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Cours d'obéissance • Pension Educative 450 530-2022 www.centreeducatifcanin.com NOURRITURE D'ANIMAUX La solution canine des Laurentides journal communautaire de Saint-Hippolyte depuis 1983 Octobre 2016 • vol 34 • no 08 Coiffure Esthétique Massages (reçus) Soins corporels Pose d’ongles 5, rue Mathieu, Saint-Hippolyte, lac Connelly Coiffure Nordic Beauté dollars + certificat cadeau R.B.Q.: 5587-4861-01 Entrepreneur électricien et général La corporation des maîtres électriciens du Québec 20 ans d’expérience 450 563-3413 514 943-0141 www.denelecelectrique.com Deux heures d'inspection GRATUITES à la signature d'un changement d'entrée électrique. page 3 L’ACTION MUNICIPALE Élysa Labbé Élysa Labbé ACCÈS LAC DE L’ACHIGAN Superbe cottage, cour magnifique- ment paysagée, piscine creusée et chauffée, fil- trée au sel. Foyer de pierre, spa. MLS 27506531. 235 900 $ ACCÈS LAC À L’ANGUILLE Intergénération. Maison mobile, 2 CAC + 1 autre propriété de 1 CAC, aire ouv., style loft. À proximité d'un parc avec plage. Sect. familial. MLS 23566070. 184 900 $ ACCÈS LAC CONNELLY Bordé par un ruisseau. 3 CAC. 2 s/bains. Gara- ge adjacent. Ter- rain : 18 751 p.c. MLS 27314789. 170 000 $ INTERGÉNÉRATION 6 CAC – Immense propriété, cuisine spacieuse, Ch. des maîtres au rez- de-chaussée avec s./bains adj., 4 CAC au 2 e étage et sec- tion intergénération avec entrée indép. MLS 28229803. 415 000 $ VENDU PRIX RÉVISÉ Spectacle d’Halloween familial Le samedi 29 octobre 10h30 à 11h15 Traqueuse de mémoire enfouie! Page 7 Cercle de Fermières EXPOVENTE  le 6 novembre Page 15 L’excursion et La Randonnée tournés au Centre de plein air Roger-Cabana Sarah Lou Caron, Marilou Bertoldi, Laurie Giard, Gil Brousseau, Noémie Allard, Loïc Picard et Juliette Allard. Absents Benjamin et Alexis Noël. PHOTO NICOLE CHAUVIN

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Page 1: Tommy Pasieka, ambassadeur · le 7 eart et sont devenus, le temps d’un tournage, des acteurs de cinéma. Le premier film, intitulé L’excursion, met en scène Laurie, Marilou

Cours d'obéissance • Pension Educative

450 530-2022www.centreeducatifcanin.com

NOURRITURED'ANIMAUX

La solution canine des Laurentides

journal communautaire de Saint-Hippolyte depuis 1983Octobre 2016 • vol 34 • no 08

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page 3

L’ACTIONMUNICIPALE

Élysa Labbé

Élysa Labbé

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PRIX RÉVISÉ

Spectacle d’Halloween familialLe samedi29 octobre

10h30 à11h15

Traqueuse de mémoire enfouie!

Page 7

Cercle de Fermières EXPOVENTE le 6 novembre

Page 15

L’excursion

et La Randonnée

tournés au Centre de

plein air Roger-Cabana

Sarah Lou Caron, Marilou Bertoldi, Laurie Giard, Gil Brousseau, Noémie Allard, Loïc Picard et Juliette Allard. Absents Benjamin et Alexis Noël.

PHOTO

NICOLE

CHAU

VIN

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L E S E N T I E R • 2 • O C T O B R E 2 0 1 6

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Le dimanche 11 septembre, près de 20 membres de l’équipe du journal Le Sentier se sont réunis pour faire le point et discuter de sujets importantspour un journal communautaire qui est devenu, au fil des années, une fibreactive et dynamique de Saint-Hippolyte tout en étant le reflet de ce qui sevit dans notre municipalité. Merci à Andrée Beaudry de nous avoir prêté sa

belle demeure située dans un site enchanteur et inspirant. PHOTO MICHÈLE BEAUDRY

L’équipe du journal

AVIS IMPORTANTSi vous devez adresser du courrier au journalLe Sentier, voici la nouvelle façon de le faire :

Journal Le SentierC.P. 135, Succursale Bureau-Chef

Saint-Hippolyte (QC) J8A 3P5

Carine Tremblay

Le conseil de développementde l’excellence sportive desLaurentides (CDESL) a nommél’un de nos jeunes concitoyensde 12 ans, Tommy Pasieka,ambassadeur en skiacrobatique.

Cette nomination s’inscrit dans le cadre d’unnouveau projet, Jeunes ambassadeurs d’ici, quivise à soutenir les athlètes dans leur dévelop-pement personnel et dans leur quête d’excellenceafin qu’ils deviennent des leaders inspirants etengagés dans leur communauté.

Une formation pour vingt jeunes athlètesStefano Lanni et Stéphane Dubé, coprésidents

d’honneur, ont ainsi souligné qu’il semble es-sentiel « de développer [un] jeune comme un

membre influent d’une communauté [et non]seulement comme un athlète performant ». Aucours de l’été 2016, vingt athlètes de la relèveont ainsi suivi une série de formations leur per-mettant de développer les trois aspects sui-vants : la communication, la gestion de l’imageet les relations partenariales. Bravo à Tommy Pa-sieka pour cette nomination!

[email protected]

Tommy Pasieka, ambassadeursportif

Pour voir plus de photos devotre journal communautaire,rendez-vous sur le site :www.journal-le-sentier.cajournal communautaire

de Saint-Hippolyte depuis 1983

Tommy Pasieka

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L E S E N T I E R • 3 • O C T O B R E 2 0 1 6

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Le scénario des courtsmétrages, tournés dans lessentiers du Centre de plein airRoger-Cabana il y a quelquessemaines, laisse le spectateuren suspens : quelque chose devivant - créature étrange, bêtemonstrueuse? - y habiterait etpourrait attaquer lesrandonneurs...!

Huit jeunes de la municipalité ont expérimentéle 7e art et sont devenus, le temps d’un tournage,des acteurs de cinéma. Le premier film, intituléL’excursion, met en scène Laurie, Marilou et Sarah-Lou. Jessica a épaulé l’équipe de tournage.Alors que Noémie Juliette, Loïc, Benjamin etAlexis se partagent l’écran dans le deuxième film,La Randonnée. Il y avait une certaine fébrilitédans l’air le 30 septembre à la bibliothèque deSaint-Hippolyte. Nos jeunes Hippolytois, âgés en-tre 9 et 14 ans, visionnaient leurs films enmême temps que tout le monde. La projectionpublique s’est tenue avant la diffusion des courtsmétrages insolites de SPASM.

Silence, on tourne!Pour les jeunes enrôlés dans cette activité,

l’expérience s’est déroulée sur plusieurs se-maines. Une série de rencontres leur a permisde parler du projet, de choisir leur scénario, des’initier à l’art dramatique. « On a pratiqué no-tre jeu, comment exprimer des émotions », explique Juliette. Anne-Marie Braün (produc-trice) et Gil Brousseau (directeur de production)avaient écrit deux scénarios, un pour chacun desgroupes. Mais les jeunes ont choisi le même.« Une bonne chose, finalement, a commenté Gil,cela a facilité le tournage! » Les courts métragesont été tournés et montés par Yvon Bourbonnais.L’histoire est la même, mais chaque film a sa pro-pre personnalité. D’une durée d’environ quatreminutes, les deux films ont, chacun, nécessitédeux heures et demie de tournage.

Des conditions de tournages pas toujours évidentes

« J’ai accepté parce que mon amie partici-pait et qu’elle me l’a demandé, commente unedes jeunes actrices de L’excursion, mais pourmoi, ce n’était pas facile. J’étais gênée ». Pour-tant ça ne se voit pas à l’écran : on la voit mar-cher dans le bois et converser avec ses amies avecun naturel tout à fait convaincant. « Et physi-quement, ça n’a pas été facile non plus, ajoute-t-elle. Je suis tombée plusieurs fois, je me suiségratignée. Et il y avait plein de moustiques! »Il y a le résultat final que l’on voit à l’écran et ily a les conditions du tournage, pas toujours évi-dentes. Belle expérience de vie pour nos jeunesconcitoyens.

Un partenariat productifCet atelier de court-métrage a été offert dans

le cadre du programme d’aide aux initiatives departenariat du ministère de la Culture et des Com-munications. La contribution financière du Ministère, jumelée à celle de la municipalité, aurapermis de financer et d’offrir gratuitement auxrésidents de Saint-Hippolyte cinq projets cultrels

en 2016 : un projet combiné d’écriture et de des-sin (avril) qui a amené la publication des livresBulles de vie; un atelier de photographie (avril)et l’exposition photo Au coeur du village (juinà septembre) et ce projet de cinéma (août,

septembre) qui a débouché sur la réalisation dedeux courts métrages. Le cinquième projet estun atelier de poterie-céramique familial quiaura lieu en novembre-décembre.

[email protected]

Lyne Boulet

(LB) Sur la voie de devenir un incontournable,la 3e édition des courts métrages insolites à labibliothèque de Saint-Hippolyte a été présentéele 30 septembre. Tous les films à l’affiche, sauf un, ont été sélectionnés à partir de la 14e

édition du Festival SPASM. 1 Fil conducteur? Ce n’était peut-être pas inten-tionnel, mais chacun des films au programme explorait, à sa façon insolite,la notion de libre arbitre.

BLEU TONNERREOu l’expression d’une révolte : il laisse tout tomber, conjointe, famille, tra-

vail, pour retourner faire de la lutte dans son suit bleu. L’arène est le seulendroit où il se sent heureux. Mais à 38 ans et fumeur, sa santé le rappelleà l’ordre.TIMBER

Ou survivre en faisant le choix de sacrifier les autres : très divertissantces bûches qui se brûlent les unes les autres pour survivre au froid de la nuit.Mais d’un cynisme achevé si on transpose la situation à l’être humain... LIENSDE SANG

Ou s’émanciper du joug de la tyrannie : une jeune fille doit sacrifier unevie pour se réapproprier la sienne.MAURICE

Ou le droit de choisir l’heure de sa mort : atteint de la maladie de LouGehrig, un homme apprend qu’il lui reste trois ans à vivre, mais seulementsix mois d’autonomie. Il fait le choix de mourir avec dignité.

PLANÈTE XY1000ZOu l’identité inhérente à chaque être : que reste-t-il de l’intégrité d’un

homme lorsqu’une créature étrangère s’infiltre en lui et tente de prendre lecontrôle ? (un contre-emploi d’André Sauvé dans un condensé de science-fiction à la Alien)JULIET

Ou le droit d’être différent : « plus simple que l’humain », des robots quise comportent comme on le souhaite, qui ne disent que ce que l’on veut en-tendre. Aucune opposition homme-robot, mais confrontation entre hu-mains qui mène à une déshumanisation totale.JIMINY

Ou l’individualité cédant le pas au conditionnement : un criquet implantédans le cerveau qui permet de tout faire en mode automatique sans avoirà y réfléchir. Mais sans cette pratique du libre choix au quotidien, le cerveauperd sa capacité de décider et lorsqu’il se retrouve en mode autonome, rienne va plus.

JOHNY EXPRESSEn complément de programme, JOHNY EXPRESS, tiré de la 13e édition

de SPASM : un petit bijou de court métrage coréen. Tout détruire autour desoi sans s’en rendre compte parce qu’on n’a même pas la conscience de l’exis-tence des autres. Divertissement non dépourvu de matière à réflexion : unesoirée cinéma bien remplie.

1 La 15e édition du Festival SPASM aura lieu à Montréal, du 20 au 29 oc-tobre 2016 - http://www.spasm.ca.

Grognements inquiétants à Roger-Cabana...

Gil Brousseau, Marilou Bertoldi, Laurie Giard, Jessica-Ann Jacques et Sarah-Lou Caron. PHOTO COURTOISIE

L’insolite liberté de choisir

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Date de tombée : le 1er du mois Tirage : 5100 copies

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[email protected]. 135. Succursale bureau-chefSaint-Hippolyte (QC) J8A 3P5

PRÉSIDENTMichel Bois 450 563-5151 COORDONNATRICE : Nicole Chauvin 450 563-5151GRAPHISME ET INFOGRAPHIENicole Chauvin assistée de Suzanne LapointeDISTRIBUTIONJosé CassagnolPETITES ANNONCES450 563-5151

IMPRESSION : Hebdo-Litho

Dépôt légal Bibliothèque nationale du Québec, 2e trimestre 1983Le Sentier reçoit l’appui du ministère de laCulture et des Communications du Québec.

Ce journal communautaire est une réalisationd’une équipe de touche-à-tout en constante évolution. Nous n’avons d’autre but qued’améliorer la qualité de vie à Saint-Hippolyte.

Administration, rédaction, correction, choixdes textes et photographies de ce numéro duSentier sont l’oeuvre de :Jocelyne Annereau-Cassagnol, Monique Beauchamp, Ghyslaine Binette,Michel Bois, Pierrette-Anne Boucher, Lyne Boulet, José Cassagnol, Michèle Châteauvert, Nicole Chauvin, Diane Couët, Élise Desmarais, Bélinda Dufour, Jean-Pierre Fabien, Michel Hardy, Milan Latulipe, Martine Laval, Suzanne Lapointe, Antoine-Michel LeDoux, Liette Lussier,Francine Mayrand, Lyne Rochon, Camille Ouellette-Robichaud, Monique Pariseau, Audrey Tawel-Thibertet Carine Tremblay

Les textes du bulletin municipal situés au centre du journal et les textes identifiés par le logo de Saint-Hippolyte sont sous l’entière responsabilité de la Municipalité.

To our English citizens, your comments andtexts are welcome.

www.journal-le-sentier.ca

Jocelyne Annereau Cassagnol450 [email protected]

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ASSOCIATIONS

Afin de préserver la santé dulac de l’Achigan, nousaimerions vous présenter unenouvelle plante aquatique :La Brasenie (BraseniaShrerberi); cette planteindigène est utile et nousdevons la protéger. Cette plante a un rôle essentiel, soit de pro-

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Donc, arracher des végétaux dans le lac estnon seulement interdit mais c’est très domma-geable à leur équilibre. Si vous effectuez cettepratique, vous contribuerez à la disparition dela qualité de l’eau du lac ! C’est pourquoi vo-tre râteau n’a pas sa place dans l’eau.

La santé de NOTRE LAC est l’affaire de tous.Merci de le respecter!

Patrick Emond, Technicien horticulteur

Directeur à l’APLA

Profitant de la dernièreassemblée ordinaire del’année 2015-2016 du

Club Optimiste Saint-Hippolyte,qui a eu lieu au RestaurantMasério le 21 septembredernier, Gilles Rousseau,président réélu pour unetroisième année, a présenté sonnouveau conseil de direction.Gilles Rousseau a choisi de reporter Gilles Al-

lard au poste de premier vice-président et LindaRousseau au poste de deuxième vice-prési-dente. Les autres membres sont Denyse Fournier,Jocelyne Morin trésorier, Claude Normand se-crétaire, Régine Sénéchal, Lucile Tremblay et Nor-mand Tremblay.

Deux nouveaux membres sur le conseil 2016-2017

Gilles Rousseau a aussi nommé deux nou-veaux administrateurs sur le conseil 2016-2017.

Il s’agit de Lyne Michaud et François Rousseau,tous les deux membres optimistes depuis plu-sieurs années.

Cours de chants et spectacle en novembre

Les Formateurs et chanteurs François Tessieret Jocelyne Z’Grabben sont très fiers de leursjeunes recrues et l’évolution va bon train. Lemardi 4 octobre avait lieu la 3e formation. Lesjeunes se préparent pour le Grand Spectacle quiaura lieu le 27 novembre à l’Église de Saint-Hip-polyte. Peut-être en verrons-nous un jour à laVoix junior ? Sait-on jamais!

Cours de théâtreComme déjà mentionnée par Gilles Rousseau,

une nouvelle formation en théâtre sera offerteGRATUITEMENT par le Club Optimiste à tous lesjeunes de Saint Hippolyte. Une invitation spécialeest faite aux jeunes ayant bénéficié de la premièresérie de cours de théâtre d’improvisation, de sur-veiller les annonces de cette nouvelle formation.

Club Optimiste Saint-Hippolyte

Gilles Rousseau présente son nouveau bureau de direction

Plantes aquatiques

De gauche à droite : Régine Sénéchal, Linda Rousseau,v.-p., Gilles Allard v.-p., Lyne Michaud, Denyse Fournier, Lucile Tremblay, Jocelyne Morin trés.,à l’arrière Claude Normand sec., Gilles Rousseau prés. et Normand Tremblay.

Absent sur la photo : François Rousseau.

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L E S E N T I E R • 5 • O C T O B R E 2 0 1 6

Caroline Nielly a été investied’une mission touteparticulière : servir lescitoyens tout en développantde nouvelles ressourcescommunicationnelles pour lesservices au sein de lamunicipalité. Son poste, crééen avril 2016, est asseznovateur : il regroupe ainsi,sous une même enseigne, lescommunications et les servicesaux citoyens. À notreconnaissance, la seulemunicipalité qui fonctionnedans une structure semblabledans les Laurentides est cellede Saint-Colomban.

Dans la première semaine d’octobre, ce sonttrois politiques essentielles à l’enracinementde cette nouvelle vocation municipale qui ont étélancées : la Politique de communication, la Po-litique d’affichage et la Politique de services auxcitoyens. Si les deux premières formules sont as-sez communes, il en va autrement de la Politiquede services aux citoyens. Cette dernière vise à qua-

lifier la nature du service déjà offert aux résidents,afin d’officialiser une culture qui valorise letravail de qualité dans une approche soignée, sen-sible et participative.

Mettre en valeur de manière créativele travail des autres

Et la nouvelle directrice ne s’en cache pas :son rôle privilégié consiste à mettre en œuvredes moyens supplémentaires pour bonifier untravail largement élaboré au fil des années parles employés des autres services. C’est grâce àsa vaste expérience en service à la clientèle, ac-quise par le biais des communications, que Ca-roline Nielly aimerait y parvenir.

Un nouvel objectifEn entrevue, on sent madame Nielly bien en-

gagée et elle confie d’emblée qu’elle a l’habitudede déployer toute son énergie, lorsqu’elle se lancedans un projet. Elle qui a animé pendantquelques années une émission quotidienne à lastation CIME de Saint-Jérôme, qui a mené plu-sieurs campagnes de relations publiques auda-cieuses et qui a orchestré, entre autres, plus de50 événements annuels pour la ville de Sainte-Adèle a désormais pour principaux clients lescitoyens de notre municipalité.

Forte de ses valeurs familiales et commu-nautaires, Caroline Nielly semble bien conscientedes défis qui entourent la communication mu-nicipale dans une petite localité de quelque9300 âmes. Loin de nier la nécessité d’une for-mulation stratégique des informations à trans-

mettre dans certains contextes, la directrice neperd pas de vue le dualisme de sa fonction : com-muniquer et servir.

L’importance de la participation citoyenne

Cette double identité sera probablement uneforce pour notre municipalité, en cette ère dedoute citoyen sur les motivations réelles des ins-titutions municipales - malmenées ailleurs auQuébec, faut-il le rappeler, par les scandales-,ce qui génère un cadre sociétal où l’on se de-mande de plus en plus qui et quoi croire en po-litique. Pour madame Nielly, c’est à travers la par-ticipation citoyenne que se légitime le mandatdes élus. Si les citoyens n’ont pas leur mot à dire

une fois l’élection complétée, c’est que les di-rigeants sont à côté de leur rôle.

Compter sur Le SentierIl est enfin révélateur des valeurs communi-

cationnelles de notre municipalité que Le jour-nal Le Sentier, élaboré par des citoyens béné-voles depuis près de 35 ans, se retrouve enpremière ligne de la liste des ressources externesoffertes aux Hippolytois et aux Hippolytoises,grâce au Bulletin municipal. Souhaitons dès lorsle développement continu d’un partenariat oùles citoyens et les employés municipaux trou-veront, côte à côte, les mots justes pour incar-ner leur appartenance à notre collectivité.

[email protected]

Le service des services

Carine Tremblay

Caroline Nielly, directrice des communications et des relations avec les citoyens. PHOTO BÉLINDA DUFOUR

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L E S E N T I E R • 6 • O C T O B R E 2 0 1 6

Dans une atmosphèredécontractée propice auxéchanges constructifs, BrunoLaroche a invité les citoyensprésents à échanger leurs idéeset leurs soucis liés à Saint-Hippolyte. Voici les 13 questionsposées ainsi que les réponsesfournies par le maire.

Sommaire des sujets abordésUn citoyen souhaitait en savoir plus quant

au mélange de sable, de sel et de pierre ré-pandu sur certains chemins, dont celui dulac Fournelle. Il se disait préoccupé par le fait quele tout pouvait se déverser partiellement dans le lac.M. Laroche a expliqué que ce mélange contenaitseulement 10 % de pierre et qu’il pouvait effecti-vement se rendre dans le lac en raison de l’absencede bassin de rétention à cet endroit.

La question de l’avenir du camp Bruchésisoulève toujours autant les passions. Le maire aprécisé qu’aucune demande de modification dezonage n’avait encore été adressée à la Ville. Il ya bien eu une demande de lotissement auprès despropriétaires actuels du camp pour le terrain, etdes lots auraient été vendus. Rappelons que le pro-jet prévu consiste en une nouvelle zone résiden-tielle. M. Laroche a assuré l’assemblée que dès quede l’information supplémentaire sera disponible,la population en sera avisée par le moyen d’uneconvocation citoyenne.

Avec les projets politiques personnels de no-tre maire qui se présentera pour la CAQ (Coali-tion Avenir Québec) dans le comté de Saint-Jérôme,bon nombre de résidants se demandent ce qu’iladviendra de la mairie hippolytoise. M. Larochea annoncé qu’il avait été approché une premièrefois par le parti en question, avait refusé, et a finipar accepter lors de la seconde offre. Il a justifiécette décision ainsi : « Comme personne proac-tive, je suis quelqu’un d’intolérant envers le statuquo, le traitement des aînés dans les CHSLD, l’en-dettement au Canada… J’adore ma ville et la politique municipale, qui est une politique deproximité. Si je réussis à l’élection provinciale, jevous assure que Saint-Hippolyte aura une placed’honneur à l’Assemblée nationale ». Il a ajoutéque si sa tentative électorale se soldait par un échec,il conserverait ses titres politiques actuels.

Les critères de sélection pour la réfection desrues furent un autre enjeu soulevé. Le maire a ré-pondu qu’un premier tour des rues par les char-gés municipaux des travaux publics est effectuépour constater leur état et le niveau d’achalandage.Puis, des demandes par secteur sont formulées auConseil municipal. Après un vote, le rapport est pro-duit et des recommandations sont énoncées au-près du directeur des travaux publics.

Concernant le transport public entre Saint-Hippolyte et Saint-Jérôme, M. Laroche a rap-pelé que le TAC (Transport adapté et collectif) esten place depuis 2004. Il est possible d’y réserver

des transports entre un et deux mois à l’avance.Le tout est exécuté en collaboration avec la MRC(Municipalité régionale de comté). De nombreuxarrêts à Saint-Hippolyte existent. En ce qui a traità l’implantation d’un transport public en tant quetel, des discussions avec le CIT (Conseil intermu-nicipal de transport) des Laurentides ont étéamorcées, mais le projet s’avère très dispendieux.

Déterminer comment limiter efficacementle développement immobilier dans une op-tique de préservation de l’environnement na-turel est une autre préoccupation qui fut amenée.Il fut alors déclaré que si la Municipalité approuvele développement immobilier contrôlé, pas unseul sou n’a été investi pour en faire la promotion.En outre, l’existence d’un schéma d’aménagementinversé pose une certaine restriction, afin de ne pasglisser vers l’étalement urbain et protéger entre au-tres nos ressources forestières. L’équipe Larochea signifié, par ses actions et verbalement, sonchoix de financer l’augmentation du nombre et dela qualité des services aux gens ayant déjà élu ré-sidence ici, plutôt que d’injecter ces mêmes fondsen publicité immobilière. Cette stratégie a vrai-semblablement encouragé l’arrivée de nouveauxrésidants, tout en améliorant la qualité de vie desHippolytois.

Une citoyenne a manifesté son intérêt vis-à-visdes poulaillers à usage personnel. Selon unrèglement municipal actuel, pour en posséder un,le statut de « fermette » est un prérequis. Lemaire se dit cependant ouvert à créer un dossiersur le sujet si plusieurs personnes ont le même dé-sir : les intéressés devraient alors faire une demandeofficielle au Conseil municipal.

Une mise au point sur la santé du lac del’Achigan a été faite : il s’agit de l’un des lacs lesplus sains des Laurentides. L’APLA (Association pourla protection du lac de l’Achigan) est, selon les dires

de l’équipe Laroche, très active et s’acquitte de satâche avec brio; pour suivre les nouvelles concer-nant ce lac, il est possible de devenir membre decette association ou de visiter le site Internet(www.aplaweb.ca).

Le cas d’un certain terrain public sur lamontée Masson a été mis sur la table éga-lement. Ce terrain public appartenait àla Municipalité et cette dernière l’a ré-cemment vendu à un particulier.Les gens du coin n’ont pas en-core demandé au nouveaupropriétaire s’il permettraaux adeptes des sportsmotorisés, de lamarche ou du ski àcirculer sur ledit ter-rain comme avant.Le maire a tenu à ajou-ter « Lorsqu’il s’agit de terrains de la Municipalité, les citoyens devraient se faireentendre auprès de nous pour la création de ser-vitudes de droits de passage en cas de vente ». Unetelle procédure permettrait alors de garantir la pos-sibilité de circuler, même après la conclusiond’une vente.

Les règlements sur les chiensont fait beau-coup jaser. M. Laroche a soutenu qu’il est sensi-ble au débat public sur les pitbulls, massivementconsidérés comme dangereux; une situation ali-mentée par les médias qui encouragent la peur decette race en particulier. D’autre part, il n’est pasprévu que les chiens de type pitbull soient inter-dits sur le territoire hippolytois. Le maire estimequ’il devrait être légalement acquis que le maîtreest responsable du comportement de son chien,toutes races confondues. On rappelle au passageque les chiens doivent être attachés à Saint-Hippolyte.

Il fut aussi question des problématiques liéesà la chasse en milieu urbain ou résidentiel;pour citer un exemple, des chasseurs ont déjà étévus dans les sentiers municipaux ou à proximitéde résidences. Les citoyens sont invités à faire ap-pel à la ville ou à la Sûreté du Québec en cas dedoute ou d’infraction.

Des préoccupations liées à de la crimi-nalité présente aux alentours de certains lacs hip-polytois ont été exprimées. La Sûreté du Québecsera avisée. On souligne qu’un Comité de sécuritése réunit aussi à tous les mois.

Enfin, un citoyen s’est interrogé sur le déve-loppement résidentiel au lac Adair. Le potentiel de développement est difficilement quan-tifiable dans cette zone en particulier, mais l’équipeLaroche compte se pencher sur la question.

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Déjeuner du maire : compte-rendu des enjeux discutés

Audrey Tawel-Thibert

M

Manon Tawel

Personnage coloré,Rose-Imelda Latourellea vu le jour dansl’imaginaire de LorraineDavid dans les années2000. C’est unecharmante vieille, à lafois drôle et touchanteet personnifiée parLorraine.

Rose-Imelda est née au début du20e siècle à St-Justin en Mauricie. Autravers son journal intime de formatgéant, elle nous relate sa jeunesse, la processionde la St-Jean Baptiste, les veillées avec « violoneuxet les chansons du bon vieux temps », sa premièresoirée sans la surveillance des parents... Avec hu-mour elle se réfère « au Bon Dieu » comme biendes gens de son époque. Elle nous parle de sonbéguin pour Rosario Letendre qui étudie pour être

docteur, mais elle fera la rencontre d’Alphonse,forgeron de métier, avec qui elle aura huit enfants.

La lettre de RosarioAprès 40 ans de mariage, elle se retrouve veuve

et fait une découverte inusitée : de son journal nonmoins intime en ressort une lettre format géantque Rosario lui avait écrite du temps de leur jeu-

nesse. Apprenant qu’il est veuf à sontour, son cœur se remplit d’espoir.À la suite de cette missive, Rose-Imelda rajeunit peu à peu et nousfait revivre de beaux souvenirs à tra-vers certaines chansons populairesde l`époque telles que La vie en roseet Fascination. À la fin, vêtue d’unerobe style charleston, LorraineDavid nous invite à interpréter La viechantée à l’origine par Ginette Reno.

À la découverte de Lorraine David

Ce spectacle aux tonalités musi-cales et s’adressant aux 50 ans et

plus en charmera plus d’un, avec des souvenirsd’un passé pas si lointain. Lorraine transporte dansses valises un bagage fort impressionnant et estune artiste multidisciplinaire : conteuse, pédagogueet fondatrice des Contes géants, situé à Mirabel.Pour infos, on visite : www.contesgeants.com

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Dans le cadre des Journées de la culture

Un voyage dans le temps avec Rose-Imelda!

Bruno Laroche

Lorraine David incarne le personnage de Rose-Imelda.PHOTO NICOLE CHAVIN

Page 7: Tommy Pasieka, ambassadeur · le 7 eart et sont devenus, le temps d’un tournage, des acteurs de cinéma. Le premier film, intitulé L’excursion, met en scène Laurie, Marilou

L E S E N T I E R • 7 • O C T O B R E 2 0 1 6

Maryse Tanguay, qui a crééDétection Québec 1 il y a deuxans, passe la plus grande partiede ses temps libres à chercherdes vestiges de notre passé.Ses pas l’ont récemmentamenée à diguer 2 à Saint-Hippolyte.Maryse Tanguay s’adonne à la détection de-

puis cinq ans. Elle a commencé en Europe oùce loisir gagne sans cesse en popularité. Elle atrouvé là-bas une pièce de monnaie romaine. Onne peut évidemment pas espérer déterrer des ob-jets aussi anciens au Québec. Mais trouver icides artéfacts d’usage quotidien datant du 19e siè-cle lui procure autant de satisfaction. Car, pourelle, ce sont des objets qui parlent de notre his-toire. Ça lui donne l’impression de voyagerdans le temps!

Déterrer des trésorsMaryse détecte princi-palement dans lesLaurentides. Elle a

déjà déniché unevariété d’ob-

jets, tousplus inté-ressan t sles uns

que les au-tres: des bou-teilles de verre

intactes, des ves-tiges de céramique et de poterie, des bijoux, despipes, une balle de mousquet, des objets reli-gieux (médaille, chapelet, dizainier . Ses préfé-rés sont sans contredit une médaille commé-morant le 50e anniversaire de Sainte-Agathe

(1861-1911) trouvée à Prévost (!), une mon-tre de poche dénichée à Piedmont, des boutonsen laiton de 1845 et des bouteilles pharma-ceutiques. Elle est particulièrement contentede sa bouteille de lait de magnésium bleu pâledatant de 1906, une perle rare.

Pas n’importe où et pas n’importe comment!

Il existe un code d’éthique chez les détecto-ristes 4. On ne se permet évidemment pas d’al-ler sur une propriété privée sans l’accord du pro-priétaire. Et, s’il s’agit d’un endroit public, il fautvérifier auprès des autorités si un permis est re-quis. On comble toujours les trous qu’on acreusés. On ramasse les débris qu’on a retirésdu sol. On ne laisse traîner aucun objet. La rè-gle d’or, c’est de se comporter d’une manièreirréprochable afin de donner une image publiquepositive de la détection.

Elle trouve et elle identifieDans certains cas, ce sont les propriétaires

eux-mêmes qui lui demandent de sonder : ouils ont perdu un objet de valeur, ou ils croientqu’il pourrait y avoir des artéfacts historiques surleurs terrains. Une dame de Saint-Hippolyte a ap-pelé Maryse parce qu’elle déterrait toutes sortesde fragments de poterie, de porcelaine et d’us-tensiles en métal simplement en retournant laterre pour faire son jardin! En plus de trouverles objets, Maryse les identifie: elle en situel’époque et en définit la provenance et la com-position. Ces éléments contribueront à déter-miner la valeur historique et monétaire d’un ar-téfact. Car creuser n’est que la première étapede la détection. Ensuite, il faut faire des re-cherches dans des revues spécialisées ou sur in-ternet et consulter des spécialistes pour bien cer-ner l’objet qu’on a en main.

Avec ou sans détecteur de métalL’outil de base des détectoristes est le dé-

tecteur de métal. De qualité supérieure, il dé-tectera avec davantage de profondeur et de pré-cision. C’est ce qui permet, entre autres, derepérer les objets en or, en argent, en étain. Maissi on s’intéresse également aux artéfacts non mé-

talliques, comme c’est le cas de Maryse, ons’adonne alors à ce qu’on appelle en anglais lebottle digging 5. Un bon point de départ, c’estde localiser l’endroit où une maison a étéconstruite au 18e ou 19e siècle. Et d’aller explorerderrière! Comme il n’y avait pas d’éboueurs àl’époque, les gens se débarrassaient de leurs dé-chets dans les latrines ou dans une dompe im-

provisée située dans le bois derrière la maison.Le détecteur pourra aider à circonscrire une zonede recherche, car il est presque inévitable quedes résidus métalliques se retrouvent égale-ment dans les sites où on découvrira des objetsfaits d’autres matières. Mais après, tout le tra-vail se fera à l’aide de la pelle et du râteau.

[email protected]

Lyne Boulet

À chacun son confort.

**L’offre à la location s’applique au modèle Outback 2.5i 2017 (HD1 25) à transmission manuelle. Mensualités de 339 $ pour un terme de 48 mois et 1 260 $ en comptant initial. Premier paiement requis à la signature du contrat. Le montant total exigé avant le début de la location est de 1 855,70 $ (taxes incluses). L’offre n’est pas applicable au modèle illustré. Location basée sur une allocation annuelle de 20 000 km avec kilométrage additionnel de 0,10 $ le km. Les frais d’inscription au Registre des droits personnels et réels mobiliers, les frais de transport et de prélivraison ainsi que les droits spécifi ques sur les pneus neufs sont inclus. Le permis de conduire, l’immatriculation (prix varie selon le client) et les assurances sont en sus. Le concessionnaire peut louer à prix moindre. Photo à titre indicatif seulement. Les offres et les spécifi cations techniques peuvent changer sans préavis. L’offre est disponible sur approbation de crédit des Services Financiers Subaru par TCCI. L’offre est en vigueur jusqu’au 31 octobre 2016. Certaines conditions s’appliquent. 1. EyeSight® est un système d’aide à la conduite susceptible de ne pas fonctionner de manière optimale dans certaines conditions. EyeSight® n’est pas conçu pour se substituer à la vigilance et à l’attention du conducteur sur la route. Le système pourrait ne pas réagir dans toutes les situations. Il incombe en tout temps au conducteur d’adopter une conduite sécuritaire et prudente. L’effi cacité du système dépend de nombreux facteurs, tels que l’entretien du véhicule ainsi que les conditions météorologiques et routières. Enfi n, malgré toutes les technologies sophistiquées en place, un conducteur doté d’une bonne vision, qui est attentif à la route sera toujours le meilleur gage de sécurité sur la route. Consultez le Manuel du propriétaire pour les détails de fonctionnement et les limites. Visitez votre concessionnaire Subaru participant pour tous les détails.

OUTBACK 2017Location de

mois

LocationÀ partir de

/mois, taxes en sus.

Dizainier

(LB) La patience est une qualité essentiellelorsqu’on détecte. On peut passer des heures et desheures à fouiller sans rien trouver. Ou avoir de lachance et mettre à jour, coup sur coup, deux outrois objets très intéressants. « Creuser, c’est épui-sant. Mais la passion joue! », commente Maryse.Et il faut composer avec la déception : des languettesde cannettes ou des bouchons de bouteilles de bièreferont résonner le détecteur de façon prometteuse,mais le butin sera décevant... La délicatesse est aussiindispensable. On n’exhume pas un vestige enfouidans le sol depuis cent ans sans précaution. Unebouteille peut s’abîmer sous nos yeux lorsqu’onl’extrait de la terre. Il y a un risque même si on ymet toute l’attention voulue. Maryse a vécu ce typed’expérience malheureuse : elle venait de déter-rer une bouteille d’eau minérale de 1890 à fondrond (Torpedo bottle) ... et elle lui a craqué en-tre les mains.

Un passe-temps coup de coeurMaryse Tanguay est une mordue. Elle aime di-

guer. Et lorsqu’elle en parle, on ressent la fougueet la passion qui l’animent. Elle pratique intensi-vement ce passe-temps qui sort de l’ordinaire.Vous la verrez peut-être encore s’adonner à desfouilles à Saint-Hippolyte. Elle a fait de la détec-tion au lac du Pin rouge. Elle en fait à l’Aubergedu lac Morency. Une résidente du chemin des Hau-teurs lui a demandé de faire de l’exploration chezelle. Notre municipalité a vu ses premiers colonss’installer avant 1830. Il y a là un beau potentiel...sous-jacent!

1 https://www.facebook.com/detectionquebec/?fref=ts2 de l’anglais dig. Familièrement utilisé, au lieu decreuser3 à placer sur un doigt. Est composé de dix petitsgrains pour réciter dix Je vous salue Marie4 de l’anglais detectorist. Personne qui fait de la dé-tection5 le terme bottle digging est utilisé de façon géné-rique pour décrire la détection de tout objet non mé-tallique

Traqueuse de mémoire enfouie!

Patience et longueur de temps...

Maryse Tanguay, sur terre ou dans l’eau...PHOTO NICOLE CHAUVIN

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L E S E N T I E R • 8 • O C T O B R E 2 0 1 6

Si le jour, les touristes estivauxou de passage des années 1960à 1980 de Saint-Hippolyte,profitent de l’air revigorant,de l’eau cristalline des lacs etdu soleil, allongés sur lesplages sablonneuses, le soir, cesont les hôtels, leur salle dedanse et leurs spectaclesmusicaux qui les attirent.

Des soirées cabarets à l’américaineÀ cette époque, la télévision occupe peu de

place. Les gens profitent de la tiédeur des soi-rées pour fraterniser avec la parenté et les voi-sins temporaires d’été. Certaines soirées arro-sées célèbrent des retrouvailles, des anniversairesou simplement la victoire de parties de fer oude « poche » 1 gagnées sous la fumée d’un feude camp chasseur de moustiques. D’autres soi-rées, se vivent dans des hôtels à proximité quiprésentent des artistes montréalais de passageou des vedettes locales. Les films américains d’El-vis Presley et d’autres vedettes du rock’n roll etdu twist effrénés, inspirent les danseurs sur les

pistes en bois franc. Ces derniers ont chaud etconsomment. Parfois, un chansonnier québé-cois s’accompagnant à la guitare s’essaie, ins-tallé sur une petite scène dans un coin éclairédu bar.

Les tournées artistiques laurentiennesallient spectacle et repos

Certains artistes de passage prolongent leurséjour en faisant alterner spectacle et repos. LaChaumine et le Domaine Cabanac du lac Mo-rency accueillent régulièrement Jacques Nor-mand, Doris Lussier, Normand Hudon, DeniseFiliatrault et bien d’autres. Jean Lalonde, pèredu chanteur Pierre Lalonde et propriétaire dela radio CKJL, La voix des Laurentides de Saint-Jérôme se transforme en promoteur d’artiste etdiffuse la publicité de spectacles qu’il organisedans la région. La tournée débute au micro dela radio et est suivie de quelques soirées à l’hô-tel Lapointe à Saint-Jérôme, siège de son postede radio. Viens ensuite, le Pigalle (Lafontaine),le B52 (Shawbridge) et L’Auberge 3du lac desQuatorze Îles. Puis l’Hôtel Central du village deSaint-Hippolyte les accueille, puis, l’hôtel LaSource, le Domaine L’Achigan. Au lac Connelly,

c’est Le P’tit Miami, le Pine Croft, Connelly Innet au lac Bleu, Le Château Bleu et parfois d’au-tres établissements.

Des artistes d’adoption et l’émergenced’artistes locaux

Certaines vedettes de la radio et de la télévi-sion finissent par adopter ce havre de repos àproximité de Montréal. Au fil des années, les Hip-polytois croisent Jen Roger (Boul des Hauteurscoin chemin du lac des Quatorze-Îles), MichelJasmin avec ses parents et Camille Henri, joueurdu Canadiens de Montréal et premier mari de Do-minique Michel au lac Connelly Sud. Des artisteslocaux émergent aussi parfois parmi les citoyens

hippolytois. Jean-Marc Godmer, de l’Hôtel Cen-tral et Carol Dicaire, du lac Connelly Nord dugroupe Le 25e Régiment en font partie. Vous enconnaissez d’autres ? Communiquez-les-nous!

1 Jeu consistant à faire entrer de petites pochesde sable dans un obstacle troué2 Publicités tirées du journal Le Sentier3 Bob Cowan et Louise Lefebvre-Hudon, Lac des14 Îles

MERCI à des précieux collaborateurs :Monique Beauchamp, Michel Corbeil, LucieGodmer, Ghyslaine Pilon et Denis Henkins.

Les hôtels hippolytois de 1960 à 1980Partie 2 : Un Broadway laurentien

Une Histoire si proche !Ma Maison, mes racines

Mon Pays, mon histoire

Antoine-Michel LeDoux

j

En haut, à gauche Juliette Béliveau et au micro Roger Cabana, suit dans le sens des aiguilles d’une horloge, Jean-Pierre Masson, Michel Jasmin, lechanteur pop Pierre Lalonde enlaçant son père Jean Lalonde, crooner descabarets montréalais des années 1940-50, Jen Roger et Henri Bergeron.

Au centre, Camille Henri, joueur du Canadien de Montréal et premier maride Dominique Michel.

Vous voulez partager votre histoire familiale

ou compléter et commenter les histoires de vie

présentées ? N’hésitez pas à communiquer avec

Antoine-Michel LeDoux au

[email protected] ou au journal.

René Plamondon au piano, Jean-Marc Godmer à la guitare et Fernand Juteauau violon. Carol Dicaire (guitare) de Saint-Hippolyte et de Saint-Jérôme, les

frères Maurice et Robert Métayer, Réjean Ruel et Georges Thurston (à droite)connu sous le nom de Boule Noire forment Le 25e Régiment.

Karin RobinetteAcupunctrice depuis 14 ans

Membre de l’Ordre desacupuncteurs du Québec

Stage à l’Université de Nanjing en Chine

M. Sc. Sciences biomédicales

www.karinrobinette.ca Tél. : 514 237-2211 NOUVELLE CLINIQUE :

27, rue Couillard, Saint-Hippolyte QC J8A 2P9

L’ACUPUNCTURE POURSOULAGER LES DOULEURS

Par son action anti-douleur et anti-inflammatoirepuissante, l’acupunture traite efficacement :

• Tendinite, bursite, entorse• Arthrose, arthrite• Névralgie, sciatalgie• Tunnel carpien• Épine de Lenoir, fasciite• Migraines• Douleurs digestives et menstruelles

Publicités de deux hôtels hippolytois de cette époque 2

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Gilles BeauregardMaire-suppléant,finances et communications

450 563-2505 #2507

Chantal LachaineCulture, événements et vie communautaire

450 563-2505 #2502

Denis LemayTravaux publics et sécurité publique

450 563-2505 #2506

Donald RiendeauService de l’urbanisme

450 563-2505 #2504

Bruno AllardService de l’environnement

450 563-2505 #2505

Yves DagenaisSports, loisirs et plein air

450 563-2505 #2503

L’ACTIONMUNICIPALE

Votre Municipalité vous informe • OCTOBRE 2016

Bruno Laroche, maire450 563-2505 #[email protected]

www.saint-hippolyte.ca

CC’’eesstt llee 33 ooccttoobbrree ddeerrnniieerr,, lloorrss ddeessoonn aasssseemmbbllééee ppuubblliiqquuee,, qquuee lleeccoonnsseeiill mmuunniicciippaall ddee SSaaiinntt--HHiippppoollyytteeaa pprrooccééddéé àà ll’’aaddooppttiioonn ddee ssaaPPoolliittiiqquuee ddee sseerrvviicceess aauuxx cciittooyyeennss..VViissaanntt àà pprrooppoosseerr uunnee pprreessttaattiioonn ddeesseerrvviiccee qquuii ss’’iinnssccrriitt ddaannss lleess vvaalleeuurrss,, llaa vviissiioonn eett llaa mmiissssiioonn ddeell’’aaddmmiinniissttrraattiioonn mmuunniicciippaallee,, llaa ppoolliittiiqquuee pprréésseennttee aauussssii lleesseennggaaggeemmeennttss eett lleess mmooyyeennss qquuii sseerroonntt mmiiss eenn ppllaaccee ppoouurraamméélliioorreerr eett mmaaiinntteenniirr llaa qquuaalliittéé ddeess sseerrvviicceess mmaaiiss ééggaalleemmeenntt,,ppoouurr aaccccrrooîîttrree llaa ssaattiissffaaccttiioonn ddeess cciittooyyeennss..Des engagements et des moyens concrets Le maire de Saint-Hippolyte, Bruno Laroche, s’est dit très fier decette politique qui place les services aux citoyens en tête despriorités de l’administration municipale. « Cette démarcheimplique non seulement l’ensemble des employés maiségalement les membres du conseil municipal et elle présentedes moyens qui assureront l’atteinte de standards de haut niveauen matière de service à la clientèle. La Politique comporte aussil’ensemble des engagements adoptés par le conseil afin derépondre aux attentes et aux besoins de la populationhippolytoise. »Parmi ces engagements, la volonté d’offrir un service courtois,efficace et confidentiel en tout temps, l’accueil et

l’accompagnement des citoyensdans toutes les étapes de leursdémarches auprès de laMunicipalité, l’amélioration descompétences et la formationcontinue des employés en matière

de service à la clientèle, le suivi des plaintes et requête dans lesmeilleurs délais et la constance dans la qualité des services.« Cette politique est le fruit d’une démarche amorcée en 2012avec l’adoption d’une Politique de gestion des plaintes etrequêtes qui aura permis de réduire de façon significative lesdélais de traitement des plaintes en provenance des citoyens » apoursuivi Bruno Laroche qui estime que c’est sur la formation,les suivis et l’implication des employés et des élus que repose lesuccès de cette démarche. « Plus qu’une simple déclaration,cette politique demeure sans conteste le plus importanttémoignage de notre détermination à voir se matérialiser unevision commune. Nous avons toujours eu la qualité en tête et leservice à cœur mais aujourd’hui, nous manifestons notre volontéd’en faire notre priorité au cours des mois et des années à venir.On peut obtenir plus de renseignements sur la nouvelle Politiquede services aux citoyens de la Municipalité de Saint-Hippolyte envisitant le wwwwww..ssaaiinntt--hhiippppoollyyttee..ccaa//ppoolliittiiqquueess mmuunniicciippaalleess..

75 citoyens se sont déplacés àl’Auberge du lac Morency, le 17septembre dernier, pour prendrepart au traditionnel petit-déjeunerdu maire de la Municipalité deSaint-Hippolyte. Ce rendez-vousamical en compagnie du maireBruno Laroche et des membresdu conseil aura permis auxcitoyens présents d’obtenir desréponses à leurs questions et defaire part de leurs suggestions etcommentaires aux élusmunicipaux. Parmi les sujets qui auront figurésau menu de ce petit-déjeuner,notons la réfection des rues et deschemins, la protection des lacs, laréglementation sur les chiensdangereux et le développementimmobilier sur le territoire de laMunicipalité. Le maire, BrunoLaroche, a profité de l’occasionpour rappeler l’importance demiser sur la préservation dumagnifique territoire de Saint-Hippolyte et de l’approcheéco-responsable adoptée par leconseil dans ses projets de

développement. Se disant d’avisqu’il importe de sensibiliser lescitoyens aux différents enjeuxenvironnementaux, Bruno Larochea mentionné que les membres duconseil entendent poursuivre danscette voie afin de sauvegarder lesrichesses du vaste territoirehippolytois pour les générations àvenir.Les citoyens présents ont éténombreux à faire part aux élus deleur appréciation suite à cetterencontre, une initiative qui, vu songrand succès, inciteracertainement le maire et lesconseillers à récidiver au cours desmois à venir.

OFFRE D’EMPLOIDirectrice ou directeur généralSous l’autorité du conseil municipal, la directricegénérale ou le directeur général a la responsabilitéd’assurer la planification, l’organisation, le contrôleet la direction de l’ensemble des activitésmunicipales conformément aux objectifs etpriorités déterminés par le conseil municipal, et ce,dans le respect des lois qui encadrent ces activités.

La personne recherchée possède une formationuniversitaire en administration des affaires, (oudomaine pertinent à la fonction) jumelée à uneexpérience pertinente de (10) dix ans dans unposte de direction, dont 5 (cinq) ans dans unemunicipalité de taille comparable dans un poste dedirection, idéalement dans le domaine municipal.Pour tous les détails concernant le profil du poste,les compétences recherchées, et pour postuler,veuillez-vous référer au site Internet de la Municipalité :http://saint-hippolyte.ca/offre-demploi/

La Municipalité adopte une politique de services aux citoyens

Petit-déjeuner du maire de Saint-Hippolyte :75 citoyens au rendez-vous

BBrruunnoo LLaarroocchhee,, mmaaiirree

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PROGRAMMATION RÉGULIÈRE

À VOTRE SERVICE

HEURES D’OUVERTUREMardi et mercredi 13 h - 20 hJeudi et vendredi 10 h - 20 hSamedi 10 h - 15 h

450 [email protected] www.mabibliotheque.ca

EXPOSITION

Heure du conte1er et 3e samedi du mois de 10h30 à 11h30Heure du conte suivi d’un bricolage*Relâche pour l’heure du conte du 1er octobre en raison desjournées de la culture.

ScrabbleChaque jeudi de 13 h à 16 hCercle de lecture2e vendredi de chaque mois de 10 h à 12 h

Ateliers informatiques : ils sont de retourChaque atelier est d’une durée d’une heure et trente etcoûte cinq dollars, payable en argent ou via Interac.Plus que quelques places à combler !IInnssccrriippttiioonn ssuurr ppllaaccee oouu ppaarr ttéélléépphhoonnee :: 445500 222244--44113377OOrrddiinnaatteeuurr 110011 •• IInntteerrnneett •• FFaacceebbooookk •• TTaabblleettttee

Bibliothèqueet Culture

Le photographe prévostois Fréderic Séguin présentera satouchante exposition Regards du Népal, du 2200 ooccttoobbrreeaauu 3300 nnoovveemmbbrree pprroocchhaaiinn, dans la salle d’exposition dela bibliothèque de Saint-Hippolyte. C’est une vision intimeet personnelle des victimes du récent tremblement deterre du Népal que l’on pourra ainsi découvrir à traversune vingtaine de percutants portraits.

Une vision différentePhotojournaliste et co-fondateur de l’organismequébécois Shoot to Help, Frédéric Séguin était en missionhumanitaire, au Népal, lors du violent séisme du 12 mai2015. Appelé à collaborer avec le CECI Canada dans lecadre des programmes de soutien aux victimes, lephotographe se trouvait alors dans la régionmontagneuse de Sindhupalchowk lorsque le sol s’est misà trembler. Regards du Népal exprime l’espoir dans lesyeux de ceux qui ont été durement éprouvés, les photosayant été prises tout de suite après les tremblements deterre, certaines la journée même où aura lieu ledeuxième.

Exposition Regards du NépalFédéric Séguin, photographe

Un nouveau meuble DVDLa bibliothèque est fière de sa toute dernièreacquisition : un meuble de rangement pour lesdocuments audio-visuels. C’est un ébéniste de Saint-Hippolyte qui l’a fabriqué sur mesure pour rendreaccessibles DVD et CD aux abonnés.

Spectacle d’Halloween familialLe samedi 29 octobre 10h30 à 11h 15

Fulbert Latrouille, un sorcier aussi drôle qu'étonnant, nous raconte quelques histoires defantômes, de diables et même d’esprits, en les illustrant ensuite avec des tours de magie… oupeut-être est-ce de la sorcellerie ?

SSuuiittee aauu ssppeeccttaaccllee,, ddiissttrriibbuuttiioonn ddee bboonnbboonnss ppaarr ll’’ééqquuiippee bbiibblliioo qquuii sseerraa ccoossttuummééee !!

Activité gratuite Réservation requise

Culture Geek Ce projet au contenu ludique et attrayant voit le jour grâce à un partenariat entre lesvilles et municipalités de Saint-Jérôme, Saint-Colomban et Saint-Hippolyte avec laparticipation financière de la Librairie Ste-Thérèse et du Ministère de la culture etdes communications.

PPrrooggrraammmmaattiioonn àà llaa bbiibblliiootthhèèqquuee ddee SSaaiinntt--HHiippppoollyytteeLLee jjeeuuddii 33 nnoovveemmbbrree ddèèss 1199 hh || 1188 aannss eett ++• Soirée rétro avec jeux et cocktails thématiquesLLee vveennddrreeddii 44 nnoovveemmbbrree ddèèss 1199 hh || 1122 àà 1177 aannss• Tournoi de consoles

projetculturegeek

Vernissage 20 octobre sous forme de 5 à 7bouchées apéritives et rafraîchissementsSaint-hippolyte.ca

S’approprier la culture d’ici, enêtre fier, s’éveiller à denouvelles émotions… LesJournées de la culture c’est unpeu tout ça ! Ce rendez-vousannuel qui s’étalait sur troisjours, aura permis de séduire plusieurs participantscharmés par une programmation des plus diversifiées. JJoouurr 11 L’ouverture de la programmation aura étémarquée par la répartie du personnage de Roossee--IImmeellddaa,, ccaammppééee ppaarr LLoorrrraaiinnee DDaavviidd,, qui a proposé unspectacle aux tonalités musicales rafraîchissant etdivertissant. JJoouurr 22 SPASM, diffuseur officiel, aura proposé decourts métrages insolites triés sur le volet. PPlleeiinn ffeeuu ssuurrddeeuuxx rrééaalliissaattiioonnss hhiippppoollyyttooiisseess,, sous la direction deGilles Brousseau, commis biblio-culture. Parents etamis complétaient l’assistance pour soulignerl’accomplissement de ces neuf jeunes d’ici âgés entre10 et 15 ans.JJoouurr 33 Le passage du GGrroouuppee cchhoorraall MMuussiikkuuss VViivvaacceene sera pas passé inaperçu, le 1er octobre. Devant lamagnifique murale de Marcel Saint-Pierre, cinqchanteurs ont entonné à l’unisson des airs mélodieux.En après-midi, un atelier de chants et musique étaitproposé par Pascal Mailloux (musicien) et JosianneVilleuneuve (chanteuse). L’envers du décor et les enjeuxdu métier ont été quelques éléments abordés.

Page 11: Tommy Pasieka, ambassadeur · le 7 eart et sont devenus, le temps d’un tournage, des acteurs de cinéma. Le premier film, intitulé L’excursion, met en scène Laurie, Marilou

Loisirset Plein air

On prépare déjà l’hiver !L'hiver est à nos portes et comme à chaque année, après les chaudset ensoleillés mois d’été, nos réflexes hivernaux sont quelque peuendormis. C’est donc le moment tout indiqué pour procéder à un petitrappel visant à ce que la saison du déneigement se déroule bien.Saviez-vous que la Municipalité est en charge de l’entretien de plus de178 kilomètres de routes sur son territoire ? Pour en faciliter ledéneigement, voici quelques consignes à respecter pour la saisonhivernale à venir :

• Dans les prochaines semaines, assurez-vous de bien identifier, àl'aide de balises de couleurs appropriées, les murs, les haies, lesclôtures et autres éléments paysagés ou structuraux présents enbordure de la route. Ces éléments doivent être situés à 60 cm del'emprise de rue (ligne de terrain) *.

• Les abris d'hiver doivent, quant à eux, être situés à plus d'un mètrede l'emprise de rue. *

• Les boîtes à ordures, poubelles, bacs de recyclage et boîtes auxlettres doivent être bien nettoyés et balisés. Lors de la journée decueillette, il importe aussi de s'assurer que les poubelles et bacsde recyclage sont disposés de façon à ne pas nuire aux opérationsde déneigement. Les contenants doivent être situés en bordure dela rue, sur le terrain de la résidence desservie par le service.Règlement 1049-11.

• En période d'hiver, le stationnement sur les voies publiques estinterdit du 15 novembre au 23 décembre, du 27 au 30 décembre,et du 3 janvier au 1er avril, entre minuit et 07 h . Règlement SQ-900.

• Rappelez-vous qu’il est interdit de déposer la neige dans toutes lesrues de la Municipalité. **

• Enfin, sachez que nos équipes travaillent parfois tard dans la nuitou très tôt le matin en période hivernale. Leur seul objectif est deprocéder rapidement au déneigement des routes afin de vouspermettre de circuler de façon sécuritaire sur l’ensemble de notreterritoire. Nous faisons appel à votre patience mais également àvotre indulgence afin de leur permettre de compléter rapidementleurs opérations de déneigement.

* : Article 5.2.1.1 du règlement de zonage 863-01.** : Article 14 du règlement SQ-902 sur les nuisances.

Si le Service des travaux publics prépare déjà son hiver, la premièrebordée de neige n’est probablement pas pour demain alors d’ici là,profitez pleinement des resplendissantes couleurs automnales au cœurde nos montagnes !

Au Centre de plein air Roger-Cabana

Festival des sentiers X-C Terra

Travaux publics

La Municipalité de Saint-Hippolyte, en collaboration avecla boutique Atmosphère de Saint-Sauveur, présente leFestival des sentiers X-C Terra qui se tiendra le 15 octobreprochain, de 10 h à 16 h, au Centre de plein air Roger-Cabana de Saint-Hippolyte. Lancé l’an dernier sous lenom du Festival des sentiers, l’événement proposeraquelques nouveautés lors de cette deuxième édition quirassemblera les amateurs de randonnée, de course et devélo de montagne pour une journée d’activités des plusanimées en plein air.Conseils, découvertes et animation pour toute la famille !Parmi les activités proposées, les visiteurs pourrontparticiper à des cliniques de course en sentiers, à destours guidés des sentiers de vélo de montagne, ainsi qu’àdes essais de vélos. La boutique Atmosphère, de mêmeque plusieurs manufacturiers d’équipements de plein airseront sur place afin de présenter leurs produits et deconseiller les visiteurs.Cette journée constituera aussi une excellenteopportunité de découvrir les améliorations apportées auCentre de plein air Roger-Cabana au cours des derniersmois. Parmi celles-ci, notons le nouveau sentier R7 deplus de 2 km aménagé récemment à l’extrémité est de lapiste numéro 1 et de nouveaux modules d’hébertisme.On peut obtenir plus de renseignements surle Festival XC-Terra en visitant sa page Facebook du centreRoger-Cabana ou en consultant le saint-hippolyte.ca

Notons entre-autres la présence des manufacturierssuivants lors de l’événement :• Marin (essais de vélos)• Han Wag (chaussures de randonnée)• Salomon (équipements de plein air)• Keen (Chaussures de randonnée)• Giro (casques)• Camelbak (systèmes d’hydratation)• Skratch (nutrition sportive)

OFFRES D’EMPLOICentre de plein air Roger-Cabana

Service des loisirs • Municipalité de Saint-Hippolyte

Moniteur de ski de fondDescription du poste : Encadrer, animer et enseigner des techniques auprès dejeunes skieursHoraire : sept dimanches de 9 h à 15 h (début : janvier 2017)Préposé à l’accueil (ski de fond et raquettes)Description du poste : Procéder à l’enregistrement des visiteurs, à la locationd’équipement et à l’information. Horaire : pendant lesdeux semaines du temps des Fêtes (sauf les 25 décembreet 1er janvier), pendant la semaine de relâche scolaire.Début : décembre 2016

DESCENTE DE BATEAU, LAC DE L’ACHIGAN HORAIRE D’AUTOMNENouvel horaire du 11 au 23 octobre : vendredi, samedi, dimanche et lundi,10 h à 16 h.

Durant les semaines du 24 octobre et du 4 novembre :ouverture de la barrière sur rendez-vousseulement. Un avis d’au moins 48 heures àl’avance et des frais de 100 $ par embarcationseront applicables.

Voici l’horaire de la journée. À noter que lescliniques sont gratuites mais que les participantsdoivent tout de même s’inscrire en téléphonant au(450) 563-2505 poste 2231 :

• Atelier de course en sentiers avec Laurent Homier : 10 h ou 13 h

• Visite guidée des sentiers de vélo de montagne : 10 h ou 13 h

• Ateliers de jeu dans les modules d’hébertisme (6-12 ans) : 11 h 30 ou 13 h

• Randonnée pédestre guidée : 13 h

Le chauffage au boisL’approche de la saison froide et la semaine de prévention des incendiesreprésentent des occasions idéales de procéder à quelques rappels visantl’utilisation des systèmes à combustion. Si ces systèmes peuventcomporter des risques pour la sécurité ou la santé des utilisateurs, lescomportements sécuritaires, jumelés à l’installation conforme et auxsystèmes de détection, demeurent la solution pour profiter en toutequiétude de la chaleur que procure le chauffage au bois.

La créosote et les trucs de baseChaque année, plusieurs feux de cheminée surviennent dans la région. Laquasi-totalité de ces incendies sont dus à la présence de créosote,accumulée lors de l’utilisation du système de chauffage au bois. Lesbonnes pratiques peuvent vous aider à diminuer la formation etl’accumulation de créosote qui indique une combustion incomplète etgénère un risque élevé de feux de cheminée. Il importe donc de procéderà l’inspection régulière de la cheminée afin de repérer toute accumulationde suie ou de créosote. Pour ce faire, il est recommandé de faire inspecteret ramoner votre cheminée par un ramoneur certifié, au moins une fois parannée, afin de détecter les problèmes potentiels. Deux à trois ramonagesd’entretien devraient être effectués pendant la période d’utilisation alorsqu’un système utilisé comme chauffage principal pourrait être nettoyé unefois par mois d’utilisation.

L’allumage du feu Avant d’allumer un feu, la règle de base consiste à s’assurer que lacheminée est bien réchauffée, c’est-à-dire qu’elle évacue convenablementla fumée et ce, même si on a éteint un feu il y quelques heures à peine. Ilfaut savoir que la température diminue rapidement après un feu decheminée puisqu’elle demeure en lien direct avec l’air extérieur. Pourréchauffer la cheminée, on peut tout simplement placer une boule depapier journal (n’utilisez pas les circulaires imprimées avec de l’encre decouleur) près de l’ouverture de la cheminée et l’allumer. On peut ensuitegarder la porte entrouverte de quelques pouces et laisser brûlercomplètement le papier. Voilà ! Vous pouvez maintenant allumer votre feu! Le papier journal (à encre noire seulement) et le petit bois sec constituentles éléments parfaits pour ce faire. Dès que le feu est allumé, on peutajouter des petites bûches de bois sec, sans outrepasser la chargemaximale du système (toujours inscrite dans le devis, ou mode d’emploi).

Si un feu de cheminée se déclare chez vous : Appelez les pompiers Un feu de cheminée implique automatiquement des températuresextrêmes dans le conduit d’échappement de votre système de combustionau bois. Si la moindre infiltration de fumée a pu endommager la paroi,avant que le feu ne se déclare, il y a un risque très élevé que le feu sepropage à l’extérieur du conduit, entraînant des dommages à votredemeure. Ne tardez pas à appeler les pompiers et à évacuer votre domicileen attendant les secours.

Service incendies

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Environnement

Trois animations-spectacles d’oiseaux de proie en pleine action, présentées par l’organisme Faucon-Éduc, ont eu lieule samedi 17 septembre dernier au Centre de plein air Roger-Cabana. Ce sont au total, 510 personnes qui se sontdéplacées pour admirer l’agilité, la grâce et la beauté des cinq espèces dévoilées lors de ces spectacles : la buse deHarris, la buse à queue rousse, le faucon pèlerin, la crécerelle d’Amérique et l’effraie des clochers.

J’utilise des sacs réutilisables

Je limite les emballages

J’achète des recharges écologiques

J’achète en vrac ou en grand format

Je bois de l’eau du robinet

J’utilise une bouteille réutilisable

J’évite le gaspillage alimentaire

J’utilise des piles rechargeables

J’emprunte ou je loue mes outils

Je donne ou je vends au lieu de jeter

Je répare ou fais réparer

Je limite les impressions papier

J’utilise ma tasse au bureau

J’utilise de la vaisselle réutilisable

Je fais du compost

Je trie mes matières

J’utilise mon Écocentre!

Vous avez jusqu’au vendredi 4novembre pour vous inscrire à la listede la Municipalité pour bénéficier dela dernière collecte de branches de lasemaine du 7 novembre. Composezle 450.563.2505.

L’Écocentre de Saint-Hippolytefermera ses portes le samedi 29octobre 2016 à 16h30 pour lapériode hivernale. Il sera par la suitepossible de visiter l’Écocentre deSaint-Jérôme jusqu’au samedi 12novembre. Pour plus d’informations,visitez le www.ecocentresrdn.org.

Des collectes de feuilles auront lieules jeudis 20 et 27 octobre, ainsi queles jeudis 3 et 10 novembre, surl’ensemble du territoire de lamunicipalité. Pour bénéficier de ceservice, vous n’avez qu’à disposervos sacs en papier ou en plastique(transparents ou de couleur orange)en bordure de la rue, à partir de 18hla veille de la collecte.

Le meilleur déchet est celui que l'on ne produit pas!À l’occasion de la Semaine québécoise de réduction des déchets du 15 au 23 octobre, nous vous invitons à repenserà vos habitudes de consommation et à en adopter de nouvelles pour réduire vos déchets. Certains gestes vouspermettront même de réaliser de vraies économies, d’autres de gagner du temps ou de l’espace, bref, de voussimplifier la vie!N’hésitez plus : agissez!

Haute voltige au Centre de plein air

Rappels

Communications et relations avec les citoyens

Adoption d’une première politique de communicationet d’une politique d’affichageLe conseil municipal de Saint-Hippolyte a adoptésa première politique de communication de mêmequ’une première politique d’affichage le 3 octobredernier, lors de son assemblée publique.

La politique de communication a notammentcomme objectifs :• d’uniformiser les pratiques et outils decommunication et d’information ;

• de définir les responsabilités des intervenantsconcernés ;

• d’assurer aux citoyens l’accessibilité à uneinformation juste et cohérente ;

• d’améliorer la qualité des communications avectous les publics de la Municipalité.

C’est la mise en place d’un Service descommunications et des relations avec les citoyens,en avril dernier, qui aura incité la Municipalité àadopter cette politique. Le Service descommunications et des relations avec les citoyensa pour mandat de planifier, diriger et mettre enœuvre les activités de communication internes etexternes de la Municipalité, en plus de veiller à lasatisfaction des citoyens et à l’amélioration desservices rendus. Il soutient et conseille l’ensembledes services municipaux dans leurs activités decommunication en s’assurant de maintenir undialogue constant entre l’administration municipaleet ses différents publics.

Nouvelles règles d’affichage Cette nouvelle politique pour but de répondreadéquatement aux besoins d’affichage desdifférents services municipaux et des organismeshippolytois. Elle encadre l’usage des divers sitesd’affichage municipaux sur le territoire, en établitles normes et assure la qualité des messages qui ysont véhiculés. Elle ne concerne pas l’affichagecommercial dont la réglementation est gérée par leService de l’urbanisme.

Cette politique vise plus précisément• Préserver la beauté du cadre naturel de Saint-Hippolyte ;

• Soutenir les services municipaux et lesorganismes (OBNL) dans la promotion de leursactivités ;

• Assurer le respect de la langue française sur leterritoire de la Municipalité ;

• Faire un usage adéquat de l’identité visuelle de la Municipalité ;

• Assurer la pertinence et la cohérence desmessages communiqués.

On peut prendre connaissance de la politiqued’affichage et de la politique de communication envisitant lesaint-hippolyte.ca/municipalite/politiques-municipales/

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L E S E N T I E R • 13 • O C T O B R E 2 0 1 6

2274, chemin des Hauteurs Saint-Hippolyte, Québec, J8A 3B9Tél. : 450 [email protected]

Monique Pariseau

Il était une fois

Chaque courant alimentaire découle d’unecroyance populaire. Dans le cas des régimesà base de viandes crues, les adeptes argu-mentent que l’on se rapproche davantage desbesoins nutritionnels primitifs propres auchien. Or, LA question demeure?: le chien mo-derne a-t-il encore autant de similitudesavec son ancêtre? À mon avis, la réponses’impose d’elle-même lorsque nous nousdemandons à notre tour si nous avons encoreautant de points en commun avec l’homoerectus de la préhistoire…..un bon mam-mouth fumé à la broche, cela vous tente?

Malgré que ce courant alimentaire gagneen popularité, certains désavantages nutri-tionnels évidents demeurent. Ces nourrituressont difficilement dosables. Il persistefréquemment des déséquilibres en miné-raux, oligo-éléments et vitamines. Si àcela nous rajoutons les besoins très spéci-fiques relatifs à un stade de vie, une hygiènede vie précise (niveau d’exercice) ou unecondition médicale contraignante, les choses

se corsent. Les chiots et les animaux âgés se-ront les premiers à souffrir de ce type de ré-gime. Et dans le cas où certains propriétairesdonnent à volonté les portions pour éviter lescarences, attendez-vous à un gain de poidsincontrôlé et des maladies de croissanceosseuse.

La nature des ingrédients choisie est éga-lement un problème. L’ajout de vrais os aug-mente les risques de fractures dentaires,

perforation œsophagienne ou d’obs-truction de l’estomac ou des intestins.N’oublions pas que les viandes crues (bœuf,poulet, porc) contiennent des bactériespréoccupantes (Salmonella, Clostri-dium, Campylobacter, Listeria et E.Coli). En plus de rendre votre animal ma-lade, celles-ci risquent de vous rendre ma-lade, que ce soit par leur manipulation ou parcontamination via les selles de votre animal.Encore une fois, les jeunes animaux et lesadultes âgés risquent d’en être les premièresvictimes. Les infections parasitaires sontégalement à redouter lorsque l’on utilise dupoisson.

Malgré la prépondérance des risques dé-coulant de ce genre de pratique, il m’est ar-rivé de rencontrer de rares cas d’allergiesou d’intolérance alimentaires ne répondantqu’à ce type de nourriture. Ces propriétairesavaient préalablement tout tenté au point devue alimentaire et ce faisant, leur animalavait été suivi minutieusement par un vétéri-

naire. Advenant lecas où ce genre d’ali-ments demeure notredernière et seule op-tion, il est importantde se soumettre à desmesures préventivesvisant à diminuer aumaximum les risquesde contamination.Des séances éduca-tives sont obligatoirespour la préparationdes aliments, une ver-mifugation régulière

est nécessaire annuellement et la gérance desselles est primordiale pour éviter les infec-tions. À ce jour, les études scientifiques n’éta-blissent pas de bienfaits clairement démon-trés à recourir à ce genre de régime. Parcontre, si tel est votre désir d’y adhérer, as-surez-vous d’en comprendre toutes les im-plications.

Dre Valérie Desjardins

Les régimes à base de nourritures crues?Le jeu en vaut-il lachandelle?Dre Valérie Desjardins

VÉTÉRINAIRE

L’émerveillementJ’ai déjà écrit que si j’étaisune fée auprès du berceaud’un enfant, je lui donnerais lebonheur de la curiosité, maisje lui offrirais aussi la magie del’émerveillement.S’émerveiller, c’est s’assurerun bonheur sans failles. Cesont quelques moments où lecœur et la tête transformentnotre être en une globalité oùle ravissement prend toute laplace.

Que je m’émerveille de la lumière sur unegoutte de rosée, sur l’automne qui transformeles feuillus en véritable bouquet de fleurs, surle sourire franc d’un être aimé, sur les rides d’unevieille femme qui sourit encore à la vie, sur lesnuances que donne le soleil couchant lorsqu’il

quitte pour s’en aller ailleurs, sur la démarcheclaudicante d’un jeune enfant, sur un texte quime touche, sur la petite fleur sauvage qui réus-sit à traverser une faille d’une pierre, ou sur lavie si forte et si entêtée qu’elle renaît aprèschaque hiver, sur ce que j’aime et ne voudraispas quitter, tout cela est un véritable don. À cetinstant, nous ne sommes que dans un présentqui abolit tous les autres temps.

L’émerveillement s’offre à nous toujours ac-compagné d’une bouffée de bonheur. Il nousremplit l’âme d’une joie intérieure qui dépassede loin bien d’autres enchantements. Se joignentà lui l’admiration, le ravissement. Il nous offrela possibilité de s’oublier pour devenir captifd’une beauté que nous ne pouvons posséder,mais seulement effleurer avec jouissance et dé-licatesse pendant quelques instants.

C’est peut-être sa plus grande richesse : nousobliger à saisir et à intérioriser ce que la vie nousoffre de plus précieux.

[email protected]

Normand Doré2378, boul. Curé-Labelle route 117,

SAINT-JÉRÔME

450 431-7209 450 476-6077

Mécanique de voitures européennes

Deux jeunes escrimeurs duClub d’escrime Lames Croiséesde Saint-Jérôme ont amassépas moins de 260$ par le biaisde leur collecte de fonds « Dela gelée de pommettes pournos athlètes!  »Organisme à but non lucratif, le Club a la

chance de pouvoir compter sur ses membres qui,année après année, s’impliquent volontaire-ment et spontanément afin d’assurer la bonnemarche et la pérennité de leur Club.

Un projet originalLa saison à peine entamée, Philippe Beaudry

de Saint-Jérôme et Samuel Delattre de Saint-Hip-polyte, tous deux âgés de 12 ans, ont décidé demettre à profit la générosité de Mère Nature etpréparé plus de sept litres de gelée de pommettesafin d’amasser des fonds au profit de leur Club.Jeudi dernier, ils ont remis les 260$ récoltésgrâce à leur projet. Les deux tireurs se disent trèsfiers de ce résultat et sont heureux d’avoir faitce travail pour ce sport qui les passionne depuisprès de cinq ans, et plus particulièrement pourleur Club qui prône de belles valeurs commel’amitié et le partage.

Formation sportive et développement de valeurs

Maitre Sanchez, entraîneur principal desLames Croisées, les félicite et les remercie cha-leureusement de cette belle initiative et ce beautravail de collaboration. Le Club est né du rêvede ses fondateurs, Maître Ildemaro Sanchez etPierre Mainville. Le Club d’escrime Lames Croi-sées de Saint-Jérôme a vu le jour en 2010. L’ob-jectif est de partager sa passion avec les gens desLaurentides et d’offrir une solide formation dansle maniement du sabre, arme de prédilection duClub, tout en assurant le développement de va-leurs telles que l’intégrité, la confiance en soi, lerespect, de même que la maîtrise de soi.

De la gelée de pommettes qui raporte gros

Philippe Beaudry, Maître Sanchez etSamuel Delattre

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L E S E N T I E R • 14 • O C T O B R E 2 0 1 6

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Le vendredi 23 septembre2016 avait lieu l’éditionannuelle du cross-country de laCommission scolaire Rivière-du-Nord. Depuis plusieursannées déjà, cette compétitionsportive amicale rassemble laplupart des écoles primaires dela commission scolaire. Pourprendre part à l’évènement,chaque école devaitsélectionner 24 coureurs dansle but de représenter lesgroupes d’âge suivants : les 7-8ans pour la course du 1,4 km,les 9-10 ans pour la course du1,9 km, et les 11-12 ans pourcourir 2,5 km.

Élise Ouellette, notre éducatrice physique, aorganisé les sélections pour notre école. Pourfaire partie des élèves choisis, il fallait parcou-rir 1 km dans un très bon temps et donner unmaximum d’efforts. Les huit coureurs étant lesplus rapides dans chacune des catégories, dontquatre garçons et quatre filles, avaient donc lachance d’être sélectionnés pour participer à lacourse.

Représentants de l’école des HauteursPour représenter l’école des Hauteurs dans la

catégorie des garçons 7- 8 ans, nous avions : ManuMorin, Tristan Brière, Maddox Dagenais et ZakCharboneau. Chez les filles 7-8 ans, nous avions :Sierra Jolicoeur, Raphaëlle Lévesque, Mélia Labelleet Myriam Lauzon. Chez les garçons 9-10 ans, ontété sélectionnés : Samuel Picard, William Le-gault, Samuel Jodoin-Doucet et moi-même. Chezles filles 9-10 ans, nous avions : Mia Desrochers,Mïa Noël, Vickie St-Onge et Alicia Racine. Chez les

garçons 11-12 ans, nous avions : Gabriel Barraye,Mathieu Plouffe-Chagnon, Nathan Pilotte et AlexisDesnoyers. Pour finir, chez les filles 11-12 ans,ont été sélectionnées: Mahély Charbonneau, Laë-ticia Piché, Cassiane Trempe et Élikya Despins.

Sur la ligne de départ!La journée s’est déroulée sous un beau soleil.

Nous sommes partis de l’école vers 8 h 30 etsommes arrivés sur les lieux à 9 h. Les départsétaient donnés à tour de rôle, du groupe d’âge leplus âgé, au groupe d’âge le plus jeune, en com-

mençant par les filles, et poursuivant avec les gar-çons. Suite au coup de sifflet de départ, la consigneétait de suivre le « lapin ». Le lapin est la personnequi guide le groupe et qui doit rester première pen-dant toute la course. La « tortue », elle, ferme lacourse et s’assure que tous les coureurs fran-chissent le fil d’arrivée et qu’il n’y ait personnede blessé sur le parcours.

Nos deux médaillés d’orCette journée a été couronnée de succès par

deux de nos représentants. Chez les filles 11-12ans, Mahély Chabonneau est arrivée première, loindevant le reste du groupe! Chez les garçons 9-10ans, Samuel Picard, est aussi arrivé premier! Onleur souhaite bonne chance pour la suite,puisqu’ils seront nos fiers représentants lors desrégionaux qui auront lieu à St-Gabriel-de-Bran-don, le mercredi 5 octobre. Bonne chance àvous deux! Toute l’école est derrière vous!

[email protected]

Deux médailles d’or au cross-countrypour l’école des Hauteurs!

Milan Latulipe

P

Voici une partie des élèves de l’école sélectionnés cette année pour partici-per au cross-country de la Commission scolaire Rivière-du-Nord.

PHOTO PATRICE ST-ONGE

NOUVELLE DE DERNIÈRE MINUTE

Samuel Picard et Mahély Char-bonneau sont tous les deux arrivéspremiers aux régionaux qui se te-naient le 5 octobre à Saint-Grabriel-de-Brandon! Ils iront donc nous représenter aux provinciaux qui auront lieu à Grand-Mère à la fin dumois d’octobre.

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Audrey Tawel Thibert

Véronique Lamoureux n’a que21 ans, et déjà, elle a sapropre maison d’édition ainsiqu’un premier livre à son actif,qu’elle a écrit, imagé et publiéelle-même. Cette passionnéedes enfants, des animaux etdes bouquins a su combiner seschamps d’intérêt de façonoriginale dans la rédaction deses textes.

Depuis qu’elle est toute jeune, Véronique estune mordue des livres. Les animaux et les en-fants étant ses deux autres grandes passions, unprojet particulier lui est un jour venu à l’esprit.Celle qui demeure à Saint-Hippolyte depuis cinqans a récemment eu la chance de le voir seconcrétiser.

La naissance de sa maison d’édition« J’ai toujours voulu avoir ma propre entre-

prise, mais je me suis souvent demandé ce queje souhaitais faire dans la vie. Un matin, j’ai dé-cidé d’ouvrir ma maison d’édition ! », raconteVéronique, de l’enthousiasme dans la voix. Elles’est donc inscrite à un cours intensif s’étalantsur deux jours, offert à Val-Morin par le Centrede formation et d’édition Mini Génie. Il s’agitde la seule formation spécialisée dans le domaineau Québec. En deux temps trois mouvements,elle lançait son entreprise : la maison d’éditionLa plume magique.

Des contes pour enfants axés sur les va-leurs essentielles

Véronique rédige des livres d’enfants qui ontpour thème les bonnes valeurs de la vie. Cha-cun de ses récits se concentre sur une valeuren particulier. La jeune auteure et éditrice atrouvé une manière très originale d’intégrer sonamour des animaux à ses œuvres : elle prendelle-même des photos de bêtes pour illustrer seslivres. Pour écrire, elle s’inspire des véritableshistoires de vie des animaux qu’elle prend poursujets.

Cachou l’écureuil apprend à partager, lafierté d’un premier livre publié

Cachou l’écureuil apprend à partager estle tout premier titre publié de Véronique, quitraite de l’importance du partage. Elle a photo-graphié des écureuils qu’elle a nourris tout aulong de l’hiver dernier et a ensuite sélectionnéses meilleurs clichés pour les insérer dans sonouvrage.

Pour les curieux, Véronique résume l’histoirede sa première publication : « Dans ce livre, c’estl’automne et Cachou l’écureuil cherche à se fairedes provisions pour l’hiver. On fait la rencontred’une petite fille avec un panier qui nourrit desécureuils. Cachou va dans le panier et se goin-fre, jusqu’à ce qu’un autre écureuil arrive pourmanger aussi. Au début, Cachou est fâché, maisil se rend compte que c’est difficile pour tout lemonde de faire des provisions. Il apprend doncà connaître l’autre écureuil. La morale de cette

histoire, c’est qu’en partageant, Cachou s’est faitune amie, Cachouette! ». Un adorable conte quisaura certainement plaire aux enfants et éveil-ler chez eux une réflexion quant à la valeur etaux bénéfices du partage.

Pour plus d’infos…Pour obtenir Cachou l’écureuil apprend à

partager ou pour demander à Véronique lacréation d’une histoire basée sur notre animalde compagnie, rendez-vous sur son site Inter-net, http://www.editionslpm.com

[email protected]

Véronique Lamoureux est fière deson premier livre. PHOTO COURTOISIE

Coup de coeur de

GinoTerres rares de SANDRO VERONESIchez GRASSET

Dans son dernier roman, l’auteur ita-lien Sandro Veronesi fait reprendre du ser-vice au personnage de son célèbre Chaoscalme, couronné du Femina étrangeren 2007 et adapté au cinéma par AntonelloGrimaldi en 2008, Pietro Paladini.

Voici un roman bouillonnant, brutal etdrôle tout à la fois, où dès les premiers cha-pitres le « héros » commet une faute pro-fessionnelle, se fait retirer son permis, perdson portable et se fait larguer et par sacompagne et par sa fille, après que les lo-caux de sa compagnie aient été perquisi-tionnés et que son associé l’ait lâché. Toutle reste de l’histoire nous montrera un Pie-tro Paladini en cavale, déployant mille ef-forts pour s’extirper de sa fâcheuse si-tuation et pour retrouver cette vie normalequi finira par lui apparaître comme unmensonge.

Dans un style fougueux et échevelé, mé-langeant les niveaux de langue, Veronesiillustre à la fois la dérive d’un individu etd’un pays -l’Italie- , dans des chapitresdenses où Paladini, qui croise des per-sonnages colorés, tels que Mauro alias Go-liath, le faux hôtelier, s’exprime à traversune langue bigarrée, qui tient autant dumonologue intérieur et de l’autodérision,que du leitmotiv et de la parabole.

Terres rares est un roman picaresquedu XXIe siècle dont les mésaventures pour-raient être les nôtres.

L E S E N T I E R • 15 • O C T O B R E 2 0 1 6

Véronique Lamoureux, écrit et publie ses propres livres pour enfants

L’expovente annuelle aura lieu le dimanche 6 novembre de 9h à 16h au Centre éducatif et communautaire

des Hauteurs, 30 rue BourgetVous êtes artisanes ou artisans et voulez louer une table lors de no-

tre Expovente ? Informez-vous auprès de Florence 450-224 2206 ou

Sylvie 450-224 2262. Nos portes ouvertes sont les lundis de 10h à 15h.Vous pouvez apporter votre dîner et/ou le mercredi soir de 18h30 à 20h30au 19, rue Morin Saint-Hippolyte. Profiter de ces journées pour venir voirnos Fermières au tricot, tissage et autres activités manuelles. Bienvenueà Brenda. Notre prochaine réunion mensuelle est le lundi 17 octobre 2016à 15h30 au 19 rue Morin.

Expovente du Cercle de Fermières

Page 16: Tommy Pasieka, ambassadeur · le 7 eart et sont devenus, le temps d’un tournage, des acteurs de cinéma. Le premier film, intitulé L’excursion, met en scène Laurie, Marilou

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L E S E N T I E R • 16 • O C T O B R E 2 0 1 6

Le premier week-end de notre magnifique saisond’automne, Labelle Mécanique a profité du beautemps pour inviter tous les citoyens à deux journéesportes ouvertes festives pour toute la famille, afin deprésenter leurs importantes nouveautés.

D’abord, l’arrivée de Julie Labelle, sœur de Sé-bastien, propriétaire de Labelle Mécanique et mé-canicien certifié ayant 10 ans d’expériences à son ac-tif. Ils travaillent maintenant au côté de leur papaRichard qui accueille les clients, coordonne les ren-dez-vous et les suivis, s’assure de l’exactitude des dos-siers et des factures, toujours avec un beau sourire.

Ce n’est pas tout comme ajout, cette entreprisefamiliale a invité deux nouveaux mécaniciens certi-fiés, Jessy Poliquin et Marc Langlois, très courtois et

sympathiques, à faire partie de leur équipe.Puis il y a encore, Vachon Électrique a aménagé

deux espaces d’entrepôt à même le bâtiment de La-belle Mécanique. Avez-vous remarqué la très belle ré-novation sur la façade qui attire notre regard au pas-sage sur le chemin des Hauteurs?

En plus d’offrir plusieurs marques de pneus pourtous les budgets : Yokohama, Toyo, Pirelli, Bridges-tone, et j’en passe, Labelle Mécanique vous proposemaintenant un service d’antirouille professionnelqui convient aux normes environnementales, et ce,avec une installation de séparateur d’huile.

Bravo à la famille Labelle d’innover et d’offrir en-core plus de services pour mieux vous servir.

Nouvelles de nos entreprises Photo Bélinda Dufour • Textes Lyne Rochon

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Dès le mois d’octobre, l’institut YOGA VIE qui estau service de la communauté de Saint-Hippolyte de-puis 2009, offrira trois nouveaux services pour vo-tre bien-être global.

Dans le confort de son studio, au doux crépite-ment du feu de foyer, l’institut YOGA VIE vous inviteà faire l’expérience d’une approche globale corpo-relle ancestrale à l’aide d’une séance de Yoga Mas-sage Thaï et à faire la découverte d’intéressantes ap-proches variées de massothérapie telles que le

massage Suédois qui harmonise les tensions et quistimule les fonctions autorégulatrices, le massage Ca-lifornien (aussi appelé sensitif) qui est recommandépour une détente physique et psychique profonde etglobale, le massage aux pierres chaudes qui est dés-intoxiquant et très apaisant qu’on recommande pourles maladies inflammatoires articulaires (arthrite,arthrose, fibromyalgie).

De plus, vous aurez la possibilité d’expérimen-ter les bienfaits d’un soin énergétique qu’on appelleLa Reconnexion d’Eric Pearl qui relie notre Soi mer-veilleux à des taux vibratoires et des fréquences deguérison élevés.

Tous ces traitements thérapeutiques sont offertspar deux membres en règle de la Fédération qué-bécoise des massothérapeutes (FQM) et de la Fé-dération francophone de Yoga (FFY). Pour cettebelle saison d’automne, Joane et Lyne vous offrent vo-tre premier massage de 60 minutes au prix excep-tionnel de 35 $. Ne tardez pas à les contacter :450 432-6634 ou 514 409-4087. Prenez le temps deprendre soin de vous et de votre corps précieux chezYOGA VIE.

Labelle Mécanique innove et prend de l’expansion

Nouveau service de massothérapie à l’institut YOGA VIE

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L E S E N T I E R • 17 • O C T O B R E 2 0 1 6

Diane Descôteaux a offert une retraite littéraire bienparticulière chez la poétesseNancy R. Lange en septembre :une fin de semaine d’ateliersur le HAÏKU, au bord du lacConnelly.Diane Descôteaux a le feu sacré. C’est une poé-

tesse allumée, enthousiaste et passionnée de haïkus.Son engouement est palpable. Elle présente les livresdes haïkistes 1 avec de la convoitise dans les yeux,comme si elle ouvrait des écrins de bijoux précieux!

Une auteure au grand talentDiane Descôteaux, poète classique et haijin 1 est

l’auteure de 15 ouvrages dont certains ont été tra-duits en japonais, en anglais, en créole, en roumainet en russe. Elle a collaboré à plus de 500 revues etanthologies. Elle est la lauréate de 185 prix littérairesdans la Francophonie 2. Diane a découvert les haï-kus en 2000. « En fait, dit-elle, lorsque j’ai lu mespremiers haïkus, j’ai trouvé ça niaiseux ». Ça lui sem-blait trop rudimentaire, elle qui, jusque-là, s’expri-

mait par la voix de la poésie classique, en sonnets.Mais elle s’est vite rendu compte que le haïku étaittout sauf simpliste. Elle a composé ses haïkus avecrigueur, s’astreignant au même respect de la mise enforme classique qu’elle s’impose dans ses poèmes.Tous ses haïkus se déclinent en dix-sept syllabes ré-parties en trois vers (5-7-5). Mais ce qui la distingue,c’est qu’elle y ajoute une rime. Cette particularité estdevenue sa signature.

Dans son dernier recueil Parfois, je n’écris pas,elle s’exprime sur le deuil et la séparation :

des fleurs au rosier -deuxième été pour ma mèresans son tablier

elle, avec passion,lui, sans intérêt, s’expriment - force d’attraction

L’art du haïkuLe haïku est un petit poème d’origine japonaise.

Il décrit. Il rapporte une sensation. L’auteur doit s’endétacher. Diane explique, « Il faut apprendre à com-poser autrement lorsqu’on se lance dans l’écriturede haïkus : il faut déstructurer les phrases, fuir lesadverbes, limiter les qualificatifs. Il faut éviter le piègede tomber dans un texte en prose. Le haïku doit tou-jours être une histoire vraie qui se raconte au pré-sent, jamais au passé. Le haïku est court, il ne per-met pas les redondances. Comme il y a peu d’espace,il faut être précis, nommer les choses. Le silence ya sa place. Il faut saisir le permanent dans l’imper-manent... » Et ainsi de suite: il y a pas moins de 150règles dans le haïku traditionnel!

Bien évidemment, le haïku s’est adapté à notresiècle. Il s’est libéralisé - certains diraient qu’il a étédéfiguré - depuis que le premier haïku du maîtreBashô (XVIIe siècle) a fait le tour du monde. Pré-

monition ? Bashô avait dit à ses élèves, « Ne vousabreuvez pas à la bave des anciens ». Mais pour sepermettre de déconstruire, il faut d’abord appren-dre à construire. Car pour transgresser les règles duhaïku, il faut évidemment les connaître!

un vieil étangune grenouille plonge -le bruit de l’eau (Bashô)

1 La personne écrivant des haïkus est appelée haïkiste ou haijin.2 http://dianedxxx.wixsite.com/dianedescoteaux

[email protected]

Lyne Boulet

Prononcez HAILL-COU

Une écriture collective(LB) Le haïku est rassembleur. Il se pratique en communauté. On fait lire ses poèmes à d’au-

tres haïkistes, on les retravaille en tenant compte de leurs commentaires. On peut aussi les présenterà un groupe pour un collectif de réécriture. Il peut arriver que tous les mots d’un haïku soient chan-gés. Mais le haïku reviendra toujours à l’auteur, parce que l’histoire qu’il raconte lui appartient.

Nul n’est prophète en son paysIl est très difficile d’être lu, entendu, de vivre de sa plume lorsqu’on est poète au Québec. Diane

Descôteaux n’échappe pas à cette fatalité. Mais la vie lui a offert de belles contreparties. Elle a eule grand bonheur de porter le haïku en France, en Haïti, au Cameroun et en Roumanie où elle adispensé des ateliers. Elle a vécu l’honneur insigne d’être sélectionnée pour une entrevue avec Sen-sei Momoko Kuroda 3, une grande haijin japonaise de 78 ans.

Diane devrait offrir un nouvel atelier de haïku à Saint-Hippolyte au printemps prochain. Entre-temps, laissez l’inspiration vous habiter. Haïku donc!

3 Sensei : docteur ou professeur. Utilisé comme titre honorifique pour reconnaître un niveau decompétence dans un domaine précis.

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Participants à l'atelier de haïku avec à l'avant-gauche Diane Descôteaux et à l'avant-droit Nancy R. Lange.

Chœur de chambre a cappella

Recherche de voix !Vous pouvez lire une partition et possédez de

l’expérience en chant choral?... Vous avez envie derelever le défi de vous joindre à un petit ensem-ble a cappella et mettre en commun vos compé-tences musicales?... Venez nous rencontrer! L’En-semble vocal Cantivo, un chœur à 4 voix mixtes sousl’inspirante et habile direction de Patricia Abbottrecherche des voix pour compléter ses pupitres.

Vous êtes amoureux du chant choral ?... Vousserez probablement très heureux-se au sein de no-tre formation. Contactez-nous pour avoir plusd’informations et pour passer une audition.

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L E S E N T I E R • 18 • O C T O B R E 2 0 1 6

780, chemin des Hauteurs 450 224-2956lundi au mercredi 9h à 20h, jeudi et vendredi 9h à 21h,samedi 9h à 18h, dimanche 10h à 18h

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Suivi des patientshypertendusSuivi des patientsdiabétiquesEnseignementdu glucomètreVaccins du voyageur

Le mercredi 12h à 19h

Venez découvrir les nouveautés

de bizou

Tout près de trente espèces demammifères terrestres qui senourrissent surtout de chairanimale et qui font partie del’ordre des Carnivores viventau Canada. Leur taille variegrandement d’une espèce àl’autre. La Belette pygméen’est que de la taille d’unesouris tandis que l’imposantGrizzli pèse quelque 400 kg!

Petits, moyens ou grands, ils ont des carac-téristiques semblables. Tous les représentants decet ordre ont une denture particulière qui s’estadaptée à leur régime alimentaire. Les incisivessont toujours petites et les canines sont longueset recourbées. « Le trait marquant de ces ani-maux réside dans la quatrième prémolaire su-périeure et la première molaire inférieure, dontle fonctionnement jumelé s’apparente à celui decisailles, ce qui permet de trancher la chair etles tendons. » 1 Ces dents portent le nom de car-

nassières et sont bien développées chez la plu-part des représentants de cet ordre d’animaux.

Pelage foncéVoyons de plus près un membre de la famille

des Mustélidés qui a déjà été observé dans la ré-gion ainsi que dans le secteur des falaises. Onpense que cet animal est de plus en plus pré-sent chez nous, même à Saint-Hippolyte. Il s’agitdu Pékan. Tous les mustélidés ont le corpsélancé et des membres courts qui possèdent cinqdoigts. Ils sont tous munis d’une paire de glandesanales qui sécrètent un liquide appelé musc. LePékan a l’allure d’un chat domestique de cou-leur foncée. Les mâles sont plus grands que lesfemelles. La longueur totale du mâle avoisine unmètre en incluant la queue longue et fournie. CeMustélidé est de mœurs discrètes. Il se déplacesouvent la nuit pour chasser. Nous savons parcontre que les jeunes demeurent avec leur mèrependant un an. Ils aiment se réfugier dans lesarbres renversés ou sous les blocs de pierre.

Un régime alimentaire variéCes animaux se nourrissent surtout de ron-

geurs tels l’écureuil, le campagnol et la souris.Ils peuvent aussi compléter leur régime en ré-coltant des baies, des faînes et en attrapant, à l’oc-casion, un oiseau ou un amphibien. Bien que l’on

retrouve le Pékan surtout dans les forêts de coni-fères, il peut aussi être vu au cœur d’une forêtde feuillus qui n’a pas encore atteint sa matu-rité.

Chats domestiques au menu ?Dans la dernière décennie, on a pris note que

des chats domestiques disparaissaient de leur en-tourage habituel et n’étaient jamais revus. Les mu-nicipalités de Sainte-Adèle, Delson, Lac-Brome,Rigaud et Saint-Lazare ont répertorié la nouvelle.Certains ont pointé du doigt le Pékan pour cesattaques prédatrices. Il est vrai que cet animalpeut, à l’occasion, s’attaquer à nos chats do-mestiques. Sachons également que le renard, laChouette rayée et la Martre d’Amérique peuvent

en faire autant. Pour éviter toute perte d’animaldomestique, il serait peut-être souhaitable de gar-der votre animal de compagnie à l’intérieur dela maison dès la tombée du jour.

Habitat vitalLe Pékan est un animal que l’on gagne à

connaître. Et pour cela, il faut lui laisser l’ha-bitat vital nécessaire à son épanouissement. Nuldoute que les secteurs boisés de Prévost, de Pied-mont et de Saint-Hippolyte sont des endroits deprédilection pour cet animal sauvage.

[email protected]

1 BANFIELD, A.W.F. Les Mammifères du Canada.Les Presses de l’université Laval, Québec. 1977.

Jean-Pierre Fabien

M

Le Pékan

Société d’horticulture et d’écologie de Prévost

Mythes et légendes de plantes

CONFÉRENCEmercredi 26 octobre 2016 • 19h15 salle Saint-François-Xavier au 994, rue Principale, à Prévost

Des histoires, des faits vécus et quelques secrets sur les plantes qui nous entourent,voilà le programme d’une soirée où contes et rêverie prendront le pas sur l’horticul-ture pratique. De la Doctrine des Signatures élaborée par Paracelse en passant par latulipomanie, la conférence aborde les plantes sous l’angle de la mythologie, des tradi-tions et des croyances populaires. On y apprendra l’origine du mot « narcissique » eton comprendra pourquoi les anglophones nomment le myosotis « forget me not », Julie Boudreau : horticultrice et communicatrice

Après une formation en horticulture ornementale à l’ITA de Saint-Hyacinthe, JulieBoudreau a travaillé en horticulture, notamment au Casino de Montréal, et a collaboréà la réalisation des Grands Jardins de Normandin. Chroniqueuse au magazine FleursPlantes et Jardins pendant plus de 10 ans, Julie Boudreau est actuellement rédactriceet gestionnaire au sein de nombreuses entreprises horticoles.

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Pékan. Aquarelle de Diane Couët

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On s’est connue, on étaithaute comme trois pommes,peut-être quatre. À l’école desHauteurs, on est devenuesamies. On a participé auxactivités Tortilles, on a été à laplage du lac de l’Achigan. Jadeet moi, on a fait notre parcoursdu primaire ensemble, faisantdu ski l’hiver et despromenades dans les boisl’été. Puis, à l’entrée dusecondaire, nous nous sommesperdues de vue.

Grâce aux réseaux sociaux, nous noussommes retrouvées, il y a de cela quelques an-nées. Depuis, on ne s’est plus quittées, du moinsen terme d’amitié, parce que la distance, elle,s’est décuplée. Jade habite maintenant à Calgary,en Alberta. Les promenades et le ski font tou-jours partie de son quotidien. Malgré les Ro-cheuses et les cours d’eau turquoise, Jade s’en-nuie de Saint-Hippolyte, de ses amis, de safamille. Je le sais, elle me l’a dit il y a deux se-maines alors que je suis allée la rejoindre pourcinq petites journées. Nos conversations re-viennent souvent à nos souvenirs, qui malgré lejeune âge que nous avions, sont encore frais dansnos mémoires. À chaque fois qu’elle passe de-vant son ancienne maison, notre école, le parcet le village, son cœur se serre un peu, car cessouvenirs la ramènent à son papa, qui nous aquittées il y a quelques années et qui lui adonné cette enfance dans la forêt.

Elle fait sa valise et part rejoindre son amoureux

Jade vit une très belle histoire d’amour avecHugo, son partenaire des douze dernières an-

nées. Ce dernier s’est fait offrir un contrat à Cal-gary. Le travail étant beaucoup plus avantageuxqu’ici, Hugo a dit oui et il est parti pour trois moisdans cette ville qui accueille de plus en plus detravailleurs québécois en quête de meilleuresconditions de travail. Cela laissait justement letemps à Jade de terminer son baccalauréat enéducation. Ils se retrouveraient lorsqu’ils auraientterminé leurs projets respectifs, avec un peu plusde sous dans leur poche. Mais ça ne s’est paspassé comme ça. On a proposé à Hugo de res-ter plus longtemps, avec plus d’avantages encoreet lorsqu’on est jeune adulte, la tête remplie deprojets et d’ambition, il devient difficile de re-

fuser. Jade s’est trouvée un poste de directricedans une garderie, a fait sa valise et est partierejoindre son amoureux. Ils viennent tout justede déménager dans une maison de ville, en ban-lieue de Calgary, avec leur chien et leur véhiculemotorisé. Malgré sa grosse bedaine de future ma-man, ils partent, toutes les fins de semaine, enpleine nature, déconnecter et retrouver cette na-ture qu’ils aiment tant.

Reviendront-ils ? C’est à suivre...Les diverses contraintes font qu’ils ne re-

viennent pas aussi souvent dans leur coin de paysqu’ils le voudraient. Est-ce qu’ils reviendronts’établir ? Jade ne le sait pas, mais ce n’est pasl’envie qui manque. Elle se donne cinq anspour prendre une décision, avant que Mia, sapetite poupoune, ne commence l’école. Elle ai-merait, elle aussi, lui offrir la chance d’habiterdans un beau village, en forêt, au Québec. En at-tendant, j’attends impatiemment le moment ouje reverrai mon Hippolytoise qui fait son petit boutde chemin au pied des montagnes albertaines.

Carine Cherrier

Carine Cherrier et son amie Jade. PHOTO COURTOISIE

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450 438-8364

AVIS PUBLIC

DEMANDES DE DÉROGATION MINEURE

Est, par le présent avis, donné par la soussignée, directrice générale de la susdite municipalité, que le Conseil de la Municipalité de Saint-Hippolyte, à sa

séance du 7 novembre 2016 qui se tiendra à 19 h, à l’église paroissiale au 2261, chemin des Hauteurs à Saint-Hippolyte, statuera sur les demandes de dérogation mineure ci-dessous détaillées.

Nature et effets de la demande

Autoriser une opération cadastrale visant la création d’unenouvelle rue située à 10 mètres d’un cours d’eau au lieu de30 mètres.

Autoriser une opération cadastrale permettant un lot dontla superficie aurait 2 787 m² au lieu de 4 000 m² et dont lalargeur aurait 30,48 mètres au lieu de 50 mètres.

Autoriser l’aménagement, dans la bande de protectionriveraine, d’une descente de bateau avec des dalles à gazon.

Toute personne intéressée peut se faire entendre par le Conseil relativement à ces demandeslors de cette séance du conseil.

Donné à Saint-Hippolyte, 10 octobre 2016.Christiane CôtéDirectrice générale/md

Immeuble visé

Lot 3 002 249 – rue de la NatureDDM 2016-0069

Lot 3 264 718 – rue TracyDDM 2016-0071

1221, chemin du Lac-ConnellyDDM 2016-0073

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BORD DE L’EAU – Plain-pied (1997), 3 CAC, 2 SDB, 2 foyers. Ter. plat (20 679 p.c.). S.-sol (rez-de-jardin/intergénération). MLS 15562865.399 000 $

LIMITE SAINTE-SOPHIE/SAINT-HIPPOLYTE –Constr. 2013. Espaces bien conçus, aire ouverte surla nature. 3 CAC + BUR. Ter. : 68 471 p.c., boisé.Garage (1). À 12 min. de Saint-Jérôme. MLS 21111616. 319 000 $

SAINT-HIPPOLYTE – Cottage 2010. Belle quali-té de construction! 4 ch. à coucher. 2 s./bains, 1 s./d’eau. Sous-sol fini. Garage intégré. À 10 min.de Saint-Jérôme. MLS 18751095. 319 900 $

LAC DE L’ACHIGAN – Cottage champêtre 2009.Accès à 5 min. au lac de l’Achigan. 3 ch. à l’étage. 2 s./bains. Foyer. Ter. : 44 800 p.c. MLS 10807107.349 900 $

SAINT-HIPPOLYTE – Plain-pied. 3 ch. à cou-cher. Comb. lente. Sous-sol pl. grandeur, non-fini.À 12 min. de Saint-Jérôme. MLS 25964463.134 900 $

BORD LAC MAILLÉ – Plain-pied rénové etagrandi depuis 2007. 120’ b./eau. Sous-sol fini,garage adj., remise. À 2 pas de tous les services.MLS 15254328. 325 000 $

ACCÈS LAC ÉCHO – Propriété impeccable avec 2 accès not. au lac (navig.). 4 CAC. 2 SDB. Foyer. S.-sol fini. Garage. MLS 27685309. 369 000 $

BORD LAC CORNU ACCÈS LAC DE L’ACHIGAN

PRIX RÉVISÉ

PRIX RÉVISÉ