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Le paysan honnête Cela se passait en 1736 par un soir d'été. Par un soir d'été, en l'année 1736, Un soir d'été de l'année 1736, de l'an 1736, un commerçant français quittait une ville où il avait fait des affaires. Jadis il y avait peu de bonnes routes de bons chemins Jadis peu de routes étaient bonnes en France, et le commerçant voyageait se déplaçait comme la plupart des gens, à cheval. Il faisait chaud et un orage s'approchait par l'ouest et, de l'ouest, un orage s'approchait ; cependant le commerçant espérait atteindre gagner, avant la nuit encore, une autre petite ville. Mais soudain il commença à pleuvoir et le voyageur ne réussit pas à trouver la bonne route le voyageur ne parvint pas à trouver son chemin le bon chemin se perdit. Et comme le cheval son cheval, après leurs longs voyages après tant de voyages trajets après de si longues péripéties, était épuisé, il lui fut impossible de poursuivre (sa route). Heureusement Par un heureux hasard il rencontra il tomba sur un pauvre paysan avec son fils qui, justement, rentraient chez eux. Ceux-ci eurent pitié de lui et l'invitèrent à l'enjoignirent à venir à les accompagner dans jusque dans leur modeste logis leur maison toute simple leur chaumière. Ils ajoutèrent amicalement

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Le paysan honnête

Cela se passait en 1736 par un soir d'été.Par un soir d'été, en l'année 1736,Un soir d'été de l'année 1736,

de l'an 1736,

un commerçant français quittait une ville où il avait fait des affaires.

Jadis il y avait peu de bonnes routes de bons cheminsJadis peu de routes étaient bonnes en France, et le commerçant voyageait se déplaçaitcomme la plupart des gens, à cheval.Il faisait chaud et un orage s'approchait par l'ouest et, de l'ouest, un orage s'approchait ; cependant le commerçant espérait atteindre gagner, avant la nuit encore, une autre petite ville. Mais soudain il commença à pleuvoir et le voyageur ne réussit pas à trouver la bonne route le voyageur ne parvint pas à trouver son chemin le bon chemin se perdit.

Et comme le cheval son cheval, après leurs longs voyages après tant de voyages trajets après de si longues péripéties, était épuisé, il lui fut impossible de poursuivre (sa route).

HeureusementPar un heureux hasard il rencontra il tomba sur

un pauvre paysan avec son fils qui, justement, rentraient chez eux.Ceux-ci eurent pitié de lui et l'invitèrent à l'enjoignirent à venir

à les accompagner dansjusque dans leur modeste logis leur maison toute simple leur chaumière.Ils ajoutèrent amicalement

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Chaleureusement ils ajoutèrent qu'il pourrait s'y reposer un peu.Dans le foyer du paysanChez le paysan

le commerçant fut nourri de la meilleure manièreautant qu'il fut possible

et jusqu'au cheval qu'on sauvaet son cheval aussi fut sauvé

bien qu'il boitât fort.

Après que le commerçant eut dormi plusieurs heures, il se sentit reposé il se sentait reposé.

À peine eut-il ouvert les yeux, qu'il remarquaAussitôt qu'il eut ouvert les yeux, il remarqua qu'il n'avait plus sa bourse de cuir – que cent pièces d'or avait garnie. elle avait contenu cent pièces d'or.

Tout de suite il supposa que le paysan lui avait volé son trésor pendant son sommeil il soupçonna le paysan de lui avoir volé son trésor

Mais il ne lui en dit rien / il ne lui en toucha pas un mot jusqu'au lendemain.

Avant de partir le commerçant dit habilement au paysan : « Excusez-moi de ne (pas) pouvoir vous récompenser autant que je le voudrais. Mais il semble que vous m'ayez enlevé tout moyen de vous témoigner de la reconnaissance de me montrer reconnaissant à votre égard.

Je n'ai plus un sous et je dois vendre mon cheval malade, si je veux poursuivre ma route. Alors le paysan comprit que son vol

sa rapine avait été mise à jour. Son hôte l'avait découvert. Et il lui rendit l'argent.