Une POLITIQUE Us L'EAU |AJOUEMÉE .SPORTIVE En

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Une POLITIQUE Us L'EAU m. Cette étude aérait incomplète ai noua négli- ipons de parti-pris le» objections qu'élèvent contre les adductions d eau potable leurs détrac- teurs, d'ailleurs de plus en plus rares. « Rien ne presse, murmurent quelques-uns. Attendons que le Gouvernement se montre, à cet égard, aussi généreux qu'en matière d'éleo îrificalion >. 11 est exact que celle-ci a été particulièrement favorisée depuis quelques années et qu'elle a tire les plus gros morceaux de l'assiette budgé- taire. Mais il n en reste pas moins qu'un grand effort vient d'être lait pour les adductions d'eau et qu'il serait maladroit de refuser quel- que chose sous le prétexte qu'on ne vous otfre pas tout C'est la façon sûre de n'avoir rien. Ces bouderies ne sont pas de mise en face d'un progrès social 4 réaliser. Ce sont généralement les mêmes mécontents cjui insinuent : « Mais où prendre l'eau T Nous n'avons pas de source a dix lieues a la ronde.» Erreur : de la bonne eau. U y en a presque partout. Si elle ne jaillit pas toujours, à fleur de terre, elle n'en existe pas moins en nappes souterraines à des profondeurs variables. S'il faut aller puiser dans le col le précieux liquide, le moteur électrique s'en chargera. D'autres esprits onagrins se plaignent de ce que l'adduction favorisera la principale agglo- mération et laissera a l'écart le hameau qu'ils habitent. Cest possible ; mais qu'ils se rassu- rent. U leur, sera loisible de capter l'eau d'une source qu'ils conduiront chez eux ou de pren- dre sur l'adduction principale un branchement qui leur apportera l'eau. Ces « amenées d'eau • sont également susceptibles d'être subvention- nées lorsqu'elles ont pour but d'alimenter une oeuvre d'intérêt général : fontaine, lavoir, etc.» Seulement, au lieu de l'être sur les ressources du Pari Mutuel, elles le sont sur les crédits budgétaires, et au lieu de dépendre des Ponts et chaussées, eJies dépendent du Génie rural. Voila tout. Une autre oeuvre d'hygiène bénéficie d'impor- tantes subventions du ministère de l'Intérieur : tes Bains-Douches. L'initiative de ces entrepri- ses est habituellement réservée aux Caisses d'Epargne : le Gouvernement les autorise, les invite même a employer la fortune personnelle r constituent • leurs bonis » à la création ces établissements populaires. Rien n'est plus sain pour las travailleurs que de pouvoir débarrasser leurs corps fatigués de la sueur et des impuretés qui s'y attachent. L'utilité de la propreté individuelle n'avait pas échappé aux Romains : les ruines de leurs Thermes font encore notre admiration. Qu'attendons-nous pour les imiter T A L'amélioration de l'hygiène publique en France ne se borne pourtant pas aux utilisa- tions de l'eau abondante et saine, si précieuses qu'elles soient. L'assainissement des agglomé- rations, de la grande ville 4 la modeste bour- fade, pcse encore l'important problème du out-a-fEgout. La loi de 1908 rend bien théoriquement res- ponsables de l'hygiène des cités les maires qui les administrent : mais ceux-ci ne se rendent pas toujours compte de l'insalubrité de leur commune. Ils dorment, comme les électeurs, BUT le mol oreiller de la routine jusqu'au jour où le glas d'une épidémie soudaine les réveille tragiquement. Cest que, hélas I les dangers d'infection sont partout. En maintes localités, tes cabinets d'ai- sance sont restés ce qu'ils étaient au moyen âge ou a peu près. Aux exhalaisons putrides qu'ils dégagent, les amas de fumier, les mares A purin joignent les leurs. Les dépôts d'ordures ménagères leur font concurrence au seuil des portes. Quant aux eaux résiduaires des éviers, elles se déversent 4 la bonne franquette dans ta rue sous les pieds, quand ce n'est pas sur ta tète des passants. Ces fétidités forment des cloaques pestilentiels. Les touristes étrangers «fui contemplent cette insalubrité ont peine a s'imaginer qu'ils sont bien au pays de Pas- teur, une réaction est d'autant plus nécessaire que la science nous fournit les moyens mécani- ques et chimiques d'évacuer et d'aseptiser ces Immondices, au lieu d'en empoisonner les champs ou les rivières. Les municipalités résolues à prendre les me- sures d'assainissement indtepensatotes au bien- «tre et a la santé des habitants reçoivent •«ga- iement des subventions importantes du minis- tère de l'Intérieur. Il leur suffit d'adresser à ta Préfecture des dossiers analogues A ceux qu'exigent les adductions d'eau. Si un grand nombre de villes sont assainies, trop do communes rurales ne le sont pas en- core. 11 faut v aviser. Le plus grand péril qui menace aujourd'hui la France, c'est la déser- tion de3 campagnes. Un pays où l'agriculture nourricière cesserait sa production serait bien près de mourir. Or, il est un moyen d'arrêter, en partie au moins, l'exode vers les villes du travailleur rural : c'est de lui donner sur place, au village même, 1s confort qui va demander Imprudemment aux faubourgs des cités. A l'air respirable que lut prodigue la Nature, joignez l'eau potable : elle apporte la santé comme i'électricité apporte la lumière. Mettez-les en- semble sous la main de la ménagère et vous rattâoherez * sa maison par le bien-être qu'elle « trouvera. C'est encore la meilleure méthode de sauver nos champs de l'abandon. La politi- que de l'eau et de l'hygîene — c'est tout un — agrandit chaque jour sa place dons la politique Bali0n,lte - FLEURY. |AJOUEMÉE .SPORTIVE FOOTBALL-ASSOCIATION TRAGIQUE INCENDIE DANS UNE MINE _i 3 ouvrier* tué* S autre* ble**é* Hier matin, vert 4 heure*, un incendie t'est déclare dans le» bâtiments d'extraction du puits Saint-Charles, de* houillère» de la Petite Roeselle (Moselle). A la aults de cet incendie, une exploelon «ont en ignore M* oaueas t'est produits dans le puitt. Les quatre cents mineur* qui tra- vaillaient au fond ont pu remonter tans dlf. fleurie ; troi» ouvriers ont été tués par I ex. plotion et cinq ont été blette*. La Direction ds la mine fait remarquer qu'il no «agit pat d'un ooup do grisou, ni d une explosion de poussier, malt d'un acci- dent purement industriel. Les résultats des matches du 15 Septembre COUPE DE FRANCE S.O. Hallion : 2 F.C Marquette : 4. V.S. Eecaudain : 1 — U.S. Eiévin : 3. Dacny-Sports : 4 — Olympique Menrille : u. O. Amandinois : 1 — CA. valenciennes ; I. U.S. Ham : 5 — R.C. Bohain : 0. S. Amiénois : s V.C Beauval : 3. Matches amicaux U.S. Tourcoing : 3 — U.S. Vésinet : 1. S.C. Fivote • * - - GJC Paris : 1. I.C Lillois : 3 — Stade Français : L SJC Lourcbes : S — R.C. Roubaix : 5. Denain A.C : 1 — U.R.D. Mak> : 4. E.A.C. Tourcoing : 1 — R . C France : 5, O. Sjllois : 0 — A.S. Strasbourg : t. UJ5. Boulogne : 5 — D.H. Londres : 3. Amiens A.C ; 2 — R.S. Paris : 2. J.S. Pérencbies : 2 — R.C Calais *N.) : L S.C. Aniche : 1 — E.S. Bully : 1. S. Béthune : 4 — J.A. ArmenUéres : 3. A.C Cambrai : i _ S.O. Paris : 1. R.C Calais : 4 — CA. XIV : 2. S.C Abbeviue : 1 — U.S.A. Mons : I. R.C. Lens : 5 — U.S. QueviUy : 2. Amiens A.C (M.) : * — U.S. Bniay : 1. Les championnats de Belgique RC Gand : 0 — CS. Bruges : 1. l'.C. Bruges : 0 — R.C Mairies : 3. FJC. Mehnes : 4 — 'Twtng CB. : 5, Berckem : 3 — R.C Bruxelles : 1. S.C Andenteoht : 0 — Antwerp : 1, U.S. SW3Iles : 0 — Becrsoboot : 2. Cierscbe S. K. : 1 — Standard C.Û. : 2. Le classement J. G. N. P. Points S. C Liège 3 3 0 0 6 Antwerp. ... = .... 3 3 0 0 6 Beerscboot. 3 3 0 0 6 Daring 8 3 0 0 6 b. S, St-GlUes..... * 3 2 O 1 4 R. C Malines .... 8 2 0 1 4 Uerscbe S. K. 3 l 1 H 3 C S. Bruges 3 1 1 1 3 R. C Bruxelles... 3 1 0 2 | Berohem 3 1 0 8 s St. C Bruges 3 0 1 e 1 S. C Anderlecbt... 3 0 0 3 0 F. C Matines 3 0 0 3 0 R. C Gand il 0 0 3 0 A. S. Strasbourg bat O. Lillois par 2 buts à 0 Cette rencontre s'est déroulée devant deux mille spectateurs par une température excellente. Dans l'ensemble, l'olympique Lillois, bien que battu, a eu un gros avantage territorial, maie n'a pu abou- tir en raison du manque d'efficacité de tes avants, et surtout de la superbe exhibition fournie par le gardien de but de Strasbourg, qui fut toutefois servi par la chance a plusieurs reprises. A 16 h., M. Bouture, d'Amiens, donne le coup d'envoi et la première mi-temps, qui fut très égale se termine par un score mil. A la reprise. l'Olympique LllloU domine et veut marquer. Rten De passe et le gardien de but de Strasbourg se fait justement applaudir pour ses nombreux arrêts impeccables. Sur une échappée des avants strasbourgeois. l'ailler gauche passe en retrait à Maschlnot qui marque à ras de terre. Dix minutes avant la fin de la partie, l'allier gau- cbe de Strasbourg, sur une longue passe de Tinter droit, bat Vandepntte mal placé. Les meilleurs furent : A Strasbourg. le goal- keeper. Banlde et Maschlnot : a l'Olympique Lil- lois. Cheuva. Ttoéry et Vandeveloe. Bon arbitrage de If Bouture. S. C. Fivois bat Gallia de Paris par 4 buts à 1 _ Cette rencontre amicale avait attiré au terrain vlraot. environ 1.500 personnes. Le Jeu fut plai- sant, très souvent équilibre, pote tournant, par lnlenmoances. t l'avantage de Flves. cest d'aU- iears ee qui a permit aux Srjortingmen d> traduire par. deux fois en première mi-temps, scnetlens « M cet honneur, tout d'abord t la suite d'un corner et sur pesa» d'Henno. puis sur un service Impec- cable de Deschamps. Le repos arrive sor ce résul- tat. A la reprise, le Gallia, par son demi-centre, qui ee tft admirer pour aa classe, marqua un but, mais ScheUens répondit du tac au tac et porta ensuite la marque a quatre. La fin fut sitfMe sur ce score, tout * l'honneur du S.C.F. Avant le mat- cbe. le capitaine de Pans avait eu l'agréable plai- sir de recevoir de son collègue Fivois, une superbe gerbe de fleurs. L'U. S. Boulogne bat Dulwich Hamlet Football Club par 5 à 3 Très belle partie disputée a toute allure par les deux équipes et qui noue permit, surtout d, la part des insulaires, d'admirer de belles phase* de football. Le seul regret c'est que le public ne tut pas assez nombreux et 11 est regrettable que les efforts des dirigeants Usbistes pour nous offrir des beaux matches amicaux demeurent ainsi stériles. DetaWre qui était essaye a l'extrême droite fit ai lever d erideau les Cheminot* de Longueau battirent les réserves Boalonnalsee par 4 buts à s. Bon arbitrage de M. Richard, pour ces deux matches. Amiens A. C. et Red Star de Paris ont fait match nul par 2 buts à 2 C'est devant t à 5.000 personnel que «'est dé- roulée cette Importante rencontre. Elles ne fuient par déçues, car le match fut extrêmement Inté- ressant tant par l'allure active des opérations que par la qualité du football pratiqué. En effet, pendant an eneure et demie les deux teams se livrèrent un beau duel q u tourna le plus sou- vent a l'avantage de* Amiénois. La ligne d'avants des Picards lut particulièrement brillante et ton leu a maintes fols enthousiasmé. Heureusement que le gardien du R.S.. Thépot, et l'arriére Dtaa turent A la hauteur de la situation, autrement la victoire ne pouvait échapper a 1A.A.C. Cet éloge de la ligne offensive ne saurait pourtant être pro- longé pour le» demis. Seul* deux hommes tien- nent le coup : Biu et Braun, mais au demi- centre, rien l II est vrai que le nouveau Joueur suite le remède salutaire.' Quant ' à _ avec Wallet. qui s'adonne chaque dimanche ma- tin a la criasse, elle est encore nouante et Michel comme keeper. n'inspire pat confiance comme sé- curité. Il est 4 espérer que ce» point* faible* se fortifieront sou* peu. car n'oublions pat que dimanche Amient loue l'Olympique Lillois pour le Championnat du Nord, et alors— Bref, un but fut rentré de chaque cote en pre- mière mi-temps, et de même à la seconde «"""'r». Le match U.S.T.-U.S. Vésinet C'est hier après-midi que. sur le terrain de 1TJ. S.T eut lieu le match qui mit aux prise* l'Union Sportive du Vésinet et l'Union Sportive Tourquen- nolse. Les deux équipe*, très bien composés, fournirent du jeu. L'équipe visiteuse : Izarr. Fontaine. Larcher. Bertln. Brodie. Larrat. Mahé, Cless. colin. D. Pté- tro et Glgoroas L'équipe locale : Debeurne, Baluy, Demis. WulL fart G. Liétar Noël. Lierman. Seccember Lletar Florent. Desrousseanx. Bétlns. Farvacque. La partie fat arbitrée avec compétence et auto- rité par M Olive. Dès la mise en Jeu. Tourcoing pénètre dans le camp de l'U.s.v. et nous fait admirer un très Joli Jeu de natte. Mal* l'équipe dn Vésinet donne sé- rieusement la réplique et «Impos» à son tour - elle fournit un Jeu précis et menace, par deux fols, le* but* adverse» qui ne durent alors leur saint qu't U maîtrise de leur tardlen qui. main- tenant s'affermit et «amble vouloir M révéler. Le Jeu se déroule, de part et d'antre très animé et le* noirs et Mens réussissent k marquer à la 37e minute, oar un shoot Imparable. Et l'on siffle la ml-'emps sans qu'aucun change- ment, tant dan* le Jeu que dans le score, n'tnter- vienn*. Au cours de la te partie, non* voyou* a la 8e minute. Tourcoing marquer un second bot mais Glgomas de TtJ.S.V. qui Veut réSe-tT. marque et sauve ainsi l'honneur nresoue aussitôt Toute fois, son équipe semble fatigué- et le* TbdrqTiennols resté* eu plHne forme, en profitent pour dominer leurs adversaires, les désemparant par leur brio. On le* vit alors faire de magnifi- que» descentes, et s'ils n'obtiennent une ping écla- tante victoire, c'est bien «rue le Vésinet loua alors un Jeu uniquement dé*ra«1f. Après 44 m'nntes. Tourcoing, profitant de l'ab- sence du gardien marque * nouveau et Jusque la fin; qui se siffle sur ee résultat de 3 k 1. le Vé- sinet e«t dominé par l'Union Snorttve Tonrqnen- nofse. dont l'équipe s'avère manifestement la mell- leure. R.C. France bat E. A.C. Tourcoing par 5 buts à 1 Ce fut devant plusieurs milliers de spectateurs que les Joueurs de l'KJt.-C rencontrèrent ceux dn K.C. France en un match amical, sur le terrain du Stade Amédée Prouvost au Crétlnier. L'équipe du R.C F. a Joué Mer en « dilettante • e; s'est fait applaudir S maintes reprises pour (on Jeu de* toute beauté. L'exoeisior a attaqué a plusieurs reprises, mais André Tastin, qui garde maintenant les bols.ru R.C.F. fut intraitable et se révéla encore meilleur keeper que lorsqu'il Jouait cbex les Boyaux Rouges. Racing Club de Calais bat C. A. XIV* de Paris par 4 buts à 2 Le stade Julien Denis a vu se dérouler Mer après-midi un match amical très attrayant, mal- gré le temps assea chaud que nous subissons en- core actuellement. Le Racing a battu, après avoir eu nettement la direction du Jeu, le Club Athlétique du XlVe de Paris, par buts à S. Certes, il reste encore 4 faire dans la ligue attaquant caJatsienne pour que celle-ci soit com- plètement soudée, mais 11 y a un net progrès de- puis l'a ndernier. L'équipe a surtout gagné en poids et en cran et c'est d'un bon augure pour les prochains matches. Les Parisiens avaient amené leur grande équipe mais ne purent Jamais Inquiéter véritablement les Canari* .qui se montrèrent le plu* souvent maître* de la situation, surtout en seconde mi- temps od Paris eut un moment de relâchement, pour se reprendre superbement et remonter a la marqué, a telle enseigne, que l'on pouvait croire au match nul. Mai* dans un sursaut d'énergie Calais virement encouragé reprenait le comman- dement de la partie et t'octroyait un ie but qui annihilait alors les espoirs des visiteurs. Les Parisiens, sans être flgnoleurs », prati- quent un excellent Jeu tait surtout de passes en profondeur aux ailiers, qui sont très rapides. Les arrière* et surtout celui S droite, sont l'j,!.>, Mtttrs Dors d< pair et la ligne de demis est très active. A Calais, manquaient les keepers habituels : Loeher étant toujours blessé et Boscher, actuelle- ment soldat et en manoeuvres a Slssonnes. n'ayant nu obtenir de permission. Ce fut l'allier droit. Bouche, peu habitué 4 cette place, qui tint l'em- ploi de potier, aagré quelques ar*ét» superbes et de bonne tacture U put, cela va de sot. faire oublier les deux « ta » qui évoluent 4 cette place depuis *•* deux dernières faisons. ^ ^ ^ En arrières et en demis 11 y a profsès. Oontt- vtlle se confuse très btan avec Lebon, et Prou ta avec son centre-demi. Brasselet fut le Braseeset des grands Jours. En avant. l'Incorporation ds Berr 4 droite per- mit d'effectuer de Jolies descente». Au centre, La- voye a fait dTndéntables progrès et a un*i qua- lité a revendre, celle du cran et de l'allant. Leqnln, 4 gauche, fut un peu faiblard, et Jac- quot avec un peu plu» d'assurance, pouvait nous marquer deux Jolis but» de plu». TeUe qu'elle est constituée et comme Je le dis plus haut l'équipe a bonne allure et peut envi- sager la lutte dans le championnat sans crainte de se voir, comme l'an damier, reléguer 4 la dernière place. L'inauguration du Stade de l'Union Sportive d'Ascq Nous avons annoncé en son temps. 14J°™»*"<» de l'Union Sportive d'Asco. qui s'est rapidement organisée grocT au «vooefeent de son président ïoooieur. MÏLéon Baratte père, et de son prési- dent actif. M. Gaston Baratte Us. ^_^, pourvu- d'un terrain très gentil et très coquet, quelle s'est empressée de clôture et d'aménager. %!sVd'Asca avait décider d'inaugurer officielle- ment «on stade le dimanche 15 septembre. Une fête avait été prévue au »uccès de laqueUs tcu» collaborèrent. M. Charles Claeye». vice-prési- dent de 1TJ.S.A.. conseUler municipal avait, en A qualité de président ae U Philhermonle d'Ascq. assuré la participation de cette excellente phalange musicale. _ Le beau temps aidant, l'inauguration du Stade l'U S A donna lieu 4 une superbe manifes- tation artistique et sportive qui tut suivie par un millier de spectateurs- Le stade était congroment décoré aux trois cou- leurs ; une tribune avait été édifiée et l'ensemble présentait un coup d'oui des unis agréable. AVANT LSt MATCHEt Deux matches ds football avalent été conclus 4 (jfjtfa occasion. L'équipe juniors d* ITJ.S. d'Ascq rencontrait l'équipe II du F.C. de Tourcoing a 14 h. la. L'U.S. d'Ascq 1A rencontrait ensuite les • Reve- nants • du Racing Club de Roubaix. dans le* rang» desquels avaient pris places les scientifique* soc- cers qui ont nom. Edouard Dunonohelie, van Voo- reu. Dupont. Defanx. etc. Lorsque la Philharmonie d'Ascq tu son entrés sur le Stade une foule nombreuse se pressait dsj4 dans les diverse* enceintes. Les Juniors de l'U.S. Ascq venait de battre la n du F.C. de Tourcoing, par 9 but* 4 t; Sur l'estrade officielle avaient pris place MM. Léon Baratte, président d'honneur ; H. Delattre, adjoint au maire d'Ascq, remplaçant M. Fourmès- traux. empêché ; Ch. Claey». avocat et préaident ds la Musique i Longueval, receveur des Douanes ; Wsllsert, architecte l Lamerand. Truffant, joUvet, etc., etc. Pend»?! > match. M. Henri Joorts. le distingué président de U L.N.F.A.. fit son entré* et le sesta de M. Jooris. oui voulut bteTh™5r¥r « S e fêiS de sa présence, fut très favorablement commenté. —»*:.?• ÏÎ!L"* ,X <»*VEMAMTS| •AT O.S. ASCQ 1A PAR * BUT» 4 * Avant lé match, le capitaine de 1TJ.SA. A Pon- M^Léo^RaratSi '58£ Ùtkla % W»* 'fteurs 4 m. i^on Baratte père, rendant ainsi un oubltr % n ?°!fâJJ£ ,ia r* d'amitié 4 son dévoué"Sresl- 2S2î.r5« i S ? / ' S i . ? " °°«*: M G «ton BaraiS. président actif, remit une belle gerbe au capi- taine du Racing. Et l'on partit. ^ Nous n'entrerons pas dans des détails, le score est *nffl«mment éloquent. A la science consom- roée des Dupont Defaux. Nlchklnd. Van Vooren Edouard paponcnelle. dont les noms sonnent & tUlèrement aux oreules de» sponmen»n^î»teI 1TJ.S.A. opposa an courage remarquable Le jln scientifique des racingmen enthousiasma les spor- tifs qui ceinturaient le coquet stade de nj.sX Nous manquerions au plus élémentaire de nos devoirs de ne pas signaler l'excellent arbitrage de M. Arttet, qui avait repris du service actif en cette occasion. ^^ ""* LA COUPE DE FRANCE Union Sportive de Goulogne 1A bat Association Sportive des Cheminots Boulonnais par 5 bus a 1 .. Hle ï après-midi,, sur le stade de l'Union Spor- îîlî St.'^S^S?"- ,es Perroquets recevaient l'As- sociation Sportive des Cheminots Boulonnais en un niatcb comptant pour la Coupe de France La partie, qui s'annonçait Intéressante, avait attirée quelque* . centaines de spectateurs, parmi lesquels an bon contingent de Calaisiens qui espéraient assister 4 un duel correct. Malheureu- sement la mauvaise ten udes deux équipes sur le terrain a gâché complètement cette rencontre. De football il n'y en eut point. L'A.S.C.B., 4 la suite de son match nul du dimanche précédent 4 Betbune, semblait devoir enlever facilement le match, mais son équipe fut inexistante »ur le terrain et dans tous les compartiments du Jen les Couloonoi» se montrèrent nettement supérieurs sans cependant fournir une partie véritablement agréable. Le» Boulonnai* ont été eh dessous de tout: les avant* et les demis semblaient de vé- ritables notices, n n'y eut aucune phase de beau Jeu et durant toute la première mi-temps, 4 part quelque» échappées boulonnaise, facilement repous- sées pa ries arrières de Coulogne, qui opéraient a leur gui**, le» Coulonnol» turent les maîtres de la situation. A la mi-temps les Perroquets menaient par 3 4 0. DEMANDE* DE MATCHES Equipe 1S as l'Etoile Sportive se Sully contre équipées 1A de S edlvlsion et 1B de Ire division aux datas suivantes : 32. » septembre ; 13. 37 octobre -, 17 novembre ; 8 et 30 décembre ; 13, 19, 38 Janvier; ». 1«, 33 février ; «, 13, Su avril. Adresser les deman- des 4 M. Salomé, «, cité Garanda, a Bully-les-Mlnes. J.S. Ronchinolse demande matches pour son équipe 1A le 77 octobre, 3. 10. 17. 34 novembre. Retour assuré. Equipe Juniors A. e. 13. 30, 37. Mi- nimes t, 13, 30. 37. Ecrire M. Jean Bart, 1. rue Anatole France (Feut-Ronchin). Olympiqu. tperting Halluinol*. — Equipe 1B, 13, 30 37 octobre, 3 et 10 novembre. Equipe 3. 33 septembre, 17 novembre. Equipe 3. 39 septembre, 13, 30 et 37 octobre. 3. 10. 17 et 3* novembre. Equipe • Hicondelles ». 39 septembre, 13 et 37 octobre. 3 et 17 novembre. Junsors A. 37 octobre. 3 et 17 novembre. Ecrire 4 M Paul DelannOy, secrétaire. 81. rue Jean-Jaurès. 4 Halluin. sprint an cours duquel Coplo s'adjuge l'épreuve. Volet le classement : 1er Coplo. sur oyci* OS- NI0OT, soyaui LAROCHE-POuOHOlt; 3e Demey, 3e Mazy; te Otto; 5e Brasseur: Se Hum: Te Do- combe; 8e Kabat; 9s Decocq-, 10e Modragor; 11* Colton, etc. Grâce au dévouement de» organisateurs, la coursa «'est déroulée d'une façon parfaite La plaquette offerte par le • Réveil dn Nord a été gagnée par le Vélo Club Douaislen. qui a trois coureurs classé». V. O. Le 2* Grand Prix de l'Union (juniors) BELLE VICTOIRE DE VAISSOER ALBERT DE L'AMICALE DES ARTS DE ROUBAIX Cette épreuve disputée hier matin dans le quar- tier de l'Union a obtenu un formidable succès. Voici le classement : t. Vaissier A. (A.A.R.) ; 3. Lcmaire (V.O.T.) .8. oeclercq Noël (V.C.T.) : t Duqnesnes Théo (A.A.R) ; S. Cardon Pierre (V.C.T.) ; 6. Vaissier Georges (A-A.R.) ; 7. Holler Ch. (A.A.R.) : 8. Janssens Henri (A A R.) : g Hu- vennes (A.A.R.) ; 10. Décottlgnles Paul (A.A.R ) ; !• Denys R : 13. Gamblont (A.A.R.) ; 13. Van Ecoveren : I». Laforce (C.C.S.U.) : 1S. Verbècke Prosper (C.C.C.L.) ; 1S Flossle (A.A.B..) : 17. Hug- gelter (A-A.R.) : 18. Delcourt Emile : 19 Debrou- vére G. ; 30. Tydgat ; 31. Verbèque Julien, ATHLETISME Soulagement immédiat Smitmwmit Unmtt • 2. ont im ««««IM. /*'*. OM*r *"e» éAmHth* n i * as» or. it la on ~ « et Dr SoMoTôs roanm dm Sut h séstnasverA*. Les Zino-pads du D' Scboll sont en vente notamment A LILLE : Valln, orthopédiste, 36. rue Esquermoise, Chaussures Noria, 197. rue Léoo-Gaca- betta; Grande Pharmacie de Pasta, 1, place de la Gare : Etablisse Créptn, 1. parvis St-Maurioe. A ROUBAIX: Veuve Vleminck, bandagiste, 4L me Pauvrée. — A TOURCOING : Leuwera, orthopédiste, 59, rue Tournai. A DOUAI : Van Appelghem, 34, rue StJacques. — A CAMBRAI : Renard. 8. rue de la Herse. L> " ' '•' | g»rarTqBa. Jl>J-> CYCLISME Le meeting des routes pavées d'HeUemmes a été gagné par Leblond, sur Cycle Génicot, boyaux Laroche-Pouchois Cette tpreuve, disputée hier, a remporté un légi- time succès et les organisateurs, ainsi que le» com- merçants Hellemmous, doivent être tiers du résul- tat obtenu. Le jeune Leblond, du O.C. St-Maurioe, montant une bicyclette CSNICOT, boyaux Lareeha- PouohoK, en a été te brillant vainqueur. Voici le classement : 1. Leblond, sur oyol* QK. NI0OT, boyaus Larooh*-*>ouehoi* ; 3. Van Gehége ; 3. Lambert ; 4. Massabot ; s. Clnquin ; 6- Morelie; 7. Delhaere ; 8. Van Oehege Urbain ; 9. Lebeau ; 10. 6. Van Moerche, etc.. Coplo, sur cycle Génicot, boyaux Laroche-Pouchois, triomphe dans le Circuit de Douai Cette belle épreuve, organisée par le Vélo Club Douaislen, s'est disputée hier dimanche et a obte- nu un magnifique succès. Le départ fut donné boulevard Delbecque 4 31 hommes sur 43 engagés. Le» hommes filent alors en groupe vers Lille, qu'ils atteignent 4 16 h. 15. A c e moment, le crack des cycle» GÉNICOT, Coplo. mène la danse. Lazzy, qui *e trouvait dans la groupe d etéte. crève deux fois et ne rejoint que dans la côte de Bianzy ou Carpentler tait une «bute Sans gravité. A Cambrai Otto mène la danse, suivi 4 50 mè- tres par Brasseur, qui emmène deux homme» dan* sa roue. A la cote de Neuvllle-Salnt-Rémy, les tentative* de fuite se succèdent. C'est d'abord Coplo qui démarre, puis Brasseur tente 4 son tour de faus- ser compagnie 4 ses concurrents. La fin de la course approche et Coplo et Bras- seur redoublent d'efforts. L'allure endiablée 4 laquelle Us mènent le train a vite fait d'égrener le peloton et quatre homme» se présentent au A L IRIS-CLUB ULLOIS La section d'athlétisme était en fête hier 4 l'Iris. La commission procédait 4 la remise des prix aux lauréats de ses championnats. M. Bonté souligna parfaitement le succès des athlètes du- rant la saison, s'attacha tout particulièrement 4 montrer que tout ce qui avait été promis avait été tenu. Daudrumez. au nom du comité, assura la commission d'atblétlsme de toute la sollicitude des dirigeants, et M. Picavez donna lecture du palmarès et tous les athlètes se retirèrent enchan- tés des nombreux prix qui lenr furent distribués. Chez les Postiers Lillois Rien n'est plus rare de -os Jour» que de voir on club prospérant uniquement par le dévouement de ses membres toujours fidèles 4 leurs couleurs. C'est cependant le cas 4 l'A.S. des P.T.T. de Lille où samedi en une fête intime, le Président M Spilmont. 1 émettait aux Champions : Cobon et Prothats, un diplôme. Il les remercia chaleureuse- ment de leur dévouemeat ap club. Il félicita les amateurs MM. Maquet. MarescaùJt et Arnaudet, ainsi que le fondateur de l'actif petit club des P.T.T., M. Itarlier. qui ne ménage Jamais son temps ni son travail pour la prospérité de l'A-S. des P.T.T. do Lille. Le match international du Stade Français de Paris Favorisé par un temps splendide le Meeting du Stade Français a obtenu le succès qu'il méritait. Les atblètes Français so défendirent énergique- ment mais ne purent inquiéter les représentants des Nations étrangères. Voici le* résultats : 10* métro* ouvert 1 1. Geerllng (Allemagne) lé" 3/5 ; 3. Téhard (Haïti) ; 3. Auvergne ; 4. Rous- seau ; S. Cerbonnay. ( 4M métré* haie» 1 1. FacelU (Italie) 53" 3/5 re- cord d'Italie battu ; 2. Peterson (Suède) ; S. Ade- len ; t. Kostrewskl (Pologne). •00 mètres 1 1. Ladoumègee 1*55" 1/5 : 3. S. Mar- tin l'57" 2/5 ; S. tialtier 2'. •sut 4 la Perche : 1. Ramadier 3 m. 85 ; 3, Cré- pin 3 m. 55 -, 3. Polltrer 3 m. 30. l.OM métros : 1. Goin S'19" l.i : 2. Marsaudoa »"30" 4/5 • 3. Béguin : 4. Lericbe. Prix du Stade franeai* lit métro* : 1. Geerllng (Allemand) 19" 3/5 • 2. Cummlmrs (Etats-Unis) : 3. Noël ; 4. Auvergne ; 5. Cerbonnay Lancement du eolds : L Noël 14 m. 21 ; 2. Drecq 13 m. 38 ; 3. Guillemot 12 m. 83 ; 4. Doglanr 'tôt métrés : 1. Lasserre 1-33" 3/5 : 3. Bezace i 3. Maurel : 4. Poncet ; 5. Michoux. 1.S00 métro» > 1. Leduc 4M'' 1/5 ; 3. Lesimpl» 1 3. Trapon : 4. Coignet. 6.00* mètres : 1. Petkiewiei (Pologne) ls 1 » " 2J5: 2 Dartigues ; 3- Bedaii : 4. Marchai. 4M mètres : 1- Moulinet 49" 1/5 ; 3. PeUeraon : 3. Galtier. _. Saut on hauteur : 1. Durdre 1 m. 85 ; 2. PhUip- pon 1 m. si : 3. Guerrier l m. 80. BOXE LES NORDISTES A PARIS La réunion pugUistlque organisée par le Cen- tral Sportlng Club de Paris a donné les résultats suivants : Combats en 8 rounds : Gouy (Nord) bat Mes- sian Paros aux points; Porquet (Paris) bat te- rnaire (Nord) aux points; Desgranges (Paris) bat Charpentier (Nord) par k.-o. au 4e round: Cham- pagnac (Parts) bat Descloux (Nord) par abandon au 4e round. Combats en 10 rounds : Harry Steln (Allemand) hat Chambourg (Français) par k.-o. au 8e round; Faugère (Paris) bat Boitaert (Nord) par abandon au ee round; Dubois (Paris) bat Cherperel (Nord) par k.-o. au 3e rouml. Le Roubaisien Deckmyn a battu le Parisien Ferret Bonne salle au Central Sporting C l u b 011 se disputait la réunion dominicale au cours de laquelle des représentants de ROURAIX étaient opposés à ceux de Paris. Les Nordistes firent grosse impression et marquèrent de nets 'progrès. Deckmvn pour la deuxième fois battit le Parisien Ferret d'une façon plus manifeste que la première fois ; e n effet, celui-ci fut nettement surclassé et l'arbitre dut arrêter le match au 7» round. Voici les résultats : En 6 rounds, Vicotorios bat Pastrol aux points ; en 8 rounds, Denyl net Beauvaix aux points ; Sinteré et Guibert font match nul : en 10 rounds, Detaye (Rou- baix), bat Devaux (Paris) aux points : Gydé aine (Roubaix) et "Clairet (Paris), font match nul ; Denet (Paris) bat Messcmoet (Roubaix) aux points ; Deckmyn (Roubaix) bat Ferret (Paris) par arrêt de l'arbtre au 7* round. Pannekouque, du CP.C. est champion du Nord (poids coq) 1 Le gala d* boxe qu'organisait samedi soir, 4 la Ooooératlve Ouvrière le Club Pugllistique calaisien a remporté un demi-succès. Le Utr,. de champion du Nord pold» coq est rêve- nu 4 Pannekouque. du C.P. Calaisien, son adver- saire. Léo Hermal. s'étant fait disqualifier P°ur coup bas à la Se reprise, où 11 toucha très nette- ment au-dessous de la ceinture. Jusqu'4 es moment le match était très éauiUbré et le» chances des deux boxeurs étaient encore égales, pannekouque. au point de vue boxe pure, s'était nettement montré le meilleur. un autre combat, qui plut énormément au public présent fut celui qui mit en présence Jampton. du C.P C, que nous n'avions pas revu sur le ring En été ' l'alcool de menthe RICQLES est indispensable de la Coopérative depuis plus de 15 mot» et qot manqua de s'octroyer la victoire sur un housm* de) classe, Kld David, champion officiel de la Marinai 1939. Ce fut un combat empoignant de bout est bout où Jampton nous apparut complètement trana» formé. Ut RESULTAT! 1er combat • poids mouches, t round* é> l*j Sabau, 43 kilos, de Arques, bat aux pointe P00411», du CP.C. 43 kilos-, te oomkat : poids mi-lourds. 4 r. de V, Letebvr* 73 k.. de Arques bat aux points Geo Richard, d» CP.C. 73 k. Jo combat : 10 r. de 3*. Jampton du C-P.C, 61 kv 700 et Eid David, de Onnaing, eo klL 700. font match nul. s» combat ; 10 r. de 3', pour le titre de champion/ officiel du Nord (poids coq), Pannekouque. du CP.C. est déclaré vainqueur par disqualification a, «on adversaire. Léo Hermal. 4 la se reprise *» oombat : 4 r. de 3* (poids plumes). Préroe». du CP.C bat Bouhee, de Arques, par k.-o, a*J 4e round. .,*• T V s • r. de 3'. Hochart, du 0.P-C. e» Gnier. d Arques, font match nul 7. oombat : match revanche. 10 r. de f. Coore- man. 67 kil. de Roubaix. bat Thullller du CJUI* par abandon au 7 e round. Thullller s'étant 4 <3 moment cassé deux doigts de la main droite et) portant un coup 4 faux. Fédération Française de boxe COMPETITION POUR LE TITRt DE CHAMPION DEPARTEMENTAL OU NOM» POIDS MOUCHE ^^"" La Fédération française de boxe lait <*•«. naître qu*. conformément a ses règlements. ™e troisième compétilion est ouverte P O T l artl ; ll . U, J on », du J Utr ? <k champion drépaiS mental du Nord poids mouche, à pévûrdti ce jour. 9 septembre 1929 f~s« tin Deux Inscriptions ont d^jà été, wcBemies. celle des boxeurs Kid Hermal (rîia»«ger \ S Les inscriptions seront closes dans undls- lai de quinze Jours et les pronositioi» de- vront ère parvenues au siègt d^laFetteiw tion Française do Boxe, M. lwasjfsrai'5 P*E H 8 neTJ •rS arlS * Va ° t 1<5 " ^ S b r l B La liste des boxeurs inscrits sera alors soumise aux membres du Conseil de la FS dération Française de Boxe rjui auronta d£. signer deux boxeurs parmi Çeui MêSMalSBV Lés boxeurs qui désireront s'inscrire dansi ? et *e ««Pétition devront fêJr/1S?enir3 laFedération Française de rloxe'teuïVpe- SSrLï*oJS* s < )mm e <*e c e n t f r a n c s à litmi de droit d'inscnnlion, lequel sera rembouaS aux topxeurs qud ne seront pas affrêé* AUTOMOBlLlSMq Avis aux automobilistes sc£° a * S P S e,ons .* toUs les aotomobUlstes que es) ^li f ?• n -. en Ia saJle Industrielle U^eri 1.5. cédé 4 la projection d'un film qui Jaûressera tSL les usagers de l'automobile, intitulé rLaiShvvS tlC . n dUJ S bou e ie ««'allumage . A U «uausï m e obiliT , £f ti f n ' t0UWs '« Br4no>i épreuveï'astoS mobiles de la saison seront passées a l'ft^iil Cette manifestation est due 4 ta^nér«tû^aes. Sû« S m,^° U ? ies . Cnan «Plon. Rappelons a n ™ £?, tours que l'entrée est entièrement gratuits ail quune surprise leur sera réservée sratuite eai L E G R A N D P R I X D E MONZA Voici les résultats finals du Grand Prix s tsr Vanti sur Alfa-Roméo, si" 38 "; 3e NUToUrt" *nr Talbot, 33' 15": 3e Momberg. sur sferoédtev' «î£j 4e Brimperi. sur Aifo^oSéo » ' ao'^Bslrlsel.; sur Mercedes, 34' 30'', ^'w RUGB S UNION RACTNG DUIvXXiRO^r&BIALjO IA BAT I R I S C L U B U L L O I S 1 A PAR 11 nj (3 essais dont 1 transformé à 6 p. (2 coup». transformés Le rugby a repris au terrain de la rue Jeaane-i a Arc. 4 st-Pol. devant un très grand nombre d*I fervent du ballon ovale. «"uiure ne». A l'appel des équipes, on constate l'absence du, fameux international Coussarieu, qui devait fÎJ gurer dans le quinze dunlcerquois Il est 15 h. 30 quand le coup de sifflet u t i n f 1 pour le coup d'envoi. U fait bien chaud. Les équipiers t'en n—1 uront. ^^^^ ' Dunkerque. des le début du Jeu. lance see avants. On sent tout son désir d'ouvrir. Les mu lées sont nombreuses et favorables 4 Dunter-i que et ceci lui permet de s'installer dans lés S9| mètres adverses. C'est de 14 que partira une -T- , que bien conduite sur sortie de mêlée. Après de] Jolies passes d etoute la ligne, l'attaque se ter-' niine sur le trols-quart Vidal, qui marquera daasl le coin. Marty tentera la transformation, qu'il SJSJÉ 1 quera de Justesse. Sur la fin de la mi-temps on notera une p*j-tte> très vire des deux équipe»: Ilbert sera touché es] l'objet de soins qui ne tarderont pas 4 le ra- nimer. Aux dernières minutes de Jeu Vandenabettsi tentera, mai» vainement, trois nouveaux poiaasj A la reprise, Dunkerque continue 4 dominer etj a ouvrir constamment le Jeu. A l'Iris on se défend courageusement. Caris* tiaens de l'U.R.D.M. est touché 4 la mâchoire. Après quelques belles initiatives de Vidal, deaj bleu et blanc. l'Iris se met 4 attaquer, n est. arrêté par Malo, qui repart. Ilbert marquant: dans le coin et Marty transformant. Sur fautes de Dunkerque, l'Iris obtiendra successivement detna coups francs, que Duplouy transforme, ce qat? tait six points. Den minutes avant la Un, Vidal, après un rs-t marquable Jeu de passes, recevra la balle et lrav marquer sans que cet avantage soit transforme, . La partie se termine sur 11 points 4 6. Arbitrage énergique et très coté de U, Bouché* quan. Les championnats des P. T. T- Au stand de la garnison de Lille, plus de trente postiers disputèrent dimanche leurs chances. Après dn sévères luttes, le classement t'établit comme) suit : Tir Ltbol 4 MO m. t I. Idrto ; S. Espel - 3. Tnest, ten ; 4. Bas ; 5. Coustenoble  Crêpé : 7. Coboats, 8. Lévèque ; S- Cuérlneau ; 10. protbais i 11* prince, etc. on regretta l'absence des favoris, retenu* par Isa exigences du service. tJgUlLLeTON OU 16 SEPTEMBRE 1929.— No S J'eus un instant l'idée de me précipiter h, travers le massif de rnododendrons, de cou- rir vers celui qui implorait notre pitié ; mats un reft&rd d e Delhia me cloua sur place, et je demeurai inerte, sans volonté, devant les deux grands yeux noirs de ma maîtresse. Aujourd'hui, 4 plusieurs-années de dis- lance, j e m e reproche encore ma lâcheté, tai honte d'avoir cédé a ss volonté de lelhia ; mais j'étais alors sous le charme de cette fille et, comme je l'ai déjà dit, elle avait en elle un tel pouvoir matmétiaue que je me sentais veule et lâche dès qu'eue assit pur moi ses prunelles étincelantes. Noos continuâmes notre chemin et arri- vâmes à l a pagode sur le seuil de laquelle nous lûmes reçus par un vieux brahmme A figure sournoise. Il nous introduisit dans le temple «rui était loin d'être aussi riche que celui de Rbacalzar. Delhia s'a+wnouilla devant l'idole, et )e rimitai, tandis que derrière nous, le prêtre indien marmottait de vagues prières. Quelques Indiens qui se truerraT la paeode s'étaient, par respect, dès que fions avions paru. Lorsoue. ftsilna eut fini de. jjjrJBr, tourna vers moi. J'attendais ce moment avec impatience, c a r r i e n n e m'était plus désa- gréable que les simagrées auxquelles j'étais oblige de me livrer pour ne pas éveiller la méfiance des brahmiues. Nous sortîmes. Delhia ne paraissait p l u s s e souvenir de l'incident qui s'était produit, l'instant d'à» vanL Elle avait repris sa mine souriante et affectait une gaieté qu'elle était loin d éprou- ver peut-être. A la porte de la pagode, un vieillard se précipita vers nous, se confondit en salama- lecs, puis dit a Delhia : — Belle princesse, toi qui brilles comme une pierre précieuse au milieu de la tribu des Kalabhaï, toi qui respectes comme 'eu ton père la grande loi de Brahma, veux-tu connaître l'avenir ? Delhia eut un mouvement de recul. — L'avenir... fit-elle... A q u o i b o u t Est- on jamais sûr d'ailleurs de connaître l'avj». nirf... Qui donc pourrait lire sur le Kitab (1) du Dieu ? — Moi, répondit le vieillard... Et il s'inclina de nouveau. Cétait an Indien très âgé, vêtu d'habits sordides. II était coiffé d'un turban cras- seux et la longue barbe qui lui recouvrait la poitrine était émaillée de mies de pain, de déchets de paille et de brins d'herbe. Il répandait autour de lui une odeur infecte et fon voyait que. depuis des années, il avait renoncé aux plus sommaires ablutions. Ses jambes nues étaient couvertes d'ulcères et ses pieds, d'un r o u g e -vif, emmaillottés de linges malpropres, étaient horriblement gon- fles. Cet être répuenant était on fakir. <U. U n e Delhia était impressionnée malgré tout par ce singulier personnage qui jouissait, parait- il, d une grande autorité dans la tribu. Tous le respectaient à l'égal d'un dieu et certains prétendaient qu'il était certainement la u reincarnation » de Sivâ, le grand prophète. Il faut, comme moi, avoir vécu longtemps dans l'Inde pour se faire une idée du pou- voir et de la puissance que les fakirs exer- cent sur les populations. Il faut dire aussi que leur vie est celle de saints et qu'ils suivent avec une obstination farouche les règles impitoyables de la reli- gion des yoggis. Les fakirs sont des êtres quasi surnatu- rels dont la vie inutile est cependant le plus bel exemple de courage et de résignation qui s e p u i s s e imaginer. Ils doivent supporter avec patience les pa- roles injurieuses, ne mépriser personne et ne point garder rancune à ceux qui leur ont fait du mal. Ils doivent effacer leurs propres péchés en s'entratnant à retenir leur respi- ration, expier leurs fautes en se livrant au recueillement le plus absolu, et réprimer tous leurs désirs en leur imposant un frein. Le fakir qui est parvenu par une longue patience, à modifier sa constitution physi- que, au point de ne plus avoir rien de com- mun avec le reste des mortels, reçoit de Sivà le pouvoir de lire dans l'avenir et d'é- voquer les Entités supérieures de l'Astral Il n e «Voit « v o i r pour vêtement qu'un lam- beau d'étoffe, doit vivre «n mendiant, sans feu, logis on abri. Ces hommes possèdent aussi la faculté ds lire dans l'esprit d a u t r u i et d'exercer sur leurs semblables un pouvoir absolu, -celui, par exemple, de les suggestionner sans con- tact, sans même le Secours du regard. Jr I E n , « t r a m e - Isrur b o t tsgyd ^ l / r t y ^ r j t , au. - ;U " I ,èv#c- Je» - . - «UIT» nzafn développement infini de* l'intelligence et, de la volonté. Sont-ils sincères ? Sont-ils d'habiles simu- lateurs abusant de la crédulité humaine? Je n'ai jamais pu me prononcer avec cer- titude sur ce point. Tout ce que je puis dire, c'est que moi, qui suis assez sceptique et ne crois guère aux miracles, j'ai vu des fakirs accomplir des choses tellement extraordinaires que je suis bien obligé de réserver mon opinion. Le vieillard dont nous venions de [aire la rencontre, Delhia et moi, attendait toujours dans une attitude respectueuse que la belle Indienne se décidât. Delhia ne semblait guère curieuse de con- naître 1 avenir, et eue avait peut-être pour cela une raison sérieuse, mais il est a pré- sumer que la volonté du fakir fut plus forte que la sienne, car elle dit tout à coup : — Eh bien, soit..., parle, je l'écoute. L'homme s'assit a terre, les jambes croi- sées, dans la position de ces bouddhas que l'on représente en statuettes, et, après avoir agité sa tête d'une façon bizarre, posa ses deux mains sur sa poitrine et commença de parler. Ce furent d'abord de vagues paroles, un bredouillement confus dans lequel les noms de Siva, Burà, Khuda et Vichnou revenaient à chaque instant; puis il nait un air ins- piré. Ses yeux ternes brillèrent d'un feu étrange et sa physionomie, tout à l'heure banale et commune, m'apparut soudain com- me métamorphosée et empreinte d'une ma- jesté extraordinaire. Delhia, que fobservais attentivement, semblait affreusement troublée. Il était cer- tain que c'était à contre-coeur qu'elle avait accepté la proposition, du vieiHard PllujbUr/£*t^^ « »* c-nuet nir et n'avait-elle pas été très-satisfaite de ce qu'on lui avait dit. Fanatique et croyante comme elle l'était, tout ce qui touchait au grand mystère de la vie devait l'impressionner plus que de rai- son. — Fille de Brahma, commença le vieil- lard, les Dieux Indiens que nous révérons et qui président aux destinées des chétifs humains t'ont comblée dès le berceau, de tous les dons qui peuvent échoir aux êtres faibles. Ils t'ont donné la beauté, la grâce et la richesse. Sur ton front pur comme l'eau de cristal qui coule des som- meLs du Penjânâ, ils ont mis la lumière ; dans tes veux noirs, profonds comme le ciel, ils ont mis l'intelligence, et dans ton coeur ils ont insufflé le courage et la bonté. Le charme divin est en toi, mais ton ame, re- belle comme une panthère farouche, n'a pas toujours su se plier aux lois supérieu- res Tu as prié le Dieu, tu as observé rigou- reusement la règle inflexible du Nirvana, mais ton esprit ua pas encore su se dégager des joies matérielles de la vie. Le vieillard continua avec plus d'autorité: — T u n'as pas su refréner tes sens, et c'est pour cela que tu souffres aujourd'hui. Toi qui avais été nourrie des grands pré- ceptes de Brahma, qui avais en partage tous les biens qu'une créature humaine puisse désirer, tu as voulu connaître le bonheur terrestre. Au lieu de t'élever com- me la colombe aux ailes soyeuses, tu es restée dans les brouillards qui courent le soir à ras du sol. Tu pouvais être une di- vinité, tu es demeurés femme e t p o u r at- teindre les hauts sommets où brille la li- mière divine, tu devras encore parcounr de nombreux stades... Jd le fakir s'arrêta, nos, -eo H«„ T m a | M K sur son front, comme s'il voulait cocnpriW mer les idées qui se pressaient en fouler dans sa tête, puis il se renversa trois foi* en arrière, décroisa s e s j a m b e s e t s e levai d'un bond avec une vigueur q u i m e sua>- prit chez un vieillard débile. Alors, tenant Delhia s o u s l a f l a m m e dsi son regard, il articula lentement : Il te sera beaucoup pardonnné dama le s-^our dos élus, parce que t u a u r a s é*8 ferme dans tes croyances e t q u e t u auras en toutes choses observé la loi de Khuda 3 mais la félicité suprême, celle qui donna aux âmes la paix souveraine, tu ne la connaîtras point sur cette terre. Lborisoii est noir..., le soleil est caché derrière dtj gros nuages se '1res, l'étoile bleue nev brille pas encore. J'ai dit.. — M a i s l'avenir ?... l'avenir ?... suppliât Delhia en proie à un trouble étrange. J'ai dit. répéta le fakir en courbait» la tête. Ce sont les paroles mêmes de Sivft oui viennent de sortir d e m a touche... A! toi de les interpréter comme elles doivent l'être... Que Khuda, notre maître à tous* t'ait en «a haute protection. Et le vieillard «'en alla d'un pas chance, lant, après nous avoir salués de la main. Delhia était toute trouMée. Je passât mon bras sous le sien et comme ma main! s'était appuyée s u r s a poitrine. Je sentis son coeur qui battait violemment. Pourquoi, lui dis-je, attacher queloutt Importance aux paroles de cet homme T-, C'est un vieux fou... et la meilleure preu. ve c'est qu'il n'a pas pu vous prédire rave- nir. Il a prononcé des paroles vagues, 4 double sens, j'aurais D U . e n faire autan* que lui». U ••

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Une POLITIQUE Us L'EAU m.

Cette étude aérait incomplète ai noua négli-ipons de parti-pris le» objections qu'élèvent contre les adduct ions d eau potable leurs détrac­teurs , d'ailleurs de p lus en plus rares.

« Rien ne presse, murmurent quelques-uns. Attendons que le Gouvernement s e montre , à ce t égard, aussi généreux qu'en matière d 'é leo îrificalion >.

11 e s t exac t que celle-ci a été particulièrement favorisée depuis quelques a n n é e s et qu'elle a tire l e s plus gros morceaux de l'assiette budgé­taire. Mais il n en reste pas moins qu'un grand effort vient d'être lait pour les adduct ions d'eau et qu'il serait maladroit de refuser quel­q u e chose sous le prétexte qu'on ne v o u s otfre p a s t o u t C'est la façon sûre d e n'avoir r ien. Ces bouderies ne sont pas de mise e n face d'un p r o g r è s social 4 réaliser.

Ce sont généralement les m ê m e s mécontents cjui ins inuent : « Mais o ù prendre l'eau T Nous n ' a v o n s pas de source a dix l ieues a la ronde.»

Erreur : de la bonne e a u . U y e n a presque partout. Si el le ne jaillit pas toujours, à fleur de terre, e l le n'en existe pas moins en nappes souterraines à d e s profondeurs variables. S'il faut aller puiser d a n s le col le précieux liquide, l e moteur électrique s'en chargera.

D'autres esprits onagrins se plaignent de c e que l'adduction favorisera l a principale agglo­mération et laissera a l'écart le hameau qu' i ls habitent. C e s t possible ; mai s qu'i ls s e rassu­rent. U leur, sera loisible de capter l'eau d'une source qu'i ls conduiront chez eux ou de pren­dre sur l'adduction principale un branchement qui leur apportera l'eau. Ces « a m e n é e s d'eau • sont également susceptibles d'être subvention­nées lorsqu'elles o n t pour but d'alimenter une œuvre d'intérêt général : fontaine, lavoir, e tc .» Seulement, au lieu de l'être sur les ressources du Pari Mutuel, e l les le sont sur les crédits budgétaires, et a u lieu d e dépendre d e s Ponts et c h a u s s é e s , eJies dépendent d u Génie rural. Voila tout.

Une autre œuvre d'hygiène bénéficie d'impor­tantes subvent ions du ministère de l'Intérieur : t e s Bains-Douches. L'initiative de c e s entrepri­s e s est habituellement réservée aux Caisses d'Epargne : le Gouvernement les autorise, l es invite même a employer la fortune personnel le

r constituent • l eurs bonis » à la création c e s établ issements populaires. Rien n'es t

p lus sain pour las travailleurs que de pouvoir débarrasser leurs corps fatigués de la sueur et des impuretés qui s'y attachent. L'utilité de l a propreté individuelle n'avait pas échappé aux Romains : l e s ruines de leurs Thermes font encore notre admiration. Qu'attendons-nous p o u r les imiter T

A

L'amélioration de l 'hygiène publique e n France ne se borne pourtant pas aux utilisa­t ions de l'eau abondante et saine, si précieuses qu'elles soient. L'assainissement des agg lomé­rations, de la grande vi l le 4 la modeste bour-f a d e , pcse encore l' important problème d u

out-a-fEgout. La loi de 1908 rend bien théoriquement res­

ponsables de l 'hygiène des cités les maires qui l e s administrent : m a i s ceux-ci ne s e rendent p a s toujours compte de l'insalubrité de leur commune . Ils dorment, c o m m e les électeurs, BUT le mol oreiller de la routine jusqu'au jour o ù le g las d'une épidémie soudaine les réveil le tragiquement.

C e s t que , hélas I les dangers d'infection son t partout. En maintes localités, tes cabinets d'ai­s a n c e sont restés ce qu'i ls étaient au m o y e n â g e ou a peu près. Aux exhala i sons putrides qu' i ls dégagent , les a m a s de fumier, les m a r e s A purin jo ignent les leurs. Les dépôts d'ordures ménagères leur font concurrence au seuil d e s portes. Quant aux eaux résiduaires d e s éviers, e l l e s se déversent 4 la bonne franquette d a n s ta rue sous les pieds, quand c e n'est pas sur t a tète des passants . Ces fétidités forment d es c loaques pestilentiels. Les touristes étrangers «fui contemplent cette insalubrité o n t pe ine a s ' imaginer qu'ils sont bien au pays de Pas­teur, une réaction est d'autant p lus nécessaire que la science nous fournit les m o y e n s mécani ­q u e s e t chimiques d'évacuer e t d'aseptiser c e s Immondices , au lieu d'en empoi sonner l e s c h a m p s ou les rivières.

Les municipalités réso lues à prendre les me­sures d'assainissement indtepensatotes au bien-«tre et a la santé des habitants reçoivent •«ga­i e m e n t des subventions importantes du minis­tère d e l'Intérieur. Il leur suffit d'adresser à t a Préfecture d e s dossiers a n a l o g u e s A c e u x qu 'ex igent les adduct ions d'eau.

S i un grand nombre d e v i l les sont assa in ies , trop do c o m m u n e s rurales n e l e sont pas en­core . 11 faut v aviser. Le p lus grand péril qui m e n a c e aujourd'hui l a France, c'est la déser­t ion de3 campagnes . Un pays où l 'agriculture nourricière cesserait sa production serait bien près de mourir. Or, il est un m o y e n d'arrêter, e n partie au moins , l 'exode vers les vi l les d u travail leur rural : c'est d e lui d o n n e r s u r place , a u vi l lage m ê m e , 1s confort q u i va demander Imprudemment aux faubourgs d es c i tés . A l'air respirable que lut prodigue la Nature, joignez l'eau potable : e l le apporte l a santé c o m m e i'électricité apporte la lumière. Mettez-les en­s e m b l e s o u s l a m a i n d e la ménagère e t v o u s rattâoherez * sa maison par le bien-être qu'elle « trouvera. C'est encore la meil leure méthode de sauver nos c h a m p s de l 'abandon. La politi­que de l'eau et de l 'hygîene — c'est tout u n — agrandit chaque jour s a place d o n s l a politique

B a l i 0 n , l t e - FLEURY.

|AJOUEMÉE .SPORTIVE FOOTBALL-ASSOCIATION

TRAGIQUE INCENDIE

DANS UNE MINE _i

3 ouvrier* tué* — S autre* ble**é* Hier m a t i n , v e r t 4 heure*, un i n c e n d i e t ' e s t

d é c l a r e d a n s le» b â t i m e n t s d'extract ion d u p u i t s Sa in t -Char le s , de* houi l l ère» d e l a P e t i t e Roesel le (Mose l le ) .

A la au l t s de cet i n c e n d i e , u n e e x p l o e l o n « o n t e n i g n o r e M* oaueas t ' e s t p r o d u i t s d a n s le p u i t t . Les q u a t r e c e n t s m i n e u r * q u i tra­v a i l l a i e n t a u f o n d o n t p u r e m o n t e r t a n s dlf . f leurie ; troi» o u v r i e r s o n t é té t u é s par I e x . p l o t i o n e t c inq o n t é t é b le t te* .

L a Direct ion d s l a m i n e fa i t r e m a r q u e r qu' i l no « a g i t p a t d 'un o o u p d o g r i s o u , ni d u n e e x p l o s i o n de p o u s s i e r , m a l t d'un acc i ­d e n t p u r e m e n t i n d u s t r i e l .

Les résultats des matches du 15 Septembre

COUPE DE FRANCE S.O. Hall ion : 2 — F . C Marquette : 4 . V.S. Eecaudain : 1 — U.S. Eiévin : 3 . Dacny-Sports : 4 — Olympique Menrille : u. O. Amandinois : 1 — C A . v a l e n c i e n n e s ; I . U.S. Ham : 5 — R.C. Bohain : 0. S . Amiénois : s — V . C Beauval : 3.

Matches amicaux U.S. Tourcoing : 3 — U.S. Vésinet : 1. S.C. Fivote • * - - GJC Par is : 1. I .C Lil lois : 3 — S t a d e Français : L S J C Lourcbes : S — R.C. Roubaix : 5. Denain A . C : 1 — U.R.D. Mak> : 4. E.A.C. Tourco ing : 1 — R . C France : 5, O. Sj l lo is : 0 — A.S . Strasbourg : t . UJ5. Boulogne : 5 — D.H. Londres : 3 . Amiens A . C ; 2 — R.S. Paris : 2 . J . S . Pérencbies : 2 — R . C Calais *N.) : L S.C. Aniche : 1 — E.S . Bully : 1. S . Béthune : 4 — J.A. ArmenUéres : 3 . A . C Cambrai : i _ S.O. Paris : 1. R . C Calais : 4 — C A . XIV : 2 . S . C Abbeviue : 1 — U.S.A. Mons : I . R.C. Lens : 5 — U.S . QueviUy : 2. A m i e n s A . C (M.) : * — U.S . B n i a y : 1.

Les championnats de Belgique R C Gand : 0 — C S . Bruges : 1. l'.C. Bruges : 0 — R . C Mair ies : 3 . FJC. Mehnes : 4 — 'Twtng CB. : 5 , Berckem : 3 — R . C Bruxel les : 1. S . C Andenteoht : 0 — Antwerp : 1 , U.S. SW3Iles : 0 — Becrsoboot : 2 . Cierscbe S . K. : 1 — Standard C.Û. : 2.

Le classement J. G. N . P . P o i n t s

S . C L iège 3 3 0 0 6 Antwerp. ... = . . . .„ 3 3 0 0 6 Beerscboot . .« 3 3 0 0 6 Dar ing „ 8 3 0 0 6 b . S , St-GlUes.....* 3 2 O 1 4 R. C Malines . . . .„ 8 2 0 1 4 U e r s c b e S . K. „ 3 l 1 H 3 C S . Bruges 3 1 1 1 3 R. C Bruxel les . . . 3 1 0 2 | Berohem 3 1 0 8 s St. C Bruges 3 0 1 e 1 S . C Anderlecbt . . . 3 0 0 3 0 F . C Matines 3 0 0 3 0 R. C Gand il 0 0 3 0

A. S. Strasbourg bat O. Lillois par 2 buts à 0

Cette rencontre s'est déroulée devant deux mille spectateurs par une température excellente. Dans l'ensemble, l'olympique Lillois, bien que battu, a eu un gros avantage territorial, maie n'a pu abou­tir en raison du manque d'efficacité de tes avants, et surtout de la superbe exhibition fournie par le gardien de but de Strasbourg, qui fut toutefois servi par la chance a plusieurs reprises.

A 16 h., M. Bouture, d'Amiens, donne le coup d'envoi et la première mi-temps, qui fut très égale se termine par un score mil.

A la reprise. l'Olympique LllloU domine et veut marquer. Rten De passe et le gardien de but de Strasbourg se fait justement applaudir pour ses nombreux arrêts impeccables. Sur une échappée des avants strasbourgeois. l'ailler gauche passe en retrait à Maschlnot qui marque à ras de terre. Dix minutes avant la fin de la partie, l'allier gau-cbe de Strasbourg, sur une longue passe de Tinter droit, bat Vandepntte mal placé.

Les meilleurs furent : A Strasbourg. le goal-keeper. Banlde et Maschlnot : a l'Olympique Lil­lois. Cheuva. Ttoéry et Vandeveloe. Bon arbitrage de If Bouture.

S. C. Fivois bat Gallia de Paris par 4 buts à 1

_ Cette rencontre amicale avait attiré a u terrain vlraot. environ 1.500 personnes. Le Jeu fut plai­sant, très souvent équilibre, pote tournant, par lnlenmoances . t l'avantage de Flves. c e s t d'aU-iears ee qui a permit aux Srjortingmen d> traduire par. deux fois en première mi-temps, scnetlens « M cet honneur, tout d'abord t la suite d'un corner et sur pesa» d'Henno. puis sur un service Impec­cable de Deschamps. Le repos arrive sor ce résul­tat. A la reprise, le Gallia, par son demi-centre, qui ee tft admirer pour aa classe, marqua un but, mais ScheUens répondit du tac au tac et porta ensuite la marque a quatre. La fin fut sitfMe sur ce score, tout * l'honneur du S.C.F. Avant le mat-cbe. le capitaine de P a n s avait eu l'agréable plai­sir de recevoir de son collègue Fivois, une superbe gerbe de fleurs.

L'U. S. Boulogne bat Dulwich Hamlet Football Club par 5 à 3

Très belle partie disputée a toute allure par les deux équipes et qui noue permit, surtout d , l a part des insulaires, d'admirer de belles phase* de football. Le seul regret c'est que le public ne tut pas assez nombreux et 11 est regrettable que les efforts des dirigeants Usbistes pour nous offrir des beaux matches amicaux demeurent ainsi stériles. DetaWre qui était essaye a l'extrême droite fit

a i lever d erideau les Cheminot* de Longueau battirent les réserves Boalonnalsee par 4 buts à s. Bon arbitrage de M. Richard, pour ces deux matches.

Amiens A. C. et Red Star de Paris ont fait match nul par 2 buts à 2

C'est devant t à 5.000 personnel que «'est dé­roulée cette Importante rencontre. Elles ne fuient par déçues, car le match fut extrêmement Inté­ressant tant par l'allure active des opérations que par la qualité du football pratiqué. En effet, pendant a n eneure et demie les deux teams se livrèrent un beau duel q u tourna le plus sou­vent a l'avantage de* Amiénois. La ligne d'avants des Picards lut particulièrement brillante et ton leu a maintes fols enthousiasmé. Heureusement que le gardien du R.S.. Thépot, et l'arriére Dtaa turent A la hauteur de la situation, autrement la victoire ne pouvait échapper a 1A.A.C. Cet éloge de la ligne offensive ne saurait pourtant être pro­longé pour le» demis. Seul* deux hommes tien­nent le coup : Biu e t Braun, mais a u demi-centre, rien l II est vrai que le nouveau Joueur

suite le remède salutaire.' Quant ' à l à _ avec Wallet. qui s'adonne chaque dimanche ma­tin a la criasse, e l le est encore nouante et Michel comme keeper. n'inspire pat confiance comme sé­curité. Il est 4 espérer que ce» point* faible* se fortifieront sou* peu. car n'oublions pat que dimanche Amient loue l'Olympique Lillois pour le Championnat du Nord, et a l o r s —

Bref, un but fut rentré de chaque cote e n pre­mière mi-temps, e t de même à l a seconde «"""'r».

Le match U.S.T.-U.S. Vésinet C'est hier après-midi que. sur le terrain de 1TJ.

S.T eut lieu le match qui mit aux prise* l'Union Sportive du Vésinet et l'Union Sportive Tourquen-nolse.

Les deux équipe*, très bien composés, fournirent du jeu.

L'équipe visiteuse : Izarr. Fontaine. Larcher. Bertln. Brodie. Larrat. Mahé, Cless. col in . D. Pté-tro et Glgoroas

L'équipe locale : Debeurne, Baluy, Demis. WulL fart G. Liétar Noël. Lierman. Seccember Lletar Florent. Desrousseanx. Bétlns. Farvacque.

La partie fat arbitrée avec compétence et auto­rité par M Olive.

Dès la mise en Jeu. Tourcoing pénètre dans le camp de l'U.s.v. et nous fait admirer un très Joli Jeu de natte. Mal* l'équipe dn Vésinet donne sé­rieusement la réplique et «Impos» à son tour -elle fournit un Jeu précis e t menace, par deux fols, le* but* adverse» qui ne durent alors leur saint qu't U maîtrise de leur tardlen qui. main­tenant s'affermit et «amble vouloir M révéler.

Le Jeu se déroule, de part et d'antre très animé et le* noirs et Mens réussissent k marquer à la 37e minute, oar un shoot Imparable.

Et l'on siffle la ml-'emps sans qu'aucun change­ment, tant dan* le Jeu que dans l e score, n'tnter-vienn*.

Au cours de la te partie, non* voyou* a la 8e minute. Tourcoing marquer un second bot mais Glgomas de TtJ.S.V. qui Veut réSe-tT.

marque et sauve ainsi l'honneur nresoue aussitôt

Toute fois, son équipe semble fatigué- et le* TbdrqTiennols resté* eu plHne forme, en profitent pour dominer leurs adversaires, les désemparant par leur brio. On le* vit alors faire de magnifi­que» descentes, et s'ils n'obtiennent une ping écla­tante victoire, c'est bien «rue le Vésinet loua alors un Jeu uniquement dé*ra«1f.

Après 44 m'nntes. Tourcoing, profitant de l'ab­sence du gardien marque * nouveau et Jusque la fin; qui se siffle sur ee résultat de 3 k 1. le Vé­sinet e«t dominé par l'Union Snorttve Tonrqnen-nofse. dont l'équipe s'avère manifestement la mell-leure.

R.C. France bat E. A.C. Tourcoing par 5 buts à 1

Ce fut devant plusieurs milliers de spectateurs que les Joueurs de l'KJt.-C rencontrèrent ceux dn K.C. France e n un match amical, sur l e terrain du Stade Amédée Prouvost au Crétlnier.

L'équipe du R.C F. a Joué Mer en « dilettante • e ; s'est fait applaudir S maintes reprises pour (on Jeu de* toute beauté.

L'exoeisior a attaqué a plusieurs reprises, mais André Tastin, qui garde maintenant les bo l s . ru R.C.F. fut intraitable e t se révéla encore meilleur keeper que lorsqu'il Jouait cbex les Boyaux Rouges.

Racing Club de Calais bat C. A. XIV* de Paris par 4 buts à 2

Le stade Julien Denis a vu se dérouler Mer après-midi un match amical très attrayant, mal­gré le temps assea chaud que nous subissons en­core actuellement.

Le Racing a battu, après avoir e u nettement la direction du Jeu, le Club Athlétique d u XlVe de Paris, par buts à S.

Certes, i l reste encore 4 faire dans l a l igue attaquant caJatsienne pour que celle-ci soit com­plètement soudée, mais 11 y a un net progrès de­puis l'a ndernier. L'équipe a surtout gagné en poids et en cran et c'est d'un bon augure pour les prochains matches.

Les Parisiens avaient amené leur grande équipe mais ne purent Jamais Inquiéter véritablement les Canari* .qui se montrèrent le plu* souvent maître* de la situation, surtout en seconde mi-temps od Paris eut un moment de relâchement, pour se reprendre superbement e t remonter a la marqué, a telle enseigne, que l'on pouvait croire au match nul. Mai* dans un sursaut d'énergie Calais virement encouragé reprenait l e comman­dement de la partie et t'octroyait un i e but qui annihilait alors les espoirs des visiteurs.

Les Parisiens, sans être • flgnoleurs », prati­quent un excellent Jeu tait surtout de passes en profondeur aux ailiers, qui sont très rapides. Les

arrière* et surtout celui S droite, sont l'j,!.>, Mtttrs Dors d< pair et l a l igne de demis est très active.

A Calais, manquaient les keepers habituels : Loeher étant toujours blessé et Boscher, actuelle­ment soldat et e n manœuvres a Slssonnes. n'ayant nu obtenir de permission. Ce fut l'allier droit. Bouche, peu habitué 4 cette place, qu i tint l'em­ploi de p o t i e r , a a g r é quelques ar*ét» superbes et de bonne tacture U put, cela va d e sot. faire oublier les deux « ta » qui évoluent 4 cette place depuis *•* deux dernières faisons. ^ ^ ^

En arrières e t e n demis 11 y a profsès. Oontt-vtlle se confuse très btan avec Lebon, et Prou ta avec son centre-demi. Brasselet fut l e Braseeset des grands Jours.

En avant. l'Incorporation ds Berr 4 droite per­mit d'effectuer de Jolies descente». Au centre, La-voye a fait dTndéntables progrès et a un*i qua­l ité a revendre, celle du cran et de l'allant.

Leqnln, 4 gauche, fut un peu faiblard, et Jac-quot avec un peu plu» d'assurance, pouvait nous marquer deux Jolis but» de plu».

TeUe qu'elle est constituée et comme Je le dis plus haut l'équipe a bonne allure et peut envi­sager la lutte dans le championnat sans crainte de se voir, comme l'an damier, reléguer 4 l a dernière place.

L'inauguration du Stade de l'Union Sportive d'Ascq

Nous avons annoncé en son temps. 14J°™»*"<» de l'Union Sportive d'Asco. qui s'est rapidement organisée grocT a u « v o o e f e e n t de son président ï o o o i e u r . M Ï L é o n Baratte père, et de son prési­dent actif. M. Gaston Baratte U s . ^ _ ^ ,

pourvu- d'un terrain très gentil et très coquet, q u e l l e s'est empressée de clôture et d'aménager. % ! s V d ' A s c a avait décider d'inaugurer officielle­ment «on stade le dimanche 15 septembre.

Une fête avait été prévue a u »uccès de laqueUs tcu» collaborèrent. M. Charles Claeye». vice-prési­dent de 1TJ.S.A.. conseUler municipal avait, en A qualité de président a e U Philhermonle d'Ascq. assuré la participation de cette excellente phalange musicale. _

Le beau temps aidant, l'inauguration du Stade d» l'U S A donna lieu 4 une superbe manifes­tation artistique et sportive qui tut suivie par un millier de spectateurs-

Le stade était congroment décoré aux trois cou­leurs ; une tribune avait été édifiée et l'ensemble présentait un coup d'oui des unis agréable.

AVANT LSt MATCHEt Deux matches d s football avalent été conclus 4

(jfjtfa occasion. L'équipe juniors d* ITJ.S. d'Ascq rencontrait

l'équipe II du F.C. de Tourcoing a 14 h. la. L'U.S. d'Ascq 1A rencontrait ensuite les • Reve­

nants • du Racing Club de Roubaix. dans le* rang» desquels avaient pris places les scientifique* soc-cers qui ont nom. Edouard Dunonohelie, van Voo-reu. Dupont. Defanx. etc.

Lorsque la Philharmonie d'Ascq t u son entrés sur le Stade une foule nombreuse se pressait dsj4 dans les diverse* enceintes.

Les Juniors de l'U.S. Ascq venait de battre la n d u F.C. de Tourcoing, par 9 but* 4 t;

Sur l'estrade officielle avaient pris place MM. Léon Baratte, président d'honneur ; H. Delattre, adjoint au maire d'Ascq, remplaçant M. Fourmès-traux. empêché ; Ch. Claey». avocat et préaident d s la Musique i Longueval, receveur des Douanes ; Wsllsert , architecte l Lamerand. Truffant, joUvet, etc., etc.

Pend»?! > match. M. Henri Joorts. le distingué président de U L.N.F.A.. fit son entré* et le sesta de M. Jooris. oui voulut b teTh™5r¥r « S e fêiS de sa présence, fut très favorablement commenté.

— » * : . ? • Ï Î ! L " * , X <»*VEMAMTS| •AT O.S. ASCQ 1A PAR * BUT» 4 * Avant lé match, le capitaine de 1TJ.SA. A Pon-

M ^ L é o ^ R a r a t S i '58£Ùtkla% W » * dé 'fteurs 4 m. i^on Baratte père, rendant ainsi un oubltr %n?°!fâJJ£,iar* d'amitié 4 son dévoué"Sresl-2 S 2 î . r 5 « i S ? / ' S i . ? " °°«*: M G « t o n BaraiS. président actif, remit une belle gerbe au capi­taine du Racing. Et l'on partit. • ^

Nous n'entrerons pas dans des détails, le score est *nff l«mment éloquent. A la science consom-roée des Dupont Defaux. Nlchklnd. Van Vooren Edouard paponcnelle. dont les noms sonnent & tUlèrement aux oreules de» s p o n m e n » n ^ î » t e I 1TJ.S.A. opposa an courage remarquable Le j ln scientifique des racingmen enthousiasma les spor­tifs qui ceinturaient le coquet stade de n j . s X

Nous manquerions au plus élémentaire de nos devoirs de ne pas signaler l'excellent arbitrage de M. Arttet, qui avait repris du service actif en cette occasion. ^ ^ ""*

LA COUPE D E FRANCE U n i o n S p o r t i v e d e G o u l o g n e 1 A b a t A s s o c i a t i o n S p o r t i v e d e s C h e m i n o t s

B o u l o n n a i s p a r 5 b u s a 1 . . H l e ï après-midi,, sur le stade de l'Union Spor-î î l î St.'^S^S?"- , e s Perroquets recevaient l'As­sociation Sportive des Cheminots Boulonnais en un niatcb comptant pour la Coupe de France

La partie, qui s'annonçait Intéressante, avait attirée quelque* . centaines de spectateurs, parmi lesquels an bon contingent de Calaisiens qui espéraient assister 4 un duel correct. Malheureu­sement la mauvaise ten udes deux équipes sur le terrain a gâché complètement cette rencontre. De football il n'y en eut point. L'A.S.C.B., 4 la suite de son match nul du dimanche précédent 4 Betbune, semblait devoir enlever facilement le match, mais son équipe fut inexistante »ur le terrain et dans tous les compartiments du Jen les Couloonoi» se montrèrent nettement supérieurs sans cependant fournir une partie véritablement agréable. Le» Boulonnai* ont été eh dessous de tout: les avant* et les demis semblaient de vé­ritables notices, n n'y eut aucune phase de beau Jeu et durant toute la première mi-temps, 4 part quelque» échappées boulonnaise, facilement repous­sées pa ries arrières de Coulogne, qui opéraient a leur gui**, le» Coulonnol» turent les maîtres de la situation.

A la mi-temps les Perroquets menaient par 3 4 0. DEMANDE* DE MATCHES

Equipe 1S a s l'Etoile Sportive s e Sully contre équipées 1A de S edlvlsion et 1B de Ire division aux datas suivantes : 32. » septembre ; 13. 37 octobre -, 17 novembre ; 8 et 30 décembre ; 13, 19, 38 Janvier; ». 1«, 33 février ; «, 13, Su avril. Adresser les deman­des 4 M. Salomé, «, cité Garanda, a Bully-les-Mlnes.

J.S. Ronchinolse demande matches pour son équipe 1A le 77 octobre, 3. 10. 17. 34 novembre. Retour assuré. Equipe Juniors A. e. 13. 30, 37. Mi­nimes t , 13, 30. 37. Ecrire M. Jean Bart, 1. rue Anatole France (Feut-Ronchin).

Olympiqu. tperting Halluinol*. — Equipe 1B, 13, 30 37 octobre, 3 et 10 novembre.

Equipe 3. 33 septembre, 17 novembre. Equipe 3. 39 septembre, 13, 30 et 37 octobre.

3. 10. 17 et 3* novembre. Equipe • Hicondelles ». 39 septembre, 13 et 37

octobre. 3 e t 17 novembre. Junsors A. 37 octobre. 3 et 17 novembre. Ecrire 4 M Paul DelannOy, secrétaire. 81. rue

Jean-Jaurès. 4 Halluin.

sprint an cours duquel Coplo s'adjuge l'épreuve. Volet le classement : 1er Coplo. sur oyci* OS-

NI0OT, s o y a u i LAROCHE-POuOHOlt; 3e Demey, 3e Mazy; te Otto; 5e Brasseur: Se Hum: Te Do-combe; 8e Kabat; 9s Decocq-, 10e Modragor; 11* Colton, etc.

Grâce a u dévouement de» organisateurs, la coursa «'est déroulée d'une façon parfaite

La plaquette offerte par le • Réveil dn Nord • a été gagnée par le Vélo Club Douaislen. qui a trois coureurs classé».

V. O.

Le 2* Grand Prix de l'Union (juniors)

BELLE VICTOIRE DE VAISSŒR ALBERT DE L'AMICALE DES ARTS DE ROUBAIX

Cette épreuve disputée hier matin dans le quar­tier de l'Union a obtenu un formidable succès.

Voici le classement : t. Vaissier A. ( A . A . R . ) ; 3. Lcmaire (V.O.T.) . 8 . oeclercq Noël (V.C.T.) : t Duqnesnes Théo (A.A.R) ; S. Cardon Pierre (V.C.T.) ; 6. Vaissier Georges (A-A.R.) ; 7. Holler Ch. (A.A.R.) : 8. Janssens Henri (A A R.) : g Hu-vennes (A.A.R.) ; 10. Décottlgnles Paul (A.A.R ) ; !• Denys R : 13. Gamblont (A.A.R.) ; 13. Van Ecoveren : I». Laforce (C.C.S.U.) : 1S. Verbècke Prosper (C.C.C.L.) ; 1S Flossle (A.A.B..) : 17. Hug-gelter (A-A.R.) : 18. Delcourt Emile : 19 Debrou-vére G. ; 30. Tydgat ; 31. Verbèque Julien,

ATHLETISME

Soulagement immédiat

Smitmwmit Unmtt • 2 . o n t im ««««IM. / * '* . OM*r *"e» éAmHth* n i * a s » or . it la on ~ « et Dr S o M o T ô s r o a n m dm Sut h séstnasverA*. Les Z i n o - p a d s d u D ' S c b o l l s o n t e n v e n t e n o t a m m e n t A LILLE : V a l l n , o r t h o p é d i s t e , 36. r u e E s q u e r m o i s e , C h a u s s u r e s Noria, 197. r u e Léoo-Gaca-b e t t a ; G r a n d e P h a r m a c i e d e P a s t a , 1, p lace de l a Gare : Etabl i sse Créptn, 1 . parvis St-Maurioe. — A ROUBAIX: V e u v e V l e m i n c k , b a n d a g i s t e , 4L m e P a u v r é e . — A TOURCOING : L e u w e r a , o r t h o p é d i s t e , 59, r u e T o u r n a i . — A DOUAI : V a n A p p e l g h e m , 34, r u e S t J a c q u e s . — A CAMBRAI : R e n a r d . 8. r u e d e l a Herse .

L>" ' '•' |g»rarTqBa.Jl>J->

CYCLISME

Le meeting des routes pavées d'HeUemmes a été gagné par Leblond, sur Cycle Génicot,

boyaux Laroche-Pouchois Cette tpreuve, disputée hier, a remporté un légi­

time succès et les organisateurs, ainsi que le» com­merçants Hellemmous, doivent être tiers du résul­tat obtenu. Le jeune Leblond, du O.C. St-Maurioe, montant une bicyclette CSNICOT, boyaux Lareeha-PouohoK, e n a été te brillant vainqueur.

Voici le classement : 1. Leblond, sur oyol* QK. NI0OT, boyaus Larooh*-*>ouehoi* ; 3. Van Gehége ; 3. Lambert ; 4. Massabot ; s. Clnquin ; 6- Morelie; 7. Delhaere ; 8. Van Oehege Urbain ; 9. Lebeau ; 10. 6 . Van Moerche, e t c . .

Coplo, sur cycle Génicot, boyaux Laroche-Pouchois, triomphe dans

le Circuit de Douai Cette belle épreuve, organisée par le Vélo Club

Douaislen, s'est disputée hier dimanche et a obte­n u un magnifique succès.

Le départ fut donné boulevard Delbecque 4 31 hommes sur 43 engagés.

Le» hommes filent alors en groupe vers Lille, qu'ils atteignent 4 16 h. 15.

A c e moment, le crack des cycle» G É N I C O T , Coplo. mène la danse. Lazzy, qui *e trouvait dans la groupe d etéte. crève deux fois et ne rejoint que dans la côte de Bianzy ou Carpentler tait une «bute Sans gravité.

A Cambrai Otto mène la danse, suivi 4 50 mè­tres par Brasseur, qui emmène deux homme» dan* sa roue.

A la cote de Neuvllle-Salnt-Rémy, les tentative* de fuite se succèdent. C'est d'abord Coplo qui démarre, puis Brasseur tente 4 son tour de faus­ser compagnie 4 ses concurrents.

La fin de la course approche et Coplo et Bras­seur redoublent d'efforts. L'allure endiablée 4 laquelle Us mènent le train a vite fait d'égrener le peloton et quatre homme» se présentent a u

A L I R I S - C L U B U L L O I S La section d'athlétisme était en fête hier 4

l'Iris. La commission procédait 4 la remise des prix aux lauréats de ses championnats. M. Bonté souligna parfaitement le succès des athlètes du­rant la saison, s'attacha tout particulièrement 4 montrer que tout ce qui avait été promis avait été tenu. Daudrumez. au nom du comité, assura la commission d'atblétlsme de toute la sollicitude des dirigeants, et M. Picavez donna lecture du palmarès et tous les athlètes se retirèrent enchan­tés des nombreux prix qui lenr furent distribués.

Chez les Postiers Lillois Rien n'est plus rare de - o s Jour» que de voir o n

club prospérant uniquement par le dévouement de ses membres toujours fidèles 4 leurs couleurs.

C'est cependant le cas 4 l'A.S. des P.T.T. de Lille où samedi en une fête intime, le Président M Spilmont. 1 émettait aux Champions : Cobon et Prothats, un diplôme. Il les remercia chaleureuse­ment de leur dévouemeat ap club. Il félicita les amateurs MM. Maquet. MarescaùJt et Arnaudet, ainsi que le fondateur de l'actif petit club des P.T.T., M. Itarlier. qui ne ménage Jamais son temps ni son travail pour la prospérité de l'A-S. des P.T.T. do Lille.

Le match international du Stade Français de Paris

Favorisé par un temps splendide l e Meeting d u Stade Français a obtenu le succès qu'il méritait.

Les atblètes Français so défendirent énergique-ment mais ne purent inquiéter les représentants des Nations étrangères.

Voici le* résultats : 10* métro* ouvert 1 1. Geerllng (Allemagne) lé"

3/5 ; 3. Téhard (Haïti) ; 3. Auvergne ; 4. Rous­seau ; S. Cerbonnay. (

4M métré* haie» 1 1. FacelU (Italie) 53" 3/5 re­cord d'Italie battu ; 2. Peterson (Suède) ; S. Ade-len ; t. Kostrewskl (Pologne).

•00 mètres 1 1. Ladoumègee 1*55" 1/5 : 3. S. Mar­tin l'57" 2/5 ; S. tialtier 2'.

• s u t 4 la Perche : 1. Ramadier 3 m. 85 ; 3, Cré-pin 3 m. 55 -, 3. Polltrer 3 m. 30.

l.OM métros : 1. Goin S'19" l . i : 2. Marsaudoa »"30" 4/5 • 3. Béguin : 4. Lericbe.

Prix du Stade franeai* l i t métro* : 1. Geerllng (Allemand) 19" 3/5 • 2. Cummlmrs (Etats-Unis) : 3. Noël ; 4. Auvergne ; 5. Cerbonnay

Lancement du eolds : L Noël 14 m. 21 ; 2. Drecq 13 m. 38 ; 3. Guillemot 12 m. 83 ; 4. Doglanr

'tôt métrés : 1. Lasserre 1-33" 3/5 : 3. Bezace i 3. Maurel : 4. Poncet ; 5. Michoux.

1.S00 métro» > 1. Leduc 4M'' 1/5 ; 3. Lesimpl» 1 3. Trapon : 4. Coignet.

6.00* mètres : 1. Petkiewiei (Pologne) l s 1 » " 2J5: 2 Dartigues ; 3- Bedaii : 4. Marchai.

4M mètres : 1- Moulinet 49" 1/5 ; 3. PeUeraon : 3. Galtier. _ .

Saut on hauteur : 1. Durdre 1 m. 85 ; 2. PhUip-pon 1 m. s i : 3. Guerrier l m. 80.

BOXE

LES NORDISTES A PARIS La réunion pugUistlque organisée par le Cen­

tral Sportlng Club de Paris a donné les résultats suivants :

Combats en 8 rounds : Gouy (Nord) bat Mes-sian Paros aux points; Porquet (Paris) bat t e ­rnaire (Nord) aux points; Desgranges (Paris) bat Charpentier (Nord) par k.-o. au 4e round: Cham-pagnac (Parts) bat Descloux (Nord) par abandon au 4e round.

Combats en 10 rounds : Harry Steln (Allemand) hat Chambourg (Français) par k.-o. au 8e round; Faugère (Paris) bat Boitaert (Nord) par abandon a u ee round; Dubois (Paris) bat Cherperel (Nord) par k.-o. au 3e rouml.

Le Roubaisien Deckmyn a battu le Parisien Ferret

B o n n e s a l l e a u Central S p o r t i n g Club 011 s e d i s p u t a i t l a r é u n i o n d o m i n i c a l e a u c o u r s de l a q u e l l e de s r e p r é s e n t a n t s de ROURAIX é t a i e n t o p p o s é s à c e u x de P a r i s . Les Nord i s t e s f i ren t g r o s s e i m p r e s s i o n et m a r q u è r e n t d e n e t s ' p r o g r è s . D e c k m v n p o u r l a d e u x i è m e f o i s batt i t l e P a r i s i e n Ferret d ' u n e f a ç o n p l u s m a n i f e s t e q u e l a p r e m i è r e f o i s ; e n effet , ce lu i -c i fu t n e t t e m e n t s u r c l a s s é e t l 'arbitre d u t arrê ter l e m a t c h a u 7» r o u n d .

V o i c i l e s r é su l ta t s : E n 6 r o u n d s , V ico tor ios b a t P a s t r o l a u x p o i n t s ; e n 8 r o u n d s , D e n y l ne t B e a u v a i x a u x p o i n t s ; S i n t e r é et Guibert f o n t m a t c h n u l : e n 10 r o u n d s , D e t a y e (Rou­b a i x ) , b a t D e v a u x ( P a r i s ) a u x po in t s : Gydé a i n e ( R o u b a i x ) e t "Clairet ( P a r i s ) , font m a t c h n u l ; D e n e t (Par i s ) b a t M e s s c m o e t (Roubaix) a u x p o i n t s ; D e c k m y n ( R o u b a i x ) bat Ferret (Par i s ) p a r arrê t d e l 'arbtre a u 7* round.

Pannekouque, du CP.C. est champion du Nord (poids coq)1

Le gala d* boxe qu'organisait samedi soir, 4 la Ooooératlve Ouvrière le Club Pugllistique calaisien a remporté un demi-succès.

Le Utr,. de champion du Nord pold» coq est rêve-nu 4 Pannekouque. du C.P. Calaisien, son adver­saire. Léo Hermal. s'étant fait disqualifier P°ur coup bas à la Se reprise, où 11 toucha très nette­ment au-dessous de la ceinture.

Jusqu'4 e s moment le match était très éauiUbré et le» chances des deux boxeurs étaient encore égales, pannekouque. au point de vue boxe pure, s'était nettement montré le meilleur.

u n autre combat, qui plut énormément au public présent fut celui qui mit en présence Jampton. du C.P C , que nous n'avions pas revu sur l e ring

En été ' l'alcool de menthe

RICQLES est indispensable

de la Coopérative depuis plus de 15 mot» et q o t manqua de s'octroyer la victoire sur un housm* de) classe, Kld David, champion officiel de la Marinai 1939. Ce fut un combat empoignant de bout est bout où Jampton nous apparut complètement trana» formé.

U t RESULTAT! 1er combat • poids mouches, t round* é> l*j

Sabau, 43 kilos, de Arques, bat aux pointe P00411», du C P . C . 43 kilos-,

te oomkat : poids mi-lourds. 4 r. de V, Letebvr* 73 k.. de Arques bat aux points Geo Richard, d » C P . C . 73 k.

Jo combat : 10 r. de 3*. Jampton du C-P.C, 61 kv 700 et Eid David, de Onnaing, eo klL 700. font match nul.

s» combat ; 10 r. de 3', pour le titre de champion/ officiel du Nord (poids coq), Pannekouque. d u CP.C. est déclaré vainqueur par disqualification a , «on adversaire. Léo Hermal. 4 la se reprise

*» oombat : 4 r. de 3* (poids plumes). Préroe». du C P . C bat Bouhee, de Arques, par k.-o, a*J 4e round. . , * • T V s • r. de 3'. Hochart, du 0.P-C. e» Gnier. d Arques, font match nul

7 . oombat : match revanche. 10 r. de f . Coore-man. 67 kil. de Roubaix. bat Thullller du CJUI* par abandon au 7 e round. Thullller s'étant 4 <3 moment cassé deux doigts de la main droite et) portant un coup 4 faux.

Fédération Française de boxe COMPETITION POUR LE T I T R t

DE CHAMPION DEPARTEMENTAL OU NOM» POIDS MOUCHE ^ ^ " "

L a F é d é r a t i o n f r a n ç a i s e de b o x e l a i t <*•«. na î t re qu* . c o n f o r m é m e n t a s e s r è g l e m e n t s . ™ e t r o i s i è m e c o m p é t i l i o n es t ouver te P O T l a r t l ; l l . U , J o n » , d u

J U t r ? <k c h a m p i o n d r é p a i S

m e n t a l du Nord p o i d s m o u c h e , à p é v û r d t i c e jour . 9 s e p t e m b r e 1929 f ~ s « tin

D e u x Inscr ip t ions o n t d^jà été, w c B e m i e s . c e l l e d e s b o x e u r s Kid H e r m a l (r î ia»«ger \ S

Les inscr ip t ions s e r o n t c l o s e s d a n s u n d l s -la i d e q u i n z e Jours e t l e s p r o n o s i t i o i » d e ­v r o n t ère p a r v e n u e s a u s i è g t d ^ l a F e t t e i w t ion F r a n ç a i s e do Boxe , M. lwasjfsrai'5 P * E H 8 neT J •rS a r l S • * V a ° t 1<5 " ^ S b r l B

L a l i s te d e s b o x e u r s i n s c r i t s s e r a a l o r s s o u m i s e a u x m e m b r e s d u Conse i l d e l a F S d é r a t i o n F r a n ç a i s e de B o x e rjui a u r o n t a d £ . s i g n e r d e u x b o x e u r s p a r m i Ç e u i MêSMalSBV

L é s b o x e u r s q u i d é s i r e r o n t s ' inscr i re dansi ? e t *e « « P é t i t i o n d e v r o n t f ê J r / 1 S ? e n i r 3 l a F e d é r a t i o n F r a n ç a i s e de r l o x e ' t e u ï V p e -S S r L ï * o J S * s < ) m m e <*e c e n t f r a n c s à l i tmi d e dro i t d ' i n s c n n l i o n , l e q u e l s e r a r e m b o u a S a u x topxeurs qud n e s e r o n t p a s a f f rêé*

A U T O M O B l L l S M q

Avis aux automobilistes s c £ ° a * S P S e , o n s .* t o U s l e s aotomobUlstes que e s ) ^li f ?• n - . e n I a s a J l e Industrielle U ^ e r i 1 . 5 . cédé 4 la projection d'un film qui Jaûressera t S L les usagers de l'automobile, intitulé r L a i S h v v S t l C .n d U J S b o u e i e ««'allumage . A U « u a u s ï m e obi l iT , £f t i f n ' t 0 U W s ' « Br4no>i épreuveï 'astoS mobiles de la saison seront passées a l ' f t ^ i i l Cette manifestation est due 4 ta^nér«tû^aes. S û « S

m ,^° U ? i e s . C n a n«Plon. Rappelons a n ™ £ ? , tours que l'entrée est entièrement gratuits ai l q u u n e surprise leur sera réservée sratuite eai

L E G R A N D P R I X D E M O N Z A Voici les résultats finals du Grand Prix s t s r

Vanti sur Alfa-Roméo, si" 38 "; 3e NUToUrt" *nr Talbot, 33' 15": 3e Momberg. sur s f e r o é d t e v ' « î £ j 4e Brimperi. sur A i f o ^ o S é o » ' a o ' ^ B s l r l s e l . ; sur Mercedes, 34' 30'', ^ ' w

RUGB

S U N I O N R A C T N G DUIvXXiRO^r&BIALjO I A B A T I R I S C L U B U L L O I S 1 A P A R 11 n j ( 3 e s s a i s d o n t 1 t r a n s f o r m é à 6 p . ( 2 c o u p » .

t r a n s f o r m é s Le rugby a repris au terrain de la rue Jeaane-i

a Arc. 4 st-Pol. devant un très grand nombre d*I fervent du ballon ovale. «"uiure ne».

A l'appel des équipes, on constate l'absence du, fameux international Coussarieu, qui devait fÎJ gurer dans le quinze dunlcerquois

Il est 15 h. 30 quand le coup de sifflet u t i n f 1 pour le coup d'envoi.

U fait bien chaud. Les équipiers t'en n — 1 uront. ^ ^ ^ ^ '

Dunkerque. des le début du Jeu. lance see avants. On sent tout son désir d'ouvrir. Les m u lées sont nombreuses et favorables 4 Dunter-i que et ceci lui permet de s'installer dans lés S9| mètres adverses. C'est de 14 que partira une - T - , que bien conduite sur sortie de mêlée. Après de] Jolies passes d etoute la ligne, l'attaque se ter-' niine sur le trols-quart Vidal, qui marquera daasl le coin.

Marty tentera la transformation, qu'il SJSJÉ 1 quera de Justesse.

Sur la fin de la mi-temps on notera une p*j-tte> très vire des deux équipe»: Ilbert sera touché es] l'objet de soins qui ne tarderont pas 4 le ra­nimer.

Aux dernières minutes de Jeu Vandenabettsi tentera, mai» vainement, trois nouveaux poiaasj

A la reprise, Dunkerque continue 4 dominer etj a ouvrir constamment le Jeu.

A l'Iris on se défend courageusement. Caris* tiaens de l'U.R.D.M. est touché 4 la mâchoire.

Après quelques belles initiatives de Vidal, deaj bleu et blanc. l'Iris se met 4 attaquer, n est. arrêté par Malo, qui repart. Ilbert marquant: dans le coin et Marty transformant. Sur fautes de Dunkerque, l'Iris obtiendra successivement detna coups francs, que Duplouy transforme, ce qat? tait six points.

Den minutes avant la Un, Vidal, après un rs-t marquable Jeu de passes, recevra la balle et lrav marquer sans que cet avantage soit transforme, .

La partie se termine sur 11 points 4 6. Arbitrage énergique et très coté de U , Bouché*

quan.

Les championnats des P. T. T-Au stand de la garnison de Lille, plus de trente

postiers disputèrent dimanche leurs chances. Après dn sévères luttes, l e classement t'établit comme) suit :

Tir Ltbol 4 MO m. t I. Idrto ; S. Espel - 3. Tnest , ten ; 4. Bas ; 5. Coustenoble  Crêpé : 7. Coboats, 8. Lévèque ; S- Cuérlneau ; 10. protbais i 11* prince, etc.

o n regretta l'absence des favoris, retenu* par Isa exigences du service.

tJgUlLLeTON OU 16 SEPTEMBRE 1929.— No S

J ' e u s u n i n s t a n t l ' idée d e m e p r é c i p i t e r h, t r a v e r s l e m a s s i f d e r n o d o d e n d r o n s , d e c o u ­rir v e r s c e l u i q u i i m p l o r a i t n o t r e p i t i é ; m a t s u n reft&rd d e D e l h i a m e c l o u a s u r p l a c e , e t j e d e m e u r a i i n e r t e , s a n s v o l o n t é , d e v a n t l e s d e u x g r a n d s y e u x n o i r s d e m a m a î t r e s s e .

Aujourd 'hu i , 4 p l u s i e u r s - a n n é e s d e d i s ­l a n c e , je m e r e p r o c h e e n c o r e m a l â c h e t é , t a i h o n t e d ' a v o i r c é d é a s s v o l o n t é d e

le lhia ; m a i s j ' é t a i s a l o r s s o u s le c h a r m e d e c e t t e fille e t , c o m m e je l 'a i d é j à di t , e l l e a v a i t e n e l l e u n te l p o u v o i r m a t m é t i a u e q u e j e m e s e n t a i s v e u l e e t l â c h e d è s q u ' e u e a s s i t p u r m o i s e s p r u n e l l e s é t i n c e l a n t e s .

N o o s c o n t i n u â m e s n o t r e c h e m i n e t a r r i ­v â m e s à l a p a g o d e s u r l e s e u i l d e l a q u e l l e n o u s l û m e s r e ç u s p a r u n v i e u x b r a h m m e A figure s o u r n o i s e .

Il n o u s i n t r o d u i s i t d a n s l e t e m p l e «rui é t a i t l o i n d 'ê tre a u s s i r i c h e q u e c e l u i d e R b a c a l z a r .

D e l h i a s 'a+wnoui l la d e v a n t l ' ido le , e t )e r i m i t a i , t a n d i s q u e d e r r i è r e n o u s , l e p r ê t r e i n d i e n m a r m o t t a i t d e v a g u e s p r i è r e s .

Q u e l q u e s I n d i e n s q u i s e truerraT l a p a e o d e s ' é t a i e n t , p a r r e s p e c t , d è s q u e f ions a v i o n s p a r u .

Lorsoue. ftsilna eut fini de. jjjrJBr,

t o u r n a v e r s m o i . J ' a t t e n d a i s c e m o m e n t a v e c i m p a t i e n c e , c a r r i e n n e m ' é t a i t p l u s d é s a ­g r é a b l e q u e l e s s i m a g r é e s a u x q u e l l e s j ' é t a i s o b l i g e d e m e l i v r e r p o u r n e p a s é v e i l l e r l a m é f i a n c e d e s b r a h m i u e s .

N o u s s o r t î m e s . D e l h i a n e p a r a i s s a i t p l u s s e s o u v e n i r d e

l ' i n c i d e n t q u i s 'é ta i t p r o d u i t , l ' i n s t a n t d'à» v a n L E l l e a v a i t r e p r i s s a m i n e s o u r i a n t e e t a f f e c t a i t u n e g a i e t é q u ' e l l e é t a i t l o i n d é p r o u ­v e r p e u t - ê t r e .

A la p o r t e d e l a p a g o d e , u n v i e i l l a r d s e p r é c i p i t a v e r s n o u s , s e c o n f o n d i t e n s a l a m a ­l e c s , p u i s d i t a D e l h i a :

— B e l l e p r i n c e s s e , to i q u i b r i l l e s c o m m e u n e p i e r r e p r é c i e u s e a u m i l i e u d e l a t r i b u d e s K a l a b h a ï , t o i q u i r e s p e c t e s c o m m e ' e u t o n p è r e l a g r a n d e l o i d e B r a h m a , v e u x - t u c o n n a î t r e l ' a v e n i r ?

D e l h i a e u t u n m o u v e m e n t d e r e c u l . — L ' a v e n i r . . . f i t -e l l e . . . A q u o i b o u t E s t -

o n j a m a i s s û r d ' a i l l e u r s d e c o n n a î t r e l'avj». n i r f . . . Q u i d o n c p o u r r a i t l i r e s u r l e K i t a b (1) d u D i e u ?

— M o i , r é p o n d i t l e v i e i l l a r d . . . E t il s ' i n c l i n a d e n o u v e a u . C é t a i t a n I n d i e n t r è s â g é , v ê t u d ' h a b i t s

s o r d i d e s . II é t a i t co i f f é d 'un t u r b a n c r a s ­s e u x e t l a l o n g u e b a r b e q u i lu i r e c o u v r a i t l a p o i t r i n e é t a i t é m a i l l é e d e m i e s d e p a i n , de d é c h e t s d e p a i l l e e t d e b r i n s d ' h e r b e . Il r é p a n d a i t a u t o u r d e lu i u n e o d e u r i n f e c t e e t f o n v o y a i t q u e . d e p u i s d e s a n n é e s , i l a v a i t r e n o n c é a u x p l u s s o m m a i r e s a b l u t i o n s . S e s j a m b e s n u e s é t a i e n t c o u v e r t e s d ' u l c è r e s e t s e s p i e d s , d ' u n r o u g e -vif, e m m a i l l o t t é s d e l i n g e s m a l p r o p r e s , é t a i e n t h o r r i b l e m e n t g o n ­fles.

Cet ê t r e r é p u e n a n t é t a i t o n f a k i r .

<U. U n e

D e l h i a é t a i t i m p r e s s i o n n é e m a l g r é t o u t p a r c e s i n g u l i e r p e r s o n n a g e q u i j o u i s s a i t , p a r a i t -i l , d u n e g r a n d e a u t o r i t é d a n s l a t r ibu . T o u s le r e s p e c t a i e n t à l ' é g a l d ' u n d i e u e t c e r t a i n s p r é t e n d a i e n t qu' i l é t a i t c e r t a i n e m e n t la u r e i n c a r n a t i o n » d e S i v â , l e g r a n d p r o p h è t e .

I l f a u t , c o m m e m o i , a v o i r v é c u l o n g t e m p s d a n s l ' I n d e p o u r s e f a i r e u n e i d é e d u p o u ­v o i r e t d e la p u i s s a n c e q u e l e s f a k i r s e x e r ­c e n t s u r l e s p o p u l a t i o n s .

I l f a u t d i r e a u s s i q u e l e u r v i e e s t c e l l e d e s a i n t s e t q u ' i l s s u i v e n t a v e c u n e o b s t i n a t i o n f a r o u c h e l e s r è g l e s i m p i t o y a b l e s d e l a re l i ­g i o n d e s y o g g i s .

L e s f a k i r s s o n t d e s ê t r e s q u a s i s u r n a t u ­r e l s d o n t l a v i e i n u t i l e e s t c e p e n d a n t l e p l u s b e l e x e m p l e d e c o u r a g e e t d e r é s i g n a t i o n q u i s e p u i s s e i m a g i n e r .

I l s d o i v e n t s u p p o r t e r a v e c p a t i e n c e l e s p a ­r o l e s i n j u r i e u s e s , n e m é p r i s e r p e r s o n n e e t n e p o i n t g a r d e r r a n c u n e à c e u x q u i l e u r o n t fa i t d u m a l . I l s d o i v e n t e f f a c e r l e u r s p r o p r e s p é c h é s e n s ' e n t r a t n a n t à r e t e n i r l e u r r e s p i ­r a t i o n , e x p i e r l e u r s f a u t e s e n s e l i v r a n t a u r e c u e i l l e m e n t l e p l u s a b s o l u , e t r é p r i m e r t o u s l e u r s d é s i r s e n l e u r i m p o s a n t u n fre in .

L e f a k i r q u i e s t p a r v e n u p a r u n e l o n g u e p a t i e n c e , à m o d i f i e r s a c o n s t i t u t i o n p h y s i ­q u e , a u p o i n t d e n e p l u s a v o i r r i e n d e c o m ­m u n a v e c l e r e s t e d e s m o r t e l s , r e ç o i t d e S i v à l e p o u v o i r d e l i r e d a n s l ' a v e n i r e t d ' é ­v o q u e r l e s E n t i t é s s u p é r i e u r e s d e l ' A s t r a l Il n e «Voit « v o i r p o u r v ê t e m e n t q u ' u n l a m ­b e a u d 'é tof fe , d o i t v i v r e « n m e n d i a n t , s a n s feu , l o g i s o n a b r i .

C e s h o m m e s p o s s è d e n t a u s s i l a f a c u l t é d s l i re d a n s l ' espr i t d a u t r u i e t d ' e x e r c e r s u r l e u r s s e m b l a b l e s u n p o u v o i r a b s o l u , -ce lu i , p a r e x e m p l e , d e l e s s u g g e s t i o n n e r s a n s c o n ­t a c t , s a n s m ê m e l e S e c o u r s d u r e g a r d .

J r I En , « t r a m e - Isrur b o t tsgyd ^ l / r t y ^ r j t , a u .

-;U" I ,èv#c- Je» - . - «UIT» nzafn

d é v e l o p p e m e n t i n f i n i de* l ' i n t e l l i g e n c e et, d e l a v o l o n t é .

S o n t - i l s s i n c è r e s ? S o n t - i l s d ' h a b i l e s s i m u ­l a t e u r s a b u s a n t d e l a c r é d u l i t é h u m a i n e ?

J e n'a i j a m a i s p u m e p r o n o n c e r a v e c c e r ­t i tude s u r c e p o i n t .

T o u t c e q u e je p u i s d i r e , c ' e s t q u e m o i , q u i s u i s a s s e z s c e p t i q u e e t n e c r o i s g u è r e a u x m i r a c l e s , j ' a i v u d e s f a k i r s a c c o m p l i r d e s c h o s e s t e l l e m e n t e x t r a o r d i n a i r e s q u e j e s u i s b i e n o b l i g é d e r é s e r v e r m o n o p i n i o n .

L e v i e i l l a r d d o n t n o u s v e n i o n s d e [ a i r e l a r e n c o n t r e , D e l h i a e t m o i , a t t e n d a i t t o u j o u r s d a n s u n e a t t i t u d e r e s p e c t u e u s e q u e la b e l l e I n d i e n n e s e d é c i d â t .

D e l h i a n e s e m b l a i t g u è r e c u r i e u s e d e c o n ­n a î t r e 1 a v e n i r , e t e u e a v a i t p e u t - ê t r e p o u r c e l a u n e r a i s o n s é r i e u s e , m a i s il e s t a p r é ­s u m e r q u e l a v o l o n t é d u f a k i r fut p l u s for te q u e l a s i e n n e , c a r e l l e d i t t o u t à c o u p :

— E h b i e n , s o i t . . . , p a r l e , je l ' écoute . L ' h o m m e s ' a s s i t a t e r r e , l e s j a m b e s c r o i ­

s é e s , d a n s l a p o s i t i o n d e c e s b o u d d h a s q u e l 'on r e p r é s e n t e e n s t a t u e t t e s , e t , a p r è s a v o i r a g i t é s a t ê t e d ' u n e f a ç o n b i z a r r e , p o s a s e s d e u x m a i n s s u r s a p o i t r i n e e t c o m m e n ç a d e p a r l e r .

C e f u r e n t d ' a b o r d d e v a g u e s p a r o l e s , u n b r e d o u i l l e m e n t c o n f u s d a n s l e q u e l l e s n o m s d e S i v a , B u r à , K h u d a e t V i c h n o u r e v e n a i e n t à c h a q u e i n s t a n t ; p u i s i l nai t u n a i r i n s ­piré . S e s y e u x t e r n e s b r i l l è r e n t d ' u n f e u é t r a n g e e t s a p h y s i o n o m i e , t o u t à l ' h e u r e b a n a l e e t c o m m u n e , m ' a p p a r u t s o u d a i n c o m ­m e m é t a m o r p h o s é e e t e m p r e i n t e d ' u n e m a ­j e s t é e x t r a o r d i n a i r e .

D e l h i a , q u e f o b s e r v a i s a t t e n t i v e m e n t , s e m b l a i t a f f r e u s e m e n t t r o u b l é e . Il é t a i t c e r ­t a i n q u e c ' é ta i t à c o n t r e - c œ u r q u ' e l l e a v a i t a c c e p t é l a propos i t ion , d u v ie iHard

P l l u j b U r / £ * t ^ ^

« »* c-nuet

n i r e t n ' a v a i t - e l l e p a s é t é t r è s - s a t i s f a i t e d e c e q u ' o n lu i a v a i t d i t .

F a n a t i q u e e t c r o y a n t e c o m m e e l l e l 'é ta i t , t o u t c e q u i t o u c h a i t a u g r a n d m y s t è r e d e l a v i e d e v a i t l ' i m p r e s s i o n n e r p l u s q u e d e rai ­s o n .

— F i l l e d e B r a h m a , c o m m e n ç a le v ie i l ­l a r d , l e s D i e u x I n d i e n s q u e n o u s r é v é r o n s e t q u i p r é s i d e n t a u x d e s t i n é e s d e s c h é t i f s h u m a i n s t 'ont c o m b l é e d è s l e b e r c e a u , d e t o u s l e s d o n s q u i p e u v e n t é c h o i r a u x ê t r e s f a ib l e s . I l s t ' o n t d o n n é l a beauté , la g r â c e e t l a r i c h e s s e . S u r t o n front p u r c o m m e l ' eau d e c r i s t a l q u i c o u l e d e s s o m -meLs d u P e n j â n â , i l s o n t m i s l a l u m i è r e ; d a n s t e s v e u x n o i r s , p r o f o n d s c o m m e le c i e l , i l s o n t m i s l ' i n t e l l i g e n c e , e t d a n s ton c œ u r i l s o n t i n s u f f l é le c o u r a g e e t la b o n t é . L e c h a r m e d i v i n e s t e n to i , m a i s t o n a m e , re ­b e l l e c o m m e u n e p a n t h è r e f a r o u c h e , n'a p a s t o u j o u r s s u s e pl ier a u x lo i s s u p é r i e u ­r e s T u a s pr i é le D i e u , tu a s o b s e r v é r i g o u ­r e u s e m e n t l a r è g l e in f l ex ib l e d u N i r v a n a , m a i s ton e s p r i t u a p a s e n c o r e s u s e d é g a g e r d e s j o i e s m a t é r i e l l e s de la v i e .

L e v i e i l l ard c o n t i n u a a v e c p l u s d ' a u t o r i t é : — T u n ' a s p a s s u r e f r é n e r t e s s e n s , e t

c ' e s t p o u r c e l a q u e tu s o u f f r e s a u j o u r d ' h u i . T o i q u i a v a i s é t é n o u r r i e d e s g r a n d s p r é ­c e p t e s d e B r a h m a , q u i a v a i s e n p a r t a g e t o u s l e s b i e n s q u ' u n e c r é a t u r e h u m a i n e p u i s s e d é s i r e r , t u a s v o u l u c o n n a î t r e l e b o n h e u r t e r r e s t r e . A u l i e u d e t ' é l e v e r c o m ­m e l a c o l o m b e a u x a i l e s s o y e u s e s , t u e s r e s t é e d a n s l e s b r o u i l l a r d s q u i c o u r e n t l e s o i r à r a s d u s o l . T u p o u v a i s ê t r e u n e d i ­v i n i t é , t u e s d e m e u r é s f e m m e et p o u r a t ­t e i n d r e l e s h a u t s s o m m e t s o ù b r i l l e l a l i -m i è r e d i v i n e , t u d e v r a s e n c o r e p a r c o u n r d e n o m b r e u x s t a d e s . . .

J d l e f a k i r s ' a r r ê t a , n o s , - e o H « „ T m a | M K

s u r s o n f r o n t , c o m m e s ' i l v o u l a i t cocnpriW m e r l e s i d é e s q u i s e p r e s s a i e n t e n fouler d a n s s a t ê t e , p u i s i l s e r e n v e r s a t r o i s f o i * e n a r r i è r e , d é c r o i s a s e s j a m b e s e t s e l e v a i d ' u n b o n d a v e c u n e v i g u e u r q u i m e sua>-p r i t c h e z u n v i e i l l a r d d é b i l e .

A l o r s , t e n a n t D e l h i a s o u s l a f l a m m e d s i s o n r e g a r d , i l a r t i c u l a l e n t e m e n t :

— I l t e s e r a b e a u c o u p p a r d o n n n é d a m a le s - ^ o u r d o s é l u s , p a r c e q u e t u a u r a s é*8 f e r m e d a n s t e s c r o y a n c e s e t q u e t u a u r a s e n t o u t e s c h o s e s o b s e r v é l a l o i d e K h u d a 3 m a i s l a f é l i c i t é s u p r ê m e , c e l l e q u i d o n n a a u x â m e s l a p a i x s o u v e r a i n e , t u n e l a c o n n a î t r a s p o i n t s u r c e t t e t erre . L b o r i s o i i e s t n o i r . . . , l e s o l e i l e s t c a c h é d e r r i è r e dtj g r o s n u a g e s s e '1res, l ' é t o i l e b l e u e nev b r i l l e p a s e n c o r e . J ' a i d i t . .

— M a i s l ' a v e n i r ?... l ' a v e n i r ?... suppl iâ t D e l h i a e n p r o i e à u n t r o u b l e é t r a n g e .

— J ' a i d i t . r é p é t a l e f a k i r e n c o u r b a i t » l a t ê t e . C e s o n t l e s p a r o l e s m ê m e s d e S iv f t o u i v i e n n e n t d e s o r t i r d e m a t o u c h e . . . A! t o i d e l e s i n t e r p r é t e r c o m m e e l l e s d o i v e n t l ' ê t re . . . Q u e K h u d a , n o t r e m a î t r e à t o u s * t ' a i t e n «a h a u t e p r o t e c t i o n .

E t l e v i e i l l a r d «'en a l l a d ' u n p a s c h a n c e , l a n t , a p r è s n o u s a v o i r s a l u é s d e l a m a i n .

D e l h i a é t a i t t o u t e t r o u M é e . J e p a s s â t m o n b r a s s o u s l e s i e n e t c o m m e m a m a i n ! s ' é t a i t a p p u y é e s u r s a p o i t r i n e . Je s e n t i s s o n c œ u r q u i b a t t a i t v i o l e m m e n t .

P o u r q u o i , l u i d i s - j e , a t t a c h e r q u e l o u t t I m p o r t a n c e a u x p a r o l e s d e c e t h o m m e T - , C ' e s t u n v i e u x f o u . . . e t l a m e i l l e u r e p r e u . v e c 'es t qu ' i l n ' a p a s p u v o u s p r é d i r e r a v e -n i r . I l a p r o n o n c é d e s p a r o l e s v a g u e s , 4 d o u b l e s e n s , j ' a u r a i s D U . e n f a i r e a u t a n * q u e lui».

U ••