Vigouroux. Dictionnaire de la Bible (1912). Volume 5 pt. 3

445
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Transcript of Vigouroux. Dictionnaire de la Bible (1912). Volume 5 pt. 3

"20;
xmîciov
tt,
377.
contour-
nant
la
des eaux de
eaux
du
Silonite.
SILONITE
(hébreu
3,
1.
1,
col.
291.
Siddim
3,8,
plusieurs personnages
de
monde,
sur son front une
traitèrent avec
Siméon
fut
retenu
qualité de
iv,
1. GÉOGRAPHIE.
Négéb.
Juda, Jos.,
peu
ce
qui
ferait
IV,
30,
identiliée
t. m,
col. 754.
:
Beninioit
ne
forment
qu'une
seule
'Ep£y(j.(ijv
doute celle de
 
torrents,
qui
coupent
le
descendent
des
dernières
pentes
par deux
par quelques
La punition est
Et
je
privé
de
territoire
Béné-
On
ne
sait.
Voir
portent bien,
Juda
'i
(|iii
avait
Spousr
nue
reniine
éli'anfjère
et
rpii
la
Lévi,
un
conservé saint
mise dans
à
gate Sernron
dans Gen.,
13,
du
nom
d'un
2.
SIMMAA
m, 5.
Il est
Voir
Saml'a
1,
mier.
Simon
grands
miner
voit
dans
qu'il
rables
au
Temple
peuple,
y.
ce
passage
de
Simon
l'tolémi'elV
Philopator,
peine
entré
habitaient
col. 498-499.
de
un butin
en
combattant
contre
naient,
après
les
avoir
battus,
per
en
pri-
sonnier
comme
otages.
Simon
point l'accuser
ou Adaram
envoya
des
ambassadeurs
Gazer (voir
7,
34;
xv.
28,
35.
11
de la
était, d'après
pontificat.
C'est
à
divers
critiques
(|ue
c'était
Lévi
Ksd.,
XII,
17,
au
lieu
de
Benjamin,
par
le
cité,
» et
c'est
Mais
VAlexandrinus
Simon
était
Ce
Jérusalem.
plaindre
auprès
du
plus
noms,
toutes les
pratiques du
l'ap('ilre saint
sanridrum
Simon le
mar-
tyre
et
peut-être
Quelques-uns ont
conversion
de
ses
des
chrétiens.
Simon,
tin
Simon
l'ile du
confondu
par les
de
surtout
en
Allemagne,
est
donnée.
IJictio-
nanj
a(
Christian
Uiiigiaphij,
se retira
Cette maison
son mauvais
caractère, delà
méchanceté de
de
sa
mauvaise
dos
plupart des
C'est
contre
ne
devait
paraître
R.
Sirnon
relatifs
ment
de
Rossuet
« Richard
H.Simon
suspecte,
On
a
de
lui
apocry-
phorum,
in-4°.
Halle,
1762;
Observatioiies
Lexicx
in
suppl.
lui-même
aucune
l'hypo-
ble,
111 Reg.,
Les premiers
vr,
22,
toute la
conduite en
ressent l'heureuse
s'acquitter
de
s'être
toujours
conduit
12. Il
redoute que
de
donner
eux
aussi
simplicité
convient
aux
guerriers simulent
Jos.,
viii,
15-
20.
loin,
afin
même, les Israélites fuient devantles
guerriers de Ben-
présente à
de
mauvaise
vie.
Gen.,
xxxvill,
14-19.
David
simule
la
folie.
I
xxi,
12-15.
Voir
PÉLUSE,
col.
28.
SIN
(DÉSERT
enfants d'Israël,
avant
d'arriver
de certitude, à
modernes,
Paris,
1896,
doit
sur
la
le gros
côte,
et
le
faire
détachements
dix-sept
kilomètres
de
y
in-
sister,
de Sin
Uebbct
er-HatnIrli,
grande
contre toutes les
moins praticable poui'
roule qui suit
liaute anti(|uité,
laveur
des
préférences
de
plaine
d'el-Ma>-
klia.
920;
jusqu'au
Sinaï
s'appelait
opinion
et
les
savants
mo-
dernes,
la plaine
tine,
appuyé
traditionnelle
de la
plaine d'el-Markha,
les masses
abondante
existe
une
dépression
d'Israël
y
probablement
mais rien pour
enfants
d'Israël
murmura
contre
Moïse
pendant
qua-
rante
lit
6^)3; Vigouroux, Manuel bibli(]ue,
12«
p.
il est
Cf.
Quaresmius,
Elucidatio
Terrée
rouge,
de
grande
Leipzig,
1895,
t.
I,
p.
la
péninsule
la
route
des
Israélites,
d'abord
sur
la
donne'
son
nom
y
du
Jahviste
(.1).
paître les
brebis de
de
la
mer
que,
après
son
entrevue
avec
Moïse,
Tout
s'explique
en
ne
passage
quoique
donc, au bout
partir
du
désert,
est
Dans une des
rapport
des
voya-
geurs,
Piiaran,
On
de
Deut.,
1,
2
comme
point
de départ le Sinaï de la cote occidentale de l'Arabie;
aucun autre
peinture
d'une
éruption
volcanique,
tellement
y
en
a
dans
Contre les partisans
rendre
de la mer Rouge à Cadès, sans passer par le
Sinaï.
Nous
avons
déjà
nous
avons
donner
toute
l'importance
une
montagne
de
llanime
»
laquelle
agencement
du
texte
ne savent
qui,
la
tradition
suivre
plus
35000
kilomètres
carrés.
La
presqu'île
pré-
péninsule
et
forment
comuie
liien
distinctes.
tributaire de l'.Vrahah,
dressent d'autres cimes,
de
terres
se dirigent
Suez,
les
la
mer.
On
de celle-ci
porphyres,
ont
un
relief
extraordinaire
et
de
(lérome,
lig.
."iSl,
donne
leurs roches,
les monts
par
sont d'une
tendre
du
feldspath,
lointains,
les
ombres
noires
petits
dans les contrées humides
prits. Tous
l'extrémité
septentrionale
du
djebel
direction du
Sablonneuse
hauteurs
qui
ne
20 kilomètres
largeur de
inter-
ruption
jusqu'à
péninsule.
C'est
vers
Mi'isa.
sinueux
des
sources
ther-
males
sulfureuses
pénin-
sources
créent
de
la
crête
soti-
gypse, constaté
y
verra
la
succession
méridionale
de
la
péninsule
simplement
ébranler,
puis
très
abondantes
et
souvent
facilité
qu'elles
ne
ren-
souvent au
bord de
glacis de
sité
beaucoup
lentement,
d'un
se
trouve
décembre
désert
renferme
de
excessive dans
sauvage
col.
vigoureuse et variée
de l'ouadi Feirdn,
recherchées
sommaires
sur
la
YOrdnance Sur-
H.
lons seulement
le
milan,
Mitrtis
autour d'un
vivacité
fortune
chèvre et
à llaila
dont
l'une
se
rap-
proche
en plus
près jusqu'au
l'est,
'l'ôr,
par l'une
ou l'autre
physique
et
tenter au-
S\ rie
par la
ici,
selon
l'opiiiioii
la
plus
roriiiiuine,
d'
Ain
llauaiuli.
Le
peut
descendre
directement
à
la
Sardtdt
el-Kliddim,
LlCcriture
nous
montre
campement.
Cf.
E.
H.
Palmer,
The
deseit
<if
»
llaba, tourne au
Voir Manne,
t. iv,
région des
dans
la
Revue
biblique,
1900,
p.
80.
i
(I
Sortis
d'Alus,
ils
lixèrent
longue, mais la plus
sont
encombrées
de
rochers
énormes,
délacliés
de
la
montagne,
dans
côtés,
à
l'ex-
ception
Ces
deux
formée
d'herbages;
lumière.
Elle
nous

ils
n'ont
laissé
ailleurs
que
par
conséquent,
les
mieux
renseignés
aucune
lumière
directe,
an, ils
suffisante
pour
recevoir
l'entourent,
en
les
plus
élevé
mon-
On a
«
ruines
rattache
Enfin les inscriptions sinaïtiques, dont on a clierclié à
 
partie
du
mùme
massif.
Bien
que
Sainte-Catlierine,
de
la
pas.sa'it au
doutes
s'éva-
nouissent,
une
terreur
d'un an au pied
de
Pharan,
midbar
Pà'rdn. »
Num.,
Tab'crdlt,
ou
de suivre
un ciiemin
à Lussân
Macéloth (hébreu :
les
peuvent être
hasard.
Si,
comme
le
et à
y
surtout
de
longtemps
ignorés.
pour
nous
lils
d'un
à
partir
de
montre bien
Kn
ri'sumé,
les
séiniti(|ue. Voir
Sainte-
Catherine.
inconnus.
D'après
Le
temple
de
Saràbît
el-Kluidini,
pour
sanctuaire
qu'une
delà
grotte
sacrée
un
épais
lit
de
qui les
trouvent confirment cette
cônes,
autre
des bassins à
faveur
ce
389)
et
d'autres
chose
nous sont
plupart
des
grandes
vallées
toit
plat.
Les
prescriptions
au
mont Sinaï,
Paris, 1830;
p.
Sinaï, Berlin,
18i5; Lollin
Deserl,
et Pétra.
d'Orie»/,
Paris,
total,
découvrir
le
il en exécuta
fut
entreprise
aussitôt,
et
Sept
ans
plus
tard,
en
1809,
le
clair dans
cette histoire
au tsar
romanesque.
répon-
que
donné
de
honnes
faire
exécuter,
il
parait
ajoute : xa'i
ceci
ne
Le
mot
et
qu'il
n'était
pas
portatif.
Eusébe
fit
exécuter
Conl., IV,
fabri-
désigner
les
autres
voir
tous
les
donnant
sigle n qui le
parait dénuée
Scden,
Uii'
Srhriflm
des
Neui'ti
Teslamenis,
souffert
la lin du second
nom
3<Y,grô^îi;
voir
mœurs
qui
placent
Avant de
avons à
rechercher d'abord
On en
on, ou bien comme
p>ï
l'étyinologie de
par les
deux mots
-i^ïs,
livres
historiques,
12;
deux noms
forment les
membres du
ville
sainte.
Testament
Dieu,
dérivés,
pour
Des
le
Aii'lelerre
et
of
prœ-e.rilic
de France
dans leur
qui lui
c'est
la
théorie
de
2"
Sion
son
ne
convient
lettres
d'El-
.J.-C,
désavantageuse
prendre
de
grands
accroissements.
nous dit le
de
rap-
peler
l'origine
de
la citadelle
David ». Il
de
Jébuséen, emplacement
la cité
place? Nous
maison
de
Jéhovah.
Mais
quand
occidentale
historiques, Nous
porte
Sterquiline.
:
et
la prison est
de
la
dédicace.
gra-
virent
cité
de
David,
David
1-3
Dans la cité
son
élévation,
Délices
manière
abrupte
La colline
texte,
il
est
bon
frères,
on
grava
y.
48 : «
On
décida
de
graver
»
ces récits
élevées
jour
sur
l'aise dans
que
la
transporté
l'appliquant à
Séir

voyageurs
mo-
'i signifie, comme le
nom hébreu, retiré, parce
l'écart de la
la
y. 22,
trouve
pour
fabuleux
étaient
figure d'une déesse
constater le
Salo-
nion.
111
Israélite,
peu dilïérente
en hébreu.
1. SISAl
Cbanaan.
Ses neuf
Voir Haro-
^ETH, t.
montra
le
ca-
parti contre lui.
iiétal
(ou
manche
et
traversé
II
iv,
3;
et
Susa,
42. Adina fut un
lune de juin et
Siban);
llaruch,
1,8.
chez
les
cordeliers,
ce qui
conver-
tit,
succès en
n'est
raire
saints
et
Plus
environ
l'empereur
grec
dit-on,
un
encore
d'expressions
la
Vulgate.
Il
y
a

quelques
mots
bibliques.
Le
livre
de
de
.losué,
au tzar
meilleur
en 1882 en
en
gla-
golitique;
Crnéie
l'a
publié
en
textes de
Sreznevski.
parimeynik
dans les
le plus
de faire
Le
Gen-
n'était pas
réimprimée
en
1583
à
Oslrog.
En 1663 a été
quant au
avec la
celte édition
est conforme
pal.'oo-slovène dans la re-
Pïemysl,
pal;eo-slo-
vcne
quelques
'Tétraévangiles;
chez
les
recension glagolilique
christianisme fut
slovène
supérieui-e.
reine
Marguerite
Ilanka
a
cher-
Wittemberg,qui
est
gardé
Ivanovié). Cette Bible
liible de
Saros-patak. D'après
publié à
Cracovie 1.539
(nombreuses éditions).
qui
rité;
un de
an-
403.
surnom
de
Smyrne
appartint
saint,
l'olycarpe,
sous
à leur
Topograpliie Kleiiiasiens,
zer, Smyrna,
men-
tionnées
dans
ce
chapitre,
2t)-27,
ne
llgurent
pas
dans
la
liste
du
cil.
fondre
avec
la
précédente,
voir
David, le
Palestine avec
(Lix),
i
(2)
de
Gen.. xxxvr,
de
teur de
chefs
SOBOCHAÏ
(hébreu
dait
de
Zara,
II.
David
de
xxiii,
2,
est
—1»
D'après
I'Oho-
niasticoii,
édit.
Larsow
13
kilomètres
de citernes,
probable-
état de résister à
ilireclion
soit
légèrement
les
Babyloniens
transportés
en
Samarie
de la Bible,
partirent pour
aller à
en
marche
vers
Etham
D'après
le Jourdain.
le
nom
refusé des
de Jacob,
encore nommée
III Reg.,
VII, 46
:
{kikkar)
du
Jourdain

l'on
faire
envoya dans
la Terre
dont quelques-uns
documents
cunéiformes.
Nous
ignorons
vallée fertile de Siddim.
catastrophe
de
corruption
mais leurs
l'invasion
de
Chodor-
les quatre
battus dans
que
la
le pays,
son
oncle
qui
poursuivit
77;
reçut avec
tants;
en
fuyant
puits
tout
au désastre
des cités

vraisemblable
qu'elles
dans
avoir
son
emplacement
sub-
mergée
par
l'envahissement
deux
ensemble.
l'
Sœurs
mère et
aux
sœurs
II,
4;
mère de
Cant.,iv,
9,
le
nom
de
Ezech.,
xvi,
46,
i'
i
son Père.
naturel et le
(hébreu,
46).
Dans
Siha.
Voir
tante
moyen de
n'a pas
de Damas, (|ui s'écrit
de coussins ou
260.
D.
Calmet
inli-
souffrir de
beau rêver
de
soif.
pro-
chain
comme
s'ils
l'avaient
Joa.,
IV,
son
sang
11;
Il
Cor.,
XI,
27.
2"
Au
sens
figuré.
qui
compte
être
loi
de
Dieu,
pourrait
entraîner
les
exemple,
et
qu'il
possède,
d'aucun
bien
lxv.
13.
Il
non
une
faim
de
Ces
désignent
l'Ancien
Testament
ont
soif
en
est
la
de
la
autre que Dieu
immédiatement le coucher
le
comptaient
Cet usage provenait
etc.; le
l'heure

les
voyageurs
s'arrê-
légal, les
Deut., XXIII,
11: les
olTert,
Exod.,
XXIX,
39.
Ce
soirs »
ne
vise
Caraïtes
et
coucher
les pharisiens,
de ne
troupes partaient en
t.
II,
1897,
p.
reçu
soixante-dix
prendre
et des
gens de
.\laacha etdeTob
Égyp-
tiens
vu,
6.
Chez
tombeau
le double, et le
parCésar. Ils
Syrie
et
o Qui
pour
la
récompense
du
premier
du
cours
du
soleil
lani;ai;e
liabiluel
aux
honimes.
lille
eux le
retourner
i'i
i,
5.
des
soleil
a
41. Il
préside aujour,
le
Act.,
xxvii,
20.
En
15:
XII,
1
Eccle.,
VII,
12.
Il
est
c'est ne
Eccle.,
xii,
1.
de
la
nature.
Matth.,
V,
45.
ciel, il
23;
XXII,
5.
grand-prêlre
Simon,
Eccli.,
I.,
7;
chemin de
xiii,
10;
XXIV,
23;
Ezech.,
xxxii,
7;
Jo.,
il,
que
se
aux
aslres
Il ordonne de
du
aussi la
«

soit
avec
l'œil
d'Horus.
Cf.
Maspero,
Histoire
pra-
tique
y
doute
Perses.
ne
peut
Palestine.
La
forme
qu'ils
y
prennent

ils
« lui
tienne,
encore à .\sca-
Ilauran.
Cf.
Schiirer,
Gesc/iiclite
des
xix,
Oli-
et
qu'il
appela
acheté
l'emplacement.
à
trop II Par.,
de
On peut xxvi,
9,
par
eaux,
L'homme
émet
des
les
animaux
font
entendre
des
pas
le
même
caractère.
Dans
le
psaltérion,
qui est
propre à
l'instrument. Sap..
xix, 18.
Les instruments
ont chacun
pliysiologiques.
du
occu-
pations
et
surtout
quand ils
s'engagea entre
Baldad dans
troisième discours
fut
amené
duit
Yçau.u.iTîa.
Sêméias
le
son
nom
Jérérnie
d'obtenir
la
délivrance
des
assiégés
par
ses
auprès
de
le
(21).
ne
I,
nombreux
interprètes,
:33. La
de
qui
1,
et
indiqués
de
Manassès,
qui
était
:"igé
de
quarante-cinq

Ezêchias
élevées.
idol.àtriques
tète
de
là-même contemporain
I
plus déve-
.\mmon,
les
Philistins.
n'est
pas
heureuse,
sentéepar sa
jugement
divin.
.\u
•dire
d'Hérodote,
I,
10.3-105,
du «
menaeait
ses
alentours,
mais
aussi
4es
notre
prophète
faire
succéder
habitants,
III,
1-8.

Troisième
dans
celles
l'écrivain
auquel
témoignages. En
8l2-8'25.
Le
I)'.
v.
9-10
et
v
sjécle
avant
notre
siècle. C'est
faciles
à
résumer,
car
elles
sont
uniquement
de
nature
subjective,
par
parler ainsi
transformée,
pour
Davidson
maismes et
posées.
l'écrit
posté-
un
ce
qui
nellenient Soplionie un
maniresté
plus
haut
(chap.
ses compa-
triotes. Cette
n'empêchent
nalions
voisines
Moabiles et aux
.\mmoniles, détruisent la
avant
J.-C;
ils
de notre
1-13.
Ce
passage,
dit-il,
forme
et
versets
néo-criliques. Hue
lem
messianique,
prophétie
par
écrit.
Divers
traits
l'âge
de
sant
dans
Juda
et
à
: ii,
8,
le
prophète
famille
 
période
cependant
ses
particu-
larités
intéressantes.
Nous
avons
sentence
pouvait
être
comble;
qu'ils
fussent.
châtiment. Cf. m,
il
dénonce
les
péchés
de
à
von
contraire,
pour
nier
vie.
Généralement
peu
entre autres les
lie; »
Sophonie n'est
sous le
en
voit
par
l'accord
les anciennes
base un
en
heureuses.
Vienne, in-8»,
phalie, 1861
kleinen
Propheten,
Maimf, t.
pour
servir
prohibée
par
ou
MAiiiciKN,
un malélice,
Voir
Dalila,
à
Sainte
traverse la plaine
sucré
Ezech.,
IV,
9,
l'Arabie,
Paris,
-1779,
anciens
tures
comme
Il est vrai que les plantes représentées ne vont qu'à
la ceinture
des moissonneurs,
ce qui
moisson
époque,
contraire
n'a
lieu
sorgho
ou
dourah
plan-
se servait
pour tirer
villes léviliques furent
Ksd.,
être
pris.
K/.ecb.,
sort
les
dépouilles,
Abd.,
11,
les
couper court
en
Palestine,
vient
d'annoncer.
On
ne
raison
.lud., XX, 10. Quand les Israé-
lites
Par.,
xxiv,
.ludas,
tomba
visiblenient
la
Israélites.
de.Iudas Machabée.
leurs ennemis.
les mains
lui lorsque
destinataires
se lit
sur une
et
que
ce
frère
Sosthène
était
celui
dont
parlent
les
du roi de Syrie
le grand-prétre .Ménélas,
idées
reviennent
fréquemment,
sousdillërentes
formes,
dans
Job,
les
Proverbes,
l'Kcclésiaste
vil, 26,
comprend
rien
aux
le
sage
selon
le
monde
est
pour être
sage selon
être utiles.
une
femme
bruyante,
slupide
et
ignorante.
cœur des hommes,
élevés,
Eccle.,
Ps. xxxviii
versions
ont
traduit
que
ont
été
C'est du
vu, 22.
une sottise aux yeux
ou
carbonate
de
qui
le
nom
de
A'fi//
plantes,
comme
fjalicornia
des
bords
ou à
fabrication
ce souflle el.par
et
gatoire
22.
Noire-
Seigneur
se
odieuse brutalité,
Durant
la
nuit,
entre
les

suggérée
par
l'expérience
désire faire
d'une
corde.
Le
même
chaleur,
des
tuyaux
de
métal
fait
même
le péché,
la
mort
avec tout ce qui la précède et la cause, eût été
supprimée.
Voir
XXXV,

2;
etc.
Aussi s'étonne-t-on
que souvent
chréliens
I Cor.,
,
nom
de
soufre
toutes
leur compo-
étaient
rés
comme
intervenant
de
Jéhovah
le soufre,
I.
ni,
col.
19;
souillure que
Dieu appelle
ses serviteurs.
semble à
^éipïç,
la
symbo-
lisait
les
dillérents
empires
qui
devaient
limite,
n'en-
lève
la justice. »
Cf. Scheil,
votives
Schra-
der,
Keilinscliriflliclie
ce
lieu
Béthel,
«maison
1673,
1074;
Béiyle,
col.
1766.
montagne
et
dressa
douze
y
était désigné
xxiii, 17.
pierre
en
mafsêba/i,
pour
témoigner
Laban.
(ien.,
gne, mais
la stèle
ni
une
la
ce
pays
des
i, 16. Il
Stéphanas
seule-
ment
faites
iii
itiiiiislerium
sanctortim,
y.
STÉRILITÉ
(Vulgate
qui
est
stérile
peuple est fidèle
à Jéhovah, la
11.
—2»
stériles dans
les troupeaux.
Deut., vu,
point
jours
et
dont
s'en désolent. Telles
d'enfants
pour
la
défendre.
Berlin,
1849;
Uer
Die
Beden
des
Hevrn
Jesu,
1844-1846,
1847;
1851
1853;
Polyglotten-
Bibel
fur
praktisc/ies
llandgebraiicli
ces
trois
mots.
stigmates
de
.lésus
étaient des
de
lui
dont il
à
identifier
ces
stigmates
défaite
de
Benadad,
ses
serviteurs
qu'eux
et
leur
maître
méritaient
2"
celui
qui
avait
injustement
jan-
vier
1808.
mort
dans
son
fut
par
toute
sa
un
certain
il
s'attira
simplement,
création
incon-
sciente,
moins
HÉBR.\ïQiE
romaines
et
grecques,
1873,
p.
602.
écrivent
p.
1019.
comme le
et
je
repasse-
plate (fig.
des
corrections
ou
couvertes de cire.
nombreuses
Stijfiu:
ufjU'inaie.
saveur piquante et
xx.\,
34.
hébreu,
« goutte
a
pris
dans
une
(ienieure,
Celsius,
llieriiholanicon,
in-8,
Amsterdam,
1748,
Exod., xxx,
procurer.
S'(i/ra.c
()/'/(ci-
iiale,
à
identifier
cet
arbre
pharaonique,

édit.,
in-8°,
Paris,
jusqu'au
1870,
t.
du
Prisme,
Sargon
envoya
contre
se réfugia en
loc.
cit.,
p.
79,
note
pillée,
pla avec
cam-
pagne
Fragment
222,
de la
royaume indépen-
dant, situé
dernier
était
un
roi
par les
dans
les
textes
égyptiens
que
dans
la
Bible.
l>abaka.
de
Winckler
et
écarte
•2"
pre-
mier
diffi-
culté
en
faisant
de
Sua-Sibu
un
simple
tartan,
avec
les
I
clipf
nii'i'ci'iiaiiv
au
la résidence
1853,
p.
156.
Aussi
partielle-
Ses
la
nomi-
nation
e.xceplionnelle
d'une
lille
dans
la
descendance
d'Héber
n'est
pas
donnée.

Le
suaire
de
Jrstis.
col.
266.
44.
pant la
été
enseveli.
Hugues
de
Sainl-Cher
(1263)
dit,
à
propos
de
des
nappes
sur
lesquelles
l'aulel pour
Christ, Paris,
1902. Cf.
en outre
Ù. Chevalier,
1.
SUAL
(hébreu
2.
SUAL
(hébreu :
Sùdl;
Septante
à
Machmas, «
de
Suai. »
La
seconde
bande
de
le désert. La terre
Nathanaël
trésors
de
la
maison
de
Dieu,
xxv,
vu,
23.
mer,
il
y
a
immersion
et
l'usage de
l'eau pour
l'eau,
comme
à
écrit difl'éremment
la
fille
Le nom de la fille de Sué
n'est pas connu.
Par..
texte
« Commission
biblique
»

de
la
version
de
l'Ancien
pas
»
la
du
Nouveau
Testament
par le
Testament
en
1904.

le
texte
grec
ne
mentionne
que
intacte.
durée
peut
varier
de
quelques
minutes
gne les
ii.
12.
D'après
iv, 7; Luc,
22;
garde tout
textes,
probablement
parce
plaines
dans
llammes,
L'iiistorien
sacré
raconte
sur
la
sous le
nom d'Hermoniim,
ancienne.
On
(Reg.),xxviii.
4.
choisir pour
Reg..
i.
420.
Elle devait
n'en est plus
Philistins
et
pour
y
atten-
dre
d'Israël pour
rentrer en
présentait
de
la
famille
des
Suphamites.
SUPHAMITES
(hébreu
: has-Siifdiui
avec
la
mère
».
ce qu'il
d'un
prêtre
ou
avait
accusé
et à
18,
mention ailleurs
fleuves,
était
en
Grecs et
châtiment
du
graves.
Cf.
Suétone,
Octav.,
67;
Quinte-Curce,
x,
4;
27.
m, col. 940. Ptolé-
faisait égorger et
déchiqueter en morceaux
fit
périr
par
le
Tim.,
iv,
17.
Cf.
— 9"
Tour
de
cendres.
Il
y
avait
50
coudées
remplie
de
après la
prise des
Reg.,
VIII,
12;
XV,
16;
Ose.,
xiv,
1;
Am.,
i,
de
plus,
princes
madianites
qui
tachèrent
d'arrêter
la
marche
des
Israélites,
lorsque
à
leur
aide
pour
faux
pro-
phète
et
les
le voyageur

l'Egypte. »

lécites, et ces
la contrée
des
route
des
caravanes
l'exode.
Num.,i,
6;
nuit et
par son
leurs réjouissances.
s'imaginant
vu.
ceux qu'ils veu-
17;
II
les
villages
expéditions,
afin
d'une
marche
de
veut
que
Bible
hébraïque;
hébreu
ou
en
araméen,
perdu. Saint
le
texte
et dans la version arabe, elle est aussi au com-
mencement
du
livre.
dans
le
Codex
Anibi-usianus
de
Ceriani
verset
42
de la précé-
d'oii sa
désignation par
156. On
Susanne faites par
jnils
S'étanI

elle
était
seule
pour pi'endre un bain et la menacèrent de l'accuser de
l'avoir ti'ouvée
sistait.
les
deux
vieillards
la
calomnièrent
le
jeune
'l'ub
croit
qu'elle
:
'
Ainsi
fui
vengée
jeu de
sujet un
argument contre
e
dernier passage, in
Esther,
le
noinlirc
di>
ceux
I,lui'
demandes-tu

tuèrent
ne
mirent
"
que des
l'Acropole était
considérable : elle
n'avait de communication
l'entrée
du
Le coté

le
roi
de
Perse
principaux
d'appartements,
la large ceinture
du roi
VoirW.
K.
Loftus,
Travels
nnd
second
inexacte. Le texte
se lit pour
thala,
posent
que
lÉphraim
du
v.
22
est,
.loseph, mais
au vaste
Le Ficus
abon-
dance
bois
damment
comme
évaluer
dit qu'ils «
Séphélah.
bois
de
en
regard
incorruptible. « Les
»
(P. L., t.
figue
du
sycomore
est
douce,
du
Nil.
I)
Norden,
Viiyai/c
y
exc'géles:
Septante
p.
211
a
more. G.
42'i.
par
condition
est
notée
se
répéter
jusqu'à
trois
il
vallée
du
Nil,
telleriienl
i-,
li
contentait
d'ajouter
au
mot
rencontre
rement dessinés ou
: «
mes
sycomores.
de cet
momies,
des
more.
Égyp-
l'arbre, en cueillent
dynastie
de
Sauiet-
 
Kt
leurs
chacun,
de
phrase
qui la défendait
nale
de
La
végétation
est
suqqara et
ar lit
peau,
plusieurs
tuyaux
proprement
dite.
Le
musicien
ayant
suflisamrnent
outre
d'air,
est
dispensé
de
l'efl'ort
d'un
souffle
continu,
parti-
culièrement
de
chant
mélodique;
d'accom-
pagnement
rudimentaire.
interprètes
qui
présentent
s«»i-
version
syriaque
<i
bêt
finiSta'
ou
simplement
knista.
nom de r.c,rjTfj-/T„ désignant
Lig.
ad
Caj-,
2"
nos lois,
aspect
que
les
synagogues
apparaissent
Cette
attesta-
tion
suppose
synagogue
avait
une
existence
indépendante
de
l'administration
civile,
tandis
que
celle-ci
était
unique.
disposait des élé-
synagogues
Cyrénéens,
formaient
non
seulement
en
iloil
iHrp
milieu
Mars et de
étaient
même
Coffre renfermant
tes rouleaux
en
synagogue.
Toutefois,
de la synagogue,
recevaient
un
salaire
pour
assister
à
autrement (Êlohim).
on se
côté de Jérusalem.
celui
un
morceau
la
lecturesassit;nées
d'avance.
sentences. La
géné-
ral,
mais
sans
leur sen-
il
le
blement, les Apôtres
d'entre
y
eut

un
les synagogues
velle
la
répandre
parmi
Les
1
presbylres
Evodie (voir
appelle
Synzigue,
quoi
con-
nom com-
mun, qui
Syzigue était
un nom
et le
cap Hlammjrion,
so trouvait
le «grand
de guerre,
plus
haut.
Elle
fut
pendant
assez
l.es aristocrates
sur la
l'année
même

dépendaient
de
Syracuse
voulurent
emparée
d'Épipoke
(414),
fut
au
chef
de
habile
de l'im-
chargés
d'eau à
la fon-
se
diriger
vers
Rlié-
gium.
à saint
iv,
7,
el
Daniel,
II,
4.
La
« langue
.Syrie et
la
donc
être
pris
désigne
les
dialectes
araméens,
syriaque.
I.
et dans le
langue, il,
xiii"
siècle.
Les
Talmuds
sont
Voir
ce
mot.
II.
Aramékn
païen.
un
araméen
très
agglutinations
des
mots,
Ce qui
syriaques,
jacobites
et
nesloriens
conservés.
L'araméen
ciens,
«
(voyelles
à
l'L'colede
Nisibc,
que
les
nesto-
riens
suivirent
du
couvent
de
syriaque C4
de Paris,
du xi«
tous
les
passages
dire
sans
aucune
va-
riante
'i6i
de
notre
ère.
Il
dans le
canon nestorien
leur traduction
l'hébreu.

Éditions.
la
ani a
endroits;
Wallon
se
borne
l'Ancien Testament a
d'Ahgar,
roi
d'Edesse,
par
autres
.\pôlres.
envoyé
traduite
sur
l'hébreu
au
l'hébreu
comme
tamie.
Addai,
l'apotre
de
le Juif Tobie
bar-Képha(-|-
913)
du
peuple,
tandis
que
« le
la
traduction
de
de
l'hébreu,
protagonistes
du
lard par
l'IIéracléenne du
autre version et que
avec la partie
d'Édesse
llexaples,
a
manuscrit syria((ue de
syriaque
d'après
la
version
des
par-
venue
intégralement;
le
Syro-Hexajtiaris,
Berlin,
1861,
il
avail
édité
a édité les
en
désuétude,
puisqu'il
ne
parait
pas
avoir
lion critique
variantes
une
septième
colonne
dans
l'exemplaire
(Versions) des
l'Ancien Testament,
samaritain. Il
III
syriaque
se
trouve
en
tète
des
marge est dilïérente
à
voir
quatre
manuscrits
add.
du
commencement
thc
four
niiiior
catlmlic
Kfiislles,
Zeilscli. der
Luc,
xviil,
27,
porte
surtout
des
Tiscbendorf pour
relever les
variantes de
Xew-York.
L'imprimerie
des
Dominicains
Pusey
et
plète a été donnée
la Pescbitto
par
une
nouvelle
reconstruction
Ihe
codex
iras
found,
a
narrative
of
femmes
en
retrouvées, sur
IV,
Crawford
lUirlult,
lia été écrit
traduit en
svria(|ue
vers
homme à
premier mission-
naire de la vallée de l'Euphrate; il aurait composé l'har-
monie des Evangiles pour seconder
leurs travaux
et ce
que l'on ait
eu
faveur
« séparé
», en
reproduit
à An-
valeur
manus-
Ss et Se
revisé
sur
des
a été
promulguée par
400.
Elle
siècle
cf.
de
notre
ère,
d'après
une
Salibi
et
nom.
Hébreux.
.M.
Bensley
a
manuscrit de
Rome du
XIV» siècle
Repevtoriuni
l'i'ir
relevé un
Polycarpe,
qui
p.
79-
131,
dans le Codex
Adler,
pas
pu
se
mettre
d'accord
Bihlinlhecse
collecta;
qux
ad
philnlo-
giam
second et du
Lectionary
loc.
cil.,
p.
208.
D'après
édités
trouve ici des passages
duction
provenir
du
Sinaï,
elle
aussi;
elle
et
de
l'tvangile
térùcanoniques.
grecs
de
Thomas
d'ilarkel,
p.
2UI
XIX
du
Vatican
domination
assyrienne
sur
les
les
tablettes
de
Cf. £.
Europa,
p.
249-2.5.^.
Cependant
les
lettres
d'El-Amarna
dis-
tinguent
le
An/irini
Stjrus
liohob.
Lais
important
des
Voir
Damas,
t.
ii,
col.
1213.
jusqu'ici
connues
qu'en
partie;
migrations
vo-
forcées.
La
difficulté
d'impor-
tantes
que
porte
actuellement
du lac
question
iront plutôt du
côté du llauran ou d'Édom. Voir His 4, t. m.
col.
782.
10, où
éponymes
X'jpi.iv
et
la
Vulgate
par
2i,
rappelle,
selon
Winckler,
Qadèi.
(Icn.,
xxii,24,
fst
arainrcn
si(;nali''
plusliaiil.
2"
Donmiiiils
ryi/plieitt:
celles
que
nous
et \eMila)ini du
gardé les
noms. C'est
d'EI-Amarna nous
Gabbûl ou
Djebbûl repré-
dans le
Paris,
1868,
p.
347.
Voir Nabutuékns,
Pa';êr,>o;,
p.
237-241;
v,

l'Euphrate,
avecSamosate,
aujourd'hui
la
Ca'lé-
Syrie.
Elle

Ces
con-
trées
formaient
la
Syrie
Méditerranée à
l'Euphrate et
de
la
Palestine,
jusqu'à
l'Euphrate
principalement,
Syrie.
Voir
el-Kebir,
le
Na/ir
lleuves font
de
forme,
en
bas, au-
riverains,
puis,
con-
à angle
m,
col.
170i.
avoir traversé; la
la
division
naturelle
du
terrain
et les
très petites
celles
Saint-Martin,
de
iirci'irc
sa
situation.
L'ossature
des
montagnes
le
morcelle
en
sont
cantonnés
entre
.^près
ment.
Resserrée
entre
la
à
la
domination
étrangère;
même
.s'il
ne
faudrait
pas
plutôt
lire
ici
Qèdâr.
Cf.
l'Euphrate
et
la
Méditerranée.
1892,
p.
17;
A.
11.
noRL.MiOMor,
t.
le
chemin
des
les
richesses.
De
ii,
p.
255-
maîtresse du
indigènes
à
les
les
rois
Enlil-nirari
(vers
1370-1345),
Arik-dén-ili
Ahlam\(
du
pays
C'est
plus en
s'y
Soba;
il
fut
un
des
vint
ravager
les
contrées
.sep-
monarque
assy-
contre
il
supporter
seul
il
fut
obligé
de
la cote,
relatés
Adad-nirari III (811-783)
uns identifient avec Bénadad
l.latti, d'Ainurru, de Tyr,
dut
'•gaiement
Damas,
IIl,
Histoire,
art.
Provincia,
dans
le
p.
D'après
amassait les
Voir
fig.
-431.
Cf.
Maspero,
Alnr.
élevé
de
maison,
et
SamaS
»
Voir
les
textes
des
religions?
dans
la
Revur
du
clergé
français,
l"décembre
1910,
p.
513-519,
dans la même revue,
Corne,
sémitique,
ne
clarinettes
et
mentionnés avec
les tronipeltes,
ntiznidrôt, les
nous
n'avons
col.
5i0.
Syro-Phénicie
Minoi:
La
première
porte
aujourd'hui
le
nom
Elles s'étendent
grande,
est
alternativement
grands
ras
de
i,
p.
225-226.
à
Rome,
le
vaisseau
qui
le
se
fonder
appelées elles-mêmes
'êdiil, « témoignage ».
hâ'èdi'it,
(7/.r)vr,
Toj
tabernaculuni
puissent s'y
qu'occupaieiil
l'aiilel
cliaryés
du
service
soutenus
qui (briuait
comme celles
de voir
Munli, Palestine,
p. 155,
n'impose
pas
cette
idée;
maison
fait
ligure d'un cube
maintenaient dans
et
sentait
s'étendait
de
des
saints
partie
antérieure,
Les
dimensions
sans
qu'elles
de
pareils
toits
était
la
L'intérieur
du
tabernacle
se
que
quand
on
par-
dessous
les
parois
latérales.
ou parvis, et donnant
richesse des
broderies rappe-
mystique. Voir NoMimiis,
des
j.
«4.
le
exé
même du taber-
réplique
'S' édit.,
t. IV,
est certain que beaucoup
descendants,
occupés
à
décadence
rencontraient
tous
aux
tous ces
quaient pas; d'autre
que
toute
tenta-
ailleurs
démontait
le
tabernacle
occupait
lévites
et
les
prêtres
s'installaient
10,
II.
L'Arche
en
fut
la
était
une
par
liéséléel.
voulait
faire
VI,
vice
liturgique
qui
devait
I Par.,
culte
prin-
cipal
guration
dans
une
des
commen-
çait
saules, en
pendant
sept
jours,
ils
sacri-
fice
perpétuel,
feuillage
sur
les
toits
verts et des

Ib'breux
n'ont
pas
des
abris
provisoires
appelés
tantôt
est
donc
terre féconde et tranquille,
nation
indépendante
et
prospèi-e.
durant laquelle .Jébovah
leusement tenues dans
sance
pour
le
récoltes avaient été recueillies. Deut.,
xvi,
génération. En l'accor-
Heut., VIII,
7-14; xxviii,
iiiVES,
(•
la mieux obser-
les uns
signi-
fiaient
dont le
agneaux.
A'oir
Nombre,
t.
iv,
col.
jour
appelé
âsérél,
des autres fêtes et
mait
desniosaischen Cul-
p.
652-664.
coudées.
Les
Caraïtes
prétendaient
qu'il
n'y
bouquet
composé
ignore
les membres
nuit,
des
exécutaient des danses
cédaient le
faisait le
solennité.
j;neur.
Deul.,
xvi,
1").
On
donc à croire
que ceux qui,
du coffre sacré placé au
centre de l'édifice.
miiller,
.hidices,
Leipzig,
fut célébrée le septième
donc
que
la
seconde
Juifs la célébration
—.Aune autre fête
jeter
captive.
le Temple une
enceinte qui le
préservait du contact
immédiat avec le
le
milieu
de
le plus
ténèbres.
serait
pas
ton
frère,
passage du
faire
des
pour
le
Xolre-
.\i-c
de
triomphe
de
Titus.
Rome.
fixé
horizontalement
sur
des
fut
consacrée
par
une
en
fit
une
les
Romains,
csl
représentée
les-
quelles
on
immolait
les
pierre pour
XLiv,
prêtres
venaient
la
«
2. Tables des repas.
man-
geaient
simplement
assis
el
sans
table,
même
en
se
ils
para.
IV
Reg..
IV,
10;
les
3.
l'ar(,-ent. Luc, xix, 23.
sur la(|uelle on peut
graver
donner
en
sont appelées liihùt ébén,
deux
tables
et
au
verso.
Ces
aui|uel se
tables au pied de
la montagne et les
pierre,
sur
lesquelles
l'alliance.
Moïse
redescendit
en
portant
ces
tables
temps que
l'.^rche
à l'époque
de la
loi
chair.
1
Mach.,
gravèrent
l'Écriltire
que
que,
pour
celle
encore
plus
grand;
sa
taille
atteignait
ne
porte
demment
dit
à
sa
4
t
putalio,
« tailler
>i
et
sens
de
«chant
Isaïe,
XVIII,
5,
fait
allusion
à
une
sera
achevée
et
que
la
grandes branches. »
grande utilité.
concentre
dans
le
raisin
au
nuisible à
la qualilé'
repos
et
dans
sa
demeure,
11.
LESP;TriE.
genre,
mais
peut
s'entendre
d'Ophir eût été

et
d'autres
objets
précieux.
les .luifs
sages
ils
mine,
ce
qui
laisse
aux
paroles
de
Xotre-.Seigneur
le
même
sens
général.
avait
agi
par
la législation
fait une
blessure à
à
son
prochain.
en elle-même quoique
d'estirner
l'accident
d'un
n'étant plus
là pour
roi chana-
traitement à soixante-dix autres rois. Jud., i.
6,
7.
simples coïncidences
de leur supplice.
dont
on
conseil nouveau,
devoir est entre les
même.
Toutefois,
il
y
obtiendra miséricorde.
et
ait
On
ne
58,
Xidda.
à
Bahylone,

la
été
1127.
Bien
palestinien du second siècle,
suivent
proposèrent
contradictoires
faveur de
Sur
les
Cara'ites,
ennemis
des
le serpent
lui
écrasera
littoral médi-
436)
à
(leurs
pentamères
33,
on
de Bersabée, et
Les
os
1
Reg.,
doute par une
'êiél
un bois,
commentaires de cer-
p.
539,
n'a
voulu
qu'un nom d'arbre
en général, ou
un bois. Mais
celle de
sur un cbàssis
choisit-il
le
du
pays
une
vertu
spéciale
au
tamaris.
.M.
Clerrnont-Ganneau,
on creu.sail après
prés de
la circonférence,
aigu
et
plus
et
en
tambourin aux
le montreront les textes ci-après; tel est
l'usage actuel
Egypte,
et
dans
aussi
du
tambourin
dans
les
marches
col. 1349, le
différentes
sortes
de
tambourins,
notamment
le
petit
tambourin
et
pays méditerranéens,
nets
s'entendent
en
Perse,
avec
cône tronqué,
joué avec
deux baguettes.
beiidir.
peau
soutenue
à
existe deux
s'emploie dans les
ou
demi-sphérique.
en
taire, en
Lors-
joie
instruments.
le joint
m,
II.
DICT. riF
qui,
quoique
qui
font
dans
que ces
pécheurs et
de
leur
visage,
reste du
d'ilébron;
nous
savons
Louvre.
des
ou
langes
1873,
p.
sphinx,
du gra-
nit de
Syène représentent
siques
s'accordent
à
donner
l'épithèle
d'une
la XII«
plurent
à
l'orner,
Gessen.
Les
Ilylisos
p.
272-273.
t.
iv,
p.
97
ennemi parlait
de ce
nomment
Tanis
Titus,
faire
une
années
gouverneurs
Benabinadab,
un
des
Ano,
y
être
question,
tant
d'années
du
de
.Téréinie
(fig.
445).
M.
Flinder»
Pétrie
qui
v.Trie
et
de
poteries,
en
Ayant
fouillé
une des
toute pavée en
du
Caire.
ment
à
»
en
présence
des
Jéhovah
cachées,
».

du palais de
centimètres et a tout à fait disparu à l'angle nord-
ouesl.
La
maison
du
pliaraon
4
'16.
y
dresser
sa
tente,
haut.
S'il
en
y.
1,
lequel
date
du
des
annonce
spécialement
prendre
de l'Écri-
à
lui
donner
le
sens
quatre
fils
d'Hébron,
Caleb. I Par.,
Taphua,
qui
des
descendants
d'Hébron,
voir
Hébron
2,
l'identifier
«
»,
Les
Septante
sortes
et
de
Maspero,
de
dessins
irréguliers,
voir
H. Lesètre.
vulgaire, que
Pesacli- und
Loi devaient
et R. Sa-
interprèle qui s'appuyail
Loi ayant
été trans-
mise à
y
lecteur
et
de ces
tefois
gogue, et les savants, réunis à l'office pour un jeûne
public, lisaient la Loi sans la
traduire.
Cependant,
bien
qu'elle
l'erreur
devoir
était
mettrait
l'interprète
mais
l'original strictement
cité plus haut
extrême-
ilischnah.
La
tradition
d'Esdras. Le
pré-
ara-
additions
juives est
antérieur à
de
par
des
rema-
idées.
plus
prédomi-
nant
aujourd'hui
est
«lue
certains
targums
sont
d'ori-
gine
babylonienne
et
para-
sant
babylonien.
cialement
18-20,
22,
le
scliektna,
Jéliovali lui-même.
apparait
pour
se
venger
du
leur.
»
le
monde
à
connaître
grands.
des Septante,
1482.
l'Yémen),
Londres,
1896;
targums
fragmoils
of
targum dit
d'Onkelos une
telle estime
xiii«
siècle
contient
des
notes
plus grand
Zacharie
lui-même
compte
rosolymitain
du
Pentateuque
phètes,
Talmud
de
Babylone,
à
de
ce
pays
au
livres
historiques
ont
lai'gum
sur
Isaïe :
Pauli,
The
Jonathan,
mais
d'une
nien, fait d'après Onkelos et le
pseudo-Jonathan. Bass-
pseudo-
Jonathan.
Cette
à celui
un essai
sources,
talmudiques
vil« siècle
et d'origine
en
Londres;
une
partie
avait
1491. Le
fur
hebrâische
Bibliographie,
t.
i,
fasc.
l.P.
Veber-
clôture du
d'Esther,
officiellement
le xin«
Deux
.Job, iv, 10.
seulement.
On
y
trouve
des
texte hébreu
traduit diffère
surtout
un
Il
serait
de
rapprochements
his-
toriques,
fréquemment
parfois
comme
hagada
ou
midrasch.
On
y
Uuch Eslher,
Berlin, 1878.
par
Testament,
trad.
et de l'exégèse
p.
203,
'5'
Strack,
Einleitung
in
Targumim
undeinen
Jastrow,
A
Dictionary
of
a7)d
the
Midraschic
part. I, 1898; Krauss,
2
par-
ties,
du
cluMslianisine
parmi
les
peut-être
aussi
sa
ville
natale
avant
Tarse doit
surtout sa
qui elle donna
à
trône;
sur
;
en attribue
5,
;
ses
habitants,
sans
doute
trop
nom
d'An-
tioche
fut traitée par
26. Cassius en
dévouement
à
César,
mais
les privilèges d'une cité
libre, civitas libéra; il
pour former
vécut
 
Elle ressemble à
oliviers
C'est à la suite
sa patrie le
célèbres dan»
celui
de
comme
dans
une
contempler
des
neiges,
pide
en
lleuve, à
pro-
fondes,
recouvertes
de
ponts
naturels.
Les
Sardanapale
et
qui
souvenirs
chrétiens
ceinture et les
l'enfer.
Voir
Gi:iiENNE,
l.
et,
il
enseigna
les
erreurs
du
690;
s
Dialessaron.
une pâte de
tatouage
: Non
cesse
en
mouvement
durant
pour
(|uarante-trois de
^H
1845,
p.
31-32.
des
//abcs
ou
tiques de
Epist., I, XIV,
routes fréquentées, pour le service des
voyageurs. Il
arrivai!
qui suit
étaient
cashire,
A
1754. Elle
(hébreu,
46).
Bethsetta,
de Tebbath.
de Juda,
dfsci'iulanl do
tissus
de
crin,
les
pelleteries,
vêtements que
deux mots hébreux,
désigner
des
par
la
teigne.
demeure
du
méchant.
Job,
Is.,
L,
9.
La
tristesse
est
au
cœur
de
l'homme
ce
que
la
teigne
Dieu
sera
de trésors
est
à
croire
commune
(|ue
Jud., V, 30.
pur.
Job,
xxviii,
par le
vin les
son nom
bords du canal de
Kabara, comme il résulte
port au
descen-
dants
»
le
mot
masèd\
« oracle
sont les sept brebis données par
Abraham
son
droit
de
Rutb,
iv,
7,
pilalière,
Marc,
vi.
Exod.. XX,
daient,
Luc,
IV,
22;
Joa.,
œuvres.
Joa.,
de
Ihorame
lui-même.
à rendre témoignage
persécutions.
gnage
de
1'
Dieu
pris
comme
témoin.
témoin, soit
sait, sous
V,
prouver l'adultère,
premiers exécu-
6-7.
les
juges
en
le
témoin
les sourds,
devantlesquels
ont
de
la
doctrine.
.lean
écrit
en
qualité
portée
contre
eux,
Deut.,
ne
paraissent
pas
avoir
été
rares
chez,
les'lsrai'ditcs.
Job,
XVI,
9,
se
plaint
du
contre
lui.
Les
Psalmistes
s'indignent
par
deux
et
condamnation
à
personne. Sanhédrin,
au
ciel.
sentiment tradition-
témoins du Christ à la lin des
temps seraient Enoch et
qui ont
l'un et
5;
IV
dans
les
deux
témoins
plus
vulnérable.
joue,
chrétiens. La
v.
6,8;
3:
Tit..i,7,des
Tim.,
m,
17.
Dieu
a
donné
la
mer.
saint
Paul,
Act.,
xxvii,
li-26,
sur
la
Méditerranée,
et
celles
qui
6,
l'épouvante
qui
assaille
Il
y
en
eut
de
plus
les ba-
retrouvées
les
Israélites
le Grand.
Éléphantine
et
à
Léontopolis,
et
les
Samaritains
acheté,
sur
le
mont
l'ange
du
Seigneur
le
lendemain
lui
dire
copistes.
II
n'en
j
pas
moins
I
Par.,
xxii,
m'en inslrui-
TOKKERRE.
con-
struire
le
en estimant
le poids
Hiram, roi de Tyr. II Reg..
v.
Il
assentiment et
aisé
comme
lais,
voulut, et que cepen-
ix,
10-14.
Gibliens
envoyés
par
13-18;
II
Par.,
il,
17-18.
s'incli-
sur nous,
divin
et
à
grands
frais,
à
l'entourer
grandes
Le
travail
se
continuait
de
vers
joints
et
encadre
une
autres sans ciment,
plutôt
employé,
re-
fends
Morte,
Paris-,
1853,
t.
ii,
p.
porte,
la
porte
llori'e.
Du
coté
^tbl.
derniers
jours
ile
Jérusalein,
p.
2'itî.
arches
tiaute.
Dans
le
Simple,
l'intérieur,
des
pis-
cines
aux
assiégés.
Cf.
Perrot,
Histoire
lie
de
long.
de la
que la
manqué de
7
cou-
dées
avait
ménagé
des
retraite
tout
la
maison...
l'étage
en cavi-
;
principal,
toiture
était
le
uiènie
pour
ces
dernières,
des
précédents,
dont
disparaissait
donc
complètement
à
l'intérieur
précieux, pour
les murs.
qui
érigea
l'intérieur et
lut
en
placages
été
col
1838.
Les
l'iiéniciens
chargi's
de
revêtu
d'or
coudées
(5'"
S.'j),
qui
occu-
Vln'kal, avec
que
élevé
à
d'airain
pouvant
prêtres.
L'édifice
compose de
la
reproduction
agrandie
col.
p.
l'opisthodome.
La
le
parvis
des
empruntées pour
temple,
on
a
pensé
que
du
des grands
renseignements
les
même
celui
des
derniers
rois
de
Juda.
Le
malheurs du passé, comme le
symbole
et l'auteur des
nord
et
de
debir
forme
n'est
pas
indiquée
(15'"
75),
comme
un espace libre, un bâtiment de 100 coudées de large
(52'"
50),
ont
cliauibres
le lainbrissage
faut
prendre
ses
iv, 2-(J,
voir Mnp.
d'.^irain,
t. IV.
col. 982
De
labeniaculo
fœdevis,
de
sanclacivitate
Jérusalem
eldetenijiloejns,
porte
de
Sur
c'est-à-dire
relit
8;
II
Par.,
suzerain,
portes du
'Temple, pour
les
portes
du
et
une
célébration
solennelle
dans
olfrit
disparaître
du
du
mo-
nument.
et les autels
à l'entrée
condamné,
Ton met-
il emporta
et brisa les
que
l'ai-
qu'ils
avaient
comme
un
dance.
suivait le caprice ou la passion du prince et les
lois mosaïques étaient
lique ait jamais opposé
toiture
lamenta sur
parvis...
On
épaisse
forêt.
Et
marteau.
on
Si l'on
de
l'huile
les
faisaient
arriver
par
mais aussi de
'!
cette
conservée
par
Eusèbe,
tourait.
Temple. Il est
et
rieure,
ce
amènent
toules
du
Temple
le
fond, ne s'écarte pas trop de la réalité. 11 mentionne
trois périboles ou trois
la
pittoresque
que
vestibule
précédant
le
Josué,

dilfé-
1546,
l'auteur
de
l'Ecclésiastique,
la
maison
fut
visitée
par
une
force
divine.
AntiociiusIV
Epiphane,
pro-
mises
un certain
Xlll, XI,
vic-
limes
de
sa
vengeance.
Joséphe,
Anl,
jud.,
encore existunls.
pnisijLie
Si
la
con-
le temps
parvis
extérieur
de
Bell,
jud.,
par
celle
de
mesures,
ordinairement
justes
(|uand
elles
portent
sur
se
rapportent
l'historien
dans
lesquels
les
totaux
allait
vallée (lu Tyropieon à celle du Cédron. Il excitait l'ad-
ridration,
de
pierre,
était
30pieds de large
de
sculptures
diverses,
Robinso7i,
voir
nacle du temple, to Tz-ïo-j-y.o-t
-o\> (spoC,
portique
en bas
de cette
tentation. Cf. Le
p.
270.
Le
100
coudées
Porte,
rieur,
mais
hors
l'édi-
fice
sacré.
Deux
di-
verses
sortes.
L'accès
aux
gentils,
coudées
mort.
Voir
entre ce
sortir du
ouîipov. Dix
parvis
de
170
coudées
la porte
caustes pour
I
rnème
de
mal-
de
long
•1"'25
à
2
mètres.
A
l'angle
de diamètre. Sur le
creux
t. i,
pi. vni.
les
juges
y
en
avait
chambre
57,
jamais permis
indi-
de
conjectural,
intérieures.
du culte
de
la
porte
de
d'Oman.
David
le
eaux de
porte.
Temple
non
polies
qu'on
1.
1,
sans marches,
rement
par
la
allaclier
les
victimes
avant
de
les
les
us-
tensiles
côté
du
midi,
se
présentait
jusqu'au mur exté-
65
cou-
dées
(^Qn'Sû)
de
l'entrée
du
parvis
mais seu-
25 (11"'25)
le sépa-
il
existai!
trois
au nord,
et huit
40
cou-
dées
(18"')
pour
l'emplacement
des
fenêtres.
servaient
à
lieu
d'être
plate,
était
inclinée,
Comme les
sud
coudées
de
hauteur
précédents.
Plus
20 coudées,
dan»
les
Paralipomènes.
survint,
et
Jean
de
travaux de
défense. Joséphe,
:
. .
llexions
d'épaisses
du soleil, il rayonnait
de
le
souiller.
rendre compte
de l'effet
Mais
Apôtres,
d'ailleurs
peu
artistes,
c'était
avaient le caractère du
I
Saint
poutres inter-
vers
lequel
ils
se
rendaient
de
consternation
en
Notre-Sei-
gneur.
son
il fut sur
détruire
le
temple,
c'était
4,
on
donnait
de
profane.
est

vienne
avec
directement
Ils
disaient
celte
corrige
vivant, qui
'2K!6
que
les
Juifs
recon-
naissaient
les temples
Temple,
vraisemblable-
ment
grand
aigle
ses
représentations
animales.
Avant
les
tragiques
on
attendait
Zacharie,
auparavant,
au Temple
après la
portiques
par
les
Tabernacles.
Joa.,
VII,
viii,
sous le portique
Marc,
c'est-
à-dire
les
membres
du
sanhédrin
l'y
accablent
de
ques-
23;Marc,
XI,
27;
qu'il
sur
pierre,
Sauveur,
Matth., XXVI,
le
on se
chire
51
même por-
Caligula, avait
veau
roi
la
de
grâces.
.losèplie,
de se
montrer fidèle
peuple dans le
manifestation sympathique
de
Syrie,
Pétronius,
on peut dire
trente
ans.
sur
par
ses
bienfaits
le
Temple,
pendant
les
Juifs
puis,
pris
de
panique
à
l'arrivée
morts, Bell, jud., II, xii,
1,
et
préventions
le
marches
du
Xyste,
du
Iriclinium
on
pouvait
voir
tout
ce
muraille
sur
l'exèdre
temps
pour
empêcber
passât
aux
mains
des
Romains,
réfection
de
la
porte
orientale,
de
pierres
les
portiques.
Bell,
jud.,
la
domina-
tion
étrangère,
carnage
des
hommes
nuit,
les
prêtres
entendirent
;
tl'i
liiéron,
et
Mais
une
com-
bat,
les
Romains
s'avancèrent
jusqu'au
situées au
fit
ruiner
que le
v,
5.
plateau
Khnoum,
J.-C.
les ont
armatures
de
et les
ce
dernier.
Les
s'imposa à
se
comme
le
Il
n'est
point
question
de
parvis
dans
leur
lettre
d'Égyple, » c'est-à-direavant
a respecté
droit en adressant leur
supplique et, par conséquent,
au
mont
était
avaient
t
prolif.' Tou-
jours que
D'après
lier,
bonoré
que
le
temple
d'Éléphantine
et, sans
de
pratique
111-
113.
Les
fouilles
jud.,
XIII,
ce
Il
n'est
belvédère,
Gen.,
I,
5.
Les
grands
astres
les
Hébreux,
voir
Mineure,
le
t. ii, col. 1702.
XXXIX,
celui

leur
puissance,
Ezech.,
xxx,
3,
21
célébrer
faisons le
temps,
de
où Jésus parut,
sa
prédication
naissance
Job,
du
k/ianisin.
VoirOiRA-
GAN,
2-xviii,
décriât
les
t.
ii,
col.
1562.
c'est
en
vain
ténèbres.
Tob.,
ténèbres.
plongé
dans
les
ténèbres.
Apoc,
xvi,
10.
— 1"
brillaient à
travers les
privée.
Matth.,
x,
27;
le
l'oreille,
lente
Dieu
fait
une
expérience
demander un
lils.
Uen.,
mauvais
l'innocent. .lob,
ix, 23.
roi succombe
mettre à l'épreuve,
sont
restés
fidèles
à
Jésus
dans
ses
a été une épreuve pour
les
Galales.
Gai.,
être
Apoc,
III,
10;
pour
lui
en un cliàliment
l'expérience
Sap.,
xviii,
de l'épreuve.
mettre
dangereuse
pas à
ta porte?
»
péché,
lorsqu'il
est
consommé,
permet
la
tentation,
qu'elle
Celui
»
ner, comme
se préparer
mais ména-
supporter.
I
Cor.,
X,
13.
par
l'Esprit
dans
Au baptême
qui venait
d'avoir lieu,
juger s'il
est simplement
un homme
pour
IV, l-Il;
.Marc, i,
tations
se
rapportent
parents
ont
succomijé
à
la
tentation
pouvait
avoir
Les
tentes
les dilTérenls
établir
sa
tente
une
tente
qui
sera
détruite
par
14.

xxvi,
25;
rendait
nages
aisés
de
l'abandon
d'un
juste.
c'est-à-dire
verra
toutes
Cependant
l'ini-
Jourdain,
de Oitadi
1303).
Voir
de
laquelle
outre d'une
panicules
latérales
et
et son
souclie.
Usée,
IV,
3,
fait
dans
la
sens, comme
'rldh.
Ctpcndant

Le
térébinibe :
Comme
cherche
volon-
sans
arbres
sacrés.
P.
Soit
à
cause
d'un
térébinibe
la
vallée
près
Israélites
raison
au
productions
enfants
de
du
pislachier
(voir
t.
V,
col.
444).
Au
contraire
le
jtôci
ou
serl
du
traduisent
par
avec
plus
d'abon-
dance
C'était
nous l'employons
qu'un
léré-
Galaad rem-
y
trouver
le
suri
bienfaisant.
fait
11,
qu'Israël
con-
de
Tyr.
Ezech.,
xxvii.
Ce
produit
servait
à
médecins?
Pourquoi
n'as-lu
Il
tribus
textes. On
d'Assyrie Ase-
d'Assurbanipal, t. i,
de les
assyriennes, c'est-à-dire
l'origine
et
questions
idées
les
el
y
divisent
les
temps.
Gen.,
i,
14-18.
continents
situées
fer qui constituait
étoiles. Cf.
monde.
Elle
<lelà
et
continue,
le
jour
qui
exprime
seulement
en
Egypte,
on
terre,
Exod.,
xx,
4,
Vulgate
parle
limites
référer
m,
lig.
172,
'Av.ri-j\t.i-rr„ Ps.
que
à s'éton-
lion,
sa
cos-
le sens de
10,
la
lialtitent
le
globe.
vil,
tous
les
xxxvi, 23;
dire dans
A
un
moment,
Gen., xi,I,9.
anges disent
Sauveur
la
les tribus.
leur
propre
pays,
les
Hébreux
ne
limi-
trophes,
Mc'die et
la Perse.
pa\s
de l'est
champ.
Gen.,
xxiii,
13,
15.
Le
pays
sabbatique.
Lev.,
XXV,
par
la
charrue.
Deut.,
ii, 19.
;
41;
Marc,
la
Lev., xviii.
IV.
Se.ns
terre. Matth..
Matth.,
XXVIII,
18,
sur
terre.
Joa.,
la terre.
21.
gloutit
le
des
volon-
sous
ce
nom
l'ICpitre
ca'usidiii
latins
qui
étaient
assez
de la pro-
qu'il
connaissait
par un
exorde insinuant
prévoyance
{et
niulta
corriyantur
plaidoirie de
Tertullus. Après
l'orateur à Félix,
discours
un
principaux griefs
des Juifs,
dangereuse,
auctorent
ainsi
représenté
Le tesson
Voir
personne n'y
queli|u'un
fois, lleb., VIII, 1.3.
Le testaleur
on
n'approuvait
pas
cependant
d'ailleurs valable
prétendre
ne
leur
permit
xii,col.
904,
et
renferme
sens.
11
7;
Lev., xix, 32.
puisqu'on
n'en
est
Exod.,
XXIX,
7;
cause
tète
est
prise
plus
ou
moins
dans
qui touche aux
col. 582.
Être
44;
Jer.,
xxxi,
7;
etc.
ou à
d'une na-
tion. Is.,
IX, li;
capitale.
dort
un gâteau tout
ce
Ose.,
iv,
13;
III
dénaturé
l'usage
et
rois
xxviii, 36:
teste
Lxxxi,
col.
29;
Pseudo-Allianase,
I
ll.E.,\,
8,
a
veillé
à
la
Des fautes s'étaient inévitablement introduites
dans
les
copies
la Loi,
qui
a été de
nombre
massorélique.
qui a
trans-
va
l'histoire du
répétés I
sujets
aux
mêmes
accidents
et
aux
tandis
restée
en
cations
leur
traduction
en
grec.
F.
les
avec ceux des
comme une seconde édition du même jnorceau. Cepen-
dant,
durant la
fautes de
détails, qui
Septante
a
la
t.
sont
concernent
les
premiers
rapports
de
Saiil
et
de
David.
I
ir
versets du
col.
sitions et des modilications. Voir
t.
v,
col.
793;
anomalies, dont quelques-unes semblent provenir de
l'irrégularité dans la
les
mots
op.
cit.,
t.
i,
p.
45-71.
grecque
des
passages où
des
.Machaliées
et
suit
le
plus
souvent
cette
traduction
dans
les
passages
de
Jésus-
Christ
sur
incroyable que ses
cuse
Asclier a
massorélique
palestinien.
celles
de
tous
les
et
1650,
les
dans
le
Histoire
impor-
tantes.
Ces
variantes
Parme.
I78i-1788;
SujifilemeiUinn,
n'a
pas
beaucoup
les
points-voyelles
en
par
.T.
Polyglottes
première
critique
parut
ùMantoue,
in-i»,
dont
il
celui
de
retouchée
919. S. Baer
ses
sources,
transmission du
espagnols,
lumière
de
la
Lui,
et
il
Au xix«
les
corrections
que
Kennicott et
.luges,
1901,
1901,
et
derhebrâischen
Joa.,
12,
matière
sur
parchemin,
11
Tim.,
eu
l'habitude
de
dicter
ments,
tirés
des
lippes,
2,
ouvrages
cypriotes,
composés
Cf.
quaqiie
ratione
cum
farina
Evangc-
lioruni
sijro-lalina
coliseserint,
Halle,
Diates-
cependant
quelques
leçons
particulières.
de
très
I3aniel.
il
suit de
n'a
petit
nom-
Testament,
le
texte
sacré,
traces
et
formité
avec
texte
original.
H.
von
18tll,
l.
païen
Celse
intégralement
transcription du texte le soin qu'auraient mérité les
livres du
tament
pour
cor-
du texte
Apc'itres.
/') Versions
latines.
ont traduit
sinon
Irénée et
dans Clément
bien
plus
selon M.
Tatien, primi-
fait
remarquer
aussi,
Origène
leçons
propres,
au
texte
original,
du moins dans cer-
de Tatien
le texte original
ne
nent
et à
saint Cyprien;
y
a
des
et
qui
aboutissent
à
rendre
le
de
vue
du
style;
elles
daires,
étrangers
au
ûberselzt,
correction
est
l'œuvre
d'un
rhéteur,
et
c'est
d'elle
que
proviendrait
le
recensions