21 mai 2014n°94www.vaulx-en-velin-journal.com▲

Souvent mal-aimée, la fonction d’arbitre estrevalorisée par la Ligue Rhône-Alpes de football,par le district qui forme les arbitres et par lesclubs vaudais qui sélectionnent leurs futursmaillots jaunes. Lire p.8

Voilà dix ans que les bibliothèques municipales etle service Petite enfance de la Ville mettent lesenfants et leurs parents au cœur de la lecture. AVaulx livres les petits, une manifestation pourdécouvrir le goût de lire ensemble. Lire p.12

Replacer l’arbitreau centre du terrain

Le 27 mai, toute les générationscommémorent la Résistance L’an passé, Une ville des mémoires célébrait les 70 ans du Conseil national de la Résistance. Cette année,pour la première fois, c’est toute la Nation qui va célébrer la date du 27 mai 1943, jour de la création du CNR.A Vaulx, les témoignages des Résistants ont essaimé dans les écoles et l’Anacr travaille à faire résonner dansles consciences le programme du CNR. Lire page 7

Myriame Belkhir, la sécurité, une affaire de femmes Lire p.2

A Vaulx livres les petits,10 ans déjà

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PeTiTe DéJà elle jouait avec ses vêtements. adolescenteelle les personnalisait. aujourd’hui, cette jeune mère lanceson activité, après avoir occupé plusieurs postes dans lacréation textile. Son entreprise, a Vos souhaits création etdécoration, propose des robes sur mesures ainsi que desaccessoires pour défilés et cérémonies. “J’ai eu le déclic à lasuite d’un concours de beauté où j’avais confectionné unerobe pour un modèle, explique-t-elle. J’ai passé mon bacoption arts appliqués et puis enchainé avec BTS textile optiontissage”. la liberté de créer, voilà ce que Jennifer apprécie.Pour faire connaître ses réalisations, cette petite mainsillonne les podiums régionaux. Sans oublier les nombreuxsalons où elle expose ses robes et propose ses services. Cequi lui laisse peu de temps à elle. R.CPratique : a vos souhaits création et décoration, 42 rueRabelais. Tél : 06 29 83 37 57.

C’eST un petit gabarit. Pourtant, nevous y fiez pas, elle connaît sonmétier, la sécurité. Myriame Belkhir ason certificat de qualification profes-sionnelle d’agent de prévention etde sécurité, sa qualification de servi-ces de sécurité incendie et assistanceà personne et elle est maître-chien.“Ces diplômes me permettent de tra-vailler partout”, affirme-t-elle. Matchsde l’ol, surveillance de sites indus-triels, de chantiers, mariages, événe-ments… elle peut tout faire. Qu’onne s’y méprenne pas, pour elle, “lesfemmes ont toute leur place dans cemétier. C’est même un atout auprès desemployeurs”, poursuit-elle. Plus calmes, les femmes dit-elle “ontsouvent plus de facilité à désamorcerun conflit. Parfois un sourire suffit”.loin de l’image des gros bras, elleajoute que “les gens sont ravis d’avoiraffaire à des femmes dans un mondeessentiellement masculin, le contactn’est pas le même”. et les contraintesde sécurité grandissantes, comme lafouille lors d’événements, imposentdu personnel féminin : “Je suisemployée lors des matchs de l’OL àGerland où la palpation est devenueobligatoire à l’entrée du stade. Alorsnécessairement, pour fouiller des fem-mes, il faut des femmes”, assène-t-elleavec une logique implacable.

Pénurie de personnel fémininForte d’une dizaine d’années d’expé-riences dans le métier – et trois de sescinq enfants ayant quitté le nid fami-lial – elle s’est dit qu’il fallait qu’elle selance. “Il y a pénurie de personnel fémi-nin et je connais bien les besoins.” elle aalors commencé par suivre une for-mation à la création d’entreprisedans les locaux de la société vaudaiseantéor, dans le cadre du dispositifrégional ideclic. après une phase de

diagnostic, d’évaluation des compé-tences, des moyens mais aussi de laviabilité du projet, elle y a appris tou-tes les ficelles de l’étude de marché,du statut de l’entreprise et autresdémarches administratives. aujourd’hui, prête à se lancer, ellen’attend plus que l’accord pour uneaide financière de l’etat afin de suivre

une formation – obligatoire depuis2012 – de dirigeant d’entreprise desécurité. “Avant, tout le monde pou-vait créer son entreprise, sans diplôme,ce qui a contribué à donner une imagenégative de la sécurité”, expliqueMyriame Belkhir. aujourd’hui, la pro-fession s’est aussi dotée d’un code dedéontologie. “C’est une bonne chose.

Certains redoutent le contrôle maispour moi, c’est un garde-fou néces-saire, on ne peut pas faire n’importequoi dans ce métier”.

Favoriser l’embauche de femmeselle connaît cependant déjà la direc-tion d’entreprise. en 2006, alorsqu’elle prépare un BTS en alternance

en transport et logistique, elle estamenée à prendre la gestion de lasociété coopérative qui l’emploie.“J’ai fait ça pendant 22 mois”,explique-t-elle. une formation “sur letas”, en même temps que la prépara-tion de son diplôme et, déjà, un tra-vail de nuit dans la sécurité. Responsabilité, autonomie, vigi-lance… autant de qualités nécessai-res pour exercer ce métier et queMyriame Belkhir a acquis au fil desans. la surveillance des sites, “c’estsouvent de nuit. Là, on est tranquille”.Mais ce qu’elle ne dit pas, c’est qu’ilfaut aussi de l’endurance pour sup-porter des rotations de 12 heuresd’affilées. une autre facette de son métierqu’elle apprécie, c’est l’aide aux per-sonnes : “Dans les mariages, les fêtes,on est là aussi pour secourir”. et puis, ily a le contact avec les gens : “Nousavons affaire à des gens de tous hori-zons, de toutes conditions. J’ai rencon-tré une mère de famille qui faisait lespoubelles d’un centre commercialaprès le service des restaurants. Uneautre fois, j’ai déjeuné avec un prince”.Volontaire et tenace, son entreprise,elle l’espère le plus tôt possible : “Jeconnais bien le marché et les besoins.C’est à Vaulx que je vais m’installer,dans les locaux qu’Antéor proposeavec Activ’buro. J’y ai fait ma forma-tion, je suis toujours en lien avec eux etje sais que je pourrais compter sur leursoutien”. Fière de son parcours,Myriame Belkhir est gonflée à bloc :“C’est un beau projet, sur lequel je vaisfavoriser l’embauche de femmes. Vousverrez, conclut-elle, bientôt unefemme sera présidente de laRépublique”.

edith Gatuing

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a 23 aNS, son parcours est déjà conséquent. MohamedBouazza a intégré en janvier l’équipe du traiteur socialCannelle et Piment, à la Thibaude. un coin qu’il connaîtbien puisqu’il a grandi dans les quartiers est. au sein del’entreprise associative, il occupe les postes de livreur, ser-veur et responsable des achats avec un autre collègue.après des études en gestion, le jeune homme a été gérantde la boulangerie de l’avenue Dimitrov pendant deux ans,avant de devenir préparateur de commandes pour unegrande entreprise de vente en ligne. De quoi acquérir desexpériences précieuses et utiles pour Cannelle et Pimentqui poursuit son développement. “J’aime beaucoup l’espritde l’équipe et l’histoire de l’entreprise. Je m’intègre parfaite-ment dans leurs objectifs sociaux : animer le quartier et don-ner des emplois aux femmes sans diplômes mais avec de lavolonté”, explique-t-il. M.KPh

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Myriame Belkhir, la sécurité est aussi une affaire de femmesAprès une solide expérience dans la sécurité privée, Myriame Belkhir a suivi une formation avec la société vaudaise Antéor pour créerson entreprise. Contrairement aux idées reçues, les femmes ont leur place dans le monde de la sécurité.

Nawelle Jaouali, les conseils beauté d’Alysha make up

Nawelle Jaouli a l’énergie d’unefemme d’affaires avertie. a 34 ans,cette jeune mère de deux petites fillesavait créé un première société en2008, les nuits d’orient, autour de l’é-vénementiel. Trop de concurrence,elle jette l’éponge et crée alysha makeup en 2011 à Vaulx-en-Velin. elle pro-pose ses services, surtout pour lesmariages orientaux, mais aussi pourdes diagnostics beauté ou des effetsspéciaux lors de tournages cinéma ouvidéo. a mi-chemin entre l’esthétiqueet le conseil soin-beauté-coiffure, elles’adapte à toutes les situations pour

transformer n’importe quelle femmeou jeune-fille en star, avec paillettes,diadème et yeux de biche.elle a appris son métier au liban, àBeyrouth, où elle a approfondi sa for-mation “qui est avant tout une passion.Je fais souvent d’abord à domicile undiagnostic beauté pour cibler le désir dela cliente”.Celle-ci préfère-t-elle un chi-gnon ou bien des cheveux détachés ?a-t-elle choisi sa robe ? Ses sœurs,cousines et amies veulent-elles êtreen beauté pour ce grand jour ? “Leshommes aussi s’y mettent, et pas seule-ment pour faire disparaître un bouton

disgrâcieux, confie-t-elle. Ils veulentêtre beaux et élégants”.en fonction de la tonalité du mariage,de la couleur des accessoires, de l’im-portance de la cérémonie, Nawelleadapte, corrige, retouche… en cedébut de printemps, la haute saisoncommence pour alysha Make up. ellesillonne toute l’agglomération lyon-naise, voire au-delà jusqu’à Saint-etienne, pour rendre radieuses lesmariées et leur entourage. elle espèrebien ouvrir un institut avant la fin del’année à Vaulx.

Françoise Kayser

“Allo ? Ici Alisha make up…” “Je peux venir samedi à 8h ? Et je reviendrai le soiravant la fête pour la retouche maquillage…” Nawelle sera là , comme prévu, pourmettre en beauté la mariée.

Jennifer Caschera, dans le bain de la création

Mohamed Bouazza, arrive à Cannelle et Piment

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La Rize est plus propreUne trentaine de bénévoles a participé au nettoyage de la Rize, samedi 17 mai.

Des habitués était là mais aussi des nouveaux venus comme la petite Kekoa Cheyennequi a mobilisé sa mère et son frère pour l’occasion. Au fil des années, la Rize

retrouve son lit et gagne en clarté. “On sort moins de déchets et la vase n’est plusmazoutée comme avant”, s’est satisfait Edmond Sauvaire, vice-président de la Diane Vaudaise, qui désespère tout de même de la création d’un bac de décantation “réclamé depuis 1978”. Il évoque la Rize de son enfance et rêve de faire un jour un safari truites dans ce cours d’eau revalorisé.

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Un prix de la Municipalité à toute allureDe nombreux coureurs venus de toute la région se sont rassemblés, samedi 10 mai,

dans la zone industrielle Est pour le prix de la Municipalité du VCVV. Le club decyclisme a organisé sa compétition sur un circuit de 2,3 kilomètres avec des distances

allant de 7 à 80,5 kilomètres. Cette course était destinée aux plus jeunes, répartisdans les catégories minimes, benjamins, pupilles et poussins.

Un chantier jeunes pour la place CavelliniAu Sud, les grandes cités Tase changent. Du 6 au 9 mai, un groupe de six Vaudais

a participé à la réfection de la place Cavellini, lors d’un chantier jeunes, organisé parle service Jeunesse de la Ville et l’Association départementale pour la sauvegarde de l’enfance, de l’adolescence et de l’adulte (Adsea 69). Sous la houlette de Ridha et Marion, éducateurs spécialisés, et de l’entreprise Separk, les jeunes ont repeint

le transformateur EDF et créé des marquages ludiques et colorés au sol.

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Le 10 mai pour célébrer l’abolition de l’esclavageDevant le monument des Droits de l’homme, place de la Nation, les citoyens se sont rassemblés à l’appel du Collectif vaudais pour la commémoration de l’abolition de l’esclavage, samedi 10 mai. La date a été fixée par la loi Taubira en 2001 et reconnaît

les traites et les esclavagismes comme crime contre l'humanité. Dans son discours, la députée-maire a souligné qu’“esclavagisme et racisme sont liés”. Hélène Geoffroy a proposé qu’un équipement ou une rue porte le nom de Toussaint Louverture, “héritier noirde la pensée des Lumières”. Lors de la cérémonie, le poète Joël Toussaint a lu avec beaucoup d’émotion un texte d’Alexandre Dumas

et d’Aimé Césaire. Le groupe de capoeira Caboula a également proposé une danse en souvenir des esclaves.

Le Grand parc en grande fête avec Destination natureTemps estival pour la fête du Grand parc de Miribel-Jonage, dimanche 18 mai. Des gens de tous âges sont venus sur l’espace de l’Atol, la base de loisirs du Grand parc, profiter de la soixantaine d’animations et spectacles proposés par les organisateurs

de Destination nature. Il y en avait pour tous les goûts, les sportifs, les artistes, les naturophiles et les “curieux de nature”. De quoipasser une belle journée en famille ou entre amis et convenir que ce Grand parc est un trésor pour les habitants du Grand-Lyon.

Commémoration de la Victoire sur les nazis : “Le combat pour la Liberté”Parmi les porte-drapeaux de la commémoration du 69e anniversaire de la Victoire sur les nazis, le 8 mai 1945, se tenait une fille,

Coline Didier, 9 ans, dont le père et le grand-père sont et ont été présidents de l’Association républicaine des Anciens combattants(Arac). L’Union française des Anciens combattants (Ufac) a présidé la cérémonie et a rendu hommage “aux soldats et aux

combattants de la Résistance qui ont cru à l’édification d’un monde plus juste”. Au nom de l’Etat, Armand Menzikian, conseillermunicipal aux Relations internationales, a lu le discours du ministre des Anciens combattants, Kader Arif. La députée-maire, Hélène Geoffroy, a redit “ce qui nous rassemble aujourd’hui : le combat pour la Liberté, l’humain, la victoire sur la haine”.

Les quatre saisons se disent en quatre languesLa première des lectures multilingues organisées par les bibliothèques de la Ville s’estadressée à aux enfants. A la bibliothèque Marcel et Renée-Roche, Christophe, Lama,Rahima, Ibtissam, Diana et Jean-Jacques ont lancé des mots tour à tour en russe,

en arabe, en berbère, en bulgare et en français. Ils ont évoqué le cycle de la nature, de l’été au printemps, accompagnés par des trombonistes. Très imagé et animé,

le spectacle conçu avec l’aide de l’écrivain Mohamed El Amraoui, a réjouit le public.Les lectures multilingues se poursuivent dans les bibliothèques municipales.

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le palmarès sur www.vaulx-en-velin-journal.com

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l’iNCeNDie s’est déclaré vers 18h20dans le gymnase situé à l’angle desrues lounès-Matoub et Georges-Seguin, alors que les retraités del’aSlRVV s’adonnaient au tir à l’arc. ilsont immédiatement alerté les pom-piers et ont tenté d’éteindre le sinistreavec les extincteurs sur place.Rapidement, une cinquantaine de sol-dats du feu était sur place pour com-battre l’incendie. les flammes ontdétruit près de 220m2 de locaux, surles 800 que compte le gymnase. unepartie des bardages en bois et de latoiture ont été ravagés.

D’après les premières constations dela police, l’incendie serait d’origine cri-minelle. une bouteille d’essence a ététrouvée à proximité des lieux et destémoins affirment avoir vu un petitgroupe s’enfuir en courant. uneenquête est en cours et un mineur adéjà été interpellé par les forces del’ordre. l’équipement sportif avait été rénovéen 2012. les activités des clubs serontmaintenues mais reportées dans d’au-tres structures. il en est de même pourcelles du centre de loisirs mitoyen quia été épargné par les flammes.

la députée-maire, Hélène Geoffroy, asalué l’efficacité des pompiers tout enqualifiant l’acte “d’intolérable”. avantd’ajouter, “je ne peux m’empêcher dem’interroger sur la rapidité avec laquellele feu a progressé et provoqué desdégâts aussi irréversibles en si peu detemps. L’enquête et l’expertise, que jeveux rapides, répondront à ces interro-gations. Au vu du résultat, je décideraide l’urgence de faire procéder à uncontrôle de sécurité incendie de l’ensem-ble des équipements existants”.

Rochdi Chaabnia

FAITS DIVERS

Le gymnase Owens détruit en partie par un incendie

Lundi 5 mai, le gymnase Jesse-Owens a été ravagé par les flammes. Il a fallu une heure à la cinquantainede pompiers présents pour maîtriser l’incendie qui a détruit plus du quart de l’équipement.

eTRe CoPRoPRiéTaiRe implique desdevoirs et ne se résume pas qu’à lapossession de ses quatre murs. Desnotions essentielles sont à connaîtrecomme les charges trimestrielles àpayer, l’entretien de son patrimoineou encore la formation d’une instancede décision. la Ville, avec le concoursde l’association Consommation loge-ment cadre de vie isère (ClCV 38), duGPV et le financement de la Région,organise de nouveaux ateliers d’infor-mation et d’échanges à destinationdes copropriétaires. Principalementceux des programmes construitsavant les années 90. Dans ces temps d’échanges et d’infor-mation, les questions primordiales quise posent aux copropriétaires serontabordées, comme la création d’un

conseil syndical, les charges, la ges-tion des travaux… en somme, le B.a.-Ba du bon fonctionnement d’unecopropriété. Ces ateliers sont propo-sés depuis 2010 et rencontrent ungrand succès auprès des habitants.“Cette formation est essentielle pour lescopropriétaires, explique Moradaggoun, adjoint au logement. Ellepermet de faire un état des lieux du mar-ché immobilier de la Ville tout enaccompagnant le renouvellement desconseils syndicaux”. initialement destinés aux coproprié-taires des nouveaux programmesimmobiliers, ces modules ont étéétendus car la demande de formationest très forte. Ces ateliers sont gratuitset essentiels au bon fonctionnementd’une copropriété. R.C

Pratique : ateliers d’information et d’échangescopropriétaires. ils ont lieu à l’Hôtel deVille, place de la Nation. - Mardi 27 mai 18h-20h : les instancesde gestion.- Mardi 3 juin 18h-20h : l’assembléegénérale.- Mardi 10 juin 18h-20h : les chargesde copropriété.- Mardi 17 juin 18h-20h : la gestion destravaux en copropriété. - lundi 23 juin 18-20h : thématique àdéfinir en fonction des attentes.

inscriptions au service Habitatlogement au 04 72 04 78 33 ou paremail : fabienne.andree@mairie-vaul-xenvelin.fr

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LOGEMENT Le service municipal Habitat Logement relance desateliers d’information pour les copropriétaires. Lesnouveaux modules sont destinés aux programmesconstruits avant les années 90.

Copropriétaires, formez-vous

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DaNS l’iMMeuBle d’une quarantaine de logements du 7 chemin des Plates, leslocataires se noient sous les charges locatives. et ce n’est pas peu dire, puisquec’est d’eau qu’il s’agit. Factures supplémentaires de charges d’eau dispropor-tionnées, mais aussi infiltrations ont été au cœur de l’assemblée générale 2013du comité de locataires de la Confédération syndicale des familles (CSF), finmars. a cela s’ajoutent “des problèmes récurrents de mauvaises odeurs, dues auxfissures des colonnes d’eaux usées et des colonnes de WC”, indique le comité.Concernant les factures, “ce n’est pas une question collective mais individuelle,répond Damien Chénel, responsable de Grand-lyon habitat. Nous avons effec-tué un suivi avec les deux locataires concernés car il s’agit d’une régularisation surplusieurs années, à la suite du changement des compteurs. Bien sûr, dans ces cas-là,nous proposons un étalement de paiement”. le responsable de l’agence de Vaulx-en-Velin reconnaît par ailleurs que la rup-ture de canalisation a été difficile à résoudre : “Les réseaux sont enterrés et larecherche de fuite a été longue, ce qui a occasionné une vraie gêne pour les locatai-res. Il a fallu creuser, faire de véritables tranchées, ce sont des travaux très lourds.Mais cela a bien été réparé en 2013. A la suite de quoi, nous avons aussi refait lespeintures des parties communes”. enfin, le bailleur affirme ne pas être informéd’infiltrations d’eau : “Nous rencontrons le comité de locataires une fois par trimes-tre, mais nous n’avons pas été saisis de demande de sinistre. Nous allons cependantbien sûr vérifier et intervenir s’il le faut”. e.G

Lors de son assemblée générale, le comité de loca-taires du 7 chemin des Plates a interpelé le bailleurGrand-Lyon habitat.

Chemin des Plates : la goutte d’eauqui fait déborder le vase...

L’agence TCL de Bonnevay déménage à La Soiel'agence TCl laurent-Bonnevay a fermé ses portes le 14 mai pour déménager àVaulx-en-Velin la Soie. Cette nouvelle agence plus grande ouvre jeudi 22 mai etproposera plus de services et promet moins d'attente pour les usagers.

L’aire d’accueil des gens du voyage fermée pour travauxa la suite de dégradations commises sur l’aire d’accueil des gens du voyage,impasse de la Glayre, le Grand-lyon a décidé de fermer le site jusqu’au 15 juin.Ce qui permettra de procéder à sa remise en état et à l’amélioration de ses équi-pements. après nettoyage, des travaux vont être conduits : éclairage, téléges-tion, clôture, revêtement d’emplacement, électricité et plomberie.

L’Assapi déloge les abeillesl’association apicole vaudaise (assapi), propose aux particuliers de les débarras-ser des essaims d’abeilles nichés dans les fenêtres, volets ou jardins. Ce serviceest gratuit. les abeilles seront récupérées et logées dans les ruches de l’associa-tion. Tél. 06 26 97 30 59.

EN BREFCes ateliers sont proposés depuis 20 ans et rencontrent un grand succès auprès des habitants.

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“ENTRE Barbusse et Césaire, c’est galère.Digère ta colère, on est tous frères”, pro-pose un rap écrit par les élèves duCollège Henri-Barbusse. entre cesdeux établissements qui se font face lelong de la rue des frères Bertrand, lavie n’est pas toujours un long fleuvetranquille. Pour éviter que ne se joueun nouveau remake de la guerre desboutons, et surtout, pour inciter lesenfants à faire preuve d’esprit créatif,les éducateurs de la Société lyonnaisepour l’enfance et l’adolescence (Slea)ont invité l’artiste Claude Couffin àvenir travailler avec les jeunes.“Comme ces deux collèges ont démé-nagé dans de nouveaux locaux récem-ment, nous voulions partir sur une nou-velle dynamique et aider les jeunes à secanaliser par les arts”, explique edithJaillet, éducatrice. “Allumé, musicien et

artiste” selon ses propres mots, le plas-ticien lyonnais a choisi de “faire du lien”au travers de projets un peu fou, “defaire travailler les élèves de Césaire pourBarbusse et vice-versa.”

Invitation à l’imaginaireDepuis quelques semaines, les séan-ces se suivent mais ne se ressemblentpas des deux côtés de la rue. Si ensem-ble, ils dansent, photographient, rap-pent, filment, dessinent, modélisentou encore écrivent, le premier dessupports utilisés par Claude Couffin etles jeunes vaudais, c’est la parole.assez déroutantes pour certains, cesséances d’expression libre invitent à l’imaginaire et à la loufoquerie. aprèsavoir fait des photos-montages, unclip sur le tube de Pharrell williams,Happy, des origamis géants ou encore

des romans photos, il ne reste plusqu’à faire parvenir tous ces projetschez les voisins. Mais commenttransporter les créations d’un établis-sement à un autre ? a Barbusse, lespropositions fusent : en catapulte, enavion en papier version XXl, voire enmétro pour les plus originaux. a piedou par la poste pour les plus terre-à-terre. “L’utopie, c’est primordial”, souli-gne Claude Couffin. et comme la riva-lité peut aussi être positive, surtout sielle est sportive, le projet pourrait biense finir par une course inter-collègeset pourquoi pas une grande fête afinréunir professeurs, direction, élèves etparents des deux établissements. “Lerapprochement de Barbusse et Césaireest à construire sur le long terme”, rap-pelle Marc lextreyt, le proviseur de cedernier. M.K

Au centre social Levy,on bachotePaS éViDeNT de se lever et de se moti-ver un dimanche matin pour révisertoute la journée. et pourtant, si lesoleil pointe son nez, les examens(brevet, baccalauréat…) approchent.au centre social Georges-levy, desséances de révisions sont organiséesles dimanches matins. Pendant quatresemaines, les jeunes bachoterontintensivement. la première séance a eu lieu le 11 mai.C’est la deuxième année que ces ate-liers sont organisés. Dans la grandesalle du centre social, l’ambiance eststudieuse. le silence règne. un peupartout sur les tables, les fiches s’en-tassent. D’habitude, Yunus et Nawelauraient fait la grasse matinée. “On acommencé à préparer le bac depuis ledébut du mois de janvier, assurent lesdeux lycéens. Nous sommes déjà venusici l’année dernière pour préparer lesoraux et ça s’était bien passé. On abesoin d’un coup de main en langues,maths et philo. Venir ici nous motive caron est ensemble et dans la même situa-tion. C’est aussi sympa car à midi ondéjeune ensemble”.Pour épauler les jeunes, un appel aubénévolat a été lancé par le centre

social et tout un réseau s’est organiséautour de la vingtaine d’adolescentsprésente. Toutes les compétences etles bonnes volontés sont requises.

La seule action du genre à VaulxD’anciens lycéens, aujourd’hui étu-diants viennent au centre social. Desenseignants ont également sacrifiéleurs dimanches. C’est le cas de leïla,professeure d’anglais. “Nous avons icides élèves pour qui il n’est pas toujoursfacile de réviser, explique-t-elle. On estlà pour les aider afin qu’ils réussissent.J’ai reçu un SMS qui demandait un coupde main, je suis donc venue prêter main-forte. J’étais déjà présente en 2013”.Peu commune, cette action est laseule du genre à Vaulx-en-Velin.l’équipe du centre social levy n’a pashésité une seconde pour venir en aideaux jeunes. “On a mis ces séances ledimanche à la demande des jeunes,expliquent Saïd alleg, directeur ducentre social et Samia Bencherifa,coordinatrice du pôle adolescents etpré-ados. Les samedis certains tra-vaillent ou souhaitent se détendre. Ledimanche, comme tout est fermé, il estplus facile pour eux d’être présents. Ils

sont moins tentés et plus concentrés”.Même les parents mettent la main à lapâte. ils sont mis à contribution pourpréparer un repas pour tout ce petitmonde. “C’est normal de cuisiner pourremercier les bénévoles qui s’enfermentavec nos enfants, explique Malika,informée par le bouche à oreille. Safille est présente dans la salle afin de

préparer le brevet des collèges. Nousn’avons pas tous les moyens de payerune boîte à bac. Ils ont la chance de pou-voir bénéficier de ces ateliers. Je ne peuxpas aider ma fille, alors je l’ai pousséepour qu’elle vienne. Il faut qu’ellerévise !”. le centre social levy songe àétendre son action aux admissionspost bac. De nombreux lycéens se

retrou vent en effet diplômés maissans orientation. un point primordialpour les équipes de l’association quiespèrent travailler sur cette question. en 2013, tous les jeunes présents lorsde ces séances de révisions ontobtenu leurs examens. Gageons qu’ilen soit de même en 2014.

Rochdi Chaabnia

Pas le temps de lézarder au soleil, place aux examens ! Au centre social de la Grappinière, les dimanches sontdésormais consacrés aux révisions. Des jeunes aidés par des bénévoles révisent ensemble.

Vaulx-en-Velinjournal- 21 mai 2014 - N°94

EDUCATION

Les élèves des collèges Henri-Barbusse et Aimé-Césaire participent à un projetmis en place par les éducateurs de la Sléa et l’artiste lyonnais Claude Couffin.

Les collèges Barbusse et Césaire réunis par les arts

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SouS uN Beau Soleil et accompa-gnés de musique jazzy, animateurs,bénévoles et membres du conseild’administration du centre social etculturel Peyri se sont retrouvés devantle centre commercial des 7 Chemins,le 9 mai. ils étaient là pour faireconnaître leur équipement et deman-der aux habitants leurs attentes enmatière d’animation sur leur quartier.le tout, afin de construire leur projetsocial de 2015 à 2019. Microphone enmain et vêtus de leur t-shirt orange etjaune, ils sont allés accoster lesVaudais pour leur proposer de répon-dre à un questionnaire autour d’uncafé. la semaine précédente, ilsétaient au local les Mandolines, routede Genas. ils organisent aussi desentretiens individuels auprès desadhérents du centre social ou d’habi-tants volontaires.

Des services saturésTous les quatre ans, chaque centresocial doit renouveler sa demande

d’agrément auprès de la Caisse d’allo-cation familiale (Caf). “A travers cettedémarche, nous allons construire notreprojet pour quatre ans, c’est pourquoinous souhaitons donner la parole auxcitoyens”, explique Marcello Chaparro,directeur du centre social Peyri. lequela fait appel à une sociologue, MurielKayser, pour un appui méthodolo-gique : “L’enjeu est important car lequartier change et va encore changer.Une nouvelle population arrive au Sudet nous devons aussi répondre à lademande sociale des gens qui sont déjàlà”, ajoute Marcelo Chaparro. le centre social compte aujourd’hui960 adhérents soit 150 de plus qu’en2013 (+ 20 %). “C’est à la fois positif etinquiétant, poursuit le directeur.Certains secteurs sont saturés, nousrefusons du monde, notamment pourl’enfance”. Ce qui pose un problèmeéconomique à la structure car plus depublic, c’est aussi des charges supplé-mentaires de fonctionnement et depersonnel. D’où un déficit structurel

de 17 000 euros en 2013. “Nous man-quons de personnel pour développernos activités”, complète azzedineSoltani, vice-président du centresocial.

Un projet participatif et qualitatifDerrière ses lunettes et son petit gaba-rit, Muriel Kayser a une longue expé-rience du milieu associatif et plus par-ticulièrement des centres sociaux. ellea élaboré des questionnaires poussésavec l’appui des adhérents du centreet elle est là, ce vendredi matin, pourinterroger, elle-aussi, les Vaudais.“Nous avons choisi une démarche parti-cipative, car elle permet un focusdétaillé sur les besoins des habitants”,explique-t-elle. “Cela permet de donnerla parole aux gens, afin qu’ils soientacteurs de la cité, ajoute azzedineSoltani. Et qu’ils soient porteurs du pro-jet avec nous. Aller à leur rencontre, c’estne pas les prendre pour des consomma-teurs mais pour des citoyens”. les ren-contres vont se poursuivre jusqu’en

juillet. après quoi Muriel Kayser feral’analyse des questionnaires et unesynthèse proposant des orientationsqui seront discutées avec les partenai-res financiers que sont la Ville, la Caf et

le Conseil général. Puis il s’agira d’é-crire le nouveau projet du centresocial et culturel Peyri, afin de le sou-mettre à l’agrément de la Caf en mars2015. lola Nunes

PROJET Les bénévoles et salariés du centre social et culturel Peyri sont allés à la rencontre des Vaudais pourconnaître leurs attentes et préparer son projet social.

Le centre social Peyri interroge les habitants du Sud

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Claude Couffin aide les élèves du collège Césaire à réaliser un roman-photo.

“POUR NOUS, être une entreprise fami-liale donne non seulement des racinesmais aussi des ailes car elle permet l’in-dépendance, la liberté de décision et destratégie”, défend la famille Degorce,candidate aux Trophées de l’entre-prise familiale. Ce concours est orga-nisé pour la première fois au niveaunational par la Société générale. legroupe iserba, spécialisé dans la main-tenance immobilière, fait partie des400 candidats de la région Centre-est.“Nous savons déjà que nous seronsparmi les trois finalistes de la catégorieDéveloppement managérial”, indiqueNathalie Voisin-Degorce, secrétairegénérale de l’entreprise. en attendantla clôture des votes sur internet, le7 juin, et la remise des prix le 12 juin, legroupe demeure concentré sur sonprojet d’entreprise et sa dynamiquede croissance.la société iserba (inter service bâti-ment) a été créée en 1978 par HenriDegorce et implantée à Vaulx en 1984.elle est actuellement dirigée par ses

enfants Thierry (PDG) et Nathalie quise chargent de conforter leur exper-tise multi-entretien auprès desbailleurs sociaux. la secrétaire géné-rale explique : “Dans le cadre de mar-chés publics, nous signons des contratsde maintenance avec les bailleurs. Nousentretenons et réparons les installationsde robinetterie, plomberie, chauffage,menuiserie… On se positionne aussi surla pose des dispositifs d’alarme defumée qui doivent être installés danstous les logements avant mars 2015”.

800 collaborateurs en Francea 70 ans, le fondateur Henri Degorce,se charge de développer une nouvelleactivité : la maintenance des appareilsà gaz. “Nous sommes complémentaires,indique Nathalie Voisin-Degorce.Notre père est un visionnaire et un bâtis-seur, mon frère est efficace en dévelop-pement commercial et relation client et,moi-même, dans le domaine des res-sources humaines et de l’administratif”.leur vision de l’entreprise “n’est pas

celle d’un actif financier mais d’unecommunauté d’hommes et de femmesqui se retrouvent autour d’un projetd’entreprise”. en 35 ans d’existence, iserba a évolué,passant de quelques employés à plusde 800 collaborateurs. Son chiffre d’af-faires qui s’élevait à 55 millions d’eurosen 2013, atteint aujourd’hui 62millions d’euros. elle possède plu-sieurs filiales et une trentaine d’agen-ces en France.etre créateur d’emploi est l’une desgrandes ambitions du groupe. iserbapropose des contrats en alternancemais aussi des formations pré-recrute-ments, mises en place avec Pôleemploi, qui consistent en un tutoratde deux mois, suivi d’au moins unCDD de 6 mois. “Nous sommes tournésvers l’accueil des jeunes”, déclarent lesdirigeants. Fabienne Machurat

Pratique : iserba, 8 avenue eugène-Hénaff. Tel : 04 78 80 03 28.www.iserba.fr

Carrefour rachète sa galerie commerciale

6Vaulx-en-Velinjournal- 21 mai 2014 - N°94

ECONOMIE Iserba, l’esprit de famille au cœur de l’entrepriseIserba s’occupe de maintenance et dépannage au sein des HLM. Installée depuis 1984 à Vaulx-en-Velin, elle vient de concourir auxTrophées de l’entreprise familiale, organisés par la Société générale.

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Espace de venteAngle Avenue Pablo Picasso / rue Cuzin - Vaulx-en-Velin

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Pour Nathalie Voisin-Degorce, secrétaire générale d’Iserba, “être une entreprise familiale donne non seulement des racines mais aussi des ailes”.

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De nouveaux commerces au centre-villela Grande boucherie a ouvert ses portes rue emile-Zola. elle complète l’offrecommerciale du centre-ville. ismaël ersevik y propose de la viande halal ainsiqu’un service traiteur pour banquets et réceptions. Non loin de là, le magasind’ameublement d’assia et omar Touhami, Merveilles d’orient, ouvrira ses portessamedi 24 mai. Quant au César café, il étend ses horaires en soirée jusqu’à 22h.en plus de proposer boissons, pâtes, sandwiches et salades, il sert désormaisdes glaces.

Les travaux de reconstruction de Lidl débutentaprès l’incendie survenu au mois de novembre, les travaux de la grande surfacesituée à la lisière de la Grappinière et du Village ont démarré fin avril. en coursde démolition et reconstruit sur l’actuel site, le magasin devrait rouvrir à la fin del’année 2014. en attendant, la pharmacie, le cabinet médical et la boulangeriemitoyens poursuivent leurs activités.

EN BREF

CaRReFouR, via sa filiale CarrefourProperty, vient de racheter au groupeKlépierre, les galeries marchandes de120 de ses hypermarchés. Parmi elles,celle des Sept-Chemins à Vaulx-en-Velin, qui comprend 46 magasins. “Cerachat va engendrer des changements,note Jean-Marc Davidou, directeur del’hypermarché vaudais. Avec une seuleentité, nous serons plus à même d’avoirune politique commerciale globale et

cohérente en terme d’offre”. Selon ladirection, il sera plus simple pour legroupe de mettre en place des anima-tions ou de choisir les magasins quis’installent. le montant de ce rachatn’est pas connu. le centre commercial des Sept-Chemins est installé à Vaulx depuis 25ans. a la différence des autres hyper-marchés de l’agglomération, il laisseune part belle aux magasins de servi-

ces et aux enseignes locales dans sagalerie. “Des choses importantes quenous allons conserver”, assure Jean-Marc Davidou qui rappelle que “si l’ob-jectif de Carrefour reste de faire du busi-ness, cela passe inévitablement par lasatisfaction du client”. avec enmoyenne 5000 passages en caissechaque jour, le site se porte bien. Sonchiffre d’affaires affiche, cette annéeencore, une belle évolution. M.K

événements

le 27 Mai est désormais officiellementla Journée nationale de la Résistance.instaurée par la loi du 9 juillet 2013,elle va être célébrée pour la premièrefois cette année. Pour donner touteson ampleur à cette célébration, enamont de la cérémonie qui aura lieu à18h devant le monument au Morts, lecomité vaudais de l’association desanciens combattants de la Résistanceet ami(e)s de la Résistance (anacr) etdes élèves des écoles Jean-Vilar etMakarenko B, du collège Duclos et dulycée des métiers les Canuts, vont seréunir salle Victor-Jara et rendrecompte des actions éducatives réali-sées pendant l’année sur le thème laRésistance.Car comme l’institue l’esprit de la loi,les établissements consacrent unepartie de cette journée anniversaire authème de la Résistance. Dans le cadrede la manifestation une ville desmémoires, l’anacr et les écoles vaudai-ses ont travaillé ensemble à fairerésonner dans les consciences le pro-gramme du CNR, soit cet ensemble demesures pour un ordre social plusjuste qui fut adopté en mars 1944 parles responsables des réseaux deRésistance et dont les valeurs restentd’actualité.

Témoignages de Résistantsa l’école Makarenko B, la classe dePauline Tessier, très investie sur lesujet, a reçu, les 13 et 16 mai dernier, lavisite de deux anciens membres duMaquis de l’azergues : odileChadebech, qui était agent de liaisonà l’âge de 17 ans, et le Vaudais louisRossi, qui fut l’un des premiers com-battants de ce maquis.louis Rossi, dit Vernet, était Résistantau camp Desthieux. “C’est moi qui airéceptionné René Carrier (qui deviendrachef de détachement sous le nom deNapoléon et sera maire de Vaulx-en-Velin) quand il est arrivé au campDesthieux. J’étais là dans les premiers(en octobre 1943), on était seulementquatre ou cinq. On était comme des frè-res, des frères d’armes, on en a tellementbavé ensemble”, décrit-il. louis Rossi afait parti du camp Desthieux jusqu’à lafin, en septembre 1944 quand lemaquis a libéré la vallée de l’azergues. le 19 mars 1944, il a participé auxcombats du Magat, dans la loire, quise sont déroulés pendant quatre joursprès de Monchal. un détachement

d’une trentaine de FTP, stationné danstrois fermes abandonnées, était atta-qué par plus de 150 hommes au ser-vice de l’occupant. Neuf hommesfurent fusillés, dont louis Bertrand.Du haut de leurs 10-11 ans, les élèvesqui ont eu le privilège de rencontrerodile Chadebech, 89 ans, ont écoutéson témoignage avec attention. elleleur a parlé de sa mission qui visait àtransmettre des messages, des consi-gnes, des valises dont elle ignorait lecontenu…

“Soyez vigilants”“Avez-vous déjà tiré sur quelqu’un ?” luia demandé un garçon. “Ça n’était pastrop le rôle des femmes, a-t-ellerépondu, tandis que les hommesavaient des activités de lutte armée et desabotage”. a un autre, elle a indiquéque “tout était dangereux pendantl’Occupation. Il y avait toujours le risquede se faire arrêter”. Plusieurs fois, odileest passée entre les mailles du filet.“On se levait le matin, mais on ne savaitpas si le soir on serait encore vivant”.“A quel âge avez vous commencé àrésister ?”, interroge un élève. “Dès 14ans, en 1939”, répond-elle, au grandétonnement de l’assistance. odileexplique : “Mon père, qui travaillaitpour la Ville de Villeurbanne, a été révo-qué pour avoir refusé de signer uneattestation le déclarant “ni juif, ni com-muniste, ni franc-maçon”. Il a étécondamné aux travaux d’utilitépublique et employé à la constructiondu boulevard Laurent-Bonnevay”. Sa

famille était militante communiste.leur voisine était responsable de lasection CGT de Villeurbanne. le Parti communiste était alors inter-dit et les perquisitions redoutées. “Onm’a demandé d’évacuer des documentset du matériel du local de la section. Vumon jeune âge cela pouvait passer plusinaperçu”. odile tapait aussi des tractsà la machine à écrire pour le réseau dusyndicat et participait à leur diffusiondans les boîtes aux lettres, le tram, lespaniers des ménagères…

“Quel message voulez-vous faire passeraux enfants ?” a demandé l’ensei-gnante. “Soyez vigilants. L’époque quenous vivons rappelle en beaucoup depoints le contexte de crise d’avant 1939.N’écoutez pas les sornettes des sirènes”, aconclu odile Chadebech. F.M

au programme du 27 mai :- la jeunesse mobilisée autour de laRésistance, projection de films réaliséspar des élèves dans le cadre duconcours national de la Résistance etde la Déportation. Des élèves du col-lège Duclos racontent leur rencontreavec louis Rossi. Des lycéens desCanuts présentent un film, lui aussi surle thème de “la libération du territoireet le rétablissement de la République”.

Projection du court métrage“Slameurs et Résistants vaudais”, deJean-luc Pierre louis. Réalisé en colla-boration avec la Fedevo, la ville etl’anacr-ami(e)s de la Résistance. De 14h à 16h, salle Victor-Jara, espla-nade Duclos.- Hommage aux Résistants qui ontlibéré la France. Célébration du 70e

anniversaire de la parution du pro-gramme du CNR en mars 1944. a 18h devant le monument aux Morts,rue de la République.- apéritif-dînatoire et conférence-débat : “Sortir de l’ombre. le pro-gramme du Conseil national de laRésistance”. Co-organisé avec l’anacr.a 19h au cinéma les amphis, ruePierre-Cot.

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il a été le matricule 69 732. a sonarrivée à Buchenwald, en 1944,Maurice luya, jeune résistant, app-rend la déshumanisation. Sa viedurant, il a témoigné dans les écolesde Vaulx et d’ailleurs, avec soncopain Marcel Roche, lui-aussi résis-tant déporté. Né en 1924, Maurice luya est unjeune lycéen grenoblois quandéclate la Seconde guerre mondiale.en 1942, ce passionné de rugby de18 ans est mis en contact avec lesFrancs tireurs partisans (FTP), par unvoisin hongrois. “Et c’est un Allemandantifasciste qui m’a appris à poser desbombes !”, aimait-il à rappeler. il créele Front patriotique de la jeunessedans lequel il recrute ses copains durugby. avec eux, il commence pardistribuer des tracts, par faire destags de propagande sur les murs.Puis, ils passent aux attentats : ils

font sauter du matériel dans les usi-nes qui travaillent pour lesallemands… Jusqu’à ce jour d’août1943 où certains sont arrêtés et oùl’un d’eux donne son nom de résis-tant, Marco, et son adresse. Maurice luya est arrêté, jugé par untribunal français puis envoyé aucamp d’eyjaux en Haute-Vienne,avant de rejoindre celui de Saint-Sulpice-la-Pointe dans le Tarn. le 20juillet 1944, il est acheminé àToulouse puis au camp de concen-tration de Buchenwald. Placé dansun commando qui travaille pourune usine d’assemblage de l’avia-tion, Maurice luya connaîtra, enavril 1945, l’évacuation des campspar les Nazis, les terribles marchesde la mort. les plus lents, les plus fai-bles sont exécutés. Début mai 1945,Maurice luya parvient à s’évader.Quand il arrive enfin à Grenoble où

son père l’attend, il ne pèse plus que37 kilos. Maurice luya a, par la suite,vécu de nombreuses années àVaulx-en-Velin. Puis il s’est retiréFaverges-de-la-Tour, dans le Nordisère. en juin 2013, il a reçu l’insigned’officier de la légion d’honneur. ilest décédé mardi 14 mai, à l’aube deses 90 ans. e.G

MÉMOIRES

Le 27 mai, les différentes générations commémorent la Résistance française

Résistant déporté à Buchenwald et rescapé des marches de la mort, MauriceLuya, est décédé le 14 mai. Il a témoigné inlassablement dans les écoles.

Décès de Maurice Luya, résistant déporté

L’an passé, Une ville des mémoires célébrait les 70 ans du Conseil national de la Résistance. Cette année,pour la première fois, c’est toute la Nation qui va célébrer la date du 27 mai 1943, jour de la création du CNR.

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Pierre , fils de Fiorello Micolini, et Louis Rossi , passeurs de mémoire devant les élèves vaudais.

Les lecteurs d’Ado’lireont votéC’est un moment attendu à la biblio-thèque Pérec. Celui qui réunit les jeu-nes lecteurs du prix ado’lire pour lechoix de la meilleure BD et dumeilleur roman de la sélection 2014.le vote a lieu samedi 17 mai, après ledébat final où les adolescents ont faitpreuve, encore une fois, d’un espritcritique développé.Côté BD, la vingtaine de votants aattribué le premier prix à Radiant de Tony Valente : “Un bon manga français”, quiraconte le combat d’un apprenti sorcier aux prises avec des créatures mal-éfiques tombées du ciel. Des six romans en compétition, ils ont préféré Sweetsixteen, d’annelise Heurtier, qui décrit le sort de lycéens noirs faisant leur ren-trée dans un établissement blanc de l’arkansas, en 1957. Pour finir, avechumour, ils ont accordé une mention spéciale à lune Mauve, de Marilou aznar,dans le genre “histoire niaise”. et oui, la critique est dure parfois… F.M

Whinship Boyd présente Foliagela danseuse et chorégraphe d’origine américaine, installée aujourd’hui à Vaulx-en-Velin, présente sa dernière création au centre culturel Charlie-Chaplin.entièrement basé sur des témoignages réels, Foliage développe deux chapitres: l'histoire de winship Boyd, américaine immigrée dans une France aux couleursafricaines – retracée dans Skinny white Girl –, suivie d'une pièce chorégra-phique et théâtrale, création participative regroupant une quinzaine d'artistesaux parcours très variés. Pratique : Skinny white Girl et Foliage, au centre culturel Charlie-Chaplin, placede la Nation, les 4 et 5 juin à 19h30. www.centrecharliechaplin.com

Un roman du “marcheur” Marc Jamet Connu pour être un grand marcheur – il a déjà rallié Vaulx à Saint-Jacques-de-Compostelle et a traversé l’Hexagone à pied –, Marc Jamet publie : “Mourir etrenaître au Pérou”. Ce roman retrace son parcours effectué pour sa thèse sur lesguérisseurs sud américains et leur médecine aux plantes. Pratique : “Mourir et renaître au Pérou”, de Marc Jamet. editions Mon petit édi-teur. Rencontre dédicace jeudi 6 juin à 18h30 au Grand café de la mairie, 18 rueMaurice-audin.

EN BREF

Lyon-Rivesaltes-Le Vernet : trois camps d’internement ressurgissent du passé

les camps d’internement font partie de l’histoire française, mais elle est engrande partie recouverte par l’oubli, voire le déni collectif. Ces camps ontbel et bien servi à interner plusieurs catégories d’étrangers, à commencerpar les espagnols républicains refoulés par Franco. Puis ce fut le tour desTziganes, des Juifs et des Résistants communistes sous le régime de Vichy. ils seront trois intervenants pour faire ressurgir l’histoire de trois camps :armand Creus (auteur du livre Sincèrement et sans ornements), VincentBady (auteur et metteur en scène de Rivesaltes Fictions, qui vient d’êtreprogrammé au centre culturel Charlie-Chaplin) et Gonzalo Navarro (auteurdu dossier les Républicains espagnols) témoigneront par des lectures puisavec un échange entre eux et avec le public.Pratique : soirée lecture organisée par l'association Dans tous les sens, auGrand café de la mairie, rue Maurice-audin. Jeudi 22 mai à 19h. Contact : 04 72 04 13 39 ou danstous.lessens@free.frwww.danstouslessens.org

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aPRèS aVoiR BRillé dans de nombreuses compétitionsdépartementales et régionales, ehlem Mekhaled porterales couleurs du drapeau algérien au championnat duMonde amateur. une belle consécration pour la jeunefemme de 23 ans qui a débuté la boxe en 2007. elle a faitses armes au Boxing club vaudais avec Bob M’Bayo, SaberBouzaïane et eugène Varoclier. Fin avril, elle a remporté letitre de cham pionne amateur d’algérie dans la catégoriemoins de 60 kilos. ehlem a été vice-championne du titre en2013. elle s’apprête à faire ses premiers pas dans le monde inter-national de la boxe. “J’ai déjà effectué des stages avec l’équipede France, explique la jeune femme. J’ai été détectée pourfaire partie de la sélection algérienne”. une fierté pour laboxeuse qui possède la double nationalité et qui représen-tera son pays d’origine. un challenge pas toujours évidentpour celle qui jongle avec ses études et sa passion pour laboxe. une fois ses examens terminés, elle s’entraînera d’ar-rache pied pour préparer les championnats du mondeamateur féminins en Corée qui auront lieu en novembre.ehlem ne compte pas s’arrêter là. Dans sa ligne de mire, lesprochains Jeux olympiques de 2016, à Rio de Janeiro auBrésil. Si son point fort reste la technique, elle travaille àdévelopper l’attaque et à puncher encore plus fort. R.C

BOXE Membre du Boxing club vaudais, elle représenteral’Algérie au championnat du Monde amateur.

Ehlem Mekhaled sélectionnée pour représenter l’Algérie

HANDBALL Les jeunes du Vaulx-en-Velin handball club ont fait une belle saison. Déjà très prometteuse, la génération1998-1999 est en route pour s’affirmer.

Les U16 portent haut les couleurs du hand vaudais

oPéRaTioN séduction au siège de laligue Rhône-alpes de football. laFédération française lance une nou-velle campagne pour réhabiliter lafonction d’arbitre. “arbitre au cœur dujeu” a été présentée en grande pompeen présence de quatre arbitres exer-çant en ligue 1, fin mars au siège del’instance, à Villeurbanne. Cette cam-pagne est financée par la Poste, princi-pal partenaire des clubs sportifs.“Chaque année, dans la région, ce sontplus de 2300 arbitres qui sont formés”,avance le président de la ligueBernard Barbet. Mal aimée, la fonction est souventsujette aux agressions et aux insultes.Pourtant, elle est essentielle au bondéroulement de la partie : l’arbitre estlà pour protéger le jeu, le joueur etl’ima ge de la discipline. Depuis 2006, la loi lamour, du nom del’ancien ministre des Sports, appuieces garants du fair-play. “Les arbitres etjuges sont considérés comme chargésd'une mission de service public”, stipulele texte qui précise que “les atteintesdont ils peuvent être les victimes dansl'exercice ou à l'occasion de l'exercice deleur mission sont réprimées par des pei-nes aggravées”. Cette loi semble porterses fruits. le nombre d’incivilitésdéclarées est en diminution, passantde 5884 actes sur la saison 2007-2008à 4870 sur la saison 2012-2013.Cependant, les noms d’oiseaux conti-nuent à fuser en direction des arbitres.

D’où la nécessité de lancer une nou-velle campagne de promotion dansles clubs. il ne s’agit plus de valoriser lafonction mais de remettre l’hommeau cœur du match. 10 500 affiches ontété distribuées dans toute la régionpour sensibiliser les sportifs au respectde tous sur les terrains.

Le B.A-BA de l’arbitragele district du Rhône forme les juges auniveau départemental, ce qui consti-tue une première étape. une nécessitémais aussi une obligation pour lesclubs afin d’assurer le bon déroule-ment des quelques 800 matchs orga-nisés dans le Rhône. l’instance imposeaux clubs de fournir des arbitres souspeine d’amendes et de blocages dansla mutation des joueurs. “Les clubs doi-vent former des arbitres selon leurniveau, explique Jean-Claude lefranc,conseiller technique départementald’arbitrage. Pour un niveau district, unclub doit former deux arbitres. Pour unniveau ligue ou régional, cela va de deuxà quatre officiels dont un à deux jeunes.Enfin, pour un niveau national, il fautcinq à dix arbitres, dont au moins troisseniors”. Seul le nombre de personnesformées prime, pas le niveau. la for-mation du district dure trois à quatremois avec quatre modules théoriques.elle se valide par la suite sur le terrain.Si une personne est motivée, elle peutcontinuer sa formation en se dirigeantvers la ligue.

Et à Vaulx ? Comme partout ailleurs, les clubslocaux forment des juges, adultes etjeunes. a l’uS Vaulx, créé il y a toutjuste deux ans au sud, on dénombrequatre arbitres pour 300 licenciés.Deux adultes et deux jeunes. Parmieux, Zakarya Kharchi, qui vient d’obte-nir son précieux diplôme. encore enconstruction, la structure respecte lesquotas fixés par le district et se laisse letemps pour former davantage de jeu-nes. au FC Vaulx, le plus gros club de la villeavec près de 600 joueurs, un pôle arbi-trage a été mis en place. Depuis troisans, il est présidé par Gérard Mei.“Nous nous devons de former des arbi -

tres, explique le responsable du pôle.Nous n’avons ici que des arbitres dis-trict : deux adultes et sept jeunes. Cettesaison, nous avons envoyé quatre per-sonnes en formation. Un adulte et deuxjeunes ont réussi à obtenir le diplôme”. Sil’équipe phare du club évolue enCFa2, celui-ci ne dispose pas encored’arbitres régionaux. il espère toute-fois généraliser l’arbitrage dès l’âge de13 ans, en organisant des réunionsavec les parents. enfin, à l’olympique de Vaulx on tentede généraliser la formation. avec ses263 licenciés, l’olympique comptecinq arbitres seniors dont deux peu-vent officier en ligue. “Amine Nouharest responsable de l’arbitrage, explique

Taz Fartas, le président de l’olympiquede Vaulx. Nous souhaitons ouvrir la for-mation à nos U15 et l’étendre à nos U17.Une façon de les responsabiliser davan-tage”. l’objectif du club est de compterdix arbitres dans ses rangs dans lesprochaines années. Responsabiliser les jeunes mais aussiencourager parents et joueurs àrespecter le maillot et la fonction, letravail est encore conséquent mais,peu à peu, les regards sur l’arbitre etses cartons changent.

Rochdi Chaabnia

Pratique : en savoir sur l’arbitrage surwww.tousarbitres.fr/

FOOTBALL Replacer l’arbitreau centre du terrain Mal aimée, la fonction d’arbitre reste primordialedans le football. Petit tour du côté de la LigueRhône-Alpes qui revalorise la fonction, du districtqui forme les arbitres et des clubs vaudais qui sélec-tionnent leurs futurs maillots jaunes.

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Vaulx-en-Velinjournal- 21 mai 2014 - N°94

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Basket : les jeunes à l’honneurSaluons d’abord la performance des u17 masculins du Vaulx basket club (VBC)qui disputent les phases finales cadets France avec une demi-finale samedi24 mai contre l’union Gascogne basket à Castelnau. le week-end suivant, les31 mai et 1er juin, le VBC organise son tournoi pour les garçons et filles de 9 à15 ans. l’occasion de voir les jeunes pousses du basket se produire au Palais dessports (place de la Nation) et au gymnase Rousseau (4 rue Ho-Chi-Minh).www.vaulxbasketclub.fr

Un tournoi sur le thème de la Coupe du monde la nouvelle association a Vaulx marques, qui favorise la pratique du sport orga-nise un tournoi de futsal au gymnase Blondin, samedi 8 juin. 16 équipes s’af-fronteront sur le thème de la Coupe du monde. les équipes doivent être com-posées de 5 joueurs plus deux remplaçants. la participation aux frais est fixée à10 euros par joueur. Des places sont toujours disponibles. Pratique : a Vaulx Marques. Tél. 06 28 09 99 98.

Course en tête à Vaulxa vos baskets jeunes gens ! le club d’athlétisme organise une course à destina-tion des enfants de 5 à 14 ans, dimanche 15 juin. Sur des distances de 900, 1500et 3000 mètres, les jeunes vaudais pourront découvrir les joies de la course.l’événement est gratuit et les inscriptions se font jusqu’au 5 juin auprès des éta-blissements solaires.Pratique : acvv69@gmail.com ou 06 51 63 86 50.

EN BREF

DePuiS quelques temps déjà, le cru1998-1999 du Vaulx-en-Velin handballclub (VVHC) est très bon. les jeunesformés au club constituent un collectifsolide. entraînés par Fabrice Ferres,Romuald Fidole, Fayssal Marzouk etMalik lafi, les u16 ont fait une saisonremarquable. ils terminent 7e duchampionnat Rhône-alpes. Cetteéquipe réalise ainsi une grosse perfor-mance, elle qui jouait en championnatdépartemental, il y a deux ans. il faut dire que ces jeunes joueurs sont

tous inscrits en classe handball au col-lège Pierre-Valdo et s’entraînent troisfois par semaine avec le club, en plusdes matchs le week-end. un tempointensif mais qui favorise la cohésiondu groupe.le collectif, mené par Tom Phoséna, aété rejoint par deux joueurs régio-naux : anthony Boivin et ThomasJimenez. et les deux ailiers du VVHC,ezra ackah et amir ali assoumane,intégrent la sélection nationale junior. le 24 mai, les u16 vont disputer les

demi-finales des brassages pour leschampionnats de France des moinsde 18 ans, face à Tassin. l’occasion deporter haut les couleurs du hand vau-dais.

R.C

Pratique : 1/2 finales des brassagespour le championnat de France u18,VVHC face à Tassin, le 24 mai gymnaseRousseau, rue Ho-Chi-Minh.http://vaulxenvelinhandball.asso-web.com

L’arbitre est là pour protéger le jeu,le joueur et l’image de la discipline.

S’il eST uN MaRCHé dont la notoriétédépasse les limites de Vaulx-en-Velin,c’est bien sûr le Super marché auxpuces. une caverne d’ali Baba sanssésame. Chaque dimanche, entre15 000 et 25 000 personnes s’y ren-dent, en quête de bonnes affaires. “J’yvais quasiment toutes les semaines, c’estcomme un rituel, assure Yacine, jeunetrentenaire du Mas du Taureau. On atous une histoire particulière avec cemarché où l’on croise forcément destêtes connues.” Dès la sortie du périphérique, l’histoirese répète de semaine en semaine. ilest à peine 9h, le C3 déverse son lot defamilles et déjà, les voitures peinent àavancer. Très vite, les cinq hectares dumarché de la rue Tita-Coïs se remplis-sent tandis que l’air se charge desodeurs de merguez grillées, de galet-tes farcies, d’olives marinées et defruits bien mûrs. “C’est vraiment vivantici, ça me change de mon petit marchéde Jean-Macé”, s’étonne Manon, jeunelyonnaise pour qui c’est la premièrevisite au Pont-des-Planches. “Ledimanche, c’est le centre du monde !”,plaisante larbi, vendeur de produitsde beauté. alain, spécialisé en chaus-sures pour femme le confirme : “Je faisaussi le marché des Minguettes, maiscelui là est de loin le meilleur. Il a uneâme.” Même ahmed Telaïdj n’aban-donnerait pour rien au monde le mar-ché, lui qui possède aussi une bouche-rie à Vaise.

40 ans que cela dure“Nous avons ouvert nos portes le jour dela mort de Georges Pompidou, en 1974”,se rappelle un exposant. a l’origine, onretrouve quelques puciers chassés dela place Rivière de Villeurbanne etdécidés à trouver un petit coin bien àeux. C’est au débouché du pont deCusset qu’ils dégotent leur bonheur,rejoints par des vendeurs d’alimenta-tion, de produits manufacturés, devêtements et de pièces automobiles.au fil des années pourtant, la brocantea perdu de son poids face aux autressecteurs. elle ne représente aujour -d’hui qu’une infime part des transac-tions dominicales. “Il ne doit rester quedeux ou trois brocanteurs”, note ladirection. Parmi ces irréductibles, Daniel etJosiane ortolani. “Nous avons pensé àrejoindre les Puces du Canal mais nousn’avons jamais sauté le pas. On préfèrerester ici”, confie Josiane. Chez eux, lemarché est une histoire de famille : legrand-père était une figure de la placeRivière, le père, un pionnier du Supermarché, quant à leurs deux fils, l’undonne un coup de main sur le stand etl’autre s’occupe de l’accueil du site.

“Ce n’est pas une mince affaire à gérer”Présent au Super marché depuis 1978,Joseph amsellem est à la tête del’insti tution vaudaise depuis deux ans,prenant la suite de Jo Nucci. le diman-che matin, il abandonne son stand defruits et légumes pour faire sa tournée.“Ce n’est pas une mince affaire à gérer,consent-il. Il faut régler les problèmesdes 350 commerçants, s’assurer du rem-plissage des parkings, veiller à ce quechacun soit à sa place, que les marchan-dises vendues soient conformes, que lesstands respectent l’alignement…”. C’estqu’ici, les forains ne sont pas queforains : ils sont aussi propriétaires deslieux. au Super marché, les actionnai-res, ce sont les commerçants. unmodèle d’entreprise unique en France. afin d’avoir un œil partout, Josephamsellem peut compter sur un dispo-sitif bien rodé. Son talkie-walkie tou-jours en main, il reste en liaison cons-tante avec la douzaine d’agents desécurité, les six placiers, les sept autres

responsables de secteur qui commelui, arpentent les stands, et le solideréseau de caméras. Pendant queMounir scrute les écrans de contrôleafin de superviser le remplissage desparkings et de débusquer les voleurs àla sauvette, d’autres patrouillent dansles rues voisines pour veiller à la tran-quillité des riverains. Bilal, lui, gardel’entrée principale. il s’assure que la cir-culation reste fluide, son vélo à portéede main au cas où il doive intervenir àl’autre bout du site. “Un agent qui a tra-vaillé au Super marché aux puces, il peuttravailler n’importe où après, rigole-t-il.On rencontre des problèmes hors ducommun ici ! Mais on finit toujours pararriver à les réguler…”

Une matinée au pas de course“Bonjour monsieur le président !”,“Comment vas-tu José ?”. Sur son pas-sage, Joseph amsellem salue ses col-lègues. “Le plus gros de mon boulot,c’est d’être à leur écoute.” avec toute sadiplomatie, il en profite pour fairequelques rappels au règlement. “Monsouci majeur, c’est d’être sûr que tout soitbien à sa place.”le sexagénaire circule avec uneaisance désarmante dans les alléesbondées qu’il connaît par cœur. uncrochet par la “cour des miracles”, aumilieu des puces et de l’outillage, et

par le secteur automobile, mais Josén’a guère le temps de s’arrêter. ledimanche, c’est au pas de course qu’ilavale les kilomètres, au son du récep-teur radio qui n’en fini pas de grésillerpour l’informer d’une chute, d’unedispute entre un commerçant et unecliente ou d’un problème sur un par-king. Tous les tracas de la vie d’un mar-ché. il passe tout de même par lesdeux buvettes de la cour des miraclesoù se retrouvent les fidèles, puis par leCafé des Puces, lieu de rendez-vouspar excellence. la pendule avance et les clients com-mencent à déserter les étals pour s’ag-glutiner, les bras chargés de sacs, auxarrêts de bus. il est 15 heures, lesforains remballent leurs marchandisesen veillant à ne rien laisser sur lebitume. les agents de nettoyage semettent à l’œuvre afin d’effacer lesstigmates du passage des milliers dechalands, dans l’enceinte comme dansles rues alentours. un dernier tourpour vérifier que tout est nickel et l’é-quipe du Super marché peut enfinsouffler. Du moins jusqu’au dimanchesuivant.

Maxence Knepper

Pratique : Super marché aux puces,1 rue Titta-Coïs. Tél. 04 78 80 96 55.

Vaulx-en-Velinjournal- 21 mai 2014 - N°94

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Le dédale d’étals du Super marché aux puces attire depuis 40 ans une foule de badauds à faire pâlir d’envie n’importe quel centre com-mercial. Reportage dans les coulisses de cette institution vaudaise.

SORTIR

“Au Super marché au puces, on croise forcément des têtes connues” (ci-dessus).Mounir veille au bon déroulement de la matinée depuis le PC sécurité (en médaillon).

Chaque dimanche, entre 15 000 et 25 000 personnes se pressent au Pont-des-planches (ci-dessous).

Le Super marché aux puces : l’envers du décor

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3QUESTIONS À :JosephAMSELLEMprésident duSupermarché aux Puces

On parle de problèmes de sécurité au Super marché. Est-ce justifié ?C’est une image qui date d’une quin-zaine d’années, quand nous avions dessquatteurs. Grâce à l’aide de la police,nous avons éradiqué ce phénomène.Depuis, quand nous voyons des ven-deurs à la sauvette, nous intervenonsimmédiatement. le Super marché estdevenu exemplaire au niveau de la sécu-rité. les seules nuisances que nous occa-sionnons, c’est le stationnement desgens qui se garent n’importe où. Maisl’incivilité, nous ne pouvons pas lacontrôler. D’autant que nous disposonsde 1200 places de stationnement.Pourtant, même quand il reste des pla-ces, certains préfèrent se mettre ailleursplutôt que de dépenser 3 euros ! Notreplus gros problème, c’est finalementnotre popularité.

Et les vols ? Sont-ils monnaie courante ?Nous en avons forcément, mais pas plusqu’ailleurs. Dès l’instant où nous som-mes dans un lieu où les clients sortent etrangent souvent leur portefeuille, il y ades pickpockets. Ce sont des profession-nels qui travaillent souvent en bande. ilest donc très difficile de les prendre enflagrant délit. Pour cela, nous avons ausein de notre équipe de gardiens despersonnes qui circulent en civil et qu’onappelle les “pré-vol“. Mais les voleurssont très malins et les repèrent. il y aaussi des policiers qui se mêlent à lafoule pour les empêcher d’œuvrer. lespickpockets, c’est notre cheval debataille. Nous mettons toutes nos forcesen œuvre pour endiguer ce problème.

Quels sont vos projets pour l’avenir ?le plus important, c’est d’améliorerencore la sécurité de notre marché afinque les usagers puissent être accueillisdans les meilleures conditions possibles.on avance, on trouve des solutions pourchaque problème. Par exemple, nousavons percé de nouvelles ouvertures dechaque côté de notre périmètre afin queles commerçants, en repartant, ne cau-sent pas d’embouteillage. Nous faisonsaussi des rondes aux alentours, pours’assurer de la quiétude du quartier.Depuis que c’est en place, nous consta-tons des améliorations notables.

Propos recueillis par M.K

plus de photo sur www.vaulx-en-velin-journal.com

10Vaulx-en-Velinjournal - 21 mai 2014 - N°94

leS aSSoCiaTioNS Vaulx-en-Velin futsal, event’issage, Bleu papillon et a Vaulxmarques organiseront le samedi 31 mai un événement festif. autour d’un vide-dressing et accompagnées par l’espace Frachon, elles organiseront des anima-tions et un repas sur place. l’occasion de faire bouger le quartier avec l’arrivéedes beaux jours. et surtout de renouveler sa garde robe à moindre frais. lesenfants seront les bienvenus : des animations ludiques et sportives leurs serontproposées tandis que les curieux chercheront les bonnes affaires. les bénéficescollectés lors de cette journée serviront à financer un voyage familial, à la foissolidaire et équitable.Pratique : inscriptions et renseignements auprès de l’espace Frachon au 04 7204 94 56. Tarif : 5 euros les 2 mètres. Table et portant avec 20 cintres : 8 euros.

Une fête et un vide-dressing pour célèbrer le printemps

SAM31MAI

l’eSPaCe CaRMaGNole accueille jusqu’au 30 mai une exposition collective quimet en valeur les créations de plusieurs membres du Groupe d’entraidemutuelle envol et Cie. Cette association, située rue de la Poudrette àVilleurbanne, contribue à l’insertion sociale de personnes en situation d’isole-ment et de souffrance psychique et propose différentes activités parmi lesquel-les la création artistique. aimée, alain, Bertrand, odile et olivier présentent des travaux réalisés pour laplupart lors de l’atelier de peinture libre qui fut animé pendant quatre ans parl’artiste Hervé Fayel. les sujets et les techniques sont variés. les œuvres ont étéréalisées “dans un cadre vivant et dans la bonne humeur”, indique odile, adhé-rente vaudaise du Gem qui participe aussi à des ateliers proposés parl’artistorium et qui est à l’initiative de l’exposition. “Odile a porté le projet pourretracer l’aventure de cet atelier”, souligne Philippe, animateur d’envol et Cie.aujourd’hui, avec le départ d’Hervé Fayel, l’atelier est quelque peu en suspens.Mais le Gem compte bien trouver un autre intervenant pour que le chemine-ment artistique se poursuive. F.MPratique : espace Carmagnole, 8 avenue Bataillon-Carmagnole-liberté. Tel. 0472 14 16 60. ouvert du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 14h à 17h.

Envol et Cie expose à CarmagnoleJUSQU’AU30MAI

agenda

leS BeauX JouRS sont de retours et les vide-greniers aussi. une façon pour lesuns de faire de la place chez soi et pour les autres, de faire de bonnes affaires.les inscriptions sont en cours. Samedi 24 mai : - vide-grenier organisé par les parents d'élèves FCPe de l’école Makarenko B etles enseignants, à partir de 8h. Renseignements à l’école, promenade lénine. - braderie des apprentis d’auteuil. Braderie solidaire Mamans en fête, de 10h à19h, place antonin-Poncet (entrée libre). les fonds collectés permettront definancer la mise en place d’ateliers individuels et collectifs dédiés à l’insertionsocio-professionnelle des résidents de la résidence sociale Saint-Bruno à Vaulx-en-Velin. www.mamans-en-fete.orgSamedi 7 juin : - vide-grenier de l'association Frameto, place du marché, avenue Dimitrov de 9hà 18h. inscriptions possibles jusqu’au 25 mai, 3 euros le mètre. Tél : 06 13 58 7160 ou par aframeto@sfr.fr- vide-grenier de l’association au fil de la Rize, place Roger-laurent, à partir de8h. inscriptions au 06 10 16 34 32 (de 17h à 20h). Lundi 9 juin : - Braderie et vide-grenier de l'association des commerçants ensemble le Mas, de8h à 19h. Braderie place François-Mauriac ; vide-grenier sur le parking au piedde la tour d'escalade et sur la promenade lénine. inscriptions au vide grenieravant le 30 mai (uniquement pour les habitants de Vaulx-en-Velin) à l’espaceBenoît-Frachon, 3 avenue Maurice-Thorez. Tél. 04 72 04 94 56.

24MAI/9JUINLes bonnes affaires des vide-greniers

MER21MAIA Vaulx livres les petits :mini specta-cle musical Notre éléphant est rose,dans toutes les bibliothèques et à lalibrairie Gibert au Carré de Soie. Voirprogramme page 12.Histoire de l’art : conférence sur laphotographie, à 19h, à la MJC, 13 av.Henri-Barbusse. Tarif : 15 euros lemodule (conférence + sortie du 24mai) + 6 euros carte MJC. Tel : 04 72 0413 89.Spectacle jeune public,opéra Poüet,par la Cie Zoélastic, à 15h, à la MJC, 13av. Henri-Barbusse. Dès 4 ans. Tarif : 3euros. Tel : 04 72 04 13 89.Conférence avec Sifedine Douadi, à19h, sur le marathon des Sables. MJC,13 av. Henri-Barbusse.Vide-grenier du Mas du 9 juin :inscriptions jusqu’au 30 mai à l’accueilMédiactif, espace Benoît-Frachon, 3av. Thorez. Tel : 04 72 04 94 56. lesmardis et mercredis de 9h à 11h et de15h à 17h. les vendredis de 9h à 11h.

JEU22MAIAssemblée générale de VVE, à 10h, àla maison des fêtes et des familles, 1rue louis-Saillant.Portes ouvertes à l’école de produc-tion Boisard, de 14h à 20h, 148 av.Franklin-Roosevelt. Formations tech-niques dans les domaines de l’indus-trie, de l’artisanat, du bâtiment et desarts. Tel : 04 78 49 03 78. www.ecole-boisard.comBiennale de la danse : atelier pourréalisation des fanions de 14 à 16h, àl’espace Carco, 20 rue Robert-Desnos.Renseignements : 04 78 80 22 61.Ateliers danse, remise en forme, ani-mée par la Cie Kadia Faraux, à 14h, aulCR des Grolières. Renseignements au06 28 94 03 54.Soirée lecture avec Vincent Bady etarmand Creus, à 19h, au Grand café dela mairie, 18 rue Maurice-audin. Parl’association Dans tous les sens.Spectacle musical : l’homme et lachèvre, par la Cie argranol, à 19h30, aucentre culturel Charlie-Chaplin, placede la Nation. a partir de 10 ans. Tel : 0472 04 81 18.

VEN23MAIScène ouverte de musiques actuel-les amplifiées, à 19h, à la MJC, 13 av.Henri-Barbusse. entrée libre.Lectures multilingues, à 19h30, à labibliothèque Georges-Perec, ruelouis-Michoy.Avant première du film, l’amour surplace ou à emporter, à 19h30 au PathéCarré de Soie. Rencontre avec la réali-satrice et actrice amelle Chahbi etNoom Diawara.Spectacle musical : l’homme et lachèvre, par la Cie argranol, à 20h30, aucentre culturel Charlie-Chaplin, placede la Nation. a partir de 10 ans.Spectacle des élèves de l’option artsdu cirque du lycée Doisneau, à 20h30,sous le chapiteau imagine au Carré desoie, 5 av. des Canuts.

SAM24MAIVide-grenier de l’école Makarenko B,à partir de 8h. Renseignements à l’é-cole, promenade lénine. Tel : 04 78 8048 06.Portes ouvertes au collège aimé-Césaire, 2 rue des frères Bertrand, de8h30 à 12h. Cours de peinture, public adulte, de9h à 12h, à l’artistorium, 1 allée de laBoule-en-Soie. Renseignements etinscriptions : artistorium@orange.fr ou06 07 21 70 06.Rando urbaine, niveau balade : tourdu lac du Grand parc de Miribel-Jonage. 2 tickets TCl ou abonnementTCl + carte d’adhésion MJC. Tel : 04 7204 13 89.

Promenade urbaine à la Soie avec unguide. Tarif : 10 euros/réduit : 5 euros.Renseignement et inscriptions :lyon@promenades-urbaines.com Fête de la nature : visites du barrageet de la passe à poissons de Jons-Niévroz, de 9h30 à 17h30, organisépar eDF. Visites guidées gratuites de45mn. inscription obligatoire sur lesite http://edf.inviteo.fr/barragejons/Stage karaté : découverte bodykaraté et self défense pour ados/adul-tes de 10h à 12h. Préparation aux gra-des de 10h à 15h. MJC, 13 av. Henri-Barbusse. Tarif : 5 euros.Renseignements au 04 72 04 13 89.Braderie solidaire Mamans en fêtedes apprentis d’auteuil, de 10h à 19,place antonin-Poncet à lyon 2e.entrée libre. les fonds collectés iront àla résidence sociale Saint-Bruno àVaulx-en-Velin.Boules : souvenir william, à 13h30, un16 doublette 3 et 4e divisions promopar poules. Boule en Soie, 5 allée de laBoule en Soie. Tel : 04 72 75 00 27.Exposition de peinture sur le thèmede la musique par l’aSlRVV, de 14h à18h, salle Victor-Jara, rue lesire.Initiation gratuite à l’escalade avecle CPeaVV, de 14h à 18h, à la tourPatrick Berhault, 1 rue des Vergers.Renseignements et inscriptions au 0472 04 37 01 et escalade@cpeavv.comCueillette de plantes sauvagescomestibles, de 14h à 17h, au Grandparc. 11€ par personne (1 enfant nonmajeur gratuit pour 1 adultepayant).inscription à l’accueil du parcou par tél. 04 78 80 56 20.Initiation et découverte de l’aviron,de midi à 19h, au Grand parc deMiribel Jonage. Tel : 04 78 80 56 20.Histoire de l’art : visite de galeriesphotos animée par Clara Cuzin, à14h30. Tarif : 15 euros le module(conférence + sortie) + 6 euros carteMJC. Renseignements au 04 72 04 1389.Football CFA2 : équipe FC Vaulxcontre alès ol, à 18h, au stadeFrancisque-Jomard.

DIM25MAIElections européennes, bureaux devote ouverts de 8h à 19h.Frappadingue, course à pied de l’ex-trême sur 12km, de 17h30 à 20h30, auGrand parc de Miribel-Jonage. Tel : 0478 80 56 20. www.frappadingue.net

LUN26MAIAtelier d’écriture par l’associationDans tous les sens. Renseignements àl’espace Carco au 04 78 80 22 61.

MAR27MAICommission vie sociale pour prépa-rer la fête du quartier, à 14h au lCR desGrolières. ouvert à tous les habitants.Renseignement à l’espace Carco : 0478 80 22 61.Commémoration de la Journéenationale de la Résistance à 18h aumonument aux Morts, rue de laRépublique.

MER28MAIStage de hip hop sur 3 séances : 28mai de 13h à 16h + 7 juin de 10h à 17h+ 11 juin de 14h à 15h. MJC, 13 av.Henri-Barbusse. De 8 à 12 ans. Tarif : 5euros pour les 3 jours + carte MJC 6euros. Renseignements : 04 72 04 1389.

VEND30MAIBiennale de la danse : atelier pourréalisation des fanions de 14h à 16h, àl’espace Carco, 20 rue Robert-Desnos.Renseignements : 04 78 80 22 61.

Handball masculin : match de gala,Tremblay (D1) face à Grenoble (N1), à20h30 au palais des sports Jean-Capiévic, place de la Nation. entréelibre.

SAM31MAIGrande parade du printemps deshabitants du Mas du Taureau, de 10h à17h, salle Victor-Jara, rue lesire.animations ludiques et sportives,vide-dressing et restauration.inscriptions à Médiactif au 04 72 04 9456.Basket : tournoi du VBC u9 à u11,toute la journée, au palais des sportsJean-Capiévic et au gymnaseRousseau.

DIM01JUINBasket : tournoi du VBC u13 à u15,toute la journée, au palais des sportsJean-Capiévic et au gymnaseRousseau.

LUN02JUINLâcher de ballon stratosphériquedu collège Barbusse, av. Henri-Barbusse, après 10h.Atelier cuisine santé de 9h30 à 13h,animé par un diététicien. Diabète,obésité, surpoids : rdv avec une diété-ticienne et un endocrinologue de 15hà 19h. Gratuit. Prenez rdv au servicemunicipal de la Santé : 04 72 04 80 33.

MAR03JUINPermanence avocat conseil, à partirde 17h30, sans rdv, à l’Hôtel de ville,place de la Nation.Conférence sur le thème Devenirjournaliste scientifique, à 18h, au pla-nétarium, place de la Nation.

MER04JUINA Vaulx livres les petits :Baby cirk parla Cie les Kontempouriens, à la salleVictor-Jara. Voir programme page 12. Permanence info tabac de 9h30 à16h, au CDHS, 25 rue Rabelais. animéepar un tabacologue, tests, documen-tation. Tel : 04 78 80 98 12.Danse théâtre : Foliage/Skinny whitegirl par la Cie itchy feet, à 19h30, aucentre culturel Charlie-Chaplin, placede la Nation.

JEU05JUINPermanence avocat conseil, à partirde 17h30, sans rdv, à l’Hôtel de ville,place de la Nation.Conseil municipal à 19h. Séancepublique, Hôtel de ville, place de laNation.Danse théâtre : Foliage/Skinny whitegirl par la Cie itchy feet, à 19h30, aucentre culturel Charlie-Chaplin, placede la Nation.

VEN06JUINLectures multilingues à 19h30 à labibliothèque Georges-Perec, ruelouis-Michoy.

SAM07JUINVide-grenier de l’associationFrameto, de 9h à 18h, place du mar-ché, av. Dimitrov. inscriptions jusqu’au25 mai. Tel : 06 13 58 71 60 ou à afra-meto@sfr.frVide-grenier de l’association Au filde la Rize, à partir de 8h, place Roger-laurent. inscriptions au 06 10 16 34 32de 17h à 20h.

11Vaulx-en-Velinjournal- 21 m

ai 2014 - N°94

pratique

“C’EST un travail constant que celui de la propreté d’une ville”, assure HélèneGeoffroy, députée-maire de Vaulx-en-Velin. Après le ramassage des déchets de laRize le 17 mai et l’opération d’entretien des parties communes par les agents deDynacité aux Verchères le 20 mai, Vaulx poursuit son grand nettoyage de prin-temps, dans le cadre de la “Faites de la Propreté” initié par le Grand lyon. “LesVaudais sont invités à participer à différentes actions conviviales de nettoyage et desensibilisation”, souligne Matthieu Fischer, adjoint délégué à l’ecologie, àl’environnement et au Patrimoine naturel. Des initiatives participatives, à l’instardes animations autour du respect de la planète qui se dérouleront à la Balme etaux Chalets, le mercredi 28 mai, de 14 à 17 heures, à l’espace central (3-25 ave-nue Garibaldi), ou encore des ateliers sur le compost qui auront lieu le samedi31 mais, de 8h30 à 12 heures, aux jardins familiaux de la rue Paul-eluard.Mercredi 18 juin, les habitants du Pré de l’Herpe se retrouveront pour une opé-ration de nettoyage des espaces extérieurs avec jeux et goûter convivial (che-min Pierre-Dupont, de 14h à 16h30). enfin, le Grand lyon viendra présenter sesvéhicules de nettoiement aux élèves des écoles Jean-Vilar et angelina-Courcelles, le vendredi 20 juin, de 9h à 11h30.

Vaulx participe à la “Faites de la propreté”

Les petites annonces ne pouvant fairel’objet de vérifications systématiques,elles sont publiées sous la seule respon-sabilité de leurs auteurs.

SERVICES

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DIVERS

• Vds jolie lampe de chevet 10 euros +disques vinyles 33T état neuf + CD métal+ livres de guerre Gerfaut. Prix : 1 europièce. Tel : 06 68 96 22 42.• Vds fauteuil noir électrique sur roulettes+ cache. Valeur 950 euros. Vendu : 150euros. Tel : 04 78 79 06 35.• Vds blouson de marque S /M. Prix : 40euros. Tel : 04 78 79 06 35.

• Vds parfums Dior ou Burberry. Prix : 35euros. Tel : 06 64 81 71 85.• Vds robes de soirée T38. Prix : de 35 à 49euros. Tel : 06 64 81 71 85.• Vds climatiseur mobile neuf 50 euros +ventilateur carré 20 euros + bouquin tousgenres 50 centimes l’un. Tel : 04 78 79 0635.• Vds série de 4 casseroles Tefal armatal,tout feux sauf induction, excellent état.Prix : 36 euros. Tel : 06 10 09 05 13.• Vds très belle lampe blanche en résineavec sa colonne Gallo Romaine. Hauteurde l’ensemble 1m60 environ, excellentétat. Prix sacrifié : 50 euros. Tel : 06 28 3413 91.• Vds divers vêtements femme T44/46dont 2 ensembles cérémonie de marque+ chaussures P37 et 38. Bas prix. Tel : 06 8181 99 22.

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Grappinière : le cabinetde radiologie a ferméa la suite de son expropriation par leGrand-lyon, avant la démolition et lareconstruction du centre commercialde la Grappinière, le cabinet de radio-logie (rue Charles-Delestraint) a cessédéfinitivement son activité depuis le16 avril dernier.

Les ateliers de la Biennale Tous les jeudis, de 14h à 16h30, et lesvendredis après-midi à l’espaceFrachon, des bénévoles se retrouventà l’espace Carco pour réaliser les cen-taines de fanions destinés au défilé dela biennale de la danse. aux couleursdu projet FreeDoun et des danseurs

Vaudais et Fidésiens, ils seront distri-bués au public lors de la grandeparade à lyon en septembre. Pourprêter main forte à ces ateliers, ren-dez-vous à l’espace Carco, 20 rueRobert-Desnos ou à l’espace Frachon,3 avenue Maurice-Thorez.www.mediactif-biennale.fr

QNDMC est en lignealors qu’ils préparent le troisièmenuméro de Qui ne dit mot consent(QNDMC), leur revue portant unregard critique sur le monde de l’ar-chitecture, les étudiants de l’ecolenationale d’architecture de lyon(ensal), basée à Vaulx-en-Velin, lan-cent leur boutique en ligne.

il est désormais possible de comman-der par internet un exemplaire desdeux premières parutions consacréesà l’héritage et à l’artisanat. en atten-dant de feuilleter les prochaines. Pratique : www. qndmc.com

Journalisme scientifiqueMardi 3 juin, à 18 heures, PhilippeHenarejos, rédacteur en chef de larevue Ciel et espace, animera uneconférence au Planétarium pour toutsavoir sur les journalistes scientifiques.“Qu’est ce qu’un journaliste scienti-fique ? Comment le devenir ? en quoiconsiste ce métier ?”, seront, entre aut-res, les questions auxquelles ce spé-cialiste répondra. Pratique : mardi 3juin à 18h au Planétarium, place de laNation. Tél : 04 78 79 50 12.

EN BREFNETTOYAGE

Pour paraître dans le journal du 4 juin, les petites annonces devrontparvenir à “Vaulx-en-Velin Journal” avant le 30 mai en utilisant obli-gatoirement le coupon prévu à cet effet. Ces petites annonces gra-tuites sont réservées aux particuliers demeurant sur Vaulx-en-Velin.

Vaulx le journal vous offre la possibilité de faire publier gratuitement une petite annonce

NoM : ..................................................................................................................................................Tél. ...........................................................................................

adresse : ..................................................................................................................................................................................................................................................

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Découpez ce coupon, et envoyez-le à l'adresse suivante :Vaulx le journal/Petites annonces, BP 244. 69515 Vaulx-en-Velin Cedex.

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BP 244 - 69515 Vaulx-en-Velin cedexTel : 04 72 04 04 92Fax : 04 72 04 85 28contact@vaulxenvelinlejournal.com

édité par la Ville de Vaulx-en-Velin - Diffusion : 20 500 exemplaires - Directrice de lapublication : Hélène Geoffroy, députée-maire - Rédactrice en chef : edith Gatuing -Rédactrice en chef adjointe : Françoise Kayser - Rédaction : Rochdi Chaabnia,Fabienne Machurat, Maxence Knepper - Photos :Marion Parent - PAO : Bruno Valéra,aleksandar Zauli - Réalisation : Public imprim®, BP 553, 69637 Vénissieux cedex -Impression : SieP, Za les Marchais, 77590 Bois-le-Roi - N° iSSN : 2106-7813 -Exemplaire gratuit, ne peut être vendu.

leS FoRMulaiReS d’inscription à la restauration scolaire sont disponibles àl’Hôtel de Ville, place de la Nation, à la direction municipale de l’education (ser-vice de la restauration scolaire). Sur le site de la Ville de Vaulx-en-Velin :http://www.mairie-vaulx-en-velin.fr/Enfance-jeunesse/Education/Vie-Scolaire/La-restauration-scolairePour valider l’inscription il est impératif de présenter les documents suivants :- Carte de quotient familial municipal en cours de validité (établie par le CCaS,niveau 1 de l’Hôtel de ville),- attestation de l’employeurou les trois derniers bulletinsde salaire des deux parents,- Justificatif de domicile demoins de trois mois et n° allo-cataire CaF,- livret de famille,avec photocopie des justifi-catifs.afin d’éviter la forte affluenceaux guichets fin août, il estconseillé d’inscrire lesenfants dès à présent.

Inscriptions à la restauration scolaireRENTRÉE

Supplément spécial

dans notre

prochain numéro !

LAISSEZ un enfant de moins de sixans devant une pile de livres et obs-ervez. Il va prendre un livre, puis unautre, le toucher, s’attarder sur uneimage, la reconnaître, s’en réjouir ous’en émouvoir. Pour peu que l’his-toire lui soit racontée, il en rede-mande. Le livre devient peu à peucomme un doudou, un objet fétichequ’il promène avec lui, qu’il a adoptécar il lui est familier, car les illustra-tions qu’il contient sont celles de sonquotidien ou celles de son émer-veillement, de la découverte de l’au-tre.C’est toute cette magie que véhicu-lent depuis trente ans les biblio-thèques municipales et le servicePetite enfance de la Ville en propo-

sant, au sein de leurs structures, deslectures aux tout-petits. Et c’estdepuis dix ans maintenant que cesservices municipaux ont mis en placeA Vaulx livres les petits. “Tout ce tra-vail autour de la lecture devait êtrerendu visible, explique NoëlleNicoloso, responsable des biblio-thèques municipales et à l’origine del’événement avec sa collègue NicoleGaget, alors au service Petiteenfance. Nous nous demandions si lesparents étaient au courant de ce quel’on faisait avec leurs enfants, de l’im-portance du livre. Nous avions aussi àcœur de proposer une réflexion auxprofessionnels de la petite enfance,assistantes maternelles, responsablesde crèches ou instituteurs”.

“Faire entrer le livre dans le quoti-dien des tout-petits”En 2005, la première édition d’AVaulx livres les petits consacre la for-mule autour de deux principes : untemps pour les parents et un tempspour les professionnels. Et desvaleurs : la prévention de l’illet-trisme, l’aide à la réussite scolaire etle vivre-ensemble. “Si l’enfant a bai-gné dans les histoires dès le tout pre-mier âge, l’apprentissage de la lecturese fera alors plus en douceur”, insis-tent Nadia Lakehal, adjointe chargéede la Culture et Virginie Comte,adjointe à la Petite-Enfance. Pour lesdeux élues, “l’action conjointe desservices municipaux permet de faireentrer le livre dans le quotidien des

tout-petits et de leur famille tout aulong de l’année”.Car telle est bien la volonté d’A Vaulxlivres les petits. Permettre auxparents de partager le plaisir de lalecture avec leurs enfants. “Nousorganisons aussi des conférences dequalité et accessibles à tous. Cetteannée, c’est sur la question du choixdes livres pour les petits que nousavons invité Sophie Van der Linden,spécialiste de la littérature jeunesse.C’est exactement la question qu’onnous pose dans les bibliothèques : quellivre choisir ?, précise Noëlle Nicoloso.Et pour que les parents soient libresd’assister à ces rencontres sanscontraintes, nous avons mis en placeune garderie”.

Les professionnels de la ville ne sontpas en reste. Là aussi, la qualitéprime : Patrick Ben Soussan, pédop-sychiatre, déjà invité en 2010, revientcette année avec le psychiatre et psy-chanalyste Serge Tisseron. Unemanière de permettre à ceux qui tra-vaillent au quotidien avec les enfantsde se ressourcer et de partager leursexpériences.Voilà dix ans qu’A Vaulx livres lespetits met en lumière toute l’actionportée par les services municipaux.Cette année est une année de fête oùle livre et les histoires seront, une foisencore, à la portée de tous.

Edith Gatuing

Les tout-petits ne lisent pas et, pourtant, ils aiment les livres. Voilà dix ans que les bibliothèques municipales et le service Petite enfance de la Ville le démontrent avec A Vaulx livres les petits.

Une manifestation qui place les enfants et leurs parents au cœur de la lecture, pour découvrir le goût de lire ensemble.

A Vaulx livres les petits1 0 e A N N I V E R S A I R E

LE PROGRAMME MERCREDI 21 MAI Mini spectacle musical : Notre éléphant est rose, par

Emmanuelle Saby et Véronique Ferrachat dans les biblio-thèques9h30, bibliothèque Georges-Perec.10h45, bibliothèque Paul-Eluard.15h, bibliothèque Marcel et Renée-Roche.16h15, bibliothèque Marie-Ghislaine-Chassine.17h15, librairie Gibert-Joseph, pôle commercial du Carré desoie, avenue de Böhlen.

MERCREDI 4 JUINBaby Cirk par la Cie Les Kontempouriens.Salle Victor-Jara, esplanade Duclos.Des jeux d’équilibre et de déséquilibre pour illustrer l’apprentis-sage de la marche chez les enfants. De 1 à 3 ans. Sur inscription,réservé aux usagers des bibliothèques.

MARDI 10 JUIN À 19H30 ET MERCREDI 11 À 15HLa reine des couleurs par la Cie Les voisins, à partir de 4 ans.Centre culturel communal Charlie-Chaplin, place de la Nation.Théâtre musical, marionnettes, vidéo et peinture en direct.

MERCREDI 11 JUIN ENTRE 14H30 ET 17H30Jardin de la mairie annexe du Sud, près de la bibliothèqueChassine.

Embarca’son, spectacle familial à bord d'un manège musicalnaval et artisanal. De 9 mois à 8 ans, embarquement toutes les5 à 8 minutes !

JEUDI 12 JUIN À 18HBibliothèque Georges-Perec, rue Louis-Michoy.Comment choisir un album pour un enfant ? Rencontre entre lesparents et Sophie Van der Linden, spécialiste de littérature jeu-nesse, auteure de “Je cherche un livre pour un enfant : guide deslivres pour enfants de la naissance à 7 ans”. Garderie pour lesenfants jusqu’à 4 ans avec spectacle (nombre de places limité).Garderie pour les 4-7 ans avec des jeux.Samedi 14 juin à partir de 15h30Espace municipal Marcel-Cachin, 6 rue du 19-Mars-1962.Après-midi festif avec les tout-petits et leurs parents. Spectaclede contes, par Guy Prunier et Gilles Pauget, conteurs.

Et aussi…- Les étudiants de l’Ecole du Sud-Est (Lyon Vaise) exposent à labibliothèque Georges-Perec à partir d’albums devenus des clas-siques de la littérature de jeunesse.- Le plaisir de partager les histoires avec les tout-petits et leursparents dans les structures petite enfance et les bibliothèques.- Des animations autour de la fête dans les bibliothèques.- Des rencontres, des conférences à destination des profession-nels, des ateliers de sensibilisation à la lecture à haute voix.

Les bibliothèques municipales- Bibliothèque Georges-Perec, rue Louis-Michoy. Tél. 04 72 97 03 50.- Bibliothèque Paul-Eluard, espace culturel René-Carrier, 55 rue de la République. Tél. 04 78 79 51 46.- Bibliothèque Marcel et Renée-Roche, promenade Lénine, école Makarenko B. Tél. 04 78 80 58 10.- Bibliothèque Marie-Ghislaine-Chassine, rue Joseph-Blein. Tél. 04 72 37 87 69.Un site Internet plein de livres et d’histoiresLe site Internet des bibliothèques municipales, c’est un peu uncondensé de sa bibliothèque de quartier. On peut y réserver unlivre, y trouver les informations pratiques (adresses, horaires,arrêts du bibliobus), mais aussi découvrir les dernières actuali-tés et le calendrier des animations. On y trouve, dès la page d’ac-cueil, des histoires racontées pour et parfois même par lesenfants, comme Le loup et les sept chevreaux, une histoireracontée et mise en scène par les élèves de la classe de MonsieurVenet de l’école maternelle Mistral. Pour approfondir un thème,il y a les dossiers complétés d’une bibliographie. Et “un coin”pour chacun. Les plus assidus pourront y créer leur compte pourgérer leurs prêts mais aussi, selon leurs préférences, recevoirdes suggestions de la part des bibliothécaires.

http://bm.mairie-vaulxenvelin.fr/mairie-vaulxenvelin.fr