Un jour un homme ! Le mag

UN JOURUNHOMME!LE MAG

BEAUTÉDes hommesau poil !

SUPPLÉMENT PUBLICITAIRE GRATUIT À LA DERNIÈRE HEURE/ LES SPORTS 1ER AVRIL 2011

SPORTIFSÀ L’HONNEURDes histoiresinspirantes

SUCCESSSTORY

JeanGallerle chocolatier

QUIZFEMMESAvec

quel hommevivez-vous ?

3 I 1er Avril 2011UN JOUR UN HOMME !

SOMMAIREun jour un homme ! Le mag

4 Une success story gourmande à souhaitJean Galler, le chocolatier liégeois nous livre son parcours

6 Des jours des hommes !Histoires inédites et morceaux choisis

8 Le rasage dans tous ses étatsBarbes, moustaches, barbiche, favoris…Tout sur le rasoir et ses possibilitésesthétiques

9 QuizMadame, avec quel homme vivez-vous ?

10 BeautéCoquets ou pressés. Suivez nosconseils de rasage et de soins pourtous!

11 À lireDes histoires extraordinaires etinspirantes

12 Stylo-trottoirCe que les femmes préfèrent chez leurhomme

13 Sportifs au top !Les sportifs surprennent aussi hors duterrain

14 En un clic, c’est le déclicDes sites web amusants/originaux. Àvos souris !

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Jean Galler

Héros

Suivez l’évolution du rasoir Des soins pour tous

Vice-Président du conseil d’administration et du comité permanentPatrice le Hodey • Administrateur délégué François le Hodey • Direc-teur des ventes publicitaires Emmanuel Denis • Sales advertising mana-ger Henry Visart T. : 02/211.29.59 F. : 02/211.29.97 Mail : [email protected] • Coordination d’édition Antoinette van den Hove Ac-count Manager 02/793.35.90 Mail : [email protected]• Editeur responsable Emmanuel Denis, rue des Francs, 79 – 1040 Bruxel-les • Toute reproduction totale ou partielle est strictement réservée à l’éditeur. Lecontenu de cette édition n’engage pas la rédaction• Crédits Une et SommaireShutterstock, montage DH

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DES JOURS DES HOMMES !

Histoires inédites et morceaux choisisPage 6

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La perfection au masculin™© 2

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POUR LA SÉDUCTION

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1er Avril 2011 I 4UN JOUR UN HOMME !


D’ungros bâtonde chocolat, JeanGaller a construit son image et le succès gourmandqu’on luiconnaît…Une success story qui fait la fierté dupays du chocolat.

Une trentaine d’enseignesdans le monde. Belgique,Japon, Luxembourg, Du-baï, France ou encore Ita-lie, pour ne citer qu’unepoignée de pays. Les

chocolats belges, estampillésJean Galler, titillent les palaisgourmands des quatre coinsde la planète.

La vocation du chocola-tier Jean Galler a pour ori-gine un livre traitant denappages en pâtisserie.“Mes parents me l’avaient of-fert durant mes études de bou-langerie-pâtisserie. Lorsque jesuis arrivé à la page 169, très exac-tement, j’ai su ce que je voulais faire.Cette page m’a fasciné. Elle parlait dechocolat, et je ne suis pas allé plus loin”, sou-rit Jean Galler.

À 18 ans, le Liégeois se rend en Suissepour tout apprendre sur le chocolat. À sonretour, il travaille avec les meilleurs, dontGaston Lenôtre, à Paris.

“À 21 ans, je vois une petite annonce dansle journal. Il y avait une chocolaterie à remet-tre. Le tout pour 120.000 FB à l’époque ! Mesparents, qui avaient une boulangerie,n’avaient pas beaucoup d’argent. Ils ont racléleurs fonds de tiroirs et m’ont tout de mêmeoffert la moitié de la chocolaterie. Ma mar-raine a payé l’autre. C’était en 1976. Oui, j’aicommencé avec de petits moyens…”, se sou-vient-il. “J’ai débuté avec un gros bâton dechocolat, sur les bons conseils de l’ancienpropriétaire. De 1976 à 1992, je n’ai fait que

ça. En 1993, j’ai amené une nouveauté sur lemarché : la tablette de chocolat 70 % cacao.Nous étions les premiers et cela a connu unsuccès fou !”

Deux ans plus tard, en 1995, Jean Gallerlance une autre de ses gourmandises : leslangues de chat. “En 1989, j’avais lu un arti-cle qui disait que, dans la future Europe, lesgens connaîtraient la Belgique pour trois

choses : le chocolat, la bière et la BD. J’aivoulu associer le chocolat à un autre sym-bole belge. Ce fut la BD. J’ai contacté Phi-lippe Geluck, c’était une évidence.J’avais envie de proposer une

nouvelle version des lan-gues de chat traditionnel-

les. Il a directement ac-cepté et on a connu unsuccès colossal ! J’en aivendu dix fois plusque je ne l’espérais !”

Parallèlement, lechocolatier ouvresa première bouti-que, à Bruxelles, surla Grand Place. “Ennovembre 1994, j’aireçu une lettre me préci-sant qu’un emplacementétait disponible sur la GrandPlace. J’ai directement appelé lapersonne et j’ai négocié. Nousn’étions pas prêts pour une telle boutique.Nous avons ouvert le mardi juste après Pâ-ques, le 17 avril 1995. Rapidement, nous avonseu un autre emplacement, à Liège, Rue du Potd’Or. C’était en février 1996.”

Au début, c’est son épouse qui s’occu-

pait des vitrines et du packaging. “Onchangeait la déco et la couleur des vitrinestous les mois. Nous nous rendions dans cha-cune de nos boutiques, en amenant des élé-ments de déco de la couleur mensuelle et lesnouveaux emballages. Un jour, nous avonsfait la vitrine en orange, et on a su que ça al-lait être notre couleur !”

Si c’était à refaire, Jean Galler tirerait lesleçons de ses erreurs. “J’ai fait beaucoupd’erreurs. Heureusement, j’ai souvent prisplus de bonnes décisions que de mauvaises !”

Bonne ou mauvaises, ses déci-sions l’ont mené au succès.

Aujourd’hui, les ambas-sadeurs du chocola-tier liégeois fleuris-sent aux quatrecoins du monde.Le chocolatbelge a mêmeun succès fou àDubaï. “Nousavons ouvertune enseigne

Galler dans unVirgin Megastore.

C’est un salon dethé et ça fonctionne

très très bien !”Après avoir croqué la

vie à pleines dents et construitson succès, Jean Galler a choisi de lever lepied. “Quand j’ai eu 50 ans, j’ai voulu me re-tirer un peu de la gestion journalière. J’aiaujourd’hui un directeur général qui gèrel’entreprise au quotidien. Je me concentre unpeu plus sur la recherche et le développe-ment, pour créer de nouveaux produits. Jepeux d’ailleurs affirmer que 2011 sera une an-née merveilleuse, avec 4 nouveautés à savou-rer !”

Ses idées, il avoue les cueillir “en regar-dant autour de moi. J’essaie de garder cons-tamment l’émerveillement d’un enfant pourcréer une tendance plutôt qu’en suivre une !Pour ne citer qu’un exemple, on avait révolu-tionné le marché avec le chocolat blanc auCointreau…”

Outre le chocolat, Jean Galler a une se-conde passion : le vin. “Avec mon épouse,nous avons acheté un vignoble, à deux pas del’atelier. Nous avons planté il y a deux ans, etnous ferons les premières vendanges cetteannée !” Et comme tout ce qu’il touche setransforme en or, son vin pourrait bienêtre un délice. “En tout cas, j’aurai tout faitpour qu’il le soit !” conclut-il.

Le chocolatiertient dans sesmains les gros

bâtons qui l’ontmené au succès...

(PIRARD)

Jean Galler poseavec Dominique,artisanchocolatier. Ils ontréalisé une pouleaux œufs d’ordevant nous…(PIRARD)

Une affairede familleJean Galler ne s’en cache pas.Il en est même plutôt fier : “Cette chocolaterie, c’est aussiune affaire de famille. Mes pa-rents, en plus d’avoir contribué àl’achat de la chocolaterie, y onttravaillé pendant des annéesavec moi. Ma marraine aussinous aidait. Elle emballait leschocolats. Un voisin nous aidaitaussi bénévolement, au tout dé-but. Lui aussi emballait les cho-colats. Aujourd’hui, ce sont lesmachines qui le font. C’est mêmemieux fait qu’à la main. Dans lachaîne, c’est sans doute ce queles machines font de mieux parcomparaison avec la main del’homme.”Une histoire familiale qui per-dure aussi. “Au total, ma belle-mère, mon épouse, ma bel-le-sœur, mon beau-frère, monbeau-fils, ma filleule et ma filley ont travaillé ou y tra-vaillent encore ! Ma filleJustine, actuellementen congé mater-nité, a com-mencé àl’export cheznous avant de re-joindre et dévelop-per le pôle marketinget communication.”

Galler : une success story gour mande à souhait

À21 ans,

il achète unechocolaterie

pour120.000FB

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Des jours des hommes !Au téléphone, parmail oupar courrier, vous avez éténombreux ànous faire part d’histoires quifont la fierté deshommes.Que vous les fréquentiez auquotidienouque vous les ayez seulementcroisés sur votre chemin, ces hommes resteront à jamais dans vosmémoires. Et unpeudans la

nôtre aussi…Voici leurhistoire.

De Cannes à Waterloo…À vélo !“Il n’y a pas beaucoup de grands-parents qui ont faitce que notre grand-père a fait, dit Théo, 16 ans. J’ensuis très fier !” Robin, 18 ans, rejoint l’avis de sonfrère. “Non, tous les grands- pères ne sont pas commelui !” L’aîné enchaîne. “Il y a douze ans, en neufjours, notre grand- père a fait la route des 100 joursde Napoléon lorsque celui-ci s’est évadé de l’île d’Elbe.Seul et à vélo, il a parcouru des centaines de kilomè-tres pour revenir en Belgique !”

Théo et Robin Herbiet, 16 et 18 ans

Une histoirede bonbon...“ Pendant 4 ans, je me suis senti régulièrement

un peu sauveur... C’était à chaque fois lors de laSaint-Nicolas. Car malgré l’interdiction d’en con-sommer, mon fils s’étranglait avec des bonbonsronds. Vous voyez ceux qui ont un nom d’empe-reur ? J’ai dû à chaque fois les retirer de sagorge, il s’étouffait. Aujourd’hui il a 6 ans, et ça yest, il n’ose plus en manger !”

Paul, 35 ans

Un rêveaccompli“Mon frère Christophe vivait auPérou depuis 3 ans. Il avait pro-grammé, avec son épouse, derentrer vivre au Portugal. Maisils sont péris dans l’accidentd’avion. Ma volonté a été defaire quelque chose en leur mé-moire. J’ai fondé l’ASBL et on acommencé par construire uneécole, proche du lieu de leur ac-cident. C’est un endroit un peuperdu dans les montagnes, ac-cessible à dos de mule, unique-ment. L’ASBL a continué avec lacréation de classes secondai-res, des parrainages d’enfants...L’an dernier, on a été mis enrapport avec une ASBL sué-doise d’opticiens. On a pu col-lecter des lunettes pour équi-per des centaines de gens quiavaient un problème de vue !”Nicolas se consacre depuis2008 et à 100% à son associa-tion. “J’ai renoncé à la sécuritématérielle – j’étais dirigeantd’une petite multinationale –pour me consacrer à un rêve...”

Nicolas Dubois

Courir pourrester jeune“A 85 ans, mon grand-père est formi-dable ! Il m’épate ! Quand il a unrhume, il râle. Pas à cause de la ma-ladie ou de son âge, mais parce queça réduit ses performances à lacourse ! Il va faire un jogging tousles jours. Et il a ses horaires ! En se-maine, il va courir une heure en find’après-midi. Le weekend, il préfèrecourir en matinée. Il prend ça très àcœur ! Il fait même un échauffementavant l’effort ! “

Laurence, 23 ans

Des vies sauvéespar téléphoneLorsqu’on lui demande s’il sauvedes vies, il sourit, modestement.“Oui, sans doute. Écouter ne suffitpas. Il faut qu’il y ait un échange. Onparvient alors parfois à sauver desvies lors des appels de suicide encours. Lorsqu’une personne nous ap-pelle et menace de se suicider, on luipose une série de questions pour véri-fier la véracité de ses dires. Une foisque la gravité de la situation est avé-rée, on essaie de repérer où se trouvecette personne. Ensuite, on appellesur une autre ligne, le service 100.C’est un cas extrême. Ça m’est arrivéune fois sur 4 ans. Je suis alors restéau téléphone avec la personne jus-qu’à l’arrivée de l’ambulance. Lors-que les secours sont arrivés, je leur aicédé le flambeau. On leur demandetoujours de nous rappeler pour nousfaire part de l’état de santé de la per-sonne. Ils le font à chaque fois pourdire que tout va bien. Les proches, leplus souvent, appellent par aprèspour nous remercier.”

Roger, répondant bénévolepour la plateforme Prévention

Suicide

Un cadeauinestimable“L’homme que je souhaite mettre à l’honneur n’a passauvé le monde, n’a pas vaincu les éléments, et n’estpas non plus dans le Guinness book. Il m’a justedonné le plus beau des cadeaux après une multitudede difficultés : ma fille !”

Stéphanie

L’amourtoujours

“Mon mari me supportedepuis 55 ans… Ce n’est

pas un exploit ça ?”Claire, 76 ans

Un travailméritant“Je voudrais remercier mon mariqui fait mon bonheur depuis 34ans. En devenant indépendantdans le bâtiment, il m’a permisde pouvoir élever nos 4 enfants.Il a tout donné pour nous et no-tre bien-être, et cela malgréquelques soucis de santé. Merci,merci, merci”

L’heureuse épouse dePatrick Brichard

Un jour béni“Parce que le temps s’accélère étrangement lorsd’une naissance, et qu’il faut penser à profiter unmaximum de sa famille, j’ai choisi de prendre un 4/5e

parental. C’est mon premier enfant et depuis, tous lesjours sont uniques. Chaque moment passé en sacompagnie est magique ! Et avoir plus de temps pourle voir grandir est un bonheur immense !”

Olivier, 26 ans

Une main pour secourir“Un soir, il y a 4 ans, j’attendais le tram dansune station couverte pour rentrer chez moi.J’avais la tête dans les nuages, après une jour-née de boulot ultra-chargée. Quand celui-ci estarrivé, j’ai d’abord laissé sortir les voyageurs.Mais les gens derrière moi n’ont pas attendu.Ils ont essayé de monter dans le même tempset j’ai été emportée par la foule. Ma jambe aglissé et s’est retrouvée coincée entre le quai etle tram. J’avais hypermal. Les passagers memarchaient presque dessus pour monter. Etpuis, j’ai vu une main. Un homme m’avait vue

et m’a aidée à me relever. Il m’a ensuite ac-compagnée jusqu’au banc, et m’a proposéd’appeler les secours, mais j’ai refusé. J’avaisjuste une méchante égratignure.Aujourd’hui, je regrette de ne pas lui avoiroffert un verre pour me remercier. Ce qu’il afait, dans ce monde individualiste m’est ap-paru énorme ! Il s’est arrêté pour m’aideralors que tous les autres jouaient à l’autru-che en faisant semblant de ne pas me voir. Jelui dis bravo et encore merci !”

Laura, 32 ans

Ados élevéshaut la main“Mon papa est extraordinaire. Quand mamanest décédée d’un cancer du sein, il s’est retrouvéavec trois ados en crise. Il a ajusté ses horairespour s’occuper de nous. Aujourd’hui, 12 ans plustard, j’en profite ici pour lui dire merci !”

Odile, 31 ans




L’esthétique au poilPetit tourd’horizondesdiverses esthétiquesenmatière depilosité faciale.À vos rasoirs !

Imberbe. Tous les poils du bas du visage sontrasés. Le visage est frais. Le rasage fréquent.La barbe de trois jours. Légère repousse

des poils. Un look très apprécié desadolescents qui veulent apparaîtrevirils…La barbiche désigne l’en-

semble de poils sur le men-ton, uniquement.Le bouc est une barbiche

qui inclut la moustache etle contour de la bouche.Le collier est une barbe

limitée au contour du vi-sage, sans inclure les jouesou une quelconque mousta-che.La barbe complète est ce

qu’on appelle couramment labarbe. La pilosité est importante surles joues, le menton et autour de la bouche.La barbe impériale. Il s’agit d’une longue bar-

biche surmontée d’une fine moustache.La moustache. Ensemble de poils taillés situés

au-dessus de la lèvre supérieure.La coupe Souvarov est une moustache qui re-

joint les rouflaquettes.Les rouflaquettes ou favoris sont des parties

fournies de cheveux qui descendent sur les tem-pes.

Madame, avec quelhomme vivez-vous ?

Avis aux femmes…

1. En rue, quand il vous regarde…A. Son regard ténébreux vous transperceB. Vous ne pouvez vous empêcher de lui sourireC. Vous vous sentez belle et bienD. Vous le prenez par la main et envisagez de

beaux lendemains, à deux.

2. En société, comment se comporte-t-il ?A. Il observe du coin de l’œil tout ce qui se passe

autour de luiB. Il est l’homme qui a toujours le mot pour rireC. Il aime participer à des discussions animéesD. Il n’aime pas les endroits mondains. Il préfère

être en compagnie de gens qu’il aime

3. Vous invitez des amies à la maisonA. Il ne se cache pas et montre bien qu’il est làB. Il en profite pour sortir avec des amis à luiC. Il s’occupe du service et des enfantsD. Il se retire dans son bureau et laisse aller sa

créativité

4. Ce qui vous a attiré chez luiA. Un sourire craquant et une prestanceB. Il ne se prend pas au sérieuxC. Son intelligence et son espritD. Sa philosophie de vie

5. Au lit, c’est plutôt…A. Caliente ! Un baiser, un regard entendu et c’est

parti…B. Un moment de complicité à tous niveauxC. L’endroit où vous lisez un bon livre, chacun de

votre côté, avant de vous les échangerD. Pour aller dormir, après avoir échangé vos

points de vue autour d’un bon verre

6. La vie avec lui, c’est…A. Loin d’être un long fleuve tranquille !B. Une franche partie de plaisirC. Oser sortir des sentiers battusD. Un plaisir qui se savoure jour après jour

7. En tête-à-tête au restaurant, il aimeA. Vous inviter dans des endroits que vous aimezB. Vous voir rire après une dure journéeC. Les bougies et une longue discussionD. Découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs et

de nouveaux endroits

8. Pour lui, les vacances, c’estA. Dans le sud, pour toujours avoir du soleilB. Sac à dos, logement chez l’habitant et imprévus

à gogoC. New York, Barcelone… Bref, une grande ville où

il pourra à la fois sortir, assouvir sa curiosité et ap-prendreD. Sur une île déserte : juste vous, lui et les en-

fants ! Se retirer du monde en famille

9. À 80 ans, vous voyez votre compagnon commeA. Un retraité actif, s’occupant d’unemaison dans

le sudB. Un homme engagé dans de nobles causesC. Un puits de connaissance et de savoirD. Un globe-trotteur

10. Sa jalousie…A. Est étouffante. Il faut sans cesse tout justifier.B. N’existe pas. Il a confiance en lui.C. Fait défaut. Il vous fait confiance.D. Il est cool d’apparence mais regarde quand

même ce qui se passe

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Vous avez unmaximum deVotre homme est un Latino,un vrai. Il a le sang chaud. En cas dedispute, cela monte très vite. Ça criemais le soufflet retombe aussi vite.Physiquement, il est grand, brun etson regard est profond. Vous aimezles hommes de caractère, un peu in-saisissables, comme Javier Bardem.

Vous avez unmaximum deSéducteur tranquille, commeGeorge Clooney. Il fait bien les choses,s’engage dans des causes humanitai-res mais ne se prend pas au sérieux. Ila toujours le mot pour rire. Il est cons-cient de son charme et utilise son sou-rire comme arme de séduction mas-sive.

Vous avez unmaximum deIntello mais pas trop. Il aimese cultiver et partager son savoir sanspour autant l’étaler. Il est modeste etdiscret. Il vous aime et fait tout ce quiest en son pouvoir pour vous rendreheureuse. Même si cela doit parfois al-ler à l’encontre de la société, commeWoody Allen.

Vous avez unmaximum deBobo. Bio, famille, discrétionet vraies valeurs… Comme JohnnyDepp, votre homme cultive la discré-tion comme art de vivre. Loin des pro-jecteurs et du monde, il aime s’adon-ner à des plaisirs tout simples. Sa fa-mille est un trésor qu’il préserve.

Une Belgique bientôt au poil ?La barbe peut aussi être signe de protestation. Bon nombre de Belges, à l’instar deBenoît Poelvoorde et Nicolas Buytaers, ont ainsi cessé de se raser tant que les politi-ques n’auront pas réussi à former un nouveau gouvernement en Belgique. Différentssites font le lien entre des personnes engagées.Le site www.beardforbelgium.com, entre autres, regroupe plus de 1.100 images de bar-bes en tous genres.

Du silex au rasoirjetableDe tout temps, les hommes se sont débarras-sés de leur pilosité faciale d’une manière oud’une autre. Les pharaons Égyptiens, notam-ment, ne gardaient qu’un bouc tressé. Les ra-soirs à rabot tels que nous les connaissonsont mis un temps certain avant de devenirdes objets familiers. À l’époque où la lamen’existait pas encore, les hommes utilisaientdes coquillages tranchants pour se libérer dela masse pileuse. Plus tard, le silex et l’orsculptés les ont remplacés. Et c’est au Dane-mark que des traces de l’ancêtre du rasoiront été retrouvées. Un rasoir en fer qui,d’après les estimations des archéologues,date du IIIe siècle après J-C. Les historiens es-timent l’apparition du premier rasoir munid’une lame d’acier en 1680. Deux siècles plustard, en 1895, le concept du rasoir à lame jeta-ble était breveté par un certain… KingC. Gillette.

À l’époqueoù la lame

n’existait pasencore,

les hommesutilisaient descoquillages

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Des hommesau poil !

Indispensable pourbonnombred’hommesdansle cadrede leurprofession, le rasage est avanttout fort conseillé. Pour la santéde la peau,d’abord. Pour l’allure générale, ensuite.

Astuces pour être au top !

Le rasage idéal, pour ceuxqui ont le tempsChristelle Dujardin, fondatrice de laMake Up School, à Liège, recommandeun soin en 7 étapes.

Nettoyer. “Il faut d’abord bien prépa-rer sa peau au rasage et se débarrasserdes impuretés. Il est indispensable de seraser après avoir pris sa douche. Les po-res sont ainsi dilatés. Le nettoyage du vi-sage peut se faire à ce moment-là.”

Exfolier. “On gomme les cellules mor-tes une à deux fois par semaine.”

Préparer. On applique sur la zone àraser une huile, un gel ou une lotionpré-rasage. “Certains hommes utilisentune serviette chaude pour dilater da-vantage les pores.”

Raser. Après application de lamousse, de l’huile ou du gel à raser,on passe la lame sur la zone à rendreimberbe. “Il faut toujours le faire dansle sens du poil. On évite ainsi d’agresserla peau avec des coupures ou des sensa-tions de brûlures.” Les meilleurs ra-soirs sont étudiés pour lever les poilset les couper à la racine !

Apaiser. On retire les excédents demousse à l’eau froide. Cela permetaux pores de se resserrer. On éviteégalement des saignements et dessensations de brûlure. La pierred’alun, préalablement trempée,peut être passée sur les zonescoupées pour stopper les sai-gnements.

Assainir. “L’aftershave doitêtre adapté à son type de peau.Il resserre les pores, tonifie etassainit les zones sollicitées parla lame.”Hydrater et protéger. On ter-

mine le rasage en appliquantsur le visage un baume hydra-

tant. L’utilisation de la serviettechaude peut favoriser une

meilleure pénétration du soin dansl’épiderme.

Exploits partagésEcrire sa propre histoireest une démarche qui peuts’avérer très libératrice.Elle permet de prendre durecul pour mieux appré-hender certains évène-ments et tourner, pour-quoi pas, une page de savie. Nombreux sont leshommes qui ont choisi decoucher sur papier leurvécu, leur expérience etleur témoignage, avecpour objectif aussi de lespartager avec nous.

RebondirRebondir En 1994, le jeune chef d’entreprise belge Guibert del Marmol apprend qu’ilest atteint d’une importante tumeur au cerveau, qui serait liée au stress profession-nel. Mais la médecine ne croit pas en ses chances de guérison. Dix années durant, ilva alors opter pour une hygiène de vie différente et se tourner vers des traitementsalternatifs... avec succès. Aujourd’hui guéri, Guibert del Marmol a choisi de monterune entreprise qui respecte ses convictions, en se ménageant plus de temps pour savie d’homme. Pour témoigner de son expérience, dans l’espoir d’aider d’autres per-sonnes, il a écrit « Tomber plus haut », où il livre également de nombreuses méthodespour appréhender sa vie privée et professionnelle avec plus de sagesse.> Tomber plus haut – Comment découvrir son intelligence intérieure, Guibert del Marmol, Editions Alphée– Jean-Paul Bertrand.

La mémoire aubout de la plume“Pour nos combats de demain, pour unmonde plus libre, plus juste, plus égali-taire, plus fraternel et solidaire, nousdevons maintenir vivante la mémoirede nos luttes.” Gunter Holzmann n’apas eu qu’une seule vie, mais bienplusieurs... Né en 1912 dans une fa-

mille juive alle-mande, il entre-prend des études demédecine. Mais lamontée du nazismecontraint ce résis-tant à changer sesplans et à prendre lechemin de l’exil. En1930, il se rend alorsen Amérique latine.

Il y sera tour à tour chercheur d’or,représentant de commerce, fores-tier, ou encore chimiste pour unecompagnie minière... En 40 ans,Gunter exercera quelque 20 métiers! C’est là aussi qu’il découvre les iné-galités sociales et devient un ferventdéfenseur de la cause indigène et en-vironnementale. Il a également per-mis à l’équipe rédactionnelle duMonde diplomatique, grâce à d’im-portants legs, de devenir action-naire du journal. Avant de s’éteindreen 2001, dans son hacienda, il a re-laté sa vie, ses combats, ses passions.Inspirant.> On dit que j’ai survécu quelque part au-delàdes mers : Mémoires, Gunter Holzmann, Ed.La Découverte.

LibertésNelson Mandela a commencé à rédiger ses souvenirs en 1974, au Pénitencier de Rob-ben Island. En 1990, après 27 ans de détention, il achève la rédaction de son histoire.La vie de Nelson Mandela sera sans cesse dédiée aux libertés : liberté de parole, droitshumains, liberté post-carcérale... Ce grand homme, né à la campagne, parti pour Jo-hannesburg où il ouvrira le premier cabinet d’avocats noirs, devenu ensuite le leaderdu Congrès National Africain, raconte ici la clandestinité, la lutte armée, la prison...Les lecteurs (re)découvriront l’une des grandes figures du XXIe siècle à travers sescombats et les problèmes majeurs liés à l’apartheid. Une voix aussi pour tous ceuxqui n’ont pas eu la chance d’en parler. Un récit poignant.> Un long chemin vers la liberté, Nelson Mandela, Le livre de poche

L’exempleà ne pas suivre

Jordan Belfortalias Le loup deWall Street écritson autobiogra-phie. Après quel-ques années con-sacrées à se faireles dents à WallStreet, il devientun requin de la

finance. A moins de trente ans,Jordan gagnait pas moins d’unmillion de dollars par jour ! Maisargent et ambition riment mal-heureusement souvent avec ma-gouilles, drogues et prostitu-tion... Jordan a mené la belle vieavant d’être attrapé et mis en pri-son. C’est d’ailleurs lors de ses 22mois de prison – pour fraude etblanchiment d’argent – que lemultimillionnaire a écrit ses mé-moires... Les faits réels y figurentsans langue de bois et sont relatésnon sans une pointe d’humour. Alire à titre d’exemple à ne pas sui-vre...> Le loup deWall Street, Jordan Belfort, Ed.Max Milo

“Il est important d’utiliser un soin adapté à son type de peau.Vous avez la peau qui tire ? Alors, vous avez une peau déshydra-

tée, et donc sèche”, explique Christelle Dujardin. “Je conseille à cespersonnes de poser un soin hydratant de jour et un de nuit. Un mas-

que, une fois par semaine, est recommandé. Il doit être appliqué aprèsle rasage pour un effet optimal. Les peaux sensibles développent, la

plupart du temps, des rougeurs. Au niveau du rasage, il leur fautchoisir la mousse. C’est plus doux pour la peau. Les hommes à la

peau grasse peuvent quant à eux se diriger vers un gel derasage. Un gommage, une fois par semaine, est conseillé.

Toutefois, il ne faut pas en faire trop. Pour eux, le soinaprès-rasage doit être sans alcool. Il ne faut pas que la

peau se défende en faisant un excès de sébum.Enfin, les peaux normales peuvent être

chouchoutées avec à peu prèsn’importe quel soin.”

(GIL

LETT

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COMMENTreconnaître son type de peau

et quels soins choisir ?

Pressés, rasez-vousen 4 étapes1. Nettoyer le visage et dilater les pores à l’eautiède.2. Appliquez une mousse de rasage adaptée àvotre peau3. Raser. Jamais à rebrousse-poil !4. Apaiser. Appliquez un soin après-rasage hy-dratant.

Soir ou matin,quels soins ?“Le matin, il faut préparer la peau à lutter contre lesagressions de la journée. On peut opter pour un gelnettoyant qui va adoucir les poils. Après le rasage, onutilise alors une crème hydratante nourrissante etprotectrice. Le soir, les soins vont plutôt se limiter à sedébarrasser des impuretés que le visage a accumu-lées durant la journée.”

ConseilPensez à changer régulièrement delame de rasage. Les barbiers préconi-sent de la garder trois jours. Car, elles’use très vite. Utilisée trop longtemps,ce véritable nid à bactéries peut entraî-ner l’apparition de boutons et de rou-geurs cutanées. Une lame bien aiguiséeet bien choisie amène une sensation deconfort de la peau.

Michael J. Fox est, à jamais, l’icône de la trilo-gie Retour vers le futur. Il y a une dizained’années, la star montante est contrainted’arrêter sa carrière. La maladie de Parkin-son ne lui laisse aucun répit et s’immisce deplus en plus dans sa vie, jusqu’à l’empêcherde faire son métier correctement. Mais l’ac-teur ne se laisse pas abattre et voit sa mala-die comme une seconde chance. Il quitte

alors les plateaux de cinéma et se dirige versd’autres orientations. Il devient ainsi le porte-parole des per-sonnes atteintes de la maladie. Il s’engage politiquement etlutte, avec le soutien de ses proches, contre ce fléau qui l’ha-bite... Sa maladie est toujours présente, mais le pousse à allerplus haut, toujours plus haut !> Toujours plus haut, les aventures d’un incurable optimiste, Michael J. Fox, Unmonde différent.

L’envers du décor

Jean-Pierre Squillari, un sapeur-pompier français, a étésur tous les fronts : accidents meurtriers, incendies ra-vageurs... Dans cet ouvrage, il raconte les plus grandsfeux de forêts des quarante dernières années... Plus de15 interventions aussi incroyables les unes que lesautres sont détaillées et relatées par cet homme de ter-rain. L’envers du décor est plutôt inimaginable : dé-tresse des secouristes, décès, responsabilités humai-nes... Un métier de risques mené de front et couché

noir sur blanc avec émotion.> La guerre des feux – L’autobiographie émouvante d’un soldat contre l’enfer, Jean-PierreSquillari, Les portes du soleil éditeur.

“Incurable optimiste”




Des sportifs à l’honneurMarcinWasilewski, RobbieMcEwen…Si ces sportifs sont sur le podiumdu jour, cen’est pas parcequ’ils ont battudes records ougagnédesmatchesdécisifs. Eux aussi ont fait des choseshors du

communetméritent pour cela d’êtremis à l’honneur

Le Français Philippe Croizon n’a plus de bras ni de jam-bes. Et pourtant, à 42 ans, il a traversé la manche à lanage. Pour réussir cet exploit, il s’est entraîné deux ansdurant et s’est fait construire des prothèses équipéesde palmes fixées à ses moignons de jambes. Ses moi-gnons de bras ne pouvaient pas lui permettre d’avan-

cer mais seulement de trouver un certain équilibre et de ne passouffrir du mal de mer. “Peu de gens pensaient que j’allais réussir !Mais moi, dans ma tête, je n’ai jamais douté”, témoigne-t-il. “Je suis ar-rivé au bout de mon rêve. J’ai montré la voie. […] Je voulais être un por-te-flambeau pour tous ceux qui croient que la vie n’est que souffrance”.

(D.R

.)

Wolmer EdqvistCe nomne vous dit peut-être rien. Et pourtant, cet ar-bitre principal est un véritable héros dans son pays,

la Bulgarie. Lors d’un match opposant Orebro HKà Bofors, il a sauvé la vie du joueur Niklas Liha-gen, victime en plein match d’un malaise car-diaque. L’arbitre n’a pas attendu l’arrivée dessecours et lui a directement prodigué un mas-sage cardiaque salvateur, devant des suppor-ters ébahis.

Marcin WasilewskiIl est devenu un héros bien malgré lui. Lors d’unmatch Anderlecht-Standard, la vie du joueur an-derlechtois va changer. Un coup sévère à la jambel’empêche de poursuivre le jeu. Double fractureouverte du péroné et du tibia. Les espoirs de revoirWazyl sur un terrain de football sont minces. Etpourtant, contre toute attente, il y remontera belet bien. Celui qui ne souhaite pas s’adresser auxmédias belges a confié sa satisfaction à un journalpolonais : “Le sentiment que j’ai ressenti au momentdu coup d’envoi fut indescriptible. Le fait d’avoir mar-qué est un beau bonus et c’est également ma façon àmoi de remercier tous ceux qui m’ont soutenu durantcette période très difficile de ma carrière. J’adressedonc mes remerciements à ma famille, à tous les colla-borateurs du club et aussi aux supporters du RSCA. Jen’oublierai jamais que ceux-ci ont scandé mon nom àla 27e minute de chaque match…”

Robbie McEwenLe cycliste Robbie McEwen a sauvé une dizaine devies sur un bateau. “On était sur un bateau au largede l’Australie”, se souvient le cycliste. “Il y avait làsept adultes et deux enfants de 8 et 10 ans. À un mo-ment, quelques invités ont commencé à se sentir mal.Un des enfants s’est effondré. Il avait arrêté de respi-rer. On a fait de notre mieux pour qu’il reprenne sonsouffle !” D’autres personnes ont ensuite com-mencé à se sentir mal et à perdre connaissance. Lecycliste a alors réalisé qu’il s’agissait d’une intoxi-cation au monoxyde de carbone, et a pu aider lespassagers en souffrance. “Je n’ai été atteint que plustard par le CO, grâce à mon niveau sportif et grâce aufait que j’utilise un simulateur d’altitude lors de mesentraînements. Cela m’aide à tolérer un niveau faibled’oxygène dans le sang. Car, en fait, le CO se lie plusfacilement aux globules rouges, empêchant l’oxygènede circuler normalement. Grâce à mon endu-rance physique, j’ai purester conscient là oùd’autres personnescommençaient às’évanouir…”

Zhang YouliangEst un basketteur chinois à la retraite. Cegrand homme de 2,15mètres a sauvé la vied’un… dauphin ! Le parc marin où séjour-

nait ce dauphin avait en effet demandé aujoueur d’aider les vétérinaires à atteindre l’esto-mac du cétacé, car ce dernier nemangeait plus etles vétérinaires ne parvenaient pas à retirer l’élé-ment de plastique coincé dans son ventre, sourcedu problème. C’est donc grâce à son bras de plusd’un mètre de long que Zhang a sauvé la vie dudauphin !

Vos hommes sontextraordinaires

Un rire communicateur, un sens de l’humour bien développé, une particularité physiqueattrayante, une générosité à toute épreuve, ou encore un look improbable… Nul doute :

votre compagnon a forcément quelque chose d’extraordinaire. Et pour vous, c’est le meilleur.Vous nous avez confié ce que vous admirez chez l’homme de votre vie !

UN HUMOUR À DEUX BALLES

“Je l’aime par-dessus toutson côté attentionnélorsque nous sommes entête-à-tête. Et j’aimesurtout son humour à deuxballes, même si parfoisc’est franchement nul !”

> Eve, en couple avecBenoit

“Ce que j’aime le plus chez lui, ce sont sespetites fesses galbées !”

> Aurore, en couple avec Samuel

ATTENTIONNÉ

“C’est quelqu’un de trèsattentionné. Il aime faireplaisir aux autres et aider sesproches, c’est une qualité quej’admire chez lui.”

> Julie, en couple avecJérémie

UN ARTISTE

“J’aime son côté artiste. Et puis il esttoujours calme et zen, j’admire cela.C’est un homme de culture et de bongoût.”

> Isabelle, en couple avec John

DANS LES YEUX

“Je l’aime pour sagentillesse et parce qu’ilest digne de confiance. Etpuis, j’aime beaucoup sesyeux.”

> Mathilde, en coupleavec Jason

ATTIRANCE PHYSIQUE

“J’aime son humour,sa tendresse. Il aaussi un magnifiquesourire. Sa carrurem’attire aussibeaucoup. Et plusgénéralement, son airténébreux !”

> Valentine, encouple avec David

LA PASSION

“Thomas est quelqu’un detoujours dévoué. Ce quej’admire chez lui, c’est sontempérament, c’est unhomme très passionné.”

> Céline, en couple avecThomas

ÉTERNELLE JEUNESSE

“C’est un homme exceptionnel. J’adore safaçon d’être, de rester jeune dans sa tête etdans ses actes.”

> Carine, en couple avec Michel

L’AUTHENTICITÉ

“J’aime le fait queje ne me sentebien qu’avec lui. Ilme fait beaucouprire. Je peux aussirester moi-mêmeavec lui, et j’adorel’entendre parler.”

> Marion, encouple avec

Rémi

UN SOURIRE

“Ce que j’aime le plus chez lui, c’estson sourire. Mais il a aussi demagnifiques yeux !”> Christelle, en couple avec François


FORMES SUGGESTIVES



Un clic et c’est le déclic !Les sitesweb fleurissent sur la Toile,mais iI n’est pas toujours évident de trouver des pagesoriginales, drôles et/ougraphiquement intéressantes. Voici pour vousune sélectionde sites

qui valent le détour en cepremier avril !

FUN

www.feartracker.beC’est publicitaire mais très bien

fait ! Stéphane Spileberk présenteFeartracker. Une belle parodiebelge des films d’horreur améri-cains. Cliquez si vous osez ! Vouspouvez même y participer et cli-quer sur votre clavier pour fairedes effets spéciaux.

www.pipotronic.comDes phrases complexes et des

mots pompeux à ressortir auprèsde vos collègues pour briller enréunion !

www.R ealnotreal.com.auLe site reprend des vidéos tru-

quées (ou non) et vous met au défide savoir si les histoires sont vraiesou pas. Vous pouvez même défiervos amis et collègues. Vous pouvezensuite avoir accès à des histoiresassurément vraies, toutes aussi sur-prenantes les unes que les autres.

www.topito.com

Top 10 des déclarations classi-ques de footeux, un rien foireuses10 excuses de dopage très (très) in-ventives Top 10 des voitures pas ba-nales en matériaux insolites Top50 des erreurs de retouche Photos-hop dans les pubs et les magazi-nes.…Vous voulez des classementsaussi absurdes les uns que lesautres ? Foncez, vous y trouverezvotre bonheur

ww.glousseur.comVous voulez rire lors de votre

pause au boulot? Surfez sur ce sitetruffé d’images drôles, de vidéosloufoques et de blagues. A voszygomatiques !

ww.viedemome.frGaëtan (8 ans) s’exclame : “Ma-

man, si j’étais né avant Dieu, jen’aurais pas pu faire mieux pour te fa-briquer ” Une belle sélection de pa-roles d’enfants, mignonnes et inat-tendues pour les papas au cœurtendre.

ww.thedoghousediaries.com

Ceux qui maîtrisent correcte-ment l’anglais pourront se régalerde ces dessins humoristiques (àl’humour parfois très noir) postéstrois fois par semaine.

www.omgif.netNerds et Geeks, ce site devrait

vous amuser. Des images animéesdéfilent. Les légendes sont tou-jours drôles. A voir. Au moins unefois.

www.faistoiremarquer.frPiégez vos proches grâce à ces

canulars en ligne. Vous pourrezpar exemple faire croire à vos amisque vous perturbez une rencontresportive en réceptionnant unsmash lors d’un match pro de vol-ley ou en mettant un but lors d’ungrand match de foot.…

www.veryweb.infoFaites travailler vos yeux et votre

cerveau en essayant de ne pas vousfaire piéger par ces innombrablesillusions d’optiques.

PRATIQUE

www.senscritique.comVous ne savez pas quoi regarder

? Vous avez une liste trèèès longuede films à voir ou à revoir ? Foncezsur Senscritique et inscrivez-y tousles titres de films, de séries, de jeuxvidéos ou de livres que vous possé-dez. Vous aurez ainsi un aide-mé-moire on line et vous pourrez enplus consulter un vaste choix defilms, notés par les internautes.

BLOG

www.menaredelicious.comUn blog pour hommes, consacré

aux plaisirs, aux jolies filles, à laculture et au style..…out y est joli-ment illustré. On y navigue aisé-ment. Idéal pour surfer sur les der-nières tendances mode.

tumourrasmoinsbete.blogspot.comDes explications scientifiques di-

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Un jour un homme ! Le mag

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