TEST ANATOMIE – PHYSIOLOGIE (Module...

21
IFSI-CRF TEST ANATOMIE – PHYSIOLOGIE (Module Réanimation) OBJECTIFS : . s’auto-évaluer sur l’apprentissage de l’anatomie-physiologie MODALITES : . test individuel – type QCM EVALUATION Nombre de question : 136 CONSIGNES 1. vérifier et comprendre les réponses 2. faire le point sur ses manques CRITERES D'EVALUATION . pour tout test inférieur à : 68 connaissances insuffisantes . pour tout test inférieur à : 85 grosses lacunes . pour tout test supérieur à : 102 connaissances satisfaisantes . pour tout test supérieur à : 119 très satisfaisant . pour tout test supérieur à : 126 excellentes connaissances

Transcript of TEST ANATOMIE – PHYSIOLOGIE (Module...

IFSI-CRF

TEST ANATOMIE – PHYSIOLOGIE (Module Réanimation)

OBJECTIFS :

. s’auto-évaluer sur l’apprentissage de l’anatomie-physiologie

MODALITES :

. test individuel – type QCM

EVALUATION

Nombre de question : 136

CONSIGNES1. vérifier et comprendre les réponses2. faire le point sur ses manques

CRITERES D'EVALUATION

. pour tout test inférieur à : 68 connaissances insuffisantes

. pour tout test inférieur à : 85 grosses lacunes

. pour tout test supérieur à : 102 connaissances satisfaisantes

. pour tout test supérieur à : 119 très satisfaisant

. pour tout test supérieur à : 126 excellentes connaissances

LA TETE ET LE COU

1Les vaisseaux qui vascularisent la région latérale gauche du cou naissent directement de la crosse de l’aorte et portent le nom d’artère carotide primitive gauche et d’artère sous-clavière gauche

V F

2 L’artère carotide externe irrigue les régions superficielles de la tête V F

3 Entre le cartilage thyroïde et le cartilage cricoïde, se trouve l’espace intercrico-thyroïdien, espace où l’on peut placer en cas de besoin une canule trachéale V F

4

Schéma de l’œil : cocher la bonne case

Œil normal : - Œil en mydriase : - Œil en myosis :

LE THORAX

5La cage thoracique comprend: a) sur sa face postérieure, la colonne vertébrale ou rachis V Fb) latéralement, les côtes V Fc) sur sa face antérieure, le sternum V F

6Le squelette comprend 12 paires de côtes V FIl comprend sept vraies paires, reliées au sternum V F

7 La cavité thoracique contient le médiastin et les poumons V F

8

Le médiastin antérieur contient les vaisseaux suivants :a) la crosse aortique V Fb) l’artère pulmonaire V F

c) le tronc brachiocéphalique V Fd) les veines caves inférieures et supérieures V F

9

Le médiastin postérieur contient :a) l’œsophage V F

b) la trachée et les bronches V Fc) l’aorte thoracique descendante V F

10

La trachée est un conduit :a) fibro-cartiligineux qui fait suite au pharynx V F

b) qui s’étend de la 6ème vertèbre cervicale à la 15ème vertèbre dorsale V Fc) situé entre le larynx et les bronches souches V F

d) qui se divise, à la hauteur de la 4ème vertèbre dorsale, en deux bronches souches V F11 L’air est apporté au lobule pulmonaire par une bronchiole V F12 Le cœur est divisé en quatre cavités : les deux oreillettes et les deux ventricules V F

13 Chacune des oreillettes communique avec le ventricule correspondant par l’orifice auriculo-ventriculaire V F

14 Les orifices auriculo-ventriculaires droit et gauche sont fermés, respectivement par les valvules mitrale et tricuspide V F

15

Le cœur est en rapport avec :a) le sternum, par sa face antérieure V F

b) le diaphragme, par sa face inférieure V Fc) le poumon gauche, par sa face gauche V F

d) les organes du médiastin postérieur, par sa base V F

16 La fonction respiratoire a pour mission l’enrichissement du sang en CO2 et le rejet de l’O2

V F

17 Le système respiratoire assure les échanges gazeux entre l’organisme et le milieu extérieur V F

18

a) La capacité vitale est de l’ordre de 5 000 mL d’air V FElle comprend : b) le volume courant, de l’ordre de 500 mL V F

c) le volume de réserve expiratoire, de l’ordre de 1 500 mL V Fd) le volume de réserve inspiratoire, de l’ordre de 2 000 mL V F

e) le volume résiduel de l’ordre de 1 000 mL V F19 Le but des échanges gazeux pulmonaires est l’oxygénation du sang ou hématose V F

20Le transport du CO2 s’effectue pour : a) 5%, sous forme dissoute dans le plasma V F

b) 30%, sous forme de carbhémoglobine V Fc) 65%, sous forme de bicarbonates V F

LE DIAPHRAGME

21

L’abdomen, ou cavité abdominale, est limité : a) en haut, par le diaphragme V Fb) sur les côtés et en avant, par la paroi abdominale V F

c) en bas, par la limite supérieure du bassin V F

22 Le diaphragme est le muscle le plus volumineux du corps humain. Il est innervé par les nerfs phréniques V F

23Le diaphragme est traversé par : a) l’aorte V F

b) le canal thoracique V F24 Le diaphragme joue un rôle majeur dans la mécanique respiratoire V F

LE COEUR25 Le cœur, les vaisseaux et le sang font partie de l’appareil circulatoire V F

26 Le cœur est un muscle creux qui, par sa contraction rythmique, assure la progression du sang à l’intérieur des vaisseaux sanguins V F

27 Le sommet du cœur répond à la pointe du cœur V F

28

a) Le cœur possède trois tuniques V FOn distingue : b) l’endocarde, séreuse cardiaque V F

c) le myocarde, paroi musculaire cardiaque V Fd) le péricarde, endothélium cardiaque V F

29

Le cœur est constitué de deux moitiés :

a) une moitié droite, l’oreillette et le ventricule droits V Fb) une moitié gauche, l’oreillette et le ventricule gauches V F

30 Les cellules myocardiques et les cellules du tissu nodal sont innervées par les fibres des systèmes nerveux sympathique et parasympathique V F

31 Les battements cardiaques sont rythmés et adaptés à l’effort V F

32

Le système nerveux intrinsèque ou tissu nodal est constitué des nœuds :a) de Keith et Flack V F

b) sinusal V Fc) d’Aschoff-Tawara V F

d) auriculo-ventriculaire V F

33 Le muscle cardiaque est physiologiquement tétanisable V F

L’ABDOMEN

34 Le foie est la plus volumineuse des glandes du tube digestif : il est situé dans l’hypocondre droit V F

35

Le foie : a) pèse environ 1 500 g V Fb) est de couleur jaunâtre et sa surface est rugueuse V F

c) secrète la bile au moment des repas V F36 Le foie présente trois faces, trois sillons et quatre lobes V F

37Le foie possède une vascularisation :

a) nourricière, par l’artère hépatique, branche de l’aorte V F

b) fonctionnelle, par la veine porte, issue de l’union des veines mésentériques V F38 Les veines spléniques drainent la rate et rejoignent la veine porte V F

39 L’aorte abdominale traverse la cavité abdominale puis se divise à la hauteur de la 4ème

vertèbre lombaire pour donner les artères iliaques primitives et l’artère sacrée moyenne V F

L’APPAREIL URINAIRE

40

L’appareil urinaire a pour fonction d’assurer :

a) l’épuration du sang duquel il extrait les déchets V Fb) la sécrétion et l’excrétion de l’urine V F

41

Les reins, au nombre de deux :

a) occupent chacun une loge rénale V Fb) mesurent 12 cm de long et 6 cm de large environ V F

c) pèsent en moyenne 14 g V Fd) sont recouverts d’une capsule fibreuse, la capsule rénale V F

e) ont la forme d’un haricot V Ff) sont extrapéritonéaux V F

42 Le rein droit est situé plus bas que le rein gauche. Chaque pôle supérieur porte une glande surrénale V F

43 Le tissu rénal ou parenchyme rénal est formé d’environ 1 000 000 de néphrons. Chaque néphron représente l’unité anatomique et physiologique d’un rein. V F

44 La vascularisation du rein est assurée par l’artère rénale, branche de l’artère abdominale et par la veine rénale. V F

LE SYSTEME NERVEUX45 Le système nerveux central comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral V F

46

Chaque vertèbre est constituée : a) d’un corps vertébral cylindrique, partie antérieure de la vertèbre V F

b) d’un arc postérieur, qui délimite le trou de conjugaison V Fc) des apophyses osseuses, implantées sur l’arc postérieur V Fd) d’un trou vertébral, qui laisse passer les vaisseaux et les nerfs V F

47 L’axis est la première vertèbre cervicale, elle s’articule avec l’arc de l’atlas par l’apophyse odontoïde V F

48

La moelle épinière : a) est de forme cylindrique V F

b) s’étend de la 1ère vertèbre cervicale à la 2ème vertèbre lombaire V Fc) est longue de 45 cm et large de 1 cm environ V Fd) donne naissance à 31 paires de racines nerveuses V Fe) présente deux renflements, un cervical et un lombaire V F

49 Les méninges enveloppent l’ensemble des organes du système nerveux central V F

50

Les méninges sont constituées de trois membranes : a) la dure-mère, externe épaisse et fibreuse, qui forme un étui continu et se termine en bas en cul-de-sac V F

b) l’arachnoïde, moyenne ou intermédiaire, entourée des espaces sous-dural et sous-arachnoïdien V F

c) la pie-mère, interne, fine et vasculaire V F

51

Dans le cerveau, on observe : a) quatre ventricules V Fb) la tente du cervelet V F

c) les trous de Monro, de Luschka et de Magendie V Fd) l’aqueduc de Sylvius V Fe) la Faux du cerveau V F

f) les loges du cerveau et du cervelet V F

52 Les voies de conduction nerveuse de l’organisme sont les voies de la motricité et de la sensibilité V F

53 La motricité correspond à l’ensemble des mouvements volontaires, involontaires ou réflexes et au tonus de posture V F

54 La coordination des mouvements volontaires est sous la dépendance du cervelet. V F

55 Un neurone afférent, ou neurone sensitif transmet les informations à partir des récepteurs vers le cerveau ou la moelle épinière. V F

L’INFLUX NERVEUX

56

a) la conductibilité est la propriété que possède le neurone pour conduire l’influx nerveux V FCette propriété obéit à des lois :

b) la loi de conduction sans décrément, l’influx nerveux conserve son intensité V Fc) la loi d’intégrité de l’organe, la fibre nerveuse doit être intacte V F

d) la loi de conductibilité isolée, chaque fibre est indépendante dans sa fonction V F

57La transmission de l’influx nerveux entre deux neurones s’effectue au niveau d’une structure appelée synapse. Au niveau de cette fonction, l’activité du premier neurone influence l’activité du second

V F

LES NEUROTRANSMETTEURS

58 Les neurotransmetteurs sont des substances chimiques qui possèdent des propriétés spécifiques V F

59 L’acétylcholine est un médiateur du système nerveux périphérique. Elle est présente dans les synapses dopaminergiques. V F

60 Les monoamines sont des catécholamines, elles regroupent l’adrénaline et la noradrénaline. V F

61 Les catécholamines sont les neuromédiateurs du système nerveux végétatif. V F

62 La sérotonine joue un rôle dans les structures nerveuses qui contrôlent l’humeur et les états de conscience. V F

63 Les endorphines interviennent dans le contrôle de la douleur, de l’humeur et des émotions. V F

LA CELLULE

64 Pour se nourrir, la cellule puise dans le milieu intracellulaire les nutriments indispensables au maintien de son activité et de sa croissance. V F

65 Les échanges transmembranaires s’effectuent selon un mode passif, par diffusion et par osmose. V F

66 La respiration cellulaire s’effectue dans la mitochondrie. Le combustible utilisé est le glucose. V F

67 L’énergie produite lors de la respiration cellulaire participe notamment au maintien de notre température corporelle. V F

L’OS

68 Le calcium est l’élément minéral du tissu osseux, il se présente sous la forme de phosphate, de carbonate et de fluorure. V F

69

Le cartilage de conjugaison est : a) situé au niveau des épiphyses des os longs V Fb) une zone cartilagineuse ossifiée V Fc) responsable de la croissance de l’os en longueur V F

METABOLISME ET ENERGIE

70

L’apport minimal journalier est de l’ordre : a) 25 grammes de protéines V Fb) 3 grammes de lipides V Fc) 150 grammes de glucides V F

71 Le métabolisme est l’ensemble des réactions cellulaires qui se produisent dans l’organisme vivant. V F

72 Les molécules glucidiques, lipidiques et protéiques préalablement digérées et absorbées sont distribuées aux cellules. V F

73 Le taux de glucose circulant dans le sang est appelé glycémie. Il se mesure en gramme par litre et est de l’ordre de 0,9 à 1 g /L. V F

74

La régulation hormonale de la glycémie dépend de l’action : V Fa) de l’insuline, hormone hypoglycémiante d’origine pancréatique V F

b) de l’adrénaline, hormone d’origine surrénalienne, favorisant la glycogénolyse V Fc) des glucocorticoïdes, hormones d’origine surrénalienne, favorisant l’absorption

intestinale de glucose V F

d) du glucagon, hormone hyperglycémiante d’origine pancréatique V Fe) des hormones thyroïdiennes qui accélèrent l’absorption intestinale de glucose V F

75 Les protéines sont dégradées dans l’organisme en acides aminés, qui sont utilisés sous cette forme ultime. V F

76 Le catabolisme des protéines libère de l’urée. V F

77

Le sodium participe : a) au maintien des potentiels électriques de membrane V Fb) à de nombreux processus chimiques dans le métabolisme cellulaire V F

c) au maintien du degré d’hydratation des milieux intra- et extracellulaire V F

78

Le potassium : a) intervient dans le maintien de la teneur hydrique de la cellule V Fb) intervient dans le maintien du potentiel électrique membranaire de repos V F

c) participe au déclenchement du potentiel d’action de nombreuses réactions du métabolisme cellulaire V F

79 Le calcium et le phosphore de l’organisme sont stockés dans le tissu osseux. V F

LE SANG

80 Le sang est composé de cellules, les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes et d’un liquide, le plasma V F

81 Les cellules sanguines sont fabriquées dans la moelle osseuse qui est une substance contenue dans les os longs et les os plats. V F

82 Le tissu lymphoïde se trouve dans la moelle osseuse et dans les organes lymphoïdes. V F83 Le tissu lymphoïde donne naissance aux lymphocytes et aux plasmocytes. V F

84 Le volume sanguin total d’une personne adulte est d’environ 4,8 L. V F

85

Le plasma est la partie liquide du sang, il est constitué : a) d’eau V Fb) d’électrolytes V F

c) de protéines V Fd) de nutriments V F

e) de déchets V Ff) d’hémoglobine V F

86 Les globules rouges renferment un pigment, l’hémoglobine, qui contient 70% des 4 à 5 g de fer qui contient l’organisme. V F

87 Le globule rouge n’a qu’une fonction : le transport des gaz du sang par l’intermédiaire de l’hématocrite V F

88

a) Il existe trois types de granulocytes polynucléaires V FOn distingue : b) les polynucléaires neutrophiles V F

c) les polynucléaires éosinophiles V Fd) les polynucléaires basophiles V F

89 Les lymphocytes appartiennent au tissu lymphoïde, il en existe deux catégories : le lymphocyte B et le lymphocyte T. V F

90 On appelle clou plaquettaire l’agrégation des plaquettes au niveau de la plaie d’un vaisseau lésé. V F

L’HEMOSTASE ET LA COAGULATION91 Le clou plaquettaire est l’agrégation des plaquettes autour de la brèche vasculaire V F

92

L’hémostase primaire comprend cinq tems : a) la contraction du vaisseau lésé V Fb) l’adhésion des plaquettes V Fc) la sécrétion plaquettaire V Fd) l’agrégation plaquettaire V F

e) la formation du clou plaquettaire V F

93

a) La coagulation du sang comprend trois phases. V FIl s’agit de : b) la collagénoformation V F

c) la thrombinoformation V Fd) la fibrinoformation V F

94 L’intégrité du vaisseau retrouvé, le caillot de fibrine se dissout grâce à une enzyme protéolytique : l’héparine. V F

95 La dissolution du caillot s’appelle la fibrinolyse. V F96 Le foie, en élaborant les sels biliaires, joue un rôle accessoire dans la coagulation du sang. V F

LES GROUPES SANGUINS

97 La détermination d’un groupe sanguin passe par l’identification de l’antigène présent à la surface du globule rouge. V F

98 Les antigènes (Ag) présents à la surface des érythrocytes sont aussi appelés agglutinogènes. V F

99 Il existe deux principaux agglutinogènes : l’agglutinogènes A et l’agglutinogène B. V F100 Le groupe A porte ce nom parce que l’érythrocyte porte l’agglutinogène A. V F101 Le groupe B porte ce nom parce que l’érythrocyte porte l’agglutinogène B. V F

102 Il existe deux sortes d’agglutinines : l’agglutinine alpha ou anticorps anti-A et l’agglutinine bêta ou anticorps anti-B. V F

103 La première transfusion de sang Rh+ chez une personne Rh- provoquera un accident d’incompatibilité sanguine. V F

LE SYSTEME HLA

104 Le système HLA, système d’antigènes associés aux leucocytes humains, ou human leukocyte associated antigens est un système de compatibilité tissulaire. V F

105 Le système HLA a pour rôle la reconnaissance et le maintien de l’intégrité de chaque individu. V F

LE SYSTEME IMMUNITAIRE

106 Le système immunitaire est formé de l’ensemble des organes lymphoïdes, des cellules immunocompétentes et des substances qu’elles produisent. V F

107

a) Les cellules effectrices de l’immunité sont des cellules sanguines. V FOn distingue : b) les granulocytes polynucléaires V F

c) les monocytes V Fd) les macrophages V Fe) les plasmocytes. V F

LA REPONSE IMMUNITAIRE SPECIFIQUE

108 Il existe deux types de réponse immunitaire spécifique, une réponse humorale et une réponse cellulaire. V F

109La réponse immunitaire de type humoral fait intervenir la partie des lymphocytes B, qui se différencient en plasmocytes. Ces derniers sécrètent des anticorps dirigés contre l’antigène.

V F

110 La réponse immunitaire de type cellulaire fait intervenir les lymphocytes T. qui agissent directement sur l’antigène. V F

111

a) Un antigène est une substance naturelle ou synthétique V FCette substance : b) est reconnue comme étrangère par le système immunitaire V F

c) est capable d’activer le système immunitaire V Fd) est douée de l’immunogénicité ou induction immunitaire V F

e) ne possède pas d’identité V Ff) n’a pas de réactivité antigénique V F

112 Le thymus, la moelle osseuse et la rate constituent les organes lymphoïdes centraux V F

113 Les ganglions lymphatiques peuvent être comparés à des filtres placés sur le trajet de la circulation sanguine. V F

114La rate est le plus volumineux des organes lymphoïdes périphériques, branchée directement sur la circulation sanguine, elle capte les lymphocytes et élimine les éléments cellulaires altérés.

V F

115 Les amygdales, les plaques de Peyer et les lymphocytes isolés sont autant de barrières protectrices qui concourent à l’immunité. V F

116 Les bactéries, les virus, les parasites et les champignons sont les principaux agents d’infection du corps. V F

LA REPONSE IMMUNITAIRE NON SPECIFIQUE

117 La bactérie et le virus sont tous les deux des organismes unicellulaires parasites qui ont besoin de l’appareillage de la cellule hôte pour survivre. V F

118 La réponse immunitaire non spécifique est la réponse immédiate, générale et indifférenciée de l’organisme vis-à-vis de toute substance étrangère. V F

119

a) Quelle que soit la substance responsable de l’agression, l’inflammation locale se déroule toujours de la même façon. V F

Les différentes étapes de l’inflammation locale sont : b) dilatation des vaisseaux V Fc) augmentation de la perméabilité vasculaire V F

d) destruction des bactéries présentes V Fe) migration des leucocytes des vaisseaux vers les tissus V F

f) cicatrisation V F

120 Une inflammation locale se traduit cliniquement par : une rougeur, une douleur, une lourdeur et une chaleur V F

LE METABOLISME DE L’EAU

121

a) L’eau représente 70% du corps humain. Elle est distribuée en un compartiment : V F

b) intracellulaire, soit 50% du poids corporel V Fc) extracellulaire, soient le plasma et la lymphe V F

122

Les pertes d’eau de l’organisme s’effectuent par : a) la respiration V Fb) la perspiration V F

c) les selles V Fd) les urines V F

e) la sueur V F

LA THERMOREGULATION

123

Les variations de la température du corps sont perçues par des thermorécepteurs :

a) périphériques, situés dans la peau V Fb) centraux, situés dans l’hypothalamus et l’abdomen V F

124 La thermorégulation comprend la thermogenèse (la production de chaleur) et la thermolyse (la perte de chaleur). V F

L’APPAREIL URINAIRE

125

L’appareil urinaire a une fonction :

a) d’épuration, 180 L de plasma sont filtrés chaque jour V Fb) d’excrétion, 1,5 L d’urine sont produits chaque jour V F

c) de régulation, maintien du milieu intérieur V Fd) endocrine, en sécrétant quatre substances considérées comme des hormones V F

126

a) Les reins ont une fonction endocrine. V FIls sécrètent : b) la rénine V F

c) l’érythropoïèse V Fd) la forme active de la vitamine D V F

e) les prostaglandines V F

127 A partir d’un volume de 300 à 350 mL, le réflexe de miction se produit. La tension vésicale déclenche le besoin d’uriner. V F

128 Le rôle du rein, et notamment celui du néphron, est la sécrétion de l’urine V F

129

a) La formation de l’urine comprend trois temps successifs. V FOn distingue : b) la filtration glomérulaire, ou filtration du plasma V F

c) la réabsorption tubulaire, ou ajustement de la composition du sang V F

130

L’urine initiale contient : a) de l’eau V Fb) du sodium V F

c) du potassium V Fd) de l’urée V F

e) des grosses et petites protéines V Ff) des bicarbonates V F

g) du glucose V Fh) du chlore V F

131

Le parcours du sodium et du chlore dans le néphron se décrit ainsi :

a) filtration totale, dans le glomérule V Fb) réabsorption passive à 75% dans le tube proximal V Fc) aucun transport dans l’anse descendante de Henle V F

d) réabsorption active dans l’anse ascendante de Henle V Fe) réabsorption active dépendante de l’aldostérone dans le tube contourné distal. V F

132

Le parcours de l’eau dans le néphron se décrit ainsi :

a) filtration dans le glomérule rénal de 120 mL d’eau/mn V Fb) réabsorption passive dans le tube contourné proximal V F

c) aucun transport dans l’anse descendante de Henle. V F

133 La réabsorption de l’eau est dépendant de l’hormone antidiurétique (ADH) dans le tube collecteur. V F

134 Un excès d’eau dans l’organisme entraîne la baisse de la sécrétion d’ADH et l’excrétion de l’eau. Le volume urinaire augmente. V F

135 Lorsque le taux plasmatique du potassium augmente, la sécrétion d’aldostérone est stimulée, le potassium en excès est éliminé dans les urines. V F

136 On évalue l’acidité d’une solution en mesurant son pH, un pH neutre est de l’ordre de 7,35 à 7,45. V F

IFSI-CRF Promotion 2003-200653000 LAVAL ANNEE 2005 - 2006

TEST ANATOMIE – PHYSIOLOGIE (Module Réanimation)

- REPONSES -

OBJECTIFS :

. s’auto-évaluer sur l’apprentissage de l’anatomie-physiologie

MODALITES :

. test individuel – type QCM

EVALUATION

Nombre de question : 136

CONSIGNES3. vérifier et comprendre les réponses4. faire le point sur ses manques

CRITERES D'EVALUATION

. pour tout test inférieur à : 68 connaissances insuffisantes

. pour tout test inférieur à : 85 grosses lacunes

. pour tout test supérieur à : 102 connaissances satisfaisantes

. pour tout test supérieur à : 119 très satisfaisant

. pour tout test supérieur à : 126 excellentes connaissances

LA TÊTE ET LE COU

1Les vaisseaux qui vascularisent la région du cou naissent directement de la crosse de l’aorte et portent le nom d’artère carotide primitive gauche et d’artère sous-clavière gauche

V F

2 L’artère carotide externe irrigue les régions superficielles de la tête V F

3 Entre le cartilage thyroïde et le cartilage cricoïde, se trouve l’espace intercrico-thyroïdien, espace où l’on peut placer en cas de besoin une canule trachéale V F

4Schéma œil : Œil Normal

Œil en MydriaseŒil en Myosis

123

LE THORAX

5

La cage thoracique comprend: a) sur sa face postérieure, la colonne vertébrale ou rachiscar 12 vertèbres dorsales seulement et pas toutes les vertèbres V F

b) latéralement, les côtes V Fc) sur sa face antérieure, le sternum V F

6a) Le squelette comprend 12 paires de côtes V F

Il s’agit de : b) sept vraies paires, reliées au sternum V F7 La cavité thoracique contient le médiastin et les poumons V F

8

Le médiastin antérieur contient les vaisseaux suivants :a) la crosse aortique V F

b) l’artère pulmonaire V Fc) le tronc brachiocéphalique V F

d) les veines caves inférieures et supérieures V F

9

Le médiastin postérieur contient :a) l’œsophage V F

b) la trachée et les bronches V Fc) l’aorte thoracique descendante V F

10

La trachée est un conduit :a) fibro-cartiligineux qui fait suite au pharynx

la trachée fait suite au larynx V F

b) qui s’étend de la 6ème vertèbre cervicale à la 15ème vertèbre dorsale V Fc) situé entre le larynx et les bronches souches V F

d) qui se divise, à la hauteur de la 4ème vertèbre dorsale, en deux bronches souches V F11 L’air est apporté au lobule pulmonaire par une bronchiole V F12 Le cœur est divisé en quatre cavités : les deux oreillettes et les deux ventricules V F

13 Chacune des oreillettes communique avec le ventricule correspondant par l’orifice auriculo-ventriculaire V F

14 Les orifices auriculo-ventriculaires droit et gauche sont fermés, respectivement par les valvules mitrale et tricuspide

V F

R = c’est le contraire : Droit – tricuspide – Gauche - mitrale

15

Le cœur est en rapport avec :a) le sternum, par sa face antérieure

R = il faut être précis, le cœur est en rapport avec le plastron sterno-costal du 2ème au 5ème espace intercostal seulement (pas tout le sternum)

V F

b) le diaphragme, par sa face inférieure V Fc) le poumon gauche, par sa face gauche V F

d) les organes du médiastin postérieur, par sa base V F

16 La fonction respiratoire a pour mission l’enrichissement du sang en CO2 et le rejet de l’O2 R = c’est l’inverse V F

17 Le système respiratoire assure les échanges gazeux entre l’organisme et le milieu extérieur V F

18

a) La capacité vitale est de l’ordre de 5 000 mL d’airR = entre 3,5 et 5 L chez l’adulte V F

Elle comprend : b) le volume courant, de l’ordre de 500 mL V Fc) le volume de réserve expiratoire, de l’ordre de 1 500 mL V F

d) le volume de réserve inspiratoire, de l’ordre de 2 000 mL V Fe) le volume résiduel de l’ordre de 1 000 mLR = le volume résiduel est d’environ 1,5 L V F

19 Le but des échanges gazeux pulmonaires est l’oxygénation du sang ou hématose V F

20

Le transport du CO2 s’effectue pour : a) 5%, sous forme dissoute dans le plasmaR = le CO2 se dissout dans le plasma V F

b) 30%, sous forme de carbhémoglobine V Fc) 65%, sous forme de bicarbonates V F

LE DIAPHRAGME

21

L’abdomen, ou cavité abdominale, est limité : a) en haut, par le diaphragme V Fb) sur les côtés et en avant, par la paroi abdominale V F

c) en bas, par la limite supérieure du bassin V F

22 Le diaphragme est le muscle le plus volumineux du corps humain. Il est innervé par les nerfs phréniques V F

23Le diaphragme est traversé par : a) l’aorte V F

b) le canal thoracique V F24 Le diaphragme joue un rôle majeur dans la mécanique respiratoire V F

LE COEUR25 Le cœur, les vaisseaux et le sang font partie de l’appareil circulatoire V F

26 Le cœur est un muscle creux qui, par sa contraction rythmique, assure la progression du sang à l’intérieur des vaisseaux sanguins V F

27 Le sommet du cœur répond à la pointe du cœur V F

28

a) Le cœur possède trois tuniques V FOn distingue : b) l’endocarde, séreuse cardiaque

R = endocarde est la tunique interne du cœur, elle est encore appelée endothélium V F

c) le myocarde, paroi musculaire cardiaque V Fd) le péricarde, endothélium cardiaque

R = le péricarde est la séreuse cardiaque ou tunique externe V F

29

Le cœur est constitué de deux moitiés :

a) une moitié droite, l’oreillette et le ventricule droits V Fb) une moitié gauche, l’oreillette et le ventricule gauches V F

30 Les cellules myocardiques et les cellules du tissu nodal sont innervées par les fibres des systèmes nerveux sympathique et parasympathique V F

31 Les battements cardiaques sont rythmés et adaptés à l’effort V F

32

Le système nerveux intrinsèque ou tissu nodal est constitué de nœuds :a) de Keith et Flack V F

b) sinusal V Fc) d’Aschoff-Tawara V F

d) auriculo-ventriculaire V F

33 Le muscle cardiaque est physiologiquement tétanisableR = sa période réfractaire étant longue, il ne peut être physiologiquement tétanisable. V F

L’ABDOMEN

34 Le foie est la plus volumineuse des glandes du tube digestif : il est situé dans l’hypocondre droit V F

35

Le foie : a) pèse environ 1 500 g V Fb) est de couleur jaunâtre et sa surface est rugueuse

R = foie de couleur brunâtre et surface lisse V F

c) secrète la bile au moment des repasR = sécrète de la bile en continue V F

36 Le foie présente trois faces, trois sillons et quatre lobes V F

37

Le foie possède une vascularisation : a) nourricière, par l’artère hépatique, branche del’aorte

R = artère hépatique (artère nourricière du foie) est une branche du tronc coeliaqueV F

b) fonctionnelle, par la veine porte, issue de l’union des veines mésentériquesR = 3 veines sont à l’origine de la veine porte (veine fonctionnelle du foie), veine mésentérique > et < et veine splénique

V F

38 Les veines spléniques drainent la rate et rejoignent la veine porteR = veine splénique draine la rate, rejoint la veine porte V F

39 L’aorte abdominale traverse la cavité abdominale puis se divise à la hauteur de la 4ème

vertèbre lombaire pour donner les artères iliaques primitives et l’artère sacrée moyenne V F

L’APPAREIL URINAIRE

40

L’appareil urinaire a pour fonction d’assurer :

a) l’épuration du sang duquel il extrait les déchets V Fb) la sécrétion et l’excrétion de l’urine V F

41

Les reins, au nombre de deux :

a) occupent chacun une loge rénale V Fb) mesurent 12 cm de long et 6 cm de large environ V F

c) pèsent en moyenne 14 gR = pèsent entre 150 et 250 g V F

d) sont recouverts d’une capsule fibreuse, la capsule rénale V Fe) ont la forme d’un haricot V F

f) sont extrapéritonéauxR = sont rétropéritonéaux V F

42 Le rein droit est situé plus bas que le rein gauche. Chaque pôle supérieur porte une glande surrénale V F

43 Le tissu rénal ou parenchyme rénal est formé d’environ 1 000 000 de néphrons. Chaque néphron représente l’unité anatomique et physiologique d’un rein. V F

44 La vascularisation du rein est assurée par l’artère rénale, branche de l’artère abdominale et par la veine rénale. V F

LE SYSTEME NERVEUX45 Le système nerveux central comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral V F

46

Chaque vertèbre est constituée : a) d’un corps vertébral cylindrique, partie antérieure de la vertèbre V F

b) d’un arc postérieur, qui délimite le trou de conjugaison V Fc) des apophyses osseuses, implantées sur l’arc postérieur V F

d) d’un trou vertébral, qui laisse passer les vaisseaux et les nerfs V F

47L’axis est la première vertèbre cervicale, elle s’articule avec l’arc de l’atlas par l’apophyse odontoïde

R = l’Atlas est la 1ère vertèbre cervicale, l’axis est le 2ème V F

48

La moelle épinière : a) est de forme cylindrique V Fb) s’étend de la 1ère vertèbre cervicale à la 2ème vertèbre lombaire V F

c) est longue de 45 cm et large de 1 cm environ V Fd) donne naissance à 31 paires de racines nerveuses V F

e) présente deux renflements, un cervical et un lombaire V F49 Les méninges enveloppent l’ensemble des organes du système nerveux central V F

50

Les méninges sont constituées de trois membranes : a) la dure-mère, externe épaisse et fibreuse, qui forme un étui continu et se termine en bas en cul-de-sac V F

b) l’arachnoïde, moyenne ou intermédiaire, entourée des espaces sous-dural et sous-arachnoïdien V F

c) la pie-mère, interne, fine et vasculaire V F

51

Dans le cerveau, on observe : a) quatre ventricules V Fb) la tente du cervelet V F

c) les trous de Monro, de Luschka et de Magendie V Fd) l’aqueduc de Sylvius V Fe) la Faux du cerveau V F

f) les loges du cerveau et du cervelet V F

52 Les voies de conduction nerveuse de l’organisme sont les voies de la motricité et de la sensibilité V F

53 La motricité correspond à l’ensemble des mouvements volontaires, involontaires ou réflexes et au tonus de posture V F

54 La coordination des mouvements volontaires est sous la dépendance du cervelet. V F

55 Un neurone afférent, ou neurone sensitif transmet les informations à partir des récepteurs vers le cerveau ou la moelle épinière. V F

L’INFLUX NERVEUX

56

a) la conductibilité est la propriété que possède le neurone pour conduire l’influx nerveux V FCette propriété obéit à des lois :

b) la loi de conduction sans décrément, l’influx nerveux conserve son intensité V Fc) la loi d’intégrité de l’organe, la fibre nerveuse doit être intacte V F

d) la loi de conductibilité isolée, chaque fibre est indépendante dans sa fonction V F

57La transmission de l’influx nerveux entre deux neurones s’effectue au niveau d’une structure appelée synapse. Au niveau de cette fonction, l’activité du premier neurone influence l’activité du second

V F

LES NEUROTRANSMETTEURS

58 Les neurotransmetteurs sont des substances chimiques qui possèdent des propriétés spécifiques V F

59 L’acétylcholine est un médiateur du système nerveux périphérique. Elle est présente dans les synapses dopaminergiques. R = elle est présente dans les synapses cholinergiques

V F

60 Les monoamines sont des catécholamines, elles regroupent l’adrénaline et la noradrénaline. V F

61 Les catécholamines sont les neuromédiateurs du système nerveux végétatif. V F

62 La sérotonine joue un rôle dans les structures nerveuses qui contrôlent l’humeur et les états de conscience. V F

63 Les endorphines interviennent dans le contrôle de la douleur, de l’humeur et des émotions. V F

LA CELLULE

64Pour se nourrir, la cellule puise dans le milieu intracellulaire les nutriments indispensables au maintien de son activité et de sa croissance.

R = la cellule puise les nutriments dans le milieu extracellulaireV F

65

Les échanges transmembranaires s’effectuent selon un mode passif, par diffusion et par osmose.

R = les échanges transmembranaires s’effectuent selon 2 modes de transport : transport passif qui ne requiert aucune énergie et transport actif qui nécessite de l’énergie et

l’intervention active de protéines transmembranaires.

V F

66 La respiration cellulaire s’effectue dans la mitochondrie. Le combustible utilisé est le glucose. V F

67 L’énergie produite lors de la respiration cellulaire participe notamment au maintien de notre température corporelle. V F

L’OS

68 Le calcium est l’élément minéral du tissu osseux, il se présente sous la forme de phosphate, de carbonate et de fluorure. V F

69

Le cartilage de conjugaison est : a) situé au niveau des épiphyses des os longsR = il se situe au niveau des métaphyses osseuses V F

b) une zone cartilagineuse ossifiéeR = cartilage de conjugaison est une zone de cartilage non ossifiée tout au long de la

croissance osseuseV F

c) responsable de la croissance de l’os en longueur V F

EMETABOLISME ET ENERGIE

70

L’apport minimal journalier est de l’ordre : a) 25 grammes de protéines V Fb) 3 grammes de lipides V Fc) 150 grammes de glucides V F

71 Le métabolisme est l’ensemble des réactions cellulaires qui se produisent dans l’organisme vivant. V F

72 Les molécules glucidiques, lipidiques et protéiques préalablement digérées et absorbées sont distribuées aux cellules. V F

73 Le taux de glucose circulant dans le sang est appelé glycémie. Il se mesure en gramme par litre et est de l’ordre de 0,9 à 1 g /L. V F

74

La régulation hormonale de la glycémie dépend de l’action : V Fa) de l’insuline, hormone hypoglycémiante d’origine pancréatique V F

b) de l’adrénaline, hormone d’origine surrénalienne, favorisant la glycogénolyse V Fc) des glucocorticoïdes, hormones d’origine surrénalienne, favorisant l’absorption

intestinale de glucose V F

d) du glucagon, hormone hyperglycémiante d’origine pancréatique V Fe) des hormones thyroïdiennes qui accélèrent l’absorption intestinale de glucose V F

75 Les protéines sont dégradées dans l’organisme en acides aminés, qui sont utilisés sous cette forme ultime. V F

76Le catabolisme des protéines libère de l’urée.R = la destruction des protides libère de l’ammoniaque, substance toxique transformée en urée

et éliminée par les reins.V F

77

Le sodium participe : a) au maintien des potentiels électriques de membrane V Fb) à de nombreux processus chimiques dans le métabolisme cellulaire V F

c) au maintien du degré d’hydratation des milieux intra- et extracellulaire V F

78

Le potassium : a) intervient dans le maintien de la teneur hydrique de la cellule V Fb) intervient dans le maintien du potentiel électrique membranaire de repos V F

c) participe au déclenchement du potentiel d’action de nombreuses réactions du métabolisme cellulaire V F

79 Le calcium et le phosphore de l’organisme sont stockés dans le tissu osseux.R = pas exclusivement, 1% du calcium et 20% du phosphore se situent dans les parties molles. V F

ES LE SANG

80 Le sang est composé de cellules, les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes et d’un liquide, le plasma V F

81 Les cellules sanguines sont fabriquées dans la moelle osseuse qui est une substance contenue dans les os longs et les os plats. V F

82 Le tissu lymphoïde se trouve dans la moelle osseuse et dans les organes lymphoïdes.R = le liquide de sang s’appelle le plasma V F

83 Le tissu lymphoïde donne naissance aux lymphocytes et aux plasmocytes. V F84 Le volume sanguin total d’une personne adulte est d’environ 4,8 L. V F

85

Le plasma est la partie liquide du sang, il est constitué : a) d’eau V Fb) d’électrolytes V F

c) de protéines V Fd) de nutriments V F

e) de déchets V Ff) d’hémoglobine

R = l’hémoglobine est le pigment du globule rouge et non un constituant du plasma du sang V F

86 Les globules rouges renferment un pigment, l’hémoglobine, qui contient 70% des 4 à 5 g de fer qui contient l’organisme. V F

87Le globule rouge n’a qu’une fonction : le transport des gaz du sang par l’intermédiaire de l’hématocrite

R = cette unique fonction du globule rouge s’effectue grâce à l’hémoglobineV F

88

a) Il existe trois types de granulocytes polynucléaires V FOn distingue : b) les polynucléaires neutrophiles V F

c) les polynucléaires éosinophiles V Fd) les polynucléaires basophiles V F

89 Les lymphocytes appartiennent au tissu lymphoïde, il en existe deux catégories : le lymphocyte B et le lymphocyte T. V F

90 On appelle clou plaquettaire l’agrégation des plaquettes au niveau de la plaie d’un vaisseau lésé. V F

L’HEMOSTASE ET LA COAGULATION91 Le clou plaquettaire est l’agrégation des plaquettes autour de la brèche vasculaire V F

92

L’hémostase primaire comprend cinq tems : a) la contraction du vaisseau lésé V Fb) l’adhésion des plaquettes V Fc) la sécrétion plaquettaire V Fd) l’agrégation plaquettaire V F

e) la formation du clou plaquettaire V F

93

a) La coagulation du sang comprend trois phasesR = 2 phases V F

Il s’agit de : b) la collagénoformationR = n’existe pas V F

c) la thrombinoformation V Fd) la fibrinoformation V F

94

L’intégrité du vaisseau retrouvé, le caillot de fibrine se dissout grâce à une enzyme protéolytique : l’héparine.

R = le caillot de fibrine se dissout grâce à une enzyme protéolytique, la plasmino. Héparine inactive certains facteurs de la coagulation

V F

95 La dissolution du caillot s’appelle la fibrinolyse. V F

96Le foie, en élaborant les sels biliaires, joue un rôle accessoire dans la coagulation du sang.

R = le foie joue un rôle primordial dans la coagulation puisqu’il fabrique le fibrinogène, la prothrombino et les sels biliaires

V F

LES GROUPES SANGUINS

97 La détermination d’un groupe sanguin passe par l’identification de l’antigène présent à la surface du globule rouge. V F

98 Les antigènes (Ag) présents à la surface des érythrocytes sont aussi appelés agglutinogènes. V F

99 Il existe deux principaux agglutinogènes : l’agglutinogènes A et l’agglutinogène B. V F100 Le groupe A porte ce nom parce que l’érythrocyte porte l’agglutinogène A. V F101 Le groupe B porte ce nom parce que l’érythrocyte porte l’agglutinogène B. V F

102 Il existe deux sortes d’agglutinines : l’agglutinine alpha ou anticorps anti-A et l’agglutinine bêta ou anticorps anti-B. V F

103

La première transfusion de sang Rh+ chez une personne Rh- provoquera un accident d’incompatibilité sanguine.R = ce n’est qu’au cours de la 2ème transfusion que se produira cet accident. Au cours de la 1ère

transfusion, la personne ne fabrique pas des agglutinines anti-Rh.

V F

LE SYSTEME HLA

104 Le système HLA, système d’antigènes associés aux leucocytes humains, ou human leukocyte associated antigens est un système de compatibilité tissulaire. V F

105 Le système HLA a pour rôle la reconnaissance et le maintien de l’intégrité de chaque individu. V F

LE SYSTEME IMMUNITAIRE

106 Le système immunitaire est formé de l’ensemble des organes lymphoïdes, des cellules immunocompétentes et des substances qu’elles produisent. V F

107

a) Les cellules effectrices de l’immunité sont des cellules sanguines. V FOn distingue : b) les granulocytes polynucléaires V F

c) les monocytes V Fd) les macrophages V Fe) les plasmocytes. V F

LA REPONSE IMMUNITAIRE SPECIFIQUE

108 Il existe deux types de réponse immunitaire spécifique, une réponse humorale et une réponse cellulaire. V F

109La réponse immunitaire de type humoral fait intervenir la partie des lymphocytes B, qui se différencient en plasmocytes. Ces derniers sécrètent des anticorps dirigés contre l’antigène.

V F

110 La réponse immunitaire de type cellulaire fait intervenir les lymphocytes T. qui agissent directement sur l’antigène. V F

111

a) Un antigène est une substance naturelle ou synthétique V FCette substance : b) est reconnue comme étrangère par le système immunitaire V F

c) est capable d’activer le système immunitaire V Fd) est douée de l’immunogénicité ou induction immunitaire V F

e) ne possède pas d’identitéR = un antigène possède une identité V F

f) n’a pas de réactivité antigéniqueR = un antigène a une réactivité antigénique V F

112Le thymus, la moelle osseuse et la rate constituent les organes lymphoïdes centraux

R = seuls le thymus et la moelle osseuse sont des organes lymphoïdes centraux. La rate = organe périphérique

V F

113Les ganglions lymphatiques peuvent être comparés à des filtres placés sur le trajet de la circulation sanguine.

R = les ganglions lymphatiques sont placés sur le trajet de la circulation lymphatiqueV F

114La rate est le plus volumineux des organes lymphoïdes périphériques, branchée directement sur la circulation sanguine, elle capte les lymphocytes et élimine les éléments cellulaires altérés.

V F

115 Les amygdales, les plaques de Peyer et les lymphocytes isolés sont autant de barrières protectrices qui concourent à l’immunité. V F

116 Les bactéries, les virus, les parasites et les champignons sont les principaux agents d’infection du corps. V F

LA REPONSE IMMUNITAIRE NON SPECIFIQUE

117La bactérie et le virus sont tous les deux des organismes unicellulaires parasites qui ont besoin de l’appareillage de la cellule hôte pour survivre.

R = la bactérie n’a pas besoin d’une hôte pour survivre, contrairement au virusV F

118 La réponse immunitaire non spécifique est la réponse immédiate, générale et indifférenciée de l’organisme vis-à-vis de toute substance étrangère. V F

119

a) Quelle que soit la substance responsable de l’agression, l’inflammation locale se déroule toujours de la même façon. V F

Les différentes étapes de l’inflammation locale sont : b) dilatation des vaisseaux V Fc) augmentation de la perméabilité vasculaire V F

d) destruction des bactéries présentesR = la destruction des bactéries ne peut avoir lieu qu’après la migration des

leucocytes des vaisseaux vers les tissusV F

e) migration des leucocytes des vaisseaux vers les tissus V Ff) cicatrisation V F

120Une inflammation locale se traduit cliniquement par : une rougeur, une douleur, une lourdeur et une chaleur

R = les signes cliniques d’une inflammation locale sont la rougeur, douleur, chaleur et oedèmeV F

LE METABOLISME DE L’EAU

121

a) L’eau représente 70% du corps humain. Elle est distribuée en un compartiment : V F

b) intracellulaire, soit 50% du poids corporel V Fc) extracellulaire, soit le plasma et la lymphe V F

122

Les pertes d’eau de l’organisme s’effectuent par : a) la respiration V Fb) la perspiration V F

c) les selles V Fd) les urines V F

e) la sueur V F

LA THERMOREGULATION

123

Les variations de la température du corps sont perçues par des thermorécepteurs :

a) périphériques, situés dans la peau V Fb) centraux, situés dans l’hypothalamus et l’abdomen V F

124 La thermorégulation comprend la thermogenèse (la production de chaleur) et la thermolyse (la perte de chaleur). V F

L’APPAREIL URINAIRE

125

L’appareil urinaire a une fonction :

a) d’épuration, 180 L de plasma sont filtrés chaque jour V Fb) d’excrétion, 1,5 L d’urine sont produits chaque jour V F

c) de régulation, maintien du milieu intérieur V Fd) endocrine, en sécrétant quatre substances considérées comme des hormones V F

126

a) Les reins ont une fonction endocrine. V FIls sécrètent : b) la rénine V F

c) l’érythropoïèseR = ne pas confondre l’érythropoïèse (fabrication des globules rouges) avec l’érythropoïétine (sécrétée par cellules médullaires du rein) = maturation et prolifération des globules rouges

V F

d) la forme active de la vitamine D V Fe) les prostaglandines V F

127A partir d’un volume de 300 à 350 mL, le réflexe de miction se produit. La tension vésicale déclenche le besoin d’uriner.

R = l’homme contrôle sa vessie en général.V F

128 Le rôle du rein, et notamment celui du néphron, est la sécrétion de l’urine V F

129

a) La formation de l’urine comprend trois temps successifs. V FOn distingue : b) la filtration glomérulaire, ou filtration du plasma V F

c) la réabsorption tubulaire, ou ajustement de la composition du sang V F

130

L’urine initiale contient : a) de l’eau V Fb) du sodium V F

c) du potassium V Fd) de l’urée V F

e) des grosses et petites protéinesR = les grosses protéines ne sont pas filtrées donc n’entrent pas dans la composition du filtrat

glomérulaireV F

f) des bicarbonates V Fg) du glucose V Fh) du chlore V F

131

Le parcours du sodium et du chlore dans le néphron se décrit ainsi :

a) filtration totale, dans le glomérule V Fb) réabsorption passive à 75% dans le tube proximal

R = dans le tube proximal, le sodium est réabsorbé activement dans les mêmes proportions V F

c) aucun transport dans l’anse descendante de Henle V Fd) réabsorption active dans l’anse ascendante de Henle V F

e) réabsorption active dépendante de l’aldostérone dans le tube contourné distal. V F

132

Le parcours de l’eau dans le néphron se décrit ainsi :

a) filtration dans le glomérule rénal de 120 mL d’eau/mn V Fb) réabsorption passive dans le tube contourné proximal V F

c) aucun transport dans l’anse descendante de Henle.R = l’axe ascendante est imperméable à l’eau V F

133 La réabsorption de l’eau est dépendant de l’hormone antidiurétique (ADH) dans le tube collecteur. V F

134 Un excès d’eau dans l’organisme entraîne la baisse de la sécrétion d’ADH et l’excrétion de l’eau. Le volume urinaire augmente. V F

135 Lorsque le taux plasmatique du potassium augmente, la sécrétion d’aldostérone est stimulée, le potassium en excès est éliminé dans les urines. V F

136 On évalue l’acidité d’une solution en mesurant son pH, un pH neutre est de l’ordre de 7,35 à 7,45. V F