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MOTS FLÉCHÉS

AUTORITÉ

IVREPOST-

SCRIPTUM

FRACTUREAPRÈSVOUS

FINEMENTSCULPTÉ

FINEÉTOFFENOIR DEFUMÉE

TISSUINCAPABLE

MASSEURS

ANNONCELE MESSIEHONORA

LES SEINS

SPORTD'HIVERSUR LA

MOSELLE

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PROFI-TABLEHAUTS

FONCTION-NAIRES

Les quatorze mots de la liste ci-dessous ont été découpés en troismorceaux (par groupe de trois lettres,sans distinction de syllabes) et sont ca-chés dans cette grille. Une fois tous lesmots trouvés, il vous restera un quin-zième mot à découvrir.

MOTS COUPÉS

BOU POL OUR MAR IER

POS LER ANT DIS EIN

ATE DUP NNI ENT ÉMI

CAG TRA ENT CHA WAG

ONC INT PAR IRE TIF

ION ONN ATA IEN RGE

ÈRE OUF STE ABS EUR

RET OIS SAC TUL REC

NFR INJ BÉE PIO LIC

1 DISPARATE

2 PIONNIÈRE

3 RECOURBÉE

4 WAGONNIER

5 ABSTRAIRE

6 INJONCTIF

7 POLÉMISTE

8 POSTULANT

9 SACCAGEUR

10 CHANFREIN

11 DUPLICATA

12 MAROUFLER

13 ENTRETIEN

14 INTENTION

Le mot découvert est : ....................

A FEDCB JIHG

I

VI

V

IV

III

II

X

IX

VIII

VII

MOTS CROISÉS

HorizontalementI. Sans entrer dans le détail. II. Laudatifs. III. Hôpital populaire. Joyeux éclats. IV. Note. Fêtereligieuse. Donc appris. V. Échassiers. Garçon decourses. VI. Service pour rien. Porter à maturité.VII. Met à l'ombre. VIII. Article. Ne pas pouvoirsentir. Préposition. IX. Tente. Très exactement.X. Peintre belge. Arides.

VerticalementA. Fait la dinde. B. Éperon de navire. Romancièreaméricaine. C. Long dans le court. Indiend’Amérique. En fin de lettre. D. Affluent duRhône. Île grecque. E. Étain. Prendra la liberté.F. Géant vorace. Petit rongeur. G. Éléments enpremière ligne. H. Cité de Sumer. Salut romain.Démonstratif. I. Sur l'Elbe. Pour abréger. J. Solidement charpenté. Empruntas des voies détournées.

MOT MYSTÈRE

SOLUTIONS DU JOUR

U T N A L L I A V I S A G EO N A D R E C E I S E R E HP L A B E L F K N O C N A LA A R G L L L A O A N E P GP C R U E E L R N O E T A NN A I T E U E I D H G I N IO H P N O T S T A G R N T DR C E I N U P E T R U U A NT X R E L M T M I O U M L AL E R U L L I U O S P M O TO A V O L N O A N D A I N SP A P I E R E N I L A R P EA I Y T C R E T N I R P S UN I L R E M I N O R I T E C

Rayez dans la grille les mots de la liste pour découvrir le MOT MYSTÈRE dont voici ladéfinition : « L’ÉLÉGANCE DANS LE SPORT »Les mots peuvent être lus horizontalement, verticalement ou diagonalement, de droiteà gauche, de gauche à droite, de haut en bas et de bas en haut. Un conseil ! Rayezd’abord les mots les plus longs.

ANDAINCERDANCHACALCIVETCUESTADOMPTEURHÉRÉSIEIMMUNITÉINONDATIONKARITÉKLEENEXLANÇONLOPINMERLINMINETMINORITÉMURAILLEMUTUELLENAGEUSE

PANTALONPAPIERPAPILLONPAPOUPARENTÉPARTOUTPOLTRONPRALINESORGHOSOUILLURESPRINTERSTANDINGTABLÉEURGENCESVAILLANTVISAGE

Chaque ligne, colonne et carré doit contenirles 9 lettres différentes de la grille.- Recherchez d’abord les neuf lettres.- Cherchez logiquement l’emplacement dechaque lettre.- La grille résolue, vous verrez apparaîtredans les cases grisées un MOT MYSTÈRE.Vous pouvez éventuellement vous aiderdu MOT MYSTÈRE pour résoudre la grille,mais attention aux anagrammes. Ce motcorrespond à la définition suivante :

COMMUNE DES YVELINES

O A C T

U A O C N

N L T R

C R

L N A O T

T L U O

R T E

C U

R A

MOT CARRÉ

QUIZ

1 3 9 7 5

5 7 6

9 4 2

9 8 6

7 4

8 2 3

7 1 6 2 3

2 7 8

9 4 6

MOYEN

SUPÉRIEUR4 2 7 1

8 9 5

7 4

1 6

4 7 3

3 9 6 2

5 9

8 1 3

2 5 4

SUDOKU

1 – Quel roi a ordonné le massa-cre de la Saint-Barthélemy ?

A. François IIB. Charles IXC. Henri III

2 – De quand date le stylo feutre ?

A. De 1943B. De 1953C. De 1963

ORALCNTUE

ETUAORCNL

NCLEUTROA

UAOTECLRN

LNRUAOETC

TECRNLUAO

ROTNLEACU

ALNCTUOER

CUEORANLT

HORIZONTALEMENT :I. GROSSO MODO. II.LOUANGEURS. III. OSTO.RIRES. IV. UT. NOËL. SU. V. GRUES. LAD. VI. LET.ÉLEVER. VII. ÉCROUE. VIII. UN. HAÏR. ÈS. IX. TIPI. RECTA. X. ENSOR. SECS.

VERTICALEMENT :A. GLOUGLOUTE. B.ROSTRE. NIN. C. OUT. UTE.PS. D. SAÔNE. CHIO. E. SN. OSERA. F. OGRE.LOIR.G. MEILLEURES. H. OUR. AVÉ. CE. I. DRESDE. ETC. J. OSSU. RUSAS.

QUIZ :1. Réponse B:Le massacre de la Saint-Barthélemy, dans la nuit du 23 au 24août 1572, a été or-donné par Charles IX sur les conseils pressants de sa mère Catherine de Médicis. Plus de 3000 protestantsont été assassinés – 2. Réponse C:Le premier stylo feutre, inventé par la firme japonaise Pentel, date de1963. Dix ans plus tard, la même marque lancera la premier feutre à bille.

OISCOLOMBESNOSTUTELLE

CEPDEIB

E

O

F

C

P

STERELNOIREAURUPTURERLINSOIEVIELESNSCANESUTSKITASPIETAISEPCRETONNEUTILEAUTELREFETSLESE

613829745

524376891

897415362

985263417

132794658

476581923

741658239

269137584

358942176

moyen

MOTS COUPÉS : BOURGEOIS

465382791

281794365

793615482

178923654

624157839

359468217

517236948

946871523

832549176

supérieur

MOT MYSTÈRE : FAIR-PLAY

Téléprogrammes 04 91 27 01 16

2 - L'Écho de la Lys - Numéro spécial

L'Écho de la Lys - Numéro spécial - 3

Votre santéen bref

Et si vous dansiez avecvotre chien ?� Et si vous bougiez avec votrechien ? Il ne s’agit pas seulementd’aller faire une promenade aveclui, car ça, vous connaissezsûrement. Il est plutôt question devraiment vous dépenser ensembleet en parfaite harmonie ! Commesi vous dansiez avec lui… C’est leprincipe de l’obée rythmée,autrement dit l’obéissancerythmée. Une discipline reconnueen France par la Société centralecanine. C’est donc du sérieux…”L’obée rythmée repose sur leprincipe de l’éducation canine”,explique la Société. « Dans unstyle libre et sur fond musical,cette discipline a deux objectifs :se faire plaisir et avoir un chienobéissant. » Très pratiquéeOutre-manche, sous le nom deHeelwork to Music, l’obéerythmée est accessible à tous leschiens. Berger allemand,épagneul, chihuahua… C’est partipour un pas de danse avectoutou. Discipline dynamique etludique, elle permet de canaliserl’énergie du chien et de luiapprendre à obéir tout enl’amusant. Un pas en avant, deuxpas en arrière, demi-tours, quartsde tours… Toutes leschorégraphies sont permises, letout sur une musique rythméebien sûr ! Rien de tel pour à la foisse dépenser et créer unecomplicité nouvelle avec sonchien.

L’Europe garantit lasûreté des médicamentsà base de plantes� Jusqu’au 30 avril dernier,l’inscription A base de plantes surles médicaments ne garantissaiten rien leur sûreté ni leurefficacité. Bonne nouvelle, ladirective européenne 2004/24/CEqui régule l’utilisation et lacommercialisation de cesmédicaments, vient de prendreeffet. Qu’est ce que cela vachanger ? Explications.Pour rappel en 2004, laCommission adoptait unedirective relative auxmédicaments traditionnels à basede plantes. Son objectif était d'« accorder aux producteurs etimportateurs de médicamentstraditionnels à base de plantes letemps de démontrer que lasécurité et l’efficacité de leursproduits sont acceptables ».Sept ans plus tard, en 2011 donccette période de transition, « d’unedurée exceptionnelle » comme leconcède la Commission, estterminée. Depuis le 1er mai, tousles médicaments non enregistrésou non autorisés sont de faitbannis de l’Union européenne.Désormais, tout « Médicamenttraditionnel à base de plantes »,devra avoir apporté la preuve deson innocuité. En l’occurrence, ildevra justifier d’au moins trenteannées d’utilisation en toutesécurité, dont quinze dans l’Union.Pour John Dalli, commissaireeuropéen à la santé et à lapolitique des consommateurs,« nous voilà au terme d’unelongue période de transition. Àprésent, les patients peuvent sefier aux médicaments traditionnelsà base de plantes qu’ils achètentdans l’Union. »

� Une alimentation saine etéquilibrée permet de ne pasprendre de poids et d’êtreen meilleure santé. Maisaussi de la préserver pluslongtemps… C’est ce queconfirment deux nouvellesétudes…Réalisé au Canada en-tre 2000 et 2005, le premiertravail a rassemblé 736 hom-mes de 80 à 85 ans. A deuxreprises (en 2000 puis 5 ansplus tard), ils ont répondu àun questionnaire sur leur ali-mentation, pour vérifier s’ilssuivaient les recommanda-tions du Guide nutritionnelcanadien (équivalent de no-tre Programme national Nu-trition Santé -PNNS). Ce-lui-ci recommande laconsommation quotidiennede 4 classes d’aliments :

fruits et légumes, céréales,viandes et poissons, pro-duits laitiers.

Or a constaté Stephanie Cali-giuri au 6ème congrès del’IANA (International Aca-

demy on Nutrition andAging) à Bologne, les résul-tats se sont « améliorés aufil de l’étude. Des hommestrès âgés peuvent donc mo-difier positivement leur fa-çon de manger ».Toujours au même congrès,les deux études françaisesSU.VI.MAX (menées respec-tivement en 1994-2002 sur13 000 personnes et en2007-2008 sur un peu moinsde 7 000 participants) ontmontré que l’adhésion auxrecommandations duPNNS, paraît plus forte chezles femmes (surtout cellesqui ont fait de longues étu-des), les non-fumeurs et lespersonnes âgées.Les auteurs ont ensuitetenté de savoir si le « bienmanger » permettait de pré-

venir les troubles de la mé-moire, le recul de la capacitéd’apprentissage, et des ca-pacités linguistiques… Ilsont pour cela testé deux foisà 13 ans d’intervalle, 2135participants à SUVIMAX 1.Les résultats ont été bienmeilleurs chez les sujets quiavaient suivi au plus près lesrecommandations duPNNS ! Particulièrementpour la mémoire verbale,toujours première à décli-ner.Pour le Dr Monique Ferry,gériatre et nutritionniste, ledoute n’est pas permis : « laprévention nutritionnelle enmilieu de vie est essentiellepour améliorer la santé et laqualité de vie des person-nes les plus âgées ». Plusque jamais, mieux vaut pré-venir que guérir…

� Considéré comme un can-cer relativement rare il y a 30ans, le cancer de la thyroïdes’avère aujourd’hui plus fré-quent. Selon un rapport del’Institut de Veille sanitaire(InVS), « le nombre de dia-gnostics a beaucoup aug-menté » ces dernières an-nées en France. Cette évolu-tion est-elle liée à la catastro-phe nucléaire de Tcherno-byl, fin avril 1986 ? Lesauteurs évoquent surtout,les changements survenusdans les pratiques médica-les et diagnostiques. Cel-les-ci en effet, « ont elles-mê-mes beaucoup évolué ».

« Pour expliquer ces aug-mentations », expliquent lesauteurs du rapport, « on évo-que principalement l’évolu-

tion des pratiques médica-les ». La réalité toutefois, neparaît pas figée. L’InVS sou-ligne également que « lasurveillance des cancers dela thyroïde est justifiée par

le fait que cette pathologiepeut être induite par une ex-position aux rayonnementsionisants, notamment suiteaux retombées de l’accidentde Tchernobyl sur le terri-toire français ».

Une évaluation des consé-quences sanitaires de l’acci-dent de Tchernobyl enFrance avait été publiée dès2001. Ce travail concluaitque « les connaissancesscientifiques ne (permet-taient) pas d’exclure la possi-bilité d’un faible excès decancers de la thyroïde enFrance lié à cet accident »,explique l’InVS. Néanmoinset compte tenu des effets à(très) long terme des rayon-nements ionisants, aucunehypothèse ne paraît fermée.

� Votre médecin vous aprescrit une imagerie par ré-sonance magnétique (IRM) ?Sachez qu’en France, le délaid’attente moyen s’élève en-core à… 32,2 jours. C’estune très légère diminutionpar rapport aux résultats ob-servés en 2010. Pour l’asso-ciation Imagerie Santé Ave-nir (ISA) qui vient de réaliserune nouvelle étude sur le su-jet, « ce résultat est lemeilleur obtenu dans les en-quêtes successives condui-tes depuis 2006. »La situation cependant, resteproblématique. Le Plan Can-cer 2003-2007 visait un objec-tif de délai de 15 jours, et lesrecommandations du nou-veau Plan Cancer 2009-2013préconisaient un délai d’at-tente de… 10 jours en 2010.C’est dire si nous sommesloin du compte. Quelquesprogrès toutefois, sont à no-

ter. Par rapport à 2010, les dé-lais ont nettement diminuédans les régions Alsace,Basse-Normandie, Haute-Normandie, Champagne-Ar-denne, Languedoc-Rous-sillon, Poitou-Charentes etNord-Pas-de-Calais. Ils ontau contraire augmenté enBretagne, en Lorraine, dansles Pays de la Loire, en Picar-die et dans le Centre. Maisde manière générale souli-gne l’association, « les inéga-lités régionales demeurentcriantes. Ainsi les Pays de laLoire et la Corse ont-ils lestaux d’équipement les plusfaibles et les délais parmi lesplus élevés (62et 75 jours res-pectivement) ». Aujourd’hui,la France dispose de 592 ap-pareils d’IRM, dont 49 ontété installés en 2010. Le tauxd’équipement national se si-tue à 9,4 IRM par million d’ha-bitants.

Une évolution liée à la catastrophe de Tchernobyl ?Le cancer de la thyroïde plus fréquent

Vous trouvez que “lesautres”, et notam-ment vos enfants ou

vos petits-enfants, ne par-lent pas assez fort ou n’arti-culent pas bien ? Dans uneambiance bruyante, vousavez l’impression d’enten-dre sans comprendre ce quise dit ? Ce sont autant de si-gnes que votre audition abaissé. Explications avec lePr Jean-Luc Puel, Directeurde recherche INSERM àMontpellier. « Un des pre-miers signes d’une baissede l’audition, c’est une mau-vaise compréhension de laparole. Surtout lorsque plu-sieurs personnes parlent enmême temps, ou quand desbruits divers s’entremêlent.L’exemple type, c’est le mé-lange d’une musique d’am-biance, de la télévision etd’un proche qui vousparle ». En clair, si vous com-mencez à éprouver des diffi-cultés à suivre une conversa-tion dans un environnement

sonore, c’est probablementle premier signe de la pres-byacousie. Ce déficit auditifest directement lié au vieillis-sement, un peu comme lapresbytie pour les yeux…Après 65 ans, plus d’un Fran-çais sur trois est touché. Insi-dieuse, la presbyacousie

exige une attention particu-lière pour être accessible audépistage. « Les patients nese plaignent pas de ne pasentendre. Ils se plaignent enfait, de ne pas comprendre.Ils évoquent souvent le pro-blème de cette façon : “j’en-tends, mais je ne com-prends pas” » A conditionqu’ils en parlent… Car bien

trop souvent, ils se murentdans le silence, s’isolent etse refusent à prendre la me-sure du problème. Consé-quence, ils ne consultentpas d’ORL et… leur troubleauditif va s’aggravant.

Comment ça se passe ?Comme l’explique le Pr Puel,

« l’oreille interne décom-pose les sons en différentesfréquences. C’est en quel-que sorte un analyseur defréquences, composé de cel-lules ciliées externes. Et ceque vous commencez à per-dre, c’est cette capacité desélection des fréquences au

fur et à mesure que les cellu-les ciliées sont détruites :par l’âge, ou par la succes-sion des traumatismes sono-res ».Audioprothésiste à Paris,Stéphane Deys va plus loin.« Ce que l’on perd en pre-mier, ce sont les sons aigus,donc les fréquences bas-ses », explique-t-il. Concrète-ment, il s’agit notammentdes consonnes. Un exem-ple ? « Entre les mots “ta-ble”, “sable” et “fable”, unepersonne dont l’auditionbaisse ou qui éprouve desdifficultés dans une am-biance bruyante, n’entendraque le son 'a'. Pour le reste,elle va dire en toute bonnefoi que son interlocuteur arti-cule mal. Elle va donc per-dre en premier tout ce quifait l’intelligibilité de la pa-role ». À ce stade, il est indis-pensable de consultez unORL. « Quand cela com-mence à se dégrader, il estessentiel de traiter le pro-blème le plus tôt possible »,conclut Stéphane Deys.

Un délai en légère diminutionIRM : 32 jours d’attente

La prévention nutritionnelle améliore la qualité de vie des personnes âgées

Pour mieux vieillir, mangez bien…

Insidieuse, la presbyacousie exige une attention particulièrepour être accessible au dépistage.

Plus d’un Français sur trois est touché par la presbyacousie

Du mal à suivre une conversation ?

Le guide nutritionnel canadien recommande la consomma-tion quotidienne de 4 classes d’aliments : fruits et légumes,céréales, viandes et poissons, produits laitiers.

Santé

Ce déficit auditif estdirectement lié au

vieillissement, un peucomme la presbytie

pour les yeux.

L’incidence du cancer de lathyroïde aurait augmenté de6 % par an sur l’ensemble lapériode 1980/2005.


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Les quatorze mots de la liste ci-dessous ont été découpés en troismorceaux (par groupe de trois lettres,sans distinction de syllabes) et sont cachés dans cette grille. Une fois tousles mots trouvés, il vous restera unquinzième mot à découvrir.

MOTS COUPÉS

TRE ION AIL TRE FOR

MOI MYS ETÉ MÉT SOU

ATR CRA YSE RAP ORA

SCR ARB RAM HON ÈRE

ALI IER SIE CAV PRO

ASS UES PIR PRO TIF

TIF NÊT ITR IRE AGE

ALE BAT EST APH DOU

IER CEÂ IÉE PÉJ SÉQ

1 DOUCEÂTRE

2 PROSCRIRE

3 SOUPIRAIL

4 PÉJORATIF

5 FORESTIER

6 MYSTIFIER

7 MÉTAPHYSE

8 SÉQUESTRE

9 CAVALIÈRE

10 RAPATRIÉE

11 RAMASSAGE

12 PROBATION

13 ARBITRALE

14 CRAMOISIE


A FEDCB JIHG

I

VI

V

IV

III

II

X

IX

VIII

VII

MOTS CROISÉS

HorizontalementI. Incompréhensible. II. Niaise. Conspuer. III. Maréchal de France. Dieu solaire. IV. Commitun enlèvement. Connaissance élémentaire. V. Direction continue. Affluent du Danube. VI. Ville d’Italie. Fleuve d'Ukraine. VII. Cours tranquille. Cours impétueux. VIII. Volcan. Ardoise.Genre musical. IX. Labiée à fleurs jaunes. Ville du Nevada. X. Petit écran. Ville du Haut-Vaucluse.

VerticalementA. Il manque d'indulgence. B. Sous-marin de Nemo. C. Pour faire briller. Langue du Nord. D. Œuf de pierre. Propre. Cale. E. Teinture de cheveux. Œuvre lyrique. F. Drame japonais. Belle-fille. G. Beau parleur. Rigolé. H. Possédé. Introduis par la bouche. I. Empereur romain.Jeune femme. J. État intermédiaire.

MOT MYSTÈRE

SOLUTIONS DU JOUR

T N A V A S S U R A N C E NC H A S S E U R E V E Q U EA E S U D E M O C R A T I EE S U B S T I T U T E U R ER D E S H A B I L L E T C LN B R O I S E A U X E E O OQ A I U R T U A S M B U N PU B D I O R F O I A E G D OA O I E U G L T R E M R I RR U E M S I N A G R O A T CT I E O P E T I O T R G I AI N P E C I M E N N E Y O ME E D N N E I D R A G P N ER E M E R C E N A I R E E S

Rayez dans la grille les mots de la liste pour découvrir le MOT MYSTÈRE dont voici ladéfinition : « CONDUIT D’AÉRATION »Les mots peuvent être lus horizontalement, verticalement ou diagonalement, de droiteà gauche, de gauche à droite, de haut en bas et de bas en haut. Un conseil ! Rayezd’abord les mots les plus longs.

ACROPOLE

AIRÉES

ASSURANCE

AUTRUI

BABOUIN

BARATIN

CENTIMÈTRE

CHASSEUR

CONDITION

DÉMOCRATIE

DÉSHABILLÉ

ÉVÊQUE

FROID

GARDIEN

GÉROMÉ

GOURDE

MÉDUSE

MERCENAIRE

MOYENNE

OISEAUX

ORGANISME

PETIOT

PYGARGUE

QUARTIER

RÉMIGE

REPOS

RUMEN

SAVANT

SEDAN

SOLIPÈDE

SUBSTITUT

TUTEUR


PIVOTS SUR SOI-MÊME

E R S D I

S R E

U M

E U

R I S D E O

U R

S D M

M E T

T I S M

MOT CARRÉ

QUIZ

2 3 8 9

9 7 1

7 5

4 2 8 5

2 3

1 5 2

9 4 6 3

3 4 9 6

6 3 4 1

MOYEN

SUPÉRIEUR1 2

3 9 8

6 2 7 1

4 8 6

1 3 7

9 3

5 6

4 2 1

7 5 4 9

SUDOKU

1 – Qu’est-ce que la pentrite ?A. Une plante fossileB. Un explosifC. La forme de certains cristaux

2 – À quelle divinité romaine correspondait le dieu grec Héphaïstos ?

A. VulcainB. ApollonC. Mercure

EMORUSTDI

STRMIDOEU

IDUTOERSM

DEMITOURS

RISDMUEOT

OUTESRMID

USEODMITR

MRISETDUO

TODURISME

HORIZONTALEMENT :I. INCOHÉRENT. II.NAïVE. HUER. III. TURENNE.RÂ. IV. ÔTA. NOTION. V. LIGNE. ENNS. VI. ÉLÉE.BUG. VII. RU. TORRENT. VIII. ASO. DÛ. RAÏ. IX. IVE. RENO. X. TÉLÉ. VISAN.

VERTICALEMENT :A. INTOLÉRANT. B.NAUTILUS. C. CIRAGE. OIL.D. OVE. NET. VÉ. E. HENNÉ. ODE. F. NÔ. BRU.G. RHÉTEUR. RI. H. EU. INGÈRES. I. NÉRON.NANA. J. TRANSITION.

QUIZ :1. Réponse B:La pentrite est un explosif très sensible et très puissant (il s’agit d’un ester nitriquecristallisé) –2. Réponse A:Héphaïstos était le dieu du Feu et des Forges et correspondait donc, pour lesRomains, à Vulcain.

ATHERINETTENOUVEAUAUX

LCPOSVC

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GITSMORBEUTLIBERTESIMODERNESAONEGERBESSIGNEMLUASETAGERESNEMAURNESTAUAZOTATEEURBESACES

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moyen

MOTS COUPÉS : HONNÊTETÉ

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supérieur

MOT MYSTÈRE : NARINE



Votre santéen bref

Protégez les yeuxdes petits� L'œil de l'enfant est fragile,particulièrement au soleil. En effet, si le cris-tallin peut filtrer le rayonnement ultraviolet(UV) chez l'adulte, il n'en est rien chez l'en-fant. Le cristallin des petits en effet, est par-faitement clair et transparent. Selon l'Asso-ciation nationale pour l'Amélioration de laVue (ASNAV), avant l'âge d'un an 90% des

UVA et 50% des UVB traversent le cristallinet atteignent la rétine. Jusqu'à 12 ans, la pro-portion est respectivement de 60% et 25%.Après 25 ans, ces quantités diminuent, lerayonnement étant partiellement réduitgrâce au cristallin. Deux autres élémentsaugmentent encore la pénétration des UVdans l'œil de l'enfant : la plus grande dilata-tion de sa pupille, et la moindre pigmentationde ses membranes oculaires.. Encore plus que l'adulte, l'enfant a donc be-soin d'une protection efficace. Oubliez les lu-nettes de soleil gadgets et misez sur la sécu-rité. Il est en effet indispensable que ses lu-nettes répondent à certains critères de base.La monture doit être souple et adaptée au vi-sage de l'enfant. Les tempes doivent aussiêtre protégées, et les lunettes doivent doncenvelopper son visage et tenir correctementsur la base du nez et derrière les oreilles.Petite astuce : pour l'habituer à porter ses lu-nettes toute la journée en extérieur dès sonplus jeune âge, pensez au cordon de main-tien.

� Cela ne vous a paséchappé, les beaux jourssont de retour ! Avec eux lesbarbecues , les chapelets dechipolatas ou de merguez,les brochettes de bœuf, depoulets ou d'agneau les quar-tiers de tomate et d'oignon,ainsi que les lamelles decourgettes ou d'aubergi-nes… Ces moments fami-liaux et amicaux peuventaussi, présenter quelquesdangers. Petits conseils pourne pas gâcher la fête.

Les risques principaux inhé-rents à l'utilisation d'un barbe-cue sont bien sûr, liés auxbrûlures et aux intoxications.Les premières victimes desbrûlures sont les enfants, no-tamment ceux qui parvien-nent tout juste à la hauteurdu foyer… Voilà pourquoi el-les concernent le plus sou-

vent le visage et les mains…et sont d'une gravité particu-lière. La précaution évidentebien sûr, est d'interdire àtous les enfants d'approcherle barbecue ou de jouer àproximité.Assurez-vous également dela stabilité de l'appareil. Pourcela, vous choisirez de préfé-rence un modèle à quatrepieds. Par ailleurs, n'utilisezjamais d'alcool ni d'essencepour allumer ou réactiver lefeu ! Logique direz-vous ?Pas tant que cela au regarddes dizaines de brûlures gra-ves rapportées chaque an-née. L'apprenti cuisinier pres-que toujours, a été surprispar un jaillissement de flam-mes auquel contre toute at-tente, il n'était pas préparé...Rendez-vous la semaine pro-chaine, pour les conseils decuisson.

Enfin le retour desbeaux jours ! Pourtantsi vous faites partiedes 30% ( !) de Fran-

çais qui reconnaissent trans-pirer davantage des piedsdurant la saison chaude, cen’est pas forcément la fête...Dès que le mercure grimpeen effet, un fumet peu agréa-ble émane de vos arpions.Les amis, la famille même,pincent le nez... Et si toutsimplement, la solution à vo-tre problème se trouvaitdans une hygiène bien adap-tée et des chaussures mieuxchoisies ?Les pieds sont la partie ducorps qui renferme le plusgrand nombre de glandessudoripares. Celles-làmême qui produisent lasueur. Pour autant, ce n’estpas la transpiration qui sentmauvais, mais les bactériesdont elle favorise la proliféra-tion à l’intérieur des chaussu-res. Confinés, les pieds trans-pirent. Ils dégagent rapide-ment des odeurs désagréa-bles. Des chaussures tropfermées ou mal aérées, deschaussettes en matière syn-thétique favorisent le phéno-mène. Comme l’humidité etchaleur associées, consti-tuent un milieu de culture «idéal » pour les champi-gnons et les bactéries, c’estla fermentation qui en ré-sulte qui provoque cesodeurs particulières.Pour l’éviter, l’Union fran-çaise pour la Santé desPieds (UFSP) propose quel-

ques mesures toutes sim-ples : Lavez-vous les piedsdeux fois par jour avec un sa-von au Ph neutre, en insis-tant bien entre les orteils. En-suite, essuyez-vous très soi-gneusement pour ne laissersubsister aucune humidité ;Utilisez une crème anti-trans-pirante et un déodorant quevous appliquerez dans voschaussures. Cela vous per-mettra de normaliser votretranspiration et d’éviter moi-teur, odeurs, développe-ment bactérien et échauffe-ment plantaire ; Evitez letalc. Il peut s’agglomérer etboucher les pores cutanés ;Dès les premiers beauxjours, adoptez les chaussu-

res ouvertes ou tressées ;Ne portez pas les mêmeschaussures deux jours desuite. La semelle intérieureest un vrai bouillon deculture, et elle peut avoir be-soin de plusieurs jours poursécher.Vous avez l’impression detranspirer davantage lors-que vous êtes pieds nus ?Rassurez-vous, ce n’est…qu’une impression. Dans lamesure où les chaussettesne sont plus là pour absor-ber la sueur, vous aurezcette sensation de transpirerencore plus.Et les mycoses ?Les mycoses sont provo-quées par des champignons

microscopiques. Très conta-gieuses, elles se transmet-tent facilement (dans les pis-cines publiques, avec lelinge de corps…). Enfermédans l’atmosphère humidede la chaussure, le pied estalors en première ligne. Lesmycoses se développent àla surface de la peau et no-tamment entre les orteils.Lorsque vous transpirez, sivous ne nettoyez pas correc-tement vos pieds, l’UFSP ex-plique que « des croûtes ma-lodorantes se forment et lesrisques d’inflammation, decrevasses et de diverses af-fections cutanées sont inévi-tables ».

Pour ne pas gâcher la fêteLes interdits du barbecue

Un lavage régulier de vos petons et des chaussures bien aérées seront donc vos alliés…

La sudation est la responsable de ces maux odorants

Au secours, je sens des pieds !

Santé

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Votre santéen bref

Barbecue :gare aux intoxications� Ce n'est pas tant la cuisson aubarbecue qui présente desrisques. C'est plutôt le dépôt decomposés toxiques sur lesaliments, qui se produit danscertaines conditions. En effet, lacuisson à des températuresélevées peut conduire à laformation d'hydrocarburesaromatiques polycycliques, lesHAP, dont les propriétéscancérigènes sont connues.Pensez d'abord à régler la hauteurde cuisson . C'est la chaleur desbraises qui cuira vos aliments, etnon les flammes. Or ce sont elles,les responsables de la formationdes HAP. La chute de graisse surles braises peut aussi contribuer àla formation de ceshydrocarbures. Naturellement,plus la viande sera maigre etmoins le risque sera grand. Veillezdonc à retirer de vos viandes, toutle gras apparent que vous pourrez.Si vous faites un usage fréquentdu barbecue à charbon de bois,privilégiez sa version "épurée". Ala différence du charbon de boisordinaire, celle-ci contient plus de85% de carbone. Pour l'allumage,n'utilisez que des produits vendusà cet effet. Assurez-vous, bienentendu que vos enfants n'y aientpas accès.Notez bien également que lespalettes en bois, les restes decartons alimentaires ne sont pasprévus à cet effet. Les premiersauront sans doute été traités pourrésister aux intempéries, auxmoisissures, aux insectesxylophages…Cigarette électronique :vente interditeen pharmacie !� L'Agence française de Sécuritédes Produits de Santé (AFFSaPS)vient de le rappeler : les cigarettesélectroniques « ne peuvent pasêtre vendues en pharmacie carelles ne figurent pas sur la listedes produits dont la délivrance yest autorisée ». Voilà qui est clair.Et pourtant, de nombreuxpharmaciens en proposent à leursclients. Le Conseil national del'Ordre des Pharmaciens (CNOPH)confirme l'interdiction… et plaidela bonne foi de professionnelsinsuffisamment informés.Xavier Desmas , conseiller auCNOPH représentant la section A,celle des titulaires d'officines, seveut extrêmement clair : « Laposition du Conseil national del'Ordre est simple. Les cigarettesélectroniques ne font pas partiede la liste arrêtée par le ministreconcernant les produits dont ilpeut être fait commerce dans lesofficines. Dès lors, il est pour nousanormal de trouver des cigarettesélectroniques dans lespharmacies. » Il n'est pourtant pasrare de voir des pharmaciensproposer ces cigarettes. Certainsmême les disposent bien enévidence sur leur comptoir, prèsdes caisses. « Ils contreviennentaux règles du code de la Santépublique, et à ce titre ils peuventêtre poursuivis », renchérit XavierDesmas. Selon lui, cet état de faittient principalement à un manqued'informations. « Je l'expliqueraisplus par la méconnaissance quepar toute autre volonté. Lecommuniqué de l'AFSSaPS valeur rappeler le positionnement dece type de produit. A notreniveau, nous allons publier unarticle sur les cigarettesélectroniques dans notre prochainbulletin ».

� Où que vous soyez sur leterritoire de l'Union euro-péenne (EU), le numéro d'ur-gence unique est le 112. Etcela depuis… 1991 ! Pour-tant les Français continuentde composer le 18, le 17 etle 15. Pour que le numéroeuropéen devienne un ré-flexe, un amendement a étédéposé par FrançoiseGrossetête , député euro-péen du groupe Parti Popu-laire européen (PPE).Adopté le 24 mai dernier, il« vise à apporter unemeilleure visibilité au 112 ».

« Tous les citoyens de-vraient avoir ce numéro àl'esprit », insiste notre parle-mentaire. Comment faire?« Mon amendement a pourbut de stimuler les Etatsmembres de l'Union pour

qu'ils promeuvent le nu-méro d'urgence uniqueeuropéen. Sur Internet etdans les média notam-ment ».

Déjà en 2008, pour encoura-ger l'utilisation du 112, une

journée européenne avaitété fixée au 11 février. Peineperdue ! Aujourd'hui se dé-sole Françoise Grossetête,« seulement 26% des ci-toyens de l'Union sont enmesure d'identifier le 112comme numéro d'appel d'ur-gence dans l'Union euro-péenne ».

« Quelle que soit l'urgence -problème de santé, accident- le 112 peut être composésur tout le territoire de l'UE »,précise-t-elle. Tout Françaisen difficulté peut donc appe-ler le 112 pendant ses vacan-ces en Allemagne, en Fin-lande ou en Italie mais aus-si… dans son propre pays. Ilest accessible gratuitementdepuis un poste fixe, un télé-phone mobile ou une cabinetéléphonique. Et ceci, mêmesi l'appelant n'a ni crédit, nicouverture réseau.

� Fin mai, les députés ontadopté la loi permettant lamise en place du dépistageprécoce des troubles del'audition. Ce dernier devraitdonc être généralisé à l'en-semble du territoire français.Une vraie satisfaction pourl'auteur de cette propositionde loi, le député UMP de laCorrèze, Jean-Pierre Du-pont.

Avec Edwige Antier, députéUMP de Paris, ils travaillaientsur ce sujet depuis de longsmois. « Alors que chaque an-née, un enfant sur mille naîten France avec une défi-cience auditive, le diagnostic

n'est aujourd'hui porté enmoyenne, qu'entre seize etdix-huit mois », expliqueJean-Pierre Dupont.

« Or plus le constat est tardif,plus les conséquences sontimportantes sur toutes les ac-quisitions, la scolarisation etla socialisation de l'enfant ».

Ce dépistage précoce per-mettra de repérer, d'orienteret d'accompagner au plustôt les 800 enfants qui nais-sent chaque année avec destroubles de l'audition. « Ildonnera ainsi à ces jeunesenfants et à leurs familles, lapossibilité d'être pris encharge dès les premiersmois de la vie ».

Numéro unique d’urgenceLe 112, un ami méconnu… Surdité

Le dépistageprécoce adopté !

Un travail italien a misen évidence une aug-mentation du risque

de certains cancers en casd'absorption massive d'as-partame. Une étude da-noise, menée sur près de 60000 femmes enceintes, apour sa part démontré uneaugmentation du risque deprématurité lié à la consom-mation de boissons conte-nant des édulcorants.Concernant ces deux étu-des, l'ISA renvoie aux conclu-sions de l'Autorité euro-péenne de Sécurité des Ali-ments (EFSA). En effet pourl'EFSA - tout comme pourl'Agence nationale de Sécu-rité sanitaire de l'Alimenta-tion, de l'Environnement etdu Travail (ANSES) enFrance - ces travaux ne justi-fient pas de réviser les éva-luations précédentes.L'EFSA poursuit toutefoisses analyses. Elle a notam-ment demandé à l'équipe ita-lienne « des éclaircisse-ments et des complémentsd'information concernant laconception de son étude etses méthodes d'analyse sta-tistique ». L'agence euro-péenne avait en effet repro-

ché à cette même équipedans un passé récent, desbiais statistiques et méthodo-logique qui entachaient sestravaux.Andrew Renwick est profes-seur émérite de pharmacolo-gie à l'université deSouthampton, au Royaume-Uni. Il souligne égalementque des questions subsis-tent concernant l'étude da-noise. « Celle-ci établit uneassociation entre la prématu-rité et la consommation desodas contenant des édulco-rants. Une association, maispas un lien de cause à ef-fet », explique-t-il. « Parailleurs, il n'y a pas de ration-nel biologique expliquantcomment l'aspartame pour-rait favoriser un accouche-ment prématuré. » Une éva-luation de ces études estdonc toujours en cours pourvalider -ou non- le risque en-couru par les consomma-teurs d'édulcorants.Une question de dose L'unedes controverses concer-nant ces derniers porte surla dose au-delà de laquelleils pourraient constituer unrisque. « Tout produit est po-tentiellement toxique... à par-

tir d'une certaine dose », sou-ligne le Pr Renwick. « Pourdéterminer la dose journa-lière acceptable (DJA) d'unproduit, on commence pardonner celui-ci à un animalde laboratoire. Puis on aug-mente la dose jusqu'à obser-ver un effet sur l'organisme.La dernière dose pour la-quelle aucun effet n'est ob-servé est ensuite divisée par100, ce qui donne la DJA. »Pourquoi 100, et pas 50 ou150 ? « Le facteur 100 a été

choisi dans les années 1960et constitue une approchede précaution », explique An-drew Renwick. « Il s'agit d'unfacteur 10 correspondant àla variabilité entre animauxet humains, multiplié par unfacteur 10 pour la variabilitéentre humains. C'est une ap-proche certes pas très pré-cise, mais pragmatique. Etelle donne une marge de sé-curité. » Chaque produit adonc une DJA différente.Celle de l'aspartame est de

40mg/kg de poids/jour. Cequi pour un adulte de 70 kgreprésente 2 800 mg ou 2,8g. Soit l'équivalent en pou-voir sucrant, de 35 canettesde 33 cl de soda à l'aspar-tame ! « Et toutes les étudessur les consommationsd'édulcorants dans lemonde montrent que mêmechez les gros consomma-teurs, la dose d'aspartameest inférieure à la DJA », indi-que le Pr Renwick.Quels composants? Unefois absorbé, l'aspartame estdégradé au niveau de l'intes-tin, en acide aspartique, enphénylalanine et en métha-nol. C'est d'ailleurs la pré-sence de phénylalanine quiinterdit aux patients atteintsde phénylcétonurie deconsommer cet édulcorantmais aussi de la viande, dupoisson, des œufs, des laita-ges et des féculents. Et c'estle méthanol que les étudesitalienne et danoise mettenten accusation. Mais le PrRenwick souligne que cestrois composants sont pré-sents dans d'autres produitsalimentaires. « Il y a dix foisplus d'acide aspartique dansle lait écrémé que dans uneboisson contenant de l'aspar-tame »,précise-t-il.

� Depuis le 1er juin 2011,est entré en vigueur l'interdic-tion de produire, de com-mercialiser et d'importerdans l'Union européennedes biberons contenant dubisphénol A (BPA). Tous lesarticles de ce type encoredisponibles doivent être reti-rés de la vente, dans l'ensem-ble de l'Union .

« L'incertitude persiste quantaux effets d'une expositionau BPA pour les nourris-sons, de sorte que la Com-mission a jugé nécessaire etpertinent d'intervenir », expli-

que John Dalli, commissaireà la Santé et à la Politiquedes Consommateurs. Rappe-lons que le BPA est une mo-lécule organique entrantdans la composition des po-lycarbonates utilisés pour fa-briquer différents articles enplastique, dont les biberons.« De faibles quantités deBPA peuvent passer d'un ré-cipient en plastique porté àhaute température dans lesaliments qu'il contient », pré-cise dans un communiqué,la Commission européenne.

Selon l'Autorité européennede sécurité des aliments

(EFSA), le BPA ne présente-rait aucun danger si la dosejournalière absorbée ne dé-passait pas 0,005 milli-gramme par kilo de poidscorporel. « L'exposition detous les groupes de popula-tion est inférieure à cette li-mite », souligne la Commis-sion. Toutefois l'EFSA a émisquelques réserves quantaux effets possibles de lasubstance sur les nourris-sons. La décision de la Com-mission européenne reposedonc uniquement sur le prin-cipe de précaution, désor-mais bien entré dans lesmœurs.

L’'Association internationale des fabricants d'Edulcorants(ISA) s'est attachée à répondre aux critiques récurrentes for-mulées à l'encontre de l'aspartame.

La décision de la Commission européenne repose donc uni-quement sur le principe de précaution.

Il est présent dans plus de 6 000 produits alimentaires

Aspartame : pas de risque établi

Interdiction de produire, commercialiser et d’importer ce type de produits

Plus de bisphénol A dans les biberons

Santé

Le 112 peut être composé surtout le territoire de l'UE.


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MOTS FLÉCHÉS

ELEGANTCAPITALEAFRICAINE

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LANGUETHAÏE

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VOCIFÈRE

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LE CULOT

TERRAINHERBACÉ

VASTEETENDUE

FOURBUEANATIDE

GENREMUSICAL

DONNE LECHOIX

ACCUSE-RAS


MOTS COUPÉS

GIE BLE EUX USE ONC

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IRE CLA EUR LLA BLA

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GER ALE GUE MÉM TTE

ÉRA IRE UCT PIC UNA

STR PRI ION RDE TOL

GAI LÉA VAL IRE TUR

1 AFFECTION

2 BLAGUEUSE

3 CLAIRETTE

4 ENVISAGER

5 LAGUNAIRE

6 MÉMORABLE

7 NUCLÉAIRE

8 ONCOLOGIE

9 PICTURALE

10 PRINCIPAL

11 RÉDUCTEUR

12 STRIDENTE

13 TOLÉRANCE

14 VALEUREUX


A FEDCB JIHG

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MOTS CROISÉS

HorizontalementI. Ancien jeu de boules. II. Bois de chauffage.Effet burlesque. III. A sa clef. Terme de géo-métrie. IV. Bande de taille. V. Folklore persistant.Irlande gaélique. Fait de beaux rêves. VI. Qui sort des normes habituelles. VII. Bassin pour plongeurs. Lettre grecque. VIII. Serpent africain. Dans cet endroit. Au tapis ! IX. Surl’Orne. Proposai une chandelle. X. Greffes. Bonpour la benne.

VerticalementA. Caractère propre à Rabelais. B. Lâches des gaz. Écrivain jazzman. C. Illustre inconnu. Appliqué à la voix, se fait à peine entendre. D. Ville du Frioul. Descendu parmi nous. E. Valet de trèfle. F. Qui n’a pas de queue. Chlore.G. Travail d’une semaine. H. Qui supporte unpoids lourd. Mot de lardon. Bonne action. I. Façon d’aller. Bombardiers allemands. J. Conseillère secrète. Sentinelle de basse-cour.

MOT MYSTÈRE

SOLUTIONS DU JOUR

X U E U T C N O L L I P U O T

E T A U X U A N N E C E D M A

T N A V I T P A C R E U G A V

P A L E T T E R R A T E C R O

F U M A N T E A E C O T E O N

E N T E T E C V I C V P D U Z

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Rayez dans la grille les mots de la liste pour découvrir le MOT MYSTÈRE dont voici ladéfinition : « Elle est utile au couturier »Les mots peuvent être lus horizontalement, verticalement ou diagonalement, de droiteà gauche, de gauche à droite, de haut en bas et de bas en haut. Un conseil ! Rayezd’abord les mots les plus longs.

ACCOU-

TUMÉ

SOUFFLAGE

CAPTIVANT

TOUPILLON

MUTINERIE

DÉCENNAUX

RAVISSEUR

PIVOTANT

ÉCARTELÉ

ONCTUEUX

RACCORDÉ

ROUBLARD

VARLOPE

PALETTE

FUMANTE

APLANIR

DIPLÔME

BÂFRANT

LÉGENDE

CHAPEAU

FRANGIN

LUTINER

INAPTE

ULULER

LASCAR

VAGUER

ENTÊTÉ

TRISTE

VITRE

OBÈSE

CÉDER

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SUDOKU

1 – Quelle est la nationalité del’écrivain Joris-Karl Huysmans ?

A. AutrichienneB. RusseC. ItalienneD. Française

2 – Quelle est la monnaie du Brésil ?

A. Le real brésilienB. Le rielC. Le peso brésilienD. L’escudo

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HORIZONTALEMENT :I. TROU-MADAME. II.RONDIN. GAG. III. UT.ISOCÈLE. IV. CEINTURE. V. US. EIRE. SI. VI. GÉANTE. VII. ÉVIER. TAU. VIII. NIL. ICI. KO.IX. CAEN. LOBAI. X. ENTES. NASE.

VERTICALEMENT :A. TRUCULENCE. B.ROTES. VIAN. C. ON. FILET.D. UDINE. NÉ. E. MISTIGRI. F. ANOURE. CL.G. CRÉATION. H. ÂGÉE. NA. BA. I. MAL. STUKAS.J. ÉGÉRIE. OIE.

QUIZ : 1. Réponse D : Huysmans est né à Paris en 1848. Il est l’auteur de À Rebours, Là-bas, En Route... 2. Réponse A : La monnaie du Brésil est le real.

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SAITLAOIIPREPOIREESERARMETSEROMPUEICAANARDDEALSTRIEURLEIISCOSABIRSOUREAIETENCRIMINERAS

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MOTS COUPÉS : GAILLARDE

897134526

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MOT MYSTÈRE : AIGUILLE



� Décoration, rénovation,construction… à partir du1er janvier 2012, chacunpourra choisir les produitsinduisant le plus faible im-pact possible sur l'air inté-rieur. Tous devront en effet,afficher une étiquette santéenvironnementale. NathalieKosciusko-Morizet, Chris-tine Lagarde et Xavier Ber-trand, respectivement encharge de l'Ecologie, del'Economie et de la Santéviennent de signer un dé-cret qui imposera cette éti-quette à partir du 1er janvier2012.

Les produits concernés se-ront par exemple les peintu-res, les isolants, les cloi-sons, les revêtements desols, les vernis, les cols et

autres adhésifs qui émettentquantités de polluants pré-sentant des risques pour lasanté. Formaldéhyde et to-luène en tête.

De A+ pour les produits lesplus écologiques à C, le vi-suel indiquera le niveaud'émission des polluants vo-latils. « Pour la première fois,une étiquette va permettred'informer les consomma-teurs et donc d'orienterleurs achats vers des pro-duits moins nocifs pour l'airintérieur », explique NathalieKosciusko-Morizet. « La pu-blication de ce texte consti-tue un signal fort vis-à-visdes industriels, afin de les in-citer à faire évoluer leur pro-duction vers une offre plusrespectueuse de la santé ».

Polluants intérieursBientôt une étiquette"écolo"

� Soleil et chaleur ne quit-tent plus l'Hexagone… Etnos compagnons à quatrepattes, aussi, doivent en êtreprotégés. Chaque année, denombreux chiens et chatssont victimes de notre pro-pre négligence, prisonniers -fût-ce pendant quelques mi-nutes seulement - de véhicu-les garés en plein soleil.« Les chiens et les chats sontaussi sensibles qu'un nour-risson », explique la Fonda-tion 30 Millions d'Amis . « Ilsne régulent pas leur tempé-rature interne, et quelquesminutes suffisent pour lesmettre en danger ». Chiots,chatons, animaux âgés maisaussi toutes les races dechiens à nez écrasé (boule-dogues et autres carlins…)sont particulièrement vulné-rables. Il est donc impensa-ble de laisser un animal en-fermé dans la voiture.Même pour un laps detemps très court. La tempé-rature dans l'habitacle peuten effet dépasser les 40˚c enmoins de 10 minutes, et luiêtre fatale. Soyez vigilants !

Que faire si vous êtes té-moin d'une telle situation, sivous constatez la détressed'un animal prisonnier dansune voiture ? Vous avez ledroit d'en avertir la police oula gendarmerie. L'article 20

de la loi du 6 janvier 1999vous permet de faire procé-der à l'ouverture du véhiculestationné en plein soleil lors-que la vie de l'animal est endanger, en présence d'ungendarme ou d'un policier.

Autre menace pointée par laFondation 30 Millionsd'Amis, l'asphalte. « Pour leschiens, les promenades peu-vent vite tourner au cauche-

mar. La température du bi-tume peut en effet atteindre50˚C au sol ». Pour les bala-des, préférez donc les mo-ments les plus frais de lajournée, c'est-à-dire le matinet le soir après 20 heures.

De manière générale pen-dant l'été, surveillez bien sescoussinets pour vérifierqu'ils ne présentent pas debrûlures. Quant à la plage,

vous l'éviterez évidemmentdurant les heures les pluschaudes, à savoir entre 12 het 16h. Et cela vaut pour toutle monde, bien sûr ! En casde fortes chaleurs, renouve-lez régulièrement l'eau de vo-tre animal. Et soyez particu-lièrement vigilants avec lesfélins, qui ont tendance à nepas s'hydrater suffisam-ment.

Chiens et chats doivent aussi être protégés

Trop chaud pour me promener

Les chiens et les chats sont aussi sensibles qu'un nourrisson.

Santé

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2 CAMÉSCOPE

3 CLAFOUTIS

4 FONDATION

5 GIBRALTAR

6 HONORAIRE

7 INTRIGANT

8 MARIGNANE

9 MÉDIÉVALE

10 NÉBULEUSE

11 NERVOSITÉ

12 PÉDAGOGIE

13 QUÉBÉCOIS

14 VÉNÉRABLE


A FEDCB JIHG

I

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MOTS CROISÉS

HorizontalementI. Général pour les soldats. II. Courant binational. Forme dont certains se passeraientvolontiers. III. Fesse-mathieu. Liqueur amère. IV. Fortes têtes. Point de côté. V. Oulianov commun. VI. Préposition. Accessoire de moue.VII. Interjection. Planches à clous. VIII. Fait du tort. Canton helvétique. Moitié de couple. IX. Homme de main. Coup de piston. X. Une sacrée tranche. Nuance de couleur.

VerticalementA. Aurait été entendue dans les Alpes. B. Nomd’emploi. Apprécier au plus bas. C. Voie lactée. Vieux transport. D. Valeur du silence.Champagne et bourgogne. E. Fils arabe. Totale-ment fichu. F. Tailler obliquement. G. Certainsl’ont pour rire. Rivière de Guyane. H. Muse de laMusique. Vague sujet. I. Sauvées des eaux. Pourattirer l’attention. J. On peut l’appeler éminence.Sécessionniste, c’est sûr !

MOT MYSTÈRE

SOLUTIONS DU JOUR

T A G U O N U O N E R D U O F

E R V I D N A G R O B T E N U

T F S E H P O R T S A N E L N

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Rayez dans la grille les mots de la liste pour découvrir le MOT MYSTÈRE dont voici ladéfinition : « Siège de président »Les mots peuvent être lus horizontalement, verticalement ou diagonalement, de droiteà gauche, de gauche à droite, de haut en bas et de bas en haut. Un conseil ! Rayezd’abord les mots les plus longs.

PALABRANT

USTENSILE

ALUMINIUM

LAGUNAIRE

COLIMAÇON

LAPIDAIRE

TAILLANT

FRAISURE

APPARENT

CONFESSE

IMPORTER

TYRANNIE

STROPHES

AQUEUSE

FÉDÉRAL

LIFTIER

CÉNACLE

ORGANDI

LAVETTE

ADMIRER

ÉTRIER

NOUGAT

OBTENU

FOUDRE

HUILER

NOUNOU

ÉCRIER

URGER

OCRÉE

ARRÊT

LAMÉE

EFFET

ACCRU

CORON

AMIES

FUIR

IVRE

MENU

TOIT

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PROF


ACTIVITÉ DU DIMANCHE

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MOYEN

SUPÉRIEUR6

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SUDOKU

1 – En quelle année l’Académiefrançaise a-t-elle été créée ?

A. 1550B. 1635C. 1680D. 1725

2 – Qu’est-ce qu’une cétoine ? A. Un composé chimiqueB. Un fromage de chèvre ardéchoisC. Un vers parasiteD. Un insecte coléoptère

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HORIZONTALEMENT :I. TUTOIEMENT. II.YSER. BOUÉE. III. RAT. BIT-TER. IV. OGIVES. EST. V. LÉNINE. VI. EN. LIPPE.VII. EH. SCÈNES. VIII. NUI. URI. IL. IX. NERVI.NOTE. X. ÈRE. TEINTE.

VERTICALEMENT :A. TYROLIENNE. B.USAGE. HUER. C. TÉTINE.IRE. D. OR. VINS. E. BEN. CUIT. F. ÉBISELER.G. MOT. ININI. H. EUTERPE. ON. I. NÉES. PSITT.J. TERTRE. LEE.

QUIZ : 1. Réponse B :L’Académie française a été fondée en 1635 par Richelieu. 2. Réponse D :Une cétoine est un insecte vert doré qui se nourrit des fleurs, en particulier des roses, sur lesquelles il vit.

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MOTS COUPÉS : DÉCATHLON

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supérieur

MOT MYSTÈRE : PERCHOIR



� « D’où vient ma cou-ronne ou mon implant den-taire ? » C’est la question (lé-gitime) que peuvent se po-ser les patients. Pourtantd’après la Confédération na-tionale des Syndicats dentai-res (CNSD), l’information àce propos est encore très in-suffisante. Elle suggèredonc des mesures suscepti-bles d’assurer une meilleuretraçabilité.« La fiche de traçabilité utili-sée dans les cabinets dentai-res ne garantit pas l’informa-tion sur la provenance de laprothèse dentaire », souli-gne Roland L’Herron, prési-dent de la CNSD. En effet, lenom et l’adresse du fabri-cant sont mentionnés mais« la fiche ne précise paspour autant si ce dernier asous-traité la fabrication, etdans ce cas, à qui ».

La solution ? Selon la confé-dération, ce serait « la créa-tion d’un devis type préci-sant le lieu de fabrication dela prothèse, qu’il soit dansl’Union européenne ou horsUE avec la mention du paysen ce cas ». Ce devis devraitégalement indiquer « le dé-tail et les normes des maté-riaux utilisés pour la réalisa-tion de la prothèse, ainsique le montant pris encharge par la complémen-taire santé ».Sur les 11,4 millions de pro-thèses dentaires posées cha-que année en France, 10 %sont fabriquées à l’étranger.Et selon la CNSD « la majo-rité des importations se faiten provenance de Chine(28,8 %), de Hong Kong(28,3 %), de Turquie(16,8 %), du Maroc (9,4 %)et de Madagascar (3,7 %) ».

Prothèses dentairesPour une plus grandetraçabilité

Si notre mental a besoinde soleil, notre peau etnos yeux le redoutent.

Surtout lorsque ses ultravio-lets sont “consommés” avecexcès. Pour en profiter pleine-ment, rien de tel que la modé-ration et la prudence. Ces pe-tits rappels sont bien utiles,d’autant que les rayons du so-leil sont aussi forts à la mi-maiqu’en plein mois de juillet !

Vous le savez bien évidem-ment : à court terme les ultra-violets peuvent être à l’originede coups de soleil. Ce quevous savez peut-être moins,c’est que ces derniers ne sontni plus ni moins que… des

brûlures du premier degré. Àlong terme, les expositions ré-pétées au soleil accélèrent levieillissement de la peau, etaugmentent le risque de méla-

nome. Sans oublier qu’elles fa-vorisent aussi, l’apparition dela cataracte…

Méfiez-vous particulièrementdes premières expositions.

Les enfants qui ont la peautrès fine, sont particulière-ment vulnérables. La bonneattitude ? C’est tout simple :pas d’exposition entre 12h et16h, chapeau à large bord, lu-nettes de soleil enveloppan-tes et vêtements anti-UV cou-vrants, de préférence légerset de couleur claire. Le toutbien sûr, en sus de l’indispen-sable crème solaire à indicede protection élevé. Et ne leurappliquez pas seulement lors-que vous allez à la plage. Pen-sez aussi à la glisser dans vo-tre sac lorsque vous partezpour une journée au grandair. Ou tout simplement lors-

que vous prévoyez de passerl’après-midi dans votre jardin.

Pour les grands, mêmes pré-cautions. Veillez aussi à utili-ser un écran solaire résistantà l’eau et donc à la transpira-tion. Comme pour les petits,vous renouvellerez les applica-tions toutes les deux heureset après chaque baignade,même lorsque le temps estnuageux ou en présence devent. Contrairement auxidées reçues, l’intensité des ul-traviolets n’est aucunementliée à la sensation de chaleur.Ce sont les infrarouges quichauffent. Les ultravioletseux, brûlent…

Votre peau est rouge voirebrûlante ? Si malgré les pré-cautions énoncées ci-dessus,vous vous êtes fait prendre aupiège, vous devrez vous tour-ner vers des produits qui réhy-drateront votre épiderme. Laréférence reste la Biafine®dont le principe actif est la tro-lamine. Cette pommade n’esttoutefois plus rembourséepar l’assurance maladie de-puis le 1er avril 2010. Privilé-giez donc les versions généri-ques comme la Trolamine Bio-garan conseil® et son nou-veau format “pocket” (46,5g).C’est plus pratique pour glis-ser le tube dans le sac et en-core plus léger pour le… por-tefeuille ! Dans tous les cas,demandez conseil à votrepharmacien.

Les enfants qui ont la peau très fine, sont particulièrement vulnérables aux rayons du soleil

La modération et la prudence sont de mise

Soleil : en avant la prévention !

Santé

Veillez à utiliserun écran solairerésistant à l'eau

et donc à latranspiration

9 prothèses dentaires sur 10 sont importées.

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SER SON QUE IMP GRA

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1 AMOURETTE

2 FLORAISON

3 FRISOTTIS

4 GRANDIOSE

5 HERBIVORE

6 IMPULSION

7 KATMANDOU

8 LIVRAISON

9 MALEFIQUE

10 NERVOSITE

11 PARTICULE

12 STRATEGIE

13 TOLERANTE

14 VAPORISER


A FEDCB JIHG

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III

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MOTS CROISÉS

HorizontalementI. Il fut mis en évidence par Courteline. II. Signald’alarme. Groupe de chasse. III. Plomb léger.Note. Partie de quille. IV. Nécessité d’agir. Vaut de l’or. V. Terre accumulée. Cartes sur table.VI. Soumis à la traction. VII. A de nombreuseschaînes. Fera de la communication. VIII. Un peude Grenadines. Produit de régime. IX. Fleuve deSibérie. Petit dériveur. X. Sur la Baïse. Auxiliairedu futur.

VerticalementA. Objet d’une chanson de Brassens. B. Zoned’obscurité. Terre de Méditerranée. C. Drame lyrique. Pluie de glaçons ! D. Manque de vivres.Terme de psy. E. Sur la croix. Juge d’instruction.F. Interpellation ! Un amour de Môme. G. Pèle-rine de corps, mais pas d’esprit. Premiers à descendre. H. Canton suisse. Prend l’avion. I. C’est un rêve. Commune du Nord. J. On ytrouve de tout. Grande école.

MOT MYSTÈRE

SOLUTIONS DU JOUR

A M U N R E T S I K A Y A K W

X X I V R E S S A B E L A C A

E G A L U S P A C T N A I R C

E S I T A M G O D T R A C N E

E X N E R E I T T E M U L L A

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Rayez dans la grille les mots de la liste pour découvrir le MOT MYSTÈRE dont voici ladéfinition : « Spécialiste des brins inflammables »Les mots peuvent être lus horizontalement, verticalement ou diagonalement, de droiteà gauche, de gauche à droite, de haut en bas et de bas en haut. Un conseil ! Rayezd’abord les mots les plus longs.

SOUDOYANT

AFFLEURER

CAPSULAGE

DOGMATISE

CALEBASSE

ÉCHANGEUR

KAYAKISTE

NARCISSE

JUMELAGE

AFFINEUR

ÉPICERIE

OUTILLER

PLEURER

BERCEUR

INVENTER

RÂTELER

TALOCHE

EXTRADÉ

ASSERVI

LICENCE

STERNUM

SCAROLE

TOCSIN

ENCART

CANCAN

FRACAS

CRIANT

PYREX

LACÉE

SCALP

NYLON

QUOTA

TEST

VOIT

WACE

AXÉE

RALF

TAXA

SAXE

ZOO


PETIT RONGEUR

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MOT CARRÉ

QUIZ

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2 4

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MOYEN

SUPÉRIEUR4 8

1 3 6

3 9 5 8

5 2 1

2 9

3 4 7

6 1

1 4 6 5

7 2 9

SUDOKU

1 – À quelle époque le savon a-t-il été inventé ?

A. En 5 000 avant J.-C.B. En 2 500 avant J.-C.C. En 1 500 avant J.-C.D. En 200 après J.-C.

2 – Qui est le réalisateur du film Au revoir les enfants ?

A. Maurice PialatB. Claude MillerC. Jacques DoillonD. Louis Malle

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HORIZONTALEMENT :I. ROND-DE-CUIR. II.ÉMOI. HARDE. III. PB. SI.PIED. IV. URGENCE. AU. V. TERTRE. PLI. VI. ÉTIRAI. VII. TÉLÉ. DIRA. VIII. ÎLE. BANANE. IX. OB. CANETON. X. NÉRAC. SERA.

VERTICALEMENT :A. RÉPUTATION. B.OMBRE. ELBE. C. NÔ. GRÊLE.D. DISETTE. ÇA. E. INRI. BAC. F. EH. CERDAN.G. CAPE. AÎNÉS. H. URI. PIRATE. I. IDÉAL. ANOR.J. RÉDUIT. ENA.

QUIZ : 1. Réponse B : Le savon mou existait déjà en Mésopotamie 2 500 ans avant notre ère. En 1791, Nicolas Leblanc trouve le procédé de fabrication de la soude caustique et invente le savon solide qui donnera naissance au célèbre savon de Marseille. 2. Réponse D : Louis Malle réalise Au revoir les enfantsen 1987.

ATTEMOUILLERAIDEURAIL

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SURETMIELEPANDREDRUIESUAVERALSEGOLEILBUMELOIRARDUEUSAGEIETOLESASATANNESLEEKESATHEES

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moyen

MOTS COUPÉS : PARACHUTE

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6 3 9 751284

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5478231 69

supérieur

MOT MYSTÈRE : ALLUMETTIÈRE


� Depuis mars 2008, lavente de briquets dépour-vus de “sécurité enfant” etde briquets “fantaisie” eststrictement interdite sur l’en-semble du territoire del’Union européenne. Pour-tant, trois ans après la miseplace de cette législation, denombreuses infractions sontencore relevées. Résultat :chaque année dans l’Union,la manipulation de briquetspar de jeunes enfants provo-que de 35 à 40 décès.

Les contrôles menés par leForum européen pour le res-pect de la sécurité des pro-duits (Prosafe) ont montréque sur les 5 500 modèlesimportés qui ont été contrô-lés, 500 se sont révélés dan-gereux. Dans ce contexte, laCommission de Sécuritédes Consommateurs recom-

mande la plus grande vigi-lance lors de l’achat et del’utilisation d’un briquet.

Les briquets sont des pro-duits intrinsèquement dan-gereux. Grâce au combusti-ble qu’ils contiennent, ils pro-duisent une flamme et de lachaleur. Or dans les mainsdes plus jeunes, ils peuventcauser des blessures ou dé-clencher des incendies. Cha-que année dans l’Union,près de 1 900 enfants sontainsi blessés.

La CSC recommande donc :

De tenir le briquet éloignédu visage et des vête-ments ; De ne jamais le lais-ser sur une surface chaude ;De ne pas tenter de le répa-rer s’il est défectueux ; Dene jamais laisser un briquetà portée des enfants ; De nepas le jeter au feu.

L’alcool provoquerait des dommages irréversiblesau niveau de l’hippocampe

Binge drinking : la mémoire prend l’eauBriquetsTrop de petites victimes

Le binge drinking correspond à la consommation d’au moins 5 verres pour un homme.

Une étude espagnolepointe du doigt les rava-ges du binge drinkingchez les étudiants. Ingur-gité rapidement et à for-tes doses (plus de 4 à 5verres en une même oc-casion), l’alcool provo-querait en effet des dom-mages irréversibles auniveau de l’hippocampe,une zone du cerveau es-sentielle aux fonctionsde mémoire.

Petit rappel : le bingedrinking selon l’OMS,correspond à la consom-mation d’au moins 5 ver-res pour un homme, et 4verres pour une femme,lors d’une même occa-sion. Autrement dit lorsd’un même événement.Or dans la pratique, lesjeunes consommentsouvent bien davanta-ge….

Le Pr Maria Parada, del’Université de St-Jac-ques-de-Compostelle enEspagne, s’est intéres-sée aux conséquencessur la mémoire et l’ap-prentissage d’uneconsommation exces-sive de boissons alcooli-sées par des étudiants.

Sa cohorte de 122 volon-taires était composéepour moitié de jeunesqui avaient expérimentéplusieurs épisodesd’ivresse rapide. L’autremoitié a constitué ungroupe contrôle. Tous

ont dû passer des testspour évaluer leur mé-moire et leurs facultésd’apprentissage.Verdict: les adeptes dubinge drinking ont ob-tenu des résultats bienplus faibles à ceux des

membres de l’autregroupe. Prise de risquesinconsidérés, maladiescardio-vasculaires etdonc, troubles de la mé-moire… Le binge drin-king révèle chaque jourun peu plus ses méfaits.

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