Thème N°1 Lévolution du taux de carbone atmosphérique.

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Thème N°1 L’évolution du taux de carbone atmosphérique

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Thème N°1

L’évolution du taux de carbone

atmosphérique

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Sommaire

• Démonstration de l’existence de puits de carbone.

• Quels sont les puits de carbone ?

• La plante : en quoi ce puits intervient-il dans la quantité de CO2 atmosphérique ?

• Conclusion

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Lorsqu’on additionne le taux de CO2 dû aux émissions d’énergies fossiles et à l’utilisation des terres pour une année, on devrait trouver la différence de quantité de CO2 atmosphérique entre l’année suivante et l’année en question. Or, on trouve un nombre supérieur. Ce qui signifie qu’un ou plusieurs puits absorbent du CO2.

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Quels sont ces puits ?

Les principaux puits de carbone sont : • Les océans (coraux et plancton)• La forêt (végétaux et sol). Les arbres

accumulent d’énormes quantités de CO2 dans leur bois grâce à la photosynthèse (processus qui permet aux plantes de se développer en captant l’énergie solaire et du CO2).

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La photosynthèse

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Nous cherchons aujourd’hui à prouver expérimentalement l’action de ces puits. Nous avons choisi d’étudier le rôle de la forêt en prenant pour modèle une plante :

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Démarche

• Expérience 1 : on mesure l’évolution de la teneur en CO2 dans un milieu fermé (sac transparent) avec un modèle de soleil, une lampe pendant une heure. (expérience témoin)

• Expérience 2 : même expérience avec une plante dans le milieu fermé (sac).

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• Expérience 3 : mesure de l’évolution du taux de CO2 dans un milieu fermé et sans lumière, un sac opaque (expérience témoin).

• Expérience 4 : même expérience avec une plante dans le sac.

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Expérience 1

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Résultats de l’expérience 1

Le taux de CO2 reste à peu près stable.

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Expérience 2

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Résultats de l’expérience 2

Le taux de CO2 diminue en présence de la plante.

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Expérience 3

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Résultats de l’expérience 3

On remarque quelques variations mais le taux de CO2 reste à peu près stable.

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Expérience 4

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Résultats de l’expérience 4

Le taux de CO2 augmente avec la plante.

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Conclusion des expériences réalisées.

Les expériences 1 et 2 nous montrent que c’est bien la plante qui absorbe le CO2 dans les conditions de la journée (lumière et chaleur du soleil) puisque lors de l’expérience témoin le taux de CO2 reste stable.

Cependant, lors des expériences 3 et 4, on remarque que plante rejette du CO2 dans les conditions de la nuit (obscurité et pas de chaleur du soleil). L’expérience témoin nous montre que c’est bien la plante qui rejette du CO2.

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Néanmoins, on s’aperçoit que la quantité de CO2 rejetée est inférieure à la quantité de CO2 absorbée, ce qui nous prouve que les plantes sont bien des puits de carbone.

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Élargissement à l’échelle globale

On a prouvé expérimentalement et avec un modèle de forêt que les plantes étaient des puits de carbone. Ce modèle peut être élargi à l’échelle planétaire et prouve que les forêts sont bien des puits de carbone atmosphériques et qu’il est donc indispensable pour l’équilibre de la biosphère de les préserver.