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SUR MON TRENTE ET UN

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DANS LA MÊME COLLECTION

❑ N" 49 Vanille et Chocolat ❑ N" 50 Danses brûlantes ❑ N° 51 Maîtresses de Chine ❑ N" 52 Les folies de Safi ❑ N° 53 Fièvres antillaises ❑ N" 54 La stagiaire ❑ N" 55 Sensualité tropicale ❑ N" 56 Aux sévices secrets de Sa Majesté ❑ N" 57 Sexe sur le campus ❑ N" 58 La chatte et le pigeon ❑ N° 59 Les gants de l'amour ❑ N" 60 Folies africaines ❑ N° 61 Les dépravations de Sylvaine ❑ N" 62 Orchidées vénéneuses ❑ N" 63 Jumelles sur cour ❑ N" 64 La route du plaisir ❑ N" 65 L'adultère ❑ N° 66 La reine des esclaves ❑ N" 67 Miss France ❑ N" 68 Dressage à la fessée ❑ N° 69 Paupières de soie ❑ N" 70 Détache-moi ❑ N° Rencontres coquines ❑ N ° Trois femmes dans la nuit ❑ N" 73 Gina chasseresse ❑ N° 74 Septième ciel ❑ N" 75 Romance libertine

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CHRISTIAN JILANI

SUR MON TRENTE ET UN

EDITIONS GERARD DE VILLIERS

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La loi du 11 mars 1957 n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article 41, d'une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (alinéa 1 de l'article 40). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.

© Éditions Gérard de Villiers, 1997. ISBN 2-7386-5841-5

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CHAPITRE PREMIER

J'étais assis derrière mon bureau, en train de relire mes petites annonces, quand mon téléphone sonna. Je pris la commande de cette nouvelle annonce, ainsi que son règlement par carte bancaire. Le contenu de l'annonce offrait la possibilité à des jeunes hommes de devenir des comédiens dans des films pornogra- phiques. Ayant déjà pas mal roulé ma bosse dans plu- sieurs boulots, et surtout avec mes fins de mois plus ou moins difficiles, il est vrai que finalement cette annonce m'intéressait. Ainsi le soir même, j'appelais le numéro de l'annonce miracle. Une jeune femme décrocha et, d'une voix suave, me fixa rendez-vous dès le lendemain soir. Apparemment je ne devais pas être le seul postulant.

Je téléphonais à mon vieux copain Phil, afin d'arro- ser cette nouvelle aubaine. Phil sonna à la porte de mon studio une demi-heure plus tard.

— Salut Chris, alors ça va, quoi de neuf? — Pour le boulot c'est la routine, mais figure-toi

que j'ai trouvé un bon truc pour arrondir les fins de mois. — Ah ouais! Et c'est quoi ton moyen miracle ?

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— En fait, c'est suite à une annonce qu'une cliente m'a passée, elle cherche des comédiens pour des films X.

— Tu vas faire des films X? Mais c'est super! Monté comme tu es, tu vas faire un malheur dans le milieu du hard.

— Tu sais, ce n'est qu'un essai. — D'accord, mais, sincèrement, je pense que tu

peux te faire un paquet de fric tout en t'éclatant. — Bon, on va aller arroser ça chez Karim ! — Chez Karim ! C'est le bistrot qui est juste à côté

de l'immeuble, un endroit assez sordide pour les tou- ristes, mais idéal pour des célibataires endurcis comme nous.

En effet, une faune de personnages vivaient à toute heure du jour et de la nuit dans cet endroit.

— Salut Karim! Deux demis s'il te plaît. — O.K. les gars, ça marche. Sitôt dit, sitôt fait, nos deux bières moussaient dans

nos verres. Phil leva son verre en proclamant vive- ment :

— A la santé de la nouvelle star ! — Quelle star? demanda une voix à nos côtés. Je me retournais, pour découvrir une charmante

créature, vêtue d'une minijupe léopard, d'un décolleté noir très plongeant, et de bas résille qui laissaient deviner un splendide porte-jarretelles. Elle était rousse, maquillée très légèrement, et nous souriait adorablement en attendant sa réponse.

Phil répondit : — Mais de Chris, mon ami, ici présent, qui, grâce

à ses attributs, va devenir le plus grand hardeur !

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— Phil, je t'en prie, reste modeste; ceci n'est qu'un essai, ne va pas laisser imaginer des choses à mademoiselle !

— Mais non, pas du tout, cela m'intéresse beau- coup, ce n'est pas tous les jours que l'on a une future grande star à ses côtés, répondit la jeune fille.

— Tu vois, mademoiselle comprend, rétorqua Phil, mais au fait on ne s'est même pas présentés. Chris, maintenant que vous connaissez, et moi c'est Phil, et vous?

— Sonia, je vous offre un verre ? — Pourquoi un verre, plusieurs verres ! insista Phil

en plaisantant. Après maintes consommations au bar, nos jambes

devenant lourdes, nous décidâmes d'aller nous asseoir au fond de la salle enfumée, à une petite table préser- vant notre intimité.

Sonia s'assit à côté de moi, et Phil en face. Elle ne tarda pas à se serrer contre moi, tout en discutant de la vie en général avec Phil.

Moi, je demeurais évasif, songeant à ma nouvelle carrière ; est-ce que cela était une bonne chose ? Voilà ce qui me trottait dans la tête depuis que l'on s'était assis à table.

Je sentis la main de Sonia effleurer ma braguette, ce qui me sortit de mes songes. Phil continuait à phi- losopher, ce qui, vu la tête de Sonia, commençait sérieusement à l'ennuyer. Cela ne l'empêcha pas de s'exciter sur ma braguette. De ses doigts experts, elle dégrafa mes boutons, glissa sa main afin de soupeser mes bourses.

C'est alors qu'elle me glissa à l'oreille :

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— Hum ! Chéri, qu'elles sont grosses ! Je commençais à rougir, quand Phil, se doutant de

notre manège, proclama : — Bon les enfants, il est tard, il faut que je rentre

car demain je commence tôt; Chris, je te téléphone dans la semaine.

Nous nous retrouvions ainsi tous les deux, assis là, côte à côte, Sonia se faisant de plus en plus langou- reuse.

La main de Sonia continuait d'évoluer dans mon caleçon, et commençait maintenant un long va-et- vient sur mon membre. La taille de ce dernier ne tarda pas à s'amplifier copieusement :

— Oh bébé ! Quel engin. On y va? me suggéra Sonia avec empressement.

Je ne tardais pas à m'exécuter, car là, franchement cette fille que je connaissais à peine m'avait mis dans tous mes états.

Les trois étages grimpés, c'était à mon tour de la grimper! Et, croyez-moi, il n'y avait plus besoin de préliminaires.

A peine la porte de mon studio refermée, Sonia se jeta comme une lionne affamée sur mon pauvre panta- lon ; celui-ci ne lui résista pas longtemps, et vola dans un coin de la chambre, puis elle s'empara goulûment de mon sexe, afin qu'il puisse retrouver expressément ses dimensions maximales. Cela ne tarda pas. Sonia siffla d'admiration et m'avoua que jamais elle n'avait vu une queue pareille; maintenant elle comprenait mes tentations pour le milieu du X.

J'étais assis sur le bord du lit, les cuisses bien écar- tées, Sonia agenouillée entre elles, en train de laper mon gland à petits coups de langue furtifs.

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Elle avala non sans peine l'intégralité de mon gland, puis se remit à me pomper plus puissamment; ses lèvres descendaient le long de ma hampe; sans toutefois jamais dépasser la moitié de la grandeur de mon sexe.

— Mon chéri, prends-moi vite, j'en peux plus ! Ce genre de supplication ne devant jamais se faire

attendre, je l'attirais sur le lit, la retournais à quatre pattes : une bonne levrette s'imposait. Je la saisissais par les hanches, admirant ses adorables seins gigotant sous elle ; je glissais deux doigts dans sa fente enchan- teresse, en effet, elle mouillait abondamment, ma main était inondée de son suc.

Je frottais ses larges lèvres de mon gland prêt à éclater, il était temps de la pénétrer. J'enfournais gen- timent ma tête violacée, puis commençais un léger va- et-vient. Sonia râlait de plus en plus bruyamment, j'espérais, alors, que ma charmante voisine soit absente, car un jour, peut-être, souhaiterais-je la re- trouver dans cette posture. Je poussais plus loin mon membre, qui commençait à être disproportionné dans la chatte de ma partenaire.

Maintenant Sonia hurlait de mal et de plaisir, et tant pis pour la voisine, il fallait mener l'ouvrage à terme. Mon pénis était à moitié enfoui en elle, quand Sonia me supplia de me retirer ; eh bien ma cocotte, il était trop tard. Silence! on tourne : je me voyais déjà en train de limer face à la caméra, ce qui redoublait mon enthousiasme.

Elle tremblait, ses muscles tétanisés frémissaient sous mes coups de butoirs, j'entrais entièrement en elle, elle explosa, ma cadence s'accélérait, même trop vite à mon goût.

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Je fis pivoter Sonia sur le dos, lui empoignai ses jambes que je balançai chacune sur mes épaules, et la repénétrai d'un coup sec. Déjà la moitié de ma bite était en elle, et je repris ma cadence infernale. Sonia était trempée sous tous les angles et ma sueur s'écou- lait sur son corps reluisant. Je calais mon piston au plus profond d'elle, afin de nous donner un peu de répit, elle rouvrit les yeux et me regarda amoureuse- ment. Je comprenais l'intégralité de son plaisir, et, sans un mot, à travers un long baiser, nos deux langues s'enchevêtrèrent, dans un grand flux de salive, témoin d'une lubrification intense pour cette partie de jambes en l'air exceptionnelle.

Nos langues se délièrent, et je glissai ma tête entre ses jambes, ma langue titillant son clitoris. Sonia se remit à gémir, cette magnifique chatte baveuse inon- dait mon palais de cyprine. Mes coups de langue se firent plus insistants, délectant ce succulent nectar, je retirai ma tête de sa grotte, ce qui déplut à ma dulci- née ; je lui glissai mon sexe entre les seins, et, commençai à me branler entre eux. A chaque passage, Sonia léchait mon gland et, de ses deux mains fermes, comprimait ses deux gros seins laiteux sur ma verge, qui regrossissait à vue d'œil. Une des mains de Sonia glissa sous mes couilles, et commença à les malaxer affectueusement ; je sentais ma sève monter, et ainsi accélérai ma majestueuse branlette entre ses globes.

J'éjaculai abondamment sur ses seins, quelques jets s'étalèrent sur son visage, sur ses cils, même dans ses cheveux. Aussitôt je lui léchai les mamelons, afin de récupérer mon foutre pour lui redonner à travers un profond baiser; elle n'en perdait pas goutte, ma

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langue la débarbouilla, et ce fut à son tour de me net- toyer.

Elle attrapa ma verge et la lécha longuement, ce qui me redonna une vertigineuse érection, qui ne fut apparemment pas pour lui déplaire, puisqu'elle me pompa sans vergogne, tenant mon sexe des deux mains, et l'engouffrant au plus profond de sa gorge. Tout en me tétant, ses mains s'affairaient vivement sur ma bite ; et je lui giclai trois longs jets crémeux au fond du palais.

Nous nous étendîmes côte à côte, couverts de sueur suite à nos ébats, et, après qu'elle m'eut roulé une longue pelle, nous nous endormîmes enlacés amou- reusement.

Mon réveil sonna à sept heures trente, comme d'habitude les jours de labeur. Ma main tâta la place encore chaude de Sonia, vide. Elle était déjà partie, je trouvai sur l'oreiller un petit mot griffonné qui disait : « C'était merveilleux ma petite star, maintenant je suis sûre de ta réussite dans ce domaine, je t'appelle très prochainement, gros bisous partout! Sonia. »

Ma journée se passa tranquillement, pas trop de boulot, ce qui me permettait de songer à cette soirée exquise.

Il était déjà dix-huit heures, il fallait que je file, car mon rendez-vous était dans le quinzième arrondisse- ment, à dix-neuf heures. J'arrivai devant une boutique couverte d'affiches vantant des cassettes vidéo X. Je rentrai, aperçus un jeune homme en train de condi- tionner un colis, et lui demandai :

— Bonjour, j'ai rendez-vous pour le casting. — Salut, prenez l'escalier et attendez, on vous

appellera à votre tour.

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— Merci. Puis il se retourna et se reconcentra sur son

ouvrage. Je débouchai sur une petite salle d'attente, où plu-

sieurs hommes venaient postuler. Une petite porte calfeutrée s'ouvrit et une voix

féminine nous pria de tous rentrer, en fait, le tour c'était tous ensemble. Le bureau était assez vaste, décoré d'affiches de leurs dernières productions, la femme qui nous reçut était assez jeune, vingt-six ans à tout casser, une blonde décolorée, tailleur avec un décolleté très plongeant, bas résille, juchée sur hauts talons. Elle se présenta :

— Bonjour messieurs, je m'appelle Sylvia, et, comme vous pouvez le constater, c'est moi qui m'occupe des recrutements pour nos productions. Afin de ne pas perdre trop de temps, je vais vous demander de vous aligner et de baisser vos pantalons.

Nous fîmes une belle rangée digne de l'armée, et nous nous exécutâmes. Sylvia passa ses troupes en revue, examinant minutieusement la virilité de cha- cun ; elle avait entre les mains un mètre ruban, et ainsi prenait les mesures au repos.

Tour à tour, elle commentait : — 11 centimètres, ouais ; 7 centimètres, chéri tu

peux te rhabiller; ainsi de suite jusqu'à mon tour où elle s'exclama :

— 22 centimètres, non c'est pas vrai ! Elle reme- sura, 22 centimètres, ouaaahhh ! ! !

— Messieurs, maintenant, vous allez vous mastur- ber, je veux voir des érections parfaites.

Nous commencions à nous palucher, quand Sylvia,

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afin de nous aider, se déshabilla; elle se dandina devant nous, vêtue seulement de son string, perchée sur ses talons aiguilles.

Maintenant, le reste des prétendants bandaient au maximum; Sylvia arrêta de se caresser, reprit son mètre et remesura les dimensions tant attendues.

— 16.5 centimètres, 18 centimètres, 17 centi- mètres.

Mon voisin ne bandant pas parfaitement, Sylvia l'aida, en le branlant intensivement.

Les efforts de Sylvia n'étaient pas inutiles, car notre camarade obtenait un heureux 22 centimètres. Pour le récompenser de sa prestation, Sylvia lui déli- vra un joyeux baiser sur le gland. Il n'en restait plus qu'un seul à mesurer, moi !

Les yeux de Sylvia restèrent figés sur mes parties génitales. Elle mesura délicatement mon membre, et cria de joie :

— 31 centimètres, voilà notre futur étalon. Mem- bré comme tu es, tu feras une grande carrière dans le porno !

Et je vis cinq têtes ahuries se tourner aussitôt sur mes attributs.

Sylvia prit les coordonnées de chacun, leur promet- tant de les rappeler pour leur faire savoir s'ils étaient retenus, et tout le monde partit. J'allais franchir le seuil de la porte, quand j'entendis Sylvia me dire :

— Peux-tu rester encore quelques minutes? J'ai deux ou trois choses à mettre au point avec toi.

— D'accord, mais pourriez-vous me dire si je fais l'affaire?

— Si tu fais l'affaire? Mais plutôt deux fois

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qu'une. Avec une queue comme la tienne, je ne te laisserai jamais partir. D'ailleurs peux-tu me la remontrer? Je voudrais la réexaminer plus tranquille- ment.

J'obéissais aussitôt à ma future patronne, et me trouvais face à elle, la bite en main.

Elle s'agenouilla et joua avec elle, comme une petite fille jouant avec sa poupée ; elle la tournait, la massait, puis la branlait avec ardeur, afin d'obtenir une érection maximale.

Ma verge se dressait vers son visage, cherchant sa bouche, qu'elle ouvrit afin de la gober au maximum; puis elle se mit à me pomper, ses deux mains accro- chées à mon bâton.

Par moment, elle me léchait, ce qui lui permettait de retrouver son souffle, vu la taille de l'engin ; et le réavalait de plus belle; cette majestueuse pipe se conclut par de puissants jets de foutre qui lui inon- dèrent le visage.

Elle se releva, et m'embrassa fougueusement. Alors qu'une de ses mains continuait à me branler, Sylvia en revoulait, eh bien j'allais lui en redonner; ayant re- trouvé une érection parfaite, je la retournai sauvage- ment, elle prit appui sur son bureau, et commença de son doigt à se titiller l'anus. Je pris ma bite d'une main et la frottai contre son merveilleux postérieur. Mon gland força son petit trou, Sylvia suffoquait, mais je ne comptais pas m'arrêter là. J'enfonçai ma verge progressivement au plus profond d'elle, puis commençai à la pistonner copieusement. Maintenant Sylvia gémissait de plaisir :

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— Oh mon bébé, jamais je n'ai eu une telle bite dans le cul ! Oh ouuiii ! ! ! continue, bourre-moi encore, vas-y ! mets-la-moi profonde !

Et tel son chevalier servant, j'obéis au doigt et à l'œil, ou plutôt à la bite dans le cul !

Je la ramonai sans relâche, après tout, c'était ma future patronne.

Je la retournai et la plaquai sur le bureau, puis lui écartai au maximum les cuisses, entre lesquelles je me glissai pour lui faire une lèche inoubliable. Ma langue nettoyait le moindre recoin de sa chatte, elle roucou- lait doublement, j'essayai de la sucer au plus profond, ma langue s'acharnant telle une bite dans son con. Pendant ce temps-là, je continuai à triquer comme un cerf; il fallait agir. Mes mains braquées sur ses jambes, je poussai lentement mon sexe en elle.

— Que c'est bon, que c'est bon, me susurra-t-elle. Et je commençai à m'exciter en elle, ma verge

jusqu'à la garde, ne laissant plus qu'un mélange de mes poils noirs avec ses poils blonds. Après cette bonne partie de limage, je lui crachai toute ma semence au fond des entrailles. Pour me récompenser de cette bonne baise, Sylvia me gratifia d'un long bai- ser. Il fallait reconnaître que cette fille était une remarquable rouleuse de pelles, elle n'évoluait pas dans le X pour rien.

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Les yeux de Sylvia restèrent figés sur mes parties génitales.

Puis, avec un mètre ruban, elle mesura délicatement mon membre,

et cria de joie : - 31 centimètres ! voilà notre

futur étalon. Membré comme tu es, tu feras une grande carrière dans

le cinéma X.

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