Une petite promenade de 95 kilomètres, mais pourtant quelques découvertes !

Nous quittons Villars les Dombes, qui nous a captivées avec son Parc aux Oiseaux. Nous roulons tranquillement vers Sochaux, prochain rendez-vous d’Yvonne.

Le temps est avec nous. Et la région est magnifique.

Mais quelle région de France ne l’est pas ??? Partout, notre appareil photo trouve sa nourriture !

Et là, il est tout prêt, en batterie et impatient de servir !

Nous saluons en passant la petite église de Villars-Les-Dombes.

L’appareil photo n’a pas eu longtemps à attendre pour entrer en action !

Nous traversons les Dombes, dont je vous parlerai plus longuement dans un autre diapo. Tour à tour terre d’eau et de culture, réserve poissonneuse ou porteuse d’une belle récolte de grains… Vous devinez des cygnes au loin…

Émerveillement ! Je n’avais jamais vu cela, des cigognes suivant tranquille-ment un tracteur ! Las, le tracteur est à l’arrêt, donc ces dames se sont égaillées. Mais autrement, elles sont derrière, comme des vols de corbeaux !

Regardez ! Mais regardez ! Il faut dire qu’il y a aussi quelques grues. Tous ces beaux oiseaux sont des pensionnaires libres du Parc aux Oiseaux…

Nous passons à Servas, devant la fabrique du Bresse Bleu. Vous avez un Monbazillac, sous la main ??? (enfin, dans le verre ?)Bresse Bleu est fabriqué en Bresse, avec du lait collecté auprès de producteurs locaux, réunis en coopératives. Nos producteurs on les connaît, ils produisent du lait juste pour nous.

C’est grâce à la maîtrise de toutes les phases de fabrication, à l’origine de son lait et au savoir faire des maîtres fromagers que Bresse Bleu propose ce juste équilibre entre le caractère du bleu et l’onctuosité de la pâte.

Les boîtes de Bresse Bleu sont en carton recyclé. C’est grâce à votre geste de tri que les emballages sont recyclés. Recycler le carton, c’est économiser de l’eau et du bois.

D'un poids moyen de 250 g. Sa fabrication est aujourd'hui essentiel-lement industrielle.Il est excellent de juin à octobre après un affinage de 3 semaines.Il s'accompagne agréablement de vins blancs moelleux de type Rivesaltes ou Monbazillac.

Le clocher de Bourg-en-Bresse :La commune connut différentes appellations. Pendant la Révolution, la ville prend le nom d’Épi-d’Or signifiant Bourg régénéré. Elle eut ensuite le nom de Bourg jusqu'en 1955 où un décret lui adjoignit 'en-Bresse"

Des ruines romaines ont été découvertes à Bourg, mais peu d'éléments permettent d'avoir des informations précises sur la période antique. Il semblerait qu'elle n'ait été qu'une ferme gallo-romaine.La période médiévale est mieux connue. Bourg est élevée au rang de ville franche en 1250. Son destin lié à celui de la maison de Savoie, lui procura une expansion nouvelle. Au début du XVe siècle elle fut choisie par les ducs de Savoie comme capitale de la Bresse. En 1535 elle fut prise par les Français et reprise par le duc Philibert Emmanuel, qui la transforma en place-forte. Si bien qu'en 1600 la ville résista six mois au siège des troupes d'Henri IV.Bourg fut la capitale de la Bresse jusqu’à ce que la ville soit (avec la Bresse, le Bugey, le pays de Gex) cédée à la France par le traité franco-savoyard signé à Lyon en 1601.En 1790, la ville devint chef-lieu de district et du département.En 1814, la ville fut pillée par les troupes autrichiennes en représailles de sa résistance.

Juste deux photos. Nous les prenons à la volée, sans nous arrêter.

A Saint-Etienne du Bois, un vaste enclos est réservé aux « maisons de Pays » : ici, bien évidemment, la maison de Bresse traditionnelle.

A Villemotier, le magnifique mur de la maison du boulanger.

Nous traversons Hièvre-Paroisse, dont le clocher de l’église a un si beau dôme en briques vernissées…

De loin, nous saluons un petit village complètement enfoui sous la verdure.

Nous avons traversé la charmante commune qui répond au nom de Saint-Amour (mais une commune répond-t-elle à son nom, quand on l’appelle ?)

Je vous ai déjà présenté ce bourg, qui joue vraiment avec son nom pour la décoration de ses parter-res et de ses rues.

On ne connaît pas l’origine de ce nom, et, malheureusement, il n’existe pas de Saint de ce nom. Ce serait pourtant charmant !!! Mais il détrônerait peut-être Saint Valentin…

A Lons-Le-Saunier nous accueille le grand sourire de la célèbre Vache Qui Rit !La vache qui rit est une marque commerciale de fromage français fondu, de fabrication industrielle, des fromageries Bel.Créée en 1921, la vache qui rit est célèbre pour sa boite ronde illus-trée qui représente une vache hilare portant des boucles d’oreille constituées de boites de vache qui rit mises en abyme.La vache qui rit est fabriquée à partir de fromages tels que le comté, l’emmental et le cheddar. On fait fondre le fromage dans des malaxeurs chauffants et on mélange la pâte avec des sels de fonte. La vache qui rit est un fromage onctueux et doux qui ne nécessite pas de conservation au froid. Historiquement, la vache qui rit est une des premières mar-ques industrielles de fromage puisque créée à une époque où ce domaine d’activité était encore largement artisanal.Très longtemps associée à un seul produit, la vache qui rit est dé-sormais plus une marque « ombrelle » qui se décline sur plusieurs produits différents.

De Baume-les-Dames, nous n’avons retenu que cet amusant rond-point, en hommage à la pêche.

A en juger par sa vallée si encaissée, le Doubs n’a pas toujours été aussi calme qu’aujourd’hui !!!

Besançon (en franc-comtois B'sosson ou B'sanchon) est une commune de l'est de la France, préfecture du département du Doubs et de la région Franche-Comté, et qui fait partie de la métropole Rhin Rhône. Établie dans un méandre formé par le Doubs, la cité joue un rôle impor-tant dès l’époque gallo-romaine sous le nom de Vesontio. Sa géographie et son histoire spécifique ont fait d’elle tour à tour une place forte mili-taire, une cité de garnison, un centre politique et une capitale religieuse.Proclamée première ville verte de France, la capitale comtoise jouit d’une qualité de vie reconnue.

Grâce à son riche patrimoine historique et culturel et à son architecture unique, Besançon possède un label Ville d’Art et d’Histoire depuis 1986 et figure sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2008.

La Basilique Saint-Ferjeux est une basilique de style éclectique romano-byzantin située dans le quartier de Saint-Ferjeux à Besançon. Elle a été construite sous les saints patronages de Saint Ferjeux et Saint Ferréol (saints patrons de Besançon).

Nous traversons Hièvre-Paroisse, dont le clocher de l’éclise a un si beau dôme en briques vernissées…

La région est très riche en lavoirs, ayant chacun sa particularité.

Voici Sochaux, notre but pour aujourd’hui. Un regard indifférent vers les Usines Peugeot-Citroën… Et repos ! Demain est un autre jour.

Photos Yvonne

Texte : Jacky

Musique : Rieu – Blue Spanish Eyes

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la PaixJacky.questel@gmail.comhttp://jackydubearn.over-blog.com/Site : http://www.jackydubearn.fr/