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TEST PEUGEOT DANGEL 4X4VIP CATHY MACHARISCASE STUDY VILLE D’ANVERS

DÉCOUVREZ

JANVIER 2013 13ÈME ANNÉE N° 73

PARAÎT 5 FOIS PAR AN EN JANVIER, AVRIL, JUIN, SEPTEMBRE ET NOVEMBRE

BUREAU DE DÉPÔT : 2099 ANTWERPEN XAUTORISATION : P2A6244

L’essentiel de l’utilitaire légerwww.transportmanagement.be

SALONBRUXELLES SURPREND

Volkswagen eT! I Peugeot Partner/CitroënBerlingo Electrique I MINI Clubvan

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TRANSPORTMEDIA 2013C

4 spotlightSALON DE BRUXELLESLe 91e Salon des utilitaires légers, des véhicules de loisirs, des motos et des vélos ouvre ses portes du 11 au 20 janvier. Nous avons recontré Pierre Hermant, le directeur général du Salon.

DÉCOUVREZ• Toutes les premières du salon Truck

& Transport• Un reportage sur le nouvel eldorado

des transporteurs : le Portugal• La vision du commissaire européen

Siim Kallas sur la future politiquedes transports

Points et virgulesIl y a quelques mois, la Commission Européenne a formulé des propo-sitions pour de nouvelles normes d’émission applicables aux utilitaireslégers dès 2020. Les camionnettes ne pourront alors émettre que 147gr de CO2/km, ce qui correspond à une consommation moyenne de6,3 l/100 km. Selon le club lobbyiste Transport & Environment (T&E),l’UE place la barre beaucoup trop bas.Calons-nous un instant sur ces chiffres qui montrent pourquoi unenorme d’émission plus sévère est nécessaire tant pour l’environnementque pour le client final. Imaginez : l’UE impose une limitation de CO2plus stricte de 118 gr/km au maximum. « C’est techniquement toutà fait réalisable », explique Transport & Environment. « Les construc-teurs sont de toute façon obligés de développer des technologies pluspropres pour répondre aux normes beaucoup plus strictes appliquéesaux voitures. Adapter ces technologies aux camionnettes ne demandedès lors pas un gros effort. »Transport & Environment manque peut-être un peu de nuance enclassant l’affaire comme s’il s’agissait d’une question de points et vir-gules. Mais il est vrai que cela représenterait une réduction de CO2 de2,7 millions de tonnes par an tout en entraînant jusqu’à 6.500 € d’a-vantages pour le client. Le ROI prendrait environ 3 ans vu le surcoûtinhérent aux nouvelles technologies. Les constructeurs, de leur côté,pointent les coûts de développement considérables pour indiquerqu’imposer une limite encore plus stricte aux camionnettes serait toutsimplement kafkaïen, surtout dans le climat économique actuel. Unpetit jeu qui – on en prend le pari - risque de durer encore un certaintemps. Nous sommes curieux de voir où seront finalement placés lespoints et les virgules…

Kristof Winckelmans,Rédacteur en chef

sommaire

edito

JANVIER 2013

06 Van TopicsPour cette édition, nous avons remplacé les nou-velles du secteur habituelles par un aperçu pra-tique des principales nouveautés qui serontexposées au Salon de Bruxelles.

19 VIPLe professeur Cathy Macharis sur la viabilité éco-nomique des camionnettes électriques.

22 ScoopLe Salon de Bruxelles accueille chaque annéedes nouveaux-venus qui veulent s’ouvrir lesportes du marché belge. Cette édition nedéroge pas à la règle, et accueille les utilitairesitaliens Giotti Victoria.

25 Case study La ville d’Anvers vient de mettre cinq Iveco Dailyélectriques en service. Découvrez aussi l’autrecôté du miroir…

28 Tests• p. 28. De retour après une période d’absence : la

gamme 4x4 Dangel de Peugeot. • p. 30. LeasePlan a organisé voici peu une

journée d’essais lors de laquelle les clients etles prospects ont pu tester les modèles les plusrécents. VAN Management y était !

32 MarketLiquidation totale chez Mercedes : 100camionnettes récentes ont été récemmentmises aux enchères avec la collaboration de laplateforme en ligne Autorola.be


Entre 2009 et 2011, la FEBIAC, a constatéune augmentation du nombre de visitesde 10 %. Les organisateurs espèrent quela tendance se confirme et comptentraisonnablement sur 320 à 380.000 visi-teurs. Si seize grands salons européensont été annulés au cours de ces derniersmois, la FEBIAC a tapé sur le clou etcompte vaincre la morosité par une atti-tude proactive. “ Ce Salon s’annoncebien”, déclare Pierre Hermant, Directeurgénéral du Salon.

VAN Management : Qu’est-ce qui explique laconfiance dont vous témoignez ?Pierre Hermant : “Comme je vous l’ai dit, ceSalon s’annonce bien. Bien avant l’ouver-ture, tous les palais étaient déjà com-plets. Nous avons également le plaisirde voir que tous les acteurs du secteurseront représentés. Qu’il s’agisse dusecteur automobile, des utilitaires, descamions, des motos… Les référencessont là et nous font confiance ! Le Salonde Bruxelles est un Salon qui grandit etdont le marché a besoin.”

VM: N’est-il pas un peu contradictoire de par-ler de « Petit Salon » ?

Pierre Hermant : “ Certainement ! En réa-lité, ce Salon est celui de la variété, de la di-versité. On pourrait aller jusqu’à parler aupluriel car cette 91ème édition comprendnon moins de sept salons en un seul. Bienentendu, les utilitaires, les véhicules deloisirs et les motos tiennent le haut dupavé. Mais il ne faut pas oublier la placeque nous accordons aux camions et poidslourds. Nous sommes d’ailleurs très fiers depouvoir annoncer que toutes les grandesmarques seront de la partie. Ensuite, 2013consacrera le grand retour du vélo dans lespalais du Heysel. Nous avons égalementdédié un espace à l’aviation légère et uncréneau pour les voitures de rêve, lessuper-sportives et voitures de luxe.”

Le 91ème Salon de l’Auto se veut festif

Sous le signe de la variété

le 10 janvier, Pierre Hermant,Directeur général du Salon àla FEBIAC, inaugurera le

91ème Salon des Utilitaires légers,Véhicules de loisirs et Motos. Cetteannée, plus que jamais, le « PetitSalon » portera très mal son nom.Les Palais de Brussels Expo offrirontune diversité inédite. Un évènementmoderne, incontournable enBelgique, essentiel pour le secteur etdiablement divertissant.

Julien Libioul

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“Un Salon de l’Auto doitêtre interactif et mobiliser

les cinq sens de ses visiteurs.Voilà pourquoi nous

l’enrichissons avec les pistesd’essai 4X4 et véhiculesélectriques, ainsi que lesshows réalisés par nos

motards fous.”

Pierre Hermant, à propos du grand spectacle du Salon

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VM : Nous avons cru comprendre lors de laconférence de presse que ce salon serait plusqu’une exposition statique…Pierre Hermant : “ Pour réussir un Salon, ilfaut parvenir à éveiller les cinq sens des vis-iteurs. C’est pourquoi nous avons pris le plide mettre sur pied des animations perme-ttant l’interactivité. La piste d’essais 4X4fait son grand retour et un espace seraréservé à la prise en mains de véhiculesélectriques. Le public pourra découvrir lesperformances exceptionnelles réaliséespar des cascadeurs à moto, des trialistesou encore par les experts de la CrazyBall.”

VM : Le Salon de Bruxelles est traditionnelle-ment un Salon de vente. Pourquoi et est-ce unavantage dans le contexte que nous connais-sons ?Pierre Hermant : “Il est clair que les condi-tions sont difficiles. Tant pour les voituresque pour les utilitaires et en particulierpour les utilitaires lourds. On constate desbaisses de vente à deux chiffres. Or, tra-ditionnellement, les marques réalisentparfois jusqu’à 25 % de leurs ventes an-nuelles au Salon. C’est très attractif pourles constructeurs, en particulier en ce mo-ment, et les politiques commerciales s’enressentent. Ce succès est assez difficile àexpliquer. C’est un phénomène très cul-turel et très spécifique au public belge.Notre pays est finalement peu étendu etle taux de pénétration du Salon auprès dupublic est assez élevé. D’un extrême àl’autre, il ne faut qu’une heure et demiepour venir jusqu’au Heysel. Puis, le Belgeaime le Salon, tout simplement. Il aimetrouver toute l’Automobile au même en-droit et faire son choix. Les marques con-naissent bien leur public, savent que laclientèle est orientée vers la vente. Leshôtesses sont nombreuses et ne sont làpour faire de la figuration, mais pour in-former et aiguiller les amateurs.”

VM : Vous reconduisez l’innovant dispositif E-Card…Pierre Hermant : “Bien sûr ! Nous étions lespremiers au monde à développer cettetechnologie permettant aux visiteurs decollecter en trente secondes, sur chaquestand, les informations qui les intéressent

de manière numérique. C’est un disposi-tif économique et écologique. 30 tonnesde papier ont été économisées l’anpassé ! Ce système permet au visiteur departiciper à des concours, à des anima-tions ou de poster des commentaires surles réseaux sociaux. De notre côté, c’estun dispositif très instructif car il permetd’analyser finement le comportement etles intérêts des visiteurs, d’en générer unsuivi, tout en étant capable d’informeravec précision les pouvoirs publics sur lemarché. Nous allons d’ailleurs ajouter 50% de bornes supplémentaires. ”

VM : Quelles sont les forces que vous avez àmettre en avant à l’égard des clients utilitai-res?Pierre Hermant : “La clef pour un in-dépendant c’est le temps. Au salon, il ale loisir de trouver tous les véhicules aumême endroit. Un espace sera égale-ment dédié aux carrossiers et aux so-ciétés de lettrage qui pourront renseignerle client directement sur les opportunitésde personnalisation de son véhicule.Enfin notre Salon offre une vision glob-ale, sur toutes les catégories de véhicules,des citadines aux camions. Il est aussi aiséd’y trouver le poids lourd du livreur quela citadine du commercial. ”

VM : C’est un Salon que vous voulez familial ?Pierre Hermant : “Tout à fait. S’il est amu-

sant pour les enfants d’accompagnerpapa et maman, les choses deviennentplus ennuyeuses lorsqu’il s’agit de dis-cuter avec un vendeur. Les enfants pour-ront donc se défouler pendant laprospection de leurs parents dans unesuper-garderie. J’ai fait appel à mes en-fants pour la conception de cet espace.Je peux vous garantir que nos plus jeunesvisiteurs vont se marrer !”

VM : Cette édition 2013 sera également mar-quée par le roulement des expositions. Pierre Hermant : “ L’espace dédié aux util-itaires lourds, le palais Truck & Transportsera clos après le 14 janvier. Cet espacesera à nouveau ouvert le 17 janvier où ilaccueillera cinquante podiums Dream-cars, illustrant les plus excitantes des au-tomobiles sur la planète. Le prix d’accèsà cet espace sera majoré de 7 euros. Lesbénéfices récoltés par cet espace serontintégralement reversés à l’associationMake a Wish.”

VM : Que peut-on souhaiter au Salon del’Auto 2013 ? Pierre Hermant : “ Qu’il tienne son rôletout, simplement. Qu’il soit la grandefête du secteur, un moment d’émer-veillement. Qu’il soit un mariage équili-bré entre qualité, chiffres de ventes etbonne information.”

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LIEUBrussels Expo (Heysel) - Place de Belgique, 1 - BE-1020 BRUXELLES www.bruexpo.be

DATES ET HEURES D’OUVERTURE AU PUBLIC • De vendredi à dimanche : 11/01 > 20/01 : 10:00 > 18:30• Nocturnes : 10:00 > 22:00: Vendredi 11/01, Lundi 14/01, Vendredi 18/01

PRIX D’ENTREE• Adultes 13 € par personne • Enfants < 6 ans Gratuit • Enfants de 6 à 12 ans 7 € par personne • Entrée de groupe 10 pers. 80 €

Prévente :Achetez votre ticket en ligne sur www.autosalon.be

91tH european motor sHoW brussels

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CITROËNLe double chevron présente l’ensemblede sa gamme utilitaire, du Nemo auJumper, en passant par les Berlingo etJumpy. Citroën présente en premièrebelge le Berlingo Electrique. La capacitétotale utile des batteries autorise une au-tonomie de 170 km. La motorisationoffre une puissance maximale de 49 kW(67 ch) avec un couple maximal de 200Nm.

DACIADacia a clairement placé haut la barre avecson nouveau Dokker Van. Le Dokker Vanlong de 4,36 m propose un volume dechargement de 3,3 m³ pour une longueurde chargement de 1,9 m. Avec le DaciaEasy Seat optionnel, un siège passager ra-battable, ces valeurs grimpent à, respec-tivement, 3,9 m³ et 3,11 m. La charge utilemaximale atteint dans tous les cas 750kg.Sous le capot, nous trouvons, comme àl’accoutumée, la mécanique de Renault

avec le moteur 1.5 dCi comme principalreprésentant. Il délivre des puissances de 75ou 90 ch.

FIAT PROFESSIONALLe Doblò est appelé à faire sensation.D’abord, avec le Cargo XL, une versionrehaussée du Doblò Cargo Maxi. Enprenant de la hauteur, la fourgonnetteaugmente son volume jusqu’à 5,4 m³pour une capacité de chargement de1.000 kilos.

FORDL’utilitaire léger qui attire les regards estbien entendu le Transit Custom, la nou-velle arme de la marque dans le segmentdes utilitaires légers 1 tonne. Son titre d’«International Van of the Year 2013 » ré-compense la combinaison entre la fiabil-ité du Transit (assortie de faibles coûtsd’utilisation), le plaisir de conduite et leniveau de confort dignes de ceux d’unevoiture.

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Tour des marques

Attractions bruxelloises

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alors que le Salon des Utilitaires légers est souvent catalogué par le grand public de “petit” salon, les professionnelspourront y découvrir un large panel de nouveautés. Nous vous proposons un aperçu des stands qui méritentassurément le détour...

Kristof Winckelmans - [email protected]

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Ford Transit Custom

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FUSOPrésenté en première belge, le nouveauFuso Canter Eco Hybrid abrite deux mo-teurs. Le premier est un bloc diesel 3litres de 110 kW, qui répond aux normesEuro V/EEV. Le second, électrique, estsitué entre l’embrayage et la boîte devitesses, et propose un supplément de 40kW de puissance. Cette motorisation estcouplée à une boîte automatisée Duonicà six rapports et à double embrayage.

HYUNDAIHyundai défend sa place dans le marchéde l’utilitaire avec un seul véhicule : le H-1. Cette camionnette, longue de 5.125mm et large de 1.920 mm (volume dechargement : 4,308 m³), est disponibleavec ou sans vitres latérales, mais d’of-fice avec deux portes coulissantes. Lemoteur 2.5 CRDi longitudinal transmet136 ou 163 ch aux roues arrière.

IVECO

Iveco expose cinq versions du nouveauDaily. Le Daily recèle le 2,3 litres utilisantla technologie Multijet II. Résultat : unepuissance de pointe de 146 ch. Pour desapplications moins intenses, Iveco pro-pose ce même 2,3 litres, avec 106 ou126 ch. A l’autre bout de la gamme demotorisations, on retrouve le diesel 3litres qui développe pas moins de 205 ch.Le catalogue d’Iveco évoque encore un3 litres de 170 chevaux.

ISUZUDeux exemplaires du N-Series vous at-tendent sur le stand d’Isuzu. Il s’agit d’unpetit camion châssis-cabine disponible en3,5, 5 et 7,5 tonnes. Au programme :deux motorisations différentes. Le mo-

teur 4JJ1-TCS Turbo Diesel DOHC à in-jection directe présente une cylindrée de2.999 cc et délivre une puissance maxi-male de 150 ch à 2.800 tr/min.

MERCEDES-BENZQuatre Viano, cinq Vito, quatre Sprinteren version fourgon et deux Sprinter châs-sis-cabine : tel est composé le stand deMercedes-Benz au Salon. A cela, s’ajoutele dernier né dans la gamme utilitaire àl’étoile : le Citan. Cette fourgonnette sedécline en trois longueurs (3,94 m, 4,32m et 4,71 m). Les motorisations sont aunombre de trois : deux diesel (75 et 110ch) et une essence (114 ch).

MIA ELECTRICLongue de 3,19 mètres, la petitecamionnette mia U octroie une positioncentrale au conducteur et s’ouvre sur unespace de chargement de 1.500 litres.La U est propulsée par une batterie de 8kWh qui pointe à 24 ch. La mia peut setarguer d’afficher un temps de rechargerelativement court (3 heures), ce qui luipermet ensuite de parcourir 80 à 90km.

MINIMINI : Le visiteur pourra également faireconnaissance avec la MINI Clubvan. Cecharmant utilitaire est taillé sur mesurepour les indépendants qui veulent as-surer leurs livraisons avec style. La MINIClubvan est dérivée de la MINI Clubman(qui est aussi au Salon) et est équipéed'un plancher plat relativement long der-rière les deux sièges avant. La fonction-nalité se mixe ainsi avec le sentiment"kart" de la MINI.

NISSANLe NV200 s’est imposé comme le chevalde bataille de la gamme utilitaire de Nis-san. Sur le stand, il est accompagné d’unprototype très proche de la productionde série : le e-NV200. Animé de la bat-terie lithium-ion et du moteur électriquede la LEAF, l’e-NV200 pourra êtrerechargé en seulement 30 minutes pouratteindre 80 % de sa capacité. L’autrestar du stand de Nissan, c’est le grandfourgon NV400.

OPELOpel place le Combo en bonne positionsur son stand. Au programme : trois mo-teurs diesel, un essence et un CNG (fonc-tionnant en réalité à l’essence et auCNG). Tous les moulins à essence et dieselsont disponibles en versions ecoFLEX, par-ticulièrement sobres et écologiques, dotéesdu système Start/Stop. Le Combo seprésente sous deux types de carrosserie,en empattement court ou long (2.755mm/3.105 mm).

PEUGEOTPeugeot présente une grande premièreau Salon de Bruxelles : le Partner Elec-trique, doté d’une propulsion 100%électrique, grâce à des batteries lithium-ion ainsi qu’un moteur électrique de 67ch et un solide couple de 200 Nm. Sonautonomie atteint 170 km, et les émis-sions de CO2 sont… nulles !

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Iveco Daily

Mercedes-Benz Citan

Nissan NV400

Peugeot Partner Electrique

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RENAULTUn pôle d’attraction sur le stand Renault : le KangooZ.E., arrivé dans les show-rooms début de cetteannée. La fourgonnette 100 % électrique se déclineaussi en version Maxi 2 et 5 places. Au programmedu petit utilitaire « Zéro Emission » : même volumede chargement que le Kangoo Express « classique »allant de 2,4 à 4,6 m³, même charge utile de 650 kget même confort.

RENAULT TRUCKSRenault Trucks expose son programme « Livraison » à tra-vers les Maxity et Master.Le Maxity est un véhicule com-pact à cabine avancée disponible de 2,8 à 4,5 tonnes dePTAC. Son passage à Euro 5 s’est traduit par de nouvellespuissances : 120 et 140 ch pour le DXi 2,5 et 150 chpour le DXi 3. Ce dernier bénéficie de la qualification EEV(Enhanced Environmental Vehicle).

VOLKSWAGENL’attraction du stand, c’est l’eT!, un véhicule derecherche électrique imaginé sur la base d’un Trans-porter. L’eT! peut rouler de manière semi-automatiquesur commande. Soit le véhicule suit le livreur de maisonà maison à pas d’homme, soit il le rejoint sur com-mande sans personne derrière le volant. L’eT peutégalement être manœuvré à l’aide d’un « Drive Stick »depuis la place du passager.

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Renault Maxity

Volkswagen eT!

Smart-Box, la caisse la pluslégère d’Europe

Voici déjà 32 ans qu’Econor est associé aux réparations decarrosserie pour camions et camionnettes. Depuis le moisd’avril de cette année, Econor est également le distributeurexclusif de la SMARTBOX, une structure ultralégère pour lescamionnettes jusqu’à 3 500 kg qui vous fait économiser deskilos et du carburant.

« La structure la plus légère du marché », explique l’administrateurHans Lauwers. « La SMARTBOX pèse tout de même 200 kg demoins par rapport aux structures similaires que l’on trouve chez laconcurrence, ce qui permet un plus gros chargement et de sérieuseséconomies. Et ce, sans compromettre la solidité de la construction ;ce n’est pas pour rien que nous offrons deux ans de garantie », ditHans en souriant.

CAPACITÉ ET EXPERTISE La croissance continue d’Econor a fait exploser le site actuel à Hobo-ken. Un nouveau site a été racheté à moins d’un kilomètre del’atelier actuel. « Notre tout nouveau site est en mesure d’assurerune production de 600 pièce par an, » explique Hans fièrement. «Une capacité suffisante pour convaincre d’emblée les importateurs. »

DES DÉTAILS QUI FONT LA DIFFÉRENCE« La gestion directe constitue notre plus grand atout », continueHans. « Nous pouvons ainsi garantir un produit fini parfait et tenir àtous les coups nos engagements. Nous travaillons également avec unexcellent rapport qualité-prix et une offre de services variée. Nosclients sont donc assurés d’une livraison irréprochable. »Econor se charge en outre du retrait et de la livraison des camions etéventuellement des véhicules de remplacement si nécessaire. Vous neperdez ainsi pas la moindre minute de votre temps précieux et vosaffaires continuent à tourner. Un avantage unique dans le secteur !

TOUS LES SERVICES SOUS UN MÊME TOITDepuis ses débuts, Econor cherche à professionnaliser et réunir tousses services sous un même toit. C’est ainsi que vous pouvez vousadresser à l’entreprise aussi bien pour des réparations que pour lecarrossage de vos camions et camionnettes. « Nous sommes aussi lepartenaire idéal pour vos travaux de peinture ou de marquage devos camions et camionnettes », souligne Hans.

Chez Econor, vos véhicules sont entre des mains expertes !Scheepswerfstraat 4-10 – 2660 Hoboken/Anvers – T 03 820 31 [email protected] – www.econor.be – www.smart-box.nu

"Rendez-nous visite au Palais

12, stand 12.09 !


Rue de l'Avenir, 10 B-4530 Villers-le-Bouillet

T. +32 (0)4/275 71 06 F. +32 (0)4/275 71 07

[email protected]

CARGOLIFTING

FOCUSEN VEDETTE

De 3 à 40 personnes en moins de 15 ans !

Cargo Lifting est un constructeur spécialisé dans la transformation et l’aménagementde véhicules utilitaires de petit et moyen tonnages. L’entreprise propose une gammeétendue de produits : caisses alu ou polyester, plateau à ridelles, benne et tri-benne,hayon élévateur, galerie de toit, isolation frigorifique, plancher, aménagement d’ate-lier mobile (meubles BOTT),… Elle est aujourd’hui un acteur incontournable dans sonsecteur d’activité. Cargo Lifting compte aujourd’hui un effectif de près de 40 per-sonnes, toutes expérimentées dans des domaines tels que la construction métallique,le soudage, la carrosserie, la menuiserie ou la mécanique automobile.

WHO’S WHO

Prototype. Cargo Lifting présentera au salon une nouvelle caisse offrant un gain de poids pour unesolidité équivalente aux standards du marché.

Une qualité certifiée. Cargo Lifting développeune politique de qualitée, attestée par l’obtention d’unecertification ISO 9001. De plus Cargo Lifting est reconnucomme constructeur européen (COP).

Du travail sur mesure. Reconnue par les importateurs, Cargo Lifting est orientée vers laconstruction de petites séries afin de coller aux particularités de chaque métier.

Olivier [email protected]

Jean-Michel [email protected]

Philippe [email protected]

Des installations ultra modernes

Cargo Lifting occupe un bâtimentultra moderne de plus de 4500 m²avec vaste parking dans le zoning industriel de Villers-le-Bouillet, à unjet de pierre de la E42, la dorsale wallonne.

L’entreprise ne compte pas s’arrêteren si bon chemin, et vient d’acquérir4500 m² de terrain à côté de ses installations pour faire face à sa croissance (environ 20% en 2012dans un marché pourtant en recul).

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Palais 6 - Stand 11

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T 02/467.61.60 - [email protected] - www.transportmedia.be

*Nombre annuel total de lecteurs des différentes éditions de nos magazines et des téléspectateurs de nos différentes émissions de télévision.

Un seul objectif : vous informer sur tout ce qui compte dans les secteurs du transport, de la logistique et de la construction.

TROIS MAGAZINES. TROIS ÉMISSIONS DE TÉLÉVISION.

4.000.000DE LECTEURS/SPECTATEURS*

TRANSPORT Management

• Bimensuel• 22.000 exemplaires• Le magazine du décideur en transport

VAN Management

• Bimensuel• 22.000 exemplaires• Le magazine du gestionnaire de parc

LOGISTICS Management

• Trimestriel• 32.000 exemplaires• Le magazine du logisticien

TRANSPORT.TV

• 3 fois par an• 600.000 téléspectateurs• Seule émission de télévision consacrée

aux acteurs du transport

LOGISTICS.TV

• 2 fois par an• 450.000 téléspectateurs• La logistique sous toutes ses facettes

BOUW.TV

• 2 fois par an• 520.000 téléspectateurs• La face « B2B » de la construction


13Avenue du Hunderenveld 10B-1082 Bruxelles

T. +32 (0)2 482 20 01F. +32 (0)2 482 21 79 www.ford.be

FORD MOTOR COMPANY BELGIUM SA

FOCUS

Ford Transit Custom, Van of the Year 2013

La division véhicules utilitaires de Ford travaille à une refonte complète de sa

gamme. La famille Transit se composedorénavant du Transit Custom(jusqu'à 1 tonne), qui vient d'êtrelancé, et du grand Transit (jusqu'à 2tonnes), qui fera son apparition dans

les showrooms dans le courant de l'année. Le Transit Custom n'a pas raté

son entrée, et a enlevé le titre de Van of the Year 2013. Il séduit surtout par ses moteurs Duratorq économes et puissants, sonespace de chargement très pratique (jusqu'à 6,8 m³) qui peut accueillir trois europalettes, et son haut niveau de finition et d'équipement. Il vient égalementd'obtenir cinq étoiles au crashtest NCAP.

LA GAMME

WHO’S WHO

Nouvelle Fiesta Van. Ford lance au salon unetoute nouvelle Fiesta Van, une citadine compacte avec une capacité de chargement de 1 m3 et uneconsommation des plus minimes : 3,3 litres/100 km enversion ECOnetic.

Ford Ranger. Le nouveau Ranger collectionne les récompenses : il a été élu International Pick-up of theYear et 4x4 de l'année dans la catégorie pick-up. Encoreplus important : il peut maintenant tracter jusqu'à 3.350 kilos.

Ford Transit (2 tonnes) & Transit Connect.Dans l'attente des deux nouveaux modèles qui seront présentés plus tard dans l'année, Ford a prévu des actions salon spéciales sur ses légendaires Transit etTransit Connect.

Jean-Paul BodartDirector Commercial Vehicles

Le nouveau Transit Custom fait leplein de gadgets technologiques quifacilitent la vie à bord, notamment lesystème de connectivité SYNC avecreconnaissance vocale, qui peut réaliser jusqu'à 10.000 commandesdifférentes. Les véhicules peuventégalement être équipés de systèmesd'aide à la conduite comme le HillStart Assist et le Lane Keeping Aid. La technologie est également bienprésente sous le capot : grâce à latechnologie ECOnetic, le Transit Custom, avec système start-stop debase , ne consomme que 6 litres aux100 kilomètres.

EN VEDETTE

Palais 6


Hoek 119B-2850 Boom

T : +32 (0)3 888 21 31F : +32 (0)3 888 02 85

[email protected]

EN VEDETTE

Première européenne : Duo-Fix

Spécialiste des revêtements de sol et parois pour véhicules utilitaires, Hebic réserve au salon de Bruxellesune première européenne avec le système d'ancrage etde montage Duo-Fix. Il s'agit d'un système breveté quirisque bien de devenir une référence sur le marché desrevêtements de cloisons pour camionnettes. Cette solution combine 2 fonctions importantes : le montagede parois et la création de points d'ancrage, le tout sansperforer la structure de la carrosserie.

Duo-Fix utilise en effet les ouvertures existantes pourfixer non seulement les panneaux contre la carrosserie,mais aussi pour y créer un point d'ancrage auquel onpeut aisément attacher des sangles avec ou sans boucle,des rails type aéronautique ou encore des tendeurs à cliquet. Les points d’ancrage se trouvent à différenteshauteurs, ce qui permet de placer des charges droites ouhorizontales, comme des échelles, des tuyaux, etc. Le système se caractérise aussi par une grande facilité demontage.

A noter encore qu'en dehors de ce Duo-Fix, la gammede produits proposée par Hebic compte plus de 3.000références.

Chaussée de Mons 45AB-7170 Manage

T. +32 (0)64 43 24 31F. +32 (0)64 55 54 82

[email protected]

EN VEDETTE

LA GAMME

La gamme comprend des châssis-cabines, pick-ups, tri-bennes, doubles cabines, minivans, minibus, fourgons,bennes à immondices, frigos, nacelles, … Un réseau de25 concessionnaires est en cours de développementpour la commercialisation du produit en Belgique. Quatre concessionnaires belges ainsi qu’un concession-naire au Grand-Duché du Luxembourg ont d’ores et déjà fait confiance à la marque Giotti Victoria et à son importateur.

Giotti Victoria fait son entrée en Belgique !

Ces véhicules utili-taires légers com-pacts (moins de 4mètres de long et1,56 m de large),sont transformablesselon les besoins duclient et conçus pour les déplacements en aggloméra-tion. La charge utile oscille de 500 kg à 900 kg. Ils sontéquipés de moteurs essence 1,1 litre et 1,3 litre d’originejaponaise. Giotti Victoria étudie actuellement une version hybride (Zéro Emission) du produit. C’est legroupe Lucien Iacono (Manage) qui est en charge de leurimportation exclusive dans notre pays.

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A. Gossetlaan 28A, b3B-1702 Groot-Bijgaarden

T. +32 (0)2 467 12 11F. +32 (0)2 467 13 30

[email protected]

FOCUSEN VEDETTE

Iveco Daily, un concept unique pour les Pros

Châssis semblable à celui des camions,propulsion, turbo diesel à injection directe,intercooler, technologie Common rail, boîtes6 vitesses manuelles ou automatisées, montage de PTO en option, disponible également avec moteur au gaz naturel (CNGNatural Power), fourgon offrant un espacede chargement jusqu'à 17,2 m³ et 2,10 mde hauteur intérieure et une MMA de 7 tonnes, version 4x4, suspension avant àroues indépendantes, possibilité de tracter une remorque de 3.500 kg, version tracteur permis BE, versions électrique et CNG. Il s'agit là de quelques points forts qui sont à la base de l'histoire de l'une des stars du marché des véhicules commerciaux légers.

LA GAMME

WHO’S WHO

Fourgon. Solide tout en étant agile, puissant touten étant économique, le nouveau Daily Fourgon répondà toutes les exigences de chargement.

Châssis-cabine. Ce Daily est imbattable pourl’utilisation sur des chantiers, maniable en ville et rapide dans ses déplacements. Tant pour le chargementque pour le personnel…

Daily Electric. Idéal pour les transports en ville,il est disponible aussi bien en version châssis-cabine(3,5 et 5,2 ton MMA) qu’en fourgon tôlés (7 à 17 m3).Autonomie : 120 km en ville.

Guy Vanhuffel General [email protected]

Erik BetzSales [email protected]

Ronald KoppelmansMarketing [email protected]

IVECO BELGIUM SA

Iveco dédie tout un espace spécial àl’innovation où est exposé – pour lapremière fois en Belgique - le conceptde technologie « Iveco Dual Energy »,un châssis d’un véhicule léger, hybride diesel-électrique. Le systèmerepose sur l'usage de deux types detraction : l'une exclusivement de nature électrique pour garantir l'absence d'émissions et de faibles niveaux de bruit et l'autre de naturehybride (thermoélectrique) adaptée àde longs trajets et des missions extra-urbaines, qui permet de réduire laconsommation de carburant et lesémissions de CO2 jusqu'à -25%.

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Palais 7 + Palais 11


16Prins Boudewijnlaan 24BB-2550 Kontich

T. +32 (0)3 450 63 11F. +32 (0)3 450 64 06 Website : www.opel.be

FOCUSEN VEDETTE

Une offre complète

Cette année, Opel entend insister sur la diversité de son offre utilitaire. Une offre quiva de l'Opel Corsa Van au Movano d'une MMA de 4,5 tonnes en passant par les Vivaro et autres Movano. Cette gamme se décline en de multiples variantes de carrosseries, de moteurs et de charges utiles. Le programme utilitaire d'Opelconvient en outre parfaitement aux transformations et aménagements éventuelsen fonction des activités exercées par l'entreprise. Bref, une solution pour chaqueclient et chaque besoin.

LA GAMME

WHO’S WHO

Combo. La gamme Combo se décline en versions Cargo (petitecaisse fermée), Tour (transport de personnes) et Combi(transport de personnes et de marchandises). Le Comboest disponible en plusieurs longueurs.

Vivaro.Van, double cabine, plancher cabine, Tour et Combi,telles sont les variantes du Vivaro. Le modèle est disponible en plusieurs longueurs.

Movano. Pour le Movano, les possibilités sont encore plus nombreuses. En outre, il est disponible en traction oupropulsion (roues arrière simples ou doubles) avec uneMMA jusqu’à 4,5 t, et proposé en plusieurs longueurset hauteurs.

Sarah TimmermansManager Commercial Vehicles+ 32 495 38 90 10 - [email protected]

Roeland Vriens Manager Fleet & Remarketing Used Vehicles+32 473 35 53 46 - [email protected]

Alec De Vylder Account Manager Commercial Vehicles+32 473 63 30 26 - [email protected]

Ready to Work

Si les utilitaires d'Opel autorisent de nombreuses transformations, leconstructeur propose aussi unegamme déjà aménagée d'usine.

Cette gamme, qui répond aux besoins les plus courants du client,est baptisée « Ready to Work » et estcomposée des modèles suivants : Vivaro et Movano double cabine,Movano avec caisse fermée, Movanoavec plateau ridelles et Movanobenne et tri-benne.

GENERAL MOTORS BELGIUM

Palais 9


17Chaussée de Louvain 6393071 Kortenberg F. +32 (0)756 83 49

[email protected]

VOLKSWAGEN COMMERCIAL VEHICLES IMPORT (CVI)

FOCUS

Transporter Edition 25

Volkswagen Commercial Vehicles vous réserve pour ce début d'année une

série spéciale du Transporter : leTransporter Edition 25. Il est proposé dans sa version de base2.0 TDI de 140 ch. en teinte blancCandy et toit noir uniquement.Cette édition limitée bénéficied'équipements spécifiques comme,

notamment, les jantes 17" Cascavel, le volant multifonctions en cuir, la climatisa-

tion "Climatic", le régulateur de vitesse, le verrouillagecentral, une radio RCD 310, un pack Confort, une banquette convoyeur 2 places, unordinateur de bord, les vitres électriques, un siège conducteur "Confort" réglable, …Le Transporter Edition 25 peut aussi être transformé en double cabine.

LA GAMME

WHO’S WHO

Caddy CNG/LPG. Un budget carburant réduitde 50 % ? C'est possible avec les Caddy Van EcoFuel(CNG) et Caddy Van BiFuel (LPG).

Crafter. Un volume et des prestations impression-nantes pour une consommation de 7,0 litres/100 km.Le Crafter dans toute sa splendeur.

Transporter Rockton. La version "offroad" duTransporter, conçue pour les situations extrêmescomme celles rencontrées par les services d'interven-tion d'urgence.

Geert SpeltensKey Account [email protected]

Philippe CoquillartKey Account [email protected]

Geoffroy DeffontaineKey Account [email protected]

Double cabineVolkswagen Commercial Vehicles met-tra aussi l'accent au Salon de Bruxellessur son offre en double cabine qui per-met une immatriculation en tant quevéhicule utilitaire. Notamment sur lesmodèles Caddy - idéal pour un usageprivé et professionnel - et Transporter(jusqu'à 6 personnes). Parmi les véhi-cules exposés, le visiteur pourra décou-vrir un Transporter Comfortline doublecabine luxeline avec sièges en cuir etDSG, ainsi qu’un Caddy Maxi doublecabine Dark & Cool. Les Crafter 35 etCrafter 50 sont également présentésen double cabine avec empattementmoyen ou long.

Patio + Palais 9

EN VEDETTE


voilà longtemps que le marchédes camionnettes n’a plus desecrets pour J&T Autolease.

En tant que partenaire de leasingmultimarques, cette entreprise estétroitement concernée par les évo-lutions que connaît le domaine desvéhicules de société légers. « Assurerle leasing d’un véhicule de tourismeest relativement facile. Pour une ca-mionnette, vous avez par contre be-soin d’un avis qualifié et des bonsréflexes ».

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van PUBLIREPORTAGE

J&T Autolease« La bonne Camionnette au bon endroit »

J&T Autolease est un acteur moyen, quipoursuit sa croissance année aprèsannée. Cette entreprise se démarquesurtout dans le segment des véhiculesd’entreprise légers. Son approche spéci-fique de ce type de véhicules n’y est cer-tainement pas étrangère. Patrick Jaspers,spécialiste Véhicules utilitaires, nous endit un peu plus : « J&T Autolease entre-tient un lien historique avec les camion-nettes. Grâce à notre situation dans leport d'Anvers, la part des véhicules d'en-treprise dans notre flotte totale est con-sidérablement plus grande que lamoyenne du marché. C’est un atoutdont nous sommes fiers, et dont noussavons de mieux en mieux profiter vianotre approche spécifique ».J&T Autolease se profile comme une so-ciété de leasing full-service, qui assurel’ensemble de la gestion du parc auto-mobile pendant toute la durée d’utilisa-tion du véhicule. « Et notre servicecommence même avant cela », s’em-presse d’ajouter Patrick Jaspers. « Nousmettons un point d’honneur à ne pasprésenter d’offre sans avoir préalable-ment réalisé une analyse de l’activité denotre client. Nous pouvons très biennous rendre à 5 heures du matin dansun dépôt pour voir comment travaillenotre client, comment ses véhicules sontchargés et déchargés, quels sont les ac-

cessoires et les équipements nécessaires,etc. Un de nos grands atouts est den’être lié à aucune marque spécifique. Sinous constatons qu’un autre type decamionnette serait plus adapté à unecertaine application, nous pouvons ob-jectivement conseiller le client et lui pro-poser une alternative valable ».

D’ABORD DÉPANNER, PUIS DISCUTERL’approche intégrée des camionnettesest un fil conducteur que J&T Autoleasesuit tout au long du processus de leas-ing. « Assurer le leasing d’un véhicule detourisme est relativement facile. Pourune camionnette, vous avez par contrebesoin d’un avis qualifié et des bonsréflexes », poursuit Patrick Jaspers. « Ilfaut s’entretenir non seulement avec legestionnaire de la flotte, mais aussi - etpeut-être même surtout - avec l'hommeou la femme qui va conduire le véhiculejour après jour. Hauteurs, longueurs,pneus simples ou doubles, traction avantou arrière, accès à l’espace de charge-ment, éventuels systèmes d’aide à laconduite : pour eux, tous ces élémentsont de l'importance. Le marché descamionnettes est particulièrement diver-sifié et chaque variante présente desavantages ou des inconvénients pourune certaine application. Après avoirminutieusement analysé ces besoins de

transport, nous impliquons enfin lestierces parties, comme les constructeurs,les entreprises de lettrage, ou les car-rossiers, dans le processus d’achat afind’obtenir la configuration la plus adap-tée ».Pendant la durée du contrat, J&T Au-tolease assure une gestion de sescamionnettes en bon père de famille.Cette gestion s’étend du volet adminis-tratif à l’assurance, en passant par l’en-tretien, les réparations, et même lesdépannages. Patrick Jaspers : « Unecamionnette n’est pas un « extra »,comme cela peut souvent être le casavec les véhicules particuliers. Il s’agitd’un instrument de travail indispensa-ble ». Les problèmes doivent donc êtrerésolus aussi vite que possible, par n’im-porte quel moyen. C’est pourquoi nousdépannons d’abord, puis nous discu-tons », explique l’expert en camionnettesavec un sourire. « Nous sommes con-scients qu’une camionnette est destinéeà un usage intensif. Nous en tenonscompte à la fin du contrat également. Ilexiste sur ce marché une certaine crainteautour des dommages de fin de contrat,mais à ce niveau aussi, nous adoptonsune approche adaptée. Vous ne pouvezpas vous attendre en effet à ce qu’un solde chargement soit dans un état impec-cable après quatre années de service ».


Les chercheurs de la VUB ont développé unmodèle TCO pour les voitures de fonctionlégères dans la Région bruxelloise et ontcalculé le TCO pour plusieurs camionnettesélectriques (la somme de tous les coûtsrelatifs à l’achat, la batterie, laconsommation électrique, les pneus,l’entretien, les assurances, la taxe decirculation, les subventions, la déductionfiscale, etc.) et l’ont comparé avec le TCOdes versions diesel et essence similaires,ramené au coût par kilomètre. Il s’avèreque cinq des six camionnettes électriquesétudiées (avec capacité de chargementjusqu’à 1.000 kg) étaient « le meilleurachat ». Avec une capacité de chargementsupérieure à 1.000 kg, le bilan TCOs’inversait. Les plus grandscamions/camionnettes électriques sonttoujours plus chers à l’achat et nécessitentdes batteries plus lourdes et plus coûteuses.

Les chercheurs ont aussi identifié desniches que les camionnettes électriquespouvaient pleinement exploiter. « Lesports, les aéroports, les grandesentreprises de transport impliquantbeaucoup de transport interne entre leursCD, la distribution urbaine, etc. Cesentreprises ont aujourd’hui une meilleurevision sur leur organisation, leur planning,leurs destinations, leurs itinéraires, leurspoints d’attente et deréapprovisionnement en carburant. Il esttrès facile d’y rouler à l'électricité »,poursuit Mme Macharis. Le fournisseur, leclient et le partenaire logistique peuventaussi plus que jamais répertorier leurs fluxet les faire concorder via le « partage dedonnées ». Il existe dans le secteurlogistique des charges et des trajetsspécifiques que les véhicules électriquesparcourent. « La technologie d’un

véhicule électrique est parfaite pour le« last mile » », explique Philippe Lebeau,collaborateur de recherche. Sur de courtesdistances avec beaucoup d’arrêts, cesvéhicules sont non seulement pluséconomiques sur le plan énergétique,mais ils sont aussi moins polluants etmoins bruyants. Ils sont parfaits pour laville et pour la distribution de nuit, parexemple. « Il convient donc de ne plus sefocaliser uniquement sur le « prixd’achat », mais d’évaluer correctement lesdivers avantages ».

CALCUL SUR 12 ANS En Belgique, une camionnette légèremoyenne est utilisée pendant 12,47 ans.Le modèle TCO a donc tenu compted’une durée de vie de 12 ans. Tous lescoûts sont additionnés : prix d’achat,subventions publiques, incitants fiscaux,taxe de circulation, batteries, entretien,contrôle technique, assurance,carburant/électricité. Les chercheurs

Camionnettes électriquesAcheter ou attendre ?

une camionnette ou un camion électrique léger est aujourd’hui déjà clairement plus intéressant qu’une solu-tion au diesel », affirme Cathy Macharis, prof.dr à la VUB. Elle dirige le Département MOSI - Transport andLogistics et fait partie du groupe de recherche MOBI (Mobility, Logistics and Automotive Technology). Elle

s’exprime en termes de Total Cost of Ownership (TCO), en eurocent par km et sur toute la durée de vie du véhi-cule. « Nous voyons donc un grand potentiel pour les véhicules électriques dans la logistique ».

Luc De Smet

19van19 VIP 22 Scoop 25 Case study

Renault Kangoo ZE

« Sur de courtes distances avec beaucoup d'arrêts, lesvéhicules électriques sont nonseulement plus économiquessur le plan énergétique, maisils sont aussi moins polluants

et moins bruyants. »

Cathy Macharis


partent du principe que les véhiculesélectriques, qui comptent moinsd’éléments mobiles, exigeront moinsd’entretien. La moitié moins, ou 2,2€ par100 km. Ils ont également tenu comptedes valeurs résiduelles. Le coût de labatterie a été prévu séparément. Lesbatteries au plomb comptent 500 cyclesde chargement, tandis que celles aulithium en comptabilisent 1.000. Lemodèle TCO estime que la batterie estremplacée : une batterie au plomb aprèsdeux ans, une batterie au lithium aprèsquatre ans. En Belgique, les camionnetteslégères parcourent en moyenne 185.145km sur 12 ans (soit 15.429 km par an). Leschercheurs ont tenu compte des aidespubliques accordées à Bruxelles pourl’achat de véhicules électriques (enfonction de la taille des entreprises, pourles petites, moyennes ou grandesentreprises : 45%, 35% ou 25% del’investissement acceptable, avec une aidemaximale de 5.000 € pour les véhiculesde société) et de la déductibilité fiscale descoûts (entre 50% et 100%, et 120%pour les véhicules électriques).

L’étude a confronté les véhiculesélectriques disponibles dans le commerceAlké ATX200 E, Goupil G5, Goupil G3,Renault Kangoo ZE, Mooville 2 m³ et 4 m³,Iveco Daily Electric et Smith Edison EV auxvéhicules essence et diesel présentant descaractéristiques similaires. Il s’avèrefinalement qu’aussi bien le véhicule lemoins coûteux que le plus coûteux estélectrique. Au niveau des camionnettesplus légères (<1.000 kg), à une exceptionprès, les alternatives électriques sont lesmeilleurs achats. Le TCO de la RenaultKangoo électrique est 3 cent/km meilleurmarché que la version diesel et 9 cents/kmmoins cher que la version essence. Lapolitique de leasing de Renault allègeaussi les coûts au niveau des batteries parrapport aux autres modèles électriques.L’étude démontre également que lesvéhicules électriques perdent du terrain àmesure que la capacité de chargeaugmente. Le TCO enregistré avec lesmodèles électriques plus lourds (unedifférence de 24 à 38 cents/km de plusque le diesel) est surtout plus élevé suite

au prix des batteries et au prix d’achat duvéhicule.

DIFFÉRENTS SCÉNARII : ET SI ?Les batteries représentent l’un desprincipaux facteurs de coûts du transportélectrique. Une étude de PRTM prévoittoutefois que d’ici 2020 (grâce auxavantages d’échelle d’un marché quiprend de l’ampleur), les batteriescoûteront environ 60% de moinsqu’aujourd’hui. Les développementstechnologiques se succèdent plusrapidement, de sorte que la capacitéd’une batterie augmentecontinuellement. Des batteries au plomb àcelles au nickel et au silicium, la densitéénergétique (Wh) par kg de batterie adoublé. Mme Macharis prévoit dans lesdix prochaines années une améliorationde 60% au niveau des batteries et de35% dans la cellule. « C’est une bonnenouvelle, surtout pour les plus grandescamionnettes électriques qui ne sont pasencore compétitives actuellement ». Ellesperdront alors un quart, voire un tiers deleur TCO par km. A mesure que les prixde l’essence et du diesel augmenteront, ladifférence se réduira encore. Les pouvoirspublics peuvent eux aussi intervenir avecdes mesures fiscales et/ou dessubventions. La fiscalité favorise déjàactuellement les véhicules électriques pluslourds (>1.000 kg). Les véhiculesélectriques plus légers (<1.000 kg) sontdéjà compétitifs par rapport aux modèlesdiesel traditionnels sans subventions.

AU COMMENCEMENTLes véhicules électriques ne sontaujourd’hui qu’au commencement deleur cycle de vie. « La crise économiquearrive au mauvais moment », indiqueMme Macharis. Les particuliers, mais aussiles entrepreneurs, reportent leurs achats.« Les entreprises doivent faire trèsattention à leurs dépenses. Opter pour le« Lean & Green » doit contribuer à« l’image » de l'entreprise, mais aussi êtreéconomiquement avantageux. Le TCO surtoute la durée de vie d’un véhicule a beauêtre intéressant, le profit n'est généré quepar l'utilisation effective des véhicules ».Les aides fiscales/fédérales pour les

véhicules électriques (déduction fiscale de30% sur l’achat d’un véhicule électriquepour les particuliers) ne sont pasprolongées. Elles devraient êtremaintenues pour les entreprises.Qu’en est-il de l’approvisionnement enélectricité ? Y a-t-il assez de courant surnos réseaux pour approvisionner lesbatteries destinées au transport électriquede marchandises. « Si le marché desvéhicules électriques augmente de 10%,la demande d’électricité augmentera de1,3% », explique Mme Macharis. Ellesouligne qu’il est possible que le réseausoit confronté à une « demandeexcessive » à certains endroits,localement. « C’est pourquoi il fautinvestir dans un « SmartGrid », pouvantcompenser l’offre et la demande pendantles heures de pointe et les heurescreuses ». Cela doit cependants’accompagner d’une productiond’électricité décentralisée.

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van VIP

En 2010, 56 véhicules électriques ontété enregistrés dans le Benelux. Parmiceux-ci, 8 modèles étaient descamionnettes/camions légers. En2011, les chiffres ont été revus à lahausse : 321 véhicules électriques,dont 27 camionnettes/camionslégers. En 2012, les chiffres se sontenvolés : au cours des 10 premiersmois de l’année, 777 véhicules élec-triques ont été enregistrés, dont 233camionnettes/camions légers.(source : Avere France)

Cathy Macharis (VUB) fait autorité en matière de mobilité électrique.

le marcHé


Dans cette perspective, le Groupe LucienIacono investit actuellement dans de nou-velles installations, où il aménage unshow-room d’exposition et des bureaux.L’importation est placée sous la directionde Frédéric Masquelier, qui peut se pré-valoir d’une expérience de 15 ans dansl’importation automobile. Giotti Victoria est une marque devéhicules utilitaires légers compacts(moins de 4 mètres de long et 1,56 m delarge), transformables selon les besoinsdu client et conçus pour les déplacementsen agglomération. Les prix de cesvéhicules varient de 9.150,00 € à12.300 € HTVA. La charge utile oscille de500 kg à 900 kg. Ils sont équipés de mo-teurs essence 1,1 litre et 1,3 litre d’originejaponaise. Giotti Victoria développeactuellement une version hybride (ZeroEmission) du produit. La gamme com-prend des châssis-cabines, pick-ups, tri-bennes, doubles cabines, minivans,minibus, fourgons, bennes à immondices,frigos, nacelles, … Les équipements sontbadgées de la marque italienne Cucini.Un réseau de 25 concessionnaires est encours de développement pour la com-mercialisation du produit en Belgique.Quatre concessionnaires belges ainsiqu’un concessionnaire au Grand-Duchédu Luxembourg ont d’ores et déjà faitconfiance à la marque Giotti Victoria et àson importateur.

Les utilitaires Giotti Victoria font leur entrée en Belgique

d’abord connue pendant desdécennies pour ses camping-cars de marque Mobilvetta, la

famille Giotti s’est lancée en 2009dans le montage de véhicules utili-taires légers sous le nom de « GiottiVictoria ». Fort d’une expérience deplus de 40 ans dans le secteur auto-mobile (notamment avec les mar-ques Honda et Hyundai), le groupeLucien Iacono, situé à Manage, estdevenu récemment importateur of-ficiel de la marque italienne pour leBenelux.

Christophe Duckers et Frédéric Willems

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van 22 Scoop 25 Case study 28 Test

« Le secteur automobile actuel ne nous permet plus de poursuivre notre croissancecomme nous le souhaitons », explique Lucien Iacono. « Nous avons donc envisagédifférentes pistes de diversification, et avons décidé de nous lancer également dansl’importation de la marque Caron ». La marque italienne construit depuis plus decinquante ans des transporteurs multifonctionnels, conçus pour travailler en toutesécurité sur tous les terrains. Il se distinguent par leur structure robuste, leur grandevariété d’application et jusqu’à 6.500 kg de charge utile homologuée.La gamme se compose de trois modèles souples et compacts, la série AR/ST EVO 3,la série C et la série CT. Cette dernière série propose notamment le modèle CTS, pre-mier transporteur compact équipé d’une suspension hydropneumatique automa-tique à l’avant comme à l’arrière, et offrant par conséquent un important confortd’utilisation, même dans des passages étroits et de forte déclivité. Les véhicules peu-vent tracter jusqu’à 14 tonnes, et sont équipés de motorisationsdiesel de 1,3 à 3 litres de marques Perkins, Lombardini et VM.« Vu les spécificités de ces produits, nous allons mettre surpied un réseau de cinq concessionnaires à l’échelle na-tionale », poursuit l’administrateur délégué. « Nous pen-sons ainsi convaincre différents clients, dont des communesrurales et des intercommunales, de faire con-fiance aux véhicules Caron ».

caron oFFre de nouveaux déboucHés au groupe lucIen Iacono

Les utilitaires Giotti Victoria sont légers, compacts et transformablesselon les besoins du client.

Les transporteurs Caron sont conçus pour tra-vailler en toute sécurité sur tous les terrains.


Le Centre des véhicules d’Anvers emploie60 personnes. « Nous nous chargeons dela trajectoire complète suivie par lesvéhicules et autre matériel roulant auservice de la ville, de l’achat àl’amortissement en passant par la gestion »,raconte Geert Biesemans. « Nousdisposons de 3 stations-services et d’ungrand atelier comprenant des divisionspour les réparations, les travauxélectriques, la carrosserie et le métal. Deplus, nous possédons notre propre divisiondépannage prêt à intervenir 24h/24. »La ville est propriétaire de plus de 80 %des véhicules. Le reste fait l’objet d’unleasing. « Pour des véhicules trèsspécialisés, nous ne nous occupons pas del’entretien, mais concluons des contratsd’entretien avec nos fournisseurs. »

CONTRATS-CADRESLes 9 unités d’exploitation d’Anvers ontchacune leur responsable de parc. LeCentre assure le support. « Nous délivronsdes conseils en matière de car policy etnégocions les contrats-cadres. Les sociétéscommunales peuvent ainsi placerrapidement et efficacement descommandes. Pour les utilitaires, nous

avons conclu un contrat-cadre avecCammaert Trucks et Iveco. Pour lesvéhicules de 3,5 tonnes, nous travaillonsavec Ford et Permeke d’Anvers. Et pournos camionnettes CNG, nous nousadressons aussi à Cammaert Trucks. Nousavons également négocié des contrats-cadres pour le carburant et les assurances.Actuellement, nous collaborons avec Total

et Belfius. Cela signifie donc que lecarburant et les assurances ne sont pascompris dans nos contrats de leasing. »

STRATÉGIE VERTELe Centre des véhicules se charge del’analyse des besoins. L’achat final estréalisé par le GAC (GemeenschappelijkeAankoop Centrale ou centrale d’achat

25van25 Case study 28 Test 30 Test

« Nous n’avons pas à rougir, au contraire »

Geert Biesemans mène à bien la ‘durabilisation’ du Centre des véhicules anversois

le Centre des véhicules de la ville d’Anvers assure la mobilité du personnel communal. Un sacré défi, car laflotte est, avec pas moins de 1500 véhicules, aussi imposante que variée. Geert Biesemans, directeur ducentre, a fait ses preuves dans le monde des poids lourds et utilitaires légers. A Anvers, il mène à bien, depuis

l’an dernier, la ‘durabilisation’ de la flotte communale. « Auparavant, les chiffres trimestriels étaient déterminants.Aujourd’hui, je collabore sur le long terme à un projet social. Qui donne toute satisfaction. »

Kristof Winckelmans – [email protected]

Geert Biesemans est convaincu par les utilitairesélectriques, même si les prix actuels le poussentvers les véhicules au gaz naturel (CNG).


commune) « Cette façon de travaillerrépond à notre souhait de profes-sionnalisation. Anvers est sur ce plan trèsen avance. »Et c’est aussi la mission du Centre desvéhicules. Geert Biesemans : « Nousessayons d’assurer la mobilité du service,en veillant à maintenir 3 piliers importantsen équilibre : l’opérationnalité, l’économieet l’écologie. Notre stratégie verte découleaussi de cette mission. En 2011, la flottecommunale émettait 6,18 millions kg deCO2. Nous voulons réduire radicalementces émissions. »

23 VÉHICULES ÉLECTRIQUESAvec le célèbre principe STOP(Stapper/piéton, Trapper/cycliste, Open-baar vervoer/transport public et Privévervoer/voiture) comme fil rouge, le centreréalise l’écologisation en 3 étapes. «D’abord, la ville a réduit le nombre devéhicules de service, qui passe de 377 à294 voitures. Ceci grâce à la centralisationdes services communaux à Den Bell, lenouveau bâtiment administratif. Parailleurs, nous avons investi à Den Bell dansune infrastructure pour vélos. Ce qui apermis de développer énormément lesdéplacements domicile – lieu de travail envélo. Troisième priorité : l’écologisation denotre flotte en investissant dans la mobilitéélectrique et les camions au CNG. »Grâce à un accord de collaboration avecles autorités flamandes et uneparticipation au projet-pilote Olympus, lecentre des véhicules dispose aujourd’huide 6 Nissan Leaf, 4 Peugeot iOn, 8

Goupils (pick-up électriquemultifonctionnel) et 5 Iveco Daily.« D’après notre expérience, les véhiculesélectriques conviennent parfaitement àune utilisation urbaine », déclare G.Biesemans. « Sur les 30 véhicules de poolqui se trouvent aujourd’hui à Den Bell, untiers sont déjà électriques. Laconsommation atteint 21 kWh/100 km,ce qui correspond à 2,2 €. Soit 6 foismoins cher que l’essence. »

BON FEEDBACKLe CNG répond à la ‘durabilisation’ de laflotte communale. Geert Biesemans :« Actuellement, nous possédons unenacelle élévatrice, 3 véhicules dedéménagement et un bibliobus au CNG. Legain de consommation est plus limité pources véhicules. Mais ils sont tous trèssilencieux, ce qui n’est pas négligeable dansun milieu urbain. Le gain principal résidedans la réduction des émissions departicules fines et d’azote ainsi que dans lasécurité accrue. Le CNG est plus léger quel’air et s’échappe donc immédiatementdans l’atmosphère en cas d’incident. Nousavons d’ores et déjà un bon feedback. Lechauffeur du bibliobus ose aujourd’huipasser sans gêne à proximité des cours derécréation, puisque c’est un véhicule propre.C’est ce qui est bien avec le CNG. Le CH4est une molécule très simple qui entraîneune combustion très pure. » G. Biesemanspointe quand même un écueil : « Il n’existequ’une seule grande station-service CNG àAnvers. Nous avons en fait besoin d’une 2estation. Sans quoi, nous ne pourrons pas

poursuivre l’expérience sans mettre en périlnotre opérationnalité. »

VÉLOS ÉLECTRIQUESRécemment, 3 vélos électriques, destinés àla distribution du courrier en ville, ont rejointle parc. « Ceci permet d’écologisersérieusement la mobilité du service. Car lesvélos électriques constituent une alternativeà part entière aux véhicules de service. Ilsbénéficient d’une assistance électrique, sontplus rapides que les vélos traditionnels et nenécessitent aucun parking. » Dans le cadre du projet-pilote Olympus,un test est actuellement en cours avec 8vélos électriques de pool sur le site de DenBell. « Nous examinons encore la manièredont nous pouvons procéder afin que lescollaborateurs puissent disposer d’unevéritable alternative aux déplacements deservice en voiture. »

DÉVELOPPEMENT DE COMPÉTENCEComment G. Biesemans voit-il lapoursuite de l’écologisation de la flottecommunale ? « Les véhicules électriquesont sans conteste du potentiel pour lesdéplacements de service. Ils répondentparfaitement à nos besoins, mais je faisalors abstraction du prix de revient, qui esttoujours assez élevé. Par ailleurs, je voisbeaucoup de possibilités pour des vélosélectriques de qualité, associés à unsystème de distribution efficace. Pour lesvéhicules au-dessus de 3,5 t, le CNGreprésente une bonne option. » Le défi del’avenir ? « Garantir la même mobilitéd’une manière durable et avec un bonrapport coût/efficacité. Ceci implique aussique nous investissions dans ledéveloppement de compétence enmatière de CNG, d’e-mobility et desystèmes modernes de diagnostic. Nostechniciens vont devoir évoluer. Un défipermanent. En outre, il va falloir oserremettre en question nos habitudes dedéplacement. »Néanmoins, Geert Biesemans estpleinement confiant. « La ville occupe uneposition avant-gardiste. Nous n’avonscertainement pas à rougir, au contraire.Quand on nous demande de parler denotre expérience, on se rend compte àquel point on est avancé. »

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van case study

Pour les déplacements urbains de courte distance, la Villed'Anvers utilise depuis peu 5 Iveco Daily électriques.


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van 28 Test 30 Test 30 Market

FAM et Dangel Peugeot passe en mode 4x4

Peugeot ne disposant pas dans sa gammestandard de véhicules utilitaires légers tail-lés pour un usage tout-terrain, il s’estlogiquement tourné vers des partenaireséprouvés pour combler cette lacune, enl’occurrence FAM et Dangel. De cettefaçon, le constructeur de Sochaux entendse positionner sur une nouvelle niche demarché, à destination principalement desservices publics (poste, service des eaux &forêts, police, pompier,…). FAM et Dangel proposent donc des ver-sions adaptées de différentes camion-nettes Peugeot. Les transformationsproposées par les deux entreprises com-prennent systématiquement une plaquede fond supplémentaire en acier et unesurélévation jusqu’à une garde au sol min-imum de 200 mm. Pour une tractionaméliorée, le choix est laissé entre dif-férents systèmes de traction.

FAM : UN SUPPLÉMENT DE 2.000 À 2.500 EUROSDans le pack « Motricité Renforcée », FAMpropose un différentiel à glissement limitéà 25 %. Le prix de ce pack oscille entre2.000 et 2.500 euros pour les différentsmodèles. En complément, on peut fairemonter des pneus adaptés. Les numérosde PVA standard sont maintenus et le sys-tème ESP demeure inchangé.Depuis 2000, FAM a déjà équipé plus de40.000 véhicules avec ce système. Un essaiavec un Peugeot Partner adapté sur un

chemin forestier défoncé a vite démontréque la plaque de fond n’était pas un luxesuperflu. Par ailleurs, le véhicule était re-marquablement stable grâce au différen-tiel à glissement limité, qui fait que l’enginà moins tendance à verser sur le côté.

DANGEL : POUR LES BAROUDEURSPour des conditions plus extrêmes, Dangeloffre d’autres solutions sous la forme deversions 4x4 en combinaison ou non avecdes différentiels arrière à glissement limitéou pouvant être entièrement bloqués, etune première vitesse raccourcie pour lePartner. Le prix peut s’élever jusqu’à plusde 8.000 euros.Le système 4x4 actuel pour les véhicules àtraction avant est composé d’un essieu ar-rière à traction supplémentaire, avec em-brayage à viscocoupleur. La traction arrièrepeut être actionnée et désengagée tout enroulant, tout comme le blocage du dif-férentiel arrière. Un essai sur un parcours4x4 contraignant avec un Dangel PartnerExtrême + a démontré qu’il s’agit réelle-ment d’un baroudeur prêt à affronter tousles terrains. Notons que Dangel est unevieille connaissance dans le monde des

4x4 : qui ne souvient pas du break Peu-geot 504 4x4 surélevé ? Les Peugeot Dan-gel participent depuis des années déjà àdifférents rallyes africains.

en collaboration avec lesentreprises françaises FAM etDangel, Peugeot propose

désormais sur le marché belge unegamme de camionnettes à lamotricité améliorée. De quoi aborderles routes et chemins les pluscontraignants en pleine sérénité..

Wim Buurke

FAM a un nouveau prototype : le Peu-geot Boxer FAM F4. Selon l’entreprise,seul l’Iveco Daily 4x4 est un concurrent.Le secret : « Motricité Renforcée » etune sorte de pont portique à l’Unimogsur l’essieu avant et une traction hy-draulique (de Poclain) pour les roues ar-rière. Résultat : une garde au sol de 340mm, tant à l'avant qu'à l'arrière. Uncamion à benne basculante 6x6 ne faitpas mieux en moyenne.Un avantage supplémentaire de la trac-tion hydraulique est qu’un grand cou-ple est disponible immédiatement.L’inconvénient est que ce système n’estpas destiné à être utilisé en perma-nence, mais seulement lorsqu’une trac-tion supplémentaire est requise.

prototype : peugeotboxer Fam F4

Un Peugeot Partner Dangel4x4 : on remarquera la plaquede protection avant et la gardeau sol sensiblement surélevée.


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LeasePlan CONNECTION LCV Fleet Test« Les véhicules utilitaires légers sont de petits camions, pas de grandes voitures.

L’impressionnant château de Diepensteynà Steenhuffel, qui a retrouvé son anci-enne gloire depuis le rachat par labrasserie Palm, formait le décor de ceLeasePlan CONNECTION Fleet Test. 364jours par an, ce sont les chevaux de traitbrabançons qui attirent toute l’attentionau Musée du cheval de trait, mais pas au-jourd’hui. LeasePlan avait notammentrassemblé par moins de 21 véhicules util-itaires légers dans la grande cour in-térieure, qui ont pu être mis à l’épreuve àcœur joie par les clients et les prospects.Étaient entre autres à l’appel : les nou-veaux Isuzu D-Max et Ford Ranger, le Peu-geot Expert et le Citroën Jumpymodernisés, et même le Mercedes Citan,en avant-première belge exclusive. Onpouvait regarder et toucher, mais mal-heureusement pas rouler.

Cela n’a toutefois pas gâché le plaisir del’assistance, car grâce à la présence de la

vaste offre de véhicules utilitaires légers,les fleet managers présents ont pu se faireen quelques heures une bonne idée de ceque le marché a à offrir à l’heure actuelle.Un fait frappant est que ce marché seconcentre fortement sur les trois piliersque LeasePlan tient en haute estime enmatière de gestion de la flotte de camion-nettes : ‘People, Planet et Profit’. Ou, dansle langage automobile : confort, écologieet rentabilité. « LeasePlan aborde lesvéhicules utilitaires légers comme de pe-tits camions plutôt que comme degrandes voitures », souligne Frank Deroy,Manager light commercial vehicles.« Cela peut sembler évident, mais unecamionnette n’est vraiment pas unevoiture normale et requiert une approchetoute différente. LeasePlan offre une so-lution sur mesure, qui répond non seule-ment aux besoins spécifiques de lagestion d’un parc de camionnettes, maisqui limite en outre les tracasseries admin-istratives et opérationnelles. »

Les managers de parcs de camionnettesdoivent souvent marcher sur la corderaide pour trouver sans cesse le bonéquilibre entre les dépenses liées à la mo-bilité et la nécessité permanente de li-

miter les frais. De Roy : « De plus, il y a lefacteur humain : les chauffeurs ontrarement un lien émotionnel avec lacamionnette qu’ils conduisent. Aussi, lagestion de leur comportement est beau-coup plus complexe que dans le cas d’unparc de voitures. LeasePlan les soutientdans la sélection du véhicule adéquatpour la tâche en question, elle minimisel’immobilisation des véhicules, donne desconseils pour un rendement optimal descamionnettes et assure aussi le Drivermanagement. »Une approche qui est fort appréciée de laclientèle présente de LeasePlan, tel qu’ilressort d’un bref tour de table. Toutcomme la journée de test proprementdite…

la gestion d’une flotte de ca-mionnettes n’est pas une tâcheaisée, loin de là. Ce sont autant

d’instruments de travail indispensa-bles, qui sont quasiment irremplaça-bles en raison de leur spécificité et deleurs caractéristiques liées à la profes-sion. Lors du LeasePlan CONNECTIONLCV Fleet Test, la société de leasingLeasePlan a présenté aux clients etprospects son approche LCV rodée eta profité de l'occasion pour faire dé-couvrir aux personnes présentes lesdernières nouveautés dans les gran-des voitures. Ou dans les petits cami-ons ?

Kristof Winckelmans –[email protected]

Le Volkswagen Amarok avec boîte automatique à huit rap-ports a attiré tous les regards et a même cloué le bec auxplus grands critiqueurs de boîtes de vitesses automatiques.

Pour une fois, les chevaux de trait brabançons ont dû se contenter d'un rôle de l'ombre. Entre autres du MercedesCitan, qui a assuré une première belge exclusive lors du Fleet Test.


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C'est une ambiance particulière que celledes enchères. Elle vous prend dès le park-ing, presque comble, où l'on croise deuxNéerlandais bien résolus à ne pas repartirbredouilles. "Ce Vito blanc vous intéresseaussi ? Dommage, parce que nous allonsl'acheter !", plaisante l'un d'eux. Venustout spécialement à Anvers pour participerà la première vente aux enchères, ils au-raient parfaitement pu enchérir à dis-tance, par Internet. "C’est bien laspécificité de cette vente : on peut yenchérir en ligne ET dans la salle", con-firme Steve Vanslype, Used Van Managerde Mercedes-Benz. "La demande encamionnettes d'occasion dans notreréseau Used 1 augmente d'année enannée. C'est pourquoi nous organisons encollaboration avec Autorola cette pre-mière vente aux enchères en ligne. Nouspourrons ainsi écouler en un jour une cen-taine d'utilitaires légers !"

Les amateurs peuvent tenter de décrocherà petits prix 50 Sprinter, 32 Vito, 14 Vianoet 4 Vario. Semblent surtout intéressés lesindépendants et les gérants de sociétéunipersonnelle, à la recherche d'une solu-tion de transport bon marché. Vanslype :

"Nous vérifions que le niveau mécaniquedes véhicules vendus par le biais de Used1 soit égal à celui d'une camionnette Mer-cedes neuve. Nous les couvrons d'ailleursd'une garantie intégrale d’un an, pourque l'acheteur reparte en totale confiance.Bien sûr, on ne va évidemment pas enmasquer les traces d'usure, qui de-meurent, mais elles sont largement com-pensées par le prix d'achatparticulièrement modique."

Les initiés nous assurent que les prix sonten effet considérablement plus bas queceux pratiqués de façon "convention-nelle". Nous sommes curieux de voir… etvite convaincus lors de la présentation despremiers véhicules dans la salle d'exposi-tion. Des mains se lèvent, tandis qu'uneguerre de la surenchère se déclenche aussisur Internet. Les offres se multiplient à unpoint tel que le maître priseur éprouve desdifficultés à suivre le rythme. "Vous voyez,la plupart des véhicules partent à toutpetit prix", nous explique notre voisin."Pas mal de gens renoncent alors que leprix est encore loin de celui de l'argusparce qu'ils savent qu'il subsiste encore 70à 80 utilitaires à vendre". Une tactique qui

se révèle payante, comme on le verra plustard, lorsque ce voisin de chaise se porteraacquéreur d'un Mercedes Sprinter de 180000 km pour seulement 4200 €. "Il vienttout juste d'être rôdé" plaisante-t-il, "prêtpour débuter une seconde vie". Mais toutle monde n’en sortira pas aussi verni : lemodèle numéro 65, un Vito blanc, est fi-nalement cédé à un acheteur en ligne,particulièrement opiniâtre. Du coin del'œil, nous apercevons nos deux Néer-landais, très déçus, qui trop vite avaientcrié victoire.

elles n'ont peut-être pas 9 vies,à l’inverse des chats, mais aumoins deux, sinon trois : voilà

pour les camionnettes Mercedes,grâce à leurs moteurs inusables etleur fiabilité technique. Used 1, leréseau d'occasion de Mercedes Van,a récemment écoulé une centainede camionnettes d'occasion en col-laboration avec Autorola. Une visites’imposait.

Kristof Winckelmans –[email protected]

Used 1 : 100 camionnettes Mercedes aux enchères

Une fois, deux fois, adjugé !

Pour le public comme pour Mercedes-Benz, la première vente aux enchèresde Used 1 organisée en collaborationavec Autorola est un véritable succès.Qui entraîne une suite : en décembre,Used 1 a lancé sa propre plate-formeInternet, Mercedes-Benz VANLine, surlaquelle les professionnels peuventenchérir sur les véhicules du stock deUsed 1. Plus d'informations surwww.U1.be/auction.

bIentôt une suIte


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