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VARIATION DE VITESSE DES MOTEURS SYNCHRONES
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Principes
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On a une machine dont il faut asservir la fréquence d’alimentation (f = p.N) sur la fréquence de rotation.
Il faut donc utiliser des convertisseurs statiques à fréquence variable.
Ces convertisseurs vont permettre soit :
• Une alimentation en tensions sinusoïdales.
• Une alimentation en courant.
Les sources d’énergie sont du type continu, alternatif monophasé ou triphasé.
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L’alimentation en tension se fait par un onduleur de tension.
Source d’alimentation continue
Conversion directe continu/alternatif
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On utilise la modulation de largeur d’impulsion (MLI) pour obtenir une tension moyenne sinusoïdale
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Source d’alimentation continue
L’alimentation en courant se fait par commutateur.
Conversion indirecte continu/continu/alternatif
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Avec la commutation en courant, le dispositif joue le rôle de "collecteur électronique".
Il y a conflit de source (machines inductives).
⇒ Impose commutation lente.
⇒Transitoires électriques et mécaniques lents.
⇒Utilisation TGV et laminoirs (grosses machines)
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Alimentation par le réseau
Conversion indirecte alternatif/continu/alternatif
L’alimentation en tension se fait par un onduleur.
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Types de machines
On définie le type de machine en fonction de la répartition du champ magnétique dans l’entrefer.
⇒ Répartition sinusoïdale : implicitement machines à pôles lisses.
⇒ Répartition rectangulaire ou plutôt trapézoïdale car le champ magnétique ne subit pas de discontinuité spatiale
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Modèle MS à pôles lisses et fem sinusoïdales
R : Résistance d'un enroulement.
L : Inductance cyclique.
K : Constante de fem. EMAX / Ω = p.ΦMAX
p : Nombre de paires de pôles.
J : Moment d'inertie
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Modèle MS à pôles lisses et fem trapèzesR : Résistance d'un enroulement.
L : Inductance cyclique.
K : Constante de fem. EMAX / Ω = p.ΦMAX
p : Nombre de paires de pôles.
J : Moment d'inertie
Remarque
Le neutre de la machine étant supposé non relié, il est nécessaire de supprimer la composante homopolaire éventuelle de fem. Cette composante se traduit par un déplacement du point neutre de la machine sans engendrer de courant. Dans le cas d'une machine à fem trapézoïdales, les harmoniques multiples de trois forment un système homopolaire.
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+
-
Facilité de commande
+
-
Coût
+
-
Facilité de réalisation machine
+--Machine « trapèze »
-++Machine « sinus »
Couple massique/volumique
Pulsations de couple
Précision (basses vitesses)
Alimentation par onduleur
de tension
Exemples de tendance:
• moteur de positionnement avec couple à l’arrêt (robotique): SINUS
• moteur sans contrainte de travail à basses vitesses: TRAPEZE
Entre « trapèze » (squarewave) et « sinus » (sinewave)
Critère de choix technologique
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Alimentation par le réseau
Conversion indirecte alternatif/continu/alternatif
L’alimentation en courant se fait par commutateur.
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Chaque séquence de conduction impose une direction fixe du champ statorique tandis que le champ rotorique se déplace à la vitesse du rotor.
K1 = K’2 =1 K1 = K’3 =1
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L’angle ξ évolue entre deux commutations, à cause du déplacement du rotor, ce qui entraîne une ondulation du couple. Cela peut être gênant si la charge a une faible inertie.
⇒ vibrations
L’alimentation en courant permet d’imposer la position angulaire même à vitesse nulle ⇒ peu de précision.
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Alimentation par le réseau
Exemple de conversion directe alternatif/alternatif pour une phase moteur
L’alimentation en tension se fait par un cycloconvertisseur
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Forme de la tension de sortie
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Avec les convertisseurs précédents, il est possible de régler la fréquence, l’amplitude et la phase de la tension ou du courant (couple de la machine).
Il n’est pas possible d’alimenter le moteur par un onduleur autonome (ne tient pas compte de l’angle Ψ) sans obtenir de décrochage :
⇒ il faut un autopilotage en fréquence toujours égal à la fréquence de rotation du rotor.
⇒ MACHINE SYNCHRONE AUTOPILOTEE
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Autopilotage scalaire : pilotage des courants ou tensions par asservissement sur une consigne sinusoïdale.
Autopilotage vectoriel : pilotage des tensions ou courants par asservissement sur une consigne constante après transformation vectorielle.
Il existe deux type d’autopilotage:
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Autopilotage scalaire
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Moteur Brushless (moteur sans balais)
C’est un moteur synchrone, à aimants permanents, autopiloté, alimenté en courant.
Définition
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Le pilotage en courants rectangulaires par commutateur de courant est plus simple à réaliser et ne nécessite qu'un capteur de position du rotor à faible résolution ( 6 informations par période ).
Les différents pilotages moteurs à aimantspilotage rectangulaire (rotor sans pièces polaires)
rotor à " aimants déposés "
(sans pièces polaires)
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Les différents pilotages moteurs à aimantspilotage sinus (rotor avec pièces polaires)
rotor à " concentration de flux "
(avec pièces polaires)
pilotage sinus (rotor avec pièces polaires)
Le pilotage du moteur en courants sinusoïdaux permet de supprimer les commutations brutales ( sources de bruit ) et d'obtenir une meilleure régularité du couple moteur. La génération de courants sinusoïdaux est faite par onduleur à modulation de la tension M.L.I.
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Schéma de principe d’un autopilotage scalaire en courant (couple)
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La vitesse en régime permanent dépend du couple résistant CEM = CR.
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Schéma de principe d’un autopilotage scalaire en vitesse
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Inconvénients de l’autopilotage scalaire
Il permet d’imposer la valeur maximale du flux seulement en régime permanent en agissant sur la fréquence statorique et la valeur efficace de la tension ou du courant statorique qui sont des grandeurs scalaires.
Le flux n’est pas contrôlé en régime transitoire, on contrôle uniquement sa valeur maximale en régime permanent.
⇒ performances médiocres en régime transitoire.
Pour obtenir des régimes transitoires performants, notamment en temps de réponse , il faut faire appel à une commande vectorielle.
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Autopilotage vectoriel
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Commande des courants de phase de type ″abc″ ou ″ sinus ″
30Commande dans le repère de la base liée au stator
Structure de commande des courants de phase
de type ″abc″ ou ″ sinus ″
Schéma fonctionnel
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Les fonctions « PWM GEN » contiennent un correcteur d’asservissement et un système de modulation de largeur d’impulsions.
Structure de commande des courants de phase
de type ″abc″ ou ″ sinus ″
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Dans tous les cas, on dispose d’une information numérique de position, le courant peut alors être régulé directement par calculateur (régulation numérique --> rapidité de calcul) ou analogiquement en effectuant une conversion analogique. Le capteur de position balaye trois mémoires contenant des sinusoïdes de référence pour les trois courants ia
, ib et ic
, l’amplitude de ces références (consigne du couple) est réglable par utilisation de MDAC (Multiplier Digital Analog Converter) ; un MDAC est un convertisseur numérique–analogique dont la tension (ou le courant) de référence est commandable par une tension externe, on obtient ainsi en sortie une multiplication de l’entrée numérique par cette tension externe. L’angle d’autopilotage est ajusté selon la vitesse pour obtenir une désexcitation au delà de la vitesse de base.
Commande des courants de phase de type abc
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Commande en d q
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Commande en d qOn cherche une base de vecteurs dans laquelle les équations décrivant le fonctionnement d'une machine électrique soient découplées, c'est à dire que les grandeurs relatives à une phase ne dépendent pas des autres phases (en particulier de leur flux).
Pour l’étude de la machine synchrone en régime transitoire, il est nécessaire de placer l’inducteur dans un repère fixe (Od,Oq) et de transformer le système triphasé d’induction en système biphasé dans ce repère (Od,Oq) .
Cette méthode du flux orienté est conçue sur la base d’un modèle défini grâce à la transformation de Park qui, d’un point de vue de la conversion, conduit à considérer la machine synchrone comme l’association électromécanique de deux machines à courant continu.
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(MCC)
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Dans l’hypothèse de la linéarité du circuit magnétique, le flux propre et le courant i sont liés par l’inductance propre L de l’enroulement.
La loi de Faraday exprime la relation entre la tension ν aux bornes d’une bobine de résistance R, le courant i, et la variation du flux totalisé Φt telle que :
Φt = Φ + Φc
Où Φ représente le flux propre de la bobine et un flux Φc de couplage magnétique avec d’autres enroulements.
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Avec l’alignement sur d la projection sur q devient nulle
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Consignes de courant constantes
Automate de Commande Rapprochée
Commande en″d q″
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Quelles valeurs prendre pour idref et idq ?
Si on veut un couple maximum, il faut idref= 0 (déphasage de 90° entre axe du rotor et champ statorique).
La valeur de Idq permet de régler le couple.
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Technologie
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Grande variété dans les technologies de fabrication pour les moteurs synchrones permettant:
• adaptation aux contraintes d’encombrement
• augmentation des couples massiques et/ou volumique
Au-delà de la distinction classique trapèze/sinus
Plusieurs gammes de moteurs au sein d’un même constructeur:
Exemple Parvex: ACG, LS, NX, LX, HW, HV,…
Contrairement aux moteurs à induction
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12 bobines/ 3 phases (stator) petite puissance
Machine synchrone à rotor extérieur à flux radial
aimants
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Moteur clocheStator tétraphasé
Rotor à aimants permanents
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Moteur cloche Escap
Moteurs disques (discoïdes) (flux axial)
EscapDes exemples
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Extrait de doc KAMAN
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Moteur discoïde à flux axial Sondes
à effet HallLes sondes à effet Hall permettent de définir les instants de commutation
des références de courantsDoc Escap
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Schéma d’une structure triphasée à 6 dents et 2 paires de pôles.
Induit d’un moteur Sony (diamètre d’entrefer environ 3 cm)
Petit moteur triphasé à rotor extérieur et bobinages concentrés.
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Moteurasynchrone
Réseautriphasé
EDF
Puissance en jeu : qq 100 kW
Enrouleuse
de papeterie
Exemple d’application moyenne puissance
triphasé
continu
continu
triphasé
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LAMINOIR
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74COMPRESSEURS
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COMPRESSEURS
76COMPRESSEURS
77PROPULSION NAVALE
20MW, 200 tr/mn
78PROPULSION NAVALE
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Secteur
automobile
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85ISG Honda_prius
HONDA_PRIUS: véhicule hybride commercialisé
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Alterno-démarreurs
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Moteur brushless utilisé en robotique
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CONSTITUTIONLe moteur est généralement constitué:• d ’un rotor à aimants permanents,• d ’un stator constitué d ’un enroulement
triphasé,• d ’un capteur de position (résolver ou
codeur),• d ’une sonde de température,• d ’un frein électromécanique.
89capteurs
Câblagepuissance
freinsonde
Câblagerésolver Câblage
codeurCM
statoriqueEnroulements
statoriques
Aimantspermanents
Sonde detempérature
Frein àdisque
resolver codeur
carcasse
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Carcasse
Réalisée en alliage d’aluminium.
Recouvert d’une peinture noire afin d’améliorer l’échange thermique par rayonnement.
De forme carrée au début des années 80, les premiers servomoteurs étaient de section rectangulaire pour des facilités d’intégration dans les machines outils. Depuis tous les constructeurs ont gardé cette forme rectangulaire.
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Rotor à aimants permanents
N
N
N
SS
S
Les aimants sont disposés en tuiles.Ils peuvent être collés, vissés ou enserrés dans une frette amagnétique
Cette solution est adoptée pour des géométries longues mais étroites . On favorise les vitesses élevées.
rotor
Machine 6 pôles
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Rotor à aimants permanents
N NS
S rotor
Pièces polaires (concentration du flux)
aimants
Cette disposition permet d’avoir des inductions de 3 à 5 fois supérieures à la structure précédente
On peut plus facilement augmenter le nombre de pôles
Machine 6 pôles
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Stator
Carcasse
Circuit magnétique feuilletéetôle à « grains orientés »
à 3,5% de siliciumpertes fer 1,4 W/kg sous 1,8T
Pertes Pf dans le fer
222
fBmeVPfρ
=
V : volume de tôlese : épaisseur des tôlesρ : résistivité des tôlesBm : induction maximumf : fréquence
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Le frein mécanique
Disqueacier
Aimantpermanent
Entrefer 0,3 mmbobine
ressortmoyeu Surface de
friction
L ’aimant produit un champ magnétique qui attire le disque acier contre la surface de friction.⇒ blocage du moteur
La bobine est alimentée en courant continu. Elle produit un champ inverse à l’aimant.⇒ Le disque acier est libéré
Le frein est du type « à manque de courant »
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Le frein mécanique
Avantages par rapport au frein à ressort :
- temps de blocage très rapide ( ≈ 40 ms) pour 150 à 200 ms avec les freins à ressorts.
- pas de rebondissement du disque.
- frein plus compact.
Sa vocation n ’est pas d ’effectuer des freinages dynamiques mais d ’assurer un blocage du rotor.On l ’appelle « frein de parking ».
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Le frein mécaniqueCaractéristique du couple de freinage Cf
24V 28V16V0 Tension d ’alimentation du frein
Cf
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Contrainte thermique
convection naturelle
rayonnement
Échauffement principal du moteur par les pertes statoriques
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Contrainte thermiqueDéclassement du couple moteur
document CEGELEC
Moteur CEGELEC 3000 trs / min 75 DSB 600
% o
f rat
ed to
rque
B (∆T=60°C)
F (∆T=100°C)H (∆T=125°C)
10 20 30 40 50 60
100
90
80
110
70
60
Ambient temperature (°C)
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Contrainte thermique
Attention
La température de la carcasse peut atteindre des températures de 110 °C pour une température de 140 °C des bobinages
DANGER
100
Contrainte thermiqueC ’est la classe des isolants qui détermine la température maximale admissible sur les enroulements d ’un moteur
Nécessité de surveiller la température des enroulements par sonde thermique
Classe Y A E B F H Céchauffement maximal(°C)
45 60 75 80 100 125 ...
température maximaled'emploi (°C)
90 105 120 130 155 180 > 180
Extrait de la norme C51 111
La température maximale est définie pour une température ambiante de 40°C
On retrouve principalement 3 classes d ’isolant
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sondes de température PTCElles permettent la surveillance de la température des enroulements.Elles sont noyées dans les bobinages
3,5mm
15mm
Thermistance Palpeur triple
Tension de service maximale (V) U max 25
Température de réponse nominale( °C) θTNF V référence
Tolérance (K) T ±5Temps de réponse thermique (s) ta <5
Température maximale de service (°C) θ max 200
Caractéristiques techniques
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Capteur de position :le resolverC’est un transformateur tournant constitué
d’un stator
d’un rotor
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rotor
stator
inducteur
induits
VS1
VS2
θ
PRINCIPE
entrée
104
rotor
stator
inducteur
induitsVS1
VS2θ
entrée10 kHz
VS1
VS2
PRINCIPE
105
entrée = U sin ωt
VS1 = kU sin ωt sin θ
VS2 = kU sin ωt cos θ
PRINCIPE
Par un traitement des signaux VS1 et VS2, on obtient l’information de position nécessaire à l’auto pilotage et à l’asservissement de vitesse et de position.
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L’intérêt de ce capteur réside dans sa robustesse et sa grande fiabilité, du fait qu’il n’y a pas de contacts glissants. Sa précision est de l’ordre de ±1 minutes d’angle. La résolution peut être de 393 216 points / tours.
Par contre ce capteur nécessite une électronique un peu plus complexe.
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Capteur de positionC’est un codeur de type incrémental
(minimum de 2000 points)
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CaractéristiquesLa plaque signalétique est une source importante pour connaître
le domaine d ’utilisation et les limitations d’un moteur
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Caractéristiques
VitesseN (trs/min)
CoupleC (Nm)
On retrouve ces informations sur les caractéristiques C = f(N)
Servomoteur CEGELEC 3000 trs / min
75 DSB 300 + VFTB 4003
Fonctionnementtransitoire
6,9
Fonctionnementpermanent
2,3
3000
Plus les fréquences sont élevées, plus les pertes fer augmentent.
Vitesse maximale donnée par la fréquence maximale du variateur
Couple à l’arrêt
Couple crête
Couple nominal2,1
110
Caractéristiques
VitesseN (trs/min)
CoupleC (Nm)
Couple à l’arrêt
Couple crête
Servomoteur PARVEX 3000 trs / min
HX420CW + DIGIVEX4/8-400
Fonctionnementpermanent
3,4
4300
Fonctionnementtransitoire
7Limitation en puissance du moteur (hyperbole de dissipation).
Le point de fonctionnement doit se situer obligatoirement à l ’intérieur des aires de fonctionnement transitoire ou permanent.
Couple nominal3
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CaractéristiquesDonnées tirées de documents constructeurs
Moteur CEGELEC 3000 trs / min
75 DSB 300
unité 75 DSB 300couple permanent Nm 2,3couple nominal Nm 2,1couple crête Nm 6,9vitesse nominal trs/min 3000courant permanent Arms 1,5puissance nominal kW 0,7constante de couple Nm / Arms 1,6constante de fcem Vrms / ktrs/min 98résistance entre phases Ω 30inductance entre phases mH 70,3constante de temps thermique seconde 1500inertie du rotor kgm2 x 10-3 0,11poids kg 3,7
couple maximal qui peut être développé sans échauffement excessif pour les isolants en vitesse très lente.
couple disponible sur l'arbre dans les conditions nominales
couple maximal qui peut être développé sur un temps très court
vitesse obtenue avec le couple nominalcourant efficace permanent qui n'entraîne pas un échauffement excessif des isolants
puissance disponible sur l'arbre dans les conditions nominales
rapport du couple permanent sur le courant permanentconstante de force contre électromotrice (aussi liée au couplage des enroulements)
résistance entre 2 phases à 20°C (arbre bloqué)inductance entre 2 phases mesurée à 1 kHz (arbre bloqué)
temps requis pour augmenter la température de 25°C à 100°C (bride aluminium)
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DimensionnementLe servomoteur n’est pas choisi en fonction de sa puissance
Ce sont essentiellement les paramètres de couple et de vitesse qui vont guider le dimensionnement et le choix
Il est bien évident que d’autres paramètres entrent en ligne de compte :
- inertie,- encombrement,- température,- coût,- etc …
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DimensionnementIl est parfois difficile de déterminer des valeurs nominales suivant le profil de vitesse et de couple d’une application.
On définit alors un couple thermique et une vitesse moyenne.
Ce calcul intervient si les régimes transitoires sont supérieurs ou égaux à 20 % du cycle complet d’une application.
Ce couple thermique et cette vitesse moyenne doivent se situer dans l ’aire de fonctionnement permanent.
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Dimensionnement Exemple
Attention : l’axe des temps n’est pas linéaire.
Ω (rad/s)
t (s)
Cm
(Nm)
150
0,5 0,4
8
2
-6
t (s)
2 0,6
Vitesse moyenne
6,04,025,02150.4,0150.2
2150.5,0
+++
++=Vmoy
Vmoy = 105 rad/s
Couple thermique
6,04,025,06,0.24,0.)6(2.25,0.8 2222
++++−++=Cth
Cth = 4 Nm
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Dimensionnement
T
tCCth
ii
i .0
2∑≥=
T
tnVmoy i
ii∑≥= 0
.
Vitesse moyenne Couple thermique
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Dimensionnement
Ce couple thermique et cette vitesse moyenne déterminent un point qui doit se situer dans l’aire de fonctionnement permanent du moteur.
Vmoy = 105 rad/s Cth = 4 Nm
Par ailleurs il faudra vérifier que les valeurs maximales sont compatibles avec l’association variateur + moteur.
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Traction électrique
Moteur synchrone autopilotéLe choix politique de l’augmentation de la vitesse des trains ainsi que celle des performances des trains de marchandises a conduit la SNCF à s’orienter vers l’utilisation des moteurs triphasés – synchrone et asynchrone – à partir de la décennie quatre-vingt.Ces moteurs se caractérisent par une plus grande puissance massique et volumique que les moteurs à courant continu. Cette démarche s’avère nécessaire, car la masse de l’engin de traction constitue une grandeur critique notamment sur la limitation de la vitesse du train à cause des problèmes de dégradation des voies ferrées.
Depuis la fin de la décennie quatre-vingt, cette motorisation se généralise sur l’ensemble des nouveaux matériels roulants : automotrices de banlieue et de région, motrices TGV et locomotives.Le pilotage des moteurs triphasés s’effectue au moyen d’onduleurs alimentés depuis :- une source de courant continu pour les moteurs synchrone et asynchrone ; - une source de tension continue seulement pour le moteur asynchrone.La SNCF n’a pas choisi l’utilisation du moteur synchrone alimenté depuis une source de tension continue, car la structure de l’onduleur est nettement plus complexe et coûteuse par rapport à celle retenue.
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• Ce choix de motorisation n’est devenu intéressant que grâce à l’évolution récente et progressive (depuis deux décennies) des semiconducteurs de puissance. L’optimisation de la masse et du volume des équipements embarqués étant un critère essentiel, il est nécessaire de minimiser le nombre de semiconducteurs de puissance et on se situe, fréquemment, à la limite du savoir-faire technologique du moment.
• L’alimentation de l’engin de traction depuis la caténaire implique l’adaptation de la tension et/ou du courant d’alimentation des onduleurs triphasés en utilisant des structures de convertisseurs d’entrée plus ou moins complexes. Avant de concevoir la structure et le pilotage des convertisseurs d’entrée, il est important de définir leur compatibilité électromagnétique vis-à-vis de l’environnement ferroviaire et public.
Moteur synchrone autopiloté
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Moteur synchrone autopilotéLes engins de traction équipés de moteurs synchrones sont conçus uniquement par
Alsthom Transport et exploités depuis la fin de la décennie quatre-vingt.
Parmi les différents matériels roulants, en exploitation ou en cours de livraison, citons :
• réseau SNCF : locomotive BB 26000, TGV-Atlantique, TGV-Réseau, TGV-Duplex, TGV-Thalys... ;
• exportation : TGV Espagne, TGV Corée...
Caractéristiques spécifiques au ferroviaire• En traction ferroviaire, le moteur triphasé synchrone équipé d’un rotor bobiné à
pôles saillants est utilisé et est constitué de 3 ou 4 paires de pôles, selon les performances exigées. Le rotor comporte un circuit amortisseur.
• Le moteur synchrone se caractérise par la possibilité de faire varier la puissance réactive absorbée ou fournie à l’alimentation. Cette caractéristique intrinsèque a favorisé le choix sur le principe d’alimentation du moteur en retenant l’onduleur de courant.
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Moteur synchrone autopilotéDESCRIPTION ET APPLICATION AU TGV
• Les brillants résultats du prototype TGV-PSE à moteurs synchrones ont permis de retenir cette motorisation pour le TGV A puis pour les TGV Nord Europe ainsi que les TGV Duplex par la suite. C’est une version améliorée du prototype qui équipe les nouvelles rames. Ces moteurs de 1100 kW en régime continu permettent de disposer de 8800 Kw (11000 cv).
• En régime continu l’échauffement du moteur ne dépasse pas 130 °C alors que l’isolation appliquée à ces moteurs autorise un échauffement double. Le dispositif de commutation assistée d’une masse de 30 kilos par équipement de bogie moteur permet de faire développer au démarrage un effort de traction deux fois supérieur à celui d’un moteur équipant le TGV SE.
TABLEAU COMPARATIF MASSE TGV SE et TGVA• TGV PSE : 1560 kg 535 Kw (726 cv)• TGV ATL : 1580 kg 1100 Kw (1494 cv)
Ainsi avec ce supplément de masse de seulement 20 kg, il est possible de développer une puissance 2 fois plus grande ainsi qu’un effort au démarrage 1,6 fois plus élevé.
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Moteur synchrone autopiloté
CONCEPTION et FONCTIONNEMENT• Emplacement des moteurs synchrones dans le bogie TGV/A.
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Montage du ROTOR et du STATOR
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Vue d'ensemble du moteur monté
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MOTEUR SYNCHRONE AUTOPILOTÉ
Structure de l’onduleur de courant et allure des grandeurs statoriques
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Moteur synchrone autopilotéAllure du couple électromagnétique • Le couple électromagnétique se décompose en :
- un couple constant dû à la composante fondamentale du courant statorique ; - un couple périodique à 6 fois la fréquence d’alimentation du stator.
• En décomposant en série de Fourier l’allure du couple électromagnétique, on démontre que l’amplitude crête du couple harmonique d’ordre 6 atteint 6 % du couple moyen
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Moteur synchrone autopiloté
• L’onduleur triphasé de courant est constitué de 6 thyristors qui fonctionnent en commutation naturelle, sauf aux premiers instants de démarrage du moteur synchrone.
• La commutation du courant entre les thyristors est appelée « commutation naturelle » lorsqu’elle s’effectue au moyen de la tension du réseau alternatif, dans ce cas le moteur.
• Aux premiers instants de démarrage du moteur, l’amplitude de la tension de la machine est trop faible et la commutation des thyristors est assurée par un circuit auxiliaire ; ce mode de fonctionnement est appelé « commutation assistée ».
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Moteur synchrone autopilotéAnalyse de la commutation assistée• Pour que la commutation naturelle puisse être assurée, lors
du fonctionnement en traction, il faut que la tension aux bornes du moteur atteigne une amplitude suffisante. Ce mode de fonctionnement est envisageable au-delà de 10 %, environ, de la vitesse nominale (jusqu’à 80km/h pour le TGVA et 15km/h pour la BB26000).
• Lorsque le moteur est à l’arrêt et pour les très faibles vitesses, l’onduleur fonctionne en commutation assistée. Ce mode de fonctionnement se caractérise par la commutation du courant entre les thyristors de l’onduleur au moyen d’un circuit annexe comprenant un condensateur et deux thyristors.
129
Moteur synchrone autopiloté
Dans ce mode de fonctionnement, il est judicieux de fonctionner avec un déphasage nul (cosϕ = 1) entre l’onde fondamentale du courant statorique et la tension simple interne. Cette caractéristique de fonctionnement est intéressante pour les deux aspects suivants :
- le couple électromagnétique est obtenu avec une amplitude minimale des courants statorique Is et rotorique J ;
- l’amplitude du couple pulsatoire est minimale.
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Moteur synchrone autopiloté
Schéma de l’onduleur avec le circuit de commutation assistée
Inconvénient: le couple électromagnétique est divisé par 2 pendant la commutation
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Moteur synchrone autopiloté
Allure du couple électromagnétique en commutation assistée, pour un moteur simple étoile
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BB 26000
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Moteur synchrone autopilotéLa locomotive BB 26000• La locomotive BB 26000 constitue une réponse au caractère
d’universalité de service voyageurs-marchandises tel qu’il est défini par la SNCF et elle est destinée aux 2 types de missions :
a- train de voyageurs : 16 voitures Corail à 200 km/h en rampe de 2,5 ‰ ;b- train de marchandises : 2 050 t à 80 km/h en rampe de 8,8 ‰.
• Cette locomotive est équipée de 2 moteurs synchrones (bogie monomoteur) et sa puissance nominale est de 5 600 kW à la jante pour les 2 types de tension d’alimentation : 25 kV à 50 Hz et 1 500 V continu.
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BB 26000
135
BB 26000
136
BB26000Fonctionnement en traction
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BB 26000• Fonctionnement en freinage
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BB 26000
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TGV-Atlantique
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TGV-Atlantique • Les études des rames TGV-Atlantique ont été conduites avec 2 nouveaux
objectifs par rapport au TGV-Paris Sud-Est qui est équipé de moteurs de traction à courant continu, soit :
• augmenter la capacité « voyageurs » en portant de 8 à 10 le nombre de remorques ;
• augmenter la vitesse d’exploitation de 10 % en la fixant à 300 km/h sous caténaire monophasée 25 kV à 50Hz.
• Rappelons qu’une rame TGV-PSE se compose de 8 remorques voyageurs et de 2 motrices équipées chacune de 6 moteurs à courant continu de 535 kW.
• Une rame TGV-Atlantique se compose de 10 remorques voyageurs et de 2 motrices équipées chacune de 4 moteurs synchrones simple étoile de 1 100 kW, ce qui implique une puissance totale de 8 800 kW à la jante sous caténaire 25 kV à 50 Hz. La composition d’un train est souvent constituée de 2 rames accouplées, mais, dans ce cas, on procède à une réduction de la puissance sur chacune des 2 rames à cause des contraintes imposées à l’alimentation.
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TGV-Atlantique
142TGV A
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BIBLIOGRAPHIEPolycopié transmission de puissance électrique de l’ENSAM Lille , Eric Semail.
Séminaire CPGE TSI 2004 <<modélisation aux systèmes électriques>>, Philippe DEGOBERT.
<<Variation de vitesse des machines à courant alternatif>> Philippe Ladoux
Polycopiés de l’école d’ingénieurs du Canton de Vaud de Michel Etique
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Complément machines synchrones
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CENTRALES ELECTRIQUES
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Centrales électriques
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Centrales électriques
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Centrales électriques
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Centrales électriques
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Centrales électriques
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Centrales électriques
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Turbines
Turbines
Pelton Francis Kaplan
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Choix des turbines en fonction hauteur de chute/ débit
Turbines
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Lieu Type Hauteur de chute(m)
Paires depoles
Vitesse(tr/mn)
Puisance(MW)
Montpezat 2jets 625 7 428 60
Grand Maison 5 jets 926 7 428 157
Turbines Pelton
Turbines
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Turbines
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Lieu Hauteur de chute(m)
Vitesse(tr/mn)
Puisance(MW)
Vianden Luxembourg 287 428 105
Tucuriu Brésil 58 81 369
Manicuagan 155 _ 1292
Turbines Francis
Turbines
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Turbines
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Turbines Kaplan
Lieu Hauteur de chute(m)
Vitesse(tr/mn)
Puisance(MW)
Donzères Mondragon 22 107 54
St laurent 24 75 -
Porto Primavera 18 75 103
Turbines
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Turbines
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Turbines
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Turbines
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FIN