� Contact artistique : Guillaume GRENARD Tél. 06 09 85 36 74 e-mail : guillaume.grenard@arbre-canapas.com � Contact administratif : Hélèna PICHON Tél. : 06 74 61 94 19 e-mail : helena.pichon@arbre-canapas.com

Création pour 6 musiciens basée sur des pièces du répertoire des Who, réarrangées, bousculées et réorchestrée pour un ensemble instrumental original (sextet de poly-instrumentistes). Il ne s’agit donc pas de « reprises » fidèles mais de l’appropriation et du décloisonnement d’un répertoire rock passé au tamis des « musiques de traverse », marque de fabrique de l’Arbre Canapas. Le groupe Gérald Chagnard : mandoline, sax sopranino, sax alto (Abre Canapas) Christophe Gauvert : basse, guimbarde (Arbre Canapas, heavy finger sextet) Guillaume Grenard : trompette, trompette à coulisse, cor. (Arbre Canapas) Thibaut Martin : batterie, vibraphone (Arbre Canapas, Petrek) Sofiane Messabih : sax soprano, sax ténor, accordéon (Arbre Canapas, Aldebert, shireï trio) Nicolas Pellier : batterie, batterie électronique (Elvis Undead Club, la Fanfarine, La mécanique des fluides)

Durée du concert 1h15. Répertoire My generation ; pinball wizard ; ouverture ; fiddle about ; we’re gonna take it ; slip kid ; join together ; i’m free ; christmas ; acid queen ; I can’t see for miles ; armenia city in the sky

>Gérald Chagnard : Saxophone alto, sopranino, mandoline

Après une formation musicale variée (classique et jazz a Bourg en Bresse et Villeurbanne) et un pratique collective dans la fanfare de son village, il intègre en 1995 le CFMI de Lyon où il s'interroge sur la transmission de la musique aux enfants et découvre des pratiques musicales allant de la musique concrète (Lionel Marchetti) , aux musiques traditionnelles (Catherine Perrier, Henri Marliengeas) en passant par le chant (Alain Goudard). Il esttitulaire du diplôme de musicien intervenant (D.U.M.I) a l'école depuis 1997. Parallèlement il rejoint la tribu du collectif Ishtar et le groupe la Grande Déformation où il s'essaie a la composition pour grand orchestre et a l'improvisation libre. Lors de différentes actions menées a Bourg en Bresse, il aura la chance de rencontrer des artistes ayant une très forte personnalité musicale (Rene Lussier,Michel Doneda, Claude Tchamitchian,Guillaume Orti...). Sa collaboration régulière avec Les Temps Chauds depuis 2000 et notamment la rencontre avec la troupe burkinabe Djiguiya, ont aussi éveillé sa curiosité pour les musiques du monde. L'oreille qu'il garde tendue vers les musiques de Mongolie, du Rajhastan, ou encore d'Ethiopie imprègne beaucoup de ses créations actuelles. La pratique de la mandoline lui donne aussi l'occasion de jouer des musiques traditionnelles comme le Old Time américain ou encore le choro Brésilien. En 2003 il crée avec Sylvain Nallet l'association l'Arbre Canapas autour de leur duo la Corde à Vent -concert pour jeunes oreilles, du quartet improvicompose Hékla et de l'orchestre de rue L'éléfanfare. Depuis 2005, les spectacles « Prises de bec » et « Derrière les bruissons » ont joue plus de 300 fois lors de tournées nationales organisées par les JMF. Actuellement il joue avec le quintet « L'effet de Foehn » et le duo La Corde à Vent. Au sein de ces formations, il développe des musiques de traverses au carrefour de multiples esthétiques et a la recherche de ponts entre les musiques savantes et les musiques populaires.

> Christophe Gauvert : Basse, guimbarde

Formé au CNR de Lyon, (médailles d’or en classique et Jazz), il participe à de nombreuses formations telles que le groupe 4’Têtes, le Michel Fernandez quartet… Il joue et enregistre avec J-Luc Cappozzo, Alain Debiossat, Marc Steckar, John Tchicai (… ) et se produit dans festivals tels que Jazz à Vienne, Montreux, Tanger, Marrakech, Calvi… et des salles comme la salle Varèse à Lyon, l’auditorium M. Ravel, le Transbordeur, le Train théâtre, le New-morning… Finaliste du concours de jazz de la Défense et de celui d’Avignon, il est lauréat du concours de jazz du festival de Sète avec le groupe Heavy Fingers sextet. Il joue aujourd’hui dans le quartet la table de Mendeleïev (Jazz et musique improvisée), dans le groupe Doumka (musique improvisée), le cri du chat (chanson), Heavy Fingers sextet (jazz), et Gérard Pierron dans le spectacle Plein-Chant.

> Guillaume GRENARD trompettes, cor, arrangements

Après un apprentissage instrumental classique, il s’oriente vers le jazz. Michel GODARD, Henri TEXIER, Aldo ROMANO, Joëlle LEANDRE, Michel PEREZ et Sylvain BEUF contribueront à sa formation. De 1998 à 2003, il est membre du collectif Ishtar et de son grand orchestre, La grande Déformation. La composition devient une part importante de sa vie de musicien. Il écrit pour certains des groupes auxquels il appartient (L’effet de Foehn, L’elefanfare, La table de Mendeleiev) et sur commande extérieure (notamment pour le Parc du haut Jura en 2007, l’addim de l’Ain en 2009 ou jazz(s) - ra en 2010). Il participe également à plusieurs formations de répertoire : Duo Serge Mater/Guillaume Grenard (jazz standards), Retrolatino (musique d’Amérique centrale) et Chant Bien fatal (Arfi) sur les compositions de Maurice Merle.

> Thibaut MARTIN batterie, vibraphone

Il débute la batterie à l’âge de 15 ans. Après avoir obtenu un D.E.M. puis un D.E.jazz à l’ENM de Villeurbanne, il abandonne l’enseignement pour se consacrer à diverses formations, explorant des directions telles que le rock, la chanson et le jeune public. Il renoue avec le jazz et les musiques improvisées en créant le quartet Hekla, qui lui permet de faire ses premiers pas en tant que compositeur. Il rejoint par la suite L’éléfanfare, fanfare de rue atypique. Il continue actuellement à travailler en direction du jeune public et de la musique de rue mais joue aussi dans de nouvelles formations issues du courant jazz contemporain telles que le quartet la table de Mendeleïev, le quintet L’effet de föehn, et le trio M’Sphère, pour lequel il compose et arrange.

> Sofiane Messabih, saxophone ténor, soprano, accordéon

Il suit d'abord une formation classique au conservatoire municipal de Lons le Saunier puis au CNR de Besancon ou il obtient un DEM de saxophone et de musique de chambre. En 2000 il rejoint le CEFEDEM de Dijon et il obtient son DE de saxophone en 2002. Dans le cadre du CEFEDEM il participe au festival de musique contemporaine Why note à Dijon. Il est aujourd'hui titulaire à l'école municipale de musique de champagnole dans le Jura .Dès l'age de 15 ans il anime des bals dans des orchestres de variétés. Il joue dans le trio Brazil (piano accordeon sax) de 1999 à 2000. Il joue le sax tenor dans le big band Région Jura de 1992 à 1995, où il enregistre notamment deux créations de Jean louis Billoud (professeur à l'AIMRA): suite concertante pour grand orchestre de jazz et one twoo thre. En 2000 il rejoint la fanfare de rue Le Bin's barg band qui se produit dans de nombreux festivals en France et à l'étranger (Festival de l'eau à Montluçon, Azimut à La pesse, Louvain en Belgique, festival Malgré tout au moulin de Brainans ainsi qu'au festival de fanfares du New Morning à Paris) et aussi pour la télévision suisse et la chaine Mezzo. En 2004 il participe à l'aventure du groupe de tango argentin TANGO NUEVE : concerts au festival Paris tango, festival de Besançon, festival de jazz à la Petite pierre en Alsace. En 2007 il rejoint L'éléfanfare qui est un métissage de toutes ces musiques.

> Nicolas Pellier : Batterie, Batterie électronique, samples

Musicien polyvalent et protéiforme, il appréhende la batterie comme un instrument à la fois percussif et mélodique. Il est capable de s’immerger dans des musiques très éclectiques, de la musique cubaine et affricaine en passant par la musique de rue et en allant jusqu’à l’improvisation jazz. Il pratique la batterie et les percussions dans un sens large, avec une volonté de transversalité et de mixité qui ouvre ainsi à l’électronique sur des batteries avec sample et multiplie ainsi les possibilités d’interactions musicales. Premier prix supérieur de l’école de batterie Dante Agostini de Lyon (1989 – 1995), 3ème Cycle de l’Ecole Nationale de Musique de Villeurbanne, section jazz. Il rencontre en résidence ou masterclasses : l’ARFI, Claude Tchamitchan, Fabien Tehericsen, DJIGUIYA (percussion nationale de Burkina Faso), compagnie du Facteur Soudain, Laurent Saltiel, la Tribu Hérisson. Il collabore régulièrement avec la Cuivrerie (38).

Créé en 2004, L’Arbre Canapas est un collectif de musiciens qui se sont rassemblés autour de la création, la sensibilisation et la diffusion de "musiques de traverse", issues de différents courants musicaux actuels : jazz, musiques du monde, musiques contemporaines...

un rassemblement de musiciens Chaque groupe de L'Arbre Canapas développe une approche particulière de la relation au public : L'éléfanfare est un orchestre de pas sages qui s’adresse a tous les publics, transformant la rue et les lieux du quotidien en salle de concert inattendue ; la Corde à Vent fait découvrir aux jeunes oreilles des musiques surprenantes et inventives, mêlant instruments de facture traditionnelle et instruments de lutheries non académiques. L'effet de Fœhn propose aux petits et aux grands de découvrir une création musicale contemporaine, évoluant dans de surprenants paysages sonores et vi suels ; La Table de Mendeleïev est un quartet qui secoue les becs bunsen avec une musique aventureuse et explosive . L’Arbre Canapas, association loi 1901, a pour but d’apporter une aide administrative et de communication a des projets de création et de diffusion musicale (notamment par l’organisation de concerts, la production de disques et d’outils de communication…), ainsi qu’a des actions de sensibilisation autour de ces projets. L'Arbre Canapas est soutenu par le Conseil Général de l'Ain, le Conseil Général Rhône Alpes, la DRAC Rhône Alpes, l'ADAMI et la SPEDIDAM

« La bave de l’arbre Canapas lui viendrait d’émotion, car c’est dans le plus chaud de la journée, lorsque des trompettes passent, lorsqu’une fanfare se fait entendre, qu’en flots saccadés apparaît à la naissance de grosses branches une étrange sécrétion brune. Est-ce souffrance ? Est-ce joie ? Avec une émotion gênée, on contemple cet afflux qui ralentit avec l’éloignement des musiciens pour disparaître avec eux, et l’arbre redevient aussi fermé qu’un coffre. »

Henri Michaux Ailleurs

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