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La 1ère édition du

concours organisé par

l’électricienPlus s’engage

à récompenser

les installateurs

à l’écoute de solutions

innovantes, contribuant

à l’utilisation des

nouvelles technologies,

dans le respect

des besoins de sécurité,

de confort

et de communication

des usagers.

Les 4 lauréats recevront un chèque-

cadeau qui leur permettra de goûter

aux joies d’une activité sportive extrême

(60 choix : pilotage de formule Renault,

voyage en montgolfière, navigation

sur trimaran de course, survol

panoramique en hélicoptère, etc.)

Fabricants et/ou distributeurs :

vous pouvez faire participer vos clients

installateurs

Valorisezsavoir-

Participezconco

4 prix pour

Installateurs...Vous intervenez des automatismes résidentiels

à l’habitat communicant,

• Petit tertiaire : (<_ 5000 m2 )

• Résidentiel :

Vous avez réalisé une

installation électrique,

en place depuis au moins

6 mois, qui apporte

En partenariat avec le SVDI

votre -faire !

z à notre urs !

4 catégories- Établissements

pour personnes âgées

- Locaux d’enseignement

- Neuf

- Existant

JE SOUHAITE RECEVOIR UNDOSSIER DE PARTICIPATION

Nom

Prénom

Entreprise

Adresse

Code postal Ville

Téléphone Fax

E-mail

CATÉGORIE RETENUE

Petit tertiaire : Établissement pour personnes âgées

Locaux d’enseignement

Résidentiel : Neuf

Existant

La remise des prix se

déroulera le 18 janvier

2006, sur le stand de

l’électricienPlus, dans le

cadre du salon Interclima

Elec home+building, à Paris

porte de Versailles.

plus de confort,

plus de sécurité,

plus de communication

Pour tout renseignement, contactez Brigitte Arnoud

au 01 44 92 50 72 - [email protected]

À RETOURNER PAR FAX

AU 01 44 92 50 51 AVANT

LE 25 OCTOBRE 2005

Mon client m’a demandé

Actualités

N° 12 • AUTOMNE 2005 5

Sommaire édito« Heureusementqu’il y a l’électricité… »« À partir de l’activité électrique, il me paraît plus facilede développer une activité sanitaire-chauffage. »Cette réflexion, de Norbert Gémigard, grossiste àOrange (société Dimet), président du Siele (GIEsignifiant Société des indépendants en électricité),illustre parfaitement les atouts dont doiventbénéficier, dès à présent, l’ensemble des acteursconstituant la Filière électrique. Pourquoi ? « Grâce à la compétence et à la technicité querequièrent les professionnels qui l’animent », répondle distributeur, notamment dans le bâtiment.Trois rendez-vous vont en témoigner :- tout d’abord, à Strasbourg du 4 au 6 octobre, auxJTELEC 2005 (voir page suivante). Cinq savoir-faire yvaloriseront le “nouveau” métier de l’électricien :toutes les techniques pour y voir clair ; un courantporteur de réussite ; chaud ou froid, toutes lessolutions sous un même toit… pour ne pas changerd’air ; produire, transporter, installer… les bonscircuits ; la communication en prise directe ;- ensuite, à Paris du 7 au 12 novembre, à Batimat,l’édition 2005 étant placée sous le thème “Bâtirautrement”, avec notamment deux focus : ledéveloppement durable (voir p. 35) ; le forum“Bâtiment intelligent”, entre autres caractérisé par lecolloque organisé par l’ADDI (Association pour ledéveloppement de la domotique et de l’immotique),en collaboration avec le CSTB et la FFB ;- enfin, de nouveau à Paris du 17 au 20 janvier2006, Interclima + elec homme & building. Le prochain Electricien Plus (édition hiver) et le sitewww.electricienplus.info se consacreront à cettemanifestation dès le mois de décembre. Uniquedans le domaine du second œuvre technique et du bâtiment communicant. À suivre donc…

Jacques Darmon

Evénement

Mon métier

Produits

Evénement6 LES JTELEC 2005

Actualité10 L’ACTUALITÉ AU QUOTIDIEN

sur www.electricienplus.info oluMon client m’a demandé

14 SÉCURITÉ INCENDIE“C’est la fumée qui tue, pas les flammes”

16 HABITATQuelle nouvelle façon de vivre son électricité ?

18 TEMOIGNAGEPatrick Maridet... « Vers une autre électricité »

Mon métier29 HUBLOTS, BORNES ET APPLIQUES

Extérieur, intérieur, Dehors, dedans

35 BATIR AUTREMENTLe développement durable

36 LE PHOTOVOLTAÏQUEComment être à la fois consommateur et/ouproducteur ?

38 BÂTIR AUTREMENTEncore plus d’intelligence

40 RESEAUX DE COMMUNICATION RESIDENTIELSLes quatre étapes de la qualité“multiservices”

42 TÉMOIGNAGEUn Britannique chez les ADIPEC

Produits45 Une sélection des produits de l’électricien plus45 La fiche S@TI46 Liste des annonceurs

ENCART ALIGNE DIFFUSION et SCHNEIDER en jeté libre.

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Directeur de la publication : Jacques DarmonSecrétaire de rédaction : Véronica Velez

Collaborations : Pascal Jacquin (formation et produits),Frédérique Guérin (saisie), Catherine Legrand (corrections), Dominique Roche,Nathalie Schooppe, Christian Gimaret.Diffusion promotion : Brigitte ArnoudPublicité : Carmen Costa i Montal, Jeanine Hémon, assistées de Joelle DaemenPAO, gravure : Planète Graphique Studio, 75017 ParisImpression : Imprimerie de Champagne, 52200 LangresRoutage : Presto© SEPP, Paris. Reproduction interdite. Toutefois, des photocopies peuvent être réalisées

avec l’autorisation de l’éditeur.

Dépôt légal : Septembre 2005 ISSN : 1774-3966

6 N° 12 • AUTOMNE 2005

Événement JTELEC

JTELEC, vitrine des applications, usages ettechniques de l’électricité, s’est positionné, aufil des ans, comme le « rendez-vous de toutesles énergies » du Grand Est de la France.Ouvert sur le bassin rhénan, proche des mar-chés allemand, suisse, belge, luxembourgeois,JTELEC est devenu un tremplin au sein d’unmarché qui s’élargit avec l’ouverture du mar-ché de l’énergie, de nouvelles perspectives etopportunités s’ouvrant notamment à tous.

Strasbourg : cinq raisonsvous guident vers les Jtelec 2005

Les énergies renouvelables ne sont pas en reste ! L’Alsace est la région pilote au niveau européen.JTELEC se propose de vous orienter en la matièreet de vous indiquer le dispositif accompagnateur des aides :eau chaude solaire, géothermie, photovoltaïque,éolien… C’est en partenariat avec l’Ademe et larégion Alsace que JTELEC vous propose de partir àla découverte de ces nouvelles techniques.

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JTELEC, c’est aussi le reflet du dynamisme et de la capa-cité à innover de toute une branche. De l’éclairage auxautomatismes, du génie climatique aux infrastructures,

en passant par les solutions de voix-données-images, lamanifestation propose de bénéficier d’un véritable outil depromotion dédié à la commercialisation des savoir-fairedans cinq domaines :1. toutes les techniques pour y voir clair ;2. un courant porteur de réussite ;3. chaud ou froid, toutes les solutions sous un même toit…

pour ne pas changer d’air ;4. produire, transporter, installer… les bons circuits ;5. la communication en prise directe.

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fonction descontraintes du

siteCâblage rebouclé ou

ouvert

N° 12 • AUTOMNE 2005 7

ÉvénementJTELEC

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8 N° 12 • AUTOMNE 2005

Événement JTELEC

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N° 12 • AUTOMNE 2005 9

Weidmüller développe produit et commercialise des composants pourla connectique électrique.

Sa gamme de produits comprend des bornes de raccordement sur rails,des connecteurs et bornes pour circuit imprimé, des composants protégés,des interfaces relais, des alimentations et des modules de protection surtension. Ces produits sont proposés avec tous types de raccordement. Du matériel pour l’installation électrique et le repérage d’équipements, descomposants de base d’E/S et des outils complètent cette offre.Des développements spécifiques sont également proposés tels que : étude et réalisation de borniers, coffrets équipés, marquage et contrôle etétalonnage d’outils

ÉvénementJTELEC

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Actualité WWW.ELECTRICIENPLUS.INFO

10 N° 12 • AUTOMNE 2005

HABITAT COMMUNICANT Un squat à Cabling

Les 27, 28 et 29 septembre dernier, à Paris-Expo,Porte de Versailles, s’est déroulé le salon CablingSystems Europe 2005 (1). Cette année, le salon auradémontré que les récents bonds technologiquesconnus au niveau des équipements présentés parles exposants accompagnent une demande de plusen plus forte de l’utilisateur final en nouveauxmoyens de communication.Derrière les courants porteurs, le sans fil, le WiFi, lesréseaux communicants, la connectique et les câblessupportant des débits de plus en plus élevés, lesfournisseurs d’adaptent, innovent et développent denouvelles solutions. C’est notamment le cas à desti-nation de l’habitat communicant. L’infrastructure mul-timédia résidentielle devient un élément de valorisa-tion de l’habitat et du tertiaire. Les services proposéssont toujours plus sophistiqués. Ils sont gourmandsen bande passante et s’intègrent de plus en plus dansdes réseaux à haute technicité qui, après avoir coloni-sé les locaux professionnels, prennent aujourd’huipossession de l’habitat. La mise à niveau de ces infra-structures constitue un déploiement pratique et nor-malisé (norme NF C15-100 et guide UTE C90-483) enune architecture simple dite “en étoile” recommandéepar le guide UTE C90-483 et la future norme euro-péenne EN 50173-4 sans crainte de perturbationsélectromagnétiques.Tous les acteurs professionnels sont concernés par

cette “révolution” reposant sur la compétence desfournisseurs d’équipements adaptés aux besoins desopérateurs de services multimédias demandés par lesutilisateurs finaux.« Toutefois, un maillon essentiel manque dans cettechaîne » estime Benoît Gauthier, commissaire généralde Cabling Systems Europe. À savoir, « les promo-teurs et concepteurs immobiliers qui doivent, désor-mais, concevoir leurs constructions en fonction de cesinnovations et intégrer les charges qui en résultent ».C’est pour ces professionnels que, cette année, estcréé un nouvel espace (2) consacré à l’arrivée massivedes nouvelles technologies multimédia dans la mai-son et dans le tertiaire. Un programme de confé-rences l’animera (voir ci-dessous).Au programme. Spécialement destiné aux concep-teurs, architectes, constructeurs et promoteurs immo-biliers, l’espace “Habitat communicant” associe unprogramme quotidien de conférences et des standsd’information réunissant fabricants et partenaires ins-titutionnels. Les conférences, animées par JacquesDarmon et Michel Laurent (groupe CPi Média), seront“couverte” par le journal “l’Electricien Plus”dans sonédition “hiver”. (le 18/09/2005)(1) Conjointement aux salons Forum de l’électronique, Mesurexpo,

Opto & Automation, Optimation Europe.

(2) L’espace « Habitat Communicant » est organisé en partenariat

avec l’ADDI, le Consuel/Cosael, Domergie, la F3I, Fedelec, la FFIE, la

Ficome, Promotelec, le Sycasel/Sycabel et l’UTE.

ÉCLAIRAGELe programme 2006 des formations de l’AFE(Association Française de l’Eclairage) est paru. Il estdisponible sur simple demande au 01 45 05 72 22 [email protected]. ...(le 15/09/2005)

BÂTIMENTLa TVA 5,5 % demeureDes professionnels du bâtiment se sont inquiétés d’unéventuel renoncement des pouvoirs publics à la taxation autaux réduit de TVA (5,5 %) des travaux concernant leslocaux à usage d’habitation. Renaud Dutreil les rassure. ...(le 14/09/2005)

vous propose, aussi, en complément du journal trimestriel, de suivre l’actualité au quotidien… Mais sur unautre support que le support papier. À savoir : Internet. Ainsi, en com-posant www.electricienplus.info, vous découvrirez, en permanence,l’actualité qui vous concerne. La sélection ci-dessous, couvrant le mois de septembre, en témoigne.

En brefEn brefsur www.electricienplus.info

PORTES DE GARAGE Norme européenne à intégrerRappelons que l’application de la nouvelle normeeuropéenne relative aux portes de garage est effecti-ve et obligatoire depuis le 1er mai 2005. Ces nou-velles règles concernent entre autres les caractéris-tiques suivantes : résistance, isolation et sécurité(aspects mécaniques et de confort) telles que l’antipince-doigts sur les portes sectionnelles, l’anti-chutedes tabliers, et la mise en sécurité à la rencontred’un obstacle. ...(le 15/09/2005)

D e r r i è r e c h a q u e p e r f o r m a n c e , i l y a u n c â b l e .

w w w . n e x a n s . c o m m a r c o m . i n f o @ n e x a n s . c o m Expert mond i a l des câb l e set sys tèmes de câb lage

L’harmonisation européennedes normes de sécurité pourla construction est en route.Et les câbles ALSECURE®

sont déjà prêts à relevertous les défis. Câbles

d’énergie basse tension, de contrôle et decommunication, les câbles ALSECURE® deNexans incluent les dernières innovations en

matière de réaction et de résistance au feu etrépondent aux normes de sécurité les plusstrictes. Aménagements publics, écoles, théâtres,hôpitaux ou transports, quelles que soient lescontraintes de sécurité, il existe un câbleALSECURE® pour valoriser votre offre. Parce quela sécurité incendie commence par les câbles, la gamme ALSECURE® protège les hommes, les bâtiments et les infrastructures.

12 N° 12 • AUTOMNE 2005

Actualité WWW.ELECTRICIENPLUS.INFO

DOMOTIQUECombien ça coûte ?Du 24 septembre au 2 octobre dernier, dans le cadre dusalon de l’Habitat, à Toulouse (Parc des Expositions),FreeHome faisait la promotion du métier de consultant(e)en domotique, métier faisant appel à un large éventail decompétences : électricité, électronique, chauffage et cli-matisation, télécommunications et informatique. Forts deces compétences, Jean-Baptiste Galan et Fabien Bourrut,créateurs du bureau d’études “FreeHome”, il y a 6 mois,ont avancé quatre exemples de coûts d’installationsdomotiques.« … notre but premier est de nous positionner aux côtésdes acteurs du bâtiment ou installateurs spécialisés et deleur apporter nos compétences dans le domaine des nou-velles technologies et de la domotique, afin de réaliserdes installations simples et évolutives, adaptées auxbesoins de chacun. » Tel est l’objectif des fondateurs deFreeHome, membre du premier réseau européen d’instal-lateurs et de centres experts en domotique,DomoConsulting. Il est le seul Centre Expert de toute la

région Midi-Pyrénées et même du quart Sud-Ouest.FreeHome est également membre de BATIMIP (associa-tion sur la domotique) et entretient des liens étroits avecle BTS Domotique du lycée Charles de Gaulle à Muret.Aujourd’hui le bureau d’études FreeHome développe sonactivité vers quatre axes essentiels :- l’ouverture d’un showroom à Toulouse, dès le mois demai 2006 ; consolider sa position de précurseur dans sondomaine en élargissant son champ d’action sur la moitiéNord de l’Espagne avec, fin 2006, l’ouverture d’une filialequi permettrait de répondre à un déficit de compétencesen matière d’intégration de solutions domotiques face àune demande importante, en Catalogne espagnolenotamment ; s’orienter vers une “clientèle” de personnesen situation de handicap. C’est avec l’appui de la CAF dela Haute-Garonne et le SIVA 31, organe de décision auniveau des subventions accordées aux personnes ensituation de handicap pour l’aménagement de leur domi-cile, que FreeHome souhaite mener cette action ; aug-menter ses effectifs avec l’embauche d’une dizaine d’ingénieurs fin 2007.(le 15/09/2005) ...

PROTECTION FOUDREHager s’attaque aux 2 millions d’impactsViolentes et très brèves décharges électriques traversantl’atmosphère, les quelque 2 millions de coups de foudrequi frappent chaque année le sol français provoquent plusdu quart des dommages électriques, dont la destructiond’appareils électriques et électroniques sensibles (ordina-teurs, home-cinéma, modems, écrans plasma…) de plusen plus usuels chez les particuliers et dans le tertiaire.Pour faire face à la croissance des préjudices, la normed’installation NFC 15-100 impose désormais l’installationde parafoudres dans certaines situations… une exigence àlaquelle répond Hager avec une offre de parafoudres com-plète et pratique à mettre en œuvre. ...(le 13/09/2005)

L’ÉNERGIE EN BRETAGNE 3ème tour pour plus de maîtriseDu 13 septembre au 8 octobre 2005, la 3ème édition duTour de l’Énergie en Bretagne propose expositions, confé-rences, visites de sites, animations sur le thème de la maî-trise de l’énergie et des énergies renouvelables. Organiséepar l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrisede l’Énergie), le Conseil régional de Bretagne et le réseaudes Espaces Info"Énergie de Bretagne, en partenariatavec les collectivités locales, cette manifestation a pourbut d’informer le public sur l’urgente nécessité d’agir pourla maîtrise de l’énergie. ...(le 08/09/2005)

ARTISANAT DU BÂTIMENTAu cœur de la valorisation du patrimoinePour la troisième année, la CAPEB (Confédération del’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment) a été,les 17 et 18 septembre dernier, partenaire officiel desJournées Européennes du Patrimoine. L’objectif de l’orga-nisation professionnelle ? Valoriser la place des entre-prises artisanales du bâtiment au niveau du marché dupatrimoine. ...(le 07/09/2005)

QUALITÉ DE L’ÉNERGIESéminaire lillois et “webinars”Reprise des séminaires, éléments clés du programme LPQI(Leonard Power Quality Initiative), déclinés, en France, sousla forme d’une journée complète “information-formation”.Une innovation pour la rentrée : ces séminaires sontaujourd’hui accessibles via Internet (en anglais). Vous n’au-rez donc plus d’excuses pour ignorer les problèmes de qua-lité d’énergie. ...(le 04/09/2005)

ÉNERGIES RENOUVELABLESDes mesures concrètesLe SER (Syndicat des énergies renouvelables) se réjouit del’annonce faite, par Dominique de Villepin, portant sur lecrédit d’impôt de 50 % accordé aux équipements de sourcerenouvelable. De plus, l’accélération du développement desbiocarburants conforte également le syndicat....(le 02/09/2005)

CONTRÔLE D’ACCÈSComment choisir une serrure électrique ?Beugnot, premier fabricant français de gâches électriques etfiliale du groupe Sécuridev, a mis en ligne son site Internet àdestination de tous les installateurs. Il permet aux profession-nels de consulter le catalogue en ligne et de trouver la gâcheen bronze adaptée en un seul clic… sur www.beugnot.com ...(le 01/09/2005)

RÉSEAUX DE COMMUNICATIONRÉSIDENTIELSNouvelle version du Guide UTE C 90-483Une nouvelle version du Guide UTE C 90-483, disponible aucourant de l’automne 2005, intègre les évolutions actuellesde la normalisation européenne des réseaux de communica-tion (Séries de Normes EN 50-173), de la nouvelle versiondu guide UTE C 15-900 (installation proprement dite desréseaux de communication) et de la nouvelle version de lanorme française NF C 15-100. ...(le 31/08/2005)•••

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N° 12 • AUTOMNE 2005 13

14 N° 12 • AUTOMNE 2005

Mon client m’ademandé PROTECTION INCENDIE

Si les câbles sont rarement à l’origine d’un incen-die, ils peuvent contribuer à sa propagation. Deplus, 75 % des décès sont dus aux dégage-

ments de fumée et de gaz. Or, le câble PVC majoritaire-ment installé en France mais aussi dans le monde,dégage, en cas d’incendie, des fumées nocives etopaques. Pour preuve, les récents événements drama-tiques nous rappellent cette difficile réalité.Plus de sécurité n’est pas un luxe, c’est un devoircitoyen dépassant le cadre strictement français pourprendre la dimension européenne. La fameuse DPC(Directive européenne des Produits de Construction),née en décembre 1988 et qui a du mal à s’imposer, vapourtant finalement révolutionner la législation françai-se et modifier fondamentalement la façon de câbler unbâtiment pour mieux le sécuriser. L’emploi de câbles desécurité incendie (catégorie HFFR) normalisés est enordre de marche, mais à pas lents et comptés.Toutefois, la directive s’imposera aux 25 membres de laCommunauté européenne officiellement sans doute dèsce mois d’octobre. Les objectifs en sont la sécurité desconstructions, le marché unique avec une évaluationcommune de la sécurité, une norme produit harmoniséeen terme de performance pour tous les produits.Le câble, pour sa part, même s’il ne pèse que 0,5 %dans le coût du bâti d’un immeuble, joue un rôle capi-tal dans la sécurité. La Commission européenne a doncdécidé que la conformité des câbles électriques et decommunication seraient jugés en fonction de leur résis-tance (aptitude à continuer à fonctionner en périoded’incendie) et de leur capacité à réagir au feu (non-propagation de la flamme et de l’incendie).

Les câbles souvent invisibles sont pourtant partout au cœur denos maisons, de nos bureaux, de nos usines. Ils équipent lesmoyens de transport (bateaux, voitures, trains, avions) qui nouspermettent de nous déplacer. Ils équipent les appareilsménagers et participent aux moyens de communication nouspermettant de dialoguer à travers le monde entier. Et notresécurité dans tout cela ! La sécurité incendie implique, enpremier lieu, les câbles électriques. Ne serait-ce pas eux quialimentent la vie, qu’il convient de sécuriser pour mieuxprotéger les personnes et les biens ? C’est dans ce sens queNexans lance un SMS (Service maximal pour la sécurité) enproposant le label câble “Alsecure”.

Comment se protéger contrela nocivité des fumées ?

Or Nexans, même si la réglementation française n’im-posait ni câble sans halogène ni câble non propagateurde l’incendie, a anticipé et travaillé depuis plus de 20 ans sur ce type de câbles pour en améliorer la qua-lité et l’efficacité face au feu. Deux structures de recher-che et développement regroupent, aujourd'hui, plus de450 chercheurs, ingénieurs et techniciens répartis dansle monde entier, mais c’est à Lyon, en plein cœur duquartier technologique de Gerland, au sein du patri-moine historique, où sont nés les Câbles de Lyon, qu’el-les s’expriment au travers de deux outils d’expérimen-tation et de recherche entièrement dédiés à la concep-tion des matériaux et des câbles de sécurité de demainen respect des normes internationales.Obsession permanente d’une équipe qui, année aprèsannée, teste de nouvelles générations de câbles capa-bles de mieux résister (notion de continuité de fonc-tion) ou mieux réagir par rapport au feu (notion de non-propagation) ou de mieux comprendre l’évaluationde ses effets (opacité des fumées et dégagement degaz). Des tests grandeur nature qui permettent de faireavancer la qualité d’une gaine future en matériau enco-re inconnu, de vérifier la vitesse et la hauteur de propagation des flammes, de supporter des chocsmécaniques ou des tractions toujours plus fortes •

Christian Gimaret

Nous reviendrons très prochainement

sur le thème de la sécurité incéndie.

À suivre ...

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Mon client m’ademandé

L’incendied’habitations est un accidentdomestique majeur.Concernant toutesles personnesprésentes sur leslieux, il impliquerapidement levoisinage si aucunemesure n’est prisepour en limiter la propagation. On peut ainsi être victime d’un incendied’habitation alors qu’il ne s’est pas déclaré chezsoi. Ce type d’incendie représente un accidentgrave, les fumées toxiques et caustiquesmettant en péril les fonctions vitales de toutesles personnes présentes dans le lieu où il sedéclare, dès les premières minutes.

Cinq singularités le caractérisent :- Rapide : on n’a que 3 minutes pour agir ou fuirlorsque le feu débute.- Toxique : les fumées toxiques perturbent lesfonctions mentales, motrices et sensorielles desvictimes ; ces dernières sont rapidement dansl’incapacité de fuir.- Chaud : l’air atteint 600 °C en moins de 5 minutes. L’air trop chaud devient irrespirableet brûle les poumons des victimes.- Noir : à cause des suies noires qui envahissentl’espace, il y fait noir, même en plein jour, ce quirend difficile l’évacuation au-delà des 5 minutes.- Fréquent : un incendie d’habitation se déclaretoutes les 2 minutes en France, les compagniesd’assurance enregistrant 250 000 sinistresincendies chaque année, dont 77 000 néces-sitent l’intervention des secours. L’incendie fait10 000 victimes par an. (Source BSPP 1993)

Incendie d’habitation :10 000 victimes par an

En cas d’incendie, un choix s’impose : soit tenter de combattre le feu ; soit fuir à cause des fumées.

IL Y A DES FLAMMES IL Y A DE LA FUMEE+ +

il n’y a pas de fumee on ne voit pas les flammes= =

j’essaie d’eteindre le feu j’evacue immediatement avec toute ma famille

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Mon client m’ademandé HABITAT

Pour Gilbert Goutheraud, P-DG du groupe MCPProduction, le marché de la maison individuelle, enparticulier, et de l’immobilier, en général, doit

répondre à deux évolutions déterminantes :- d’une part, à l’extérieur, s’intégrer au tissu urbain exis-tant, impliquant une architecture plus “soft” ;- d’autre part, à l’intérieur, répondre aux aspirations deconfort et de mobilité de l’occupant.« Nous travaillons ainsi autour de la notion d’espace de ser-vices résidentiels », explique le promoteur-constructeur.

Bâtir un projet communL’originalité du programme immobilier de Solaize reposesur une équipe de professionnels qui, « avant de bâtir desmaisons, ont bâti un projet commun construit autour d’unpartenariat technique ». La composition de cette équiperéunit autour du groupe MCP :

- un architecte indépendant, l’atelier Thierry Roche etassociés ;- un bureau d’études, le cabinet Bastide et Bondoux ;- un spécialiste de la domotique, Delta Dore ;- un installateur électricien, Patrick Maridet.Ce partenariat ne s’est pas démenti tout au long des 4 années de conception et de construction ayant abou-ti à un programme immobilier comptant 8 maisons de176 à 260 m2 habitables (plus un garage double)implantées sur des terrains de 700 à 1 080 m2, pour unprix compris entre 455 et 537 k €.À noter, entre autres, les séduisants volumes intérieursde ces réalisations : ici, quelques marches délimitant lesalon et la salle à manger ; là, une mezzanine qui, àl’étage, ouvre la perspective. Le tout piloté et géré parune installation domotique, voulue parfaitement repro-ductible, prenant en compte les différents aspects du

Après plus de 15 années d’existence, la domotique (gestiontechnique électriqueappliquée à l’habitatrésidentiel) a connu,malgré un lancementplus que médiatisé audébut des années 90,plus de bas technolo-giques que de véritablessuccès économiques. À l’origine, centralisée,souvent trop sophistiquéetechniquement et pratique-ment, mal maîtrisée par l’utilisateur et trop onéreuse, elle a souvent fini comme le plus beau jouet, remisée bien vite au fondde l’armoire électrique. Cette innovation semble vouloir renaîtreaujourd'hui avec une offre domotique “revisitée”… comme entémoignent les intervenants ayant œuvré à la conception de 8 maisons construites à Solaize, au sud de Lyon. Le nom de ceprogramme immobilier : “l’Esprit Loft”, une marque du groupeMCP Promotion.

Quelle nouvelle façonde vivre son électricité ?

© Michel Laurent

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Mon client m’ademandéHABITAT

confort, de la sécurité et de la communication. Ce qued’aucuns commencent à appeler la “confortique”.

“L’Esprit Loft”Le programme immobilier de Solaize rappelle que leterme de “loft” désigne, en anglais, un “espace clair etouvert”. Désormais, il définit, également, outre uneintervention de l’architecte, “une nouvelle façon devivre”, aidée, au quotidien, par l’offre domotique pourun habitat plus sûr, plus convivial et plus facile à vivre. Au fur et à mesure de l’évolution de leurs modes devie, les occupants doivent pouvoir, dans le temps,adapter leur installation domotique en fonction deleurs disponibilités financières et, l’âge obligeant, àleurs besoins de plus de sécurité et de confort, sansoublier le recours à plus de communication avec lemonde extérieur. Cette démarche est résumée, aujour-d'hui, au niveau de quatre grandes applications cons-truites autour de l’offre Delta Dore-Talco :- gestion de l’énergie. Le chauffage est assuré, au rez-de-chaussée, par un chauffage à rayonnement bassetempérature par le sol de type “Infracâble” deDeléage (1), complété par des convecteurs rayonnants.Par ailleurs, a été installée une ventilation mécaniquethermo-dynamique réversible “Temperation H”d’Aldès(2), l’isolation du bâti étant assurée par de lalaine de verre “GR 10” et par du triple vitrage deSaint-Gobain Glass. La gestion thermique est assuréepar un “Pack Label Performance”, ce gestionnaire d’é-nergie permettant une programmation hebdomadairesur 2 zones ainsi que 5 modes de fonctionnement(confort, économique, hors gel, arrêt, automatique).- alarme. La protection est assurée par une centrale 4 zones “Tyxal”. Des détecteurs d’ouverture, équipantchacune des issues, sont complétés par des détec-teurs de mouvement. Au niveau de la sécurité tech-nique, l’installation est équipée d’un détecteur defumée et d’un détecteur de coupure secteur, tandisqu’un clavier de commande permet les mises en ser-vice et hors service ainsi que la visualisation d’évé-nements et/ou de défauts. Enfin, l’alarme est assuréepar une sirène intérieure et extérieure, tandis qu’untransmetteur téléphonique relie l’installation à uncentre de télésurveillance.

- automatismes résidentiels. Chaque pièce de la mai-son est équipée d’interrupteurs émetteurs ou récep-teurs. De forme ronde, baptisés “Tyxia”, ces interrup-teurs(3) pilotent l’éclairage et les volets roulants. Àl’extérieur de la maison, une télécommande porte-clépilote l’alarme, mais elle assure également l’ouvertu-re du portail et la mise en marche de l’éclairage, l’en-semble étant géré par cette mini-télécommande quel’on glisse dans sa poche ou que l’on met dans laboîte à gants de sa voiture.- communications. Muni d’une synthèse vocale, letransmetteur téléphonique “Tydom 300”, chargé deprévenir toute alerte déclenchée par le système d’a-larme, offre également la possibilité de piloter l’en-semble de la maison à distance ! Certaines pièces del’habitat étant dotées de téléviseurs, une télécom-mande multifonctions “Tydom 200” représente lecœur de l’installation domotique en permettant lacréation de scénarios et/ou d’ambiances. Par exemple :- scénario TV, réduction du niveau d’éclairage et fer-meture des volets ;- scénario “dîner entre amis”, chaque source lumineu-se s’allume à un niveau pré-établi ;- multimédia, la télécommande multifonctions pilotantl’ensemble TV, HiFi, vidéo…Une dernière remarque soulignée par GilbertGoutheraud en guise de conclusion : « Par rapport à une prestation électrique de base, il convient, en moyenne, d’ajouter environ 5 000€ d’équipe-ments domotiques (y compris la main-d’œuvre) pourrépondre à la majorité des besoins exprimés par lesoccupants. » •

Christian Gimaret / Jacques Darmon

(1) Voir l’édition “été 2005” du magazine ElectricienPlus, page 5. Cette

édition est téléchargeable gratuitement sur www.electricienplus.info

(2) Ce système procure fraîcheur en été et préchauffage lorsque l’hiver

approche.

(3) À terme, d’autres formes devraient venir compléter la gamme des

interrupteurs “Tyxia”, encore limitée aujourd'hui.

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Alors que l’aspectarchitecturalextérieur duprogramme estvolontairementsobre, l’intérieur a été particuliè-rement travaillé,tant au niveau dela conception desvolumes que del’étude descirculations etcomportementsdans lesdifférentes“pièces à vivre”.Ici uneinstallationd’éclairage à“LED’S” pour lamontée d’escalier.

L’ensemble des produits mis en œuvre sont conventionnels et s’installent dans une armoire électrique traditionnelle ; lagestion centralisée des différents équipements évite la multiplicité des télécommandes, tout en permettant d’adapter desscénarios aussi variés que les habitudes de vie des futurs occupants.

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Mon client m’ademandé HABITAT

Patrick Maridet :« J’oriente les clients vers "une autre"électricité. »

Un quart de siècle ! C’est déjà le temps consacrépar Patrick Maridet à son métier d’électricien :d’abord 10 ans au sein d’une entreprise ; depuis

15 ans à la tête de sa propre société tout simplementbaptisée “Entreprise Maridet”, spécialisée dans le rési-dentiel et le petit collectif et comptant aujourd'hui 9 collaborateurs. « L’essentiel de nos activités est exer-cé dans des lotissements construits par des promoteursimmobiliers », précise Patrick Maridet, en ajoutant : « pour des raisons pratiques d’organisation de chantieret de logistique ». Par exemple, le coefficient des mar-ges est identique à celui appliqué dans le collectif… « mais on ne travaille pas en étage, ce qui représente ungain de temps et moins de fatigue, sans, de plus, subirla pression des maçons ». Dernier avantage : le marchédes lotissements permet, sereinement, de mieux anti-ciper son carnet de commandes.

Avant de la commercialiser, Patrick Maridet s’est atta-ché à parfaitement maîtriser l’offre domotique deDelta Dore. Il a d’ailleurs fait évoluer quelques appli-cations au niveau de leur praticité et de leur simplicitéde mise en œuvre et d’usage au sein du programme“Esprit Loft”. Dans ce contexte, il accorde une grandeplace à la discussion avec le futur client utilisateur, cequi lui permet d’adapter le système domotique aux be-soins réels de ce dernier. Sa prestation peut d’ailleursaller bien au-delà des fonctions d’installation de base,c’est ainsi que près d’un client sur deux lui confie fina-lement l’installation des systèmes d’éclairage. Onpeut ainsi découvrir dans la maison test un système deLED de couleur intégrés aux marches d’escaliers d’accès à l’étage, à la fois esthétique et sécuritaire.

Passionné par les nouvelles technologies

Depuis sa publication en 2002, certaines contraintes imposées, par la NF C 15-100, aux installations électriques résidentielles suscitentquelques interrogations. Patrick Maridet en reçoit de nombreuses posées tantpar des promoteurs que des particuliers :– comment voulez-vous que mon installation ne soit pas conforme aux normessi je ne veux pas que vous me posiez tel ou tel équipement ?– pourquoi voulez-vous m’imposer, dans mon salon, un point de centre“éclairage” que je n’utiliserai pas et qui est inesthétique… même masqué ?– 10 prises dans mon séjour de 40 m2 ? Ça me paraît beaucoup trop !– pourquoi une prise “téléphone” dans la cuisine ?

Questions à propos des contraintesimposées, dans le résidentiel, par la NF C 15-100

« Je reste en relation avec le client final »« La collaboration établie avec le groupe MCP me permetd’exercer mon métier comme si je travaillais sur le marché dif-fus de la maison individuelle », poursuit Patrick Maridet.Prenons l’exemple du programme immobilier construit àSolaize : quatre maisons types avec des aménagements debase y sont proposées. Au niveau des installations élec-triques, l’installateur assure lui-même, en relation directe avecles futurs occupants, diverses options, « ma démarche consis-tant à les orienter vers une autre électricité ». Conséquence ?Pas deux installations ne se ressemblent. De plus, même siles occupants ne sont pas prêts “financièrement” à opterpour de nouvelles options de sécurité, confort et communi-cation, ils les adoptent quelques années plus tard. « C’estpourquoi il importe de concevoir l’évolutivité de l’installationélectrique dès la conception de la maison. » Pour preuve, MCPvient de créer une optique domotique de base modulablepermettant toujours à l’électricien d’en proposer plus. •

FORMATIONApprendre aux installateurs à “Vendre Plus”Promotelec complète son programme d’ateliers d’in-formation techniques en lançant les ateliers “VendrePlus”. Destinés aux installateurs-électriciens, ilsreprésentent une sensibilisation aux techniquescommerciales, permettant d’aborder les fondamen-taux de la prospection client et de la vente. Jusqu’endécembre 2005, Promotelec déploiera son offre d’a-teliers “Vendre Plus” dans plus de 50 villes

En brefEn brefsur www.electricienplus.info

françaises. Ces ateliers sont composés de 3 modulescomplémentaires concrets et pratiques : “Voir venir ouprospecter ?”, aidant le professionnel à préparer ledéveloppement durable des ventes… ; “Connaître sonclient”, proposant une méthode pour une meilleureconnaissance du client et une meilleure écoute… ;“Convaincre son client”, permettant au participantd'affiner son argumentation pour acquérir une confian-ce en lui et acquérir celle de son client. ...

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Plus de 200 solutions pour gérer l’air dans le tertiaire.Spécialiste de la qualité de l’air, Aldes a conçu une offre qui répond à tous les types de contraintes dutertiaire. Quels que soient les locaux à traiter et les critères techniques requis, elle apporte des répon-ses pertinentes et efficaces aux concepteurs et améliore le bien-être des utilisateurs.

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Mon métier

Le jardin (mobilier, éclairage) s’invite dans la mai-son. Ainsi, les hublots et les bornes font une en-trée en force dans nos intérieurs contemporains.

Pourquoi un tel engouement ? D’une manière géné-rale, il ressort que les consommateurs aspirent au bien-être, à leur petit coin d’Eden. D’un point de vue plusspécifique, il semblerait, pour Jean-Marc de Saint Aubin, Luxo, que cela provienne « d’une part, de la mo-de favorisant l’éclairage indirect et, d’autre part, qu’ilsdeviennent des objets de décoration ». Toutefois, se-lon Gaëtan Guillier, Sarlam, « si l’applique est un lumi-naire “intérieur” que nous retrouvons en général dansdes couloirs ou escaliers et en version décorative dansnos intérieurs, elle demeure un produit d’éclairage d’am-biance. Le hublot est, quant à lui, un appareil “exté-rieur” équipant les couloirs, les escaliers, les façades ouencore les lieux collectifs (sanitaires, vestiaires, locauxde rangement, lieux de sommeil, caves, combles…). Enfin, la borne est aussi un produit “d’extérieur” qui de-vrait le rester encore longtemps… » « Les hublots et lesappliques donnent lieu à toutes les variations décorati-ves… Ils ont donc toute leur place en intérieur, mais aus-si en extérieur sous un auvent ou près d’une entréesurtout lorsqu’il y a une détection de présence intégrée »,explique Laurent Prat, Securlite.

Professionnel et grand publicSi les secteurs grand public et professionnel parais-sent générateurs de croissance, ils ne peuvent êtreconsidérés de la même façon ! Ainsi le marché grandpublic, qui affiche une forte demande, liée notammentà la décoration, propose une offre majoritairement basde gamme avec des produits qui ne sont pas toujoursaux normes. Par ailleurs, la facilité de pose et de main-tenance, la qualité permettant un usage dans un mi-lieu fréquenté ne sont absolument pas pris en compte.Le secteur professionnel est un marché sur lequel les

acteurs doivent s’engager surla qualité de leur prestation etleur responsabilité. Ces der-niers équipent des lieux pu-blics ou privés où le passageest fréquent, ils doivent doncfournir des certificats de confor-mité… « C’est aussi pour les in-stallateurs professionnels lemoyen d’apporter un “plus” à leurclients, des conseils et des ser-vices, en proposant des produitsplus spécialisés et plus tech-niques, peu commercialisés parles grandes surfaces de distri-bution », poursuit Laurent Prat. Malgré leurs distinctions, la croissance des deux sem-ble être bonne au vu de l’activité bâtiment et du nom-bre de dépôts de permis de construire. Pour BernardChaudron, Thorn Europhane, « même si ce marché off-re une faible croissance en volume, il progresse en va-leur, grâce à l’évolution positive du mix produit ». LaurentPrat partage l’avis de son collègue : « Notre spéciali-sation fait que nous sommes plus orientés vers le mar-ché professionnel que vers celui des particuliers. Toutefois,nous constatons un intérêt grandissant des particulierspour des solutions techniques répondant à des besoinsde sécurité (détection), d’économie (fluorescence) et deconfort (éclairage graduable sans papillotements). Denombreuses solutions techniques professionnelles sedémocratisent aujourd’hui. Par ailleurs, le prix des so-lutions techniques baissant, elles nous permettent d’espé-rer un fort développement du marché des particuliers etdu petit tertiaire pour les années à venir. » Selon Catherine Delahaye, Thorn Europhane, « le marché deshublots et des appliques est un marché porteur, dyna-misé par la “directive Ballast”, la nouvelle réglementation

HUBLOTS, BORNES ET APPLIQUES

Extérieur, intérieurDehors, dedansHormis leur fonction première qui est bien naturelle-ment d’éclairer, les hublots, les bornes et les appliquesdisposent d’autres propriétés. Au départ, ils devaientêtre fonctionnels et surtout durer dans le temps… Peu importait le design ! Aujourd’hui, tout en conservantleurs qualités premières, ils doivent être plus esthétiques grâce à des matériaux plus nobles. Petit tour d’horizon…

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tement contiennent : un balisage lumineux du chemi-nement à suivre, un éclairage d’ambiance minimum surle parcours d’évacuation ou encore un éclairage d’am-biance autour des matériels de sécurité. Par ailleurs, comme nous l’avons vu jusque-là, l’im-plantation de l’éclairage est importante. « Si l’appliquene sert qu’à décorer, alors il faudra la choisir avec unelampe très peu luminescente. Dans ce cas, il s’agit d’unobjet et non d’un système d’éclairage », explique Fran-çois Gayet, concepteur-lumière. « Mais elle peut faireles deux, poursuit-il. Quand il s’agit d’éclairage directtrès lumineux par exemple, si le plafond est trop somb-re, le contraste donnera l’impression que la lumière noustombe sur la tête… Pour remédier à cet inconvénient, ilsuffira d’installer une applique décorative, réfléchissantla lumière au plafond. Il est donc nécessaire de faire ladifférence entre l’éclairage fonctionnel (lire, manger…)et l’éclairage d’ensemble déterminant l’ambiance. Cependant, les deux sont indispensables. »Dans un environnement plus large, intéressons-nous àl’éclairage encastré dans le sol actuellement très prisé. Ilpeut s’avérer très gênant même si nous en voyons à l’in-térieur et à l’extérieur des bâtiments, comme par exempledans un contexte urbain où le passant descend dans larue… Pourquoi ? Parce que l’homme regarde naturellementoù il marche. Avec ces luminaires à haute luminance, il estébloui, il ne perçoit plus son environnement, ni les inten-tions des personnes qu’il croise parce qu’il ne peut lesidentifier ! Cela peut être même perçu comme insécurisantpour les utilisateurs ! Toutefois, la chose est différente avecde la lumière indirecte créée avec des appliques posi-tionnées en bas des murs. Ce type de lumière permet debaliser un itinéraire ou de donner des repères pour se dé-placer sans capter la perception visuelle haute. De cettefaçon, il est possible de se déplacer dans la nuit grâce àun cheminement sécurisé… Mais attention, dans ce casaussi, les sources doivent être bien dissimulées et ellesne doivent pas éclairer le sol. Il faut donc se garder d’u-ne trop forte luminosité !

Antoine César Becquerel a découvert en 1839 l’effet photovoltaïque.Il permet la conversion directe du rayonnement solaire en électri-cité. Ce procédé est sans concurrence quand le réseau est absentou les coûts de raccordement (environ 30 000 €/km) sont trop éle-vés. C’est une énergie propre, silencieuse et inépuisable.Aujourd’hui, ces technologies sont parfaitement maîtrisées et of-frent un champ d’application qui s’élargit au fur et à mesure de laréduction des coûts de production.

Et l’énergie solaire…

thermique influençant les développements avec des ver-sions plus performantes, moins consommatrices d’é-nergie et plus soucieuses du respect de l’environnement.Par ailleurs, il existe un marché au niveau de l’habitatprivé haut de gamme pour des produits professionnels,en intérieur comme en extérieur (éclairage de jardins, depiscines…) ».

Pour ne pas perdre le nord Au cours d’une vie, un bâtiment peut être affecté pardifférents sinistres. Toutefois, nous nous en sortonsmieux lorsque le problème a été pensé auparavant…Prenons l’exemple d’une interruption d’alimentationélectrique due à la foudre. Les issues de secours exis-tent mais comment pouvons-nous les atteindre sanshésitation et surtout sans perdre de temps dans le noir ?C’est pourquoi les moyens à mettre en œuvre concrè-

Bornéo, Borne anti-vandale, a étéconçue pour

permettre une qualité de pose et une maintenance aisée pour une applicationdans les jardins publics, privatifs, allées… Sarlam.

Kalankosol,est un encastré de sol

qui a été conçu pour permettreune utilisation dans les E.R.P.grâce à une étanchéité maximale. Sarlam.

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Prelium, est une applique pour une utilisation

partout où l’éclairage et la fonctionnalitésont essentiels. Elle permet une pose à l’ho-rizontal, à la verticale, en angle ou au pla-fond. Sarlam.

Quadro Light, est un ensem-ble de luminaires dont le corps et lesaccroches sont en inox.

Une poudre à enduit de prétraitement a été utilisée pour un usage extérieur. Luxo.

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9 Titan S2, est un lu-minaire anti vandalisme

pour les souterrains publics. Il résiste à 120 joules. Sa base esten acier, le diffuseur en polycarbo-nate. Il s’équipe en lampe à dé-charge ou fluorescence. Securlite.

UNE SELECTION DE PRODUITS L’ELECTRICIENPLUS-HUBLOTS, BORNES ET APPLIQUES sur www.electricienplus.info

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En fait, il existe deux sortes de fibre optique. La fibre optique conductrice servant à éclairer enbout de fibre. La seconde qui est traitée pour que lalumière soit arrêtée en route. La fibre est alorséclairante tout du long.

Qu’est-ce que la fibre optique ?

FONCTIONNEMENT WORKING Possibilité de commande à distance pour le mouvement de la borne, manuellement ou automatiquement (cellule photoélectrique, radar de présence, timer...). Alarme de mouvement.

Possibility for remote control of the rise and descent of the optic opening both manually andautomatically (daily light, presence sensor, etc.) Movement warning horn. An electronic gearcase controls the rising movement in case of emergency - black out, accidental obstacles.

Borne lumineuse escamotable avec motorisation. Applicable pour les résiden-ces, espace verts, parkings et circulations.Son faible encombrement permet unemaintenance aisée des espaces vertssans représenter un obstacle visuel.

Luminous stake with motorized extractionsuitable for diffused lighting of publicand private residential areas, walkingways, green areas and prakings. A lighting body which makes greenareas maintenance easier and is not avisual permanent obstacle.

SIDE S.p.A. - Via C. Cottaneo, 90 - 20035 LISSONE (MI)Tél. : +39 039 2449001- Fax : +39 039 2459338 - e-mail: [email protected] - www.sidespa.it

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Eclage, est une gamme de bornes anti- vandalisme. Elle résiste à 80 joules. Il est proposé avec une détection de présen-

ce, totalement dissimulée. Sa base est en fonted’aluminium et le diffuseur en polycarbonate.Securlite.

Bang Sensor,est un luminaire anti-vandalisme destiné aux logementssociaux. Il résiste à un minimum

de 40 joules. Il intègre un détecteur de mouve-ment avec un réglage de sensibilité, de tempori-sation et une cellule photo-électrique réglable. Il est en polycarbonate. Securlite.

Danube,est un hublot fonctionnel

et polyvalent aux esthétiquesmultiples par combinaison de for-mes et d’accessoires. Le diffuseurest opale ou prismatique clair, lecorps est en polycarbonate, la fini-tion est noire ou blanche. ThornEurophane

Seine,est une applique décorative mariant modernité et

classicisme. Le corps et le diffuseur sont en verre opaleavec une fixation en polycarbonate. Le diffuseur crée unhalo sur l’arrière. Thorn Europhane

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Des matériaux plus designLe passage ou plutôt le cheminement de l’un à l’autres’inscrit par l’utilisation de matériaux plus modernescomme l’inox, le verre ou encore l’aluminium, condui-sant vers plus d’intégration dans l’univers esthétique etdécoratif des bâtiments dans lesquels ils sont installés. Huit familles de matériaux existent : la fonte d’alumi-nium, le laiton ou le cuivre, l’ABS (matière plastique),la céramique, le bois, l’aluminium, le métacrylate/poly-carbonate (dérivé du plastique) ainsi que le verre. Il devient donc facile de proposer une harmonisationentre le style et la couleur des luminaires avec l’archi-tecture de l’habitation. Contemporain ou plus tradi-tionnel, finition cuivre, inox, galvanisée… Il ne reste plusqu’à choisir ! C’est d’ailleurs l’opinion de Laurent Prat :« Le marché se divise en produits très simples, écono-miques, plutôt décoratifs et ceux, plus élaborés, qui ré-pondent à des fonctions d’économies d’énergie, demaintenance optimisée, de contrôle de l’éclairage et delongue durée de vie. Ce type de produist se développecar il correspond à un besoin grandissant des particulierset surtout des professionnels pour des produits adaptéset de meilleure qualité. »

À chacun son utilisationLes maîtres d’ouvrage chercheront de leur côté des so-lutions d’éclairage décoratif, mais aussi anti-vandalesou encore techniques. Tandis que les installateurs pré-féreront des produits leur permettant une installation

facile, rapide, mais aussi qualitative et faite pour durerdans le temps. C’est dans ce contexte que Thorn Euro-phane a lancé, au début de l’année, la gamme Rivers,développée sur le concept du prêt à poser. En outre,certaines appliques, notamment en verre, conviennentparfaitement à l’habitat individuel. « Nos produits sontdéveloppés dans le respect des normes les concernantaussi bien en terme de performances que de sécurité. No-tre volonté de développer de nouveaux luminaires aveclampe incluse, rapides à poser, est une réponse aux be-soins clairement exprimés par nos clients », souligne Ca-therine Delahaye, de Thorn Europhane. Pour l’éclairagede secours, on retrouve le constructeur Daisalux qui seconsacre, entre autres, à la conception, la fabrication età la commercialisation de ces produits. Securlite, lui, ap-portera des solutions spécifiques aux problèmes de main-tenance rencontrés dans les logements sociaux, lycées…avec une originalité dans le design et la qualité des ma-tériaux utilisés. Chez Luxo, on retrouvera des produitssimples, élégants, fonctionnels mais aussi d’avant-garde.Aujourd’hui, le fer de lance de Luxo est la lumièreasymétrique et la ligne de lampes de table. En 2005, la tendance est aux hublots, aux bornes et auxappliques. Le produit de demain est la fibre optique.Elle offre pour le particulier beaucoup plus de souples-se que le néon, même si elle est encore un produit co-ûteux. Enfin, c’est un matériau idéal pour concevoir desobjets décoratifs qui éclairent et un peu high-tech. •

Nathalie Schooppe

LexiqueApplique : Appareil d’éclairage intérieur fixé au mur. Hublot : Appareil d’éclairage pour l’intérieur oul’extérieur. Il est rond ou ovale et se fixe indiffé-remment au mur ou au plafond.Borne : Appareil d’éclairage extérieur servant àbaliser un cheminement dans un parc, un jardin,un square. Mat éclairant fixé au sol d’une hauteurinférieure à 100 cm.

Lift,est une borne lumi-

neuse escamotable avecmotorisation. Applicable pourles résidences, espaces verts;parkings et circulations. Sonfaible encombrement permetune maintanance aisée desespaces verts sans représen-ter un obstacle visuel. Side

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1 UNE SELECTION DE PRODUITS L’ELECTRICIENPLUS-HUBLOTS, BORNES ET APPLIQUES sur www.electricienplus.info

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Imaginez... la liberté d’incorpo-rer des points lumineux ailleurs que

dans des murs ou des bornes ! Imaginez l’uti-lisation de matériaux et de formes naturelles !Noral présente une gamme contemporaine debornes et encastrés A.Dapt, adaptable à l’en-vironnement et à l’architecture. Ce nouveauluminaire encastrable avec faisceau lumineuxorientable a été dessiné pour être incorporédans un large éventail de formes, les pierresnaturelles, le béton ou même dans les pierressculptées ou dans les murs…

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Les encastrés de sol

Les appliques

Les bornes

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Mon métierBÂTIR AUTREMENT

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Aujourd’hui, l’acte de construire ne s’arrête pas aubâtiment. Il se prolonge inévitablement vers unacte de service : servir les occupants (santé, sé-

curité, confort) tout en réduisant les consommations d’é-nergie et l’impact du bâtiment sur l’environnement, telleest la nécessité qui s’impose à tous les acteurs de laconstruction. Ce thème, déjà largement traité sur un planidéologique ou politique, peut aujourd’hui être abordéde façon pragmatique et opérationnelle dans le secteurdu bâtiment ; en effet, les initiatives et réalisations com-mencent à être significatives en Europe. En France, ladémarche HQE (Haute Qualité Environnementale) se dis-tingue.L’association HQE, reconnue d’utilité publique en janvier2004, a été créée, en 1997, par le Plan de Constructionet Architecture (PCA), le ministère de l’Equipement etl’Agence de l’environnement et de maîtrise de l’énergie(Ademe), avec le concours des organisations profes-sionnelles du bâtiment telles la Fédération française dubâtiment (FFB) et la Confédération des artisans et peti-tes entreprises du bâtiment (Capeb). Cette démarcheconsiste à maîtriser les impacts du bâtiment sur l’envi-ronnement extérieur et créer un environnement sain etconfortable. Pour cela, l’organisme a mis en place uneliste de 14 cibles regroupées en quatre thèmes, appli-cables aussi bien pour la construction neuve que la ré-novation ; l’écoconstruction (la réalisation harmonieusedes bâtiments avec leur environnement immédiat, lechoix des procédés et produits de construction, chan-tiers à faibles nuisances) ; l’écogestion (gestion de l’é-nergie, gestion de l’eau, gestion des déchets du chantier,entretien et maintenance) ; le confort (confort hygro-métrique « chaleur et humidité », confort acoustique,confort visuel et confort olfactif ) et la santé (conditionssanitaires, qualité de l’air et de l’eau).

Quelques repèresL’importance de la démarche HQE est mesurée par quelquesrepères essentiels. A savoir :- Energie : le bâtiment est la deuxième source d’émis-sion de gaz à effet de serre (25 %) et le premier consom-mateur d’énergie (45,8 %). De 1990 à 2001, les émissionsde CO2 du secteur du bâtiment (résidentiel et tertiaire)ont progressé de + 14 % (1). La HQE peut permettre d’é-conomiser jusqu’à 50 % des émissions de CO2. Ainsi, sil’ensemble des constructions neuves en Ile-de-Franceétait construit selon cette démarche, environ 60 000 t/ande carbone pourraient être économisées, les solutionsd’isolation étant amorties en moins de 6 ans (chiffres2003).- Eau : la HQE peut permettre d’économiser de 20 % à50 % de la consommation d’eau. Les solutions de ré-duction de pression ou de débit ont une durée d’amor-tissement de quelques mois, tandis que les solutions

recyclage des eaux ont des durées d’amortissement in-férieures à 10 ans.- Bois : la construction d’un bâtiment en bois nécessi-te trois fois moins d’énergie que la construction du mê-me bâtiment en béton. En 2000, la part du bois dans laconstruction était de 10 %. L’objectif de l’accord-cadre« bois-construction-environnement » est de la porter à12,5 % en 10 ans, soit une augmentation de 25 %. •(1) Source : Citepa 2001 (Centre interprofessionnel techniques d’études de la pollution atmosphérique). Fax : 33 1 40 22 04 83.(2) Rappelons qu’Yves Boileau assure la responsabilité de Plan Soleil au sein du département « Energies renouvelables » de l’Ademe.

Selon une étude de l’Institut Louis Harris, comman-dée par l’Ademe et rendue publique en juin 2004,98 % des personnes interrogées plébiscitent le développement des énergies renouvelables. Pour80 % d’entre elles, il s’agit d’énergies de l’avenir.Plan Soleil. Mis en place en 2000 et se terminant fin2006, ce plan a pour objectif d’amplifier la diffusiondes applications solaires thermiques sur l’ensembledu territoire, de la soutenir financièrement au démar-rage et de créer à terme les conditions de pérennitéde ce marché (2).Plan Climat. Ce plan (présenté en juillet 2003) résu-me les actions du gouvernement afin d’atteindre, dès2010, l’objectif du protocole de Kyoto, défini en 1997. Dans ce cadre, la France s’est engagée à maintenir, en 2010, ses émissions de gaz à effet de serre à leur niveau de 1990.Loi d’orientation sur l’énergie. Elle comporte trois ti-tres respectivement consacrés : à la maîtrise de lademande en énergie (titre Ier), aux énergies renouve-lables (titre II), à l’équilibre et à la qualité des ré-seaux de transport et distribution de l’électricité(titre III) (projet de loi adopté en juin 2004).

Rappels

Le Développement durable vous êtes concernés

Cette année, Batimat (du 7 au 12 novembre 2005)oriente sa thématique autour du Développement durabledans la filière construction. Sa priorité ? Bâtir autrement, de la conception architecturaleà la mise en œuvre !

Mon métier LE PHOTOVOLTAÏQUE

36 N° 12 • AUTOMNE 2005

Une installation photovoltaïque se compose demodules solaires, eux-mêmes constitués de cel-lules photovoltaïques, le plus souvent à base

de silicium. Ces générateurs transforment directementl'énergie solaire en électricité (courant continu), la puissan-ce étant exprimée en watt-crête (Wc), unité définissant lapuissance électrique disponible aux bornes du générateurdans des conditions d'ensoleillement optimales.Un ou plusieurs onduleurs convertissent le courant conti-nu produit en courant alternatif 50 Hz sous 220 V. Selon lechoix retenu, tout ou partie de la production est injectéesur le réseau public (Fig. 1), et le reste est consommépar le producteur. À l'inverse, lorsque la productionphotovoltaïque est insuffisante, le réseau fournitl'électricité nécessaire.

Quel raccordement ?Comme le distributeur (EDF) ne pourra acheter que l'élec-tricité physiquement injectée au réseau au point de livrai-son, les deux solutions proposées dans la Fig. 2 nécessi-tent des architectures spécifiques pour le raccordement dugénérateur, les travaux de raccordement à réaliser dépen-dant par conséquent d'une fourniture totale ou d'une four-niture des seuls excédents.Deux compteurs distincts seront systématiquement utiliséspour mesurer la production injectée sur le réseau ainsi quecelle soutirée du réseau. L'utilisation du compteur électro-

Toute personne disposant d'un habitat résidentiel,d'un bâtiment communal ou d'un autre lieususceptible de recevoir des modules photovoltaïques,peut, outre utiliser en totalité ou en partie l'énergieproduite, devenir aussi un producteur d'énergierenouvelable en injectant de l'électricité localementproduite dans le réseau de distribution public. EDFachète systématiquement l'énergie ainsi produite àdes tarifs préférentiels, définis dans le cadreréglementaire fixé par les pouvoirs publics. Même si ledéveloppement massif du solaire photovoltaïque, entant que moyen de production d'électricité raccordéau réseau, reste pénalisé par son coût de productionencore trop élevé, des évolutions positives semanifestent. Une occasion de rappeler commentfonctionne une installation photovoltaïque ?

Comment être à la foisconsommateur et/ou producteur ?

mécanique existant, en le faisant “tourner à l'envers” aumoment de l'injection d'énergie au réseau, ne peut êtreenvisagée pour des raisons réglementaires. En tout état decause, elle serait peu avantageuse pour le producteur puis-qu'elle rendrait physiquement impossible l'application dutarif préférentiel d'achat pour la rémunération de l'énergiephotovoltaïque injectée au réseau.

Quelles aides financières ?Le coût minimum d'un générateur photovoltaïque (puis-sance-crête d'un kilowatt, c'est-à-dire 10 m2 de capteurs),s'élève à environ 8 500 €, toutes taxes comprises, maishors subventions et pose (chiffres 2002). Un générateur de2,8 kWc coûtera environ 20 000 € (travaux d'installationcompris), le prix de revient du kWc ainsi produit variant

Dans certains cas particuliers (principalement dans lesDOM), il peut être avantageux d'adjoindre, au généra-teur photovoltaïque, un parc d'accumulateurs pour lestockage d'énergie. On parlera alors d'un système sécu-risé, permettant de produire de l'électricité, même encas de rupture de la fourniture d'énergie par le réseaupublic (intempéries, dévastations cycloniques, etc.).

Comment sécuriser une installation ?

« Combien d'énergieobtient-on à partird'une installationphotovoltaïque ? »Cette productiond'électricité est di-rectement fonctionde l'ensoleillementdu lieu, donc de lalocalisation géo-graphique, de lasaison et de l'heurede la journée. Sur le site www.electricienplus.info

à la date du 23 aoûtdernier, est estiméle niveau de pro-duction moyenne variant entre 3 kWh/m2

par jour, dans lenord de la France et5 kWh/m2 par jour,dans le sud. (source EDF)

N° 12 • AUTOMNE 2005 37

Mon métierLE PHOTOVOLTAÏQUE

Fig. 1. À ce jour, le développement massif du solairephotovoltaïque, en tant que moyen de productiond'électricité raccordé au réseau, reste pénalisé par soncoût de production encore trop élevé. Dans le but delever cet obstacle, EDF investit dans le développement de nouvellestechnologies, entre autres celle des cellules auxcouches minces.

Il convient de faire une demande de raccordement auréseau public auprès du gestionnaire de réseau dedistribution (GRD). Pour toutes les demandes deraccordement d'installations photovoltaïques (dansle cas où EDF est le distributeur), il suffit des'adresser à : GRD EDF-ARD Grand Centre (Accès auRéseau Distribution) 8, rue de Boutteville - BP 44237204 Tours Cedex 03 - Fax : 02 47 21 27 77 E-mail : [email protected] - http://ard.edf.frCe centre est l'interlocuteur exclusif concernanttoutes les questions de raccordement desgénérateurs photovoltaïques. Pour la Corse et lesDOM, il faut s'adresser au centre EDF local. Lors de lademande de raccordement, envoyer à l'ARD la “fichede renseignement” (formulaire à demander auprès del'ARD ou à télécharger sur son site Internet), cettefiche renseignant le gestionnaire du réseau sur lesspécifications techniques du générateur pour lequelle raccordement est demandé.

Quelle est la procédure de raccordement du generateur photovoltaïque aureseau de distribution ?

Fig 2a. Injecter seulement dans le réseau public l'excédent de la production non consommé pour ses besoins propres. Ainsi, ses utilisations seront directement alimentées par son générateur photovoltaïque ;

Fig 2b. Injecter l'intégralité de l'électricité produite auréseau public. Le besoin en électricité sera alors couvert,pour la fourniture d'électricité, par le distributeur (EDF).

entre 0,3 € et 0,7 € en fonction du site. L'Ademe (1) aideà hauteur de 4,6 € par watt-crête les installations photo-voltaïques connectées au réseau. Selon la région, leconseil régional peut apporter des financements complé-mentaires qui, ajoutés à la subvention Ademe, peuventreprésenter jusqu'à 80 % du montant de l'investissement.Par ailleurs, des avantages fiscaux existent :- déduction, au niveau de l'impôt sur le revenu de 15 % del'investissement réalisé, hors subventions et pose ;- TVA 5,5 % pour les travaux de rénovation de l'habitat.Enfin, il est possible d'obtenir des prêts à un taux intéres-sant auprès des banques ou en consultant les agencesdépartementales pour l'information sur le logement.

Quel prix de vente ?Une fois en fonctionnement, l'exploitation d'une installationphotovoltaïque ne coûte pas cher car la maintenance est enprincipe réduite. De plus, il est possible de bénéficier de lavente du courant. La compagnie d'électricité avec laquellepeut être souscrit un contrat d'achat soit avec EDF (brancheEnergie), soit un autre opérateur ou toute autre régie loca-le de distribution d'électricité.Dans tous les cas, un contrat sera établi avec la compagniepour le prix d'achat du kilowatt-heure produit. Le tarif envigueur est d'environ 0,15 € par kilowatt-heure en Francecontinentale (2). Ce tarif rend le prix de vente de l'électricitéphotovoltaïque supérieur au prix d'achat de l'électricité duréseau. •

(1) Ademe : Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie.(2) 0,30 € par kWh en Corse et dans les DOM.

Fig 2a.

Fig 1.

Fig 2b.

Au niveau duraccordement dugénérateurphotovoltaïqueau réseau public,le producteurd'énergie photo-voltaïque a lechoix entre deux solutions. Voirfigures 2a et 2b.

Mon métier BÂTIR AUTREMENT

38 N° 12 • AUTOMNE 2005

Au-delà des conférences du Forum Bâtiment Intel-ligent, deux manifestations présenteront à la foisun panorama de l'évolution des technologies et

des exemples de réalisations de bâtiments : - un symposium de l'European Intelligent Building Group.l'IBG (Intelligent Building Group) est une association inter-nationale à laquelle participent de nombreux acteurs dudesign, de la construction et de la gestion des bâtimentsdepuis la maîtrise d'ouvrage et maîtrise d'oeuvre jus-qu'aux intégrateurs de systèmes pour l' automatisationdes bâtiments et aux éditeurs de solutions de pilotage.L'IBG a pour rôle de partager les expériences de diverspays, et permettre ainsi à chaque membre d'en tirer par-ti pour améliorer le confort des usagers des bâtiments,optimiser le coût de gestion de ces bâtiments et limiterleurs impacts sur l'environnement. - un colloque organisé par l'Association pour le Dévelop-pement de la Domotique et de l'Immotique, en liaisonavec le CSTB et la FFB. Créée par les filières du bâtiment,les grands opérateurs d'énergie et de télécommunica-tions, ADDI rassemble dans une dynamique de groupe,

tous les acteurs motivés de la domotique et de l'immo-tique. Elle agit sur trois grandes cibles : l'offre, la pres-cription et l'environnement liés aux technologies. •

Encore plus d’intelligencePlacé sous le signe du développement durable, Batimat 2005 (1) axe sacommunication sur les grands thèmes d'actualité du Bâtiment : gestionde l'énergie, accessibilité, sécurité, bâtiment intelligent... Ainsi, en plusdes stands, tables rondes et mini-conférences se succèderont dans leForum Qualité et Développement Durable organisé avec l'Agence qualitéconstruction et l'Ademe, dans le Forum bâtiment intelligent où lesexposants pourront présenter leurs nouvelles technologies. Lesprincipales cibles-visiteurs visées ? Les maîtres d’ouvrage et les maîtresd’œuvre. (1) du 7 au 12 novembre 2005, Paris-Expo, Portes de Versailles.

Les économies d'énergie : les pouvoirs publicsprésenteront le projet de nouvelle réglementationthermique et le CSTB proposera une table ronde surles bâtiments à énergie positive. -L'accessibilité : thème traité dans le forum "bâti-ment intelligent" et au cours d’une conférence quiprésentera des expériences internationales “de laville à l'ouvrage”. La sécurité sera abordée sous différents aspects. À ce jour deux axes sont en cours de construction. La sécurité anti-intrusion en liaison avec l'Union Na-tionale des Industriels de la Quincaillerie, et a sécu-rité sur le chantier pour laquelle l'OPPBTP souhaiteorganiser un important programme d'animations.

Les autres grands thèmesde communication

ARTISANS à BATIMAT Cadeaux pour la détection de nouveaux clientsÀ l'occasion de Batimat 2005, Quotatis, n°1 français de la mise en relation sur Internet entre demandeurs de devis etprestataires dans le domaine de l'équipement de l'habitat et des travaux, offre 5 demandes de devis à tous lesartisans qui souhaiteraient tester sans engagement son service de détection de nouveaux clients. Afin de profiter de cette offre, les artisans intéressés ont 3 solutions : se rendre directement sur le stand Quotatis (Hall 7.2, Allée L, Stand 53), s'enregistrer en ligne sur le site www.quotatispro.com/batibingo ou encore prendredirectement contact avec Quotatis au 01.46.04.02.22. Seules conditions à respecter pour les prestataires : être régu-lièrement inscrits au Registre du Commerce ou à la Chambre de Métiers, être à jour de leurs assurances et adhérersans engagement au service Quotatis avant le 31 janvier 2006.

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Mon métier

40 N° 12 • AUTOMNE 2005

Cette deuxième version du guide UTE C 90-483décrit les règles pour la réalisation des réseauxde communication résidentiels. L'application

de ces règles permet d'envisager la mise en œuvrede réseaux de communication résidentiels pouvantsupporter la transmission des services d'aujourd'huiet de ceux de demain. Un manquement à ces règlesfera immédiatement apparaître l'impossibilité de trans-mettre sur ces réseaux de communication résidentielsinstallés les services nécessitant un haut débit detransmission. Dans ce cas, ces services seront diffici-lement exploitables ou carrément inexploitables, leurqualité étant partiellement ou totalement dégradée.La solution pour maintenir une production de réseauxde communication destinés à véhiculer des serviceshaut débit est la mise en place du processus généralde qualité décrit dans la norme NF EN 50174-1, l'« ISO 9000 » des réseaux de communication. Seulle respect de la chaîne de qualité de l'installation desréseaux de communication amènera un câblage cor-rect des infrastructures résidentielles, soit :1ère étape : étude des réseaux à installer devra êtreprofessionnellement menée, principalement pour lescâbles des immeubles, afin d'éviter, entre autres, toutdépairage. A noter que l'entreprise disposant, au-jourd'hui, de l'ensemble de la compétence pour la ré-alisation de ces réseaux, France Telecom, propose auxaménageurs, promoteurs ou prescripteurs sa gammede produits “Résoline”;2ème étape : formation qualifiée et qualifiante desprescripteurs et installateurs à l'étude et à l'installa-tion de ces réseaux de communication est incontour-nable. Le syndicat SVDI est d'ailleurs un des premiersorganismes à avoir pris cette voie ;3ème étape : une installation de réseaux de commu-nication totalement conforme aux normes en vigueur.Lors de l'installation, il sera nécessaire d'effectuer un

Les quatre étapes de la qualité « multiservice »Sur www.electricienplus.info a été annoncée, le 19 septembre dernier,la prochaine disponibilité de la nouvelle version du guide UTE C 90-483qui prend totalement en compte la nécessité d'installer des réseauxde communication pouvant “véhiculer” le multiservice à l'habitat.Dominique Roche nous le commente.

RÉSEAUX DE COMMUNICATION RESIDENTIELS

premier contrôle de chantier des systèmes installés ;4ème étape : contrôle global certifiant la conformité réel-le aux normes effectué par un organisme de contrôle re-connu. Pour ce faire, l'ensemble des organismes de contrôlefrançais s'est regroupé au sein du même forum Q2C.Un câblage réalisé suivant ce processus qualité et pro-prement maintenu permettra de délivrer à notre clientè-le un service, existant ou futur, de qualité constante •

Dans l'édition “hiver” du magazine ElectricienPlus, Dominique Roche analyseraplus précisément le domaine d'application decette deuxième version du guide UTE C 90-483.Par ailleurs, dans l'édition de novembre du J3E(le Journal de l'équipement électrique etélectronique), il “expertise” également le do-maine d'application de la nouvelle version duguide UTE C 15-900 décrivant les règles de l'artpour l'installation des réseaux de communica-tion “clients” (en opposition avec ceux dits“opérateurs”).

Analyse

Temoignage

42 N° 12 • AUTOMNE 2005

Un Britannique chez les Adipec

Il y a une quinzaine d’années, Colin Ricketts crée unepremière entreprise dont il cesse l’activité il y a 3 ans pour créer la CMR (Conseil maîtrise dans la

rénovation), entreprise de second œuvre technique dubâtiment qu’il dirige conjointement avec un ingénieur eninformatique, un ex-chef de chantier et un ex-entrepre-neur en plomberie. « Cette singularité pluridisciplinairemanquait à Marseille », estime Colin Ricketts en préci-sant que chacun des codirigeants étant présent sur leschantiers, « les clients restent en relation avec ceux quiconçoivent, décident et réalisent (2) ».

Leur spécialité : la santé !Tout a commencé dans la clinique de Clairval rachetéeavant plusieurs autres établissements à Marseille etdans la région PACA par la Générale de Santé. « Il y a

toujours quelque chose à faire », souligne Colin Ricketts :mise en conformité aux normes, qui représente de grosinvestissements ; remplacement des armoires élec-triques ; mise en sécurité dont les cloisonnements“coupe-feu”, la CMR se chargeant de l’asservissementdes portes. Travailler dans des cliniques nécessite d’as-surer un service très particulier afin de s’adapter auxmultiples contraintes spécifiques à ce type d’établissements. « En revanche, ce à quoi nous ne som-mes pas encore parvenus, c’est de faire évoluer les habi-tudes de nos clients. Ils restent toujours trop tradition-nels au niveau des équipements, en privilégiant surtoutl’aspect économique. » •(1) Association de défense des intérêts des professionnels de l’électricité et

de la climatisation.

(2) Outre les quatre cogérants, CMR compte 2 salariés. Elle réalise

1,4 M€ de CA… dont 90 % dans les établissements de santé.

À présent, les ADIPEC (1) comptent 24 membres. Parmi les deux derniersentrants , s’est “glissé” un Anglais en la personne de Colin Ricketts (41 ans).Nous l’avons interviewé.

Adipec dans le vent ...

Après une timide sortie en mer, le dieuEole nous conseilla fortement de rent-rer au port ! Le voilier fut amarré au

pied du Fort St Jean, mis en lumière voici plu-sieurs années. Un certain nombre de membresd'ADIPEC étaient présents, quelques uns étant

adhérents du club Master 1000. À cette occa-sion, un diplôme "Installateur Agrée QualitéLumière" Philips et Mazda fut décerné àRoland Nègre (Sarl Nègre), Jean Michelangelli(Sarl Michelangelli), et André Tassano(Tassano). (Voir photo ci-contre). •

Pour preuve ! Les 10 et 11 septembre der-nier, à Marseille, la Fédération du bâti-ment et des travaux publics des

Bouches-du-Rhône, présidée par RenéNostriano, a organisé la première régate desacteurs du bâtiment… Au total, 23 bateauxétaient répartis en trois catégories. Dans la sien-

ne, les Adipec sont arrivés premiers. Bravo doncà l’équipe, sponsorisée par Arnoud PlanetWattohm, menée par Philippe Beytou (skipper)et constituée de Bernard Pastorelly, RolandNegre, Thierry Ramirez, Roger Jolly, JacquesHovanessian, Thierry Ferrer et Paul Lo Cricchio.•

Le 17 juillet dernier s'est déroulée à bord d'un voilier d'une tren-taine de mètres, la présentation des dernières nouveautés deMazda et Philips éclairage, notamment des catalogues.

L’ACTUALITÉ DES ADIPEC

Attiré par le soleil,c’est en 1984, à l’âgede 20 ans, que ColinRicketts a “débarqué”dans la villephocéenne. Séduit parune jeune Française,il décide de s’yinstaller… et de“passer” son CAPd’électricien.

Bravo les “Adipec” !« Quand les électriciens travaillent en équipe, ils gagnent ».

N° 12 • AUTOMNE 2005 43

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Cochez une seule case par rubriqueActivité principale de l'entrepriseFabricants, importateurs11 ❒ Matériel électrique12 ❒ Automatisme13 ❒ Tableautier

Utilisateurs21 ❒ Industrie22 ❒ Tertiaire23 ❒ Transport, infrastructures24 ❒ Administration, collectivités locales25 ❒ Autres utilisateursInstallation / maintenance31 ❒ Électricité industrie32 ❒ Électricité tertiaire33 ❒ Électricité habitat34 ❒ Artisan électricienPrescripteurs41 ❒ BE, ingénierie, conseil42 ❒ Bureau contrôle technique43 ❒ Architecte50 ❒ Production, distributeur électricien60 ❒ Distrib. matériel électrique80 ❒ Enseignement, formation85 ❒ Recherche90 ❒ Autre : ..................................................

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Version sansfil, pour larénovation … le LumimatSanfil.Une installation propre sans câblagepermettant la commande à distancepar transmission radio, il s'installepartout très facilement.

Nouveau catalogue 2005-2006Moeller Electric lance la diffusion de son nouveau catalogue général 2005/2006 réunissant l’ensemble deson offre appareillage électrique BT destiné au bâtiment : tertiaire jusqu’à 630 A ; habitat.

Alombard entre dans le“Pack”Alombard, marque du groupe Schneider Electric, proposeaux installateurs de se connecter sur un nouveau marché :celui des installations V.D.I. (Voix, Données, Images) dansle petit tertiaire. Dans cette optique, elle commercialise un“Pack Découverte V.D.I.” permettant de réaliser une instal-lation comptant jusqu’à 12 postes de travail comprenant leréseau informatique mais aussi téléphonique avec un pan-neau télécom intégré.Présenté en un coffret pré-monté 10”, le “Pack DécouverteV.D.I.” est singularisé par une notice d’installation dignede ce nom. Après le rappel des outillages nécessaires etdes fournitures supplémentaires (câbles ; prises terminales ;plinthes “Clip 45” ; prises de courant 230V c.a. à contactsauto-dénudants), cette notice décrit, en quinze étapes par-ticulièrement illustrées, les différentes phases de l’instal-lation… y compris le test de l’installation. Le logiciel V.D.I.Design conçu pour accompagner l’installateur durant lesphases de conception, de définition et de chiffrage des in-stallations V.D.I., il permet également de garantir la quali-té de l’installation.

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24Sarel renouvellesa gamme “étanche”Sarel lance “Mureva”, nouvellegamme de 19 coffrets étanches(IP65) comprenant des minicoff-rets modulaires de 3 à 12 modu-les, des coffrets modulaires degrandes dimensions de 12 à 54modules, des coffrets mixtes etdes coffrets universels avec uneporte pleine.Avec un indice d’étanchéité IP65,ils assurent une protection contrel’eau, les poussières et les agentschimiques présents dans l’air.Grâce à leur robustesse et à undegré de résistance aux chocs IK 09, ils répondent parfaitementaux nombreuses sollicitationsquotidiennes : manipulations lorsdu câblage, ouvertures et ferme-tures fréquentes, chocs, etc.Les coffrets modulaires convien-nent à de multiples applications :locaux humides (serres, lave-ries…), ambiances chlorées (locaux techniques des piscines,saunas, balnéothérapie…)atmosphères poussiéreuses (gara-ges, bâtiments agricoles, ateliers,foires, magasins…). Un designmoderne, une ligne fluide et descouleurs sobres permettent leurfacile intégration dans tous lesenvironnements. Les coffrets sontlivrés prêts à installer.

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1 UNE SELECTION DE PRODUITS L’ELECTRICIENPLUS-GESTION AUTOMATIQUE DE L'ÉCLAIRAGE sur www.electricienplus.info

Le développement durable est désormais une réalité au cœur de la construction. Ce défi culturel, technologiqueet économique s’impose pour laisser aux futures générations des bâtiments qui préservent la santé, le confortet le bien-être des hommes. BATIR AUTREMENT® est devenu un impératif : de la conception architecturale à lamise en œuvre, la mobilisation est générale.

BATIMAT 2005, l’observatoire de toutes les tendances, présentera aux Prescripteurs, Maîtres d’ouvrage,Entrepreneurs et Négociants les nouvelles opportunités d’innovations, de formations et de création de valeurspour l’ensemble des acteurs de la filière.

BATIMAT, salon international multi-spécialiste de la construction, accueillera du 7 au 12 novembre 2005 plus de400 000 visiteurs et 2 600 industriels internationaux de la filière Bâtiment autour de 6 Espaces : Gros Œuvre,Menuiserie & Fermeture, Finition & Décoration, Matériel & Outillage, Bâtiment Intelligent, Informatique & Télécoms,et d'un nouveau secteur consacré à la formation, au recrutement, à la transmission d'entreprises et aux services.

Participer à BATIMAT 2005, c’est contribuer à bâtir un monde durable.

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Série initiaLe choix déco selon Arnould

Tons naturels, pastels, couleurs vives, matières translucides, irisées ou satinées, Série Initia : tout pour inspirer vos clients.

Et la lumière est toutsauf ordinaire.

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