N°4

Mot du Président

J’espère tout d’abord que la pause estivale vous aura permis de vous ressourcer.

Cette période fut malheureusement assombrie par la disparition du professeur Denis DUBOURDIEU du groupe des Ingénieurs Vignerons d’Aquitaine (IVA) et de François MARTIN, l’un de nos anciens présidents.

Jean Claude DERANLOT et Jacques LAGREZE, quant à eux, nous ont proposé deux belles activités avec la découverte du bassin à flots et de la chocolaterie CADIOT BADIE.

L’été a également été l’occasion de réaménager une partie de nos locaux, rue Judaïque, pour pouvoir vous y accueillir dans de meilleures conditions.

La rentrée de notre association s’annonce chargée :

• Le pôle Carrière a repris ses activités hebdomadaires.• Nous avons été présents aux Journées régionales de l’économie le 19 septembre et au salon Cap Association de Bordeaux le 25 septembre. • Vous pourrez visiter la plus grande centrale solaire à Cestas.• Le bureau et le CA tiendront leurs réunions et l’équipe de préparation du Congrès va monter en pression à l’approche de l’événement.• En octobre, nous remettrons les diplômes à la nouvelle promotion 2016 du Bilan d’orientation (BO), le 5, et nous accueillerons le Congrès des régions IESF du 13 au 16.

En interne, le pôle Communication se renforce et va élaborer notre stratégie de communication. Le Conseil d’administration va travailler sur le projet de l’URISA pour les prochaines années. La saison PMIS se prépare. Nous continuons ainsi, en cohérence avec mes précédentes annonces, à construire le futur de notre association.

Vous êtes toujours les bienvenus dans cette aventure pour une contribution à la hauteur de vos disponibilités.N’hésitez pas à me contacter pour plus de précisions.

Philippe Delavier,Président de l’URISA

Sept 2016

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Du nouveau au 99 rue Judaïque !

Vous êtes membres de l’URISA, vous êtes sur Bordeaux et vous avez un moment entre deux rendez-vous. Vous voulez rencontrer un autre membre. Pourquoi ne pas passer à l’URISA ?

Cet été, nous avons réaménagé la salle 3 en un espace convivial où vous pourrez consulter quelques magazines, les revues des associations d’anciens et des documents de références.

Deux ordinateurs sont à votre disposition pour consulter internet.

Les salles 1 et 2 ont fait l’objet d’un rangement pour plus de clarté.

Venez profiter de votre maison. Gaëlle sera heureuse de vous y accueillir.

Philippe Delavier,Président de l’URISA

Salle 1 Salle 2

Coin détente Coin informatique

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L’ENQUÊTE IESF 2016 est parue.

Fin juin, IESF a publié les résultats de sa 27e enquête annuelle de référence sur les ingénieurs. Si vous y avez répondu, vous l’avez reçue dans son intégralité. Dans le cas contraire, n’hésitez pas à la consulter dans son intégralité à l’URISA et surtout répondez début 2017 à la prochaine pour en tirer le plus grand profit. Et pour vous donner envie, en voici le préambule ainsi que le sommaire.

Une profonde transformation se confirme Des mutations s’opèrent dans la communauté professionnelle des ingénieurs et l’enquête 2016 montre que cette transformation s’amplifie :– Si l’innovation a toujours été la caractéristique propre des ingénieurs, inventeurs, concepteurs et réalisateurs du progrès, elle se double désormais d’une volonté affirmée d’entreprendre. Les jeunes ingénieurs y sont de mieux en mieux préparés, mieux accompagnés et s’y engagent très nettement.26 % des moins de trente ans estiment avoir été bien préparés et la moitié d’entre eux l’envisagent.

– Le modèle classique du salariat évolue, on voit apparaitre de plus en plus d’ingénieurs non-salariés dans une nébuleuse complexe et variée, ceci concerne plus de 80 000 ingénieurs.

– La sphère de compétence des entreprises, centrée sur leur cœur de métier où exerce la grande majorité des ingénieurs, s’appuie de plus en plus sur des services extérieurs qui vont les aider à conduire les grandes transformations qui s’imposent, celles du numérique en particulier. Un grand nombre d’ingénieurs vont vers ces métiers, l’activité de conseil se développe considérablement, plus de 20 000 ingénieurs la pratiquent en indépendant.

– L’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle est de plus en plus inscrit dans la réalisation de soi et l’usage des nouvelles technologies dans l’organisation du travail y contribue.

– Les ingénieurs sont de plus en plus sensibles aux enjeux de société, aux responsabilitéssociales et environnementales. Ils montrent une volonté d’engagement importante dans le monde associatif et même dans le monde politique, puisque 38 % d’entre eux ont une activité associative et 6 % ont un mandat syndical ou politique.

Néanmoins, certaines caractéristiques fondamentales de la profession restent largement vérifiées :

– Le taux de chômage est très faible, la situation est proche du plein emploi même si elle se fragilise au-delà de 50 ans.

– Les jeunes diplômés s’insèrent très rapidement dans le monde du travail, aussi aisément en France qu’à l’étranger où exercent 124 000 ingénieurs soit 1 sur 6.

– Les rémunérations sont nettement supérieures à celle des cadres français et présentent un large éventail reflétant la diversité des responsabilités exercées par les ingénieurs.

– Les ingénieurs expriment une grande satisfaction professionnelle, ils savent jouer un rôle important dans l’évolution économique et sociale de la société, ils en font leur motivation principale.

Nous espérons que cette étude vous apportera, au travers du témoignage des 55 000 ingénieurs qui ont bien voulu y participer, une meilleure compréhension de cette profession et de sa dynamique.

Gérard DuwatObservatoire des ingénieursIngénieurs et Scientifiques de France

Vie des pôles

Du nouveau au sein du pôle Communication

Nous accueillons Julien Amar au sein du pôle Communication de l’URISA. Il vient renforcer l’équipe en apportant sa compétence en matière de réseaux sociaux. Son rôle sera désormais de relayer les nombreuses actions menées par les différents pôles et par notre association en général. Objectif : contribuer au développement de l’image de l’URISA, auprès des non-adhérents notamment.Julien est issu des Arts et Métiers. Il a une longue expérience dans le domaine de la QSE (qualité sécurité environne-ment) dans un très grand groupe de transport international. Il est actuellement dans une phase de repositionnement professionnel.

6è remise des diplômes du Bilan d’Orientation

Philippe DELAVIER, Président de l’URISA

etJean-François RAMSAMY, Responsable du Pôle Carrières de l’URISA

vous invitent à la 6è REMISE DES DIPLÔMES du Bilan d’Orientation,

le mercredi 5 octobre 2016, à 18h30 dans les locaux de l’URISA.

Inscription gratuite auprès du secrétariat : urisa@urisa.fr

Qu’est-ce que le bilan d’orientation ? Le BO (Bilan d’Orientation) a été conçu pour permettre à des cadres en repositionnement professionnel de définir leur projet pouvant aller jusqu’à la création d’entreprise.L’expérience des années passées a démontré que le questionnement pouvait s’étendre aux problèmes d’orientation en cours de carrière, y compris pour les salariés en activité dans l’entreprise. Comment bâtir un projet professionnel compatible avec mes valeurs et motivations, mes goûts, mes compétences…..Venez rencontrer et découvrir ces compétences. Ils sont prêts à s’investir dans la vie profession-nelle. Vous y rencontrerez peut-être votre futur collaborateur.

INVITATION

URISA - 99, rue Judaïque - 33000 Bordeaux - www.urisa.fr - urisa@urisa.fr

Le biLan d’orientation

de l’uris aquitaine

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Congrès des Régions IESF

Chers Adhérents,

Nous avons l’honneur d’organiser le congrès IESF des Régions, qui se déroulera à Bordeaux, du 13 au 16 octobre 2016.

Lors de ce congrès, il y a aura plusieurs types d’événements :

• Des travaux des participants pour lesquels certains URISIENS peuvent contribuer : nous vous solliciterons en direct pour cela.

• Des ACTIVITÉS pour les accompagnants pilotées par Jean Claude DERANLOT et pour lesquelles les URISIENS peuvent participer : c’est un moment d’échange et aussi de DÉCOUVERTE ou de redécouverte de BORDEAUX ET SA RÉGION.

• Des RÉCEPTIONS à la Mairie et à l’Hôtel de Région.

Vous avez reçu une invitation pour participer aux événements internes au congrès :

- Jeudi 13 octobre : o Après-midi, visite de l’École Supérieure de Cognitique de Bordeaux o Réception à la Région en soirée

- Vendredi 14 octobre : o Conférence sur l’Histoire de Bordeaux en début de matinée o Visite de Bordeaux en car en milieu de matinée o Réception à la Mairie en soirée o Dîner au « Café du Port »

- Samedi 15 octobre : o Visite de la Cité du Vin dans l’après-midi, o dîner au « Café Maritime »

- Dimanche 16 octobre : sortie touristique au Cap Ferret

PENSEZ DONC À VOUS INSCRIRE RAPIDEMENT !

Philippe Delavier,Président URISA

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Visites et conférences

Visite de la Chocolaterie CADIOT-BADIE, atelier de Pessac

Nous étions vingt ce vendredi 9 septembre 2016 à 14 h 30 à nous retrouver comme prévu à l’accueil de l’établissement CADIOT-BADIE de Pessac, dans un espace dédié à la présen-tation des produits, un espace intégré au cœur même de la structure. Nous avons rapidement été coiffés d’une char-lotte blanche sanitaire afin de respecter les règles d’hygiène en vigueur eu sein de l’entreprise.Une intervention du chef d’atelier de production nous a per-mis de situer la chocolaterie dans son environnement.Il nous a expliqué la récupération des fèves de cacao par cassage de la cabosse. La fabrication de Cadiot-Badie com-mence dès lors que les fèves sont choisies et qu’elles sont conformes aux saveurs intenses et exceptionnelles impo-sées par la Maison. Car la tradition de Cadiot-Badie est de garantir des produits d’une qualité irréprochable et d’un goût inimitable.

L’art du chocolat y est mis à l’épreuve et y est pratiqué avec passion :

Passion d’accueillir et de recevoir avec fierté des visiteurs, Passion de présenter et d’expliquer sa propre activité, ses gestes,Passion de travailler dans un milieu noble plus artisanal qu’industriel.

Nous avons ensuite dégusté, parmi les 80 variétés fabriquées, des choco-lats représentatifs tels que le diamant noir, une ganache aux raisins macé-rés à la fine de Bordeaux.Et chacun enfin, de se précipiter vers l’espace de vente, guidé par des conseillers dans le choix des produits.

En conclusion de ce compte-rendu, j’insisterais encore sur la qualité d’ac-cueil et d’organisation de cette visite et sur les différentes opportunités de découvertes qu’elle a suscitées.Elle a été, pour chacun d’entre nous, très riche en culture produit et en culture entreprise ! Merci à tous ceux qui ont contribué ainsi à sa réussite !

Jacques LAGREZEPrésident du Groupe Régional Aquitain Ain7

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Visites et conférences

Histoire des Bassins à flot et du Quartier Bacalan, une journée pour s’approprier le quartier

Des traces de l’architecture, industrielle ou sociale, classique ou moderne, racontent l’histoire du « village Bacalan », quartier à forte personnalité qu’une floraison de constructions est en train de faire basculer dans une ère nouvelle. L’avenir ne pouvant se construire en ignorant le passé, et alors qu’une nouvelle population prend possession des lieux, il est nécessaire d’évoquer l’âme de Bacalan et ses anciennes activités. Le samedi 27 août, des habitants du quartier et des passionnés de l’histoire de Bordeaux se sont retrouvés à la Maison du projet des bassins à flot pour la conférence de Jean-Claude Déranlot « histoire des Bassins à flot et du quartier Bacalan ». Comme pour les cinq précédentes, des Urisiens étaient au rendez-vous.

Métamorphose ou la collision des siècles. La façade des Vivres de la Marine attend une nouvelle jeunesse, l’imposant bâtiment blanc rend impossible l’oubli de la raffinerie de sucre et le toit des nouveaux immeubles veut rappeler la présence des usines et le surnom de « rue bleue » pour la rue Achard.

Merci à Georges Gili de « l’Association pour la mémoire des martyrs de l’aéronautique », qui a évoqué le passé aéronautique de Bacalan et diffusé une documentation fort appréciée. C’est un beau thème pour une prochaine conférence.

Après un déjeuner sur la péniche « Bistro Régent » qui offre une vue panoramique sur les bassins à flot, le groupe s’est déplacé vers le pont du pertuis et le chantier naval de l’ARPEJe (Accompagnement et Recherche Psycho socio Éducatif pour les Jeunes).

De retour à la Maison du projet, Marc Barbezat a fait une présentation des constructions actuelles et futures. Au fond de la salle, des débris récupérés sur les chantiers témoignent de l’activité de la faïencerie Vieillard. Ceux qui ont eu le courage d’affronter les effets de la canicule se sont engagés ensuite dans une marche qui les a conduits jusqu’à l’entrée du personnel de la raffinerie de sucre St Rémi, dernière activité industrielle disparue en 1984. Sur le chemin, une heureuse surprise pour les promeneurs : rue Achard, un permis de construire annonce – enfin – la restauration du pavillon Richelieu. Coïncidence, le même jour, Sud Ouest présente l’ambitieux projet de l’I. Boat. Quelques jours plus tard, le même journal publiera les objections de l’AUBAF (Association des Usagers des Bassins à Flot).

Rue Achard, à l’angle de la rue de New-York, l’inscription « poste de police » est encore visible au-dessus de la porte

de ce bâtiment désaffecté. Nombreux sont les habitants qui réclament

une présence policière plus forte…

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Comme il n’est pas possible de résumer en peu de mots toute l’histoire des bassins et du quartier Bacalan, nous nous contenterons d’évoquer ici quelques faits marquants. Le quartier Bacalan n’a pu se développer qu’après l’asséchement des marais, la palu ; pour ces travaux il est fait appel à un Hollandais Conrad Gaussen. Pourquoi Bacalan ? Aucun rapport avec la pêche à la morue, le nom serait celui d’une famille propriétaire. Le « chemin du Roi », conduisait en face de Lormont où des passeurs assuraient des traversées régulières et pas toujours très sûres. En séparant la navigation fluviale de la navigation maritime, la construction du pont de pierre est un bouleversement pour la vie de la zone. De nombreuses activités vont ainsi prospérer en aval du pont, sur les deux rives.

Le moulin Teynac, utilisait la force des marées pour faire tourner ses meules. L’envasement rapide des bassins a conduit à un échec. La faïencerie s’installera sur les lieux et connaîtra elle-même, pour d’autres raisons, un arrêt de sa production. Après les forges de Fumel (47), le nom de Dyle & Bacalan sera associé au quartier, connu aussi pour ses huileries.

Parmi les bâtiments marquants, il y a les Magasins des vivres de la Marine détruits par un incendie en 1919 (les archives du port y disparaissent à jamais), les bains douches et la crèche de la place Buscaillet. Jaques D’Welles, chef de service de la ville sera très impliqué dans ce projet confié à l’architecte Pierre Ferret. Jacques d’Welles, est un des membres fondateurs de l’URIA, qui deviendra l’URISA. Bacalan possède aussi de nombreuses échoppes (plus de 600).

Au XIXe siècle, le développement du commerce impose la construction d’un bassin à flot. Au cours de la deuxième guerre mondiale les Italiens, puis les Allemands, prennent possession des lieux, comme en témoigne l’imposante présence de la base sous-marine. Les bassins à flot, c’est aussi le projet du canal de Grattequina, abandonné seulement dans les années 1960. Pendant des années les terre-neuvas, comme les usines, ont marqué l’histoire et la personnalité de Bacalan. Le fleuve est inséparable de Bordeaux dont le premier port abrité se trouvait vers l’emplacement actuel de la place Saint-Pierre. Si la construction d’un bassin à flot à Bordeaux est tardive – les ports concurrents en possédaient déjà – les écluses sont une véritable prouesse technique que les curieux ne manqueront pas de découvrir plus en détail dans les annales de l’École des Ponts et Chaussées de l’époque. Seules les portes situées « à l’intérieur » étaient commandées par des vérins hydrauliques. Leur mouvement était transmis aux porte « extérieures » par des chaînes, qui devaient avoir une tension constante, suffisamment de résistance et ne pas gêner la navigation dans les sas.

Le deuxième bassin sera ouvert en 1912 (fin des travaux en 1911).

La photo ci-contre montre le grand sas à sec, à l’occasion des travaux de remise en état.

Un spectacle très rare qui permet de découvrir beau-coup de secrets de ce lieu magique.

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La remise en service de la grande forme de radoub ne peut que réjouir les nostalgiques des construc-tions navales.

Le bateau-porte laisse découvrir la grande forme, la plus ancienne, dans toute sa longueur. La barge Breuil (transport fluvial de l’A380) a été la première à bénéficier de la remise en service de la forme de radoub.

Pour en savoir plus, à bientôt pour la prochaine journée-visite qui sera à nouveau programmée en 2017. Cette journée était organisée par le Club HEPAT (Histoire et Patrimoine, Arts et Techniques), jeune association née en 2016. C’est un club, avec un « C » comme Convivialité.

Une conférence « Bordeaux-Lac, une histoire qui commence avant le lac » est en préparation.Pour être régulièrement informé par courriel des activités futures, il suffit de communiquer votre adresse électronique à clubhepat@gmail.com

Jean-Claude DERANLOTAdministrateur URISA

Adhérents

Bienvenue aux nouveaux adhérents :

- Caroline LANCIEN,- Elliot LE GUILVOULT,- Sébastien SOULERE

Emploi

L’URISA accompagne ses adhérents

L’une des missions de l’URISA est d’accompagner ses adhérents à la recherche de nouvelles opportunités professionnelles.

Bravo à ceux qui ont retrouvé un emploi depuis la rentrée 2016 :- Sylvain BEAUBIAC,- Sandra COLLOMB,- Noémie PICARD

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Atelier Intergroupe URISA

Témoignage...

Sandra, comment as-tu connu l’URISA?C’est Yvette Lagrèze , épouse de Jacques Lagrèze qui m’a parlé de l’URISA pendant une partie de golf. C’était en 2013, nous venions d’arriver sur Bordeaux. Elle m’a expliqué que l’URISA pourrait m’aider dans mes recherches.J’ai alors fait la réunion d’accueil avec Judicaël Garassus. Il m’a présenté en détail l’URISA, son organisation et ses activités. Mais je n’ai pas donné suite car je n’étais pas totalement prête. Je pensais que ce serait facile de retrouver un emploi mais j’avais aussi l’envie de reprendre mes études.

Quel est ton parcours et quelle était ta situation professionnelle ?J’ai environ 16 ans d’expérience en SI bancaire en tant que prestataire dans un organisme financier sur Paris. Entre 1997 à 2013, j’ai évolué de technicienne support vers un poste de responsable de gestion de parc (4500 poste répartis sur l’ensemble du territoire). Sur cette même période, j’ai participé à différents projet en tant qu’assistante pour des projets de migration ou de renouvellement de parc informatique puis je suis passée chef de projet sur des projets du même périmètre. J’ai aussi travaillé sur la mise en place d’une démarche ITIL et la mutualisation de l’informatique suite à l’intégration d’une autre entité.

Quel était ton projet professionnel ?En arrivant sur Bordeaux, je recherchais un poste de chef de projet plutôt orienté AMOA. Sans succès. Je pense que cela venait de mon manque de qualification : un bac +3 en commerce. J’avais déjà l’idée depuis longtemps de compléter mon cursus par une formation diplômante. C’est dans cet état d’esprit que je me suis inscrite à l’ESTIA en partenariat avec l’IAE de Bordeaux pour effectuer un master 2 en gestion de projet, organisation et logistique. Je voulais faire une formation qui me permette d’élargir mes champs de compétences et pou-voir répondre aux besoins de tous les secteurs d’activités du département (industriel ou tertiaire). Pendant mon stage en alternance, je découvre l’univers de l’industrie. Fin septembre 2015, une ESN me propose une mission pour laquelle il faut des connaissances ITIL chez un industriel pharmaceutique.

Qu’est-ce que l’URISA t’a apporté?En janvier 2016, l’ESN met fin à la période d’essai suite à des soucis d’organisation interne. C’est en février que je m’inscris à l’URISA, un peu découragée. Avec le 1er atelier sur le bilan professionnel, Alain Bouthors nous aide à définir nos points forts au-delà de nos expériences professionnelles. En groupe, on recherche et définit nos réalisations probantes. C’est très efficace pour reprendre confiance puis construire notre projet. On s’entraine et s’entraide à faire des présentations en fonction des circonstances.Dans l’Intergroupe, on refait systématiquement une présentation. On apprend à chasser les mots négatifs. On échange sur des points précis en fonction des besoins de chacun : préparer un entretien d’embauche, définir ses cibles, développer son réseau, revoir son cv…On nous donne des pistes, des objectifs et beaucoup de conseils. On apprend aussi beaucoup des expériences des autres. Par exemple, j’étais très réservée sur le fait de relancer des contacts ou des recruteurs. Une participante nous a expliqué que cela fonctionnait vraiment. Aujourd’hui, je peux le confirmer à mon tour ! J’ai suivi ses conseils et c’est comme ça que je suis tombée au bon moment. Début août, je recontacte un business manager qui venait de recevoir un besoin en urgence pour un remplacement. J’ai passé un entretien le jeudi pour commencer le lundi suivant. Sur place, j’ai appris qu’il y avait une ouverture de poste. Je me suis positionnée. Je suis aujourd’hui chef de projet en organisation et SI dans cette entreprise.

Pourquoi recommanderais tu l’URISA ?C’est avec plaisir et surtout conviction que je recommande l’URISA. Depuis mon inscription, mes recherches ont été plus efficaces. Après chaque séance, on ressort re-boosté car parfois, j’étais vraiment découragée. Mon entourage a aussi perçu la différence. L’exercice de la présentation systématique m’a été très utile pour mes entretiens. J’ai bien senti la différence. Et j’ai eu des retours positifs de la part de mes interlocuteurs, même si cela n’a pas été concluant, c’est appréciable. La pertinence, l’objectivité et la connaissance du tissu local des intervenants permettent d’ouvrir des pistes et des orientations auxquelles on ne penserait pas seul.

Sandra Collomb,Adhérente URISA

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Club Entrepreunariat URISA

Témoignage...

Noémie Picard, Adhérente URISA 11

Salon Associatif

CAP ASSOCIATION...

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Comme chaque année, l’URISA a participé au salon Cap Association de Bordeaux.

Nos bénévoles, sous la houlette de Jacques LAGREZE ont su donner de leur temps pour présenter et représenter l’URISA.

Le journal Sud Ouest ne s’y est pas trompé en immortalisant Judicaël GARASSUS et Olivier MARTY en pleine action !

Autre moment avec Marie-Thérèse NUYTS notre présidente d’honneur et Olivier MARTY.

Merci à tous ceux qui ont donné de leur temps pour la promotion de l’URISA !