Tramway : le pont pousse en rive gauche

Tramway : le pontpousse en rive

gauche Cahier en pages centrales

Lire pages 6 et 7

METR POLEMETR POLELE JOURNAL D’ANGERS LOIRE MÉTROPOLE

N°17 - février-mars 2008

Ces achats qui allègentvotre poubelle

Ces achats qui allègentvotre poubelle

2M É T R O P O L E | f é v r i e r - m a r s 2 0 0 8 | N ° 1 7

MÉTROPOLE, 83, rue du Mail, BP 80529 Angers 49105 CEDEX 02.Édition: Angers Loire Métropole. Directeur de la publication: Jean-Claude Antonini. Rédaction en chef: Nathalie Maire-Soulié.Rédaction : Nathalie Maire, Corinne Picard-Beauvallet. Tél.02 41 05 50 38 ou 02 41 05 52 27 (e-mail: [email protected] et [email protected]). Assistanteet responsable de la diffusion : Véronique Barini. Tél.02 41 05 50 43 ([email protected]). Fax : 0241055056. Photo de Une: CoraliePilard. Conception graphique et maquette : MCM - Stéphane Ronchin/Daniel Tirado-Garin. Photogravure : Easycomsolutions (Laval). Impression : Imaye (Laval). Distribution : Adrexo. Tirage: 125 000 ex. Dépôt légal: 1er trimestre 2008. ISSN: 1772-8347.

SOMMAIRE

CAHIER TRAMWAY N° 4 (PAGES CENTRALES)

Le pont “pousse” en rive gauche

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L’info Métropole (PAGES 3-15)

LE POINT (PAGES 3 - 5)LE DÉVELOPPEMENT DURABLE EST ANCRÉ DANS L’ÉCONOMIE

ENVIRONNEMENT (PAGES 6 - 9)Ces achats éco-citoyens qui allègentvotre poubelleLa collectivité évalue les émissions de gaz à effet de serreBiopole, le constructeur est choisi

ÉCONOMIE (PAGE 10 - 12)Made in Angers aide à découvrir quarante métiers et leurs débouchés Zone franche : un nouvel immeuble accueille les entreprises

Coup de pouce 49, le filet de sécuritédes entrepreneurs

DÉPLACEMENT (PAGES 13 - 15)Rendre les arrêts de bus accessiblesà tous les usagersToute l’info à la Maison du tramwayBus : modifications des tarifs

L’info communes (PAGES 16-23)

SAINT-CLÉMENT DE LA PLACE (PAGE 16)La commune mobilisée pour l’ouvertured’une épicerie

SAINT-SYLVAIN D’ANJOU (PAGE 17)Un logement pour toutes les étapesde la vie

SAINT-JEAN-DE-LINIÈRES (PAGE 18)L’histoire du petit train de légende illustrée

BEAUCOUZÉ (PAGE 18)Au sud, un projet culturel rassemblecinq communes

MÛRS-ÉRIGNÉ (PAGE 19)Un fruit à l’heure de la récré !

LES PONTS-DE-CÉ (PAGE 20)La médiathèque a déjà ses fidèles

TRÉLAZÉ (PAGE 21)Les plongeurs autorisés à s’entraînerdans les vieux fonds

ANGERS (PAGE 22)Une association a imaginé le chien thérapeute

L’agenda sorties (PAGES 24-31)

Le programme de vos sortiesdans l’agglomération

Pour être informé de la sortie du journal MÉTROPOLE, vous pouvez vous inscrire à partir du sitewww.angersloiremetropole.fr à la rubrique “Découvrir” et “Journal”. Un courrier électronique vous

préviendra de sa mise en ligne. Possibilité de le télécharger ainsi que les éditions précédentes.Le journal MÉTROPOLE est distribué dans toutes les boîtes aux lettres de l’agglomération.

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Concilier développement économique et développement durable n’est pas uneutopie. Sur le territoire de l’agglomération, des entreprises et les collectivités s’yemploient, démontrant peu à peu que le développement durable est une sourced’équilibre et de croissance maîtrisée pour le territoire, comme pour ses habitants.

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Le développement durableest ancré dans l’économie

LE POINTL’info Métropole

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Ci-dessus : l’usine de valorisation des déchetsd’équipement électriques et électroniques, enconstruction à l’Est d’Angers. Ci-dessous, le futur éco-parc d’Angers Loire Métropole, à l’Ouest.


LE POINTL’info Métropole▼ Le développement durable est l’une

des clés de la mutation mutation économique duterritoire angevin. Initié par les collectivitéslocales, la Ville d’Angers dès les années 90, puisAngers Loire Métropole depuis 2003, le mouve-ment est aujourd’hui amplifié par des entreprisesqui ont su transformer des contraintes en opportu-nités.C’est par exemple la société Rémy Cointreau, dontle siège social est basé à Saint-Barthélemy d’An-jou, qui diffuse une notion de “responsabilitésociale et environnementale au sein de l’entre-prise, mais aussi en amont et en aval, vers ses

clients comme vers ses fournisseurs”. Ce qui setraduit par des actions concrètes : développementde modes de culture respectueux de l’environne-ment, mise en œuvre de pratiques garantissantl’équité sociale et le développement professionneldes salariés, contribution au développementdurable des régions où l’entreprise est pré-sente…“15 % des investissements annuels sontdédiés à la qualité, à la sécurité et à l’environne-ment. En cinq ans, nous avons baissé de 30 % laconsommation d’eau”, explique Christian Lafage,directeur développement durable (source Internet).La démarche est contraignante, mais l’entreprise a

su en faire une valeur ajoutée. Elle démontre ainsique l’innovation et la mise en place de rapportssociaux harmonieux permettent aux entreprisesfrançaises de se différencier et de répondre auxdéfis de la mondialisation.Bien d’autres entreprises angevines ont su ainsifaire évoluer leurs pratiques, ou développer leurscompétences sur le socle du développementdurable : entreprises de prestations de service,cabinets d’architectes spécialisés dans la hautequalité environnementale, sites de production àl’exemple de Kolmi (fabrication de masques,couvre chaussures, draps… blocs opératoires),

L’éco-activité, c’est quoi ? L’éco-activité forme aujourd’hui un secteurtransversal de l’économie. Elle regroupe les entre-prises capables de mesurer, de prévenir, de limiter oude corriger les impacts sur l’environnement commela pollution de l’air, de l’eau, du sol (via l’agricultureraisonnée, par exemple), le bruit, ainsi que les pro-blèmes liés aux déchets et aux écosystèmes. L’éco-activité regroupe les entreprises (quelle que soit leurtaille et leur filière d’activités : agroalimentaire, agri-culture, bâtiment et construction, grande distribution,services…) qui participent au développementdurable, dans la mesure où elles associent dans leur

manière de produire une protection de l’environne-ment, le développement économique et la créationd’emplois. Le développement durable peut participerà la mutation économique dans la mesure où ilimpulse des créations d’entreprises comme “Terreet Terroirs”, à Angers, le magasin de produits ducommerce équitable et de l’agriculture durable ;Héliotrope (qui crée des murs végétalisés) ou Pata-gonia. Créée en Californie, cette entreprise emploie1 200 salariés et produit des vêtements de sportrésistants à partir du recyclage de bouteilles plas-tique et de vieux vêtements.

L’éco-quartier Gare + mêlera bureaux,logements, commerces et équipement public.

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ou encore des entreprises innovantes, commeHéliotrope ou Novéa Energies, récemment pri-mées par le ministère de la Recherche (lire Métro-pole n°15).

Un éco-parc à l’ouest de l’agglomération.Aujourd’hui sur le bassin d’emploi angevin, leséco-activités représentent 80 entreprises pour1 400 emplois (entreprises œuvrant dans lesdomaines de l’eau, des déchets, de l’air, du bruit,des sols et de l’énergie). Un chiffre qui progres-sera encore dans les années à venir avec l’ouver-ture, à Saint-Léger-des-Bois et Saint-Jean-de-

Linières, d’un éco-parc dédié aux éco-activités, àl’agro-alimentaire, à la logistique élaborée et à l’ar-tisanat de service.Sur 70 hectares à l’ouest du territoire, Angers LoireMétropole a choisi d’accompagner le développe-ment de ce secteur économique en conjuguantaménagements de qualité pour les entreprises etrespect de l’environnement. Une charte de qualitéenvironnementale prévoit en effet des mesuresconcrètes pour concilier impératifs économiques etenvironnementaux : double protection phonique,limitation de la pollution lumineuse, accès du siteaux transports en commun, développement ducovoiturage pour les salariés, récupération des eauxde pluie… Dans les dix prochaines années, ce parcd’activités accueillera près de 90 entreprises, soit1500 salariés.Plus généralement, Angers Loire Métropole placele développement durable dans tous ses projetsd’accueil d’entreprise, y compris ses projets immo-biliers. À Angers, le quartier d’affaires Gare + res-pectera la mixité urbaine et la qualité du cadre devie en mêlant bureaux, logements, commerces etéquipement public au cœur d’un quartier déjàexistant. L’architecture y sera pensée pour réduireles dépenses d’énergie. “Il n’est plus possible debâtir des bureaux entièrement climatisés commenous le faisions il y a dix ans, explique NicolasMichelin qui dirige l’agence Nicolas Michelin etassociés (ANMA), chargée de l’aménagement deGare +. Le développement durable nous oblige àtrouver de nouvelles façons de faire, à inventer destechniques performantes, à penser une architec-

ture économe, technique et écologique, plus àl’écoute de son milieu naturel.”Angers Loire Métropole investit par ailleurs directe-ment dans le développement durable avec l’usinede production d’eau potable équipée du procédéd’ultrafiltration, le projet Biopole pour le traitementdes déchets par tri mécano-biologique, le centre detraitement des déchets d’équipements électriqueset électroniques (D3E), le centre de maintenancedu tramway à énergie positive… La mise en œuvrede clauses d’insertion dans les marchés publics oula généralisation des achats verts, éthiques et équi-tables dans la commande publique participe égale-ment de cette politique.

Corinne Picard-Beauvallet

entreprises et 1400 salariés : c’est l’effectif actuel de l’éco-activité sur le territoirede l’agglomération, auquel il faut ajouter 163 formations dans les domaines de l’environnement.80

Le chiffre

Les collectivitéss’engagent aussi1992 : Angers adopte une charte pourl’écologie urbaine.

1996 : Angers adhère à la charted’Aalborg, charte européenne des villesdurables.

1999 : projet “Angers ville durable”.

2003 : le projet de la communautéd’agglomération, élaboré sur le socle du développement durable, est voté àl’unanimité par le conseil de communauté.

2004 : création de l’Observatoire européendes bonnes pratiques à Angers.

2006 : adoption de l’Agenda 21 d’AngersLoire Métropole. Un premier plan de40 actions est défini à partir de cinq axes :promouvoir l’emploi en anticipant lesmutations économiques du territoire ;favoriser un développement solidaire et équilibré du territoire ; assurer lesressources de demain, limiter les risques et les nuisances ; anticiper et répondre aux transformations sociales etdémographiques ; renforcer l’exemplaritéet affirmer la responsabilité d’Angers LoireMétropole. Cet agenda 21 est accompagnéd’un dispositif de suivi permanent et deprocédures d’évaluation.

Les collectivitésgénéralisent les achats

éco-responsables.

L’agriculture durable commercialise une partie deses produits au magasin Terre et Terroirs à Angers.

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ENVIRONNEMENTL’info Métropole

Prévention

Ces achats éco-citoyens qui Repérez-les bien ! Des étiquettes auxcouleurs d’Angers Loire Métropole ont prisplace dans les rayons des grandes et moyennessurfaces de l’agglomération. C’est unepremière : toutes les enseignes présentes sur leterritoire (Carrefour, Casino, Intermarché,Leclerc, Système U, Monoprix et la Caba Bio-coop) participent à cette opération de préven-tion. Objectif ? Sensibiliser le consommateur àproduire moins de déchets en prêtant attentionà la quantité d’emballages. Entre trois et sixmois durant, le message sera partout le même :“Achats futés = poubelle allégée”. Il s’agitd’acheter le “meilleur emballage” ou celui quiaura le moins d’impact sur l’environnement etle porte-monnaie ! Car c’est un fait : les pro-duits moins emballés sont souvent meilleurmarché. Pour aller droit au but, les enseignes ont choisid’afficher ces étiquettes devant une vingtaine deproduits de consommation courante. Et pour nepas perturber les habitudes des clients, ces pro-duits sont à leur emplacement habituel. Commele riz en vrac dans des boîtes cartonnées plutôtqu’en sachet cuisson non recyclable et nécessi-tant un grand conditionnement ; les produitsfrais et à la coupe (fromage, charcuterie, fruits,légumes…), les écorecharges (lessives, savons,produits d’entretien...), les produits réutilisablesplutôt que les jetables (piles rechargeables, vais-selle, serviettes de table en tissu, rasoirs…), les

produits éco-labellisés “NF Environnement” ou“éco label européen” (ex : produits d’entretien).

Éviter les suremballages.“Angers Loire Métropole souhaite faire appel àl’esprit critique du consommateur au profitd’achats plus citoyens ; le but étant à terme delimiter le volume des déchets comme le polysty-rène”, note le vice-président en charge de l’envi-


La grande distribution angevine au grand completÀ l’initiative d’Angers Loire Métropole, tous les magasins listés participent à l’opérationétiquetage et s’engagent à informer leurs clients à l’aide d’affiches et de flyers : Carrefour Saint-Serge et Lac de Maine, Géant Casino (Espace Anjou et La Roseraie), Intermarché (de Trélazé, Les Ponts-de-Cé, Angers et Avrillé), Leclerc Camus, les magasins U (des Justices et des Banchaisà Angers ; de Mûrs-Érigné, Saint-Barthélemy, Saint-Sylvain-d’Anjou, Beaucouzé), Monoprix Fleurd’Eau et les trois magasins Caba Biocoop (Angers, Avrillé et Mûrs-Érigné). En limitant la distribution des sacs de caisse et en développant, chacune, leurs gammes deproduits éco-responsables, les grandes enseignes avait déjà eu l’occasion de montrer leur intérêtpour le développement durable.

ronnement et des déchets. En imaginant cetteopération, ni la collectivité ni les grandes surfacesn’ont eu en tête de changer d’un seul coup leshabitudes de vie et de consommation ; pas plusqu’elles n’ont la prétention de bouleverser les loisdu marketing. “Simplement d’inciter les consom-mateurs à se poser la question de l’emballagequand une réelle alternative au produit habituelle-ment acheté existe”, poursuit l’élu.L’augmentation du nombre de foyers composésd’une seule personne a entraîné la commerciali-sation de produits conditionnés en portions indi-viduelles. Un côté pratique qui répond à uneréelle demande des consommateurs, mais quicontribue aussi à l’augmentation générale duvolume des emballages. “Quand c’est possible, ilest préférable d’acheter un grand pot de fromageblanc plutôt qu’un lot de pots individuels”, pré-cise Myriam Larue, chargée de la prévention desdéchets à Angers Loire Métropole. À chacun, ensomme, d’éviter les superpositions d’emballages

dont le prix est répercuté à l’achat.Certes, l’exercice n’est pas aussi aisé qu’il yparaît. Pour certains produits, un bilan environne-mental serait le bienvenu. Pour d’autres, enrevanche, c’est une question de bon sens. Mieuxvaut, par exemple, choisir un grand paquet de bis-cuits, plutôt que des sachets individuels. Dans trois mois, un premier bilan permettra auxdirecteurs des grandes et moyennes surfacesimpliquées de savoir si l’opération a influencé lesventes. Avec le souhait qu’il en ressorte quelquechose : “Beaucoup d’entreprises sont déjà dansce débat. Les cartons qui permettent le transportdes marchandises ont déjà été allégés de façon

notoire, note Marcel Poligné, dirigeant d’Intermar-ché aux Ponts-de-Cé. Ainsi que les bouteillesd’eau pour lesquelles la quantité de plastique aété réduite au maximum… La prévention desdéchets, c’est comme le tri il y a quinze ans, toutle monde va s’y mettre, mais doucement, lesconsommateurs comme les producteurs.” Lesambassadeurs du tri d’Angers Loire Métropolesont ponctuellement présents dans les magasinspour expliquer l’enjeu de la prévention desdéchets, ainsi que des représentants des consom-mateurs. À vous de jouer et de comparer.

Nathalie MairePhotos : Coralie Pilard


allègent votre poubelle

En France, les emballages ménagers représentent jusqu’à 30 % du poids des déchets,et plus de 50 % du volume des poubelles (source www.ecoconso/be).

Le chiffre

Michel Poligné, dirigeant du magasinIntermarché, Les Ponts-de-Cé

Questions à

Quel rôle la grande distribution peut-elleavoir sur la prévention des déchets ? Nous faisons passer toutes sortes de mes-sages. Toutes les enseignes présentes sur leterritoire sont enthousiastes à l’idée d’appuyerla démarche d’Angers Loire Métropole et d’ex-pliquer aux consommateurs combien ildevient important de limiter les emballages.Dans six mois, nous ferons un bilan. Nosmagasins sont des laboratoires, ça ne coûterien d’essayer.

Si les consommateurs entendent le mes-sage, quel pourrait alors être votre rôle ?La grande distribution a ses propres usines, etentretient des relations de proximité avec sesfournisseurs, notamment les locaux ; elle peutdonc agir. Si les consommateurs achètent demoins en moins de produits suremballés, lesproducteurs seront obligés de les suivre, y com-pris les multinationales.

Pourquoi vous engager dans cettedémarche ?Nous aussi sommes confrontés à la proliféra-tion des déchets, des cartons, des plastiques. Àchaque livraison, nous sommes envahis, c’esttrès volumineux et cela nous coûte cher enmanipulation comme en transport. Noussommes avant tout des citoyens, comme tout lemonde. Nous partons du principe que c’estaussi de notre responsabilité de participer à descampagnes d’information grand public.

Angers Loire Métropole et la grande distributions’associent pour proposer des produits moinsgourmands en emballage aux consommateurs.L’opération va durer de trois à six mois.

La réduction des émissions de gaz àeffet de serre est inscrite dans l’Agenda 21comme l’une des priorités du territoire. Et sedécline, depuis plusieurs années, au travers deplusieurs actions : aide financière pour les par-ticuliers s’équipant d’installations solaires, étudedu potentiel bois-énergie des propriétés d’AngersLoire Métropole, intégration de la problématiqueénergétique dans les grands équipementscomme le centre de maintenance du tramway,Biopole…Aujourd’hui la collectivité accentue son effort ens’engageant avec l’Ademe dans un Bilan car-bone. Il comprend deux volets. Le premier,consacré aux bâtiments et aux services, va per-mettre de mesurer les émissions de gaz généréespar les activités d’Angers Loire Métropole et deses 31 communes : administration générale,transports collectifs, eau et assainissement, dé-chets, espaces verts, voirie… Le second s’inté-ressera aux émissions induites par toutes les ac-tivités situées sur le territoire : les industries de

l’énergie, les procédés industriels, l’agriculture,le fret, les constructions, le trafic routier…L’analyse de l’ensemble de ces données aboutiracet automne à des propositions d’actions pour

contribuer à l’objectif que s’est fixée la Francedans le cadre de la lutte contre le changementclimatique : diviser par quatre les émissions degaz à effet de serre d’ici 2050.


Bilan carbone

Tri des plastiques gras : quoi de neuf ?

Innovation

Il est désormais possible etsouhaitable de déposer les flacons etbouteilles en plastique ayant contenudes corps gras dans les sacs jaunes et lesbacs de tri à couvercle bleu. Au mêmetitre que les bouteilles d’eau, de jus defruit, les flacons de lessive, de sham-poing, de bain douche et de produitsd’entretien, les bouteilles d’huile alimen-taire ainsi que les tubes de mayonnaiseet les flacons de ketchup sont aujour-

d’hui recyclables, grâce à un système delavage à chaud qui permet d’éliminer lesparticules grasses. Quant aux huiles defriture, Angers Loire Métropole conseilletoujours de les remettre dans une bou-teille en plastique (après refroidisse-ment), et de jeter cette dernière dans lesordures ménagères classiques. ■ En cas de doute : composer le numérovert d’Angers Loire Métropole (déchets triet collecte) : 0 800 41 88 00.

La collectivité évalue les émissionsde gaz à effet de serre

L’info Métropole ENVIRONNEMENT

Le Bilan carbone permettra d’évaluerl’impact environnemental

des activités de tout le territoire.

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Biopole : le constructeur est choisiÀ la fin de l’année 2010, Biopole sera lepremier centre de valorisation des ordures ména-gères du genre en France. 90 000 tonnes dedéchets résiduels (ceux qui ne peuvent pas êtredéposés dans les sacs jaunes, dans les points decollecte ou en déchèterie) y seront traités pour enextraire des métaux, du compost et du biogaz.Ce projet vient de passer un cap supplémentaireavec le choix du groupement chargé de saconstruction : Vinci Environnement, associé àSogéa Atlantique pour les travaux de génie civil etau cabinet d’architectes Rolland. Biopole se déploiera sur 9 ha, sur le parc d’activi-tés Angers-Est (Pôle 49) à Saint-Barthélemy-d’An-jou. Dans un premier temps, 3 ha seront consacrésaux bâtiments, à la voirie et aux espaces verts. Lecentre d’embauche du personnel, un centre de triou un centre de transfert des déchets pourrait êtreconstruit dans l’avenir sur le reste du terrain. “Iln’est pas question d’envisager une extension del’unité de traitement, rappelle le vice-présidentchargé des déchets. Biopole est dimensionné pourun maximum de 90000 tonnes d’ordures ména-

gères et la collectivité poursuivra ses efforts pourdiminuer encore le volume collecté.” Les cam-pagnes de prévention, la distribution de compos-teurs, les actions menées auprès des scolaires por-tent déjà leurs fruits : entre 2005 et 2007, le

volume des ordures ménagères collectées dans lestrente-et-une communes de l’agglomération adiminué de 9,7 %. Le coût de cette unité de valo-risation des ordures ménagères sera de l’ordre de50 M€. Une enquête publique sera lancée cetautomne, puis le démarrage des travaux est prévudébut 2009, pour une durée de 19 mois.

■ Pour en savoir plus, le supplément du journalMétropole “Innover avec Biopole” est disponiblesur simple demande au 02 41 05 50 43. Il est également téléchargeable sur le site :www.angersloiremetropole.fr

Une commission locale d’information et de surveillance (Clis) va être mise en place pour Biopole.Elle permettra d’informer les associations environnementales, les associations de riverains et les élus concernés sur l’évolution du chantier et sur la future exploitation du site.

À noter

Biopole occupera 9 ha situés sur le parcd’activités Angers-Est (Pôle 49).

Cet équipement permettra de valoriser les déchets résiduels.


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De l’électricité pour 10 000 habitantsFaits de bois, de béton brut et de bardages métalliques, les bâtiments de Biopole seront d’unehauteur maximum de 18 mètres. Les sources d’odeur seront confinées puisque toutes les instal-lations seront dans des bâtiments fermés. Près de 3000 m2 de panneaux photovoltaïques sontprévus en toiture pour compléter la production d’électricité (grâce au biogaz). Revendue à EDF,cette énergie sera équivalente à la consommation annuelle électrique de 3 000 foyers, soit uneville de 10 000 habitants. Biopole produira également de la chaleur qui pourrait alimenter desentreprises du parc d’activités.

Valorisation des déchets

ÉCONOMIEL’info Métropole

Made in Angers

Cent entreprises sont à visiter jusqu’au 9mars. Avec près de 17000 visiteurs l’an dernier,l’opération de tourisme industriel Made in Angersa séduit nombre de scolaires, jeunes et étudiantsainsi que des demandeurs d’emploi à larecherche d’une (ré)orientation et des adultes envoie de reconversion professionnelle. Pourrépondre à cette demande spécifique, l’édition2008 focalisera, pour la première fois, sur prèsd’une quarantaine de métiers. Un temps fort quechaque entreprise participante se charge d’ani-mer en présentant un métier de son choix, carac-téristique de son activité. Ces “focus” porterontsur des profils professionnels aussi divers qu’ac-

compagnateur social, acheteur, agent de mainte-nance dans les ascenseurs, conducteur d’engin,façonneur d’ardoise, infographiste, ingénieurspécialisée dans l’environnement, conseiller enséjour, couvreur, cuisinier, opticien, préparateuren pharmacie... Durant cette quinzaine, quatorze secteurs d’acti-vités seront représentés : l’industrie et la métal-lurgie, la formation, l’insertion par l’économie,l’environnement, l’architecture, le bâtiment et ledesign, les média et la communication ; et pourla première fois, les métiers du spectacle (avec laparticipation du théâtre Le Quai). Dans le cadredes visites de groupe, 38 entreprises représen-

tant le développement durable, l’environne-ment... recevront des groupes universitaires, étu-diants. Quant aux collégiens et lycéens, ils serontaccueillis dans 44 entreprises. Le grand publicest attendu du 18 au 29 février, ainsi qu’aux Gre-niers Saint-Jean et dans les musées de l’agglo-mération lors des week-ends insolites (lire enpages agenda).

■ Made in Angers, renseignements à Angers LoireTourisme, place Kennedy à Angers. Réservations au02 41 23 50 00. Programme des entreprises à visi-ter, métiers à découvrir, week-end à thème, tarifs ethoraires sur le site www.angersloiretourisme.fr


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Un nouveau bâtiment de près de 3700 m2, construitdans la continuité des bâtiments existants, constituela première phase de la réhabilitation de l’IUT Angers-Cholet. Avec pour objectif, à terme, d’accueillirdavantage d’étudiants et de développer les formations

en lien avec le tissu économique local. Les premiersà bénéficier de cette modernisation, y compris deleurs équipements de travail, sont les étudiants engénie biologique. L’IUT a été construit en 1966, enprélude au campus universitaire de Belle-Beille.

Express

L’IUT Angers-Cholet se modernise pour développer ses formations

Quatorze secteurs d’activités seront représentés pendant la quinzaine du tourisme industriel.

Faire le point sur quarante métierset leurs débouchés réels

D’ici à juin 2009, leséquipes de recherche ducentre hospitalier et de l’Uni-versité d’Angers travaillerontsur un plateau techniqueunique de 20 000 m2,

au cœur du campus demédecine. Cet outil permet-tra de mutualiser les moyensau service des patients, de larecherche clinique et fonda-mentale ; et de doper l’inno-vation et les transferts detechnologie dans le cadre dupôle de compétitivité AtlanticBiothérapies. Coût de l’opé-ration : 52 millions d’euros.

Un plateau uniquepour la recherche

Santé

En juin 2007, la Zone franche urbaine (ZFU)située à cheval sur le quartier de Belle-Beille àl’ouest d’Angers et sur Beaucouzé accueillait271 entreprises pour un total de 800 emplois.Depuis le début de l’année, elle compte unnouvel ensemble immobilier d’affaires, baptiséPôle Patton. Treize entreprises du tertiaire vien-nent d’y lancer leurs activités ou sont sur le pointde le faire. Chacune prévoit d’y créer une dizained’emplois. Le dispositif de la Zone franche urbaine, qui aété élargi sous l’impulsion d’Angers Loire Métro-pole au lendemain des crises ACT, fin 2002-début 2003, a permis de relever un triple paridans ce secteur de l’agglomération. Un pariurbain, économique et social. Urbain puisque le dispositif Zone franche s’ac-compagne d’une rénovation urbaine ; écono-mique, puisque les objectifs majeurs de la ZFUétaient bien d’accueillir de nouvelles entrepriseset de nouveaux emplois et enfin social, puisqu’un

tiers environ des nouveaux postes doit profiteraux personnes les plus éloignées de l’emploi, etqui habitent dans le périmètre géographiqueconcerné (Belle-Beille, mais aussi les Plaines etle quartier du Petit-Bois à Trélazé, et tous lesquartiers d’Angers : La Roseraie, Grand-Pigeon,Verneau...). Le Pôle Patton est aujourd’hui emblématique del’évolution de ce quartier. Mais aussi de ce quepeut permettre le partenariat entre les secteurspublic et privé, ici représentés par le promoteuret l’investisseur. Quant aux partenaires publics, ils’agit d’Angers Loire Métropole, de son agencede développement économique, d’Angers-Habi-tat et de la Ville d’Angers.

■ Au sujet de la Zone franche urbaine, lire aussi ledossier du journal Métropole (numéro 11). Télé-chargeable sur le site www. angersangersloireme-tropole.fr (rubrique journal).

Emploi

Zone franche : un nouvelimmeuble pour les entreprises

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Angers Loire Tourisme a mis en ligne son nouveau site Internet. Les touristes peuvent ytrouver des informations sur les hôtels, gîtes, restaurants, musées… Le site est égalementconçu pour satisfaire la demande angevine. www.angersloiretourisme.com

À noter

L’immeuble de l’avenue Patton, à Angers, accueille13 entreprises, soit 140 emplois à terme.

Le dernier filet de sécurité avant de volerde ses propres ailes : c’est ainsi que l’on pourraitrésumer l’activité de Coup de pouce 49, Coopé-rative d’activités et d’emplois. “Nous proposonsaux porteurs de projet un cadre juridique, fiscal

et social qui leur permet de tester leur activité,avant la création juridique de l’entreprise,explique Pascal Viau. Dès que leur activité dégageun résultat, nous établissons un contrat de travailet un salaire. Cet accompagnement dure le temps

utile au développement de l’activité.”Ce temps est également mis à profit pour menerdes entretiens individuels qui servent à faire lepoint sur l’activité de la future entreprise et com-pléter l’information du porteur de projet. “Nousproposons des ateliers collectifs sur des thèmesconcrets, comme la prospection commerciale ou lapolitique de prix, ajoute Pascal Viau. Ce sont desconnaissances nécessaires pour développer l’en-treprise et permettre son autonomie future.” Cesréunions favorisent l’échange d’expérience entreles participants, comme les “Rendez-vous desentrepreneurs” : “Chaque trimestre, les nouveauxvenus rencontrent les anciens, dans un espritcoopératif qui nous est cher. Ces échanges de pra-tiques permettent à des projets de voir le jour,comme celui des cinq entrepreneurs qui se sontassociés pour ouvrir une boutique, rue Saint-Julienà Angers, le temps des fêtes de fin d’année.”Dans le commerce, l’esthétique, l’informatique,la création de jeux de société, la coiffure... Coupde Pouce a accompagné plus d’une cinquan-taine de personnes en 2007.■ Contact : 06 64 98 30 27.


ÉCONOMIEL’info Métropole

Création d’entreprise

Coup de pouce 49, le filet de sécurité des entrepreneurs

À Angers, plus de moyens pour l’apprentissage et la formation Angers Loire Métropole s’associe à laChambre de commerce et d’industrie, à laRégion et au Département pour financer l’ex-tension du centre de formation de la CCI; ceci àhauteur de 500 000 €. Pour un coût global de14 M€, 6 500 m2 seront en effet ajoutés aubâtiment actuel Pierre-Cointreau, afin d’amélio-rer l’accueil des 4 200 apprentis ou stagiaires,des 140 formateurs vacataires et des80 membres du personnel. L’enjeu est detaille : permettre à la Chambre de commerce et

d’industrie de rationaliser l’organisation des dif-férentes formations, et mieux accompagnerencore les besoins des entreprises. Les formations et les équipements serontregroupés dans ce nouvel immeuble, comme lescuisines pédagogiques, les laboratoires d’op-tique et de pharmacie, les salons de coiffure,les centres d’appel, des équipements multimé-dias… Les élèves disposeront aussi d’un centrede ressources et de documentation, d’un self-service et d’une aire de détente.

Formation

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Le temps des fêtes, cinq créatrices d’entreprises ontprésenté leurs produits dans une boutique, à Angers.

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Le centre de la CCI forme 4 200 apprentis.

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En 2015, 100 % des bus auront un plancher bas.

Angers Loire Métropole élabore depuisplusieurs mois un schéma directeur d’accessibi-lité des transports “qui aboutira à un plan d’ac-tion pour l’ensemble du réseau de Keolis Angers(Cotra), tant au niveau de l’information, que desarrêts ou des véhicules”, explique VirginieCaballe, directrice des transports. Première étape :les arrêts de bus. En collaboration avec les asso-ciations de personnes handicapées, Keolis et leservice voirie de la Ville d’Angers, la collectivité aélaboré un document de référence destiné àguider les communes dans leurs aménagements.Largeur des trottoirs, espaces de cheminement,contraste des couleurs au sol... tout est recensépour favoriser les déplacements des personneshandicapées, quel que soit le type de handicap.“Moyennant quoi Angers Loire Métropole peut,sous certaines conditions, subventionner les tra-vaux sur les arrêts lorsqu’ils sont en conformitéavec ces recommandations”, ajoute VirginieCaballe.

Seconde étape : définir un plan d’action pourune conformité progressive des arrêts existants.“La priorité sera la ligne 5, qui dessert descentres commerciaux, des maisons de retraite,un cimetière... et traverse de nombreux quartiers.Puis chaque année, un programme de travauxsera établi.”Dans le même temps, Angers Loire Métropoleadapte les véhicules du réseau. En 2015, 100 %des bus auront un plancher bas, au niveau duquai. “Les palettes rétractables qui permettentl’accès aux fauteuils roulants seront installéesprogressivement, en fonction des aménagementsdes arrêts”, ajoute la directrice des transports.■ Angers Loire Métropole vient de créer une com-mission intercommunale d’accessibilité composéed’élus, de représentants des associations de per-sonnes handicapées et d’un représentant de l’État.Son rôle : dresser le constat de l’accessibilité duréseau de transport urbain et faire des propositionspour l’améliorer.

DÉPLACEMENTL’info Métropole

Rendre les arrêts de busaccessibles à tous les usagers

Pratique


Angers Loire Handicap Trans-port propose une nouvelle offreavec l’abonnement fréquence.Pour 50 € par mois, il permetde bénéficier d’un aller etretour par jour sur un trajetidentique, valable six jours sursept, hors dimanche et joursfériés. Cette année également,le ticket à l’unité passe à

2,40 €

et lecarnet de10 à22 €. Le ser-viced’accueiltélépho-

nique et de réservations estpar ailleurs étendu : du lundiau vendredi de 9h à 12h et de13 h 30 à 18 h 30 au02 41 27 29 29. Les réserva-tions sont reçues jusqu’à 16hpour le lendemain et deuxheures avant selon les disponi-bilités. En 2007, deux nou-veaux minibus ont été achetésafin d’améliorer la prise encharge des usagers et d’assu-rer les 45000 voyages effec-tués dans l’année.

Handicap :un service élargi

Transport

Au 12, place Imbach à Angers, la Maison du tramway accueille les particuliers, les entreprises, les scolaires…


DÉPLACEMENTL’info Métropole

Depuis son ouverture, la Maison dutramway enregistre une centaine de visites enmoyenne chaque jour. Des particuliers, maisaussi des groupes viennent découvrir cet espaced’information et d’exposition qui fait le point surla première ligne de tramway : son tracé, les équi-pements desservis, les aménagements urbains, lecalendrier des travaux, les techniques deconstruction de la ligne et du pont… Deuxmédiateurs sont venus renforcer l’équipe initiale.Il s’agit de Pascal et Myriam. Aux côtés de Ségo-lène et Manuel, tous ont à cœur de renseigner leplus précisément possible les visiteurs et les futursriverains. “Nous avons accès à une base de données trèsfournie, mais si nous n’avons pas tous les élé-ments de réponse, nous faisons appel aux ingé-

Information

Toute l’info à la Maison du tramway

Accueil, maquette, expos, relais-infos… pour tout savoirLa Maison du tramway propose une présentation complète du futur tramway d’Angers LoireMétropole : une exposition permanente de la maquette grandeur nature du tramway, un relais-infos travaux pour tout savoir sur l’avancée du chantier au jour le jour, un accueil individuel ou de groupes (sur rendez-vous) par les médiateurs du tramway. 12, place Imbach, la Maison du tramway est ouverte le lundi, de 13 h à 19 h et du mardi au samedi, de 10h à 19 h (en juillet et août, ouverture du lundi au samedi, de 14 h à 19 h). Numéro vert : 0 800 104 204.

nieurs. Tous travaillent à l’étage supérieur, pré-cise Manuel. Objectif : répondre dans les dix joursmaximum par téléphone ou par courrier.”Quelles questions ? Toutes ou presque. La datedu début des travaux dans les secteurs où lecalendrier est établi, les éventuels nouveaux sensde circulation, les nouvelles places de stationne-ment, les parkings relais, etc. Pour être précis,

les médiateurs tiennent des plans à dispositiondu public. “Dans la plupart des cas, les habitantss’intéressent à leur proche environnement”,relève Myriam. Reste l’aspect pédagogique du tramway : laMaison du tramway relayera, en avril, la semainedu développement durable.Lire aussi le cahier tramway en pages centrales.

Keolis Angers Cotra ouvre ses pde commande d’où sont suivis des véhicules. Du 18 au 29 fév

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Modifications des tarifs de bus

À partir du 1er avril, de nouveaux tarifs s’ap-pliqueront sur le réseau de Keolis (Cotra). Ilsconcerneront les tickets journée (3,40 € au lieu de3,30 €), les carnets (10 € au lieu de 9,50 € pourun carnet de dix tickets plein tarif par exemple) etles abonnements (34 € par exemple au lieu de33 € pour la carte mensuelle orange). Toujours àpartir du 1er avril, la carte verte mensuelle sera

accessible aux demandeurs d’emplois et stagiairesde la formation professionnelle habitant dans l’en-semble du Maine-et-Loire (3,80 € par mois au lieude 3,70 €). Enfin l’augmentation des abonne-ments scolaires et étudiants ne sera appliquéequ’au 1er septembre prochain.Le prix du ticket de bus vendu à l’unité par lechauffeur reste cependant inchangé : 1,20 €.

Transports en commun

Suivre le chantier du tramway sur le netPratique

Le chantier du tramway vadevenir visible des Ange-vins dès avril. Pour lesaider à se tenir informés,Angers Loire Métropoles’apprête à mettre enligne une carte interac-

tive. D’un accès simple,celle-ci sera remise quoti-diennement à jour et per-mettra de trouver desinformations sur l’état desrues, les itinérairesconseillés, tous les

contacts utiles, les placesde parking, etc. Les inter-nautes pourront y entreren tapant le nom d’unerue, ou en zoomant sur la carte. www.angersloire-metropole.fr/tramway

La centrale de mobilité(destineo.fr) a reçu letrophée européen deschampions régionaux,catégorie transports, ducomité des régions del’Union européenne. Destineo, c’est un moteurde recherche d’itinérairesqui permet de concocterun parcours sur mesure en faisant le lien entretous les modes detransports disponibles dansla région des Pays de laLoire. La centrale demobilité créée voici un anest financée par la Régionet les autoritésorganisatrices destransports, dont AngersLoire Métropole.

Express

Aller plus loinavec destineo.fr

portes aux particuliers désirant visiter le poste central l’ensemble des bus et l’atelier de maintenance vrier. Réservations au 02 41 23 50 00.

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Le prix du ticket de bus à l’unité reste de 1,20 €.

L’info communes NORD

SAINT-CLÉMENT DE LA PLACE

La commune mobiliséepour l’ouverture d’une épicerieEntre les grandes surfaces de Bécon-les-Granits et de Beaucouzé, comment mainte-nir un commerce de proximité à Saint-Clémentde la Place ? Cette question a alimenté les dé-bats, de juin à décembre dernier, après la fer-meture définitive de la supérette. L’importancedu maintien d’une épicerie dans le bourg, pourson animation mais aussi pour les servicesqu’elle rend aux personnes les moins mobiles, aamené la commune à prendre en charge ce dos-sier. Jusqu’à la réouverture d’un commerce, lemois dernier, à l’enseigne Vival, dans une salle

municipale spécialement aménagée (la salleBessonneau).“Il s’agit d’une solution transitoire, en attendantl’aménagement de l’îlot du centre bourg, quicomprendra des logements, des bureaux et dessurfaces commerciales”, explique le maire. Lasalle Bessonneau a néanmoins été mise enconformité pour l’accueil du public (sortie de se-cours, accès handicapés...), autant de travauxpris en charge par la commune. Quant au com-merce, il est géré par un jeune Clémentais,Alexandre Bellanger.

Alexandre Bellanger gère la nouvelle supérette.


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MONTREUIL-JUIGNÉ

Une saison“sens... s’en faire”C’est le vendredi 15 février queMontreuil-Juigné lance sa nouvelle saisonculturelle. Elle s’articulera autour descinq sens jusqu’à la fin de l’année. Toutcommencera, dès 20 h 30 (gratuit, sur ré-servations) par un concert gastronomiqueet burlesque avec le spectacle Les Cuis-tots, par la Cie Les Costards qui en profi-tera pour servir en accompagnement“quelques grands crus aux arômes cuivrésde terroir”, un “consommé de refrainschoisis 100 % matière brass et du bœufen dub...”. Le tout : “Convivialité comprise.” Ce soir-là, le public pourra aussi découvrir uneexposition sur le chocolat, que lesscolaires découvriront à leur retour devacances. À suivre, la programmationrelayera, en mars, l’opération du

Printemps des poètes, avec une baladelittéraire, Les mots à la bouche, par legroupe des Bouquineurs (le 28 mars, à20 h 30, à la Maison du parc, soiréegratuite). En avril, ce sera au tour duThéâtre de la littérature avec le spectacleLes Salades amoureuses, par leBibliothéâtre (le 4 avril, à 20h30, à laMaison du parc, gratuit).

■ Soirée d’ouverture de la saison culturelle,le 15 février, à 20h30, salle Jacques-Brel.Gratuit. Réservations et renseignements au02 41 31 10 78.

Avec Les Cuistots en ouverture. DR

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Travaux préparatoires terminés depuis janvier, derniers sondagesgéotechniques effectués en février : la construction du pont vacommencer en mars. Un chantier spectaculaire et ultra-techniqued’une berge à l’autre de la Maine. Explications.

Lire en page 2.

Cahier tramway - février-mars 2008

METR POLEMETR POLELE JOURNAL D’ANGERS LOIRE MÉTROPOLE

Le pont “pousse” en rive gauche

Retenue pour la construction du pont, l’en-treprise ETPO propose une technique specta-culaire. Celle-ci consistera à assembler, de-puis la rive gauche (à hauteur du cinémamultiplexe) des éléments métalliques dans lebut de les pousser de l’autre côté de la rive,devant le centre hospitalier (voir le schéma enpage 2). Pour soutenir l’ensemble (le tablieret l’arc), des piles provisoires (retirées après laphase de travaux) seront installées dans le litde la Maine ; c’est sur ces mêmes piles que

l’ouvrage s’appuiera pour aboutir à laconstruction complète du pont, long de270 mètres. Sept mois durant, les Angevinspourront ainsi suivre la “poussée” du pont quisera par ailleurs filmée par une webcam ins-tallée de façon permanente sur le site.À l’origine, la construction du pont devait se dé-rouler en simultané sur chacune des rives.Pourquoi proposer une nouvelle technique ?“Pour des questions de coûts, indique GillesFrantz, représentant de la maîtrise d’œuvre.

Notre souhait de faire remonter les élémentsmétalliques de structure du pont par la rivière adu être abandonné au profit d’un transport rou-tier du fait de la taille des éléments à transpor-ter. Il devenait trop onéreux de faire appel à desmoyens nautiques pour la seule phase d’assem-blage”. L’assemblage depuis la rivière a donccédé la place à un assemblage depuis la rivegauche. Le tout naîtra au-dessus des têtes desautomobilistes qui pourront continuer à roulersur la voie des berges en toute sécurité.

Photomontage : Cabinet Lavigne-Chéron

�� Autour du chantier en bref

� Une équipe chantier resserréeCe chantier très technique requiert un chef dechantier principal ; lequel coordonnera leséquipes. Vingt personnes en moyenne seront

présentes en même temps sur le site. Diffé-rents corps de métiers interviendront : desspécialistes des fondations, des terrassiers, legénie civil (coffreurs, ferrailleurs, maçons) etdes spécialistes des charpentes métalliques(soudeurs qualifiés, opérateurs-monteurs…).

� Les travaux préparatoires terminésDes déviations de réseaux (électricité, télé-phone, eau et gaz) ont été effectuées quai Fé-lix-Faure et avenue de la Constitution à An-gers, en novembre, décembre et janvier. Lessondages géotechniques menés rive droite,près du CHU, avaient mis en évidence une ca-vité souterraine. Peu importante, elle a étécomblée par une injection de ciment.

� Le grand Ouest en forceEn décembre, le conseil communautaire d’An-gers Loire Métropole a attribué plusieurs lots àdes entreprises. C’est un groupement d’entre-prises du grand Ouest (ETPO et Baudin Châ-teauneuf) qui a obtenu le marché relatif à laconstruction du pont pour un montant de20 millions d’euros. Les autres marchés attri-bués concernent des travaux préparatoirespour la ligne de tramway.

Le tramway

Le calendrier du chantier sur la Maine� Mars 2008 : installation du matériel pour le bon déroulement du chantier.� Avril 2008 : réalisation de remblais provisoires pour permettre l’accès des engins et des personnels sur le lieu de travail, en toute sécurité. Et réalisation des appuis en rivière, sur la berge et autres piles en béton.� Août 2008 : façonnage des éléments de structures métalliques destinés à l’assemblagedu tablier dans l’usine Baudin-Châteauneuf à Châteauneuf-sur-Loire.� Novembre 2008 : assemblage des tronçons et lançage du pont.� Juillet 2009 : retrait des ouvrages provisoires.� Novembre 2009 : livraison de l’ouvrage aux équipes de construction de la ligne pour la réalisation des rails, la création de la piste cyclable et de la voie piétonne, la pose des éclairages…

2M É T R O P O L E | c a h i e r t r a m w a y - f é v r i e r - m a r s 2 0 0 8

Le pont sera assemblé tronçon par tronçon, près du cinéma multiplexe. Chaque élément sera ensuite poussé de l’autre côté de la Maine. Le toutreposera sur des piles provisoires installées dans le lit de la rivière. Ce chantier spectaculaire durera un an et demi avant la réalisation des rails.

Télex


� Le guide à l’usage des riverains professionnels vient de sortir. Pour les secteurs LesHauts-de-Saint-Aubin et La Roseraie à Angers, un supplément spécifique consacré aucalendrier des travaux et au dispositif d’information et d’accompagnement y est joint.

Accompagner un chantier aussi impor-tant que celui du tramway passe par une infor-mation rapide et performante. Webcam, carteinteractive, SMS : Angers Loire Métropoles’appuie sur les technologies d’aujourd’hui.

� Le pont dans l’œil de la webcam : suivre endirect la construction du pont sur angersloire-metropole.fr/tramway sera possible à partir defin mars. Grâce à une webcam, les internautespourront assister à l’avancée du chantier entemps réel. Et pour que les visiteurs occasion-nels ne soient pas en reste, un résumé seramis en ligne chaque semaine.

� Une carte interactive, accessible sur le mêmesite, permettra à chacun de s’informer sur lestravaux, secteur par secteur. Cette carte livrerades informations sur l’état des rues, les itinérai-res conseillés, le calendrier du chantier, les dé-viations en cours, les commerces ouverts, lesplaces de stationnement et les espaces de livrai-son de proximité (lire page 4)… Un moteur de re-cherche permettra à chacun de trouver des infor-mations précises sur le chantier du tramway.L’internaute pourra y accéder en tapant le nomd’une rue ou plus simplement en zoomant sur lefond de carte. Celle-ci fournira les contacts uti-les des médiateurs de secteur, de la plateformetéléphonique de Keolis Angers (Cotra), des relaisinfo tram, de la Maison du tramway…

� Et le SMS… Les riverains de la ligne et leshabitants concernés par les déviations pour-ront recevoir des informations sur leur télé-phone portable. Ce service les tiendra infor-més régulièrement et facilitera leursdéplacements. Pour accéder à ce service per-sonnalisé, les personnes intéressées seront in-vitées à s’inscrire.

6,4 M€c’est le budget global qu’EDF

et Gaz de France vontmobiliser pendant la

construction de la ligne de tramway. D’ici à 2010,

12,6 km de conduites de gaznaturel auront été déplacés,

posés ou renforcés. Pourapprovisionner la ligne, EDF

devra créer 27 km de réseaux. Les deux

opérateurs se sont engagés àgarantir la continuité de leurs

services et à maintenirl’accès aux logements et aux commerces riverains du chantier pendant toute

la durée des travaux. Ceux-ciont déjà commencé dans

le cadre des travauxpréparatoires à la

construction du pont et vont se succéder ensuite

sur l’ensemble du tracé.

Pratique

Les nouvelles technologies au service d’une information performante

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Pour tout savoir sur le chantier, une carteinteractive sera accessible sur le site

www.angersloiremetropole.fr

• Une ligne de charmes a été plantée endécembre à proximité de l’hélistation ducentre hospitalier d’Angers. Bien visibles,été comme hiver, ces arbres permettrontd’indiquer aux pilotes d’hélicoptère laprésence des lignes aériennes de contactdu tramway.

• Fin décembre, deux premières réunionsont lancé le chantier du tramway dans lessecteurs Les Hauts-de-Saint-Aubin(Verneau et Capucins) et à La Roseraieà Angers. Respectivement, 80 et130 personnes y ont participé. L’ordre du jour portait sur la présentation ducalendrier des travaux. Un compte-rendude ces réunions est en ligne sur le sited’Angers Loire Métropolewww.angersloiremetropole.fr/tramway

• Deux semainesaprès sonouverture à la mi-décembre,la Maison dutramway avaitdéjà accueilliprès de 3 500

visiteurs, place Imbach à Angers. Débutjanvier, deux nouveaux médiateurs,Myriam et Pascal (notre photo), ont rejointl’équipe et des horaires élargis sontproposés : le lundi de 13 h à 19 h et du mardi au samedi de 10 h à 19 h. En juillet et août, l’accueil du publics’effectuera du lundi au samedi de 14 h à 19 h.

• Les relais info tram des Hauts-de-Saint-Aubin et de La Roseraie à Angers sont ouverts depuis le 9 janvier.Les informations relatives aux travaux du secteur y sont mises à jourquotidiennement par les médiatrices qui y tiennent également leurs permanencesdeux demi-journées par semaine. Pour plus d’informations, composer le numéro vert 0 800 104 204.

Pour limiter la gêne occasionnée par lestravaux de construction de la ligne de tram-way, Angers Loire Métropole met en place undispositif d’accompagnement afin d’anticiperles besoins de chacun. Côté commerces, desinitiatives s’annoncent pour faciliter les livrai-sons. Explications. Les espaces de livraison de proximité (ELP) enseront un exemple. Ce service permettra de fa-ciliter la livraison des commerces du centre-ville d’Angers pendant les travaux de la pre-mière ligne de tramway. Ouvrir un espace delivraison de proximité consiste à installer unlieu dédié aux livraisons en un point stratégi-que. Des locaux habillés aux couleurs du tram-way seront placés sous la responsabilité d’unagent. Il aura pour mission d’accueillir les li-vreurs, en leur assurant notamment des places

de stationnement surveillées et du matérielpour le transport des marchandises. À noterque les emplois créés à cette occasion bénéfi-cieront à des personnes en insertion.Un ou deux espaces de livraison de proximitédevraient être ouverts dans le centre-ville d’An-gers dès le printemps. Une information spéci-fique et un itinéraire d’accès seront distribuésaux commerçants concernés ainsi qu’aux prin-cipaux livreurs.

Stationnement réservé.En plus de ces espaces pratiques, de nouvellesplaces de stationnement seront réservées auxvéhicules de livraison dans les centres-villesd’Avrillé et d’Angers. Ces stationnements prio-ritaires seront surveillés de manière à garantirleur disponibilité.

Le tramway


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MÉTROPOLE, 83, rue du Mail, BP 80529 Angers 49 105 CEDEX 02.Édition : Angers Loire Métropole. Directeur de la publication : Jean-Claude Antonini.Rédaction en chef : Nathalie Maire-Soulié. Rédaction : Stéphanie Dagniau. (E-mail: [email protected] et [email protected]).

Assistante et responsable de la diffusion : Véronique Barini. Tél. 02 41 05 50 43. ([email protected]). Fax. 02 41 05 50 56. Photomontage de Une :cabinet Lavigne-Chéron. Conception graphique et maquette : MCM (Stéphane Ronchin/Daniel Tirado-Guérin). Photogravure : Easycomsolutions (Laval). Impression :Imaye (Laval). Distribution : Adrexo. Tirage : 128 000 ex. Dépôt légal : 1er trimestre 2008. ISSN : 1772-8347.

Commerces

Faciliter les livraisons pendanttoute la durée des travaux

DRDes agents accueilleront les livreurs et

leur fourniront le matériel nécessaire pouracheminer les marchandises dans les commerces.

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SAINT-SYLVAIN D’ANJOU

Un lotissement de cinq hectares, aunord de la commune, servira de test pour le futurquartier du Chêne Vert : c’est le Veillerot, dont lapremière pierre a été posée à l’automne. Ce pour-rait être un quartier comme un autre, dans uneville de la première couronne angevine. MaisSaint-Sylvain d’Anjou a choisi d’en faire un mo-dèle de “parcours résidentiel”.

“La commune compte aujourd’hui près de5000 habitants. Elle subit la crise du logementet une forte pression foncière, comme toutes lesvilles de la première couronne, explique-t-on à laVille. Nous avons cherché comment permettre àceux qui le souhaitent de vivre à Saint-Sylvain àtoutes les étapes de la vie, comment favoriser lamixité des âges, et des populations.”

C’est cela le parcours résidentiel : prévoir des lo-cations, sociales et privées, de l’accession à lapropriété pour différents budgets, des logementspour les personnes âgées, des terrains libres deconstructeurs... Une ambition qui nécessitaitpour la commune une maîtrise du foncier et descoût de construction. Pour cela, Saint-Sylvain achoisi les architectes et imposé un état d’esprit :Le Veillerot sera composé en îlots, avec des es-paces verts, des espaces de jeux, des circula-tions douces, et un respect de la charte paysa-gère communale. Dans quelques années, Le Veillerot servira demodèle pour le futur quartier du Chêne Vert etses 50 hectares. “Nous pourrons aller plus loinen matière de développement durable, d’autantque dans cinq ans, les matériaux seront moinschers. Nous bénéficierons de l’expérience duVeillerot pour développer aussi le respect de laressource en eau. Il s’agit bien sûr de préserverl’environnement mais aussi d’aider les habitantsà vivre mieux...”Le Chêne Vert sortira de terre par tranches de 5à 7 hectares, en s’appuyant sur les chemins pié-tonniers existants, en valorisant les espaces vertset la diversité des formes architecturales.

Un logement pour toutes les étapes de la vie

La 4e édition des Foulées de Sarrigné se déroulera ledimanche 23 mars. Dans la matinée, parcours enfants(inscription gratuite) : à 9 h 15, 2 400 m pour les enfantsnés entre 1993 et 1995 ; à 9 h 40, 1 600 m pour les en-fants nés entre 1996 et 1998; à 10h, 800 m pour les en-fants nés entre 1999 et 2001. Le départ des 10 km seradonné à 10 h 30. Un millier d’athlètes sont attendus pourcette boucle au cœur du village. Inscription : 6 € avantle 17 mars, 8 € après cette date. Infos sur le site www.lesfouleesdesarrigne.com.■ Renseignement auprès de Pascal Martineau au02 41 45 19 31, ou Sébastien Andorin au 06 24 17 53 59.

SARRIGNÉ

Les 4e Foulées, le 23 mars

Le château à motte reprend ses activités pour les scolaires et ses semaines thématiques finavril : camp médiéval, instruments, machines de siège et châteaux forts, danses et plantes…Ouvert de 14h à 18h. Renseignements au 02 41 21 12 82.

SAINT-SYLVAIN D’ANJOU


Les organisateurs attendent un millier d’athlètes.

Le Veillerot favorisera la mixité sociale.

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SUDL’info communes

SAINT-JEAN-DE-LINIÈRES

De l’histoire du petit trainà vapeur de l’Anjou, on ne se lassepas. En tout cas pas l’associationdes Amis du Petit Anjou qui vientde publier un nouvel ouvrage : “Ilétait une fois... Le Petit Anjou”.Quarante pages illustrées pour toutapprendre sur ce train de légendequi, de la fin du XIXe aux annéescinquante, parcourait à son rythmele département de Maine-et-Loire,de Saumur à Nantes, de Beau-préau à Angers, de Candé à

Noyant-Méon dans le Baugeois.Agrémenté de dessins, le livre estparticulièrement bien pensé pouréveiller la curiosité des enfants(disponible en librairie). Comment est né le petit train del’Anjou ? Quels innombrables ser-vices a-t-il rendu aux Angevins jus-qu’à sa “disparition passée quasiinaperçue en 1948” ? C’est ce quecherchent à savoir, depuis plus devingt ans, les membres de l’asso-ciation de Saint-Jean-de-Linières.

■ Contact : association des amis du Petit Anjou 86, rue de la Made-leine à Angers (49000).02 41 88 80 88 ; ou le samedimatin, à l’atelier et à la boutique, (La Maladrie) à Saint-Jean-de-Linières. 02 41 39 75 51. Site Internet : www.petit-anjou.org


L’histoire du petit train de légende illustrée

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Beaucouzé, Bouchemaine, Saint-Jean-de-Li-nières, Saint-Léger-des-Bois et Saint-Martin-du-Fouilloux sont à l’origine de l’association cultu-relle Mosaïque. Une association intercommunalepour quoi faire ? Réponse avec Carole Foin, sacoordinatrice.

Qu’est-ce qui a motivé la création de Mosaïque ?Le souhait de ces communes de travailler en-semble, sur des projets culturels. L’associationva permettre de faire un premier travail de pro-grammation de spectacles et d’animations cultu-relles professionnels, mais aussi de coordonnerles acteurs culturels locaux, associations et mu-nicipalités. Les cinq communes associées se

sont donné trois ans pour s’assurer que le projetcorresponde bien aux attentes du public.

Quel genre de spectacles proposerez-vous?Le public découvrira notre programmation enseptembre. Il y aura des expositions, des spec-tacles jeune public, de la danse, du théâtre... Etun maître mot : la proximité. Nous souhaitonsamener le spectacle dans des lieux de tous lesjours ; inscrire la pratique artistique dans la viequotidienne, en proposant des ateliers autourd’un événement par exemple. Cette programma-tion sera aussi équilibrée entre les cinq com-munes, en tenant compte des lieux d’accueilpossibles. En attendant, nous allons profiter desmois à venir pour accompagner les initiatives lo-cales et nous faire connaître.■ Contact : 02 41 42 39 32.

BEAUCOUZÉ

Au sud, un projet culturel rassemble cinq communes

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À droite sur notre photo, Carole Foincoordonne l’association Mosaïque.

Ce nouvel ouvrage s’adressenotamment aux enfants.

MÛRS-ÉRIGNÉ

Un fruit à l’heure de la récré !Depuis trois ans, six cents écoliers deMûrs-Érigné bénéficient d’un régime de faveur.Banane, clémentine, orange, poire ou pomme :c’est selon que trois établissements scolaires(maternelle et primaire) pratiquent la distribu-tion de fruits de saison à l’heure de la récré ! Uneopération gratuite pour les parents et très péda-gogique pour leurs enfants qui sont, en parallèle,sensibilisés aux bienfaits des fruits et des lé-gumes. En 2006, les écoles ont organisé vingt-six distributions au cours desquelles 16 250fruits ont été mangés, dont certains issus del’agriculture biologique locale. Pour la com-mune, cela représente un coût de 3 600 €.Cette distribution vitaminée est encouragée parle ministère de l’Éducation nationale qui vient de

déclarer Mûrs-Érigné commune pilote pour l’opé-ration Santé Fruits, tout juste lancée au niveaunational. Dans le cadre de la modernisation de lacuisine centrale, ces distributions hebdoma-daires, que gère le service de restauration sco-laire, pourraient devenir journalières. L’opération permet également aux écolesd’aborder concrètement la question de la pré-vention des déchets. Les fruits ont en effet pouravantage de n’en produire que très peu, d’au-tant que les pelures rejoignent les composteursinstallés dans les cours des écoles. En re-vanche, les goûters pour enfants sont souventprésentés en emballage individuel et contri-buent à l’augmentation globale du volume desordures ménagères.


Remise sur pied par un groupe d’habitants sous forme de coopérative, l’épicerie Saveursa rouvert ses portes au cœur de la commune. Le lundi ainsi que du mercredi au samedide 9 h à 12 h 30 et de 16 h 30 à 19 h 30, le dimanche de 9 h à 13 h.

SAVENNIÈRES

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Deux distributions par semaine dansles cours de récré de trois écoles.

Ici, à l’école Pierre-et-Marie-Curie.

BOUCHEMAINE

La confluence de laMaine et de la Loire,site remarquableLe site de la confluence de la Maine et dela Loire, ainsi que les coteaux environnantspourraient être prochainement classés parl’État. Cette mesure est la suite logique del’inscription du Val de Loire au patrimoinemondial de l’Unesco, voici quelques an-nées. Elle s’inscrit dans le cadre de la poli-tique pour la protection des espaces natu-rels remarquables. Le site retenu représente un peu plus de2 000 hectares, englobant dix communes,de part et d’autre de la Maine et de laLoire. Pour Bouchemaine, 190 hectaressont concernés, à l’est de la commune :les coteaux boisés surplombant la Maineentre le lac de Maine et le pont dePruniers, entre le pont de Pruniers et lesHauts de Bouchemaine, entre les hauts deBouchemaine et le pont suspendu, entrele pont suspendu et La Pointe, entre LaPointe et Savennières.Une fois le classement effectif, tous lestravaux susceptibles de modifier l’aspectou l’état du site seront soumis, selon leniveau d’importance du projet, à l’avis dupréfet ou du ministère chargé des Sites.

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CENTRE


L’info communes Le salon de la sculpture se déroule d’une trentaine d’artistes sont expode 14 h à 18 h, du mardi au vendr

AVRILLÉ

LES PONTS-DE-CÉ

La médiathèque a déjà sesfidèles

SAINT-BARTHÉLEMY-D’ANJOU

À vos crayons pour participer au concours d’écriture Une lettre, un poème, une chanson,une nouvelle… Saint-Barthélemy organise unconcours d’écriture (thème libre) dans lecadre du festival Coups d’folies. Les enfants etles jeunes jusqu’à 18 ans devront placer dans

leur texte huit mots obligatoires. Les adultesauront pour contrainte d’insérer un épisodede quelques lignes dans leur récit. Ceconcours est ouvert à tous les habitants desPays de la Loire et des départements limi-

trophes. Les résultats seront publiés lors del’inauguration du festival, le 20 juin à 18 h 30dans les jardins de la médiathèque La Ranloue.■ Renseignement au, 02 41 93 35 30 ou sur lesite Internet : www.ville-saint-barthelemy-anjou.fr

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“Les quatre premiers mois d’ouverture ont dé-passé toutes nos espérances en matière de fréquenta-tion...” La médiathèque Antoine de Saint-Exupérycompte déjà plus de 1900 abonnés, “alors que nouspartions sur 2000 pour la première année de fonction-nement”, explique sa responsable. Ce nouvel équipe-ment culturel au sud de l’agglomération doit sans douteson succès à la grande attente des habitants de la com-mune. Il n’existait jusqu’alors aux Ponts-de-Cé qu’unebibliothèque associative, et beaucoup de lecteurs pre-

naient le chemin des bibliothèques d’Angers. “Maisnous avons aussi 13% d’abonnés de l’extérieur, essen-tiellement du sud de l’agglomération.” Sans doute sé-duits tant par les lignes du bâtiment situé face au châ-teau, que par le fonds, constitué de 25000 documents(livres, CD, DVD). “Un fonds élaboré en neuf mois, etqui a nécessité 15 km de film plastique !”, souligne laresponsable.Sur quelles bases ? “En imaginant notre public. Maisaussi en tenant compte de l’histoire de la commune, desa situation géographique... C’est un savant équilibrageque nous allons continuer à ajuster par rapport aux at-tentes des abonnés, pour atteindre 50 000 documentsdans les cinq à dix années à venir.”

Pour fidéliser ses lecteurs, et enconvaincre de nouveaux, l’équipe de lamédiathèque propose aussi des rendez-vous réguliers : après-midi contes, confé-rences, rencontres... “Cet espace ne doitpas être seulement l’endroit où l’on vientchercher le dernier CD à la mode ou le

prix Goncourt. C’est aussi un lieu d’échange et de ren-contres.”Le 21 janvier, l’équipement a reçu le prix de l’architec-ture et de l’aménagement (2e mention dans la catégo-rie Architecture). Ce prix a été décerné par le Conseilgénéral et le CAUE à la Maison de l’architecture, desterritoires et du paysage à Angers. ■ La médiathèque est ouverte le mardi de 15 h à 18 h,le mercredi de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h, le vendredide 9 h à 12 h et de 15 h à 18 h, le samedi de 10 h à12h et de 14 h à 17 h. Contact : 02 41 79 76 00. Courriel : [email protected]

TRÉLAZÉ

Système U étendson entrepôt

Quatre-vingt-troismagasins de l’Ouest àl’enseigne U (marché U,super U, hyper U) sont livrésen épicerie, liquide, produitsd’hygiène et de drogueriedepuis un entrepôt basé àTrélazé. Ouvert en1985, cesite de 39000 m2 emploieaujourd’hui 172 salariés. Dansun an, “ils seront entre 10 et20 de plus sans compter lesemplois indirects”, estimeRonan Le Corre, directeurlogistique Système U Ouest.Système U a en effet décidéde développer son site deTrélazé qui s’étendra d’iciquelques mois à 57000 m2.Cet espace supplémentairepermettra “d’anticiperl’augmentation de volumeprévue pour les années àvenir et de répondre àl’élargissement de la gammede produits”. 10 millionsd’euros sont investis dansce projet.

Livres, CD, DVD :la médiathèqueest riche d’unfonds de 25 000documents.

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jusqu’au 29 février dans les galeries du centre Brassens. Les œuvressées aux côtés de celles de l’invitée d’honneur, Gisèle Lacroix. Le lundi

redi de 9h à 12h et de 14h à 18h, le samedi de 14h à 18h.

TRÉLAZÉ

Les plongeurs autorisésà s’entraîner dans les vieux fonds

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d.Les militaires du 6e RG d’Angers, de l’Écolesupérieure et d’application du Génie (Esag), les gen-darmes de la Brigade fluviale de Nantes, les sapeurs-pompiers du département et les 1 350 plongeurs af-filiés au comité départemental de la fédérationfrançaise d’études des sports sous-marins (FFESSS)sont ravis. Ils peuvent désormais plonger en toute sé-curité dans les eaux pures et profondes des deuxplans d’eau de l’Aubinière et de la Brémondière, dansles Ardoisières de Trélazé. Ces partenaires ont signéune convention d’occupation du domaine public avecAngers Loire Métropole, propriétaire d’une partie dusite. “Une quarantaine de sapeurs-pompiers y plon-gera”, note le colonel Daniel Poulain. “Nous cher-chions un plan d’eau dédié à l’entraînement, précise

le chef d’escadron, Jean-Michel Bigot. Ces plongeurs,une quinzaine au total, sont formés pour intervenirsur toute la façade Atlantique.”Pour les militaires du Génie aussi, l’opportunité est in-téressante. “Nous allons pouvoir retrouver la vraie phi-losophie de la plongée, sans aspect commercial,puisque les deux plans d’eau appartiennent à une col-lectivité publique”, note le capitaine Jean-François Pe-tiau de l’Esag.Des plateformes et des caissons (pour accompagner laremontée des plongeurs) seront en place dès le mois demars. Les clubs s’y retrouveront plutôt en fin d’après-midi, les samedis, dimanches et jours fériés ; tandis queles professionnels bénéficieront des plages horaires ensemaine.

Voici cinq ans qu’AngersLoire Métropole a acheté170 hectares de terrainappartenant aux Ardoisièresd’Angers. Depuis 2002, lacollectivité a sécurisé le site,entrepris la démolition desbâtiments qui ne pouvaientêtre conservés et recensésceux qui témoignent del’activité industrielle desArdoisières. De grandesorientations viennent d’êtredécidées.• Création d’un parc publicd’intérêt communautaire : il englobera le périmètre de la rue de La Paperie auboulevard Bahonneau.• Création d’une zoned’habitat, d’une petite zoned’activité économique àvocation tertiaire : duboulevard Bahonneau à larue Ferdinand-Vest, aprèsétudes de faisabilité.• Réserves foncières : entrela rue Ferdinand-Vest etl’Authion, terrains pourl’essentiel dédiés au passagede la Loire à vélo.Angers Loire Métropoleprévoit également laréfection du puits Effeil surla zone des Grands Carreaux.

TRÉLAZÉ

Valoriser le sitedes Ardoisières

Les plongeurs professionnels et les clubs peuvent désormaisplonger dans deux plans d’eau des Ardoisières.

Le puits Eiffeltémoignera del’histoire du site.

ANGERS


L’info communes

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Azzaro est un beau golden retrieverde 2 ans. Cet après-midi, les pensionnaires de larésidence Plaisance à Angers n’ont d’yeux quepour lui. Un petit groupe, réuni dans la salle detélévision, profite d’une animation proposée parl’association Les chiens d’éveil d’Anjou, dont Az-zaro est la mascotte. C’est son maître, Gérard Pousset, ancien éduca-teur de chiens guides d’aveugles, qui a imaginéLes chiens d’éveil. Il intervient avec Azzaro au-près de personnes âgées, d’adultes handicapés,d’enfants en difficulté, à Angers, Cholet, Sau-mur, Segré... “Le chien est un outil supplémen-taire pour aider l’enfant en souffrance à seconstruire ou se reconstruire, explique GérardPousset. Et pour les personnes âgées, l’apport af-fectif est évident.”Entre l’animal et les résidents de la maison de re-traite, le contact est immédiat. Azzaro circule del’un à l’autre, attentif à ne bousculer personne,et il n’y a guère que le chat de la maison pourfaire grise mine. Autour de lui, la discussions’engage et Gérard Pousset propose des petitsjeux. Donner des ordres simples, le brosser, lefaire passer dans un cerceau... toutes ces activi-

tés font travailler la mémoire des participants,leur motricité, et contribuent à leur donner lesourire.Ce que confirme la directrice de l’établissement :“Au contact d’Azzaro, des pensionnaires ontréussi à s’ouvrir aux autres.”

■ Contact : Les chiens d’éveil d’Anjou, GérardPousset, 06 26 33 07 78.

INITIATIVE

Une association a imaginé le chien thérapeute

Possibilité de rencontrer des memau Théâtre du Champ de Bataille35 rue de Saint-Exupéry, Angers

JOURNÉE DE LA FEMME

Guidés par Gérard Pousset, lesrésidents de la maison de retraitefont travailler Azzaro.

DÉCOUVERTE

Un nouveau musée du génie au printemps 2009Ouvert en 1968, l’actuel musée du génie,situé dans l’enceinte de l’École supérieure etd’application du génie (l’Esag), fait le plein devisiteurs chaque année à l’occasion desJournées du patrimoine. “Il est ouvert tout aulong de l’année sur rendez-vous, explique lecommandant Garnier de Labareyre, sonconservateur. Mais peu d’Angevins le saventet osent franchir la grille pour le découvrir.”Mieux vaut à présent attendre quelques mois.Au printemps 2009, le génie ouvrira son

nouveau musée dans le bâtiment abritantl’ancien réfectoire des appelés (accessibledirectement depuis la rue Eblé) et présenterases collections sur plus de 1000 m2, contre250 m2 actuellement.L’histoire du génie sera mise en valeur autravers de deux galeries, l’une chronologique,l’autre thématique pour évoquer les quatreéléments : l’air (l’aérostation, lestransmissions hertziennes...), l’eau (lefranchissement, le traitement de l’eau...),

la terre (les fortifications, la dépollution, ledéminage...) et le feu (la lutte contre lesincendies, l’intervention lors des catastrophesnaturelles...)Le musée abritera également un centre dedocumentation et un espace de colloque quiaccueillera expositions, débats,conférences...■ Renseignements : Association musée du génie,106 rue Eblé, BP 34125, 49041 Angers cedex 01,02 41 24 85 05. www.musee-du-genie-militaire.org


RENCONTRES

Ce football adoucit les mœursDes rencontres sportives pour mieux seconnaître : c’est l’objet de Lignes de But, opéra-tion menée depuis un an par la Cotra, en parte-nariat avec la Ville d’Angers, Keolis Angers, lesassociations de quartier et le Soccaroo center.Pour la seconde année consécutive, l’équipe deKeolis Angers, composée de vérificateurs, deconducteurs et d’agents de maîtrise, rencontreles sept équipes des quartiers participant à l’opé-ration : Monplaisir, Grand Pigeon, Verneau, Jus-tices, Belle-Beille, La Roseraie et Trélazé. Unecentaine de jeunes de 15 à 25 ans sont concer-nés, et une fois par mois, ados et adultes parta-gent leur passion pour le foot en salle.

C’est Patrick Boisseau, conducteur de bus, qui aimaginé ces échanges. L’expérience aurait pu êtrebrève, mais le bilan a imposé une suite : “Lesjeunes que nous avons rencontrés l’an derniernous voient différemment, commente-t-il. Et nousaussi...” “Ce sont autant de petites graines seméespour améliorer nos relations”, ajoute Gérard Mé-nard, responsable de l’environnement à la Cotra.La saison de Lignes de But s’achèvera en avril aucours d’une après-midi sportive et préventive àl’intention des 12-15 ans. Côté sport, un tournoide foot en salle fera se rencontrer les jeunes desquartiers d’Angers et les enfants des salariés deKeolis Angers.

SPORT

S’initier au hockey sur glace dès 4 ansLe club de hockey sur glace des Ducsd’Angers permet aux enfants de 4 à 10 ans des’initier à ce sport de glisse en trois séancesgratuites lors des entraînements de l’école dehockey : les mercredis, de 10h30 à 11h20 etles samedis, de 12h15 à 13h15. Les patinssont loués à la patinoire (1,80 €, la séance).

Le reste du matériel est prêté par le club(venir le chercher avant l’essai).

■ Renseignements et inscriptions au bureau del’ASGA 15, allée du Haras 49100 Angers. Tél. : 02 41 88 38 19 ou au 06 19 45 25 99. Site Internet : www.lesducsdangers.com

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mbres de l’Espace femmes d’Angers, le 7 mars, à partir de 20h30,e, rue du Champ-de-Bataille. Accès libre, gratuit. Espace Femmes :au, 02 41 36 29 73. Courriel : [email protected]

Des jeunes et des salariés de Keolis (la Cotra)apprennent à se connaître sur le terrain.

“La Belle Bleue”, c’est le titre du der-nier spectacle créé par la compagnie ange-vine Les 3T. L’histoire ? Un homme et unefemme vont peu à peu comprendre pourquoila terre va si mal, malgré leur volonté de lachérir. Pour la sauver, ils réinventent les rap-ports qu’ils entretiennent avec elle. Sur scène, deux comédiens (Katina Loucmi-dis et Sylvain Wallez) se rencontrent dans unenvironnement musical et sonore de XavierPourcher. La mise en scène, signée de Ma-gali Joron, est limpide pour les jeunes spec-tateurs. “Nous ne nous posons pas en pro-fessionnels de l’environnement, expliquel’auteur, Katina Loucmidis. Nous voulionséviter l’écueil de la culpabilité, en restantdans un univers poétique.”

Cette ronde musicale s’achève sur un mes-sage d’espoir. La terre retrouve sa rondeur etson énergie. “C’est très à la mode d’écrire surle thème de l’environnement. Mais ce sujetest en moi depuis très longtemps, et sur cepoint, tout reste à faire”, conclut l’auteur. La compagnie des 3T espère profiter de cette“vague” pour se produire dans les communesde l’agglomération à la demande des mairies,centres culturels, des festivals jeune public...

■ Contact : Cie Les 3T (Tout Terrain Théâtre)77, rue du Haut-Pressoir 49000 Angers. Tél. 02 41 78 32 20. [email protected]

THEÂTRE

Bienvenue sur la Terre !

La Belle Bleue, une pièce de théâtre pour les enfants sur l’environnement.

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Duo Frédérique Carminatiet Jean-Claude Pouyet. Jazz. 6 et 9 €. Le 16 février, à 20 h 30. La Grange aux Dîmes.

XIXe siècle allemand. Direction,Yoel Levi : “Concerto pourviolon”, de Bruch et la “Sympho-nie n°3 écossaise”, de Mendels-sohn. Concert ONPL. 10 à 26 €. Les 2, à 17 h, et 4 mars, à 20 h 30.Centre de congrès.

Renan Luce. 22 €. Le 4 mars, à 20 h. Centre Carmet.

Brisa Roché. Pop, folk. 10 à

15 €. Le 5 mars, à 20 h 45. Le Chabada.

Pierre Lapointe & YMP.Découverte chanson. 10 à 18 €.Le 6 mars, à 20 h 30. THV.

Asa. Soul pop. 20 et 22 €.Le 6 mars, à 20 h 45. Le Chabada.

Pyromanes. Jazz. Avec le guita-riste, David Chevallier. 6 et 9 €.Le 7 mars, à 20 h 45. Théâtre de l’Avant-Scène.

Sinik. Rap. 20 et 22 €. Le 7 mars, à 20 h 45. Le Chabada.

Flûtistes de Lancreau. Guitare,flûte et contrebasse. Par l’asso-ciation des insuffisants rénauxdes Pays de la Loire pour la Jour-née mondiale du rein. Gratuit. Le 9 mars, à 15 h. Chapelledes Ursules, à Angers.

Les grands élèves du Conser-vatoire. Messiaen et Stravinsky.3 et 5 €. Le 11 mars, à 20 h 30.Grand-Théâtre.

Cali. Chanson française. 28,80 €. Le 12 mars, à 20 h. Centre Carmet.

MUSIQUE

Menuau Quartet. Jazz. Hom-mage à John Coltrane. Avec lesaxo ténor, Pierrick Menuau ;Cédric Piromalli, piano ;Guillaume Robert, contrebasse et Simon Goubert, batterie. 6 et 9 €. Le 12 février, à 20 h 45.Théâtre de l’Avant-Scène.

EzEkiel. Électro. 15 et 17 €. Le 13 février, à 20 h 45. Le Chabada.

Rabih Abou-Khalil Group. Jazzoriental. 8 à 21 €. Le 14 février, à 20 h 30. Le Quai. Théâtre 900.

Musique slave. Stravinski (“LaSymphonie de Psaumes”), Boro-dine (par le Chœur de l’ONPL) et

Dvorak (“Symphonie n° 8”).Concert ONPL. 10 à 26 €. Les 14, à 20 h 30, et 16 février, à 17 h. Centre de congrès.

Modern Factory 3.Electro house. Avec Chaim, Dar-lin’Nikki, Arno Gonzalez, AlineRadio Nova, The Electroman.13 et 15 €. Le 15 février, de 22 hà 4 h. Le Chabada.

The Travelling Blind Tour.Folk rock. Seb Martel. 10 et 12 € (abonnés, gratuit). Le 16 février, à 20 h 45.

Le Chabada.

AGENDA

FESTIVAL | SAINT-BARTHÉLEMY

Onze spectacles, trente représentations, neuf compagniesartistiques et 1500 spectateurs attendus : le Théâtre de l’Hôtel deVille de Saint-Barthélemy d’Anjou met les bouchées doubles avantla fin de la saison. En créant un nouvel événement “lesBizzaroïdes”, la salle culturelle propose de vous faire découvrir denouvelles formes théâtrales. Les compagnies présentes ont eneffet cette particularité de mêler le théâtre à… la mécanique (!),à la musique, à la danse, à la vidéo. Le festival sera également àdécouvrir dans diverses salles adaptées au type des spectacles(salles de quartier, à la médiathèque…) ; histoire aussi d’instaurerun nouveau rapport entre les artistes et les publics. Atypique, le festival “Les Bizzaroïdes” s’adresse aussi aux tout jeunesspectateurs, par le biais notamment d’une exposition spectacle, et se déploiera sur une quinzaine de jours.

Du 28 mars au 11 avril, festival Les Bizzaroïdes, au THV à Saint-Barthélemy d’Anjou. Tarifs, à partir de 4 €. Forfait/2 spectacles : de11 à 20 €, forfait/4 spectacles : 30 €. Renseignements et billetterieau 02 41 96 12 81. Email : [email protected]

Les Bizzaroïdes mêlent le théâtre à… la mécanique !


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“Jardinage humain”, le 4 avril.

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Elodie Fregé. Chanson française.28 €. Le 20 mars à 20 h 30.Centre Carmet.

Les Haricots rouges. Jazz. 28 et30 €. Le 21 mars, à 21 h. CentreCarmet.

Chloé Sainte-Marie & MapleBee. Soirée découverte chanson.10 à 18 €. Le 22 mars, à 20 h 30.THV.

On Stage#27. Groupes ama-teurs du département à décou-

Siècle 21. Nicolas Bacri(“Concerto pour violon n°3”)avec Jean-Pierre Wallez, auviolon ; et Arnold Schoenberg(“Symphonie de chambre n°2”).Direction, Fabien Gabel. ConcertONPL. 10 à 26 €. Le 18 mars, à 20 h 30. Centre de congrès.

Quatuor Ebène et FrançoisSalque. Quintette à cordes.Mozart, Schubert, Bartok etMaratka. Les Mardis Musicaux.10 à 26 €. Le 18 mars, à 20 h 30.Grand-Théâtre.


La fanfare Ciocarlia. Formationrom. À partir de 6 ans (place-ment libre). 10 à 18 €. Le 12 mars, à 20 h 30. THV.

Flexa Lyndo. Pop rock. Totaledécouverte. 5 € tarif unique. Le 12 mars, à 20 h 45. Le Chabada.

Alerte à l’eau. Jazz, avec lecontrebassiste, Henri Texier, et le Strada Sextet. Open Arts. 8à 21 €. Le 13 mars, à 20 h 30. Le Quai. Théâtre 900.

Les Tournées Moulinet. Fanfare,swing, jazz, groove et humouravec la Cie Jo Bithume. 13 et 15 €. Le 14 mars, à 21 h. Centre Carmet.

TM +. Musique d’aujourd’hui.Direction, Laurent Cuniot. Au pro-gramme : Régis Campo, Mes-siaen, Alexandros Markeas etBruno Mantovani. Les MardisMusicaux et Open-Arts. 8 à 21 €. Le 14 mars, à 20 h 30. Le Quai.Théâtre 400.

Zenzile. Rock, dub. 15 et 17 €.Le 14 mars, à 20 h 45. Le Chabada.

Saint-Patrick’s day. Musiqueirlandaise. 8 à 21 €. Le 17 mars, à 19 h 30. Le Quai. Théâtre 400.

Amnesty International organise une collecte de livres d’occasion. Ils peuvent être déposésdans les maisons de quartier Verneau, Saint-Serge, Saint-Michel, Capucins et Banchais, aucentre Marcelle-Menet ou au centre socioculturel Le Trois-Mâts, à Angers.

À noter

MUSIQUE CLASSIQUE | ANGERS

Trois pianistes de la même génération, trois écoles, troisapproches, mais un point en commun : tous sont de véritablespointures. Par le festival “Les Grands Pianistes”, l’Orchestrenational des Pays de la Loire ouvre le printemps avec RudolfBuchbinder, Viennois, taillé sur mesure pour interpréter Mozart,Beethoven et Schubert. À suivre, le Brésilien Nelson Freire quidonne “une couleur et un charme inspiré” aux auteursromantiques et enfin, Dezsö Ranki. Ce Hongrois s’est fait connaîtretrès jeune pour ses interprétations très vivantes de Bela Bartok. ÀAngers, il interprètera notamment ses “Danses populairesroumaines” et ses “Deux portraits” ainsi que la “Danse macabre”de Franz Liszt. Festival les Grands Pianistes, au centre de congrès d’Angers, les 17 et 18 mai ; les 28 mai et 2 juin ; et les 12 et 13 juin(programmation détaillée ci-contre). Tarifs : 10 à 26 € (horsabonnement). Réservations au 02 41 24 11 20 ou [email protected]

Les pianistes feront le printempsvrir. Tarif unique, 3 €. Abonnés,gratuit. Le 19 mars, à 20 h 45. Le Chabada.

Kwal. Chanson et slam. AvecMatthieu Bouchet. 13 et 15 €.Le 22 mars, à 20 h 45. Le Chabada.

Hocus Pocus. Rap. 15 et 17 €.Le 26 mars, à 20 h 45. Le Chabada.

Duo Hélias et Palisson.Musique de chambre. Piano etguitare. 5 à 10 €. Le 28 mars, à 20 h 30. Théâtre des Dames.

Escale Metiss. Soirée afro, avecle Baldescal, Florence Loison,trio percus et dj afro. Le 29 mars,à 20 h 45. Le Chabada.

Cycle Mahler. Direction, JamesJudd : “Symphonie n°7” et“Chant de la nuit”. ConcertONPL. 10 à 26 €. Le 30 mars, à 17 h et le 1er avril, à 20 h 30.Centre de congrès.

Mayra Andrade. Chants etmusique du Cap-Vert. 8 à 21 €.Le 1er avril, à 19 h 30 Le Quai.Théâtre 900.

Yael Naim. Pop. 15 et 17 €.Le 2 avril, à 20 h 45. Le Chabada.

La Grande Sophie. Chanson.Spectacle “Toute seule commeune grande”.Le 3 avril, à 20 h 45. Le Chabada.

Marielle Dechaume. Chanson(“Je suis comme je suis”). 6,50et 11,50 €. Les 3, 4 et 5 avril, à 20 h 30. Le 6 avril, à 17 h.Théâtre du Champ-de-Bataille.

Le hautbois en folie. Par lesprofesseurs du Conservatoire. 3 et 5 €. Le 5 avril, à 20 h 30.Grand-Théâtre.

Nelson Freire.

Flexa Lyndo.

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Festival les grands pianistes.À la direction et au piano,Rodolphe Buchbinder. Mozart :

ouverture du Mariage de Figaro,Concerto pour piano et orchestren°21, Concerto pour piano etorchestre n°25. 10 à 26 €. Le 17 mai, à 20 h 30 et 18 mai, à 17 h. Centre de congrès. Lire page 25.

THÉÂTRE

L’Assassin sans scrupules.D’Henning Mankel, auteur poli-cier. À partir de 9 ans. 8 à 21 €. Le 13 février, à 15 h et 19 h 30 ; le 12, 16 février, à 16 h et repré-sentations scolaires. Le Quai. Théâtre 400.

Soirée cabaret impro. Avec laLigue d’improvisation théâtrale deMaine-et-Loire. 5 et 8 €. Le 15 février, à 21 h. Centre Carmet.

Bon sang, quelle famille ! Parle Comité Saint-Maurille. Réser-vations du lundi au vendredi de10 h à 20 h aux, 02 41 44 82 70 /02 41 44 26 30. 3 et 7 €. Les 16, 17, 23 et 24 janvier ; les samedis, à 20 h et lesdimanches, à 15 h. Théâtre desDames. Le 2 mars, salle Emstal ;Les Ponts-de-Cé.

La Maman Bohême et Médée.Deux pièces de Dario Fo etFranca Rame. Avec Ariane Asca-ride. Mise en scène, DidierBezace. NTA. 8 à 21 €. Les 4 et 5 mars, à 19 h 30 ; les 6 et 7 mars, à 20 h 30. Le Quai. Théâtre 400.

La Framboise frivole. Comédiede Peter Hens. Avec Peter Henset Bart Van Caenegem. TournéesBaret. 18 à 44 €. Le 13 mars, à 20 h. Grand-Théâtre.

Terrain miné. Par la Cie LesEnjoués. 6 et 9 €. Le 15 mars,


Les Z’éclectiques. Festival.Tarifs non communiqués. Le 5 avril, à 20 h 45. Le Chabada.

Nemanja Radulovic, le QuatuorIllico et Stanislas Kuchinski.Sextuor à cordes. Les MardisMusicaux. 10 à 26 €. Le 8avril, à 20 h 30. Grand-Théâtre.

Caratini Jazz Ensemble.Patrice Caratini, contrebasse ;et la chanteuse, HildegardeWanzlawe. Répertoire français.6 et 9 €.Le 8 avril, à 20 h 45. Théâtrede l’Avant-Scène.

Pauline Croze. Chanson fran-çaise. 21 et 23 €. Le 10 avril, à 20 h 45. Le Chabada.

Katia et Marielle Labèque. Réci-tal. Mozart, Schubert, Ravel, Ger-shwin. Concert ONPL. 10 à 26 €.Le 27 avril, à 20 h 30 et le 28 avril,à 17 h. Centre de congrès.

Fabien Mary Octet. Concert Jazzpour tous. 8 à 20 €. Le 29 avril, à 20 h 30. Grand-Théâtre.

Le Ballet mécanique. Quatrepianos et percussions. AvecHélène Desmoulins, Geidik Wiot,Joëlle Lemée et Sylvie Stéphani-dès. Percussions, Jean Fessard. 3 et 5 €. Le 6 mai, à 20 h 30. Le Grand-Théâtre.

Lo’Jo. Carte blanche, musiquedu monde. 10 à 18 €. Les 6 et 7 mai, à 20 h 30. THV.

Chœur a cappella. Par le Chœurde l’ONPL. Direction, ValérieFayet. De Rossini à Ohana enpassant par Fauré. 10 à 26 €. Le 7 mai, à 20 h 30. Centre decongrès.

Les Têtes Raides. Chanson fran-çaise. 24,70 €. Le 14 mai, à 20 h. Centre Carmet.

AGENDA

SALON | MÛRS-ERIGNÉ

“Lire c’est voyager” : c’est sous cethème qu’est placé le 10e Salonangevin du livre ancien et du vieuxpapier, les 5 et 6 avril à Mûrs-Erigné. Une trentaine departicipants français et étrangersseront présents pour cette fête dulivre, organisée par Jean-MarcelGoudeau, spécialiste du livreancien. Ils présenteront unesélection de livres rares etprécieux, en concordance avec lethème. Ces deux jours serontaussi l’occasion de mettre envaleur le patrimoine local,départemental et régional. “Nouspartirons en voyage encommençant par suivre les traces

des auteurs de la commune… jusqu’au tour du monde”, commentel’organisateur. La bibliothèque s’associera au salon pour proposerun lien entre littérature ancienne et actuelle.Au cours du week-end, conférences par le Syndicat national de lalibrairie ancienne et moderne (Slam), présence d’un artisterégional auteur de carnets de voyages et nombreuses animationspour fêter le dixième anniversaire de ce salon.Les 5 et 6 avril, au centre Jean-Carmet à Mûrs-Erigné, de 10 h à 19 h.Entrée : 2 €. Accès bus par la ligne n° 8. Renseignements : 02 41 57 81 85.

Livre ancien et vieux papier : voyager, pour les 10 ans du salon

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Macha Méril, Claire M. TournéesBaret. 18 à 49 €. Le 15 mai, à 20 h. Grand-Théâtre.

DANSE

Ta gueule et danse & Ta mèreen kit, Ta mère en mieux. Cho-régraphie. La trilogie des “T”, àvoir en deux temps. Par la CieBobaïnko. 6,50 et 11,50 €. Les 6 et 7 mars, à 20 h 30. Le 8, à20 h 30 et le 9 mars, à 17 h (“Tamère en mieux”, uniquement).Théâtre du Champ-de-Bataille.

Déclic. De Michelle Cotillon,avec Clarence Mugnier et MaximKopistko. 5 à 10 €. Les 7 et 8 mars, à 20 h 30.Théâtre des Dames.

Nikolaïs Dance Théâtre. Choré-graphie d’Alwin Nikolais, par laRirie-Woodbury Dance Companyet le CNDC. 8 à 21 €. Les 28 et 29 mars, à 20 h 30. Le Quai. Théâtre 900.

Pocahontas et Oleg Mimosa.Deux programmes issus du spec-tacle “O, O” de Deborah Hay (lireci dessous). “Pocahontas”, d’Em-manuelle Huynh et “OlegMimosa”, de Sylvain Prunenec.

Production CNDC. 8 € par pro-gramme. Le 5 avril, à 19 h 30 (1er pro-gramme) et à 20 h 30 (2e pro-gramme). Le Quai. Théâtre 400.

Architectu-danse. Avant-pre-mière de Résonnance, et “Entreterre et ciel”, chorégraphie inter-générations. 4 et 8 €. Gratuit,moins de 5 ans. Le 5 avril, à 15 h.Le Carré des Arts.

“O,O”, de Deborah Hay.Production CNDC. 8 à 21 €. Les 8 et 9 avril, à 19 h 30. Le Quai. Théâtre 400.

JEUNE PUBLIC

Ateliers éducatifs. Visite de lacollégiale Saint-Martin à Angers,découverte de l’architecture etdes sculptures, suivie d’un ate-lier visant à construire une voûteangevine à l’aide d’un jeu deconstruction. Durée : 2 h. Surinscriptions au service éducatifde la ville d’Angers au02 41 60 22 13, ou sur le siteInternet [email protected]. Tarif : 2 €. Ateliers ouverts auxcentres de loisirs, tous lesmatins de 10 h à 12 h. Du 18 au29 février, de 15 h à 17 h. Rendez-vous à la collégiale Saint-Martin,à Angers (23, rue Saint-Martin), à 14 h 45.

Adieu, institut Benjamenta. DeRobert Walsen, conçu et interprétépar Goël Baron. NTA. 8 à 21 €.Du 8 au 11 avril, à 20 h 30 ; le 12avril, à 16 h et 20 h 30. Le Quai(scène de répétition du CDN).

Arrête de pleurer Pénélope 2.Comédie de et avec Corrine Puget,Christine Anglio et Juliette Arnaud.Mise en scène, Michèle Bernier.Tournées Baret. 18 à 44 €.Le 10 avril, à 20 h. Grand-Théâtre.

Petites misères, grandes peurs.Théâtre et musique, par l’Atelierde Mécanique Générale Contem-poraine. Dès 12 ans. 4 à 8 €.Le 10 avril à 20 h 30. Maison dequartier La Paperie, à Saint-Bar-thélemy d’Anjou.

La Danse des poules. Mime ethumour, dès 8 ans. Par Abel etGordon. 10 à 18 €.Le 11 avril, à 20 h 30. THV.

La Fabrique de violence. De JanGuillou. Avec Christophe Caus-tier. Mise en scène, Tiina Kaar-tama. 8 à 21 €. Du 13 au 15 mai, à20 h 30. Le Quai. Théâtre 400.

L’importance d’être constant.Comédie d’Oscar Wilde. Mise enscène, Pierre Laville. Avec LorantDeutsch, Frédéric Diefenthal,


à 20 h 30. La Grange aux Dîmes.Réservations, 02 41 45 24 16.

La Seconde Surprise de l’amour.De Marivaux. Mise en scène, LucBondy. Coproduction NTA. Rencontreavec le public, à l’issue du spectacle,le 19. 8 à 21 €. Les 17, 18 et 19 mars,à 19 h 30 ; les 20 et 21 mars, à 20 h 30. Le Quai. Théâtre 900.

Intimate Exchange. D’AlanAyckbourn, avec Gwénaël Ravauxet Antoine Séguin. 10 et 14 €. Les 19, 20 et 21 mars, à 20 h 45.Théâtre de l’Avant-Scène.

Le Pays lointain. De Jean-LucLagarce. Mise en scène, RodolpheDana et sa Cie Les Possédés. NTA.8 à 21 €. Les 25 et 26 mars, à 19 h 30. Le Quai. Théâtre 400.

Derniers remords avant l’oubli.De Jean-Luc Lagarce. NTA. 8 à 21 €.Les 27 et 28 mars, à 20 h 30. Le Quai. Théâtre 400.

J’ai gravé le nom de ma gre-nouille dans ton foie. Théâtre etvidéo, par la Cie Clinic OrgasmSociety. Dès 12 ans. 10 à 18 €. Le 28 mars, à 20 h 30. THV.

La Boutique du coin de la rue.De Miklos Laszlo, par le Théâtrede la Balancine. 6 et 9 €.Les 28 et 29 mars, à 20 h 45.Théâtre de l’Avant-Scène.

Mobylette. Théâtre et méca-nique. Par l’Atelier de MécaniqueGénérale Contemporaine. 4 à 8 €.Le 29 mars, à 20 h 30. THV.

Le Bourgeois Gentilhomme.Théâtre déambulatoire, par la CieLa Fidèle Idée. 10 à 18 €. Le 3 avril, à 20 h 30. THV.

La Baillée des Filles se déroulera le 1er mai dans les douves du château, aux Ponts-de-Cé.À découvrir, un camp médiéval et les activités du Moyen-Âge (archers, arquebusiers,arbalétriers, artillerie…), combat de chevaliers et fauconnerie. Gratuit. De 10 h à 19 h.

À noter

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20 h et 20 h 30. Médiathèque deLa Ranloue, à Saint-Barthélemyd’Anjou.

Lupo e Luigi. Marionnettes, parle Théâtre du Risorius. Dès 2ans. 5 €/forfait famille. Les 1er et 2 avril, à 10 h, 11 h, 17 het 18 h. Bus spectacle dans lacour de La Ranloue, à Saint-Bar-thélemy (médiathèque).

La Féroce Mécanique desjours. Objets sonores, vidéo etdanse, par la Cie Mme et M. Toutle Monde. Dès 6 ans. 4 à 8 €. Le 8 avril, à 20 h 30. THV.

La Chambre 26. Théâtre decartes postales, par la Cie À.Théâtre d’objets et clowns. À partir de 8 ans. Gratuit pourtous. Le 9 avril, à 16 h, 17 h et18 h. Médiathèque La Ranloue, à Saint-Barthélemy d’Anjou.

L’Enfant et les sortilèges.Opéra de Maurice Ravel d’aprèsle livret de Colette. Dès 10 ans.Spectacle Open-Arts et ANO (lireci-dessous). 8 à 21 €.Du 28 au 30 avril. Le Quai.

CONTES

Manouchka disait toujours…Une fois y’avait, une fois y’avaitpas ! Conte et musique. AvecColombe Lecat Warda et HervéRolland, musicien. Jeune public,

de 3 à 6 ans. 45 mn. 3,5 à 6,50 €.Le 27 février, à 10 h 30 et 16 h.Théâtre du Champ-de-Bataille.

Louise, princesse de la page 37.Avec Angélique Landais,conteuse et le percussionniste,Nicolas Marchand. Dès 6 ans.50 mn. 3,5 à 6,50 €.

Le 28 février, à 10 h 30 et 16 h.Théâtre du Champ-de-Bataille.

La Voix du chêne. Avec KatiaBonneau. Pour la famille. Dès 8ans. À partir de 3,5 €. Le 28 février, à 20 h 30. Théâtredu Champ-de-Bataille.

La Dent du loup. Par le conteur,Robert Amyot. Dès 5 ans. À partirde 3,5 €. Le 29 février, à 10 h 30et 16 h. Théâtre du Champ-de-Bataille.

Apéro contes et musique.“Gourmandise des mots” avecles conteurs de La Jabotée. Gratuit. Le 29 février, à 19 h 30 etle 1er mars, à 19 h. Théâtre duChamp-de-Bataille.

La Légende de la Toison d’or.Craig et Denis Scaffer, LaurentStéphan, voix, luth et struti. Dès 6 ans. À partir de 3,5 €. Le 29 février, à 21 h. Théâtre du Champ-de-Bataille.

Bébé, à quoi rêves-tu ? JoselineNeau, Myriam Ollivier Henri,raconteuses. Accueil de 40 bébésmaximum, dès 9 mois. À partirde 3,5 €. Le 1er mars, à 10 h 30.Théâtre du Champ-de-Bataille.

Conférence causerie. Le conte etla tradition orale au Québec, parRobert Amyot (sous réserve deconfirmation). Le 1er mars, à 11 h.Théâtre du Champ-de-Bataille.


Rouge, Rouge. Marionnettes àfil et arts plastiques. Conte duPetit Chaperon rouge, par la CieBillanbois. Dès 3 ans. 45 mn.6,50 €. 1 entrée gratuite pour 1accompagnateur adulte. Le 19février, à 11 h et 16 h. Théâtre des Dames.

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Jus de chaussettes. Marion-nettes. Dès 5 ans. Par la CieOpsis. 45 mn. 3,50 et 6,50 €. Le 20 février, à 10 h 30 et 16 h 30.À 16 h 30, les 22 et 24 février. À 10 h 30, les 21 et 23 février.Théâtre du Champ-de-Bataille.

Festival Boule de gomme.Du 16 au 24 février, au centreJean-Vilar, à Angers.02 41 68 92 50.

Les Farfadas. Chanson. ConcertLa Fada Family. 7 €, tarif unique.

Le 22 février, à 20 h 30 et le 23février, à 16 h 30 et 20 h 30. Le Chabada.

Ça va encore faire des his-toires. Une semaine de contes,par “Au fil du conte”. Spectaclesgratuits ; ou à partir de 5 €.Du 27 février au 2 mars. Théatre du Champ-de-Bataille.

3 fois rien. Cirque et jeu théâtral.Dès 6 ans. 4 à 10 €. Le 8 mars, à 20 h 30. Le Carré des Arts.

Opération bistouri. Marion-nettes, pour toute la famille (àpartir de 10 ans). Par Azbel Com-pagnie. 6,50 et 11,50 €. Du 13 au 15 mars, à 20 h 30. Le 16 mars, à 17 h. Théâtre duChamp-de-Bataille.

Le Petit Répertoire. Humour.Exposition spectacle, par la CieOPUS. Dès 6 ans. 4 à 8 €. Le 30 mars, à 15 h, 17 h et 18 h.Centre de losirs de La Jaudette, à Saint-Barthélemy d’Anjou.

La Ménagerie mécanique.Humour déambulatoire. Par la CieOPUS. À partir de 6 ans. 4 à 8 €.Les 1er et 2 avril à 18 h 30, 19 h,

AGENDA

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OPÉRA

The Rake’s Progress. Opéra entrois actes, de Stravinsky. Direc-tion, Nicolas Chalvin. AngersNantes Opéra et opéra deRennes. 10 à 55 €. Les 4, 6 et 8 mars, à 20 h. Grand-Théâtre.

L’Enfant et les sortilèges. DeMaurice Ravel, d’après le livretde Colette. Adaptation pourpiano à quatre mains, flûte etvioloncelle. Avec Gaëlle Le Roi,l’enfant. Dès 10 ans. AngersNantes Opéra. 8 à 21 €. Les 28 et 30 avril, à 19 h 30 et le 29 avril, à 15 h 30 et 19 h 30. Le Quai. Théâtre 900.

SPECTACLES

Julien Cottereau. Humour etmime. “Imagine-toi”. Molière dela révélation théâtrale masculine.À partir de 7 ans. 10 à 18 €. Le 16 février, à 20 h 30. THV.

Cottet Moine. Humour. 8 à 15 €. Le 28 mars, à 21 h.Centre Carmet.

Aujourd’hui, c’est Ferrier. De etavec Julie Ferrier, humour. Mise enscène, Isabelle Nanty. 25 à 35 €.Le 29 mars, à 20 h 30. Grand-Théâtre.

L’Auberge du cheval blanc.Opérette. 32 à 44 €. Le 3 avril, à 14 h 30 et 20 h. Grand-Théâtre.

Jardinage humain. Théâtre ora-torio rock. Par L’Interlude T/0. 10à 18 €. Le 4 avril, à 20 h 30. THV.

Petit cœur Dilettante. Ensemblevocal. Chansons à rire. 5 et 7 €.Le 5 avril, à 20 h 30. Théâtre desDames.


Tour de contes. Sur les conteursamateurs. Pour la famille. Tarifunique, 5 €. Le 1er mars, de 17 h à 19 h.Théâtre du Champ-de-Bataille.

Tranche montagne. Avec leconteur et cuisinier québécois,Robert Amyot. De 3,5 à 11,5 €.Le 1er mars, à 21 h. Théâtre duChamp-de-Bataille.

Contes africains. D’une sagesseà l’autre. Par le conteur, Domi-nique N’Goma. Dès 7 ans. À partir de 3,5 €. (suivi d’un apé-ritif en musique, clôture de laSemaine du conte, à 18 h 30). Le 2 mars, à 17 h. Théâtre duChamp-de-Bataille.

CONTES | ANGERS

“Au fil du conte” profite à nouveau des vacances scolaires defévrier pour nous raconter des histoires ! Les tout-petits, lesenfants et les adultes sont conviés à en entendre de toutes lescouleurs. Cela se passera au théâtre du Champ-de-Bataille, avecdifférentes formules : apéro en musique, contes adaptés auxjeunes oreilles et petite musique, causerie-conférence. Unedizaine de spectacles ponctueront cette semaine du conte, enprésence de “raconteurs et raconteuses” et de causeur aussi,comme Robert Amyot. Le Québecois sera l’invité d’honneur duChamp-de-Bataille. Un personnage à déguster sans modérationqui est tout à la fois conteur et cuisto, chanteur et musicien.L’autre temps fort se tiendra, à 10 h 30, le samedi 1er mars. 40 bébés peuvent y participer avec leurs parents pour entendreles histoires de Joseline Néau et Myriam Ollivier Henri : “Bébé, àquoi tu rêves ?” Semaine contes, du 27 février au 2 mars, au théâtre du Champ-de-Bataille, rue du Champ de Bataille à Angers (près de la rue Barra).Programmation détaillée dans la rubrique “Contes”. Réservationsau 02 41 72 00 94 (répondeur) ou à la Fnac. Accès par le bus (arrêtSainte-Thérèse). Tarifs, de 3,5 à 11,50 €.

Encore des histoires !

Julien Cottereau.

À consulterExpos, concerts, sorties, théâtre… Le site www.angersloiremetropole.fr propose un agenda des manifestations organisées dans les 31 communes de la métropole.

Robert Amyot.

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Korat et Chantaboun. Cabaret.Humour et chanson. 5 à 8 €. Le 11 avril, à 21 h. Centre Carmet.

Hawa. Poèmes en musique duProche-Orient. 5 à 10 €. Le 16 mai,à 20 h 30. Théâtre des Dames.

Les Folies d’Offenbach.Opérette. 28 et 30 €.Le 16 mai, à 16 h. Centre Carmet.

SALON

Salon du Végétal. 600 expo-sants de 12 pays présententleurs savoir-faire et leurs pro-duits aux professionnels.Stands, animations, présenta-tions de nouvelles variétés,innovations marketing…Les 20, 21 et 22 février. Parc des expositions d’Angers.

SPORT

Hockey en salle. Finales du cham-pionnat de France. Finale N2hommes et dames, les 1er et 2 marset finales jeunes, les 8 et 9 mars,salle Bertin à Angers. Les samedis,de 14 h à 20 h ; les dimanches, de 9 h à 16 h. Entrée gratuite.

CONFÉRENCES

Les Cafés philosophiques. Latenture de l’Apocalypse. Différenteslectures de cette œuvre unique del’art médiéval. Historiens, philo-sophes, spécialistes de l’architec-ture, journalistes, théologiens ani-ment ces cafés. Organisé par leCentre des monuments historiques. Les 4 mars et 1er avril, à 18 h.Au château d’Angers.

Lecture chez Cointreau n°3.Transport de printemps. Le 11 mars, à 19 h. Au Carré Cointreau, à Saint-Barthélemy.

“Luna Papa”, de Bakhtiar Khudoj-nazarov. À 20 h 15, cinéma Les 400coups. Tarifs habituels du cinéma.

VISITES

De l’hôpital Saint-Jean aucentre hospitalier universitaire.Par un guide conférencier d’An-gers Loire Tourisme. 5,5 et 7 €.

Le 23 février, à 15 h. Rendez vous,devant l’entrée de l’hôpital Saint-Jean, bd Arago à Angers.

L’Auberge d’Eventard, chezJean-Pierre Maussion. Rendez-vous gourmand avec AngersLoire Tourisme (02 41 23 50 00).4 et 5 €. Le 20 mars, à 18 h. Le Bon Puits, rond-point du parcdes expositions à Angers.

Le centre historique d’Angers.Circuit balisé “tourisme et handi-cap”, avec un guide conférencierd’Angers Loire Tourisme (02 41 23 50 00). 2 et 5 €. Le 29 mars, à 10 h. Rendez vous à l’office de tourisme, place Kennedy à Angers.

Le musée régional de l’Air.Circuit balisé “tourisme ethandicap” avec Angers LoireTourisme (02 41 23 50 00). 2 et 5 €. Le 10 mars, à 15 h. Rendez vous àAngers Loire Aéroport à Marcé.

Angers anecdotique : rivedroite. La Doutre. Avec AngersLoire Tourisme. 5,5 et 7 €.Le 5 avril, à 15 h. Rendez vousdans les jardins du musée Jean-Lurçat, à Angers (bd Arago).

Le Grenier à pain. Rendez-vousgourmand, avec Angers Loire Tou-risme. Fabrication de macarons etde baguettes traditionnelles. 4 et5 €. Le 10 avril, à 18 h. 38, avenuePatton à Angers.

EXPOSITIONS

La folie des grandeurs,“Petites machines à habiter”.Petites architectures innovanteset récréatives pour redonner l’en-vie de l’architecture au grandpublic et montrer qu’originalité


Le mariage du soleil et de lalune : une lune masculine, unsoleil féminin ? Par MichelCazenave, écrivain et philosophe.2,10 €. Pour les groupes, contac-ter l’association Cinélégende au,02 41 86 70 80. Le 14 février, à 18 h. Espace Welcome, rue Maurice-Sailland àAngers. Suivi de la projection de

En février et mars, trois week-ends insolites attendent les Angevins.Organisés dans le cadre de l’opération Made in Angers, ils sedérouleront : du 15 au 17 février, sur le thème des métiers d’art en présence denombreux artisans du textile, du bois, du cuir, du métal… auxGreniers Saint-Jean à Angers.du 29 février au 2 mars, sur le thème des musées insolites del’agglomération. Des animations tout public sont proposées aumusée de l’Ardoise à Trélazé, au musée-château de la Communi-cation à Pignerolle à Saint-Barthélemy d’Anjou ; au musée régionalde l’Air, à Marcé et au musée des Coiffes aux Ponts-de-Cé. Du 7 au 9 mars : un week-end gourmand avec, les 7 et 8 mars, desateliers gourmands animés au centre de formation de la CCI et àl’Hôtel des Vins de La Godeline, à Angers (“Cuisine et épices”,“La cuisine de Jean-Pierre Maussion” de l’Auberge d’Eventard, “À la découverte du vin”, par Interloire). Le dimanche 9 mars seraconsacré aux arts de la table, aux Greniers Saint-Jean et place duTertre dans la Doutre, à Angers. En présence de pâtissiers,chocolatiers, cuisiniers, barmen, sommeliers et de producteurslocaux (miel, liqueurs…). Dégustation de plats et cocktails. Renseignements à Angers Loire Tourisme au 02 41 23 50 00 ou sur le site www.angersloiretourisme.fr. Tarifs : gratuit/moinsde 12 ans. De 2 à 4 €, adultes. Lire aussi en page 10.

Trois week-ends made in Angers VISITES | ANGERS

AGENDAÀ consulter

Le 13e festival Gipsy SwingBouchemaine, Feneu, PelloAu programme : concerts, e

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ne rime pas toujours avec coûtélevé. Entrée libre.Jusqu’au 22 février. Maison del’architecture, avenue René-Gas-nier, à Angers, du lundi au ven-dredi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h ; le dimanche, de 14 h à 18 h.

Nadine Altmeyer. Textile etmatériaux, volumes. Entrée libre. Du 15 février au 16 mars, auGrand-Théâtre. Du mardi ausamedi, 12 h-19 h, le dimanche,14 h-18 h.

Curieuses invitées. Insectesgéants colorés de Juliette Vicart.2 à 4 €. Moins de 18 ans, gratuit. Jusqu’au 23 mars. Muséum dessciences naturelles à Angers, rueGuitton. Du mardi au dimanche,de 14 h à 18 h.

Marie-Jo Lafontaine. Dreams arefree ! Photos et installations. 3 et4 €. Jusqu’au 13 avril au muséedes Beaux-Arts d’Angers. Dumardi au dimanche, de 10 h à 18 h.

Des artistes pour la liberté. 23e

salon organisé par le groupe 21d’Amnesty International Angers.


Infos pratiquesThéâtre Le Quai à Angers 7, rue de laTannerie. Internet : www.lequai-angers.euThéâtre de 400 et 900 places, forum, bar,restaurant panoramique. Information,location, réservation. Tél.02 41 22 20 20 (tousles jours de 12 h à 18 h). Au guichet, du lundiau samedi de 12 h à 18 h, dans le Forum duQuai. Lignes de bus 1, 3, 5, 6 et 15 à proximité.Grand-Théâtre Place du Ralliement, àAngers. Tél. 02 41 24 16 30. Orchestrenational des Pays de la Loire ONPL/AngersNantes Opéra 26, avenue Montaigne àAngers. 02 41 24 11 20. Jazz pour tous 13 rue Gâte-d’Argent 49100Angers.Tél. : 02 41 77 26 28.Réservations,Fnac, Carrefour et Géant-Casino. Le ChabadaAngers. 56, bd du Doyenné. Infos concerts au02 41 96 13 48. Ouverture des portes à20 h 15. Concert à 20 h 45. Parc desexpositions Angers route de Paris. Centre Vilar Angers, La Roseraie. 02 41 68 92 50.Centre Jean-Carmet 37, route de Nantes àMûrs-Erigné. Tel. 02 41 57 81 85. Locations surplace ou Fnac (02 41 24 33 33). Théâtre del’Hôtel-de-Ville (THV) à Saint-Barthélemy-d’Anjou, place Jean-XXIII. Locations au, 02 4196 14 90. Vente de billets sur : www.site-saint-barthelemy-anjou.fr. Carré Cointreau à Saint-Barthélemy-d’Anjou. Tel. 02 41 31 50 50.Dégustation cocktail et animation culturelle.Bar loundge. Théâtre de l’Avant-Scène àTrélazé, 32, chemin de la Maraîchère. 135places. Réservations au 02 41 33 74 74.Centre Brassens à Avrillé, allée Georges-Brassens. Tel. 02 41 31 11 30. Théâtre Chanzy30, avenue de Chanzy, à Angers. 02 41 88 8929. Le théâtre des Dames aux Ponts-de-Cé.Tél. 02 41 77 26 28. Le Carré des Arts àPellouailles-les-Vignes 1, rue de la Vieille-Poste. 02 41 27 18 98. Maison del’Environnement Angers avenue du Lac deMaine à Angers. 02 41 22 32 30. AngersLoire Tourisme place Kennedy. Visites,conférences et animations. Renseignementset réservations 02 41 23 50 00. La Grangeaux Dîmes à Soulaines-sur-Aubance.Réservations au 02 41 45 24 16. Maison del’architecture, des territoires et du paysage(CAUE) 312, av René-Gasnier, Angers.02 41 22 99 99.

Accès libre. Du 28 mars au 13 avril. Grand-Théâtre.

Regards. Projets d’architectureet d’environnement. Du 6 marsau 4 mai, à la maison de l’archi-tecture (312, avenue René-Gas-nier, à Angers). Du lundi au ven-dredi : de 9 h à 12 h et de 14 h à18 h ; le dimanche, de 14 h à 18 h.

Machines improbables à renta-bilité limitée. Autour des Bizza-roïdes, le nouvel événement duTHV. Sons et musique à partir dematériel de récupération. Par laCie Mme et M. Tout le Monde.Gratuit. Du 7 au 11 avril, dans lehall du Théâtre de l’Hôtel de Ville

(THV) de Saint-Barthélemy.Ouverture, en journée et les soirsde spectacle.

Jean de la Fontaine, de bestioles en bestiaire.Jusqu’au 27 avril, tous les jours,de 11 h à 18 h, salle Chemellierà Angers.

Marie-Jo Lafontaine. Come tome ! Art textile, peinture, sculp-ture, photo, vidéo. 3 et 4 €.Jusqu’au 18 mai, au musée de latapisserie contemporaine, bdArago à Angers. Du mardi au dimanche, de 10 h à 12 h, et de 14 h à 18 h.

ABONNEZ-VOUS !Vous avez quitté la région angevine et vous voulez vous tenir informé de l’actualité de la métropole ? Vous pouvez continuer à recevoir le journal à votre domicile, en souscrivant un abonnement d’un anau tarif de 5 €.Renvoyez ce coupon complété, accompagné d’un chèque* de 5 € à : Angers Loire Métropole, direction de la communication, 83, rue du Mail, BP 80529, 49 105 Angers cedex 02.

NOM……………………………………………………………………………………………………..PRÉNOM…………………………………………………………………………………………………ADRESSE : ……………………………………………………………………………………………..

TARIF ANNUEL DE L’ABONNEMENT : 5 €

* RÈGLEMENT UNIQUEMENT PAR CHÈQUE, LIBELLÉ À L’ORDRE DU TRÉSOR PUBLIC.

Photos et installations de Marie-Jo Lafontaine, au musée des Beaux-Arts d’Angers.

g se déroulera du 16 au 25 mai à Angers, Beaucouzé,ouailles-les-Vignes et Saint-Barthélemy d’Anjou. expositions, rencontres…

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Tramway : le pont pousse en rive gauche

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