Paul Gaunce Président

832-4756

Richard Vanoord Vice-president

461-8281

Denis Cyr Nord-ouest

445-3103

Fons De Jong Woodstock

375-4049

Nick Duivenvoorden Directeur itiérant

237-2087

Reint-Jan Dykstra Moncton

372-4685

Peter Kaye Directeur itinerant

546-3914

Gerald Daley Nord-est

463-8357

Robert Woods Sussex

832-5888

Conseil d’administration

le 15 juillet, 2017

Prix moyen: En juin 2017 un hecto-litre de lait contenant 4,0427kg l’hl de M.G., 3,2515 kg l’hl de PT et 5,7117 kg l’hl de LAS a rapporté 76,63$ / hl ou 18,96$ / kg M.G. pour le lait

Date limite de la bourse des quotas 16h00 mardi, le 1 aout, 2017

Veuillez envoyer vos futures mises ou offres à quota@nbmilk.org

Date limite de la bourse des crédits 16h00 jeudi, le 20 juillet 2017

SVP soumettre leur offre sur le portail PLNB — www.nbmilk.org

Journées de production 2017 Juillet—1 jour

Août 2017—2 jours Septembre 2017—3 jours

Octobre 2017—3 jours Novembre 2017—2 jours

Recevez votre information par courriel au lieu de par la poste

Fournissez nous votre courriel pour de-meurer au courant des nouvelles de l’industrie. Si vous voulez arrêter de recevoir vos documents par la poste, tel votre relevé du producteur, les bulletins, etc., envoyer nous un courriel à nbmilk@nbmilk.org.

C.P. 5034, Sussex, N.-B. E4E 5L2 Téléphone: (506) 432-4330 télécopieur: (506) 432-4333 courriel: nbmilk@nbmilk.org

Augmentation 5% du quota négociable Les conseils d’administrations des offices provinciaux de P5 ont approuvé une augmentation de 5% du quota négociable à compter du 1er juillet 2017. Journées additionnelles – lait régulier et biologique: Il n’y a aucun changement aux jour-nées additionnelles. La demande du marché: Cette décision vise à assurer que la production de lait de P5 comble la demande, sachant que les inventaires de beurre n’ont pas atteint le niveau-cible révisé de 35 000 tonnes. La demande pour les produits laitiers continue d’être forte alors que la capacité de transformation s’est accrue depuis le début du mois d’avril mais continue d’être surveillée de près. Évolution de la demande totale en lait de trasformation depuis février 2016 (en M de kg de MG)

Pour les derniers 12 mois, les ventes au détail sont en augmentation importante pour presque tous les produits laitiers, sauf le lait de consommation.

Programme proAction® : information sur la traçabilité

Le module Traçabilité de proAction® exige que les agriculteurs consignent dans des rapports les données liées aux naissances, aux animaux qui arrivent sur la ferme, à l’élimination des ani-maux sur la ferme et aux exportations (retrait de l’étiquette). À l’heure actuelle, les agriculteurs à l’extérieur du Québec peuvent inscrire leurs données dans le Système canadien de traçabilité du bétail (Canadian Livestock Tracking System ou CLTS) uniquement par Internet ou un autre moyen électronique (au moyen de l’application MOBO, directement dans un compte Web ou en téléchargeant un document vers un compte Web). Pour diverses raisons, les agriculteurs du Canada n’utilisent pas tous Internet. PLC a donc décidé d’ajuster provisoirement la validation des exigences en matière de rapports pour tous les agri-culteurs jusqu’à ce qu’un autre moyen de faire rapport soit offert. Les agriculteurs sont quand même fortement encouragés à communiquer leurs données de tra-çabilité. Les validateurs de ProAction® continueront à demander aux agriculteurs s’ils font rap-port de leurs données et, si c’est le cas, de quelle manière ils le font. Les agriculteurs qui font rapport correctement recevront une note pour la conformité, et les agriculteurs qui ne font pas rapport correctement ou pas rapport du tout recevront la note ‘Sans objet’ et pourront quand même obtenir l’accréditation proAction®. Veuillez noter que cette situation est temporaire. PLC et les associations provinciales infor-meront les agriculteurs dès que la situation changera et que les exigences en matière de rapports deviendront obligatoires. Site Web du CLTS (pour faire rapport) : www.clia.livestockid.ca Identification nationale des bovins laitiers (pour commander des étiquettes) : www.inbl.org Site Web du programme proAction® : www.dairyfarmers.ca/proaction

Prix des crédits de juin 2017— 3,00$/ kilogram 7762 kgs des 7990 kgs demandé au prix de vente ou au dessus ont été acheté.

Une boîte à l’état de compte démontre le nombre de jours de crédits qu’un producteur a de disponible avant qu’il excéde sa limite de 150 jours. Soumettez vos offre à la bourse de crédit sur le portail au www.nbmilk.org

Le portail offre les caractéristiques suivantes : Une estimation de la production pour la période en cours basée sur le lait ramassé et traité jusqu’à présent; La capacité d’établir une estimation personnalisée de la production basée sur le volume d’expédition attendu ou le pourcentage de matière grasse pour la période en cours; La possibilité de présenter et de gérer des offres à la bourse de crédits pen-

dant que la bourse de crédits est ouverte; Les données de production par mois depuis août 2004.

Les formulaires peuvent être téléchargés sur le site Web de Producteurs laitiers du Nouveau-Brunswick: https://www.nbmilk.org/fr/pour-les-producteurs/formulaires-a-telecharger

Nouvelle adresse de courriel pour présenter des mises et offres à la bourse de quotas : quota@nbmilk.org

Producteurs laitiers du Nouveau-Brunswick a créé une nouvelle adresse de courriel pour la présentation de mises et d’offres à la bourse de quotas : quota@nbmilk.org – pour éviter que des mises ou offres soient envoyées à différents membres du personnel. Veuillez envoyer vos futures mises ou offres à quota@nbmilk.org SEULEMENT.

Vous pouvez présenter des mises et offres à la bourse de crédits en passant par le portail en ligne de PLNB. Veuillez vous connecter sur www.nbmilk.org pour :

• Avoir une estimation de la production pour la période en cours basée sur les ramassages entrés dans le système jusqu’à présent.

• Effectuer une estimation personnalisée de la production basée sur le volume expédié ou le pourcentage de matière grasse auquel vous vous attendez pour la période en cours.

• Présenter et gérer des mises ou offres à la bourse de crédits durant l’ouverture de la bourse. • Voir les données de production par mois depuis août 2004.

Vérifier le temps de refroidissement de votre réservoir du lait Tous les producteurs doivent garder un œil vigilant sur leur équipement pour s'assurer que le lait est refroidis rapidement et aussi que le lait demeure à la température appropriée au cours des journées chaudes. Le programme Salubrité des aliments, section 6.1, fournit les points de référence utiles suivants : Limite critique: La température du réservoir. La première traite doit être refroidi à 10° C ou moins dans l'heure et à une température supérieure à 0° C et inférieur à ou égal à 4° C dans les deux heures après la traite et maintenus à cette température. Lors des traites subséquentes déposées dans le réservoir, la température du mélange ne doit pas monter au-dessus de 10° C pendant plus de 15 minutes consécutives, et le lait doit être refroidi à une température supérieure à 0° C et inférieur à ou égal à 4° C en moins d'une heure après la traite et maintenus à cette température. Notez qu’au N.-B. le règlement dicte que la température ne doit jamais excéder 10 dégré Celsius. Pour toute préoccupation reliée au ramassage de votre lait, veuillez communiquer avec : Eagle Tranportation – 506-432-9128, poste 287 - (cell) 506-433-0421 R.F. Mason Ltd. – 506-433-2049 - (cell) 506-434-4486 Veronica McEwen – (bureau de PLNB) 506-432-4330 - (cell) 506-432-0092

Arrêté sur les politiques de la bourse de crédits (2017-03) Le conseil a approuvé une modification à la bourse de crédits de PLNB, qui entrera en vigueur le 1er août 2017. La limite de transaction de 150 fois le quota quotidien au cours d’une période de 24 mois sera remplacée par une limite de transaction fondée sur le quota quotidien et la posi-tion de crédit indiqués sur l’état de compte du producteur dans le mois précédant la bourse de crédits. Les Acheteurs seront ceux avec des crédits entre –10 et +10,

Les Vendeurs seront ceux avec des crédits entre –10 et –30 La Limite mensuel de transfert de crédits sera le moindre de :

8 fois le Quota Quotidien (mois précédant la bourse de crédits), ou Les kgs de crédits nécessaire pour ajuster la position de crédits (du mois précédent

la bourse) à -10 fois le Quota Quotidien (mois précédent la bourse de crédits).

RÈGLEMENT 2010-19 pris en vertu de la Loi sur les produits naturels http://laws.gnb.ca/fr/showdoc/cr/2010-19/ga:s_45;ga:s_49 Plans de construction, d’agrandissement, de modification, d’installation ou de remplacement 50(1)Les plans de construction, d’agrandissement ou de modification d’une ferme laitière, y compris l’étable laitière, la salle de traite ou la laiterie, sont soumis à l’approbation de la Com-mission ou de l’inspecteur avant le début des travaux. 50(2)Les plans d’installation ou de remplacement d’une citerne fixe sont soumis à l’approba-tion de la Commission ou de l’inspecteur avant le début des travaux. 50(3)Les plans d’installation de systèmes de traite automatisés sont soumis à l’approbation de la Commission ou de l’inspecteur avant le début des travaux.

Les producteurs laitiers : des racines pour l'avenir Des exemplaires du livre des PLC intitulé Les producteurs laitiers : des racines pour l'avenir, produit pour célébrer le 150e anniversaire du Canada, ont été distribués aux producteurs pré-sents aux assemblées. Pour obtenir un exemplaire, veuillez passer au bureau de Producteurs laitiers du Nouveau-Brunswick ou communiquer avec nous pour le recevoir par la poste. Vous pouvez aussi télécharger le document en PDF. https://www.producteurslaitiers.ca/salle-de-presse/nouvelles/politique/les-producteurs-laitiers-du-canada-sont-fiers-de-presenter-les-producteurs-laitiers-des-racines-pour-l-avenir?_ga=2.116109126.1987730916.1497443278-1812893921.1374172407

Les soumissions et les offres à la bourse de quotas : Les demandes ou offres devront être remis avant 16h:00 du 1er jour ouvrables du mois sur des formulaires fournis par l’Office. Toutes les soumissions doivent être accompagnées d’une confirmation de fonds de votre établissement prêteur. Les producteurs ne pourront pas combiner le montant qui leur est dû sur leur état de compte avec la confirmation des fonds d’un établissement financier pour faire une mise équivalant au total des montants combinés. Les mises et les offres qui dépassent 24 000 $ ne seront pas acceptées. Les producteurs qui vendent tout leur quota à la bourse devront verser un dépôt de garantie de 1 000 $, qui leur sera retourné 30 jours après la date d’entrée en vigueur du transfert.

La bourse de crédits: Les demandes/offres devront être remis à l’Office avant 16h:00 le 4e jours ouvrables après le 15 du mois sur des formulaires fournis par l’Office (voir au dos de la bourse de crédits ci-joint). Les résultats seront disponible le matin du 25. Les producteurs qui quittent l’industrie pourront vendre ou acheter des crédits un mois suivant la date de leur vente. Si vous ne recevez pas votre état de compte à temps pour voir votre situation de crédit, téléphonez au bureau, et nous vous l’enverrons par courriel ou télécopieur.

Fonds de pénalités sur le lait: Financement réactif: Un producteur peut obtenir jusqu’a 100 $ une fois par année pour défrayer le coût de la visite d’un technicien en qualité du lait si il a été sujet à une amende. Financement proactif: Un producteur peut obtenir jusqu’a 500 $ pour défrayer le coût de la visite d’un technicien en qualité du lait si il a été sujet d’une deuxième infraction ou plus mais avant une pénalité. Les producteurs doivent appliquer pour ces fonds en envoyant les factures payées pour le technicien au Producteurs Laitiers du N-B

Politique sur les quotas minimums revisée L’Office cessera de ramasser le lait des producteurs un mois après que leur montant de quota quotidien tombe en dessous de dix (10) kilos de quota quotidien.

Assurance collective (1er décembre 2016) Plan individuel : 116,00$ Plan familiale : 321,00$ Pour toute question concernant des réclamations ou l’insription, prière de communiquer avec : Emily Murphy, Alodium Financial, au 1-800-994-5155 ou 506-850-1643 ou emilymurphy@rogers.com ou Serge LeBlanc 506-227-9628.

Problèmes de qualité du lait en fin de semaine ou après les heures du bureau: Si un producteur a besoin de prendre des arrangements de rechange en raison de préoccupations reliées à la qualité, Eagle Transport Ltd. sera dorénavant le premier contact (433-0421). Laissez un message si on ne répond pas immédiatement. Le personnel de Eagle informera le producteur de la politique des Producteurs Laitiers du Nouveau-Brunswick en ce qui concerne les coûts de transport supplémentaires.

Problèmes en dehors des heures ouvrables: Téléphoner au 432-4330, et le service de réponse joindra la personne en devoir pour les

Beef Cattle Research Council N-B (Webinaires gratuits) http://www.beefresearch.ca/resources/webinars.cfm

Bulletin des Producteurs laitiers de la N.-É.: http://www.dfns.ca/formindex.htm

Milk Producer magazine http://www.milk.org/Corporate/Content.aspx?id=1941

l’initiative Dairyland de l’Université du Wisconsin Le site Web contient d’excellents renseignements sur de nombreux sujets touchant le lait (ANGLAIS SEULEMENT). https://thedairylandinitiative.vetmed.wisc.edu Agrométéo atlantique: http://atl.agrometeo.org/index.php/weather/local Étalonnage des réservoirs de lait en vrac L’étalonnage des réservoirs de lait en vrac sera coordonné par le person-nel de PLNB, qui utilisera les services d’étalonnage de Dairy Farmers of Ontario et d’International Dairy Calibrations Atlantic Ltd. (Eric Hope-Rapp). Si vous prévoyez installer un nouveau réservoir ou venez d’en installer un, veuillez téléphoner au bureau au 506-432-4330 pour qu’on ajoute votre ferme au calendrier. Avant de remplacer votre réservoir de lait en vrac, rappelez-vous que : Les nouveaux réservoirs de 1000 gallons américains (3780 litres) ou plus doivent avoir une sortie de valve d’un diamètre minimum de 3 pouces avec une valve en papillon. Les nouveaux réservoirs de moins de 1000 gallons doivent avoir une sortie d’un diamètre minimum de 2 pouces avec une valve en papillon. Les réservoirs d’occasion de n’importe quelle capacité doivent avoir une sortie de d’un diamètre minimum de 2 pouces avec une valve en papillon. Ramassages supplémentaires : PLNB a modifié son Arrêté sur le ramassage du lait en vrac en ajoutant un deuxième niveau de ramassages quotidiens. À l’heure actuelle, les producteurs peuvent demander – si le transporteur du lait en vrac a la capacité et l’équipement nécessaires pour le faire – jusqu’à 45 ramassages sur une période de 24 mois à un coût de 2,00 $/hl en plus du tarif de transport mensuel. La modification créera un deuxième ni-veau permettant aux producteurs de demander entre 46 et 90 ramassages quotidiens sur une période de 24 mois à un coût de 4,00 $/hl en plus du tarif de transport mensuel. Les coûts de 2,00 $ et de 4,00 $ l’hl représen-tent les montants minimums. Si de l’équipement supplémentaire doit être envoyé, alors les coûts seront équivalents aux coûts de transport réels. Conseil de la recherche et de la productivité du N.-B. (RPC) À compter du 20 avril 2017, veuillez noter que les services précédem-ment offerts par le laboratoire laitier du N.-B. seront maintenant dispen-sés à l’adresses suivante : RPC, 921, ch. College Hill, Fredericton (N.-B.) E3B 6Z9. Le numéro de téléphone principal du RPC est 452-1212. Pour l’analyse de la composition du lait, communiquer avec Jill Hay (courriel : Jill.Hay@rpc.ca) Pour les analyses microbiologiques, communiquer avec Corrie Maston (courriel :Corrie.Maston@rpc.ca) Si vous ne recevez pas vos résultats d’analyse par courriel, veuillez vérifier votre dossier « Courrier indésirable » et ajouter RPC comme expéditeur fiable.

EVÈNEMENTS

Réunion du conseil des PLNB: le 1, 2 aout 2017

Calendrier central des activités de l’industrie laitière de Atlantique: http://www.valacta.com/EN/Atlantic/Pages/Atlantic-infos.aspx Pour y ajouter des activités, veuillez envoyer un courriel à Fred Vanderkloet à fsvanderkloet@gov.pe.ca; Jeff Gunn à jgunn@valacta.com; ou à Brian MacDonald à brian.macdonald@gnb.ca

Producteurs laitiers du Canada L'industrie laitière vous passionne? Vous participez à divers événements locaux ou organisez des visites de votre ferme? Vous aimez expliquer comment le lait passe de la ferme à la table? Si tel est le cas, les Producteurs laitiers du Canada peu-vent vous aider en vous fournissant des articles promotionnels, des ressources et du matériel (p. ex. abris promotionnels, jeux éducatif, nappe, etc.). Veuillez noter que toutes les demandes sont traitées sur la base du premier arrivé, premier servi et qu’elles doivent être faites au moins 6 semaines avant votre événement. Pour en savoir plus sur ce que nous pouvons vous offrir, communiquez tout simplement avec Michelle Arseneau Léger, gestionnaire de projets régionaux chez les Producteurs laitiers du Canada, au 1-800-465-2697, poste 3 michelle.arseneauleger@dfc-plc.ca Publicité: Les producteurs actifs pourront continuer à faire publier sans frais des annonces en texte. Elles seront publiées pour deux mois seulement à moins un avis contraire. Pour les autres les tarifs publicitaires seront les suivants : 400 $ pour une pleine page, 225 $ pour ½ page, 120 $ pour ¼ page et 65 $ pour 1/8 page. On doit recevoir les annonces avant le 8 du mois .

Espaces d’office à louer: 1100 pieds carrés divisé en 4 offices, salles de rencontre et entreposage disponible au 29 Milk Board Road, Roachville, NB. Appelez le 432-4330 ou envoyez un courriel nbmilk@nbmilk.org. À vendre • Réservoir de lait Surge de 1000 gal avec compresseur de 5 HP et système de lavage, échangeur de chaleur, enregistreur de température. Tout a été acheté neuf et est en excellent état. Téléphoner au 506-328-3897 ou envoyer un courriel à lvblack@xplornet.com

• 2 remorques autochargeuses JD (16A) à essieu tandem, 4000 $ chacune. Pour plus de renseignements : 433-5535

SERVICES Maritime Quality Milk: www.milkquality.ca Quality Milk Management: Don Anderson 432-5598 ou courriel udder1@nb.aibn.com Détection d’antibiotiques : Agropur Co-operative 432-1950, poste 245. L’échantillon doit inclure : nom, numéro de produc-teur, courriel, téléphone, numéro de la vache, médicament. Spécialiste laitier: Brian MacDonald—433-0509; brian.macdonald@gnb.ca Spécialiste en aliments pour bétail : David Dykstra, 434-5755, david.dykstra@gnb.ca; @NbForage Consultant agréé AgExpert : David Christie 466-4305; ou Kim Waalderbos 260-3004 Parage des sabots: E. Duivenvoorden au 433-1864; Peter Jones 866-0531; Dwayne Black 328-1866 Services de relève, traite, garde de la ferme, : Jens van der Heide; 851-1793—jvan_der_heide@hotmail.com Épandage de fumier à forfait: 1-800-833-9899 ou 433-0867; 756-3645 ou 756-2957 La cendre de bois: Contactez: Gerben au 506-235-0652 Plan environnementale pour fermes: www.fermenbfarm.ca Isabelle Kirouac ou John Russell au 452-8101 Encans de bovins Co-op de Sussex: Contactez: 432-1841 Chaque deuxième mercredi à 11h:30, encanteur Steve Liptay Prix Veaux: http://www.bovin.qc.ca/en/price-info/cull-cattle-and-bob-calves/weekly.php

Rétention placentaire

Par le Dr Murray Gillies

Bonjour producteurs laitiers du Nouveau-Brunswick!

La rétention placentaire désigne l’absence de délivrance de l’arrière-faix après le vêlage et qui survient particulièrement après un vêlage difficile. Bien qu’il soit plutôt courant, ce phénomène continue d’intriguer éleveurs et vétérinaires. Le présent article vise à apporter certains éclaircissements sur le moment et la manière de prendre en charge cette affection au sein du troupeau laitier.

Une rétention placentaire est établie si la vache ne s’est pas délivrée naturellement dans les huit à douze heures après le vêlage. Par opposition, une jument entre dans un état d’urgence si le placenta n’est pas expulsé dans les trois heures du poulinage, mais la vache peut marcher pendant des jours dans cet état.

La rétention placentaire peut survenir de façon sporadique, à tout moment, quelle qu’en soit la raison. Si de nombreuses vaches du même troupeau sont touchées par ce phénomène sur une courte période, cela indique généralement que le problème est lié à l’alimen-tation de transition deux semaines avant le vêlage ou à son état de santé général. Il est très important de souligner qu’il ne faut ABSO-LUMENT JAMAIS pratiquer une délivrance manuelle, car une telle intervention donne lieu à un risque majeur de rupture de l’utérus. Tout au plus, toutes les membranes extériorisées peuvent être serrées par un nœud afin de les lever hors du sol et un poids peut être ajou-té avant d’envelopper le tout dans un sac en plastique ou un gant d’examen rectal afin de maintenir le pis propre. Un traitement minu-tieux dans ce sens peut réduire les risques de mammite chez la vache.

Les neutrophiles (globules blancs qui interviennent dans une réaction inflammatoire) et les contractions utérines assurent la déli-vrance après le vêlage. Toute stratégie de prise en charge pour réduire et traiter la rétention placentaire devra donc être orientée pour renforcer ces deux fonctions physiologiques. La production et la mobilisation de neutrophiles (dans le cadre de l’immunité globale de la vache) dépendent de la santé générale de l’animal, de son alimentation et de ses taux de minéraux (en particulier le sélénium!).La plupart des vaches bien entretenues (mais non en surcharge pondérale) et qui sont en santé avant le vêlage ne devraient avoir aucun problème à expulser l’arrière-faix et à nettoyer leur utérus. Cet aspect est très important, car la récupération rapide donne lieu à une reproduction plus rapide et à des taux de conception plus élevés pour le troupeau. Si votre troupeau connaît un taux élevé de rétention placentaire, consultez votre vétérinaire et faites intervenir le nutritionniste du troupeau dans la discussion afin d’évaluer l’alimentation de transition mise en place et le taux de sélénium. Pour l’instauration d’un traitement individuel, la fonction des neutrophiles peut être renforcée par l’utilisation prudente de vitamines, l’apport adéquat en eau, une alimentation adéquate dans les semaines avant et après le vêlage, la pré-vention de la fièvre vitulaire (fièvre de lait) et de la cétose, et l’utilisation de stimulants immunitaires.

Dans le cas d’une rétention placentaire, l’activité musculaire de l’utérus joue un rôle important pour expulser le liquide fétide présent dans l’utérus; toutefois, les contractions utérines n’expulsent pas énergétiquement le placenta adhérent. Les éleveurs peuvent favoriser les contractions utérines par la supplémentation de calcium (utilisez les bolus) et l’utilisation de l’ocytocine. Le calcium agit sur toutes les contractions musculaires; il est donc essentiel au fonctionnement normal de l’utérus, qui est un organe musculaire. Il est aussi important de souligner que la SEULE hormone à utiliser dans les cas de rétention placentaire est l’ocytocine; aucun autre produit n’est efficace! L’ocytocine stimule les contractions musculaires dans la paroi utérine, ce qui réduit le volume de l’utérus et expulse le liquide fétide. Il faut administrer l’ocytocine très rapidement après le vêlage si une vache ne s’est pas encore délivrée et poursuivre le traitement pendant au plus cinq jours jusqu’à la délivrance ou jusqu’à cinq jours après le vêlage, moment à partir duquel l’ocytocine perd la plus grande partie de son efficacité. La plupart des préparations d’ocytocine contiennent 20 unités d’hormone par millilitre, et les vaches doivent être traitées par 20 unités (1 cc) quatre fois par jour ou toutes les six heures jusqu’à la délivrance.

Selon certaines données, les taux de succès augmentent lorsque la dose de départ est de 200 unités ou 10 cc. Personnellement, en tant que vétérinaire, j’administre 4 cc (80 unités) immédiatement après le vêlage, puis je demande à l’éleveur d’administrer 1 cc (20 unités) toutes les six heures jusqu’à la délivrance. C’est un moyen très économique et facile à réaliser, et c’est de loin l’option la plus efficace pour expulser l’arrière-faix de la vache. Les prostaglandines (Estrumate, Estroplan, Lutalyse) n’exercent aucun effet sur les vaches en période post-partum étant donné que ces animaux ne développent pas de corps jaune sur les ovaires et qu’ils présentent déjà des taux naturellement très élevés de prostaglandine en circulation dans le sang. La vache s’est à toutes fins utiles déjà « donné une in-jection » d’Estrumate; d’autres injections ne produiront aucun effet sur sa capacité à se délivrer. Les produits GnRH (Cystorelin, Factrel, Fertiline) peuvent exercer certains effets sur ces animaux s’ils sont administrés deux semaines (14 jours) après le vêlage en intensifiant l’activité ovarienne pour provoquer un cycle chez la vache et lui permettre de se délivrer. Aucune de ces hormones n’aidera la vache à expulser physiquement un placenta adhérent; par conséquent, leur utilisation en tant que traitement immédiat de la pathologie n’est pas recommandée.

Dans la plupart des cas de rétention placentaire, les antibiotiques ne sont pas très souvent requis dans l’immédiat. De nom-breuses bactéries sont présentes sur le placenta et dans le liquide utérin, mais cela ne pose aucun problème, à moins qu’elles infiltrent le tissu utérin ou pénètrent dans le système sanguin. Les vaches qui présentent une rétention placentaire doivent être prises en charge selon les méthodes précitées, et les antibiotiques ne seront administrés que si l’animal développe une fièvre ou devient visiblement malade. Les éleveurs doivent mettre en place une procédure opérationnelle normalisée (PON) pour le traitement systématique de ces cas et cette procédure devrait notamment être axée sur le moment précis auquel instaurer une antibiothérapie et sur les types de produits à utiliser. Tous nos antibiotiques destinés aux bovins laitiers (pénicilline, oxytétracycline, Borgal-TMS, Trimidox-TMS, Polyflex-ampicilline, Ex-cenel-ceftiofur, Excede-ceftiofur, Ceftiocyl-ceftiofur) sont indiqués pour le traitement des infections utérines et peuvent être utilisés dans ces cas; il faut toutefois noter qu’Excenel RTU et Ceftiocyl comportent des indications homologuées bien précises pour le traitement des infections utérines à une quantité légèrement supérieure à deux fois la dose! Continué

Il est conseillé de toujours lire et relire les étiquettes de produits et de communiquer avec son vétérinaire pour obtenir des clarifications. Il faudra peut-être recourir aux anti-inflammatoires et à la fluidothérapie si les animaux sont très malades, et ces ani-maux devront être examinés par un vétérinaire, dans l’idéal, le plus tôt possible. Chaque vache, en particulier celle qui présente une rétention placentaire, doit subir une échographie réalisée par le vétérinaire trois semaines après le vêlage pour évaluer la santé de l’utérus et traiter tout éventuel pyomètre (accumulation de pus dans l’utérus) ou endométrite (inflammation des tissus utérins). C’est environ à cette période que les prostaglandines (Estrumate) et les antibiotiques intra-utérins (Metricure-céphapirine) sont nécessaires aux fins thérapeutiques.

Tous les exploitants de fermes laitières doivent utiliser l’information présentée dans cet article, à partir des discussions tenues avec leur vétérinaire de troupeau et de leurs propres recherches afin d’élaborer une PON axée sur la prise en charge de la rétention placentaire. C’est de loin la méthode la plus simple de prendre en charge ces cas dans un cadre efficace et structuré pour permettre à chacun de connaître toutes les mesures à prendre, et proAction salue le travail des exploitants agricoles qui mettent en place des PON aux fins thérapeutiques. Si vous suivez ces lignes directrices, vous constaterez que les problèmes chez la plupart de ces animaux se résoudront de manière fluide, sans entraîner trop de difficultés, tout en sachant que, chez les êtres vivants, tout ne se passe pas néces-sairement comme prévu, et même les meilleurs protocoles peuvent connaître des failles de temps à autre, mais cela ne doit pas nous empêcher de continuer à utiliser les pratiques exemplaires en matière de prise en charge.

Récapitulatif : 1) Serrez les membranes exposées dans un nœud ou sellez-les dans un contenant en plastique. 2) Vérifiez que les vaches qui présentent une rétention placentaire reçoivent une supplémentation de calcium, commencent le traitement par ocytocine tel qu’il est décrit précédemment et, le cas échéant, reçoivent une supplémentation appropriée de vitamines et minéraux. Procédez au dépistage de la cétose trois jours après le vêlage et prenez les mesures qui s’imposent le cas échéant. 3) Vérifiez que les animaux ma-lades ou fébriles qui présentent une rétention placentaire commencent un cycle d’un produit antibiotique homologué couplé à un pro-duit anti-inflammatoire approuvé (respectez la PON de l’exploitation agricole aux fins thérapeutiques et consultez votre vétérinaire de troupeau). 4) Assurez-vous que les animaux très malades ou déshydratés sont examinés par un vétérinaire qui évaluera le pronostic et mettra en place un protocole de traitement ou autorisera l’euthanasie, le cas échéant. 5) Envisagez éventuellement l’administration des produits GnRH (Cystorelin) deux semaines après le vêlage pour produire quelques bienfaits minimes. 6) Assurez-vous que les vaches subissent une échographie environ trois semaines après le vêlage et reçoivent un traitement, au besoin. 7) Consultez votre vétérinaire et votre nutritionniste bovin si de nombreuses vaches de votre troupeau présentent une rétention placentaire. L’alimentation de transi-tion est la clé!

Merci d’avoir lu cet article!

Si vous désirez lire un article sur un sujet en particulier, n’hésitez pas à m’envoyer un courriel ou à transmettre vos sugges-tions à l’un des vétérinaires du ministère de l’Agriculture, de l’Aquaculture et des Pêches (MAAP) de votre région.

Le Dr Murray Gillies est vétérinaire de terrain au service du MAAP du Nouveau-Brunswick, au bureau régional de Sussex. Il

est l’actuel président de l’Atlantic Bovine Practitioners Association, président élu de l’Association canadienne des vétérinaires bovins et consultant laitier d’un groupe consultatif d’experts pour l’Association canadienne des médecins vétérinaires. Vous pouvez le joindre à l’adresse murray.gillies@gnb.ca ou, par texto, au 1-506-435-3339.

Sussex : 506-432-2001 Moncton : 506-856-2277 Fredericton : 506-453-2219

Wicklow : 506-392-5100 Bathurst : 506-547-2089 Edmundston : 506-735-2060

Photo par Terri-Lynn MacDonald

Juillet 2017

Dernières nouvelles...Les Producteurs laitiers du Canada

Dairy Farmers of Canada @dfc_plc

DEMANDEZ À LA VACHE : LES ÉVALUATIONS DES ANIMAUX RÉALISÉES PAR HOLSTEIN CANADAObserver les animaux en vue de déceler des signes associés à leur bien-être n’est pas un concept nouveau, mais ce qui représente une innovation, c’est de mesurer des indicateurs précis chez les animaux. Or, l’industrie laitière canadienne a fait de ces mesures un élément essentiel du volet Bien-être animal de proAction. À l’automne 2016, les PLC ont mandaté Holstein Canada d’évaluer certains indicateurs clés du bien-être animal – l’état de chair, les blessures et la boiterie – chez un nombre statistiquement significatif de vaches dans chaque troupeau. Cet exercice d’analyse comparative est mené dans l’ensemble des fermes laitières canadiennes jusqu’à l’automne 2018.

En date du 1er juin, 1 195 troupeaux avaient été évalués. L’évaluation des bovins fournit aux fermes une mesure de référence à partir de laquelle elles peuvent planifier des améliorations mesurables dans le but d’atteindre les cibles « Excellent ». Pour atteindre les cibles « Excellent », au moins 95 pour cent des animaux d’un troupeau doivent obtenir une évaluation de l’état de chair supérieure à deux, et au moins 90 pour cent doivent obtenir de bons résultats quant aux indicateurs reliés aux blessures ou à la boiterie. L’évaluation permet aussi d’indiquer dans quelle mesure les fermes se conforment à plusieurs exigences importantes du Code de pratiques pour le soin et la manipulation des bovins laitiers du Canada.

Les fermes reçoivent un sommaire de l’évaluation de leur troupeau. Maintenant qu’environ 10 pour cent des troupeaux canadiens ont été évalués, il est possible d’estimer une moyenne nationale pour chacun des indicateurs. Dès juillet, les producteurs recevront donc un « rapport de comparaison avec les pairs » avec leur sommaire. Ce rapport permet de comparer les résultats d’un troupeau aux moyennes nationales et classe les résultats pour chaque mesure dans les zones « vert » (excellent ou bien), « jaune » ou « rouge ». Si un résultat du troupeau se trouve dans une zone « jaune », le producteur prudent cherchera à apporter des améliorations. Pour un résultat dans une zone « rouge », le producteur devra rédiger un plan de mesures correctives et le mettre en œuvre. Les vétérinaires, spécialistes de la nutrition des ruminants et autres spécialistes en production laitière peuvent aider les producteurs à élaborer un tel plan au besoin.

L’évaluation des bovins doit être réalisée dans les 24 mois précédant la validation de la ferme pour l’initiative proAction qui est faite aux deux ans (commençant en septembre). Il faudra donc une évaluation aux deux ans, et il sera attendu que les résultats qui se trouvaient dans les zones « jaune » et « rouge » se soient améliorés par rapport à l’évaluation précédente.

Les premières mille évaluations montrent que de nombreuses fermes atteignent – ou sont près d’atteindre – la cible « Excellent ». Ces résultats indiquent que les producteurs ont à cœur d’améliorer les problèmes qui pourraient survenir sur leur ferme, qu’ils accordent de l’importance à la collaboration avec les vétérinaires et spécialistes en production laitière, et qu’ils misent sur une meilleure génétique afin d’accroître la production, d’améliorer la longévité ou autres caractéristiques des animaux.

C’est grâce au même esprit de collaboration de multiples partenaires que l’évaluation de ces mesures axées sur les animaux et l’initiative proAction dans son ensemble sont possibles. Les PLC apprécient l’excellente collaboration des producteurs, vétérinaires, chercheurs en science animale et d’Holstein Canada. Cette collaboration a mené à l’élaboration d’outils pratiques qui permettent aux producteurs de demeurer proactifs dans le domaine du bien-être animal et de mesurer les améliorations à venir. Au final, les troupeaux seront en meilleure santé et plus productifs.

L’ÉNONCÉ DE MISSION

Représenter les intérêts des producteurs laitiers du Nouveau-Brunswick dans leurs efforts

pour exploiter des fermes laitières viables qui produisent du lait de qualité au sein d’un système

de gestion de l’offre.

47260 Homestead Road, Steeves Mountain 350 acre dairy farm with quota & equipment

213 Church St. Sackville 2653 Rt. 390, St. Almo 370 acre farm with milk quota 457 Acre dairy farm on the Tobique River with quota

Les Producteurs Laitiers du Canada https://www.producteurslaitiers.ca

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