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Quatorze recueils in 8° de 21] chansons chacun,chaque recueil net:6f Collection des quatorze p re m ie rs re c u e ils réunis en deux volumes,nct;60f

Deux-recueils in ô"de 30 chansons-légères chacun,chaque recueil net:8f

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TABLE COMPLÈTEDES

CHANSONS DE GUSTAVE NADAUD ■

Publiées en quatorze volumes in-8>, dont une collection de 30 Chansons légères

AU MÉNESTREL, 2 B IS , RUE VIVIENNE

HEUGEL & F IL S , ÉDITEURSI •

I e VOLUM E

11 Au coin du feu.12 Les grands-pères.13 Les rats.\ i Je m'embête.13 Ma femme n’est pas là.16 Je ris.17 Nous sommes gris.18 Ivresse.19 Aujourd’hui et demain.20 Chauvin.

1 Vieille histoire.2 L’inconnu.3 L’automne. i Une fée.5 Trompette.6 Voilà pourquoi je suis garçon.7 Les mois.8 Un propriétaire.9 Le melon.

10 Je pêche à la ligne.3 e V OLUM E

31 Rêves et réalités.32 Les étrennes de Julie.33 M. Bourgeois.34 Louise.33 Le docteur Grégoire.36 Chut!37 Les hommes utiles.38 Le champagne.39 Le carnaval à l’assemblée.40 Beauté.

21 Le quartier latin.22 Les dieux.23 Le vieux tilleul.24 Le château et la chaumière.25 La ligue des maris.26 Bonhomme.27 La ballade au moulin.28 Perrette et le sorcier.29 Les cerises de Montmorency.30 Je n’aime pas.

3 e V O LUM E

51 Les écus.52 Pierrette et Pierrot.53 Le phalanstère.54 Les impôts.55 Les réformes.56 Le message.57 Pandore.58 L’histoire du mendiant.59 La valse des adieux.60 La première maîtresse.

41 Les pauvres d'esprit.42 Est-ce tout?43 La kermesse.44 La meunière et le moulin.45 May.46 La solution.47 Pastorale.48 Fantaisie.49 Je grelotte.50 Jean qui pleure et Jean qui rit.

Ae V OLUM E

71 Insomnie.72 La vieille servante.73 11 faut aimer.74 Ma philosophie.75 Les deux notaires.76 Le bonsoir.77 La petite ville.78 Le chevalier à boire.79 Flora cruelle.80 Cheval et cavalier.

61 Le voyage aérien.62 Rose-Claire-Marie.63 Mon héritage.61 Paris.65 Jaloux, jaloux.66 Mes mémoires.67 L’été de la Saint-Martin.68 l a bayadère voilée.69 Le jardin de Téhadja.70 Souvenirs de voyage.

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5 e VOLUM E

92 Ma sœur.93 Les ruines.94 La mère Godichon.95 M. de la Chance.96 Ma voisine.97 Le vallon de la jeunesse.98 La fille de l'amour.99 Lettre d’un étudiant à une

étudiante.100 Réponse de l’étudiante à

l’étudiant.

81 La forêt.82 Lanlaire.83 Pêcheur silencieux.84 L’aveu.85 Des bêtises.86 Le fou Guilleau.87 La nacelle.88 Père capucin.89 La pluie.90 Les plaintes de Glycère.91 Le vieux télégraphe.

6° VOLUM E

111 Le puits de Pontkerlo.112 Les projets de jeunesse.113 Le sultan.114 La cuisine du château. 113 Chanson napolitaine.116 La bûche de Noël.117 Macadam.118 Le pays natal.119 La lecture du roman.120 Le nid abandonné.

101 Les heureux voyageurs.102 L’aimable voleur.103 La vie moderne.104 Le pot de vin.105 La vigne vendangée.106 Le cigare.107 Les lamentations d’un réverbère.108 La confidence.109 Les pêcheuses du Loiret.110 La chanson de Gros-Pierre.

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ï e VOLUM E

131 A propos d’annexion.132 M’aimez-vous ?133 Le mandarin.134 Elle.135 Une histoire de voleur.136 La promenade.137 La bruyère.138 La ferme de Beauvoir.139 Le vent qui pleure.140 Florimond l’enjôleur.

121 L'histoire de mon chien.122 Libre! Stances à l’Italie.123 Bernique.121 Nuit d’été.125 Mon oncle Gaspard.126 L’attente.127 L’oubli.128 Le roi boiteux.129 L’improvisateur de Sorrente.130 Les côtes d'Angleterre.

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8= VOLUM E

151 Adieux à un ami.152 Causerie d’oiseaux.153 Le bonheur et l’amour.154 A vos amours.155 L’histoire du général.156 Supposition.157 La maison blanche.158 Pudica.159 Trop tard.160 Carcassonne.

141 La mère Françoise.142 Consolation.143 La mouche de M. Letortu.144 Un regard.145 La névralgie.146 Le bonhomme Séraphin.147 Le mari de Mme Victoire.148 L’alcyon.149 Lorsque j ’aimais.150 Simple projet. :i

»° VOLUME

171 La chevrette,172 Saint Mathieu de la Drôme.173 Les bosses de Gros-Jean.174 Le 29 février.175 Le froid à Paris.176 Conseil à Marie.177 L’étamine.178 La retraite.179 L’aiguilleur.180 Le livre favori.

161 Le prince indien.102 Fleurs, fruits et légumes.163 Le ruisseau.164 Une expiation.165 Quinze avril.166 Eloge de la vie.167 Vive Margot!168 Le pommier.169 La dame au pastel.170 Ma maison.

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:o v o n : si K191 I es chaussettes.192 I es deux ombres.19.3 La complainte du grand Prussien. 194 Tu ne comprends pas.193 Catherine.196 La glorieuse.197 Chant d'amour.198 L’oiseau en cage.199 Blonde et brune.200 Le constructeur.

181 L’estomac.182 l.o portrait de Toinon.183 Cheveux noirs et blancs. 181 Le rendez-vous.183 Thomas et moi.186 Demain.187 Le fantassin.188 Le cavalier.189 Les malheureux.190 Le cocher des grèves.

I I e V O L U M E

211 Double rencontre.212 Parisien et provincial.213 Jalousie.214 Le bon oncle.213 Le boulanger de Gonesse.216 Sarah la grise.217 Le tour du monde.218 Le mur.219 Le petit roi.220 Au bois de Boulogne.

201 Montagne et vallée.202 La demoiselle du château.203 Anacharsis en France.204 Le barbillon et le brochet. 203 Jours perdus.206 Venise reine.207 Mon ministère.208 Les deux Madeleine.209 Le château du fou.210 Le boute-en-train.

1 9 V O L U M E

231 La branche mère.232 Le bourgeois de Bohême.233 Le cœur volant.234 Le vin du Rhin.233 Dame Sottise.236 Opinion politique.237 Devoir, c’est avoir.238 Un été.239 Saint Frusquin.240 Le train des maris.

221 L’aïeule.222 Dax Domini.223 Adieu !221 Le roi de la fève. 223 Le cousin Charles.226 Bonde des crevés.227 Double zéro.228 Le peintre des rois.229 Profession de foi.230 Le veau.

1 3 V O L U M E

231 Le bois de Villegonthier.232 L’anniversaire de l’ouvrier.233 Rome future.231 Les ruines de Paris.233 La grande blessée.256 Sinon jamais!237 La grande classe.258 L’homme au miroir.259 Les nouveaux boulevards.260 L’osmanomanie.

2 i l l a bouche et l'oreille.242 Le fil et l'aiguille.243 La Garonne.244 La compagne.245 Je l’ai revue !246 L’hôtesse romaine.247 Ronde des noms.248 L’abandonnée.249 La Tourangelle.250 Nos hôtes.

11° V O L U M E

C O L L E C T I O N D E 3 0 C H A N S O N S L É G È R E S21 Les confessions.22 Les deux.23 Mes enfants.24 Madeleine.25 Les plaisirs sont trop courts.26 Un mari malheureux.27 Thérèse.28 Le Lion d’or.29 Le dix-cors.30 La toilette.

1 Les amants d’Adèle.2 Le souper de Manon.3 Satan marié.4 Toinette et Toinon.5 Ursule.6 Les gros mots.7 Quitte à quitte.8 Le coucher.9 Les boutons.

10 Auguste,étudiantde 10e année

i l Boisenticr.

43 Les poisons.14 La chanson de trente ans.15 Adèle.16 La lore!te.17 La lorette du lendemain.18 La chaumière.19 Les reines de Mabille.20 Palinodie.

Prix net de ce volume in-8° : 8 fr.6182 bis — Paris, imprimerie Joiiaust, rue Saint Honoré, 33S.

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4 e VOLUME

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Mais la béan te , vous le savez.

C'est le b ien pé rissa b le ;

Vous voulez les coeurs éprouvés,

La douceur im m u a b le .

C’est encore une au tre

I l est encore un nom plus doux

One j'o se a pe ine d i r e ,

Car je sens tro p , auprès de vous.

Le p a rfu m qu il re s p ire .

C est le baume consolateur

De l'âme en do lo rie .

C'est, la v e r tu , c'est la pudeur:

\p p e le z -la M a r ie .

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P ar la que lle on sa it p la ire ;

Pour lu i p ré d ire la bonté .

Si vous la nommiez C laire?

4

Ou p lu tô t, prenez res tro is noms

F.t m e ttez-les ensem ble :

Qu’ ils soient comme les tro is r ln ih ion s

Dont le nœud vous rassem b le .

De la f i l le que vous aimez

Soyez m ere c h é rie ,

Car. comme elle vous vous nommez

Rose rC la ire -M a rie .

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— As-tu donc , en Am ér ique ,

Un v ie i l oncle invé té ré ?Une tan te r a c h i t i q u e ,

Ou b ien un cous in cure?

— INiin. Je n ’ a i ,p o u r tou t potage.

Que mes frè res eu Adam :

Mais j ’a t tends un h é r i ta g e ,Et je chante en l ’ a t tendant.

Cal' i! doit r l re sur te r re Au moins un r ic h e garçon.

Au moins une do u a ir iè re

Qu'amusera ma chanson.

Grace a Qu'i ls r i r o n t en décédant:

Et j 'a t te n d s le u r hé r i tag e .

Et je chante en l 'a t ten dan t .

ga îté , je gagema

3I l v ie n d ra b ie n tô t , te d is - je .

Je ne sais d 'où ni com m e n t ...

I l se peu t qu 'on le ré d ig é . Quelque pa r t , en ce moment.

Toi qui signes ce t te page,

Je te p leure . .. et cependant

J ’accepte ton he r i ta g e ,

El je chante en l 'a t ten dan t .

— As-tu quelque chose en vue.

Quelque place, quelque é ta t .

Quelque f i l l e bien po u rvue?

Veux-tu te fa i re soldat.

U s u r ie r prêtant, sur gage.

Ou b ien avocat p la idant?

— Non. J 'a t tends un h e r i ta g e ,

El je chante en l 'a t ten dan t .

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On f r a p p e ... C’est mon a f fa i re

.1 entends le b r u i t d ' j in pa p ie r :

E n tre z , m ons ieur le no ta ire ..

Ah! p a rdo n , c'est un h u is s ie r .

Mais, baste! on sait que le sage

Est p rê t à to u t accident ;

Et j "ÿV ends mon h é r i ta g e .Et. je chante en l ’ a t tendant

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. tlice, m i li iene est uu ca-got ! » Cost la v i l . le <fes femmes fee . l e s Xu teini pùlo.au «•Imi niant pari

p Hit.4m (t= 4=ÎTI

T.— • •i» r i ,ai T VZ Z 7 / Z 1

Et tjonl li-s g e n r e s n a - t u . r e l - l e s . En Ions lieux s e r v a n t do m ode - le s , Vont s'imi

Aniiw’: .

y. lev.

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DosC’est vil . le des fol . les- t a n t , saris j a m a is 1er. la s e s ,e - ga nu

MàE #

/ / ie x i s t e n c e s incoin . pi-w. s e s , Iles fa u ta s . !K | i ie s enf c e .

f = $»e x c e n t r i q u e s ,d e s h â b l e u r s . Des

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^ = 7l 'a. p r i . ses. Ties gueux hon - leux et des r iches vo _ le u r s ! ____

3 Jüf.*

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Du siècle qui passe on cou.Les a r ts y gravent la m e . m o i . re,\r limi’z.

P. *3. XI wV v *

(Vi's I l a q u e se fa il n o t i e h is to i . r e . C 'es t la qn'mi va c h e r c h e r la g l o i r e .Qu’on vit

P et itins /ont.

« M r ■ V ~-yV « yY /(»I)S -- r a n t ;

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. c u r et rpi’on p e u t m o u r i r g r a n d ! M ais sm is to n a t m o s p h e r e impti . r e , 0 P a . r i s . t n n e c o n n a i s

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- y- 7- "H r— ———sr— r ~ tQ u e l le es t la voix d e la u„ . tu . r e . Q ue l _ le c o u l e u r a la v e r - d u . r e . Q u e l le s o n .p a s

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All! quo rovion.no 1‘lii .run - del . Vlo!I' t iiver h ion .tù t fi -n i I'H :

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40

JALOUX,JALOUXAllegretto . N

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J j ï l j j - p g5gn e 3 =

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8 sI m&le,qu’elle estAux cheveux blonds? Qu’elle est bel-flam . . me,

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Ibel . le! Qui doit vivre pour el .

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B a ll.a? &i i0 0 ^Ce n’est pas vous.

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Que de fi or, té tè . . te !( Im i is c e t . E t c e p e n d a n t. i - c i , p a r .

& 3 sBhÉ^piEn re g a rd a n t .Q u 'e l le est b e l . le .Q u e lle est b e l . le ! M ais q u i re g a rd ee l- le s’ a r . r è .- fo is . t o .

3

J a lo u x , ja - lo u x ,Cc n 'e s t pas v o u s ; J a - lo u x . ja . lo u x , Ce n ’es t pas v o u s .

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Xf e d

V. le?- t e l .

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%m3 " COUPLET. W K J f ,EEjEEE9

C om m e le v e n t . E n v a in v o .Q ua nd s u r sa c a .va le e l . le . se ,pas

3 msmm i= p

En la s u iv a n t. Qu’e lle es t b e l . le ,Q u e lle e s tb e l . le ! M a is q u i d o nc p o u rs u it. t i 'C re g a rd so las . se

3m. le? J a lo u x , ja . lo u x ,C e n ’est pas v o u s ; J a lo u x , ja - lo u x , Ce n e s t pas vou s .el

Æ _É É4 V COUPLET

S e n v e lo p -E l . le s’e n fu i t .P a rfo is ,d a n s le b o is so l i _ t a i _ _ re

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- p a n t d a n s le m y s - tè . E t dans la n u it .Q u ’e lle e s t b e l. le ,Q u e lle est b e l . I c i M a is q u i do nc a tte n d -re

S *P .— A Km ----------- r n r - v- le? J a lo u x , ja - l o u x , Ce n ’e s t pas v o u s ; J a lo u x . ja _ lo u x .C e n ’est pas vou s .el -

Plus v i tp 3* à5 e COUPLET *— - T -

W ' 4 ^E l . le s 'a r . r é t c > e l . l e r c - g a r . E t p o t i r -E llo a s o u - r i :-

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Ê p 5iifti* . * . . _ * . L ' j p r :

de B u n v ie u x m a r i . Qu’e l le e s t b e l- le Q u e l le es t b e l J e ! Mais q u i doue a im e -- t a n t e l le est sous la g a r/T n/ A 31i t7J a lo u x , ja - lo u x . Ce n est pas v o u s ; J a lo u x , ja - lo u x . Ce n 'e s t pa s v o u s .. le ?- t e l -

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- a T o m p o . ’ z$ 33 ' S T R O P H E . W -a: I

£Mon Ama a r e p r i s s a . f i e r . t e , Et j e l u i j e t t e a n U . l i a r . t a Mon a . n a .

0 mes le .vres.tjue vous meut iez! Tousles jours vouslui râp e

/ Vus h u i .

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- f a u t . Qui n ' a i m e p a s , e t q u i d é . f e n d D’a i m e r l es . t i e s ! H e u r e u x lesa u

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- m i - t i e , Qui n ' ont j a m a i s p r i s e u pi . t i e

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L e s nô . t i e s !c œ u r s s a n s a

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F u y o n s , f u y - Ons ; v o i c i Vins - t a n t OÙ,t o n s l e s s o i r s , e l . l e m a t t e n d F r o i d e e t t o u .

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Et m o i , j e fu i s l o i n d e e.es l i e u x , S a n s u - n e l a r . i n e d a n s les

A r e c d e s o j r / r e .

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Mai s q u ’ai - j e vuV l e ve r tga -J e c h a n t e !y e u x .

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L’ a l l é e o bs e i i . r e . Maudits d ie -la m a i . s o n ! . . Ah! p l u s de ' d o n- ZOM ,

- J -— s. . " 4 1 _ 1i t* _ —*' 5 » Fr

. t e !L e u r r o u.val e t c a . v a . l i e r . Qui n e s a u r a i e n t p a s o u - b l i . o r

J È 3 ,# 2 f i ! - 7 J } ! J$5 H S T R O P H E .

l a . p e r ç o i s - 1 np a s . . . Ma i s n o n , n eF u y o n s . f uy - o n s , p r e s s e l e

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MES MÉMOIRES

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2 bJe raconte mon voyage De Pontoise à Saint Germain; Remarquez bien ce passage :Je fais l'aumone en chemin.C'est quaire sous qu’il m'en coûte; Mais nos neveux apprendront Tout ce que j'ai fait en rou te ;Ces papiers le leur diront.Allons, mon encre e t mes plumes. T racez. pour mes descendan ts .Mes m ém oires , six volumes lu-ercfavo, t r e n te francs!

Il faut que l'on sache au juste A quelle heure je suis ne.Où l'on doit placer mon buste .Si j 'étais ou non Vainc, le compterai les fenêtres Ile mon antique maison L Je vieillirai mes aneotrds; J ’em brouillera i mon blason. Allons, mon encre et mes plumes. T racez, pour mes descendants. Mes m ém oires , deux volumes In-octavo.quinze francs!

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1

63Je m ontrera i mes m aîtresses Dans un d iscre t neg l ige:Deux grisçt.tes. trois duchesses. Madame .A"***, ni) lady G***.Je couronnerai de roses Les vierges de l'Opéra;Je racon tera i des choses One personne ne croira.Allons, mon encre et mes iTracez, pour mes descendants . Mes mémoires, dix volumes In-octavo, deux cents francs!

Je par le de mon enfance:.Je fus malade souvent.Quand on songe que la France Pouvait pe rd re cet enfant!A ma naissance, ma mere Pc langes m'enveloppa;Puis, je marchai sans lis ière :A dix mois, je dis: «Papa! » Allons, mon encre et mes plumes. Tracez, pour mes descendants. Mes mémoires, t ro is volumes In-octavo, dix-huit francs!

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4 7Qu'on me lise, et qu'on s'étonne! le ne m énagera i r ien ;Je « 'épa rgne ra i personne.- Mc- amis, tenez-vous hu it! Indulgent pour moi que j'aime.Je m'eleve un Panthcn Et. P lu tarque de moi-meme. J 'égale Napoléon.Allons, mon encre et mes plumes. T- acez. pour mes descendants. Mes m ém oires , cent volumes In-octavo, 'mille francs!

Il faut aussi que l'on sache L" heu re de mes déjeunes.La couleur de ma moustache Et la coupe de mon nez.Je veux m ettre a nu mon àme- Avee to u te s ses vertus;J'v jo indra i meme, en récta Ae. Iles défauts que je n'ai plu». Allons. mon encre et mes p lum es. Tracez, pour mes descendants.Me- mémoires, cinq volumes In-octavo, vin-.-1 cinq francs!

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L’ ÉTÉ DE LA SAINT MARTIN

A l legro .

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i'Jf m m \ - - ï - r —rLes h o .r i.z o n s sont é . la r .Voici les plaines dépouil.Ie . - es,

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Rentrons le bois mort au lo .g is . Pourtant,le so je ilqu i,nous q u it . te

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r r 3 s g-^Tfrr5 ,F M. T77 /Gaîment il bril .le ce m a.fui . te ;Semble avoir regret <Je sa

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9• -9 • 7f y y.SV/ns ralentir.

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Cést l’é . té d<-de la S’ Mar.tin,DCh, Jv

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3Déjà, deux fauvettes frileuses.Se souvenant de leurs beaux jours , Et de lu saison o u b l ie u se s ,Ont recommence leurs amours .Leur voix citante encore plus dotted; Elles vont becquetan t la mousse Pour b â t i r un nid incer ta in :C'est l 'été de la Saint-Martin.

Un vieux i 1 e.Effeuillé déjà dès le:S'est mis bravement a l 'ouvrage. Croyant au r e to u r du p r in tem p s . L’aimable e r r e u r de la nature D’une rena issan te ve rdure A couronneC’est l 'é té de la Saipt-Martin.

ps.

son front hautain:

4Allons, p ar les plaines deser les .Près du filleul qui ra je u n i t ;Nous verrons, sons les feuilles vertes. I.ns fauvettes faire leu r nid. fin voyant leurs amours f idèles.Nous ferons un re tou r , comme e l les . Vers un passé déjà lointain:C’est l’été de la Saint-Martin.

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LA BAYADERE VOILEEAllegretto. Vocalise ad It h

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Moins f i e r s

C o u r r o n t d a n s l es d é s e r t s .

C h a n t e , c h a n t e : à t a voix

J e voi s

S ' e n f u i r l ’o i s e a u d e s b o i s .

V i e n s - t u du go l fe I n d i e n

Ou b i e n

De l ' e m p i r e c h r é t i e n ?

Q u i t t e c e s v a i n s a t o u r s ;

Tu c o u r s

S u r l ’o r e t le Ve lou rs .

Tes p i e d s . s è m e n t les f l e u r s ;

Je m e u r s ;

Mes yeux v e r s e n t d e s p l e u r s .

V i e n s - t u d u ciel l o i n t a i n

Qu e t e i n t

Le sole i l du m a t i n ?

A

V a , s o u s l ’é p a i s t i s s u .

J ’ai su

L i r e en t on c o e u r d é ç u .

J ' a i , d a n s l es y eu x s u r p r i s .

A p p r i s

Ton n o m e t t on p a y s .

Tu vis a u x b o r d s d u Kour

Le j o u r .

Et t o n n o m e s t l’A m o u r .

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LE JARDIN DE TEHADJA

Moderato/> N y:*

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Ce n 'é -ta it pas le jou r . re;en . ro

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f -f J-T— r ~ yJe voyais s’é la rg ir l ’au - roO n’était plus la nuit dé -jà ; r r

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La s o in . c e . m i . r o i r des é . to i . le s .

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L a is s a i t v o i r son sa M e d ’a r . g e n t.. le s ,Mil

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S o u rc e ,e lle e s t p lu s pu - r « que- m e e l ­ le : vous.

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S O U V E N I R S DE V O Y A G E

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ies châteaux de T ou-rai- ne. Les dolmens dé .ce .vants dontNous voul ions voir aussi

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El les o . re.aii« o .ia .geux : Los costumes perdusla Bretagne est pleine. et les mœurssiiran

» ' ^ " V

Et les AI. pcs au front neigeux.< / TT '

. n e . es. No - 1 re Rhône et leur Rhin, Les pies des P y .re .n é . es

I -for

J<“ n'ai l ion ouli li .e ; tout vit dans ma mémoire; C'est là que re.li.sant n o . t re prom, ce his

e - ^ 46,7-1!' 5 •5 . 5 r f t r - r f« - -t7 V

Souvent je me sens ra-jeu-nir. Et le jour, quand je pense.et la nuit.quand je. loi J 'i îT %•*7 s- : ;•(■ . 7 ^ | ^ j # .it =

Je vôy-a . ge do souvenir.lève.Au hasard.avec loi.sur les monts.suv la grève. Voi - 1 i

21*” '

A lions! I.t-bas, b ien tô t -nous v e r ro n s a p p a ra î t r e La b ran ch e de sap in ,q u i pend a la fen ê tre

I) un incroyable c a b a re t .El qui p ro m e t de loin, s i rè n e d a n g e re u s e .Le c id re p é t i l l a n t ou la b ie re mousseuse.

Le p e t i t b lanc ou le c la i r e t .

Puis , les mille in c id en ts , les. rencon tres é trange

Puis ,tes foins ram assés , les moissons, les vendante Les chevaux vifs et les boeufs lents.

1 ne dam e qui passe au fond de sa voiture

Et qui r i t : puis , le so i r , le d în e r d 'av en tu re Et la cham bre aux ru d e s d ra p s blancs!

\o ie i |e join : Partons! La f r a îc h e u r m a t in a le

fies champs s i lencieux et des fo rê ts s 'ex h a le

Avec mille parfum s d ivers :La ro see en tombant p e r l e su r la fo u i l le r .

El dé jà l 'a lo u e t te , avant nous év e i l le r .S’é lance en chan tan t dans les a i r s .

Sons p ren o n s n o tre vol et nous chansons comme elle: Allons, le p a re s se u x ! . . Allons, vite, la b e l l e ,

Debout ! Est-ce ainsi que I on d o r t Y

Puis, ad ieu le vil lage et l 'auberge av e n a n te ,

Et la vieille a u b e rg i s te , et la jeu n e se rv an te

fin g ran d Cerf ou du Lion d 'o r .

4 I.

Mon ami. c é ta ie n t la lesNous p a r to n s ; nous p ren o n s n o t r e .c o u rse p rem ie re ,

• online écoliers faisant l'ecole b u is so n n iè re , Jouant, r ian t a t r a v e r s champ;

Et puis, lo rsq u e .to m b an t sur nos tè tes moins g a ie s , l e soleil a ployé nos ja m b e s f a t ig u é e s ,

Nous ré f léch isso n s en m a r c h a n t .

Salu t, les pam p res v e r t s , les ru ines a n t iq u e s .

Les r ian te s m aisons, les tou re l le s go th iques Flanquant les m urs d'un n o ir c h â te a u ,

Les village* d e se r ts , les m odes tes ég l ise s .

Les fi lles du pays naïvem ent s u r p r i s e s .Et la h a l le au bord d 'un r u i s s e a u .

beaux jo u r s de la vie;

Ils font nos s o u v e n i r s . ils fe ron t n o t r e envie;Nqus ue dem andions r ie n au s o r t :

Que pouvait-il m a n q u e ra no tre humble ordinaii Les rep as les meilleurs sont eetjx que l'on digci

Les meilleurs li ts , ceux oit l'on dort .Ab! lo rsque .b ien ch an g es ,p rè s du foyer t l anqnil

Le boiteux rhum atism e ou la goutte immobile

Nous tiendront souffran ts ou p e rc lu s . Comme nous co n te ro n s a de jeunes o re i l le s

Les mille événement*, les monts et les merveil les

Que nous ne ve rro n s jamais plus!

• F>1• At i c r t i ^ if»F

les il angers du voy .a .go ; Mè - me nous conterons pins if un fameux pasNous d irons les plaisirs .

6 res.Jv4 c

# : ' F— 7Que nous n’a-ions pas t raver , se; Et puis .pour l e r m i , l i e r . . gra.ves comme un vieux. sa . ge

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r!i _vi-e. Sous dirons aux enfants que Von ne sait plus vi - v re

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P5" STROPHE

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4 P ressez. f .1k ■G-— w:

pi» ii . r e , Mais en son . ge le temps et I;X - lors», - tanje lesCr<‘s Jf.i/Ir

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y- ■ ' r - uDi s-|>a rais . sent < om - me l e - c la i r Le monde fu i t , e t je m’e - lan - ce Dans le \ a g u e azuré île l a i r .

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A nim rz. f A von (•«///m/v/.iswie

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I * le an ciel .la belle cam - pa .gne! . Nous sommes di u C ’e s t l ' I t a . l i e OU <' e s t 1 F>mous vo^ ageons:

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S 3r - # _ Tu peins.

F r-j 1' 'l l • • »*f nuns m a r . chons! Re „ garuoYa-tin, cet.tv-p:i - une!

Dull. S'/liiezJLi

r / ~ m - ~r«Te me rappelle tous se> (n ilsJe cherche , et, sy ns la r e e o n .n a î . t r e .I' - ne femme est as-sise a u p r è s .

JJp5 e S T R O P H E H

ï HEst-ce xoiis. Laure .ou n o u s ,A . de . le i Est-ce \ ou s < non.' c’est «-monDi tes moi votre nom tout lias;

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7 — r rJsai - gnan . te?.. Qu«laie estAliel . I. ... (VI . le pas ma pque ie ne nom - me

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r=.rPZ7 r*- ~^Tt 7in; Sa voix es t dom e et p e .n e - t r a n - te : A de.inain.dit-eJ . le, a de

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On sen t d é c r o î t r e sa r a i s o n ;

T o n te la f a m i l l e es t g r a n d i e ;

E l le es t l ' e n f a n t de la m a is o n .

N ous lu i r a c o n to n s les m e r v e i l l e s

D o n t j a d i s e l l e n o u s p a r l a i t ;

E l l e é c o u te des d e u x o r e i l l e s ,

En e g r e n a n t son c h a p e l e t .

N o u s c o n t o n s l ' h i s t o i r e é t e r n e l l e

Du d ia b in ou de la fé e I r g c l l e .

A l l o n s , t i n d u l e , &

N o u s b e r ç o n s sa t r i s t e v i e i l l e s s e

C o m m e e l l e f i t n o t r e j e u n e s s e .

A l l o n s , t i u d u l e , &

3 5

G u d u l e , a u t r e f o i s é c o n o m e ,

D e v i n t a v a re à s o i x a n t e a n s ;

C h a q u e a n n é e a r r o n d i t la s o m m e

Q u ' e l l e a m a s s e p o u r ses e n f a n t s ,

O r , e l l e n ’ a g a r ç o n n i f i l l e :

Nous so m m e s t o u t e sa f a m i l l e

4 l i o n s . G o d i l l e . &

G o d i l l e es t q u e l q u e f o i s g r o n d e u s e ,

S u r t o u t q u a n d Je t e m p s va c h a n g e r ;

Nous é c o u t o n s sa v o i t p l e u r e u s e .

Sans r i r e et sans nous c o r r i g e r .

C hez n o u s , o n n’ o s e ra i l r i e n f a i r e

Sans son a v i s . . . q u ' o n ne s u i t g u è r e .

A l l o n s . G n d i i l e . f

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0 4Pres d r V am our, tou t va s o u r ire ;

Les p la is irs na issent a l'e n to u r ;

C'est un b o nh eu r qu ’ on ne petit d it e:

C’.-sf l ’e sp o ir d’uh a u tre sé jou r.

Tout se m eut, s’ eleve et re s p ire .

Près de l 'a m o u r .

Quel tinm p lus doux dans la na ture?

A m o u r... Tout le d it après nous ;

C est le fr is s o n de la ve rd u re ,

l e chant des ross ign o ls ja lo u x .

Chaque ru isseau p leu re ou m urm u re :

Quel nom plus doux ?

3 5

Que fe ra is - tu de ce tte vie

Ou tu n 'a u ra is pas com b a ttu .

De ton a rd e u r non assouvie?..

L"am our épure la v e r tu .

Et ces b ien s q u i font en v ie .

Qu'xii fe r a is - tu ?

Lo in de l ' a m o u r , la fu i s 'envo le .

C'est, un voyage sans re to u r

Dans un na v ire sans boussole.

Les f le u rs langu issent lo in d tf jo u r .

Le coeur se fane et s 'é tio le

Lo in d r r a n w u r .r

ti

I l f a u t a im e r en t a jeunesse :

Quel nom p lus doux peut-on nom m er?

Que J'erais-tu de mon i v re s s e y

Près île l 'am our, to u t sa it c h a rm e r;

Lo in de l 'a m o u r , fou t est tr is te s s e ;

I ! f a u t a im e r

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. lo. so . pin .e;r~7...../ — 7 - ^ T\ cvs chansons-la 'Heureux,qui se lie Mes amis,toi_

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Pa = È 5

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S S jl h 7f = r J r1—GS3 -B- O

2 3 4Kii quoi! philosophe ascétique.Quel oubli fais-tu de tes sens?Ah! voici le moment cr i t ique :Le corps a des besoins puissants. Aimer encor l 'humanité .

Semez, semez, sans espérance,

Le. p rem ier pas dans la sagesse.C'est l'amour d'un Dieu révélé;C'est le m épris de la r ichesse;On peut l'avoir, puisque je l’ai .On trouve,aussi bien qu'en un livre. Notre âme,qui prie et qui pense.

Soyons toujours ce que nous sommes Frères par notre infirmité ;Ou peut,en méprisant les hommes.

u i 'n r quelques loisirs ; Les bienfaits qui font des ingrats; Sans débauche il e s t 'd e s plaisirs, La vertu ne me touche pas

Quand elle attend sa recompense

Ce dogme éc r i t au fond du coeur.Ce conseil.donné par l 'honneur,De bien p en se r et de bien vivre. Et des libel les sans licence.

Non* laisse

Mes am is . &Mes amis, &Mes amis , &

fi5J ’en étais là de ma doctrine, Lorsqu 'une v i x me dit tout bas: «Est-ce la ta muse bad ine?Chante ,e t ne nous sermonne pas! » Soit! J ’abandonne mon système; Qu’un au t re vois l’explique mieux. Et. s'il n’est pas t ro p ennuyeux.Je le prends pour m a ître , et je I aime.

Mes a m i s . &

S u r to u t . n’augmentez pas le nombre De nos po lit iques é t ro i ts :Vivez en p a ix .re s tez a l’om bre;Les devoirs sont avant les d ro its . Bravez l 'opinion f rag ile .Et marchez d ’un pas affdrmi.Quand vous n aur iez qu un seul ami. C’en est assez pour ê t r e utile .

Mes amis. &i ;

O'A'Ÿ3<I

LES DEUX NOTAIRES

qîsU-9 9!

f fl ' IW O/>

f - f f' f= ? = .Ef- *

P Kl" LE BÈ GU E. n r ROBIN

V-C o l.lègue ,ouvrez-m o i la por . te:Hé! bon . jo u r , m a î-tre Ho .b in !

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mm m-m mB 5:

P i yI"P PC’est un pa . ra .p lie r, ce ma . t in .contrat que j ’ap.pnr . A. te

À À àP i5*

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i s sa ?I-a c li . ente est fo rt gen . ti] . le ; Vous sa . vez que c’est la f i l . le

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mon _ sieur \n . dre BonIl,' - temps; E lle bientôt dix-huita

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m r ~ r p f ; l . " P T f r r ;Ah!maître Le . bè. gue, Mon très-cher co l. le . gue, \uiis souvenez-

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t - y ^ rrnous m ions dix-lmit ans?Nous étions de gais res,com pevous

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Et nousn’étions nas,Hélas! El nous n’étions pas No . lai . res, no- t a i7

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2''COUPLET. <i . | I

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Z -^ / —- t a -An M'in <lv l;« - le!Vuv n o u s «• . t i o n s h.-Miix it Voir

4 V T * - ï J y ? f . : J : Ç ? j . 11On di -fvii Sa rda . na . pa elia - que

L t/'nnr m ix ir.isil!.<i

( 'uni - m e l e . X if us f r s . ti . n ions s o i r .

« Vui - là des p r i n - ces I,' fil -Qui s o r - t e n t de leurs p r o - ' i n _ r e s . » - N vus d i . sons que

* /S 35 i - T l — 0

a yT T- Mi ! maî . tre J.e . |>î‘ _ gue. Mon t r è s - c h e r col - leMon . sieur Ar . t tm r . . .Se nom nu*. tur

» <t r 3¥

Pa .r is est un he I endroit-; Nous \ l a i . sions im-tre d r o i t . Nous é t ions ce . li . lia „ ta i _

4 % ■ S ù Ù 1 1- ; S r r HF X V 'Et n o u s n ’e t i o n s

F=*Et nous n'etifîns p a s ,Hélas! No . t a i r< - !r es , no , taip a s

r,»1 i

p8

. * ! ' . ’’ l i ? i - . -f- w T 3 j± £ - y. * • '

la port ivvo ma _ joug

y CO UPLET;\ . vous n o u s joli _ v des loin s K

hP r TÇ=p ü - ! ' M3 » 5

— rQ ui n o u s g o u v m a m l a i t , a V l iou .

fOu f o u ne v i en t .pas d ute c o u r s ! Fuir

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q u o n o u s e - l i o n s q u a - t r e , N o u s a . v o u s f a i l . li l a b a t t r e . — K mi s ili . s m i s i jne 1r s |>a .

— Ali! m a if r o Lo - b o . g n o . M o n I v o s - r h e r v o l - l e - g u o .- r e n t s C o m p t e . r o n t c e n t m i l . l e f r a n c s .-

; r ; P p I p ^ p e S p Ê pD e s P o l k a s uii p e u l c . g<> r e s .

-- i * - * r g ?~ n r v y - r - J - 7y ” T " VNiîKss c h a n t i o n s e t n o u s f u m i o n s . M f m e p a r f o i s n o u s <1,O

F f Ê -3l * • »

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L v .3 ' COUPLET.

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Tout do r t su r la t e r r e

En a t t en da n t le solei l .

Restez en d o rm ie ,

J u s q u ’à ee

Qui voi t

E t . si vous fui tes

Rêvez à qui pense à vous.

Restez e n d o rm ie ,

morne ni si doux

In ro r les g r è ve s ,

des r ê v s .

seChaque p lan t e se r e cue i l l e ;

Un f r i s son courhe la feui l le;

Les f l eu r s dorment l eur sommei l .

Tout do r t su r la t e r r e ;

Fe rmez la p a u p i è r e . \ I main, ma mie.

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Ne vau t p a s le m a i ' iq u p n t ie n t .N é va u t pas le m a r i f|iiVm t i e n t ._ le.v o

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un v ie u x m m g u i l t i e r r é p o n d . . . r e .p o n d Q u'a d a n s e u .s e lé . gèB e p o n d . . .

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t ' % ' : t - .’!• girM— V - Vq u a t r e ô te z m i , r e s te t r o is .Do q u a t r e ô te z u n . re s te t r o i s , De. 110 :q u a

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LE CHEVALIER A BOIRE

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Souve.nez-vous, bel . le,-eux.

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Q 4OVu l lo in i s . F l o r a c r u e l l e ,Les II avaux les p lus i ng r a t s Ne m ' e f f r aya i en t p a s .

Souvenez -vous , be l l e , ( b i s )

Autr efo is , Flora c ru e l l e ,

•1 a imais d ' une éga le a r d e u r Ma m er e et

Ma int e n a n t , Fl cira c r u e l l e .

On me voit s i lenc i eux R eg a r d e r les cieux.

Vous m’o u b l i e z , be l l e ; ( b i s ) coeur.Qu avez-vous fai t de mes yeux/

ma soeur .

So uve nez -vous ,be l l e , (bis Que vous m' avez p ri s mes b r a s . Que vous m' avez p r i s mon

5 6M a i n t e n a n t ,F lo r a c rue l l e ,Je ne fais p lus ic i -bas

Que c r i e r lu las!Vous m 'o ub l i e z , be l l e : ( b i s )

Qu'avez -vins fait de mes b r a s?

Ma int enan t , Flora c ru e l l e .J e suis vide de b o nh eu r

Et p l e i n de l an gueu r .Vous m 'oub l i e z , be l l e ; ( b i s ) Qu'avez -vous fait de mon cœu r?

Majeur p o u r f ini r .Ait i nit's

I. JBlTZ. — CCTTÊcœur.

K.coutez,Majeur.

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p 'fril me faudrait,bel - le ,Il me faudrait,bel-le, Tes veux,ton brasc»ur, * * * * *t r è s . f

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