est très bien du reste, le respect des autres mais en oubliant souvent de nous inculquer le respect de nous-mêmes, le respect de notre corps et l’acceptation de celui-ci en faisant fi de critères erronés de beauté ou de laideur, tant il est vrai que ces considérations futiles empoisonnent parfois nos existences la vie durant. Nous sommes tous beaux, puisque nous sommes tous des parcelles de Dieu. Comme nous venons de le dire, l’amour de soi ne s’apparente pas à la prétention ou l’orgueil qui sont eux des défauts dont il convient de nous préserver. Non, l’amour de soi ouvre des horizons inconnus qui débouchent sur une liberté presque enivrante qui nous permet d’être nous-mêmes, qui nous permet de nous connaître enfin et nous donne alors une chance de réussir le pèlerinage terrestre. Comment s’aimer soi-même ? Il faut d’abord, et cela a été dit et redit tout au long de ce livre, apprendre à s’écouter, à entendre notre voix intérieure, à lui permettre de

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s’exprimer, tant il est vrai que dès la plus petite enfance, cette voix est souvent condamnée à se taire par des adultes eux-mêmes frustrés et malheureux, qui ont oublié un peu trop vite qu’ils étaient, eux aussi des enfants, il n’y a pas si longtemps de cela. Ces adultes qui empêchent, bien involontairement, l’enfant d’être ce qu’il est, et qui, croyant agir pour son bonheur, le modèlent à leur image, répétant sur lui les maladresses qui ont été commises sur eux-mêmes. Ce qu’il y a de plus profond chez cet enfant, sa personnalité première et authentique, s’éteint alors progressivement laissant la place à une personne animée par l’envie, ou plus souvent le devoir, de faire plaisir à l’adulte pour éviter les remontrances et en obtenir un tant soi peu d’amour. En agissant ainsi, l’enfant se sous-estime, ne se fait plus confiance, perd son identité profonde et se retrouve dans la peur qui, nous l’avons vu au début de ce chapitre est l’une des deux seules émotions qui animent le monde. Toutes les conditions sont alors réunies pour que cet enfant devienne à son tour, un jour, un adulte frustré et malheureux, supportant son existence plutôt que la vivant pleinement. Nous ne sommes pas ici pour servir les autres et ne rien nous accorder pour nous-mêmes ! Nous sommes ici pour aimer les autres et aussi pour nous aimer nous-mêmes. Cette façon d’être est le seul chemin vers un monde dans lequel pourra régner l’harmonie : toutes les autres routes conduisent au chaos. Nous avons tous le droit d’être heureux, nous avons tous le droit au bonheur. Rappelons-nous que nous sommes tous des parcelles de Dieu. Aimer certaines de ces parcelles et ignorer la sienne, est donc une erreur qui ne peut conduire qu’à un malaise grandissant qui induit parfois des comportements conduisant à la destruction ou la mutilation de notre enveloppe charnelle, ou à une usure de notre esprit par l’absorption répétée de substances nocives sensées améliorer les choses et qui ne font, tout en nous empoisonnant, que nous donner une vue des choses illusoire et passagère. Tous autant que nous sommes avons le droit de souhaiter certaines choses pour nous-mêmes, pour notre épanouissement personnel, nous avons le droit de nous mettre en valeur. Les autres ont tout à gagner en nous encourageant dans cette démarche, car lorsque l’on s’aime soi-même, l’amour que l’on dispense autour de soi est bien plus authentique. Nous devons nous déculpabiliser d’avoir des souhaits, des envies, des désirs. Quoi de plus naturel que tout cela. Nous devons aussi apprendre à nous accepter avec nos qualités et nos défauts et à nous pardonner nos errements ; tout comme les autres, nous avons le droit à l’erreur, celle-ci n’est-elle pas aussi une grande source d’apprentissage de laquelle nous tirons les leçons pour avancer sur le chemin de la vie, ce chemin sur lequel chaque pas est un enseignement à lui seul et nous rapproche de la lumière qui ne s’éteint pas. Aimer les autres. Comme nous venons de le voir précédemment, l’aptitude à aimer l’autre, les autres, ne s’acquiert qu’en sachant d’abord s’aimer soi-même, c’est-à-dire s’accepter tel que l’on est, se pardonner et surtout reconnaître la part de divin que nous avons en nous. Reconnaître le " divin " chez les autres. Si l’on part de l’idée que nous sommes tous des parcelles divines, si l’on envisage le fait que nous sommes tous les " enfants de Dieu ", on comprend facilement que nous sommes donc tous issus de la même " matrice ", par conséquent nous ne nous différencions guère les uns des autres (mis à part notre caractère et notre personnalité propres). Mais en essence, nous sommes tous semblables, le fait est bien là. Reconnaître que la personne qui est en face de moi n’est guère différente, qu’elle éprouve les mêmes joies et les mêmes difficultés que moi dans la vie de tous les jours, m’amène à la considérer fraternellement, m’entraîne à la regarder, elle et la création toute entière, avec sympathie, avec empathie. Il me devient facile d’aimer, de respecter et de

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comprendre des êtres qui ne constituent en fait que des " miroirs " me renvoyant ma propre image, et ainsi donc ma propre divinité. Voir Dieu chez l’autre, c’est se voir soi-même. Nous sommes tous Dieu, nous sommes tous des dieux. Lorsque l’on comprend cela, il reste encore à se faire une idée de ce qu’est non seulement l’amour des autres mais aussi l’Amour Universel, l’Amour Inconditionnel, l’Amour que Dieu voue à Sa Création. Je me posais un jour cette question de savoir ce que Dieu pouvait lui-même ressentir face à sa Création, face à ses Créatures et à leurs actes d’amour et de haine. C’est alors que l’inspiration (venant de Dieu elle-même ?) me vint de me placer à Sa place. Comment fis-je ? Je me mis en méditation, assise tranquillement à ma table de cuisine et j’entrai d’abord en contact avec le Créateur (j’imagine toujours pour ce faire que de mon chakra coronal s’étire un canal de lumière qui atteint l’être avec lequel je veux communiquer, ce canal aboutissant au chakra coronal de mon " correspondant " : le contact s’établit ainsi et le plus souvent je ressens une énergie sous forme de picotements-fourmillements sur le sommet de la tête, confirmation de l’authenticité du contact en quelque sorte). Voilà donc le contact établi avec Dieu et je lui pose ma question. Une chose incroyable se produit alors et j’entends dans ma tête Dieu me dire : « Tu veux savoir ? Alors mets-toi à ma place et vois… ». C’est ainsi que je pris littéralement la place de Dieu et je me projetai mentalement dans un point de l’univers dont la situation géographique est difficile à décrire car il se situe à la fois dans et en dehors de celui-ci. En une seconde à peine j’étais devenue Dieu et je contemplais l’Univers et tout ce qui le compose. Je voyais les galaxies, les étoiles, le vide interstellaire … Puis je voulus zoomer sur notre bonne vieille planète : je voyais les hommes, petites créatures verticales, arpentant la terre et je me pris à les aimer d’une façon incommensurable. Je voulus zoomer encore plus précisément et savoir ce que cela m’inspirerait en tant que Dieu de regarder ceux qui parmi les hommes faisaient le mal, faisaient souffrir les autres et mon regard se posa sur ceux que, dans mon état d’être humain, je ne sais " voir en peinture " c’est-à-dire les vivisecteurs, ceux qui font souffrir les animaux en leur infligeant des tortures insoutenables au nom de la science. Mais … J’étais Dieu et mon regard était bien différent. C’était incroyable ! J’arrivais à les aimer profondément, inconditionnellement. Je n’en revenais pas. Moi, pensai-je, qui ai toujours abhorré ces abominations, je parvenais à les aimer et à les entourer de mes bras puissants. Mon regard se tourna aussi vers ces hommes qui font souffrir d’autres hommes ou des enfants sans défense. C’était pareil, Je les aimais. Je ne pouvais m’empêcher de les aimer, sans condition ! En quelques minutes de méditation intense, j’ai donc approché et vécu l’Amour que Dieu voue à sa Création. En tant que Dieu, cela semblait si simple, si facile. Cela ne demandait aucun effort, c’était naturel. J’étais fière de ce monde que j’avais créé et pas une de ses parcelles n’échappait à mon attention. Je sortis de ma méditation en remerciant le Boss (je l’appelle souvent ainsi) : il venait de me donner les bases de l’apprentissage long et douloureux parfois de l’amour inconditionnel… Respecter la liberté de l’autre, son libre-arbitre. L’on dit souvent que notre liberté s’achève là où commence celle des autres et vice-versa. On conçoit aisément que dans notre type de société un certain nombre de règles doivent être établies pour préserver les droits et la liberté de tout un chacun. Nous voulons surtout aborder ici la notion de liberté d’être et de penser que nous refusons souvent à ceux que nous côtoyons. Pourquoi vouloir à tout prix que l’autre agisse et pense comme nous ? Pourquoi vouloir faire entrer l’autre dans le moule qui façonne nos propres pensées ? Pourquoi obliger l’autre à nous ressembler ? Lorsqu’on lit en début de chapitre le message de Dieu à Neale Donald Walsch, on comprend que la peur est l’antagoniste de l’amour et que là où la peur se manifeste, l’amour n’y trouve pas sa place. On peut transposer cet axiome au sujet qui nous occupe présentement et dire en d’autres termes : si j’oblige l’autre à penser et à faire comme moi, si je le contrains à

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entrer dans mon " moule ", est-ce de l’amour ou n’est-ce pas plutôt une forme de dictature morale engendrée par une peur qui se situe en moi : cette fameuse peur de l’étranger, cette xénophobie de ce qui n’est pas comme moi ? Non, assurément, aimer les autres c’est respecter leur différence, c’est bannir la peur que leur façon d’être pourrait nous inspirer. Aimer les autres, c’est accepter qu’ils ne pensent pas comme moi, accepter qu’ils heurtent mes convictions parfois. Ces réflexions me font penser à certains couples vivant ensemble qui affirment s’aimer et pourtant ne tolèrent pas que le comportement de leur conjoint diffère du leur et imposent leur volonté à tout bout de champ. Untel impose à son épouse le programme TV quotidien, untel défend à sa femme de faire un achat qu’il juge inutile, unetelle entrave la liberté de son époux en lui interdisant un " péché mignon ", etc, etc. Est-ce cela aimer ? Assurément non même si certains faits quotidiens ne paraissent pas bien graves dans une vie de couple par exemple. Et pourtant ! Cette petite dictature au quotidien abîme l’amour, l’entache jour après jour. Un être privé de liberté devient vite révolté, un sourd sentiment de haine peut poindre à l’horizon. Or la haine n’est pas l’amour. Comment dès lors mieux aimer l’autre ? Tout simplement en s’efforçant de se poser le plus souvent possible la question suivante : ne suis-je pas quelque part en train d’entraver sa liberté, de lui interdire ce qui pourrait faire son bonheur, de lui ôter son libre-arbitre ? Etre soucieux du bonheur d’autrui. Respecter la liberté de ceux que nous aimons, de notre conjoint implique le fait que l’on se soucie de leur bonheur, de leur bien-être. Se soucier du bonheur d’autrui est une des plus hautes manifestations de l’amour car cette façon de faire demande des efforts de notre part, efforts d’écoute, efforts d’abnégation parfois. Etre attentif au bien-être de l’autre est incompatible avec l’égoïsme voire l’égocentrisme. C’est bien souvent cette absence de volonté de faire plaisir à l’autre qui, dans les couples par exemple, entraîne la rupture. L’égoïsme est un vilain défaut effectivement et n’est pas compatible avec l’amour. Sans pour autant " s’écraser " devant l’autre, il est possible, avec un petit effort d’écoute, de saisir quels sont ses désirs, quelle action de notre part amènerait notre conjoint par exemple à être plus heureux, à se sentir mieux dans notre relation. Faire " passer l’autre avant soi " est un acte qui impose aussi parfois une certaine humilité. Il est impératif lorsque l’on désire avancer dans la spiritualité et dans l’amour en général d’être particulièrement attentif à ce qui pourrait rendre les autres heureux. Quel bonheur par ailleurs de contribuer à leur épanouissement et à leur bien-être ! Ecouter, prêter une oreille attentive. Comment savoir ce qui rend l’autre heureux si l’on ne l’écoute pas, si on n’entend pas son cri parfois silencieux. Ici encore, l’écoute de l’autre implique des efforts de notre part car il ne s’agit pas de se contenter d’entendre mais bien d’écouter c’est-à-dire s’arrêter un instant et tourner son regard et ses oreilles vers l’autre. Il n’est pas si simple d’écouter. Cela entraîne une mobilisation de l’attention : tout notre être doit être à l’écoute des paroles de l’autre afin de discerner dans son message parfois muet les choses qui l’amèneraient à être plus heureux. Ecouter sans interrompre nécessite une certaine forme d’abnégation également. Souvent l’envie est grande d’interrompre, d’argumenter dans le but d’imposer finalement sa volonté. Lorsque nous parlons de cette qualité d’écoute que nous voudrions améliorer, nous pensons également aux enfants et aux plus faibles d’entre nous à qui nous " clouons souvent le bec " sous prétexte que leurs paroles ne peuvent pas être intéressantes. C’est une grave erreur : la richesse des dits et des non-dits des enfants et des plus faibles est incontestable. On peut en tirer de très sages enseignements également.

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Voir ce qui est beau en chacun de nous. Chaque être vivant dans l’Univers mérite notre amour. Il n’est pas " une âme " dans le cosmos qui n’ait besoin d’être aimée car l’amour est le ciment qui nous relie entre nous, qui nous permet d’évoluer et qui nous ramène à Dieu en fin de compte. Dieu aime sa Création d’une façon inconditionnelle. Dieu a cette faculté de discerner ce qui est beau en chacun de nous et de s’en satisfaire. A l’instar de Dieu, nous pourrions aussi améliorer notre façon de voir les autres en ne s’arrêtant pas éternellement sur leurs travers, leurs défauts et en plaçant en haut de notre échelle personnelle de jugement ce que nous avons trouvé beau chez telle et telle personne. Assurément, c’est une façon bien plus positive de voir les autres lorsque l’on s’attache à ce qui est bien chez eux plutôt que d’épingler ce qui nous déplaît. Rappelons-nous également que l’autre est bien souvent le miroir de nous-mêmes et si nous voyons la paille qui se situe dans son œil, nous ne nous rendons même pas compte de la poutre qui est dans le nôtre. Voir ce qui est beau chez l’autre permet également de regarder la vie de façon résolument positive, cette vision de la vie qui est le prélude au bonheur. Ne faites pas aux autres… Dans le processus de l’apprentissage de l’amour, le fait de ne jamais faire aux autres ce que l’on ne voudrait pas qu’ils nous fassent revêt également une importance capitale. Si l’on applique ceci au quotidien, on est sûr d’être sur la bonne voie. Ceci vaut bien une petite explication : en effet, qui mieux que nous savons ce qui est bon ou mauvais pour nous, ce qui nous fait du bien ou du mal, ce qui entraîne notre bonheur ou notre souffrance ? En partant de ce postulat, il est aisé de comprendre que si nous projetons notre empathie à notre propre égard sur l’autre, il est certain que nous ne voudrons en aucun cas lui faire du mal. Autrement dit, si nous cultivons ce don qui est en nous de " nous mettre à la place de l’autre ", alors, à moins d’être masochistes nous-mêmes, nous ne ferons jamais à l’autre ce qui entraînerait de la souffrance chez nous. Il est important de se rappeler également que nous sommes tous frères, que nous avons tous " la même façon de fonctionner ". Si telle chose, si tel acte nous fait souffrir, il n’y a aucune raison que la même chose, le même acte ne fasse pas souffrir autrui. Il est important de garder cela à l’esprit, ainsi à l’avenir nous serons tous plus à même de réfléchir avant de commettre tel ou tel acte ou de prononcer telle ou telle parole qui pourraient avoir des conséquences néfastes sur les autres et leur bien-être… Aider c’est aimer. Il est effarant de constater qu’à notre époque, l’individualisme et l’égoïsme sont souvent au premier plan dans le cœur des hommes. Nous nous garderons bien de juger nos semblables sans savoir, mais nous affirmerons néanmoins qu’en général entraide et soutien sont des mots de vocabulaire devenus de plus en plus inusités dans notre langage quotidien. Pourquoi cela ? Sans doute parce que notre société, par son fonctionnement, prône de plus en plus la compétition, l’individualisme, le " d’abord moi, les autres ensuite ". La course au pouvoir, la recherche frénétique de plaisirs immédiats de toutes sortes ne sont guère compatibles avec la notion de service aux autres. Si on se plonge dans notre passé récent, on s’aperçoit que la vie des années d’avant et d’après guerre était bien différente. A ces époques, on avait encore le temps de s’arrêter, d’écouter, d’aider. A l’heure actuelle, les règles économiques et sociales font que cela est devenu apparemment impossible. Nous disons volontairement " apparemment " car si nous prenons un moment de réflexion, nous nous apercevrons que nous investissons notre temps libre (qui paradoxalement s’allonge) de façon, oserons-nous le dire, inutile et en tous cas bien futile parfois. Evidemment il est nécessaire de se relaxer, de se

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reposer, d’avoir des plages d’inactivité ne fût-ce que pour réfléchir un peu, mais cela empêche-t-il de prendre un peu de son temps libre pour le consacrer à l’autre ? Visiter nos anciens plus souvent, participer à une cause humanitaire, écouter une personne en souffrance … bref, il y a bien des façons d’apporter son aide à autrui dans la vie quotidienne. Aider l’autre, c’est lui consacrer un peu de temps, un peu d’écoute, c’est vouloir son bonheur, son bien-être et selon la grande loi universelle, le bonheur que l’on donne aux autres nous revient en même quantité… Pardonner encore et toujours. Pardonner, oublier le mal qui nous a été fait, faire table rase du passé : voilà bien une magnifique tâche d’amour à accomplir. Mais … comme il est difficile d’appliquer le pardon ! Nous avons tous subi dans notre passé et nous vivons peut-être encore actuellement de grandes blessures résultant des paroles ou des actes malheureux d’autrui à notre égard. Dieu sait s’il est malaisé parfois de se " remettre " physiquement ou moralement des dommages qui nous ont été causés. Or, si nous voulons grandir spirituellement, il est nécessaire d’accorder notre pardon à chaque fois que l’on nous cause du tort. Comment faire ? Comment oublier ? Personnellement, il y a quelques temps cela me paraissait totalement insurmontable tant la blessure résultant d’actes et de paroles désobligeantes me faisait souffrir. Consciente que je devais changer cet état d’esprit, j’eus l’idée de demander conseil à mes guides spirituels. Eux sauraient certainement me dire comment je pourrais arriver à pardonner dans ce cas précis. C’est ainsi que par channeling, j’entrai en contact avec un Etre de Lumière, celui que l’on nomme le maître Jésus ou Sananda. Celui-ci, avec infiniment de compassion, m’éclaira en m’expliquant ce qui suit. Voici donc ses paroles que je vous livre espérant qu’elles pourront à vous aussi donner un nouvel éclairage sur vos problèmes de pardon (Rappelons tout de même que Sananda ne parle que d’un type de situation où l’on peut éprouver des difficultés à pardonner. Il n’aborde pas les situations plus graves. Ma question ne portait pas sur cela) : « Bonjour ma sœur de Lumière. Je suis Sananda et j’ai un enseignement à te donner concernant le problème par lequel tu es préoccupée actuellement. Tu te demandes comment tu vas arriver à pardonner à ces personnes qui t’ont fait souffrir. Je vais t’expliquer ce qu’est le pardon : admettons qu’une personne t’a fait du mal, elle a lancé une attaque contre toi. Tu souffres des mots blessants qu’elle a pu te dire. Pose-toi la question « pourquoi mon cœur a-t-il été touché par ces paroles ? Qu’a-t-elle (cette parole blessante) réveillé en moi que je ne veux pas voir ? Pourquoi suis-je si " remuée ", si blessée ? Serais-je si peu sûre de moi qu’une seule parole parvienne à me déstabiliser, à tout remettre en question ? Il en est de même pour d’autres cas de figure. Je vais prendre à présent l’exemple concret de ces personnes qui à une certaine époque auraient dû vous apporter leur soutien, vous réconforter dans les moments pénibles que vous viviez. Leur cœur aurait dû les pousser vers vous, les amener à vous épauler concrètement : elles ne l’ont pas fait. Elles n’ont pas eu raison. Elles s’en souviendront quand elles me rejoindront. Mais toi, ma sœur, au lieu de continuer à ressasser continuellement leur faute, je t’engage plutôt à manifester de la compassion pour ces âmes en expérimentation qui ont raté une occasion d’ouvrir leur cœur. Pauvres âmes qui devront tôt ou tard réparer leurs fautes ! En réalité ma sœur, ce n’est pas toi qu’elles ont blessée par leur comportement. Elles se sont blessées elles-mêmes. Prie donc pour qu’elles reconnaissent leur faute à présent et qu’elles fassent amende honorable. Si tu transcendes la souffrance en compassion et en prières, tu allègeras le fardeau qui pèse sur ton cœur. Tu seras libérée. Dans cette démarche tu me rejoindras et tu diras comme je l’ai dit un jour : « pardonne-leur, ils ne savent ce qu’ils font. » Là est mon enseignement. Là est le pardon. Je t’aime ma sœur de Lumière. Je te serre dans mes bras. Sananda. »

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Aimer TOUTE la Création. Dans notre processus de croissance spirituelle, il est nécessaire de nous interroger sur la qualité de l’amour que nous portons à nos semblables mais également de celui que nous pouvons vouer aux autres règnes de la Nature. L’amour ne doit pas être sélectif et s’arrêter seulement à celui que nous donnons aux nôtres, à ceux qui nous ressemblent. Il doit s’étendre à la Création tout entière en ce inclus les règnes de la Nature les plus éloignés de nous. Reconnaître l’existence de Dieu, c’est reconnaître également sa création, c’est le voir en toutes choses et aussi dans les plantes, les pierres, les animaux. A l’heure actuelle on parvient à communiquer avec les animaux et les végétaux par la transcommunication instrumentale. Aussi étonnant que cela puisse paraître, le message des animaux décédés obtenu par TCI est une véritable source de sagesse et la communication avec les plantes effectuée avec l’aide d’un magnétophone permet à celles-ci d’exprimer toute leur sensibilité. Lorsque l’on reconnaît une âme à tout ce qui nous entoure (pierres, plantes, animaux) notre regard et notre façon d’agir envers eux se trouvent largement modifiées. Ce n’est plus avec des yeux de " dominateurs " que l’on regarde mais avec une vision toute fraternelle. Dès lors ? Comment mieux aimer la Création ? Simplement en appliquant une grande partie des enseignements livrés ci-avant mais avant tout par le respect de cette Création. Pourquoi casser gratuitement, pourquoi saccager inutilement, pourquoi faire souffrir pour le plaisir ? La pierre que je regarde, la fleur que je respire, l’animal que je caresse ne valent-ils pas tout autant que moi ? N’ont-ils pas droit comme moi au respect ? L’élévation spirituelle passe également par l’acquisition d’un œil nouveau, d’un regard fraternel vers la Nature et tout ce qu’elle nous offre de côtoyer. A cet instant, le sentiment profond d’appartenir à un Tout, d’être un Tout se développe considérablement. C’est le chemin qui mène droit vers Dieu. Réflexion sur la tolérance. « Ce n’est donc plus aux hommes que je m’adresse, c’est à toi, Dieu de tous les êtres, de tous les hommes et de tous les temps : s’il est permis à de faibles créatures perdues dans l’immensité, et imperceptibles au reste de l’univers, d’oser te demander quelque chose, à toi qui as tout donné, à toi dont les décrets son immuables comme éternels. Daigne regarder en pitié les erreurs attachées à notre nature ; que ces erreurs ne fassent point nos calamités. Tu ne nous a point donné un cœur pour nous haïr, et des mains pour nous égorger ; fais que nous nous aidions mutuellement à supporter le fardeau d’une vie pénible et passagère ; que les petites différences entre les vêtements qui couvrent nos débiles corps, entre tous nos langages insuffisants, entre tous nos usages ridicules, entre toutes nos lois imparfaites, entre toutes nos opinions insensées, entre toutes nos conditions si disproportionnées à nos yeux, et si égales devant toi, que toutes ces petites nuances qui distinguent les atomes appelés hommes ne soient pas des signaux de haine et de persécution ; que ceux qui allument des cierges en plein midi pour te célébrer supportent ceux qui se contentent de la lumière de ton soleil ; que ceux qui couvrent leur robe d’une toile blanche pour dire qu’il faut t’aimer ne détestent pas ceux qui disent la même chose sous un manteau de laine noire. » (VOLTAIRE, Traité sur la tolérance à l’occasion de la mort de Jean Calas, 1763).

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Vivre et rayonner au quotidien. Une vie meilleure, plus satisfaisante, plus rayonnante peut s’acquérir en faisant seulement quelques petits efforts dans notre comportement et tout d’abord en se montrant résolument positifs quoi qu’il nous arrive, quoi que nous ayons à vivre. Comment cultiver cet état d’esprit positif ? Voici quelques pistes : Etre heureux d’être. Nous avons vu dans cet ouvrage que la naissance, la vie et la mort ont un réel sens initiatique. Notre incarnation sur terre a été choisie par nous-mêmes. Le lieu et l’époque à laquelle nous vivons ont été discutés avec nos guides dans le but d’optimiser notre apprentissage au maximum. Nous avons une mission à remplir. Même si elle paraît encore peu claire à certains d’entre nous, elle a néanmoins pour objectif de nous rendre meilleurs, de nous reconnecter à notre divinité, de nous rapprocher du Créateur. Notre âme n’a qu’un désir, progresser. L’incarnation constitue un excellent tremplin vers le divin. Les épreuves que nous vivons, nous les avons choisies afin qu’elles nous permettent de grandir spirituellement. Lorsque nous comprenons le sens de notre vie sur terre, il nous devient plus facile d’accepter ce qui nous arrive, d’accepter notre vie. Etre heureux d’être, se réjouir d’exister et d’expérimenter doit donc s’inscrire en premier lieu dans notre objectif de croissance spirituelle car cet état d’esprit permet de comprendre les " aléas " de notre existence terrestre qui s’inscrit dans un très vaste plan concocté à l’origine par notre âme. S’émerveiller encore et toujours. Le bonheur de vivre s’obtient plus facilement lorsque nous devenons capables de déceler le merveilleux en tout, et assurément, ce merveilleux, cette splendeur existent dans chaque être, dans chaque chose. Voir le beau, le positif dans ce qui nous entoure nécessite d’aller nous-mêmes à la rencontre de " notre enfant intérieur ", cette partie de nous qui est (encore) apte à saisir la pure essence des choses. Bien souvent nous nous perdons dans des raisonnements et des argumentations qui nous éloignent de cette pureté originelle. Nous avons souvent " quelque chose à redire ", nous traquons la faille dans ce qui nous paraît merveilleux au premier regard. Nous voyons ce qui nous entoure avec un regard désabusé, désillusionné. Certes tout n’est pas merveilleux dans ce monde, loin s’en faut. Ceci étant dit, c’est l’homme lui-même qui enlaidit la vie. Ne pourrions-nous pas ranimer plus souvent l’étincelle qui luit dans notre cœur afin d’éclairer un peu notre vision de ce monde ? Ne pourrions-nous pas retrouver notre cœur d’enfant, notre naïveté afin de pointer d’abord notre regard vers " ce qui va bien " au lieu d’épingler systématiquement ce qui est laid, " ce qui ne va pas " ? Faire plaisir mais aussi SE faire plaisir. Le Créateur nous rappelle dans son dialogue avec Neale Donald Walsch qu’en se divisant lors du big bang, il voulait avant tout faire l’expérience de ce que c’était qu’être Dieu. Il voulait contempler sa magnificence de façon expérientielle. En aucun cas en nous créant (en se divisant), il n’a voulu que nous expérimentions le malheur bien qu’il ait également créé cette possibilité. C’est nous qui, en nous éloignant toujours plus de lui, en devenant de moins en moins conscients de notre appartenance et essence divines, avons été les propres artisans de notre destinée entachée de malheurs et de calamités les plus divers. Le monde actuel est dans cette éternelle dualité du beau/laid, du bien/mal, du bonheur/malheur. Bien sûr il faut savoir que le mal, le laid, le malheur existent. Il faut s’en préoccuper et aider dans la mesure du possible de tout notre cœur. Cela fait partie

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de notre mission d’amour. Cette mission d’amour se déroulera dans de bonnes conditions si déjà à notre niveau, dans notre vie et en nous, nous parvenons à faire germer le beau, le bien et le bonheur. Pour ce faire, il importe que nous nous fassions aussi plaisir. Nous avons tous une notion différente du plaisir. Quelle que soit cette notion, si notre propre plaisir n’entraîne pas le mal, le laid et le malheur chez les autres, alors il s’inscrit dans notre retour à notre divinité. Comment se faire plaisir ? En étant d’accord avec nous-mêmes, en évitant la contradiction avec nos désirs les plus profonds, en ne nous restreignant pas inutilement. Nous le répétons : à moins que notre propre plaisir n’entrave le bonheur ou le bien-être d’autrui, à moins qu’il ne respecte pas les autres, à moins qu’il n’engendre aucune souffrance, il doit être expérimenté largement et pleinement goûté ! Il n’y a pas de mal à se faire du bien, au contraire. Se faire plaisir, se faire du bien nous permet de mieux rayonner, d’accueillir en nous et de renvoyer vers les autres la lumière divine. Rayonner. Nous venons de le voir, rayonner c’est d’abord être d’accord avec soi-même, se faire plaisir, cheminer gaiement sur la voie que nous avons choisie. Mais rayonner, c’est également irradier notre propre lumière vers les autres. Par des gestes si simples parfois, nous pouvons diffuser cette lumière autour de nous. Lorsque nous sommes heureux nous-mêmes, cette clarté inonde naturellement ce qui nous entoure et elle éclaire ainsi une partie du monde. Petit à petit, si beaucoup d’êtres se mettent à rayonner, la lumière grandit, devient éclatante : elle élimine alors progressivement la noirceur. Tout s’éclaire, tout resplendit, tout s’illumine. Comment rayonner ? Tout simplement en le décidant, en imaginant que de notre personne émane la lumière bienfaisante. Se lever le matin, décréter que tout va bien, laisser de côté les ennuis quotidiens en se disant que dans la grande marche du monde cela n’a pas tant d’importance, sourire à la vie et aux gens que l’on rencontre sur son chemin, adopter une attitude gaie et optimiste, ne pas céder à la peur, bref regarder la vie et les autres avec amour et confiance. Se rappeler également que tout finit toujours par s’arranger…

Avez-vous déjà essayé de rayonner, comme cela … juste pour voir ? Si vous l’avez fait, vous aurez sans doute constaté que par votre attitude, par votre état d’esprit positif, par votre rayonnement, vous avez modifié votre quotidien et celui des autres. Vous avez souri et on vous a souri (et même si on ne vous a pas souri en retour, ce n’est pas grave car votre sourire aura généré dans votre espace personnel un petit " nuage de bonheur "), un inconnu vous a dit bonjour, une quantité de petits bienfaits vous sont

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" tombés dessus ", votre journée a été plus belle, plus légère, plus heureuse. Si vous avez expérimenté cet état d’esprit, vous aurez mis en pratique une grande loi cosmique : le positif attire le positif ! Rayonner est un comportement qui s’apprend, qui se cultive jour après jour, qui demande des efforts de concentration mais c’est assurément une attitude toujours génératrice de bonheurs et de satisfactions les plus divers. Parler, dialoguer. Parler, dialoguer, s’exprimer, dire aux autres ou à l’autre ce que nous avons sur le cœur, discuter calmement de ce qui ne va pas, de ce qui pourrait améliorer la situation : voici bien souvent ce que nous négligeons de faire. Cependant, on le sait tous, l’absence de dialogue entraîne bien souvent des conséquences fâcheuses dans nos relations en aboutissant à des malentendus qui eux-mêmes dégénèrent parfois en disputes. Il est à la fois si simple et si difficile de dialoguer mais cela nécessite une certaine forme d’humilité et d’effort de compréhension des autres. Le fait d’accepter le dialogue entraîne de facto le fait d’écouter et c’est sans doute cela qui nous est le plus difficile à réaliser. Le dialogue est cependant essentiel pour rendre satisfaisantes nos relations quotidiennes que ce soit dans notre famille ou au travail et dans les relations en général. Comment faire savoir aux autres ce que nous pensons si on ne le dit pas et de même comment connaître ce qui est dans la tête et le cœur de l’autre si on ne l’écoute pas ? Cette réflexion tombe sous le sens évidemment. Dans tous les conflits existant entre les êtres humains, le dialogue semble être la seule issue pour défaire des nœuds parfois bien enchevêtrés. Dialoguer c’est aussi oser tout simplement dire ce que l’on pense au risque d’interpeller voire de blesser un peu parfois. Il faut trouver le courage d’exprimer notre personnalité, nos désirs et nos déceptions quitte à avoir l’impression d’être moins aimé, moins apprécié si l’on ne va pas toujours " dans le sens " de l’autre… Etre franc, être soi-même est bien plus gratifiant que laisser dire, laisser faire et finalement être frustré de ne pas avoir eu le courage de s’exprimer. La parole, le langage et toutes ses subtilités de vocabulaire nous ont été donnés pour que nous communiquions non seulement au sujet de ce qui est bien, de ce qui nous rend heureux mais également au sujet de ce qui ne va pas, de ce qui ne nous satisfait pas. Dialoguer, communiquer impliquent également le fait de se comporter en adulte et de ne pas immédiatement " se braquer " si les paroles de l’autre nous interpellent. Il faut écouter dans leur entièreté les " récriminations " afin d’argumenter de façon plus efficace s’il y a lieu de le faire. Combien de personnes également avons-nous entendu se plaindre de " ne pas avoir dit des choses " à untel ou untel avant qu’il ne s’en aille de l’autre côté comme par exemple " je t’aime " ? C’est d’autant plus malheureux. Que ce soit dans nos relations avec notre conjoint ou à plus grande échelle dans les relations internationales, le dialogue est bel et bien l’arme suprême non violente, non destructrice pour empêcher les conflits. Sachons nous exprimer, soyons capables de parler et d’écouter pour la paix de tout un chacun ! Laisser le divin s’exprimer en nous. Lorsque nous parlons, lorsque nous entamons un dialogue, il faudrait toujours que nous nous rappelions qui nous sommes vraiment c’est-à-dire des parcelles divines et à ce titre laisser s’exprimer ce qu’il y a de plus magnifique en nous, autrement dit, faire appel à la partie la " plus haute " de nous-mêmes de façon à toujours s’exprimer comme Dieu le ferait lui-même, c’est-à-dire avec Amour. Dans le livre de Neale Donald Walsch (voir fiche bibliographique en fin d’ouvrage) Dieu nous livre une " recette " pour qu’à chaque instant et dans chaque circonstance nous soyons certains d’avoir le bon comportement, pour que nous soyons sûrs de dire les bonnes paroles. Il dit « Posez-vous seulement cette question : que ferait l’amour dans ce cas-ci, dans ces circonstances-là ? ». Si l’on

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réfléchit un peu sur cette question, on se rend compte qu’elle revêt un sens très important et si on applique ce " truc " dans notre vie de tous les jours, on ne peut en aucun cas se tromper. Il vous est sans doute déjà arrivé, comme nous, de ne pas savoir comment faire ou comment réagir dans certaines circonstances : fais-je bien, fais-je mal en disant ceci ou en accomplissant cela ? C’est la question. Si l’on se place du point de vue divin, c’est-à-dire si l’on fait appel en nous aux plus hauts sentiments, à nos plus grandes qualités, si l’on se dit « que ferait l’amour à ma place ? », la réponse est immédiate, comment dire … impulsive et toujours juste. Nous vous engageons à l’expérimenter… S’attacher à l’essentiel, dépasser les petits tracas. Les personnes qui sont en recherche de spiritualité ont vite fait de comprendre ce qui est essentiel dans une vie et ce qui ne l’est pas. Bien souvent nous nous attachons à l’inutile, au superflu et nous négligeons ainsi ce qui est important. Nous disons souvent à qui veut l’entendre que pour être heureux nul n’est besoin de posséder grand-chose à part beaucoup d’amour, un toit et de quoi manger. Bien sûr nous ne prônons pas l’ascétisme pur et dur mais nous nous interrogeons souvent sur ce qui est nécessaire et sur ce qui fait partie du superflu, non pas que ce dernier soit mauvais, loin de là, il peut contribuer à notre bien-être, pour autant qu’il ne constitue pas un asservissement. Car c’est bien là que réside le problème de notre société actuelle : le glissement des valeurs jusqu’à nous persuader nous-mêmes que si nous ne possédons pas telle ou telle chose, tel ou tel luxe, nous ne pourrons pas être heureux. Nous verrons plus loin qu’il est tout à fait possible de concilier une riche vie spirituelle avec une riche vie faite d’abondances de toutes sortes, mais ici pour l’instant ne réside pas notre propos. Le bonheur, que diable ! se trouve quand même autre part que dans le matériel quoi que l’on veuille sans cesse nous persuader du contraire. Il n’est que de voir tous les gens riches, entourés de luxe et qui sont malheureux parce que seuls, parce que " paumés dans la vie ", les exemples sont nombreux. Le bonheur n’est pas tant l’abondance matérielle que la richesse d’une vie spirituelle en accord avec le Tout, avec l’Univers. Lorsque l’on saisit cela, l’asservissement au matériel s’estompe. L’on se dit que si vient éventuellement une période de manque, elle ne nous empêchera pas d’être heureux car l’on connaît la richesse des joies simples et des relations d’amour vrai. Il en est de même pour nos " tracas " quotidiens. Réfléchissons un peu et voyons le temps que nous passons à résoudre des problèmes de tous les jours, problèmes qui entre nous soit dit, n’en ont que le nom car en général ils sont tous liés au matériel et ils ne contribuent qu’à renforcer notre aliénation mentale. Notre problème est-il si grave que cela risque d’empêcher le monde de tourner ? Notre petit souci a-t-il autant de place dans notre esprit au point qu’il handicape notre vie de tous les jours et nous empêche d’être heureux ? Il faut dédramatiser en tous cas et tâcher encore et toujours de remettre à leur juste place nos " petits ennuis " par rapport à ce qui devrait nous intéresser au premier plan c’est-à-dire le sens et le but de notre vie ici-bas. Il faut savoir également que les problèmes, les tracas quotidiens sont créés par nous-mêmes et nous verrons un peu plus loin qu’une attitude positive générale ne leur laisse pas de place ou en tous cas beaucoup moins. Lâcher prise est également essentiel pour se dégager des couacs qui pourraient survenir dans notre quotidien, autrement dit, ne pas faire une montagne de nos soi disants ennuis matériels. Tout se règle tôt ou tard. A ce sujet, pour dédramatiser, nous conseillons de toujours se poser la question suivante : qu’en sera-t-il de mon problème dans un an ? Et bien, ce sera du passé, oublié, je n’y penserai même plus. Réfléchir de telle façon contribue à fortement minimiser… On entend souvent des gens dire : « Du moment qu’on a la santé, le reste n’a pas d’importance » et cette affirmation est entièrement vraie sauf que nous ajouterons « du moment que l’on est en accord avec soi-même et les désirs de notre âme ». L’essentiel n’est pas compliqué, ne s’embarrasse pas de l’inutile, c’est une lapalissade mais elle a tout son sens lorsque l’on réfléchit à tout cela. Seul l’amour est essentiel à la vie, sans l’amour on ne vit pas, on ne fait que vivoter. On peut posséder tout ce qu’il y a de plus beau au monde, le luxe le plus

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inimaginable, cela n’est rien face à au trésor qu’est l’amour dans notre cœur et celui des autres. Observer les autres règnes et s’en inspirer. Qui mieux que les animaux par exemple nous offre un exemple de vie simple, de Vie tout simplement. Vous objecterez immédiatement que nous ne sommes pas des animaux et que dans l’échelle de l’évolution nous nous plaçons avant ceux-ci. Certes, là n’est pas la question et nous sommes bien d’accord sur ce point. Ce sur quoi nous voudrions attirer votre attention c’est plutôt le modèle théorique (applicable à nous-mêmes) que nous offrent les autres règnes de la Nature. Il n’est nullement question de vivre une vie végétative si nous nous référons aux plantes, ni de vivre une vie animale si nous nous référons aux animaux mais simplement d’observer la simplicité, la vérité et l’évidence de ces vies ainsi que leur dépouillement de tout ce qui est superflu. Car le superflu, ils ne le connaissent pas évidemment, ils n’en ont pas besoin. Les plantes, les animaux se contentent de vivre, se contentent d’être, et pour la plupart sont heureux d’être (si l’on ne leur fait pas de tort évidemment). On en revient donc à ce que nous disions en début de chapitre. Si nous sommes heureux d’être, le superflu a-t-il sa raison d’être ? La plante qui naît et croît se contente du soleil vers qui elle se tourne tout entière, l’animal se satisfait de sa vie simple et de l’amour qu’on lui porte, ne se pose pas de questions. Nous les hommes, avons cette faculté de pouvoir réfléchir, nous poser des questions mais au lieu de nous interroger sur ce qui en vaut vraiment la peine, nous nous perdons dans des méandres de questions qui conduisent souvent à de fausses vérités. Or la Vérité est simple et la vérité de notre vie réside en une seule question : est-ce que j’aime ? Est-ce que ma vie, ce pour quoi je me suis incarné, est tournée vers la seule Vérité : l’amour ? Contrôler nos pensées, susciter le positif et l’abondance. Nous l’avons vu en début de chapitre, l’amour et la peur sont les deux émotions autour desquelles notre monde et notre réalité s’articulent. Tout ce qui n’est pas de l’amour est de la peur et vice versa. Or, nos pensées ont un pouvoir de création immense et souvent insoupçonné par la plupart d’entre nous. Le contrôle de nos pensées est vraiment primordial si nous voulons cesser de subir notre vie et en être les acteurs décideurs. Si l’on demande à quelqu’un quel est son souhait de vie, il répondra immanquablement qu’il veut le bonheur, qu’il y aspire de toutes ses forces. Malheureusement, tous les moyens lui sont donnés d’obtenir ce bonheur et il ne les voit pas ou du moins il ne sait comment les employer. Il se contente de subir les événements et croit dur comme fer qu’il n’a aucune prise sur le cours des choses. C’est faux, entièrement faux ! Chaque être humain possède en lui le pouvoir de créer, à l’instar de Dieu lui-même. Le malheur c’est qu’il n’a pas foi en ses capacités. Evoluer spirituellement c’est aussi retrouver ses propres pouvoirs créateurs, son pouvoir de façonner sa vie comme on le veut. Mais comment retrouver sa pleine capacité créatrice ? La première grande loi à ce sujet est de ne plus accorder aucun espace dans notre tête à tout ce qui engendre ou génère la peur. C’est de remplacer immédiatement toute pensée de peur par une pensée d’amour, une pensée négative par son contraire. C’est couper l’herbe sous le pied à toute pensée sombre, la priver de nourriture, l’amener au dessèchement complet jusqu’à ses racines. Le premier exemple qui nous vient à l’esprit est celui de ces personnes qui ont peur de manquer. Elles ne savent sans doute pas qu’en alimentant cette peur primitive, elles provoquent l’arrivée, la survenue du manque. Il en est de même de toutes les autres peurs : pensez aux maladies, pensez aux accidents, ils surviendront. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’en y pensant, vous les faites exister, vous leur donnez une nourriture, vous créez leur réalité et forcément tôt ou tard leur survenue. Nous venons de le dire, les pouvoirs créatifs de la pensée sont immenses mais cela vaut dans le bon sens comme dans le mauvais sens. Nous pourrions écrire un ouvrage entier sur la pensée positive mais d’autres l’ont fait avant nous. Nous vous engageons à lire ces ouvrages souvent très bien faits. Notre propos ici est de

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rappeler que l’homme est avant tout une âme en incarnation, un esprit doublé d’un corps de chair et que cette âme et cet esprit ont été dotés depuis la nuit des temps de pouvoirs grandioses, aussi grandioses que les pouvoirs de Dieu lui-même. Nous sommes les créateurs de nos vies et s’il est très facile d’attirer le malheur, le négatif simplement en l’alimentant par nos pensées, le contraire est également vrai. Apprenons à visualiser ce que nous voulons voir intervenir dans notre vie. Si c’est l’abondance que nous souhaitons, créons-la en décrétant d’ores et déjà qu’elle existe même si ce n’est pas encore tout à fait vrai. Le fait de l’affirmer avec foi la fait naître ici et maintenant. Ayons la foi en nos capacités et dessinons notre parcours de bonheur, soyons les architectes de notre félicité. Et surtout ne nous limitons pas, ne nous imposons pas de restrictions, ne nous contentons pas d’à-peu-près. Un exemple et vous comprendrez : vous avez commandé un magnifique pull vert, celui dont vous rêvez. Votre colis arrive et à la place de ce beau chandail que vous vous êtes déjà imaginé porter, vous déballez un pantalon rouge. Ce n’est pas ce que vous vouliez, vous allez donc tout naturellement renvoyer le colis et faire en sorte que ce soit votre pull vert qui vous soit renvoyé. Pour ce faire, vous agissez, vous vous remuez, vous téléphonez, vous réclamez. Et bien, faites pareil avec vos pensées : vous avez le droit de commander à l’Univers tout ce qui est nécessaire à votre bonheur, à votre bien-être. Si c’est d’un pull vert que vous avez envie, ne vous contentez jamais d’un pantalon rouge. Il n’y a aucune limite à votre pensée créatrice, la seule entrave est celle que vous vous imposez vous-même, c’est votre manque de foi en vos capacités. Tirer les leçons positives de nos épreuves, accepter ce qui nous arrive. Voici un titre qui semble à première vue en contradiction avec ce qui vient d’être développé précédemment car dans l’optique où nous sommes les créateurs de nos vies, nous pouvons orienter celle-ci vers le bonheur, la félicité, pour peu que nous ayons foi en nos capacités créatrices. Il se fait que chaque vie humaine est cependant jalonnée d’épreuves plus ou moins importantes, plus ou moins insupportables parfois : nous pensons à la maladie, la souffrance, la pauvreté etc…. Pourquoi donc cela alors que nous sommes les seuls décideurs. Serions-nous " masochistes " au point de nous imposer nous-mêmes ces difficultés de vie ? Il semble que oui mais cela mérite une explication.

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En effet, avant de s’incarner à nouveau, chaque âme décide de ce que va être sa vie avec son cortège d’épreuves, suivant ce qu’elle a à expérimenter. Nous l’avons vu dans le chapitre consacré au sens de la vie et à la naissance, chaque incarnation n’a qu’un but : apprendre afin de tendre vers le retour au divin, expérimenter l’amour et le faire grandir pour rejoindre le Créateur. Lorsque nous sommes encore dans l’au-delà, nous discutons avec nos guides de ce qui, dans notre prochaine incarnation, va nous permettre d’évoluer rapidement. Untel va décider d’expérimenter la souffrance afin d’arriver à mieux comprendre ceux qui sont dans le même cas que lui, afin de devenir plus humain, afin de développer sa compassion et son empathie, qualités qui lui ont peut-être fait défaut dans une précédente vie. Untel choisira de vivre dans la pauvreté matérielle pour expérimenter l’humilité ou pour développer plus rapidement sa spiritualité ou encore pour, malgré son dénuement, permettre à sa générosité de se développer. Un troisième choisira de naître et de mourir jeune dans le but de faire réfléchir et évoluer son entourage vers plus de spiritualité , c’est là un acte d’amour pur qu’une âme peut choisir d’accomplir en se réincarnant à la même époque que certains qu’elle a connus auparavant. Les plans de vie décidés dans l’au-delà sont multiples et très personnels à chaque âme. Se souvenir du but de notre incarnation n’est pas simple mais il peut arriver parfois qu’au cours d’une méditation ou lors d’une séance de régression ou d’hypnose, celui-ci soit mis au jour. Le voile de l’oubli existe et est souvent nécessaire car si l’on se souvenait de ce pourquoi nous sommes incarnés, l’exercice serait beaucoup plus simple, ne nécessiterait aucun effort bref le jeu n’en vaudrait pas la chandelle puisque les donnes seraient dès le début faussées. Rappelons que l’âme choisit des difficultés de vie afin que celles-ci lui permettent d’évoluer dans le seul but d’atteindre, comme le Créateur, l’amour inconditionnel, le plus grand de tous, le plus beau. Se rappeler le but de notre incarnation n’est pas simple mais être conscient que si, dans notre vie quotidienne, nous favorisons toujours l’amour en nous plaçant résolument dans son énergie nous amène à réussir notre vie. C’est aussi simple que cela. Lorsqu’une épreuve survient, la sagesse voudrait que nous soyons capables de la " bénir ". Et oui, ce mot est un peu fort, nous sommes d’accord mais, sachant à présent que notre but est de nous surpasser dans l’apprentissage de l’amour, accepter ce qui nous arrive est important voire primordial afin d’être toujours en accord avec notre plan de vie décidé auparavant. Nous ne disons pas non plus qu’il faille être " bêtement " contents de notre sort et laisser faire car il nous reste toujours la possibilité de transmuter nos choix antérieurs en de nouvelles options de vie tout aussi gratifiantes pour notre âme. Le libre arbitre nous est toujours donné et si les élèves que nous sommes " apprenons " vite, si nous intégrons rapidement nos leçons, la possibilité nous est toujours donnée de " monter d’une classe " ou de " changer d’option " même dans cette vie terrestre. Nous vous signalons notre dernier ouvrage en date « Changer notre vie en 100 jours », Editions lanore (Paris), 2013, disponible en librairie, sur Amazon, à la Fnac, etc au prix de 17,10 euros. Cet ouvrage complètera avantageusement ce chapitre douze et vous aidera à mettre en place les résolutions pour amener le Bonheur et la sagesse dans votre vie quotidienne…

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Conclusion. Voici que vous venez de terminer la lecture de cet ouvrage. Vous aurez voyagé avec nous dans le monde de l’invisible, vous aurez peut-être reçu quelques réponses à vos questions, vous vous en serez posés d’autres aussi certainement. Vous aurez douté peut-être. Vous aurez été incrédules parfois. Vous aurez été tentés de refermer définitivement cet ouvrage par trop irrationnel, hors des sentiers battus, faisant la part belle à l’invisible et vous interpellant, vous obligeant à sortir de votre petite routine matérielle. Vous aurez réfléchi sur la Vie, sur votre vie et peut-être désormais portez-vous sur celle-ci un regard neuf. Vous aurez peut-être appris à voir le monde qui vous entoure d’une façon différente, avec ce sentiment nouveau d’appartenir à un tout, de faire communion avec le Tout. Vous aurez certainement compris également que seul l’Amour que vous pouvez dispenser et recevoir est important, que là se trouve la Vérité, que là se trouve votre vraie croissance spirituelle. Peu importe que vous croyez ou non à l’invisible, peu importe que vous fassiez appel à vos guides, peu importe que vous parliez à Dieu ou non, pourvu que vous viviez dans le respect et l’amour de vous-mêmes, des autres et de la Création tout entière. Là réside la clef de toute vie réussie. Nous sommes comme vous, chers lecteurs, tous les jours nous tirons les leçons de nos épreuves, tous les jours nous tentons de mieux comprendre le fonctionnement de l’Univers et ses grandes lois, tous les jours nous essayons de nous améliorer en aimant mieux, en ne jugeant pas, en lâchant prise sur ce qui n’est pas réellement important. Tous les jours, l’occasion nous est donnée (dans une conversation, par une rencontre etc) d’expérimenter les leçons de sagesse contenues dans cet ouvrage. Parfois cependant, nous chutons et nous nous ressaisissons ensuite, nous nous rappelons à l’ordre mutuellement, nous tirons encore et encore les leçons et nous méditons sur nous-mêmes et sur la marche du monde en général. Nous essayons de nous perfectionner, nous tentons d’améliorer notre compréhension des choses et des êtres, nous sommes les élèves, les apprentis de la grande Ecole de l’Amour inconditionnel. Il nous reste beaucoup de chemin à parcourir pour acquérir la maîtrise à l’instar des grands Maîtres de sagesse que nous vous avons présentés dans ce livre. Cependant, nous ne nous décourageons pas car nous avons saisi l’importance de cet apprentissage dans la dure école qu’est la Vie. Si vous décidez d’entamer cette croissance spirituelle, surtout ne baissez pas les bras devant les obstacles qui sont placés (que vous placez vous-mêmes) sur votre route. Ces difficultés sont destinées à vous donner l’occasion d’expérimenter ce que vous avez appris ici en théorie. Demandez-vous toujours dans toute situation critique ou de dilemme : que ferait l’amour à ma place ? Comment agirait un Maître de sagesse dans ce cas ? Assurément la réponse que vous obtiendrez immédiatement et intuitivement sera juste, elle aura la couleur de l’amour, la plus belle nuance entre toutes, la seule importante dans toute vie dans l’Univers. Nous vous envoyons nos pensées les plus lumineuses pour vous et les vôtres.

Vincent et Marie-Hélène CHEPPE-DOURTE

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Glossaire Abduction : en ufologie (" science " qui étudie le phénomène des ovnis), l’abduction est l’enlèvement d’un être vivant dans des ovnis par des extraterrestres. Archives ou annales akashiques : sorte de " Livre de la vie " ou de " Livre de la mémoire de Dieu ", archives complètes pour toutes les âmes depuis leur création, inscrites dans les coordonnées espace-temps. Ashram : dans l’Inde ancienne, les âshram ou âshrama étaient des ermitages retirés dans la nature, dans la forêt ou la montagne, où les sages vivaient dans la paix et la tranquillité, loin de l’agitation du monde. Ce lieu servant à la pénitence était également utilisé pour l’éducation. Baghavad-Gita (la) : le " chant du Seigneur " est le texte le plus vénéré de l’hindouisme. C’est un poème composé sans doute au 2e siècle avant Jésus-Christ. Il se compose d’un dialogue entre le prince-guerrier Arjuna et le dieu Krishna. Bilocation : la bilocation peut se définir comme la présence simultanée d’une personne en deux endroits. La tradition chrétienne est riche en épisodes de bilocation et il semble que nombre de saints en aient été gratifiés, dont le Padre Pio. Channel (channeling) : un channel ou canal (en français) est une personne qui, par un procédé de communication paranormal (apparenté à la télépathie et à la médiumnité) " canalise " une entité souhaitant apporter un message spirituel à l’Humanité. Le channeling ou canalisation consiste pour le channel à se plonger dans un état méditatif ou de conscience altérée (transe médiumnique, expansion de la conscience) pour s’ouvrir aux paroles d’entités et d’Etres de Lumière ou de Maîtres de sagesse. Il s’agit ensuite pour le channel d’écouter et de restituer le message ou bien de le consigner sur papier au fur et à mesure. Clairaudience : il s’agit d’une perception paranormale de nature auditive où le sujet entend une voix lui dicter un message psi. Cette voix peut provenir de l’être qui envoie l’information mais elle peut être également une voix " off " c’est-à-dire n’appartenant à personne, venue de nulle part. Dévas : le nom " Déva " provient du Sanskrit et signifie " Etre de lumière brillante ". Ce terme est utilisé pour désigner des êtres non physiques spirituels et des êtres angéliques. On parle de Dévas de la Nature comme par exemple le Déva des arbres ou le Déva des fleurs ou de telle variété d’arbres ou de fleurs. Ces Dévas veillent à la croissance et à l’équilibre du règne végétal mais il existe aussi des Dévas des minéraux et des cristaux. Certaines personnes sont aptes à voir les Dévas : elles les décrivent non pas comme des êtres " formés " mais plutôt comme des nuages d’énergie. Dharma : utilisé dans l’hindouisme, le terme dharma peut se traduire comme la " loi " et il fait référence aux lois régissant le monde. Enfreindre ces lois entraîne un déséquilibre mettant en péril le cosmos. Elémentaux : les fées et les esprits de la nature habitent la matière et les éléments qui la composent: la terre, l'eau, l'air et le feu. C'est pourquoi ils sont fréquemment appelés les élémentaux ou " elémentals ". C'est le mot français pour désigner les Dévas en quelque sorte.

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Eschatologique : l’eschatologie relève de la théologie et de la philosophie en lien avec les derniers temps, les derniers événements de l’histoire du monde ou l’ultime destinée du genre humain couramment appelée " fin du monde ". Holistique : ou total(e). Ce terme lorsqu’il est employé en médecine par exemple désigne la totalité de l’être (l’aspect physique, physiologique mais aussi psychique) plutôt que sa maladie seule. On considère, pour le diagnostic et les remèdes, le malade en entier plutôt qu’uniquement le ou les organes malades. Kabbale : tradition philosophique et ésotérique juive. Elle est représentée comme la " Loi orale " secrète reçue par Moïse sur le mont Sinaï en même temps que la " Loi écrite " ou " Torah ". Lévitation : la lévitation est le fait de se déplacer dans les airs sans assistance artificielle, ou le fait, pour un humain ou un objet, de rester en suspension dans un espace au mépris des lois de la gravitation. Médium : personne réputée pour sa capacité de contacts avec l’au-delà. Métaphysique : l’objet de la métaphysique est " l’être " au sens absolu (en tant que tel) et ses premiers principes. Les questions posées en métaphysique sont par exemple : « qu’est-ce que l’être ? », « pourquoi y a-t-il de l’être plutôt que rien ? », « Dieu existe-t-il ? », etc.

Mysticisme : c’est l’ensemble des doctrines et des situations, des expériences et des faits par lesquels l'âme humaine accède à la rencontre immédiate de Dieu ou du monde divin.

Paradigme : un paradigme est une représentation du monde, une manière de voir les choses, un modèle cohérent de vision du monde basé sur une chose restreinte. Le " nouveau paradigme " est en référence à certains courants de pensée ouverts à l’intuition spirituelle, se démarquant ainsi des philosophies rationalistes, matérialistes ou positivistes inspirés par la science contemporaine.

Paranormal : ensemble des phénomènes qui semblent inexpliqués à l’heure actuelle.

Poltergeist : désigne un phénomène paranormal, rare, spontané et récurrent se manifestant par des psychokinésies provoquées par une ou plusieurs personnes (bruits divers, mouvements d’objets, apparition et disparition d’objets, apparitions d’ectoplasmes (genre de fantômes).

Psychométrie : ce terme peut être employé pour désigner la faculté qu’ont certaines personnes de décrire ou de raconter l’histoire complète d’un objet par exemple rien qu’en le touchant même si celui-ci est enfermé dans une boîte et qu’elles ne peuvent le voir.

Sanskrit : (ou sanscrit). C’est une langue indo-européenne, de la famille indo-iranienne, jadis parlée dans le sous-continent indien (appelé autrefois Hindoustan). C’est notamment la langue des textes religieux hindous.

Sulpicienne (statue) : se dit des objets d’art religieux d’aspect conventionnel et fade vendus dans le quartier Saint-Sulpice à Paris.

Tantrisme : ensemble des croyances et des rites issus des tantras (ensemble de textes et de cultes) et relevant de l’hindouisme notamment. Le tantrisme se donne pour but le salut par la connaissance ésotérique des lois de la nature.

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Télékinésie : consiste à déplacer les objets par la pensée.

Téléportation : transfert d’un corps dans l’espace sans parcours physique des points intermédiaires entre le départ et l’arrivée.

Thaumaturge : personne qui accomplit des miracles.

Théologie : étude des réalités relatives au divin fondée sur l’étude et l’interprétation des textes religieux.

Trans-communication instrumentale : il y a trans-communication instrumentale lorsqu’un défunt utilise pour se manifester aux vivants un instrument tel que le magnétophone où l’on capte sa voix, ou la TV où apparaît son image et d’autres moyens de communication tels que l’ordinateur, le téléphone etc…

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Bibliographie. Voici une bibliographie pour les lecteurs désireux de se familiariser plus en profondeur avec les « questions de l ‘invisible » abordées dans cet ouvrage. Ces livres, nous les avons tous lus. Ils sont de grande qualité et nous vous les conseillons donc vivement. Fiches bibliographiques. BELLINE, La troisième oreille, Editions Robert Laffont, 1975. Au sommet de sa carrière, sollicité dans le monde entier pour ses dons de voyance, Belline n’était plus qu’un homme déchiré au lendemain de la disparition de son fils unique Michel, mort à 22 ans des suites d’un accident de voiture. Accident que Belline avait pressenti, impuissant, deux heures avant. Brisé par le chagrin, gagné par le doute, il doit à ce que certains appelleraient " un miracle " d’avoir trouvé plus que de l’espoir, une certitude dans l’immortalité des êtres. Concentrant toutes ses facultés devant la souffrance de sa femme, il tente l’impossible : après vingt mois de silence, la voix de Michel lui parvient, perçue tout d’abord sous forme de présence invisible, puis de vibrations sonores et lumineuses… François BRUNE, Le chronoviseur. Machine à explorer le passé. Enquête sur un secret du Vatican, Editions Oxus, Collection Les Univers secrets, 2004. Une machine à explorer le passé : utopie, ou réalité que le Vatican voudrait occulter ? Cet appareil a été mis au point il y a un demi-siècle par une équipe de scientifiques réunie autour du Père Ernetti, spécialiste des chants grégoriens et diplômé de physique quantique. Cette machine a fonctionné parvenant à visualiser les scènes du passé. Le chronoviseur constituait-il une bombe dangereuse ? En tous cas la machine fut démontée. Un épais mur de silence enveloppe l’affaire du chronoviseur dont le Vatican voudrait occulter les traces. Le Père Brune a mené son enquête… François BRUNE, Les morts nous parlent, Editions du Félin, 1988. La réalité de la survie après la mort devient maintenant un fait scientifique. L’humanité commence à rentrer en communication avec l’au-delà. L’ouvrage de François Brune fournit au grand public tous les éléments de ce dossier encore objet de méfiance et de suspicion. Il fait le point sur les principales découvertes scientifiques les plus récentes : on enregistre les voix des morts sur bande magnétique. On capte des images vidéo de l’au-delà. Grâce au chronoviseur, on remonte même dans le temps pour filmer les images du passé… François BRUNE et Rémy CHAUVIN, En direct de l’au-delà, Editions R. Laffont, 1993. Des visages de défunts qui surgissent à la télévision ; des voix de disparus enregistrées sur bandes magnétiques après leur mort ; des textes qui se forment comme par magie sur des écrans d’ordinateurs… ; la trans-communication instrumentale : mystification ou réalité scientifique ? Sur ce phénomène qui déchaîne passions et controverses, un homme de science, Rémy Chauvin, et un homme de foi, François Brune osent s’exprimer en leur âme et conscience. Rachel et Jean-Pierre CARTIER, Les gardiens de la terre, Editions de la Table ronde, 1999. Le temps est venu de nous mettre à l’écoute des Amérindiens, car eux seuls ont les réponses aux questions qui angoissent les Occidentaux. Et d’abord, la plus lancinante de toutes : quel monde laisserons-nous à nos enfants ? Rachel et Jean-Pierre Cartier, grands reporters, sont allés puiser aux sources de la sagesse indienne lors d’un rassemblement dans le Vermont.

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Vincent et Marie-Hélène CHEPPE-DOURTE, Je parle aux arbres et ils me répondent, Editions Lanore (Paris), 2012 "Tu es passée à côté de moi pendant des années sans même me regarder. Je suis très heureux qu'enfin tes yeux et ton âme s'attardent un peu près de moi", telles sont les premières paroles d'un arbre entendues par les auteurs de cet ouvrage. Ce message surprenant émane d'un tilleul de jardin avec lequel Marie-Hélène va entamer un dialogue, nouant au fil du temps une belle relation d'amour et de complicité. L'arbre lui enseignera par de simples paroles La Sagesse dont il se révèle être un véritable et authentique Maître. Le monde végétal peut nous apprendre beaucoup de choses sur la Vie. Il peut être également un moteur d'évolution spirituelle pour nous-mêmes, pour peu que nous prenions la peine de l'écouter. En fin d'ouvrage, les auteurs, forts de leur propre expérience, vous donnent, des conseils pratiques afin que vous aussi, appreniez à communiquer avec les "êtres" du monde végétal... Vincent et Marie-Hélène CHEPPE-DOURTE, Changer notre vie en 100 jours – cahier pratique », Editions Lanore (Paris), 2013 Durant notre vie sur la terre, nous sommes tous, sans exception, en quête de quiétude, de sérénité et de bonheur. Et bien souvent, nous passons à côté sans rien trouver, découragés et persuadés que ce Bonheur auquel nous aspirons est réservé aux autres, à une certaine élite qui y aurait droit plus que nous… Rien n’est plus faux. Le bonheur est là, à profusion et pour tout le monde ! Il nous faut simplement apprendre ou réapprendre comment le trouver, le vivre pleinement et le savourer quotidiennement. Les auteurs de nous y aider en nous permettant, à travers une centaine de réflexions, de nous redécouvrir, de nous souvenir de qui nous sommes vraiment, de nous aimer et de nous épanouir. CHRISTOPHE, Paroles de lumière, Editions Fernand Lanore, 1988 Christophe, né en 1956, a quitté ce monde en 1978 sur l’autoroute de Nemours (France). Il roulait seul en moto et a dérapé. Il a été tué sur le coup. Le 19 avril 1979, soit environ 8 mois après sa mort, son premier message a été transmis par un médium, interprète spirituel en pleine affinité vibratoire avec lui. Christophe dit dans ses messages être le porte-parole d’un groupe de maîtres et guides où interviennent notamment : Rudolf Steiner, Edgard Cayce, Teilhard de Chardin, Ramana Maharshi, Parahamsa Yogananda et Khalil Gibran. COLLECTIF, Les Anges, mystérieux messagers, Les Editions de l’Homme, sd. On dit des anges qu’ils sont les messagers de Dieu et des incarnations de la lumière divine. Aujourd’hui plus que jamais, les anges captivent notre imagination et notre esprit, ce qui nous porte à approfondir notre réflexion sur les complexités de la vie, de la foi, de l’âme. Dans ce livre lumineux et inspirant, quelques-uns des penseurs et des maîtres spirituels contemporains les plus influents explorent la place et la signification des anges dans le monde moderne. En plus d’être une mine de renseignements et de découvertes d’une valeur inestimable, cet ouvrage, rempli de révélations étonnantes raconte aussi de nombreuses histoires fascinantes de rencontres avec des anges, témoignages de l’influence bénéfique que ces messagers divins peuvent exercer dans les moments les plus difficiles de notre existence. COLLECTIF, Les Jardins de Findhorn, Editions Le Souffle d’Or, réédition du livre paru en 1982. Ce livre a pour sujet l’aventure des pionniers et fondateurs de la communauté spirituelle de Findhorn. Voici, relatée par plusieurs d’entre eux et illustrée de nombreuses photographies, cette merveilleuse rencontre entre des êtres humains et les esprits de la nature, qui débuta en 1962 au nord de l’Ecosse. Ensemble, ils démontrent ainsi que c’est avant tout la force d’amour qui nourrit plantes et hommes. Cette coopération permit de faire pousser des légumes gigantesques sur un sol presque stérile et dans un climat très rude, puis, progressivement, de redécouvrir les lois de l’agriculture biologique, centrées sur l’importance de l’humus. Au-delà, cette expérience originale amène à considérer,

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respecter et aimer tous les êtres de la nature comme des êtres vivants : de la terre aux êtres les plus subtils. Nous découvrons au cours de ces pages l’histoire et la vie même de cette communauté qui joue toujours un rôle important dans l’émergence d’un nouveau paradigme. Alma DANIEL, Timothy WYLLIE et Andrew RAMER, Demandez à vos anges (comment dialoguer avec les êtres célestes), Editions Marabout, 1977. Ce livre nous apprend à communiquer avec ces êtres célestes qui sont à la fois nos guides, nos enseignants et nos meilleurs amis, et qui peuvent nous soutenir au quotidien, dans nos besoins matériels comme dans notre quête de vérité. Les auteurs nous font partager leurs expériences personnelles. Grâce aux exercices, méditations et visualisations, ils nous font découvrir comment mieux connaître les anges et les approcher. P.J. DEROBERT, L’ange puissant qui descend du ciel, Editions Hovine, 1985. Ce livre retrace en détails les apparitions mariales reconnues comme Paris, La Salette, Lourdes, Pontmain, Fatima, Beauraing, Banneux et les dernières comme à Pellevoisin, Kerezinen, Bonate, Amsterdam, Tre Fontane, l’Ile-Bouchard, Montichiari, Garabandal, San Damiano, Zeïtoun, Medjugorge et Kibeho. Ned DOUGHERTY, Voie expresse pour le Paradis (l’expérience aux frontières de la mort la plus extraordinaire jamais vécue), Editions Le Jardin des livres, 2004. Membre de la Jet-set, millionnaire, cocaïnomane et un peu alcoolique, rien ne prédisposait Ned Dougherty à s’occuper de choses spirituelles jusqu’à ce que son cœur lâche brutalement sur le trottoir de sa discothèque. Alors que des urgentistes tentent de le réanimer, cet homme d’affaires se sent soudain quitter son corps et flotter au-dessus de lui. Il ne comprend pas ce qui lui arrive lorsque soudain un tunnel lumineux s’ouvre devant lui. Il fait ce que l’on appelle une expérience aux frontières de la mort (NDE) qui va lui faire vivre des événements extraordinaires et rencontrer des personnages " de lumière ". Maryvonne et Yvon DRAY, Karine après la vie, Editions Albin Michel, 2002. Karine a 21 ans. C’est une jeune fille d’aujourd’hui qui vient d’obtenir son diplôme de commerce et s’apprête à partir en vacances avant d’entrer dans la vie active. Un accident de voiture en décide autrement. Ses parents qui pensent que tout s’arrête après la mort physique, sont brisés par le drame. Jusqu’au jour où ils commencent à recevoir des messages. Du magnétophone à l’ordinateur, de l’écriture automatique à la matérialisation de son image, Karine Dray semble utiliser tous les moyens mis à sa portée pour continuer de faire entendre sa voix, avec l’énergie, le rire et les impatiences qui émanaient d’elle sur terre… Patrick DROUOT, Nous sommes tous immortels, Editions France-loisirs, 1990. Un livre pour comprendre l’être humain aujourd’hui, tel est l’ouvrage étonnant que nous propose un physicien français, Patrick Drouot. Après des études à l’Université Columbia de New York, Drouot prend la suite de Grof, de Capra, de Pribam, de Bohm et étudie la nature de la conscience humaine. Il suit la voie des Yogis des Himalayas et des Tibétains et nous offre une perspective d’unification entre la vision scientifique occidentale et la tradition spirituelle orientale. Patrick Drouot cherche ici à mieux comprendre le phénomène de la réincarnation. Après dix ans de travaux où il a effectué quelque trois mille plongées dans le passé, il est en mesure de faire des révélations étonnantes sur les vies antérieures, le passage de la mort et la période prénatale. Il a lui-même " revécu " le voyage avant la vie. Hors des sentiers battus, Patrick Drouot réussit une étonnante synthèse de ces visions nouvelles. Il donne un certain nombre de réponses à ces questions fondamentales et ouvre d’ores et déjà la voie de la pensée du XXIe siècle.

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Betty J. EADIE, Dans les bras de la lumière, Editions Filipacchi, 1994. Morte à l’âge de 31 ans à la suite d’une intervention chirurgicale, puis revenue à la vie, le récit que fait Betty J. Eadie de son aventure dans l’au-delà dépasse, et de loin, tout ce qu’on avait pu lire auparavant sur ce sujet… Allan KARDEC, Le livre des esprits, Editions j’ai lu, collection aventure secrète, 2005. Educateur et philosophe, Allan Kardec est le père du spiritisme, une philosophie spiritualiste enseignée dans le monde entier. Le livre des esprits est un des livres les plus lus au monde après la Bible. Le livre des esprits contient des réponses à plus de mille questions sur Dieu, l’Univers, les anges, la réincarnation, les rêves, la télépathie, la prière etc… Aurelia Louise JONES et Dianne ROBBINS, Telos, révélations de la nouvelle Lémurie, Tome 1 et 2, Editions Ariane, sans date. Ce livre regroupe une série d’enseignements et d’informations et de révélations donnés par Adama, grand prêtre de Telos. Il parle également des événements qui se préparent et de l’émergence du peuple intra-terrestre dans les prochains temps… Pierre JOVANOVIC, Enquête sur l’existence des anges gardiens, Editions J’ai lu, collection aventure secrète, 2005. San Francisco, Pierre Jovanovic se trouve dans une voiture, soudain il se jette sur la gauche, une fraction de seconde avant qu’une balle ne pulvérise le pare-brise. Ce geste inexpliqué lui sauve la vie. Plus tard, des amis lui racontent des histoires similaires : journalistes arrachés à la mort par miracle, temps qui " ralentit mystérieusement ", " voix intérieures " qui avertissent d’un danger. Tous ces signes pourraient-ils être la preuve de l’existence des anges gardiens ? Des milliers de témoins dans le monde racontent avoir vu ou senti un être spirituel à leur côté à des périodes cruciales de leur vie. Pendant six ans, Pierre Jovanovic a enquêté auprès de patients, de médecins et de chercheurs. Il nous livre les récits exceptionnels des grands mystiques, de sainte Thérèse d’Avila à Hildegarde von Bingen, et ceux de personnes ordinaires qui ont été en contact avec des êtres venus de l’invisible. Pierre JOVANOVIC et Anne-Marie BRUYANT, L’explorateur de l’au-delà, Editions Le Jardin des Livres, 2004. " L’explorateur de l’au-delà " commence là où les biographies normales se terminent : debout à côté de son cercueil, Franchezzo, un aristocrate richissime, découvre qu’il est mort. N’étant guère familier avec les questions spirituelles, il refuse son état, puis, dépité, commence à explorer son environnement jusqu’à découvrir progressivement les différentes sphères qui composent ce que les Evangiles appellent " les nombreuses demeures du Père ". Témoignage unique sur le fonctionnement des diverses strates de l’après-vie, " L’explorateur de l’au-delà " (qui a inspiré les films " Ghost " et " Au-delà de vos rêves ") est le plus grand texte disponible à ce jour parce qu’il emporte le lecteur dans un véritable tourbillon avec des descriptions à couper le souffle. Eric KLEIN, L’escalier de cristal (guide pour l’ascension), Editions Résonances, 2002. L’expérience de l’ascension représente la culmination de l’évolution humaine. L’escalier de cristal décrit comment ce bond en avant dans la conscience sera mis à la disposition de toute l’humanité dans cette vie… Dans ces messages canalisés, les Maîtres ascensionnés offrent un éveil à la vérité ultime de notre destinée humaine, défiant chacun de nous de recevoir humblement le droit de naissance divin de notre propre immortalité. Dorothée KOECHLIN DE BIZEMONT, Prophéties d’Edgar Cayce, Editions du Rocher, 1989. Edgar Cayce était un homme hors du commun. Il a annoncé bien des événements qui sont déjà arrivés comme l’assassinat du Président Kennedy, la création de l’état d’Israël,

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la découverte du laser, etc… Plus étonnant encore, ses prophéties concordent parfaitement avec celles des plus grands mystiques et voyants européens. Les prophéties ne sont pas données pour créer une panique malsaine mais pour nous inviter à réfléchir et à trouver la voie de la Paix… Elisabeth KUBLER-ROSS, La mort est un nouveau soleil, Editions du Rocher, 1988. « Mourir est déménager dans une maison plus belle. C’est tout simplement abandonner son corps physique de même que le papillon sort de son cocon ». Ces mots de joie sont ceux que prononçait chaque jour le docteur Elisabeth Kübler-Ross au chevet de ses patients. Docteur honoris causa de plusieurs universités dans le monde, ce médecin suisse était reconnu par ses pairs comme faisant autorité en matière de thanatologie. En effet, elle avait compris que les êtres qui sont au seuil de la mort " n’hallucinent " pas quand ils voient des personnes décédées venir les chercher. Les expériences scientifiques du docteur Kübler-Ross permettent de confirmer l’existence d’une vie après la mort… Anne-Marie LIONNET, Lumières de l’au-delà (messages d’Isabelle), Editions du Rocher, 1992. Le 9 janvier 1983, Isabelle meurt d’une leucémie. Elle a 16 ans. Elle est fille unique… Révolte, désespoir, incompréhension puis un soir Isabelle " parle " à sa mère par écriture intuitive. Elle lui adresse des messages de réconfort et d’amour mais aussi des messages pour nous tous qui sommes sur la terre. Abbé Jean MARTIN, Le prêtre, la médium et le chien (dialogues avec nos animaux décédés), Editions JMG, collection Témoins de l’au-delà, 2003. L’abbé Jean Martin est belge. Docteur en philosophie de l’Université de Louvain, prêtre de paroisse puis professeur de séminaire, il est actuellement chargé d’animation religieuse dans les écoles d’enseignement spécialisé de son diocèse. Selon l’auteur, les animaux décédés sont capables de nous envoyer des messages télépathiques qui peuvent prendre, par la trans-communication instrumentale, une forme vocale. Jean Martin nous parle dans ce livre de l’expérience qu’il a réalisée avec son chien Kim qui s’est manifesté à lui après sa mort. Abbé Jean MARTIN, Nul n’est une île (essai sur le langage universel), Editions JMG, 2005. En plus du langage articulé qui nous sert à dialoguer, il existe une forme de communication subtile qui relie, par un fil ténu d’amour et d’attention, tous les êtres de la création. Ce lien relie les humains entre eux, bien sûr, mais aussi les animaux, les plantes et même certaines formes de vie qualifiées de primitives. Ce n’est pas là une simple vue philosophique ni la divagation d’un esprit naïf : c’est la conclusion que Jean Martin tire de nombreuses expériences, parfois fort complexes, menées par des chercheurs d’horizons totalement différents. Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN, Le voyage à Shamballah, un pèlerinage vers soi, Editions Arista, 1989. Grâce à la pratique d’une projection de la conscience, ou voyage astral, Anne et Daniel Meurois-Givaudan ont été appelés à pénétrer dans ce " château du Graal " de l’humanité que certains nomment Shamballah… Anne et Daniel MEUROIS-GIVAUDAN, Terre d’Emeraude (témoignages d’outre-corps), Editions Arista, 1989. La mort ? Et après ? A cette question, les auteurs ont apporté une première réponse dans " Les récits d’un voyageur de l’astral ". Voici la suite de ce voyage, en couple, selon la technique ancestrale qui a permis à Anne et Daniel Meurois-Givaudan de quitter consciemment leur corps et de pénétrer en liberté dans les " territoires d’outre-corps ". Paul MISRAKI, L’expérience de l’après-vie, Editions Robert Laffont, 1974. L’écriture intuitive procure-t-elle réellement, sous certaines conditions, le moyen de converser avec les morts, comme le suggèrent les témoignages de Marcelle de Jouvenel et de la mère de Pierre Monnier, pour ne citer que ces deux noms connus en France ?

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Une nouvelle expérience réalisée ici, apporte à cette question une réponse résolument positive… Dr Raymond MOODY, La lumière de l’au-delà, Editions France loisirs, 1989. Dans La vie après la vie, le Dr Moody rassemblait les surprenantes expériences rapportées par des gens qui avaient failli mourir. Dans ce nouvel ouvrage, tout aussi captivant et conduit avec une grande rigueur scientifique, il apporte de nouveaux témoignages sur ces voyages " au-delà " de la mort, retrace les conditions dans lesquelles ils se sont produits, la façon dont ils se déroulent et dont les sujets en parlent. Il passe ensuite en revue les différentes tentatives d’explications de ces phénomènes provoqués par " l’Expérience de la mort proche ". En conclusion, il explique pourquoi, à ses yeux, ces expériences sont bien des aperçus d’un autre monde. Dr Melvin MORSE, La divine connexion, Editions Le Jardin des Livres, 2002. Après quinze années de recherches, le Dr Melvin Morse, médecin urgentiste et pédiatre affirme que : nous disposons tous dans notre lobe temporal droit d’un circuit biologique spécialement conçu pour dialoguer avec Dieu et que les souvenirs de notre vie se trouvent hors de notre cerveau. S’appuyant sur les dernières découvertes scientifiques, son livre explique pour la première fois avec une logique implacable l’ensemble des phénomènes surnaturels et mystiques, tout comme les vies passées, les sensations de déjà vu, l’intuition, les guérisons spontanées et surtout le don de " voir " des parcelles de l’avenir. Dr Melvin MORSE, Le contact divin, Editions Le Jardin des Livres, 2005. Pour le Docteur Morse, ceux qui partent avant nous se servent des visions et des rêves pour nous donner signe de vie. Pourquoi ? Parce que le seul lien qui traverse le miroir est l’amour qu’on leur porte. (Ce livre comprend outre des interviews du docteur Melvin Morse, également des nouvelles informations en provenance de diverses universités ainsi que de la recherche militaire sur les pilotes de chasse). Chris MORTON et Céri Louise THOMAS, Le mystère des crânes de cristal, Editions J’ai lu, collection Aventure secrète, 2003. En voyage au Guatemala, deux journalistes de la BBC trouvent un crâne de cristal dans les ruines d’un temple maya et découvrent que d’autres crânes ont refait surface dans le monde entier. Selon une vieille légende indienne, il existe treize anciens crânes de cristal qui renferment d’importantes informations sur les origines de l’humanité et son destin. Un jour, si l’on en croit ces prophéties ancestrales, tous les crânes de cristal seront réunis et l’humanité sera prête à percer le secret de la vie et de la sagesse… Lina et Cathy MULLER, Passerelle vers l’au-delà, Editions Indigo Montangero, 2004. Cet ouvrage raconte l’histoire d’une maman ayant perdu son enfant de 10 ½ ans, emporté par la maladie. Dès ce moment, la fillette (Lina) entre en contact avec sa mère et lui transmet régulièrement des messages lui permettant d’accepter son départ et de voir la mort différemment. Ramon PEREZ, Les apparitions de Garabandal, l’ultime avertissement ?, Editions Résiac, 1996. Les grandes apparitions mariales s’insèrent de façon prophétique dans notre histoire contemporaine. De 1961 à 1965, la Vierge Marie est apparue à quatre jeunes filles espagnoles. Les apparitions de Garabandal annoncent la fin de notre monde avec un avertissement visible par toute l’humanité suivi d’un miracle plus grand encore que celui de Fatima… Dans cet ouvrage, les habitants de Garabandal racontent ce qu’ils ont vu, entendu et vécu durant les quatre années correspondant aux apparitions… Jean PRIEUR, L’âme des animaux, Editions J’ai lu, 1991. Professeur de lettres et de philosophie Jean prieur s’interroge : les animaux ont-ils une âme ? Survit-elle dans l’au-delà ? Leurs beaux yeux toujours graves et pensifs, leur

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regard plein d’amour et d’intelligence s’éteindraient-ils pour toujours ? Retrouverons-nous un jour ces êtres dont la mort nous a plongés dans un chagrin que nous n’osons pas toujours avouer ? En attendant d’éventuelles retrouvailles, peuvent-ils, comme nos disparus, se manifester, donner des signes de présence et de vie après la mort ? Existe-t-il des fantômes d’animaux ? A toutes ces questions, Jean Prieur répond par l’affirmative, preuves à l’appui. Oui, ces êtres capables d’éprouver les mêmes sentiments que nous, tendresse, amour, jalousie, fidélité, continuent à vivre dans le monde invisible… Pascal RIOLO, Mon parcours à travers la voyance, Editions Frings (Liège), 2005. Dans cet ouvrage Pascal RIOLO, jeune voyant-médium nous explique comment il a évolué dans la voyance. Tout a commencé en juillet 1979 lorsque son destin l’a fait basculer vers un univers incroyable aux portes de l’inexpliqué. Aujourd’hui Pascal Riolo est consulté par des personnes de tous les niveaux de la société. Il donne également des conférences un peu partout dans le monde. Il avait prévu des événements comme l’attaque des twin towers, la guerre en Irak, le tsunami… Jean RIOTTE, Ces voix venues de l’au-delà, Editions France loisirs, 2002. Ancien avocat international admis à l'honorariat, rationaliste et réaliste convaincu, Jean Riotte communique par trans-communication instrumentale depuis plus de dix ans avec son fils Pascal, mort accidentellement aux commandes de son avion de chasse. George RITCHIE, Retour de l’au-delà, Editions Robert Laffont, 1986. George Ritchie exerce la médecine dans l’état de Virginie. Psychiatre, titulaire de différents postes dans les hôpitaux de virginie, il est également fondateur et président de l’Universal Youth Corps. En 1943, il meurt et revient miraculeusement à la vie pour raconter l’expérience bouleversante de la mort et de l’au-delà … « Voici la chronique de l’une des trois ou quatre plus extraordinaires et plus enrichissantes expériences de la mort que je connaisse » dira le Dr Raymond Moody de ce livre. Lino SARDOS ALBERTINI, L’au-delà existe, Editions Filipacchi, 1992. Avocat en Cour de Cassation à Trieste, Lino Sardos Albertini a perdu son fils dans des circonstances dramatiques. Grâce à l’intermédiaire d'une médium, il entre en contact avec Andréa. D’abord critique et incrédule, l’auteur se rend peu à peu aux faits inexplicables sans pour autant déroger au dogme catholique. Car ce contact tout particulier a un but : contribuer à faire grandir chez les hommes la croyance en l’au-delà. Werner SCHIEBELER, La vie après la mort terrestre, Editions Robert Laffont, collection la vie et au-delà, 1992. L’auteur est docteur en Sciences naturelles, il est né à Brême en 1923. Il donne régulièrement depuis 1964, des cours et des conférences sur la parapsychologie et la parapsychophysique. Il est l’auteur de nombreuses publications sur le sujet. Il va plus loin dans ce nouvel ouvrage qui contient des témoignages inédits et qui élargit le champ d’investigation ouvert par le best-seller de Raymond MOODY : La vie après la vie. Monique SIMONET, Images et messages de l’au-delà, Editions du Rocher, 1991. Une grand-mère, Madame Simonet, reçoit sur son magnétophone la voix de son petit-fils décédé quelques mois auparavant. Elle reçoit même son image sur son téléviseur. A des centaines de kilomètres de là, la fille de Madame Simonet reçoit souvent, par télépathie, la voix de ce même Axel, son fils… Les messages se complètent, se confirment… Baird T. SPALDING, La vie des Maîtres, Editions J’ai lu, collection aventure secrète, 2002. Le 22 décembre 1894, onze scientifiques se réunissent à Potal, petit village de l’Inde. Sceptiques par nature, ils n’acceptent aucune vérité a priori, mais certains phénomènes religieux les intriguent. Et ils décident de vérifier de leurs yeux les prodiges accomplis par les Maîtres orientaux. Car de l’Inde au Népal, au Tibet et à la Perse, il existe des hommes aux facultés étonnantes qui communiquent à distance, voyagent par lévitation,

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guérissent les infirmes. Les savants découvrent, peu à peu fascinés, des principes inconnus : chaque Maître a quitté son enveloppe mortelle pour retrouver, grâce à l’Amour que Dieu lui insuffle, son Moi profond, intemporel, éternel. Itinéraire spirituel autant que matériel, que suit à son tour l’un de ces témoins. Patrice VAN EERSEL, La source noire (révélations aux portes de la mort), Editions Le livre de poche, 1989. L’auteur est né en 1949. Il est journaliste. La source noire est un livre qui fait découvrir au lecteur que la mort cacherait une clarté à l’éblouissante beauté, pleine de vie, pourrait-on dire. James VAN PRAAGH, Dialogues avec l’au-delà (les preuves d’une vie après la mort), Editions J’ai lu, collection aventure secrète, 2004. James van Praagh jouit d’une faculté hors du commun : il parvient à communiquer avec les morts. Au cours de ses consultations, il reçoit des hommes et des femmes qui ont perdu un être cher ; avec beaucoup d’humilité, il transmet les communications qu’il reçoit par médiumnité. Erich VON DANIKEN, Le livre des apparitions, Editions J’ai lu, 1980. Spécialiste des problèmes du surnaturel, Erich Von Däniken, au long d’un voyage de dix ans, s’est arrêté en des milliers de lieux d’apparitions. Il a interrogé et s’est interrogé… Neale Donald WALSCH, Conversations avec Dieu, tome 1, Editions J’ai lu, collection aventure secrète, 2003. Neale Donald Walsch approche la cinquantaine et fait le bilan de sa vie : il vient de perdre son travail, ses quatre mariages se sont soldés par des échecs et sa santé est défaillante. Pris de colère, il écrit une lettre pleine de doutes à Dieu. Et là, le miracle se produit ! " Dieu " lui répond de façon claire et compréhensible. Un entretien qui durera plusieurs années… Conversations avec Dieu est le premier tome d’une série de trois livres dont le succès a eu un retentissement mondial. Sarah WILSON ESTEP, La communication avec les morts, Editions du Rocher, 1994. Depuis douze ans, Sarah Wilson Estep explore l’au-delà. Armée d’un magnétophone, elle interroge les entités susceptibles de l’entendre dans l’autre monde. Elle partage ici avec nous leurs messages relatifs à la mort et l’expérience de mourir, la vraie nature de l’au-delà, la prémonition et la voyance, la réincarnation, les mondes autres que celui que nous connaissons, y compris l’origine des ovnis. Sites internet. http://perso.wanadoo.fr/ciel-a-la-terre/index.html C'est en 1984 que Monique Matthieu est devenue canal après avoir été choisie en fonction de critères très spéciaux tels son refus d'un trop grand intellectualisme, son intégrité morale, sa grande neutralité religieuse. Il faut entendre par canal quelqu'un qui peut établir un contact paranormal avec une entité existant hors de notre réalité de la 3e dimension. Monique est aussi depuis son plus jeune âge un médium doué de capacités de psychométrie et de voyance (elle a subi une préparation spéciale par des Entités spirituelles). En channeling, elle entre en relation avec des plans très élevés ou se trouvent les Etres de Lumière, et dans cet état, elle peut transmettre un Enseignement spirituel et philosophique qui s'adresse à l'humanité. Les Entités spirituelles ou Etres de Lumière disent d'elle : « Si nous avons choisi ce canal, c'est pour qu'elle ouvre les cœurs, pour qu'elle fasse prendre conscience à ses frères de la Terre de ce qu'ils sont réellement,

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pour leur faire prendre conscience de leur partie divine, de leur réalité sur le plan cosmique. » Devant l'importance considérable de l'enseignement reçu une association s'est constituée afin de pouvoir diffuser. A l'heure où la planète se déchire, où les valeurs politiques, religieuses et morales tombent les unes après les autres, il est réconfortant de savoir qu'autour de nous, auprès de nous existent des êtres merveilleux prêts à nous aider, à nous soutenir dans nos épreuves. Mais ne croyez pas qu'il suffit de s'ouvrir à eux et de se laisser guider, ce n'est pas aussi simple que cela pour nous humains. Beaucoup de voiles devront se déchirer, beaucoup de croyances devront être abandonnées, beaucoup de doutes devront se surmonter et de peurs être éradiquées. C'est un long travail intérieur de chaque instant avant de pouvoir spiritualiser notre vie matérielle. Chacun a son propre cheminement. Mille sentiers mènent au sommet de la montagne, vers la lumière. Les Etres de Lumière par leur enseignement répété sans cesse avec Amour, nous montrent une voie à parcourir. Grâce à Eux les portes de la Connaissance et de la Sagesse s'entrouvrent, et l'on s'aperçoit avec émerveillement que TOUT, enfin ce que notre conscience actuelle peut assimiler, prend place au sein d'un plan gigantesque et qu'il faut absolument reprendre contact avec la partie invisible de la vie, avec Dieu. Chaque séance est enregistrée puis transcrite ; vous trouverez ci après des extraits de ces entretiens. Libre à vous de venir nous rejoindre pour nous aider à diffuser cet Amour qui nous, qui vous est donné si généreusement. Il faut savoir que Monique sert d'intermédiaire à un véritable dialogue qui s'instaure entre les participants et les Etres de Lumière. Plus d'une dizaine de questions sont posées chaque fois sur les sujets les plus variés. Certaines d'entre elles nécessitent de longues réponses. Ce questionnement joue un double rôle : présenter l'enseignement sous une autre forme et transmettre des énergies par la vibration des mots et par la faculté du canal. (Message sur la page d'accueil du site). http://lapressegalactique.net/: Véritable mine de renseignements et d’enseignements spirituels, ce site très bien fait, alimenté quotidiennement, vous élargira les horizons de l’Invisible. Groupes facebook

- Au-delà, que se passe-t-il après la mort : ce groupe que nous gérons ne cesse de grandir et compte à ce jour plus de 6000 membres. Vous y découvrirez des témoignages d’expérienceurs EMI, des récits de personnes ayant reçu des signes de l’au-delà, bref des réponses à toutes les questions que vous pourriez vous poser au sujet de la survivance de l’esprit après la mort.

- Voyage dans l’invisible : un groupe Facebook complémentaire à cet ouvrage qui aborde tous les sujets ayant trait à l’Invisible, à l’ »inexpliqué », ainsi que des thèmes variés comme le développement personnel, la spiritualité, etc..

- Animal mon ami, qui es-tu vraiment ? : Un groupe convivial et positif dans lequel Vincent qui est communicateur animalier répond aux questions concernant vos animaux (leur plan de vie, leurs comportements, leurs maladies, leur sixième sens, l’au-delà des animaux, les signes des animaux décédés, etc, etc) REMARQUE : à paraître prochainement notre dernier ouvrage « Animal mon ami, qui es-tu vraiment ? (reprenant les mêmes thèmes et émaillé de nombreuses communications réalisées par Vincent avec des animaux vivants ou décédés)

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Notes personnelles