Un service de classe pour vous - Sanitas · 6 Point fort: primes, tendance 2015 8 Un service de...

Septembre 2014 Numéro 3Le magazine des clients Sanitas

Etre ouvert au changement

De la théologie aux sapeurs-pompiers Un service de classe pour vous Vidéo explicative: comment réaliser des économies sur les primes grâce à la franchise

Sani l’explorateur Envoie-nous une histoire sur Sani et remporte un prix

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Sommaire4 Nouveautés6 Point fort: primes, tendance 20158 Un service de classe pour vous10 A vos côtés pour la vie:

Hospital Upgrade12 Moniteur: débat par e-mail

sur la caisse unique14 Santé 16 Kids: capitaine Sani18 Prix Challenge Sanitas20 Changement de cap22 Courrier des lecteurs23 Fitzi a la réponse:

vous demandez, nous répondons.

Photo de couverture: Gerry Nitsch, Dr Jan Bauke

ImpressumEditeur: Sanitas, Siège principal, Jägergasse 3, 8021 Zurich, www.sanitas.com Contact: [email protected], tél. 0844 150 150Rédactrice en chef: Tanja Funk Commission de rédaction: Denise Fitzi, Andreas Goetz, Valentin Hüsser, Anita Kneusslin, Andreas Roos,Isabelle Vautravers Traduction: Service de traduction Sanitas Réalisation: Leo Burnett Schweiz AG, www.leoburnett.chImpression: Swissprinters AG, Zofingen Tirage: env. 460 000; 7e année; imprimé sur du papier écologique FSCParution: 4 × par année en allemand, français et italien

Aperçu: le prochain numéro paraîtra mi-novembre 2014.

Kids: les aventures du capitaine Sani

Changement de cap: combattre le feu, un acte de foi20

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100 000 clients sur le portail SanitasNet9

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Kids: les aventures du capitaine Sani

Changement de cap: combattre le feu, un acte de foi

Otto Bitterli, CEO Sanitas.

Bitterli

Chère lectrice, cher lecteur,

Les assureurs maladie sont sous les projecteurs de l’actualité. Le 28 septembre, les citoyens suisses se prononceront sur l’initiative de la caisse unique et donc sur un changement radical du système. Le débat par e-mail entre Walter Grete et Franco Cavalli vous fournira de plus amples informations à ce sujet (page 12).

En point de mire également: le montant des primes pour l’année prochaine, qui est publié comme à l’accoutumée à l’automne. Vous recevrez un courrier avec les données relatives à votre couverture d’assurance individuelle en octobre. Dans ce numéro également, vous en apprendrez plus sur l’évolution des coûts et, par conséquent, sur celle des primes dans l’assurance de base et l’assurance complémentaire (page 6).

Malgré ces sujets brûlants, nous continuons de faire notre travail. En d’autres termes, nous contrôlons et payons (dans la plupart des cas) vos factures de médecin et d’hôpital. Chaque mois en effet, Sanitas traite en moyenne plus de 500 000 factures et débourse plus de 200 millions de francs. Notre objectif est de vous rembourser sous 7 jours après réception de la facture. Et chaque jour, nos collaborateurs des Service Centers conseillent plus de 3500 clients au téléphone.

Par ailleurs, nous souhaitons sans cesse vous offrir de nouvelles prestations destinées à vous simplifier la vie. Aussi avons-nous créé deux petites vidéos, l’une expliquant en des termes simples comment réaliser des économies en choisissant une franchise à option, l’autre présentant les avantages d’Upgrade, un produit novateur. Découvrez-les sur www.sanitas.com/video-fr (détails en page 8).

Nous continuons de nous engager pour vous, jour après jour.

Otto Bitterli

«Chaque jour, nos collaborateurs des Service Centers conseillent plus de 3500 clients au téléphone.»

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Nouveautés

Salut les enfants! Je m’appelle Sani. Aujourd’hui, je suis le

capitaine d’un navire et explore de nouvelles contrées. Regardez! Devant nous se dresse une île mystérieuse. Quelle surprise nous réserve-t-elle? Inventez une histoire et envoyez-la. Il y a de

superbes prix à gagner. Vous en apprendrez davantage en page 16 et sur

www.sanitas.com/sani-fr

100 000 inscrits sur le portail clients de SanitasToutes nos félicitations! Rita Hürlimann est la 100 000e cliente du portail SanitasNet.

Rita Hürlimann s’est inscrite sur le portail SanitasNet cet été, devenant ainsi une cliente «zéro papier». «Pouvoir consulter en tout temps mes factures de prime sur inter-net en cas de questions s’avère très pratique», affirme cette conseillère en décoration d’intérieurs de 44 ans. (Plus de détails en page 9). Elle devient ainsi la 100 000e personne à s’inscrire sur le portail depuis son lancement en 2012. Rita Hürlimann et les 99 999 autres clients de Sanitas en connaissent les avantages: le portail leur permet de trai-

ter leurs affaires d’assurance en quelques clics seulement, tout en conservant une vue d’ensemble de leurs données personnelles et de leurs coûts de santé. Et ce gratuitement, 24h/24, dans le monde entier. Par ailleurs, ils préservent l’environnement en diminuant leur consommation de papier.

Vous aussi, inscrivez-vous sur www.sanitas.com/inscription

Rita Hürlimann, une cliente Sanitas «zéro papier»

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Nouveautés

Moteur!Bien souvent, les images sont plus évocatrices qu’un long dis-cours. Aussi avons-nous créé deux petites vidéos destinées à expliquer en des termes simples des sujets complexes.

1. Franchise et quote-part: comment économiser sur les primes avec une franchise à option?

2. Hospital Upgrade: comment, concrètement, fonctionne cette nouvelle assurance complémentaire?

Vous en apprendrez davantage en page 8.

Recherche d’un thérapeute alternatif sur sanitas.comSanitas vous simplifie un petit peu plus la vie: sur le site internet de l’entreprise, il est désormais possible de rechercher les thérapeutes alternatifs situés à proxi-mité de votre domicile. Il suffit de choisir la thérapie souhaitée, puis d’indiquer le nom du thérapeute ou/et le NPA. Pour chaque thérapeute, vous pourrez voir éga-lement quelles sont les méthodes alternatives rem-boursées par Sanitas. En résumé: Sanitas, toujours une alternative de plus.

www.sanitas.com/medecine-alternative

Saviez-vous que nos clients nous attribuent les meilleures notes pour la convivialité, la disponibilité et la fiabilité de notre service? Le sondage de Comparis mené en 2014 révèle que Sanitas a obtenu la note de 5,2 dans la catégorie «compétence et disponibilité des collaborateurs». Nous nous réjouissons de cet excellent résultat et vous adressons tous nos remerciements. Nos conseillers clients souhaitent vous proposer leurs services. N’hésitez pas à nous contacter pour tout renseignement complémentaire.

Plus d’informations en page 8.

Un service de classe pour vous

Saviez-vous que...?

Rita Hürlimann, une cliente Sanitas «zéro papier»

Qui remportera le prix Challenge 2014 de Sanitas?Huit vainqueurs régionaux sont nominés pour le prix national Challenge 2014 de Sanitas. Qui montera sur la première marche du podium à la fin octobre? Votez pour votre favori: www.sanitas.com/prix-challenge (plus d’in-formations en page 18).

Votez

maintenant!


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Point fort

Primes: tendance 2015

Adaptation des primes selon la région et le modèleConcernant les primes de l’assurance de base, un ajustement supérieur à celui des années précédentes s’avère nécessaire. Cette hausse varie fortement en fonction du modèle d’assurance et de la région. La grande majorité des assurés bénéficiera de primes stables dans les assurances complémentaires.

Texte: Tanja Funk

Assurance de base En raison de l’augmentation générale des coûts, une adap-tation des primes dans le domaine de l’assurance de base est nécessaire. Celle-ci sera légèrement plus importante que les années précédentes (franchise standard CHF 300.–, âge 26+, sans accident). Les adaptations seront très diffé-rentes selon les régions. Pour certaines d’entre elles, aucune augmentation ne sera nécessaire. En outre, les ad aptations varieront selon le modèle d’assurance et la franchise que vous aurez choisis (rabais sur les franchises: voir l’encadré de la page de droite). En choisissant un mo-dèle d’assurance alternatif dans l’assurance de base, vous

pouvez influencer votre prime en bénéficiant de différents rabais:

CallMed, avec premier conseil télémédical par téléphone: avec CallMed, vous vous engagez, en cas de problème de santé, à toujours contacter en premier lieu la hot-line médicale. Vous profitez d’un rabais de 9% sur vos primes.

Modèle du médecin de famille CareMed: vous optez pour un médecin de famille et vous adressez toujours en pre-mier à lui si vous avez besoin de soins médicaux. Vous profitez d’un rabais de 8% sur vos primes.

Modèle du médecin de famille NetMed: vous vous engagez, en cas de problème de santé, à toujours consulter un mé-decin de famille qui fait partie d’un réseau de médecins. Vous profitez d’un rabais sur vos primes pouvant at-teindre 16%.

Notre moteur de recherche vous permettra de trouver facilement un médecin de famille près de chez vous. Le système vous indique automatiquement si le médecin fait partie d’un réseau de médecins: www.sanitas.com/recherchedemedecin

Avons-nous éveillé votre intérêt? Alors, adressez-vous directement à votre Service Center ou à votre conseiller personnel.

Compensation des primes Le Parlement a décidé de compenser le déséquilibre des primes cantonales qui s’était formé les années précédentes dans le domaine de l’assurance de base. Cette compensation sera versée entre 2015 et 2017. L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) déter-minera les montants pour chaque canton.

Vous obtiendrez des informations détaillées sur la compensation des primes en octobre, avec votre police, ou à l’adresse www.sanitas.com/compensationprimes


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Point fort

Assurances complémentairesAssurances complémentaires ambulatoires: pour la plupart des assurances complémentaires ambulatoires, les primes restent inchangées.

Assurances d’hospitalisation en division générale: les primes restent inchangées.

Assurances d’hospitalisation en division privée ou demi- privée: des augmentations sont nécessaires pour certains produits. Ces dernières varient selon l’évolution des coûts par communauté d’assurés.

Toutes les indications sur les primes s’entendent sous réserve de l’approbation de l’Office fédéral de la santé publique et de l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers FINMA. Vos primes individuelles 2015 figureront sur votre police que nous vous enverrons en octobre.

Voici comment économiserEnvisagez une franchise plus élevée dans l’assurance de base: plus la franchise est élevée, plus le rabais sur les primes est important. Pour plus de détails, visionnez la vidéo à l’adresse www.sanitas.com/video-fr

Franchise à option Rabais annuel

CHF 500.– Max. CHF 140.–

CHF 1000.– Max. CHF 490.–

CHF 1500.– Max. CHF 840.–

CHF 2000.– Max. CHF 1190.–

CHF 2500.– Max. CHF 1540.–

Choisissez un modèle d’assurance alternatif: Sanitas propose plu-sieurs modèles d’assurance alternatifs dans l’assurance de base (voir aussi l’article principal):

• le modèle télémédical CallMed: 9% de rabais.

• le modèle du médecin de famille CareMed: 8% de rabais.

• le modèle du médecin de famille NetMed: jusqu’à 16% de rabais.

Appelez la hot-line médicale: en cas de problèmes de santé, contactez la hot-line médicale. Vous pouvez ainsi éviter des consultations inu-tiles chez le médecin et économiser du temps et de l’argent. Sanitas vous propose ce service gratuit 24 heures sur 24. Vous trouverez le

numéro de téléphone sur votre carte d’assurance (tél.: 0844 124 365).

Génériques: demandez toujours des génériques à votre médecin ou à votre pharmacien. Les génériques sont des copies de médicaments contenant les mêmes principes actifs que ceux-ci, mais qui coûtent souvent bien moins cher. Vous trouverez un moteur de recherche de génériques sur www.sanitas.com/generiques

Modifiez votre mode de paiement: si vous décidez de régler votre facture de primes en avance par un virement annuel, nous vous ac-cordons un escompte de 1% (en cas de paiement semestriel, 0,5%).

Excluez la couverture accidents de votre assurance de base: si vous travaillez au moins huit heures par semaine chez le même employeur, vous êtes obligatoirement assuré contre les accidents professionnels et non professionnels par celui-ci. Vous faites ainsi une économie de 6,5% sur vos primes.

Laissez-nous vous conseiller: nos conseillers clients se tiennent à votre disposition au 0844 150 150 (nos assurés en division privée ou demi-privée sont priés de contacter leur conseiller Preference ou d’appeler le 0844 170 170).

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Un service de classe pour vous

Vidéo: la franchise et Hospital Upgrade expliqués simplementFilm sur la franchiseComment fonctionne la franchise? Quelle est la différence entre la franchise et la quote-part? Nous avons créé une vidéo pour vous expliquer ces termes en toute simplicité. En 90 secondes, la vidéo vous apprend comment économiser sur vos primes en choisissant une franchise à option. Et dans quel cas opter pour une franchise plus élevée.

Film sur Hospital UpgradeIl existe également une vidéo présentant l’assurance complé-mentaire Hospital Upgrade. Cette dernière vous permet, pendant 20 ans, de passer à une assurance d’hospitalisation en division demi-privée ou privée sans devoir vous soumettre à un nouvel examen de l’état de santé. (Vous en apprendrez plus sur Hospital Upgrade en page 10.)

Les deux vidéos figurent à l’adresse www.sanitas.com/video-fr

Pour pouvoir bénéficier d’Hospital Upgrade, vous devez disposer d’une assurance d’hospitalisation en division générale chez Sanitas. Vous devez également réussir l’examen de santé.

Un incident est vite arrivé. Si votre état de santé s’est dégradé, cela peut empêcher votre admission dans une assurance complémentaire d’hospitali-sation en division demi-privée ou privée.

Une personne qui se rend rarement chez le médecin peut économiser jusqu’à 1000 francs par an en adaptant sa franchise.

Elle dispose ainsi de davantage d’argent pour s’offrir de belles choses.

Hospital Upgrade:Franchise:


GOOD THINGS

IN L IFE

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Moins de paperasse, plus de temps pour la créativitéArt ou nature: ce qui est sûr, c’est que la 100 000e cliente inscrite sur le portail en ligne SanitasNet aura désormais plus de temps pour l’essentiel!

Texte: Susanne Wagner Photo: Gerry Nitsch

Lorsque Rita Hürlimann s’est réveillée en ce 20 juin, elle ne se doutait pas encore qu’elle allait devenir ce jour-là la 100 000e cliente de SanitasNet. Cette conseillère en décora-tion d’intérieurs et domiciliée à Hausen am Albis avait tout autre chose en tête: quelques jours auparavant, on avait découvert dans son œil la présence d’un minuscule éclat métallique. Il lui fallait donc un procès-ver-bal d’accident et elle avait appelé Sanitas. «On m’a expliqué qu’il me suffisait, tout simplement, de remplir le formulaire sur le portail en ligne SanitasNet», se souvient Rita Hürlimann. Elle s’est donc inscrite, comme les 99 999 autres clients avant elle, et a rapidement été désignée par le système comme la 100 000e cliente de SanitasNet.

«J’ai de la chance d’être en bonne santé et de n’avoir presque jamais rien», explique Rita Hürlimann avec le sourire. Mais elle est contente d’avoir maintenant toutes ses don-nées à portée de clic: «C’est bien de ne pas être tenue à des horaires et de pouvoir lire quelque chose à tête reposée le soir.» Elle

peut désormais accéder, facilement et quand elle le désire, à ses décomptes de prestations ou à ses paiements, modifier ses données personnelles et même changer, en un tour de main, des détails importants comme sa franchise.

Rita Hürlimann n’est pas seulement séduite par cette communication sans papier plus respectueuse de l’environnement. Grâce à cette plateforme d’usage très simple, la fleu-riste sait qu’elle pourra consacrer plus de temps à ce qu’elle préfère faire: donner libre cours à sa créativité d’artiste en travaillant des matériaux naturels comme le bois flotté, transmettre sa passion à d’autres au travers d’un cours de loisirs créatifs ou les conseiller pour aménager leur espace de vie selon les règles millénaires du feng shui.(www.raumgefuehl.ch).

Plus de temps, moins de papier, cela vous tente aussi? Renseignez-vous sur www.sanitas.com/portailclients

Rita Hürlimann, cliente Sanitas, aime travailler les matériaux naturels.

«Grâce à SanitasNet, je ne suis pas tenue à des horaires fixes.»


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A vos côtés pour la vie

Hospital Upgrade

Le choix pendant 20 ansL’assurance complémentaire Hospital Upgrade de Sanitas vous permet de bénéficier d’une extension de votre couverture d’assurance d’hospitali-sation sans devoir vous soumettre à un nouvel examen de l’état de santé.

Texte: Marc Stahel Photo: Tobias Stahel

Savez-vous quel sera votre état de santé dans une quinzaine d’années? «Nul besoin d’y penser pour l’instant», rétorquerez-vous. «Le moment venu, j’aurai les moyens de conclure une assurance de-mi-privée ou privée.»

Nombreux sont ceux qui tiennent ce raisonne-ment. Toutefois, il ne faut pas oublier que tout as-suré doit se soumettre à un nouvel examen de l’état de santé lorsqu’il souhaite bénéficier d’une assu-rance d’hospitalisation de catégorie supérieure. Il est tout à fait possible que la proposition ne soit acceptée qu’avec une réserve, voire refusée. Cela dépend de votre état de santé au moment de la demande. Il n’est pas exclu, en raison d’une mala-die ou des suites d’un accident, que vous ne puis-siez plus conclure une assurance en division privée ou demi-privée.

Un examen de l’état de santé valable pendant 20 ansL’assurance complémentaire Hospital Upgrade vous protège contre ce risque. En effet, elle vous permet de passer en division demi-privée ou privée sans devoir vous soumettre à un nouvel examen de l’état de santé.

Pour bénéficier de cette prestation, il vous suffit de répondre au questionnaire de l’état de santé. Ce-lui-ci gardera sa validité pendant 20 ans et vous permettra d’étendre votre assurance d’hospitali-sation quand bon vous semble pendant ce laps de temps.

«Avec ce nouveau produit, nous proposons une liberté de choix totale à nos clients. Pendant 20 ans, ils peuvent, en quelque sorte, «geler» leur état de santé. Ils ont ensuite la possibilité d’adapter leur couverture à leurs besoins», explique Andreas Götz, chef du département Distribution.

Qui peut conclure Hospital Upgrade?Tous les assurés qui disposent d’une assurance d’hospitalisation en division générale (Hospital Standard Liberty) ou en division demi-privée (Hospital Extra Liberty). Les assurés qui souhaitent conclure Hospital Upgrade doivent avoir moins de 60 ans. Il est possible de faire valoir l’upgrade jusqu’à l’âge de 64 ans. Les jeunes jusqu’à 15 ans peuvent profiter du passage jusqu’à leurs 36 ans. La durée maximale du droit à l’upgrade est de 20 ans; pour les enfants, elle est de 36 ans. L’upgrade peut être effectué tous les deux ans. Pour un homme de 40 ans, la prime mensuelle de Hospital Upgrade se situe entre 6 et 8 francs, risque accidents inclus.

Avons-nous éveillé votre intérêt? Nos conseillers se tiennent volontiers à votre disposition au 0844 150 150 (nos assurés en division demi- privée sont priés de contacter leur conseiller Preference ou d’appeler le 0844 170 170). Vous trouverez de plus amples informations sur www.sanitas.com/upgrade-fr

Sur ce site internet, vous trouverez également une vidéo vous présentant les avantages d’Hospital Upgrade.


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Les possibilités de choix avec Hospital Upgrade

Hospital Standard Liberty

• Chambre à plusieurs lits

• Libre choix de l’hôpital pour tous les hôpitaux conventionnés de Suisse

• Possibilité de choisir la division privée ou demi-privée avant l’admission à l’hôpital

Hospital Extra Liberty

• Chambre à deux lits

• Libre choix de l’hôpital et du médecin dans tous les hôpitaux de Suisse reconnus par Sanitas

• Possibilité de choisir la division privée avant l’admission à l’hôpital

Hospital Extra Liberty

• Chambre à deux lits

• Libre choix de l’hôpital et du médecin dans tous les hôpitaux de Suisse reconnus par Sanitas

• Possibilité de choisir la division privée avant l’admission à l’hôpital

Hospital Top Liberty

• Chambre à un lit

• Libre choix du médecin et de l’hôpital dans le monde entier (traitements à option et urgences)

Votre assurance actuelle:

Votre assurance actuelle:

Vous choisissez Hospital Upgrade pour:

Vous choisissez Hospital Upgrade pour:


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Moniteur

Monsieur,

Le modèle de la Suva, une entreprise de droit public pour l’assurance accidents, montre bien qu’une caisse unique peut être moins chère et plus efficace. En notre qualité de fournisseurs de prestations, nous pouvons discuter entre collègues, en toute franchise et dans les détails, du meilleur traitement à proposer aux patients accidentés. La multitude des caisses maladie, au contraire, provoque une situation confuse, très bureaucratique. La quantité de formulaires et de courriers est énorme. Par ailleurs, les réponses prennent bien souvent du temps et sont laconiques.

Nous autres, fournisseurs de prestations, souhaitons entre-tenir des rapports clairs. Une caisse unique aurait, comme la Suva, des médecins dûment formés qui seraient à tout moment à notre disposition pour discuter avec nous et concevoir le meilleur traitement possible pour nos patients.

Cordialement, Franco Cavalli

A:

De: [email protected]

[email protected]

caisse uniqueObjet:

«L’expérience des autres pays montre qu’une concurrence accrue, où l’offre (et non la demande) est déterminante, entraîne une hausse des coûts de la santé.»Franco Cavalli

Monsieur,

La Suva n’est pas un bon exemple, car il s’agit d’un orga-nisme d’assurance de rente et d’assurance accidents. Les tâches administratives et les primes sont du ressort des employeurs. La Suva assure les entreprises; elle ne connaît pas ses assurés, sauf s’ils sont victimes d’un accident. Elle dispose d’un droit d’injonction, limitant ainsi le libre choix du médecin. La concurrence entre elle et les assureurs acci-dents privés est saine. Et c’est justement cela que l’initiative entend abolir dans le domaine de l’assurance maladie.

Petite comparaison: l’assurance invalidité publique est en-dettée à hauteur de 14 milliards. Pour cause, c’est le Parle-ment – autrement dit personne directement – qui en tient les rênes. Il est donc incompréhensible de confier aux politiques une responsabilité supplémentaire et de supprimer un sys-tème fonctionnant parfaitement et libre de toute dette.

Bien à vous, Walter Grete

A:


[email protected]

RE: caisse uniqueObjet:

Caisse unique? Bien sûr!Franco Cavalli, médecin-chef du service d’oncologie de l’hô-pital de Bellinzone, est professeur à l’université de Berne et de Varese. Actif au sein du PS pendant plusieurs années, il est membre du «Comité des médecins pour une caisse publique d’assurance-maladie».

Débat par e-mail

Qu’apporte la caisse unique aux patients et aux médecins?Franco Cavalli, oncologue, pense qu’une caisse unique basée sur le modèle de la Suva serait plus efficace et moins chère que le système actuel, regroupant de nombreuses assurances maladie. Le docteur Walter Grete réplique.


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Caisse uniqueL’initiative populaire, soumise à votation le 28 septembre, de-mande l’institution par la Confédération d’une caisse-maladie unique qui serait chargée de mettre en œuvre l’assurance obliga-toire des soins en lieu et place des 61 assureurs-maladie opérant à l’heure actuelle. Des filiales décentralisées fixeraient les primes cantonales, les encaisseraient et assureraient le remboursement des prestations. Cette caisse unique serait gérée en commun par la Confédération, les cantons, les assurés et les fournisseurs de prestations. Il y aurait une prime unique seulement par canton.

www.sanitas.com/caisseunique Sanitas rejette cette initiative, car une caisse unique ne rédui-

rait pas les coûts (au contraire). Elle abolirait la liberté de choix de nos clients et se traduirait par un surcroît d’administration et des réductions de prestations.

www.caissepublique.ch Les arguments des initiants en faveur de la caisse unique.

www.alliance-sante.ch Le dossier d’alliance santé contre la caisse unique.

A:


[email protected]

RE: RE: caisse uniqueObjet::

Monsieur,

Vous vous écartez du sujet... Je parle bien évidemment des accidents dans les entreprises. Dans ce domaine-là, il n’existe aucune concurrence. C’est justement pour cette raison que la Suva est aussi compétitive et avantageuse. L’expérience faite dans d’autres pays montre qu’une concur-rence accrue, où l’offre (et non la demande) est détermi-nante, entraîne une hausse des coûts de la santé. Vous le savez aussi bien que moi.

Encore une précision: l’AI, que les employeurs ont utilisée pendant des dizaines d’années comme un exutoire au chô-mage, n’a rien à voir avec les caisses maladie. La majorité des patients s’accordent à dire que le système actuel de l’assurance maladie ne fonctionne pas bien. Ce sont avant tout les managers des caisses qui en profitent. Les fournis-seurs de prestations et les patients sont soumis au diktat de ces dernières. La caisse unique, au contraire, serait démo-cratique et paritaire, puisque dirigée par les représentants des patients, des médecins et de l’administration. Le milieu politique ne s’approprie rien du tout!

Cordialement, Franco Cavalli

A:


[email protected]

RE: RE: RE: caisse uniqueObjet:

Monsieur,

Les employeurs ne décident pas des rentes de l’AI. L’utilisa-tion abusive de l’AI publique durant plusieurs années révèle la passivité du législateur à rechercher une solution aux problèmes. Une caisse unique n’y changerait rien. Les gou-vernements qui ont adopté ce système sont fortement en-dettés. Les primes, destinées à rembourser les intérêts et réduire la dette, flambent et devront être supportées par les générations futures.

Notre système fonctionne bien. L’équilibre social, via les recettes fiscales, est exemplaire et équitable. L’accès à des prestations de santé de premier ordre est garanti pour tout un chacun, qui peut individualiser judicieusement sa propre couverture d’assurance. Une prime unique supprimerait cette possibilité de réaliser des économies au niveau indivi-duel. Séparer les assurances complémentaires, collectives et celles des indemnités journalières compliquerait forte-ment le système de santé et le rendrait plus cher. Et les malades n’en retireraient aucun avantage. Veillons à préser-ver un système abouti, qui a fait ses preuves.

Bien à vous, Walter Grete

«A l’étranger, les caisses uniques sont fortement endettées; elles utilisent les primes pour rembourser les intérêts et réduire leur dette.»Walter Grete

Caisse unique? Non merci!Walter Grete, ancien président de la Société de médecine du canton de Zurich, est membre du comité d’alliance santé «Méde-cins contre la caisse unique».


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Peau d’enfant bien protégéeDurant les vacances d’automne, de nombreuses familles partent dans le sud pour recharger une dernière fois les batteries. Attention: même le soleil automnal peut être dangereux pour la peau de vos petits. Que faire?

Les t-shirts clairs en coton laissent passer environ 40% des rayons UV. Donc, plus le tissu est foncé, mieux la peau est pro-tégée. Ce que beaucoup ignorent: les fibres synthétiques telles que le polyester protègent bien mieux contre les UV que le coton.

La ligue suisse contre le cancer (www.liguecancer.ch) recom-mande aux enfants et aux personnes ayant la peau claire des vêtements spéciaux anti-UV, qui bloquent les rayons du soleil. La règle d’or est: plus les mailles du tissu sont étroites, mieux la peau est protégée. Toutefois, les habits protègent moins contre le soleil lorsqu’ils sont mouillés ou étirés. Pour le consommateur lambda, il est difficile de savoir si un vêtement avec filtres UV

tiendra véritablement ses promesses. Lors de l’achat, il faut donc faire attention à choisir des vêtements respectant la norme «UV-Standard 801», synonyme de sécurité et de contrôle.

Voici comment protéger au mieux votre enfant: • mettez de la crème solaire avec un indice élevé sur les parties exposées;

• munissez-le d’un chapeau à bords larges qui couvre aussi la partie sensible de la nuque;

• préférez les vêtements sombres au tissage épais; • veillez à ce que les vêtements anti-UV respectent la norme «UV-Standard 801».

Gros plan sur l’appli santéFitForTravel

Malaria, hépatite, choc thermique ou morsure de serpent: tout peut arriver pendant les voyages. Et il vaut mieux s’informer au

préalable sur les éventuels risques de santé et les vaccins nécessaires. Nous faisons donc un gros plan sur l’appli santé FitFor-Travel, qui connaît un franc succès. L’appli-cation gratuite fournit des conseils de santé pour plus de 300 pays.

Vous pouvez utiliser l’appli FitForTravel avec les appareils Android (version 2.3.3 et plus) ainsi qu’avec l’iPhone, l’iPad et l’iPod (version iOS 5.0 et plus).

Notre évaluation Sélection de la destination sur la carte

du monde: l’appli affiche alors les infor-mations importantes pour le pays sélectionné telles que les risques de santé, les vaccins recommandés, etc.

Conseils utiles. Informations médicales fournies par des médecins.

Aucune fonction de recherche.

Présentation trop chargée, police parfois trop petite.

Application focalisée sur l’Allemagne (médecins, ambassades); seul l’anglais peut être sélectionné comme alterna-tive.

Recherche de médecin pas toujours fonctionnelle.

Le système de santé jouit d’une bonne réputation auprès de la popu-lation suisse: 76% en ont une image très positive ou assez positive. Jamais ce taux d’approbation n’a été aussi élevé depuis l’entrée en vigueur de la loi fédérale sur l’assurance-maladie en 1996. Le résultat de ce sondage contredit néanmoins les publications dans les médias, dans lesquelles le système de santé est toujours au banc des accusés, notamment en raison des coûts. (Source: www.interpharma.ch)

76%


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Santé

Le plus important, lorsqu’un enfant souffre de diarrhée et de vomissement, est l’ingestion de liquide, car les enfants se déshydratent très vite. C’est pro-bablement la raison pour laquelle on leur donne souvent du Coca. Toutefois, le Coca (tout comme le Coca light ou le Coca Zero) n’est pas un remède ap-proprié, car il contient trop de sucre ou d’édulcorants, ce qui accentue la diarrhée. En outre, ce type de boisson ne compense pas la perte de sel.

Il vaut donc mieux lui faire boire la mixture suivante: 6 cuillères à café de sucre et 1⁄2 cuillère à café de sel bien diluées dans un litre d’eau. Pour que le mélange ait meilleur goût, vous pouvez ajouter 1 dl de jus d’orange ou une banane écrasée. Donnez-le ensuite à votre enfant à la petite cuillère. Après 4 à 6 heures, il devrait à nouveau manger de la nourriture solide. Ainsi, il ne perd pas trop de poids, et la diarrhée devrait passer plus vite. Nous recom-mandons des aliments riches en féculents tels que le riz, le pain ou la soupe aux carottes.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), ce type de mixture peut être donné à des enfants dès l’âge de six mois. Pour les enfants de trois ans ou plus, vous pouvez compléter le traitement avec du charbon médicinal, que vous trouverez en pharmacie ou en droguerie. Si vous allaitez votre enfant, vous devriez poursuivre absolument l’allaitement. Ceci étant, veillez à rac-courcir la durée des tétées et à en augmenter la fréquence. Vous pouvez également donner à votre enfant des tisanes à base de fenouil, ce en quantité suffisante, de manière à ce qu’il mouille régulièrement ses couches.

Si votre enfant ne joue plus, montre des signes de somnolence, a un pouls élevé ou du sang dans les selles, une forte fièvre, des douleurs abdominales ou des rougeurs, vous devriez absolument consulter un médecin.

Vous demandez, Medgate vous répond

En cas de diarrhée, faut-il boire du Coca?Un jour, mon fils de 2 ans a eu la diarrhée, et a même dû vomir. La plupart de mes connaissances m’ont alors donné ce conseil: «Donne-lui du Coca bien froid à la petite cuillère.» Est-ce vraiment le meilleur remède?

Medgate: service gratuit pour les clients SanitasMedgate est le fournisseur leader de prestations télémédicales en Suisse. Au sein du Medgate Telemedicine Center, les patients du monde entier bénéficient d’un suivi permanent par té-léphone, internet ou vidéo en cas de problèmes de santé généraux ou aigus.

Medgate offre aux assurés Sanitas des rensei-gnements médicaux gratuits, 24 heures sur 24. Vous évitez ainsi une visite inutile chez le mé-decin, tout en économisant du temps et de l’argent. L’équipe Medgate, composée de plus de 70 médecins et 50 assistantes télé médi -cales, se fait un plaisir de vous conseiller au 0844 124 365 (7 jours sur 7, 24 heures sur 24).

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Îles tropicales Teste tes connaissances sur les îles lointaines à l’adresse www.sanitas.com/sani-fr. Tu y trouveras de nombreuses informations sur les noix de coco ainsi que des recettes à base de coco.

Comment découvrir les tropiques tout en restant en Suisse? Par exemple à la forêt pluviale de Masoala au zoo de Zurich (www.zoo.ch) ou à la Maison tropicale de Frutigen et Wolhusen (www.tropenhaus.ch).

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Kids

Les aventures du capitaine SaniSani a décidé d’explorer le vaste monde. Il a eu vent d’une île sur laquelle pous-seraient des cocotiers. Il n’a jamais mangé de noix de coco et est impatient de goûter ce fruit. L’île aux cocotiers est en vue! Est-elle habitée? Des animaux sauvages y vivent-ils? Quelle est la suite de l’histoire? Fais preuve de créativité et imagine la suite des aventures de Sani sur l’île aux co-cotiers. Nous publierons les meilleures histoires sur www.sanitas.com/sani-fr

1er prix: une visite en famille de la forêt pluviale de Masoala au zoo de Zurich Du 2e au 4e prix: un bon pour un livre audio

Envoie ton histoire par e-mail à [email protected] N’oublie pas d’indiquer ton adresse. Tu peux aussi l’envoyer par courrier à Sanitas, Rédaction Magazine, «Île aux cocotiers», case postale, 8021 Zurich

Date limite d’envoi: 17 octobre 2014

Illustration: Michael Meister


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Prix Challenge Sanitas

Votre voix compte!

Qui remportera le prix Challenge 2014 de Sanitas?Huit vainqueurs régionaux sont nominés pour le prix national Challenge 2014 de Sanitas. Qui montera sur la première marche du podium à la fin octobre? Votez pour votre favori!

Texte: Ursula Heiniger Photo: Thomas Stöckli

Huit vainqueurs régionaux (voir page ci-contre) briguent le prix Challenge 2014 de Sanitas qui sera décerné en octobre prochain. L’impatience est grande. Apprenez-en plus sur les finalistes et votez pour votre favori: le projet rassemblant le plus de voix remportera le vote du public 2014.

Les huit finalistes, qui ont déjà convaincu les jurys régionaux, ont gagné chacun un prix de 5000 francs récompensant leur engagement en faveur du sport. Une victoire qui leur permet de rester en lice pour le prix Challenge national 2014 de Sanitas. Le 23 octobre, un jury national composé de membres prestigieux

élira le vainqueur 2014. En font notamment partie Tanja Frieden, championne olympique de snowboard, Köbi Kuhn, ancien en-traîneur de la Nati, Daniela Milanese, présentatrice sportive à la TV et... vous, qui représentez la voix du public! Le lauréat du prix Challenge national de Sanitas se verra remettre 20 000 francs pour son engagement.

Une récompense pour les associations sportives Les projets récompensés offrent aux enfants et aux jeunes un environnement adapté pour pratiquer une activité physique avec d’autres jeunes de leur âge. La compétition distingue les organisations qui, par des idées novatrices, s’engagent de ma-nière durable pour la relève sportive dans le sport de masse.

Vous trouverez des informations complémentaires sur www.sanitas.com/prix-challenge et www.facebook.com/sanitas.challenge

Le Prix Challenge SanitasCe prix d’encouragement, décerné par Sanitas, récompense les associations sportives et les as-sociations qui s’engagent, grâce à des idées nova-trices, en faveur du sport pour les enfants et les jeunes.

Votez

maintenant!


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Prix Challenge Sanitas

Huit associations sont encore en lice Région de BerneStrassenliga Kanton Bern La Strassenliga Kanton Bern offre à 2000 enfants et adolescents un cadre ré-gulier d’activités portant sur le football de rue. Lors de tournois locaux, les équipes s’affrontent afin de se qualifier pour la finale régionale, puis pour la finale can-tonale. La participation à la Strassenliga Bern est gratuite, mais requiert néan-moins l’initiative des enfants et des ado-lescents. Ainsi, ils se préparent eux-mêmes aux tournois, déterminent le temps d’entraînement et fixent ensemble les règles du jeu.

Région du nord-ouest de la SuisseHC Ehrendingen Le HC Ehrendingen a su enthousiasmer toute la zone de desserte du Wehntal et Surbtal pour le handball. Le projet, qui encourage 700 enfants de la région entière à bouger, se compose de trois piliers: cours de handball dans les écoles, offre d’activités sportives extrascolaires facul-tatives et participation aux tournois de handball scolaires. Par ailleurs, les élèves ont la possibilité de participer à un entraî-nement pendant la pause de midi, pro-posé comme cours de sport scolaire J+S.

Région du TessinATFA LakersLe football américain est réputé pour être un sport plutôt brutal. Ne vous fiez pas aux apparences! Le club de football amé-ricain de Lugano (Associazione Ticinese Football Americano, ATFA) mise sur la loyauté, le respect, l’esprit d’équipe, la discipline et le soutien mutuel. Plus d’une centaine d’enfants et d’adolescents de la région s’entraînent à l’ATFA, qui associe sport collectif, tactique et force physique.

Région de la Suisse orientaleSC Flös Buchs En forme dans l’eau – des petits marmots aux seniors! Tel est l’objectif du club de natation Flös à Buchs SG, qui se compose des secteurs natation et natation synchro-nisée. L’offre du club va de l’initiation des petits à l’eau aux cours d’aquagym, en passant par des cours de natation pour les athlètes et les amateurs. Les jeunes femmes ont la possibilité d’intégrer une équipe de spectacle et d’exercer la nata-tion synchronisée comme sport de loisir, une discipline uniquement proposée, en général, comme sport de compétition.

Région du nord de la Suisse romandeTennis Club Val-de-RuzLe Tennis Club Val-de-Ruz s’adresse aux jeunes sportifs de 4 à 18 ans. Les enfants et les adolescents peuvent s’entraîner dans toutes les catégories, même dans celle des cadres Elite. L’association sou-tient financièrement les talents les plus prometteurs et élabore, grâce à des parte-nariats avec les écoles et les fédérations sportives, les conditions-cadres idéales pour un entraînement efficace.

Région du sud de la Suisse romandeDisc Golf Genève Disc Golf Genève s’engage en faveur d’une discipline sportive encore jeune. Ce sport se pratique avec un frisbee que les joueurs tentent de lancer, en moins de coups pos-sibles, dans des paniers à partir d’un point de tir. Disc Golf Genève entend promou-voir ce sport à tous les niveaux et le rendre accessible à un vaste public en organisant des tournois et des cours d’initiation. Cette discipline ne requiert aucune condi-tion physique particulière.

Région de la Suisse centraleNidwaldner Klassencup A la Nidwaldner Klassencup, les classes scolaires du secondaire, venant de toutes les communes du canton, s’affrontent dans différentes disciplines. Le succès est au rendez-vous: ce sont désormais 2500 élèves qui participent chaque année à cette compétition. Son but? Stimuler l’entraînement ciblé et multisports de l’enseignement obligatoire, tout en encou-rageant les compétences sociales des ado-lescents ainsi que les relations entre élèves et enseignants.

Région de Zurichalpine-experience alpine-experience est un club d’escalade. Les activités de l’association favorisent l’esprit de camaraderie et l’aide à autrui, tout en préservant la nature. Lors des en-traînements et des camps de grimpe, les participants apprennent à pratiquer un assurage fiable, à avoir confiance en soi lors de l’escalade et à être responsables des autres. alpine-experience aide égale-ment les enfants et les adolescents dont les familles disposent de moyens finan-ciers limités afin qu’ils puissent vivre une expérience inoubliable en montagne.

Votez maintenant!Quel projet est le plus convaincant? Le public fait partie du jury et compte pour une voix. Des portraits filmés des finalistes sont disponibles sur www.facebook.com/sanitas.challenge et sur www.sanitas.com/prix-challenge, où vous pourrez également voter pour votre favori. Ce faisant, vous participerez auto-matiquement au tirage au sort de 10 bons d’achat Ochsner Sport d’une valeur totale de 1000 francs.


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Changement de cap

«

»Recherchons passionnésVotre changement de cap

Votre histoire nous intéresse: y a-t-il eu, dans votre vie, un moment où vous avez décidé de prendre une orientation nouvelle? Alors écrivez-nous à [email protected]

roport de Zurich, je suis entièrement au service de la protection incendie.

Le feu m’a toujours fasciné, bien qu’enfant, j’en étais terrifié. Mon ave-nir professionnel semblait tout tracé, et ce dans une direction complète-ment différente, car je viens d’une famille de médecins. Mon père, mon grand-père, mon arrière grand-père, et même ma mère étaient tous méde-cins. Il semblait donc évident que je choisisse la même voie.

Or, rien ne s’est passé comme prévu. A l’âge de 16 ans, j’ai participé à un camp de ski organisé par les Unions Chrétiennes Suisses, et j’ai passé une semaine exceptionnelle. Les discus-sions controversées sur Dieu et le monde ont donné naissance à de nouvelles amitiés et éveillé ma pas-sion pour la théologie. Je me suis ensuite procuré une multitude de livres sur ce sujet et, après avoir ob-tenu ma maturité, option grec, j’ai entamé des études de théologie, à la grande surprise de mes parents.

Ma passion pour la théologie s’est toujours basée sur la recherche des aspects à la fois pragmatiques et hu-mains de la croyance. Dans le cadre de mes études, j’ai effectué un stage d’un an au sein d’une congrégation rurale zurichoise, et j’ai vite ressenti

«Récemment, à Langnau am Albis, où j’habite, une ferme était en flammes. J’ai pénétré dans le bâtiment avec la première équipe de sapeurs-pom-piers équipés de masques de protec-tion respiratoire. Nous avons réussi à éteindre l’incendie avant que la ferme ne soit complètement réduite en cendres.

J’aime aussi accomplir ce genre de prouesses durant mon temps libre, mais dans ma fonction de chef de section des 120 membres du corps des sapeurs-pompiers professionnels du secteur nord de Zurich, sis à l’aé-

l’aversion générale à l’égard de la théologie détachée du quotidien. On m’a tout de suite fait comprendre qu’il valait mieux parler des choses concrètes de la vie, et non aborder la croyance d’un point de vue scienti-fique. Cela me semblait tout à fait juste, et l’expérience fut marquante.

Ensuite, en raison de mes origines allemandes, la protection civile suisse me convoqua. Mon beau-père me conseilla alors de faire mon ser-vice chez les sapeurs-pompiers. A mon arrivée, ils n’ont guère fait preuve d’enthousiasme vis-à-vis de l’étudiant en théologie que j’étais, mais l’entente fut immédiate. Le tra-vail de sapeur-pompier est très prag-matique et ciblé, ce qui me convenait tout à fait. J’ai donc développé une profession parallèle à mon activité de théologien, qui a d’ailleurs gagné en importance. Je suis devenu forma-teur de sapeurs-pompiers et j’ai pu participer à la création du care team du canton de Zurich.

Lorsqu’en 2006, on m’a offert le poste de chef de formation du corps des sapeurs-pompiers professionnels, j’ai même sacrifié ma carrière de théolo-gien. Six ans plus tard, je devenais chef de section. Je n’ai jamais regretté ce changement de carrière.

J’aimerais, un jour, écrire un livre sur l’histoire du feu. D’ailleurs, le lien avec la théologie est évident, puisqu’on croyait autrefois que les incendies étaient des punitions di-vines. «Honorer Dieu et défendre son prochain» constitue d’ailleurs, au-jourd’hui encore, la devise des corps de sapeurs-pompiers d’ici. Elle est quelque peu moralisatrice, mais nous la vivons pleinement. Nous combat-tons le feu avec efficacité et pragma-tisme.»

Informations: www.stadt-zuerich.ch/srz-feuerwehr

«A mon arrivée, ils n’ont guère fait preuve d’enthousiasme vis-à-vis de l’étudiant en théo-logie que j’étais.»

Jan Bauke

Combattre le feu, un acte de foiIl était destiné à la médecine, mais a finalement choisi la théologie. Aujourd’hui, il est commandant des sa-peurs-pompiers. Dr. Jan Bauke, 50 ans, préfère le prag-matisme à la théorie, à l’image de la voie qu’il a choisie.

Texte: Robert Wildi Photo: Gerry Nitsch


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l’aversion générale à l’égard de la théologie détachée du quotidien. On m’a tout de suite fait comprendre qu’il valait mieux parler des choses concrètes de la vie, et non aborder la croyance d’un point de vue scienti-fique. Cela me semblait tout à fait juste, et l’expérience fut marquante.

Ensuite, en raison de mes origines allemandes, la protection civile suisse me convoqua. Mon beau-père me conseilla alors de faire mon ser-vice chez les sapeurs-pompiers. A mon arrivée, ils n’ont guère fait preuve d’enthousiasme vis-à-vis de l’étudiant en théologie que j’étais, mais l’entente fut immédiate. Le tra-vail de sapeur-pompier est très prag-matique et ciblé, ce qui me convenait tout à fait. J’ai donc développé une profession parallèle à mon activité de théologien, qui a d’ailleurs gagné en importance. Je suis devenu forma-teur de sapeurs-pompiers et j’ai pu participer à la création du care team du canton de Zurich.

Lorsqu’en 2006, on m’a offert le poste de chef de formation du corps des sapeurs-pompiers professionnels, j’ai même sacrifié ma carrière de théolo-gien. Six ans plus tard, je devenais chef de section. Je n’ai jamais regretté ce changement de carrière.

J’aimerais, un jour, écrire un livre sur l’histoire du feu. D’ailleurs, le lien avec la théologie est évident, puisqu’on croyait autrefois que les incendies étaient des punitions di-vines. «Honorer Dieu et défendre son prochain» constitue d’ailleurs, au-jourd’hui encore, la devise des corps de sapeurs-pompiers d’ici. Elle est quelque peu moralisatrice, mais nous la vivons pleinement. Nous combat-tons le feu avec efficacité et pragma-tisme.»

Informations: www.stadt-zuerich.ch/srz-feuerwehr Dr. Jan Bauke: «Le travail de sapeur-pompier est très

pragmatique et ciblé.»

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Courrier des lecteurs

Une catastropheNous ferions mieux de tenter de faire baisser les coûts hospitaliers et ceux des médicaments, mais tant que nous continuerons à enrichir les action-naires et les patrons des grandes mul-tinationales, cela restera impossible. Toutefois, je suis persuadé qu’une caisse unique serait une catastrophe, car jamais il n’y aura de baisse des primes. A.B.

A la merci d’une caisseAujourd’hui, si le service ou les primes ne me satisfont plus, je peux changer d’assureur maladie. Si une caisse unique devait détenir le mo-nopole, nous serions à sa merci. Per-sonne ne pourrait se défendre contre le mauvais service ou les augmenta-tions de prime. C’est pourquoi je dis NON à la caisse unique. S.T.

Débat par e-mails interposésJe suis en faveur d’une caisse unique, qui pourrait fonctionner aussi bien que la Suva, et je trouve formidable que vous permettiez à vos clients, par le biais d’un débat par e-mails inter-posés, de se former une opinion, bien que votre rédaction soit tenue de dé-fendre le non. Un tel sens de la démo-cratie se fait malheureusement rare de nos jours.

Ceci m’a incité à lire l’étude de 89 pages rédigée par la ZHAW et pu-bliée en ligne, dont les arguments et l’estimation des coûts du changement de système sont pertinents, mais pas entièrement convaincants, car elle avance la thèse d’un «chaos pro-grammé». Or, avec un peu de bon sens et de tolérance, cela pourrait être évité. B.G.

A vous la parole

Oui ou non à la caisse unique?Les débats par e-mails interposés sur la caisse unique dans les deux dernières éditions du magazine Sanitas ont provoqué des réactions chez nos lecteurs.

Conseils tout au long de la vieLe conseil financier proposé tout au long de la vie par Swiss Life Select est conçu de manière à vous permettre d’évoluer pro-gressivement.

Texte: Swiss Life

Le conseil financier de Swiss Life Select est très semblable à une visite médicale: après un examen approfondi, le médecin établit un diagnostic et traite ensuite son patient à l’aide des méthodes à sa disposition. De manière analogue, nous analy-sons tout d’abord minutieusement votre situation financière et élaborons ensuite une stratégie indi-viduelle. Les clients de Swiss Life Select bénéficient ainsi d’un service unique. Dans le cadre d’un entre-tien approfondi et à l’aide d’un concept global so-phistiqué, nous vous exposons les différentes possibilités d’optimiser votre situation financière. Cela vous permet donc de réduire vos dépenses, d’augmenter votre patrimoine grâce à des revenus supérieurs et de renforcer la protection de votre famille. Vos souhaits et objectifs personnels sont toujours au centre de notre attention.

Swiss Life Select met à la disposition de ses clients la palette de produits la plus large sur le marché. Contrairement aux banques et aux assureurs, les conseillers financiers de Swiss Life Select vous conseillent selon le principe Best Select, c’est-à-dire indépendamment des fournisseurs, et vous sou-mettent différentes offres. Afin que vos finances évoluent au rythme des changements qui jalonnent votre vie, nous vous recommandons de participer à un FinanceCoaching annuel avec votre conseiller.

[email protected]

Informations détaillées sur Swiss Life Select: www.swisslife-select.ch

Ecrivez-nous!

Votre opinion nous intéresse. Ecrivez-nous à [email protected] ou Sanitas, RédactionMagazine des clients, case postale, 8021 Zurich.


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«Nous pouvons évaluer votre proposition uniquement si vous répondez à toutes les questions sur l’état de santé.»

Denise Fitzi: Je comprends tout à fait que nos questions vous surprennent. Or, contrairement à ce que vous pen-sez, nous ne disposons pas d’un dos-sier médical où figurent tous vos troubles de santé. En tant qu’assureur maladie, nous recevons bien les jus-tificatifs de remboursement pour vos traitements, mais pas d’informations détaillées sur votre état de santé.

Vient s’y ajouter le fait que l’on ne se rend pas chez le médecin pour chaque trouble de la santé. Toutefois, il est important pour nous d’en savoir le plus possible lorsque vous concluez une assurance complémentaire. Il faut également que nous sachions si des traitements sont planifiés, car

nous n’en sommes généralement pas informés. Ce n’est que grâce à une déclaration exhaustive sur votre état de santé que nous pouvons évaluer correctement votre proposition.

Il est important que vous preniez votre temps pour répondre au ques-tionnaire, car vous confirmerez par votre signature que les données sont correctes et complètes. S’il devait s’avérer ensuite que le questionnaire est incomplet, nous aurions le droit d’annuler l’assurance complémen-taire nouvellement conclue, même s’il s’agit d’un simple oubli de votre part.

Denise Fitzi, responsable du service Conseil au client, Winterthour

Fitzi a la réponse

Qu’en est-il de mes données médicales?J.P. de N: J’ai décidé de conclure une assurance complémentaire. Maintenant, je dois répondre à diverses questions sur mon état de santé, notamment: «Avez-vous souffert d’un trouble de la santé ou d’une maladie ou avez-vous été victime d’un accident au cours des 5 dernières années?» En tant que client Sanitas de longue date, je suis étonné que vous me demandiez cela, puisque toutes ces informations devraient figurer dans mon dossier médical.

Comment nous contacterAvez-vous des questions sur votre assurance? Souhaitez-vous un conseil ou une offre? Notre Support Clients se tient volontiers à votre disposition.

N’hésitez pas à appeler votre Service Center ou le 0844 150 150 (max. 7 ct./min). Vous pouvez aussi nous écrire à l’adresse [email protected]

(Clients assurés en privé ou demi- privé: merci de vous adresser à votre conseiller personnel ou de com poser le 0844 170 170.)


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Grâce à Hospital Upgrade, vous pouvez, pendant 20 ans, décider de passer à une assurance d’hospitalisation de catégorie supérieure sans devoir passer un nouvel examen de santé. Vous pouvez donc, en tout temps, adapter votre assurance d’hospitalisation à vos besoins. Vous trouverez plus d’informations à l’adresse suivante: www.sanitas.com/upgrade-fr

La possibilité, en cas de besoin, de passer à une assurance d’hospitalisation de catégorie supérieure.

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Un service de classe pour vous - Sanitas · 6 Point fort: primes, tendance 2015 8 Un service de...

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