Un Seul Lit

7
1 Un Seul Lit Il y a longtemps, nous allions, mes parents, ma sœur et mon petit frère, à un mariage dans le Sud de la France. Nous sommes arrivés la veille au soir, et nous sommes allés à l’hôtel. À la réception mes parents demandent deux chambres dont une avec trois lits. Le réceptionniste leur répond qu’il n’en a qu’une avec un lit double et un lit simple. N’ayant pas le choix, ils acceptent. Nous montons à nos chambres. – Lavez-vous les mains, nous demande maman, nous allons dîner dans 10 minutes. Nous nous installons dans la chambre. Malika, ma sœur, à qui était en principe le lit simple, le trouve trop étroit, et elle le destine à notre petit frère. – Bachir, on va prendre le grand lit, mais promets-moi de ne pas chahuter. – Promis Malika. En fait je ne m’entendais pas bien avec ma sœur, et dormir avec elle ne m’enthousiasmait pas. Comme une fille appliquée elle posa sa chemise de nuit sur le côté droit du lit. Ca me faisait drôle de voir ça, car à la maison elle avait sa chambre, et moi je dormais avec mon frangin. Une fois nos mains lavées, nous sommes allés rejoindre les parents qui avaient leur chambre à l’étage du dessous. Un quart d’heure plus tard nous sommes dans la salle à manger de l’hôtel, il y a peu de monde et la salle est très triste, peu d’éclairage, et les rares clients sont des personnes âgées. La serveuse peu aimable (elle ne devait pas aimer les arabes), prit la commande. Le repas n’était pas mauvais, mais rien d’extraordinaire. Heureusement le service a été rapide car nous étions assez fatigués des 500 km que nous venions de faire. Vers 21H30 nous sommes remontés dans nos chambres. Notre mère crut bon de nous accompagner jusqu’à la nôtre, ce qui eut le don de m’exaspérer un peu, vu que j’avais déjà 16 ans, après plusieurs recommandations. Elle ne savait pas que Malika allait partager le même lit que moi, sinon, quel drame ça aurait été, car Malika avait 14 ans. Certes c’était une fille sérieuse, trop d’ailleurs, mais moi par contre je l’étais moins. Vers 22h nous étions seuls dans notre chambre. Malika décida d’accaparer la salle de bains (c’était la chouchoute et elle avait l’habitude d’être toujours plus gâtée et avait presque tous les droits). Je crois qu’il lui a fallu presque 30 minutes pour se préparer. Elle sortit donc avec ses vêtements soigneusement pliés sur son bras, et vêtue d’une chemise de nuit, dont le moindre que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’était pas sexy. Elle était simple en toile blanche assez légère, mais assez fine quand même pour mes yeux et ceux de mon frère. Je laissais mon petit frère faire sa toilette, et j’attendais gentiment assis au bord du lit. En me retournant je remarquais qu’elle me regardait. – Pourquoi tu ne mets pas en pyjama, tu as juste à te laver les dents ? Tu prends toujours ta douche le matin ? – J’ai envie de la prendre ce soir, j’ai eu chaud en voiture, et même là je trouve qu’il fait chaud, on devrait ouvrir la fenêtre ? – Si tu veux, on respirera un peu mieux en effet. Je suis allé ouvrir la fenêtre, et je suis revenu m’asseoir sur le bord du lit. C’est marrant, parce que d’habitude ma sœur et moi nous ne nous entendons pas bien. Elle me cherche sans arrêt des histoires, elle adore me faire des reproches, et là ce soir, je la trouve bien calme.

description

Un frère et sa petite sœur se retrouvent à dormir dans un même lit, et se découvrent intimement.

Transcript of Un Seul Lit

Page 1: Un Seul Lit

1

Un Seul Lit

Il y a longtemps, nous allions, mes parents, ma sœur et mon petit frère, à un mariage dans le Sud de la France. Nous sommes arrivés la veille au soir, et nous sommes allés à l’hôtel. À la réception mes parents demandent deux chambres dont une avec trois lits. Le réceptionniste leur répond qu’il n’en a qu’une avec un lit double et un lit simple. N’ayant pas le choix, ils acceptent. Nous montons à nos chambres.

– Lavez-vous les mains, nous demande maman, nous allons dîner dans 10 minutes.

Nous nous installons dans la chambre. Malika, ma sœur, à qui était en principe le lit simple, le trouve trop étroit, et elle le destine à notre petit frère.

– Bachir, on va prendre le grand lit, mais promets-moi de ne pas chahuter.

– Promis Malika.

En fait je ne m’entendais pas bien avec ma sœur, et dormir avec elle ne m’enthousiasmait pas. Comme une fille appliquée elle posa sa chemise de nuit sur le côté droit du lit. Ca me faisait drôle de voir ça, car à la maison elle avait sa chambre, et moi je dormais avec mon frangin. Une fois nos mains lavées, nous sommes allés rejoindre les parents qui avaient leur chambre à l’étage du dessous.

Un quart d’heure plus tard nous sommes dans la salle à manger de l’hôtel, il y a peu de monde et la salle est très triste, peu d’éclairage, et les rares clients sont des personnes âgées. La serveuse peu aimable (elle ne devait pas aimer les arabes), prit la commande. Le repas n’était pas mauvais, mais rien d’extraordinaire. Heureusement le service a été rapide car nous étions assez fatigués des 500 km que nous venions de faire.

Vers 21H30 nous sommes remontés dans nos chambres. Notre mère crut bon de nous accompagner jusqu’à la nôtre, ce qui eut le don de m’exaspérer un peu, vu que j’avais déjà 16 ans, après plusieurs recommandations. Elle ne savait pas que Malika allait partager le même lit que moi, sinon, quel drame ça aurait été, car Malika avait 14 ans. Certes c’était une fille sérieuse, trop d’ailleurs, mais moi par contre je l’étais moins.

Vers 22h nous étions seuls dans notre chambre. Malika décida d’accaparer la salle de bains (c’était la chouchoute et elle avait l’habitude d’être toujours plus gâtée et avait presque tous les droits). Je crois qu’il lui a fallu presque 30 minutes pour se préparer. Elle sortit donc avec ses vêtements soigneusement pliés sur son bras, et vêtue d’une chemise de nuit, dont le moindre que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’était pas sexy. Elle était simple en toile blanche assez légère, mais assez fine quand même pour mes yeux et ceux de mon frère.

Je laissais mon petit frère faire sa toilette, et j’attendais gentiment assis au bord du lit. En me retournant je remarquais qu’elle me regardait.

– Pourquoi tu ne mets pas en pyjama, tu as juste à te laver les dents ? Tu prends toujours ta douche le matin ?

– J’ai envie de la prendre ce soir, j’ai eu chaud en voiture, et même là je trouve qu’il fait chaud, on devrait ouvrir la fenêtre ?

– Si tu veux, on respirera un peu mieux en effet.

Je suis allé ouvrir la fenêtre, et je suis revenu m’asseoir sur le bord du lit.

C’est marrant, parce que d’habitude ma sœur et moi nous ne nous entendons pas bien. Elle me cherche sans arrêt des histoires, elle adore me faire des reproches, et là ce soir, je la trouve bien calme.

Page 2: Un Seul Lit

2

– Tu sais Bachir, te gêne pas pour moi, enfile ton pyjama, ça va pas le salir même si tu as eu un peu eu chaud…

À vrai dire je pouvais le faire, mais en regardant autour de moi, je ne vis pas d’endroit discret pour me changer, car même si j’étais moins pudique que ma sœur, j’aimais bien un peu mon intimité. Mais à ce moment-là, mon frangin sort de la salle de bains en pyjama, lui c’est une boule de vêtements qu’il tient dans ses bras. Je file donc avec mon pyjama.

En prenant ma douche je me sentais tout drôle, et je pensais à ma sœur, moi à qui ça n’arrive jamais sauf en mal. Tout le monde à vrai dire la trouve très mignonne (un peu Catherine Deneuve à 16 ans) et pas mal faite. Enfin à ce que je pouvais juger en la regardant habillée ou en maillot de bain, mais elle ne porte que des une pièce. Bref je me douchais et je sentais mon sexe se durcir légèrement, et je me disais que ça allait sans doute se voir sous mon pyjama. J’avais entendu dire qu’à l’eau froide ça allait se ramollir. À part que je me suis mis à crier tellement l’eau était froide, j’ai à peine réussi à me « détendre ».

Je pris donc le temps de me sécher, de me laver les dents à petite vitesse, mais je sentais bien qu’au niveau de mon sexe, ce n’était pas calme. Effectivement je voyais bien une légère bosse. Finalement je suis sorti de la salle de bains. La lumière de la chambre était éteinte, juste le chevet du côté de Malika éclairait la pièce. J’avançais doucement vers le lit, elle me signe « chut » et montra le lit de mon petit frère. Il s’était déjà endormi.

Je rentrais vite fait dans les draps remerciant le ciel de cette obscurité providentielle.

– Pourquoi t’as crié sous la douche, chuchota-t-elle ?

– Je me suis douché à l’eau froide, elle était glacée.

– Quelle idée, tu as si chaud que ça ?

– Non, je me suis trompé, mentis-je.

Je sentais son léger parfum, et ça me troublait. Je l’entendais bouger légèrement. Elle s’adressa à moi :

– Tu dors ?

– Non, mais ça va venir

– Tu es fatigué ?

– Euh, oui… Euh un peu, mais je me sens aussi énervé.

– Pourquoi ? T’as trop chaud ?

– Oui peut-être… sans doute.

Je pensais qu’elle serait fatiguée et qu’elle s’endormirait vite, mais non, visiblement elle n’en avait pas tout de suite envie.

– Dis-moi Bachir, c’est la première fois que tu ne couches pas seul ?

– Non, il m’est arrivé quand nous étions petits de coucher avec notre grand-mère, parce qu’il n’y avait pas de lit pour moi.

– Oui je sais, mais je voulais dire qu’en fait tu as toujours dormi seul ?

– Ben ouais, et toi aussi bien sûr ?

– Bien moi aussi, ça me fait drôle d’être dans ce lit avec toi. Je sens ta chaleur, et ta légère odeur de savon, c’est agréable.

– Moi j’aime bien sentir ton parfum. Mais je crois qu’on devrait dormir.

Page 3: Un Seul Lit

3

En fait je sentais à nouveau mon sexe durcir, et je ne voulais pas que Malika s’en rende compte, car je crois qu’elle aurait tout raconté aux parents. N’arrivant pas à m’endormir, je remuais pas mal, et comme j’avais déjà chaud, ça ne s’arrangeait pas. Malika s’en aperçut.

– Si tu as chaud, plutôt que de remuer enlève ta veste de pyjama et essaye de rester calme… .

– T’as raison

Et je me redresse dans le lit et pour aller plus vite, j’essaye de la passer par la tête tant bien que mal, mais assis dans le noir et ne voulant pas risquer de taper ma frangine, j’avais un peu de mal à enlever mes bras des manches, et tout à coup je sentis que Malika, m’aidait à l’en lever, et ce fut très excitant comme sensation. Surtout que sans le faire exprès, sa main frôla doucement mon dos, et j’ai eu un frisson, qu’elle a tout de suite perçu.

– Tu as frissonné, je t’ai griffé ?

– Non, c’est juste parce que j’ai trouvé ça agréable

Elle eut un sourire gêné, mais dans le noir je ne la voyais pas. J’avais donc fini par enlever ma veste et je la jetais sur le lit. Je sentis la main de Malika, qui passait doucement sur mon dos.

– Tu sais que tu as une peau très douce, ça va tu n’as plus trop chaud ?

Malika ne devait pas se rendre compte que ce qu’elle venait de faire, ne calmait pas l’excitation qui montait en moi.

– Tu as de la chance d’être un garçon, me dit-elle.

– Pourquoi Malika ?

– Parce que tu es en pyjama, et comme tu es un garçon, tu peux enlever ta veste pour avoir moins chaud.

– Tu as trop chaud Malika ?

– Oui, j’ai un peu chaud, j’ai peur de mal dormir.

– Écoute, nous sommes dans le noir, enlève ta chemise de nuit.

– Tu es sûr que tu ne verras rien, ça me gêne énormément.

– Franchement, tu es sous les draps, je ne verrais rien.

Alors je sentis qu’elle se redressait dans le lit, j’entendis le bruit du tissu qui devait glisser le long de son corps. Et puis ça s’est mis à durer un peu et je l’entendais soupirer, comme si elle s’énervait.

– Ça ne va pas, lui demandai-je.

– Ben, dit-elle en rigolant doucement, je suis empêtrée dans ma chemise de nuit, elle est coincée à la tête. Aide-moi, s’il te plait.

Dans le noir j’essayais de trouver sa tête et la chemise de nuit, mais mon intervention ne fit pas avancer les choses, en fait avec ses longs cheveux il y avait un méli-mélo, et c’était un peu la panique.

– Si ça ne t’ennuie pas, je vais allumer la lampe de chevet.

– Oui, mais n’en profite pas pour regarder.

– Ça ne va pas être facile de ne pas regarder ce que je fais pour t’aider.

– Attends, je me tourne un peu.

Elle se mit de dos, et en enlevant la chemise de nuit je ne vis que son dos nu, mais ça suffisait à attiser mon excitation. J’éteignais aussitôt la lampe. Nous étions à nouveau dans l’obscurité, propice pour ma sœur. Et pourtant…

Page 4: Un Seul Lit

4

– Pourquoi as-tu éteint si vite ? Je voulais mettre ma chemise de nuit sur la chaise !

– Excuse-moi, mais je croyais que tu ne voulais pas que je te voie…

– Ben t’auras qu’à fermer tes yeux, gros nigaud, dit-elle en se marrant doucement.

– Ou en mettant mes mains devant mes yeux, lui répliquai-je, l’air malicieux.

– Ben de dos t’auras vu que mes fesses, espèce de vicieux.

– Tu as sans doute des jolies fesses, je n’aurai pas tout perdu, chuchotai-je.

– Hum, un compliment venant de mon frère, je n’en reviens pas !

En tous les cas mon petit frère dormait profondément. Nous nous rallongeâmes.

– Je ne t’ai pas dit bonsoir ?

– Non Malika.

– Excuse-moi…

– Bonsoir.

Le lit était assez large pour que nous nous ne gênions pas, mais dans l’état où j’étais, je faisais semblant de changer de position, ou de me retourner pour aller vers le centre du lit. Discrètement je retirais mon pantalon de pyjama. Les idées couraient dans ma tête, je ne savais pas ce que je voulais faire, mais je m’approchais de ma sœur dans l’espoir d’effleurer son corps.

J’entendais son souffle, elle était sans doute en train de s’endormir. Quant à moi, j’essayais aussi de dormir, mais ça bouillonnait tellement dans ma tête que j’aurais eu du mal à trouver le sommeil. Il n’y a pas de doute, elle devait déjà dormir, sinon je pense qu’elle m’aurait fait remarquer que je bougeais beaucoup. Je faisais mon approche prudemment, car je ne savais pas du tout à quelle distance j’étais d’elle.

Quant à mon frère, ça ne faisait aucun doute qu’il dormait profondément. Malika, elle, avait le souffle court, et bougeait un peu, ce qui m’immobilisa. Et tout à coup, je sentis son pied effleurer le mien, je n’étais certainement pas loin d’elle. Son pied ne bougeait pas, et j’ai eu comme l’impression qu’elle frissonnait, est-ce qu’elle rêvait ou bien avait froid ? Non, elle continuait à dormir, alors je profitais pour que ma jambe droite soit contre sa jambe gauche. Elle ne broncha pas.

Tout à coup, je sentis son bras m’effleurant avec sa main à la hauteur de mes fesses. Mais elle n’était pas inerte, j’avais l’impression qu’elle essayait de savoir ce qu’elle touchait. Et si elle ne dormait pas, et m’avait entendu retirer mon pantalon ? Je ne bougeais pas et faisais semblant de dormir. Sa main glissa doucement vers ma cuisse, toujours à la hauteur des fesses, et là, visiblement le plus doucement qu’elle pouvait, elle palpa pour sans doute savoir ce qu’elle sentait au bout des doigts. J’étais figé, et tellement surpris, que mon sexe ramollissait, sans doute à cause de la gêne qu’elle le découvre tout raide.

Sans doute parce que je ne bougeais pas, sa main remonta sur mon ventre, et s’arrêta, j’essayais de respirer normalement. Au bout de quelques instants, sa main reprit son exploration et remonta à la hauteur de ma poitrine. Elle caressa, ou plutôt effleura, ma peau sur toute la surface de ma poitrine, c’était très agréable. Je ne pense pas qu’elle dormait, ni qu’elle soit somnambule ! D’ailleurs, elle continua en redescendant, je crois qu’elle était persuadée que je dormais profondément, et elle caressa doucement mon ventre. C’était surtout le bout de ses doigts que je sentais, et elle descendit encore un peu, atteignant mon bas ventre, et je sentis ses doigts glissant au milieu de mes poils pubiens. Je pensais qu’elle allait les retirer, mais non, elle continua à passer ses doigts au travers de mes poils, un peu comme si elle voulait les démêler.

J’étais certain qu’elle était bien consciente de ce qu’elle faisait. Et doucement ses doigts descendaient à travers mes poils, et elle atteint le sommet de ma verge. C’était trop bon, elle

Page 5: Un Seul Lit

5

l’attrapa très doucement, elle était moins molle que d’habitude, mais je pense que ma sœur, tout comme moi, avait eu très peu d’informations du côté de nos parents sur la sexualité, elle découvrait sans doute. Et si elle en savait un peu, elle ne pouvait pas se douter que j’avais une légère excitation, car j’ai un petit sexe.

Elle le prit entre deux doigts et le manipula, mais elle se retourna et se mit sur le côté, et je sentais son autre main glisser entre mes cuisses, et explorait mon entre-jambe. Elle insista beaucoup et s’attarda sur mes bourses. Elle les palpa un peu maladroitement, et je ne pus réprimer un petit « ouille ». Elle arrêta net ses explorations.

– Je t’ai réveillé ?

– Ben ouais, qu’est-ce que tu faisais, c’était agréable…

– Ah bon, je suis gênée de t’avoir touché, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’avais entendu que tu enlevais ton pantalon, et j’avais envie de te connaître à cet endroit.

– T’inquiète, je t’en veux pas, et si tu pouvais continuer…

– Oh oui… Je peux ?

– Bien sûr, vas-y.

– Ce serait mieux si je pouvais voir…

– Allumons la lampe de chevet, je pense que Nabil dort profondément.

Elle l’alluma aussitôt, et regarda mon sexe sans perdre de temps.

– C’est mignon, dit-elle, tout petit et tout doux, c’est agréable à tenir dans la main. Ça ne t’ennuie pas que je le caresse ?

– Non, dis-je d’une voix étranglée.

Et elle le caressa, et bien sûr ma verge se durcit, ce qui la fit sourire, et elle se baissa pour poser un baiser sur ma verge maintenant tout dure Elle la prit dans le creux de sa main gauche, et la caressa de sa main droite, tout comme si elle avait pris un oiseau dans sa main.

Et elle la caressa en la fixant, ensuite de sa main droite elle me malaxa les parties. Je pris sa main et je lui expliquai que c’était douloureux de la façon où elle s’y prenait. Elle s’excusa, et embrassa mes couilles. Elle les caressa ensuite avec beaucoup de douceur. Je me laissai faire.

J’essayai de la regarder, mais elle se cachait avec les draps, j’apercevais tout juste le début de ses petits seins, comme un décolleté en fait. Tout en me tripotant, elle me regardait de temps en temps, essayant sans doute de lire sur mon visage le bien-être dans lequel j’étais. Je pris le risque de prendre le drap et de le faire glisser pour admirer ses seins. Elle ne dit rien. Je découvrais enfin sa jolie poitrine, de très beaux petits seins bien pointus, avec de fine aréoles. Très vite ses tétons se dressèrent, et je ne pus m’empêcher de les caresser. Elle gémit de plaisir, ma main couvrait son sein droit, et je le massais avec tendresse.

– Comment puis-je te donner du plaisir, Bachir ?

Je prenais sa main puis son pouce et son index, et lui montrait le mouvement à faire.

– Et c’est très agréable ?

– Oh que oui… ..

Elle commença à me branler, mais c’était assez maladroit. Je finis par dégager entièrement les draps, mais très vite elle les remonta un peu pour cacher son sexe. Je continuais donc à caresser ses merveilleux seins, si jolis, tellement pointus.

Page 6: Un Seul Lit

6

Tout à coup je sentis qu’elle baissait son visage, et je sentis sa bouche effleurer mon pénis, et elle l’embrassa de bas en haut, ensuite, je sentis ses lèvres s’entrouvrir, et sa langue glisser le long du sexe… C’était le paradis ! Même si visiblement elle n’avait jamais vu ni touché le sexe d’un garçon, son instinct faisait qu’elle s’y prenait comme une reine. Après avoir passé sa langue, elle prit mon pénis en bouche avec délicatesse, et elle se mit à le sucer comme un sucre d’orge. Il était de plus en plus tendu.

– Ché bon, dit-elle la bouche pleine.

Et elle s’appliqua à me sucer avec un réel plaisir, tandis que moi, je continuais à caresser ses seins. J’essayais de glisser ma main vers son sexe, mais à chaque fois elle me la remontait. Je n’avais quand même pas à me plaindre, entre ses seins que je caressais et prenais en bouche, et elle qui me suçait divinement. Jusqu’au moment où mon sexe dans un spasme, se déversa dans sa bouche, elle parut très surprise et eu un hoquet, mais elle avala doucement la semence que je lui avais donné. Quelques minutes passèrent, et elle m’embrassa sur le front :

– Merci Bachir de m’avoir laissée faire, c’est superbe, c’est bon, je voudrais déjà y regoûter.

– Il va falloir attendre un peu, Malika.

– Pourquoi ? Il faut que tu te recharges ?

– Exact.

– Tant pis, alors je continue à le sucer, il a encore le goût, c’est trop bon.

– Pourquoi je ne peux pas voir ni toucher ton sexe ?

– Ca me gêne beaucoup, je ne trouve pas ça très joli, mais peut-être qu’un jour tu pourras.

Je savais que d’insister ne servirait à rien. Et puis, puisque mon pénis devenu tout minuscule était dans la bouche de Malika… Elle jouait avec sa langue, je sentais qu’elle le faisait sauter dans sa bouche. Puis tout à coup elle arrêta et se redressa, je sentais qu’elle mettait sa main sur sa zézette, je lui demandais ce qui se passait.

– Il faut que j’aille aux toilettes, dit-elle en sortant du lit, oubliant sa nudité.

Mais je ne la vis que de dos. Je ne l’entendais plus, je passais la tête par la porte.

– Est-ce que ça va ?

– Je ne sais pas, il aurait fallu que je demande à maman, je ne comprends pas…

– Qu’est ce qui se passe ?

– Je ne sais pas, mais je ne peux pas te le dire.

– Pourquoi ? Je crois qu’on peut tout se dire maintenant.

– Oui, eh bien, je ne sais pas pourquoi, mais je suis toute mouillée entre les jambes, pourtant je n’ai pas fait pipi, même sans m’en rendre compte !

J’avais entendu dire que les filles mouillaient quand elles étaient excitées. Évidemment notre mère n’avait sans doute jamais parlé de ça avec Malika.

– Je crois savoir ce que c’est Malika, si tu me laissais voir… Je pourrais te rassurer.

En fait je bluffais, mais c’était le seul moyen que j’avais pour découvrir un sexe de fille. Elle hocha la tête, l’air un peu craintive, elle était appuyée sur le lavabo, elle se retourna, très gênée, la main cachant son sexe.

– Laisse-moi voir, sinon je ne pourrais pas te dire.

– Mais qu’est-ce que tu en sais, sur ce qui m’arrive ?

Page 7: Un Seul Lit

7

– Si je pouvais voir, je te le dirais.

Elle enleva ses mains, laissant apparaître un joli triangle de poils blonds, assez clairsemés, et je devinais une fente sous ses poils. J’approchais, ce qui la mise mal à l’aise.

– Laisse-moi, lui dis-je, ne crains rien.

Je passais ma main entre ses cuisses, elle frémit. Je m’approchais de sa fente, et je sentis en effet que c’était très mouillé. J’approchais mon nez, ça sentait assez fort, mais pas l’urine, et c’était une odeur envoutante.

– Je peux goûter ?

– T’es fou, si c’est de la pisse ?

– De toutes façons, ce n’est pas du poison.

Et aussitôt je léchais ses poils humides, c’était délicieusement bon. Un vrai nectar, et je fus très vite excitée par cette nouvelle sensation. Je me remis debout.

– Ce n’est rien Malika, je sais ce que c’est, tu as été excitée en me suçant, et tu as secrété ce liquide…

– Et toi ton pénis est à nouveau tout dur, je crois que je vais devoir y regoûter, dit-elle en rigolant doucement et oubliant sa nudité.

Nous retournâmes au lit, et là, tandis qu’elle me suçait, moi je caressais sa fente, et elle soupirait de plaisir. De nouveau elle mouilla et très fort, au point que je croyais qu’elle pissait, mais ça n’était pas si abondant que ça en fait. Et plus je passais mon doigt sur sa fente humide, plus je sentais ce que je ne connaissais pas : son clitoris. Il avait dû gonfler, je le sentais très bien, et je sentais mon doigt glisser à l’intérieur d’elle grâce à toute la mouille qu’elle avait autour. Je sentais son bassin qui bougeait, elle se laissait totalement faire.

J’entrais donc dans son intimité, et je tournais doucement mon doigt à l’intérieur, c’était trempé. Je lui demandais de me mettre au-dessus de sa bouche, et que je puisse moi aussi la lécher. Fier, je croyais avoir inventé le 69. Ma langue titilla son clito, et je sentais qu’elle n’en pouvait plus, elle lâcha ma bite et soupira très fort. À chacun de mes coups de langues, elle soupirait un peu plus fort. Si bien, que tout à coup on entendit notre petit frère qui demandait ce que nous faisions.

– Je cherche quelque chose dans le lit, lui dis-je.

Mais visiblement, il n’était pas trop bien réveillé et se contenta de mon explication vaseuse. Seulement, il avait mis fin à nos ébats incestueux d’adolescents.

*****