Vanessa Matagne reportage bimédia sport extrême

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Au cours du mois de novembre, nous avons effectué des recherches et contacté différents organismes de sports extrêmes pour mieux délimiter l’angle de notre reportage TV ainsi que celui du papier. Pour ce qui est du reportage TV, nous avons donc confirmé notre choix d’exploiter le marché des sports extrêmes. Du point de vue de l’écrit, je vais angler mon papier sur le handicap dans la pratique des sports extrèmes. Elisabeth Groutars effectuera, quant à elle, un article sur les sports extrêmes comme outil d’aide aux jeunes en difficulté d’un point de vue scolaire et/ou social. Suite à la définition ces angles et à l’entretien effectué le 18 décembre avec nos professeurs, nous avons pu entamer nos recherches de façon plus approfondie. Pour cela et afin d’estimer la charge de travail à fournir, nous avons effectué un planning. Nous sommes en effet conscientes que l’organisation est une des clefs de réussite de ce projet. Il est donc primordial selon nous de réserver des plages-horaires spécifiques à l’élaboration de ce travail et à la démarche de terrain. Ainsi, durant le blocus de janvier et les vacances, nous voulions identifier plus précisément les terrains d’exploitations où nous comptons filmer notre reportage. Nous savions que les examens et notre étude nous empêcheraient de nous rendre sur le terrain à ce moment-là. Notre objectif avant la rentrée était donc de récolter les informations nécessaires pour pouvoir nous rendre plus tard sur les terrains choisis avec soin. Dès la rentrée, nous avons donc complété notre planning pour décider quand nous nous rendions sur tel terrain. Ce samedi 1 er février nous sommes ainsi allées dans plusieurs magasins de Bruxelles qui proposent des équipements de sports extrêmes (comme Startpole, Alpinisme Randonnées et Traks). Cette première démarche de terrain nous a permis de filmer les produits alliés aux sports extrêmes et qui participent au commerce de ceux-ci.

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Au cours du mois de novembre, nous avons effectué des recherches et contacté différents organismes de sports extrêmes pour mieux délimiter l’angle de notre reportage TV ainsi que celui du papier.

Pour ce qui est du reportage TV, nous avons donc confirmé notre choix d’exploiter le marché des sports extrêmes. Du point de vue de l’écrit, je vais angler mon papier sur le handicap dans la pratique des sports extrèmes. Elisabeth Groutars effectuera, quant à elle, un article sur les sports extrêmes comme outil d’aide aux jeunes en difficulté d’un point de vue scolaire et/ou social.

Suite à la définition ces angles et à l’entretien effectué le 18 décembre avec nos professeurs, nous avons pu entamer nos recherches de façon plus approfondie.

Pour cela et afin d’estimer la charge de travail à fournir, nous avons effectué un planning. Nous sommes en effet conscientes que l’organisation est une des clefs de réussite de ce projet. Il est donc primordial selon nous de réserver des plages-horaires spécifiques à l’élaboration de ce travail et à la démarche de terrain.

Ainsi, durant le blocus de janvier et les vacances, nous voulions identifier plus précisément les terrains d’exploitations où nous comptons filmer notre reportage. Nous savions que les examens et notre étude nous empêcheraient de nous rendre sur le terrain à ce moment-là. Notre objectif avant la rentrée était donc de récolter les informations nécessaires pour pouvoir nous rendre plus tard sur les terrains choisis avec soin.

Dès la rentrée, nous avons donc complété notre planning pour décider quand nous nous rendions sur tel terrain. Ce samedi 1er février nous sommes ainsi allées dans plusieurs magasins de Bruxelles qui proposent des équipements de sports extrêmes (comme Startpole, Alpinisme Randonnées et Traks). Cette première démarche de terrain nous a permis de filmer les produits alliés aux sports extrêmes et qui participent au commerce de ceux-ci. Ces produits concernent aussi bien les équipements et accessoires liés aux sports extrêmes que l’alimentation spécifique à ce domaine. Mais ce type de terrain n’est certes pas suffisant pour couvrir notre reportage. Nous avons convenu de plusieurs dates pour nous rendre dans un parc aventure proposant des sports extrêmes, dans des agences de voyages offrant de plus en plus des séjours dits « aventure » ainsi que dans des écoles de sports extrêmes. Nous complémenterons également cette démarche de terrain nous renseignant sur développement du sponsoring de ce type de sport sans oublier de filmer quelques séquences démontrant l’expansion de la vente de livres, magasines et de coffrets-cadeaux à ce sujet.

Par ailleurs, les terrains visités nous permettront certainement d’en découvrir d’autres grâce aux informations récoltées sur place.

Enfin, nous souhaitons interviewer une personne dans le cadre de ce reportage. Nous avons également fait des recherches à ce sujet durant la période du blocus et des vacances. Nous voudrions interroger une personne donnant une plus-value à notre reportage, quelqu’un qui apportera une information complémentaire et dont la présence se justifie par sa fonction et par cette information importante pour le sujet exploité. Nous avons pensé à interviewer un responsable de la Fédération belge des sports aventures de Bruxelles ou celui de la Fédération

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européenne de l’industrie des sports. Nous prendrons contact avec notre interlocuteur dans les jours à venir. Nous avons plusieurs pistes pour l’angle plus spécifique que nous accorderons à cette interview. Nous pourrions interroger notre interlocuteur au sujet de l’impact des avancées technologiques sur la croissance notable des sports extrêmes en Belgique ou encore sur la législation et les réglementations du marché des sports extrêmes dans notre pays.

Enfin, parmi les informations importantes relatives à notre sujet, nous espérons récolter plusieurs données chiffrées permettant d’évaluer le poids commercial des sports extrêmes dans notre société. Pour cela, nous avons consulté plusieurs études de marchés et nous continuons nos recherches.

Dès demain donc, c’est la caméra en main que nous partirons à la recherche d’images et d’informations en espérant revenir avec de la matière pour réaliser un reportage dont nous serons fières.