Table ronde Assemblée générale annuelle 2016 · Assemblée générale annuelle 2016 Les femmes...
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L’action des femmes en environnement
Table ronde
Assemblée générale annuelle 2016
L’action des femmes en environnement
Notre animatrice
Johanne Saint-Charles, est professeure en
communication sociale et publique à
l’UQAM. Elle a développé une expertise
dans l’étude des dynamiques relationnelles,
en particulier au sein des réseaux humains,
des groupes et des communautés de
pratique. Elle s’intéresse notamment aux
liens entre relations et discours.
La majorité de ses recherches se déroulent
en contexte interdisciplinaire et en
partenariat dans une perspective
écosystémique de la santé et du bien-être
humain en santé environnementale et en
santé au travail.
Directrice adjointe de l’axe santé environnementale au Centre interdisciplinaire de recherche sur le bien-être, la santé, la société et l’environnement /
Directrice du Doctorat interdisciplinaire en santé et société / Chercheuse principale pour le Canada d’EkoSanté, une collaboration Amréqiue latine,
Caraîbes et Canada en écosanté / Membre du comité scientifique de la Chaire en Écosanté d’Afrique de l’Ouest.
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Déroulement
Mot de bienvenue
Présentation des conférencières 5 min
L’action de nos conférencières en environnement
Dossier prioritaire – motivations, modes d’intervention –
évolution – vision 2030
30 min
Discussion avec les participantes 15 min
Présentation des objectifs de l’ONU et de la feuille de route
2030 - Point de vue de nos conférencières sur la feuille de
route en lien avec leurs dossiers
20 min
Discussion avec les participantes
15 min
Conclusion, remerciements 10 min
L’action des femmes en environnement
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L’action des femmes en environnement
Membre de l’Institut des sciences de l’environnement et de
l’Institut Santé et société de son université / Chercheure au sein
du Réseau Dialog – Réseau de recherche et de connaissances
relatives aux peuples autochtones (INRS) / Directrice de la
revue interna-tionale Éducation relative à l’environnement,
Regards, Recherches, Réflexions.
Lucie Sauvé, est directrice du Centre de recherche
en éducation et formation relatives à
l’environnement et à l’écocitoyenneté
Professeure à l’UQAM depuis 1993, ses principaux
domaines de spécialisation ont trait aux dimensions critique
et politique de l’éducation, aux dynamiques de mobilisation
citoyenne en matière d’environnement et
d’écodéveloppement, à l’éducation relative à la santé
environnementale, à l’éducation scientifique et
technologique et aux enjeux de la formation des
éducateurs et des leaders communautaires.
Depuis 2011, elle coordonne le Collectif scientifique sur la
question du gaz de schiste au Québec, qui regroupe 170
membres de divers horizons disciplinaires. En 2015, la
Universidad Veracruzana (Mexique) lui a décerné un
doctorat honoris causa en reconnaissance de son
engagement académique et social. Elle a dirigé plusieurs
projets de collaboration interuniversitaires et d’action
écosociale en Amérique latine.
L’action des femmes en environnement
Bachelière en Commerce spécialisation Majeur finance / Récipiendaires du prix «Jeune Phénix » de l’Université d’Ottawa / Siège au conseils d’administration de
l’Association de l’industrie électrique du Québec et de la Banque Nationale de la Montérégie
Anie Rouleau est présidente et fondatrice de Baléco, une
entreprise offrant des produits et services écoresponsables
pour les entreprises soucieuses du bien-être de leurs
employés et respectueuses de l’avenir de l’environnement.
Mère d’adorables bambins, qu’elle présente comme ces deux
réalisations les plus gratifiantes, Anie est motivée par deux
convictions profondes. Le soutien des politiques en matière
de développement durable et le respect de nos biens pour
les générations futures. Elle a d’ailleurs créé la bourse «Anie
Rouleau» qui permet à des jeunes diplômés de financer leurs
études.
Issue d’une famille d’entrepreneurs. Après ses études, elle suit les
traces de ses parents et évolue au sein de l’entreprise familiale
d’Hydrocom International, jusqu’en 2000. Elle assume alors la
présidence de Maclean Power Systems Canada et par la suite, la
présidence de la Société de Gestion du Commensal détenue par la
Fondation Lucie et André Chagnon.
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Laure Waridel est directrice exécutive du Centre
interdisciplinaire de recherche en opérationnalisation du
développement durable. Sociologue spécialisée en
développement international et en environnement.
Laure est l’une pionnières du commerce et de la
consommation équitable, au Québec.
Cette militante, écrivaine et environnementaliste
travaille à faciliter l’émergence d’une économie verte,
notamment en ce qui concerne l’agriculture. La
Fondation Trudeau, sontient son projet de recherche
doctorale en anthropologie et sociologie du développe-
ment : «Du développement durable à la construction
d’une économie écologique et socialement équitable, le
début d’une transition ».
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Doctorat honoris causa Université du Québec à
Rimouski / Mérite de l’Université de Montréal, l’Ordre
du Canada / Chevalier de l’ordre de la Pléiade de
l’Organisation internationale de la Francophonie /
Membre du Cercle des phénix de l’environnement /
Fellow du Centre d’études et de recherches
internationales de l’U de M (CÉRIUM).
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Les femmes et les filles représentent plus de la
moitié de la population mondiale, elles sont en
première ligne, souvent les plus lourdement
affectées par les changements liés à
l’environnement. Notre contribution et notre
leadership en tant que « Réseau » et en tant que
« femmes » est essentielle.
Nous en sommes conscientes et y travaillons de
différentes façons, à notre échelle évidemment.
Notre rapport d’activité en témoigne, mais qu’en
est-il à l’échelle de la planète ?
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En 2015, les pays membres de l’ONU ont adopté un
programme de développement et un nouvel accord
international sur les changements climatiques.
Ce nouveau programme de développement durable
s’appuie sur les objectifs du Millénaire pour le
développement (OMB), élaboré en 2000. Il constitue un
plan d’action pour les populations, la planète, le maintien
de la paix et les partenariats.
Il s’articule autour de 17 objectifs, dont un objectif
autonome dédié à l’égalité des sexes et à l’autonomisation
des femmes et des filles (ODD 5) ainsi que d’autres objectifs
ciblant les questions de genre.
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Programme de développement durable d’ici 2030
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Nous avons demandé à nos invitées d’examiner cette
nouvelle feuille de route mondiale pour 2030 en lien
l’action des femmes en environnement et de partager
leurs réflexions sur ce sujet.
Selon vous mesdames, comment l’action des femmes en environnement peut jouer, joue et jouera un rôle pour améliorer la qualité de notre environnement, de notre santé et de notre bien-être ?
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